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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Acpresse Béton

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Il y a 2 ans et 266 jours

Seine-Saint-Denis : Innovation Rector et prédalles pour le village des athlètes

Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102. Environ 35 000 m2 de prédalles Rsoft signées Rector seront mis en œuvre dans les bâtiments du secteur E du Village des Athlètes. [©Rector] En 2024, le Village des Athlètes accueillera tous les sportifs en lice pour les Jeux olympiques. Il est situé sur les communes de Saint-Denis, de Saint-Ouen-sur-Seine et de l’Ile-Saint-Denis. Conformément à l’ambition de la Solideo, société en charge de la construction des lieux d’accueil pour la compétition, les bâtiments suivent des objectifs de réduction d’impact carbone. « Pour répondre aux cahiers des charges et atteindre les exigences environnementales attendues, le mode constructif de ces bâtiments repose sur la mixité des matériaux bois et béton bas carbone, explique Baptiste Retho, conducteur de travaux chez Eiffage Construction Habitat. Nous utilisons les bonnes solutions disposant d’une faible empreinte carbone au bon endroit. Ainsi, nous tirons le meilleur parti de chaque élément de structure. Et construisons durablement. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France Le Village des Athlètes comprend différents secteurs ayant chacun son lot de réalisations. Au sein du secteur E, Eiffage Construction Habitat a retenu une innovation Rector pour 19 bâtiments. A savoir, les prédalles bas carbone Rsoft. Ces dernières permettent une réduction de 40 % de CO2, par rapport à une alternative classique. En effet, cette prédalle est composée d’armatures issues d’aciers recyclés et bénéficie d’un système de production optimisé. De plus, la dalle de compression est en béton formulé avec un CEM III. Sans compter que  le chantier est alimenté depuis le site de Rector Verberie (60). Une proximité qui participe à la réduction de l’empreinte carbone. « Sur chaque camion, il y a une vingtaine de prédalles. Ce qui correspond à 130 m2 de planchers. » A terme, ce sont environ 35 000 m2 de Rsoft qui seront mis en œuvre les bâtiments du secteur E. Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102.
Il y a 2 ans et 266 jours

Seine-Saint-Denis : Spie Batignolles délivre et libère 80 ha pour la RTE

Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102. Spie Batignolles Génie Civil a mis en souterrain 4 lignes électriques existantes de 225 kV. [©Spie Batignolles] Afin de libérer du foncier à l’occasion des JO 2024, la Solideo a demandé au Réseau de transport d’électricité (RTE) de mettre en souterrain 4 lignes électriques existantes de 225 kV. Surplombant les communes de Saint-Denis, l’Ile-Saint-Denis et de Villeneuve-la-Garenne, les 27 pylônes et 15 km de câbles aériens seront démontés. Débloquant ainsi 80 ha de terrain. Pour ce faire, le RTE a choisi de recourir à un tunnelier à pression de boue. Il permettra de creuser une galerie à près de 50 m de profondeur. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France Baptisé Ambre, le tunnelier de 120 m de long et 3,90 m de diamètre a réalisé une percée de 2,5 km de long. Durant cette opération, il avait une capacité de pose de 6 voussoirs, représentant un anneau. Au total 12 000 pièces préfabriquées ont été nécessaires pour la conception de cette galerie souterraine. Les voussoirs ont été fournis par Berthozat, basé à Ceyzeriat. La réalisation de la galerie a été attribuée à un groupement mené par Spie Batignolles Génie Civil et comprenant Spie Batignolles Fondations, Spac et Setec TPI. Après la phase de démantèlement du tunnelier Ambre, la galerie fera l’objet de travaux d’étanchéité. Un chantier indispensable, car la galerie souterraine se situe sous la nappe phréatique. La mise en service des lignes électriques est prévue en 2023 et le démontage des pylônes en surface entre 2023 et 2024. Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102.
Il y a 2 ans et 266 jours

Rector : Décarbonation à tous les niveaux

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine Rector dispose de 14 sites de production et de 17 dépôts, une organisation qui aide à limiter l’impact carbone. Siège du groupe à Mulhouse. [©Rector] A la fin du XIXe siècle étaient les Tuileries Oscar Lesage, entreprise familiale fabricant de tuiles et briques de terre cuite dans la région de Mulhouse. Au début des années 1960, les dirigeants alsaciens prennent le virage de la préfabrication béton, en lien avec les énormes besoins de construction de logements dans la période des Trente Glorieuses. En 1993, Lesage rachète Rector et devient licencié du procédé de poutrelles précontraintes Rector, avec la marque Lesage Préfabrication. C’est le début d’une aventure qui mène au groupe que nous connaissons aujourd’hui. En 2022, l’industriel représente en France 1 100 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de 250 M€. Les 14 usines produisent chaque année 500 000 m2 de prémurs, 2 M de prédalles et 12 000 km de poutrelles. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 266 jours

Biosourcing et décarbonation primés aux Awards de l’Innovation du Mondial du Bâtiment

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine. La start-up française CCB Greentech développe un béton composé à 90 % de bois. [©CCB Greentech] La protection de l’environnement, les matériaux biosourcés ou issus du recyclage et la décarbonation de l’acte de construire… Tels sont les thèmes forts qui occupaient une place prépondérante dans le cadre de la nouvelle édition des Awards de l’Innovation du Mondial du Bâtiment. Deux catégories concernaient plus particulièrement des produits de la filière béton ou apparentée. • Développement des matières biosourcées Les solutions à base de matériaux biosourcés sont au cœur des préoccupations des professionnels du salon Batimat. Ainsi, l’Italien Isotex réinvente le bloc de coffrage avec Isotex Total Green, fabriqué en béton de bois, à partir de matériaux renouvelables et de récupération. Ce bloc coffrant apporte une fonction d’isolation thermique supplémentaire grâce à l’incorporation de l’isolant Neopor BMBcert de BASF, ici dans la version “Biomass Balance” du polystyrène expansé. De son côté, la start-up française CCB Greentech a développé un béton composé à 90 % de bois, issu de la région Auvergne – Rhône-Alpes. Quant à ParexGroup, il lance Parnatur Corps d’Enduit Chanvre, un mortier de dressement biosourcé au chanvre, bi-composant (liant et chènevotte). Enfin, Diasen, lauréat argent dans la catégorie “Interior & Garden”, propose Diathonite Thermostep.047. Il s’agit d’un mortier-chape écologique additionné de granulats de liège, qui est une ressource renouvelable. L’industriel utilise des bouchons et autres chutes de fabrication. • Accélération de la décarbonation des ciments et bétons Deux propositions aux Awards de l’Innovation s’attaquent de front à cette question de la décarbonation du secteur : Hoffmann Green Cement et Edilteco. Développé par Hoffmann, le H-Iona est le ciment le plus décarboné présent sur le marché. Il émet moins de 150 kg eqCO2/t, soit 6 fois moins qu’un ciment Portland classique équivalent… Pour sa part, Edilteco, assure aujourd’hui la distribution dans plusieurs pays d’Europe de la solution canadienne CarbonCure Technologies. Cette dernière n’est autre qu’un  un procédé d’injection de CO2 lors de la fabrication du béton. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 266 jours

Gard : Des villas aux planchers chauffants/rafraîchissants pour KP1 et ThermAK

La solution Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant développée par KP1 et ThermAK a été mise en œuvre dans la réalisation de 66 villas à Laudun-l’Ardoise. [©KP1] Dans le cadre d’un programme social à Laudun-l’Ardoise, le maître d’œuvre Sud Ingénierie et le maître d’ouvrage Sud Invest ont opté pour la solution Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant. Ceci, pour la réalisation de 66 villas. Développé par KP1 et ThermAK (société issue de l’association de KP1 et de Thermacome), ce plancher structurel isolant intègre un système de chauffages réversibles. Et répond aux exigences de la RE 2020. Au-delà du plancher en béton préfabriqué, livré prêt à poser avec l’isolant, le Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant dispose de rupteurs de pont thermique assurant une bonne continuité de l’isolation. Car ce système “4-en-1” se compose d’un kit “chauffage et rafraîchissement” intégré, d’entrevous et de rupteurs. Le plancher structural bénéficie d’une dalle de compression très fine de 56 mm. Sur le chantier, environ 3 personnes étaient en charge de la pose de 15 à 20 planchers de 45 m2 sur 3 à 4 j de travail. « Les tuyaux étant directement intégrés dans la dalle de compression, ce qui évitait aussi de couler la chape flottante. Laquelle est requise pour les planchers chauffants traditionnels et qui peut mettre plusieurs semaines à sécher », explique Grégory Dieudonné, maître d’œuvre du projet. Et de poursuivre : « Au-delà du confort de marcher pieds nus l’hiver et de ne pas souffrir de la chaleur l’été, le bilan économique est très intéressant ». En effet, pour une maison individuelle de 115 m2 de surface habitable, la facture d’électricité atteint une moyenne de 70 €/mois. Avec en hiver une température intérieure de 21 °C et, en été, une consigne de rafraîchissement à 26 °C.
Il y a 2 ans et 266 jours

Moselle : Meva renforce son activité

Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102. Meva renforce sa présence dans les pays du Bénélux. [©Meva] En début d’année 2021, Meva a acquis la société de location de coffrages Acropol, basée dans la ville de Landen en Belgique. Implanté entre Bruxelles et Liège, le site comprend un entrepôt de 3 000 m2, des bureaux, des salles de formation et d’exposition, ainsi qu’une zone extérieure de 20 000 m2 pour la logistique et l’entretien des coffrages. Un autre dépôt de distribution qui appartenait à Acropol est situé à Rodange, au Luxembourg. Ainsi, avec cette acquisition, Meva renforce sa présence dans les pays du Benelux. L’industriel propose désormais la location de sa gamme complète de produits et de services dans toute la région. Il présente par exemple le coffrage manuportable AluFix et de dalles MevaDec, le système de grands panneaux Mammut XT ou encore diverses solutions grimpantes et de plates-formes flexibles. De plus, l’acquisition d’Acropol garantit un accès proche et une grande flexibilité dans les régions voisines de France, notamment en Moselle (57), et d’Allemagne. Meva va aussi mettre l’accent sur la vente de coffrages et de prestations de service. Cette offre élargie profitera aux professionnels spécialisés dans la construction industrielle et le génie civil. Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102.
Il y a 2 ans et 266 jours

Béton[s] le Magazine n° 102 s’intéresse aux bétons blancs

Attention, un train peut en cacher un autre !” Qui n’a pas lu cet avertissement incitant à la prudence dans la traversée des voies ferrées à la hauteur d’un passage à niveau ? Dans un style assez proche, on trouve d’autres expressions parlant de dualité, comme “Courir deux lièvres à la fois” ou “Miser sur deux tableaux”. Transposée au monde de la construction, cette histoire de trains, de lièvres et de tableaux prend forme à travers deux évènements majeurs. Le premier – le Mondial du Bâtiment – a lieu en France, début octobre. Le second – Bauma – se déroule en Allemagne, fin octobre. A Béton[s] le Magazine, nous avons plutôt décidé de faire d’une pierre deux coups, en traitant les nouveautés des deux rendez-vous dans ce même numéro. De quoi permettre à chacun de devenir un homme averti (qui en vaut deux…). Quatre “immaculées constructions” Et pour ceux que ces évènements laisseraient de marbre, rendez-vous en Islande pour voir comment est agrandi le tarmac de l’aéroport de Keflavík. Ceci, avant de partir à la rencontre de quatre “immaculées constructions”. Des réalisations architecturales en béton blanc, implantées au cœur des territoires. Tout d’abord, le translucide lycée La Providence, à Saint-Malo, signé par l’agence Alta. Ensuite, la Cité des Vins et du Climat de Beaune, dont Siz-ix a imaginé le design. Puis, la résidence Cosmopoly de Castelnau-le-Lez, réalisée par Taillandier Architectes. Et enfin, l’ensemble Ehpad et logements sociaux Mûriers, né du dessin d’A+Architectes. Les dernières pages du magazine laissent à voir une belle innovation “carbo-négative”, qui séquestre le carbone ad vitam æternam. Mais aussi cherchent à expliquer ce qu’est la carbonatation du béton. Avant de conclure par le magnifique portrait de Nicolas Equillan, le 3e grand ingénieur français, après Eugène Freyssinet et Albert Caquot. Frédéric Gluzicki Directeur de la publication
Il y a 2 ans et 266 jours

Var : La chaux Saint-Astier au secours du fort du Pradeau

Article paru dans Béton[S]le Magazine n° 102 La Chaux Pure Tradi 100 – NHL5 de Saint-Astier a permis de réaliser des scellements pour la rénovation du Fort du Pradeau. [©Saint-Astier] Situé sur la pointe de la presqu’île de Giens au niveau de la commune de Hyères, le Fort du Pradeau a fait peau neuve. Propriété du parc national de Port-Cros, le site a fait l’objet d’un projet de rénovation qui s’inscrit dans une démarche de préservation du patrimoine local. Les travaux se sont déroulés entre décembre 2020 et février 2022, sous la houlette de l’entreprise Néotravaux. Les techniques et solutions mises en œuvre ont été sélectionnées avec soin, afin de respecter au maximum le mode constructif d’époque. Le plus gros enjeu du chantier a consisté à la reprise des chaînes d’angle et à la déconstruction/reconstruction de certaines parties de l’édifice. Lesquelles présentaient des fissures trop importantes ou enregistraient des pierres trop érodées. Ainsi, les moellons et les briques ont été scellés à l’aide d’un mélange de la solution Chaux Pure Tradi 100 – NHL5 de Saint-Astier et d’un sable choisi pour sa granulométrie (0/4) et sa teinte proche de celle du mortier existant. D’autre part, une fois que les murs ont été consolidés, la chaux a été utilisée pour la réalisation d’un enduit de finition. La poudrière, bâtiment particulièrement dégradé, a fait l’objet d’une attention particulière. Une partie de ses murs en moellons ont été restaurés ou remontés et son plafond voûté composé de briques, a aussi été rénové de la même façon. Au total, le chantier a nécessité 350 m2 d’enduit, 60 m2 de béton de chaux sur voûte pour la poudrière et 350 kg de coulis de confortement. Article paru dans Béton[S]le Magazine n° 102
Il y a 2 ans et 266 jours

Vendée : Edycem modernise la centrale BPE de Challans

Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102. La centrale de Challans a été entièrement reconstruite sur l’ancienne. [©Edycem] Edycem modernise une autre de ses centrales BPE. Après celles de Saintes (17), de La Rochelle (17) et de Carbon Blanc (33), c’est au tour du site de Challans (85) de montrer un nouveau visage. D’une surface au sol de 9 980 m2, la centrale a été intégralement reconstruite sur le site de l’ancienne. La modernisation n’a tout de même pas empêché d’assurer la continuité de la production. Sauf pendant la période estivale où le site a fermé ses portes pendant 1,5 mois.  Signée Siera, la nouvelle centrale intègre un sixième silo, augmentant de 20 % la capacité de production du site. Dans le détail, le stockage des pulvérulents est opéré dans 4 silos de 80 t et 2 de 100 t. Cette centrale comprend six trémies couvertes, d’une capacité unitaire de 60 t. De plus, Edycem a doublé la capacité de stockage au sol avec 12 cases d’une contenance de 100 t chacune. Une des cases est d’ailleurs destinée aux granulats recyclés. En effet, l’installation a été pensée pour préserver les ressources naturelles. A l’image de la mise en place de boutons poussoirs pour réduire l’utilisation d’eau de lavage des toupies. Enfin, la centrale se dote d’autres équipements. Un nouveau turbo-malaxeur Liebherr de 2,5 m3 avec double sortie a été installé, afin d’augmenter la rapidité de chargement des camions. Aujourd’hui, le site de Challans couvre la fabrication de la gamme Kalkiss et Lumiliss, des bétons auto-plaçants et auto-nivelants. Et devient le premier à proposer la palette complète des bétons bas carbone Vitaliss qu’Edycem souhaite élever au rang de béton standard.  Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102.
Il y a 2 ans et 266 jours

MT Béton : Première participation

MT Béton propose du matériel et des fournitures, ainsi que des services aux acteurs de la préfabrication. [©ACPresse] Créée début 2020, MT Béton annonce sa première participation à un salon professionnel. Cette société multi-cartes officie autour de sept pôles d’activité du secteur de la préfabrication : la partie “Malaxage, automatisme de centrale, recyclage”, puis les planches, les moules, le traitement du bruit et de la poussière, les étuves et le contrôle de la température et de l’humidité, le traitement des produits secs et, enfin, le conditionnement des palettes. Elle assure la représentation sur le territoire national de marques telles qu’Alfacoustic, Awitech, Delonca, OriginSteel (ex-FLP), KBH, Rotho, Saire, Stampi Sud, Thimon et Wasa. Quelques nouveautés sont annoncées, à découvrir sur place. « Nous sommes là pour répondre aux enjeux d’aujourd’hui et de demain par rapport à l’arrivée des solutions bas carbone et biosourcées », indique Muriel Testud, créatrice de MT Béton. Et de conclure : « Ainsi, il y aura sur le stand des représentants des différentes marques ». Batimat – Hall 4 – Stand F36 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

Mills : Davantage de sécurité collective

Mills sécurise encore plus le montage de coffrages de planchers avec le garde-corps GCC. [©Mills] Associé à la tour d’étaiement Touréchaf et aux poutrelles MP3, le garde-corps GCC Mills permet de monter et de démonter en protection collective un coffrage horizontal traditionnel (composé de poutrelles) reposant sur des tours d’étaiement. Le GCC Mills est constitué de montants réglables verticalement et de lisses horizontales coulissantes et articulées. Il s’installe depuis une tour d’étaiement Touréchaf. Dans un premier temps, l’opérateur depuis la tour fixe sur cette dernière, les montants extensibles GCC en position fermée. Il les relie ensuite avec les lisses extensibles placées horizontalement. Comme pour un étai, il rehausse les coulisses des montants GCC une par une pour placer les lisses du garde-corps à la bonne hauteur par rapport au futur coffrage du plancher. La coulisse se règle à l’aide de trous espacés tous les 5 cm et d’une broche imperdable. Une lumière astucieuse permet un ajustement rapide de la sortie de la coulisse et du niveau du futur coffrage. Le GCC Mills fournit ainsi une plus grande sécurité, tout en améliorant le rendement de coffrage. Sa mise en œuvre est simple. Il est conçu et fabriqué en France dans l’usine Mills située en Corrèze. Batimat – Hall 4 – Stand D12 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

Leviat – Plaka : Une solution “3-en-1”

Leviat lance un nouveau système breveté́, le Duo Guide de voiles/guide de rives. [©Leviat] Leviat lance un nouveau système breveté́, le Duo Guide de voiles/guide de rives : une solution “3-en-1”. Destiné aux bâtiments tertiaires et aux logements collectifs en murs alignés, ce nouveau système promet gain de temps, simplicité́ et sécurité́. Une occasion à ne pas manquer pour rencontrer les experts Leviat. Dédié aux murs alignés, périphériques et intérieurs (cages d’ascenseur ou escaliers), le guide de voiles se compose de 3 parties distinctes. Il permet d’économiser des heures précieuses consacrées au repérage et au traçage des murs supérieurs, phase pourtant incontournable pour assurer un parfait alignement des voiles. Pour aller plus loin dans l’optimisation du chantier en construction béton, Leviat propose un nouvel outil de coffrage complémentaire au guide de voiles : le guide de rives. Le nouveau système a été pensé́ pour accueillir les garde-corps de chantier et permettre la sécurité́ provisoire des équipes techniques. Batimat – Hall 1 – stand P84 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

La Fédération DLR actualise son identité visuelle

La Fédération DLR évolue et a choisi un nouveau logo, une réactualisation de son visuel historique. [©Fédération DLR] C’est en cette rentrée de septembre 2022 que la Fédération nationale des distributeurs, loueurs et réparateurs (DLR) a choisi de présenter son nouveau logo. En effet, son identité visuelle n’avait pas changé depuis 30 ans. On y retrouve toujours les couleurs et formes de l’ancien logo. Ainsi que le cube qui symbolise le secteur de la construction et de la manutention, mais aussi l’Hexagone français. Les modifications les plus perceptibles concernent les différentes commissions de la fédération. Le carré de couleur change pour exprimer les spécificités de chaque commission métiers : distribution, location, grue à tour (CPMDG), sanitaires et unités mobiles (SUM). Les deux dernières rappellent respectivement les couleurs des anciens logos. Le cube rouge, commun à l’ensemble des commissions métiers, souligne leur appartenance à la fédération DLR.  Une couleur qui varie  Quant aux commissions transversales (Affaires sociales, Emploi & Formation, Finances, Maintenance Sécurité Environnement Qualité), la couleur du cube diffère et évoque les différentes thématiques. Le cube est intégré dans le carré rouge DLR, matérialisant les métiers.  En ce qui concerne le slogan retenu, “La fédération des matériels”, il vise l’ensemble des activités directement couvertes par la Fédération. Mais aussi celles de ses membres partenaires, l’Association des constructions industrialisées et modulaires (Acim), Fédération nationale des artisans et petites entreprises en milieu rural (Fnar) et l’Union française du levage (UFL) qui jouent un rôle prépondérant au sein de la Fédération.
Il y a 2 ans et 266 jours

La centrale nucléaire qui devint un parc d’attractions

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine Cette centrale nucléaire a été transformée en parc d’attraction ouvert au public. Une première mondiale ! [©Wunderland Kalkar] Réhabiliter une centrale nucléaire, jamais mise en service, pour en faire… un parc d’attractions. Il fallait y penser ! Construit sur un ancien site nucléaire, le Wunderland Kalkar est un parc d’attractions atypique. « C’est un emplacement unique, au bord du Rhin. Et c’est le seul parc d’attractions au monde installé sur une ancienne centrale nucléaire », insiste Han Groot Obbink, directeur général du parc. Situé en Allemagne, en Basse-Rhénanie, à la frontière néerlandaise, ce site de 80 ha est sans danger pour les nombreux visiteurs qui profitent, chaque jour, de plus de 40 attractions.  « Nous avons beaucoup communiqué à ce sujet, pour ne pas effrayer la population. » L’imposante tour de refroidissement de 42,30 m de haut est recouverte d’une fresque de paysage alpestre. Sa paroi en béton sert de mur d’escalade. Les bâtiments des turbines et du réacteur contiennent des chambres d’hôtel, des restaurants et des bars. Le tout dans des décors évoquant l’Egypte antique ou l’Ouest américain.  Une centrale mort-née… Dans les années 1970, l’Allemagne (à hauteur du capital de 68,5 %), la Belgique (14,75 %), les Pays-Bas (14,75 %) et le Royaume-Uni (2 %) décident de bâtir dans la ville de Kalkar une centrale nucléaire d’un genre nouveau, un “surgénérateur”. Ce dernier, ou SNR-300 (Schneller Natriumgekühlter Reaktor), est un réacteur nucléaire à neutrons rapides et à caloporteur sodium. C’est à Interatom, alors filiale de Siemens, qu’est confiée la construction du nouveau réacteur, qui commence fin 1973. Il aura fallu quelque 250 000 m3 de béton et 58 000 t d’acier pour la réalisation du site. Mais le projet soulève de nombreuses craintes. Ces protestations constituent un fait marquant dans l’histoire du mouvement anti-nucléaire en Allemagne. Et contribuent à la naissance du parti Alliance 90 / Les Verts. En effet, de dizaines de milliers de personnes se mobilisent alors contre ce projet dès 1974.  … Qui renaît en parc d’attractions Les considérations de sécurité autour de la nouvelle technologie que représente le refroidissement au sodium et les nécessaires modifications du projet accroissent les coûts d’environ 3,7 Md€. Des exigences de sécurité constamment modifiées, des procès en série, les catastrophes nucléaires de Three Mile Island, aux Etats-Unis et de Tchernobyl en URSS. Ou encore le contre-choc pétrolier de 1986… entérinent la mort du surgénérateur. Le projet est définitivement abandonné en 1991, après avoir englouti quelque 7 MdDM (environ 3,5 Md€) et mettant au chômage de centaines de personnes. Un entrepreneur néerlandais, Hennie van der Most, spécialiste de la reconversion de friches industrielles, rachète quatre ans plus tard le site et ses environs, pour quelque 2,5 MDM (1 M€). Aujourd’hui, Wunderland Kalkar accueille 500 000 à 600 000 visiteurs par an et emploie 440 personnes en haute saison (120 permanents).  Wunderland Kalkar Griether Strasse 110-120 47546 Kalkar +49 2824 9100  info@wunderlandkalkar.eu M. C. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 266 jours

Cifa : Deux stands sinon rien

L’Energya illustre l’engagement de Cifa en faveur de l’environnement. [©Cifa] Ce ne sont pas un, mais deux stands qu’a fait le choix de réserver Cifa. Un en extérieur, dédié au transport et au pompage du béton. Et un en intérieur – logique – consacré à l’univers des travaux souterrains. « Le choix de présenter nos gammes sur deux stands séparés découle de la nature différente des secteurs activités visés », résume Davide Cipolla, Pdg de Cifa. Le stand extérieur voit ainsi la mise en avant de l’engagement de Cifa dans la réalisation de solutions matériels écologiques, sûres et durables… Et la partie émergente en est une nouvelle machine issue de l’Energya, caractérisée par son fonctionnement électrique. En parallèle, la nouvelle pompe automotrice Steeltech K50L fait sa première apparition, encadrée par les Carbotech à flèche en carbone K60H et K47H. Cette dernière s’avère la 500e pompe Carbotech vendue…  Le stand “Underground” est, lui, animal ! Une appellation que vient de prendre chaque équipement pour travaux souterrains de la marque : Elk (Elan), Dingo, Rhino, Mantis (Mante religieuse), Coguaro (Puma). Et Cifa d’annoncer le lancement en exclusivité du petit dernier : Mamba, une nouvelle pompe spritz 100 % automatisée. Bauma – Zone extérieure FS – Stand 905/2 (Cifa/Zoomlion) et Hall C5 – Stand 239 (Cifa Undergroung) Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 267 jours

Neustark : Captage de CO2 et granulats recyclés, le combo gagnant

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine Neustark a commencé son développement en Suisse [©Neustark] Lancée en 2019, Neustark s’est ancrée dans une démarche environnementale et d’économie circulaire. Elle s’intéresse aussi bien au captage du carbone qu’au recyclage des bétons de démolition et à la fabrication d’un béton “écologique”. En effet, Neustark a développé toute une chaîne de valeur en Suisse. Il y a tout d’abord, un système de liquéfacteurs de CO2 capté dans l’atmosphère. Sous forme de conteneurs, la solution peut être implantée sur des sites industriels. Ensuite, le carbone à l’état liquide est transporté (à l’aide de camions roulant au biogaz) vers des recycleurs ou des producteurs de ciment ou de béton. Ici, le CO2 est mélangé dans des conteneurs Neustark, avec les granulats recyclés issus des bétons de démolition. « Ces déchets sont des puits de stockage de carbone », explique Valentin Gutknecht, co-fondateur de la start-up. Par minéralisation, le CO2 est transformé en calcaire. Ce matériau peut être utilisé comme alternative au ciment de clinker (une substitution allant, pour le moment, de 0 à 20 %), réduisant ainsi la facture carbone du béton. L’installation de transformation est mobile et s’adapte facilement à toutes les configurations industrielles. La solution de Neustark permet de stocker 10 kgeqCO₂capturé/m3 de béton. Elle peut ainsi éviter jusqu’à 20 kg de nouvelles émissions de CO₂/m³ de béton frais. L’industriel compte bien multiplier ces chiffres dès 2025, avec une nouvelle version de sa technologie. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 267 jours

Saint-Goblain Weber : La RSE par l’exemple

Marine Charles, directrice générale de Saint-Gobain Weber France. [©ACPresse] Chez Saint-Gobain Weber, le programme RSE est porté par le slogan “#VertEtFier”. Pour autant, afficher un emblème n’a jamais été une fin en soi. L’action doit surtout être appliquée sur le terrain. « Notre stratégie de développement durable s’articule autour de trois axes : l’offre de produits, la manière de les produire et un engagement sur des modes constructifs plus vertueux », confirme Marine Charles, directrice générale de Saint-Gobain Weber France. L’industriel a lancé nombre de démarches allant dans ce sens. Par exemple, il a fait le choix d’une électricité renouvelable. De quoi diviser par 3 les émissions de CO2 liées à l’électricité, soit une économie de 500 t/an. Autre engagement fort, l’économie de matières non renouvelables. Sur trois de ses usines (Bonneuil-sur-Marne – 94, Ludres – 54 et Nemours – 77), l’industriel utilise, à présent, des cendres de biomasse d’origines locales. Résultat : une substitution du ciment à hauteur de 15 % dans les mortiers-colles et de 30 % des fines minérales dans les mortiers et les bétons en sacs. Soit 1 700 t de matières premières économisées. Le site de Sorgues (84), lui, bénéficie d’un partenariat interne avec Saint-Gobain SEPR (industrie céramique). Ce dernier fournit son sable de moulage usagé, permettant un remplacement à 100 % de la charge minérale des mortiers produits. Réduire le gaspillage au maximum Toujours côté usines, certains process industriels ont été revus. Ludres a inauguré un système de récupération des matériaux générés lors de l’élaboration des enduits et des colles. Il s’agit des produits tombés sur les tapis, sous les ensacheuses. « A ce niveau, ce sont 145 t qui ont été réinjectées dans les produits finis en 2021. » Le site de Dissay (86), lui, a mis en place un processus permettant de réduire le volume de reliquats de chaque campagne de production. Cette initiative consiste à renvoyer le reliquat sur un seul bec d’ensacheuse au lieu de 4 auparavant, réduisant ainsi la perte globale. « Là, on parle d’une économie de 230 t/an ! » Un autre moyen de préserver la ressource est de prolonger la date limite d’utilisation des produits. Celle-ci passe à 1 an pour les produits en poudre, à 18 mois pour les enduits de façades et à 2 ans pour les colles à carrelage. Saint-Gobain Weber prend aussi soin de ses contenants. « Nous utilisons 50 % de plastique recyclé dans nos hausses, ce qui correspond à 450 t de polyéthylène vierge non utilisées et 1 000 t de CO2 non émises. » Idem pour les seaux, dont la moitié du polypropylène est issue du recyclage. Un accord de distribution exclusif Les mêmes seaux et autres sacs usagés profitent de points de collecte, grâce à un partenariat avec Rekupo. A présent, six sites Saint-Gobain Weber (Habsheim – 68, Heyrieux – 38, Ludres – 54, Mérignac – 33, Nemours – 77 et Sorgues – 84) assurent ce service. La mixité des matériaux et les nouveaux modes constructifs représentent un autre pan de la démarche engagée par Saint-Gobain Weber. Déjà, 4 systèmes d’ITE sur ossatures bois sont sous Avis technique : les webertherm XM Natura (basé sur un isolant liège), Fibre de Bois, Roche et PSE ECA. D’un point de vue esthétique, on retrouve les mêmes types de finitions minérales que sur maçonnerie. Enfin, la construction hors site laisse présager de beaux lendemains. La première étape s’appelle Tradical. « Depuis le 1er mars dernier, nous avons un accord avec le groupe Lhoist pour distribuer les produits de cette gamme », confirme Camille Fabre, nouvelle directrice stratégie et construction durable. Dans un second temps, des synergies devraient être mises en place avec des industriels de construction hors site, tant bois que béton. Des développements à suivre… Frédéric Gluzicki
Il y a 2 ans et 267 jours

A Bauma, rien que du nouveau

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine. Quelque 3 000 exposants sont présents sur l’édition 2022 de Bauma. [©ACPresse] Décalée de six mois par rapport à la date initiale, Bauma se tient finalement à l’automne. Toujours à Munich, du 24 au 30 octobre. Quelque 500 000 visiteurs sont attendus et plus de 3 000 exposants ont réservé un emplacement. Certains d’entre eux ont choisi de révéler leurs nouveautés avant l’heure. En voici un bref aperçu. Mais c’est bien sur place que chacun pourra se faire une véritable idée des tendances du marché de la construction et de la production du béton. Dossier préparé par Frédéric Gluzicki Cifa : Deux stands, sinon rienDoka : L’échafaudage en ligne de mire Elematic : L’automatisation comme invitée vedette Faymonville : La remorque “spécial préfa”Husqvarna : Scier et ligaturer Hydronix : Mieux contrôler les sondes Liebherr : Betomix/Mobilmix revisitée Paschal : Extensions et améliorations Peri : Des innovations au programme Putzmeister : L’offensive électrique, mais pas que… SBM : La centrale économique Schwing Stetter : La relève de la gardeSipe : Un self-service en bétonTheam : T’as vu mon tapis ?Wayzz : De l’appli à la suite logicielleWirtgen : Pour une belle route en béton Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 267 jours

Diasen : Mortier renforcé de liège

Le Diathonite Thermostep.047 de Diasen est renforcé de fibres et de liège. [©Diasen] Lauréat du Grand Jury catégorie “Préserver l’environnement” des Awards de l’Innovation du Mondial du Bâtiment, Diasen présente le Diathonite Thermostep.047, mortier écologique renforcé de fibres et de liège (granulométrie de 0-3 mm). Tout en intégrant de l’argile, de la poudre diatomée et un liant hydraulique. Produit naturel, il est conçu pour la réalisation de chapes thermiques légères prêtes à l’emploi, idéales pour l’isolation des combles, des sols et des toitures ventilées. Diathonite Thermostep.047 peut être utilisé à l’intérieur comme à l’extérieur, dans le cas de rénovations ou de constructions neuves. Et permet d’isoler thermiquement les sols et structures existants. Sans alourdir la structure. La solution de Diasen est très perspirante, permettant d’isoler du froid et de la chaleur. Sa réaction au feu est classée Euroclasse A1. Sa résistance est renforcée par la présence de fibres dans la formulation. Il permet aussi de noyer les installations électriques et de plomberie. Marqué CE (EN 13813), le Diathonite Thermostep.047 peut être carrelé directement, après imperméabilisation avec un produit adapté (conforme à l’EN 14891). Batimat- Hall 1 – Stand K100 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 267 jours

Doka : L’échafaudage en ligne de mire

Doka se lance dans l’échafaudage… [©Doka] L’un des clous du stand Doka est la présentation de sa toute nouvelle activité d’échafaudage. Ceci, dans le cadre d’un partenariat stratégique avec l’industriel américain At-Pac mis en place depuis 2020. Sachant qu’At-Pac est né en 1995.  A Bauma est mis en avant l’échafaudage multi-directionnel Ringlock, qui s’articule autour d’un nœud à huit départs. L’offre compte tous les éléments nécessaires pour répondre aux besoins de la construction, quelle qu’en soit la nature. Doka présente en même temps le logiciel de gestion d’échafaudage Hi-Vis. L’univers du coffrage – raison d’être de l’entreprise – profite aussi de nombreuses innovations. Doka annonce ainsi « l’inauguration d’une nouvelle ère dans le coffrage de planchers, avec l’arrivée d’une famille de systèmes sans précédent ». Mais il faudra se rendre sur place pour en savoir plus… En revanche, on sait déjà que le coffrage-cadre Framax Xlife profite de plusieurs améliorations. Dont le lancement d’un panneau de 3 m de haut, parfait pour la construction résidentielle. Le Doka Xlight évolue de la même manière et voit la présentation de nouveaux composants permettant une utilisation du système aussi bien en coffrage de voiles que de planchers.   Le génie civil est, lui, le terrain de jeu du Doka UniKit. Poutres métalliques primaires, secondaires et tour 480 en constituant les composants de base. A assembler à loisir entre eux et/ou à intégrer à tous les autres systèmes de mâts porteurs de la marque.  Doka invite les visiteurs à tester ses solutions logicielles, dont la première s’appelle Easy Formwork Planner. Cette application mobile est destinée à rendre la planification de l’utilisation du coffrage presque intuitive. Smart Assistants, Smart Planning et Smart Site sont, elles, des solutions numériques visant à optimiser les opérations de chantier et à contribuer à l’augmentation de la productivité.  Enfin, Doka dévoile une dernière solution, lumineuse… SiteLight n’est autre qu’un support constitué de panneaux à Leds permettant l’affichage de panneaux publicitaires sur les chantiers.  Bauma – Zone extérieure FN – Stand 421 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 267 jours

Elematic : L’automatisation comme invitée vedette

Nouveau robot de positionnement des pièces de coffrage signé Elematic. [©Elematic] Le Finlandais Elematic met l’automatisation des usines de préfabrication en haut de l’affiche. Le premier à entrer en scène est le robot de positionnement des pièces de coffrage. Ceci, pour la production de murs pleins, de prémurs ou d’éléments plats. Ce robot est présenté comme le “chaînon manquant” de l’offre technologique complète d’Elematic en matière d’automatisation des process de production. Il entre aussi dans le champ d’utilisation de la suite de logiciels Plant Control. Cet élément central du passage à l’automatisation et des process de production sans papier rationalise, en effet, les opérations et les flux de travail, tout en minimisant les erreurs. Le second rôle de cette présentation est tenu par le Sawpreparer S5. Cette nouvelle famille de scies pour dalles ne se contente pas de nettoyer l’élément avant la coupe, il sait aussi tirer les torons de précontrainte, réduisant d’autant les interventions manuelles. Sa capacité de coupe va de 100 à 500 mm en profondeur et selon plusieurs angles possibles. Un carter télescopique protège la lame, ce qui réduit le bruit et bloque la projection de débris. Semi-automatique, la scie P7 constitue l’autre nouveauté dans la même famille. Elle offre une profondeur de coupe similaire.  Vient ensuite le Drillbeam E9. Cet outil de forage offre plusieurs fonctions. Non seulement il peut soulever les dalles pour les déposer sur les wagons de transport, mais ses trois forets intégrés peuvent percer en même temps et avec une précision tous les trous d’évacuation requis dans les planchers à âme creuse… Compagne du Drillbeam, le Wagon E9 est 100 % automatique et autonome, grâce à une alimentation par batterie. Des radars en assurent le guidage à travers l’usine. Bauma – Hall B1 – Stand 232 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 267 jours

Béton[s] le Magazine 102

Daté septembre/octobre 2022 A LIRE DANS CETTE EDITION : EN COUVERTURE. Architecture en béton blanc TECHNIQUES & ARCHITECTURE. Les éoliennes de Fécamp ZOOM SUR. A Bauma, rien que du nouveau FONDAMENTAUX. Juridique. Les obligations de l’architecte BETON D’ANTAN. Nicolas Esquillan. Grand ingénieur du béton Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 267 jours

Relooking intégral pour les ciments en sacs Lafarge

Les sacs Lafarge affichent dorénavant l’empreinte carbone propre à chaque ciment. [©Lafarge] Le groupe Holcim a mené un travail de longue haleine, pour aboutir à une nouvelle identité visuelle des sacs Lafarge. Il s’agit du premier chantier de refonte de packaging d’envergure internationale au niveau du groupe depuis 14 ans. Le nouveau packaging se débarrasse d’éléments non essentiels, en mettant en avant l’usage recommandé du ciment et de ses atouts clefs. Un traitement typographique unique remplace les anciens logos. La couleur historique attribuée à chaque ciment est conservée. De plus, l’indication de poids est déportée sur un côté, libérant ainsi plus d’espace. Les sacs sont ainsi plus faciles à reconnaître, grâce à une lecture immédiate de leurs qualités. En France, Lafarge dispose d’une gamme de ciments complète sur le marché avec pas moins de 10 produits. Un marquage environnemental qui évolue Afin de progresser vers une construction plus responsable, Lafarge affiche dorénavant l’empreinte carbone propre à chaque ciment. Ainsi que la réduction des émissions de CO2 comparé à un ciment Portland (CEM I). Selon les sacs, cet affichage apparaît de 2 manières. La première révèle un pictogramme en forme de flèche pour les ciments offrant une réduction de 20 % à 30 %. La deuxième applique l’Ecolabel du groupe Holcim, pour les ciments ayant une réduction supérieure à 30 %. La nouvelle forme ne change pas le fond Les ciments de la gamme Lafarge gardent la même qualité et les mêmes performances. Le nouveau design épuré et l’affichage environnemental servent à guider les clients dans le choix de produits nécessaires à leurs besoins. L’annonce de la performance carbone a aussi pour objectif de les inciter à réduire l’impact CO2 de leurs chantiers, dans le respect de la RE 2020. Une campagne 100 % digitale Avec l’aide de l’agence Fidji, Lafarge a conçu une campagne 100 % digitale pour attiser la curiosité de ses clients, maçons, particuliers et distributeurs. Sur Facebook, une campagne de teasing, volontairement décalée et qui donne peu d’indices, a été orchestrée du 23 août au 5 septembre dernier. Avant d’aboutir à une phase de révélation qui dévoile le nouveau design des sacs. Cette dernière est déployée sur une sélection des sites web de la presse spécialisée de la construction.
Il y a 2 ans et 267 jours

Cemex : Dans l’air du temps

Le béton Vertua constitue l’offre bas carbone de Cemex. [©Cemex] Les PME, traditionnels visiteurs de Batimat, doivent prévoir une halte sur le stand Cemex. En effet, l’industriel du BPE y présente ses réponses aux enjeux de la construction d’aujourd’hui et de demain. En première ligne figure son offre de bétons bas carbone Vertua. Lancée en 2018, elle affiche une réduction de l’empreinte carbone pouvant atteindre la neutralité, grâce à un système de compensation des émissions produites. Mais pour y voir clair, Cemex indique les performances de ses bétons, non plus en pourcentages, mais en poids réels d’émissions. Hors compensation, celles-ci sont inférieures à 100 kg de CO2 par m3 de béton (qui pèse 2,35 t en moyenne, pour mémoire). Le second centre d’intérêt peut être Cemex Go. Il s’agit de la plate-forme d’intégration de la relation client de l’industriel. Digitale, celle-ci permet de demander une offre de prix, d’accéder à l’historique de ses commandes, de préparer les prochaines, de suivre les livraisons en temps réel ou encore d’accéder aux documents administratifs. Enfin, chacun peut découvrir la marque Cemex Circle, qui pilote l’engagement de Cemex dans l’économie circulaire et la protection de l’environnement. Batimat – Hall 1 – Stand M122 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 267 jours

CCG Greentech : TimberRoc absorbe plus de CO2 qu’il n’en émét

TimberRoc est une solution de béton de bois aux capacités structurelles. [©CCB Greentech] Le virage du bas carbone à travers la solution TimberRoc, un béton de bois aux capacités structurelles : tel est le pari de CCB Greentech TimberRoc. C’est ainsi que, pour sa première présence à Batimat, la start-up industrielle française présente son béton de bois. Ce dernier est réalisé avec un mélange innovant composé d’eau, de plaquettes de bois broyées certifiées PEFC (à 82 %, en volume) provenant de forêts régionales. Et d’un ciment qui assure résistance et durabilité. « TimberRoc est notre béton de bois, dont 60 % de la masse est constituée de granulats additivés. Nous attendons aujourd’hui quatre Atex de cas A », indique Cédrik Longin, directeur exécutif et associé de l’entreprise. Le processus de “bois additivé”est un traitement spécial permettant de rendre compatibles les granulats avec l’eau et le ciment, de manière à former un béton stable et durable. Ainsi emprisonné dans sa matrice cimentaire, le bois additivé reste sain, conserve son CO2 et est insensible à l’humidité. Les éléments préfabriqués peuvent être stockés en extérieur. Le TimberRoc est aussi stable au feu. « Notre béton de bois TimberRoc absorbe davantage de CO2 qu’il n’en émet pour sa fabrication. A vrai dire, son bilan carbone, toujours négatif, oscille entre – 40 et – 70 kg de CO2/m2 », conclut Cédrik Longin. Batimat – Hall 1 – Stand N113 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 267 jours

Béton Mousse Technologie : Une mousse minérale dans les starting-blocks

Béton Mousse Technologie présente sa nouvelle Mousse Minérale. [©Béton Mousse Technologie] Matériau de remplissage léger, fluide et isolant, le béton mousse Aerolithys sera au centre du stand de Béton Mousse Technologie (BMT). Aujourd’hui, deux usages principaux sont à distinguer concernant ce produit. D’une part, comme ravoirage léger en bâtiment. D’autre part, comme remblai technique en génie civil. Et c’est pour cette dernière application que BMT vient de développer une centrale mobile de malaxage d’une capacité de production in situ de près de 100 m3/h… Mais c’est une autre innovation qu’il sera intéressant de découvrir. A savoir, la toute nouvelle Mousse Minérale, dont le développement vient de s’achever. « Les premiers chantiers tests ont eu lieu en septembre dernier, pour un lancement du produit début 2023 », indique Jacky Fronteau, président de BMT. Cette mousse cimentaire – dont le nom définitif n’a pas encore été calé – a été développée et formulée par Aerolithys. En plus d’un agent moussant de dernière génération, elle incorpore des liants de spécialités, dont la sélection a pu se faire grâce à l’étroite collaboration, sur le marché français, avec Imerys. Fabriquée in situ, selon un process de production très précis et maîtrisé, cette nouvelle mousse minérale est de type bas carbone, sans retrait et offre différentes durées de prise. Outre le ravoirage, le remplissage de structures préfabriquées en bois constituera un des principaux usages de ce matériau sous Avis technique de système. Batimat – Hall 1 – Stand P129 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 267 jours

Beal : 16 nouveaux coloris exclusifs

Le micro-mortier Mortex de Beal se décline en une multitude de teintes. [©Beal] Grâce à sa fine épaisseur et à son imperméabilité, le micro-mortier minéral Mortex de Beal épouse toutes les formes, s’adapte à toutes les surfaces. Et offre un look inégalable aux douches, sols, piscines, escaliers et meubles, tant intérieurs qu’extérieurs. Le catalogue Mortex compte déjà 64 couleurs. Un nuancier auquel s’ajoutent 16 nouvelles teintes spéciales dévoilées en exclusivité. « Quatre tons : Jeans, Sakura, Sequoia et Sage ont inspiré notre équipe de Recherche et Développement. Résolument dans l’air du temps, à la fois douces et audacieuses, ces couleurs modernes, mais intemporelles ont chacune été déclinées en quatre intensités », indique Beal. De la plus profonde à la plus claire, ces teintes ouvrent le champ des possibles pour réaliser des travaux de construction, de rénovation ou de décoration. « Le choix ne s’arrête cependant pas là, car votre artisan peut aussi créer la teinte que vous souhaitez, exactement telle que vous l’imaginez », conclut Beal. Batimat – Hall 1 – Stand B92 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 267 jours

Batimat : Retour aux sources

Le salon Batimat se tiendra à la porte de Versailles du 03 au 06 octobre.[©ACPresse] Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine. Après une édition annulée pour cause de Covid, le Mondial du Bâtiment fait son grand retour. Et réinvestit un lieu historique pour lui : à savoir, le Parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris. Sans doute, pour plus de convivialité. Le rendez-vous se tient du lundi 3 au jeudi 6 octobre, soit une durée raccourcie, mais avec des horaires élargis allant de 9 h 00 à 19 h 00. Pas de nocturne programmé, à chacun de profiter à sa guise de sa soirée parisienne. L’autre nouveauté est la dimension des stands : 99 m2 au maximum. Fini donc les mastodontes phagocytant l’espace et le visitorat au détriment des petits exposants. On peut donc considérer que cette édition du Mondial du Bâtiment devrait être très égalitaire… Comme tout salon professionnel, il constitue aussi et surtout une vitrine des tendances et de l’innovation. Les organisateurs ont vu les choses en grand, prévoyant un très large cycle de conférences. Enfin, des nouveautés produits sont à découvrir sur presque chaque stand. Nous vous en livrons ici un bref aperçu. Dossier préparé par Muriel Carbonnet et Frédéric Gluzicki Béton[s] le Magazine s’expose à Batimat « Vous nous avez manqué ! », pourrait être le leitmotiv de chacun des exposants sur le Mondial du Bâtiment. Après deux années bien sombres, en termes de rendez-vous professionnels – on s’en rappellera du Covid -, revoici enfin le retour de la vie en vrai. Sans écrans interposés, sans problèmes de connexion, sans poutres en faux chêne qui apparaissent en arrière-plan… C’est donc avec joie que nous nous apprêtons à vous accueillir sur notre stand numéroté P 134, au sein du Hall 1, dans la zone dédiée au gros œuvre, comme il se doit. Pour chacun de vous, c’est l’occasion de venir échanger avec l’équipe du journal, au grand complet. Pourquoi pas, d’acquérir quelques numéros plus anciens, dont l’indispensable n° 100 spécial anniversaire. Ou encore de découvrir notre superbe dictionnaire “Les bétons de A à Z”, dans sa 3e édition. Une fois que vous l’aurez vu, vous n’aurez qu’une seule envie : repartir avec ! Ça tombe bien, nous en avons encore un peu en stock, ainsi que des sacs pour faciliter son transport. Le rendez-vous est donc pris. Nous, on vous attend ! à batimat Hall 1 – Stand P134 Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine. Nouveautés Batimat Alphi : En haut du PodiumAltrad : Coffrage & Etaiement : une petite révolutionBeal : 16 nouveaux coloris exclusifsBéton Mousse Technologie : une mousse minérale dans les starting-blocksCCB Greentech : TimberRoc absorbe plus de CO2 qu’il n’en émetCemex : Dans l’air du tempsLe Cérib a le feu sacréCoffrages Cosmos : Cob+ Evo3, nouvelle banche-outilDiam Industries : Pour le sciage comme le perçageDiasen : Mortier renforcé de liègeEdilteco – CarbonCure : Maintenant en FranceEntrepose Echafaudages : Elle s’appelle… Noémi 3DHoffmann Green Cement : H-Iona à l’honneurHusqvarna Construction France : Le béton à 360°Isotex : Total GreenLayher : Toujours plus sécuriséLeviat – Plaka : Une solution “3-en-1”LPP : La tour MDS à tout niveauMills : Davantage de sécurité collectiveMT Béton : Première participationPeri : Le balcon sans contraintePRB : Un mortier sans cimentRector : Avec l’industriel TechniwoodSateco : Assembler toujours plus vite…La filière béton a des choses à direSGB – Hünnebeck : Le robot, l’escalier et le sabotTrimble : Tekla passe en version 2022Wacker Neuson : Un nouveau système d’assistanceWürth :  Evolution des écrous
Il y a 2 ans et 267 jours

Layher : Toujours plus sécurisé

Toujours moins de pénibilité avec l’Uni-Safe de Layher. [©Layher] Depuis de nombreuses années, les professionnels du secteur de l’échafaudage exigent d’avoir un chantier toujours plus sécurisé et des produits encore plus légers pour éviter les blessures des monteurs. Pour répondre à cette demande, Layher lance Uni-Safe, un système fiable, léger, économique et qui révolutionne le montage en protection collective. Inédit sur le marché de l’échafaudage, le système Uni-Safe se compose de montants comportant deux clips rouges permettant de relier les éléments les uns aux autres, de lisses, de garde-corps d’extrémité légers et de boîtiers. Grâce à ces éléments, Uni-Safe réduit les TMS, et permet de réaliser un montage et un démontage sans outil et par une seule personne. Le système est commercialisé à partir du mois d’octobre. Batimat – Hall 4 – Stand C56 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 267 jours

Isotex : Total Green

Isotex intègre désormais un isolant issu de matières premières renouvelables. [©Isotex] Depuis 1985, Isotex a réalisé près de 400 000 logements éco-soutenables dans toute l’Europe. « Depuis 30 ans, nous sommes leader dans le secteur du bois béton, point de référence pour la réalisation de bâtiments et maisons parasismiques, en éco-construction et en accord avec les nouvelles règles de bâtiment », indique la marque. La nouvelle gamme de blocs éco-durables avec insert isolant thermique Isotex Total Green (100 % dérivé des ressources renouvelables) est une innovation qui permet de réduire les émissions de CO2 de 42 %. Et de remplacer jusqu’à 100 % des sources primaires par des matières premières renouvelables, durables et certifiées. Mais aussi d’obtenir un excellent niveau d’éco-efficacité. Et enfin, d’encourager l’économie circulaire. L’insert Isotex Total Green est fabriqué avec une isolation Made of Neopor BMBcert de BASF, dérivé des sources renouvelables, et qui caractérise la gamme Isotex de produits bois-béton (blocs et planchers). Neopor BMBcert est la version Biomass Balance du polystyrène expansible graphité Neopor de BASF. Batimat – Hall 1 – Stand T107 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 267 jours

Husqvarna Construction France : Le béton à 360°

Blastrac et HTC adoptent la couleur Orange d’Husqvarna. [©Husqvarna] L’Expérience Béton 360° : voilà ce que propose Husqvarna Construction France. Il s’agit d’une offre de services complète autour des produits de la marque. Au programme, des contrats de maintenance, des offres de financement, un large réseau SAV, des formations personnalisées et certifiées Qualiopi, ou encore des solutions de gestion de flottes. Côté innovations produits, Husqvarna présente sa gamme de batteries. Celle-ci se décline en deux lignes distinctes. Tout d’abord, les modèles BLi (3 modèles). D’un faible poids, elles délivrent une puissance de 36 V. Un inducteur à 4 LED affiche le niveau de charge et chaque batterie peut être rechargée plus de 1 500 fois. Viennent ensuite les Pace (deux modèles), qui se caractérisent par une haute puissance de 94 V. L’association de ces deux types de batteries avec les outils Husqvarna compatibles assure des niveaux de puissances comparables à leur alter ego thermique. Et ce, sans générer aucune émission de CO2 et avec un bien moindre niveau sonore. Le 3e point d’entrée sur le stand est l’Evolution Orange2. Derrière ce sigle se cache l’offre pour la préparation des sols en béton. En effet, avec l’intégration de Blastrac et d’HTC sous la marque Husqvarna, de l’adoption de ses couleurs, le constructeur de matériels sait proposer à présent l’une des gammes d’équipements les plus larges du marché dans ce domaine. Enfin, Husqvarna dévoile sa nouvelle gamme de robots de démolition DXR. Des machines, dont la puissance électrique et le débit hydraulique ont été revus à la hausse (respectivement + 20 % et + 10 %). Elles profitent en même temps d’une toute nouvelle télécommande, avec écran LCD et informations en temps réels. Batimat – Hall 4 – Stand E102 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 267 jours

Hoffman Green Cement : H-lona à l’honneur

Le liant décarboné H-Iona sera la vedette du stand Hoffmann Green Cement. [©Hoffmann Green Cement] Pour sa première participation, Hoffmann Green Cement met en avant son liant H-Iona. Qui est une extension de sa gamme de ciments décarbonés. L’empreinte carbone de ce matériau est la plus faible du marché en Europe. Les émissions de CO2 sont ainsi divisées par 6, avec moins de 150 kgeqC02/t. Ce liant bénéficie du marquage CE. « En lançant H-Iona, Hoffmann Green Cement poursuit sa démarche d’innovation continue. A travers cette technologie inédite, nous démocratisons l’accès au ciment décarboné. En effet, c’est la première fois que le grand public aura l’occasion d’utiliser un ciment de notre marque », déclarent Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs. Pour ce faire, H-Iona est proposé en sacs de 25 kg, en plus d’une commercialisation en vrac et en big bags de 1t. La fabrication du H-Iona est assurée dans l’unité de Bournezeau, en Vendée. Sur la base d’un mélange de laitier moulu de hauts fourneaux et de sulfate de calcium. C’est un liant très clair de classe de résistance courante de 32,5 MPa à 28 j. Côté industriels, Hoffmann poursuit aussi ses développements. Après l’unité H1, qui a démarré sa production à Bournezeau fin 2018, juste à côté, sa grande sœur H2 est en cours d’achèvement et sera opérationnelle en novembre prochain. Tandis que l’implantation d’un 3e site de production (H3) va commencer sur le Grand Port Ma ritime de Dunkerque, à partir de 2023… Batimat – Hall 1 – Stand M108 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 267 jours

Festival : Béton ? Ca se passe au Havre !

Un festival pas comme les autres, qui mêle la découverte architecturale de la cité havraise, la musique électro et rap, et aussi la gastronomie. [©Béton Le Havre] Trois jours et deux nuits pour découvrir le festival Béton Le Havre. Le soleil s’est invité tout le week-end. La ville était en pleine effervescence ce vendredi 26 août. Date de l’ouverture du festival. Et pas de Covid à l’horizon… Un festival pas comme les autres, qui mêle la découverte architecturale de la cité havraise, la musique électro et rap, et aussi la gastronomie. Né en 2019, l’évènement est porté par l’agence Bon Esprit (Emmanuel Brochec) et le collectif Intro (Julien Burel). Au programme, une trentaine de concerts et DJs sets, des balades axées sur l’architecture de la ville, des ateliers ouverts à tous, notamment avec l’équipe des French Vikings. Et un rendez-vous désormais incontournable, le dimanche au Marché aux poissons pour la “Criée Béton”. L’église Saint-Joseph et sa tour-lanterne, qui culmine à… 107 m. Si le bâtiment affiche la teinte brute du béton armé, c’est une symphonie de couleurs à l’intérieur… [©ACPresse]Quand le maire de la ville, Raoul Dautry, lui confie le projet de reconstruction de la ville, c’est une consécration pour Auguste Perret. Il déclare : « Je vois “un front de mer” qui regrouperait tous les monuments de la cité et escorterait les navires jusqu’à leur entrée au port. De hautes tours abriteraient les bureaux des grandes compagnies de navigation, des négociants, des industriels. Elles s’élèveraient bien au-dessus des maisons, qui ne dépasseraient pas 5 ou 6 étages ». [©ACPresse]Prouesse architecturale d’Oscar Niemeyer, l’ensemble monumental de 22 m de hauteur pour le grand Volcan et de plus de 12 000 m² au total, séduit par le dialogue instauré entre ses courbes audacieuses et le cadre urbain orthogonal d’Auguste Perret. [©ACPresse]L’homme derrière le renouveau du Havre dans les années 1950, c’est Auguste Perret (1874-1954), brillant architecte, visionnaire et avant-gardiste. Ici, la tour de la mairie du Havre qui s’élève à 72 m. [©ACPresse]L’église Saint-Joseph et sa tour-lanterne, qui culmine à… 107 m. Si le bâtiment affiche la teinte brute du béton armé, c’est une symphonie de couleurs à l’intérieur… [©ACPresse]L’homme derrière le renouveau du Havre dans les années 1950, c’est Auguste Perret (1874-1954), brillant architecte, visionnaire et avant-gardiste. Ici, la tour de la mairie du Havre qui s’élève à 72 m. [©ACPresse] Un duo à la tête du festival Rappelons que Le Havre a été, en grande partie, détruite à la fin de la Seconde Guerre mondiale. C’est l’architecte Auguste Perret qui a planifié sa reconstruction avec l’idée de faire table rase du passé et d’appliquer les codes de l’architecture moderne, somme toute classique ici, avec, comme matériau de prédilection, le béton. « Je suis Havrais pure souche. Je suis un amoureux de ma ville depuis longtemps. Quand j’étais ado, autour de moi, les gens n’aimaient pas leur ville, qui était décriée. Il fallait y remédier de façon ludique et pédagogique. En 2005, Le Havre est reconnu au patrimoine de l’Unesco (la partie reconstruite d’Auguste Perret, le Volcan d’Oscar Niemeyer…) et là, le regard des habitants a changé. Par la suite, j’ai créé l’évènement I love LH, qui a duré dix ans et qui détectait les talents locaux (musiciens, peintres, sculpteurs….). En parallèle, Emmanuel Brochec a fondé Hello Birds, à Etretat, qui fait partie de la communauté urbaine du Havre. Toujours dans le but de promouvoir le territoire. Et finalement, nous avons monté ensemble Béton Le Havre en 2019. La Ville a adhéré assez rapidement au projet », raconte Julien Burel, co-fondateur du festival. Au début des années 2000, la redynamisation de l’espace du Volcan s’engage avec l’accord d’Oscar Niemeyer. On voit encore l’empreinte des coffrages. [©Ville du Havre]Au début des années 2000, la redynamisation de l’espace du Volcan s’engage avec l’accord d’Oscar Niemeyer. On peut encore voir l’empreinte des coffrages. [©Ville du Havre]Au début des années 2000, la redynamisation de l’espace du Volcan s’engage avec l’accord d’Oscar Niemeyer. Le petit Volcan est transformé par Dominique Deshoulières en bibliothèque moderne, baignée d’une lumière zénithale.[©Ville du Havre]Au début des années 2000, la redynamisation de l’espace du Volcan s’engage avec l’accord d’Oscar Niemeyer. Le petit Volcan est transformé par Dominique Deshoulières en bibliothèque moderne, baignée d’une lumière zénithale.[©ACPresse]Lors du festival Béton Le Havre, on peut découvrir lors d’une visite guidée un appartement témoin des îlots Perret, logement typique des années 1950. Dès l’entrée, vous allez trouver un espace de vie où tout a été conçu pour optimiser la lumière naturelle. [©Ville du Havre]Prouesse architecturale, l’ensemble monumental de 22 m de hauteur pour le grand Volcan et de plus de 12 000 m² au total, séduit par le dialogue instauré entre ses courbes audacieuses et le cadre urbain orthogonal d’Auguste Perret. [©ACPresse] La grande salle de spectacle du Volcan a fait peau neuve dans les années 2000. Une excellente acoustique.[©Ville du Havre] Découvrir Le Havre autrement… C’est ainsi que les concerts ont pris place au pied de la sculpture “Catène” de Vincent Ganivet. Située près de l’entrée du port du Havre, cette installation a été créée, en 2017, pour marquer le 500e anniversaire du site. Elle se compose de conteneurs maritimes colorés disposés en deux arches.C’est une vraie volonté de faire connaître le territoire et découvrir la ville sous un regard nouveau lors de visites guidées, soit par un photographe, un graffeur, un géologue, un guide touristique… On entre ainsi dans le Volcan d’Oscar Niemeyer, depuis le parvis jusqu’aux coulisses de la salle de spectacle, en passant par la bibliothèque. Au fil de la visite se dévoilent toute la sensualité du langage du maître brésilien de l’architecture et les apports de la récente restructuration. On peut aussi découvrir un appartement témoin des îlots Perret, logement typique des années 1950. Dès l’entrée, vous allez trouver un espace de vie où tout a été conçu pour optimiser la lumière naturelle. L’architecture de Perret va vous apparaître résolument “moderne”. Ou l’église Saint-Joseph et sa tour-lanterne, qui culmine à… 107 m. Si le bâtiment affiche la teinte brute du béton armé, c’est une symphonie de couleurs à l’intérieur… Ces balades architecturales permettent d’entrer dans l’intimité du Havre, et de son visage et de ses antres en béton, loin de tout cliché. Pour la future édition en août 2023, Julien Burel et Emmanuel Brochec cherchent de nouveaux partenaires. Une idée séduisante pour vous, chers amis du béton… Au programme, une trentaine de concerts et DJs sets, des balades axées sur l’architecture de la ville, des ateliers ouverts à tous, notamment avec l’équipe des French Vikings. [©Aske]Le festival Béton Le Havre, c’est un format pluriel et une trentaine de concerts et DJs sets, des balades et ateliers axés sur l’architecture de la ville. [©Aske]Au programme, une trentaine de concerts et DJs sets, des balades axées sur l’architecture de la ville, des ateliers ouverts à tous, notamment avec l’équipe des French Vikings. [©Aske]Au programme, une trentaine de concerts et DJs sets, des balades axées sur l’architecture de la ville, des ateliers ouverts à tous, notamment avec l’équipe des French Vikings. [©Aske] Plus d’information ici. Muriel Carbonnet
Il y a 2 ans et 268 jours

Entrepose Echafaudages : Elle s’appelle… Noémi 3D

Noémi 3D accompagne les projets d’échafaudages et d’étaiements. [©Entrepose Echafaudages] Entrepose Echafaudages maîtrise le métier de l’échafaudage et de l’étaiement dans son ensemble, de la conception à la mise en œuvre, en passant par les études, la vente, la location et la formation des utilisateurs. C’est ainsi qu’à Batimat, l’industriel dévoile le logiciel Noémi 3D. Cet outil accompagne et facilite les projets d’échafaudages et d’étaiements de tous les acteurs de la construction. Pour cela, une équipe informatique a été recrutée et formée au métier de l’échafaudage et de l’étaiement. Elle assure le support et la formation des clients à cet outil. Mais Noémi 3D c’est quoi ? « C’est le logiciel le plus intuitif du marché qui permet de simplifier la conception d’échafaudages à tous les niveaux pour tous les acteurs du bâtiment et de l’industrie avec nos gammes de matériels ! Grâce à une interface intuitive, la modélisation des structures en 3D devient un jeu d’enfant. En seulement quelques clics, le tour est joué », souligne la marque. Batimat – Hall 4 – Stand D42 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 268 jours

Waste Marketplace : Le recyclage en quelques clics

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine En quatre clics, Waste Marketplace propose à ses utilisateurs les meilleurs choix de prestataires, en termes de rapport qualité/prix et de taux de valorisation. [©Waste Marketplace] C’est dans le cadre du parcours Intrapreneurs de l’incubateur Leonard (animé par Vinci), que Waste Marketplace a vu le jour en 2018. Fondée par Jérôme de Tomasi, la start-up s’est spécialisée dans la gestion des déchets de chantier et industriels. Le but ? Constituer un seul et même interlocuteur et faciliter au maximum le traitement des déchets. « En quatre clics, nous proposons à nos utilisateurs les meilleurs choix de prestataires, en termes de rapport qualité/prix et de taux de valorisation, explique Jérôme de Tomasi. Nous évaluons le besoin et nous nous occupons de la mise en relation avec les bonnes filières. » La start-up se charge ainsi des démarches administratives, des devis des prestataires, des reportings précis sur les émissions de carbone générées. Mais aussi, de la traçabilité des contenants. Une façon de répondre à certaines exigences de labellisation environnementales. Toutes ces informations restent à portée de clic pour les utilisateurs. Sur leurs chantiers, ceux-ci peuvent commander des bennes adaptées aux déchets à traiter. Ils choisissent les différentes options disponibles, les horaires et renseignent les contraintes. Ensuite, l’application permet de suivre l’état de traitement des déchets et d’accéder, en temps réel, aux données de traçabilité. Les utilisateurs peuvent aussi télécharger leurs rapports consolidés et contrôlés de leur taux de valorisation. Pour assurer un bon maillage territorial, Waste Marketplace recense 500 prestataires. Sur ses plus de 3 000 utilisateurs, principalement des grands comptes. En détail, 50 % concernent l’activité bâtiment, 25 %, les travaux publics et le génie civil, et 25 %, l’industrie. « La future Rep va aider à développer les filières de recyclage et inciter à mieux trier. » Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 268 jours

Nicolas Esquillan : Grand ingénieur du béton

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine Après avoir remporté le concours du Cnit, devant Nervi et Freyssinet, il réalise, en 1955, la voûte du palais qui détient toujours le record mondial de portée, de même que celui de la plus grande surface supportée point par appui. [©ACPresse] A la différence de ses aînés qui font leur carrière comme ingénieur-conseil et donc sous leur propre nom, Nicolas Esquillan (1902-1989) a fait toute la sienne aux Entreprises Boussiron. Il reste donc méconnu, les ouvrages qu’il a conçus étant signés… Boussiron. A cela s’ajoute une réserve naturelle. « Sa bienveillance et même sa chaleur se lisaient plutôt dans l’attention qu’il portait à son interlocuteur que dans des démonstrations qui n’étaient pas dans sa nature », résume Bernard Marrey, auteur de “Nicolas Esquillan, un ingénieur d’entreprise”. Le Cnit à Paris La Défense est son œuvre la plus célèbre, même si l’on oublie souvent de lui en reconnaître la paternité, voire même de le citer ! Les Entreprises Boussiron Nicolas Esquillan entre aux Arts-et-Métiers, à Châlons-sur-Marne, en 1919. Et en sort 4e de sa promotion avec une médaille d’argent. Il restera proche du milieu Gadzarts1, dans sa vie professionnelle et dans sa vie privée. Après son service militaire qu’il termine comme sous-lieutenant artilleur, il est indécis sur son orientation. Après son service militaire, le hasard lui fait rencontrer un Gadzarts1, ami de Simon Boussiron. Lequel a orienté sa société vers le béton armé. La rencontre entre les deux hommes est concluante et il rejoint la société en 1923. A la différence de ses aînés qui font leur carrière comme ingénieur-conseil et donc sous leur propre nom, Nicolas Esquillan a fait toute la sienne aux Entreprises Boussiron. [©DR] Il devait y consacrer sa vie. Il a alors 21 ans, Simon Boussiron en a 50. « En bon chef d’entreprise, ce dernier avait peut-être flairé les qualités de son futur chef d’études. » La publication en 1899 par Simon Boussiron de formules servant à calculer la résistance du béton armé est donc d’autant plus importante que les travaux théoriques étaient encore rares. Mis à part Matthias Koenen et Gustav Adolf Wayss qui, à partir du brevet de Joseph Monier, avaient publié des notes de calcul en 1886, en Allemagne, il n’y avait que Napoléon de Tesdesco qui, en France, avait publié avec Edmond Coignet en 1894 : “Du calcul des ouvrages en ciment avec ossature métallique”. Dans les années 1930, le jeune Esquillan se voit confier des responsabilités plus grandes au bureau d’études. Simon Boussiron reçoit alors la commande d’un nouveau pont à construire sur la Seine à La Roche-Guyon (95). A 31 ans, Nicolas Esquillan a la responsabilité d’un ouvrage entier. « Pour le jeune ingénieur, c’est un coup de maître. » Avec une longueur totale de 202 m et une portée de 161 m entre les naissances des arcs, il ravit au pont Saint-Pierre-du-Vauvray (27) le record mondial des ponts en béton armé à tablier suspendu détenu par Eugène Freyssinet. Les années 1930 Dans les années 1930, le jeune Esquillan reçoit chez Boussiron la commande d’un nouveau pont à construire sur la Seine à La Roche-Guyon (95). [©Carte postale vers 1864] En ces années où la circulation routière s’intensifie, les ponts suspendus datant des années 1830 et 1840 ne sont plus capables de répondre aux besoins du trafic. En 1935, c’est le département du Lot-et-Garonne qui met au concours la reconstruction du pont de Clairac sur le Lot pour remplacer le pont suspendu de 1833. S’en suivent le pont de Saint-Sylvestre (07) et celui de La Coudette (49). Avec cette réalisation, Nicolas Esquillan remporte le record mondial des ponts-routes en bow-string en béton armé. En 1936, il est nommé chef d’études des ouvrages d’art des Entreprises Boussiron. Il en devient le directeur technique en 1941 et le restera jusqu’en 1971, année du rachat de la société Boussiron. De 1936 à 1941, il conçoit et construit une halle de marché pour Fontainebleau, sa ville natale (ouvrage démoli en 2013). Caractérisée par la minceur de sa voûte et de ses piliers en béton, ou encore par l’élégance de ses formes et de ses pavés de verre Saint-Gobain, elle est considérée par l’historien Alexandre Gady, comme un « exploit technique » et un « chef-d’œuvre méconnu » d’Esquillan. La reconstruction A la fin de la guerre, il faut rebâtir. A côté d’ouvrages entièrement détruits, il y en a de nombreux autres, plus ou moins touchés, pour lesquels une remise en état est possible. « C’était un travail ingrat, souvent obscur, qui demandait de l’ingéniosité, d’autant plus que les matériaux manquaient, l’argent aussi, et qu’il fallait aller vite. » C’est ainsi qu’en 1950, Nicolas Esquillan achève la reconstruction du pont-route de Conflans-Fin d’Oise, puis le viaduc de chemin de fer de la Méditerranée sur le Rhône. Avec 124 m de portée, ce dernier remporte le record mondial des ponts-rails en béton armé à doubles voies suspendues. Puis, il construit, en 1951, le hangar à deux nefs de l’aéroport de Marignane. Et de 1952 à 1955, il entreprend le premier grand pont-rail français en béton précontraint à La Voulte-sur-Rhône. Qui, avec ses 300 m, est alors le plus long pont du monde sous voie ferrée normale en béton précontraint. Il gagne en 1954, notamment devant Riccardo Morandi (celui du pont de Gênes…), le concours du pont d’Abidjan. De 1936 à 1941, il conçoit et construit une halle de marché pour Fontainebleau, sa ville natale (ouvrage démoli en 2013). [©Daniel Villafruela] Après avoir remporté le concours du Cnit en partenariat avec Bernard Zehrfuss et Marcel Breuer, devant Nervi et Freyssinet, il réalise, en 1955, la voûte du palais qui détient toujours le record mondial de portée, de même que celui de la plus grande surface supportée point par appui. En 1957, il réalise les pylônes du pont de Tancarville, qui remportent le record mondial de hauteur des piles de pont suspendu en béton armé. Il officie en 1961 en tant qu’ingénieur-conseil du Palais des expositions de Turin et réalise le deuxième pont d’Abidjan en 1967, ainsi que le château d’eau de La Duchère. Pour les Jeux olympiques d’hiver à Grenoble, il construit en 1968 le Stade olympique de glace, considéré comme sa dernière grande œuvre. « Dans ma conception des ouvrages, ma première recherche, essentielle, a toujours été de déterminer les points d’appui les plus judicieux, soit verticaux, soit horizontaux, et d’organiser la structure pour y conduire les forces le plus rationnellement possible, et en tous cas le plus économiquement. […] L’art de dresser un projet ne consiste pas tant à résoudre un système d’équations par le calcul, que de bien les poser après avoir imaginé toutes les hypothèses plausibles. Si une culture mathématique sérieuse est utile et nécessaire pour formuler les résultats de l’expérience, il ne faut jamais oublier que l’on n’a aucune chance de retrouver à la fin d’un calcul ce que l’on aura oublié d’introduire initialement. En d’autres termes, si le projeteur a omis un effort ou une déformation en un point donné d’une structure, le calcul ne les lui fera pas retrouver », explique Nicolas Esquillan lors d’une conférence sur l’art de construire prononcée lors de sa réception comme docteur honoris causa à l’université de Stuttgart en 1965. 1Diplômé des Arts et Métiers. M. C. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 268 jours

Juridique : Les obligations de l’architecte

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine L’architecte est tenu à une obligation de conseil. [©ACPresse] Comme toutes les professions réglementées, l’architecte obéit à un code des devoirs professionnels. Le manquement à ces règles peut constituer une faute professionnelle susceptible de sanctions. Mais quelles sont ses obligations ? Obligation générale de conseil En sa qualité de professionnel du bâtiment, l’architecte est tenu d’une obligation générale de conseil sur l’ensemble des aspects du projet et pendant toute la durée de sa mission. Il doit satisfaire à ce devoir en temps utile, afin de permettre au maître d’ouvrage de mesurer les risques et les aléas du projet2. Par ailleurs, il doit être complet et précis dans l’accomplissement de ce devoir, ne pouvant se contenter de « rares recommandations peu contraignantes et inefficaces3 ». Il doit ainsi aller jusqu’à ne pas retenir les choix du maître d’ouvrage s’ils compromettent la solidité de l’ouvrage4. Son devoir de conseil englobe deux points importants : • une obligation de se renseigner sur la destination de l’ouvrage et les souhaits de son client, même en cas de silence de ce dernier5 (par exemple, au regard de l’accessibilité aux personnes handicapées6 ou des prescriptions techniques administratives propres à certains projets7). • une obligation de collaboration avec les autres maîtres d’œuvre et les entreprises dans l’intérêt de l’opération8. Comme pour toutes les obligations professionnelles de conseil, il revient à celui qui y est soumis de démontrer qu’il y a satisfait9. Le devoir de conseil de l’architecte subsiste enfin en présence d’un maître d’ouvrage notoirement compétent10.  Obligations techniques spécifiques Lors de la conception du projet, l’architecte doit garantir sa faisabilité au regard de l’existant, notamment en tenant compte des contraintes du sous-sol ou des constructions voisines11, en étant responsable du choix des matériaux12 et du respect des règles de l’art13. Lors de la passation des marchés, l’architecte procède à l’analyse comparative des offres des entreprises, vérifie leurs qualifications et assurances14. Pendant l’exécution des travaux, il organise et dirige les réunions de chantier, coordonne les entreprises, vérifie l’avancement des travaux et leur conformité avec le marché15. A l’issue des travaux, il signale au maître d’ouvrage les désordres apparents à la réception et suit le déroulement des reprises liées aux réserves16. Enfin, il est soumis à des obligations comptables, juridiques et déontologiques classiques pour sa profession : respect du budget et vérification des décomptes, conformité aux règles d’urbanisme, de mitoyenneté et de copropriété, établissement d’une lettre de mission écrite et préalable, et obligation d’intégrité. Naturellement, il doit justifier d’une assurance décennale et d’une assurance professionnelle. Pierre LacoinAvocat à la Cour Cabinet 1792 Avocats Légendes 1Cass. 3e civ., 3 juill. 2016, n° 94-18.377.2CA Paris, 23e ch. civ., sect. A, 22 mars 2000 : AJDI 2000, p. 530.3Cass. 3e civ., 22 nov. 2000, n° 99-12.182.4Cass. 3e civ., 13 janv. 1982 : JurisData n° 1982-700043 ; JCP G 1982, IV, p. 115.5Cass. 3e civ., 30 nov. 2011, n° 10-21.273.6Cass. 3e civ., 12 oct. 2017, n° 16-23.982.7Cass. 3e civ., 9 mai 2015, n° 14-13.178.8Cass. 3e civ., 2 juin 2016, n° 15-16.981.9Cass. 3e civ., 17 déc. 2013, n° 12-28.019.10Cass. 3e civ., 23 mars 2017, n° 15-16.077.11Cass. 3e civ., 24 mai 1989, n° 87-19.169.12Cass. 3e civ., 20 oct. 1993, n° 92-10.782.13Règles qui correspondent à l’état de la technique au moment de la conception et de la réalisation de l’ouvrage. Elles sont pour partie codifiées, notamment dans les DTU et les normes Afnor - (CE, 5 févr. 1998, n° 35687, Ville de Paris/Sté Linville).14Cass. 3e civ., 17 déc. 1997, n° 96-11.83.15CA Metz, 22 sept. 2015, n° 13/02233.16Cass. 3e civ., 30 oct. 1991, n° 90-12.993. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 268 jours

Edilteco – CarbonCure : Maintenant en France

CarbonCure permet l’injection de CO2 dans le béton frais. [©Edilteco] Edilteco devient le distributeur exclusif en France, en Italie et au Benelux de la start-up canadienne CarbonCure. L’industriel s’occupe ainsi de la mise en relation, mais aussi de l’installation, de la maintenance et du SAV des “box”. Dans le détail, la technologie demande la mise en place d’une cuve de CO2, qui sera alimentée en gaz par un fournisseur local. Cette cuve est reliée au malaxeur de la centrale à béton. Quant aux “box”, elles sont installées au niveau du poste de commande et sur la cuve à CO2. Ces concentrés de technologie permettent à la start-up, d’une part, de récupérer les datas dans ses serveurs, de vérifier et de prévenir les centraliers en cas de problème 24 h/24. Et, d’autre part, pour la centrale, de doser le CO2 injecté dans le malaxeur en fonction de la formulation de béton établie. A l’intérieur du malaxeur, le carbone à l’état liquide se transforme en neige et forme du carbonate de calcium une fois mélangé avec les composants classiques du béton. Avec ce procédé, le béton devient un exutoire pour le CO2. A l’heure actuelle, deux unités de ce type sont déjà en service sur le territoire français et une 3e devrait être installée prochainement… Par ailleurs, Edilteco profite du rendez-vous de la porte de Versailles pour mettre en avant sa nouvelle gamme “Green”. Elaboré à partir de polystyrène recyclé, Politerm R est en le premier produit natif. Dans le respect de la démarche d’économie circulaire, les chutes de PSE issues de blocs et panneaux sont récupérées, broyées, recalibrées et ensachées pour un produit final 100 % recyclé. Hall 1 – Stand N66
Il y a 2 ans et 268 jours

Diam Industries : Pour le sciage comme le perçage

Le disque diamant STX s’inscrit dans la gamme “béton” de Diam industries. [©Diam Industries] Cette année, Diam Industries s’expose à Batimat, mais aussi à la Bauma de Munich. Et il y vient avec deux nouveautés principales. La première s’appelle STX. Il s’agit d’un disque diamant qui se décline en cinq diamètres de coupe : 120 mm, 230 mm, 300 mm, 350 mm et 400 mm. Les segments à grains de diamant présentent une hauteur de 15 mm, garantissant une longue durée d’utilisation du disque. Le STX s’inscrit dans la gamme “béton” et reste apte à la découpe du… béton, du béton armé, de la pierre de bordure et du granite. Il vient remplacer le disque X-Force. Toujours au rayon “découpe”, Diam Industries dévoile la couronne à sec SD6 pour carotteuse à percussion. L’outil s’articule autour d’un tube de 30 cm de haut. Selon le diamètre, qui va de 42 mm à 202 mm, il bénéficie de 3 à 9 segments diamantés d’une hauteur de 10 mm. La couronne SD6 est adaptée aux matériaux durs que sont le béton, armé ou non, la brique ou encore le béton cellulaire. Hall 4 – Stand E150
Il y a 2 ans et 268 jours

Pathologie : La carbonatation

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine 1 – Qu’est-ce que la carbonatation ? Fig. 1 – Cristal de portlandite non carbonaté (microscopie électronique à balayage, MEB). 1 = portlandite non carbonatée, 2 = C-S-H. [©Lerm] La carbonatation est un phénomène de vieillissement naturel des matériaux à base de liant hydraulique minéral. Ce phénomène conduit à la formation de carbonates de calcium par réaction entre les hydrates de la pâte de ciment (la portlandite et les silicates de calcium hydratés communément appelés C-S-H et le dioxyde de carbone (CO2), présent dans l’atmosphère à un taux moyen de 0,035 % en volume. Ce taux est plus important en milieu urbain qu’en milieu rural. Cette réaction entraîne la consommation de bases alcalines présentes dans la solution interstitielle des bétons aboutissant à une diminution du pH, qui passe d’une valeur de 13 à une valeur inférieure à 9. D’un point de vue chimique, les principales réactions se présentent ainsi : Portlandite : Ca(OH)2 + CO2 à CaCO3 + H2OSilicates de calcium hydratés : xCaO.ySiO2.zH2O + xCO2 à xCaCO3 + ySiO2,zH2O La cinétique de carbonatation de la pâte de ciment des bétons, qui évolue suivant une fonction en racine carrée du temps, est dépendante de l’humidité relative environnante. Elle est maximale pour une humidité relative comprise entre 60 et 80 %. Au-delà de 80 %, la cinétique diminue rapidement pour atteindre des valeurs très faibles, lorsque les pores sont saturés d’eau, sachant que la diffusion du CO2 dans l’eau est 10 000 fois plus faible que dans l’air. A l’opposé, si un béton est placé dans un environnement très sec, la quantité d’eau présente dans les pores est insuffisante pour dissoudre le dioxyde de carbone. La cinétique de carbonatation est donc faible à très faible, lorsqu’un béton est immergé ou lorsqu’il est placé dans un environnement très sec. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 268 jours

Pas-de-Calais : Une réception en grande pompe chez Transports Dacquin

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine De gauche à droite, Gérald Dulary, pompiste, Guillaume Roelandt, technicien SAV Liebherr, William Siffert, responsable commercial Liebherr, Yvan Schmitt, responsable du service pompe Liebherr, Arnaud Haudiquet, directeur de l’exploitation des Transports Dacquin, Ghislain Dacquin, fondateur de l’entreprise, Clémence Dacquin, Dg de l’entreprise. [©ACPresse] Sous un ciel couvert, une flèche blanche se détache dans le paysage de Marconnelle. Il s’agit de la nouvelle pompe à béton Liebherr 36 M5 XXT acquise par les Transports Dacquin. Montée sur un porteur Mercedes Arocs 3 essieux d’un PTAC de 26 t, cette nouvelle machine présente une longueur de 10,34 m pour une hauteur minimale de dépliage de 7,20 m. Elle offre une capacité de 167 m³/h. Et sa cinématique 5 bras en “M” facilitera son utilisation sur les chantiers. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Hauts-de-France Particularité de la pompe Une des particularités de la machine est sa stabilisation adaptative. « Nous sommes les seuls à pouvoir coller le stabilisateur à la cabine d’un côté, à l’avant comme à l’arrière, afin d’avoir une largeur de stabilisation qui ne dépasse pas les 4,90 m de large. L’autre avantage se situe au niveau de la trémie. Là, le tuyau en “S” profite d’un double amortissement en fin de course du vérin de basculement. Ainsi, la pompe bouge beaucoup moins et le pompage est plus souple et silencieux », détaille William Siffert responsable commercial Nord/Est et Auvergne Rhône Alpes chez Liebherr. Cette nouvelle acquisition rejoint une pompe Putzmeister de 47 m, achetée en 2017. Elle remplace une 32 m plus ancienne, tout juste revendue à une société hollandaise de négoce. « La nouvelle 36 m est plus demandée et elle permet d’élargir notre gamme, d’autant plus que nous allons recevoir notre 3e pompe, une 28 m, d’ici la fin du mois d’août. Celle-ci va faire exactement le même travail que la 32 m », conclut Clémence Dacquin, Dg de l’entreprise éponyme. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 269 jours

Holcim relève le défi de l’eau

Holcim compte réduire sa consommation d’eau douce sur l’ensemble de ses activités. [©ACPresse] Selon l’ONU, nos besoins en eau vont augmenter de 50 % à l’horizon 2030. Aujourd’hui, trois milliards de personnes n’ont pas accès à cette ressource vitale. Par conséquent, Holcim souhaite relever deux des défis les plus urgents au niveau planétaire : la sécurité de l’eau et le changement climatique. Le cimentier suisse rejoint ainsi la “50 l Home Coalition”1 et la “Water Resilience Coalition”2, afin de réduire la consommation d’eau et de protéger les ressources en eau douce dans le monde. « Le développement durable étant au cœur de tout ce que nous faisons, je suis heureuse que nous ayons rejoint la “50 l Home Coalition” et la “Water Resilience Coalition”, déclare Magali Anderson, responsable en chef du développement durable et de l’innovation du groupe. En nous associant à des organisations partageant les mêmes idées sur la gestion de l’eau, nous pouvons avoir un impact positif sur l’environnement. De telles adhésions renforcent réellement notre vision du progrès pour les gens et la planète. » Une gestion minutieuse Holcim utilise l’eau dans de nombreux processus de production. Pour laver les roches dans les carrières, comme matière première dans la production de béton et comme agent de refroidissement dans la fabrication du ciment. Toutes leurs centrales à béton et toutes leurs carrières disposent d’un circuit fermé, qui permet de réutiliser l’eau récupérée pour la production. En tant que membre principal de la “50 l Home Coalition”, le groupe cimentier souhaite améliorer l’efficacité de l’utilisation de l’eau en milieu urbain. Et développer une gestion stricte de cette ressource avec des indicateurs clairs et des mesures ciblées. D’ici 2030, Holcim compte réduire sa consommation d’eau douce sur l’ensemble de son activité. Une baisse de 33 % de son utilisation d’eau dans la fabrication de ciment, de 20 % dans celle des granulats et de 15 % dans le béton prêt à l’emploi. 1Plate-forme mondiale d’actions pour lutter contre la crise de l’eau en milieu urbain et relever les défis du changement climatique. 2Coalition qui a pour mission de propulser l’accès à l’eau potable en tête des priorités des entreprises.
Il y a 2 ans et 270 jours

Saint-Gobain intègre GCP Applied

GCP Applied Technologies apporte ainsi à Saint-Gobain une plate-forme mondiale reconnue dans les additifs pour ciment, les adjuvants pour béton et les solutions pour les infrastructures. [©GCP Applied Technologies] Nous l’avions publié fin 2021, Saint-Gobain annonçait alors l’acquisition de GCP Applied Technologies pour 2 Md€. L’industriel français vient d’obtenir les autorisations des autorités compétentes de la concurrence pour le rachat de ce spécialiste de la chimie de la construction. L’opération sera finalisée le 27 septembre prochain. GCP Applied Technologies apporte ainsi à Saint-Gobain une plate-forme mondiale reconnue dans les additifs pour ciment, les adjuvants pour béton et les solutions pour les infrastructures. Cette acquisition constitue une étape décisive pour Saint-Gobain, qui veut devenir un spécialiste mondial de la chimie de la construction.
Il y a 2 ans et 270 jours

Consuelo Méndez, nouvelle directrice générale de Peri France

Le 1er octobre prochain, Consuelo Méndez, deviendra la nouvelle Dg de Peri France . [©Peri France] Actuellement directrice générale adjointe de Peri France, Consuelo Mendez deviendra directrice générale de la filiale française du groupe éponyme, à compter du 1er octobre 2022. Consuelo Méndez officie chez Peri depuis 14 ans et a passé ses 25 dernières années dans le BTP. Bénéficiant d’une grande expérience dans le domaine des coffrages et des échafaudages, elle est restée 8 ans au sein de Peri Espagne, avant de rejoindre Peri France en 2015. « Après plus de 9 années passées à la tête de Peri France, je suis très heureux de passer le relais à une femme de talent. Consuelo est depuis 14 ans dans le groupe Peri, d’abord en Espagne. Puis chez Peri France depuis 2015, où elle a occupé avec brio des fonctions de directions commerciales et de direction d’agence. Consuelo donnera, sans aucun doute, un nouvel élan à Peri France. Je lui souhaite pleine et entière réussite dans cette nouvelle fonction », déclare Jean-Michel Gueguen, actuel directeur général de Peri France. Consuelo Méndez fera ses premières armes en tant que Dg, sur le salon Batimat (Pavillon 4 – Stand F12).