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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Acpresse Béton

(3884 résultats)
Il y a 4 ans et 44 jours

Holcim reste bien et Lafarge s’en va !

LafargeHolcim devient Holcim tout court. [©Holcim] C’est donc bien la fin d’une histoire qui a été actée ce 4 mai 2021. Les actionnaires du groupe de LafargeHolcim ont voté en faveur du changement de nom. Exit LafargeHolcim, (re)bonjour Holcim. Ce changement d’identité s’applique uniquement pour ce qui est du nom du groupe cimentier. Toutes les marques (locales) du marché sont conservées. Ainsi, en France en particulier, Lafarge va poursuivre son existence. Quant au nouveau nom du groupe, il deviendra effectif dès son inscription au registre du commerce. Cette évolution intervient alors que le groupe cimentier se transforme pour devenir le leader mondial des solutions de construction innovantes et durables. D’où cette recommandation de simplification demandée par le conseil d’administration, pour plus d’efficacité et d’impact.
Il y a 4 ans et 49 jours

Découvrez les nouveautés Massia-Laboratoire

Pour ceux qui ne le connaissent pas encore, Massia-Laboratoire est le nouveau logiciel d’Arcade pour le contrôle qualité des matériaux de construction et de leur mise en œuvre. Il se décline en plusieurs métiers : bétons, granulats, enrobés, TP, Terrassement, … Vous l’ajustez au plus proche de votre activité, en choisissant de n’en prendre qu’un ou d’en concilier plusieurs. Il est entièrement paramétrable et modulable ce qui apporte une force d’adaptation et d’évolution.  Massia-Laboratoire propose aussi des fonctionnalités transverses, telles que : la métrologie : gestion des appareils de mesure ; suivi de leurs interventions d’entretien et de maintenance ; lien avec les essais réalisé,les calendriers : planification de la réalisation des essais, des interventions métrologiques et de toute autre tâche ; actualisation automatique avec ce qui a été fait : en lien avec des journées travaillées, des jours ou des volumes de production,les certifications et accréditations : gestion des accréditations et certifications sites (ISO 9001 par exemple), produits (marque NF, marquage CE par exemple), essais (COFRAQ par exemple) ; mise en évidence des éléments certifiés ou accrédités. Afin de faciliter et fiabiliser l’insertion des données, Massia-Laboratoire, s’interface avec différents appareils de mesure et outils de production. Sans oublier Massia-Labo Mobilité, l’application mobile pour saisir depuis votre smartphone ou tablette vos prélèvements et les retrouver automatiquement dans Massia.  Enfin, dernière nouveauté, après les métiers granulats et bétons, c’est le métier enrobés qui entre en matière ! Présent, aujourd’hui chez une trentaine de clients, l’éditeur de logiciel projette que d’ici la fin de l’année, Massia-Laboratoire équipera plus de 200 sites.  Pour plus d’informations, n’hésitez pas à contacter Arcade. Pour cela plusieurs canaux possibles : En visitant le site web d’Arcade où vous retrouverez des informations sur les logiciels ainsi qu’un formulaire de contact : https://www.arcade.fr/.En contactant directement le service commercial : par e-mail a.ladet@arcade ou par téléphone 04 67 77 52 50. Pensez à suivre la page LinkedIn d’Arcade afin d’être tenu au courant des actualités de l’entreprise.
Il y a 4 ans et 49 jours

Fliegl Baukom, la centrale en libre service !

La société Fliegl, fabricant de matériel agricole, de travaux publics et routiers depuis 1970, propose une gamme complète de malaxeurs à béton (300 l à 1400 l), ainsi que des centrales mobiles (1400 l à 2500 l) et centrales autonomes BTS (15 m³ à 25 m³/h).La centrale autonome BTS utilise un principe de fonctionnement simple, en libre-service pour les particuliers et professionnels. Grâce à un approvisionnement rapide des clients et la possibilité de créer jusqu’à 100 formules de béton spécifique, en petite quantité de (150 l jusqu’à 3 m³), la centrale BTS permet de convenir au besoin du plus grand nombre. De plus, les différentes possibilités d’automatisation et de configuration rendent le fonctionnement de la centrale polyvalente afin de répondre à chaque objectif stratégique et commercial.
Il y a 4 ans et 50 jours

Pénuries sur les matières premières : La Filière Béton résiste

Philippe Gruat est le président de La Filière Béton. [©La Filière Béton] Depuis plusieurs mois, le secteur des matériaux de construction est touché par une hausse des coûts de matières premières, voire de pénurie… Les différents syndicats et regroupements de professionnels alertent sur ces phénomènes qui impactent toute la chaîne de valeur. En effet, les tensions actuelles sur les matériaux et leur disponibilité (bois d’œuvre, plastiques…) suscitent de nombreuses inquiétudes. Notamment dans la construction neuve. A ce niveau, La Filière Béton rappelle que la disponibilité du matériau béton reste stable. Ceci, en raison de sa dimension locale. En effet, le béton est un produit disponible immédiatement. Puisque celui-ci est fabriqué à partir de matériaux de proximité. Puis, transformés localement et acheminés en circuits courts. Ainsi, le béton permet de construire les territoires, avec les matériaux des territoires. Pourvu que cela dure… Grâce à ce modèle de production locale, La Filière Béton n’est pas soumise aux tensions du marché international. Car elle est indépendante des incertitudes liées aux importations. Cette organisation de la production répond aux exigences de maîtrise des coûts et des délais d’approvisionnement. Dans ce cadre, les solutions béton s’inscrivent plus que jamais dans une démarche multi-critères : mixité des matériaux, durée de vie, confort, optimisation structurelle et disponibilité locale… Ce qui leur confère de nombreux atouts et leur permet d’éviter les surcoûts et de construire en volume, sans être touchées par les questions de pénuries. Pourvu que cela dure…
Il y a 4 ans et 50 jours

Enscape enrichit Enscape 3.0 à destination des architectes

La nouvelle mouture d’Enscape s’offre un tout nouveau look qui aidera les architectes à concevoir et à visualiser leurs projets de manière plus intuitive. [©Enscape] Fournisseur allemand de logiciels de rendus et de visualisation 3D en temps réel pour les architectes, Enscape enrichit Enscape 3.0. Avec une interface utilisateur entièrement repensée et très intuitive, les concepteurs peuvent créer des rendus en quelques clics, sans aucune formation préalable. Ce logiciel permet de réaliser des visualisations 3D de haute qualité, à partir de données de planification existantes. De plus, des vidéos, des images panoramiques… peuvent être dérivées automatiquement. Les nouvelles fonctionnalités d’Enscape 3.0 L’objectif d’Enscape 3.0 est d’offrir la possibilité d’intégrer les visualisations réalistes dès le début du processus de conception. Ainsi le plug-in Enscape 3.0 les génère en un seul clic, sans étapes intermédiaires, ni exportation ou importation de différents formats de fichiers. Toutes les modifications apportées dans le logiciel de CAO sont instantanément visibles. Les nouvelles fonctionnalités d’Enscape 3.0 s’articulent autour de 5 axes. D’abord, une refonte de l’interface utilisateur, pour un fonctionnement intuitif avec des pas à pas. Puis, une plus grande diversité de ressources. Egalement, une meilleure gestion des téléchargements avec plus de moyens de partager, de gérer et d’organiser les téléchargements. Ensuite, un rendu par lots pour Vectorworks, qui permet désormais un rendu des groupes d’images en une seule fois. Enfin, une amélioration du rendu des surfaces réfléchissantes. « Rendre le bâtiment mais aussi tout ce qui l’entoure et le compose, tangibles, c’est ce que nous rendons possible avec Enscape 3.0. Nos clients du monde entier sont enthousiastes à l’égard de sa simplicité et de son intuitivité. Les architectes et les designers peuvent intégrer des visualisations architecturales dans leur processus de planification et ainsi optimiser le processus de conception »,souligne Christian Lang, Pdg d’Enscape.
Il y a 4 ans et 50 jours

Le Trophée Sécurité 2021 du Sfic récompense 4 cimenteries

La cimenterie LafargeHolcim Port-la-Nouvelle a été distinguée du Trophée Sécurité du Sfic [©ACPresse] Le Sfic récompense les bonnes pratiques en matière de prévention des risques professionnels. Afin de mettre en lumière et d’encourager les initiatives et les engagements des industriels, le syndicat a initié le Trophée Sécurité. Ceci, depuis plusieurs années. Pour l’édition 2021, trois cimenteries ont été distinguées : LafargeHolcim Port-la-Nouvelle dans l’Aude, LafargeHolcim Contes en Charente-Maritime et Ciments Calcia Beaucaire dans le Gard. Une quatrième a reçu le prix spécial “Bonnes Pratiques” : LafargeHolcim Saint-Pierre-La-Cour, dans la Mayenne. En matière de sécurité, l’industrie cimentière apparaît ainsi comme exemplaire. Ceci, avec un bilan sécurité comparable à celui du secteur de la banque et de l’assurance.
Il y a 4 ans et 50 jours

Nomination du nouveau directeur GCC Ile-de-France 2

Francis Castagné devient le directeur de GCC Ile-de-France 2. Il succède à Guillaume Girault. [©GCC] En France, GCC, groupe indépendant, fait partie des 10 premières entreprises du secteur du BTP. Aujourd’hui, afin de continuer son développement, il vient de nommer Francis Castagné au poste de directeur GCC Ile-de-France 2. Il Celui-ci prend la tête d’une agence qui gère de nombreux chantiers en cours. Cette dernière est connue pour avoir réalisé l’extension du centre commercial Vélizy 2, le siège de Nestlé et l’école centrale Supélec. Elle est l’une des plus importantes du pôle construction de GCC. Elle compte 140 collaborateurs. Francis Castagné sera rattaché à Eric Delineau, directeur régional des ouvrages fonctionnels. Ainsi, il succède à Guillaume Girault, qui  devient directeur régional Centre – Val-de-Loire. Francis Castagné aura pour mission de continuer la gestion de chantiers importants, tels que l’Arboretum de Nanterre et l’hôtel Citizen M à Paris.  Son parcours  Francis Castagné a obtenu un diplôme de l’Ecole du bâtiment et des travaux publics de Vincennes. Il est aussi détenteur d’une licence de management et de gestion d’entreprises du BTP, qu’il a obtenue en 2020.  En 1987, il débute sa carrière au sein de l’entreprise SCREG Screg EPI où il a occupé le poste de conducteur de travaux. C’est en 1990 qu’il devient responsable d’opérations en entreprise générale, marchés privées et publiques publics chez de Screg Bâtiments. Francis Castagné intègre ensuite la société Ballestrero comme responsable de production. Il rejoint ensuite Bouygues Bâtiment Ile-de-France en 2020, en qualité de directeur de projet, puis de directeur de travaux. 
Il y a 4 ans et 50 jours

Le SNBPE nomme le nouveau président du collège BPE Nouvelle-Aquitaine

Le SNBPE nomme Pascal Barylo en tant que président du collège BPE Nouvelle-Aquitaine. [©SNBPE] Le SNBPE annonce l’élection de Pascal Barylo au poste de président du collège BPE Nouvelle-Aquitaine. Il prend ainsi la suite de Noël le Floch, qui est appelé à d’autres fonctions au sein du groupe LafargeHolcim. « Je tiens d’abord à remercier mon prédécesseur et tous les permanents pour le travail accompli, ainsi que les adhérents pour leur confiance. Je ne fais que prolonger le trait d’unité qui nous anime toujours en Nouvelle-Aquitaine avec les adhérents qui fédèrent une vision métier et produit exceptionnelle », explique Pascal Barylo. Le SNBPE est mobilisé autour des thématiques liées à la sécurité ou à l’environnement. Le syndicat souhaite aussi que la profession ne soit pas écartée des objectifs de la RE 2020. Pascal Barylo désire axer ses missions autour de l’importance de la mixité des matériaux. Pour lui, les défis énergétiques de demain sont une priorité et il souhaite les relevés. « Il n’y a pas de guerre des classes entre matériaux. Nous sommes tous au service de l’environnement »,indique Pascal Barylo. Son parcours Pascal Barylo est diplômé de l’Ecole des Mines d’Alès. En 1992, il débute sa carrière au sein du groupe GSM. Il y occupe plusieurs postes : chef de département, commercial ou même directeur. Il rejoint ensuite Unibéton en 2015, en qualité de directeur régional Ouest Pays de Loire. C’est en avril 2018 qu’il est nommé directeur régional Sud-Ouest, toujours chez Unibéton.
Il y a 4 ans et 51 jours

Bauma reportée à l’automne 2022

La Bauma est reportée au mois d’octobre 2022. [©ACPresse] Bauma, le salon n° 1 des machines de construction, est reporté à l’automne 2022 et devrait se tenir, à Munich, en Allemagne, du 24 au 30 octobre 2022. C’est le résultat de nombreuses discussions entre Messe München, les principaux représentants de l’industrie et le conseil consultatif de Bauma. Cette décision donne aux exposants et aux visiteurs une base de planification plus sûre pour préparer le salon. « Bien entendu, la décision de reporter Bauma n’a pas été facile pour nous, souligne Klaus Dittrich, Pdg de Messe München. Mais nous devions le faire maintenant, avant que les exposants ne commencent à planifier leur participation. En effet, malgré la campagne de vaccination lancée dans le monde, il n’est pas encore possible de prédire quand la pandémie sera sous contrôle et si les voyages illimités dans le monde seront à nouveau possibles. » Une option cruciale pour le succès du salon. 500 000 visiteurs originaires de 200 pays Au départ, Bauma devait se tenir du 4 au 10 avril 2022, dates qui comportaient trop d’incertitudes au vu de la pandémie mondiale de Covid-19. Toutefois et malgré cette situation, l’attente de l’industrie et le niveau de réservation restent très élevés. Aussi, les exposants mondiaux, qui attendent des clients du monde entier, ont plaidé pour un report. Avec cette décision, ils ont à leur disposition une base de planification plus sûre. Tout comme les visiteurs.   Pour mémoire, la dernière édition de Bauma, en avril 2019, a accueilli quelque 500 000 participants, venus de plus de 200 pays. « Même sans crise sanitaire, les entreprises doivent relever des défis, tels que la numérisation, les chantiers autonomes et la durabilité. Mais aussi se tenir au courant des changements pour éviter de prendre du retard », plaide Joachim Schmid, Dg de la VDMA, l’association allemande des équipements pour la construction. Et de conclure : « Pour cela, elles ont besoin de la Bauma comme baromètre de l’innovation. En octobre 2022, nous nous retrouverons tous à Munich. » Chacun espère qu’il sera entendu… Petit détail de dernière minute, mais qui a son importance : l’Oktoberfest – que l’on désigné sous le nom de “fête de la bière” – aura lieu du 17 septembre au 3 octobre 2022. Compte tenu du nombre de personnes que cette manifestation attire attire chaque année, il est bien qu’elle ne se télescope pas avec Bauma… Et tant pis pour les amateurs de bière qui aurait sans doute aimer faire d’une pierre deux coups !
Il y a 4 ans et 52 jours

Avis technique pour le Deltivoutain+CI d’Edilteco

Deltivoutain+CI d’Edilteco bénéficie désormais d’un Avis technique du CSTB. [©Edilteco] Deltivoutain+CI&nbsp;(pour correcteur intégré) est un entrevous à rupteur de pont thermique intégré. Très fonctionnel, ce rupteur est intégré en sous face dès la fabrication de l’entrevous. Il offre une correction thermique&nbsp;Up&nbsp;< 0,27&nbsp;W/m2.K. Il est&nbsp;sécable et se casse aussi à la main. Brevetée, cette solution bénéficie désormais d’un Avis technique du CSTB. Ce dernier est délivré par les groupes spécialisés 3.1 (Planchers et accessoires de plancher) et 20 (Produits et procédés spéciaux d’isolation). Cet Avis technique garantit la durabilité, ainsi que l’efficacité du correcteur de ponts thermiques. En parallèle, les professionnels du BTP ont plébiscité le&nbsp;Deltivoutain+CIpar le biais de la 9eédition du concours Sageret, qui vise à élire les meilleurs produits du secteur. Ils ont décerné à Edilteco France le label “Elu innovation par les professionnels du BTP”, dans la catégorie “Structure, Façade, Maçonnerie”. Ce concours est une distinction qui salue la force novatrice de l’entreprise en matière technique et technologique.
Il y a 4 ans et 52 jours

Oduc+ du Cérib passe en version 4.0

Logiciel de dimensionnement 4.0 du Cérib. [©Cérib] Le 16 avril dernier, le Cérib a lancé la version 4.0 d’Oduc+, son logiciel de dimensionnement des ouvrages de stockage des eaux pluviales en béton. Cet outil est accompagné des principales évolutions introduites par le memento technique “Conception et dimensionnement des systèmes de gestion des eaux pluviales et de collecte des eaux usées”. Un document édité par l’Association scientifique et technique pour l&rsquo;eau et l&rsquo;environnement (Astee).  Une version 4.0 d’Oduc+ Elaboré avec la Fédération de l’industrie du béton (Fib), le logiciel Oduc+ du Cérib accompagne tous les professionnels de l’assainissement. Dans la conception et le dimensionnement hydraulique mécanique des réseaux d’assainissement. Il permet aussi l’évaluation de leur impact environnemental et de leurs coûts de mise en œuvre. Cette nouvelle version 4.0 évalue du volume de stockage d’un bassin d’infiltration ou de rétention pour une restitution à débit contrôlé. Ceci, pour les différents niveaux de service et en utilisant les données de pluies réelles ou à défaut forfaitaires. En se servant des aides proposées par le logiciel. Cette application ergonomique et interactive pré-dimensionne des ouvrages de stockage des eaux pluviales. Et de choisir les revêtements perméables destinés à la collecte en amont des eaux pluviales. Pour en savoir plus
Il y a 4 ans et 56 jours

Rendez-vous de la matière

Salon professionnel consacré aux matériaux innovants pour l’architecture, le design, la décoration et l’aménagement d’intérieur
Il y a 4 ans et 56 jours

Eqiom renouvelle son adhésion au dispositif Fret21

Eqiom ambitionne de réduire de 15 % les émissions de CO2 de ses transports. [©Eqiom] Après une première adhésion en 2017, Eqiom reconduit le défi du dispositif Fret21, sur 3 ans. Ceci, avec l’objectif de réduire de 15 % les émissions de gaz à effet de serre de ses transports. Ce renouvellement s’inscrit dans la démarche Eqiom R “Construisons durable”. En effet, en janvier dernier, Eqiom annonçait la création de la nouvelle bannière Eqiom R, qui donne corps à l’ensemble de ses actions en matière de construction durable. Plusieurs initiatives issues d’Eqiom R pour réduire les émissions de CO2 ont été mises en place au niveau de la production, des process, de l’économie circulaire. Mais aussi des transports et de la logistique. « Nous nous alignons sur les demandes de nos fournisseurs et de nos clients. Et nous leur proposons des solutions pour réduire l’empreinte carbone de l’ensemble de la chaîne, se félicite Jérôme Becamel, responsable logistique d’Eqiom, en charge du rail et du shipping, et référent Fret21.&nbsp;Pour ce deuxième round, nous nous sommes concentrés sur les flux de transport intersites et aval du ciment et des granulats.&nbsp;»
Il y a 4 ans et 56 jours

Toupret s’offre le Polonais KMK Gips

Avec l’acquisition du fabricant polonais KMK Gips, le groupe Toupret montre sa croissance en Europe de l’Est. [©Toupret] Depuis sa création en 1938, le groupe français Toupret fabrique des enduits de préparation et de décoration des murs. Il dispose de trois sites de production en France, ainsi que des filiales à l’international. Présent en Pologne depuis quelques années, le groupe signe aujourd’hui le rachat de KMK Gips. Qui est un fabricant polonais d’enduits en poudre et en pâte.  Avec l’acquisition de cette entreprise sur le marché polonais, le Français poursuit son objectif de croissance à l’international. Et son développement en Europe de l’Est. L’achat de KMK Gips permet à Toupret d’intégrer une nouvelle unité de production en Pologne. Cette usine permettra au groupe d’étendre ses capacités de production. Et de répondre aux attentes des marchés professionnels, ainsi que du DIY (Do It Yourself1).  Une étape majeure du plan de développement Située à Kamiensk, au Sud de Varsovie, elle viendra compléter l’organisation existante de Toupret Polska. Cette filiale est dirigée par Adam Kreglewski, directeur des opérations commerciales. « Nous sommes ravis de cette annonce et nous sommes certains que cela permettra au groupe de déployer la marque Toupret en Pologne. Pays où elle est déjà bien implantée et connue comme la marque de référence des enduits de préparation des murs », précise Adam Kreglewski. Et Gary Haworth, directeur général du groupe Toupret, de poursuivre : « Lors de l&rsquo;ouverture de notre nouvelle usine et de notre plate-forme logistique de Tigery, en Ile-de-France, en 2020, nous avions annoncé un plan stratégique important avec des investissements à hauteur de 20 M€ sur 5 ans. L&rsquo;acquisition de KMK Gips constitue aujourd&rsquo;hui une des étapes majeures de ce plan de développement ». 1Fais le toi-même. Charline David&nbsp;
Il y a 4 ans et 56 jours

Pollutec

L'événement de référence des professionnels de l'environnement, une vitrine des solutions environnementales pour l'industrie, les villes et territoires, et un tremplin pour les innovations du marché et le développement à l'international.
Il y a 4 ans et 57 jours

Colloque le Pont

Manifestation qui a pour thème le changement climatique et les ouvrages de génie civil.
Il y a 4 ans et 58 jours

Un nouveau directeur pour l’activité “toitures” de Sika

Sébastien Debétencourt est le nouveau directeur de l’activité toitures de Sika. [©Sika] Sébastien Debétencourt vient d’être nommé directeur de l’activité “toitures” de Sika, spécialiste notamment de l’étanchéité. Il officiera sous la responsabilité de Pascal Malafosse, directeur général de Sika France. Il devient aussi membre du comité de direction. Sébastien Debétencourt souhaite développer le marché des toitures et les solutions innovantes proposées par Sika.&nbsp; « Le lancement prochain de la RE 2020 devrait donner une nouvelle orientation au marché et une impulsion à la demande pour des solutions d’étanchéité plus respectueuses de l’environnement. Nous souhaitons renforcer notre positionnement sur ce marché et la lisibilité de nos solutions durables, que ce soit les propriétés intrinsèques de nos membranes que nos diverses solutions en toitures solaires, végétalisées ou encore les cool roofs. Nos membranes d’étanchéité synthétiques sont particulièrement adaptées pour répondre à ces nouveaux enjeux et Sika dispose d’arguments et de services spécifiques pour répondre aux attentes nouvelles des donneurs d’ordre. Des toitures utiles et durables dans tous les sens du terme est notre démarche. Le marché de la rénovation qui connaît une forte progression constitue aussi une priorité pour nous. Nos solutions de membranes synthétiques ou liquides, légères et rapides à installer y constituent une réponse cohérente », explique-t-il. Son parcours Diplômé de l’université Paris 10 Nanterre en marketing opérationnel international, Sébastien Debétencourt rejoint Sika Mauritius en 2009 en tant que responsable commercial et marketing. Puis, est nommé directeur général en 2015. Il est promu au poste de directeur général de Sika Tunisie en 2017.
Il y a 4 ans et 58 jours

La pénurie de matériels inquiète le Seimat

Le Seimat est inquiet quant à la hausse des prix des matériels. [©ACPresse] Menée en avril dernier auprès de ses adhérents, une enquête exclusive du Seimat1 souligne l’allongement des délais de livraison de 10, voire 20 semaines supplémentaires. Ceci, pour de nombreuses catégories de matériels.&nbsp; Ces délais accrus peuvent entraîner des pertes de marché. Et sont liés à la pénurie de matières premières et composants due à une flambée des coûts et au rendement diminué dans les usines. Les fautifs s’appellent “pandémie du Covid” et dysfonctionnement du fret maritime. Outre une pénurie généralisée, ils&nbsp;génèrent des hausses spectaculaires de coûts de transport. Cette situation ne laisse aucune alternative viable au plan économique. Aussi bien aux constructeurs qu’aux importateurs de matériels de construction. En conséquence, ces derniers affirment devoir appliquer des hausses tarifaires dans les mois à venir. Pour 53 % d’entre eux, elle entrera en application au cours du 2etrimestre 2021. Pour 30 %, au cours du second semestre 2021. Et pour les 17 % restants, les hausses seront visibles à partir du début d’année 2022. Les professionnels concernés se disent prêts à appliquer ces évolutions tarifaires en deux fois pour en lisser l’impact. Et pour maintenir de bonnes relations économiques avec les industriels du secteur&#8230; Deux plans d’action pour sauver le matériel En conséquence, le Seimat, avec le soutien de Ficime2, souhaite mettre en place deux plans d’action. Tout d’abord, informer les partenaires économiques de cette situation exceptionnelle. Ceci, pour inviter l’ensemble des acteurs à pouvoir maintenir, en bonne intelligence, les relations existantes. Et de faire preuve de solidarité, afin de sauvegarder un secteur économique commun. D’autant plus que celui-ci a déjà impacté par le contexte lié au Covid. Ensuite, le Syndicat veut solliciter le ministre de l’Economie et des Finances pour que les pénalités de retard soient suspendues pendant la durée de cette situation. Une démarche de solidarité à appliquer dans les marchés publics. Seimat comme Ficime restent mobilisés sur ce sujet, dans l’intérêt commun de leurs adhérents et partenaires économiques. 1Syndicat des entreprises internationales des matériels de travaux publics, mines et carrières, bâtiment et levage.2Fédération des entreprises internationales de la mécanique et de l’électronique.
Il y a 4 ans et 59 jours

La nouvelle ponceuse à bras Mirka Leros-S

La nouvelle Mirka Leros-S est une ponceuse murale compacte avec une tête de ponçage très flexible. [©Mirka] La nouvelle Mirka Leros-S (“S” pour short en anglais, court en français) est une ponceuse murale compacte avec une tête de ponçage très flexible. Ce qui en fait l&rsquo;outil idéal pour poncer les murs dans les espaces confinés. Grâce à sa légèreté (seulement 3,2 kg), à son équilibre et à sa maniabilité, elle permet de poncer de manière simple et rapide de grandes surfaces. Le grand plateau de ponçage avec son orbite de 5 mm se prête bien à l&rsquo;égalisation du mastic, dans les situations où une ponceuse murale plus longue est plus difficile à manipuler. Toutefois, cette Leros-S peut toujours être équipée d&rsquo;une rallonge dans les cas où une plus grande portée est nécessaire. Technologie des moteurs sans charbons En travaux de construction et de décoration, la ponceuse Mirka Leros-S excelle dans le ponçage des murs des salles de bain, des couloirs étroits, des placards de plain-pied… Ceci, grâce à ses deux points de prise prévus à cet effet pour un contrôle total. Cette machine est équipée de deux points d&rsquo;aspiration pour le dépoussiérage. Ce qui rend le ponçage pour ainsi dire sans poussière. Un avantage important pour les travaux dans des espaces confinés. Et comme sa grande sœur, Mirka Leros-S utilise la technologie des moteurs sans charbons pour une vitesse constante sous charge, sans perte d&rsquo;efficacité sous forte pression. Le bon équilibrage et ses deux poignées lui confèrent maîtrise et manœuvrabilité lors du ponçage.&nbsp;
Il y a 4 ans et 59 jours

Pourquoi Capremib a choisi la Twinmaster de Pedax, une cadreuse agile et polyvalente

La Twinmaster 12X de Pedax est une cadreuse compacte, polyvalente, performante et peu bruyante. [©Malherbe] Partenaire commercial exclusif de Pedax, Malherbe SARL commercialise, en France, les produits du fabricant allemand de machines pour le façonnage de l’acier d’armature. La PME installée à Valence (26) compte, parmi ses clients, Capremib, à la fois armaturier et préfabricant béton, spécialisé notamment dans les pièces pour le génie civil. L’entreprise de 140 salariés, basée à Cormicy (51), s’est équipée voilà quelques années de la Twinmaster 12X, cadreuse et plieuse signée Pedax (remplacée aujourd’hui par la Twinmaster 13X dans le catalogue).  Une maintenance simplifiée “Nous avons remplacé une machine obsolète, sur laquelle nous avions de gros frais de maintenance”, explique Clément Blanc, directeur général de Capremib. Dotée de servomoteurs, la Twinmaster n’a, elle, pas besoin d’un entretien coûteux et complexe,contrairementaux cadreuses hydrauliques. Et elle s’avère aussi peu bruyante. Un confort pour les opérateurs, qui apprécient aussi l’ergonomie de la Twinmaster. “Cette cadreuse dispose d’un plateau à plat qui facilite la manutention”, précise Clément Blanc.&nbsp; “La Twinmaster 12X est agile, conçue pour couper les fils de petit diamètre”, poursuit-il. Elle permet en effet de couper et deplier des fils de 6 à 12 mm de diamètre. Elle peut également couper et plier deux fils de 6 à 10 mm à la fois. Cette machine s’avère très précise : sa tolérance de coupe est de moins d’1 mm/m et sa tolérance de pliage, de moins d’1°. “C’est un très bon complément aux autres machines que nous possédons qui sont destinées à traiter des fils de diamètre plus large, jusqu’à 16 mm de diamètre”, note Clément Blanc. Réactivité et flexibilité Capremib est spécialisée dans la fabrication des pièces en béton sur-mesure. Aussi, “nous réalisons des petites séries et avons besoin d’être réactifs sur le changement d’outillage”, poursuit le directeur général. Et c’est justement ce qu’offre la Twinmaster 12X de Pedax : de la flexibilité. Six bobines avec des diamètres de fils différents peuvent être installées à l’arrière de la machine. Cette dernière est proposée avec différents degrés d’automatisation et dispose d’un interface utilisateur très intuitif, sur écran. Enfin, “la Twinmaster est une machine compacte, qui rentre aisément dans nos ateliers”, ajoute Clément Blanc. La Twinmaster 12X de Pedax permet de réaliser des cadres d&rsquo;un seul tenant. [©Malherbe] Une machine adaptée aux armaturiers et aux préfabricants béton Chez Capremib, on utilise la Twinmaster 12X pour réaliser des cadres de gradins. Cette machine a notamment servi pour réaliser le stade de Roland-Garros, en 2018 ! Car Capremib possède la spécificité d’être à la fois préfabricant béton, mais de disposer aussi de son propre atelier d&rsquo;armatures. L’intérêt de cette organisation ? La réactivité !&nbsp;“En cas, par exemple, de modification des plans, nous pouvons sortir nos armatures de façon plus rapide, explique Clément Blanc.&nbsp;Plus besoin d’attendre notre commande auprès d’un fournisseur extérieur. Noussommes autonomes même si nous commandons une faible partie de nos armatures chez d’autres armaturiers, lorsque cela est nécessaire », précise-t-il.&nbsp;La Twinmaster 12X répond donc bien aux besoins de réactivité, de polyvalence et de flexibilité de Capremib. A noter que différents niveaux d’automatisation sont disponibles. Pedax propose d’autres modèles, dans la gamme Twinmaster, pour plier et couper des fils de diamètre allant jusqu’à 16 mm, afin de s’adapter à tous les besoins.&nbsp;
Il y a 4 ans et 64 jours

Béton[s] le Magazine n° 93 se positionne entre pompage et innovations

Retrouvez le n° 93 dans la boutique acpresse.fr. Si les Shadoks pompaient, pompaient d’une manière totalement inutile, ce n’est absolument pas le cas des acteurs du pompage en France. La part du béton mis en œuvre progresse tandis que la profession met en avant son savoir-faire et son approche sécuritaire des interventions. C’est ce que montre le dossier “En couverture”, présentant en même temps les nouveaux entrants de ce secteur de la construction. Ce printemps voit aussi fleurir les innovations matériels, référencées dans un “Dossier spécial” qui leur est consacré. L’occasion de découvrir nombre de produits inédits que l’absence &#8211; momentanée &#8211; de salons interdit de voir en vrai&#8230; Le béton, c’est toujours un voyage Retrouvez le n° 93 dans la boutique acpresse.fr. Le “Zoom matériaux” met en avant les solutions de protection des bétons. L’offre est plus que large. Il n’y a donc plus d’excuse pour me pas prendre soin de ses bétons. Plusieurs acteurs ont accepté de prendre la parole dans ce numéro. Soriba parle de sa nouvelle unité de préfabrication. Tandis que Wayzz présente ce que pourrait être le BPE 4.0. JPS Granulats se concentre sur le bas carbone alors que Tam Groupe se dévoile&#8230; Quant à l’Autrichien SBM, il ambitionne de s’installer en France. Enfin, les voyages étant un peu compliqués en ce moment, la dernière page en ravira certains, avec une visite guide de la CN Tower de Toronto, au Canada. &nbsp;&nbsp; Comme quoi, il y a beaucoup à lire et à découvrir sur le béton. Alors bonne lecture !
Il y a 4 ans et 64 jours

Sika teste en France sa première génération de mortiers “durables”

Sika France lance cinq nouveaux mortiers de réparation plus “durable”. [©Sika] «&nbsp;Plus de valeur, moins d’impact&nbsp;» constitue le leitmotiv de la stratégie de Sika. Le but&nbsp;? S’ancrer dans une démarche environnementale, tout en garantissant des solutions techniques. «&nbsp;Nous nous sommes fixé six cibles stratégiques à atteindre d’ici 2023&nbsp;», explique Virginie Guittard, responsable développement durable chez Sika France. Parmi ces objectifs, l’industriel s’attaque à la performance climatique et énergétique. Ainsi, Sika souhaite réduire sa consommation d’énergie par l’utilisation de nouvelles technologies et la pratique opérationnelle. Le groupe compte diminuer aussi de 12 % ses émissions de CO2/t vendues d’ici 2023. D’autre part, le traitement des déchets et de l’eau constitue un axe majeur. Avec comme ambition la réduction de 15 % de quantité d’eau par tonne vendue et l’augmentation de 25 % de part de déchets recyclés. L’engagement sociétal et la sécurité au travail font partie du programme de cette stratégie environnementale. Enfin, outre ces mesures impactant son process de fabrication et ses pratiques, l’industriel suisse développe des solutions plus en adéquation avec cette philosophie.&nbsp; Une méthode dotée de critères techniques et environnementaux Afin d’évaluer cette dernière démarche, Sika s’est basé sur la méthode PSA1 du World business council for sustainable development (WBCSD). Une organisation mondiale regroupant près de 200 entreprises engagées dans la transition écologique. La méthode comprend six catégories pour la partie technique et une douzaine pour les bénéfices environnementaux [voir tableau]. Chaque critère comprend une note pour classer le produit. Des preuves, tests, essais, analyse du cycle de vie et Fdes sont nécessaires afin d’appuyer la notation.&nbsp; « Nous ne voulons pas dissocier la performance et le développement durable, détaille Nicolas Chaignon, chef de marché gros œuvre. La France est la filiale pilote pour la mise sur le marché de cinq produits allant dans ce sens. » Sika France a lancé une nouvelle gamme de mortiers “développement durable” dans le domaine de la réparation des bétons. Ces solutions viendront remplacer les équivalents moins écologiques déjà présents sur le marché et dans la gamme Sika. Elles répondent toutes aux exigences de la certification environnementale Leed v4.  Une nouvelle gamme de mortiers Sika MonoTop-1010 est une protection anti-corrosion des armatures. Il a pour équivalent le Sika MonoTop 910 N. Le nouveau mortier bénéficie d’une empreinte carbone réduite de 25 %.&nbsp;Le mortier de réparation structurale et de surfaçage Sika MonoTop-3020 enregistre une empreinte carbone de &#8211; 15 % et – 44 % d’émissions de poussières. Il s’ancre dans la norme NF EN 1504-3 (R3) et son équivalent est le Sika MonoTop 723 N.Sika MonoTop-4012 F est l’équivalent du Sika MonoTop 412 N. Il se caractérise par une empreinte carbone de – 21 % et répond à la norme NF EN 1504-3 (R4).&nbsp;Le mortier de scellement et de calage SikaGrout-234, ex-Sika Grout 217, voit son empreinte carbone diminuée de 38 %.SikaWall-180 Viscorep, ancien Sika Viscorep, est un mortier de ragréage ultra fin pour murs, plafonds, utilisable en intérieur comme en extérieur. Il est caractérisé par de faibles émissions de COV (A+/Excell +) et une réduction des poussières de – 67 %. Si la nouvelle formulation de ces produits n’a pas été dévoilée, l’équipe de Sika France évoque les pistes d’amélioration. «&nbsp;Nous avons travaillé au cas par cas, conclut Nicolas Chaignon, chef de marché gros œuvre. Nous avons joué sur la part des matériaux recyclés, les additifs que nous avons modifiés, réduits ou substitués par d’autres.&nbsp;»&nbsp; 1Portfolio Sustainability Assessment = Evaluation développement durable du portefeuille produits.
Il y a 4 ans et 64 jours

Projet national FastCarb : On peut réabsorber 40 kg de CO2/t de granulats recyclés

Retrouvez cet article dans le Process Industriel 950, supplément de Béton[s] le Magazine n° 93 Sécheur à lit fluidisé installé sur le site de la cimenterie LafargeHolcim de Val d’Azergues (69). [©ACPresse] Labélisé par l’Irex (Institut pour la recherche appliquée et l’expérimentation en génie civil), le Projet national FastCarb vise à étudier les modalités permettant de stocker du CO2dans des granulats issus des bétons de démolition. L’objectif est double. D’une part, réduire l’impact CO2du secteur de la construction. D’autre part, améliorer la qualité physico-chimique des granulats recyclés.&nbsp;«&nbsp;Le processus permet de boucher les pores présents dans les granulats grâce à la carbonatation&nbsp;», explique Jean-Michel Torrenti, directeur du PN FastCarb. Ceci, de manière accélérée.&nbsp; La carbonatation reste un phénomène naturel. Dans un bâtiment ou un ouvrage d’art, le béton réabsorbe le CO2“perdu” au moment de la production du ciment. Toutefois, cette action est lente. Au final, le ciment du béton &#8211; car c’est lui qui réabsorbe de CO2&#8211; redevient ce qu’il était au départ&nbsp;: du calcaire.&nbsp; Mais quelle quantité de CO2peut-on envisager de stocker&nbsp;? Durant l’année 2020, plusieurs solutions ont été testées pour en vérifier la viabilité et l’efficacité. Ainsi, deux carbonateurs ont été installés sur les sites des cimenteries LafargeHolcim&nbsp;de Val d’Azergues (69)et Vicat&nbsp;de Créchy (03). Trois équipements testés A cela s’est ajouté un conteneur de carbonation implanté chez Clamens, à&nbsp;Villeparisis (77). Ce dernier équipement a permis de réaliser un premier test, en y introduisant des big bags remplis de granulats et soumis à une atmosphère carbonée. Le résultat n’a pas été concluant&#8230; Un second test a donc été conduit. Cette fois-ci, avec une couche de granulats étalée sur toute la surface intérieure du conteneur, pour un résultat plus probant.&nbsp; Chez LafargeHolcim, comme chez Vicat, les équipements permettaient de soumettre les granulats à une atmosphère carbonée, de manière continue&nbsp;: sécheur à lit fluidisé pour le premier et tambour rotatif pour le second.&nbsp;«&nbsp;Au total, chaque cimentier a produit 50 t de granulats carbonatés&nbsp;», précise Jean-Michel Torrenti. Les analyses de ces matériaux ont déterminé que, grâce à ces méthodes, il est possible d’arriver à un stockage de 40 kg CO2/t de granulats recyclés.&nbsp;«&nbsp;En laboratoire, nous avons testé des concentrations à 100 % de CO2. Les rendements sont certes meilleurs, mais sans être proportionnels.&nbsp;»&nbsp; Adapté au circuit court Une autre observation a montré que l’utilisation de gaz chauds, ce qui est le cas en cimenterie, améliore le rendement. Toutefois, la filière de production des ciments n’est pas la seule à être émettrice de CO2. De fait, les systèmes testés peuvent être adaptés à d’autres secteurs industriels. En fait, la problématique viendra de l’acheminement des granulats. Il ne faut pas que le CO2généré par ce transport supplémentaire soit supérieur au volume de CO2absorbé par les granulats.&nbsp;«&nbsp;La démarche doit donc être locale, réalisée dans le cadre d’un circuit court&nbsp;», insiste Jean-Michel Torrenti.&nbsp; Jean-Michel Torrenti est le directeur du Projet national FastCarb. [©DR] Aujourd’hui, le PN FastCarb se poursuit. L’industriel Cemex réalise des bétons avec les granulats recyclés carbonatés, mais aussi avec des granulats recyclés simples. Il s’agit de vérifier la durabilité et les résistances des différents bétons ainsi formulés. Le Cérib et le SNBPE pilotent la partie “préfabrication”, avec la réalisation d’escaliers, de bordures de trottoirs ou encore de blocs béton.&nbsp; L’ensemble des travaux doit s’achever au mois d’octobre 2021, pour une publication des résultats au début de l’année prochaine.«&nbsp;FastCarb a été prolongé de douze mois environ, compte tenu des différents retards accumulés, largement accentués par la crise sanitaire&nbsp;», conclut Jean-Michel Torrenti.&nbsp; Frédéric Gluzicki Retrouvez cet article dans le Process Industriel 950, supplément de Béton[s] le Magazine n° 93
Il y a 4 ans et 65 jours

Groupe Cheval : « La RSE est inscrite dans nos gènes »

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. Jean-Pierre Cheval est le président du groupe de BTP régional qui porte son nom. [©Groupe Cheval] Le groupe régional Cheval vient de devenir une “entreprise à mission”&nbsp;? De quoi s’agit-il&nbsp;? Pourquoi cette démarche&nbsp;? Jean-Pierre Cheval&nbsp;: Le cadre juridique d’entreprise à mission a été introduit par la loi Pacte. Il permet d’inscrire dans nos statuts notre politique RSE globale. Nous en avons toujours fait l’élément central de notre développement, autour de trois axes principaux. Tout d’abord, le pôle humain. Le monde de l’entreprise est un lieu de vie, d’échange. Nous nous devons d’être bienveillants vis-à-vis de nos collaborateurs. Cela va d’une rémunération juste et motivante, à la mise en place d’une politique de renouvellement récurrent des matériels. Chacun doit pouvoir travailler avec un équipement moderne et ergonomique. La formation est aussi omniprésente, y compris en alternance, pour 10 % des effectifs. Il est important de pouvoir transmettre les savoir-faire. La protection de l’environnement constitue le deuxième axe. Depuis plus de 30 ans, nous organisons nos méthodes de travail pour en limiter les impacts, tout en favorisant le recyclage. Il faut toujours pouvoir donner une seconde vie aux choses. Quand nous intervenons sur site, nous limitons nos emprises de chantier. En interne, nous avons même une structure dédiée à l’environnement. Ainsi, Valorsol Environnement travaille à la collecte, au recyclage et à la valorisation de matériaux issus du BTP et de l’industrie. Enfin, le groupe Cheval a un rôle sociétal. Nos activités restent très liées à la commande publique. Aussi, nous cherchons toujours à “rendre” aux territoires ce qu’ils nous ont donné. Par des actions de mécénat, de sponsoring. Nous accompagnons une équipe de rugby, qui est une “école de la vie”. Nous essayons de travailler en circuit court. Toutefois, il ne faut pas occulter qu’une entreprise intègre un aspect économique important. L’entreprise est le premier contributeur de la collectivité. Et se doit de gagner de l’argent pour assurer ce rôle. Des acteurs du secteur financier viennent d’entrer au capital du groupe. Quel en est le but&nbsp;? Nous sommes en phase de croissance. Jusqu’à présent, nous avons auto-financé notre essor. Cette entrée au capital, à un pourcentage qui reste faible, va aider et sans doute accélérer nos développements futurs&#8230; Ceci, en conformité avec notre stratégie et nos priorités. Courant 2019, vous avez acquis l’entreprise Migma. Pourquoi cette intégration&nbsp;? Migma est une entreprise spécialiste des aménagements extérieurs et des bétons décoratifs. Nous travaillions déjà avec elle. Aujourd’hui, son intégration permet d’élargir tant l’offre globale proposée à nos clients que notre implantation géographique. Ainsi, nous sommes maintenant présents sur une zone allant de Lyon à Aix-en-Provence, d’un côté, et à Montpellier, de l’autre. Cheval est aussi actionnaire de l’entreprise de BPE Drôme Béton&nbsp;? A vrai dire, nous sommes à l’origine de la création de Drôme Béton, avec quelques autres partenaires. L’idée était de disposer d’un débouché naturel pour les granulats normalisés issus de nos carrières. Aujourd’hui, nous avons signé sa réintégration à 100 % au sein du groupe. Ce qui lui permettra de mieux profiter de la R&D du groupe, pour faire ainsi progresser son offre béton. D’une manière générale, que représente le groupe Cheval&nbsp;? Quels sont ses domaines de compétences&nbsp;? Le groupe Cheval réalise une moyenne de 100 M€ par an. Il compte quelque 650 collaborateurs et 16 filiales. Historiquement, nous sommes des intervenants du domaine des travaux publics. Nous sommes des spécialistes du terrassement, de la route, du VRD. Mais, au fil des ans, nous avons élargi nos compétences aux métiers de la déconstruction, du recyclage ou encore de l’aménagement paysager. Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 93&nbsp;
Il y a 4 ans et 65 jours

Scania : “Caps” sur la préparation des camions

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Le Caps assure l’adaptation des véhicules aux carrosseries qu’ils doivent recevoir. [©ACPresse] Qu’est-ce que le Centre d’adaptation et de préparation Scania, dit “Caps”, ouvert au sein de l’usine d’Angers&nbsp;?«&nbsp;Nous construisons des centaines de poids lourds sur nos lignes d’assemblage. Pour certains, des configurations particulières sont nécessaires. C’est de cet aspect que se charge le Caps&nbsp;», résume Philippe Rousseau, chef de produit camions chez Scania. A vrai dire, ce service existait déjà, mais était réalisé dans des locaux loués à proximité.&nbsp; L’innovation est donc l’intégration du Caps au cœur d’un bâtiment partagé, d’une surface totale de 5 100 m2, dont 3 400 m2d’ateliers. Un investissement de 6 M€.Le Caps a pour mission d’assurer la préparation des camions avant leur livraison. Cela va de l’inspection à l’activation du chronotachygraphe, en passant par le déplacement de certains composants ou la pose d’accessoires. L’installation d’éléments de carrosserie fait aussi partie des interventions. L’atelier vient d’être certifié ISO 9001:2005. 3 j ou 3 semaines d’intervention en moins Les porteurs “béton” sont particulièrement intéressés pour un passage au sein du Caps, car nécessitant de nombreuses adaptations.&nbsp;«&nbsp;Pour permettre le montage d’une cuve de malaxage, 3 j de travail sont nécessaires&nbsp;», souligne Patrice Roger, responsable du Caps. Et de poursuivre&nbsp;:&nbsp;«&nbsp;Pour accueillir un équipement de pompage, nous passons à 3 semaines d’intervention&#8230;&nbsp;»En d’autres termes, Scania fait gagner 3 j ou 3 semaines au carrossier. Un délai loin d’être négligeable, quand un client souhaite voir la livraison de son véhicule “pour hier”. Depuis la création du Caps, quelque 883 camions ont été préparés, dont 73 porte-toupies et quelques porte-pompes. Grâce à son nouveau bâtiment, Scania a déjà battu ce record avec 850 véhicules traités entre janvier et août 2020&#8230; Ce qui montre que les nouvelles installations assurent l’essor de cette structure. Ainsi, le Caps est en mesure de traiter un volume de plus de 6 000 véhicules par an. Aujourd’hui, le rythme annuel est d’environ 4 400 véhicules, soit 20 par j. Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 65 jours

In béton veritas

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. La cuve sphérique de vinification, imaginée par la start-up française Galileo, est fabriquée en béton allégé, naturel et sans adjuvant. [©Préfa Périgord] Il n’est pas rare de retrouver la mention “élevé en fûts” sur les étiquettes des bouteilles de vin. On pense naturellement à des fûts en chêne. Pourtant, le béton tend à se développer dans ce secteur. Ainsi, la cuve sphérique de vinification imaginée par la start-up française Galileo fait tourner toutes les têtes. Rotative de 15 ou 30 hl, elle est fabriquée en béton allégé, naturel et sans adjuvant. Et “Made in Préfa Périgord”, filiale de Seguin Moreau. Les formes de la nature «&nbsp;Sa rondeur vient de la forme du raisin, de la terre, du soleil, au plus près de la nature. Cela permet une vinification meilleure, indique Julien Béral, technicien étude/qualité chez Préfa Périgord. Cette forme sphérique minimise le ratio entre la surface externe et le volume contenu. Elle permet de préserver les variations de températures, les mouvements de convection. Et enfin, elle favorise les extractions douces. La composition naturelle innovante du matériau renforce les propriétés thermiques du béton. Et ce, sans aucun additif chimique.&nbsp;» C’est une formulation interne, mais avec la collaboration de LafargeHolcim. Ce béton est deux fois plus isolant qu&rsquo;un béton classique. Le poids de la cuve est réduit de moitié vis-à-vis des contenants usuels en béton. Cette cuve peut donc être plus déplacée sans difficulté dans la cave. Ce qui permet de changer son organisation entre la période de vinification et celle d&rsquo;élevage. Les équipements complémentaires (tuyaux, vannes et trappes) sont en inox et garantissent l&rsquo;aptitude au contact du vin. Cette cuve sphérique de vinification est “Made in Préfa Périgord”, filiale de Seguin Moreau. [©Préfa Périgord]« Sa rondeur vient de la forme du raisin, de la terre, du soleil, au plus près de la nature. Cela permet une vinification meilleure, indique Julien Béral, technicien étude/qualité chez Préfa Périgord. [©Préfa Périgord] « La sphère elle-même, forme parfaite, limite la surface d&rsquo;échange des jus en fermentation avec l&rsquo;extérieur. Elle a été conçue sur le principe de l&rsquo;igloo et elle dispose d&rsquo;un circuit de thermo-régulation directement intégré dans la masse du béton », conclut Benoit Verdier, directeur technique chez Galileo et co-inventeur de la sphère. Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 65 jours

Master Builders Solutions France : Et le nouveau MasterSuna devient plastifiant

Cet article est à retrouvé dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Le MasterSuma SBS 4131 est le premier plastifiant réducteur d’eau pour bétons formulés avec des sables argileux. [©Master Builders Solutions] Dès lors qu’ils contiennent&nbsp;certains types d’argiles (dont l’argile gonflante), les sables deviennent inaptes à la production de bétons. De fait, les carriers peuvent se retrouver avec des stocks importants de matières premières inutilisables, alors même que le pays manque de ressources&#8230; C’est pour permettre de valoriser ces matériaux que Master Builders Solutions France&nbsp;(MBS)&nbsp;a lancé, il y a déjà quelques années, le MasterSuna SBS 3890.&nbsp;«&nbsp;Il s’agissait d’un ajout destiné à fonctionner en synergie avec un plastifiant ou un superplastifiant&nbsp;», rappelle Christophe Landry, directeur technique adjuvants&nbsp;de MBS&nbsp;France. Et de poursuivre&nbsp;:«&nbsp;Les argiles gonflantes présentent dans le sable captent de manière préférentielle les polymères du MasterSuna&nbsp;SBS 3890, permettant au plastifiant ou au superplastifiant de faire son travail sans être neutralisé&nbsp;».&nbsp;&nbsp;En d’autres termes, le MasterSuna&nbsp;SBS 3890 fait office de produit sacrificiel. Toutefois, cette approche a montré quelques limites d’utilisation, car l’ajout est sensible à la concentration d’argile. Il faut donc veiller à bien ajuster son dosage.&nbsp; Si le MasterSuna SBS 3890 poursuit son existence dans l’offre de MBS France, l’industriel vient&nbsp;demettre sur le marché une toute nouvelle&nbsp;génération MasterSuna SBS 4131.«&nbsp;Plus qu’une simple évolution, il est question en réalité d’un produit totalement inédit&nbsp;», reprend Christophe Landry.&nbsp; Peu sensible à l’action électro-statique des argiles Changement&nbsp;majeur : le nouveau MasterSuna SBS 4131 entrant dans le concept MasterSuna Sand Blocker Solutions n’est pas un ajout, mais un adjuvant, mono-composant, qui plus est.&nbsp;«&nbsp;Il entre dans la famille des plastifiants réducteurs d’eau.&nbsp;».&nbsp;Son secret ne peut être vu que sous le microscope.&nbsp;«&nbsp;Le “4131” intègre un nouveau polymère dont les terminaisons sont très peu sensibles à l’action électro-statique des argiles,explique Christophe Landry.&nbsp;Ainsi, l’adjuvant n’est plus adsorbé par ces argiles, mais par le ciment, comme il se doit». Ainsi, en présence de sables argileux &#8211; dans les limites autorisées par les normes NF EN 12-620 et NF P 18-545 -, le MasterSuna SBS 4131&nbsp;s’acquitteseul de la mission de plastifiant qui lui a été attribuée. «&nbsp;Produit mono-composant, il peut aussi être utilisé en synergie avec d’autres adjuvants, tels des superplastifiants traditionnels, des retardateurs de prise ou encore des entraîneurs d’air&nbsp;». Au quotidien, son utilisation ne se distingue pas de ses congénères. On reste sur des plages de dosages classiques comprises entre 0,3 et 1,2 % de la masse de ciment.&nbsp;«&nbsp;Le nouveau MasterSuna SBS 4131 permet de garantir des formulations robustes pour des bétons réalisés avec des sables argileux&nbsp;», conclut Christophe Landry.&nbsp; Cet article est à retrouvé dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 65 jours

Wayzz : La numérisation de l’industrie du BPE se densifie

Cet article est à retrouvé dans le n° 93 de Béton[s]&nbsp;le Magazine 4- Les capteurs Wayzz permettent notamment de géolocaliser les toupies et d’identifier les ajouts d’eau. [©Wayzz] Wayzz évolue sur le marché des services numériques aux entreprises, à commencer par la supervision des flottes de toupies. Pouvez-vous nous en retracer la genèse&nbsp;? Sandrine Issartel&nbsp;:Spécialisé dans les métiers du béton, Wayzz a été lancé en 2015. L’entité est rattachée à MWSC, sa maison-mère née en 2013. Nous intervenons sur toutes les problématiques liées à la remontée d’information du terrain, spécifiquement dans le domaine du transport. Avec Wayzz Béton Sync, nous proposons une solution IoT ou Internet des objets, destinée au domaine du béton. C’est là notre force&nbsp;: proposer une solution répondant aux besoins spécifiques de ce métier. La dématérialisation des bons de livraison et la supervision des flottes ont aujourd’hui un marché établi. Comment densifiez-vous votre offre de service&nbsp;?&nbsp; AlanEtrillard&nbsp;:Aujourd’hui, nous sommes capables de proposer aux&nbsp;industriels du BPE&nbsp;d’avoir une remontée d’information en temps réel, grâce à ces capteurs placés sur les toupies. Et suivies depuis leur sortie de la centrale, jusqu’à leur retour. Temps de trajet, d’attente, de vidange &#8211; et depuis peu, les ajouts d’eau -, tout est recueilli en direct. Ces informations sont ensuite “digérées” et dispatchées dans des modules que nous avons définis. Ce qui permet à chaque acteur du BPE de disposer de données essentielles pour la bonne supervision de ses livraisons. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m&#039;inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 4 ans et 65 jours

Telle une pierre sculptée par l’eau et la lumière

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. Situé à Toulouse, Côté Garonne est constitué de deux bâtiments en R+5 et R+6. [©Letellier Architectes] A Toulouse (31), le programme Côté Garonne évoque bien la dualité entre le besoin de nature et l’attractivité de la ville. Dessiné par l’agence Letellier Architectes, le projet immobilier Côté Garonne se compose de deux bâtiments (en R+5 et R+6), épousant de part et d’autre une maison traditionnelle en briques. Le tout formant ainsi un seul bloc monolithique. Installé avenue Muret, proche d’une station de tramway, cet ensemble s’élève comme une pierre sculptée. En face de la Garonne, les bâtiments Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 65 jours

GCP habille une salle polyvalente

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine La salle de L’Escale à Cras-sur-Reyssouze affiche des produits GCP Applied Technologies sur ses murs et son entrée. [©GCP Applied Technologies] AIN. La commune de Cras-sur-Reyssouze voulait se doter d’une salle polyvalente. Permettant à la fois d’y pratiquer divers sports d’intérieur et de la louer pour des occasions festives. Construite sur un ancien ensemble de champs, le complexe, nommé L’Escale, a été dessiné par le cabinet d’architectes grenoblois Archipel. Composée de deux espaces, l’un à la toiture basse, l’autre à la toiture haute, la salle se déploie sur 1040 m2. Pour sa structure le maitre d&rsquo;oeuvre a fait le choix d’un béton apparent. Livré par Cemex, il laissait à nu les traces de décoffrage et de mise en œuvre. Par la suite, l’entreprise Duguet Frères est venue y appliquer les produits de GCP Applied Technologies. « C’est un chantier intéressant pour nous. Puisque nous y avons livré nos solutions de façades et de traitement de sol, explique Florian Doras, responsable commercial de la marque. Les murs en béton apparent ont été lasurés avec le Pieri Prelor Vario. Dans des teintes Onyx 25% et 200%, selon les éléments. Le tout pour une surface de 1000 m2.» S’intégrant dans un complexe plus étendu, incluant le stade municipal, les alentours de la salle ont été traités eux aussi avec une solution GCP Applied Technologies.&nbsp;«&nbsp;Pour les sols constituant l’entrée de L’Escale, le Pieri VBA 2012 a été mis en oeuvre. Il s’agit d’un désactivant de voiierie, qui a été utilisé sur 500 m2.» Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 65 jours

France Color Diffusion : Fenêtre sur le monde

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine France Color conçoit et produit la gamme Drain Color. [©Drain Color] ALLIER. Le calendrier affiche “juillet 2019”, lorsque la société France Color Diffusion, propriétaire des marques DrainColor et Béton Drainant, passe de Toulouse  à Vichy, en Auvergne. « Nous distribuons notre concept de béton drainant en sac à travers tout le territoire français, pour les magasins de négoce comme pour les GSB. Il nous fallait trouver une plate-forme plus centrale que ce que nous avions à Toulouse », indique Catherine Oliveira, gérante de la société de FranceColor.  L’entreprise a donc déménage l’ensemble de ses activités : de la plate-forme logistique aux laboratoires, en passant par les bureaux administratifs. Tout en travaillant son implantation locale. «&nbsp;Très vite, nous avons noué des contacts avec les acteurs locaux. Nous avons aussi beaucoup été aidés par le département de l’Allier qui nous a accompagnés dans ce changement d’horizon ». L’entreprise a même trouvé, dans le centre pénitentiaire de Moulins-Yzeure, un partenaire.&nbsp; Une nouvelle base locale qui permet aujourd’hui à FranceColor de se tourner vers l’international, après un premier essai d’export (même si français) concluant à La Réunion. «&nbsp;Nous développons de nouveaux marchés à l’international, mais nous ne voulons pas presser les choses. Je veux bien comprendre le marché local, ses attentes et ses besoins, et pourquoi pas développer une gamme spécifique pour les pays cibles.&nbsp;» Dans le même temps, c’est une société-sœur Alcaligne qui va voir le jour. Ceci, afin de produire produire made in France des joints de dilatation, des cornières et des nez-de-marche Moonlight. Qui viendront compléter les produits de la gamme DrainColor. Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
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Axe Seine Béton dévoile ses ambitions normandes

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Axe Seine Béton prend peu à peu pied en Normandie. [©BSM] SEINE-MARITIME. Les toupies fuchsia de Béton Solutions Mobiles (BSM), bien connues sur les chantiers d’Ile-de-France, circulent dorénavant en Normandie et bientôt sur tout l’axe Seine, reliant Le Havre à Paris. Mais c’est une nouvelle entité qui les exploite : Axe Seine Béton (ASB), filiale de BSM. Une première centrale à béton est déjà opérationnelle depuis septembre, implantée à Gonfreville-l’Orcher (76). Et ce n’est qu’un début. « L’objectif est d’ouvrir à court terme 7 à 8 unités de production fixes le long de la Seine », explique Philippe Tibère, président de BSM. Et de développer : « Le Grand port maritime de l’axe Seine, qui naîtra de la fusion des ports du Havre, de Rouen et de Gennevilliers, en 2021, présente un fort potentiel de développement économique. Il nous semblait stratégique de nous y positionner ».  Pour ce projet d’envergure d’ouverture de centrales à béton, ASB prévoit un investissement de 10 M€. Et la création d’une cinquantaine d’emplois directs, dans les deux ans à venir. A ceci s’ajoutera la mise en circulation de 40 toupies pour acheminer le béton sur les chantiers de la région normande. Ainsi, d’ici la fin du premier semestre 2021, deux unités de production fixes doivent être mises en service, toujours dans la périphérie du Havre et de Rouen. Aussi, des postes de commerciaux et d’agents techniques sont à pourvoir. A bon entendeur&#8230; Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
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CN Tower : L’élégante en béton

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. En août 1974, commence la construction de la sphère de sept étages qui abritera les galeries d’observations et le restaurant tournant. [©ACPresse] La tour CN, fierté des Canadiens&nbsp;? Sans aucun doute. Elle impressionne d’autant plus les nombreux touristes étrangers, qui la visitent. Chaque année, ils sont près de 1,5 M à contempler le panorama et à profiter des multiples activités offertes. Bien que gigantesque avec ces quelques 550 m de haut, l’origine de la tour a un caractère très pratique. En effet, dans les années 1960-1970, des gratte-ciel sont construits dans le centre-ville de Toronto, la plus grande ville du Canada, en raison de l’augmentation de la population. Gênant ainsi la propagation des ondes radio. Pour remédier à ce problème, une antenne de diffusion plus haute que ces immeubles doit être érigée. C&rsquo;est ainsi que la tour CN est née, émergeant au-dessus de tous les autres immeubles. Dotée de récepteurs à micro-ondes à une altitude de 338 m et d’une antenne culminant à 553,33 m, la tour CN résout les problèmes de communications. Ainsi, si le Canadien National (CN) ou Compagnie des chemins de fer nationaux du Canada édifie cette tour, c’est pour démontrer le talent de l’industrie canadienne. Pour mener cet ambitieux projet à son terme, 1 537 personnes y travaillent 24 h/24, 5j/semaine, pendant 40 mois. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m&#039;inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } ); Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 65 jours

Vicat : Le bas carbone s’installe dans le paysage lyonnais

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Coulage du radier de la Tour To-Lyon par des toupies “Oxygène”. [@Vicat] RHONE. Au beau milieu du quartier de la Part-Dieu, dans la capitale des Gaules, s’élève la tour To-Lyon. Un projet emblématique de la métropole qui intègre une part de béton bas carbone Deca de Vicat. Lancée par le bétonnier en fin d’année dernière, cette solution a aussi été utilisée dans la construction de la résidence ABC de Grenoble (38) et également dans celle du lycée Sainte-Marie, à Meyzieu (69), réalisé par l’entreprise Rivière. Ceci, avec 100 % de ce bétons Deca. Deca recouvre une gamme de bétons bas carbone, fabriqués et formulés avec des matériaux locaux. «&nbsp;Pour la métropole lyonnaise, nous utilisons un Cem IV, formulé à base de pouzzolane, explique Paul Laurent, directeur Rhône-Saône chez Béton Vicat. Par rapport à un béton classique qui génère 200 à 250 kgCO2/m3, nous arrivons à 120-160 kgCO2/m3. Sur Lyon, ce béton est en plus distribué par nos toupies éco-responsables “«&nbsp;Oxygène”&nbsp;»&nbsp; au (bBiogaz et à l’électricitéé). L’économie CO2 d’un béton Deca est de 30 % par rapport à un béton classique.&nbsp;»&nbsp; La gamme Deca de Vicat lancée en 2020 Avec un lancement en 2020, la gamme Deca a bénéficié d’une très forte demande liée aux nouvelles aspirations sociétales. Il faut maintenant mieux faire connaître cette gamme auprès des entreprises. «&nbsp;Il nous faut montrer que ces matériaux ne changent pas leurs méthodologies de construction des entreprises. Travailler avec un béton Deca formulé en CEM IV, c’est l’assurance de pouvoir garantir les rotations de banches, même en période hivernale. C’est pourquoi, nous signons des partenariats avec des entrepreneurs locaux comme le groupe Fontanel.&nbsp;»&nbsp; Dans la région lyonnaise, Vicat développe aussi son offre de ciments bas carbone. «&nbsp;Les collectivités locales y sont très sensibles, d’autant que les granulats utilisés&nbsp; peuvent être issus du recyclage des bétons de déconstruction. » Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
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Juridique : La gestion environnementale des chantiers

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine. Les produits destinés au réemploi ne prennent pas le statut de déchet&#8230; [©ACPresse] La Loi Agec a réformé les diagnostics “déchets des bâtiments”, en créant le diagnostic Produits Matériaux Déchets (PMD). Selon cette loi,“les produits et équipements destinés au réemploi ne prennent pas le statut de déchet1”. A cette fin, le diagnostic PMD doit être établi avant tout chantier de destruction ou de réhabilitation significative. Et ce, afin de maximiser le taux de réemploi. Il doit fournir la nature, la quantité et la localisation des matériaux, produits de construction et équipements. Ainsi qu’une estimation de leur état et les possibilités de réemploi sur le site de l’opération ou sur un autre site. Déjà applicable, le diagnostic PMD ne sera obligatoire qu’à compter du 1er juillet 2021. Evacuation et élimination des déchets Si le maître d’ouvrage est responsable à titre principal des déchets générés, une obligation de nettoyage et de remise en état des lieux pèse sur le maître d’œuvre. Ceci, en raison de son obligation de livraison en parfait état. Ce qui suppose l’évacuation des déchets générés. Mais les déchets, même non dangereux, ne s’abandonnent pas simplement dans la nature. Leur transport et leur élimination, voire leur valorisation et leur gestion, sont très encadrés. Le producteur des déchets est tenu d’en faire assurer leur élimination dans des conditions sans effets néfastes pour l’homme ou la nature2. Et leur collecte comme leur transport ne peuvent être assurés que par une entreprise y ayant été autorisée par l’administration3. Bien entendu, ceci n’est le cas qu’à défaut de réemploi. En tout état de cause, des registres doivent être tenus, comme le bordereau de suivi des déchets. Enfin, le déboisement ou l’exploitation de carrières peut être soumis à des autorisations environnementales de la direction régionale de l&rsquo;Environnement, de l&rsquo;Aménagement et du Logement (Dreal). Celles-ci font en général partie de l’obtention de permis de travaux. Et sont parfois couplées à des obligations de compensation (reforestation, capture et déplacement des animaux concernés, réintroduction d’espèces protégées&#8230;). Performances du bien livré Les intervenants à l’acte de construire ont une obligation de résultat qui englobe la mise en conformité aux exigences réglementaires environnementales. [©ACPresse] Il est exigé du maître de l’ouvrage qu’il justifie, lors de la réalisation d’un bâtiment neuf, de la satisfaction aux performances énergétiques et environnementales déterminées par la réglementation thermique. L’application de la RE 2020, qui a vocation à remplacer la RT 2012, a été reportée au 1er janvier 2022. Cette nouvelle réglementation ne contrôle plus seulement la consommation énergétique des bâtiments neufs, mais aussi leur bilan carbone. Tout en incluant l’analyse du cycle de vie des matériaux et des équipements employés. La RT Existant4, globale ou par élément en fonction de l’ampleur des travaux, est son équivalent pour les opérations de rénovation.Une performance énergétique supérieure aux prescriptions est, quant à elle, récompensée par l’octroi d’un bonus de Coefficient d’occupation des sols (COS)5.Enfin, il existe toute une gamme de labels réglementaires (HQE&#8230;) et d’engagements environnementaux volontaires, qui sont intégrés dans les documents contractuels et lient ainsi leurs parties. Le fondement des actions en responsabilité avant réception pour non-respect des exigences réglementaires, tout comme des engagements contractuels environnementaux, est la responsabilité contractuelle de droit commun. En effet, les intervenants matériels comme intellectuels à l’acte de construire sont tenus, avant réception, d’une obligation de résultat qui englobe la mise en conformité du projet constructif aux exigences réglementaires environnementales. Pierre LacoinAvocat à la CourCabinet 1792 Avocats 1L. 541-4-4 Code de la construction et de l’habitation. 2L. 541-2 Code de l’environnement.3L. 541-8 Code de l’environnement.4R. 131-25 et s. Code de la construction et de l’habitation.5R. 111-21 Code de la construction et de l’habitation. Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 65 jours

Plattard au gaz et au bio-carburant

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Plattard a fait subir une semaine de test à une toupie roulant au gaz. [©Plattard] Rhône. Pour son activité de BPE, Plattard s’appuie à la fois sur des partenaires transporteurs et un parc interne de toupies. Pour ces dernières, l’industriel a réalisé un test grandeur nature de porteurs gaz de la marque Scania.&nbsp;«&nbsp;Nous souhaitions depuis longtemps diversifier notre source d’approvisionnement pour nos toupies. Scania nous a fait cette proposition de test. Nous avons tout de suite accepté, indique Charles Plattard, vice-président du directoire du groupe éponyme.&nbsp;La toupie a été testée pendant une semaine, fin 2020, dans des conditions d’utilisation classique&nbsp;chez nous.&nbsp;»&nbsp;Si l’essai n’a pas été transformé, l’industriel n’en est pas moins convaincu par ce carburant alternatif.&nbsp;«&nbsp;Nous anticipons la nécessité d’avoir ce type de solutions à Villefranche-sur-Saône, là où nous avons notre plus grosse centrale. D’autant qu’une importante station de gaz vient de se construire à côté de chez nous. » A la place, Plattard a fait le choix du bio-carburant pour une partie de son parc.&nbsp;«&nbsp;Ce n’est absolument pas du greenwashing. Nous sommes à l’écoute de toutes les sources d’énergie alternatives. Il en va de notre responsabilité sociétale. D’ailleurs, le choix du bio-carburant n’exclut pas le gaz, qui pourrait arriver chez nous à court ou à moyen terme.&nbsp;» Dans le même temps, Plattard a fait l’acquisition d’une pompe à béton de 36 m signée Sermac.&nbsp;«&nbsp;L’idée est de proposer la prestation de pompage du béton en toute indépendance, avec un véhicule adapté.&nbsp;» Qui roulera, lui aussi, au bio-carburant. Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 65 jours

Capremib modernise le port de Calais

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Le nouveau quai d’amarrage des ferries du Port de Calais a été préfabriqué par Capremib. [@BouyguesConstruction] PAS-DE-CALAIS. Premier port français en termes de passagers et deuxième port européen pour le trafic maritime transmanche, le port de Calais se heurtait à une capacité insuffisante face à la croissance de la demande. La région Nord &#8211; Pas-de-Calais a  donc confié à un groupement d’entreprises, avec Bouygues TP à leur tête, la mission de mener à bien un chantier d’agrandissement des infrastructures. Pour un montant de 863 M€. Les travaux comprennent la réalisation d&rsquo;une nouvelle digue en mer, de trois nouveaux postes ferries. Mais aussi d’un poste roulier,  et de 4 Mm3 de dragages maritimes pour les nouveaux terre-pleins. Et enfin, l’aménagement de nouvelles capacités d&rsquo;accueil du trafic transmanche.  27 poutres signées Capremib Capremib s’occupe de la réalisation des poutres précontraintes (Prad), de l’habillage des corniches, ainsi que de la préfabrication&nbsp; des voiles de protection du nouveau quai d’amarrage des futurs ferries et paquebots. Les 27 poutres Prad nécessaires ont été fabriquées dans les ateliers Capremib de Cormicy (51). D’une longueur de 28,50 m, chacune d’elles pèse de entre 35&nbsp; et 38 t. Plus de 750 ml de poutres Prad ont été réalisés en moins de 15 j. Pour répondre aux contraintes environnementales (eau salée), Capremib a utilisé un béton C60/75 auto-plaçant, caractérisé “prise mer”.&nbsp; Lorsque l’installation des éléments du tablier a été achevée, l’habillage du pont a pu commencer, avec pas moins de 78 corniches de 2m de long en béton armé sur 1,07 m de haut, utilisant le même béton qualifié pour l’opération. L’ensemble des éléments produits représente pour Capremib un total de 850 m3 de béton préfabriqué, ainsi que 200 t d’aciers et torons de précontrainte mis en place pour cet ouvrage. Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 65 jours

L’ex-usine Bonna Sabla rouvre et devient Sitinao

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine L’ex usine de Bonna Sabla fermé en novembre dernier rouvre ses portes sous le nom de Sitinao. [©Sitinao] Haute-Loire. La vie d’une usine arrive parfois à son terme. Les lignes de production s’arrêtent, les lumières s’éteignent et chacun rentre chez soi, face à un avenir incertain&#8230; Mais parfois, cette usine reprend vie. Fin novembre 2020, huit mois après sa fermeture, l’unité de Bas-en-Basset a recommencé à produire des éléments d’aménagement urbains préfabriqués, sous l’impulsion de Christophe Marcoux, repreneur de l’ancien site Bonna Sabla, devenu Sitinao.&nbsp;«&nbsp;Nous avons pu relancer facilement le site, car les machines avaient été soigneusement arrêtées. Et sur les 22 employés qui ont repris, seuls deux n’étaient pas de la précédente équipe, dont moi-même,&nbsp;explique Arnaud Chamar, nouveau directeur de l’usine. Nous sommes les seuls en France à produire des pièces, grâce à la technique du pressage et de l’essorage. Celles-ci sont destinées à l’aménagement urbain, sur le modèle de l’ancienne marque de Bonna Sabla.&nbsp;» Entrepreneur de travaux publics en Haute-Loire, Christophe Marcoux n’a pas pu se résoudre à laisser l’outil industriel et les compétences associées à l’abandon. Il compte s’appuyer sur son réseau bien établi dans la région pour relancer les ventes.&nbsp;« Nous allons d’abord nous reposer sur le bassin local, en prenant le temps de faire de la prescription auprès des bureaux d’études, de renouer des contacts qui étaient rompus,&nbsp;précise Arnaud Chamar. Nous commencerons ensuite à concevoir de nouvelles solutions, notamment autour du bas carbone. Enfin, nous élargirons notre zone de vente». Pour le moment, l’usine devrait tourner à plein régime à la fin du premier semestre.&nbsp; Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 65 jours

Prévenir les émissions de poussières sur chantier

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine. Les risques poussières les plus importants sont liés à la présence de silice cristalline, que l’on retrouve dans plusieurs composants des travaux de gros œuvre. [©Hilti] Le risque lié aux poussières, présent pour l’ensemble des métiers du BTP, est parfois ignoré. Car il n’est pas toujours visible. Et n’impacte pas de façon immédiate la santé du personnel de chantier ou d’atelier. Au niveau des chantiers de gros œuvre, les sources principales de danger sont identifiées de longue date. C’est en priorité la silice cristalline sous toutes ses déclinaisons. Etant présente à l’état naturel dans le sable et les carrières, on la retrouve en toute logique dans la plupart des composants des travaux de gros œuvre. A commencer par le béton, le ciment, les mortiers, les enduits, les plâtres. Ainsi que de nombreux matériaux complémentaires, comme les carrelages et les faïences. Lutter contre les poussières Lorsqu’elles sont inhalées, les poussières de silice pénètrent facilement dans les poumons. Elles peuvent provoquer des insuffisances respiratoires et des maladies graves, comme la trop connue silicose des mineurs et des carriers. Du fait de l’étendue des matériaux contenant de la silice, de nombreuses professions sont exposées au risque&nbsp;: du tailleur de pierre au maçon, en passant par toutes les actions nécessitant de buriner, de percer, de tronçonner, de rainurer…Les risques liés à l’inhalation de poussières d’amiante, de plomb, de bois… concernent assez peu les entreprises de gros œuvre. Mais peuvent être un problème dans les opérations de rénovation, et plus encore dans des phases de déconstruction.Plus les poussières sont fines, mieux elles pénètrent dans l’organisme et en particulier dans le système pulmonaire. Lorsque leur taille est comprise entre 10 et 100 µm, on estime que les poussières circulent jusqu’aux fosses nasales. De 5 à 10 µm, elles atteignent les bronchioles. Et en-dessous de 5 µm, elles suivent les voies respiratoires jusqu’aux alvéoles pulmonaires. Une réglementation précise La silice sous ses différentes formes (quartz, cristobalite et tridymite) est classée dans la catégorie des agents chimiques dangereux (ACD) définis à l’article R. 4412-3 du Code du travail. De ce fait, les entreprises doivent appliquer les dispositions spécifiques relatives à la prévention des risques chimiques, définies dans les articles R. 4412-1 à R. 4412-57 du Code du travail. Par ailleurs, les articles R. 4412-154 et R. 4412-155 indiquent les valeurs limites d’exposition aux poussières (VLEP), en cas de présence simultanée de poussières alvéolaires contenant de la silice cristalline et d’autres poussières alvéolaires non silicogènes. La concentration moyenne en silice cristalline inhalée par un travailleur pendant une journée de travail de 8 h ne doit pas dépasser 0,1 mg/m3 pour le quartz, et 0,05 mg/m3 pour la cristobalite et la tridymite. Autant ces valeurs limites d’exposition peuvent être mesurées et contrôlées dans des lieux fermés, comme une unité de préfabrication, autant l’approche est complexifiée sur un chantier, par définition ouvert et en évolution permanente. Comme pour l’ensemble des risques professionnels, l’entreprise doit pouvoir évaluer de manière concrète le risque poussières, pour ensuite le traduire dans son Document unique (DU). Les questions qui doivent être posées se situent à plusieurs niveaux : l’activité de l’entreprise expose-t-elle les salariés aux poussières ? Si oui, quelles sont les situations de travail qui exposent les salariés à ces dernières ? A quelle fréquence, quelle durée, quelle intensité les salariés sont-ils exposés ? Les réponses à ces questions doivent permettre de déboucher sur des actions de prévention les plus adaptées, les solutions étant nombreuses. Zoom sur la structure de la silice cristalline. [©INRS] Matériaux, modes constructifs et procédures au cœur du problème La brumisation, une solution efficace en extérieur pour limiter la propagation des poussières. [©DR] Il existe nombre de solutions permettant de limiter l’empoussièrement des chantiers, sachant que les risques doivent aussi être évalués en fonction des ciments utilisés. Les ciments purs (CEM I), mais aussi la grande majorité des ciments au calcaire (CEM II/LL), ainsi que les ciments au laitier produits en France (CEM II/A-S et CEM III) ne contiennent pas de silice cristalline. Seuls, les ciments au laitier et cendres (CEM V) ou les ciments à la pouzzolane (CEM II/A-P ou CEM II/A-M P-LL) peuvent contenir une fraction infime de silice cristalline. Ce sont surtout les opérations de ponçage, de perçage et de rainurage qui sont des sources d’émissions de poussières en quantité variable. Et dont il faut se protéger. Les poussières émises par ces traitements peuvent contenir des éléments de silice cristalline, mais aussi une faible proportion de nanoparticules. Ces dernières années, la commercialisation de ciments, de mortiers, de mortiers-colles et d’enduits à faible émission de poussières contribue aussi à limiter l’empoussièrement des postes de travail. Lorsque ces actions ne sont pas possibles ou difficiles à mettre en œuvre, il faut réfléchir à l’optimisation de l’organisation, visant à limiter l’exposition aux poussières. Notamment, en s’organisant pour réduire le nombre de salariés exposés, pour diminuer leur temps de présence grâce aux rotations de postes. Ou encore en limitant la co-activité entre les différents corps d’état sur le chantier. D’autres pistes peuvent compléter les moyens de prévention, comme la limitation de l’accès aux zones concernées, l’aspiration à la source, la brumisation des zones de travail à risques... Matériels, outillages et protections Le choix des matériels et des outillages entre aussi en ligne de compte. Depuis plusieurs années, les industriels de l’outillage électroportatif font évoluer leurs productions pour intégrer la prévention du risque poussières. Pour les outils électroportatifs, il faut privilégier le matériel à vitesse lente qui produit moins de poussières. Ce dernier doit être équipé d’un système intégré de captage des poussières. Et relié à un aspirateur équipé de filtres adaptés. Des matériels comme les tronçonneuses ou les carotteuses à eau vont dans le même sens. Les perceuses et perforateurs peuvent être équipés de dispositifs d’aspiration et de mèches creuses pour orienter et aspirer les poussières. Pour les meuleuses, des carters d’aspiration sont disponibles. Des ponceuses compactes sont aussi conçues avec un collecteur de poussières, afin d’en absorber un maximum. Les opérations de rénovation lourde impliquent parfois des démolitions et déconstructions partielles. Ces interventions sont sources de risques à plusieurs niveaux : empoussièrement, risques d’écrasement, manutentions importantes… Aussi, elles sont de plus en plus souvent effectuées par des robots commandés à distance, parfois en complément des opérations de sciage. Lorsque toutes les actions de protection collective ne peuvent pas être mises en place, il faut prévoir des équipements de protection individuelle (EPI). Notamment de ceux de protection respiratoire, qui doivent être équipés au minimum de filtres de classe P2. Et obligatoirement de classe P3 pour les activités génératrices de poussières de silice ou de bois durs. Selon les travaux, il faut utiliser un masque jetable anti-poussières ou un masque réutilisable avec filtre de type P, pour des tâches de faible empoussièrement et de courte durée. De nombreux matériels électroportatifs sont équipés d’un système intégré de captage des poussières et reliés à un aspirateur équipé de filtres adaptés. [©Fischer] Sensibiliser l’encadrement et le personnel Lorsque des protections collectives sont inadaptées à la situation, le port d’EPI est indispensable. [©OPPBTP] Comme pour l’ensemble des risques professionnels, l’encadrement se doit d’informer et de sensibiliser le personnel aux travaux sources de poussières et aux mesures de prévention à adopter. Pour ce faire, il est nécessaire d’établir une notice de poste pour chaque situation de travail exposant les travailleurs à des agents dangereux, tels que les poussières. Cette notice est destinée à informer les salariés des risques auxquels leur travail peut les exposer et des dispositions prises pour les éviter. La notice rappelle les règles d’hygiène, ainsi que les consignes relatives à l’emploi des équipements de protection collective ou individuelle. La sensibilisation passe aussi par des actions d’information et par l’édition de messages réguliers, afin que les mesures de prévention deviennent des automatismes, au niveau de l’encadrement, du personnel de chantier et d’atelier. Pour les entreprises de moins de 50 salariés, il existe aussi des dispositifs d’aides financières spécifiques. L’assurance maladie propose l’aide “Bâtir +” pour améliorer la sécurité et l’hygiène sur les chantiers du BTP. Les Caisses d’assurance retraite et de santé au travail (Carsat) peuvent aussi intervenir au niveau financier auprès des petites entreprises grâce aux “Subventions prévention TPE/PME”. Enfin, comme le démontre une enquête réalisée il y a quelques années par l’Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics (OPPBTP), l’investissement dans des mesures efficaces de prévention protège le personnel, améliore les conditions de travail… Et par suite, la productivité de l’entreprise. Il aura fallu du temps pour que ce lien évident soit reconnu, car on peine toujours à admettre que des “dépenses” de prévention représentent en fait un investissement pour l’entreprise. &nbsp; Gérard Guérit Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 65 jours

Soriba : « Nous investissons pour le futur »

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. De gauche à droite, Stéphane Garnier, président de Soriba, Valentin Garnier, en charge du projet industriel “escaliers et du bas carbone”, et Simon Garnier, responsable du site de production de Challans. [©Soriba] L’actualité du moment chez Soriba concerne la construction d’une nouvelle usine à Fontenay-le-Comte, en Vendée. Vous pouvez nous en dire plus sur ce projet&nbsp;? L’idée est de créer un outil capable de répondre à nos besoins immédiats et à venir. Le béton est une industrie lourde et pérenne. Il ne faut donc pas se tromper dans ces choix. Notre nouvelle installation prend place sur un site existant de 9 ha. Elle complète et étend l’usine qui y est déjà présente. Pour cette réalisation, nous nous sommes basés sur le retour d’expérience de notre dernière extension, qui date de 2011. Celle-ci était déjà une rupture en matière d’outils industriels de préfabrication. Une nouvelle fois, nous investissons pour le futur. L’unité de production de Fontenay-le-Comte Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 65 jours

Les innovations matériels fleurissent au printemps

Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine [©ACPresse] Le Covid aura empoisonné la vie de bien des secteurs d’activité. Celui de l’évènementiel aura payé un lourd tribut à la pandémie. Côté construction, la victime s’appelle Intermat &#8211; World of Concrete Europe, qui a jeté l’éponge dans les derniers jours de l’année 2020. Rendez-vous est déjà pris pour avril 2024, un peu avant les Jeux olympiques de Paris. Mais à la demande de nombreux industriels, un rendez-vous plus modeste a été annoncé. Baptisé “Construction Days”, il se tiendra du 14 au 16 septembre prochain, en plein air, au parc Eurexpo Lyon.&nbsp;Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 65 jours

Cem’In’Eu joue la fille de l’eau

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Les barges de clinker permettent de desservir la nouvelle usine de Cem’In’Eu de Portes-lès-Valence. [©Cem’In’Eu] Drôme. Connecté aux réseaux ferré et fluvial, le nouveau site industriel de la start-up cimentière Cem’In’Eu de Portes-lès-Valence (26) lance l’approvisionnement par le Rhône. La première barge de clinker en provenance de Sète (34) a accosté, le 8 février dernier, au port fluvial de commerce de la Drôme, à Valence. A l’heure actuelle en phase de démarrage industriel, le nouveau site baptisé Rhône Ciments est la 2e usine française de Cem’In’Eu (après celle d’Aliénor Ciments, à Tonneins, dans le Lot-et-Garonne). Rhône Ciments sera approvisionnée en matières premières à la fois par voie ferrée et par le Rhône en provenance du port de Sète. A terme, l’usine recevra environ 4 000 t de clinker par semaine par ces deux moyens de transport. Le transport fluvial est affrété par l’entreprise sétoise Cem’In’Log et opéré par Agora Fluvial (groupe Sogestran). Placée au cœur des territoires, Rhône Ciments est idéalement située pour desservir les marchés d’Auvergne – Rhône-Alpes Sud,&nbsp; et de Provence – Alpes – Côte d’Azur et d’Occitanie. « Si nous avons sélectionné le site de Portes-lès-Valence pour implanter Rhône Ciments, c’est pour sa connexion aux réseaux fluvial et ferré, déclare Magali Laurenço, directrice de Rhône Ciments. Un atout unique pour atteindre nos objectifs ambitieux en matière d’impact carbone. La collaboration avec la Compagnie nationale du Rhône et la Chambre de commerce et de l’industrie de la Drôme nous permet aujourd’hui d’accueillir la première barge de clinker dans de bonnes conditions. Et d’envisager de manière sereine notre développement, dans le respect de l’environnement. » Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 65 jours

MRO reprend l’importation des solutions Reimer

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Les solutions Reimer sont désormais importées par MRO. [©MRO] Charente-Maritime. Déjà présente à travers le réseau d’Abo Distribution, le Canadien Reimer est désormais distribué en France par Matériels Routiers de l’Ouest (MRO). Depuis renommé ProAll Reimer Mixers, l’industriel propose toujours des malaxeurs mobiles capables de produire du béton à la norme BCPN (Béton à composition prescrite dans une norme) sur place, à la qualité et à la quantité souhaitées. «&nbsp;Nous avons repris cette carte en juillet 2020, explique Sylvain Augeraud, gérant de MRO. Nous sommes les distributeurs uniques de ProAll Reimer Mixers pour la France. Nous avons aussi un stock d’environ 38 000 € de pièces détachées, qui nous permet de répondre aux besoins les plus urgents de nos clients. Nous avons mis en place un SAV, qui n’existait plus.&nbsp;» Ce service s’appuie sur un responsable technique qui réalise le suivi des machines, le dépannage à distance et les mises en route des machines. Un second technicien est en cours de recrutement. Il aura en charge les déplacements pour réparation.&nbsp; «&nbsp;A l’origine, MRO distribue des centrales à enrobé pour les entreprises de travaux publics. A travers cette activité, j’ai été amené à croiser les solutions Reimer. Et j’ai tout de suite été convaincu par ce véritable service offert aux entreprises, ce gain en indépendance et cette liberté de planning. Quand on m’a proposé de reprendre l’importation et la distribution, je n’ai pas hésité.&nbsp;» MRO reprend aussi le carnet de clients déjà établi de Reimer en France, tout en le développant, vers les entreprises de travaux publics.&nbsp; Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 65 jours

Groupe JPS Granulats : Le bas carbone comme leitmotiv

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Olivier Stocker, président du groupe JPS Granulats : « Dans le béton, c’est le clinker qui est émetteur de CO2, pas l’eau, ni les granulats ». [©ACPresse] Président du groupe JPS Granulats, Olivier Stocker est quelqu’un qui aime faire bouger les lignes. Déjà en 2017, il a fait modifier le référentiel de certification NF Liants hydrauliques1(NF 002). Ceci, pour le mettre en phase avec les Modalités d’application du marquage CE Ciments (CE 002). Une initiative qui a ouvert la porte à la fabrication de ciments en usines de mélange en France.&nbsp; Par voie de conséquence, Ciments 2170, filiale de JPS Granulats, a pu lancer une production de CEM II/B-LL 42,5 N CE NF et 32,5 R CE NF. Le premier intègre 25 % de fillers calcaire micronisés Adca, fabriqués par JPS Granulats, et 75 % de clinker, fourni par Vicat. Quant au 32,5 R, le taux de substitution grimpe à 30 %.&nbsp;«&nbsp;Notre objectif pour 2022 est de passer 100 % de notre production en CEM II/B-LL 32,5 R&nbsp;», explique Olivier Stocker. Et de poursuivre&nbsp;:&nbsp;« Dans le cadre de notre R&D, nous avons même formulé un ciment avec 40 % de fillers calcaire et réalisé des bétons affichant tous les critères de durabilité et de résistance qu’on doit attendre d’eux&nbsp;».&nbsp; L’étape suivante dans le développement de l’offre ciments s’appelle CEM II/C 42,5 et CEM VI. Des solutions bas carbone, toujours réalisées par mélange, mais ternaires. Outre le clinker et le filler micronisé, ils intègrent du laitier. Toutefois, pas de haut fourneau.&nbsp;«&nbsp;En local, nous avons identifié un industriel intervenant dans le recyclage de l’acier,reprend Olivier Stocker.&nbsp;Ce dernier est en mesure de nous fournir un laitier dit de recyclage, apte à la production de ciment». Mais là se pose une nouvelle fois un problème de normalisation, qui n’a pas prévu la possibilité d’utiliser du laitier de recyclage. Il faudra donc faire bouger les lignes, puisque la ressource est là&#8230; Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m&#039;inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );