Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Bati journal

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Il y a 4 ans et 204 jours

17ème édition du magazine Focus on zinc

VMZINC vient de publier la 17ème édition du magazine FOCUS ON ZINC. Au total, vingt projets provenant de 14 pays sont présentés dans ce nouveau numéro. Au fil des 42 pages, des projets variés : créations originales ou sobres, lignes géométriques ou voluptueuses, écriture contemporaine ou traditionnelle revisitée, nuances de gris ou colorées, jeux de perforations ou enveloppe opaque… Matériau noble, malléable et durable, le zinc magnifie les différentes typologies de bâtiments, contemporains ou inscrits dans l’histoire, et révèle chaque environnement urbain ou rural. Le magazine est diffusé à 25 000 exemplaires et consultable en version webzine sur www.vmzincforarchitecture.com pour découvrir plus d’information sur chaque réalisation.
Il y a 4 ans et 205 jours

Fin du démontage de l’échafaudage calciné de Notre-Dame de Paris

Le démontage de l’échafaudage calciné qui entourait initialement la flèche de Notre-Dame de Paris s’est achevé le 24 novembre 2020 en présence de la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot. La dépose qui avait commencé le 8 juin 2020 a donc duré moins de 6 mois. Constitué de 40 000 pièces d’un poids de 200 tonnes, dont la moitié à plus de 40 mètres de haut, il représentait une grave menace pour la cathédrale. L’installation d’un deuxième échafaudage a permis aux cordistes de descendre au coeur de l’échafaudage incendié dont les pièces étaient soudées entre elles par la chaleur. Les échafaudeurs ont démonté les parties accessibles à l’aide d’une nacelle, lorsque le temps le permettait, les cordistes sont descendus au plus près des parties calcinées pour découper les tubesavec des scies sabres. Les pièces ont été évacuées grâce à une grue de 80 mètres. Photo : © Édouard Bierry / ministère de la culture  
Il y a 4 ans et 205 jours

La restauration du chemin de ronde des remparts de Carcassonne va être bouclée

Grâce à la dotation exceptionnelle prévue par le ministère de la Culture dans le cadre du plan de relance, le CMN peut envisager plus tôt la restauration du rempart médiéval de Carcassonne, de la porte Saint-Nazaire à la porte Narbonnaise. Ce sera l’achèvement d’un projet de grande ampleur mené depuis plusieurs années pour la restauration du monument, la modernisation des espaces d’accueil des publics et l’extension du parcours de visite. A la suite de la restauration de 2014 à 2015 du rempart médiéval ouest, le circuit de visite avait pu être enrichi à l’été 2015 d’un second circuit de remparts à l’ouest, du château comtal à la porte Saint-Nazaire, complétant le circuit des remparts gallo-romains, situés au nord, du château comtal à la porte Narbonnaise et restaurés en 2008. Le plan de relance vient contribuer par l’intermédiaire du ministère de la Culture à la restauration de la dernière partie du chemin de ronde des remparts, située à l’est et constituée de six tours et 300 mètres de courtines. Elle sera restaurée et sécurisée afin de répondre à un double enjeu de conservation et d’ouverture au public. Ce chantier sous la maîtrise d’œuvre d’Olivier Weets, architecte en chef des monuments historiques, comprendra la reprise des sols, la sécurisation du parcours et des escaliers par la mise en place de mains courantes, ainsi que l’aménagement des six tours. A l’issue de ces travaux les visiteurs auront la possibilité de parcourir la totalité du rempart intérieur (rempart gallo-romain, rempart médiéval ouest et rempart médiéval est) soit plus de 1500 mètres. L’important travail préparatoire a commencé, le diagnostic ayant déjà été réalisé. Le début des travaux est ainsi prévu dès octobre 2021 pour une livraison fin 2023. Visuel : CMN  
Il y a 4 ans et 205 jours

Restauration du massif occidental de la cathédrale Saint-Mammès de Langres

Le chantier de restauration du massif occidental de la cathédrale Saint-Mammès de Langres a débuté. D’une durée estimée à 37 mois, cette intervention, de 2,57 millions d’euros, est financée à 100% par l’État – DRAC Grand Est, maître d’ouvrage, et réalisée sous la maîtrise d’œuvre de Charlotte Hubert, Architecte en chef des monuments historiques. Cette nouvelle campagne de restauration intervient après deux importantes interventions menées sur les toitures du monument, celles du chœur en 2014/2015 et du déambulatoire et des chapelles absidiales en 2017/2019. L’état sanitaire du massif nécessite la reprise complète des éléments assurant l’étanchéité des parties saillantes, notamment les glacis des corniches éléments qui facilitent l’écoulement des eaux de ruissellement. Le massif occidental n’ayant connu que peu de modifications depuis sa construction, le parti de restauration propose la conservation des dispositions actuelles, purgées des bandeaux en ciment ; le traitement des éléments métalliques et la consolidation des maçonneries après nettoyage ; la restauration des sculptures ; la restauration des vitraux ; la révision et la remise en peinture des menuiseries ; la révision des couvertures des terrasses ; le remplacement des évacuations et descentes d’eaux pluviales ; la mise en œuvre de dispositifs anti-volatiles et la réfection de la cour Nord-Ouest. Photo : DRAC Grand Est  
Il y a 4 ans et 205 jours

Le musée de Paladru sera terminé fin 2021

Deux sites archéologiques, l’un de l’époque néolithique (dit des Baigneurs), l’autre autour de l’an mil (Colletière), sont à l’origine de découvertes majeures sur les modes d’occupation des rives du lac de Paladru. La variation dans le temps du niveau des eaux a permis de conserver des formes d’habitat et de modes de vie généralement disparus en milieu sec. Les fouilles programmées menées pendant près de trente ans, ont donné lieu à la découverte de collections archéologiques d’importance exceptionnelle pour la connaissance des périodes néolithiques et médiévales. Le futur musée situé sur la Commune des villages-du-lac-de-Paladru présentera une sélection de 500 objets originaux des périodes néolithiques, antiques et médiévales trouvés lors des fouilles et remarquablement bien conservés par les eaux du lac. Le public découvrira la vie quotidienne il y a mille et 5 mille ans ainsi que les techniques de conservation des objets issus de fouilles subaquatiques grâce à une scénographie innovante. Le bâtiment conçu par le cabinet Basalt Architecture évoque une pirogue, objet emblématique de la collection, sa réalisation est liée à celle d’un projet urbain dans la continuité du village. Photo du chantier : Jean-Paul Corlin – Wikimedia  
Il y a 4 ans et 205 jours

Un ouvrage sur les forts alpins du XIXe et XXe siècles

Les Alpes méridionales offrent une richesse peu comparable en ouvrages fortifiés, de par l’histoire, la géographie, les déplacements des frontières récurrents. Trois Villes et Pays d’Art et d’Histoire (VPAH) ont voulu avec la DRAC Provence-Alpes-Côte-d’Azur donner sur ces territoires une carte blanche à un auteur-photographe, Michel Eisenlohr, lequel s’est immergé dans le patrimoine fortifié des XIXe et XXe, enfoncé dans le paysage ou au contraire impressionnante silhouette vertigineuse. Au fil des saisons, de 2015 à 2020, Michel Eisenlohr a recherché une autre perception de ces lieux, celle où les histoires côtoient celles des hommes et de l’infime. Le beau texte de Bernard Collet parle de ces confins, de ces émotions, de ces paysages, de ces conditions avec toute sa sensibilité et ses perplexités. Photo : Fort alpin sous le givre hivernal – Michel Eisenlohr Auteur photographe : Michel Eisenlohr Texte : Bernard Collet Édition : Arnaud Bizalion éditeur
Il y a 4 ans et 206 jours

Le Forum digital de l’Agencement

Rendez-vous du 7 au 11 décembre, tous les matins de 7h30 à 8h30 pour découvrir les émissions du Forum digital de l’Agencement, un événement des Équipementiers de l’Ameublement Français, en partenariat avec Eurobois et Bati-Journal.   Au programme :    1 plateau (depuis le studio TV de Bati-Journal), 5 jours, 5 vidéos animées par Stéphane Miget, des industriels et un agenceur témoin, des questions-réponses en direct.   Sujets abordés :   Lundi 7 décembre : L’habitat post-Covid 19 Mardi 8 décembre : L’hygiène et la santé Mercredi 9 décembre : Le Retail Jeudi 10 décembre : La productivité Vendredi 11 décembre : les réseaux sociaux   Pour consulter le programme et s’inscrire, c’est ici : http://solutions-agencement.com/forum-digital-agencement-2020
Il y a 4 ans et 206 jours

Delta Dore parmi les finalistes des Trophées de l’innovation INPI 2020

Delta Dore, pionnière sur le marché de la maison et du bâtiment connectés, figure parmi les finalistes des Trophées de l’innovation INPI 2020 dans la catégorie Brevet. La PME rejoint ainsi la shortlist des 10 entreprises et centres de recherche qui concourent dans 4 catégories (Brevet, Marque, Design et Recherche) pour incarner l’innovation à la française et l’utilisation exemplaire de la propriété industrielle dans leur stratégie. Delta Dore développe, pour les particuliers comme pour les professionnels, des solutions connectées, accessibles et simples d’utilisation, qui répondent aux besoins de la vie quotidienne : gestion du chauffage, indicateur de consommation énergétique, pilotage des volets et éclairages, etc. Le groupe s’inscrit dans une dynamique de croissance et d’innovation depuis 50 ans, avec un budget recherche et développement qui représente 9 % du chiffre d’affaire. « L’innovation a toujours été au cœur de notre stratégie, explique Philippe Chouane, responsable brevets, cette nomination aux Trophées INPI est donc pour nous une reconnaissance nationale de notre activité inventive dans le domaine de la maison et des bâtiments connectés. Nous avons toujours pris le parti de protéger, grâce à des dépôts de brevets notamment, nos solutions et inventions techniques autour de la gestion énergétique. La propriété industrielle et sa gestion au quotidien font partie de nos priorités. Nous voulons valoriser en interne comme en externe le capital immatériel de l’entreprise. »
Il y a 4 ans et 206 jours

Ubysol, une solution de traçabilité IoT des déblais de chantier

Sur tous les chantiers de construction, une traçabilité complète des terres excavées est aujourd’hui indispensable. La solution développée par Bouygues Travaux Publics, baptisée « Ubysol » permet d’assurer la traçabilité des déblais de la sortie du chantier jusqu’à leur dépôt sur le site de collecte ayant reçu l’agrément. A ce jour, elle est déployée sur 5 chantiers du Grand Paris. Ubysol s’articule autour d’un capteur, d’une application et d’une solution informatique traitant les données transmises en temps réel. À l’aide d’une application tablette par simple tag NFC, le capteur fixé à la benne du camion intègre les informations du véhicule au système Ubysol. L’application sert également à créer des bordereaux de suivi transmis directement aux exutoires et aux transporteurs dès leur création, un processus sans contact qui se révèle être un atout dans le contexte sanitaire actuel. Les données de géolocalisation émises par le capteur sont relayées par le réseau de Bouygues Telecom déployant la technologie LoRa® dédiée aux objets connectés. Le capteur équipé d’un inclinomètre envoie un signal lors du déchargement du camion. Toutes les informations sont synthétisées et consultables en temps réel sur un tableau de bord. Un système d’alerte détecte instantanément une erreur éventuelle de destination pour garantir une traçabilité optimum des déblais. La synergie entre Bouygues Travaux Publics et Hesus, partenaire « GreenTech » des chantiers, va permettre de développer et de commercialiser cette solution de traçabilité dématérialisée auprès de l’ensemble des acteurs du secteur du BTP, un secteur qui s’oriente vers plus de traçabilité, de sécurité et de productivité pour répondre aux enjeux sociétaux et environnementaux actuels et à venir.
Il y a 4 ans et 206 jours

Nouveaux modules solaires pour grandes installations

Après l’annonce de l’augmentation du guichet unique de 100 à 500kW, le spécialiste de l’électronique et du solaire LG Electronics enrichit son offre avec les nouveaux modules Mono X Plus. Ils sont spécialement conçus pour des projets dépassant les 100 KWc. Ils sont destinés aussi bien aux installations agricoles, commerciales ou tertiaires. Les panneaux solaires Mono X Plus sont disponibles en deux versions : la première, comptant 120 demi-cellules, atteint une puissance de 370 watts, la seconde de 144 demi-cellules produit 450 watts. L’installation de demi-cellules sur le module permet une absorption optimale de la lumière afin de générer un rendement maximal. Le verre HTAR (Haute transmission de lumière avec taitement anti-reflet) utilisé limite la réflexion et assure une puissance de sortie supérieure de cinq watts à celle des panneaux solaires classiques. LG offre à ses clients une garantie de performance linéaire d’au moins 87,9 % après 25 ans.
Il y a 4 ans et 206 jours

PROFEEL offre des fiches de réception de travaux d’ITE

PROFEEL met gratuitement à disposition des professionnels et des particuliers ses deux premières fiches pratiques pour faciliter la réception des travaux d’isolation thermique par l’extérieur. Chaque fiche de réception PROFEEL présente des points importants à aborder entre l’entreprise et le client dans cette étape clé d’un projet de rénovation. L’ensemble des lots de travaux de rénovation énergétique vont être couverts. Au total, 26 fiches de réception seront disponibles d’ici la fin du mois de janvier 2021 sur le site web www.programmeprofeel.fr. Développées dans le cadre du projet Procédures internes, elles ont pour vocation de consolider la relation de confiance entre professionnels et particuliers et de les accompagner dans l’étape clé de la réception des travaux. Les deux premières fiches pratiques couvrent les travaux d’ITE : – Fiche de réception de travaux d’ITE avec enduit sur isolant – Fiche de réception de travaux d’ITE avec isolant sous bardage
Il y a 4 ans et 206 jours

Photovoltaïque : le Sénat contre la rétroactivité

Le Sénat a rejeté à l’unanimité la remise en cause des contrats solaires antérieurs à 2011. Une dizaine d’amendements avaient été déposés pour appeler à la suppression de ce dispositif. Le SER et Enerplan, qui alertent depuis plusieurs semaines les pouvoirs publics sur l’iniquité de cette mesure, soulignent l’importance de ce rejet sans partage. Le Sénat envoie ici un message clair en manifestant son attachement à la parole de l’État et son refus d’une mesure présentée sans aucune étude d’impact. C’est la voie de la raison qui se manifeste ici, rappelant que l’on ne peut renier un engagement pris auprès d’une filière industrielle, et au-delà fragiliser durablement la dynamique de développement des énergies renouvelables en France, qui favorise l’activité et l’emploi local dans tous les territoires. Daniel Bour, Président d’Enerplan et Jean-Louis Bal, Président du SER, en appellent au Premier Ministre et demandent un rendez-vous.
Il y a 4 ans et 207 jours

Moins 30 % de mises en vente de logements individuels

Au cours du troisième trimestre 2020, 24 300 logements ont été réservés en France métropolitaine, 3 200 de plus qu’au deuxième trimestre, marqué par le confinement général de la population de la mi-mars à la mi-mai. Ce niveau reste inférieur à celui de l’an passé avec une différence de – 16,0 % par rapport au troisième trimestre 2019. Les annulations de réservations progressent de 14,7 % par rapport au troisième trimestre 2019. Pas d’un retour à la normale pour les achats de logements neufs des ménages. La baisse des réservations est plus marquée dans le collectif (- 16,5 %) que dans l’individuel (- 9,2 %). Les mises en vente de logements ont fortement baissé entre fin 2019 et début 2020, et stagnent depuis à un niveau bas, proche de 20 000 logements par trimestre. Elles ont d’abord pâti de la mise en place du confinement à la fin du premier trimestre, puis ce dernier a très fortement limité la commercialisation de logements neufs au deuxième trimestre, alors que les variations saisonnières habituellement observées en font un pic d’activité immobilière. Le déconfinement ne semble pas encore avoir permis la reprise des mises en vente. Au troisième trimestre 2020, elles reculent fortement de – 24,4 % par rapport au troisième trimestre 2019. Le repli est nettement plus marqué dans l’individuel (- 30,6 %) que dans le collectif (- 24,0 %). Après plusieurs trimestres de hausse, le prix moyen des appartements vendus au troisième trimestre ralentit (+ 0,6 % par rapport au troisième trimestre 2019), et celui des maisons se réduit légèrement (- 1,5 %).
Il y a 4 ans et 210 jours

RE2020 : satisfaction de la filière bois

La filière forêt-bois tient à saluer l’ambition de la future norme environnementale RE 2020, suite aux orientations annoncées par le ministère de la Transition écologique. Elle se félicite de l’engagement affiché par le Gouvernement en faveur de la réduction de l’empreinte climatique du secteur de la construction. Comme le soulignent les ministres, le bois et les matériaux biosourcés ont effectivement un rôle à jouer pour relever ce défi. Cependant, les professionnels de la filière ont pris acte de la décision de retarder l’entrée en vigueur des seuils. Ils assurent qu’ils prêteront une attention rigoureuse à ce que ces échéances ne desservent pas l’ambition de la RE2020. Ils veulent éviter que ce qui est présenté comme des obligations de résultat se traduise in fine par un statu quo contraire aux ambitions exposées par le Gouvernement et attendues par les Français. L’annonce de l’instauration de seuils d’exigence carbone est de nature à favoriser l’essor d’une mixité renforcée des matériaux de construction, que la filière bois appelle depuis longtemps de ses vœux.   Photo : Construction par Matis de la structure bois de Green Office Enjoy. Lot O9 – ZAC Clichy Batignolles. Bouygues Immobilier. 75017 Paris. 23 juin 2017
Il y a 4 ans et 210 jours

Aménagement intérieur : Corner in the Shop de SWISS KRONO

Pour mettre en avant son offre de solutions dédiées à l’aménagement intérieur, SWISS KRONO, seul fabricant français d’OSB, déploie chez ses concessionnaires ses « Corner in the Shop ». Ces espaces sont organisés autour de 5 grands présentoirs et mange-debout facilement repérables grâce à la flamme du fabricant : – One World, collection de 160 décors déclinés sur tous les panneaux décoratifs mélaminés, stratifiés et bandes de chants de la marque. L’offre se compose de 3 gammes de décors Unis, Bois et Design pour créer des espaces de caractère en jouant sur les couleurs, la matière et les textures. – plans de travail et tablettes, – parois décoratives acoustiques Swiss-Clic panel-A+, idéales pour atténuer les nuisances sonores tout en offrant un revêtement bois design, – panneaux de fibres de bois SWISSCDF, denses et compacts, dédiés à la création de mobilier, à l’agencement commercial,… – gamme de panneaux OSB. Espace clé en main et évolutif d’une superficie de 12 à 16 m2, les Corner in the Shop sont modulables en fonction de la place dont dispose le concessionnaire dans son show-room et des gammes qu’il souhaite mettre en avant.
Il y a 4 ans et 210 jours

Configurateur de FDES pour les produits bois construction

Développé et édité par FCBA, DE-bois est le configurateur de déclarations environnementales du CODIFAB pour les produits bois construction fabriqués en France. Permettant de personnaliser les fiches de déclaration environnementale et sanitaire (FDES) de ces produits, il devient, avec l’entrée en vigueur de la RE2020, un outil incontournable des fabricants et des acteurs de la construction. Le configurateur de FDES DE-bois s’adresse à la fois aux fabricants de produits de construction à base de bois et aux acteurs de la construction. Il permet, à partir d’une FDES collective, d’obtenir des FDES collectives spécifiques à un produit et à un ouvrage donné, ou des FDES individuelles spécifiques à un industriel. Il répond ainsi à différents besoins : obtenir une information précise sur un produit adapté à un chantier donné (en vue des labels construction durable, du label E+C-, de la RE2020, etc.), se positionner, éco-concevoir, se différencier, etc. DE-bois propose des interfaces de personnalisation de FDES pour différentes familles de produits (murs ossature bois, charpentes traditionnelles et industrielles, panneaux CLT, fenêtres et portes-fenêtres, etc.), classées en 4 catégories. https://de-bois.fr  
Il y a 4 ans et 210 jours

La filière fenêtres en pleine morosité

Après un début d’année prometteur, la filière fenêtres et portes a vu son activité arrêtée brutalement en raison de la pandémie. 79,5% des sociétés de pose et la quasi-totalité des fabricants ont dû fermer leur porte pour une durée indéterminée. Au sortir du confinement et malgré une forte mobilisation des professionnels pour relancer au plus tôt leur activité, la production cumulée de fenêtres à la fin du 1er semestre 2020 s’établissait à -22,9% (vs 2019) en volume, tous chantiers et tous matériaux confondus. L’étude sur les ventes de fenêtres et de portes-fenêtres en 2019 dans l’Hexagone réalisée au cours du premier semestre 2020, à la demande du SNFA, de l’UMB-FFB et de l’UFME cette étude, co-financée par le CODIFAB, a montré un secteur de la rénovation atone du fait de la diminution des incitations fiscales et de la crise des gilets jaunes. Avec un marché global de 10 026 000 fenêtres vendues en France métropolitaine en 2019, la croissance des vente n’a été que de 1,6% sur les 2 années 2018/2019. Le marché du neuf peinait déjà à remonter la pente. Les importations ont stoppé leur forte progression mais représente malgré tout 11% du volume de fenêtres installées en France en 2019.   Photo : Fenêtre Epok Kpark
Il y a 4 ans et 211 jours

Panneau solaire thermique en ardoise pour terrasses et toits plats

Matériau traditionnel de couverture, l’ardoise répond aujourd’hui aux enjeux d’une architecture moderne grâce à ses teintes bleutées et aux jeux de lumière qu’elle provoque. Pour capitaliser sur la capacité du schiste à capter la chaleur, Cupa Pizarras développe depuis 2014 un panneau solaire thermique qui dispose de l’Avis Technique du CSTB. En France, ce sont plus d’une centaine de toitures qui sont aujourd’hui équipées de ce système et de ses capteurs invisibles. Avec le nouveau système Thermoslate Plat, l’ardoisier dédie une solution innovante et unique dédiée aux surfaces planes : de la terrasse aux toits plats en passant par la façade. Le panneau Thermoslate Plat est composé de 12 ardoises de 40×20 cm, reliées par un adhésif thermique breveté. L’ensemble se présente ainsi sous la forme d’une composition parfaitement lisse qui ne concède aucune aspérité, circulable jusqu’à 300 kg/m2. Sous les ardoises de 5 mm d’épaisseur est glissé un capteur de 35 mm raccordé grâce à des flexibles. Un dispositif d’ouverture permet un accès direct aux connexions. Le panneau est ensuite incorporé parmi des ardoises non équipées et demeure invisible. Il se distinguera en revanche d’un point de vue énergétique puisqu’une base de 8 panneaux (superficie : 7,68m²) générera l’économie de 1 500 kWh et d’une tonne de CO2 à l’année. Coût de l’investissement : aux alentours de 5 000€.
Il y a 4 ans et 211 jours

Dispano revisite son catalogue général

Dispano revisite son catalogue général et édite un tout nouveau format qui regroupe en un seul document pratique et esthétique toute son offre bois, panneaux et menuiserie. Ce catalogue est conçu pour accompagner les professionnels au quotidien dans la réalisation de leurs chantiers et faciliter leur choix des meilleures solutions pour toutes leurs problématiques. Pour répondre encore mieux aux besoins spécifiques de ses clients, Dispano décline ce catalogue de 500 pages en 6 versions régionales.
Il y a 4 ans et 213 jours

Annonces ministérielles : Un label et une RE2020 qui se développera en 3 phases, entre 2021 et 2030

Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique et Emmanuelle Wargon, ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique, chargée du Logement, ont présenté ce 24 novembre 2020, la nouvelle réglementation environnementale 2020. Cette nouvelle réglementation, qui viendra remplacer la RT2012, émerge de la volonté de l’État et du dialogue avec les acteurs qui ont décidé d’agir collectivement pour réduire les émissions du bâtiment. Dans cette réglementation, l’État et les acteurs du secteur ont décidé de prendre en compte non seulement les consommations d’énergie, mais aussi les émissions de carbone, y compris celles liées à la phase de construction du bâtiment. La RT2012 s’était grandement inspirée d’une expérimentation qui l’a précédée, à travers le label bâtiment basse consommation (BBC). Introduit dès 2007, le label BBC, qui élargissait la RT2005 et permettait d’envisager une nouvelle réglementation plus ambitieuse, avait concerné plus de 100 000 bâtiments au moment où la RT2012 est entrée en vigueur. De la même manière, l’État a lancé en 2017 l’expérimentation E+/C-, pour caractériser les bâtiments à la fois sobres en énergie et en carbone, servant ainsi de point de départ pour élaborer la RE2020. Pour la première fois, les acteurs de la construction ont pu travailler sur un indicateur carbone en cycle de vie, ce qui a permis de calibrer la réglementation environnementale. Le Gouvernement a choisi que la RE2020, en cohérence avec la stratégie nationale bas-carbone, dessine une trajectoire progressive, notamment concernant les exigences constructives liées à la diminution de l’empreinte carbone. Tout d’abord, dans la lignée des réglementations thermiques précédentes, il s’agit de poursuivre la baisse des consommations des bâtiments neufs, car la meilleure énergie est celle qu’on ne consomme pas. La RE2020 sera plus exigeante que la RT2012, en particulier sur la performance de l’isolation quel que soit le mode de chauffage installé, grâce au renforcement de l’indicateur de besoin bioclimatique (dit Bbio), que la RT2012 mettait peu en avant. Une fois les besoins en énergie réduits, il est aussi essentiel que cette énergie soit la plus décarbonée possible, notamment à travers le recours à la chaleur renouvelable (pompe à chaleur, biomasse, etc.). À ce titre, les exigences de la RE2020 vont entraîner la disparition progressive du chauffage utilisant des énergies fossiles dans les logements. Elles mèneront également à ne plus avoir recours à des modes de chauffage électriques peu efficaces (radiateurs à effet Joule). À l’inverse, les modes de chauffage électrique performants (pompes à chaleur) et à partir de chaleur renouvelable seront systématisés. Il s’agit aussi de diminuer l’impact sur le climat des bâtiments neufs, en prenant en compte l’ensemble des émissions du bâtiment sur son cycle de vie, dès la construction. En effet, pour des bâtiments énergétiquement performants, comme ceux construits selon la RT2012, l’essentiel de l’empreinte carbone est lié aux phases de construction et démolition, qui représentent entre 60 et 90% de l’impact carbone total calculé sur une durée de 50 ans. Les exigences visant à limiter ces impacts permettront d’encourager puis de systématiser les modes constructifs qui émettent peu de gaz à effet de serre. Cela signifie notamment construire plus souvent puis systématiquement avec du bois et des matériaux biosourcés, qui stockent le carbone pendant la durée de vie du bâtiment. À travers ces exigences, c’est une transformation profonde de la manière de construire qui s’engage et qui mobilisera l’ensemble de la filière du bâtiment pendant les mois et années à venir. Le Gouvernement souhaite assurer que les bâtiments de demain seront adaptés au changement climatique et seront confortables lors des vagues de chaleur. Les bâtiments devront en effet mieux résister aux épisodes de canicule, déjà courants et qui seront encore plus fréquents et intenses à l’avenir. Alors que l’inconfort l’été est un défaut souvent relevé de nombreux bâtiments construits selon la RT2012, la réglementation RE2020 imposera une exigence spécifique. La RE2020 introduit une évolution méthodologique majeure qui place la France à la pointe mondiale de la réglementation environnementale des bâtiments : la prise en compte de l’impact carbone sur l’ensemble du cycle de vie du bâtiment, y compris ses phases de construction et de démolition. Surtout, l’ensemble des nouvelles exigences engage une transformation profonde des types de bâtiments et modes de construction, notamment avec la disparition progressive du chauffage exclusivement au gaz et la montée en puissance rapide des systèmes constructifs bas-carbone, notamment bois et biosourcés. Pour cette raison, le Gouvernement a choisi d’inscrire la RE2020 dans le temps long, en fixant un cap clair et une trajectoire progressive : la réglementation sera progressivement de plus en plus exigeante, depuis son entrée en vigueur en 2021, jusqu’à 2030 avec trois jalons prévus en 2024, 2027 et 2030 qui constituent autant de marches de rehaussement des exigences. En parallèle, un label d’État, qui sera créé dans la foulée de la RE2020, permettra à ceux qui le souhaitent, maîtres d’ouvrage publics ou privés, d’anticiper les futures exigences de la RE2020, de montrer l’exemple et de préfigurer les bâtiments d’après-demain.
Il y a 4 ans et 213 jours

Prendre exemple sur les pays européens pour accélérer la rénovation énergétique en France

Le Haut conseil pour le climat vient de publier le rapport « Rénover mieux : leçons d’Europe ». A travers les politiques publiques et les solutions de quatre pays européens (Allemagne, Pays-Bas, Royaume-Uni et Suède), il tente d’identifier des pistes d’action pour accélérer la rénovation énergétique des bâtiments en France. Actuellement, seule la Suède a réussi une décarbonation quasi-totale du secteur. En tenant compte des différences de climat, la France apparaît comme ayant les logements les moins performants par rapport aux autres pays. La performance énergétique des bâtiments résidentiels en France progresse à un rythme similaire à la moyenne européenne, alors que celle des bâtiments tertiaires progresse moins vite. La Suède doit son succès à un effort continu sur plusieurs décennies, comprenant des normes exigeantes de performance énergétique, des investissements dans les réseaux de chaleur et plus récemment vers le chauffage électrique avec pompes à chaleur, accompagné d’une taxe carbone. L’Allemagne se distingue par la diversité de ses politiques publiques, comprenant d’importantes subventions aux ménages et aux entreprises conditionnées à l’atteinte de résultats avec un rôle fort de la banque publique d’investissement. Les Pays-Bas se distinguent par la gouvernance du secteur et la mise en valeur de solutions locales pour permettre la sortie du parc de sources de chauffage carbonées et l’élaboration de feuilles de route du parc public. Finalement, l’expérience du Royaume- Uni sur la mise en œuvre des obligations de rénovations de passoires thermiques sont éclairantes pour ces politiques sectorielles. Les expériences étrangères et les expérimentations déjà en place dans les territoires permettent au Haut conseil pour le climat de formuler de grands ensembles de recommandations afin de renforcer les politiques de rénovation énergétique française : – Massifier la rénovation énergétique par la mise en place de conditions financières et réglementaires. Renforcer les politiques de rénovation ciblant les copropriétés et les rendre obligatoires, – Mettre en œuvre les obligations de rénovation de la loi énergie climat de manière cohérente avec la réduction des vulnérabilités, alors que 6,7 millions d’individus sont touchés par la précarité énergétique en 2017, -Intégrer plus fortement l’usage de source d’énergie bas-carbone dans la stratégie de rénovation, et mieux intégrer la rénovation et l’offre de chaleur renouvelable dans les plans et politiques territoriaux, -Rénover les bâtiments publics, par exemple en définissant des feuilles de route par branche de ce parc, -Suivre et évaluer les politiques de rénovation énergétique des bâtiments, et y adosser des conditionnalités de l’aide publique à des niveaux de performance exigeants. Ce rapport évoque également les enjeux d’adaptation au changement climatique lors de la rénovation des bâtiments, en particulier le confort thermique en saison chaude, qui doivent être identifiés selon les régions et inclus dans les stratégies de rénovation. La massification des rénovations permettra également de répondre aux enjeux actuels de reprise économique, d’emploi et de pouvoir d’achat à travers la réduction de la facture d’énergie. Graphique : Évolution des émissions de GES du secteur des bâtiments en France. Source : Citepa, avril 2020 – format SECTEN.  
Il y a 4 ans et 213 jours

ISONAT double ses capacités de production

Isonat, société du groupe Saint-Gobain, expert français de l’isolation en fibre de bois, dévoile un important programme d’investissement pour développer la production de ses isolants biosourcés. Deux phases vont se succéder pour un montant total de 5 millions d’Euros. 1,5 million d’Euros en 2021 et 3,5 millions d’Euros d’ici 2023. Ces investissements permettront à Isonat de doubler la capacité de production de son usine de Mably (42) qui passera à 19 000 tonnes de panneaux isolants de capacité annuelle en 2021 (+ 6 000 tonnes) puis à 42 000 tonnes à l’horizon 2023 (+ 17 000 tonnes). Une production qui permettra d’isoler plus de 16 000 maisons/an à terme. Cette démarche stratégique s’inscrit dans l’anticipation de l’accélération des commandes publiques et privées suite au plan de relance. Isonat accompagne la montée en compétences des entreprises et artisans sur la pose de ses produits. Il va également aider les bailleurs et les particuliers à mieux comprendre les atouts écologiques et économiques des isolants en fibre de bois. L’élargissement de la capacité de production de l’usine de Mably permettra de créer entre 30 et 40 emplois directs et un approvisionnement ancré localement dans la région Auvergne Rhône-Alpes.
Il y a 4 ans et 213 jours

Une solution de smartbuilding circulaire

WIZZCAD, solution digitale pour la construction, la réhabilitation et la maintenance de bâtiments, et Upcyclea, la plateforme de gestion circulaire des bâtiments, annoncent aujourd’hui avoir noué un partenariat exclusif pour lancer une offre commune de smartbuilding circulaire. Wizzcad propose une solution BIM qui permet de créer le jumeau numérique de n’importe quel bâtiment pour en optimiser la qualité et mieux maîtriser et prévoir les risques et l’impact environnemental du projet que ce soit en phase de construction comme d’exploitation du bâtiment. Upcyclea est à l’origine d’une plateforme de gestion circulaire qui permet de construire des bâtiments ‘banque de matériaux’. Sa technologie vise à faciliter l’éco-conception et la gestion de bâtiments totalement déconstructibles et zéro déchet via des matériaux à impact positif. En associant leurs technologies au sein d’une même offre, les deux partenaires créent un outil permettant d’industrialiser la conception, l’exploitation et la déconstruction de bâtiments zéro déchet. Visuel : WIZZCAD  
Il y a 4 ans et 213 jours

L’électricité renouvelable continue sa progression

Selon le dernier Panorama de l’électricité renouvelable, la puissance totale du parc électrique EnR (éolien, solaire, hydroélectricité et bioénergies) s’élève, fin septembre 2020, à 55 314 MW, elle est en hausse de 2 385 MW sur les douze derniers mois. Sur le troisième trimestre 2020, 604 MW de nouvelles installations ont été raccordés aux réseaux d’électricité métropolitains, les filières éolienne et solaire comptant respectivement pour 312 MW et pour 283 MW. Les énergies renouvelables ont participé à hauteur de 24,2 % à la couverture de la consommation d’électricité de France métropolitaine au cours du troisième trimestre 2020 (et 27,3 % sur les douze derniers mois) en produisant 23,4 TWh d’électricité renouvelable, chiffre en hausse de 7,2 % par rapport au même trimestre de l’année dernière. Ce, dans un contexte où la consommation électrique au troisième trimestre a rebondi par rapport au deuxième trimestre marqué par la crise sanitaire, tout en restant en baisse par rapport à celle du troisième trimestre 2019 (- 1,7 TWh). Afin de répondre aux objectifs de la transition énergétique de porter à 40 % la part des énergies renouvelables dans le mix électrique en 2030, les réseaux de transport et de distribution continuent d’évoluer pour permettre l’intégration de la production d’électricité renouvelable, tout en garantissant la sécurité et la sûreté du système électrique, ainsi que la qualité d’alimentation des consommateurs. Source : Panorama de l’électricité renouvelable au 30 septembre 2020, élaboré chaque trimestre par le Syndicat des énergies renouvelables (SER), l’Agence ORE (Opérateurs de Réseaux d’Energie), l’Association des distributeurs d’électricité en France (ADEeF), Enedis et RTE.
Il y a 4 ans et 214 jours

Non-qualités dans l’enveloppe : la solution du commissioning

Le secteur du bâtiment a connu ces dernières années une augmentation des non-qualités sur les chantiers. Outre les non-qualités sur les fondations, l’ossature, les réseaux… de nombreux projets de construction présentent des décalages observés importants entre les performances énergétiques attendues et celles obtenues en phase d’exploitation. Pour remédier à ça, le Groupe de Travail sur la Qualité de l’Enveloppe (GTQE) s’attache, propose des perspectives pour tendre vers une enveloppe de qualité, notamment au travers de la méthode dite du « commissioning ». Le commissioning d’un bâtiment est une démarche de qualité globale qui a pour objectif de garantir la conformité des performances du bâtiment avec les documents contractuels. Il se différencie de la notion de « commissionnement » qui consiste en une mission partielle d’assistance et d’aide à la mise en service des équipements. L’approche anglo-saxonne le définit d’ailleurs comme un outil de management complet de la qualité, qui a pour objectif d’éviter un trop grand décalage entre les objectifs fixés en amont, les moyens mobilisables et les résultats obtenus. Il s’avère nécessaire de dépasser la seule cible d’un chiffre de consommation énergétique comme critère d’évaluation d’une performance et de pilotage des projets, sachant que le confort ou la qualité de l’air sont tout aussi essentiels. Le GTQE déplore encore un certain nombre de freins au développement de cette méthode : – Le cahier des charges de l’opération au stade de la programmation reste généralement peu qualitatif, sans spécifier le niveau de performance attendu en exploitation ; – Le facteur qualité est ainsi souvent laissé de côté par les maîtres d’ouvrage, en se satisfaisant d’obligations de moyens et non pas d’obligation de résultat ; – Trop peu de moyens techniques, méthodologiques et financiers s’avèrent disponibles pour atteindre les objectifs ambitieux en exploitation du fait de l’absence d’analyse des coûts liés à la non-qualité. Par ailleurs, si l’on constate que le coût du commissioning complet d’un bâtiment neuf représente environ entre 0,6 et 1 % du coût total de l’opération (incluant les coûts de la maîtrise d’ouvrage, de la maîtrise d’œuvre et de la construction), le temps de retour sur investissement s’évalue entre zéro et dix ans, selon le type de gains compris (les consommations d’énergie seules ou bien l’ensemble des gains directs et indirects). Précisons de plus que ces données peuvent varier en fonction de la complexité de l’opération et du périmètre de la mission de commissioning. En revanche, la baisse des non-qualités impliquera de facto une réduction notable des coûts internes (détection, correction, prévention…) comme des coûts externes, souvent supportés par le client (baisse de productivité, utilisation d’équipements de secours, surcoût liés aux consommations énergétiques, insatisfaction, perte de renommée…). Pour le GTQE, l’utilisation du numérique peut avoir un impact notable sur l’économie globale d’un projet de construction. Mieux, il peut véritablement améliorer les délais, limiter, voire éviter les erreurs humaines. Compte-tenu de l’importance d’une expertise technique pour assurer la mission de commissioning, leur généralisation pose un enjeu de modèle économique. Selon Jean-Luc SADORGE, Directeur Général du Pôle Fibres-Énergivie : « Il est donc nécessaire d’imaginer l’apport du numérique pour permettre un déploiement et une appropriation de cette pratique à l’ensemble des projets sur le territoire avec une mutualisation des connaissances, des bons réflexes et pratiques vertueuses, en particulier concernant la qualité thermique de l’enveloppe des bâtiments. Il semble légitime d’imaginer les pistes d’exploitation du numérique afin d’assister les acteurs du bâtiment dans leur démarche pour améliorer la qualité globale des opérations. Un facteur primordial dans un contexte d’accélération de la dynamique BIM où il reste beaucoup à faire. »
Il y a 4 ans et 214 jours

Nexity et Action Logement mettent en commun leur engagement en faveur du logement pour tous

Acteurs majeurs du secteur du logement, Nexity et Action Logement ont pour ambition d’en faciliter l’accession ou l’amélioration. À travers ce partenariat, ils s’engagent sur deux axes principaux : Accompagner les primo-accédants, salariés du secteur privé, dans le financement de leur résidence principale Dans un contexte de resserrement des conditions de l’accès au financement pour une grande partie des primo-accédants, Nexity a lancé en septembre dernier la Cagnotte immobilière : elle permet au futur acquéreur de constituer un apport personnel dans le cadre de son projet immobilier. Cette cagnotte se constitue via la sollicitation financière des proches de l’acquéreur couplée à un abondement de Nexity qui peut atteindre 6 000€. Action Logement s’est associé à Nexity pour proposer en complément de cette cagnotte le nouveau prêt action logement à taux réduit (0,5%) pour un montant allant jusqu’à 40 000€ sur une durée allant jusqu’à 25 ans. Ce dispositif commun a pour objectif de resolvabiliser les primo-accédants salariés et leur permettre de concrétiser leur projet d’achat de résidence principale. En souscrivant à cette offre, le primo-accédant bénéficie de la garantie revente et de la protection revenu1 offertes par Nexity. À date, plus de 150 réservations ont été réalisées avec la Cagnotte Immobilière et environ 1000 Cagnottes sont ouvertes. Faciliter l’adaptation du logement au vieillissement et promouvoir le maintien « chez-soi » des seniors. Nexity s’engage à accompagner ses clients (seniors ou leurs proches) dans le cadre des projets d’adaptation des salles de bain et sanitaires, pour lesquels Action Logement propose une subvention de 5 000 € : test de l’éligibilité à la subvention, constitution du dossier auprès d’Action Logement, réalisation des travaux avec Dom&Vie (spécialiste de l’aménagement du domicile des personnes dépendantes), et proposition d’hébergement temporaire chez Domitys, filiale de Nexity leader des résidences services seniors, durant l’indisponibilité des pièces adaptées. Ce dispositif « clé en main » permet ainsi de soulager les seniors de toutes les démarches administratives relatives aux critères d’octroi de la subvention. Il leur garantit aussi à la fois un prestataire de confiance certifié pour la réalisation des travaux et le maintien d’un haut niveau de confort au sein d’un environnement adapté (résidence sénior) pendant l’immobilisation de leur salle de bain. Visuel : Porte de Montreuil / Nexity – Lautreimage Playtime
Il y a 4 ans et 217 jours

RE 2020 : la filière bois appelle des critères plus ambitieux pour la neutralité carbone

En l’état actuel des travaux préparatoires de la RE 2020, les certitudes manquent sur son niveau réel d’ambition carbone. La filière forêt-bois demande qu’elle impose des objectifs clairs de réduction des émissions de Gaz à Effet de Serre. Ceux-ci doivent être traduits par des seuils réglementaires cohérents avec l’objectif de neutralité carbone à 2050 en matière d’impact global et d’exigences de stockage de carbone. Il s’agit d’éviter que l’écart se creuse avec les pays voisins de la France, déjà en avance dans le domaine des constructions en bois. Une utilisation accrue du bois et des matériaux biosourcés est la seule solution crédible pour diminuer les émissions carbone. Ils séquestrent et stockent du carbone biogénique et se substituent à des matériaux émetteurs de carbone. Ils sont renouvelables, pourvoyeurs d’emplois non délocalisables et issus pour une part importante d’une forêt française gérée raisonnablement et durablement. La filière forêt-bois française est en capacité de répondre à cette hausse de la demande, bénéfique pour l’ensemble de l’économie de la France. En outre, l’utilisation des matériaux bois et biosourcés dans le bâtiment n’engendre, dans une très large majorité des cas, aucune augmentation des coûts de la construction. Pour être à la hauteur des circonstances, la RE2020 doit donc efficacement inciter leur utilisation au moyen de critères carbone objectifs traduits dans des seuils réglementaires et, pour son calendrier, avec une ambition marquée dès 2021 puis des exigences graduellement renforcées tous les trois ans. Retenir la méthode d’une ACV dynamique pour le calcul des émissions de gaz à effets de serre des produits de construction est une première nécessité, mais sans l’intégration dans le décret de seuils significatifs de stockage du carbone dans les matériaux, cette avancée restera vaine.
Il y a 4 ans et 217 jours

REI Habitat devient le premier promoteur immobilier certifié PEFC et labellisé Bois de France

REI Habitat a signé le jeudi 5 novembre 2020 le PACTE Bois Biosourcés, et obtenu en septembre la certification PEFC pour sa chaîne de contrôle, ainsi que la labellisation “Bois de France”. À cette occasion et pour accompagner les autres acteurs de la filière dans cette démarche engagée, REI Habitat lance un fonds de co-développement destiné à soutenir les entreprises de la deuxième transformation du bois dans leur démarche de certification PEFC et de labellisation Bois de France, et à financer leur approvisionnement local en cas de tension sur le marché. “ À travers l’emploi de matériaux bois et biosourcés, nous souhaitons réinventer le métier de la construction et de la promotion immobilière et ainsi structurer durablement la filière forêt-bois française. La certification PEFC est un levier pour concrétiser cette ambition nous permettant de nous assurer de la bonne gestion des massifs forestiers dont le bois utilisé est issu, et de pouvoir assurer cette garantie de préservation des forêts aux habitants et usagers de nos projets. La marque Bois de France est encore une étape supplémentaire pour nous assurer de l’origine locale de la ressource (à plus de 80%), et ainsi favoriser le maintien et la création d’emplois locaux pérennes au sein de la filière forêt-bois française” selon Paul Jarquin, Président et Fondateur de REI Habitat. Photo : Livré en 2019, l’ensemble immobilier L’Hester à Rosny-sous-Bois de de 21 logements est la première opération pour laquelle REI Habitat s’est pleinement engagé sur cette question de la traçabilité du bois utilisé pour le chantier. Photographe : Sergio Grazia  
Il y a 4 ans et 217 jours

Nouveau guide dédié à la construction ossature bois

Le guide de préconisation pour maison à ossature et charpente bois de Simpson Strong-Tie fait peau neuve. Son contenu, complètement repensé, vient répondre aux interrogations des professionnels et particuliers en matière de normes, de réglementations et de bonnes pratiques. Le guide englobe toutes les étapes essentielles pour connecter les éléments en structure bois. Membres de l’Union des Industriels et Constructeurs Bois et biosourcés (UICB), les équipes de Simpson Strong-Tie prennent part aux revues régulières des Documents Techniques Unifiés en place, et comprennent la complexité à laquelle les poseurs peuvent faire face. Les normes françaises et européennes ont énormément évolué ces 5 dernières années. Avec la publication et la mise à jour de quatre DTUs sur la période, il est nécessaire d’accompagner les poseurs et prescripteurs de ce type d’ouvrages bois. Cette documentation est le premier ouvrage d’une nouvelle génération de guides portés par les équipes Simpson Strong-Tie, dont les prochaines éditions porteront sur d’autres sujets essentiels de la construction.   Accès au guide en ligne  
Il y a 4 ans et 217 jours

Rencontre « Construisons Bois » : Champignons et insectes dans la construction bois

FIBOIS Nouvelle-Aquitaine propose une formation pour découvrir les champignons et insectes xylophages susceptibles de nuire à un ouvrage bois mal conçu ou défectueux dans son usage. Elle se déroule sur deux demi-journées, pour permettre de mieux appréhender les agents pathogènes du bois, leurs potentiels dégâts et les solutions envisageables. Les thématiques développées seront : – Le bois, ses caractéristiques et sa mise en œuvre dans la construction – Les champignons lignicoles et lignivores – Les insectes xylophages : les connaître et les reconnaître – Les traitements préventifs et curatifs Inscription obligatoire. Prise en charge par les opérateurs de compétences (OPCO). Tarif adhérent : 250€ H.T. / Tarif non-adhérent : 310€ H.T.   Inscription en ligne
Il y a 4 ans et 217 jours

Dominique Cottineau, nouveau Délégué général de l’UICB

Dominique Cottineau, 51 ans, vient d’être nommé Délégué Général de l’Union des Industriels et Constructeurs Bois (UICB). Il était précédemment, au sein de l’association Promotelec, en charge des relations avec les acteurs institutionnels et politiques territoriaux sur l’ensemble du territoire national. Ayant suivi et accompagné les enjeux et les évolutions des dernières réglementations thermiques, il a fait de la sobriété environnementale des bâtiments et de ses composantes un de ses thèmes de prédilection.
Il y a 4 ans et 218 jours

Ouverture de l’école de cuisine d’Alain Ducasse

Le nouveau Campus Alain Ducasse vient d’ouvrir à Meudon. Pour imaginer cette nouvelle opération, Covivio, maître d’ouvrage, s’est appuyé sur les compétences d’Artelia pour la maîtrise d’oeuvre d’exécution, l’agence d’architecture Arte Charpentier, et le constructeur Spie batignolles ile-de-france dans le cadre d’un marché en TCE (tous corps d’état). Ce marché spécifiait l’obligation pour les équipes de Spie batignolles ile-de-france de libérer des espaces, au fur et à mesure de leur achèvement, avant la livraison finale des travaux pour permettre la réalisation de travaux d’aménagement pour le preneur. Le bâtiment érigé sur une surface totale de 5 000 m², en R+1 avec un parc de stationnement d’une cinquantaine de places disposé en sous-sol, comprend des salles de formation, 9 ateliers culinaires, 2 restaurants et des locaux techniques. L’architecte a imaginé un bâtiment à la fois sobre et élégant, par les formes et couleurs apportées par la façade cintrée donnant l’impression d’avoir traversé le temps, pour se fondre dans un environnement verdoyant, en lisière de forêt. Le béton a été privilégié pour sa durabilité et ses capacités de portance, au regard du flux important d’occupants, du poids des équipements. Le premier étage repose sur un socle en béton apparent lasuré, réhaussé par un bardage en cassettes aluminium cintrées. En partie extérieure pour la périphérie de structure, Spie batignolles ile-de-france a privilégié l’emploi de prémurs isolants en rez-de-chaussée et classique en partie haute, pour gagner en temps de réalisation notamment. 6500 m2 de planchers de moyennes et grandes hauteurs en prédalles et dalles alvéolaires ont été réalisés.
Il y a 4 ans et 218 jours

Prolongation des inscriptions au concours du palmarès architecture aluminium Technal

Pour la première fois depuis son lancement en 2002, le concours du palmarès architecture aluminium Technal se déroulera sur deux années. Les acteurs de la prescription, en France et dans les pays francophones, ont désormais jusqu’au lundi 15 mars 2021 à minuit pour déposer leurs dossiers ou compléter ceux initiés sur le site internet dédié www.technal-palmares.com. Maisons, logements collectifs privés ou sociaux, Etablissements Recevant du Public…, les ouvrages neufs ou réhabilités, nés de la collaboration entre un architecte, un maître d’ouvrage et un fabricant-installateur TECHNAL, seront soumis à un jury d’experts indépendants. Ils récompenseront les projets les plus ambitieux à travers six catégories. Un « Prix 4114 », en référence au Club du même nom, distinguera également le projet qui aura recueilli le plus de votes auprès de la communauté « 4114 ». Une reconnaissance pour l’architecte primé par ses pairs. Tous les lauréats participeront au concours international TECHNAL «WATA 2022» (WORLD ARCHITECTURE TECHNAL AWARDS). Ils seront mis à l’honneur dans la collection des ouvrages du Palmarès, publiés en 3 000 exemplaires, et à travers des vidéos présentant leur réalisation.
Il y a 4 ans et 218 jours

POINT.P : nouveau chiffrage fenêtres de toit Solu+

Le chiffrage fenêtres de toit de SOLU+ enregistre plus de 5 000 chiffrages par an, réalisés aussi bien par les artisans que par les collaborateurs de POINT.P. Il évolue pour proposer encore plus de fonctionnalités et répondre parfaitement aux besoins, notamment en termes de luminosité. Il a été entièrement repensé et conçu autour de plusieurs parcours qui répondent à trois besoins fondamentaux : – Luminosité : la RT2012 indique que la surface des fenêtres doit correspondre à 1/6ème de la surface totale de la pièce. SOLU+ prend donc en compte ce paramètre pour optimiser l’apport de lumière naturelle. – Remplacement de la fenêtre sur des dimensions à l’identique : parce que la fenêtre de toit est vieillissante, il peut y avoir nécessité de la remplacer mais sans devoir faire de travaux. SOLU+ propose un parcours spécifique qui prend en compte les dimensions de la fenêtre à remplacer. – Installation de plusieurs fenêtres de toit : selon la place disponible, le besoin de lumière ou par simple choix esthétique, il est parfois envisagé l’installation de plusieurs fenêtres. SOLU+ met dorénavant à disposition la possibilité de chiffrer plusieurs fenêtres de toît dans un seul et même parcours. Le chiffrage fenêtres de toit est le premier a être pensé en vue de l’évolution vers un format responsive de SOLU+ annoncé pour le premier trimestre 2021. Le configurateur pourra ainsi être utilisé de manière optimale avec toutes les résolutions d’écrans (ordinateurs, tablettes, smartphones).
Il y a 4 ans et 218 jours

Sto continue ses formations avec un protocole sanitaire très strict

Face à la forte demande, Sto a mis en place un protocole sanitaire strict pour reprendre les formations en septembre 2020 et les poursuivre pendant le deuxième confinement. « Il est très compliqué d’organiser la plupart de nos formations en digital car elles allient connaissances théoriques et aussi surtout la pratique. C’est pourquoi, notre cellule de crise, mise en place en mars dernier lors du premier confinement et toujours active, a réfléchi à un protocole sanitaire pour redémarrer les formations, tout en assurant la sécurité des apprenants. Les règles strictes précédemment mises en place nous permettent de garder ouvert notre centre de formation pendant ce deuxième confinement », précise Laurent Girardey, responsable des Techniciens d’application et du Centre de formation et d’animation. Un nouvel aménagement permet d’isoler les locaux réservés au centre de formation des parties occupées par les collaborateurs de Sto. L’accès au centre se fait désormais de manière 100 % indépendante, par une entrée dédiée. Parmi les mesures mises en place : la prise de température à l’arrivée, la remise de kits individuels contenant les équipements de protection individuelle (lunette, bouchons d’oreilles, casque, gants, masques en quantité suffisante pour être changés par demi-journée) et les gestes barrières sont de rigueur. D’ordinaire, le centre de formation de Sto peut accueillir jusqu’à 16 personnes, animateurs compris. Depuis le 12 octobre, la capacité d’accueil est de 8 apprenants et un animateur. La plateforme pratique de 280 m2, aérée en permanence, a été équipée d’un vidéoprojecteur afin de dispenser le plus possible l’enseignement théorique dans cet espace et limiter ainsi le temps passé en salle de formation à 2h sur 2 jours. L’ensemble des espaces sont nettoyés après chaque utilisation, de manière renforcée afin de limiter le risque de propagation : les sols, les tables, les poignées de portes, les outils… Le repas des apprenants se fait sur place, sous forme de plateaux individuels distribués. En parallèle des formations en présentiel, Sto inaugure une formation digitale : initialement prévue en février dernier, la formation Réglementation incendie (ITE, bardage et ravalement) a démarré en ce mois de novembre. Toutes les dates de formation et l’intégralité des parcours sont à retrouver sur sto.fr / Rubrique formation.
Il y a 4 ans et 219 jours

Dotation exceptionnelle : le CMN engagera d’importants chantiers de restauration en 2021

Dans le cadre du plan de relance, le Centre des monuments nationaux bénéficiera d’une dotation exceptionnelle de 40 millions d’euros pour soutenir le patrimoine et valoriser les métiers d’art et les savoir-faire d’excellence à travers la restauration de monuments historiques qui lui ont été confiés en gestion par l’Etat. Ce sont ainsi quatorze monuments du réseau du CMN qui seront concernés à partir de 2021. Il est prévu : – La restauration des remparts nord du château d’Angers – Maine-et-Loire (6,5 M€ / d’avril 2021 à décembre 2022) ; – La restauration des façades du palais du Tau à Reims, dans le cadre d’un programme de restauration complet du bâtiment et d’aménagement d’un nouveau parcours de visite – Marne (2,5 M€ / de fin 2021 à fin 2022) ; – L’achèvement de la restauration des façades et toitures de la « Merveille » de l’abbaye du Mont-Saint-Michel, engagée grâce à une première subvention du ministère – Manche (1 M€ / du 1er trimestre 2021 à décembre 2022) ; – La restauration de la dernière partie du chemin de ronde des remparts de la cité de Carcassonne, permettant au public d’effectuer un tour complet du circuit des remparts – Aude (4,5 M€ / à partir de mai 2021) ; – L’aménagement, avant les épreuves des Jeux olympiques de 2024, d’un nouveau ponton, de nouveaux espaces d’accueil et d’un restaurant au château d’If – Bouches-du-Rhône (6 M€ / en 2022) ; – La restauration de l’abbaye de Beaulieu-en-Rouergue et l’aménagement d’un musée exposant l’importante collection de peintures des époux Brache-Bonnefoi – Tarn-et-Garonne (3 M€ / de janvier 2021 à avril 2022) ; – La restauration de la contrescarpe du château de Villeneuve-Lembron – Puy-de-Dôme (2,2 M€ / de septembre 2021 à novembre 2022) ; – La restauration, en vue de son ouverture au public, de la terrasse nord du château de Cadillac – Gironde (3 M€/ de mai 2021 à l’été 2022) ; – La restauration de la charpente, de la toiture et des souches de cheminées du château de Montal – Lot (2,9 M€ / de mai 2021 jusqu’à décembre 2022) ; – La restauration du « logis du gouverneur » et l’aménagement des espaces d’accueil et d’un parcours d’introduction à la visite pour les tours et remparts d’Aigues-Mortes – Gard (1 M€ / de septembre 2021 à septembre 2022) ; – L’achèvement de la restauration de la caserne Rochambeau de la place forte de Mont-Dauphin – Hautes-Alpes (3,6 M€ de septembre 2021 jusqu’à début 2023) ; L’achèvement de la restauration de l’aile Sarcus du château de Bussy-Rabutin – Côte-d’Or (1 M€ / jusqu’à fin 2021) ; – La restauration des façades et toitures de l’aile des Preuses, de la tour Alexandre et la tour Godefroi de Bouillon du château de Pierrefonds – Oise (2 M€ / jusqu’à fin 2023) ; La restauration de la chambre de l’Evêque du château de Carrouges – Orne (1 M€ / de 2021 à 2022) Quant au château de Villers-Cotterêts, il bénéficie dans le cadre du plan de relance d’une enveloppe spécifique supplémentaire de 100 millions d’euros (qui s’ajoutent aux 85 millions déjà prévus), destinée à la création, dans le château restauré, de la Cité internationale de la Langue française. Le CMN poursuit par ailleurs les chantiers déjà engagés, notamment la restauration de la Colonne de Juillet de l’Hôtel de la Marine à Paris, la restauration du pavillon du roi du château d’Oiron, ou encore l’aménagement du musée du site archéologique d’Ensérune. Les opérations de restauration prévues en 2021 dans le cadre du programme d’investissement de l’établissement, comme la restauration de la toiture de la chapelle du château d’Aulteribe, ou la restauration du château de Vincennes (restauration du châtelet, de la barbacane est, des ponts-levis, du pont-dormant et des pavillons) seront engagées comme prévu.
Il y a 4 ans et 219 jours

Une chapelle démolie, un palais sauvé, émoi des défenseurs du patrimoine

La chapelle de l’ancien collège Saint-Joseph à Lille, édifiée à la fin du XIXe siècle dans un style éclectique, est la propriété de JUNIA (ex-Yncrea), grande école d’ingénieurs, membre la Fédération universitaire et pluridisciplinaire de Lille (dite « la Catho »). Désaffectée depuis de nombreuses années et dans un état très dégradé, elle a fait l’objet d’un permis de démolir délivré par la maire de Lille, dans le cadre du projet de réaménagement du site du collège destiné à accueillir une partie du nouveau campus de JUNIA. Ce permis de démolir a été assorti de prescriptions de l’architecte des bâtiments de France en matière de conservation et de réutilisation de certains éléments mobiliers. La perspective de cette démolition a suscité une certaine émotion et conduit des opposants au projet à demander au ministère de la Culture l’ouverture d’une instance de classement au titre des monuments historiques de l’édifice, qui aurait légalement entraîné la suspension, pour un an, du chantier, le temps que les instances compétentes se prononcent sur l’opportunité d’un classement définitif de l’édifice. Après une étude approfondie du dossier et de nombreuses discussions avec le porteur de projet, le ministère de la Culture a estimé que les conditions d’une mise en instance de classement de la chapelle n’étaient pas réunies. Il a constaté l’impossibilité d’intégrer, au stade actuel de son développement, la conservation de la chapelle dans le projet de réaménagement de l’ensemble immobilier, qui doit permettre de porter à terme la capacité d’accueil du nouveau campus de 5 000 à 8 000 étudiants. Renoncer à la démolition de la chapelle impliquerait donc de devoir abandonner un projet important pour le développement de l’enseignement supérieur, qui représente un investissement de 120 millions d’euros. Pour le ministère, l’intérêt patrimonial de la chapelle n’était pas suffisant pour justifier, à l’issue de l’instance de classement, un classement définitif : de sorte que si la mise en instance de classement avait été décidée, cela n’aurait fait que repousser l’échéance d’un an, sans permettre de « sauver » l’édifice. Le porteur de projet s’est par ailleurs engagé à déposer et à réemployer des éléments de décor la chapelle Saint-Joseph, notamment des vitraux, en lien avec les prescriptions initiales de l’architecte des bâtiments de France et les échanges qui se sont poursuivis à l’initiative du ministère de la Culture. L’architecte Étienne Poncelet, inspecteur général honoraire des monuments historiques, regrette que le ministère oppose la sauvegarde de la chapelle à la restauration du palais Rameau. « Nous demandons qu’il y ait véritablement une synergie entre ces différents projets ». Le projet de nouveau campus intègre la restauration intégrale, avec le concours de l’Etat, du palais Rameau, édifice classé au titre des monuments historiques, actuellement sans utilisation et dont l’état est très dégradé. Le palais Rameau fera l’objet d’un bail emphytéotique consenti par la ville de Lille et deviendra un démonstrateur d’agriculture urbaine ouvert au public. Lors des discussions qui ont eu lieu ces dernières semaines, le ministère de la Culture a obtenu de la part du porteur de projet qu’il renforce significativement l’étendue des restaurations et la valorisation du lieu. Abandonner ce projet, ce serait renoncer aussi à la restauration et à la réutilisation de ce monument historique. C’est pour ces motifs que le ministère de la Culture a fait le choix de ne pas ouvrir d’instance de classement sur cette chapelle. En union avec plusieurs riverains et citoyens mobilisés pour la Chapelle Saint-Joseph, Urgences Patrimoine a, par l’intermédiaire de son avocat, déposé samedi 14 novembre 2020 un recours pour excès de pouvoir contre le courrier du 20 octobre 2020 par lequel le ministère de la culture a refusé de mettre l’édifice en instance de classement au titre de Monuments Historiques. Photo : https://www.lagazettedupatrimoine.fr/blog/  
Il y a 4 ans et 219 jours

Un campus international des arts dans l’ancienne grande Ecurie du Roi du château de Fontainebleau

Le groupement International Arts Campus dont le projet a été sélectionné pour mener à bien la requalification du quartier des Héronnières et de son proche environnement, à l’issue de l’appel à projet lancé fin 2018 par l’établissement public du château de Fontainebleau. Cet ensemble patrimonial de premier plan, construit sous le règne de Louis XV par l’architecte Gabriel pour accueillir la grande Ecurie du Roi, a été affecté au ministère de la Guerre à la fin du Second Empire et sensiblement modifié pour répondre aux nouveaux usages du lieu. Occupé par le ministère de la Défense jusqu’en 2001, il a été transféré au ministère de la Culture puis rattaché au domaine national de Fontainebleau en 2006. Il est classé au titre des monuments historiques depuis 2008. Ce quartier est constitué de 11 bâtiments formant un quadrilatère entourant un bâtiment central d’une surface bâtie d’environ 12 000 m2. Il est situé sur la frange Sud-Est du domaine national, jouxte au sud-ouest la forêt domaniale et, à l’Est, les terrains militaires du clos des Ebats. Inoccupés parce que ne correspondant à aucun besoin, ni présent ni futur du château, soumis à des actes de vandalisme, les bâtiments se sont fortement dégradés, compromettant gravement leur sauvegarde. Dans l’attente de leur restauration, des mesures d’urgence pour les sécuriser et les mettre hors d’eau et hors d’air ont été prises entre 2014 et 2015. L’objectif poursuivi par l’établissement était de revitaliser ce quartier grâce à un projet porté par des investisseurs privés qui le sauveraient de la ruine en y installant des activités respectueuses de son cadre patrimonial et de la place qu’il occupe au sein du domaine. Novateur, respectueux du patrimoine et de son environnement, et économiquement viable, ce projet consiste à faire des Héronnières le cœur d’un campus international d’excellence dédié aux arts, au design et au management culturel. Interdisciplinaire et interculturel, il constituera un pôle d’enseignement et d’apprentissage, de co-création et d’innovation unique en son genre. A compter de 2025, si le calendrier des travaux le permet, il accueillera chaque année quelque 10 000 étudiants sur des cycles différenciés, dont 3 000 simultanément. Dotés d’un Master, ces étudiants proviendront d’universités étrangères installées sur tous les continents. Le campus proposera également des académies d’excellence et hébergera une résidence d’artistes et de startups culturelles. Le projet de campus international des Arts est porté par un groupement réunissant la SAS International Arts Campus, les architectes Francis Metzger (Agence MA2, Bruxelles) et Christian Marina (Agence MPA, Paris), l’entreprise spécialisée dans les monuments historiques Pradeau-Morin (groupe Eiffage), le constructeur-promoteur Pitch (groupe Altaréa Cogedim), des partenaires éducatifs, culturels et artistiques ainsi que des professionnels du secteur des industries culturelles et créatives.
Il y a 4 ans et 220 jours

Un pacte national pour simplifier et accélérer les procédures d’urbanisme

Emmanuelle Wargon, ministre déléguée auprès de la Ministre de la Transition écologique en charge du Logement, François BAROIN président de l’Assemblée des Maires de France, Johanna ROLLAND, présidente de France Urbaine, et Sébastien MARTIN, président de l’Assemblée des communautés de France ont signé, le 13 novembre 2020, avec les principales associations représentatives des acteurs de la construction et du logement social, un pacte national pour la relance de la construction durable. Il matérialise l’engagement collectif pour la relance de la construction de logements, durement frappée, à l’image d’autres secteurs économiques, par la crise sanitaire que traverse notre pays. Par ses effets sur la vie des citoyens, la crise sanitaire renforce le besoin de transformation de nos modèles de construction et de conception des logements et des espaces publics. Le pacte réaffirme la nécessité que les constructions proposées répondent aux attentes des Français en matière de qualité environnementale, de confort et d’accès à la nature. Le pacte porte sur deux grands axes d’engagement : simplifier et accélérer les procédures d’urbanisme pour limiter la baisse des mises en chantier en 2021 et accompagner l’émergence de projets durables de construction, en promouvant la sobriété foncière, la qualité des logements et du cadre de vie. Il appelle à une déclinaison locale, à travers des accords locaux de coordination, pour fédérer les acteurs concernés par sa mise en œuvre. A ce titre, une instruction aux Préfets accompagne la signature du Pacte, afin qu’ils en organisent la déclinaison locale, sous la forme d’instances locales de coordination sur les autorisations d’urbanisme. La circulaire insiste par ailleurs sur la nécessaire continuité de l’instruction et de la délivrance des autorisations d’urbanisme (en particulier des permis de construire) et des agréments pour les logements sociaux pendant la nouvelle période de confinement. Mesure 1 : mener à son terme et accompagner la dématérialisation des procédures Mesure 2 : mettre en place des bonnes pratiques d’instruction des autorisations d’urbanismes Mesure 3 : mobiliser les Établissements publics fonciers et les Établissements publics d’aménagements Mesure 4 : mobiliser le foncier public Mesure 5 : optimiser les capacités des PLU(i) Mesure 6 : privilégier les projets sur des fonciers déjà artificialisés et limiter l’empreinte des projets en matière de consommation d’espaces Mesure 7 : promouvoir des programmations mixtes, en adéquation avec les besoins des territoires Mesure 8 : promouvoir des logements et des constructions de qualité Mesure 9 : associer efficacement les citoyens aux projets   Ce pacte a également été signé avec les président(e)s de l’Union sociale pour l’habitat (USH), la fédération des promoteurs immobiliers (FPI), la fédération française du bâtiment et le Pôle Habitat de la Fédération française du bâtiment (FFB),  le conseil national de l’ordre des architectes (CNOA), et l’union nationale des aménageurs (UNAM).
Il y a 4 ans et 220 jours

Solaire photovoltaïque : le SER regrette l’adoption de l’amendement

L’amendement au Projet de loi de finances pour 2021, déposé par le Gouvernement et qui ouvre la voie, pour les centrales photovoltaïques d’une puissance supérieure à 250 kWc, à la renégociation des contrats d’achat conclus entre 2006 et 2011, a été adopté par l’Assemblée nationale. La discussion de l’amendement a mis en lumière, par la voix du Président de la Commission des Finances et de nombreux députés dont le SER salue l’engagement, les graves biais politiques de la démarche du Gouvernement comme les menaces que cette mesure ferait peser sur les acteurs de la filière solaire et sur le financement de l’ensemble de la transition énergétique. Outre qu’il a soumis son amendement – fondé sur de pures affirmations, sans étude d’impact ni chiffrage budgétaire – au débat parlementaire dans des délais extrêmement resserrés, le Gouvernement ne peut en effet se prévaloir d’une véritable concertation avec la filière pour son élaboration. Les 4 semaines qui ont été accordées à celle-ci constituent un délai insuffisant de négociation sur une mesure d’une telle portée, et n’ont donné lieu au final qu’à l’indifférence envers les contre-propositions avancées par les acteurs, qui n’ont cessé d’alerter les pouvoirs publics sur le caractère inefficace, irréaliste et dangereux du projet qui leur était annoncé. Il est en particulier trompeur de déclarer devant l’Assemblée nationale que la clause de sauvegarde prévue dans l’amendement serait issue de cette concertation. Le SER appelle les Sénateurs à refuser ces procédés incompatibles avec la tenue d’un débat rationnel et l’élaboration de politiques cohérentes, et à rejeter le fond d’une mesure qui, au-delà de ses conséquences directes sur les entreprises de la filière solaire dans tous les territoires, consiste à leur faire endosser un reniement de la parole de l’Etat, synonyme de lourde dégradation des conditions de financement de l’ensemble des projets renouvelables, et donc de menace sur la transition énergétique et les objectifs climatiques de notre pays.
Il y a 4 ans et 220 jours

Yterres et YPREMA : de l’évacuation de terres inertes à la livraison de matériaux

Fondée fin 2019, Yterres répond aux problématiques rencontrées dans le cadre de travaux de terrassement. L’entreprise organise toute la logistique d’évacuation des terres, des chantiers directement vers les exutoires. Son activité en croissance soutenue, dès sa première année d’existence, répond aux besoins du secteur. Depuis 31 ans, YPREMA réceptionne sur ses sites les déconstructions du BTP. Traités et valorisés, les matériaux produits sont utilisés pour la construction d’infrastructures routières. Les plateformes de recyclage situées en périphérie des villes offrent aux entreprises de Travaux Publics, un service de proximité efficace. Aujourd’hui, les 2 couloirs d’activités jusqu’ici distincts convergent, les professionnels sont de plus en plus nombreux à combiner les services des deux entités. Ces dernières confient ainsi l’évacuation de leurs terres à Yterres, pour ensuite réaliser leurs ouvrages routiers avec les matériaux issus du recyclage des sites YPREMA. Avec l’intensification croissante des travaux liés au Grand Paris Express, et l’ambition exprimée par la Société du Grand Paris (SGP) de valoriser 70 % des 45 millions de tonnes des déblais qui seront produits d’ici 2030, la combinaison Yterres-YPREMA a de l’avenir.
Il y a 4 ans et 220 jours

ISOVER renforce son engagement pour l’économie circulaire avec ISOVER Recycling

ISOVER a créé il y a plus de 23 ans son propre centre de revalorisation de rebuts de laine de verre issus de son site industriel d’Orange. Récemment, ce centre de revalorisation a évolué pour pouvoir également traiter les déchets de laines de verre provenant des chantiers de déconstruction et de rénovation et les transformer en calcin qui est ensuite réinjecté dans le processus de fabrication de nouvelles laines de verre. Ce procédé industriel unique permet à ISOVER d’avoir une part importante de matière recyclée dans ses produits, qui s’élève a minima à 40 % et peut atteindre jusqu’à 80 % dans certaines usines. La marque travaille très activement à augmenter la part de matériaux recyclés dans ses produits, avec l’objectif de la faire passer de 40 % en 2020 à 80 % à l’horizon 2030. La laine de verre issue de la déconstruction des bâtiments représente 75 000 t/an. Ce tonnage équivaut à des volumes très conséquents qui finissent, dans la plupart des cas enfouis sous terre. Avec la rénovation des bâtiments des années 70 et 80, on estime que la quantité de déchets de laine de verre va doubler d’ici 2030. Dans ce contexte, ISOVER a lancé son service de collecte et de recyclage, ISOVER Recycling dont l’objectif est d’éviter les enfouissements de laine de verre et favoriser leur recyclage. Cette démarche d’éco-conception est l’un des piliers de la politique engagée par ISOVER afin de réduire les déchets et de préserver les ressources naturelles. Développé avec des partenariats entre la marque et différents professionnels du secteur du recyclage (collecteurs, syndicats) et des entreprises de curage, ISOVER Recycling s’adresse autant aux marchés diffus qu’aux grands chantiers de rénovation. La démarche répond par anticipation aux enjeux de collecte des déchets de la laine de verre qui représentera plus de 150 000 tonnes par an à l’horizon 2030. Un gisement qui pourrait encore augmenter avec le plan de rénovation énergétique des bâtiments.
Il y a 4 ans et 220 jours

Weber élargit son offre ITE biosourcée

Le nouveau système d’ITE webertherm XM fibre de bois, destiné aux supports maçonnés et, sous certaines conditions, aux ossatures bois, intègre des panneaux conçus à partir de chutes de bois issu de forêts françaises certifiées, broyées et agglomérées avec de la résine. Un sous-enduit à la chaux aérienne s’y associe et un large panel de finitions (silicates, organiques, minérales minces et semi épaisses) allie technique et esthétique. Sa faible conductivité thermique de 0.039 W/(m.K) ainsi que sa forte capacité thermique massique de 2100 J/(kg.k) confèrent à webertherm XM fibre de bois des performances d’isolation optimales stockant les calories durant la journée pour les restituer vers l’extérieur durant la nuit. Ce confort thermique vaut en hiver et en été, favorisant la conservation du frais lors de pics de chaleur. Le bois a la faculté de réguler l’humidité, évitant la prolifération de moisissures, pour un air intérieur plus sain. Si son excellente perméabilité à la vapeur d’eau en fait l’allié de la rénovation des bâtis anciens, webertherm XM fibre de bois s’avère également une ITE à valeur ajoutée pour toutes constructions neuves, en résidentiel (maison individuelle ou logement collectif) comme en tertiaire. Validé par un test lepir2, ce système ne requiert aucun aménagement en bandes coupe-feu, confirmant son excellent comportement en cas d’incendie (classement B-s1, d0).
Il y a 4 ans et 221 jours

Les achats de logements neufs marquent le pas

Au cours du troisième trimestre 2020, 24 300 logements ont été réservés en France métropolitaine, soit presque 3 200 de plus qu’au deuxième, lors du premier confinement. Ce niveau reste inférieur de 16 % à celui observé un an plus tôt. Les annulations de réservations progressent de 14,7 % par rapport au troisième trimestre 2019. La baisse des réservations est plus marquée dans le collectif (- 16,5 %) que dans l’individuel (- 9,2 %). Les achats de logements neufs marquent donc sérieusement le pas. Les mises en vente de logements ont fortement baissé entre fin 2019 et début 2020, et stagnent depuis à un niveau bas, proche de 20 000 logements par trimestre. Elles ont d’abord pâti de la mise en place du confinement à la fin du premier trimestre, puis ce dernier a très fortement limité la commercialisation de logements neufs au deuxième trimestre, alors que les variations saisonnières habituellement observées en font un pic d’activité immobilière. Le déconfinement ne semble pas encore avoir permis la reprise des mises en vente. Au troisième trimestre 2020, elles reculent donc fortement (- 24,4 %) par rapport au troisième trimestre 2019. Le repli est nettement plus marqué dans l’individuel (- 30,6 %) que dans le collectif (- 24,0 %). Source : Ministère de la Transition écologique, Service des données et études statistiques (SDES)