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Il y a 2 ans et 111 jours

Supervan nomme Salomé Halioua au poste de Directrice des Opérations

Depuis le lancement de son activité de transport et livraison express de produits lourds et volumineux, Supervan ne cesse d’innover et de développer de nouveaux services. De la livraison via un véhicule utilitaire léger à la livraison par poids lourd (Service XXL), en passant par le développement de sa marketplace de matériaux de chantier (Plateforme Breek), la startup oeuvre en continu pour le futur de la logistique. Supervan compte aujourd’hui près de 40 collaborateurs et plus de 500 chauffeurs partenaires. Salomé Halioua, le nouveau visage des Opérations chez SupervanDiplômée de l’école d’ingénieures EPF (École Polytechnique Féminine) à Cachan, Salomé commence sa carrière à Orléans en 2016 chez Amazon, au poste de Manager de Production. Elle y gère les équipes logistiques et leur fonctionnement au sein d’un entrepôt pendant plus de deux ans. Cette expérience lui offre l’opportunité de gérer le lancement du service transport d'un nouvel entrepôt Amazon en région parisienne. Lors de cette expérience, elle manage près de 150 collaborateurs (équipes 24/24 et 7j/7) et les flux de transport quotidiens de plus de 200 camions.En 2020, elle rejoint le siège d’Amazon à Paris et l’équipe Sales & Operations Planning où elle se spécialise dans l’analyse de données et la planification afin d’effectuer des prévisions et d’optimiser les flux de livraison sur le dernier kilomètre. L’année suivante, Salomé intègre la division européenne d’AVS (Amazon Vendor Services). Elle est notamment chargée d’évaluer et d’optimiser l’efficacité de la chaîne d’approvisionnement pour un portefeuille de fournisseurs de renom (L’Oréal, Revlon, Reckitt ou encore PRH), et d’établir des plans d’actions pour les aider à optimiser leurs processus logistique avec Amazon.En rejoignant les équipes de Supervan, Salomé Halioua aura notamment pour mission de gérer et de renforcer les effectifs de l’équipe des opérations, qui compte aujourd’hui 15 collaborateurs. En tant que Directrice des Opérations, ses objectifs seront de garantir une expérience client et chauffeur irréprochables, et de s’assurer de l’optimisation des différents processus internes et flux de livraisons (sécurité, délais…). « Aux Opérations, nous sommes toujours au cœur de l’action. Nous faisons le lien entre les chauffeurs et les différents besoins de nos clients, et nous construisons avec tous nos interlocuteurs une relation de confiance, à la fois durable et bienveillante. Garants d’une expérience opérationnelle irréprochable, nous tenons à offrir un service sans accroc à nos clients. Je me réjouis de rejoindre cette startup en pleine croissance, et de mettre mon expertise au service de son développement. », souligne Salomé Halioua, Directrice des Opérations chez Supervan. « Nous sommes plus que ravis de pouvoir compter Salomé au sein de nos équipes. Son expertise et son expérience sont très précieuses pour la croissance de Supervan, et vont nous permettre de nous rapprocher considérablement des besoins de nos clients. Ce recrutement stratégique représente le passage d’un nouveau cap pour nous, et nous avons hâte de voir l’équipe des Opérations grandir sous sa direction. », déclare Guillaume Fournier, Fondateur et CEO de Supervan.
Il y a 2 ans et 111 jours

Living EstateTM : une expérience digitale pour une commercialisation de projets immobiliers plus impactant

Living EstateTM : le renouveau de la Marketing SuiteAllianz, Altarea Cogedim, Aquila, Blackstone, Deka, Foncia IPM, Hémisphère, Ivanhoé Cambridge, PGIM, Scaprim, SFL... Bleu Dalcans compte de nombreuses références dans le secteur de l’immobilier. Grâce à cette expertise, elle a imaginé Living EstateTM : un dispositif complet qui intègre, en plus d’un espace témoin scénographié, un parcours de visite initiatique spécialement conçu pour que le futur acquéreur puisse se projeter avant, pendant et après sa visite. Le digital s’inscrit dans ce concept comme un levier immersif pour présenter et aider à commercialiser le projet immobilier (vidéo projection, mobilier interactif, création des contenus, modélisation des spaces planning, sonorisation...).Pour Raphael Benbassa, Associé Fondateur de Bleu Dalcans : « Notre volonté est de sortir les écrans de leurs rôles fonctionnels pour créer des expériences inédites. Le digital est un moyen exceptionnel qui nous permet d’accroitre l’attractivité d’un lieu qu’il s’agisse de futurs espaces de bureaux, d’hôtels ou de centres commerciaux. Avec Living EstateTM, notre objectif est de rendre les espaces témoins, traditionnellement attentus, plus vivants et désirables ! Dans un marché locatif de plus en plus tendu, et sur un secteur finalement très aseptisé et standardisé, nous permettons enfin aux Assets de se démarquer. »Les avantagesPour les BROKERS : Un service premium et flexible Un accompagnement sur la mise en valeur de l’espace La capacité à proposer une expérience immersive aux prospects Pour les PROSPECTS : L’incarnation d’une vision et d’un projet d’entreprise visant au bien-être des collaborateurs Une projection sur une utilisation optimale du futur lieu de vie / de travail Une mémorisation de la visite facilitée Pour les ASSET : Des délais de mise sur le marché raccourcis Une indépendance vis-à-vis des brokers La valorisation des placements immobiliers en faisant de chaque actif un produit unique L’exemple de JOYA Val de Fontenay - Ivanhoé CambridgeSur un espace dédié de plus de 500 m2, les équipes de Bleu Dalcans ont créé un parcours efficace, visuel, mémorisable et digital pour aider les Assets à commercialiser l’actif. Les équipes ont géré la conception, le déploiement du mobilier et de l’agencement mais aussi les contenus vidéos, interactifs et immersifs.Pour François Burgess, Asset Manager Ivanhoé Cambridge : « Bleu Dalcans a parfaitement su répondre à notre volonté de proposer aux prospects locatifs de Joya une programmation marketing innovante, axée sur le digital et sur l’interactivité des outils. Cette agence a mis à notre disposition une équipe complète de professionnels dévoués et talentueux, allant de la création de l’idée jusqu’à la réalisation de l’espace. Le respect du planning et du coût en fait un partenaire fiable avec lequel nous avons pris beaucoup de plaisir à travailler ».Une démarche RSE chère à Bleu DalcansLa volonté de Bleu Dalcans est de créer des espaces vivants, qui répondent aux besoins et qui favorisent le bien-être des utilisateurs, dans le respect de l’environnement. C’est pourquoi, les espaces conçus avec Living EstateTM se démarquent des Marketing Suites traditionnelles avec un véritable ancrage écologique et modulaire.Depuis 2020, Bleu Dalcans est partenaire d’EcoTree. Dans ce cadre, elle participe à des projets forestiers et de biodiversité en France. Bleu Dalcans est aujourd’hui propriétaire de 100 arbres, dans la Forêt de Pont de Buis (29), plantés et gérés durablement par EcoTree en France.
Il y a 2 ans et 111 jours

Stradal lance le DDSelect, une solution de traitement des pollutions des eaux pluviales

Plus performant, le DDSelect répond à l’ensemble des besoins et contraintes des collectivités en matière de lutte contre les pollutions urbaines.Décantation hydrodynamique : une innovation majeureDès 2019, Stradal s’est associé à Hydro International, spécialiste mondial du traitement des pollutions, pour concevoir et fabriquer le First Defense, la première solution de traitement des pollutions des eaux par décantation hydrodynamique, intégrée à une enveloppe béton haute performance. Aujourd’hui, fort de ses 3 années sur le terrain et des retours d’expérience suite à l’installation de plus de 200 décanteurs hydrodynamiques en France, Stradal a conçu une nouvelle génération de décanteurs, le DDSelect.Ce décanteur hydrodynamique innovant cible les Matières En Suspension (MES) grâce à un système de décantation qui traite les particules de taille médiane de 63 μm, avec un abattement supérieur à 80% des MES et de leurs polluants associés.Il est décliné dans une gamme comprenant 12 produits : 6 dimensions et deux niveaux de performance pour coller au plus près aux besoins des collectivités.Le béton bas carbone : un matériau haute performance et plus écologiqueLe DDSelect est intégré dans une enveloppe en béton bas carbone haute performance qui permet une diminution de 30% de l’empreinte écologique par rapport au béton classique. Il assure une parfaite étanchéité et résiste aux sollicitations tout au long de sa durée de vie estimée à plus de 50 ans.Par ailleurs, il est 100% recyclable, et est issu d’une filière de proximité et de matériaux locaux.Ultra compact et dimensionné au plus juste, le décanteur hydrodynamique DDSelect permet une emprise au sol extrêmement réduite. C’est un ouvrage sur-mesure, personnalisable à la demande : angle, diamètre, matériaux, hauteur… Il est ainsi 10 fois moins volumineux qu’un décanteur lamellaire et 30 fois moins qu’un bassin de décantation. Le DDSelect peut s’installer sur un réseau existant, permettant de limiter les travaux, les investissements et de valoriser le patrimoine.Plus d’une centaine de décanteurs DDSelect déjà en opérationAvec des volumes de traitement pouvant aller jusqu’à 1.400 litres d’eau par seconde, le DDSelect permet de prendre en charge des projets de toute taille partout en France. Une vingtaine de références ont déjà été installées dans l’Eurométropole de Strasbourg. Des réalisations sont en cours dans de nombreuses collectivités comme Arcachon et sur le littoral où l’enjeu en matière de traitement et de qualité de l’eau en lien avec l’activité humaine est particulièrement fort.La décantation hydrodynamique pour cibler toutes les pollutionsPour traiter les polluants présents dans les eaux pluviales, une des solutions les plus efficaces2 est la décantation hydrodynamique. Elle associe deux forces : la gravité et la force centrifuge et repose sur le procédé de séparation par effet vortex : un procédé de séparation liquides/solides qui permet une rétention des particules minérales ou organiques les plus fines.Cette technologie permet de traiter à la fois les MES (Matières En Suspension) et leurs micropolluants associés ainsi que les macro-déchets (mégots, canettes, emballages plastiques…).
Il y a 2 ans et 112 jours

Des chercheurs exhument le secret de solidité du béton romain

Des chercheurs américains et européens pensent avoir enfin découvert le secret de longévité de ces merveilles d'architecture, vieilles d'environ 2.000 ans: un béton capable de se réparer lui-même.Alors que certains bâtiments modernes tombent eux en ruine après seulement quelques décennies, ces scientifiques espèrent que leur découverte pourra aider à réduire l'impact environnemental et climatique de la production de béton, qui génère d'importantes émissions de gaz à effet de serre.Jusqu'ici, la solidité du béton romain était attribuée à un ingrédient: des cendres volcaniques de la région de la baie de Naples, en Italie, qui étaient envoyées un peu partout dans l'empire romain pour servir à la construction.Mais les chercheurs ont cette fois focalisé leur attention sur la présence d'une autre caractéristique: de tout petits morceaux blancs brillants, provenant de la chaux, un autre ingrédient utilisé pour la conception du béton."Depuis que j'ai commencé à travailler sur le béton romain, j'ai toujours été fasciné" par la présence de ces morceaux, a déclaré dans un communiqué Admir Masic, co-auteur de cette étude publiée dans la revue Science Avances et professeur au prestigieux Massachusetts Institute of Technology (MIT), aux Etats-Unis. "Ils ne sont pas présents dans le béton moderne, alors pourquoi l'étaient-ils dans l'ancien?"Les experts pensaient jusqu'ici que ces minuscules morceaux résultaient d'un mauvais mélange de la mixture, ou de matières premières de mauvaise qualité.Mais en examinant, grâce à de techniques d'imagerie poussées, le béton d'un mur d'enceinte de la ville de Privernum en Italie, les chercheurs ont découvert que ces petits morceaux blancs étaient en réalité du carbonate de calcium, formé à de très fortes températures.Ils en ont conclu que la chaux n'était pas (ou pas seulement) incorporée en étant mélangée à de l'eau, comme on le pensait jusqu'ici, mais sous forme de chaux vive.Selon les chercheurs, c'est ce "mélange à chaud" qui donne à ce béton son étonnante solidité.En effet, lorsque des fissures apparaissent, l'eau de pluie entrant en contact avec le béton produit une solution saturée en calcium, qui se recristallise ensuite en carbonate de calcium, permettant ainsi de combler les fissures.Pour vérifier cette hypothèse, l'équipe de scientifiques a réalisé des échantillons de béton selon le même procédé, qu'ils ont ensuite délibérément fissuré et sur lequel ils ont fait couler de l'eau. Résultat: au bout de deux semaines, le béton était complètement réparé. Un autre échantillon produit sans chaux vive est lui resté fissuré.A l'avenir, les chercheurs veulent essayer de commercialiser ce béton à la composition modifiée.
Il y a 2 ans et 112 jours

Face à l'exode des habitants, la mairie de Paris accélère

Entre 2014 et 2020, 12.400 habitants en moins par an: "les Parisiens sont toujours plus nombreux à déménager", et ces départs "sont notamment motivés par le coût élevé du logement" et "l'offre réduite de logements de grande taille pour les familles", affirme l'Insee dans un rapport publié fin décembre. "La situation serait bien plus difficile sans notre politique", rétorque à l'AFP Ian Brossat, l'adjoint communiste de la maire (PS) Anne Hidalgo, pour qui le logement reste une "priorité absolue".Encadrement des loyers : "serrer la vis"Nouveauté de la rentrée, la ville peut contrôler à la place du préfet l'encadrement des loyers en vigueur depuis juillet 2019 dans la capitale. Concrètement, la mairie a lancé une plateforme où les locataires pourront signaler un loyer trop élevé, ensuite instruit par la mairie qui mettra le propriétaire en demeure afin qu'il diminue le loyer et restitue les trop-perçus. Sans mise en conformité, la mairie pourra lui infliger une amende. Mais pour l'élu LR Jean-Baptiste Olivier, ce renforcement des contrôles, ajouté à la hausse de la taxe foncière et à l'interdiction progressive de louer les passoires thermiques, prévue par la loi, risque d'engendrer un "effet pervers" avec "moins de logements sur le marché".Mesures anti-Airbnb : objectif atteintDepuis janvier 2022, tout changement d'usage d'un commerce en meublé touristique est soumis à autorisation de la mairie et les logements transformés en locations touristiques doivent faire l'objet d'une double, voire d'une triple compensation en surface.Un an plus tard, M. Brossat fait le bilan d'un "effet extrêmement dissuasif", avec le rejet d'une grande majorité des demandes de changement de commerces en meublés touristiques.Les préemptions vont continuerEn décembre, le compte foncier logement de la ville pour 2023 a été abondé de 148 à 200 millions d'euros afin "d'augmenter la capacité à acquérir des immeubles et à faire du logement social par ce biais", résume Ian Brossat.Solution à la raréfaction des emprises disponibles dans la capitale, les préemptions ne sont pas du tout du goût de l'opposition de droite, Jean-Baptiste Olivier jugeant qu'il s'agit d'une "erreur politique grave" dans une ville lourdement endettée.En préemptant, "on réduit les possibilités de logements privés, (...) le prix du mètre carré va augmenter et ce sera de plus en plus la ville des très aisés", vitupère l'élu de droite. "Il faudrait mieux réhabiliter l'existant et revoir les systèmes de chauffage qui en ont bien besoin", ajoute M. Olivier. Un PLU façonné "logement public"Ayant quasiment atteint son objectif de 25% de logement social pour 2025, la mairie se fixe désormais, à l'horizon 2035, 30% de logement social et 10% de logement "abordable", c'est à dire "20% en-deçà du prix du marché, pour les classes moyennes", selon Ian Brossat.Pour cela, il compte renforcer encore l'obligation pour tout nouvel immeuble de logements d'intégrer au moins 30% de logement social.Les futurs immeubles de bureaux seraient aussi obligés d'intégrer "une part de logements (...), et sur celle-ci, une part de logements sociaux", affirme-t-il.La majorité de gauche compte aussi instituer des "zones de grand déficit de logement social": les nouveaux immeubles de logements créés dans les micro-quartiers comptant "moins de 10% de logements sociaux" devront être consacrés à 50% au logement social.L'élu communiste mise enfin sur les "réserves", des immeubles du secteur tertiaire où la mairie pourra inciter le propriétaire, à l'occasion d'un nouveau permis de construire, à "la transformation en logement, notamment social".Le BRS, balbutiant mais symboliqueAvec 90 nouveaux logements commercialisés en 2023, le bail réel solidaire (BRS), qui permet à un particulier de devenir propriétaire du bâti mais pas du foncier, n'en est qu'à ses débuts.Mais avec un millier de logements en projet, "l'idée est de monter en puissance", souligne Ian Brossat, partisan de ces logements vendus à moitié prix, et qui veut développer cette catégorie dans le nord-est parisien, excédentaire en logements sociaux.
Il y a 2 ans et 112 jours

Moins de demande pour les entrepôts en 2022

Pour des entrepôts de plus de 10.000 mètres carrés, elle a reculé de 8% en 2022 par rapport à 2021, passant de 3,68 à 3,38 millions de mètres carrés.Les entrepôts logistiques se développent rapidement sur le territoire français depuis plusieurs années, surtout aux abords des grands axes autoroutiers, du fait de l'essor de l'e-commerce et la pression du "zéro stock".En 2022, l'érosion de la demande a surtout été marquée hors région parisienne, où elle a reculé de 14,6%.En Ile-de-France, la baisse a été de 10,3%, lestée par les entrepôts de 5.000 à 10.000 mètres carrés (-36,4%), une catégorie qui n'est pas comptée dans le reste du pays. Pour les seuls entrepôts de plus de 10.000 mètres carrés, la demande a au contraire augmenté de 13,9%."Les volumes en 2022 restent particulièrement solides", a commenté dans une note René Jeannetot, directeur du pôle logistique de BNP Paribas Real Estate."Même si la livraison prochaine d'entrepôts en cours de construction devrait permettre de fluidifier temporairement certains marchés, la transformation continue de la supply-chain (chaîne d'approvisionnement ndlr), observée chez les acteurs du commerce et de l'industrie, soutiendra le bon niveau de demandes constaté actuellement sur ce marché", affirme-t-il."Les grands logisticiens et les acteurs de la grande distribution alimentaire ont poursuivi leurs prises de positions dans l'Hexagone tout au long de l'année, demeurant le principal soutien du marché. Les spécialistes du e-commerce accusent quant à eux un net repli en 2022, reflet d'une surcapacité logistique conjoncturelle", estiment de leur côté les analystes de CBRE. "La politique de sobriété foncière et la conjoncture macroéconomique limitent le potentiel de développement. Ces tensions sur l'offre orientent considérablement à la hausse les valeurs locatives sur les secteurs les plus tendus", ajoutent-ils.La mise en place progressive de la règle "zéro artificialisation nette", qui vise à limiter le grignotage des espaces naturels par la ville pour protéger l'environnement, menace la construction de nouveaux entrepôts, très gourmands en foncier.Leur installation est aussi confrontée, dans certains territoires, à l'opposition de riverains qui craignent notamment l'augmentation du trafic de camions.
Il y a 2 ans et 112 jours

Les principales mesures du projet de loi d'accélération des énergies renouvelables qui devrait être voté aujourd'hui à l'Assemblée

Des objectifs ambitieuxEn France, qui s'est longtemps reposée sur la puissance de son parc nucléaire, les énergies renouvelables ne représentent que 19,3% de la consommation finale brute d'énergie, une part plus faible qu'ailleurs en Europe et déjà en deçà de l'objectif fixé en 2020 de 23%.A l'urgence climatique, la guerre en Ukraine vient aujourd'hui ajouter la menace d'un "blackout", rendant nécessaire pour le gouvernement un changement d'échelle.Pour 2050, le président Emmanuel Macron s'est fixé comme objectifs de multiplier par dix la capacité de production d'énergie solaire pour dépasser les 100 GW, et de déployer 50 parcs éoliens en mer pour atteindre 40 GW.Délais réduitsIl faut en moyenne en France 5 ans de procédures pour construire un parc solaire, 7 ans pour un parc éolien et 10 ans pour un parc éolien en mer.Le texte prévoit des adaptations temporaires des procédures administratives pour simplifier et accélérer la réalisation des projets, l'objectif étant de raccourcir significativement les délais de déploiement.Le gouvernement veut notamment réduire certains recours, en reconnaissant une "raison impérative d'intérêt public majeur (RIIPM)" pour des projets d'énergies renouvelables.Planification et approbation des communesC'était un des sujets les plus sensibles du texte.Après un compromis trouvé au Sénat, les communes pourront faire remonter - dans un dispositif de planification "ascendante" - les zones d'accélération, prioritaires pour déployer des projets d'énergies renouvelables. Pour la phase d'application de ces zones "propices", l'approbation du maire sera requise.La mesure a crispé la gauche, qui redoute le retour du "veto des maires" que réclamaient des députés LR pour l'ensemble du territoire.À l'exception des procédés de production en toitures, ces zones ne pourront être incluses dans les parcs nationaux et les réserves naturelles, a précisé l'Assemblée.AcceptabilitéL'Assemblée a adopté en première lecture des amendements écologistes pour instaurer un observatoire et un médiateur des énergies renouvelables.Pour une meilleure "acceptabilité", les députés ont ajouté au texte un objectif paysager incitant les collectivités à "veiller à limiter les effets de saturation visuelle", notamment des éoliennes.Afin de mieux répartir les énergies renouvelables sur le territoire, le texte rend possible une modulation tarifaire qui inciterait des porteurs de projets à s'installer dans des zones aux conditions naturelles a priori moins favorables.Plus d'espace pour le solaireLe projet de loi facilite l'installation de panneaux photovoltaïques aux abords des autoroutes et grands axes. Il permet de déroger à la loi Littoral, dans un cadre très contraint, pour l'implantation de panneaux dans des "friches". Il facilite aussi l'implantation dans les communes de montagne.Il impose l'équipement progressif des parkings extérieurs de plus de 1.500 m2 avec des ombrières photovoltaïques.L'éolien prend la merLe projet de loi propose de mutualiser les débats publics sur la localisation des projets de parcs éoliens en mer "pour améliorer la planification spatiale" et accélérer leur développement.L'Assemblée a rejeté en séance des amendements LR réclamant que les zones d'implantation soient situées à une distance minimale de 40 km du rivage.Seront toutefois "ciblées en priorité des zones propices situées dans la zone économique exclusive", soit un peu plus de 22 km des côtes, et en dehors des parcs nationaux ayant une partie maritime.RedistributionSur proposition des socialistes, l'Assemblée a renoncé à un principe de ristourne sur la facture des riverains d'énergies renouvelables. Les députés privilégient des mesures territoriales plus larges comme des fonds pour aider les ménages modestes en situation de précarité énergétique ou pour financer des projets en faveur de la biodiversité.AgrivoltaïsmeLe texte entend définir "l'agrivoltaïsme", combinant exploitation agricole et production d'électricité, par exemple avec des panneaux solaires montés sur des pieds, permettant la culture voire le passage d'animaux. La production agricole devrait rester "l'activité principale" ou les installations être "réversibles".
Il y a 2 ans et 112 jours

Jour J pour la réforme emblématique des retraites

La Première ministre a confirmé lors d'une conférence de presse l'arbitrage qui avait largement fuité ces derniers jours, après une séquence de plusieurs mois mêlant consultations, atermoiements et report-surprise de l'annonce."J'ai bien conscience que faire évoluer notre système de retraite suscite des interrogations et des craintes chez les Français. Nous voulons y répondre, et convaincre" et surtout "garantir l'équilibre du système en 2030", a déclaré la cheffe du gouvernement.Les partis de gauche, le Rassemblement national et l'ensemble des syndicats de salariés sont vent debout contre un recul de l'âge de départ.Réunis en fin d'après-midi à la Bourse du Travail à Paris, les dirigeants des huit grands syndicats (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, Solidaires, FSU) ont appelé à une première journée de manifestations et de grèves le 19 janvier."Cette réforme va frapper de plein fouet l'ensemble des travailleurs et travailleuses et plus particulièrement celles et ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires dont l'espérance de vie est inférieure au reste de la population", a déclaré, au nom de l'intersyndicale, le patron de la CFDT Laurent Berger, dont l'exécutif avait un temps espéré le soutien."Nous sommes déterminés à ce que cette réforme ne passe pas" et "on souhaite qu'il y ait le maximum de salariés en grève" le 19 janvier, a abondé son homologue de la CGT, Philippe Martinez.Le patron de Force ouvrière Frédéric Souillot a dénoncé "la réforme la plus injuste pour les salariés de la deuxième ligne et les plus précaires".A compter du 1er septembre, l'âge de départ sera "relevé progressivement de trois mois par an pour atteindre 64 ans en 2030. Nous serons donc à 63 ans et 3 mois à la fin du quinquennat" en 2027, a détaillé la Première ministre. En lieu et place des 65 ans sur lesquels Emmanuel Macron avait fait campagne. "Nous n'irons pas plus loin que les 43 ans de cotisation prévus par la réforme Touraine pour partir avec une retraite à taux plein. Mais nous atteindrons cette cible plus vite, en passant à un rythme d'un trimestre par an", a-t-elle développé. Il faudra donc avoir cotisé 43 ans dès 2027 au lieu de 2035 pour une retraite à taux plein.Pension minimumAutre mesure-phare sur laquelle le gouvernement compte pour faire accepter la réforme: le relèvement à 85% du Smic net, soit près de 1.200 euros actuellement, de la pension minimum pour les carrières complètes. Une mesure étendue aux retraités actuels. "Près de deux millions de petites retraites vont être augmentées", a fait valoir Élisabeth Borne.La réforme comprend également un dispositif "adapté" pour les carrières longues, "pour qu'aucune personne ayant commencé" à travailler tôt ne soit obligée de travailler plus de 44 ans", selon le gouvernement.Elle "actera l'extinction des principaux régimes spéciaux" subsistants: "les nouveaux embauchés à la RATP, dans la branche des industries électriques et gazières et à la Banque de France" seront notamment affiliés au régime général, a précisé Mme Borne.Sur le volet pénibilité, "un fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle" sera instauré, doté d'un milliard d'euros sur le quinquennat.Le gouvernement veut en outre créer un "index" mesurant l'emploi des seniors pour les entreprises de plus de 1.000 salariés "dès cette année", et pour celles de plus de 300 salariés en 2024, que les entreprises devront renseigner sous peine de sanctions. Une mesure qui suscite l'hostilité du patronat.Élisabeth Borne assurera le service après-vente mardi soir sur France 2. Et le gouvernement devrait inscrire sa réforme dans un projet de budget rectificatif de la Sécurité sociale présenté en Conseil des ministres le 23 janvier, avant examen en février à l'Assemblée."Nous sommes prêts à faire encore évoluer notre projet, et cela sera possible grâce à un débat parlementaire loyal et constructif", a souligné la Première ministre."Régression sociale"Les réactions politiques ne se sont pas faites attendre: Jean-Luc Mélenchon a dénoncé une "grave régression sociale". Marine Le Pen a assuré de sa "détermination" à "faire barrage" à une "réforme injuste".Le président des députés LR Olivier Marleix s'est en revanche montré "satisfait d'avoir été entendu", sur le rythme de la réforme et les petites retraites.Le Medef, de son côté, a salué "les décisions responsables et pragmatiques" du gouvernement.Selon les derniers sondages, une large majorité de Français sont opposés au relèvement de l'âge légal.S'il prédit "un mouvement d'ampleur" des syndicats, le député Renaissance Marc Ferracci, proche d'Emmanuel Macron, affiche en revanche la détermination du pouvoir: "Il faut qu'on montre qu'on ira jusqu'au bout".
Il y a 2 ans et 112 jours

Le Groupe Airvance fait l’acquisition de la société AEIB, spécialiste de la ventilation industrielle

Depuis près de 50 ans, AEIB Ventilateurs, société familiale, conçoit et fabrique des solutions de désenfumage et de ventilation industrielle certifiées ATEX et IECEX, c’est-à-dire destinées aux atmosphères explosives ou dangereuses, à l’attention des marchés du nucléaire et de la marine. AEIB est basée dans la région de Bordeaux, à Tresses (33) et dispose d’un site de production de 5300 m². L’entreprise est certifiée ISO 9001 depuis 2003. Avec un CA de 8 M€ en 2021 et un effectif de 50 salariés, la société sert des clients dans le monde entier, dans le secteur de la défense et du nucléaire. Par ailleurs, AEIB a développé ces dernières années plusieurs gammes de ventilateurs de désenfumage, en collaboration avec le Groupe Airvance.En tant qu’expert du traitement de l’air, le Groupe Airvance assure le bien-être et la sécurité des personnes sur leurs lieux de vie et de travail. La protection incendie et le désenfumage sont la composante sécuritaire majeure dans un bâtiment. Le matériel de protection incendie vise à éviter la naissance du feu, par le choix de matériaux adaptés. Le désenfumage, quant à lui, a pour objectif l’évacuation des fumées et des gaz toxiques. Avec cette acquisition, le Groupe Airvance vient renforcer son pôle d’expertise dans le secteur du désenfumage et de l’industrie, et souhaite développer les synergies au niveau des offres de produits. AEIB dispose d’un solide savoir-faire en désenfumage : son équipe Recherche & Développement, la qualité de ses produits (certifiés ISO 9001 depuis plus de 10 ans), ses gammes étoffées et son laboratoire de tests renforceront l’expertise du Groupe Airvance dans le désenfumage et l’industrie.« La société AEIB, tout comme le Groupe Airvance, sont deux entreprises familiales. Je suis heureux d’accueillir AEIB et toutes ses équipes au sein du Groupe Airvance. Ce rapprochement traduit notre volonté de nous développer dans le secteur du désenfumage et de renforcer les moyens de production européens du Groupe Airvance auprès de nos partenaires industriels historiques. » - Laurent Dolbeau (CEO Airvance Group)« Nous travaillons avec le groupe Airvance depuis 2002, nous leur sommes reconnaissants de leur confiance depuis toutes ces années et savons que AEIB va continuer à croître au sein d’un groupe leader sur le marché de la ventilation. » - Gilles Beauquin (Gérant AEIB)La concordance des stratégies des deux entreprises, ajouté à la complémentarité des savoir-faire techniques, montrent tout l’intérêt de ce rapprochement.
Il y a 2 ans et 112 jours

Nouvelle fenêtre Prismatic Oknoplast avec poignée centrée

Ce nouveau modèle se distingue par son design épuré et ses hautes performances d'isolation. Grâce à un profilé affiné de 76 mm et un battement central de 120 mm, il propose de plus grandes surfaces vitrées qui laissent entrer plus de lumière à l'intérieur de l'habitat. Salon, bureau, cuisine, chambre..., toutes les pièces de la maison profitent d'une grande clarté à laquelle s'ajoute de remarquables performances thermiques, pour un plus grand confort et d'importantes réductions de la consommation d'énergie.Harmonie & designAvec son design exceptionnel, la nouvelle fenêtre PRISMATIC OKNOPLAST répond aux dernières tendances architecturales avec des formes plus modernes, sans arrondis. Conçue pour une harmonie parfaite, la PRISMATIC est un élément de décoration qui sublime l'habitat. Et pour mettre en avant et affiner ce profilé élégant, OKNOPLAST propose une nouvelle poignée centrée très esthétique.24 couleurs de plaxage sont également disponibles afin de donner un caractère unique aux pièces de la maison. Couleur béton brut ou effet bois, le plaxage peut être choisi en fonction du style de l'habitation.À la pointe des dernières innovations sur le marché, la fenêtre PRISMATIC OKNOPLAST combine design et technologie.« PRISMATIC est une fenêtre destinée aux personnes qui recherchent une solution complète. L'association d'un profilé exclusif et moderne, et d'un grand vitrage n'est pas seulement esthétique, mais offre également plusieurs fonctions : avant tout, la fenêtre «capte» les rayons du soleil, ce qui rend l'intérieur nettement plus lumineux, plus confortable et plus chaleureux. En même temps, grâce à la faible perte de chaleur, notre produit permet d'augmenter les économies de chaque maison », déclare Mike Żyrek, directeur recherche et développement du groupe OKNOPLAST.Un vitrage 4xglass pour une isolation thermique et acoustique renforcéeLa finesse du profilé de la nouvelle PRISMATIC OKNOPLAST réduit la quantité de PVC utilisé dans la production de la fenêtre. Le vitrage 4Xglass plus grand, aux propriétés thermiques élevées, permet de profiter d'espaces plus lumineux et agréables en toute saison. Innovant, il est composé d'une vitre de 4 mm d'épaisseur, de deux vitres de 3 mm d'épaisseur et de deux intercalaires de largeur différentes : 18 mm et 16 mm. Avec ces différentes épaisseurs des vitres et des intercalaires, le vitrage 4Xglass constitue une protection efficace contre les déperditions de chaleur et supprime la sensation de parois froides à l'intérieur de l'habitat.La nouvelle fenêtre PRISMATIC OKNOPLAST dispose de belles performances d'isolation avec son profilé de classe A à 5 chambres qui garantit une protection phonique, supprime les déperditions thermiques, les infiltrations d'air et la condensation. Grâce à un triple joint, la fenêtre PVC PRISMATIC assure une très bonne isolation thermique de la maison, ce qui permet de réduire les dépenses en chauffage. De plus, avec une épaisseur de vitrage allant de 24 à 48 mm, elle offre également une très bonne isolation acoustique, idéale pour un intérieur calme. Elle affiche ainsi un coefficient de performance thermique Uw = 0,78 W/(m²K)* et un coefficient d'isolation phonique Rw = 34 dB**.La sécurité avant toutLes fenêtres étant avec les portes la principale voie d'accès des cambrioleurs, OKNOPLAST a doté sa nouvelle fenêtre PRISMATIC d'une nouvelle génération d'équipements destinés à assurer la sécurité des biens et des personnes : renforts brevetés des ouvrants et dormants, double point de sécurité, vitrage retardateur d'effraction, ainsi que deux gâches anti-effraction vissées dans le renfort en acier du dormant. Les classes de résistance RC1 ou RC2 sont disponibles en option.* Pour une fenêtre de référence avec un vitrage de Ug=0,5W/(m²K) munie d'un intercalaire Warmatec.** Pour une fenêtre de référence avec un vitrage de 4/18/3/16/3
Il y a 2 ans et 112 jours

UMGCCP et GRDF partenaires pour décarboner le secteur du logement à l'aide d'équipements gaz et gaz verts

L’UMGCCP, Union Métiers de la fédération française du bâtiment (FFB) et GRDF, principal distributeur de gaz en France, signent un partenariat de 3 ans pour accompagner les entreprises et artisans chauffagistes vers une utilisation efficace et sobre de l’énergie.Pour Pascal Housset : « ce partenariat initié permet de mutualiser nos expertises respectives afin de favoriser le déploiement de technologies innovantes, telles que la pompe à chaleur hybride gaz - la PAC hybride -. Nous partageons avec GRDF la conviction qu’un mix énergétique diversifié, s’appuyant sur la complémentarité des énergies et sur les atouts du gaz et du gaz vert, reste la meilleure solution au profit des consommateurs français. »Pour Laurence Poirier-Dietz : « le renouvellement de cet engagement illustre notre volonté commune de faire du gaz une énergie essentielle pour atteindre la neutralité carbone dans les bâtiments, grâce à l’essor des gaz verts. La France ne peut se passer du gaz pour décarboner le secteur du logement. »Maintenir une diversité de solutions, indispensable pour réussir la transition écologique à un coût acceptableDans les logements collectifs comme individuels chauffés au gaz, la chaudière à très haute performance énergétique (THPE) permet de réduire immédiatement jusqu’à 30 % les consommations d’énergie, les émissions de gaz à effet de serre et la facture des particuliers et des entreprises. L’installation de chaudières THPE - solution techniquement robuste - est totalement maitrisée par les installateurs comme par les professionnels de la maintenance et ce, à un coût compétitif.PAC hybride, une solution adaptée au chauffage des logements en rénovation comme neufs ...Dans les logements individuels déjà raccordés au gaz, et dans les bâtiments neufs à proximité du réseau de gaz, l’installation de PAC hybride permet également de décarboner les bâtiments. L’équipement combine une PAC électrique de moyenne puissance et une chaudière gaz THPE grâce à un système de régulation intelligent, qui permet jusqu’à 40 % d’économies d’énergie par rapport à une ancienne chaudière. La PAC hybride apporte une réponse à la nécessaire question de l’efficacité énergétique en alliant les atouts des deux technologies. Cette solution illustre parfaitement la complémentarité nécessaire des énergies pour la maitrise des coûts et le pouvoir d’achat des clients. Conforme à la nouvelle réglementation environnementale des bâtiments neufs - la RE2020 - la PAC hybride est une solution adaptée aussi bien à la rénovation qu’aux logements neufs.... et compatible avec le gaz vertLe gaz vert, énergie renouvelable produite localement à partir de matières organiques et de déchets des territoires, permet d’augmenter la part d’énergie renouvelable dans les consommations d’énergie. Dès 2030, les gaz renouvelables pourraient représenter 20 % de la consommation de gaz ; en 2050, la France a le potentiel de couvrir 100 % de sa demande de gaz grâce aux gaz renouvelables. Le gaz vert est déjà 100 % compatible avec les équipements gaz.Professionnalisation de la filière et partage d’expertises, au cœur du partenariatLes adhérents de l’UMGCCP pourront se professionnaliser afin de se prévaloir de « mentions » pour attester de leur expertise et de leur engagement pour valoriser certaines solutions - mentions « PAC hybride » ou encore « acteur engagé gaz vert » -. L’évacuation des produits de combustion est également un sujet central en rénovation pour les logements collectifs et fait l’objet d’une mention « conduit de fumée ».
Il y a 2 ans et 112 jours

Réouverture de l’Hôtel de la Marine le vendredi 6 janvier 2023

Les parties anciennes du bâtiment n'ont pas été touchées ; aucun objet d'art ou d'ameublement appartenant aux collections publiques, à la Collection Al Thani ou à la collection de la Galleria Giorgio Franchetti alla Ca’ d’Oro, actuellement exposée dans les galeries de la Collection Al Thani, n'a été endommagé.Le Centre des monuments nationaux a engagé dès le 1er janvier la protection des infrastructures et la réparation des dégâts. Il est ainsi en mesure d’accueillir à nouveau des visiteurs dans les espaces patrimoniaux de l’Hôtel de la Marine (appartements des Intendants, salons d’apparat et loggia) depuis ce jeudi 5 janvier après-midi. Les galeries d’exposition de la Collection Al Thani rouvriront dans les prochains jours après quelques vérifications techniques. Le Café Lapérouse et les ateliers Mathieu Lustrerie ont également pu ouvrir leurs portes dès le 5 janvier 2023.Hôtel de la MarineLe Centre des monuments nationaux a ouvert au public les espaces patrimoniaux de l'Hôtel de la Marine le 12 juin 2021. La cour d'honneur, la cour de l'intendant avec la verrière transparente imaginée par l'architecte Hugh Dutton et la librairie-boutique sont accessibles librement depuis la rue Royale ou la place de la Concorde, recréant une nouvelle circulation dans le quartier. Les parcours dans les espaces des XVIIIe et XIXe siècles et sur la loggia peuvent être visités, avec un dispositif de médiation innovant, le « Confident ».L'espace d'accueil est situé dans la cour de l'intendant d'où les visiteurs peuvent accéder aux différents parcours qui leur sont offerts. Ils sont accompagnés tout au long de leur découverte du monument par le « Confident », un dispositif innovant et immersif constitué d'un casque connecté interagissant avec les outils de médiation des salles. Les visiteurs sont conviés à un voyage immersif à travers un grand palais du siècle des Lumières aux décors somptueux du XVIIIe et XIX siècles, et présentant de précieux meubles et objets. Une librairie-boutique destinée à toutes les générations est ouverte à tous sans s'acquitter d'un droit d'entrée. Enfin, la visite est accessible pour les personnes à mobilité réduite et les dispositifs de médiation sont également adaptés.Depuis le 18 novembre 2021, l'ancien magasin des tapisseries du Garde-Meuble accueille les galeries d'exposition de la Collection Al Thani qui est présentée pour la première fois de manière durable au grand public. Il s'agit de l'une des plus prestigieuses collections d'art privées au monde composée d'une exceptionnelle variété d’œuvres, de l'Antiquité à nos jours. Les galleries accueillent également des expositions thématiques bisannuelles et des prêts de musées partenaires du monde entier, ainsi que des événements éducatifs et des conférences.
Il y a 2 ans et 113 jours

Le maire de Saint-Nazaire en "colère" contre un nouveau mode de calcul de la taxe sur l'éolien en mer

"La France traverse une crise sans précédent et vous faites un énième cadeau aux riches propriétaires -20% pour Saint-Nazaire, +20% pour la Baule !", écrit vendredi dans un tweet M. Samzun en interpellant la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher.L'objet de la "colère" de M. Samzun: "un nouveau mode de calcul pour la répartition de la taxe sur l'éolien en mer est à l'étude au parlement". "Un amendement prévoit d'intégrer les résidences secondaires au calcul. La dotation de Saint-Nazaire où cette population est faible s'en trouverait diminuée", précise-t-il dans un communiqué publié sur le site internet de la ville de Loire-Atlantique.Les 80 éoliennes du premier parc éolien en mer de France, au large de Saint-Nazaire, tournent depuis fin novembre à plein régime. Elles doivent alimenter en électricité l'équivalent de la consommation annuelle de 700.000 personnes.Selon M. Samzun, "les parlementaires de la majorité ont joué avec les symboles" et ont "introduit, au débotté et sans concertation, un nouveau mode de calcul de la répartition" de cette taxe, dont environ 4,5 millions d'euros par an doivent être reversés aux 13 communes d'où les installations sont visibles.Le maire estime qu'en se basant sur la population INSEE, "Saint-Nazaire devait toucher 1.275.524 euros". Or, en tenant compte des résidences secondaires et sans augmentation de l'enveloppe globale, la perte pour Saint-Nazaire serait de "242.519 euros"."Je ne peux en effet me faire à l'idée que, dans ce pays, en pleine crise énergétique et face à une immense crise du logement, de riches propriétaires de résidences secondaires face mer réussissent à installer l'idée qu'ils seraient lésés par la vue de quelques éoliennes", fustige M. Samzun.Cet amendement, qui doit prochainement être examiné au Sénat, "est tout à fait dans l'optique d'un équilibre territorial" pour des communes "à la hauteur du préjudice qu'elles subissent sans pour autant bénéficier de la dynamique économique de la filière éolienne", a estimé pour sa part le maire LR de La Baule Franck Louvrier."Il faut se mobiliser pour que l'enveloppe soit plus importante", a ajouté l'élu, déplorant "essuyer les plâtres du premier parc éolien".
Il y a 2 ans et 113 jours

L'aide à l'embauche d'un alternant maintenue jusqu'à la fin du quinquennat

Dans la continuité des aides décidées lors de la crise du Covid pour éviter l'effondrement des embauches, le gouvernement avait annoncé le 1er décembre qu'une aide de 6.000 euros serait versée à toutes les entreprises, pour les contrats conclus en 2023 avec un alternant, mineur comme majeur, pour la première année du contrat."Afin de renforcer l'accès à l'apprentissage des jeunes les moins qualifiés, cette aide se poursuivra dans les années à venir pour continuer à soutenir un dispositif de formation qui fait ses preuves pour l'emploi des jeunes", souligne le ministère dans un communiqué."Ce soutien renouvelé permettra une meilleure anticipation pour les entreprises et, par conséquent, de faciliter l'embauche de jeunes: plus de 800.000 contrats ont été signés cette année et nous continuons à viser un million d'apprentis par an pour 2027", se sont félicités le ministre du Travail Olivier Dussopt et la ministre déléguée à la Formation professionnelle Carole Grandjean.Selon l'Insee, près d'un cinquième des créations nettes d'emplois depuis un an sont ainsi dues à l'apprentissage.Accessible aux jeunes de 16 à 29 ans, l'apprentissage repose sur le principe de l'alternance entre enseignement théorique et formation au métier chez l'employeur avec lequel l'apprenti a signé son contrat.Son essor s'explique à la fois par la réforme de 2018 (qui a notamment libéralisé l'ouverture de centres de formation et élargi l'apprentissage aux 26-29 ans) et par les primes à l'embauche.Cette très forte croissance depuis 2018 a été portée à 75% par des formations de niveau bac +2 ou plus, selon le ministère du Travail. Les formations du supérieur peuvent en effet être éligibles à cette prime à l'embauche, ce qui n'était pas le cas avant la crise Covid.
Il y a 2 ans et 113 jours

Le gouvernement envisage un tarif garanti de l'énergie pour les copropriétés, comme pour les TPE

En 2023, les TPE (moins de dix salariés) paieront un maximum de 280 euros par mégawattheure d'électricité en moyenne sur l'année, selon une annonce gouvernementale de vendredi. C'est bien plus que le tarif historique, plutôt de l'ordre de 50 euros, mais moins que les 400 à 1.000 euros atteints au cours du second semestre 2022, ce qui évitera des hausses catastrophiques pour les boulangers, restaurateurs et autres artisans."Pour les copropriétés ou les bailleurs qui ont pris des abonnements électriques ou gaz trop chers, eh bien il y a un travail qui est mené avec les énergéticiens comme il est mené aussi pour les entreprises, pour les boulangers", a dit Olivier Klein sur Radio J dimanche."C'est le même principe, on va travailler avec les énergéticiens pour qu'ils aient des prix qui ne soient pas insupportables pour les copropriétés, pour les bailleurs."Les ménages sont couverts depuis l'hiver dernier par ce que le gouvernement appelle un bouclier tarifaire du gaz et de l'électricité, des tarifs plafonnés, qui ont été augmentés de 15% en 2023.Ce bouclier tarifaire comportait initialement de nombreux trous, par exemple pour les logements sociaux ou les copropriétés qui ne pouvaient pas en profiter. Des aides spécifiques ont été ajoutées au cours de 2022 et jusqu'au 31 décembre pour combler les derniers 1 à 2% de contrats collectifs non couverts par le bouclier tarifaire.Il n'y a plus "aucun trou dans la raquette" pour les ménages, a assuré le ministre dimanche, évoquant le chauffage collectif électrique ou les charges des parties communes.Selon lui, les boucliers couvriront l'année 2023, et seront rétroactifs: "Là où il y a eu des appels de charges trop importants, il y aura des régularisations de charges".Pour les copropriétés, un problème était que le syndic de l'immeuble ou le bailleur social devait réclamer l'aide a posteriori et que cette aide publique était de facto plafonnée.Si un tarif garanti était adopté pour les copropriétés en 2023, sur le modèle des TPE, cela irait plus loin que le système actuel, car cela permettrait de compenser davantage les contrats signés ces derniers mois à des tarifs très élevés.Et les PME? demandent les syndicats professionnelsAprès l'annonce par le gouvernement d'un tarif garanti d'électricité en 2023 pour les artisans, plusieurs organisations professionnelles réclamaient samedi un élargissement aux PME.Le dispositif annoncé vendredi prévoit qu'environ 600.000 très petites entreprises (TPE) qui consomment beaucoup d'électricité, parce qu'elles chauffent ou refroidissent beaucoup, et ne peuvent pas souscrire au tarif réglementé des ménages, ne paient pas plus de 280 euros le mégawattheure en moyenne cette année."C'est une excellente nouvelle", s'est réjoui Jean-Eudes du Mesnil, secrétaire général de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME), interrogé samedi par l'AFP."On peut toujours considérer que le tarif reste trop élevé, mais cela donne une vraie visibilité à ces entreprises", a-t-il ajouté.Le gouvernement veut que les fournisseurs, comme EDF, Engie et TotalEnergies, appliquent ce tarif aux très petites entreprises (moins de dix salariés) qui avaient souscrit des contrats au plus mauvais moment, quand les cours de l'énergie étaient historiquement hauts, entre le 1er juillet et le 31 décembre 2022.Toutefois, ajoute Jean-Eudes du Mesnil, "on aurait souhaité que l'ensemble des PME puissent bénéficier de ce tarif plafonné". Le risque est de voir une distorsion de concurrence entre les grosses TPE et les petites PME qui exercent une même activité, selon lui.Président du principal syndicat patronal de l'hôtellerie-restauration, l'Umih, le chef Thierry Marx a pour sa part affirmé que "cette avancée ne prend pas en compte l'ensemble de nos établissements"."Nous demandons que tous nos restaurants et tous nos hôtels puissent bénéficier de ce tarif encadré", a-t-il écrit dans une lettre ouverte au ministre de l'Economie Bruno Le Maire publiée vendredi soir sur le site internet du quotidien Le Parisien.Le chef se "félicite" tout de même du prix garanti annoncé vendredi.Les PME ont déjà accès à des aides pour faire face à la récente flambée des prix de l'énergie, à l'instar de l'amortisseur électricité, mais ces mesures ne couvrent qu'une partie du surcoût.
Il y a 2 ans et 113 jours

Les Diagnostiqueurs Immobiliers répondent à l’enquête d’Hello Watt qui remet en cause la fiabilité des DPE

L’étude d’Hello Watt s’appuie sur les données des compteurs Linky et Gazpar (via Enedis et GRDF) afin de les comparer aux notations des DPE. Puis une corrélation a été faite avec la base de données de l’Observatoire du DPE et l’INSEE. Hello Watt a donc mis en opposition les consommations réelles d’énergie et les étiquettes des DPE. Or, les usages des uns et des autres concernant sa consommation varient fortement d’une personne à une autre.Un peu comme la consommation théorique d’une voiture affichée par le constructeur : l’automobiliste le sait, selon sa conduite, cette consommation reste souvent purement théorique, mais elle n’en est pas moins précieuse pour acheter un véhicule.Pour Yannick Ainouche, Président de la CDI Fnaim : « Le moment est bien choisi. Alors qu’il prend encore un peu plus de poids avec les premières interdictions de location de passoires en vigueur depuis le 1er janvier, cette étude tente à accréditer la thèse que le DPE n’est pas fiable afin de permettre à ceux qui ne veulent pas faire de travaux de rénovation de trouver une échappatoire ; c’est purement scandaleux. »Analyse technique :La méthode 3CL 2021 (méthode de Calcul de la Consommation Conventionnelle des Logements pour l'élaboration d'un DPE) intègre un usage standard des occupants afin d’avoir une homogénéité des étiquettes : usage standard sur le chauffage, la production d’eau chaude etc.La méthode 3CL ne prend pas en compte les équipements des ménages.Sans cela, le DPE aurait comme incidence par exemple :d’avoir des logements bien classés, car les personnes ne disposeraient que de peu d’équipements, ou d’équipements très performantsd’avoir des logements mal classés, exemple : une famille nombreuse qui habiterait un logement et donc utiliserait plus les douches, les éviers, les équipements types lave-vaisselle, lave-linge...d’avoir des disparités entre les occupants qui chauffent à 21 ou 23°C, tandis que d’autres chauffent à 19°C, ou que d’autres ne chauffent qu’une partie de leurs logements...L’enquête d’Hello Watt indique :Page 2 : « dans la section 4 nous montrons que le DPE est un mauvais prédicteur de la consommation d’ ́énergie d’un logement. »De plus on peut y lire : « La plupart des analyses de cette étude n’est pas directement fondée sur les ́étiquettes DPE mais sur la consommation ́énergétique. »Page 8 : « La méthode 3CL elle-même est fiable, mais les professionnels qui l’appliquent prennent des raccourcis pour réduire sa complexité, ou ne l’implémentent pas de façon fiable pour une autre raisonPage 9 en conclusion « Le DPE est un mauvais prédicteur de la consommation énergétique des logements, au point qu’une estimation purement aléatoire aurait des performances similaires. Même si le DPE n’est pas conçu pour être un estimateur précis de la consommation, puis qu’il simule un comportement normalisé et ne prend en compte qu’une part de la consommation énergétique, le manque de corrélation entre DPE et consommation est inquiétant et pourrait indiquer un problème dans sa méthodologie, sa pertinence ou son implémentation »Pour Yannick Ainouche : « Le DPE n’est en aucun cas un « prédicateur » de la consommation d’énergie d’un logement, puisque la consommation d’énergie est inhérente aux modes de vie de chaque usager. Le DPE est un indicateur qui donne une tendance de consommation, et cette tendance va être plus ou moins accentuée par l’usage du logement par ses habitants. Bien entendu une passoire énergétique reste une passoire énergétique dès lors que l’appartement ou la maison en question serait mal isolé(e), avec des fenêtres en simple vitrage... Cette étude n’a aucun sens. »
Il y a 2 ans et 113 jours

Le gouvernement dévoile sa réforme contestée des retraites, les syndicats annoncent des manifestations

"Si Emmanuel Macron veut en faire sa mère des réformes (...) pour nous ce sera la mère des batailles", prévient le patron de FO Frédéric Souillot, opposé à cette réforme comme l'ensemble des organisations syndicales et les oppositions, hormis la droite plus conciliante.Lors d'une conférence de presse, la Première ministre Elisabeth Borne pourrait, selon plusieurs de ses interlocuteurs, proposer un report de l'âge légal de départ à 64 ans, au lieu de 62 actuellement, après avoir envisagé 65 ans.Ce report serait associé à une accélération de l'allongement de la durée de cotisation, qui passerait à 43 ans avant l'horizon 2035 fixé par la réforme Touraine.Le chef de l'Etat a vu Elisabeth Borne vendredi "pour rendre ses derniers arbitrages", selon l'entourage du président.Sans confirmer les 64 ans, on a souligné de même source dimanche que "ce serait conforme aux engagements de campagne pris par le président au lendemain du premier tour", et "aligné avec les concertations qui ont eu lieu ces derniers mois".Le gouvernement serait par ailleurs prêt à relever, lors du débat parlementaire, le minimum retraite à 1.200 euros pour l'ensemble des retraités et non seulement pour les nouveaux entrants.Sur l'emploi des seniors, un index serait mis en place, avec obligation de négocier un accord en cas d'absence de communication sur cet index.Sur la pénibilité, le ministre du Travail Olivier Dussopt assure avoir "répondu" aux syndicats réformistes, évoquant "un suivi médical renforcé" pour les "risques ergonomiques".Aurore Bergé, présidente des députés macronistes Renaissance, appelle aussi dans Le Parisien à la prise en compte des "trimestres d'apprentissage" entre 16 et 18 ans pour "un départ anticipé"."Signes" attendusLa pierre d'achoppement reste la mesure d'âge. Plus de deux tiers des Français (68%) sont défavorables au report à 64 ans, selon un sondage Ifop-Fiducial."Il n'y aura pas de deal avec la CFDT" en cas de report de l'âge légal et "on fera tout pour que le gouvernement recule", avertit son leader Laurent Berger.Le porte-parole du gouvernement Olivier Véran reconnaît des désaccords sur les "solutions". La CFDT a des propositions pour relever le taux d'emploi des seniors afin de combler le déficit. Tous les syndicats défendent une hausse des cotisations patronales, piste aussi évoquée par le haut-commissaire au Plan François Bayrou, mais écartée par l'exécutif."Une très légère augmentation" de ces cotisations pourrait "garantir qu'il y a une juste répartition des efforts", a insisté dimanche auprès des Echos M. Bayrou, qui pense qu'il faut des "signes" de justice.L'ancienne ministre du Travail (2017-2020) Muriel Pénicaud prévient elle que l'emploi des seniors, particulièrement bas en France, est "le premier sujet qu'il faut traiter".Elisabeth Borne sera mardi soir l'invitée du 20H00 de France 2, avant de répondre à des questions du public sur la chaîne franceinfo."Front syndical et politique"A défaut de convaincre les syndicats, le gouvernement espère rallier les élus LR, divisés sur cette réforme pourtant proche de ce que vote chaque année le Sénat, à majorité de droite.Le patron de LR Éric Ciotti se dit prêt, dans le JDD, à "voter une réforme juste" et étalée dans le temps, avec un âge de départ relevé à 64 ans en 2032 et un minimum à 1.200 euros y compris pour les retraités actuels.Le ministre délégué aux Comptes publics, Gabriel Attal, a salué "la responsabilité" des Républicains.Un vote LR pourrait éviter le recours au 49.3 pour faire adopter la réforme qui devrait passer par un projet de loi de financement rectificative de la Sécu.Le texte sera examiné en Conseil des ministres le 23 janvier mais les syndicats, qui se réunissent mardi soir, envisagent de mobiliser avant, alors qu'à gauche la Nupes tient meeting les 10 et 17 janvier et que LFI manifeste le 21.Le projet de loi doit passer en commission à l'Assemblée nationale à partir du 30 janvier, et dans l'hémicycle le 6 février.Le patron de la CGT Philippe Martinez ironise sur l'"exploit" de l'exécutif qui rassemble les syndicats dans l'action pour la première fois depuis douze ans."Le front syndical et politique sera totalement uni dans cette bataille", a promis sur BFMTV le coordinateur de LFI Manuel Bompard. Et Marine Tondelier, numéro un d'EELV, de lancer: "Nos baskets sont prêtes".Les contre-propositions des syndicats pour combler le déficitA l'opposé du report de l'âge légal de départ en retraite, que le gouvernement devrait confirmer mardi, les syndicats préconisent de jouer sur l'emploi, les salaires et les cotisations pour combler les déficits à venir.Si l'urgence d'une réforme des retraites crée un débat, son contenu aussi. Pour Emmanuel Macron, cela ne fait pas de doute, "le seul levier que nous avons c'est de travailler plus longtemps", en l'occurrence en relevant l'âge légal de 62 à 64 voire 65 ans.L'exécutif espère ainsi réduire les dépenses de 18 à 19 milliards à l'horizon 2030, assez pour éponger un déficit à deux chiffres et financer quelques droits nouveaux comme une hausse des petites pensions.Mais les syndicats font valoir que d'autres sources de financement existent, à commencer par l'emploi. Les projections officielles en attestent: selon que le taux de chômage sera de 4,5% (soit le plein emploi visé par l'exécutif) ou de 7% comme aujourd'hui, le déficit variera de 13,5 à 19,5 milliards à la fin de la décennie.Un meilleur taux d'emploi des seniors permettrait de "traiter une partie du problème", selon le numéro deux de l'Unsa Dominique Corona. En ajoutant aux 56% des 55-64 ans actuellement en activité "10% à 15% de seniors supplémentaires qui travaillent, c'est 10 milliards qui rentrent", affirme le leader de la CFTC Cyril Chabanier.Un objectif que la hausse de l'âge légal permettrait d'atteindre mécaniquement mais qui pourrait aussi passer par davantage de formations et une meilleure gestion des fins de carrière, quitte à imposer une "obligation de négocier" dans les entreprises comme le réclame la CFDT.La solution passe également par les salaires, comme le démontrent les excédents inattendus du système de retraite en 2021 et 2022: le rebond de l'économie post-Covid, puis la flambée de l'inflation, ont tiré vers le haut les rémunérations, donc dopé les cotisations.Pour gonfler encore la manne, la CGT revendique "l'égalité professionnelle femmes-hommes", tout comme Solidaires qui assure que cela "rapporterait 14 milliards aux caisses de retraites".A défaut, ou en complément, tous les syndicats défendent une hausse des cotisations patronales. Une hausse "de l'ordre d'un point" rapporterait ainsi 7,5 milliards, selon l'Unsa. La CFTC est même prête à "discuter de la répartition entre le salarié et l'employeur", la même somme pouvant être obtenue en prélevant trois euros de plus à chacun.Certaines organisations lorgnent enfin du côté des exonérations dont bénéficient les entreprises et qui ont fortement réduit les cotisations sur les bas salaires.
Il y a 2 ans et 113 jours

Twin’AirDF 90 : VMC Double Flux monobloc à haut rendement certifiée NF VMC et éligible à MaPrimeRénov’

Des dispositifs tels que MaPrimeRénov ont été mis en place pour aider les ménages à améliorer le confort de leur logement et réduire le coût des travaux. Cette aide permet de financer une partie des dépenses engendrées par les travaux d’isolation, de chauffage ou encore de ventilation.Primordiale pour assurer un air sain dans les espaces intérieurs, mais aussi pour préserver le confort et la santé des occupants, la ventilation permet également de limiter les pertes thermiques et les fuites énergétiques qui pourraient être générées par l’ouverture répétée des fenêtres en hiver. AUTOGYRE, spécialiste du traitement de l’air et de la ventilation depuis 70 ans, propose sa nouvelle VMC Double Flux monobloc avec by-pass intégré : la TWIN’AIR DF 90.Conçu et fabriqué en France, ce système tout-en-un améliore l’air intérieur et le confort thermique, tout en conservant la chaleur en hiver et la fraîcheur en été. Avec un rendement pouvant atteindre 86% et un classement énergétique A, il limite les pertes d’énergie et permet de réaliser jusqu’à 14% d’économies sur la facture de chauffage. Grâce à sa certification NF VMC, il permet de profiter des subventions MaPrimeRénov’ et CEE selon les revenus du foyer.La VMC Double Flux : Comment ça fonctionne ?La VMC Double Flux est un système d’extraction et d’insufflation motorisé avec échange thermique entre l’air vicié et l’air neuf. Elle permet d’expulser l’air pollué vers l’extérieur et de filtrer l’air entrant. L’air vicié passe par un échangeur thermique avant d’être rejeté à l’extérieur. L’air neuf, sans se mélanger à l’air pollué, récupère l’énergie en traversant l’échangeur de flux croisés. Ainsi thermiquement tempéré, cet air sain est diffusé dans les pièces principales par les bouches d’insufflation via le caisson de répartition.VMC Double Flux monobloc à haut rendement certifiée NF VMCMonobloc, la nouvelle VMC autoréglable TWIN’AIR DF 90 AUTOGYRE est conçue pour garantir la qualité de l’air intérieur des logements neufs ou en rénovation, de 2 à 7 pièces principales, équipés d’une cuisine et jusqu’à 6 sanitaires.Elle est conforme aux exigences fixées par le référentiel de certification de la marque NF VMC (NF 205) et est donc éligible à MaPrimeRenov’ qui offre jusqu’à 3000 € d’aide selon les revenus du foyer. Équipée d’un caisson économe en énergie avec un moteur basse consommation électrique de classe A, la VMC TWIN’AIR DF 90 répond à la RE2020 et convient pour les constructions basse consommation et les maisons passives.Economies d’énergieDotée de 2 vitesses, la VMC TWIN’AIR DF 90 s’adapte au plus juste des besoins et offre un excellent confort de vie. Son échangeur thermique récupère jusqu’à 86% des calories contenues dans l’air extrait et permet de réaliser une économie de 14% sur la facture annuelle de chauffage.Une sonde qui mesure l’humidité du logementLa VMC TWIN’AIR DF 90 est équipée d’une sonde qui détecte l’humidité globale dans la maison. Dès que le taux dépasse 75%, la VMC passe en grande vitesse. Elle repasse en petite vitesse après 30 minutes si l’humidité a été évacuée. Le passage en grande vitesse peut être activé par un commutateur installé dans la cuisine. Après 30 minutes, la VMC repasse automatiquement en petite vitesse.Une filtration renforcée et facilement accessibleDisposant d’une filtration G4 pour l’air vicié, la VMC TWIN’AIR DF 90 protège l’échangeur de la poussière et de l’encrassement, ce qui garantit la performance et la longévité de l’installation.La filtration renforcée classe M5 de l’air entrant élimine moisissures, allergènes, particules moyennes et bactéries.Par ailleurs, un témoin lumineux, situé sur le boîtier sans fil de gestion des filtres, alerte l’utilisateur lorsque les filtres d’extraction et d’insufflation doivent être remplacés.Un by-pass intégré pour un meilleur confort thermiqueLa VMC TWIN’AIR DF 90 AUTOGYRE dispose d’un by-pass partiel à commande automatique. Cet équipement dévie l’air neuf afin de l’insuffler directement dans le logement.L’échange thermique est ainsi diminué et l’air entrant continue d’être filtré si bien qu’il peut rafraîchir l’air intérieur en été quand la température extérieure est inférieure à celle de l’habitat, ce qui offre d’avantage de confort notamment la nuit.Le by-pass peut aussi récupérer la chaleur extérieure de mi-saison en insufflant l’air chaud vers l’intérieur après avoir été filtré. Il contribue au confort en réduisant l’amplitude thermique entre intérieur et extérieur.2 positions d’installationLe caisson de la VMC TWIN’AIR DF 90 peut s’installer dans 2 positions : au sol dans les combles, au mur dans une pièce technique ou dans une buanderie.Composition du CAISSON VMC TWIN’AIR DF 90 1 caisson motorisé avec échangeur, 1 bouton poussoir Grande Vitesse temporisée 30 mn, 1 boîtier sans fil de gestion du remplacement des filtres par témoin lumineux (pile fournie) et 4 colliers de fixation métallique.Kits d’accessoires TWIN’AIR DF 90 disponibles : kit Réf. 913107 : 2 caissons NÉO 125 (extraction et insufflation), 1 bouche Design cuisine Ø 125 mm, 9 bouches Design sanitaires Ø 80 mm, 8 régulateurs de débit 30 m3/h Ø 80 mm, 2 chapeaux de toiture carrés ø 125 tuile/ardoise et 1 ruban alu 30µ 50 mm x 10 ml.Kit Réf. 913108 comprend le contenu du kit Réf. 913107, 2 gaines PVC isolées Ø 125 mm x 10 ml, 9 gaines PVC isolées Ø 80 mm x 10 ml et 3 lots de 10 colliers serrage 60/215.
Il y a 2 ans et 113 jours

Rockwool poursuit ses actions dans la lutte contre le logement indigne et toutes formes de discrimination

Créé en 2012 par l’Association QUALITEL dans le cadre de sa mission de promotion de qualité de l’habitat, le Fonds de dotation QUALITEL s’engage en faveur du logement des plus défavorisés en soutenant financièrement des initiatives novatrices. Pour sa 11e édition, l’appel à projets du Fonds de dotation QUALITEL a connu un véritable succès avec 177 candidatures déposées parmi 4 axes d’intervention : l’hébergement, l’accompagnement et l’éducation, la recherche et le numérique. Leur répartition est toujours très axée sur l’hébergement avec 53 % des dossiers, dont un vivier fort des besoins d’hébergement d’urgence et temporaire, l’accompagnement et la formation qui représentent 27 % des dossiers, ainsi que le numérique (13 %) et la recherche (8 %) qui prennent davantage d’ampleur chaque année. Le prix récompense 25 lauréats qui se verront répartir une dotation totale de 196 500 €, une aide financière essentielle et précieuse pour concrétiser leur projet en faveur du logement digne et de qualité pour tous.Au regard de l’actualité, un prix a également été spécialement créé lors de cette 11e édition de l’appel à projet pour soutenir une association venant en aide aux ressortissants ukrainiens.Depuis sa création, ROCKWOOL a pour vocation d’assurer les besoins fondamentaux de l’être humain. Parmi eux, celui de disposer d’un habitat sûr et commode est essentiel. C’est pourquoi, face aux enjeux du logement, ROCKWOOL a décidé de s’impliquer auprès du Fonds de dotation QUALITEL en soutenant cette année : La création de la nouvelle communauté de L’Arche à Aix-en-Provence pour accueillir 18 adultes en situation de handicap mental au sein d’un habitat partagé avec 12 assistants.Le développement de l’habitat intergénérationnel solidaire sur le territoire du Puy-de-Dôme pour pallier l’isolement des personnes âgées et remédier à la difficulté de logement des jeunes, par le service Partage 1 Toit du SIRA.La création d’une équipe mobile pluridisciplinaire d’intervention sociale pour accompagner les publics fragiles dans leurs difficultés à la bonne gestion de leur logement et prévenir les ruptures dans les parcours résidentiels sur le territoire de Montluçon (03) par l’association Viltaïs.« Le mal-logement est une cause nationale qui tient particulièrement à cœur à ROCKWOOL. Alors que le nombre de passoires thermiques en France a été réévalué cette année à 5,2 millions, ces logements abritent un grand nombre de familles en situation de grande précarité. Une précarité plus que jamais accentuée par la flambée des prix de l’énergie. Notre engagement au côté du Fonds de dotation QUALITEL est donc plus qu’une évidence. ROCKWOOL a pour vocation d’améliorer le confort de vie dans de nombreuses familles, cela passe par un soutien renforcé à des initiatives sociales innovantes qui œuvrent pour réduire les inégalités face au logement et luttent contre toutes les formes de discrimination », déclare Rafaël Rodriguez, Directeur général de ROCKWOOL France et Europe du sud.
Il y a 2 ans et 113 jours

SPIE annonce la création de deux nouvelles filiales en France : SPIE Industrie et SPIE Building Solutions

Depuis le 1er janvier 2023, SPIE Industrie & Tertiaire, filiale de SPIE France, s'est structurée en deux entités : la division Industrie est transférée au sein de SPIE Industrie, nouvelle filiale de SPIE France au service de la performance industrielle afin de relever l’enjeu d’une industrie innovante et décarbonée, la division Tertiaire est renommée SPIE Building Solutions, et offre des expertises dédiées à l’intelligence du bâtiment et à sa performance pour accélérer la transition énergétique.Une nouvelle dynamique pour SPIE FranceCette ultime étape de transformation ouvre un nouveau chapitre de croissance pour SPIE France, désormais composée de 6 filiales de dimension nationale, avec un positionnement stratégique clair et des offres globales capables d’apporter une qualité de service homogène et performante à leurs clients. Cette évolution renforce également la capacité de SPIE à attirer les talents et à leur proposer des parcours de carrières attractifs et enrichissants.Pour Arnaud Tirmarche, directeur général de SPIE France : « SPIE France achève avec succès sa transformation qui donne une meilleure visibilité à nos expertises et nous permet d’être au plus près des besoins de nos clients pour leur offrir les meilleures solutions concrètes, vertes et durables. Cette configuration, avec des filiales de dimension nationale spécialisées par domaines d’activités, nous confère une véritable force pour attirer les talents, saisir de nouvelles opportunités de développement et accroitre la valeur pour nos clients en les accompagnant dans leurs enjeux de transitions énergétique, numérique et industrielle. Entouré d’équipes très engagées, je suis très enthousiaste quant à l’avenir de SPIE ! »
Il y a 2 ans et 113 jours

Feu vert pour la rénovation de la préfecture des Hauts-de-Seine, 50 ans après sa construction

En décembre, Matignon a rendu un arbitrage favorable sur le projet de rénovation de la deuxième cité administrative de France, a indiqué le préfet des Hauts-de-Seine Laurent Hottiaux."Il s'agit d'un projet exemplaire de transition écologique, car il permettra de diviser par quatre les consommations énergétiques de la préfecture, inaugurée en 1973", a précisé le préfet.Les marchés de travaux, dont le montant pourrait s'élever à plusieurs centaines de millions d'euros, seront prochainement lancés. La difficulté sera de rénover le bâtiment conçu par les architectes André Wogenscky, Henri Chauvet et Alain Richard, en préservant les espaces inscrits aux monuments historiques comme les façades, les grands halls, l'escalier monumental ou les bureaux du corps préfectoral.Les travaux de la cité administrative, qui comprend une dizaine de services de l'Etat, commenceront après les JO-2024 et se termineront en 2028, assure le préfet. Durant cette période, près de 1.200 agents travailleront dans des locaux intermédiaires mais la partie "public" restera sur le site.Les travaux débuteront par la construction d'un bâtiment supplémentaire, "dans le même esprit que le principal", puis par la rénovation du bâtiment principal qui domine la ville de Nanterre et compte en son sein des décors rétros typiques des années 1970.Depuis 2014, 26 tournages ont eu lieu dans ce bâtiment, reconnaissable à ses "brise-soleil" aux fenêtres.Au premier étage, à quelques mètres seulement de l'accueil du public, puits de lumière, interminable comptoir en inox et fauteuils en skaï noir côtoient une passerelle ressemblant à s'y méprendre aux couloirs de l'aéroport d'Orly.Vingt-trois étages plus haut, le bureau du préfet offre une vue imprenable sur Paris et sur la "skyline" de la Défense, décor vintage idéal de cinéma pour des scènes de réunion en entreprise.Inauguré en 1973, le centre administratif départemental devait initialement s'inscrire dans un projet beaucoup plus vaste.En 1964, la commande d'André Malraux, alors ministre des Affaires culturelles, prévoyait en outre la construction de quatre écoles d'art et un "musée du XXe siècle". Des projets qui ne verront finalement pas le jour.
Il y a 2 ans et 114 jours

Pourquoi l'Indonésie veut-elle transférer sa capitale dans les forêts de Bornéo ?

Voici ce qui motive la plus grande économie d'Asie du Sud-Est à déplacer son centre administratif à Nusantara, dans une région abritant une riche biodiversité et des forêts tropicales parmi les plus anciennes au monde.Une ville gagnée par les eauxJakarta, située au bord de la mer de Java, s'enfonce à un rythme inquiétant à cause de l'extraction incontrôlée de ses eaux souterraines.Selon une étude de 2021 de l'Agence indonésienne pour l'évaluation et l'application des technologies, la vaste mégalopole s'enfonce d'environ six centimètres par an, un phénomène particulièrement rapide par rapport aux autres villes côtières."La construction d'une digue en mer est inévitable parce que des inondations se produisent déjà, mais avec le temps, le barrage s'enfoncera et les inondations se répèteront", indique à l'AFP Heri Andreas, spécialiste en sciences de la Terre à l'Institut technologique de Bandung."La meilleure solution est de contrôler l'affaissement du terrain en maîtrisant l'exploitation des eaux souterraines", dit-il.Si des mesures urgentes ne sont pas prises, un quart de la capitale pourrait être submergé d'ici 2050, selon l'Agence nationale pour la recherche et l'innovation.Embouteillages et pollutionJakarta est l'une des villes les plus denses au monde avec une conurbation de quelque 30 millions d'habitants.Elle est fortement polluée par le trafic routier, un système de collecte des ordures déficient qui pousse des habitants à brûler leurs déchets, et les émanations de centrales à charbon environnantes.Le gouvernement estime que les embouteillages monstres qui peuvent paralyser la circulation pendant des heures font perdre des milliards de dollars à l'économie du pays qui compte la plus grande population musulmane au monde."Les modes de transports sont très peu efficaces, avec des trajets longs et épuisants, qui font baisser la productivité des gens", explique Djoko Setijowarno, un analyste des transports à l'AFP.Le président indonésien a déclaré qu'il concevait la nouvelle capitale comme une ville moderne où tout un chacun pourra se déplacer en vélo ou à pied entre des lieux proches les uns des autres.RééquilibrageAvec plus de 17.000 îles, l'Indonésie est le plus grand archipel au monde. Mais sa population et son économie se concentrent de façon disproportionnée à Jakarta et plus largement sur l'île de Java qui abrite plus de la moitié des 270 millions d'habitants du pays.Le gouvernement veut rééquilibrer les pôles économiques et politiques dans le pays."Le transfert de la capitale permettra une meilleure distribution et plus d'équité", a souligné Joko Widodo en mars."Nous avons 17.000 îles mais 56% de la population est à Java", avec 156 millions d'habitants sur cette île, a-t-il noté.Par comparaison, la province de Kalimantan Est, où la nouvelle capitale se construit, compte moins de quatre millions d'habitants.Le gouvernement a réservé une zone de 56.180 hectares pour son projet dans cette province, située dans la partie indonésienne de l'île de Bornéo que se partagent aussi la Malaisie et Brunei.Moins de catastrophes naturellesLa prévention des catastrophes naturelles motive également le déménagement de la capitale. Jakarta est située à proximité des failles tectoniques qui traversent l'archipel, ce qui rend la capitale vulnérable aux séismes.L'île de Bornéo est quant à elle la zone du pays la moins susceptible d'être affectée par des tremblements de terre car elle est plus éloignée de la "ceinture de feu" du Pacifique.Jakarta est par ailleurs souvent inondée, ayant été bâtie sur d'anciennes zones marécageuses.Les chercheurs estiment en outre que l'approvisionnement en eau de Jakarta et de sa région pourrait venir à manquer si le gouvernement ne ralentit pas l'expansion de la mégalopole."Jakarta et l'île de Java se dirigent vers une crise de l'eau, que nous prévoyons vers 2050" à cause de la croissance de la population et du développement industriel, souligne Heri Andreas."A mesure que la population explose, les problèmes relatifs au système d'assainissement vont empirer, les polluants vont contaminer les rivières et les eaux souterraines peu profondes, les rendant inutilisables", avertit-il.
Il y a 2 ans et 116 jours

Retraites : "Ce n'est pas parce qu'une réforme est impopulaire qu'il ne faut pas la faire", assure Véran

"Quand on est au pouvoir, surtout lorsqu'on a averti, expliqué pourquoi on allait faire cette réforme, l'esprit de responsabilité, c'est de la faire", a-t-il ajouté sur BFMTV et RMC.Selon lui, le "diagnostic est partagé car il est factuel": "Il nous faut aujourd'hui, en responsabilité, préparer le système de retraite des Français de demain, c'est-à-dire équilibrer les recettes et les dépenses".Reconnaissant en revanche des désaccords sur les "solutions", il a une nouvelle fois défendu celle du gouvernement: "il faut être capable de travailler un peu plus longtemps", mais, précise-t-il, "on ne dit pas, on va le faire de façon aveugle, on va demander une juste répartition de l'effort".Interrogé sur la possibilité d'opter pour une réforme proche de celle prônée depuis plusieurs années par les sénateurs LR avec notamment un passage progressif de 62 à 64 ans, le porte-parole a répondu: "On y ajoute quelques éléments importants, la fin des régimes spéciaux et un plan d'emploi pour les seniors"."Vous aurez noté aussi qu'il y a la droite au Sénat et la droite à l'Assemblée nationale et qu'il nous faut travailler pour mettre d'accord les deux droites aussi pour pouvoir trouver les conditions d'une majorité", a-t-il ironisé, en soulignant les désaccords affichés ces derniers jours entre les sénateurs et les députés LR.Le président du Sénat, Gérard Larcher, s'est dit jeudi confiant pour trouver un accord entre députés et sénateurs LR pour soutenir le projet de réforme des retraites du gouvernement.Le président des Républicains Eric Ciotti s'est entretenu jeudi avec la cheffe du gouvernement, a-t-on appris dans son entourage, mais il n'a pas souhaité s'exprimer avant que le projet soit dévoilé, ce qui est prévu le 10 janvier. Le patron des députés LR Olivier Marleix doit lui être reçu vendredi par la Première ministre.Les Républicains joueront un rôle crucial dans l'adoption ou non de la réforme car ils représentent assez de voix à l'Assemblée pour atteindre la majorité absolue.
Il y a 2 ans et 116 jours

Baisse en vue des crédits immobiliers en 2022, selon la Banque de France

Hors renégociations de prêts, la production des nouveaux crédits sur l'année 2022 "ressortirait à 218,4 milliards d'euros", selon les dernières données de la banque centrale arrêtées à fin novembre mais qui intègrent une projection du dernier mois de l'année.C'est "un plus haut historique en dehors de la production exceptionnelle de l'année 2021", année de rattrapage après une année 2020 chamboulée par le Covid-19, indique le document de suivi mensuel sur le sujet, qui souligne également que la création de crédits à l'habitat "reste élevée" par rapport à la moyenne des dix dernières années.Cependant "la forte augmentation des taux" d'intérêt a provoqué un "changement de paradigme" qui affecte les octrois de prêts immobiliers, a estimé le président de la Fédération bancaire française Philippe Brassac, interrogé jeudi soir sur BFM Business.Le nombre de crédits immobiliers octroyé "va baisser", a-t-il assuré, en disant s'attendre à "une baisse de 25% des crédits immobiliers en production" au quatrième trimestre de 2022. Les chiffres précis ne sont toutefois pas encore connus, a-t-il relevé.Marie-Laure Barut-Etherington, directrice générale adjointe à la direction des statistiques, études et international à la Banque de France, constate en effet une "phase d'atterrissage sur la deuxième partie de l'année", moins pourvoyeuse de nouveaux dossiers.Un constat partagé par le groupe d'agences Century 21, qui a fait état mardi d'un "vrai ralentissement durant l'été". Au global, l'activité immobilière sur l'année recule de 4,1%, selon le réseau d'agences. Mme Barut-Etherington a cependant affirmé lors d'une conférence de presse que "l'offre de crédit est restée abondante et moins chère que chez nos principaux partenaires européens".La banque centrale table par ailleurs sur un taux moyen de crédit (hors assurances et frais annexes) à 2,04% en décembre, au-dessus des 2% pour la première fois depuis avril 2016, après une hausse très rapide ces derniers mois.La facture pour l'emprunteur s'alourdit en conséquence. A titre d'exemple, lorsque le taux d'un emprunt de 150.000 euros sur 20 ans passe de 1% à 2%, le montant à rembourser in fine passe d'environ 165.500 euros à plus de 182.000 euros, soit quelque 16.500 euros supplémentaires.Certains foyers ne pourront pas l'assumer et "il y aura moins de facilité à financer le crédit immobilier qu'en 2018, 2019 ou 2020", a conclu M. Brassac.Mme Barut-Etherington a écarté tout blocage du marché immobilier du fait du taux d'usure, un taux plafond destiné à protéger les emprunteurs de conditions de crédit abusives.Ce maximum légal, monté au 1er janvier à 3,57% tous frais compris pour un emprunt de 20 ans et plus, est sous le feu des critiques, notamment des courtiers qui y voient un frein à l'accès au crédit immobilier.Plusieurs associations professionnelles ont d'ailleurs appelé mercredi au "déblocage de l'accès au crédit" dans une lettre ouverte adressée au ministre délégué au Logement Olivier Klein.Le nombre de compromis annulés au motif de refus de prêt est "bien moins important que ce qu'ont pu déclarer certains opérateurs du marché dont la communication alarmiste a sans doute contribué à freiner les projets immobiliers davantage encore que le durcissement des conditions d'emprunt", observait mardi le président de Century 21 Charles Marinakis.Plus prosaïquement, un taux plus élevé permet aux courtiers de mieux défendre leurs commissions, variable d'ajustement des banques lorsque la marge de manœuvre entre taux nominal et taux d'usure se resserre.
Il y a 2 ans et 116 jours

Le monde dispose d'un énorme potentiel inexploité d'énergies renouvelables selon un nouveau rapport

Et seuls 12 pays se sont engagés à respecter un pourcentage d'énergies renouvelables dans leur bouquet énergétique global.Renewable Energy Targets in 2022: A Guide to Design, publié par l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) à l'occasion de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques COP27, évalue le niveau d'ambition en matière d'énergies renouvelables dans les engagements nationaux sur le climat et compare les objectifs au regard de l'objectif climatique mondial de limiter l'augmentation des températures à 1,5°C. Ce rapport montre clairement que le niveau collectif d'ambition en matière de transition énergétique est insuffisant, malgré le Pacte de Glasgow pour le climat qui vise à améliorer les objectifs pour 2030 dans les engagements nationaux. Pour Francesco La Camera, directeur général de l'IRENA : « À l'heure où nous avons désespérément besoin d'une mise en œuvre rapide, j'appelle les dirigeants du monde entier à combler de toute urgence le déficit de déploiement des énergies renouvelables en faveur de la résilience, de la sécurité énergétique et des économies inclusives. Le rapport de l'IRENA est un avertissement adressé à la communauté internationale, lui signalant que si les énergies renouvelables offrent une solution climatique facilement réalisable, elles nécessitent une action immédiate. Les engagements en matière de climat doivent être plus ambitieux si l'on veut libérer tout le potentiel inexploité des énergies renouvelables. Il y a une véritable urgence. Malgré certains progrès, la transition énergétique est loin d'être sur la bonne voie. Tout manque d'action à court terme réduira encore les chances de maintenir l'objectif d'augmentation de la température mondiale à 1,5°C. Sous le slogan de la COP27 « Together for implementation » (Tous unis dans l'action), nous devons passer des promesses aux solutions concrètes en faveur des personnes et des communautés sur le terrain. »Les Perspectives pour les transitions énergétiques mondiales de l'IRENA estiment que la moitié de l'énergie consommée en 2050 proviendra de l'électricité. Quatre-vingt-dix pour cent de l'ensemble de la décarbonisation fera appel aux énergies renouvelables, à travers la fourniture directe d'électricité à faible coût, l'amélioration de l'efficacité énergétique, l'électrification, la bioénergie durable et l'hydrogène vert. Cependant, la réalisation de l'objectif climatique à l'horizon 2050 dépend de la mise en œuvre de mesures suffisantes d'ici à 2030.La nouvelle analyse de l'IRENA révèle que d'ici 2030, les pays visent à atteindre 5,4 TW de capacité renouvelable installée. Cela ne représenterait que la moitié des 10,8 TW de capacité installée nécessaires selon le Scénario à 1,5°C de l'IRENA. Pour atteindre des émissions nettes nulles, la capacité renouvelable ciblée d'ici 2030 devrait être doublée par rapport au niveau d'ambition des objectifs actuels.Or, ceci est facilement réalisable aujourd'hui, dans la mesure où, selon le rapport de l'IRENA, les objectifs actuels en matière d'énergie renouvelable sont inférieurs aux niveaux de déploiement récents. Pour atteindre les objectifs actuels d'ici 2030, les pays ont besoin de 2,3 TW de capacité supplémentaire, soit l'équivalent d'un ajout annuel moyen de 259 gigawatts (GW) sur les neuf prochaines années. Ce chiffre est inférieur à la capacité installée réelle ajoutée au cours des deux dernières années, puisqu'en 2020 et 2021, malgré les difficultés liées à la pandémie et aux perturbations de la chaîne d'approvisionnement qui en ont résulté, près de 261 GW ont été ajoutés chaque année dans le monde.Par ailleurs, l'énergie renouvelable ciblée d'ici 2030 reste concentrée dans seulement quelques régions du monde. L'Asie représente la moitié de la capacité mondiale ciblée, suivie de l'Europe et de l'Amérique du Nord. En comparaison, le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord totalisent à peine 3% des objectifs de déploiement mondiaux à l'horizon 2030, malgré le fort potentiel de la région. L'Afrique subsaharienne, quant à elle, ne compte que pour un peu plus de 2% dans le total mondial ciblé d'ici à 2030.Les pays ciblant le niveau de déploiement le plus élevé font tous partie du G20, et représentent près de 90% de l'objectif mondial agrégé. Bien que par le passé, ils ne représentent qu'une faible part du déploiement des énergies renouvelables, les objectifs agrégés des pays les moins avancés (PMA) et des petits États insulaires en développement (PEID) permettraient de doubler leur capacité actuelle en matière d'énergies renouvelables.L'analyse de l'IRENA s'appuie sur la récente publication d'ONU Climat Rapport de synthèse NDC 2022, qui montre que les plans climatiques restent insuffisants pour limiter l'augmentation de la température mondiale à 1,5°C d'ici la fin du siècle.
Il y a 2 ans et 116 jours

La demande de bureaux en Ile-de-France a augmenté en 2022

La demande placée de bureaux, indicateur comptabilisant les ventes à l'occupant et les nouvelles locations, s'est élevée à 2,11 millions de mètres carrés en 2022, contre 1,92 million en 2021.Résultat de l'adaptation des entreprises à la nouvelle donne issue de la pandémie, estime Virginie Houzé, directrice recherche et études chez le géant de l'immobilier d'entreprise JLL."Les entreprises ont finalisé leurs accords télétravail, (...) et le corollaire, c'est le déploiement plus structuré du +flex+", c'est-à-dire la fin des postes de travail nominatifs."Ça entraîne le redimensionnement de certains projets immobiliers et c'est pour ça que sur les projets de grande taille, on voit une certaine érosion", dit-elle.La demande totale reste inférieure à celle des années d'avant la pandémie.Les entreprises sont aussi de plus en plus attentives à retenir leurs salariés avec des bureaux de bonne qualité et à économiser l'énergie. "Ca, c'est un sujet qui émerge de plus en plus et qui va sûrement être encore plus porté en 2023 par la crise énergétique et les inquiétudes en termes de coûts", souligne Virginie Houzé.L'offre de bureaux s'établit à un niveau record, avec 4,32 millions de mètres carrés immédiatement disponibles.Un bond porté par la première couronne parisienne et le quartier d'affaires de La Défense, où deux gratte-ciels, la tour Hekla et la tour Aurore, ont été achevés sans avoir encore trouvé preneur.En revanche, les emplacements dans Paris restent extrêmement prisés, avec des taux de vacance très faibles et des loyers toujours plus élevés : au 4e trimestre, le loyer moyen dans les quartiers du centre et de l'ouest parisien, les plus demandés, était de 692 euros par mètre carré par an. Ailleurs dans la capitale, il était de 504 euros."On a des entreprises qui vont regarder les immeubles de bonne qualité, très accessibles, très centraux, bien servis en environnement urbain, etc., donc on a un appétit pour les grands classiques du marché : le centre de Paris, les marchés matures de l'Ouest comme Neuilly-Levallois", explique Virginie Houzé.
Il y a 2 ans et 116 jours

Le seuil de renégociation des contrats d’électricité pour les artisans sera fixé ce vendredi selon Grégoire

Ce seuil sera fonction du "prix de référence de la CRE" (Commission de régulation de l'énergie), a déclaré la ministre sur BFMTV, ajoutant que les prix indicateurs de moyenne émis au troisième trimestre 2022 "sont aux alentours de 300 euros" le mégawattheure."C'est l'objet de la réunion que nous avons à 16H15: préciser le seuil chiffré à partir duquel on va pouvoir légitimement renégocier son contrat", a-t-elle ajouté.Sur le marché français de gros, les contrats de fourniture d'électricité pour livraison dans un an se négociaient vendredi autour des 225 euros par mégawattheure.Entre juin et décembre 2022, ils ont dépassé sans discontinuer les 400 euros/MWh, avec une pointe au-delà des 1.100 euros/MWh à la fin du mois d'août. Le président Emmanuel Macron avait annoncé jeudi que tous les artisans et très petites entreprises (TPE, moins de dix salariés) pourraient renégocier les "contrats excessifs" de fourniture d'énergie selon des modalités restant à définir."Notre objectif avec le président de la République, c'est de sauver toutes les petites entreprises qui pourraient être menacées de fermeture parce que leurs factures d'énergie seraient trop élevées", a déclaré vendredi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, lors d'un déplacement dans les Ardennes avant la rencontre avec les fournisseurs à Bercy."Ca va être une discussion franche, directe mais nécessaire", a-t-il prévenu, relevant qu'il y avait "aussi un sentiment d'injustice" pour les entreprises ayant renégocié leur contrat au plus mauvais moment, entre fin août et début octobre 2022.Sa collègue Olivia Grégoire a concédé que "quelques petits énergéticiens peuvent avoir des difficultés" à vendre à un prix inférieur au seuil prévu. La réunion servira à faire en sorte que ceux "qui ont acheté à des prix très hauts, ne se retrouvent pas, en matière de trésorerie, à terre", a-t-elle expliqué."Ce sera l'objet de la réunion longue qu'on aura avec les producteurs, mais aussi les revendeurs" d'énergie, a-t-elle précisé. "Il y a aussi une autre arme qui nous reste et Bruno Le Maire l'a déjà dit aux fournisseurs d'énergie: soit ils s'alignent sur ce qu'on a dit et ils enclenchent la renégociation sur les contrats qui sont au-delà du tarif de la CRE", soit "il nous reste une arme, c'est la fiscalité", avec la possibilité d'un "projet de loi de finances rectificative où on va augmenter les taxes sur les énergéticiens", a menacé Mme Grégoire.
Il y a 2 ans et 116 jours

Les avantages de la location de bennes pour vos chantiers

Les avantages de louer une benneUn avantage pour vos financesLouer une benne présente plusieurs avantages. La location de ce matériel permet de se débarrasser de grandes quantités de déchets facilement sans avoir à subir les coûts d'achat, d'entretien, de stockage et d'assurance. La location benne en île de france par exemple où l'espace de stockage est limité et coûteux se révèle très intéressante. Ce bénéfice est d'autant plus important si la tâche nécessitant une benne n'est que ponctuelle.Les bennes disponibles sur le marché existent en de nombreuses tailles différentes et différents modèles. Que ce soit une benne ouverte, une benne fermée ou une multibenne, vous n'aurez donc aucun mal à trouver celle dont la capacité convient à vos besoins.Un avantage pour l'environnementDe plus, louer une benne facilite le tri puis le recyclage de vos déchets. Vous pourrez ainsi suivre le processus de valorisation de vos débris qui seront traités dans le respect des normes environnementales. Les déchets pouvant bénéficier d'une seconde vie seront triés tandis que les autres seront transférés à des centres de traitement qui se chargeront de leur gestion.Un avantage pour les professionnels du BTPDans le secteur du BTP et de la construction, les chantiers génèrent régulièrement des déchets de plusieurs types : gravats, débris, etc... Dans ce cas, la location benne à gravats en complément d'une benne pour les autres types de déchets s'avère la solution la moins coûteuse et permet de non seulement respecter ses obligations civiles mais aussi de vous faciliter le travail.Comme il est possible de louer plusieurs bennes pour un chantier et que les sociétés de location proposent des rotations régulières, vous gagnez du temps sur les chantiers et éviter les coûts d'achat du matériel. En bénéficiant de l'expertise des sociétés spécialisées dans ce service, le tri et la collecte de vos déchets de chantier ne sont plus une inquiétude.Un autre intérêt de la location est que vous n'avez pas à vous soucier du transport de la benne. Il est en effet possible de la faire déposer sur le chantier le jour J et de faire appel à un chauffeur pour acheminer les bennes pleines vers les lieux de tri de déchets. Bénéficier de l'expertise d'un chauffeur qualifié vous évitera bien des complications et vous fera gagner beaucoup de temps.Alors pour vous prochains chantiers, n'hésitez plus à faire appel aux services de location de bennes pour vous faciliter la vie.
Il y a 2 ans et 116 jours

Lancement du constat Legalpreuve de conformité locative pour protéger les propriétaires et locataires d'un bien

Il voit le jour dans un contexte locatif ultra-tendu en France, régi par de très nombreuses lois, réglementations et spécificités locales face auxquelles les propriétaires (et parfois les agences immobilières) ne parviennent à se repérer et préfèrent alors ne pas prendre le risque de louer leur bien. C'est dans ce contexte que la Chambre nationale des commissaires de justice lance le nouveau constat Legalpreuve de conformité locative. Dans la lignée des constats à forte valeur ajoutée Legalpreuve, ce constat élaboré et normé par CNCJ, va permettre de vérifier les caractéristiques d'un logement et d'accompagner les professionnels de l'immobilier, les propriétaires et les locataires pour la mise en location de leur bien, en toute légalité et sérénité. 3 millions de logements vacants en France, 500.000 bientôt interdits à la location En France, le marché locatif est tendu et encadré par de multiples lois et réglementations ainsi que des caractéristiques locales spécifiques difficiles à comprendre. Certains propriétaires ayant vécu de mauvaises expériences locatives hésitent à louer leur bien et on recense ainsi plus de 3 millions de logements vacants. On dénombre également près de 500.000 logements très énergivores actuellement loués, susceptibles de quitter le marché locatif d'ici à six ans (sources Insee / Fnaim). Les obligations, avant et pendant toute la durée du bail, d’un propriétaire qui souhaite louer un logement sont de plus en plus nombreuses et parfois difficiles à appréhender. Le propriétaire bailleur doit fournir un logement décent et en bon état, répondant à différents critères de surfaces habitables, sécurité et santé des locataires (gros oeuvre, retenue des personnes, ventilation, éclairement, réseaux et branchements), diagnostics techniques (énergétique, plomb, amiante...), réglementation locale (permis de louer, règlement sanitaire départemental ...). Le non-respect de ces obligations peut engendrer un risque accru de litige entre le locataire et son propriétaire, engageant la responsabilité du propriétaire et impliquant des conséquences financières importantes (travaux de mise en conformité, suspension de l’allocation logement, condamnation judiciaire). Le constat par commissaire de justice pour rassurer les locataires et propriétaires À la fois juristes (leur permettant d'avoir une connaissance parfaite des réglementations en vigueur), hommes de terrain (permettant de se rendre au domicile) et spécialistes historiques de la preuve (permettant de dresser des constat à forte valeur probante), les commissaires de justice étoffent leur offre de constat à destination des secteurs immobilier, logement, avec le lancement du constat Legalpreuve de conformité locative. Dans la lignée des constats à forte valeur ajoutée Legalpreuve, ce nouveau constat élaboré et normé par CNCJ, va permettre de vérifier les caractéristiques d'un logement et d'accompagner les professionnels de l'immobilier, les propriétaires et les locataires pour la mise en location de leur bien, en toute sérénité. Ce constat est réalisé par le commissaire de justice soit à la demande du bailleur (lui permettant de se prémunir en cas de réclamation ou litige, de valoriser son bien et rassurer les futurs locataires sur la fiabilité des informations constatées par Officier Public et Ministériel) soit à la demande du locataire (qui souhaite faire constater des manquements), soit à la demande du professionnel de l'immobilier (agence de location, notaire) qui souhaite déléguer cette partie fastidieuse et ne pas prendre le risque de passer à côté d'une obligation légale. Pour rappel, le constat par commissaire de justice est l’acte le plus abouti pour matérialiser une preuve. Il a force probante devant les tribunaux, établissant la vérité d’un moment et d’un lieu précis, coupant court à toute interprétation non fondée. Le constat Legalpreuve conformité locative en trois étapes : 1/ Checklist préalable et personnalisée au bien Selon un protocole complet, élaboré par la Chambre nationale des commissaires de justice, en collaboration avec les acteurs institutionnels du logement, le commissaire de justice pourra procéder au contrôle de conformité de tous les critères légaux de mise en location. À partir d'un outil numérique évolutif et personnalisable en fonction du logement (appartement, maison, copropriété, jardin, piscine...), il dresse une véritable check-list préalable à la location, vérifiant que le logement répond à tous les critères de : surface habitable, salubrité, décence, sécurité, confort et que toutes les obligations spécifiques et locales sont respectées (diagnostiques techniques, amiante, plomb, électricité, gaz, NF, Etat des risques et pollutions, DPE, loi ALUR...). Il élabore ce constat grâce à des constatations visuelles et la consultation des rapports d’expertise et diagnostiques. 2/ Point sur l'état du bien et sa conformité Le commissaire de justice revient ensuite avec le propriétaire sur l'état de son bien, le conseille sur les éléments à corriger ou, en cas de manquement grave, exige la mise en conformité avant toute location. Le constat Legalpreuve de conformité locative est dressé et la signature visuelle peut être apposée sur les documents afin d'attester de la conformité du logement validée par officier public et ministériel. Cette certification va augmenter l’attractivité d’un bien sur le marché locatif, rassurer les locataires sur la qualité du logement et faciliter le règlement d’un litige ultérieur avec le locataire. Lors de la signature du bail, le constat de conformité locative pourra être confirmé et combiné à un constat d’état des lieux d’entrée, réalisé avec le locataire. 3/ Consultation juridique sur la rénovation énergétique du bien Enfin, le commissaire de justice va également accompagner le propriétaire et l'orienter dans les méandres de la réglementation en vigueur, en lui expliquant ses obligations mais aussi toutes les aides gouvernementales ou locales auxquelles il peut prétendre pour la rénovation énergétique et l'amélioration de son habitat. Près de 10 aides gouvernementales existent à cet effet et méritent l'accompagnement d'un juriste qui pourra établir celles auxquelles le logement, foyer, propriétaire, peut prétendre au cas par cas. Cette consultation juridique est essentielle lorsque l'on sait que depuis juillet la loi prévoit une interdiction progressive de mettre en location des logements mal notés, dit « passoires thermiques ». Dès 2025 les logements étiquetés G seront interdits à la mise en location, ceux notés F le seront dès 2028. Or, les logements F et G représentent 25% des logements en France. Les catégories E, F et G représentent à elles trois plus de la moitié des logements français, 54% exactement.
Il y a 2 ans et 116 jours

Près de 80 panneaux acoustiques posés dans les bureaux tertiaires de la gare de Nantes

De l’acoustique à grande vitesseLes collaborateurs ont emménagé récemment dans ces locaux fraichement rénovés. Dans ce style très industriel et moderne, les panneaux TEMPO ont une vue privilégiée sur les chemins de fer.Dans cette ambiance feutrée, on entend à peine la valse des trains qui prend vie derrière ces grandes fenêtres.“Nous avons remporté l’appel d’offre lancé par EIFFAGE pour la pose des plafonds suspendus acoustiques dans des bureaux. Le projet était particulièrement intéressant du fait des plafonds métalliques ondulés et des contraintes feu et acoustique à respecter. La pose s’annonçait donc méticuleuse et nécessitait une réflexion sur le meilleur support structurant. Ce dernier devait répondre aux exigences d’alignement et devait porter les éléments électriques, CVC et acoustiques.Pour ce projet, notre choix s’est porté naturellement vers les produits TEMPO de chez DIGITEX car ils sont faciles à suspendre, s’alignent aisément grâce aux systèmes d’accroche suggérés par Matthieu LETELLIER. Par ailleurs, cette gamme propose un large panel de coloris. Aujourd’hui, l’alliance des rails de type Mupro® (rappelant les voies de chemins de fer) et des panneaux acoustiques DIGITEX, offre une cohérence architecturale tout en assurant un confort acoustique. »Claire BOUCHER et Jean-François CANFRERE - Société DUFISOL - Plafonds suspendus et solutions acoustiques.
Il y a 2 ans et 116 jours

Brico Fenêtre double son CA en 18 mois et annonce son lancement en Espagne

Pari réussi pour Brico-Fenêtre.com qui dépasse les 21 M€ de chiffre d’affairesBrico Fenêtre annonçait, il y a 18 mois, un objectif ambitieux : doubler son chiffre d’affaires d’ici fin 2022. Un challenge annoncé peu de temps avant que la conjoncture et le contexte actuel fassent terriblement bouger les lignes du secteur de l’industrie et du bâtiment. Et pourtant, Brico Fenêtre a gardé le cap et a relevé le défi avec un chiffre d’affaires qui s’élève aujourd’hui à plus de 21 M€.La recette du succès ? Une stratégie de plus en plus tournée vers l’aluminium et le développement de ses ventes auprès des professionnels artisans.Brico Fenêtre suit et analyse de près les tendances de consommation pour toujours s’adapter aux attentes des Français. Consciente que la tendance du marché est à l’aluminium, l’entreprise a misé sur ce matériau pour accélérer son développement. Pour cela, fin 2021, le fabricant inaugurait son nouvel outil industriel dédié à l’aluminium. Une usine de pointe qui lui a permis de faire grimper sa capacité de production de 200 à 400 menuiseries/jour et ainsi répondre à une demande croissante. En 2022, l’aluminium représente 25% des quantités vendues par la plateforme (vs. 21% en 2021).Les professionnels du bâtiment font face à l’explosion des rénovations énergétiques des logements, notamment boostée par la RE2020 et la hausse des coûts de l’énergie. De fait, conscient que les artisans sont un véritable levier de croissance, Brico Fenêtre a choisi, cette année, d’en faire un axe de développement prioritaire. Les services (livraison sur chantier par exemple) et la flexibilité (comme la possibilité de commander à toute heure) proposés par le e-commerçant séduisent les artisans. La preuve :la plateforme a doublé son chiffre d’affaires réalisé auprès des professionnels en deux ans (5 M€ en 2022 vs. 2,5 M€ en 2020).Pour Thierry Rambert, fondateur et dirigeant de Brico Fenêtre : "Malgré la complexité du marché dans lequel nous évoluons depuis plus d’un an, nous affichons une croissance exceptionnelle dans l’histoire de Brico Fenêtre. C’est une vraie fierté. Pour les prochains mois, notre priorité en France est de consolider durablement cette belle dynamique de développement."Le e-commerçant duplique son modèle en Espagne et lance brico-ventana.esLa croissance remarquable qu’a connu Brico Fenêtre cette dernière année adossée à la demande exponentielle qu’il rencontre en Europe, en dehors du territoire français (soit 4% de son chiffre d’affaires), amènent l’entreprise à miser sur une nouvelle stratégie de développement : l’internationalisation. Elle se lance ainsi le challenge de s’imposer sur le marché européen.Afin d’être au plus proche des besoins des consommateurs et rester fidèle à son concept basé sur le direct-usine en circuit court, Brico Fenêtre a choisi de dupliquer son modèle dans d’autres pays européens, plutôt que de simplement exporter ses produits en dehors de ses frontières. Une stratégie qui lui permet également de s’adapter aux spécificités de chaque territoire (en termes d’architecture, de réglementations, de méthodes de construction et d’isolation…) en fabricant des produits appropriés à chaque marché.C’est l’Espagne qui a ouvert le bal avec le lancement de brico-ventana.es en mars 2022. Pour la production de ses menuiseries, Brico Ventana s’appuie sur l’usine du groupe Biason de 7.000 m2 située à Sant-Celoni et dédiée au PVC avec une capacité de production de 300 menuiseries/jour. En parallèle, l’entreprise a sélectionné des partenaires espagnols et portugais pour venir compléter son offre et proposer une plus large gamme de produits (volets, portes d’entrée, accessoires...).Pour Thierry Rambert : "Neuf mois après notre lancement en Espagne, Brico Ventana se développe jour après jour. On observe d’ailleurs un bond de son chiffre d’affaires ces trois derniers mois. Une donnée prometteuse qui nous conforte dans notre stratégie de développement au-delà de nos frontières d’origines. Maintenant, le défi est de faire de cette première implantation européenne un succès et, pourquoi pas, commencer à réfléchir à de nouveaux ancrages."
Il y a 2 ans et 116 jours

Groupe Roy Energie envoie 2 centrales photovoltaïques autonomes en Ukraine

GROUPE ROY ÉNERGIE soutient l’UkraineSensible à la situation d’urgence en Ukraine et souhaitant agir en mettant à disposition son savoir-faire, Groupe Roy Energie va envoyer deux centrales solaires autonomes à Kiev, fin janvier 2023.L’une d’entre elles permettra d’alimenter un étage d’hôpital de façon autonome pendant 7 heures et l’autre fournira de l’énergie dans une zone d’invincibilité.Les deux containers seront aménagés avec des prises électriques (ports USA / B / C de recharges de téléphones), un relais Wi-Fi Internet, un éclairage LED intérieur, du chauffage...Ces installations répondront de façon autonome à des besoins d’alimentation en électricité. Groupe Roy Energie collabore avec la Mairie de Kiev et l’Ambassade de France en Ukraine pour l’organisation du déplacement et le déploiement des centrales.Caractéristiques des 2 centrales photovoltaïques autonomesGroupe Roy Energie souhaite démocratiser le solaire et créer de l’énergie propre et locale, ponctuellement et durablement, où que l’on se situe sur la planète. La société a expérimenté deux centrales solaires autonomes différentes, pour le concert de Sting à Chambord au mois de juin 2022 et pour les illuminations de Noël du château actuellement. Elle est à l’origine de l’idée, de la recherche et du développement.Les résultats étant concluants, Groupe Roy Energie a désormais la certitude de pouvoir les déployer de façon sécurisée en base vie de chantier, dans le désert, sur des zones sinistrées, de conflits ou de catastrophes naturelles : partout, tout le temps, quelles que soient les conditions.Fonctionnement de la centrale photovoltaïque autonome au sol de 150 PVCette centrale photovoltaïque déployée lors du concert de Sting mesure au sol 80x20 mètres. Elle comprend 150 panneaux photovoltaïques de 370WC posés au sol, orientés est/ouest pour favoriser une production optimale sur la journée. Elle comprend également un container équipé du système de transformation et de stockage de l’énergie destiné à alimenter l’hôpital. Elle fonctionne sur et hors réseau et est capable de produire jusqu’à 60 kW de puissance. La réserve d’énergie utile de la batterie est de 76,8 kWh.Fonctionnement de la centrale photovoltaïque autonome au sol de 54 PVCette centrale photovoltaïque déployée pour les illuminations du château de Chambord de Noël 2022 mesure 20 x 20 mètres. Elle est composée de 54 panneaux photovoltaïques de 365 WC et de 2 onduleurs de 10 kva. Elle fonctionne sur et hors réseau et est capable de produire une puissance de 20kW. La réserve d’énergie utile de la batterie est de 25,6 kWh.La jeune chambre économique française s’associe à cette opération et lance un appel aux dons pour finaliser l’envoiEn soutien de ce projet au service de la population ukrainienne, la Jeune Chambre Économique Française lance un appel aux dons auprès des particuliers et des entreprises pour financer l’aménagement des containers et les commandes de batteries et d’onduleurs. Cela complètera l’apport des deux centrales photovoltaïques d’un montant de 200.000€.La collecte des dons aura lieu du 23 décembre 2022 au 15 janvier 2023 via la plateforme Hello Asso (https://www.helloasso.com/associations/jeune-chambre-economique-francaise/collectes/repondons-aux-besoins-energetiques-de-la-population-ukrainienne), avec un objectif de 100.000€ (don déductible, cette association étant reconnue d’utilité publique).Les noms de tous les donateurs seront indiqués au dos des panneaux photovoltaïques. Et ils auront la certitude d’apporter une aide concrète en Ukraine.GROUPE ROY ENERGIE, expert photovoltaïqueActeur majeur dans la préservation de l’environnement en France, dont le siège social est situé à Orléans, Groupe Roy Energie conçoit et installe des solutions photovoltaïques innovantes adaptées à chaque besoin spécifique de construction ou rénovation des agriculteurs, collectivités, entreprises et industriels, particuliers et spécialistes de l’immobilier.Groupe Roy Energie propose un accompagnement complet, incluant également la maintenance, le service après-vente et le suivi à distance de votre installation. Le bureau d’étude, composé d’une équipe d’ingénieurs bâtiments, dessine chaque projet clé en main, grâce à leur expertise, et assiste jusque dans les démarches administratives et bancaires. Groupe Roy Energie est d’ailleurs référencé et labellisé dans toutes les agences bancaires, ce qui garantit une réponse rapide aux demandes de prêt.Groupe Roy Energie propose des prestations premium à prix compétitifs, afin de démocratiser le photovoltaïque et le rendre accessible à tous. L’entreprise souhaite amener un maximum de particuliers et d'entreprises à tendre vers l’indépendance énergétique.Toutes les prestations sont réalisées en interne, sans aucune sous-traitance. Les équipes collaborent avec les meilleurs partenaires locaux ancrés sur leur territoire et garantissent des prestations premium, à un prix juste, sur 60 départements. Groupe Roy Energie veille à la formation et la qualification continues des salariés, afin de garantir des prestations optimales. L’excellence et l’innovation font partie de son ADN.La jeune chambre économique française, incubateur de leaders citoyens.Depuis près de 70 ans, la Jeune Chambre Économique Française rassemble une communauté de citoyens de 18 à 40 ans : entrepreneurs, salariés, professionnels libéraux ou encore étudiants. Ensemble, ils relèvent les défis économiques, sociaux et environnementaux d’aujourd’hui et de demain et portent des projets d’intérêt général sur le territoire français.En construisant ces actions de façon collective et en recherchant des solutions aux problématiques rencontrées par les territoires, les membres se forment à la prise de responsabilités. En 2022, la JCEF rassemble près de 2.000 bénévoles engagés en France dans 135 Jeunes Chambres économiques locales. Elle est affiliée à JCI (Junior Chamber International) qui compte 200 000 leaders citoyens dans plus de 100 pays et agit en lien avec les 17 Objectifs du Développement Durable de l’ONU.
Il y a 2 ans et 116 jours

Nouveau coulissant minimal allure de Préfal pour un maximum de performances et de confort

Ses profilés sont d’une finesse remarquable (-23% de masses aluminium visibles) optimisant la surface vitrée pour favoriser les apports lumineux et solaires dans l’habitation.Finesse du montant central (30 mm), des montants de tête (59 mm) et des traverses d’ouvrant (55 mm).Son design épuré s’intègre en douceur aux constructions neuves comme aux maisons rénovées.Profilés des ouvrants plus fins. Montant central ultra fin de 30 mm. Alignement uniplan des dormants et montants (neuf) Drainage invisible (neuf). Dormant minimal rénovation en option pour plus de design. Poignée minimaliste avec boîtier minimal Logic inclus de sérieSes performances d'isolation thermiques, d'étanchéité à l'air et à l'eau sont renforcées. Ceci grâce à : une mousse isolante à mémoire de forme, revêtue d’un film glissant, en traverse haute, une chicane centrale à rupture de pont thermique, un bouclier thermique avec brosse en traverse basse, de nouveaux joints d’étanchéité glissants souples en TPE sur ouvrantsRésistance air / eau / vent : A*4 E*6B V*A2. Uw= 1.4 W/m2.k (neuf) et 1.5 W/m2.k (rénovation) avec double vitrage standard Ug 1,1.Ce coulissant améliore la sécurité : une gâche aluminium filante toute hauteur garantit une plus grande rigidité du dormant. Un système de doigt anti-dégondage et un guide centreur en inox, avec une ouverture de gâche de 9 mm, permettent un fonctionnement optimal sous effet bi-lame.Crémone jusqu’à 4 points de fermeture.Son grand confort d'utilisation est assuré par de nouveaux galets réglables et un chemin de roulement en aluminium anodisé. L’ouverture est également facilitée par une nouvelle gamme de poignées esthétiques et ergonomiques.Chemin de roulement et galets disponibles en inox. Boîtier minimal Logic. Poignée intuitive Novem 20°. Poignée de tirage avec et sans fermeture Logic. Poignée Cuadro à ouverture 90° pour une harmonisation avec les fenêtres à ouvrant caché Allure. Poignée cuvette à levier pour le croisement des vantaux.Le nouveau coulissant Minimal Allure offre de nombreuses possibilités de configurations et se personnalise à l’infini. Il est disponible dans un important choix important de couleurs et de finitions, afin d’harmoniser ses menuiseries à la façade mais aussi à la décoration intérieure :12 teintes RAL dont 1 bicoloration, 10 teintes Granit Premium à l’aspect fine structure granitée, 3 teintes bois, 3 teintes minérales, 8 teintes métalliques, 2 teintes anodisées, en option, les menuiseries Allure peuvent être mises à la teinte dans le RAL souhaité.Le nouveau coulissant Minimal Allure est destiné au neuf comme à la rénovation. Il est notamment proposé en galandage pour les nouvelles constructions. Minimal Allure existe en 2 niveaux d’équipement - Equilibre et Exigence - présentant un excellent rapport qualité/prix. Chaque niveau propose des détails qui font la différence, de série ou en option.A noter : les fenêtres et portes-fenêtres Allure sont compatibles avec une offre de volets roulants pilotables soit par commande nomade, soit par commande murale.
Il y a 2 ans et 117 jours

Encadrement des loyers : Paris lance sa chasse aux loyers abusifs

Avec cette nouvelle arme contre l'inflation des loyers dans la capitale, entrée en vigueur au 1er janvier, la mairie de Paris veut "limiter au maximum les abus et arriver à terme à un encadrement des loyers totalement respecté", a résumé l'adjoint au logement Ian Brossat jeudi lors d'une conférence de presse. Première ville à avoir appliqué l'encadrement des loyers mi-2019, rejointe depuis par plusieurs communes ou communautés d'agglomération dites en zone tendue (Lille, Plaine Commune, Lyon-Villeurbanne, Est Ensemble, Montpellier, Bordeaux), Paris est "doublement pionnière" puisqu'elle est "la première ville à bénéficier de ce transfert de compétences", s'est félicité l'élu communiste. Si depuis 2019 cet encadrement a permis selon M. Brossat de "stabiliser globalement les loyers parisiens après des années de hausse exponentielle", les signalements (120) recueillis et les amendes (une dizaine) infligées par l'Etat étaient pour la mairie insuffisantes. Selon l'Observatoire des loyers de l'agglomération parisienne (Olap), cité par la mairie, environ un tiers des nouveaux baux signés dans la capitale en 2021 dépassait les loyers plafond, fruits de plusieurs critères (vide ou meublé, date de construction, nombre de pièces et quartier). Cela ne signifie pas forcément que les bailleurs sont hors-la-loi, des dépassements pouvant être justifiés par des caractéristiques exceptionnelles du logement. Les dépassements s'élèvent en moyenne à 161 euros et concernent surtout les "petites surfaces, studios, chambres de bonne, avec 8 annonces abusives sur 10", a détaillé Ian Brossat. Avec la nouvelle plateforme en ligne de la ville, il veut obtenir un "maximum de signalements" afin qu'un "maximum de propriétaires se conforment à l'encadrement des loyers". Concrètement, les locataires peuvent d'abord y vérifier si leur bail respecte l'encadrement, puis signaler, le cas échéant, le dépassement qui devra être confirmé par la mairie. Cette dernière mettra ensuite en demeure le propriétaire afin qu'il actualise le bail et restitue les trop-perçus, dans un délai de trois mois. Sans mise en conformité, la mairie pourra lui infliger une amende allant jusqu'à 5.000 euros pour une personne physique et 15.000 pour une personne morale. "Le simple fait que le locataire nous saisisse aura des effets dissuasifs vis-à-vis de la majorité des propriétaires", veut croire Ian Brossat qui recense déjà plus d'une dizaine de signalements, sur près de 2.000 connexions. Selon l'Olap, en 2021 dans la capitale, le loyer moyen pour un 50 m2 s'établissait à 1.200 euros par mois. Sur 1,1 million de résidences principales, 45% sont des locations dans le parc privé.
Il y a 2 ans et 117 jours

La transformation de bureaux en logements : 800 projets autorisés chaque année en France, soit plus de 1.200.000 m² convertis

Au gré des fluctuations des cycles immobiliers, la transformation des bureaux en logements a été régulièrement envisagée, mais jusqu’alors peu concrétisée. D’un phénomène de niche à une véritable question de société, le sujet est au cœur du débat à l’heure où la logique d’hybridation des modes de travail se confirme et que, parallèlement, une nouvelle crise du logement émerge. Réhabiliter l’existant est une première piste pour répondre à cette problématique. La mise en œuvre de ces projets demeure toutefois complexe à différents niveaux, notamment réglementaire.Sébastien Lorrain, Directeur Résidentiel chez CBRE France, décrypte le phénomène de la transformation des bureaux en logements et livre son analyse des enjeux et opportunités pour les investisseurs, à Paris, comme dans les territoires.Transformation de bureaux en logements, où en est-on ?Quelle dynamique en Ile-de-France et dans les territoires ?Pourquoi cette tendance est plus que jamais un véritable sujet de d’actualité ?Quel est l’intérêt des investisseurs pour le sujet ?Comment identifier la faisabilité de ce type d’opérations et les opportunités ?Les principaux enseignementsAvec plus de 4 millions de m² d’offre immédiate disponible (soit plus d’1 million de m² supplémentaire par rapport à 2019), les surfaces de bureaux vacants peuvent être un début de réponse à la crise du logement en Ile-de-France.En France, plus de 4.000 opérations de transformation de locaux en logements sont autorisées chaque année, représentant seulement 13% des autorisations de permis de construire octroyées entre 2013 et 2021. La transformation de bureaux en logements représente en moyenne 18% de ces conversions d’actifs.En France, près de 800 opérations de transformations de bureaux en logements sont autorisées chaque année, soit plus de 1.200.000 m² convertis ce qui permet la création de plus de 2.000 logements chaque année (2% des logements totaux créés chaque année).L’Ile-de-France, confrontée à des fortes pressions sur le logement, est la première région concernée par cette tendance, et représente 20% du nombre et du volume de m2 concernés par ces conversions, suivie de très près par la région Auvergne-Rhône-Alpes, Hauts-de-France et PACA.La compression des taux initiée depuis 10 ans a eu pour conséquence la convergence des taux de rendement entre les différentes classes d’actifs : l’écart de rendement entre le bureaux prime (Paris QCA) et le résidentiel prime (Paris) était de 120 pb fin 2012, il n’était plus que de 50 pb à fin 2021.Les transformations de bureaux en logements attirent de plus en plus les investisseurs privés : notamment des fonds value-add et des fonds dédiés au recyclage urbain (Hab'initio d'Ampère Gestion et CDC Habitat, Harvestate Office Conversion Fund I). Par ailleurs, la quasi-totalité des investisseurs se pose ou se posera la question de la transformation pour certains actifs de leur propre patrimoine. La part des opérations value-add dans les volumes investis en bureaux était de 20% en moyenne.Le contexte de marché est aujourd’hui propice au recyclage urbain et à la conversion. L’identification d’opportunités reste néanmoins difficile et complexe. CBRE a développé une cartographie interactive nommée « Office Convertor » permet d’identifier les communes où la transformation de bureaux en logements serait envisageable.Malgré un assouplissement du cadre réglementaire pour le changement d’usage avec la loi ELAN, des contraintes demeurent quant à la mutation des usages d’un bâtiment. Ces dernières n’empêchent pas pour autant des interventions publiques fortes, sur certains territoires.
Il y a 2 ans et 117 jours

En 2022, le marché immobilier a commencé à refluer

"Tout le monde sait que le marché s'est retourné à l'été", a assuré mardi Charles Marinakis, président de Century 21 France.Sur l'ensemble de 2022, le prix moyen au mètre carré a grimpé à des niveaux record, d'après les données annuelles de ce réseau d'agences. Des chiffres qui cachent cependant une cassure au mitan de l'année, moment où les prix ont commencé à baisser.D'autres professionnels observent des tendances comparables. Laforêt constate "un marché de l'immobilier ancien en deux temps", avec de fortes hausses jusqu'en juillet puis un marché plus calme ensuite. Orpi enregistre "un léger ralentissement de la hausse des prix, notamment depuis septembre, qui agit directement sur la signature des compromis". Et selon Meilleurs Agents, les prix au mètre carré ont augmenté de 3,6% entre janvier et juin, mais seulement de 1% entre juillet et décembre.Première cause: la remontée rapide des taux d'intérêt et la réglementation française sur le taux d'usure, qui ont réduit l'accès au crédit."Le moteur du moment qui cale, c'est le crédit", a expliqué à l'AFP Thomas Lefebvre, directeur scientifique de Meilleurs Agents. Il y a "des répercussions sur le marché immobilier, notamment là où il est le plus dépendant du crédit, donc dans les grandes villes".Dans plusieurs métropoles, les prix, devenus très élevés, ont ainsi reculé, comme à Paris, Lyon ou Bordeaux, où les acquéreurs ne peuvent plus suivre. "Quand c'est trop cher, c'est trop cher!", a résumé Charles Marinakis, qui voit cette tendance se poursuivre en 2023.Adieu prime au vert ?Tous voient s'estomper la ruée vers les maisons individuelles avec jardin, entamée à la sortie des confinements en 2020."Il y a toujours une surperformance des prix des maisons par rapport aux appartements, mais qui tend à se réduire", analyse Thomas Lefebvre.Laforêt parle même d'un "retour à la ville", poussé par des familles, des séniors ou des jeunes actifs qui se sont trop éloignés des services ou de l'emploi."On avait vu les prix des maisons en environnement rural flamber parce que tout le monde voulait son jardin et sa maison individuelle, mais il n'y avait pas de raison, comme une gare TGV sortie de terre ou un bassin d'emploi qui a fleuri", juge auprès de l'AFP le président de Laforêt, Yann Jéhanno.La montée des prix de l'énergie et des carburants a aussi, dit-il, pu faire réfléchir des familles: une maison plus grande est plus chère à chauffer et un bien éloigné de la ville augmente la dépendance à la voiture.Century 21 prédit ainsi que pour calculer les moyens d'un ménage, il faudra bientôt estimer non seulement les mensualités de crédit, les charges et les taxes, mais aussi les coûts de l'énergie et des déplacements !Mais, relève Thomas Lefebvre, "on a toujours, mine de rien, des zones rurales qui continuent à surperformer, ce qui s'explique par le fait que les prix restent relativement abordables dans ces territoires-là".Lui estime que le retour en ville de familles échaudées par les coûts énergétiques n'est pas un phénomène massif, car ce sont avant tout les ménages modestes qui achètent en périphérie.Une tendance qui s'aggrave, au risque de creuser encore les inégalités."Si dans certaines villes périphériques, le prix au mètre carré est en hausse continue, il est surtout soutenu par les transactions sur des typologies de biens plus grands et souvent plus prestigieux", note Corinne Bérec, vice-présidente d'Orpi."On observe le phénomène très nettement en Île-de-France : alors que les premières et deuxièmes couronnes présentaient de belles opportunités pour les ménages moins aisés, il n'y aura bientôt plus de biens répondant aux besoins du plus grand nombre", craint-elle.
Il y a 2 ans et 117 jours

L'activité de l'industrie du béton en léger retrait en 2022 mais une tendance plus baissière pour 2023

Bilan 2022 : une baisse limitée à -2%Pour les produits préfabriqués en béton à destination du bâtiment, les situations sont variées selon les familles de produits, comparées à l’année 2021 : notons les évolutions positives pour l’ensemble poutrelles +4,9%, pour les prédalles +2,9% et pour les entrevous béton +0,2%. Seuls les blocs et les dalles de planchers béton sont en retrait, respectivement de -2,4% et -23%.Pour les produits préfabriqués en béton à destination des travaux publics, la quasi-totalité des produits sont en retrait au regard de l’année 2021 : les dalles de voirie -16,8%, les clôtures -17,6%, les regards -4,2%, les pavés -0,5%. Seuls les bordures +0,4% et les tuyaux armés +3,1% connaissent une évolution positive à +3%.Pour l’année 2022, l’activité, en volume, de l’Industrie du Béton devrait connaître une baisse autour de -2% tous produits confondus, par rapport à 2021.Perspectives 2023 : une prévision de baisse de l’ordre de -6% à -8%Dans un contexte inflationniste de progression des coûts des matières et de difficultés de recrutement de main d’œuvre dans le secteur du BTP, les perspectives des différents segments de produits en béton devraient se retrouver dans les niveaux d’activités, en volume, comparés à l’année 2022, au niveau national, sans tenir compte des disparités régionales de plus en plus impactantes.Pour le secteur du bâtimentAu regard des dernières données disponibles Markemétron concernant les ventes de maisons individuelles et de l’Observatoire des promoteurs immobiliers pour les logements collectifs, les baisses pour ces deux segments seront significatives en 2023. En revanche, la construction des bâtiments non résidentiels sera en légère progression, après une année 2022 plutôt dynamique.L’évolution, en volume, des produits préfabriqués en béton destinés au secteur du bâtiment serait comprise entre -7% et -9% en se décomposant de la façon suivante : blocs -9% à -11% et poutrelles de -8% à -10%. Pour les prédalles et les dalles de planchers, les prévisions d’évolution sont de l’ordre de -4% à -6%.Pour le secteur des travaux publicsCompte tenu du positionnement des produits en béton dans les segments de l’investissement des collectivités pour les infrastructures et les réseaux et de l’effet au ralenti d’un cycle municipal de travaux, les prévisions de la FIB restent très prudentes.L’évolution en volume des produits préfabriqués en béton destinés aux travaux publics s’inscrirait dans une fourchette comprise entre -4% et -6%, se répartissant de la manière suivante : produits d’assainissement -3% à -5% et produits de voirie et d’aménagement extérieur de -6% à -8%.En conclusion, la Commission Économie de la FIB prévoit une évolution comprise entre -6% et - 8%, en volume, tous produits confondus France entière pour l’année 2023 par rapport à 2022.Après une année 2022 marquée par la résilience du secteur de la construction face aux conséquences économiques des événements internationaux, les perspectives de l’année 2023 confirment l’accentuation de la tendance baissière pour l’Industrie du Béton par rapport à l’année 2022.La FIB poursuivra en 2023 la dynamique insufflée en 2022 pour augmenter la visibilité de l’Industrie du Béton, défendre ses intérêts auprès de son environnement professionnel et politique, notamment au regard de projets sensibles d’évolution réglementaire nationale et européenne et pour faire valoir la sobriété énergétique des solutions préfabriquées en béton.
Il y a 2 ans et 117 jours

Macron demande aux fournisseurs d'énergie de "renégocier" en janvier les "contrats excessifs" de toutes les TPE

A l'occasion de la traditionnelle cérémonie de la galette de l'Epiphanie – sans fève par "superstition républicaine" car "il n'y a pas de roi à l'Elysée", a souligné le chef de l'Etat --, il a salué devant des boulangers l'inscription de la baguette au patrimoine immatériel de l'Unesco, qu'il défendait personnellement depuis 2018. "On a eu une grande victoire avec la baguette, mais cette grande victoire nous la célébrons au milieu de grandes difficultés", a-t-il toutefois reconnu, alors que de nombreux artisans sont confrontés à l'explosion des prix de l'énergie. "Pour nos bouchers, nos artisans, pour l'ensemble de nos très petites entreprises, tous ceux qui ont négocié des contrats excessifs", "ce qu'on va demander, dès maintenant, aux fournisseurs d'énergie c'est de revenir vers chacun (d'eux) et de les renégocier", a déclaré Emmanuel Macron dans la salle des fêtes de l'Elysée. "Tous ces contrats qui sont au-dessus des prix de référence donnés en fin d'année dernière par la Commission de régulation de l'énergie", c'est-à-dire autour de 280 euros du mégawatt/heure, "ils seront renégociés en janvier", a-t-il insisté. 'Ras le bol des numéros verts !' Cela concernera toutes les TPE, c'est-à-dire les entreprises de moins de dix salariés, alors que le gouvernement avait annoncé ces derniers jours des dispositifs ciblés sur les boulangers. Selon son entourage, les ministres concernés vont recevoir dès vendredi, à la demande du président, les fournisseurs d'électricité, dont EDF en cours de nationalisation complète, pour leur demander de mettre en œuvre cette requête. L'Elysée n'a toutefois pas détaillé combien de TPE étaient concernées par ces contrats décrits par Emmanuel Macron comme "déraisonnables", "abusifs" et "aberrants". Le président de la République a estimé que si les électriciens n'obtempéraient pas, "honnêtement, c'est un jeu sans fin": "de toutes façons après on va rattraper les surprofits faits par les fournisseurs", a-t-il prévenu. "J'ai entendu l'inquiétude et l'angoisse, elle est légitime", a encore dit Emmanuel Macron. "J'en ai comme vous assez qu'on ait des gens qui, sur la base de la crise, fassent des profits excessifs", a-t-il lancé, promettant de "remettre un peu tout le monde d'équerre". Si ce sont les fournisseurs d'énergie qui sont priés de faire la démarche d'aller à la rencontre de leurs clients, et non l'inverse, le président a assuré que les TPE allaient être accompagnées grâce à un "petit dispositif d'alerte" dans les préfectures de chaque département, qui vont recevoir du "renfort" pour répondre aux "angoisses". Emmanuel Macron s'est au passage fait applaudir par les boulangers en pestant contre les numéros verts et autres sites internet "illisibles" qui accompagnent d'ordinaire les dispositifs d'aides étatiques. "On m'avait donné un numéro vert, mais il se trouve que j'ai eu un bon réflexe, j'ai testé le numéro vert qu'on m'a donné avant : ça marche pas", a laché le chef de l'Etat. "Moi, j'en ai ras le bol des numéros verts dans tous les sens !" De la même manière, il a expliqué avoir "fait l'exercice" d'aller "chercher dans des sites internet des circulaires absolument illisibles ou des tableaux incompréhensibles" : "c'est impossible".
Il y a 2 ans et 117 jours

Fondation groupe Butagaz : deux maisons et la mairie-école de Flers rénovées

Flers (62) est un village du Pas-de-Calais de 225 habitants dans lequel 61% des logements sont encore chauffés au fioul. Un programme solidaire de rénovation de logements énergivores est mis en place par la Fondation du groupe Butagaz, avec une priorité donnée aux foyers en situation de précarité énergétique.