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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Acpresse Béton

(3884 résultats)
Il y a 4 ans et 119 jours

Les rupteurs de ponts thermiques

Le rupteur de ponts thermiques Isotec RT+ répond aux besoins croissants de réduire la consommation d’énergie des logements. [©Plaka] Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Placés au bon endroit, les rupteurs de ponts thermiques sont les amis des occupants d’un bâtiment. Ce sont eux qui permettent d’optimiser les performances techniques, en “comblant” les espaces où le froid et la chaleur peuvent s’immiscer. Structurels, non structurels, maçonnés ou encore parasismiques… Il existe une large offre selon le projet et la problématique du chantier. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 119 jours

Le béton en deux temps trois clics

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. De plus en plus d’industriels du béton proposent des services digitaux pour la commande, le suivi et la livraison de matériaux. Ici, Digibéton d’Eqiom. [©Eqiom] Aujourd’hui, en deux temps trois clics, vous avez la possibilité de vous faire livrer ou de commander en “Click & Collect” toutes sortes d’objets et de produits. Avec la transition digitale, le e-commerce a fait une ascension fulgurante. Et les différents confinements ont accéléré la cadence de certaines enseignes, qui ont décidé de fermer des boutiques en faveur de la vente numérique. Le monde du bâtiment ne déroge pas à la règle. Les sites de e-commerce dédiés aux professionnels du secteur ont le vent en poupe, même si les négoces restent toujours très fréquentés1. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 119 jours

L’UMGO-FFB et WorldSkills France s’unissent

De gauche à droite : Christophe Possémé, président de l’UMGO-FFB, et Armel Le Compagnon, président de WorldSkills France. [©UMGO-FFB] WorldSkills France et l’UMGO-FFB s’unissentpour promouvoir les métiers du gros œuvre et de la maçonnerie. Ainsi, Christophe Possémé, président de l’UMGO-FFB, et Armel Le Compagnon, président de WorldSkills France, ont signé une convention dans ce sens, encadrant un appel à financement participatif. Cette convention a pour objectif de financer les actions de promotion des métiers du gros œuvre et de la maçonnerie dans le cadre des compétitions WorldSkills en France. Ainsi, l’Union veut mobiliser son réseau en faveur d’une jeunesse qualifiée. Dont les compétences sont des ressources précieuses des entreprises. Les compétitions WorldSkills, véritable vitrine des métiers Ces dernières pourront ainsi faire un don défiscalisé à hauteur de 60 %, afin d’assurer la promotion de leurs métiers et le recrutement pérenne de jeunes maçons français. « Les compétitions WorldSkills sont une véritable vitrine de nos métiers. Nos champions maçons, constructeurs en béton armé et tailleurs de pierre sont nos porte-paroles pour donner envie à des milliers de jeunes. Ceci, à l’image des sportifs, de rejoindre la grande famille de la maçonnerie et du gros œuvre. Mettons-les en avant pour promouvoir nos métiers et assurer la relève ! », souligne Christophe Possémé. Et Armel Le Compagnon, de conclure : « La mise en valeur des métiers fait partie de notre ADN, de nos missions. Pour hisser la France dans le Top 5 des nations à l’horizon 2024, il nous faut mobiliser tous les moyens nécessaires pour permettre l’accompagnement de ces jeunes et leur montée en compétences. Il nous faut dans cette lignée continuer à impliquer l’éco-système autour des jeunes et des métiers. Et notamment être au plus près des entreprises pour préparer ensemble les compétiteurs de demain ».
Il y a 4 ans et 119 jours

Autoroute A9 : Le viaduc de Roquemaure rénove ses fondations

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Les travaux de rénovation des fondations du viaduc de Roquemaure sont opérés à partir de barges et de pontons. [©ACPresse] A hauteur de Roquemaure, dans le Gard, l’autoroute A9 franchit le Rhône. Le chemin départemental 976 suit la même trajectoire, en aval, tout comme le viaduc de la ligne LGV Sud-Est, positionné en amont. Soit une concentration de trois ouvrages d’art sur la même zone. Et pour ne rien gâter, le secteur est classé “Natura 2000”… Ainsi, de nombreux reptiles, dont le lézard des murailles, protégé, vivent sur les berges du fleuve. Afin d’empêcher toute intrusion de la faune sur les zones de travail, la base-vie a été clôturée dans sa totalité, avec mise en place d’un géotextile dans la partie basse du grillage. Son emprise a aussi été millimétrée pour tenir compte de la présence de pieds d’Aristoloche, la plante-hôte de la Diane, un papillon lui aussi protégé. De son côté, le fleuve n’a pas échappé, non plus, à des mesures Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 119 jours

Carbon8 Systems : De déchets à matériaux

Vicat a déjà accueilli un CO2ntainer sur le site de sa cimenterie Montalieu-Vercieu (38). [©ACPresse] La start-up britannique Carbon8 Systems utilise le dioxyde de carbone pour traiter les déchets industriels. Sa technologie CO2ntainer permet ainsi de recréer des produits pour le monde de la construction. Par exemple, au sein d’une cimenterie, l’outil conçu par Carbon8 Systems s’intègre directement dans le processus de fabrication pour capter le C02 présent dans les gaz de combustion. Au lieu de prendre des millénaires, le CO2ntainer accélère le processus de capture de CO2. Quant aux poussières, elles sont récupérées en sortie de four, puis mises en stock avant d’être acheminées jusqu’au petit silo rattaché au CO2ntainer. En effet, les déchets industriels se composent de sel de calcium et de magnésium. Ces derniers réagissent de façon naturelle au CO2. Les conteneurs de la start-up traitent en même temps les diverses contaminations présentes dans les déchets. Ainsi, les résidus restant peuvent ensuite être compactés pour former des granulats. Donc un nouveau matériau, issu des déchets industriels. Depuis le mois de septembre 2020, Vicat accueille un CO2ntainer sur le site de sa cimenterie Montalieu-Vercieu (38). Un site test, qui pourrait se dupliquer dans d’autres usines…
Il y a 4 ans et 119 jours

Des jouets pour les grands

Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. [©ACPresse] Il y a toujours deux écoles : OM ou PSG, Rolling Stones ou Beatles, Serpentard ou Gryffondor, Playmobil ou Lego. L’idée n’est pas de débattre pour savoir qui a raison ou qui a tort car, à vrai dire, il n’y a pas de bonne réponse. Dans ce contexte, ne reste qu’une chose à faire : s’intéresser aux Lego ! Mais pas à n’importe lesquels, ceux “réservés” aux grands. En effet, le fabricant danois, inventeur de ces petites briques colorées, a su capter l’air du temps, en ramenant à lui, les adultes nostalgiques. Une bonne excuse pour certains de se remettre à jouer. Et si, en plus, c’est avec un camion, le bonheur peut être total. Au début de l’automne 2020, Lego a ainsi sorti ce qu’il appelle “le camion bétonnière”. Autrement dit, une toupie. La maquette n’est pas anodine, puisque la boîte contient quelque 1 163 pièces. De quoi s’occuper pendant plusieurs soirées… Une fois achevée, le véhicule tient un peu de place : 40 cm de long pour 20 cm. Il est pleinement fonctionnel : la cuve tourne, entraînée par le mouvement des roues et via une petite manivelle. On peut ainsi vidanger son contenu. Saisissant de réalisme, même si cette maquette n’est pas en mesure de transporter 8 m3 de béton ! Côté BTP, Lego ne s’est pas arrêté à la toupie, proposant aussi un dumper articulé 6 x 6 Volvo A60H. Ou la très imposante pelle minière Liebherr R 9800 (et ses 4 108 pièces). Enfin, il y a aussi la magnifique ligne “Architecture”, qui passe en revue les réalisations emblématiques à travers le monde. Tels l’Empire State Building, la Burj Khalifa. Ou enfin, les reproductions de villes comme Paris, Londres, Tokyo, San Francisco. A chacun de faire son choix. Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 119 jours

L’UFL met à jour son guide d’achat des grues mobiles

L’UFL met régulièrement à jour son guide d’achat des grues mobiles. [©UFL] L’Union française du levage (UFL) est un organisme engagé depuis ses débuts dans la promotion des solutions conformes à la réglementation routière. Pour cela, l’UFL met en œuvre régulièrement une analyse comparative des grues mobiles disponibles sur le marché. Les équipes de l’UFL se servent de la documentation fournie par les concepteurs. Le premier guide d’achat est sorti en 2019. Son actualisation permet aux professionnels du secteur du levage d’être au courant des dernières nouveautés ou innovations. Le nouveau guide propose une liste des grues selon plusieurs critères : la longueur de la flèche, le poids total, la configuration pneumatique, ainsi que les équipements possibles à embarquer. Un guide des grues mobiles pour les professionnels du levage « Ce guide d’achat, ainsi que le précédent, démontrent que les constructeurs fabriquent des matériels permettant de rouler conformément à la règlementions routière. Les professionnels du levage n’ont plus d’excuses et pas le choix. Ils doivent circuler en conformité avec la réglementation. Il n’y a ainsi que des avantages pour nos prestations et pour garantir toute atteinte à la responsabilité de nos chefs d’entreprise »,déclare Michel Licausi, président de l’UFL. Le travail des équipes pour réaliser ce guide n’est pas exhaustif. En effet, les options proposées par les constructeurs sont nombreuses. Le guide d’achat recense les matériels les plus courants et les plus utilisés sur le marché. Ce document a aussi un deuxième rôle, qui est de sensibiliser les professionnels aux réglementations en vigueur. Les équipes de l’UFL souhaitent rétablir une concurrence loyale pour le secteur du levage.   Charline David 
Il y a 4 ans et 120 jours

Matériels de BTP : Le Seimat table sur + 8 % en 2020, sauf pour le béton

Seules, les pompes à béton stationnaires ont progressé de 6 % en 2020, en nombre de matériels vendus. [©ACPresse] « On a craint le pire ! » Ainsi, Pascal Guillemain, président du Seimat*, est-il entré dans le vif du sujet. Celui détaillant les résultats 2020 et les perspectives 2021 de la vente de matériels de BTP. « Début mars, lorsque tout s’est arrêté, nous étions inquiets. Mais finalement, la crise n’a pas été si dramatique pour l’activité. » Ceci, par rapport à ce qu’on en aurait pu en attendre…  Dans ce contexte particulier, l’année 2020 s’est achevée avec un recul des ventes de 16 %, tous matériels confondus. Soit un passage de 2,8 à 2,2 Md€ de chiffre d’affaires pour l’ensemble des industriels représentés par le syndicat. « Le Seimat réunit 41 adhérents pour 76 marques identifiées. C’est l’équivalent de 75 % du marché du matériel en France », rappelle Pascal Guillemain. Et Pascal Petit-Jean, secrétaire général du Seimat, de compléter : « Nous n’avons eu aucune nouvelle adhésion en 2020. Sans doute, les effets indirects de la crise sanitaire. Mais nous espérons faire changer les choses cette année… » Aussi bien qu’en 2009 Plus dans le détail, le premier semestre 2020 est celui qui a enregistré la plus forte baisse. Ce qui semble logique, avec un arrêt presque total de l’activité économique durant quelques semaines. Ainsi, à fin juin, les ventes de matériels affichaient un triste – 30 %. Mais la seconde moitié de l’année a connu un important rebond, finissant à – 3 %. Et 2021 devrait s’inscrire dans cette belle dynamique. « Nous attendons une progression de 8 % sur l’année. » Soit la vente de 52 700 matériels, contre 50 000 tout juste en 2020. Malgré tout, ce chiffre restera inférieur aux exceptionnelles 60 000 unités enregistrées à fin 2019. « Mais il ne faut pas bouder son plaisir, reprend Pascal Guillemain. L’année 2021 devrait être comparable à 2008, avec ses 53 200 matériels. Un chiffre historique. » Juste avant la chute mémorable liée à la crise des sub-primes de 2009. Mais ne jouons pas les Cassandre, cette fois-ci, la crise inattendue est passée avant…  Centrales, pompes et toupies, plombées par le Covid Et dans cette situation plutôt positive, qu’en est-il des matériels pour le béton ? A vrai dire, ce sont eux qui tirent le moins bien leur épingle du jeu. Ils finissent bon dernier, à -38 %. « Nous étions déjà sur une tendance baissière en 2019 et avions anticipé un recul de – 10 % en 2020 », confie Olivier Saint-Paul, responsable positionnement et réforme des statuts du Seimat. La crise du Covid a juste enfoncé le clou ! Ainsi, les toupies passent de 1 148 unités en 2019, à tout juste 819, en 2020. Soit un recul de 40 %. Les pompes automotrices terminent l’année à – 24 % (52 unités vs 68 un an plus tôt). Seules, les pompes stationnaires se distinguent, progressant de 6 %. A relativiser tout de même, car cela représente une unité en plus (soit 17 pompes en 2020 contre 16 en 2019 !). Quant aux tapis de transport du béton, ils quittent provisoirement la partie, faute de combattants… « Il n’y a plus de statistiques officielles concernant ces équipements, car il n’y a pas assez d’adhérents dans cette catégorie », précise Pascal Petit-Jean.  Un second semestre 2021 incertain dans le béton Dans ce contexte, l’année 2021 ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices. Le Syndicat national du béton prêt à l’emploi (SNBPE) table sur une progression de l’activité de 1 %. De facto, les achats de matériels (centrales, pompes comme toupies) ne devraient pas exploser les compteurs. Au mieux, le Seimat espère atteindre les 3,5 % de hausse. Et encore, pas répartis de manière équitable. « Les 3,5 % constituent la version haute, conclut Olivier Saint-Paul. Plus vraisemblablement, nous nous situerons entre 0 et 3,5 %. » Sachant que, s’il y a de bonnes attentes sur le premier semestre 2021, les incertitudes planent sur le reste de l’année… Frédéric Gluzicki *Syndicat des entreprises internationales de matériels de travaux publics, mines et carrières, bâtiment et levage. 
Il y a 4 ans et 120 jours

BTP Consultants change de gouvernance et d’actionnaires

De gauche à droite, Roland Le Roux, nouveau président du groupe BTP Consultants, et Jean-François Baron, nouveau président de BTP Consultants. [©BTP Consultants] Pour accélérer son développement, le groupe BTP Consultants (BTP Consultants, Citae et MBAcity) s’appuie sur une nouvelle gouvernance. Ainsi que sur de nouveaux actionnaires à compter du 1ermars 2021. Ainsi, Roland Le Roux en devient le nouveau président. Et succède à Patrick Vrignon, fondateur du groupe. Ce dernier est nommé président du conseil de surveillance auprès des investisseurs. Jean-François Baron, actuel directeur opérationnel, est, quant à lui, le nouveau président de BTP Consultants. Rony Chebib reste directeur général de cette entité et aidera Jean-François Baron dans ses nouvelles fonctions. Vers une croissance organique De plus, le groupe BTP Consultants fait entrer les fonds d’investissement Apax Partners et Bpifrance. Fort de ce soutien, il ambitionne de poursuivre sa croissance organique et de déployer une stratégie d’acquisitions ciblées. « L’arrivée d’Apax et de BpiFrance et l’entrée au capital de plus de 20 managers vont nous permettre d’aller plus loin encore. De précurseur dans nos métiers, nous nous donnons les moyens de devenir acteur de référence de la transformation complète des secteurs de l’immobilier et de la construction, explique Roland Le Roux, nouveau président du groupe. Et de poursuivre : « Fort de ce soutien, le groupe BTP Consultants vise à poursuivre sa croissance annuelle supérieure à 10 %. Et à déployer une stratégie d’acquisitions ciblées. A horizon 2025, nous avons pour ambition de doubler notre chiffre d’affaires en régions. Ainsi que de renforcer notre présence sur des segments à fort potentiel de croissance. Industrialisation et digitalisation de la conception et de la construction, rénovation énergétique et impact carbone. Mais aussi mise à disposition et gestion des données sont autant de thématiques sur lesquelles nous nous positionnons comme leader pour nos professions. Ainsi que pour l’ensemble du secteur d’activité ». Près de 60 M€ de chiffre d’affaires Spécialiste du secteur des Tic (Testing, Inspection et Certification), le groupe BTP Consultants s’est imposé comme référent technique des acteurs du bâtiment et de la conception des projets de rénovation. Créé en 1996, il propose une offre complète de services de contrôle technique pour la construction, la coordination SPS (Sécurité et Protection de la Santé), les diagnostics immobiliers et l’assistance à maîtrise d’ouvrage. Ainsi que des prestations liées au BIM. Il emploie plus de 500 collaborateurs à travers un réseau de 24 agences en France. De plus, il réalise un chiffre d’affaires de près de 60 M€. Et compte plus de 6 000 clients au sein de son portefeuille. « Nous franchissons une étape importante dans la transmission progressive du groupe à son management. Je suis fier du travail accompli par l’ensemble des collaborateurs du de BTP Consultants. Et certain que le savoir-faire des investisseurs et de la nouvelle équipe dirigeante lui permettra de poursuivre sa croissance basée sur la culture clients et l’innovation »,conclut Patrick Vrignon, fondateur et président du conseil de surveillance.
Il y a 4 ans et 120 jours

La division “Véhicules industriels” de Daimler va se scinder en deux

En 2019, Daimler a livré un total d’environ 500 000 camions et bus dans le monde. [©Daimler] Daimler prévoit un changement fondamental dans sa structure. Le but ? Libérer le plein potentiel de ses activités, afin d’accélérer la mise en place du “zéro émission”. Le conseil de surveillance et le directoire envisagent une scission partielle de ses activités industrielles dans le secteur des camions et des bus. L’idée est de créer, d’un côté, Mercedes-Benz Cars & Vans et, de l’autre, Daimler Truck & Bus. Cette dernière entité aura une gestion indépendante et une gouvernance d’entreprise autonom. Y compris un président indépendant du conseil de surveillance. La transaction et la cotation de Daimler Truck & Bus à la bourse de Francfort devraient être achevées avant la fin de l’année 2021. En outre, Daimler a l’intention de se rebaptiser Mercedes-Benz, en temps voulu…  Mercedes-Benz est la marque automobile la plus connue au monde « C’est un moment historique pour Daimler. Il représente le début d’un profond remodelage pour la société. Mercedes-Benz Cars & Vans et Daimler Trucks & Bus sont des entreprises différentes, avec des clients, des voies technologiques et des besoins en capitaux spécifiques », déclare Ola Källenius, président du conseil d’administration de Daimler et Mercedes-Benz. Et de poursuivre : « Mercedes-Benz est la marque automobile la plus connue au monde, offrant des voitures désirables à des clients exigeants. Daimler Truck & Bus fournit des solutions de transport et des services de pointe à ses clients. Les deux sociétés opèrent dans des secteurs qui sont confrontés à des changements structurels et technologiques majeurs. Dans ce contexte, nous pensons qu’elles seront en mesure de fonctionner plus efficacement en tant qu’entités indépendantes. Dotées de fortes liquidités nettes et libérées des contraintes d’une structure de conglomérat ». A travers cette scission, Daimler Truck entend créer de la valeur pour ses actionnaires. Ceci, en accélérant l’exécution de ses plans stratégiques. En augmentant sa rentabilité et en poursuivant le développement de technologies sans émissions pour ses camions et ses bus. 500 000 camions et bus en 2019 « L’indépendance s’accompagne de plus grandes possibilités, d’une plus grande visibilité et d’une plus grande transparence, explique Martin Daum, membre du conseil d’administration de Daimler et président du conseil d’administration de Daimler Truck.  Nous allons poursuivre notre croissance dans le domaine des moteurs alternatifs et de l’automatisation. Nous avons déjà défini l’avenir de nos activités avec des camions à batteries et à piles à combustible. Ainsi que des positions fortes dans la conduite autonome. Grâce à des partenariats ciblés, nous allons accélérer le développement des technologies clefs. Ceci, pour proposer à nos clients les meilleurs produits de leur catégorie. » Daimler Truck & Bus est le plus important constructeur de camions et de bus à l’échelle mondiale. Avec plus de 100 000 employés, il réunit 7 marques : BharatBenz, Freightliner, Fuso, Mercedes-Benz, Setra, Thomas Built Buses et Western Star. En 2019, un total d’environ 500 000 camions et bus de la marque a été livré dans le monde. Le chiffre d’affaires 2019 des différentes divisions a atteint 40,2 Md€ pour la partie “Trucks” et 4,7 Md€ pour la partie “Bus”. « La transformation de notre industrie progresse très vite. Pour que nous puissions suivre le rythme, nous devons investir dans l’innovation. A cette fin, nous allons créer un fonds de 1,5 Md€ pour Daimler Truck. En plus de nos plans financiers actuels », conclut Michael Brecht, Président du Comité d’Entreprise de Daimler.
Il y a 4 ans et 120 jours

SikaRapid-8 Slag, un nouvel accélérateur de durcissement

Sika déploie des solutions en faveur de la fabrication de bétons bas carbone. [©Sika] A l’heure de la transition écologique et de la RE 2020, la filière béton travaille à la réduction de son empreinte carbone. Objectif : diminuer de 80 % des émissions de CO2 à l’horizon 2050. Ainsi que Sika vient de développer SikaRapid-8 Slag, un nouvel accélérateur de durcissement, spécifique aux bétons dits “bas carbone”, c’est-à-dire formulés avec une addition de laitier ou à base de ciment recomposé en contenant. SikaRapid-8 Slag est destiné aux bétons prêts à l’emploi, ainsi qu’aux bétons préfabriqués armés ou précontraints. Il permet une montée en résistance à court terme de ces bétons : + 30 % de résistances mécaniques à 20 °C et + 40 % à 5 °C (au bout de 18 h, pour un mélange 50/50 CEM I/laitier). Ainsi qu’une réduction des délais de décoffrage en BPE. Et une amélioration des cadences et une diminution de l’étuvage en préfabrication. Enfin, SikaRapid-8 Slag améliore l’aspect du béton. Conforme à la norme NF EN 934-2 et titulaire de la marque NF, SikaRapid-8 Slag est fabriqué dans l’usine Sika située à Gournay-en-Bray (76).
Il y a 4 ans et 120 jours

Anhydritec : « L’année 2021 sera celle de l’évolution majeure de la Thermio+ »

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Francis Augustin, directeur marketing et commercial Europe d’Anhydritec. [©Anhydritec]    Anhydritec existe depuis 7 années. Quel regard portez-vous sur le chemin parcouru ? Et le futur ? Francis Augustin : Anhydritec s’inscrit dans la continuité de La Chape Liquide, marque née il y a 30 ans. Marque forte aussi, qui s’est “générisée” au fil du temps. Pour beaucoup, Chape Liquide et chape fluide sont des synonymes. Aujourd’hui, notre politique est de mettre en avant le nom Anhydritec et d’estomper La Chape Liquide, au profit des marques que sont Thermio+, Excelio, Initio Classic… En rejoignant le groupe espagnol Minersa, en 2013, nous nous sommes enrichis, réciproquement. Tout en réalisant une intégration verticale, aboutissant à une meilleure maîtrise de nos matières premières. Avec Minersa, nous sommes passés d’une approche par pays à une stratégie transversale. Chaque marché se nourrit des expériences de tous. Ainsi, Excelio en est un exemple emblématique : l’expérience sur les chapes adhérentes, répandues aux Pays-Bas, a été le point de départ du développement d’Excelio. A commencer par le Royaume-Uni, marché où ce type de solutions n’existait pas. Nous allons continuer notre stratégie d’innovation et de différenciation en Europe. La Slovaquie est le prochain pays sur notre liste. En revanche, en Allemagne, l’adoption de l’innovation est plus lente, car ce marché est très réglementé et apparaît plus conservateur. Pourtant, c’est là que sont nées les chapes fluides anhydrite, il y a plus de 50 ans. Enfin, en France, nous restons n° 1, dans notre domaine d’activité. Quelque 230 centrales à béton proposent nos solutions et près de 600 entreprises applicatrices sont agréées Anhydritec. Vous lancez des technologies additionnelles. En quoi consistent-elles ? SP ou “Sans pellicule/sans ponçage” est la première technologie additionnelle que nous avons lancée. C’est une solution intéressante, en termes de gain de temps pour les entreprises applicatrices. Ce principe est demandé ou attendu, en particulier par des pays matures, comme la France ou le Royaume-Uni. Nous en poursuivons le développement avec deux nouvelles technologies. Tout d’abord, la solution SA ou “Séchage accéléré”. Son développement a nécessité 3 années de travail, dont 2 ans de tests sur le terrain. SA est commercialisée depuis 2 ans maintenant. Son action : faire sécher la chape plus vite, en provoquant une évacuation plus rapide de l’humidité. Le processus se fait, entre autres, via une modification de la structure interne de la chape. L’autre technologie additionnelle s’appelle R+R ou “Recouvrement plus rapide”. Cette fois-ci, il s’agit de permettre de recouvrir la chape plus tôt, malgré une humidité résiduelle plus importante : 2 % dans le cas du carrelage contre 1 % pour les autres chapes anhydrite sans R+R. Cette solution est sous Avis technique depuis le printemps 2019. SA et R+R sont des complémentaires. Elles sont proposées avec les chapes fluides Classic et Thermio+. D’autres technologies additionnelles verront le jour dans le futur… Au-delà de ces “compléments”, Anhydritec prépare-t-il le lancement de nouvelles chapes fluides ? L’année 2021 sera celle de l’évolution majeure de la Thermio+. Cette chape fluide anhydrite avait été lancée à l’occasion de la mise en application de la RT 2012. Avec l’arrivée de la RE 2020, elle sera disponible dans une nouvelle génération. D’autres chapes sont aussi au programme, mais pour plus tard. Beaucoup de choses nouvelles sont proposées depuis quelques mois. Une innovation majeure par an est un bon rythme. Une nouveauté, c’est 50 % de recherche en laboratoire, 50 % de tests sur chantiers. A quoi il faut ajouter 50 % à 100 % de temps additionnels pour accompagner le déploiement sur le terrain ! Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 92
Il y a 4 ans et 120 jours

Pénalités et indemnités : Les conséquences des retards de chantiers dus à la Covid-19

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Fermetures de chantiers et protocoles sanitaires stricts ont été le fruit de la crise liée à la Covid-19. [©ACPresse] La crise liée à la Covid-19 a imposé des fermetures de chantiers, puis la mise en place de protocoles sanitaires stricts. Autant de contraintes qui ont abouti, parfois, à des retards dans les travaux. Donc à des pénalités et des indemnisations. Toutefois, leur application diffère selon que les retards aient été pris jusqu’au 10 septembre 2020 ou postérieurement à cette date. Ceci, qu’ils aient été pris en raison de l’arrêt des chantiers ou de l’application des protocoles sanitaires… Les retards jusqu’au 10 septembre 2020 Trois textes du gouvernement ont pour but de “geler” les pénalités de retard dues à l’épidémie : les lois du 23 mars 2020 et du 11 mai 2020. Ainsi que l’ordonnance du 25 mars 2020. Principalement, la loi du 23 mars 2020 a fixé une période d’urgence sanitaire du 24 mars au 24 mai 2020. Ensuite étendue jusqu’au 10 juillet 2020 par la loi du 11 mai 2020… En substance, le gouvernement a estimé que la poursuite des travaux pendant la période du 12 mars au 10 septembre 2020 était assez difficile pour que les sanctions contractuelles de retards de livraison n’aient pas à s’appliquer. Aucune pénalité de retard n’est ainsi due pour la période du 12 mars au 10 septembre 20201. Il convient donc de distinguer trois situations : 1 – Le chantier devait se terminer entre le 12 mars et le 10 septembre 2020. Les pénalités de retard sont dues à compter du 11 septembre 2020. 2 – Le chantier devait se terminer avant le 12 mars 2020. Il n’y a pas de pénalités de retard pour la période allant du 12 mars au 10 septembre. Elles restent néanmoins dues pour les périodes antérieure et postérieure. 3 – Le chantier devait se terminer après le 10 septembre 2020. Malheureusement, le retard pris pendant la période d’urgence sanitaire est sans effet sur les pénalités dues. Outre les pénalités de retard, une livraison tardive peut aussi entraîner un préjudice – perte de loyers ou d’exploitation, avantage fiscal… -, dont l’indemnisation peut être demandée. Les textes sus-cités sont sans effet sur ces préjudices, dont l’indemnisation sera due à défaut de démonstration d’une cause classique d’exonération : force majeure, travaux supplémentaires, faute du client. Pour la force majeure, chaque situation doit être analysée au niveau individuel. Enfin, il faut aussi prendre en compte la stipulation d’une clause particulière au contrat. Retards postérieurs au 10 septembre 2020 Malheureusement, les retards pris depuis le 10 septembre dernier sont de la responsabilité de l’intervenant. Aucune disposition n’est intervenue pour bloquer les pénalités contractuelles pour la seconde période d’état d’urgence sanitaire2. Donc a priori, les pénalités de retard, tout comme l’indemnisation des préjudices, sont dues. Ceci, sauf démonstration d’une cause classique d’exonération ou la présence d’une clause contractuelle de “hardship3”, ou encore de prorogation du délai de livraison en plus de celle de report ou suspension du délai (intempéries, grèves…). La clause de “hardship” impose la renégociation de bonne foi en cas de circonstances exceptionnelles. Celle de prorogation retarde la livraison d’un temps supérieur (le double par exemple) à celui pendant lequel le chantier connaît des difficultés (arrêt partiel ou total). Par ailleurs, le respect des protocoles sanitaires génère des surcoûts. Les seules solutions sont les clauses contractuelles ou le cas d’une différence de coût très importante (art.1195 Code civil). Il faut aussi se tourner vers ses contrats d’assurance. Cependant, la majorité des contentieux naissent non pas en raison du retard lui-même, mais de l’absence de réponse du maître d’œuvre et/ou intervenant. Aussi, il est essentiel de maintenir la communication avec le commanditaire, en plus de revoir dès maintenant ses contrats (pour les dispositions concernant le présent comme pour les faire évoluer pour l’avenir). Pierre Lacoin Avocat à la Cour et co-fondateur du cabinet 1792 Avocats. 1Fin de l’état d’urgence sanitaire le 10/07/2020 + 1 mois (art. 1 ord. 25/03) + 1 mois (art. 4).2La seconde période d’urgence sanitaire a été fixée par décret et non par une loi.3Le terme anglais “hardship” signifie épreuve, adversité. Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. [/abonnes]
Il y a 4 ans et 120 jours

Herige regarde vers l’avenir

Benoît Hennaut, président du directoire du groupe Herige depuis septembre 2021. [©Herige] En septembre 2020, Benoît Hennaut prenait la présidence du directoire du groupe Herige. Succédant ainsi à Alain Marion. Après être parti à la rencontre des différents sites du groupe, afin de « découvrir et de comprendre les expériences de chacun », le président entrant a présenté une nouvelle orientation pour ces prochaines années. En 2020, le groupe qui comprend les branches VM (négoce), Atlantem (menuiserie) et Edycem (béton), a réalisé un chiffre d’affaires consolidé de 600,4 M€. « Un résultat très satisfaisant. Nous avons bénéficié d’un marché qui a bien tenu, explique Benoît Hennaut. De plus, nous avons très vite pris des mesures, en travaillant sur l’innovation et des produits qui ont porté cette croissance. » La nouvelle orientation du groupe Herige repose sur trois grands piliers. Le premier concerne la RSE. « La question de l’environnement peut être vue comme contraignante. Nous voulons aller au-delà de cette idée et créer une vraie culture environnementale au sein du groupe. » Ainsi, Herige compte développer un politique RSE ambitieuse. « Nous souhaitons le faire avec humilité. En mesurant déjà nos impacts pour les améliorer. La nouvelle génération que nous accueillons porte un regard plus critique sur ces sujets. C’est notre rôle en tant qu’industriel de répondre à ces évolutions. Nous sommes dans des secteurs où nous pouvons influer sur l’impact carbone du bâtiment. » Décarboner les activités Les mesures “éco-responsables” mises en place concernent aussi bien le fonctionnement en interne : régulation de la consommation énergétique, d’eau, gestion des déchets, évolution de la flotte de camions vers l’hybride ou le biogaz… Que la conception et la commercialisation de solutions bas carbone. « Cela passe par exemple, par les bétons “bas carbone” ou les granulats recyclés… Ce sont des avancées qui vont se poursuivre et s’accélérer. Nous avons aussi lancé la filière Menrec qui collecte et démantèle des menuiseries en fin de vie. » Des annonces sur ces évolutions “produits” devraient fragmenter l’année 2021 tout comme des objectifs chiffrés. Afin d’intégrer pleinement cette démarche au groupe, Herige a décidé de créer un comité RSE. « Le Comité de surveillance a validé une nouvelle politique de rémunération des comités de direction basée sur une variable de 30 % sur des indicateurs RSE. Une façon de connecter ces ambitions à la performance de chacun. » Miser sur le capital humain Pour le groupe vendéen créé il y a déjà plus de 114 ans, le capital humain tient une place importante. Le renforcement et la valorisation de ce capital constituent le deuxième pilier de la nouvelle orientation d’Herige. « Il faut se réinventer, changer, donner la priorité à la sécurité et à la santé. Il faut aussi se rencontrer ! Nous sommes dans des activités d’interactions, de mouvements, avec la livraison, les déplacements… Nous devons mettre en place des méthodes et la vie et l’humain en avant. » Cet axe se traduit ainsi par le développement des compétences des collaborateurs, des actions liées à la sécurité ou encore la poursuite du travail de l’association Martial Caillaud. Une entité créée par les acteurs et clients d’Herige, qui initie des projets humanitaires dans les pays en voie de développement. « Nous souhaitons donner du sens à ce que nous faisons et chercher comment contribuer au futur du bâtiment en France. Et ce, au même titre que la mise en valeur et le développement des compétences de chacun. » La data pour s’améliorer Enfin, le troisième pilier engagé par Herige concerne l’accélération de l’innovation et du digital. « Le digital transforme nos vies et certains pans de l’industrie. Le bâtiment en fait partie. » Le groupe compte bien poursuivre la digitalisation de ses process et de ses services. De plus, l’industriel cherche à recruter un data manager. Sa mission ? Identifier, qualifier et analyser l’ensemble des datas, tous métiers confondus. Le but étant d’optimiser et d’améliorer chaque branche d’Herige. Enfin, le groupe prévoit une nouvelle édition du concours de l’innovation. « Porteur d’initiatives fortes, il donne lieu à la concrétisation de projets tels qu’Ecop’Sûr pour sécuriser le prélèvement de granulats dans les centrales à béton. » Les partenariats avec le Village by CA qui permet au groupe de rencontrer des start-up ou encore entre Edycem et l’Ecole centrale de Nantes illustrent bien cette ambition. « Covid ou non, il n’y aura pas de retour à la normale, conclut Benoît Hennaut. Mais des changements et de grandes évolutions. Nous devons comprendre les usages d’aujourd’hui et de demain. »
Il y a 4 ans et 121 jours

Meva prend les rênes de la PME Acropol

Les responsables de l’entreprise Acropol (à gauche) transmettent les rênes à Meva. [©Meva] Composée de Nadine Bonnast et de Bernard Bron, la famille dirigeante d’Acropol a passé les rênes de sa PME à l’Allemand Meva, dans le cadre d’une cession d’entreprise. Le rachat a eu lieu le 21 janvier dernier. Avec 25 employés à Landen, en Belgique et à Rodange, au Luxembourg, Acropol s’est fait un nom dans la location de coffrages de voiles et de dalles. Ainsi que dans celle de systèmes d’étaiement et de soutènement destinés à la construction résidentielle. Cette entreprise est très ancrée dans le tissu économique local. Meva va donc étendre sa présence au Benelux.  Le coffreur Meva se lance en Belgique et au Luxembourg Pour ce fabricant de coffrages basé en Forêt Noire, à Haiterbach (Bade-Wurtemberg), ce rachat ouvre de nouvelles possibilités. Ceci, afin de poursuivre le développement de ses activités dans les pays voisins. Ainsi, les clients du Benelux pourront non seulement profiter de la large palette de produits. Mais aussi bénéficier de l’accompagnement et des services de Meva. Les entreprises de construction du Nord-Est de la France et de l’Ouest de l’Allemagne disposeront, de par un approvisionnement plus rapide, de la proximité des nouveaux sites.  De plus, de nouvelles prestations vont venir étoffer l’offre Meva. Outre la location, l’accent va être mis sur la vente de coffrages et de prestations de services, telles que le suivi de projet, la réalisation des plans de coffrage et d’exécution en 3D. Ainsi que la statique, les coffrages spéciaux et le savoir-faire en matière de béton apparent.  Le nouveau site de Meva, à Landen, dispose d’un hall de 3 000 m², de bureaux modernes, de salles de formation et d’exposition. Ainsi que de 20 000 m² extérieurs, destinés à la préparation des coffrages, à la logistique et à l’agrandissement du parc de matériels. 
Il y a 4 ans et 121 jours

Partenariat “bas carbone” entre PBM et Vicat

PBM Groupe vient de signer un partenariat avec le cimentier Vicat pour l’utilisation du ciment bas carbone Naturat. [©PBM Groupe] Spécialiste de la préfabrication d’escaliers en béton, PBM Groupe s’engage en faveur de l’environnement et du bas carbone. Ainsi, il vient d’annoncer la signature d’un contrat de partenariat avec Vicat, visant la fourniture du ciment bas carbone Naturat.« PBM obtient ainsi l’exclusivité de l’utilisation du ciment Naturat pour la préfabrication de ses escaliers en béton », précise Bernard Michel, directeur de production chez PBM. L’enjeu est de diminuer le bilan carbone des escaliers de 30 %. Pour Didier Fiducia, directeur des ventes ciment chez Vicat, « ce partenariat illustre la mobilisation des équipes Vicat aux côtés de ses clients pour décarboner le secteur de la construction ». Le ciment Naturat de Vicat PBM Groupe va utiliser Naturat dans ses formules béton. Ce ciment bas carbone multi-usages de type CEM IV est destiné aux travaux courants en neuf et rénovation. Il est composé de pouzzolanes naturelles et de pierres volcaniques issues des volcans d’Auvergne. Produit à Créchy (03), Naturat utilise des ressources locales, afin de réduire l’impact carbone. La composition et le process de fabrication de ce ciment répondent aux exigences de la future RE 2020. Pour s’acquitter de sa mission de préfabrication, le groupe PBM emploie plus de 600 collaborateurs répartis sur 9 sites de production en Europe. Son chiffre d’affaires est de 125 M€.
Il y a 4 ans et 121 jours

KP1 : Longrines et planchers sur vide sanitaire conformes à la loi Elan

KP1 propose des solutions industrielles conformes aux exigences de la loi Elan. [©KP1] Pour tout contrat de construction de maisons individuelles conclu depuis le 1eroctobre 2020, la loi Elan instaure de nouvelles obligations dans les zones à risques argiles “moyen” ou “fort”. Plus de la moitié du territoire est concernée ! Cela implique de renforcer les fondations et de rigidifier les structures, après la réalisation d’une étude de sol. Ceci, afin de supprimer toute menace géotechnique, à l’image du phénomène de retrait-gonflement. Ainsi, KP1, spécialiste des systèmes constructifs préfabriqués, propose des solutions industrielles conformes à ces exigences. A savoir, ses longrines sur mesure et ses planchers sur vide sanitaire associés. Les atouts des longrines et des planchers KP1 Livrées en 7 j, les longrines KP1 sont une alternative aux pratiques traditionnelles de “murs de soubassement maçonnés/fondations avec semelles filantes”. Elles sont compatibles avec les différents types de fondations. D’une part, superficielles ou semi-profondes à l’aide de semelles isolées ou de puits. D’autre part, profondes et intégrant des pieux, micropieux ou puits profonds.KP1 propose aussi différents systèmes de planchers sur vide sanitaire : Isoleader, Milliwatt classique ou chauffant pour des planchers isolants. Ainsi que EMS EcoVS pour des planchers non isolants ou associés à une isolation rapportée en chape flottante. Ces planchers sur vide sanitaire limitent les risques liés à une accumulation d’humidité et de radon, engendrée par une mauvaise qualité des sols.
Il y a 4 ans et 121 jours

Election du président de l’Unicem Auvergne – Rhône-Alpes

Jérôme Montané, nouveau président élu à l’Unicem Auvergne – Rhône-Alpes. [©Unicem] L’élection de Jérôme Montané a eu lieu le 2 février dernier. Il devient le nouveau président de l’Unicem Auvergne – Rhône-Alpes. Et succède à Alain Boisson, devenue président de l’Unicem nationale. Il sera à la tête de l’antenne régionale durant 3 ans. Dans la même ligne que son prédécesseur, Jérôme Montané compte continuer les actions du syndicat. Il entreprend aussi d’améliorer la communication et la collaboration avec les différents acteurs de la filière carrières et matériaux. Il a pour mission de fédérer les adhérents et de défendre les intérêts des entreprises de la filière.  Jérôme Montané souhaite aussi fait entendre les acteurs du marché sur certaines problématiques. Telles que la préservation des ressources, les évolutions normatives, ainsi que les solutions constructives. De plus, il encourage tous les acteurs de la filière à prendre en compte les évolutions liées à la société, ainsi qu’aux changements climatiques et écologiques. « L’Unicem a été créée sur une volonté de s’unir pour défendre les intérêts que chacun ne pourrait faire individuellement, souligne Jérôme Montané.Nous irons toujours plus loin en travaillant collectivement ! Nous devrons aussi travailler de façon prospective pour être encore plus associés aux débats sociétaux. Et expliquer que nos matériaux ne sont pas un problème, mais font partie des solutions. » Son parcours Avec l’obtention d’un premier diplôme d’ingénieur en 1998 et d’un second en 2008 à HEC Paris, Jérôme Montané est un expert dans son domaine. Depuis 2017, il était le vice-président de l’Unicem régionale en charge de la commission territoriale BPE. A ce poste, il a initié de nouveaux projets dans la région. En parallèle de son activité syndicale, Jérôme Montané est directeur du secteur matériaux (granulats et béton) de Cemex  région Rhône – Ain – Loire. Il a occupé différent poste au sein du groupe, dans l’industrie du béton et des carrières. Charline David
Il y a 4 ans et 121 jours

Soprema, une entreprise formatrice de nos jeunes

Soprema Entreprises est engagée dans la formation des jeunes talents. [©Soprema Entreprises] Acteur de l’enveloppe du bâtiment, Soprema est engagée dans la formation de jeunes talents depuis plusieurs années. Les formations dans les métiers pointus du secteur du bâtiment ne sont pas nombreuses… C’est Soprema Entreprises qui s’occupe de cette mission. Cette filiale joue un rôle actif dans la formation en alternance. Depuis 2016, en collaboration avec le Cesi de Strasbourg, l’industriel a créé une formation Bac+2 de conducteur de travaux. Et aujourd’hui, un Bac+3 d’ingénierie des enveloppes du bâtiment. Cette licence accueille neuf étudiants.  « Notre volonté est de capter des profils provenant d’un BTS enveloppe du bâtiment ou d’un DUT génie civil. Et ayant déjà une connaissance du secteur et un projet professionnel plus mature », témoigne Rodolphe Lefèvre, directeur général adjoint de Soprema Entreprises. Cette dernière entité a donc a pour objectif de recruter ces étudiants opérationnels. La philosophie de l’entreprise est de former des jeunes, en les accompagnant à chaque étape de leur nouvel vie active. Les étudiants sont ainsi responsabilisés et découvrent le métier de l’intérieur. Grâce à l’alternance, ils acquièrent une réelle expérience de terrain. Un vrai plus pour cette génération, qui recherche du concret pour leur futur.  L’ADN de l’entreprise  Soprema Entreprises participe à d’autres programmes de formation en alternance, toujours autour des métiers du BTP. Ainsi que de la gestion. « Il n’y a pas qu’une seule formule en matière d’alternance, explique Armandine Rémy, responsable recrutement. Notre volonté est de monter, selon les besoins, des dispositifs sur mesure à l’échelle régionale et en collaboration avec les acteurs du territoire. » L’entreprise a multiplié par trois le nombre de contrats chez Soprema, l’alternance permet une transmission de savoir-faire et de savoir-être intergénérationnel. Celle-ci assure un développement et une pérennité à l’entreprise. Pour la troisième année consécutive, l’enquête Happy Trainee place Soprema comme une entreprise où il est bon de réaliser son alternance.  Pour connaître toutes les informations concernant les alternances chez Soprema, consultez le site dédié. Charline David
Il y a 4 ans et 121 jours

Publication d’une nouvelle fiche conseils par l’OPPBTP

Cette nouvelle fiche conseil sde l’OPPBTP vient compléter la boîte à outils Covid-19. [©OPPBTP] En raison des restrictions sanitaires liées à la crise du Covid-19, la prise de repas sur les chantiers est devenue un moment délicat. Les distances de sécurité ne peuvent pas être toujours respectées. Et les entreprises rencontrent des difficultés à réaliser un roulement. Pour cela, l’utilisation de séparations physiques est fortement recommandée. L’OPPBTP publie donc une fiche de conseils et prévention pour aider au choix et à l’utilisation de ces séparations. Elle complète la boîte à outils Covid-19 mis en place par l’OPPBTP à disposition des entreprises du secteur.  Largement recommandées par l’OMS, le Haut conseil de la santé et bien d’autres organismes, ces séparations physiques sont indispensables. Elles permettent d’intercepter les gouttelettes respiratoires et les particules projetées lors d’une discussion. Elles sont aussi utiles pour garantir la distanciation sociale, tout en gardant un lien entre les professionnels. Dans ce guide, l’OPPBTP rappelle des points de vigilance à prendre absolument en compte quant à l’utilisation de ces séparations. Les entreprises doivent s’assurer que les séparations sont aux bonnes dimensions, qu’elles protègent l’utilisateur de tous les côtés. Il faut aussi éviter les séparations avec ouvertures et privilégier celles disposant de moyens de fixation sur les surfaces. Enfin, il est recommandé d’aérer régulièrement l’espace de prise de repas, ainsi que de le nettoyer entre chaque personne (cette dernière remarque reste valable même hors période Covid…). L’OPPBTP demande aussi de ne retirer le masque qu’en position assise.  Retrouvez la fiche conseils sur le site internet de preventionbtp.fr Charline David 
Il y a 4 ans et 121 jours

Que comporte le projet de loi Climat et Résilience ?

Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique. [/DR] Mercredi 10 février 2021, Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, a présenté en conseil des ministres le projet de loi Climat et Résilience. Le texte, qui reprend en partie des propositions de la Convention citoyenne pour le climat (CCC), tourne autour de six grandes thématiques : consommer, produire et travailler, se déplacer, se loger, se nourrir et renforcer la protection judiciaire de l’environnement. « Il ne s’agit pas seulement de changer les moteurs de nos voitures ou les machines de nos usines, déclare Barbara Pompili. Il s’agit de changer de civilisation, de culture et de mode de vie. C’est un texte qui mettra un coup d’arrêt à l’étalement urbain sans fin […] et qui permettra de mettre en location des logements décents sur le plan énergétique. » Le projet de loi impacte à différents niveaux l’industrie de la construction. Une nouvelle façon de se déplacer Tout un chapitre du projet de loi est consacré à l’optimisation du transport routier de marchandises et la réduction de ses émissions. Ainsi, l’article 30 propose la suppression progressive de l’avantage fiscal sur la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (Ticpe) entre 2023 et 2030. Le texte prévoit une formation à l’éco-conduite, l’intégration des émissions des transports de marchandises dans la déclaration de performance extra-financière (Dpef). Il compte aussi instaurer la mise en place de zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m) dans les agglomérations métropolitaines de plus 150 000 habitants, d’ici le 31 décembre 2024. Rénover les passoires thermiques Une série d’articles du projet de loi Climat et Résilience s’intéresse à la rénovation énergétique des bâtiments. Dont la réforme du Diagnostic de performance énergétique (DPE) ou encore, le gel des loyers des bâtiments passoires énergétiques. Si la proposition de la Convention citoyenne pour le climat d’obliger les propriétaires à les rénover d’ici à 2040 n’a pas été retenue, le texte entend interdire la location de passoires thermiques (actuelles étiquettes F et G) dès le 1er janvier 2028. Outre ces mesures, la loi prévoit la mise en place d’un service public de la performance énergétique de l’habitat. C’est-à-dire, la création d’un guichet unique et gratuit de conseils décliné sur tout le territoire autour de la rénovation. Lutte contre l’artificialisation des sols La loi Climat et Résilience fixe comme objectif la réduction par deux du rythme d’artificialisation des sols sur les deux prochaines années par rapport à la décennie précédente. Elle en inclut aussi une définition. « L’objectif sera décliné dans les territoires, précise le gouvernement. Un principe général d’interdiction de création de nouvelles surfaces commerciales qui entraîneraient une artificialisation des sols est posé [Ndlr : dans la loi]. » De plus, des mesures seront prises par ordonnance, permettant aux collectivités locales d’adapter leurs territoires côtiers au recul du trait de côtes. Transformer au lieu de démolir Dans le texte, le gouvernement entend donc impacter l’aménagement du territoire. Cela inclut les schémas régionaux de planification et les documents d’urbanisme. Mais aussi, la requalification des friches existantes avec le frein au développement de zones commerciales en périphérie des villes. Le projet de loi comprend aussi un potentiel de réversibilité. Ainsi, la requalification d’un bâtiment avant démolition doit être prise en compte. Selon un rapport de Boston Consulting Group, commandé par le ministère de la Transition écologique, les émissions en France sont en baisse tendancielle. Ces dernières sont de l’ordre de 445 MtCO2e émises en 2018 contre 548 MtCO2e en 1990 (année de référence dans la Stratégie nationale bas carbone). L’objectif à atteindre est à hauteur de 330 MtCO2e d’ici 2030. Pour le cabinet de conseils, « le potentiel de réduction des émissions de gaz à effet de serre visé par l’ensemble des mesures déjà prises au cours du quinquennat et proposées dans le projet de loi Climat et Résilience est globalement à la hauteur de l’objectif de 2030. Sous réserve de leur exécution intégrale et volontariste ».
Il y a 4 ans et 124 jours

NGE et SMV, alliés pour l’insertion des jeunes

Le groupe NGE et le SMV ont signé une convention de partenariat, afin de soutenir des jeunes vers le chemin de l’emploi. [©Groupe NGE] Le 4 février dernier, le groupe NGE et le Service militaire volontaire (SMV) ont signé une convention de partenariat. L’objectif est de favoriser l’insertion professionnels de jeunes, âgés entre 18 et 25 ans. A travers ce contrat, les deux signataires se sont engagés à accompagner les jeunes en difficulté, vers le retour à l’emploi. Grâce à des formations proposées par l’école interne de NGE. Cette dernière étant reconnue Centre de formation pour les apprentis depuis 2019… « Cette convention de partenariat avec le SMV va nous permettre d’allier nos forces pour aider les jeunes à rejoindre le chemin de l’emploi, déclare Bruno Pavie, directeur des ressources humaines de NGE. Notre groupe est depuis longtemps investi dans des dispositifs d’intégration. Ceci, avec un corps tutorial important et une culture de formation très ancrée. Nous aurons à cœur de faire découvrir et aimer nos métiers aux jeunes que nous accueillerons. » En effet, le groupe français de bâtiment et travaux publics a exprimé vouloir offrir quelque 30 postes à des jeunes issus des centres du SMV. Un premier partenariat dans le BTP Le SMV est une contribution du ministère des Armées dans le secteur de l’insertion citoyenne professionnelle de jeunes Français exclus du marché de l’emploi. Fondé sur l’acquisition volontaire de valeurs et d’une formation professionnelle, le SMV leur propose un nouveau départ. Et ainsi favorise un retour à l’emploi. Ce dispositif militaire possède de nombreux partenaires institutionnels, de collectivités, d’entreprises ou encore d’organismes de formation. Et ce, sur l’ensemble du territoire français. « NGE vient agrandir la famille des entreprises qui nous accompagnent dans notre mission. Et nous en sommes d’autant plus ravis que c’est la première entreprise de BTP, témoigne le général Benoît Brulon, commandant du SMV. Les jeunes en difficulté ont du mal à se projeter dans un métier. Leur immersion en entreprise est souvent un révélateur de vocation. »
Il y a 4 ans et 124 jours

Innov Day TP, 50 innovations de travaux publics

Innov Day TP revient pour une nouvelle édition 100 % digitale. Créé en 2017, Innov Day TP est un concours ambitieux portant sur l’innovation dans les travaux publics. Organisé par le cluster Indura, la Fédération régionale des travaux publics (FRTP) et le Hub Innov’Infra, il revient en 2021 avec une édition 100 % digitale. L’évènement a été lancé jeudi 28 janvier dernier et se conclura mardi 25 mai. Près de 50 innovations du monde des travaux publics y seront mises en lumière. Et réparties selon trois univers bien distincts. Certaines traiteront de la thématique des transitions numériques et robotiques. D’autres seront centrées sur les “green” technologies. Et enfin, certaines innovations seront dédiées à la sobriété énergétique. Chacun est libre de participer à cette initiative, afin d’exposer son travail. Toutefois, attention ! La clôture des inscriptions pour les participants est fixée au jeudi 1er avril. Et ceci n’est pas un poisson d’avril… Une fois cette échéance passée, aucune inscription ne sera acceptée. Le déroulé du projet Innov Day TP Quelques 50 innovations de travaux publics seront dévoilées. [©Hector Palister]Trois univers seront mis en avant. [©Hector Palister]Le grand gagnant sera annoncé le mardi 25 mai. [©SATIF OA] Depuis le 28 janvier et jusqu’au 19 avril, une campagne destinée à promouvoir le concours occupe le site d’Innov Day TP. Ainsi que les réseaux sociaux de l’évènement. Le but étant d’informer et d’appeler des innovateurs à y participer. Du 19 avril au 16 mai, les quelque 50 innovations seront dévoilées sous forme de pitch vidéos. Et les internautes seront invités à voter pour élire leur projet favori. Afin de ne pas révéler toutes les innovations d’un seul coup, cette seconde étape est divisée en trois séances. Dans un premier temps, du 19 au 25 avril, c’est l’univers autour des transitions numériques et robotiques qui sera mis en avant. Du 26 avril au 2 mai, la sera consacré à la thématique sobriété énergétique. Enfin, du 3 au 9 mai, les innovations centrées sur les “green” technologies seront disponibles sur le site. La semaine suivante, du 10 au 16 mai, les internautes pourront voter pour l’ensemble des trois univers. La clôture des votes est prévue pour le dimanche 16 mai à minuit. Enfin, mardi 25 mai, le lauréat de chaque catégorie pitchera devant un jury composé de professionnels et de scientifiques. A l’issue, le jury annoncera le grand gagnant de cette édition 2021.
Il y a 4 ans et 124 jours

Et la Journée de la Prévention devint semaine…

Créée en 2008 par la Fédération française du bâtiment, La Journée de la Prévention se déroule une fois par an et réunie près de 35 000 personnes. Cette opération est destinée aux chefs d’entreprise, salariés et apprentis. Elle a pour but de renforcer leurs connaissances et leurs pratiques en matière de prévention, face aux risques professionnels dans le BTP. Cette année, la FFB a décidé de modifier les règles et transforme cet évènement en “La Semaine de la Prévention”. Ainsi, durant une semaine du 29 mars au 2 avril, les professionnels du BTP auront l’opportunité d’être informés ur les risques du BTP et les moyens de s’en prémunir. Le nouveau dispositif mis en place sera proposé en 100 % digital. Il reposera sur un programme de 40 webinaires. Avec à la carte, santé et prévention. Une semaine pour se munir face aux risques professionnels Les objectifs de cet évènement restent identiques à La Journée de la Prévention. La différence repose sur un format plus souple, comprenant une variété de choix plus large. Notamment dans les horaires, les contenus ou encore dans les thématiques. Les sujets abordés porteront sur les risques routiers, sur les poussières et risques chimiques, sur les travaux en hauteur, sur les manutentions manuelles et troubles musculo-squelettiques. Et sur l’accueil dû à la santé et à la sécurité sur des chantiers, mais aussi, au sein des locaux administratifs. Parmi les collaborateurs historiques de la FFB, l’Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics (OPPBTP), les Services interentreprises de santé au travail du bâtiment et des travaux publics (Sist BTP) et enfin, l’Assurance Maladie. L’objectif de cette semaine n’est pas des moindres. Pour la FFB et ses partenaires, il s’agit de promouvoir la prévention des risques professionnels. Et pour les chefs d’entreprise de fédérer leurs équipes sur ces potentiels contraintes. Une belle semaine de prévention est à prévoir. Pour y participer, un lien sera disponible à la fin du mois de février.
Il y a 4 ans et 125 jours

Le groupe KP1 nomme un nouveau président

Portrait de Vincent Linchet, nouveau président du groupe KP1. [©Groupe KP1] Le 29 janvier dernier, Vincent Linchet a été nommé président du groupe KP1. Il succède ainsi à Bruno Roqueplo qui a quitté le groupe afin de donner une nouvelle orientation à sa carrière. Fabricant de systèmes constructifs en béton pour les planchers, structures et ossatures de bâtiments, KP1 possède 39 sites en France. Créée en 1959 à Avignon, l’industriel emploie plus de 1 700 personnes. A la suite de sa nomination, Vincent Linchet a annoncé être « ravi de rejoindre le groupe KP1 qui est sans aucun doute l’une des entreprises de taille intermédiaire  industrielles les plus remarquables de France. Elle est dotée d’une capacité d’innovation et de production impressionnantes, développées depuis plus de 60 ans par des équipes robustes et déterminées ». Le parcours de Vincent Linchet Diplômé de physique nucléaire, Vincent Linchet détient aussi un Master of Business Administration (MBA) obtenu à la Louvain School of Management, en Belgique. Après une expérience de plusieurs années au sein d’Ariston Thermo Group, comme directeur commercial et marketing, il rejoint le groupe Saint-Gobain. Cette fois-ci en tant que directeur général de division pour Pum Plastiques puis, Cédéo-Brossettes. En 2018, il intègre Abrisud, fabricant européen de piscines. Il agit en qualité de président et directeur général. En seulement deux ans, Vincent Linchet réussi le pari de relancer le groupe. Aujourd’hui, un nouveau pari s’offre à lui. En effet, à la tête du groupe KP1, nul doute que Vincent Linchet aura de nombreux défis à relever….
Il y a 4 ans et 126 jours

Dossier : Le BTP fait sa fashion week

Sélection de la rédaction. Des EPI en jeans, protection ultime et plein de style. [©Armalith]Sélection de la rédaction. Une collection automne-hiver pleine de modernité par Lafont. [©Lafont]Sélection de la rédaction. Même sur un chantier, il faut avoir du style. [©Molinel]Sélection de la rédaction. Lafont nous montre son modernisme. [©Lafont]Sélection de la rédaction. Des chaussures de protection tendance et connectées, c’est la nouvelle gamme de Parade. [©Parade]Sélection de la rédaction. La technologie Armalith est utilisée pour des EPI modernes et tendance. [©Armalith] Le marché mondial du vêtement professionnel représente 7 Md€. En France, environ 8 M de personnes utilisent des vêtements professionnels, soit le tiers de la population active. Parce que les métiers du bâtiment et des travaux publics peuvent s’avérer dangereux, il est indispensable d’avoir une tenue adéquate pour travailler en toute sécurité. Tout en répondant aux exigences des différents métiers.Fabriqués de manière à résister à de nombreuses situations, les vêtements professionnels permettent d’être efficace, tout en travaillant confortablement. Défilé Calvin Klein Les marques déploient ainsi leur collection avec des gammes de produits de haute qualité et souvent éco-responsables. Et qui s’adaptent aux différents environnements de travail.Cela permet aux professionnels de travailler avec une tenue à la fois moderne et design, qui peut être portée à l’atelier comme en ville. Si, si…. En 2018, le créateur de mode Calvin Klein s’est inspiré des vêtements de travail pour proposer des pièces uniques et tendance. Dans un décor de chantier, les mannequins défilaient avec des bleus de travail, des bandes fluorescentes et même des cagoules de protection. Raf Simons, le directeur artistique de Calvin Klein, n’est pas le seul à emprunter les codes des EPI. Plusieurs expositions ont lieu en France, mettant toujours en avant ce vêtement si iconique. Pour son défilé de 2018, Calvin Klein a pioché son inspiration dans les vêtements de travail. [©Calvin Klein] Lafont a eu l’honneur de voir exposer ses pièces cultes. Il est le premier à avoir déposée en marque ses vêtements de travail. Son créateur, Adolphe Lafont, est celui qui a inventé la salopette, ainsi que la poche mètre. Il est en quelque mot le créateur de l’industrie du textile professionnel. C’est donc tout naturellement que le Mucem, à Marseille a sélectionné les vêtements Lafont pour son exposition “Vêtements modèles”. Lors de l’évènement “Bleu de travail”, on a pu retrouver des archives du monde du travail, des collections de vêtement et même des pièces de prêt-à-porter inspirées du “workwear”1. “L’atelier customise ton bleu” faisait partie de ce rendez-vous. Il proposait aux visiteurs de repartir avec une pièce de tissu, réalisé avec la même matière que les bleus de travail professionnel, totalement personnalisée. Ainsi, le vêtement de travail influence notre société. Les marques de prêt-à-porter haut de gamme s’emparent du phénomène, ainsi que des expositions.  L’exposition sur les bleus de travail au Mucem a su attirer du monde. [©Mucem] EPI, accessoires de mode… obligatoires Selon la dernière étude de l’Assurance Maladie – Risques Professionnels (2016), le nombre d’accidents de travail dans le secteur du BTP reste très largement supérieur à la moyenne, avec 60 accidents/j pour 1 000 salariés. Il est donc obligatoire et impératif de s’équiper en accessoires : les équipements de protection individuelle (EPI). Pour cela, les marques proposent une protection de la tête aux pieds et des services adaptés : casques, gants, genouillères… Le secteur compte nombre d’acteurs et nombre d’EPI. Tout est passé en revue chez les marques pour les professionnels, de la tête au pied. En France, il est obligatoire de s’équiper en vêtements de protection. Des entreprises comme Mewa renouvellent donc leur collection. [©Mewa] Aujourd’hui, l’industrie textile est la deuxième industrie la plus polluante du monde. Gaspillage, surconsommation, pollution des eaux… Toute n’est pourtant pas à mettre dans le même panier. Celle du vêtement professionnel ne s’est pas jetée à bras ouvert dans cette course à l’hyper-consommation textile. Bien au contraire. Les marques proposent des vêtements costauds et qui durent dans le temps. Dès ses débuts, le secteur en a produit des résistants, durables et techniques que les clients usent jusqu’au bout. Des tissus nouvelle génération « Le bleu de travail est un achat d’obligation, de raison et de sécurité qui privilégie la qualité et la technicité à la quantité. Le secteur des vêtements professionnels est beaucoup moins gaspillant que celui des vêtements de loisirs.  Il ne surproduit pas en masse et n’a pas besoin de renouveler toutes ses gammes de produits. En effet, en règle générale, seuls 10 à 12 % des produits du catalogue sont renouvelés chaque année. Certains produits peuvent même figurer depuis plus de 25 ans dans un catalogue. Aucune entreprise ne souhaite les changer tous les mois, surtout, s’il n’y a pas de destruction des invendus », explique Frédéric Jacquart, directeur commercial de Timberland Pro. Les marques de vêtements professionnels mettent tout en œuvre pour proposer le plus de produits à leurs clients. [©ChatardPro] De plus, certaines marques développent des tissus de nouvelle génération, comme l’Armalith 2.0, obtenu par l’assemblage d’une fibre de coton avec la fibre UHMWPE. Jusqu’à présent réservée aux applications spatiales, militaires et offshore, cette technologie exclusive est un authentique denim avec en son cœur, une armature, lui conférant les qualités mécaniques du cuir. L’Armalith propose le confort du jean stretch, la sécurité du cuir et les belles teintes de l’indigo. Un petit plus pour des vêtements anti-abrasion, toujours tendance. Une féminisation des collections En parallèle, certaines marques permettent la location de vêtements. Ainsi, l’entreprise est débarrassée de tout un ensemble de tâches, comme l’achat, le stockage et l’entretien des textiles. Mais aussi l’adaptation continuelle aux besoins. Comme, par exemple, lorsqu’une personne de l’équipe d’une entreprise a besoin d’un pantalon supplémentaire ou en cas d’embauche de nouveaux collaborateurs ou collaboratrices. D’autres privilégient la haute technologie, comme des chaussures intelligentes à détection de chute. Les chantiers se féminisent, les entreprises doivent donc proposer des vêtements pour les femmes. [©EPICenter] Et petit plus : dans les métiers du bâtiment et des travaux publics, les équipes tendent à se féminiser. Attentif aux attentes spécifiques de ces utilisatrices et aux besoins de mixité des tenues dans les entreprises et les collectivités, les marques se sont lancées dans les gammes féminines. Coupes cintrées, taille réglable par système élastiqué pour un bon maintien au niveau des hanches, poches arrondies et ajustées… Chaque vêtement propose des tenues ergonomiques et adaptées à chacune des silhouettes. Confort, facilité de mouvements et sécurité au quotidien. Tout en permettant aux équipes d’être assorties côté style…  Nous allons vous faire découvrir la collection automne-hiver 2020-2021 de quelques marques, la liste n’étant pas exhaustive. Charline David et Muriel Carbonnet 1Vêtement de travail. Sommaire du Dossier : Aigle Pro : Deux nouveaux modèles de chaussures Buffalo : La chaussure de sécurité haute performance   Chatard : La veste de pluie Concept Tricots Bonnemaille : Une gamme de vêtements haute protection Damart accroît l’influence de DamartPro Dickies dévoile sa nouvelle gamme 2020-2021 Mewa Move : La nouvelle collection tendance de Mewa Milwaukee : De nouveaux vêtements s’ajoutent à la gamme M12 Molinel : Des EPI haute protection  Parade : La chaussure de sécurité connectée Rostaing : Elles leur vont comme des gants professionnels Uvex dévoile ses gants protecteurs et novateurs
Il y a 4 ans et 126 jours

Creabeton Matériaux : L’impression 3D pour résoudre des problématiques

Pour Creabeton Matériaux, l’impression 3D s’inscrit bien dans la transition environnementale. [©Creabeton Matériaux] Creabeton Matériaux (groupe Vicat) rayonne en Suisse dans la fabrication d’éléments en béton : chambres techniques, tuyaux, regards, éléments d’aménagement urbain… Dans son processus de conception, l’industriel a adopté une démarche tournée vers la transition environnementale. « Nous utilisons entre 90 et 100 % de carburants alternatifs pour la production de notre ciment, explique Aude Chabrelie, directrice technologie et innovation. Dans le groupe Vigier, intégré à Vicat, nous fonctionnons sur le principe de l’économie circulaire avec des ressources locales gérées de façon durable et avec le déploiement actuel du béton recyclé. » Pour Creabeton Matériaux, l’impression 3D s’inscrit bien dans cette démarche. « Cette technologie nous permet de mettre le matériau là où nous en avons besoin. » Dès 2014, l’industriel entame une réflexion autour de la fabrication additive. Et c’est en 2016 que l’équipe qui travaille sur la question obtient le soutien interne du groupe. « Cette année-là, nous avons établi un business plan basé sur le potentiel de l’impression 3D à résoudre des problématiques existantes dans la construction. En préfabrication, ce qui coûte cher c’est la production d’éléments à géométrie individuelle et donc la fabrication des moules. L’objectif est d’offrir à nos clients une solution pour leurs problématiques rencontrées sur les chantiers qui ne peuvent pas être résolues par les moyens actuels, que ce soit pour raisons économiques ou techniques. Le défi est, pour chacun, d’identifier les opportunités de solutions concrètes que cette technologie peut apporter. » Une expérience sensorielle à vivre Les chambres techniques à géométrie individuelle constituent le point de départ de l’entrée dans l’impression 3D pour Creabeton Matériaux. « En général, cette problématique est solutionnée sur le chantier par beaucoup d’interventions, soit de maçonnerie, soit de coulage complexe ou encore par la modification sur place de chambres techniques standards. Tout cela demande beaucoup de matériaux et beaucoup de temps. » Le premier projet pilote s’est déroulé en 2018 avec l’entreprise helvète Frutiger. Depuis, plusieurs autres réalisations ont été faites, surtout pour le domaine des infrastructures mais aussi pour d’autres applications, telles que les aménagements extérieurs. Creabeton Matériaux a développé, avec une petite équipe, sa propre technologie. [©Creabeton Matériaux] « L’impression 3D nous a permis de réduire les coûts de construction. La formulation du béton est classique, très peu adjuvantée. La technologie nous pousse à voir plus loin et nous ouvre à la complémentarité des matériaux. » Ainsi, Creabeton Matériaux a développé, avec une petite équipe, sa propre technologie. Elle l’améliore en continu. « Nous avons pu développer un système de capteurs embarqués pour assurer la qualité d’impression par rétrocontrôle. Nous intégrons actuellement un lissage de surface et nous travaillons aussi sur l’intégration d’armature. » En effet, Creabeton Matériaux a déjà réalisé plusieurs projets en impression 3D et compte bien montrer à ses clients l’intérêt de la technologie. « Il y a un besoin de convaincre, en termes de performances à travers des chantiers de référence, conclut Aude Chabrelie. Les acteurs de la construction doivent voir et vivre cette expérience sensorielle. Notre rôle est aussi de les accompagner pour qu’ils s’affranchissent de la pensée unique du moule. Et de leur montrer que nous pouvons résoudre des problématiques constructives à travers la géométrie. » Retrouvez l’ensemble du dossier sur l’impression 3D béton par -> ici
Il y a 4 ans et 126 jours

MSA Safety : Des EPI aux technologies de pointe

La gamme V-Gard de MSA Safety propose des casques de sécurité confortables. [©MSA Safety] C’est en 2014 que l’Américain MSA Safety fêtait 100 ans d’existence. Créant des centaines de produits qui répondent aux attentes et aux évolutions du marché des EIP. Sa mission principale est de garantir la sécurité sur les chantiers aux travailleurs. MSA Safety fait donc sans cesse évolué ses produits. Aujourd’hui, l’industriel propose des solutions innovantes, afin d’assurer la sécurité des travailleurs. MSA Safety présente ainsi une gamme complète de casques de sécurité V-Gard. Quand certains assurent un confort et un style particulier, d’autres mettent en avant la sécurité. C’est ainsi que pour MSA Safety fait tester chaque casque par sa R&D, pour que chacun d’eux résiste au mieux à des conditions extrêmes. « La sécurité est par-dessus tout primordiale. Chez MSA Safety, nous pensons qu’un casque de sécurité est bien plus qu’une simple calotte rigide. Ce sont les avantages qu’il procure qui, ensemble, contribuent à ce que le casque soit mieux accepté par l’utilisateur »,témoigne Mackenzie Peters, chef de groupe Protection de la tête industrielle chez MSA Safety. De plus, ces casques sont confortables et respirants.  Charline David
Il y a 4 ans et 126 jours

Molinel : Des EPI haute protection

Les EPI Molinel peuvent être mis à rude épreuve sur les chantiers. [©Molinel] Le Français Molinel conçoit, produit et commercialise des EPI depuis 1845. Grâce à sa politique d’innovation, il a su rester sur le marché des vêtements de protection depuis sa création. Répondant aux attentes des professionnels, son offre a évolué dans le temps. Aujourd’hui, il propose des EPI destinés aux environnements extrêmes. Molinel a pour objectif de présenter une solution selon le type de métiers et les risques auxquels l’utilisateur est exposé. Les tissus se sont améliorés pour procurer un confort, une performance et une protection extrême. Les équipes de conception n’ont pas pour autant mis de côté le design des produits. Les différents EPI s’adaptent à tout type de métiers. Forte température, éclaboussures de produits, arcs électriques, port de matériels lourds…, les gammes de Molinel sont ajustables aux besoins des travailleurs.  Charline David
Il y a 4 ans et 126 jours

Rostaing : Elles leur vont comme des gants professionnels

Les gants innovants Rostaing protègent leurs utilisateurs contre les risques mécaniques [©Rostaing] L’entreprise française Rostaing propose des gants professionnels de protection depuis 1789. Pas moins de 4 000 modèles ont été commercialisés à travers le monde. Les gammes sont adaptées aux secteurs du BTP, de l’industrie, des secours, la sécurité et du jardinage. Celle développée pour le BTP est polyvalente. Les modèles Batipro permettent de travailler avec précision sur les différents chantiers. Dernier-né, Fixtra-i est dédié aux travaux coupants et abrasifs. Ce gant est très résistant et permet une très bonne protection. De plus, sa souplesse promet confort et facilité de mouvements. Tous les gants de protection Rostaing sont normés EN 388. Cette norme est basée sur davantage de sécurité et d’efficacité, mais aussi sur l’évolution des modèles contre les risques mécaniques.  Charline David
Il y a 4 ans et 126 jours

Parade : La chaussure de sécurité Connect

Une chaussure connectée Parade Connect qui permet d’alerter les secours en cas de problèmes de son utilisateur. [©ParadeConnect] C’est une première en France, la commercialisation d’une chaussure de sécurité connectée. Innovation rendue possible par l’entreprise Parade. Filiale du groupe français Eram, Parade est un acteur majeur du marché des EPI depuis son lancement en 1978. La gamme Parade Connect comprend 8 modèles, tous dotés de connexions contre les chutes. Et ceci, grâce à un boîtier installé dans le talon de la chaussure qui repère les mouvements. Celui-ci a aussi comme fonction de géolocaliser et d’alerter les secours, grâce au Bluetooth. Pour une maîtrise optimale, Parade s’est entourée des meilleurs spécialistes de l’IoT1.  Toujours plus de technologie Ces chaussures comptabilisent un total simulé de 220 cas de chutes, afin de calibrer au mieux leur utilisation. Cette innovation a fait l’objet de plusieurs brevets. « Nous avons voulu passer de la sécurité passive à la sécurité active avec un dispositif permettant de détecter les chutes d’un travailleur isolé »,déclare Franck Cherek, président de Parade. Les 8 modèles sont aussi normés SRC (anti-glisse) et disposent du plus haut niveau de sécurité (S3) de la norme “Chaussure de sécurité”. Enfin, la gamme est certifiée EN ISO 20345, réglementation européenne des équipements de protection individuelle. De plus, chaque chaussure a un embout de sécurité à 200 J, une semelle anti-perforation et anti-glisse. Et elle absorbe les chocs… Pour répondre aux attentes et aux besoins des clients, les 8 modèles de la gamme ont des designs bien différents. Pour garantir le confort, elles restent légères et leur semelle est souple.  1L’IoT (Internet of Things) ou Internet des objets. Charline David
Il y a 4 ans et 126 jours

Mure & Peyrot : Le nouveau couteau de sécurité Albret

Le couteau de sécurité Albret par Mure & Peyrot. [©Mure&Peyrot] L’entreprise familiale française Mure & Peyrot fabrique des couteaux de sécurité et des lames industrielles à usage professionnel. Fêtant ses 117 d’existence en 2021, elle vient de dévoiler le couteau Albret. Ce petite nouveau à lame de sécurité est compatible avec un chargeur à lames individuelles. Des lames en acier et en céramique sont disponibles pour ce modèle. La sécurité se décline à plusieurs niveaux. Déjà, l’utilisateur a la possibilité de changer la lame sans jamais la toucher. Cela supprime les risques de coupures. De plus, le couteau est doté d’un système de rétraction de la lame automatique, lorsque le couteau n’est pas utilisé. Enfin, toujours pour garantir une sécurité accrue, le bout de la lame est arrondi. Evitant ainsi tout risque de piqûre et de coupure. Le design du couteau Albret a été pensé pour une utilisation simplifiée. Il permet un travail rapide, précis et sûr. Les équipes de Mure & Peyrot ont conçu ce couteau pour protéger les utilisateurs de tout accident de travail. Pour cela, le revêtement du couteau est anti-dérapant. Par ailleurs, ce couteau est ambidextre et peut être utilisé dans pas moins de 100 000 actions. En ce qui concerne le chargeur à lames, il est biodégradable et biosourcé.  Charline David
Il y a 4 ans et 126 jours

Milwaukee : De nouveaux vêtements s’ajoutent à la gamme M12

Le blouson Milwaukee protège de la pluie comme du vent. Il est une solution pour se protéger des intempéries. [©Milwaukee] Depuis 1924, l’Américain Milwaukee développe et fabrique des outils électriques à usage professionnel. Avec plus de 500 modèles et 3 000 références d’accessoires, la marque est devenue un acteur important du marché. C’est en 2010 qu’elle lance sa collection de blousons chauffants M12. Conçus avec des textiles innovants, ces vêtements sont un parfait allié contre le froid. Cette gamme a été réalisée pour répondre aux besoins des professionnels du bâtiment et de la construction. En 2016, elle a été en totalité revue, la technologie utilisée ayant évolué. Les vêtements sont désormais plus robustes et plus polyvalents. Avec une durée de vie accrue.  La fibre de carbone comme alliée Grâce à leur design, les blousons chauffants Milwaukee en fibre carbone garantissent des zones chauffantes. Cela permet une meilleure répartition de la chaleur sur tout le haut du corps. La matière extérieure est imperméable et résistante à la pluie. La gamme est composée de 10 modèles pour homme comme pour femme. Pratique, ces vêtements sont lavables en machine.  Un des petits nouveaux de la marque est le blouson chauffant premium M12 HJ, disponible en noir et gris. Il est composé de 5 zones chauffantes et d’une doublure en polaire. Comme les autres éléments de la gamme, il garantit une répartition de la chaleur optimale. Il possède de larges poches où l’on peut trouver des prises USB. Sa durée de vie a été multipliée par 5 et sa résistance sur les chantiers a, elle aussi, été réévaluée à la hausse. Protéger du froid n’est pas sa seule mission. Le blouson protège de la pluie comme du vent. Charline David
Il y a 4 ans et 126 jours

René Dutilleul, ancien dirigeant de Rabot Dutilleul, est décédé

Ancien dirigeant de Rabot Dutilleul, René Dutilleul est décédé à l’âge de 100 ans et 4 mois. [©Rabot Dutilleul] Rabot Dutilleul vient d’annoncer le décès de René Dutilleul, ancien dirigeant de l’entreprise, à l’âge de 100 ans et 4 mois. Fils du co-fondateur Barthélémy Dutilleul, il l’avait rejointe en 1945. « Il a œuvré avec passion à son développement pour en faire le groupe de bâtisseurs que l’on connaît aujourd’hui », indique l’actuelle direction de Rabot Dutilleul. Proche des hommes et des chantiers, il laisse « un doux souvenir à tous ceux qui l’ont connu : celui d’un grand homme et d’un grand entrepreneur ». Retour sur sa carrière Né en 1920, René Dutilleul, ingénieur de formation, rejoint l’entreprise familiale après la guerre. Il a alors 25 ans et s’affirme vite comme l’indispensable second de son père. Il tisse des liens forts avec les grands entrepreneurs du Nord de la France. Et oriente les activités vers la construction de bâtiments industriels. En 1954, accompagné d’André Chantraine (beau-fils d’Henri Rabot, co-fondateur avec Barthélémy Dutilleul), il succède à son père. Puis, prend la direction générale de Rabot Dutilleul en 1963. Attentif à la transformation du territoire, il engage la diversification des activités de l’entreprise. Il suit ainsi l’émergence de la grande distribution et de la vente par correspondance. Et y participe avec la construction de nombreux entrepôts pour Les 3 Suisses, La Redoute ou encore Auchan. Lorsqu’il prend sa retraite en 1986, Rabot Dutilleul compte près de 400 salariés. Ses successeurs : Jean-François (son fils), Jean-François Craye et Jean-Pierre Sternheim (ses gendres), n’auront de cesse de poursuivre son œuvre. Avant de laisser la place à la 4e génération. Cette dernière est représentée par François Dutilleul, président du groupe, Frédéric Sternheim, Pierre Craye et Eric Dutilleul. Aujourd’hui, le groupe centenaire compte 1 100 salariés. Et se classe dans le top 15 des groupes français indépendants de BTP. 
Il y a 4 ans et 126 jours

Mewa : La nouvelle collection tendance s’appelle Mewa Moove

Les vêtements de travail de Mewa sont proposés à la location. [©Mewa] Depuis 2015, l’Allemand Mewa est considéré comme le leader sur le marché du management textile. Il cherche ainsi à répondre au mieux aux attentes de ses clients. Pour les équipes de Mewa, un vêtement de travail parfait doit répondre à 3 critères principaux : un look professionnel, une tenue confortable et de nombreuses poches. Petit plus pour la marque : dans une démarche économique et environnementale, elle propose l’ensemble de ses vêtements de travail à la location. Chaque client reçoit ses tenues en plusieurs exemplaires. Ensuite, l’entreprise récupère les vêtements sales et en livre de nouveaux. « Nous entretenons les vêtements d’un mécanicien automobile de façon tellement hygiénique qu’il pourrait en théorie aller travailler avec ceux-ci dans la production alimentaire », indique Matthias Zoch, directeur technologie des processus et de l’environnement. Cette démarche est ainsi respectueuse de l’environnement. La nouvelle gamme Mewa Move Grâce aux tissus utilisés, la nouvelle gamme Mewa Move offre une liberté des mouvements. Il faut aussi prendre en compte les nombreuses poches renforcées, intérieures ou extérieures qui permettent aux utilisateurs de stocker du matériel. En termes de style et d’élégance, leur conception autorise un style décontracté et fonctionnel. Les fermetures éclair et les boutons de pression sont masqués. Pour l’instant, la gamme comprend une veste, un pantalon et une salopette.  Charline David
Il y a 4 ans et 126 jours

Eurovia déploie sa marque Granulat +

Centre de recyclage SPL à Gennevilliers (92). [©ACPresse] « L’économie circulaire est un enjeu majeur dans l’économie de la construction et de la société. » C’est ainsi que débute la présentation sur le déploiement de Granulat + de Robert Bello, directeur général d’Eurovia France. Au cœur du centre de recyclage SPL à Gennevilliers (92), le directeur rappelle les fondamentaux. « Nous consommons 6 t/habitant/an de matériaux de construction. Ils sont la deuxième ressource la plus consommée après l’eau. Nous devons sortir de l’économie linéaire par les 3R – réduire la consommation de ressources, réutiliser et recycler. » En effet, Eurovia connaît bien le sujet. L’industriel est aussi bien producteur de matériaux que recycleur. « Nous sommes les premiers recycleurs de matériaux de construction et produisons 8 Mt/an de granulats recyclés. Avec nos 260 sites, nous souhaitons doubler ce tonnage de recyclés d’ici 2030. » Le déploiement de Granulat +, qui oscille entre le label et la marque, tombe ainsi à point nommé. Gage de « qualité engagée », l’idée ici est de rendre ses lettres de noblesse aux granulats recyclés, proposer une logistique optimisée en fonction des territoires et valoriser les sites Eurovia. « Nous sommes dans une période de rupture et d’accélération. Nous sommes prêts, mobilisés et taillés pour. » Granulat + s’intéresse aussi bien aux déchets des travaux publics, que de l’enrobé ou du bâtiment. D’ailleurs, l’industriel compte accélérer le développement de la production de granulats recyclés de béton pour le béton. Ancré sur le territoire « Il y a un potentiel énorme dans ce domaine », confirme Christophe Jozon, directeur matériaux d’Eurovia France. Mais ici, tout fonctionne dans une logique de territoire. « Nous sommes capables de tracer tout le process et de nous adapter. La question de la logistique est essentielle. C’est un gain de produire le granulat sur le territoire pour le territoire. Le transport représente deux tiers du taux d’émission de CO2. Granulat + Logistique est aussi un service qui permet à nos clients d’optimiser tout ça. Nous nous devons de trouver les meilleures solutions pour toutes les parties prenantes. » Si un des 260 sites d’Eurovia veut obtenir la labellisation Granulat +, il devra automatiquement être en capacité de recevoir les déchets, trier et vendre des granulats recyclés. Aujourd’hui, 130 sites bénéficient déjà de ce dispositif. « L’objectif est d’arriver à 80 % en 2030. » Avec l’arrivée de la Rep, établie par la loi Agec, Eurovia assure « que nos plates-formes sont là pour répondre à la nouvelle réglementation. »
Il y a 4 ans et 127 jours

Dickies dévoile sa nouvelle gamme 2020-2021

Dickies développe des vestes chauffantes haute innovation. [©Dickies] L’Américain Dickies s’est développé, en se transformant d’une boutique de salopettes à une entreprise internationale. Qui conçoit et produit des vêtements de travail. Chaque année, en parallèle de la sortie de ses nouvelles gammes, il retravaille certains de ces produits phares. Ainsi, Dickies a lancé pour cet hiver une nouvelle gamme de vestes pour les conditions météorologiques extrêmes. Cette gamme intègre les technologies AWT (résistante à l’eau et respirante) et AWT+ (imperméable, respirante et coupe-vent). Elle se compose de vestes et de chaussures. Et accueille 3 nouveaux produits : la veste imperméable Generation Over Head, la veste Generation Waterproof et la veste Softshell Two Tone. Les vestes Generation Over Head et Waterproof ont été conçues et réalisées sur le même modèle. Elles sont toutes deux adaptées aux temps pluvieux. Et présentent un design moderne et épuré. Quant à la veste Softshelle Two Tone, elle fait partie de la gamme Flex. Elle apporte mobilité et confort aux professionnels. Elle est aussi résistante à l’eau.  Charline David
Il y a 4 ans et 127 jours

Damart accroît l’influence de DamartPro

Les technologies de DamartPro assurent une sécurité et un confort aux professionnels. [©DamartPro] Les entreprises du secteur des EPI ont compris que le “workwear”1était un marché de croissance. Damart s’y est ainsi installé. Et cela en complément de son offre de sous-vêtements techniques. Cette activité est articulée autour de 3 gammes : protection anti-froid, anti-chaleur et anti-flamme. Ces vêtements de travail sont utilisés par l’Armée de l’air, les pompiers, la police belge… Ainsi que les professionnels du BTP. Damart s’est engagé depuis quelques années dans une démarche RSE et de recherche et développement. Son objectif est d’augmenter la production de textiles durables à base de fibres recyclées. Et de proposer une offre 100 % éco-conçue d’ici 2025.  Etant une filière de Damart, DamartPro, créée il y a 3 ans, s’appuie sur la cellule de R&D du groupe et propose des solutions innovantes et adaptées pour chaque métier. « Nous développons des réponses thermiques pour chaque besoin métier, ce qui nous distingue des grands groupes de l’équipement professionnel. Nous bénéficions de toute la puissance du groupe Damart », témoigne Loïc Bouquet, directeur du développement chez DamartPro .  L’offre de DamartPro  L’offre de DamartPro est aujourd’hui sur tous les fronts. La gamme de produits de la technologie Thermolactyl permet de protéger l’utilisateur des froids légers comme extrêmes. Cette technologie a d’ailleurs été nommée en 2020 aux Trophées Expo Protection. Elle procure une forte capacité d’isolation thermique, ainsi qu’un effet seconde peau. Nous trouvons ensuite la gamme Océalis qui assure une absorption de l’humidité corporelle et un séchage rapide. Les textiles sont fins et légers et promettent un confort optimal. Pour finir, DamartPro propose aux professionnels une gamme de sous-vêtements. Ces derniers peuvent être portés sous une tenue multi-risques complète. De plus, ils protègent des flammes, ainsi que des charges électrostatiques. Cela grâce à la composition des matières et d’un assemblage innovant. Damart Pro est la seule marque à permettre de trouver ces produits sur autant de canaux : magasins, catalogue et web. 1Vêtement de travail. Charline David
Il y a 4 ans et 127 jours

Chatard : La veste de pluie

La nouvelle veste de pluie haute visibilité de Chatard. [©Chatard] Avec ses 36 ans d’expérience dans le domaine du vêtement de protection, l’entreprise française Chatard ne cesse d’innover, grâce à son savoir-faire. Elle propose des produits qui répondent aux attentes des consommateurs. De plus, ces vêtements sont conformes aux exigences des normes européennes.  La nouvelle gamme Chatard Sa nouvelle gamme de vestes de pluie haute visibilité est fabriquée avec des tissus imper-respirants. Elle est aussi compatible avec les blousons chauffants de la marque. Ces vestes peuvent aussi se transformer en parka, afin de s’adapter selon les conditions météorologiques. Plusieurs modèles sont disponibles, pour permettre de toucher la plus grande cible possible. Cette gamme se veut sportswear avec un design épuré. Elle est un atout indispensable pour le travail sur les chantiers. Ce vêtement promet aux usagers ergonomie, facilité de mouvement et confort. Charline David
Il y a 4 ans et 127 jours

Uvex dévoile ses gants protecteur et novateur

Uvex lance sa gamme de gants protecteurs et innovants. [©Uvex] L’Allemand Uvex est un spécialiste européen dans l’équipement de protection individuelle. Il équipe de la tête au pied, du casque de protection jusqu’aux chaussures de sécurité. Uvex est présent sur plusieurs marchés, que ce soit celui des sports ou de la construction. Son ambition est de protéger ses clients dans leurs activités. On le retrouve dans 22 pays, à travers 48 filiales. La majorité de la production est réalisée en Allemagne.  Les gants de protection super protecteurs  Uvex lance avec une gamme de gants de protection. Déclinés en 3 modèles, ces gants offrent différents avantages. Déjà, leur protection procure à ses utilisateurs à la fois une sensibilité accrue et un gain de sécurité. Puis, l’effet “seconde peau” permet un total contrôle des mouvements, ainsi qu’un excellent toucher. Cette gamme se démarque aussi par sa respirabilité. Ces EPI utilisent un nouveau tissu innovant, qui optimise le confort. De plus, ces gants sont conçus pour résister aux projections abrasives. Ce qui augmente leur durée de vie. En pleine digitalisation de notre monde, Uvex permet à ses clients l’utilisation des écrans tactiles avec ses gants. Enfin, ces derniers ont été testés au niveau dermatologique. En effet, ils garantissent une tolérance cutanée d’un haut niveau. De surcroît, ils sont certifiés sans accélérateurs, solvants ou substances novices susceptibles de procurer des allergies. Une bonne nouvelle pour les mains des compagnons. 
Il y a 4 ans et 127 jours

Concept Tricots Bonnemaille : Une gamme de vêtements haute protection

Avec son design moderne et sa capacité de protéger du froid, le pull Lautrec de Concept Tricots Bonnemaille est un “must have”. [©Concept Tricots Bonnemaille] Depuis de nombreuses années, le Français Concept Tricots Bonnemaille est experte dans la conception et la fabrication de vêtements professionnels en maille. La nouvelle équipe dirigeante, qui a repris l’entreprise en 2017, a redonné un élan à sa créativité. Nouveau design, ergonomie, sécurité et matériaux sont aujourd’hui la priorité des services de création.  Le pull Lautrec  Pour permettre la fabrication de pulls, Concept Tricots Bonnemaille récupère et valorise les anciens pulls de ses clients. Le résultat est un pull 100 % produit à partir de matières recyclables. Ce qui réduit son bilan carbone de 98 % par rapport à du neuf. Grâce à son partenariat avec une filature régionale, les pulls usagés de ses clients peuvent jouir d’une seconde vie.  Ainsi, le pull Lautrec est souple, confortable et garantit une résistance au froid. Il apporte une liberté de mouvement et de la chaleur. Parfait pour l’hiver. Ses finitions soignées et son look ne font pas de ce pull un simple vêtment. Car il peut aussi bien être porté sur un chantier ou un atelier qu’avec une tenue de ville.  Le t-shirt Cut-Stop à manches longues Quant à la gamme de t-shirts à manches longues Cut-Stop, elle procure à ses utilisateurs une protection optimale lors de la manipulation d’objets coupants. Elle se compose de t-shirts avec des protections au niveau des bras et du ventre. On pourrait imaginer qu’un vêtement anti-coupures soit inconfortable. Concept Tricots Bonnemaille propose un t-shirt en coton pour un contact avec la peau agréable. Les clients peuvent choisir entre plusieurs modèles, que ce soit au niveau de la matière, de la couleur ou encore de la forme du col. Concept Tricots Bonnemaille leur offre la possibilité de les personnaliser avec un logo brodé, cousu ou en étiquette.  Charline David
Il y a 4 ans et 127 jours

Compagnons du Tour de France

Les journées portes ouvertes en présentiel. Pour toutes les personnes intéressées par les métiers de la construction et la formation en alternance.
Il y a 4 ans et 128 jours

Journée GC 2021

Les Journées Génie civile dédié à la croissance verte.
Il y a 4 ans et 128 jours

Une formation de coffreur-bancheur by Ramery

Dix jeunes venant de tous les horizons vont pouvoir se former au métier de coffreur-bancheur au sein du groupe Ramery. [©Groupe Ramery] Les étudiants sont plus que jamais impactés par la crise sanitaire, sociale et économique. Classé deuxième meilleur employeur des entreprises du BTP d’après le classement du magazine Capital, le groupe Ramery a donc décidé d’agir en leur faveur. Fondée en 1972, l’entreprise a lancé une formation certifiante de coffreur-bancheur. Durant un an, dix alternants pourront apprendre ce métier. Ceci, dans le but d’obtenir une certification de niveau 5 enregistrée au Répertoire national de la certification professionnelle (RNCP). Gonçalo Soares, maître compagnon de chantier au sein de Ramery depuis 45 ans, est le parrain de ce projet. Parmi les dix apprentis choisis, certains sont sans diplômes, d’autres sans emplois. Mais tous espèrent pouvoir apprendre un métier et se former comme coffreur-bancheur. Ils sont motivés et souhaitent s’investir pour le groupe familial. Un an pour se former Le coût d’envoi de cette formation a été donné, le 18 janvier dernier, et devrait se terminer un an après, soit en janvier 2022. Les dix alternants seront formés au sein du centre d’apprentissage Elfe de Noyelles-Godault (62). Ils auront l’opportunité de se rendre sur des chantiers des entités Ramery Flandres Littoral, Lille Métropole ou encore Artois Hainaut. A la fin de leur cursus, ils auront acquis de nombreuses compétences théoriques, mais aussi pratiques. Leur savoir se verra élargi par l’intermédiaire de plusieurs cours. Par exemple, sur les bases techniques de la réalisation d’un ouvrage en béton armé, sur les consignes de sécurité ou encore sur les règles du travail en équipe. Un projet créateur de perspectives « A l’issue de l’année écoulée, ils devront être à la pointe des techniques, des moyens utilisés et soucieux de la qualité de service, tout en étant très humains », souligne Gonçalo Soares. In fine, les apprentis auront la possibilité d’intégrer le groupe Ramery en CDI, afin de poursuivre leur carrière dans le BTP. « Nous avons à cœur de nous engager auprès des acteurs locaux, afin d’aider les personnes à se reconnecter au monde du travail. Ceci, en les formant, en leur offrant un contrat de travail et des perspectives, explique Nicolas Boone, responsable ressources humaines au sein du groupe Ramery. Si l’essai est transformé, les dix alternants vont être intégrés à l’entreprise à l’issue de la formation et nous donner l’ambition de renouveler la démarche en 2022. »