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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Acpresse Béton

(3884 résultats)
Il y a 4 ans et 292 jours

Deux nouvelles antennes à Rennes et Strasbourg pour l’ESCT

L’ESCT compte désormais 5 antennes en France, avec deux nouvelles antennes à Rennes et Strasbourg. [©ESCT] L’Ecole supérieure de conduite de travaux (ESCT) qui fête l’année prochaine ses 15 ans, ouvre deux nouvelles antennes à Rennes (35) et Strasbourg (67). Le 1erseptembre prochain, quelque 72 nouveaux apprentis intègreront les locaux de ces deux structures. C’est Philippe Horn qui assure la direction de l’ESCT Rennes. Quant à l’ESCT Strasbourg, elle relève d’Edouard Quintard. Ainsi, l’école compte désormais 5 antennes en France. A l’origine, l’ESCT est née à Vincennes en 2006. Puis, a été implantée à Marseille il y a deux ans. Suivie par Bordeaux en 2019. Donnant la possibilité aux étudiants de tout le territoire d’accéder plus facilement aux formations. Les premières promotions de Rennes et de Strasbourg pourront opter pour l’une des deux formations en alternance : Bac+3 “chargé-e d’affaires BTP” et Bac+5 “directeur-trice de travaux”. Ceci, avec en dernière année l’option de suivre un master of science Construction & Management, en partenariat avec Abertay University, à Dundee, en Ecosse. « Ces deux nouvelles antennes s’inscrivent dans la continuité du développement de l’école. Permettant ainsi de renforcer le dynamisme et l’attractivité de chaque région. Mais aussi de répondre aux besoins de recrutements des entreprises. Ceci, tant au niveau local que régional, dans les secteurs de la construction BTP »,peut-on lire dans le communiqué de presse.
Il y a 4 ans et 293 jours

Michel Charpentier : A la fois bestiaire et corps refigurés

Retrouvez cet article dans le n° 88 de Béton[s] le Magazine. Michel Charpentier considère qu’il doit entrer dans la peau du personnage. Celle de ses sculptures. Peaux plissées, gonflées, tordues, formes déformées, participent à une vision grotesque, voire surréaliste. [©Clovis Prévost/clovis.prevost@wanadoo.fr] Né en 1927, Michel Charpentier a toujours aimé prendre l’académisme à rebours. Dans l’abstraction des années 1950-1960, il se fait figuratif. Il réalise des sculptures de grands corps debout et donne libre cours à un bestiaire bien particulier, emprunts parfois de Surréalisme. Après un bref passage à l’Ecole Boulle, c’est à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris que tout commence avec, dans l’atelier de gravure en médaille, l’apprentissage du dessin et du bas-relief. Et, à Rome, qu’il découvre la possibilité de faire de la sculpture avec du béton qui va devenir son matériau de prédilection. « Une fois lauréat du Prix de Rome, je suis parti dans la Ville éternelle pour un séjour de trois ans à la Villa Médicis. J’ai été fasciné par les échantillons de ciment que les maçons romains laissaient après eux. Je leur ai demandé comment ils fabriquaient cette matière blanche pareille à du yaourt. Ils m’ont donné leur recette : chaux, poudre de pouzzolane, sable, eau et colorant. J’ai acheté à mon tour du ciment et fait mes mélanges. Durant l’exposition de fin d’année à la Villa Médicis, mes premières sculptures représentaient une Chèvre pétrie d’archaïsme. Et un Cheval qui s’apparente aux fameux petits chevaux des tombes étrusques de Tarquinia, haut de 1,20 m. Jean Cocteau qui vint au vernissage, trouva ça “fantastique” et m’encouragea à poursuivre sur cette voie. » C’est ici que débuteCet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 294 jours

Cession de Nacarat à Procivis Nord

Ludovic Montaudon, directeur général de Procivis Nord. [©Procivis Nord] Le groupe Procivis Nord et Rabot Dutilleul annoncent la signature d’un protocole d’accord. Ceci, pour une prise de participation majoritaire de Procivis Nord dans Nacarat. Cette dernière étant la filiale de promotion immobilière de Rabot Dutilleul. Pour Procivis Nord, acteur historique de l’immobilier, cette acquisition renforce son offre de produits et son implantation territoriale. Cela correspond au déploiement d’un nouveau plan de développement. « Rabot Dutilleul conserve une participation significative dans Nacarat. A travers cette décision, le groupe entend poursuivre son projet stratégique de développement de la chaîne de valeur sur les métiers de la construction et de la promotion immobilière », peut-on lire dans le communiqué de presse. La cession devrait être effective en septembre 2020. Les équipes de Nacarat restent en place. « Les histoires respectives de Procivis Nord et de Rabot Dutilleul se croisent aujourd’hui pour coopérer. L’acquisition de Nacarat vient renforcer notre groupe sur l’un de nos cœurs de métier : la promotion immobilière. Elle amplifie notre projet d’entreprise par son maillage territorial et sa complémentarité avec nos activités. De son côté, Nacarat pourra bénéficier de nouvelles possibilités de développement, via nos outils coopératifs », déclare Ludovic Montaudon, directeur général de Procivis Nord.
Il y a 4 ans et 295 jours

Paris : Une crèche de chêne et de béton

Retrouvez cet article dans le numéro 88 de Béton[s] le Magazine. Un habillage en bois enveloppe le bâtiment sur toute sa hauteur, lui conférant son uniformité et son relief. [©ACPresse] La parcelle est minuscule. Elle est même le fruit d’un assemblage complexe. La réunion de deux espaces mitoyens : l’un appartenant à une opération de logements et l’autre, à un Espace Vert Protégé. Ce dernier “emprunt” est restitué au sein du projet. Conçu par l’architecte Jean Bocabeille, l’équipement n’est autre qu’une crèche familiale et multi-accueils de 139 places. Sise rue de la Justice, à Paris, dans le XXe arrondissement. Il est réalisé dans un contexte métropolitain où le foncier est rare. D’où cette optimisation de surfaces pour permettre la construction.  Maître d’ouvrage, la Ville de Paris a imposé une Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 295 jours

Les bétons se font archi-beaux. Dossier

Retrouvez ce dossier dans le numéro 88 de Béton[s] le Magazine. Sommet de la façade principale de la crèche de la rue de la Justice, à Paris. Jean Bocabeille, architecte. [©ACPresse] Le béton reste le matériau le plus utilisé en construction. Il est avant tout choisi pour ses capacités structurelles. Mais rien n’interdit de mettre en valeur ses qualités esthétiques. L’architecte l’a compris depuis bien longtemps, ne se privant pas de montrer la matière telle qu’elle est ou telle qu’il l’a voulu. Le béton devient lisse ou se texture. Il affiche un gris naturel, vire au blanc ou se teinte. Il imite la pierre, empreinte au bois ses veines. Il s’affirme par sa masse ou se fait oublier en se transformant en dentelles.  L’architecte a le choix et peut compter sur des compétences. Celles des entreprises de BTP qui savent répondre à ses attentes. Celles des fournisseurs, qui savent proposer le bon béton pour le bon usage. Il peut préférer le coulé en place car « cette méthodologie nous fait entrer dans l’univers de la sculpture. […] Le coulé en place est une technique de samouraï, une noblesse absolue1 », comme le résume l’architecte Giovanni Lelli. A contrario, l’architecte peut se tourner vers la préfabrication, apte à offrir des aspects de finition particulière ou à maîtriser la réalisation de pièces complexes et sur mesure.  Il n’y a pas de bonne ou mauvaise école. Il y a seulement une réponse à un besoin spécifique, à un instant donné, à un coût défini et selon une méthodologie choisie.  Les 19 pages qui constituent le présent dossier “En couverture” cherche à montrer l’utilisation du béton dans l’architecture, à travers plusieurs reportages. Le coulé en place qui côtoie le béton industrialisé, pour le plus grand plaisir des yeux. Puis, un panorama des fournisseurs (BPE et préfabricants) détaille une partie de l’offre actuelle de la filière béton. Dossier préparé par Sivagami Casimir et Frédéric Gluzicki Sommaire du dossier Viry-Châtillon : Béton matricé pour quartier enclavé Paris : Une crèche de chêne et de béton Nantes : Un subtil travail autour des bétons Beauvais : Un théâtre de blanc vêtu Le who’s who des beaux bétons 1Citation extraite de l’interview de Giovanni Lelli, parue dans le hors-série n° 23 de Béton[s] le Magazine, paru en début d’année. A lire aussi sur notre en cliquant ici.
Il y a 4 ans et 295 jours

Le béton recyclé prend lentement ses marques. Dossier

Retrouvez ce dossier dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. De nos jours, l’essentiel des produits béton issus de la démolition est destiné à l’industrie routière. Moins de 5 % est valorisée pour refaire des bétons neufs. [©ACPresse] Quasi 100 % des bétons issus du secteur de la démolition sont aujourd‘hui recyclés. C’est le constat optimiste que l’on peut faire d’un matériau trop longtemps jugé comme encombrant et qui s’est désormais trouvé une seconde vie grâce à sa valorisation dans le secteur du BTP. Les chiffres parlent d’ailleurs d’eux-mêmes : la consommation de granulats dans le BTP atteint chaque année 115 Mt, avec un potentiel en recyclé de 25 Mt. Potentiel, car la disponibilité de ces matériaux n’est que de 12 à 15 Mt, ce qui rend encore primordiale l’utilisation de granulats naturels. De nos jours, l’essentiel des produits béton issus de la démolition est destiné à l’industrie routière, qui les utilise en sous-couche. Une infime partie du béton – moins de 5 % – est valorisée pour refaire des bétons. A l’échelle de l’Ile-de-France, 7 Mt de matériaux recyclés sont produites chaque année. Mais à peine 1 à 2 % vont en valorisation dans les bétons neufs. Dossier réalisé par Steve Carpentier Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 295 jours

Le nouveau DTU 20.1 des travaux de maçonnerie

Retrouvez cet article dans le numéro 90 de Béton[s] le Magazine. Les murs isolés par l’extérieur (ITE) complètent les nouvelles solutions constructives du NF DTU 20.1. La composition des murs avec ITE et leur destination d’emploi ont été ajoutées au nouveau document. Enfin, homologué en juin 2020, le NF DTU 20.1 apporte aussi une précision quant au nombre minimum d’orifices de ventilation naturelle dans les vides sanitaires. Revue de détail avec le Bureau Veritas Construction. 1 &#8211; Est-ce une nouvelle norme&nbsp;? Non, mais il s’agit d’une révision des plus complètes du NF DTU 20.1 d’octobre 2008. Le nouveau document intègre certains procédés de maçonnerie montés à joints minces, qui relevaient auparavant de la procédure d’Avis technique. Et dont le caractère traditionnel a été décidé par la Commission chargée de formuler les Avis techniques (CCFAT). De façon identique au précédent document, le nouveau NF DTU comporte toujours un Cahier des clauses techniques et un Cahier des clauses administratives spéciales types (parties P1-1 et P2). Mais ils sont maintenant complétés par des Critères généraux de choix des matériaux (P1-2) et des Dispositions constructives minimales (P3). L’ancien guide pour le choix des types de murs de façades en fonction du site a été intégré dans la partie P3. Le présent document ne porte que sur les murs avec ITE, puisque le NF DTU 20.1 traite, comme toujours, des murs, dont l’isolation est prévue par l’intérieur. a &#8211; Qui en sont les destinataires ? Maîtres d’ouvrage, maîtres d’œuvre, bureaux d’études, maçons, entreprises et artisans. b &#8211; Une autre nouveauté ? Le NF DTU 20.1 indique que les vides sanitaires doivent être ventilés naturellement, avec au moins quatre ouvertures débouchant à l’air libre. La surface totale des ouvertures est déterminée de la façon suivante : &#8211; Surface totale (en cm2) ≥ 5 x Surface du plancher (m2)&nbsp;;&#8211; Par exemple, pour une surface de 350 m2, la surface totale des ouvertures sera d’au moins 1 750 cm2. Bien entendu, cette règle de calcul n’intéresse pas les vides sanitaires comportant un équipement technique, qui peuvent relever d’un autre référentiel et donc d’autres règles de calcul. c &#8211; Référence du nouveau référentiel Norme NF DTU 20.1 &#8211; Juillet 2020 &#8211; indice de classement P 10-202 2 &#8211; Quand a-t-elle été homologuée&nbsp;? La norme NF DTU 20.1 a été homologuée en juin 2020. 3 &#8211; Quels sont les nouveaux murs avec ITE&nbsp;? Le nouveau NF DTU 20.1 introduit de nouveaux types de murs, ceux comportant une isolation thermique par l’extérieur (ITE). Si le précédent document classait les murs de type I au type IV, en fonction de leur résistance à la pluie, le nouveau NF DTU répertorie aussi les murs de type XI au type XIV, c’est-à-dire les murs à simple paroi isolés par l’extérieur [Voir partie 4]. Selon qu’il existe ou non un procédé de revêtement extérieur, les murs de type XI, XII et XIII ont cette prescription particulière :&#8211; Avec un procédé de bardage : un corps d’enduit (ou sous enduit) conforme au NF DTU 26.1 est appliqué du côté extérieur.&#8211; Sans un procédé de bardage : un enduit est placé du côté extérieur ou du côté intérieur. Le NF DTU 20.1 précise que cette possibilité, enduit extérieur ou intérieur, est aussi valable pour les murs de type IV et XIV. Le mur de type XI, XII, XIII ou XIV se distingue du mur de type I, II, III ou IV par le fait que l’isolant est placé sur la face extérieure du mur. Le mur de type XIV a une peau extérieure étanche à l’eau, une lame d’air et un isolant non hydrophile [1]. Le mur de type IV comporte un bardage étanche à l’eau, sur liteaux et chevrons [2]. Un enduit plâtre éventuel peut revêtir la face interne de la maçonnerie [3]. 4 &#8211; Pour en savoir plus sur les murs avec ITE a &#8211; Comment sont-ils classés ? La numérotation des murs correspond à une efficacité croissante du système d’isolation et/ou de la paroi support. Le mur de type XI ne possède aucune disposition particulière en vue de s’opposer à la migration de l’eau de pluie jusqu’au parement intérieur. Le système d’isolation et la paroi support sont réputés perméables à l’eau. Celui de type XII comporte :&#8211; Soit, un système d’isolation capable de s’opposer au cheminement de l’eau de pluie vers l’intérieur (XIIa).&#8211; Soit une paroi en maçonnerie pouvant empêcher de faibles quantités d’eau de pénétrer vers l’intérieur (XIIb). Quant au mur de type XIII, il comporte : &nbsp;&nbsp;&nbsp; &#8211; Soit un système d’isolation par l’extérieur dont la peau extérieure n’est pas totalement étanche à l’eau de pluie, mais derrière laquelle est disposée une lame d’air continue permettant la récupération et l’évacuation des eaux d’infiltration (XIIIa). C’est le cas des bardages rapportés et ventilés. &#8211; Soit un système d’isolation par l’extérieur s’opposant au cheminement de l’eau par capillarité et par gravité, mis en œuvre sur une maçonnerie suffisamment imperméable pour s’opposer au cheminement de l’eau qui pourrait l’atteindre accidentellement (XIIIb). Enfin, l’étanchéité du mur de type XIV est assurée par la seule peau du système d’isolation, y compris au droit des baies. Ce sont des systèmes de bardage rapporté à recouvrement avec isolation par l’extérieur, qui relèvent soit, par extrapolation, des DTU de la série 40, soit de la procédure de l’Avis technique. b &#8211; Cas des systèmes Etics L’exposition à la pluie des procédés Etics (External Thermical Insulation Composite System), qui relèvent de la procédure de l’Avis technique, est déterminée à partir de la reprise d’eau par capillarité du système (isolant + système d’enduit) après 24 h : • murs de type XI ou XII, reprise d’eau ≥ 0,5 kg/m2,• murs de type XII ou XIII, reprise d’eau < 0,5 kg/m2. Le Document technique d’application ou l’Avis technique du procédé spécifie les types de mur réalisables. [1] Enduit hydraulique sur isolant ou mortier léger&nbsp; [2] Enduit à base de liant organique armé d’un treillis de verre sur panneaux PSE&nbsp; [3] Enduit hydraulique sur panneaux PSE, complexe fibres-ciment ou mortier léger&nbsp; [4] Peau extérieure à joints ouverts sur lame d’air, isolant non hydrophile&nbsp; [5] Système d’enduit sur isolant&nbsp; [6] Enduit plâtre éventuel [7] Enduit plâtre&nbsp; Le tableau ci-dessous indique le choix du type de murs pour une maçonnerie avec ITE. Façade abritée : façade opposée à la direction des vents de pluie quand ils possèdent une direction bien déterminée, façade sur cour ou courette, façade protégée par un obstacle naturel par exemple.Front de mer : façade en première ligne de construction autorisée la plus proche de la mer. Définitions des situations pour les constructions &nbsp; a &#8211; Situées à l’intérieur des grands centres urbains (commune où 50 % au moins des bâtiments ont plus de quatre niveaux). b &#8211; Situées dans les villes petites ou moyennes ou en périphérie des conurbations.&nbsp; c &#8211; Isolées en rase campagne. Avec l&rsquo;aimable autorisation du Bureau Veritas Construction Textes de références NF DTU 26.1 - Travaux de bâtiment - Travaux d’enduits de mortiers Conditions générales d’emploi des systèmes d’isolation thermique des façades par l’extérieur faisant l’objet d’un avis technique. Cahier du CSTB 1833 - livraison 237 de mars 1983
Il y a 4 ans et 296 jours

Cement Lab : Agrégateur d’innovations

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. Les rendez-vous du Cement Lab donnent la possibilité aux start-up de présenter leurs solutions devant un parterre d’industriels et d’entreprises. [ACPresse] Née en 2018, dans la continuité du symposium fêtant le bicentenaire de l’invention du ciment artificiel par Louis Vicat, la plate-forme Cement Lab a plusieurs vocations. Tout d’abord, l’acculturation, c’est-à-dire l’échange d’idées pour permettre à chacun de regarder au-delà de son champ habituel. Le Cement Lab est aussi un lieu de rencontres avec d’autres acteurs, de la construction bien entendu, mais aussi issus de secteurs connexes. Le fil conducteur est d’élargir le spectre de l’information, qui permet de répondre aux enjeux de la transition numérique, énergétique et du développement durable. On parle aussi de recyclage, d’économie circulaire Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 299 jours

Biotope Lille : Le projet aux cinq labels

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. Les balcons présentent un dessin sinusoïdal, qui suit le tracé des façades. [©ACPresse] L’Agence européenne du médicament devait s’y installer. Elle a préféré déménager de Londres à Amsterdam, dans le cadre du retrait du Royaume-Uni de l’Union européenne&#8230; En attendant, le projet du futur siège lillois avait été lancé. Trop tard pour tout arrêter. Qu’à cela tienne, la Métropole de Lille a profité de l’occasion, reprenant le bâtiment à son compte et en l’état. En même temps, il aurait été dommage de se priver d’une telle opportunité : le projet Biotope coche bien des cases positives. Déjà, il répond à cinq labels environnementaux. Tout d’abord, le référentiel Breeam, qui évalue les performances environnementales du bâtiment. Ensuite, l’expérimental E+C&#8211;, qui préfigure la future Réglementation environnementale 2020. Viennent après les certifications Well et BiodiverCity, qui définissent le bien-être en entreprise et la prise en compte de biodiversité dans le projet de construction. Enfin, il y a le label WiredScore, un système visant à promouvoir la connectivité des immeubles de bureaux. Ainsi présenté, il semblerait que la Métropole de Lille va bénéficier d’un Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 308 jours

Mapei : « Etre une marque qui compte »

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. Christophe Jeauneau, directeur général de Mapei France. [©ACPresse] Où en est Mapei au niveau de son développement en France ? En 2019, Mapei France a réalisé un chiffre d’affaires de 101,3 M€ sur l’ensemble de ses activités. Ce chiffre est en forte progression, sachant que nous avions fini l’année 2018 à 93 M€. Aujourd’hui, nous proposons seize lignes de produits, réparties sur l’ensemble de nos clientèles cibles. Tout d’abord la distribution professionnelle, qui génère 50 % de notre activité. Puis, la distribution en Grandes surfaces de bricolage, qui compte pour 25 %. Les clientèles “adjuvants pour bétons”, “adjuvants pour ciments”, “produits pour travaux souterrains” et “sols industriels et décoratifs” se placent en 3e position et permettent de réaliser les derniers 25 %. Les mortiers constituent une ligne de produits vendue à plusieurs types de clientèles et réseaux de distribution. Je veux que Mapei soit une marque, qui compte dans le paysage du BTP en France.  Côté nouveautés, nous lançons deux gammes de ragréages de sols, l’une dédiée aux soliers, l’autre aux carreleurs. Et, durant le second semestre, une offre inédite de mortiers de réparation verra la jour&#8230; Vous avez ouvert un Mapei World, à Paris. Que vous apporte ce lieu ?  Durant l’année 2019, nous y avons organisé 115 évènements, réunissant plus de 800 personnes. Il s’agissait de rencontres thématiques Mapei, techniques, sportives ou artistiques, de réunions co-conduites par nos clients et partenaires, de rendez-vous collaboratifs ou encore de visites de prescription.&nbsp; Grâce à Mapei World, nous sommes au cœur de Paris, près de nos clients, prescripteurs et des grands projets comme le Grand Paris, auquel nous participons. Mapei World est un lieu de vie, d’échanges et de formation.&nbsp; Cette année, nous allons encore augmenter notre vitesse de croisière à travers des “afterworks” autour des sujets donnés, organisés chaque mois. Ainsi que des petits déjeuners sur des thématiques transversales pour partager la vision d’intervenants experts. Ceci, avec des partenaires, des clients, des prospects ou encore des architectes&#8230; Mapei s’est engagé dans la démarche Fret 21. Quelles sont les modifications que cela entraîne ? Cette démarche nous amène vers de nouvelles exigences, par rapport aux choix de nos prestataires ou à notre organisation interne. Le premier exemple est la mise en place de ferroutage pour le transport, entre nos sites, de nos matières premières. Nous avons fait évoluer notre charte logistique et mis en place des points fixes de dépose.&nbsp; C’est surtout un engagement environnemental. Notre rôle ne s’arrête pas à la fabrication de produits pour la construction. L’intégration de matériaux biosourcés fait partie de nos préoccupations. Ce n’est pas seulement du marketing, mais une action beaucoup plus profonde&#8230; Vous avez intégré la société Tecnopol il y a quelques mois. Pourquoi ce choix ? Il s’agit d’élargir notre offre vers de nouveaux métiers pour rendre la marque encore plus attractive pour les donneurs d’ordre.&nbsp; Tecnopol est un spécialiste de l’étanchéité pour le bâtiment et l’industrie. Une activité en rapport avec les problématiques que nous traitons avec nos produits minéraux, mortiers de réparation en tête.&nbsp; Les produits Tecnopol seront disponibles en distribution professionnelle sous la marque Mapei. Mais resteront proposés sous leur marque originelle auprès des spécialistes de l’étanchéité.&nbsp; Mapei propose des chapes fluides. Mais pas encore en France&#8230; Jusqu’à quand ? Dans notre offre “adjuvants”, nous proposons des solutions pour chapes fluides depuis longtemps déjà. Par contre, même si le sujet nous intéresse beaucoup, le lancement d’une offre de chapes fluides n’est pas programmé à court terme en France. Mais il y a des projets en cours au niveau de la R&D&#8230; Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 309 jours

EN 197-1 : La norme ciment coincée à Bruxelles

Retrouvez cet article dans le numéro 88 de Béton[s] le Magazine. Laurent Izoret est directeur délégué produits et applications à l’Association technique de l’industrie des liants hydrauliques (Atilh). [©ACPresse] Le retard de publication de la norme ciment EN 197-1 se calcule en années, à présent&#8230; Ce blocage est la conséquence d’une décision de la Cour européenne de justice, comme le rappelle Raoul de Parisot, président de Cembureau : «&nbsp;Aujourd’hui, une norme harmonisée &#8211; c’est-à-dire une norme unique et identique pour l’ensemble des pays membres &#8211; fait pour ainsi dire force de loi. De ce fait, la Commission européenne a souhaité vérifier que chacune de ces normes couvre bien les éléments essentiels de leur objet. Ceci pour garantir, par exemple, la sureté de la construction pour les normes concernées.&nbsp;»&nbsp; Le problème avec le blocage de l’EN 197-1 est qu’il empêche la mise sur le marché des nouveaux ciments “bas carbone”. Alors même que la Commission européenne milite pour faire baisser les émissions de carbone ! Le premier ciment concerné est le CEM II/C-M. Il est constitué d’une part de clinker compris entre 50 et 64 %, additionné d’une part de 36 à 50 % de calcaire et autres composants au choix (laitier de hauts fourneaux, fumée de silice, pouzzolane, cendres volantes ou schiste calciné). Vers une norme non harmonisée « Cela ouvre la voie aux ciments dits “LC3” ou “Limestone Calcinated Clay and Clinker Cement”, c’est-à-dire des ciments composés d’argile calcinée et de calcaire broyé », confirme Laurent Izoret, directeur délégué produits et applications à l’Association technique de l’industrie des liants hydrauliques (Atilh). Ces ciments n’étaient pas programmés dans l’EN 197-1 révisée, mais compte tenu du retard pris par Bruxelles, il n’est finalement plus exclu que cette catégorie puisse y faire son entrée&#8230; La seconde famille de ciments est inédite dans la norme et se nomme CEM VI. Il s’agit de ciments ternaires : une part de 35 à 49 % de clinker, une part de 31 à 59 % de laitier de hauts fourneaux et une part de 6 à 20 % d’un 3e constituant au choix (pouzzolane naturelle, cendres volantes siliceuses ou calcaire). Afin de pallier cette problématique de retard de révision &#8211; et pour ne pas continuer à bloquer la sortie des nouveaux ciments -, le Comité européen de normalisation, qui a la responsabilité d’édicter les normes, vient d’autoriser la publication de la norme ciment. Mais d’une manière non harmonisée ! En d’autres termes, chaque organisme national de normalisation &#8211; l’Afnor pour la France &#8211; va publier cette norme dans son pays. Cette dernière sera identique d’un pays à l’autre&#8230; Réviser les documents d’application Comment s’appellera-t-elle exactement ? Le “197” sera présent, tout comme la marque “NF”. Pour le reste, comme la mention “EN” et le petit chiffre final, les choses sont encore dans le flou. Mais l’important n’est pas là. En effet, outre la norme, il est indispensable de travailler sur les différents documents d’application pour autoriser l’utilisation des nouveaux ciments. Cela va de la NF BPE aux normes produits auto-portants, en passant par le Fascicule 65, les NF DTU, le cahier EDF ou encore la NF Liants hydrauliques. « Concernant la norme ciment non harmonisée, nous espérons une publication pour la fin de cette année 2020, précise Laurent Izoret. Et durant le premier trimestre 2021 pour les divers documents d’application. » Cette approche va permettre de faire avancer les choses, en attendant que la situation se débloque à Bruxelles. D’autant plus qu’il est indispensable de garder le caractère technique de la normalisation. C’est même sa raison d’être. Si, après révision par la Commission européenne, les normes sont vidées de leur substance technique au seul bénéfice du cadre juridique, ce ne seront plus des normes. Ce sera autre chose&#8230; Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 309 jours

GCC : Le fond environnemental avant la forme

Retrouvez cet article dans le numéro 89 de Béton[s] le Magazine. Amandine Debrand, ingénieure environnement de GCC. [©GCC] Amandine Debrand, ingénieure environnement, et Stéphane Loiseau, directeur technique de GCC, détaillent les grands principes de&nbsp;la politique environnementale du groupe&nbsp;:&nbsp;«&nbsp;Nous souhaitons d’abord rester pragmatiques. Nous avons toujours comme objectif de travailler les projets le plus en amont possible. Ce qui nous permet de proposer aux maîtrises d’ouvrage et d’œuvre des adaptations, des variantes, des solutions techniques… Allant dans le sens d’une limitation de l’impact environnemental, tant au niveau de la période de chantier que sur la durée. Néanmoins, nous devons toujours rester réalistes, ce qui ne nous empêche pas de tester en permanence des solutions innovantes, qui seront ou pas retenues pour les chantiers à venir. Comme nous disposons d’une quarantaine d’agences sur l’ensemble du territoire national, cela nous permet de pratiquer une remontée d’information systématique et d’en faire profiter l’ensemble des collaborateurs du groupe&nbsp;». téphane Loiseau, directeur technique de GCC. [©GCC] «&nbsp;Les maîtres d’ouvrage sont de manière globale réceptifs à nos propositions,&nbsp;précise Stéphane Loiseau.&nbsp;Surtout lorsqu’ils constatent qu’une approche environnementale sérieuse n’implique pas toujours une augmentation des coûts.&nbsp;»&nbsp;Pour structurer ces démarches, la direction “Ingénierie et technique” dispose des capacités à développer des solutions innovantes, globales, mais aussi performantes dans la durée. Le tout en répondant aux labels en vigueur.&nbsp;«&nbsp;Nous avons lancé un plan “Environnement-énergie-climat”, ajoute Amandine Debrand.&nbsp;Nécessaire dans le cadre des accords de Paris, avec des maîtres d’ouvrage contraints de pousser les entreprises à intégrer de plus en plus de paramètres environnementaux dans leurs projets. » Gérard Guérit Travailler sur les systèmes et les matériaux GCC développe des partenariats dans l’application de nouveaux matériaux, comme les bétons décarbonés d’Hoffmann Green Cement Technologies. [©HGCT] Les exemples de recherche appliquée sont nombreux. Comme ce partenariat engagé avec l’industriel vendéen Hoffmann Green Cement Technologies, qui a mis au point un béton décarboné. Les équipes de GCC ont réalisé de nombreux tests sur le liant U-HKR. Et les résultats sont prometteurs. GCC travaille aussi autour des applications bois/béton. Y compris sur des évolutions spécifiques, comme le bois utilisé en coffrage, dans une démarche proche de celle du prémur.&nbsp;«&nbsp;Nous étudions les solutions “tout bois”, sachant qu’elles sont souvent plus coûteuses que les techniques béton, explique Stéphane Loiseau. Les chantiers sont plus rapides et moins contraignants pour l’environnement immédiat. Tout dépend du contexte et du type de constructions.&nbsp;» Pour sa part, le développement du BIM aide à étudier des bâtiments. Pouvant être évolutifs dans le temps, sans avoir à déconstruire la structure en cas de changement d’affectation.&nbsp; «&nbsp;Nous appliquons la devise “Le bon matériau au bon endroit”.&nbsp;Aucun matériau n’est donc écarté. Et le choix est fait à la lumière des contraintes techniques et économiques. Mais aussi de la volonté du maître d’ouvrage&nbsp;»,&nbsp;détaille Stéphane Loiseau. Et de rajouter&nbsp;:&nbsp;«&nbsp;Nous privilégions la simplicité et la facilité de maintenance. Par exemple, nous préférons proposer un bâtiment naturellement peu énergivore. Plutôt que d’arriver au même résultat officiel, en “compensant” par une production d’électricité via des capteurs photovoltaïques&nbsp;». De la production des bétons aux déchets de chantier GCC privilégie l’installation d’une centrale à béton sur site lorsque cela est possible. [©GCC] L’organisation, l’approvisionnement et la logistique des chantiers font partie des points importants de la politique environnementale de GCC. La première question qui se pose est le choix du moyen de production des bétons.&nbsp;«&nbsp;Lorsque c’est possible,&nbsp;nous privilégions l’installation d’une centrale sur site,&nbsp;»,&nbsp;précise Stéphane Loiseau.&nbsp;Pour les approvisionnements, l’entreprise favorise les circuits courts.&nbsp;«&nbsp;A titre d’exemple, nous préférons parfois promouvoir un isolant classique, mais fabriqué dans la région du chantier, plutôt qu’un isolant biosourcé qui nécessite un transport de plusieurs centaines de kilomètres&nbsp;»,&nbsp;indique Amandine Debrand. Les modes de conditionnement, les matériaux retenus… contribuent à l’optimisation de la gestion des déchets de chantiers et de leur recyclage.&nbsp;«&nbsp;L’économie circulaire commence à être une réalité,&nbsp;ajoute Amandine Debrand.&nbsp;Nous avons engagé plusieurs réflexions à ce sujet. Nous avons aussi initié des démarches avec des start-up spécialistes de ces sujets.&nbsp;» Dans le cas de déconstructions et/ou de rénovations lourdes, le concassage et la réutilisation des bétons de démolition sont privilégiés dans l’environnement immédiat du chantier.&nbsp;«&nbsp;Contrairement à ce que l’on imagine, le recyclage des bétons n’est pas toujours évident, surtout lorsque l’on souhaite utiliser ces bétons pour la réalisation de structures porteuses. D’où l’intérêt de pouvoir conserver le gros œuvre d’un ouvrage dans la durée et dans des affectations différentes », explique Stéphane Loiseau. Optimiser les installations, gérer les nuisances La gestion des nuisances passe aussi par une bonne communication avec les riverains. [Gérard Guérit] Les installations de chantier font aussi l’objet de réflexions à des degrés divers. L’idée de cantonnements “verts” a permis d’imaginer des bungalows assez indépendants en énergie, grâce à la pose de capteurs photovoltaïques. La direction de GCC est ensuite allée plus loin, faisant appel à des fournisseurs de capteurs européens et non chinois. Mais aussi, en améliorant les performances thermiques des bungalows, par habillage de bois et isolation à l’aide de matériaux biosourcés. Les opérations en site urbain imposent de réduire au maximum les nuisances. Cela peut influer les modes opératoires. Par exemple, retenir des bétons auto-plaçants pour éviter les opérations de vibration. Adapter les horaires de travail pour les interventions les plus bruyantes (usage de marteaux-piqueurs ou travaux de concassage en phase de démolition). Ces adaptations, qui peuvent aller jusqu’à modifier une technique d’intervention, sont incontournables pour les travaux situés à proximité d’écoles, de crèches, d’établissements de santé… La gestion des nuisances passe aussi par une bonne communication avec les riverains.&nbsp;«&nbsp;Une nuisance expliquée est plus facilement admise. Nous organisons des visites de chantier pour les riverains. Ce qui leur permet de mieux comprendre nos contraintes, d’accepter des désagréments passagers, et qui sait, de donner des vocations aux plus jeunes. Le BTP peinant toujours à recruter du personnel qualifié&nbsp;»,&nbsp;confirme Amandine Debrand. Réinventer les modes de déplacement GCC a fait le choix du véhicule électrique, même si les véhicules à motorisation thermique restent majoritaires. [©Nissan] La politique environnementale passe par l’optimisation des transports. Amandine Debrand en expose les grandes lignes.&nbsp;« Nous évitons que des personnes qui habitent dans le Sud de l’Ile-de-France soient envoyées sur des chantiers situés à l’autre extrémité de la région. Nous travaillons à optimiser les déplacements des commerciaux, des conducteurs de travaux et de tous les collaborateurs.&nbsp;» GCC prend en compte les évolutions des modes de déplacement. A moyen terme, l’entreprise vise le “tout électrique”, estimant que la solution de l’hybridation n’a pas vraiment de sens pour des véhicules surtout utilisés sur route. GCC s’appuie sur le fait que les derniers modèles de véhicules électriques disposent d’une autonomie suffisante pour pouvoir être utilisés comme un véhicule thermique, moyennant une organisation un peu adaptée. Ces hypothèses ont déjà pu déjà être vérifiées par des cadres de l’entreprise, amenés à se déplacer sur des distances relativement importantes. De plus, les salariés peuvent bénéficier d’un “pack mobilité GCC”, qui prend la forme d’un forfait permettant de retenir le moyen de transport le plus adapté à la situation du moment, de la trottinette électrique à la location de voiture, en passant par le Vélib et l’achat de billets de train&#8230; Cette démarche correspond à une vraie demande, surtout de la part des générations montantes, qui ne  considèrent plus la voiture de fonction comme un “plus”, mais pour certains comme une contrainte, en particulier dans les grandes zones urbaines. Juillet 2020
Il y a 4 ans et 310 jours

Laboratoires d’essais pour bétons

Retrouvez ce dossier dans le numéro 89 de Béton[s] le Magazine. Axylis accueille un tout nouveau laboratoire dédié au béton. [©Axylis] En français, le mot “essai” peut revêtir plusieurs sens. Dans la littérature, l’essai permet de coucher en toute subjectivité ses réflexions sur tous types de sujets. Au rugby, l’essai désigne le moment où le joueur, souvent après une course intense, “écrase” le ballon derrière la ligne adverse, pour marquer un point. Donnant ainsi, toutes sortes d’émotions aux supporters. Enfin, l’essai, aussi avec le verbe “essayer”, fait référence à l’épreuve, l’action de tenter, d’étudier… Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 310 jours

Les malaxeurs s’ouvrent de nouveaux horizons

Retrouvez cet article dans le numéro 88 de Béton[s] le Magazine. Ouverture &#8211; Trappe de vidange d’un malaxeur à trains planétaires [©Skako Concrete] Plus robustes, plus faciles à entretenir, les malaxeurs sont surtout capables de réaliser des mélanges homogènes, quelle que soit la formulation demandée. Et même si le marché français conserve sa culture spécifique, de nouvelles techniques gagnent du terrain. Dossier préparé par Yann Butillon Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 312 jours

Haute-Savoie : Des bunkers contre le cancer

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. Thônes Béton a assuré la fourniture de 5 300 m3 de béton dans le cadre de la construction d’un bâtiment de traitement des cancers. [©Thônes Béton] Le centre hospitalier d’Annecy se dote d’un bâtiment pour le traitement des cancers. Celui-ci ouvrira ses portes en 2021. Quatre bunkers permettant d’accueillir quatre accélérateurs de particules, pour la radiothérapie, ont été ainsi construits.  «&nbsp;C’est Thônes Béton, entreprise familiale, locale et indépendante, qui a produit le béton pour l’ensemble de la construction, soit environ 5&nbsp;300 m3, de mai 2019 à février 2020&nbsp;», explique Alexia Barrachin, responsable développement.&nbsp; Une partie des murs extérieurs des bunkers ont été coulés avec un béton lourd. « La demande était d’atteindre une densité de 3,5 t/m3. Ce que nous avons obtenu avec des granulats de magnétite. Ce choix a été poussé par sa couleur noire, nous permettant d’éviter de laborieuses phases de nettoyage, contrairement à d’autres solutions. Le tout pour un total de 350 m3 de béton. » Le coulage s’est effectué en plusieurs phases pour chaque bunker, entre janvier et mars 2020. Alors que les dalles font 1,60 m d’épaisseur, les murs des bunkers sont, eux, épais de 90 cm. « C’est un défi que nous avons pu relever grâce à nos sept toupies et nos trois malaxeurs-pompes. En tant qu’indépendant, travailler sur ce chantier avec Eiffage nous a permis de montrer notre savoir-faire et notre organisation. »
Il y a 4 ans et 314 jours

Gironde : Doka sur un chantier iconique de Bordeaux

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. Coffrage-cadre Framax Xlife et matrice vaguée permettant la réalisation des voiles du complexe G1, à Bordeaux. [©Doka] Dans le cadre du réaménagement du quartier des Bassins à flot à Bordeaux, Eiffage Immobilier s’est vu confier la construction d’un vaste bâtiment de plus de 22 000 m2, à la place du mythique entrepôt maritime. Nommé “G1” et réalisé́ avec le cabinet d’architecture DND, ce complexe d’un nouveau genre réunira commerces, bureaux et parkings sur plusieurs niveaux. Cœur du projet, le traitement des façades. D’abord via une matrice en forme de vagues, qui habille toutes les faces du bâtiment. Mais aussi par l’absence d’angles réguliers du bâtiment. Pas de façades rectilignes, aucun angle droit et un jeu de faux angles constants. Pour couronner le tout, les largeurs des fenêtres sont variables, afin de cacher de fausses trames.&nbsp; « Ce fut un véritable challenge et une expérience inédite que de travailler sur un béton architectonique et matricé de ce niveau-là, explique Jacques Wiet, directeur de travaux chez Eiffage Construction. Nous avons dû mettre en place un matériel de coffrage, nous permettant d’avoir une certaine modularité et une souplesse pour ne pas avoir trop de modules. Il faut noter aussi que les largeurs des fenêtres n’étaient pas toutes identiques le long de la façade. »  Bien sûr, l’absence de régularité dans la construction a poussé le choix des matériels vers la polyvalence. C’est donc Doka et son coffrage-cadre Framax Xlife, qui a été choisi.&nbsp;« Ce fut la solution la plus performante et la plus pratique à tout point de vue ! Grâce à ce système, nous avons pu recaler la “feuillure” en bas et en haut par rapport au dernier mur. Et cela pour chaque nouveau module.&nbsp;»
Il y a 4 ans et 316 jours

Résidence Le Onze : Un immeuble exemplaire issu de l’économie circulaire

Le Onze est une petite résidence d’habitation, qui s’inscrit dans le label E+C-, en visant un seuil E2C1. [©ACPresse] Exemplaire. Voilà comment se veut l’opération de construction de la résidence d’habitations “Le Onze”, à Chartres, dans l’Eure. Dès le départ, Pierre & Territoires Eure-et-Loir a posé un postulat simple&nbsp;: construire un bâtiment, qui anticipe les ambitions réglementaires de la RE 2020, en utilisant des techniques maîtrisées par des acteurs locaux. Le tout, sans déséquilibre du prix de sortie. En d’autres termes, réaliser un projet ayant une réelle viabilité économique et dont le coût global reste le même que pour un projet “classique”.&nbsp; Bien entendu, les logements créés se doivent de répondre aux enjeux environnementaux (énergie/carbone), tout en étant reproductibles à l’échelle du territoire. Celui de l’Eure-et-Loir, en l’occurrence. Ainsi, le programme est réalisé dans une démarche éco-responsable et s’inscrit dans le Label E+C-, en visant le seuil E2C1.&nbsp; Ainsi, Le Onze affiche une architecture contemporaine élaborée par Yannick Mouton. Une architecture, qui répond toutefois aux contraintes d’urbanisme liées à la protection du patrimoine de la cité historique de Chartres. Le projet fait la part belle à la mixité des matériaux&nbsp;: terre cuite, bois et béton. Ce dernier se distingue, car il intègre une jolie part de granulats recyclés. Ceux-cisont issus de la déconstruction d’anciens immeubles du quartier de Beaulieu et d’un bâtiment du collège Hélène Boucher. C’est-à-dire, des démolitions opérées sur le territoire de Chartres Métropole. Surtout, ces matériaux ont été valorisés par l’entreprise Granudem, sur son site pilote de Poisvilliers, petite commune située à 20 km au Nord de Chartres. C’est là que l’industriel transforme les déchets de démolition en une gamme de sables et de granulats aptes à être intégrés dans des nouveaux bétons.&nbsp; Des granulats recyclés dans les bétons Des MCI matricés habillent les façades donnant sur la rue. [©ACPresse] C’est justement ce qu’a fait Spurgin Léonhart dans son unité de préfabrication de Mignières, toujours dans l’Eure, mais à 20 km au Sud de Chartres. Le volume de granulats recyclés mis en œuvre dans le béton est de 20 %, comme l’autorise la norme NF EN 206/CN. L’ensemble des murs à coffrage intégré (MCI) matricés destinés au chantier du Onze ont été préfabriqués avec ce béton. Au total, pas moins de 80 t de granulats recyclés ont été ainsi valorisés dans les 400 m3de bétons structuraux nécessaires à la construction. Outre les MCI, le BPE, les escaliers préfabriqués et les blocs en ont bénéficié. Seules, les prédalles précontraintes n’ont pu en profiter, car les textes ne l’autorisent pas à ce jour. Ainsi, rien qu’au niveau des bétons, le projet a permis d’économiser plus de 360 t de CO2, pour atteindre cette performance de E2C1, soit un impact carbone en recul de 20 %, en comparaison à une opération classique.&nbsp; Pour la préfabrication des MCI matricés, Spurgin Léonhart a mis en œuvre un béton intégrant 20 % de granulats recyclés. [©ACPresse] Le projet du Onze ne vise donc pas une virtuosité technique. La volonté de Pierres & Territoires Eure-et-Loir est juste de démontrer de manière pragmatique qu’il est possible d’avoir une démarche éco-responsable dans le cadre du label E+C&#8211;. Ceci, dans le cadre de l’économie circulaire, en faisant appel à des entreprises locales, à des techniques courantes et en valorisant les matériaux. Et sans surcoût&#8230; Une belle mixité des matériaux La construction fait la part belle à la mixité des matériaux : terre cuite, bois et béton. [©ACPresse] Bâtiment de type R + 3, Le Onze est posé sur des fondations constituées de pieux, de longrines et de dalles portées. Cet ensemble est destiné à “enjamber” des vestiges du IVe&nbsp;siècle, trouvés sur place lors de fouilles archéologiques préalables&#8230; Tout en béton, le rez-de-chaussée abrite les parkings privatifs, les caves et les locaux techniques. La structure comprend les MCI matricés, côté rue, les murs extérieurs en blocs creux, les refends porteurs en blocs pleins rectifiés et une ossature poteaux-poutres pour le parking.&nbsp; Les granulats recyclés sont fabriqués sur la plate-forme Granudem à partir de bétons de démolition. [©ACPresse] En élévation, les murs de façades sont réalisés en maçonnerie de type Bio Bric, avec intégration d’un complexe d’isolation (ITI). Quant aux murs séparatifs, ils sont en blocs pleins rectifiés. Et ceux de la cage d’escalier, tout comme les acrotères, sont en blocs à bancher. L’ensemble des planchers voit la mise en œuvre de prédalles précontraintes, associées à une dalle de compression en béton prêt à l’emploi. Les ponts thermiques en rives de dalles sont traités à l’aide de planelles isolantes en béton ou en terre cuite. Enfin, le troisième et dernier étage est construit, en utilisant des panneaux préfabriqués en bois. Tout comme la toiture, qui s’articule autour d’une structure en bois, elle-aussi.&nbsp; Côté finition, les façades seront traitées en enduit clair, avec intégration de modénatures en béton de teinte blanc cassé, ainsi que des plaquettes de parement en brique sur les niveaux supérieurs. Pour sa part, le rez-de-chaussée restera “brut de béton”, bénéficiant de la finition matricée des murs à coffrage intégré.&nbsp; Frédéric Gluzicki Repère Promoteur/aménageur : Pierres & Territoires Eure-et-Loir - Provivis Eure-et-LoirMaîtrise d’œuvre : Yannick Mouton, architecteBET E+C- : AET LoriotEntreprise de gros œuvre : Ets TachauBPE : UnibétonPréfabricants : KP1 (prédalles), PBM (escaliers), Spurgin Léonhart (MCI matricés) et Rasori (blocs béton)Granulats recyclés : Granudem (28)Délai : 12 mois
Il y a 4 ans et 316 jours

Savoie : Un nouveau siège pour Alphi

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. Pose de la première pierre du futur nouveau siège de l’industriel Alphi. [©Alphi] L’année 2020 sera le signe de la nouveauté pour Alphi. En effet, l’industriel savoyard a lancé la construction de son nouveau siège social. Ceci, sur la zone d’activité de Savoie Hexapole, à Chambéry, qui était déjà la localisation du précédent établissement depuis 2008. Sur 1 400 m2, le bâtiment &#8211; dessiné par l’architecte Philippe Commeau et réalisé par le groupe de BTP Pelletier &#8211; répondra aux besoins de l’industriel qui a doublé son chiffre d’affaires en 3 ans. Avec une croissance de + 20 % en 2019, portant le chiffre d’affaires de 20 à 25 M€ et créant ainsi 40 emplois sur ces deux dernières années.  Conçu dans un souci de Haute qualité environnementale et énergétique, le nouveau siège répondra aux enjeux d’une gestion moderne orientée vers le “Care Management”1. C’est par souci du bien-être de leurs collaborateurs que les dirigeants d’Alphi ont fait le choix de demeurer sur la zone d’activités de Savoie Hexapole. C’est aussi dans cet esprit que les équipes de l’entreprise se sont impliquées dans l’aménagement, la décoration, et les circulations de leur futur lieu de vie et de travail.  Le développement d’Alphi l’avait amené à construire, en 2014, l’une des plus grandes bases de matériels de France sur 4 ha de terrain à Saint-Genix-sur-Guiers (73). En 2017, Alphi ouvrait aussi une agence à Coignières (78), afin de positionner l’entreprise au cœur du Grand Paris où elle traite de nombreux chantiers. Alphi s’appuiera désormais sur ce nouveau siège pour poursuivre son développement.  1Le Case Management est une méthode d&rsquo;accompagnement spécifique, permettant de gérer les questions complexes relevant de l&rsquo;action sociale, de la santé et des assurances.
Il y a 4 ans et 316 jours

Hérault : Le port de Sète à nouveau enjambé

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. Zone technique où seront installés deux vérins de 200 t destinés à lever le futur pont du port de Sète. [©Coffrin] Le port de Sète était traversé par le pont Sadi Carnot qui supportait le route départementale 2 reliant Balaruc-les-Bains à l’étang de Thau. Mais ce pont métallique, vieux de 70 ans, ne correspondait plus aux normes de sécurité actuelles. Il a donc été remplacé, lors d’un chantier qui a couru sur l’année 2019. Mené par NGE GC/Lagarrigue, la nouvelle réalisation s’articule autour de de deux énormes vérins d’un poids unitaire de 200 t destinés au levage du pont. Ces vérins sont logés dans une zone de maintenance technique, coffrée à l’aide d’un outil développé par l’industriel Coffrin. «&nbsp;Nous faisions face à plusieurs contraintes, notamment trois phases de coulage distinctes, explique Guillaume Larrieu gérant de l’entreprise.&nbsp;Mais aussi l’obligation d’intégrer et l’assembler des coffrages à l’intérieur de l’imposante cage d’armatures. Enfin, le démontage en éléments mesurant 90 cm maximum pour passer par la trappe d&rsquo;évacuation.&nbsp;» Pour ce faire, Coffrin a divisé son outil en plusieurs coffrages distincts. A commencer par une porte d’accès pour les techniciens de maintenance, par un quart de cercle de rayon de 3 m (permettant le passage de l’extrémité des poutres du tablier métallique du pont au moment du basculement). Mais aussi un triangle support des vérins et un support du tablier supérieur. La zone obtenue a permis d’installer les vérins, qui lèvent le pont en acier massif trois fois par jour. 
Il y a 4 ans et 317 jours

Hérault : Assistance Béton et Contrôle (ABC) devient Silys

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. Silys est le nouveau nom d’Assistance Béton et Contrôle. [©Silys] Depuis 2005, Assistance Béton et Contrôle (ABC) œuvre dans le domaine des laboratoires d’essais béton et matériaux. Implantée à Béziers, l’entreprise a choisi de changer de nom pour devenir Silys. Contraction de Silicium et d’analyse, le patronyme de Silys doit mieux incarner la diversification des activités de l’entreprise. Si le contrôle et les essais sur béton et matériaux liés à la construction sont toujours les activités principales de Silys. L’entreprise intervient aujourd’hui dansAssistance Béton et Contrôle (ABC) devient Silys, contraction de Silicium et d&rsquo;analyse… toutes les étapes de la construction. De la prescription à la création du projet, du conseil sur la fabrication des matériaux, à l’analyse dans le suivi de projet, ainsi qu’à la vérification de structure. Silys s’adresse essentiellement aux prescripteurs, utilisateurs et producteurs de matières premières dans l’industrie du BTP. Sur les petits comme les gros chantiers. Portée par une équipe de sept techniciens et gérée par Thomas Jordy, l’entreprise est devenue une référence dans l’Aude, le Gard, l’Hérault et les Pyrénées- Orientales. En 2020, Assistance Béton et Contrôle, devenue Silys fête ses quinze ans d’existence&#8230;
Il y a 4 ans et 317 jours

Bouygues Construction et Dassault Systèmes renforcent leurs liens

La plate-forme 3DExperience permet à Bouygues Construction de s’ancrer dans la conception de demain. [©Bouygues Construction] Bouygues Construction et Dassault Systèmes poursuivent leur collaboration. Après avoir entamé un processus de numérisation et d’automatisation de ses processus, l’entreprise de construction a choisi d’utiliser la plate-forme 3DExperience sur le cloud de Dassault. « Bouygues Construction utilise les technologies digitales depuis des années et constate que les cas d’usage pourraient être plus nombreux et apporter plus de valeur, déclare Philippe Bonnave, Pdg de Bouygues Construction. Nous sommes donc à la recherche d’une transformation plus forte, qui impacte les process de nos opérations et qui prépare le futur de l’entreprise. Une transformation amenant plus de transversalité en interne et avec nos parties prenantes pour apporter toujours plus de valeur à nos clients. » Avec sa plate-forme 3DExperience sur cloud, l’entreprise de BTP peut adopter une approche systémique de la gestion des projets. Qui intègre des expériences de jumelage numérique d’un bout à l’autre de la chaîne de valeur. Cette approche permet de passer à une méthode basée sur des modèles intégrés et collaboratifs. Ainsi, cet outil servira à optimiser le processus décisionnel entre les différents intervenants. Mais aussi, cela permettra au groupe de réduire son volume de déchets et d’améliorer la qualité produit de la conception à la construction. Rationnaliser le processus décisionnel «&nbsp;L’utilisation du jumeau virtuel dans la construction est un processus inclusif et &#8211; grâce au cloud et à la mobilité – abordable, explique Bernard Charlès, vice-président du conseil d’administration et Dg de Dassault Systèmes. Contrairement aux méthodes traditionnelles existantes, elle permet à toutes les personnes impliquées de comprendre et de contribuer au processus. Tous les acteurs du secteur aspirent à des modes transformationnels de collaboration et d&rsquo;innovation. Avez-vous déjà pensé que ce rêve pourrait se réaliser ? Cette approche révolutionnaire, basée sur la plate-forme 3DExperience, constitue la base de notre partenariat de long terme avec Bouygues Construction. Il représente une formidable opportunité d’allier nos leaderships et nos expertises respectifs. Ainsi que d’amorcer une nouvelle dynamique dans l’éco-système du bâtiment et des travaux publics pour tendre vers une durabilité accrue.&nbsp;»
Il y a 4 ans et 319 jours

Stephan Helmbacher, vice-président de l’Unicem Grand Est

Pdg des Sociétés Ballastières et Sablières Helmbacher implantées dans le Bas-Rhin, Stephan Helmbacher devient vice-président de l’Unicem Grand Est. [©Unicem] Pour les représenter, les producteurs de granulats de la région Grand Est ont élu Stephan Helmbacher, président du collège “Granulat” de l’Unicem Grand Est. Il devient aussi vice-président de l’Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (Unicem) régionale. Succédant à Philippe Huchon, appelé à exercer ses fonctions dans l’Ouest de la France. Son parcours Pdg des Sociétés Ballastières et Sablières Helmbacher implantées dans le Bas-Rhin, Stephan Helmbacher représente la 4e génération à la tête de l’entreprise. « Avec plus de 300 carrières réparties sur la région, nous mobilisons des ressources locales et garantissons à la collectivité un approvisionnement de proximité, continu, sûr et durable. Afin de répondre aux besoins d’entretien, de construction et d’aménagement de notre cadre de vie », explique Stephan Helmbacher. Jusqu’ici président du collège “Alsace”, Stephan Helmbacher porte désormais la voix de 85 entreprises adhérentes. Œuvrant dans l’extraction, la production et le recyclage de granulats. «&nbsp;La parution récente du “Guide Eviter, Réduire, Compenser les impacts sur les milieux naturels” a été élaboré avec le ministère de la Transition écologique et solidaire. Il illustre la robustesse de notre savoir-faire et la richesse de nos expériences en matière de préservation de la biodiversité. » L’union rassemble dans la région 150 entreprises représentant près de 650 sites.
Il y a 4 ans et 320 jours

Spie Batignolles : Le cap des 3 Md€ pour 2022

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Jean-Charles Robin, président de Spie Batignolles : « Le groupe est indépendant. Ses cadres et ses collaborateurs détiennent son capital à hauteur de 70 % ». [©ACPresse] Un chiffre d’affaires de 3 Md€ à l’horizon 2022. Voilà l’ambition du groupe de BTP Spie Batignolles. En 2019, le chiffre atteint a été de 2,1 Md€. Le défi est donc audacieux&#8230; Entreprise “historique” du secteur de la construction, bâtie autour d’une marque patrimoniale, Spie Batignolles a plus d’un siècle d’existence. En termes d’organisation, le groupe est structuré autour de 5 métiers&nbsp;: Bâtiment (43 %), Tavaux publics (24 %), Génie civil et Fondations (19 %), Energie Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 320 jours

Plaka France : « L’innovation est un axe essentiel de notre stratégie de développement »

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Guerric Becquart, directeur commercial de Plaka France. [©Plaka] Présent depuis près de 40 ans sur l’Hexagone, Plaka France conçoit, fabrique et distribue des accessoires techniques et des produits pour le gros œuvre. « Nous proposons des solutions innovantes pour que nos clients gagnent en efficacité sur les chantiers, explique Guerric Becquart, directeur commercial de Plaka France. A travers nos technico-commerciaux, nous sommes présents sur l’ensemble du territoire français. » Dans le monde du béton, l’industriel s’adresse aussi bien à la préfabrication qu’au chantier, avec une gamme technique de Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 320 jours

Côte-d’Or : Dijon accueille une nouvelle école d’ingénieurs en construction durable

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Les étudiants de l’ESTP Dijon s’installeront sur le campus universitaire en 2021. [©Graamarchitecture] Début novembre dernier, l’école d’ingénieurs ESTP Paris a inauguré à Dijon son deuxième campus régional. Après son implantation à Troyes, il y a deux ans, c’est dans les anciens locaux de la CPAM que l’ESTP Paris a accueilli plus de 200 personnes pour l’inauguration de son nouveau campus accrédité par la Commission des titres ingénieurs (CTI). « Cette nouvelle étape dans la vie de notre école est la concrétisation de notre projet de développement ESTP 2030, explique François-Xavier Clédat, président du conseil d’administration de l’école. Projet qui vise à répondre à l’évolution des métiers de la construction au sens large. Ainsi qu’au besoin de recrutement de cadres. Et à donner l’opportunité à des étudiants, qui n’ont pas forcément la possibilité ou la volonté de se déplacer en région parisienne de bénéficier de nos formations en région. » Dès septembre 2021, l’ESTP Paris s’installera sur le campus universitaire dans un nouveau bâtiment construit par la Société publique locale d’aménagement de l’agglomération dijonnaise (Splaad). D’une surface plancher de 10 309 m2, le bâtiment s’élèvera sur 4 étages et regroupera de nombreux espaces. Tout d’abord, 8 laboratoires de recherche et d’enseignement, un amphithéâtre de 400 places, des espaces mutualisés (de détente et associatifs, salles de réunion). Puis, quelque 44 salles d’enseignement, des espaces administratifs. Enfin, le show-room On Dijon &#8211; qui se transformera en Fab Lab pour les étudiants en fin de cursus d’ici 5 ans -, des grandes terrasses accessibles et un parking souterrain de 90 places.
Il y a 4 ans et 320 jours

Rector Lesage : « Saisir les opportunités s’inscrit dans notre stratégie »

Retrouvez cet article dans le numéro 89 de Béton[s]&nbsp;le Magazine. Rémi Lesage, président, et Ronan Blanchard, nouveau directeur général du groupe Rector Lesage. [©Rector Lesage] Rector Lesage vient d’opérer un changement de direction générale&nbsp;: départ à la retraite de Pierre Laplante. Cela va-t-il entraîner une modification de la stratégie d’entreprise&nbsp;? Ronan Blanchard&nbsp;: La stratégie d’une entreprise ne dépend pas d’une seule personne. Mon arrivée pour prendre la suite de Pierre Laplante n’a donc pas remis en cause les choix opérés dans le cadre du plan à moyen terme déjà en place. Je considère d’ailleurs ce dernier comme pertinent. Toutefois, des adaptations ou des simplifications peuvent toujours y être apportées&#8230; L’outil industriel doit aussi être mis au cœur de notre stratégie, car c’est lui qui garantit la qualité des produits proposés par Rector. Rémi Lesage&nbsp;: En revanche, la crise du coronavirus va Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne avoir des répercussions sur le marché. Malgré le rebond lié au déconfinement, qui va s’opérer dans les mois qui viennent, l’année 2021 sera sans doute assez compliquée&#8230; Cette situation a aussi fragilisé des entreprises et des opportunités vont se présenter, sans doute plus tôt que prévu. Rector a plutôt bien traversé cette période et reste à l’écoute du marché.&nbsp; Quelles sont les orientations actuelles de Rector en matière de produits&nbsp;? R. L.&nbsp;: Rector reste leader dans le domaine de la poutrelle précontrainte et est très bien positionné sur celui de la prédalle. Quant au mur coffrage intégré, il est le complément naturel des solutions constructives horizontales. Dans l’avenir, ces produits continueront à être au cœur de notre activité. R. B.&nbsp;: Toutefois, Rector a de nombreux projets en développement&#8230; Si des diversifications sont bien programmées à moyen terme et en fonction des opportunités que nous apportera le marché, les champs de recherche sont plutôt centrés sur les optimisations de coûts, de services ou de formulations des bétons. A ce niveau, notre R&D est aujourd’hui pilotée par André de Chefdebien et Emmanuel Boichon, rejoints depuis un an par Eric Stora. Bétons bas carbone et matières premières biosourcées font partie de nos réflexions prioritaires. Enfin, s’il doit y avoir une rupture, ce sera plus dans la manière d’utiliser les solutions constructives et pas forcément sur les produits eux-mêmes. Rector reste-t-il toujours centré sur le bâtiment&nbsp;? Ou bien l’acquisition de LB7 lui a-t-il ouvert de plus grandes perspectives en génie civil et en travaux publics&nbsp;? A l’image des poutrelles précontraintes, les produits destinés au bâtiment constituent le cœur de métier du groupe Rector Lesage. [©Rector Lesage] R. B. : Le bâtiment, au sens large du terme, est dans l’ADN de Rector. Et nous avons encore beaucoup de choses à y écrire. Les bâtiments moins énergivores ou reconfigurables se présentent comme des défis que nous avons l’ambition de relever justement. Il est aussi difficile de concevoir que Rector soit un acteur peu présent dans le vertical. Notre mur coffrage intégré devra donc occuper une place plus importante sur le marché. Par contre, il est peu probable que nous devenions un acteur du bloc béton. Et encore moins dans le domaine du béton prêt à l’emploi&nbsp;! R. L. : Même si nous savons faire des produits pour d’autres domaines, les activités “non bâtiments” occuperont encore une place minoritaire dans notre éco-système, car un développement tous azimuts n’est ni souhaitable, ni sans risque pour une entreprise&#8230; Vous avez créé la marque Neo Planchers et Murs Réinventés sur la façade Atlantique en 2015. Pourquoi&nbsp;ce choix&nbsp;? R. B.&nbsp;: Il n’est pas exceptionnel qu’un industriel, dont la marque est connue crée une marque secondaire. Néo P&MR s’inscrit dans cette logique pour répondre à des besoins particuliers&nbsp;: celui d’un meilleur maillage local, celui d’une typologie de clients différents de ceux de Rector, celui d’une structure plus légère, plus réactive. Et cette entité peut aussi être le réceptacle de quelques intégrations secondaires, si l’opportunité se présente. Néo P&MR a permis de fusionner en une entité unique les marques Planchers Fabre, présentes surtout sur le Sud-Ouest de la France et LB7, basée dans les Deux-Sèvres. Il est vrai que ces deux sociétés ont une grande complémentarité géographique. Vous avez dit que l’outil industriel devait être au cœur de la stratégie de Rector. L’extension de l’usine de Tournefeuille, en Haute-Garonne en est donc la parfaite illustration&nbsp;? R. B.&nbsp;: L’usine est magnifique&nbsp;! Un investissement de 20 M€ pour Rector&#8230; Le nouveau hall est dédié à la production de murs à coffrage intégré, solution qui manquait dans le Sud-Ouest. Jusqu’à présent, ces éléments devaient être acheminés depuis notre usine de Nantes ou de Marseille. L’outil de Tournefeuille va nous permettre de gagner des parts de marché sur ce produit. Il est aujourd’hui en cours de test avec la production de prédalles. Son démarrage effectif interviendra au cours du dernier trimestre de cette année. Rector est aussi présent à l’international, en Belgique et en Europe centrale. Où en sont les développements de ce côté-là&nbsp;? Rector Lesage vient d’investir 20 M€ dans l’extension de l’usine de préfabrication de Tournefeuille, en Haute-Garonne. Dès la fin de cette année, l’unité assurera la production locale de murs à coffrage intégré. [©Rector Lesage] R. B.&nbsp;: Après Chrzanow, dans le Sud de la Pologne, nous sommes en train de finaliser la construction et l’aménagement de notre 2e usine, implantée à proximité de Varsovie. Elle devrait être opérationnelle à la rentrée. Les deux unités de production ont la même typologie&nbsp;: production de poutrelles précontraintes et de prélinteaux pour l’essentiel. La Pologne est un pays qui nous a surpris par sa résilience. La crise du coronavirus l’a certes touché, mais il est depuis reparti très vite&#8230; Nous continuons aussi à livrer nos produits en Tchéquie et en Slovaquie&#8230; Par contre, malgré un bon démarrage, la Russie n’a pas tenu ses promesses, ce qui nous oblige à quitter ce marché aujourd’hui, avec la fermeture définitive du bureau de Moscou au 31 décembre prochain. Il y a quelques années qu’existe l’espace Campus. Quel est son objectif&nbsp;? R. L.&nbsp;: Il s’agit de notre pôle de formation interne, créée par Jean-Paul Beckert il y a une vingtaine d’années, quand il occupait le poste de directeur général. Notre volonté a toujours été d’embaucher un minimum d’apprentis. Mais il n’y a pas de formation spécifique d’opérateur en préfabrication au sein de l’Education nationale. Cette dernière ne peut pas tout faire. Nous avons donc appliqué le proverbe “Aide-toi et le ciel t’aidera”, en fondant notre propre école. Le Campus Rector constitue aussi la pépinière de talents interne de l’entreprise. Propos recueillis par Frédéric Gluzicki Ronan Blanchard, de la chimie à l’industrie du béton Ronan Blanchard, 46 ans, a pris les fonctions de directeur général de Rector Lesage depuis le mois de janvier 2020. Il a ainsi succédé à Pierre Laplante, qui a fait valoir ses droits à la retraite, après 10 ans passés à piloter le groupe au quotidien. Ronan Blanchard a pris ses fonctions dans des circonstances particulières, alors même que la crise du coronavirus montait en puissance... Bien connaître l’industrie et le secteur de la préfabrication fut donc un atout majeur pour assurer cette transition. Ingénieur en génie des procédés de formation, diplômé de l’Ecole nationale supérieure des industries chimiques, Ronan Blanchard a débuté sa carrière dans ce domaine d’activité. C’est seulement en 2007 qu’il rejoint le monde du béton, en intégrant le groupe breton Quéguiner. En qualité de directeur industriel, puis de directeur général de Celtys, branche préfabrication de l’entreprise. Ceci, avant d’accéder à la direction générale du groupe, poste qu’il gardera jusqu’en 2016. Ensuite, Ronan Blanchard a choisi une nouvelle orientation, en rejoignant SFA, pour y prendre, là encore la direction générale France des entités Kinedo et Watermatic. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 320 jours

La 100 000e toupie est sortie des usines Liebherr

Le directoire de Liebherr (à gauche) s’est réuni pour offrir les clefs de la 100 000e toupie produite à l’entreprise Heinz et à ses représentants (à droite). [©Liebherr] Au printemps 2020, Liebherr a remis les clefs de la 100 000e toupie portée de son histoire. Il s’agit d&rsquo;une HTM 905, qui a été réceptionnée par Heinz Transportbeton Ingolstadt. Pour l’occasion, la direction de cette entreprise s’est rendue en personne à l’usine Liebherr de Bad Schussenried. Chez Heinz Transportbeton Ingolstadt, les douze toupies du parc, ainsi que la centrale à béton de type Betomat viennent de chez Liebherr. Il y a 45 ans déjà, l’entreprise Heinz avait démarré avec le modèle Liebherr Betomix. De son côté, Liebherr a produit sa première toupie en 1967, dans cette même usine de Bad Schussenried. Ces toupies sont désormais produites en Allemagne, en Arabie saoudite, au Brésil, en Chine et en Thaïlande. De nombreux avantages Cette 100 000e toupie est une HTM 905, avec un volume nominal de 9 m³. Cette 5e génération offre un très grand nombre d’avantages par rapport à ses prédécesseuses. Déjà, le poids à vide été réduit d’environ 180 kg. Ce qui augmente en conséquence la charge utile disponible. De plus, pendant le développement, Liebherr a mis l&rsquo;accent sur son nettoyage. Les arêtes qui accumulaient les salissures ont été éliminées et les surfaces lissées. Résultat : moins de salissures et moins de nettoyage. Par ailleurs, la commande Litronic-EMC, en option, régule le régime du moteur diesel selon les besoins lors du chargement et du déchargement. Pendant les déplacements, des rotations inutiles de cuve sont évitées grâce à la fonction “Constant-Speed-Drive”. Celle-ci permet d&rsquo;économiser du carburant et de réduire l&rsquo;usure. En outre, la Litronic-EMC augmente la sécurité, en empêchant les erreurs de manipulation, comme une modification soudaine du sens de rotation.
Il y a 4 ans et 320 jours

Saint-Gobain Weber : Ragréage turbo pour l’hôpital Louis Mourier

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Le ragréage Weberfloor 4032 se met en œuvre sur une épaisseur allant de 1 à 10 mm. [©ACPresse] A Colombes (92), l’hôpital Louis Mourier intègre un petit bâtiment dédié à l’hébergement et aux séjours longs. Construit il y a quelques années, le lieu est aujourd’hui en cours de réhabilitation. C’est la Société d’enduits et de ravalement (Ser) qui assure les travaux neufs. «&nbsp;Notre intervention débute une fois les sols débarrassés que leur ancien revêtement, indique Eric Feruglio, gérant de Ser.&nbsp;Notre challenge est de restituer les locaux le plus vite possible.&nbsp;» A savoir, livrer une pièce avec un sol plan, revêtement final posé. Et “le plus vite possible” n’est pas qu’une expression sur le chantier. L’étape centrale de l’intervention est la mise à niveau et à l’horizontale du sol de chaque chambre à rénover. Il n’y a que quelques millimètres à rattraper, d’où l’utilisation d’un mortier de ragréage à la place d’une chape fluide. Le choix de l’entreprise s’est porté sur le tout nouveau Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 320 jours

Daf Ready to go : Des véhicules carrossés disponibles rapidement

Le nouveau service Ready to go de Daf propose des toupies disponibles très vite. [©Daf] De tout nouveaux produits, tels qu&rsquo;une toupie, une benne, une superstructure bâchée ou d&rsquo;autres porteurs prêts à l&#8217;emploi disponibles immédiatement. Avec l&rsquo;introduction de Daf Ready to go, chaque opérateur ayant besoin très vite de véhicules carrossés spécifiques. Peut compter sur la meilleure sélection d’équipements pré-configurés et carrossés. Disponibilité immédiate d&rsquo;environ 100 véhicules Pour les camions porteurs les plus courants, comme les toupies, les bennes et les fourgons bâchés. Daf a créé un stock adapté de véhicules industriels prêts à l&#8217;emploi. Dans les pays où le service Ready to go est déjà disponible, il est possible de parcourir l&rsquo;ensemble du stock européen. Via une fonction de recherche intuitive sur le site national Daf Trucks. Il s’agit là de passer commande auprès du distributeur local, quel que soit l&rsquo;endroit en Europe où se trouve le camion. Après vérification des spécifications, la livraison a lieu dans les plus brefs délais. Tous les porteurs pré-configurés prêts à l&#8217;emploi en stock sont équipés d&rsquo;une carrosserie spécifique à leur secteur d&rsquo;activité. Ainsi, le programme Read to go  démarre avec la disponibilité immédiate d&rsquo;environ 100 véhicules. Ce nombre augmentera à mesure que le programme se développera dans toute l&rsquo;Europe. Pour le moment, ce service  est disponible en Allemagne, en Belgique, en France, en Italie, aux Pays-Bas, en Pologne, en République tchèque et en Slovaquie. D&rsquo;autres pays européens suivront au cours de l&rsquo;année.
Il y a 4 ans et 320 jours

Sika : La ViscoChape joue à domicile

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. La chape a été coulée sur un primaire d’accrochage, la réserve de la dalle limitant les options. [©SNC] Il est un proverbe qui dit&nbsp;: “On n’est jamais mieux servi que par soi-même”. Pour les bureaux de sa centrale de Communay (69), SEBM, société du groupe Martel, l’a appliqué à la lettre. Afin d’en réaliser l’aménagement, la centrale a en effet fourni, pour elle-même, 90 m2 de chape fluide ciment. «&nbsp;Nous avons fait le choix d’une pose dite “adhérente,” explique Richard Guillet, gérant de la Société nouvelle de carrelage (SNC), en charge du coulage. Habituellement, sur ce type de bâtiments, la pose est désolidarisée, il nous suffit de couler la chape. Mais la réserve entre la dalle et le niveau fini était trop réduite. Nous avons donc posé en adhérent, en utilisant un primaire d’accrochage, le weberfloor 4716.&nbsp;» La chape a ensuite été coulée sur une épaisseur de 35 mm. Une pose de chape adhérente C’est la ViscoChape C2O-F4 de Sika, qui a été choisie pour ce chantier à domicile. [©SNC] La chape en question est une ViscoChape C20-F4 de chez Sika. «&nbsp;SEBM propose cette solution à ses clients, il était donc logique que nous nous fournissions sur place. D’autant que nous travaillons depuis un an avec Sika pour nos chantiers du quotidien&nbsp;», indique Richard Guillet. Et même si la centrale n’était qu’à quelques mètres du chantier, les moyens mis en œuvre pour sa livraison sont restés identiques à ceux utilisés pour les chantiers plus distants. En effet, les Avis techniques des chapes balisent le mode de fourniture&#8230; &nbsp;«&nbsp;La chape a été livrée par l’intermédiaire d’une toupie, qui alimentait notre pompe à chape fluide. Une Putzmeister SP 20 THF. Deux compagnons se sont ensuite chargés de couler la Viscochape. Evidemment, la proximité de la centrale a facilité l’approvisionnement et nous avons pu réaliser l’ensemble des travaux en à peine 4 h. Et pas de trace du moindre problème de rhéologie&nbsp;», sourit Richard Guillet. Pionnier de la chape fluide sur Lyon Longs de 15 m, les bureaux ont nécessité un joint scié de pré-fissuration. «&nbsp;Nous avons fait ce joint le lendemain du coulage. Après séchage et dans la foulée de l’aménagement des murs, nous avons réalisé la pose du carrelage.&nbsp;» Couler la chape, puis poser le carrelage, SNC y est un habitué. «&nbsp;Nous coulons des chapes fluides depuis 25 ans, nous faisons partie des pionniers de cette solution dans la région du Grand Lyon.&nbsp;» Installé à Brindas, commune située à l’Ouest de Lyon, l’entreprise compte sept compagnons chapistes, organisés en trois équipes, chacune avec sa pompe à chape (deux Putzmeister et une Turbosol). Pour un total de 7&nbsp;000 m3 coulés par an. « Nous avons également une dizaine de poseurs de carrelage. Les équipes travaillent en complément, même si toutes nos chapes ne sont pas forcément pour nos propres poses de carreaux&nbsp;», conclut Richard Guillet. De même que des chantiers aussi proches de la centrale de production de la chape restent une exception&#8230; Yann Butillon
Il y a 4 ans et 320 jours

Unecp : « La chape est une part essentielle des travaux de nos adhérents »

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Nadège Ombé Njiamo est la secrétaire générale de l’Unecp. [©Unecp] En octobre 2019, vous avez organisé la première Journée des carreleurs au CFA de Blanquefort (33). Au cœur de l’évènement, des ateliers liés à la chape, à la fois nombreux et très suivis. La chape est-elle devenue un élément essentiel de votre organisation&nbsp;?&nbsp; Nadège Ombe Njiamo&nbsp;: Au fil du temps, la chape est en effet devenue une part essentielle des travaux de nos adhérents. Il faut d’abord rappeler que nous avons souhaité que les ateliers de cette Journée soient le plus participatif possible. Le but était de créer des échanges entre les acteurs de la filière, les entreprises, les apprentis, les contrôleurs techniques, les donneurs d’ordres et les partenaires. Dans cette optique, la présence d’ateliers autour de la chape a permis aux participants de découvrir ou de confirmer les spécificités et les avantages de Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 320 jours

Quoi de neuf dans les produits liés aux chapes fluides ?

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Comparée à une chape traditionnelle, la XXs d’Edilteco est 50 % plus légère. [©Edilteco] Retrouvez tous les produits liés au secteur de la chape fluide. BASF : La MasterFiber 236 est aussi destinée aux chapes Les fibres MasterFiber 236 n’impactent pas la rhéologie du mélange grâce à leur rigidité.[©BASF] Avec la MasterFiber 236 bénéficiant d’une ETPM, BASF intensifie son activité dans le domaine des dalles et chapes fluides. En complément de son rôle structurel dans les bétons, cette fibre macro-synthétique adresse désormais aux professionnels de la chape. Les qualités intrinsèques des fibres MasterFiber 236 en font un complément aux chapes et dalles fluides. En effet, ces fibres n’impactent pas la rhéologie du mélange grâce à leur rigidité. Leur forme ondulée permet un très bon ancrage et enrobage dans la matrice. Et leurs propriétés mécaniques favorisent les reprises d’efforts. Les fibres se répartissent facilement et de manière homogène dans les bétons et chapes. De plus, il n’y a pas d’épis de fibre en surface de la chape après le passage de la batte, car les MasterFiber 236 s’orientent bien dans le sens de l’écoulement. Elles sont transparentes et peuvent être ajoutées aux matériaux secs ou bien après l’eau et les adjuvants. Brinkmann : L’EstrichBoy se réinvente Présenté lors de la dernière Bauma, en avril 2019, l’EstrichBoy DC 450 de Brinkmann est distribué en France via le réseau de vente de Lancy.[©ACPresse] Pas moins de cinquante années au compteur et l’EstrichBoy DC 450 de Brinkmann continue de se réinventer. Ce transporteur de chapes à air comprimé dispose d’un nouveau tableau de commande, orienté vers l’opérateur et lui permettant d’avoir accès à toutes les fonctions, tout en restant à côté de l’équipement. L’afficheur est protégé par une plaque en verre résistante aux rayures, aux chocs, à l’eau et à la saleté. Mais qui peut néanmoins être changée individuellement en cas de besoin. Ce tableau dispose notamment d’un indicateur de carburant. Afin que la machine puisse fonctionner plus longtemps sans avoir à refaire le plein de carburant, le volume du réservoir fait désormais 70 l (soit 20 % de mieux que la génération précédente), ce qui est suffisant pour durer une journée entière sur un chantier “classique”. Le pot d’échappement a également été revu, avec une sortie à l’exact opposé de l’opérateur. Réduisant d’autant les rejets désagréables. Edilteco : La chape légère XXs arrive sur le marché Comparée à une chape traditionnelle, la XXs d’Edilteco est 50 % plus légère.[©Edilteco] Fin, 2019, Edilteco a lancé sa nouvelle chape légère XXs, prête à l’emploi et compatible avec tous les revêtements de sol. Fibrée, cette dernière permet d’améliorer l’affaiblissement acoustique des sols, tout en ne les surchargeant pas. En effet, comparée à une chape traditionnelle, elle est 50 % plus légère. Elle doit sa légèreté à la présence de billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l’adjuvant EIA (diamètre 2 – 3 mm). De plus, la XXs admet une épaisseur d’application minimale de 1 cm (en pose adhérente sur béton). Sa simplicité d’utilisation et son faible poids lui permettent d’être utilisée pour des chapes adhérentes ou désolidarisées. Mais aussi pour des rattrapages de niveaux, des formes de pentes, et pour la mise à niveau des planchers. Côté phonique, ses performances en matière d’affaiblissement acoustique (17 dB en épaisseur 5 cm) permettent une absorption efficace des bruits de chocs. Priomix : Des pompes plus mobiles Le système Mover de Priomix se monte au niveau des roues de la remorque pour permettre de la manœuvrer sur chantier sans effort.[©ACPresse] Qu’on se le dise, une pompe à chapes sur remorque pèse un peu plus lourd qu’une valise à roulettes ! Chez Priomix, une telle machine affiche sans complexe ses 750 kg… Autant dire qu’essayer de la manœuvrer à la main relève de la gageure. Et pour peu que le terrain soit boueux, présente des obstacles ou des pentes, on se retrouve face à un véritable défi… C’est pour répondre à cette problématique particulière que Priomix propose son système baptisé Mover. Ce dispositif est constitué de deux galets ou rouleaux à friction à mettre en contact avec les roues de la remorque. Cette action permet dans un premier temps d’immobiliser la machine, car les galets sont office de freins. Ensuite, pour déplacer la remorque, il suffit de mettre en fonctionnement la radiocommande, qui pilote les puissants moteurs électriques 12 V destinés à entraîner les galets. La pompe à chapes peut alors se déplacer vers l’avant, vers l’arrière, vers la droite ou la gauche. Simple et efficace ! Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. 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Il y a 4 ans et 320 jours

Anhydritec : Le musée des Arts Décoratifs revoit ses planchers

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. La pompe est positionnée dans la cour du palais du Louvre, dans une zone sécurisée. [©ACPresse] Avec 9,6 millions de visiteurs enregistrés en 2019, le Louvre parisien reste le musée le plus fréquenté au monde. Il se doit donc de tout mettre en place pour assurer le meilleur confort de visite possible. Située dans l’aile de Marsan du palais du Louvre (côté rue de Rivoli), le musée des Arts Décoratifs est ainsi aujourd’hui en travaux. Le chantier ne concerne que 1&nbsp;800 m2 de planchers sur les 16&nbsp;000 m2 que compte le musée.&nbsp; Outre le besoin de redonner au lieu tout son lustre, l’intervention voit surtout la remise en l’état des sols. «&nbsp;S’agissant d’un bâtiment ancien, nous avons constaté des différences de niveaux atteignant 6 cm et plus entre les points hauts et bas&nbsp;», explique&nbsp;Octavio de Andrade, chargé d’affaires Inter Service Dallage (ISD), entreprise responsable des travaux. Soit une épaisseur maximale de ragréage de près de Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 320 jours

Ça bouge dans les chapes fluides. Dossier

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Le ragréage Weberfloor 4032 est déversé sur le sol à l’avancement, par petites quantités. [©ACPresse] Qu’elles soient à base de ciment ou de sulfate de calcium (anhydrite), les chapes fluides ont le vent en poupe. Chape année, elles grignotent des parts de marché face aux chapes dites “traditionnelles”. Preuve de cette tendance de fond, l’historique Union des entrepreneurs de carrelage du bâtiment vient de modifier son nom et se dénomme à présent Union nationale des entrepreneurs carreleurs, chapistes et projeteurs de polyuréthane. «&nbsp;La chape et le polyuréthane sont deux éléments essentiels des marchés de nos adhérents. Il est donc normal que notre syndicat affiche ces différents savoir-faire&nbsp;», confirme Nadège Ombe Njiamo secrétaire générale de l’Unecp-FFB. Les choses vont même plus loin puisque les chapes fluides, jusqu’à peu encore considérées comme des technologies innovantes, s’apprêtent à basculer dans le traditionnalité. Sachant que les premières d’entre elles sont arrivées sur le marché il y a près de 30 ans, il était temps&#8230; Mais qu’on se rassure, la bascule sera très progressive et ne concernera, pour commencer, que quelques types de chapes, qui verront ainsi disparaître leur besoin d’Avis techniques. Ne reste plus qu’à publier les textes de mise en œuvre de ces chapes fluides “traditionnelles”, avant le 31 décembre 2021. En attendant, l’ancienne et la nouvelle école s’affrontent, par chantiers interposés. Cette nouvelle approche a ainsi été retenue par le musée des Arts décoratifs, dans l’enceinte même du Louvre. Mais aussi par la Comédie de Clermont-Ferrand ou encore l’hôpital Louis Mourier, à Colombes (92). Certains bétonniers adoptent même les chapes fluides, pour eux-mêmes&nbsp;! Très instructif&#8230; Dossier réalisé par Yann Butillon et Frédéric Gluzicki Mini-sommaire Unecp&nbsp;: «&nbsp;La chape est une part essentielle des travaux de nos adhérents&nbsp;»Entre changements et évolutionsAnhydritec&nbsp;: Le musée des Arts Décoratifs revoit ses planchersChryso, de plus en plus actif dans la chapeSika : La ViscoChape intervient à domicileTechnisol joue la Comédie à Clermont-FerrandSaint-Gobain &#8211; Weber&nbsp;: Ragréage turbo pour l’hôpital Louis MourierQuoi de neuf, côté produits et équipements&nbsp;?
Il y a 4 ans et 320 jours

Technisol joue la Comédie à Clermont-Ferrand

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Le chantier de la Comédie est implanté sur l’ancien site de la gare routière de Clermont-Ferrand. [©Technisol] Préfecture du Puy-de-Dôme, la ville de Clermont-Ferrand était l’une des rares villes de taille moyenne, en France, à ne pas disposer d’un lieu majeur dédié à la culture. Etait, car fin 2017, la première pierre de la Comédie de Clermont-Ferrand a été posée. Dessiné par l’architecte portugais Eduardo Souto de Moura, lauréat du prix Pritzker en 2011, le lieu, certifié “Scène nationale”, disposera d’une salle de 850 places à son ouverture, au printemps 2020. Les travaux comprennent la rénovation et la réutilisation en hall d’accueil de l’ancienne gare routière, réalisation de Valentin Vigneron dans les années 1960. Un site classé. Outre la scène principale et le hall, l’ensemble comptera aussi une brasserie et une salle dite de “tous les possibles”&nbsp;: cube transformable en une seconde scène, un lieu d’exposition et de conférence, voire en boîte de nuit. L’ensemble de ces lieux, notamment le hall d’accueil, la salle transformable et la brasserie Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 320 jours

Legendre et l’Insa inaugurent la chaire “Reexperience”

Vincent Legendre, président du directoire du groupe Legendre, et M&rsquo;Hamed Drissi, directeur de l’lnsa Rennes (35), ont inauguré la chaire “Reexperience”, le 21 juin dernier. [©Groupe Legendre] Efficience énergétique, développement durable, schéma économique d’un bâtiment sur toute sa durée de vie… Tous ces enjeux ont déjà commencé à transformer le monde de la construction. Afin de s’adapter et d’étudier ces nouveaux contextes, le groupe de BTP Legendre, à travers sa filiale Ingénova, et l’Insa1 Rennes ont créé la chaire “Reexperience”. Imaginée comme une plate-forme d’échanges entre les entreprises, les étudiants et les chercheurs, la chaire a pour objectif de s’ancrer dans la construction de demain. Et ce, en s’appuyant sur les compétences en recherche de l’Insa Rennes et l’expérience d’Ingénova en termes d’innovation. Mais aussi, en développant des projets à fort potentiel. Ce n’est pas la première fois que le groupe Legendre et l’université collaborent ensemble. En effet, les deux entités ont déjà travaillé, dès 2011 sur la conception d’un rupteur thermique, commercialisé depuis sous la marque Slabe. Par la suite, ils ont créé le Labcom Consolidation B-Hybrid. Ce laboratoire commun a permis la conception de poutres hybrides en béton et acier. Associant un exosquelette acier et du béton armé coulé en place, ce système a été mis en œuvre pour la première fois, il y a 2 ans. Dans le cadre du chantier du siège d’Avril à Bruz, près de Rennes (35). 1Université nationale des sciences appliquées de Rennes.
Il y a 4 ans et 320 jours

Les chapes fluides : Entre changements et évolutions

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Bétons des Fins propose les chapes fluides Prontopp Azo de Knopp et Viscochape de Sika. [©Bétons des Fins] Retrouvez toutes actualités liées au secteur des chapes fluides. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 321 jours

Didier Ridoret, président de la fondation d’entreprise Excellence SMA

« J&rsquo;aurai à cœur de poursuivre le travail de ces dix dernières années. Et de tout mettre en œuvre pour que les missions de la Fondation soient menées avec succès », indique Didier Ridoret. [©SMA] Didier Ridoret est nommé président d’Excellence SMA. Il succède à Gérard Laurent, en poste depuis 2010. Depuis plus de 20 ans, au sein du groupe d’assurances, Excellence SMA est la fondation d’entreprise dédiée à la qualité et la prévention des risques. Au fil du temps, elle s’est imposée comme une référence en matière des pathologies. La fondation est partenaire de l’accélérateur Impulse Labs. Qui est dédié aux start-up de la prévention des risques et de la santé dans le BTP. Ses priorités sont définies autour de quatre grands axes. A savoir : la réduction de la sinistralité, ainsi que le développement de la recherche et de l’innovation, la sécurité routière. Et enfin, la valorisation de l’excellence professionnelle via l’organisation de concours et la remise de trophées. Ses missions « La prévention des risques et des sinistres et la promotion de la qualité et de la sécurité sont de nobles missions. Le travail de la fondation est donc d’une grande importance, si l’on veut parvenir à des résultats tangibles. Depuis sa création en 1994, les résultats sont au rendez-vous. Et je tiens à rendre hommage à mon prédécesseur, Gérard Laurent, qui, en dix ans, a su donner une grande visibilité à la fondation Excellence, indique Didier Ridoret. […] Je souhaite que cette dernière continue à travailler main dans la main avec ses partenaires. A savoir : la FFB et la FNTP, les organismes représentant la maîtrise d’ouvrage publique et privée, l’OPPBTP, l’AQC ou encore Qualibat. Car, c’est tous ensemble, que nous serons capables de faire avancer la qualité. Pour ma part, j’aurai à cœur de poursuivre le travail de ces dix dernières années. Et de tout mettre en œuvre pour que les missions de la Fondation soient menées avec succès. » Son parcours Didier Ridoret a dirigé le groupe familiale éponyme de plus de 700 salariés, spécialisée dans la fabrication, la vente et la pose de menuiseries. De 1991 à 2002, il devient conseiller auprès de la Banque de France, puis membre du bureau du Medef des Deux-Sèvres de 2000 à 2009. Il est président de la FFB de 2008 à 2014, puis président de SMABTP de 2014 à 2020.
Il y a 4 ans et 321 jours

Cinov et Syntec-Ingénierie s’élèvent contre le décret du 18 juin

Dans un communiqué commun, Cinov et Syntec-Ingénierie appellent les pouvoirs publics à supprimer une disposition du nouveau décret du 18 juin dernier. [©Cinov] Dans un communiqué commun, Cinov et Syntec-Ingénierie appellent les pouvoirs publics à supprimer une disposition du nouveau décret du 18 juin dernier. En effet, ce dernier fragilise un peu plus l’ingénierie privée par rapport au secteur public. Et met en danger les emplois dans les territoires. Ce décret permet «&nbsp;l’extension à la maîtrise d’œuvre du champ de l’assistance technique des départements&nbsp;». Alors que la maîtrise d&rsquo;œuvre demeurait jusqu&rsquo;ici l&rsquo;apanage de l&rsquo;ingénierie privée, selon les dispositions du décret n° 2019-580 du 14 juin 2019. Qui excluait ce type de missions de l&rsquo;assistance technique fournie par les départements. Ce décret vient supprimer cette disposition et ainsi perturber un secteur touché par la crise économique et la pandémie du Covid-19. Fragilisé par la crise sanitaire… Le secteur de l’ingénierie privée représente un maillon dynamique et essentiel de l’économie des territoires. Ce sont ainsi 16 000 entreprises employant 265 000 collaborateurs. Elles fournissent des services fondamentaux et innovants aux collectivités territoriales dans de nombreux domaines. Composées en grande partie de PME et TPE, ces entreprises sont à la pointe de projet innovants pour les territoires. La crise du Covid-19 a placé ces acteurs en grave difficulté. Dépendantes de la commande publique, les entreprises d’ingénierie ont subi des baisses d&rsquo;activité de 30 à 40 %1. La conséquence du gel des contrats en cours, de la suspension des appels d’offres et du report des élections municipales. Malgré la reprise d’une partie de l&rsquo;activité, elles resteront dans une situation financière précaire au second semestre 2020. … Et par une concurrence déloyale Depuis plusieurs années, l’ingénierie publique et para-publique étend son périmètre. Et ne cesse de conquérir des parts de marché au détriment de l’ingénierie privée. On estime que les TPE et PME ont perdu environ 7 Md€ de chiffre d’affaires et plus de 10 000 emplois entre 2011 et 20172. Et cela impacte la croissance et la création d’emplois dans les territoires. L’ingénierie privée de proximité est en effet un levier de croissance important pour de nombreux secteurs d’activité économique. Et un élément déterminant de l’attractivité économique des territoires. Décret du 18 juin : le cœur de l’ingénierie attaqué «&nbsp;Ce décret imposé sans aucune concertation avec les acteurs entraînera de façon certaine une baisse de la commande publique pour le secteur de l’ingénierie privée. Une telle politique met en danger l’activité d’entreprises locales et la préservation d’emplois hautement qualifiés dans les territoires. Sans garantie aucune que l’ingénierie publique y supplée demain, faute de moyens et d’expertises. C’est l’avenir de l’ingénierie privée dans les territoires, qui est en jeu. Donc des pans entiers de l’économie qui sont fragilisés en plein contexte de crise.&nbsp;» Alors que l’activité des bureaux d’études est déjà fragilisée par les conséquences de la crise du Covid-19, Syntec-Ingénierie et la Cinov-Ingénierie en appellent ainsi aux pouvoirs publics. Les deux structures se demandent pourquoi ce texte a été inscrit dans le plan de relance d’Emmanuel Macron. D’autant qu’il risque  de mettre en péril l’économie existante. « Pourquoi décider de fermer des parts de marchés aux bureaux d’études d’ingénierie privée ? », lancent-ils. 1Source : enquête Cinov et Syntec-Ingénierie.2Source : étude de l’Opiiec sur les conséquences en termes d’emploi et de formation de la baisse des investissements sur l’activité d’ingénierie de la construction, 2017.
Il y a 4 ans et 321 jours

Les Génies de la construction récompensent 8 lauréats

L’édition 2020 des Génies de la construction s’est adaptée au contexte de crise sanitaire liée au Covid-19, par la mise en place d’un dispositif exceptionnel. [©DR] Le concours “Les Génies de la Construction !” est organisé en partenariat avec le ministère de l’Education nationale et de la Jeunesse. Ainsi que les diverses fédérations, organismes et associations du BTP (notamment l’Ecole française du béton). Il est ouvert aux élèves et étudiants des collèges, lycées et établissements du supérieur. Ce concours contribue à une meilleure orientation scolaire et professionnelle des jeunes. Ainsi qu’à donner du sens et concrétiser les enseignements, à faciliter le travail transversal et collectif d’une équipe d’élèves et d’étudiants. Et enfin, à inscrire la transition numérique dans les apprentissages et l’éducation à l’avant-poste de la transition écologique. Pour sa 16e édition, 8 projets lauréats ont été retenus, issus de productions répondant aux problématiques d’un territoire intelligent, durable et connecté Sous le signe du Covid-19 Mais les choses ne se sont pas passées comme les autres années, Covid-19 oblige. En effet, cette édition 2020 s’est adaptée au contexte de crise sanitaire, par la mise en place d’un dispositif exceptionnel. La date de dépôt des projets a ainsi été reportée, pour que les jeunes puissent finaliser leurs projets initiés depuis le mois de septembre 2019. Afin de remplacer l’habituelle soutenance des projets devant un jury, les équipes ont été invitées à réaliser une vidéo de présentation de leur projet. Les dossiers ont été déposés sur une plate-forme dédiée. Afin que les jurys des différentes catégories du concours puissent évaluer les travaux à distance. Et sélectionner parmi les projets les lauréats du concours. 171 équipes étaient initialement engagées dans le concours. 29 d’entre elles ont pu mener leur projet à terme, malgré le contexte de la crise sanitaire. Palmarès 2020 des Génies de la Construction ! Catégorie « Collège » (élèves du cycle 4)&#8211; 1er prix : collège Pierre Loti (Rochefort &#8211; académie de Poitiers) Projet “Les digues fractales” &#8211; 2e prix : collège Pierre Hyacinthe Cazeaux (Hauts-de-Brienne &#8211; académie de Besançon) Projet “La friche en herbe&#8211; 3e prix : collège Claude Bernard (Le Havre &#8211; académie de Rouen) Projet “Le campus maritime”Prix “Pro” : collège Les Fontanilles (Castelnaudary &#8211; académie de Montpellier) Projet “Reconstruction du collège” Catégorie “Sup” (étudiants de l&rsquo;enseignement supérieur)&#8211; 1er &nbsp;prix (ex æquo) : IUT de Chambéry (académie de Grenoble) Projet “Rénovation du four à pain des Gros Louis d&rsquo;en Haut” &#8211; 1er prix (ex æquo) : université de Cergy-Pontoise (académie de Versailles) Projet “Construction de la passerelle Marianne” &#8211; 3e prix : Arts et Métiers &#8211; Campus d&rsquo;Angers (académie de Nantes) Projet “SimCities Durables” &#8211; Mention spéciale du jury “Vidéo coup de cœur” : Esitc Caen (académie de Caen) Projet “Concrete & Scraps”.
Il y a 4 ans et 321 jours

Haut-Rhin : Des génies imprimés dans le béton

Les génies des sciences seront imprimés sur les bétons de la résidence Trianon, à Saint-Louis. [©Trianon Résidence] Sur la partie française de Saint-Louis, sise sur le territoire de la métropole tri-nationale de Bâle, Trianon Résidences fait sortir de terre un complexe de 141 logements en sept résidences. « Il y a trois ans, nous avions construit une résidence avec des façades dépolluantes sur la commune de Saint-Louis, explique Cédric Simonin, Pdg de Trianon Résidences. La municipalité était très contente du résultat. Elle nous a donc recontactés pour ce nouvel espace, sur un terrain lui appartenant. » L’idée proposée est une éco-résidence avec deux points d’innovation : des façades en béton imprimé et des bornes d’éco-mobilité développées avec Renault. «&nbsp;J’ai rencontré Fabrice Davenne, directeur de Daven Design, qui m’a parlé de sa technique d’impression de motifs sur des façades en béton. Cette résidence était l’occasion rêvée de mettre en pratique cette technique.&nbsp;» Sept façades ont donc été dédiées à sept grands inventeurs, qui seront représentés par leurs portraits ou leurs inventions. «&nbsp;Les inventeurs seront choisis via un grand concours, en respectant la parité et l’humanité de ces génies. Albert Einstein et Nikola Tesla devraient en faire partie. Pour le reste, le choix est vaste&#8230;&nbsp;» Ces façades seront complétées par une œuvre d’artiste, dans les halls d’entrée, en lien avec les portraits. Ainsi que par des zones numériques pédagogiques pour découvrir la vie et les créations de ces inventeurs. «&nbsp;Dans l’idéal, les parcs des résidences deviendront des lieux d’apprentissage pour les écoles locales.&nbsp;» Début des travaux cet été, pour une livraison en 2021.
Il y a 4 ans et 321 jours

Bruno Jacquemin, délégué général de A3M

A partir du 1er septembre 2020, Bruno Jacquemin rejoindra l&rsquo;Alliance des minerais, minéraux et métaux (A3M), en tant que délégué général. [©A3M] A partir du 1er septembre 2020, Bruno Jacquemin rejoindra l&rsquo;Alliance des minerais, minéraux et métaux (A3M), en tant que délégué général. « En venant chez A3M, Bruno Jacquemin va mettre ses compétences et son énergie au service de toutes les entreprises de l&rsquo;Alliance. Et plus largement de la filière mines et métallurgie, confrontées à une accélération des transformations stratégiques. Ceci, dans le cadre de la relance de l&rsquo;économie française post-Covid19 », indique Stéphane Delpeyroux, président de l’Alliance. Et Bruno Jacquemin d&rsquo;indiquer : « J&rsquo;aborde ma mission chez A3M avec gravité et enthousiasme : gravité parce que la période est particulièrement difficile pour les entreprises de la filière mines/métallurgie dans le context post Covid-19. Et enthousiasme parce qu&rsquo;il y a une réelle prise de conscience en ce moment de l&rsquo;impact stratégique de la filière pour fournir les industries nationales de manière sécurisée. Et aussi parce qu&rsquo;A3M a une gouvernance renouvelée, jeune, dynamique et exigeant. Avec une équipe qui me semble très motivée pour jouer parfaitement son rôle auprès de nos membres ». Son parcours Ingénieur civil des Mines, Bruno Jacquemin (54 ans) est un spécialiste des relations entre les entreprises, les pouvoirs publics et les territoires. Après une expérience entrepreneuriale, il a été le collaborateur aux affaires économiques pendant 6 ans d&rsquo;André Rossinot (maire de Nancy et ministre de la fonction publique). Notamment, comme chef de cabinet à la mairie de Nancy. Puis, il a rejoint le réseau des Chambres de commerce et d&rsquo;industrie pendant une quinzaine d&rsquo;années, dirigeant la CCI Alsace. Et, celle du Loiret. Il a ensuite fondé son cabinet de coaching et de conseil dédié à l&rsquo;accompagnement de dirigeants face à des situations d&rsquo;innovation de rupture. Et ce, en lien avec des fonds d&rsquo;investissement et des accélérateurs de start-up.
Il y a 4 ans et 322 jours

Haute-Saône : Une année de développement durable pour LD Contrôles

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Les équipes de LD Contrôles Bourgogne et Grand-Est. [©LD Contrôles] Réunis pour un repas de fin d’année entre les agences de Bourgogne et du Grand-Est, les collaborateurs de LD Contrôles se sont réjouis de leurs bons résultats. Et d’une nette tendance à la transition énergétique. «&nbsp;L’agence de Bourgogne a été créée le 1er janvier 2019 et montre déjà de très bons retours, souligne Guillaume Rebillard, directeur des deux agences. Nous avons aussi noté le développement des opérations liées aux énergies renouvelables.&nbsp;» Parcs éoliens (Les Coteaux, dans le Doubs et Sarry, dans l’Yonne), barrages hydro-électriques (Mathay, dans le Doubs et Vraincourt, dans la Haute-Marne), usine de méthanisation (Saint-Baraing, dans le Jura et Raze, en Haute-Saône), centrale solaire (Vadans, dans le Jura) ou encore de co-génération (Reichstett, dans le Bas-Rhin), les sujets ont été nombreux au cours de l’année. «&nbsp;Notre équipe étant constituée de jeunes et futurs parents, cette dynamique nous touche et nous conforte à enclencher une démarche responsable. Ce sont des sujets qui nous intéressent à la fois en termes de technicité, mais aussi d’impact sur l’avenir de nos enfants.&nbsp;» Des sujets nouveaux, mais des compétences déjà présentes dans les deux agences. «&nbsp;Ce sont des idées neuves à apporter, des techniques à étudier, mais au niveau du savoir-faire, nous étions déjà parés.&nbsp;» Des chantiers en droite ligne avec les ambitions de développement durable des deux agences. «&nbsp;Nous avons installé des bacs de décantation et des circuits de tri sélectif pour réduire au maximum notre empreinte environnementale. Nous utilisons aussi une rectifieuse, qui se substitue au surfaçage au soufre nocif pour l’environnement. Les échantillons testés sont ensuite concassés et valorisés en matériaux recyclés. Travailler sur ce type de chantiers est au cœur de nos ambitions personnelles.&nbsp;» C’est aussi un marché porteur pour l’avenir des agences.
Il y a 4 ans et 322 jours

Haut-Rhin : Des parements signés GCP Applied Technologies

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Les bétons de l’hôpital Emile Muller de Mulhouse bénéficient d’un traitement matricé. [©GCP Applied Technologies] L’hôpital Emile Muller de Mulhouse, l’un des centres hospitaliers les plus importants de la région, a fait sa mue fin 2018. Ceci, pour accueillir un tout nouveau pôle Femme-Mère-Enfant. Un centre qui compte désormais onze salles d’accouchement de niveau 3, avec un service de réanimation et un service de soins intensifs en néonatologie. Mais aussi cinq salles d’échographie et quatre blocs opératoires. D’un point de vue architectural, l’hôpital compte 2 000 m2 de façades en béton matricé. Des décors préfabriqués par BCS Préfabrication, à l’aide à la matrice Pieri Roche 90 ter de GCP Applied Technologies. « Nous avons fourni au préfabricant 67 m2 de cette matrice, qui est celle qui compte les reliefs les plus marqués chez nous, indique Florian Dorian, responsable commercial de la zone Grand-Est. Ce sont des matrices qui sont réutilisables une centaine de fois. » En complément, l’industriel a aussi livré 2&nbsp;000 m2 de Pieri Protec HDL. «&nbsp;C’est un égalisateur de parement minéral mat, à base de résine acrylique et de ciment. Il a pour fonction de rendre homogènes les couleurs des parements, qui ont été préfabriquées sur une longue période, et dans des conditions météorologiques différentes. Car la couleur des parements n’était pas unie à la base.&nbsp;» D’habitude appliqué au rouleau, l’égalisateur a été, cette fois, mis en œuvre au pistolet par l’entreprise Sofater, spécialiste de l’utilisation de ce type de produits.