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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Batinfo

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Il y a 2 ans et 189 jours

Eiffage monte à 18,79% du capital de Getlink et en devient le premier actionnaire

Eiffage, qui possédait déjà 5,08% des actions Getlink a conclu le rachat de 13,71% supplémentaires pour 1,194 milliard d'euros auprès du fonds britannique TCI, financés sur sa trésorerie, a-t-il précisé dans un communiqué."Eiffage soutient la stratégie actuelle de Getlink", a souligné le groupe français. Actionnaire de l'ex-groupe Eurotunnel depuis 2018, il dit avoir "l'intention d'être un investisseur de long terme", et "se réserve la possibilité de poursuivre ses achats en fonction des conditions de marché"."Toutefois, Eiffage indique qu'il n'envisage pas de déposer d'offre publique sur le solde du capital", a-t-il souligné."Ce renforcement de position est la poursuite de l'intérêt que porte le groupe Eiffage depuis 2018 pour Getlink, un actif de très grande qualité", a réagi jeudi Jacques Gounon, le président du concessionnaire du tunnel sous la Manche."Au nom du groupe Getlink, je suis heureux d'accueillir Eiffage comme actionnaire majeur", a-t-il ajouté dans un communiqué séparé, remerciant TCI "pour avoir été en phase avec (ses) objectifs stratégiques".Cette opération s'inscrit dans la stratégie d'Eiffage de diversification de son portefeuille de concessions."Déjà fort de nombreuses concessions ou contrats de partenariat d'infrastructures de transport, Eiffage allonge, au travers de cette acquisition, la durée de son portefeuille tout en renforçant sa participation dans un acteur clé de la décarbonation des transports en Europe", selon le communiqué du groupe.Eiffage, qui détient de nombreuses concessions autoroutières, est aussi le concessionnaire de la ligne à grande vitesse Le Mans-Rennes.Très affecté par le Brexit et la pandémie, Getlink est en plein redressement, au rythme du retour des passagers traversant la Manche. L'entreprise a en outre trouvé une nouvelle source de revenus avec ElecLink, un câble électrique d'une capacité d'un gigawatt dans le tunnel entre la France et l'Angleterre, branché fin mai.Le groupe autoroutier et aéroportuaire italien Atlantia -qui est visé par une OPA lancée par la famille Benetton-, était depuis le printemps 2018 le premier actionnaire de Getlink, avec environ 16% du capital.
Il y a 2 ans et 189 jours

Le chiffre d'affaires de Saint-Gobain augmente avec les prix à 12,9 milliards d'euros

L'entreprise a réalisé 12,9 milliards d'euros de ventes entre juillet et septembre et confirmé dans un communiqué ses objectifs annuels d'une progression du résultat d'exploitation -- malgré une hausse anticipée des coûts de l'énergie et des matières premières, attendue "légèrement supérieure à 3 milliards d'euros en 2022", comparé à 2021.Avec une hausse des prix de 15% au troisième trimestre, Saint-Gobain a compensé la hausse des coûts des matières premières, de l'énergie et des transports, soutenant le chiffre d'affaires alors que les volumes sont en retrait de 1,6% au troisième trimestre.Le groupe se dit "confiant" de pouvoir continuer de "compenser" l'augmentation des coûts pour réaliser "une nouvelle progression du résultat d'exploitation en 2022 par rapport à 2021 à taux de change comparables".L'activité est notamment portée par "la rénovation en Europe" qui "reste résiliente", tandis que "le marché de la construction neuve ralentit". En France, la rénovation est "structurellement plus résiliente" grâce à "un contexte réglementaire favorable et des dispositifs de soutien aux ménages", explique l'entreprise du CAC 40.Sur le continent américain, le groupe a enregistré sa plus forte croissance trimestrielle "grâce à un bon niveau de prix" et "malgré un marché de la construction neuve qui commence à ralentir avec la hausse marquée des taux d'intérêt" dans le sillage des décisions de la Réserve fédérale (Fed): +39% du chiffre d'affaires, à 2,5 milliards d'euros.Saint-Gobain a gagné des parts de marché en Inde, qui contribue à la hausse de 31,5% du chiffre d'affaires en Asie-Pacifique, en plus d'une "croissance modérée" en Chine "tirée par les prix" et "malgré la situation sanitaire".Atteignant 588 millions d'euros, cette région reste toutefois le plus petit marché du groupe, loin derrière l'Europe du Nord, premier avec 4,2 milliards et la région Europe du Sud, Moyen Orient et Afrique (dont la France) avec 3,5 milliards et des croissances respectives de 8,9% et 10,8%.
Il y a 2 ans et 192 jours

Linkeo lance un nouveau modèle de site dédié aux agences immobilières

Fondée en 2000 par Ludovic Jaffrès, Linkeo guide les TPE et PME dans leur transition numérique. Grâce à un réseau d'une vingtaine d'agences implantées partout en France, elle mise sur un accompagnement personnalisé et s'adapte aux problématiques locales.La société développe des offres sectorisées pour répondre au plus près aux besoins des professionnels à travers des solutions digitales complètes : création de sites web, référencement, photos et vidéos, community management, click and collect ou encore agenda en ligne.Une prestation globale à destination des professionnels du secteurPlus qu'un simple site internet, il s'agit de proposer une vitrine permanente, où mettre en valeur les biens proposés. Grâce à un référencement optimisé et une visibilité accrue, cette prestation confère aux agences de nouveaux mandats.Les sites immobiliers développés par Linkeo sont connectés aux logiciels de gestion utilisés par les agences par un système de passerelle. Les éléments modifiés sur les logiciels le sont automatiquement sur les sites.Les agents ont la main sur toutes les autres mises à jour du site après une courte formation avec leur contact Linkeo.L'objectif est qu'ils soient autonomes sur leur site pour gagner en efficacité, se dégager du temps et se concentrer ainsi sur leur cœur de métier.Le secteur immobilier se digitalise et les chiffres en attestentLes particuliers sont 46% à déclarer utiliser davantage le digital dans leurs projets immobiliers.* La crise sanitaire a aussi mis au goût du jour de nouvelles pratiques comme la visite virtuelle. Ainsi, 35% d'entre eux anticipent déjà une diminution des visites en agences privilégiant internet dans leurs recherches de biens.*Devant s'adapter les agents immobiliers n'ont d'autre choix que d'accélérer leur digitalisation, et les agences de webmarketing comme Linkeo sont là pour les accompagner dans cette voie.En fonction de leurs besoins, de leurs objectifs et de leur budget, les agences ont le choix entre trois packs : essentiel, expert et premium.Les conseillers Linkeo locaux sont disponibles pour toutes demandes de renseignements ou démonstration.Sources : *https://www.journaldelagence.com/1192259-comment-le-digital-fait-evoluer-le-metier-dagent-immobilier
Il y a 2 ans et 192 jours

La pollution de l'air, un "tueur silencieux" dans les villes africaines

"La pollution de l'air (dans les villes africaines) est élevée et en augmentation, elle augmente assez rapidement", a déclaré Desmond Appiah, le directeur ghanéen du Clean Air Fund, l'ONG britannique qui a publié l'étude. "C'est un tueur silencieux".La pollution urbaine a été largement négligée en Afrique, selon cette étude.La population africaine est majoritairement rurale et n'a connu que récemment l'exode vers des centres urbains.Des recherches antérieures parues dans la revue The Lancet Planetary Health sont arrivées à la conclusion que l'air toxique - en particulier les particules et les gaz industriels et des transports, mais aussi des poêles à bois - a provoqué la mort prématurée d'1,1 million de personnes en 2019. A titre de comparaison, 650.000 personnes ont perdu la vie à cause des maladies liées au VIH-sida dans le monde la même année, selon des chiffres de l'ONU.L'étude s'est penchée sur la situation dans quatre villes du continent africain qui connaissent une croissance rapide - la capitale du Ghana, Accra, Le Caire, Johannesburg et Lagos - pour évaluer les coûts sanitaires, environnementaux et économiques de la pollution.Elle compare les résultats entre une trajectoire "business-as-usual" jusqu'en 2040 avec un scénario écologique dans lequel les villes prendraient des mesures pour améliorer la qualité de l'air, comme la modernisation des transports publics et l'introduction de cuisinières plus propres.Adopter une approche écologique pourrait sauver 125.000 vies et permettrait d'économiser 20 milliards de dollars de coûts et réduire aussi les émissions dans ces villes d'environ 20% d'ici à 2040, d'après cette étude.Si rien ne change, la facture financière va être multipliée par six. "La croissance économique de l'Afrique sera poussée par des villes en expansion rapide", a déclaré Clean Air Fund. "Plus de 65% de la population du continent devrait vivre dans des zones urbaines d'ici à 2060"."D'ici à la fin du siècle, l'Afrique comptera cinq des 10 plus grandes mégalopoles du monde. La grande question est désormais de savoir à quel point cette croissance sera rapide, juste et durable", selon la même source.Par ailleurs, un groupe de recherche ayant son siège à Boston, le Health Effects Institute (HEI), a averti jeudi que le coût humain de la pollution atmosphérique en Afrique figurait parmi les plus élevés de la planète.En Afrique subsaharienne, le taux de mortalité liée à la pollution de l'air est de 155 décès pour 100.000 personnes, soit près du double de la moyenne mondiale qui est de 85,6 décès pour 100.000 personnes, a expliqué le HEI dans un rapport.
Il y a 2 ans et 192 jours

Loi "énergies renouvelables" : le Sénat prône la concertation avec les élus, la planification dans les territoires et la simplification des procédures

Les énergies renouvelables sont pourtant indispensables à la préservation de notre souveraineté énergétique et à l’atteinte de nos objectifs climatiques. Afin de renforcer l’ambition de ce texte, la commission a donc adopté 129 amendements, selon quatre objectifs.Renforcer la planification territoriale, améliorer la concertation des projets et favoriser la participation des collectivités territoriales à leur implantationAfin de passer d’une logique descendante à une approche ascendante, la commission a institué un dispositif global de planification territoriale du déploiement des énergies renouvelables mettant les élus locaux – au premier rang desquels les maires – à la manœuvre pour définir les zones propices à l’implantation des ENR. Ces zones bénéficieront ensuite de souplesses administratives afin d’accélérer le développement des projets. Dans la même logique, elle a proposé une planification spatiale et temporelle dédiée à l’éolien en mer. Les parties prenantes doivent, en effet, disposer d’une réelle visibilité à moyen terme sur l’implantation des projets.Simplifier les procédures applicables aux projets d’ENRPour réduire les délais de déploiement des projets, des mesures destinées à simplifier le cadre des autorisations administratives ont été introduites comme des dérogations procédurales temporaires supplémentaires et la mise en place d’un fonds de garantie pour couvrir les risques contentieux pesant sur les porteurs de projet.Libérer des surfaces disponibles, sans porter atteinte à la biodiversité ou aux sols, et stimuler l’autoconsommationLa commission a renforcé les obligations de couverture en énergie solaire des bâtiments non résidentiels existants et nouveaux et facilité l’installation d’ouvrages renouvelables sur les bâtiments, par exemple, en rendant les bâtiments neufs prêts à accueillir des énergies renouvelables.Sécuriser juridiquement des dispositions à forts enjeux pour les territoiresEnfin, elle a accru la sécurisation juridique des projets : par exemple, l’ensemble des énergies et techniques indispensables à l’atteinte de nos objectifs seront bien incluses dans le champ du texte et les conditions de concurrence équitables aux armateurs français opérant sur des sites éoliens offshore localisés dans la zone économique exclusive, mieux garanties.
Il y a 2 ans et 192 jours

Immobilier neuf : 512.400 permis de construire depuis un an, en hausse de 10%

Au troisième trimestre 2022, les logements autorisés sont en baisse (-2,0%) par rapport au trimestre précédent, où ils avaient connu une plus forte diminution (-9,9%), en données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables (CVS-CJO). Le nombre de logements autorisés au cours des trois derniers mois est supérieur (+9,3%) à la moyenne des 12 mois précédant la crise sanitaire (mars 2019 à février 2020). L’effet du nombre exceptionnel de demandes de permis déposées en décembre 2021 s'estompe pour les logements collectifs ou en résidence.Au troisième trimestre 2022, on estime que les logements commencés ont augmenté (+1,4%) par rapport au deuxième trimestre, où ils étaient en baisse (-0,6%), en données CVS-CJO. Au cours de ces trois mois, on estime que les mises en chantier de logements ont été inférieures (-1,7%) à leur moyenne des 12 mois précédant le premier confinement.D'octobre 2021 à septembre 2022, 512.400 logements ont été autorisés à la construction, soit 46.600 de plus qu’au cours des 12 mois précédents (+10,0%). Dans le même temps, on estime que 386.000 logements ont été mis en chantier, soit 1.700 de plus (+0,4%) que lors des 12 mois précédents (octobre 2020 à septembre 2021). Si on prend comme point de comparaison les 12 mois précédant la crise sanitaire (mars 2019 à février 2020), les nombres de logements autorisés et commencés au cours des 12 derniers mois sont supérieurs de respectivement 11,5% et 0,6%.Logements autorisésD’octobre 2021 à septembre 2022, 512.400 logements ont été autorisés à la construction, soit 46.000 de plus qu’au cours des 12 mois précédents (+10,0%).Les autorisations de logements collectifs ordinaires (+18,6%) et de logements individuels groupés (+18,7%) ont connu la plus forte progression, devant celles de logements en résidence (+14,5%). Les logements individuels purs sont en baisse (-5,9%).Logements mis en chantierAu cours des douze derniers mois, on estime que 386.000 logements ont été mis en chantier, soit 1.700 de plus (+0,4%) que lors des 12 mois précédents (octobre 2020 à septembre 2021).Les logements individuels purs (+10,0%) auraient connu une forte progression. En revanche, les logements individuels groupés (-2,8%), les logements collectifs ordinaires (-3,7%) et les logements en résidence (-6,6%) auraient diminué.
Il y a 2 ans et 194 jours

Quatre ans après l'écroulement mortel rue d'Aubagne, Marseille veut tourner la page

Après "une période de deuil nécessaire et le temps du contentieux" juridique, qui a permis le rachat par les pouvoirs publics des immeubles de tout un segment de la rue d'Aubagne menacé suite à ces écroulements, "on arrive à une période de maturité", a renchéri Sophie Camard, maire des 1er et 7e arrondissements de Marseille, lors d'une conférence de presse bilan sur le présent et l'avenir de ce quartier de Noailles frappé par le drame.Huit personnes avaient perdu la vie dans l'écroulement des 63 et 65 de la rue d'Aubagne, le 5 novembre 2018. Puis 5.000 autres avaient été évacuées et relogées, poussées dehors par les dizaines d'arrêtés de péril pris les mois suivants.Au delà du 67, démoli par précaution juste après les faits, tous les immeubles du 69 au 83 de la rue, déclarés inhabitables, sont restés vides jusqu'à aujourd'hui. Et l'Etablissement public foncier régional (EPF) de la Région Provence-Alpes-Côte-d'Azur a peu à peu racheté ces logements, pour dédommager les propriétaires et permettre les travaux, a appelé la municipalité mardi.D'après la mairie, 80% des cas ont été résolus à l'amiable. D'autres ont vu surgir des conflits sur le prix de rachat, nécessitant de passer par la justice.Au moins deux contentieux sont encore en cours pour l'expropriation des derniers propriétaires de ces immeubles, selon différentes sources contactées par l'AFP au sein des collectifs citoyens créés dans le sillage de cette tragédie.L'EPF "a profité d'un effet d'aubaine, de propriétaires en dépression, qui ont accepté" pour se débarrasser de leur bien et tourner la page, a estimé auprès de l'AFP Kévin Vacher, porte-parole du Collectif du 5 novembre né après la catastrophe.Si le site des trois immeubles disparus, du 63 au 67, a été réservé pour des équipements publics, le projet reste encore à définir. Recueillies en 2022, des contributions citoyennes poussent à "ne surtout pas en faire un sanctuaire et une béance", a précisé Mme Camard.Après les commémorations des quatre ans du drame, début novembre, un atelier est prévu le 20 novembre, pour faire se rencontrer associations et acteurs publics pour bâtir un projet, a-t-elle ajouté.Quant aux futurs appartements des immeubles du 69 au 83, les acteurs publics se sont engagés à ce que 70% d'entre eux soient des logements sociaux, a souligné Mathilde Chaboche. A l'issue de leur acquisition définitive, ces immeubles seront rénovés, dans la mesure du possible, ou rasés et reconstruits en cas d'impératifs.
Il y a 2 ans et 194 jours

Amiante : audience le 9 mars avant un éventuel procès pénal à Paris

Au cours d'une audience intermédiaire, les avocats de la défense ont demandé mercredi à ce que soient examinés lors d'une audience séparée les exceptions de nullité qu'ils entendent soulever sur la citation directe visant leurs clients.La citation directe permet à la victime d'une infraction ou au procureur de la République de saisir directement un tribunal pénal. Dans ce genre de procédure, il n'y a pas d'investigations menées par des magistrats. Charge aux plaignants de collecter les éléments de preuve et de désigner les suspects.Celle-ci a été adressée à quatorze anciens représentants de ministères, des dirigeants d'entreprises ou des médecins, âgés de 62 à 84 ans, qui auraient cherché à retarder l'interdiction de la fibre cancérigène, intervenue en 1997. Les plaignants souhaitent qu'ils répondent de leurs liens avec le Comité permanent amiante (CPA), décrit dans un rapport sénatorial de 2005 comme un "lobby" pro-amiante actif entre 1982 et 1995, alors que toutes les variétés d'amiante étaient classées cancérigènes par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) depuis 1977."Les faits ont plus de trente ans, certaines personnes citées ont bénéficié d'un non-lieu pour des faits similaires", a pointé Me Benoît Chabert, avocat de la défense, tout en reconnaissant la "douleur légitime" des plaignants. La procureure et cheffe du pôle santé publique Laëtitia Costantini s'est également prononcée en faveur d'une audience consacrée à la recevabilité, notamment parce qu'il y a parallèlement encore de nombreux dossiers en cours d'instruction."C'est un dossier hors normes, qui pose des difficultés matérielles, d'organisation pour accueillir" les 1.800 plaignants "s'ils le souhaitent", a relevé la présidente du tribunal, Sylvie Moysan qui a accepté cette demande d'audience préliminaire.Les avocats des victimes ont au contraire estimé qu'il n'y avait pas "d'impossibilité absolue" justifiant de déroger à la règle d'examiner la recevabilité avec le fond, lors d'un seul procès. Une vingtaine de plaignants comptent témoigner à la barre."Certains sont décédés récemment, ou ont développé récemment une maladie. Pour les victimes, ce ne sont pas des faits d'il y a trente ans", a souligné Me Virginie Lemarié-Faure.La plupart des cancers liés à l'amiante, fibre utilisée notamment dans le bâtiment, l'automobile et le textile jusqu'à son interdiction, concernent le tissu pulmonaire, les bronches ou la plèvre, et se déclarent généralement de nombreuses années après y avoir été exposé.
Il y a 2 ans et 194 jours

SNCF Voyageurs achète de l'énergie photovoltaïque

Le contrat prévoit la construction d'ici à 2025 de quatre centrales photovoltaïques, dans l'Aude, en Haute-Garonne et en Gironde, totalisant une puissance de 146 MW, qui devraient produire 207 GWh par an à l'horizon 2025/26.L'électricité produite dans ces nouvelles centrales sera intégralement vendue à SNCF Energie, une filiale à 100% de SNCF Voyageurs, pour les besoins en électricité de la compagnie, selon un communiqué."Cette production représente 3,6% de la consommation d'électricité nécessaire à la circulation des trains de SNCF Voyageurs, ou bien encore l'équivalent de la consommation électrique annuelle du RER D en Ile-de-France", a-t-elle relevé.L'objectif de SNCF Voyageurs est de disposer à l'horizon 2026/27 de 1.100 GWh d'électricité d'origine renouvelable issue de tels contrats --des contrats d'achat direct d'électricité renouvelable de très longue durée, dits "corporate PPA"--, soit 20% de ses besoins électriques pour la traction de ses trains.Ce type de contrat permet également à SNCF Voyageurs de rendre son coût d'approvisionnement en électricité moins dépendant de la volatilité des prix de marché, a relevé la compagnie.
Il y a 2 ans et 194 jours

Une étude dévoile l'impact de l’éolien terrestre en France

En se substituant au nucléaire et aux énergies fossiles, l’éolien terrestre a créé 1,1 Md€ de valeur ajoutée nette en 2021 et plus de 17.900 emplois nets sur dix ans. La valeur ajoutée directe et indirecte nette créée par le développement de la filière s’élève à 570 M€ en 2021, à laquelle s’ajoutent 568 M€ de valeur ajoutée créée par les effets d’entraînement sur le reste de l’économie. Le développement de la filière éolienne a également permis la création de presque 10.700 emplois directs et indirects entre 2012 et 2021. Les effets en chaîne ont permis de créer 7.200 emplois supplémentaires sur la période. Ces emplois et cette valeur ajoutée sont présents dans l’économie en 2021 et se sont déployés depuis dix ans.L’évaluation de l’impact économique net du développement de la filière éolienne sur les dix dernières années nécessite de prendre en compte les effets de substitution. La hausse de la production éolienne s’est réalisée au détriment d’autres sources d’électricité et l’impact économique de l’éolien doit intégrer ces effets de substitution. En outre, la perte de valeur dans les énergies substituées est différente lorsque la baisse repose sur des fermetures de centrales ou sur une baisse du facteur de charge de centrales toujours en activité. Asterès estime que depuis dix ans, 63% de la production éolienne supplémentaire s’est substituée à du nucléaire, dont 23% à la fermeture de Fessenheim, 27% s’est substituée au charbon, dont 27% à des fermetures de centrales, et 10% s’est substituée au fioul, dont 9% à des fermetures de centrales.Le développement de la filière éolienne a créé 889 M€ de valeur ajoutée directe et indirecte en France et plus de 16.000 emplois. En parallèle, 318 M€ de valeur ajoutée et 5.500 emplois ont été perdus dans les autres filières par effet de substitution. L’estimation de la valeur ajoutée directe et indirecte logée en France distingue trois cas de figure : l’installation d’éoliennes, la fermeture de centrales existantes et la baisse de charge des centrales qui restent ouvertes. Pour chaque source d’énergie électrique concernée (éolienne, nucléaire, charbon, fioul), des études et des données publiques permettent d’évaluer la part de valeur ajoutée directe et indirecte en France rapportée à l’investissement, au coût total d’exploitation ou aux coûts variables. Pour l’éolien, le taux de valeur ajoutée directe et indirecte en France s’élève à 36% de l’investissement et 66% des coûts pour la phase exploitation. Pour le nucléaire, la valeur ajoutée directe et indirecte représente 84% des coûts d’exploitation, utilisés comme référence pour les fermetures de centrales, et 67% des coûts variables, utilisés comme référence pour les baisses de facteur de charge. Ces mêmes indicateurs sont à 60% et 14% pour le charbon et à 60% et 9% pour le fioul. Ces taux de valeur ajoutée permettent d’évaluer un montant de valeur créée ou détruite en France et un nombre d’emplois créés ou perdus en France pour chaque énergie.Les effets d’entraînement nets du déploiement de l’éolien en France se chiffrent à 568 M€ en 2021 et plus de 7.200 emplois sur dix ans. La valeur ajoutée directe et indirecte nette logée en France implique des commandes auprès de fournisseurs et des consommations par les salariés. Ces deux stimuli créent des effets d’entraînement dans l’économie chiffrés grâce au Modèle d’Impact d’Asterès (MIA) qui permet de suivre l’ensemble des flux économiques générés par une entreprise ou un secteur.À horizon 2030, l’impact économique du développement de la filière éolienne devrait être à nouveau positif, à hauteur de 1,1 Md€ de valeur ajoutée nette et de 17.500 emplois. La méthode suivie pour évaluer l’impact économique du déploiement de l’éolien depuis dix ans peut être utilisée pour se projeter à 2030. La principale différence repose sur le coût futur de l’éolien, en baisse, et sur le type de substitution. En effet, d’ici 2030, une partie non-négligeable de l’électricité produite en plus sera de la création nette quand une partie se substituera au gaz et une autre à la consommation directe d’essence et de fioul (en plus des classiques nucléaire et électricité à base de fioul et de charbon comme pour la période 2012 – 2021). Dans le détail, le développement futur de la filière éolienne devrait créer 472 M€ de valeur ajoutée directe et indirecte nette pour l’économie française en 2030. Ces effets directs et indirects devraient eux-mêmes entraîner la création de 599 M€ de valeur ajoutée supplémentaire via les effets d’entraînement. La croissance de la filière éolienne devrait ainsi permettre de créer presque 9.900 emplois directs et indirects et plus de 7.500 emplois supplémentaires par effet d’entraînement entre 2021 et 2030, soit approximativement 17.500 emplois au total.Le cabinet ASTERES a été mandaté par CGN Europe Energy pour travailler sur l’impact économique de l’éolien en France. Les économistes d’ASTERES ont bénéficié d’une totale indépendance dans la conduite de cette étude. Les sources de l’ensemble des données utilisées sont disponibles dans l’étude.
Il y a 2 ans et 194 jours

Sophie Sabot-Barcet première femme élue à la tête du Conseil supérieur du notariat

Notaire à Monistrol-sur-Loire (Haute-Loire), la nouvelle présidente remplace à ce poste le notaire isérois David Ambrosiano, pour un mandat de deux ans."Je souhaite (...) que l'on continue à tirer davantage les conséquences de notre mission de service public dans le monde d'aujourd'hui, dans une relation de confiance avec l'État, mais aussi que l'on conforte les fondements des entreprises notariales", a déclaré Mme Sabot-Barcet, âgée de 51 ans, citée dans un communiqué.Le CSN est l'organisation professionnelle du notariat en France, seule habilitée à s'exprimer au nom de tous les notaires. Il représente la profession auprès des pouvoirs publics, détermine sa politique générale, donne son avis sur les projets de lois et fournit des services aux notaires.La France compte plus de 17.000 notaires pour quelque 5,48 millions d'actes établis chaque année, selon le CSN, établissement d'utilité publique créé en 1941.Les notaires sont délégataires de l'autorité de l'État et participent à ce titre au service public de la publicité foncière ainsi qu'à la collecte de la recette fiscale.
Il y a 2 ans et 194 jours

Les machines sans fil Würth : la révolution M-CUBE®

« Il n’y a pas de meilleurs conseils que ceux de nos clients »Marteau perforateur, meuleuse d’angle, visseuse-perceuse, pistolet mastic … Toutes les machines électroportatives ont été conçues à partir des retours d’expériences des clients Würth.Puissantes, légères et ergonomiques, elles vous apporteront sécurité, confort et efficacité au quotidien.Grâce au concept M-CUBE®, utilisez la même batterie sur toutes les machines de la gamme. Les différentes capacités proposées vous garantissent une durée de vie élevée, une utilisation optimale de la puissance délivrée, et cela en toute autonomie !Quels avantages et bénéfices ? Un travail agréable et sans fatigue grâce à une conception compacte, ergonomique et légère.Des modèles robustes pour garantir une résistance élevée aux chocs.Un système de batterie interchangeable pour gagner un temps précieux.Des machines puissantes et résistantes pour garantir des performances maximales.Configurez votre pack de machines grâce au guide de choix M-CUBEWürth a conçu un outil pour vous permettre de configurer votre coffret ou pack de machines sans fil M-CUBE® sur mesure en fonction de :La formule souhaitée (le nombre de machines) : solo, duo ou trioLe voltage : 12 à 18VLa ou les machines adaptée(s) à votre métier : visseuse, scie, meuleuse, marteau perforateur …Le contenant désiréLes accessoires adaptésAvec ce configurateur M-CUBE®, composez vous-même votre ensemble de machines sur mesure et adaptées à votre activité. Découvrez le configurateur en cliquant sur ce lien.La dernière innovation M-CUBE® : la radio sans fil et enceinte BLUETOOTH®Profitez d’un son de qualité en toutes circonstances et sur tous vos chantiers grâce à la radio sans fil, compacte et pratique ! Avec la radio et enceinte sans fil BLUETOOTH® de la gamme M-CUBE®, vous pourrez notamment :Naviguer parmi les différentes stations grâce à sa fonction radio FM avec assistant vocal.Ecouter de la musique où que vous soyez grâce à la fonction TWS (True Wireless Stereo), et profiter ainsi d’un son stéréo encore plus riche et amélioré.Ergonomique et robuste, vous pourrez également charger vos appareils portables grâce à sa connexion USB intégrée. Un concentré d’innovation pour faciliter votre quotidien et rendre le travail sur vos chantiers plus agréable.Consultez la documentation technique des différentes machines M-CUBE® directement depuis la liste de fiches produits en cliquant sur ce lien.
Il y a 2 ans et 194 jours

Accord des 27 membres de l'UE pour doper la rénovation énergétique alors que Paris et Berlin souhaitent un texte plus ambitieux

Alors que la position des Etats membres, adoptée à la majorité qualifiée au Luxembourg par les ministres de l'Energie, fera désormais l'objet de négociations avec le Parlement européen, les pays déçus misent sur ces futures discussions pour muscler les exigences du projet.Basé sur une proposition législative de la Commission européenne, le texte adopté mardi vise à ce qu'à partir de 2030, tous les bâtiments neufs soient neutres en carbone (dès 2028 pour les bâtiments publics), grâce à une consommation modérée et en étant alimentés et chauffés par des énergies décarbonées.Les bâtiments existants, eux, devraient être transformés pour devenir à zéro émission d'ici 2050. Des normes minimales de performance énergétique (avec un seuil maximal de consommation annuelle d'énergie primaire par m2) seraient introduites afin d'encourager les rénovations.Des exceptions sont ménagées pour les bâtiments historiques, religieux ou militaires.Selon le texte, chaque pays devrait se fixer des objectifs intermédiaires entre 2025 et 2050 pour la réduction de la consommation moyenne d'énergie primaire dans l'ensemble de son parc immobilier résidentiel, avec l'idée que celle-ci "soit au moins équivalente au niveau de la classe de performance énergétique D d'ici 2033".Les États devraient publier des plans nationaux détaillant leurs objectifs aux horizons 2030, 2040 et 2050 concernant le taux annuel de rénovation énergétique et la consommation d'énergie totale du parc immobilier.Et d'ici 2029, tous les bâtiments neufs devraient être conçus "de manière à optimiser leur potentiel de production d'énergie solaire" sur leurs toits et façades.Ce texte est un élément-clé du plan climat européen: les bâtiments représentent dans l'UE 40% de la consommation d'énergie et 36% des émissions de gaz à effet de serre directes et indirectes liées à l'énergie.Dans une déclaration commune, six pays (France, Belgique, Allemagne, Irlande, Luxembourg, Pays-Bas) ont jugé que "les ambitions pour les standards minimaux de performance énergétique devaient être relevés substantiellement" et réclamé des objectifs intermédiaires constituant une "trajectoire linéaire" vers 2050.Faute d'avoir convaincu les autres Etats, ils comptent sur les négociations, courant 2023, avec les eurodéputés pour "renforcer l'ambition" du projet."Compte tenu de normes minimales de performance différentes dans chaque pays, le texte est amené à repousser les premières étapes contraignantes à 2040: c'est dangereux, ça nous met en risque par rapport à nos objectifs climatiques", a plaidé la ministre française de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher.
Il y a 2 ans et 194 jours

Accord des 27 états membres de l'UE pour doper la rénovation énergétique malgré des réticences de Paris et Berlin

Alors que la position des Etats membres, adoptée à la majorité qualifiée au Luxembourg par les ministres de l'Energie, fera désormais l'objet de négociations avec le Parlement européen, les pays déçus misent sur ces futures discussions pour muscler les exigences du projet.Basé sur une proposition législative de la Commission européenne, le texte adopté mardi vise à ce qu'à partir de 2030, tous les bâtiments neufs soient neutres en carbone (dès 2028 pour les bâtiments publics), grâce à une consommation modérée et en étant alimentés et chauffés par des énergies décarbonées.Les bâtiments existants, eux, devraient être transformés pour devenir à zéro émission d'ici 2050. Des normes minimales de performance énergétique (avec un seuil maximal de consommation annuelle d'énergie primaire par m2) seraient introduites afin d'encourager les rénovations.Des exceptions sont ménagées pour les bâtiments historiques, religieux ou militaires.Selon le texte, chaque pays devrait se fixer des objectifs intermédiaires entre 2025 et 2050 pour la réduction de la consommation moyenne d'énergie primaire dans l'ensemble de son parc immobilier résidentiel --avec l'idée que celle-ci "soit au moins équivalente au niveau de la classe de performance énergétique D d'ici 2033".Les Etats devraient publier des plans nationaux détaillant leurs objectifs aux horizons 2030, 2040 et 2050 concernant le taux annuel de rénovation énergétique et la consommation d'énergie totale du parc immobilier.Et d'ici 2029, tous les bâtiments neufs devraient être conçus "de manière à optimiser leur potentiel de production d'énergie solaire" sur leurs toits et façades.Ce texte est un élément-clé du plan climat européen: les bâtiments représentent dans l'UE 40% de la consommation d'énergie et 36% des émissions de gaz à effet de serre directes et indirectes liées à l'énergie.Dans une déclaration commune, six pays (France, Belgique, Allemagne, Irlande, Luxembourg, Pays-Bas) ont jugé que "les ambitions pour les standards minimaux de performance énergétique devaient être relevés substantiellement" et réclamé des objectifs intermédiaires constituant une "trajectoire linéaire" vers 2050.Faute d'avoir convaincu les autres Etats, ils comptent sur les négociations, courant 2023, avec les eurodéputés pour "renforcer l'ambition" du projet."Compte tenu de normes minimales de performance différentes dans chaque pays, le texte est amené à repousser les premières étapes contraignantes à 2040: c'est dangereux, ça nous met en risque par rapport à nos objectifs climatiques", a plaidé la ministre française de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher.
Il y a 2 ans et 194 jours

Brico Dépôt propose de financer l’audit énergétique de ses clients

Première enseigne de bricolage à financer l’audit énergétiqueOutil de diagnostic indispensable, réalisé par un professionnel qualifié, l’audit énergétique établit des préconisations de travaux afin d’améliorer significativement l’efficacité énergétique d’un logement. A partir du 1er avril 2023, cet audit devient obligatoire en cas de vente d’un logement dont le diagnostic de performance énergétique (DPE) est de classe F ou G. Et pour que le coût de cet audit ne soit pas un frein pour les Français [1], Brico Dépôt finance à 100% celui-ci pour ses clients encartés [2] dès lors qu’ils réalisent des travaux de rénovation énergétique avec Ynergie, partenaire de l’enseigne et délégataire CEE [3].C’est une grande nouveauté dans le secteur puisque l’enseigne est la première à proposer cette offre qui débute le 24 octobre prochain sur tout le territoire national et se prolongera jusqu’à fin janvier 2023. Dans le cadre des travaux réalisés avec Ynergie, le client bénéficie d’un accompagnement, tout au long de son projet, de la phase de conseils jusqu’à la réception des travaux, en passant par le financement, le calcul des aides (l’audit étant éligible à Ma Prime Rénov’), le pilotage ou encore la maitrise des dépenses.Pour Peggy Sadier, Directrice E-Commerce et Expérience Clients de Brico Dépôt : « Avec les équipes, nous avons constaté que de nombreux clients n’osaient pas se lancer dans leur projet, faute de connaissance, d’assistance et de conseil. Avec Ynergie, nous avons pensé ce service comme un véritable facilitateur de travaux. Notre ADN repose sur la simplicité, la qualité et l’accessibilité de nos produits, et c’est ce que nous avons voulu retranscrire avec le financement de l’audit énergétique : faire de la rénovation énergétique de son logement une expérience à la fois simple, humaine et performante. »Le financement intégral de l’audit énergétique s’inscrit dans le cadre d’un dispositif plus global d’actions déjà déployées par Brico Dépôt en faveur de la rénovation énergétique. L’enseigne propose depuis toujours des produits d’isolation, de chauffage, de menuiserie, d’outillage, etc. qui permettent de réaliser des économies d’énergie. Afin de continuer à proposer les prix les plus compétitifs du marché, l’enseigne a anticipé, avant l’été, des arrivages spéciaux liés à la rénovation énergétique (Chauffages, isolants en laine de verre, poêle à bois/granulés, fenêtres...). Ces opérations promotionnelles permettent aux Français d’anticiper leurs achats et de réaliser une double économie :À la caisse : avec des prix bas ;À l’investissement : avec des produits qui permettent de faire des économies d’énergie.[1] En fonction des revenus, l’audit énergétique peut coûter jusqu’à 600 €[2] La carte de fidélité de Brico Dépôt est gratuite[3] Certificats d'économies d'énergieBrico Dépôt, l’atout anti-crise pour le pouvoir d’achat des FrançaisLe contexte actuel de tensions sur le pouvoir d’achat rend l’accompagnement de Brico Dépôt encore plus pertinent reposant sur la force d’un modèle éprouvé : des produits essentiels à des prix bas et en quantité « chantier » sans compromis sur la qualité, des marques propres exclusives et une dynamique commerciale avec notamment des arrivages. Aujourd’hui, l’enseigne accélère sa modernisation au service de l’expérience client, en capitalisant sur des équipes expertes et engagées, au siège comme en dépôt.Pour Laurent Vittoz, Directeur d’enseigne de Brico Dépôt : « J’ai la conviction que c’est dans les situations de tension économique, comme celle que nous traversons actuellement, que notre positionnement de discounter peut encore plus faire la différence pour nos clients. Pour Brico Dépôt, garantir des prix compétitifs, ce n’est pas seulement un slogan, c’est avant tout un contrat de confiance entre l’enseigne et ses clients. Et nous sommes déterminés à tenir nos promesses en proposant des actions concrètes comme le financement de l’audit énergétique ou bien le remboursement de deux fois la différence si nos clients trouvent moins cher ailleurs. »
Il y a 2 ans et 194 jours

Action cœur de ville à Brignoles : NGE Immobilier pose la 1ere pierre du projet Cours Liberté

Ces ouvrages sont édifiés dans une opération d’aménagement confiée par la Ville de Brignoles à la SEM Var Aménagement Développement (VAD), relevant du dispositif Action Cœur de Ville. Ils symbolisent le renouveau du centre-ville de la sous-préfecture varoise.Conçu par l’architecte toulonnais Thierry Ami (Agence Flex Architectes) et construit par NGE BATIMENT, cet ensemble immobilier d’environ 8.200 m2 labellisé NF Habitat HQE comportera à sa mise en exploitation en 2024 :une emblématique offre culturelle avec un complexe cinématographique de six salles (848 fauteuils), grand public et art et essai, exploité par Cinéwest – 8ème opérateur français ;un établissement pour personnes âgées dépendantes et une résidence pour séniors avec services (92 chambres/logements au total), exploité par le Groupe Korian ;des commerces et un parc de stationnement de 250 places accessible au public.Générateur d’emplois et d’insertion, le chantier mobilise le réseau d’entreprises locales avec 150 compagnons attendus pour sa réalisation et participe au développement économique du territoire. Une opération d’insertion professionnelle menée en collaboration avec les Apprentis d’Auteuil du Var est en cours pour une POEI (préparation opérationnelle à l'emploi individuelle) aides maçons coffreurs bancheurs est en cours. A l’issue de leur cursus, un contrat à durée indéterminée sera proposé aux 11 stagiaires.Pour David Taglioni, Directeur Général de NGE Immobilier : « Nous sommes particulièrement fiers de contribuer au rayonnement de Brignoles et tout particulièrement de donner vie au futur pôle culturel de son centre-ville. Voilà un projet immobilier démonstrateur des engagements patrimoniaux, sociétaux et environnementaux de NGE Immobilier : Avec la conservation du fronton historique de l’ancien collège Liberté, le projet s’insère dans un site particulièrement riche de bâtiments remarquables. Il contribue à son rayonnement touristique. Particulièrement engagé sur le volet environnemental, le projet est mené dans une démarche « chantier faible nuisance » avec un ambitieux objectif de réemploi. Il concrétise l’engagement de NGE Immobilier en matière d’opérations à faible impact environnemental. »
Il y a 2 ans et 194 jours

Face à la crise énergétique, France Chaleur Urbaine présente une solution économique et écologique pour tous les ménages français

Pour Elisabeth Borne, Première Ministre : « Nous vivons une période de bascules. La guerre en Ukraine bouscule l’ordre international et nous n’avons pas fini d’en mesurer les conséquences. La crise énergétique nous pousse à revoir nos habitudes et à accélérer pour sortir, plus vite, de la dépendance aux énergies carbonées. »France Chaleur Urbaine contribue à cet objectif en facilitant le raccordement des bâtiments aux réseaux de chaleur. Alimentés par des sources d’énergies renouvelables ou de récupération comme la géothermie, la biomasse ou la chaleur issue de l’incinération des déchets, les réseaux de chaleur offrent un mode de chauffage à la fois écologique et économique. Le raccordement aux réseaux de chaleur est particulièrement adapté pour des bâtiments actuellement chauffés au gaz ou au fioul collectif, et représente une excellente option pour sortir des énergies fossiles.La plupart des métropoles françaises disposent de cette possibilité de raccordement. Entièrement financé par l’Etat, France Chaleur Urbaine se porte en tiers de confiance entre les copropriétaires ou les acteurs du secteur tertiaire souhaitant adopter ce mode de chauffage, et les gestionnaires de réseaux de chaleur pouvant offrir ce raccordement.Aujourd'hui, 2,4 millions d’équivalent-logements sont déjà raccordés et environ 5,6 millions de tonnes de CO2 sont évitées chaque année grâce à l’utilisation de ces réseaux de chaleur.Le raccordement aux réseaux de chaleur, mis en avant dans le plan de sobriété énergétique du gouvernement, est soutenu par des aides financières importantes, au titre du nouveau Coup de pouce chauffage des bâtiments résidentiels collectifs et tertiaires. Le reste à charge moyen pour le raccordement d’une copropriété est estimé à 250 € par logement seulement ! Le coût de la chaleur est également compétitif, avec un taux de TVA réduit à 5,5% (le plus bas du marché), et des prix plus stables que ceux des énergies fossiles.Se raccorder à un réseau de chaleur, c’est ainsi diminuer ses émissions de gaz à effet de serre et maîtriser son budget de chauffage, qui aujourd’hui explose tous les records.
Il y a 2 ans et 194 jours

Kiloutou teste Ellectramobilys, un camion-benne 100% électrique

À l’occasion du Mondial de l’Automobile 2022, Ellectramobilys présente sa solution Muses dans sa version camion-benne, actuellement testée par Kiloutou.Au sein du parc de matériel de location actuel de Kiloutou, les camion-bennes sont les engins les plus émetteurs de CO2. Kiloutou explore ainsi des solutions qui pourraient réduire leur impact. Muses d’Ellectramobilys est un véhicule utilitaire à motorisation électrique qui pourrait répondre à cette problématique, notamment rencontrée par les majors du BTP, les artisans, collectivités ou même particuliers opérant déplacements et chargements de matériels et matériaux légers en zones urbaines.Muses, un véhicule électrique agile et performant qui ouvre un champ prometteur de co-développement avec KiloutouLe véhicule Muses dispose d’une autonomie allant de 138 à 260 km selon la puissance de batterie utilisée et d’une charge utile de 670 kg. Son format compact et son faible niveau d’émissions sonores (75 dB) en font un véhicule performant et agile.Le modèle testé par Kiloutou possède, à ce stade, de nombreux atouts dont :une benne triverse (un service complet, autorisant indifféremment les déchargements par l’arrière, par la droite ou la gauche),un seuil de chargement très bas ainsi qu’un poste de conduite central qui en fait aussi un allié de prévention et de sécurité pour ses utilisateurs.Sa très grande modularité ouvre aussi un terrain de co-développement en matière de carrosserie ou de solution de recharge, des perfectionnements aussi intéressants qu’indispensables pour Kiloutou dont l’objectif est d’accélérer le développement d’une solution particulièrement adaptée aux besoins de ses clients.Ellectramobilys, un fournisseur qui va au-delà de la charte fournisseur responsable définie par KiloutouKiloutou a fait le choix de se rapprocher d’Ellectramobilys pour la qualité de sa solution, notamment sur le plan environnemental : sa conception innovante avec 40% de matière en moins nécessaire à sa fabrication, dont deux fois moins de matière (lithium, cobalt et manganèse) dans sa batterie, réduit considérablement son impact sur les ressources naturelles en comparaison avec un véhicule électrique concurrent. Il en va de même de sa consommation d’énergie en utilisation, divisée par deux par rapport aux autres véhicules utilitaires électriques. Le véhicule Muses est un levier de réduction de l’impact environnemental des chantiers et interventions urbaines.Enfin, Muses est actuellement assemblé en France et sera intégralement produit à partir de 2023 en France.Pour Audrey Miclard, Directrice Développement Durable de Kiloutou : « Notre accélération en R&D s’appuie notamment sur le développement de collaborations étroites avec de nouveaux acteurs engagés comme Ellectramobilys, dont les solutions prometteuses peuvent être testées au sein de notre Centre d’Essai. Parmi les nombreux atouts de Muses, il y a la possibilité de remplacer une batterie vide par une batterie chargée en moins de 3 minutes. Cela favorise la recharge longue, moins gourmande en énergie et protectrice des batteries, sans interrompre l’utilisation du matériel. Ces simplifications d’utilisation sont des points-clés de nos ambitions en matière de R&D. Nous innovons au service de nos clients et pour une filière des matériels durables. »Pour Damien Biro, Président de Muses Europe : « Aujourd’hui, nous présentons un véhicule dédié à un usage utilitaire bien spécifique, qui maîtrise à la fois la masse, l’équation économique et l’équation environnementale. Nous sommes ravis de pouvoir co-développer cette solution avec un acteur comme Kiloutou, aussi engagé pour l'environnement et au réseau solide. »
Il y a 2 ans et 195 jours

La Finlande veut interdire les transactions immobilières russes

"La Finlande doit s'occuper de sa propre sécurité en toutes circonstances", a affirmé à l'AFP le ministre de la Défense Antti Kaikkonen.Mais "la nécessité de poursuivre les travaux a également été identifiée" et le ministère étudie si une interdiction totale des achats immobiliers par les ressortissants et les entreprises russes est nécessaire.La Première ministre Sanna Marin a déclaré dimanche à la chaîne publique Yle qu'elle était "prête à envisager" une interdiction totale et à "la soutenir si les autorités le jugent nécessaire".Le gouvernement finlandais avait déjà proposé la semaine dernière un projet de loi visant à restreindre les transactions immobilières pour les étrangers qui pourraient menacer la "sécurité nationale".Le texte proposé est un amendement visant à renforcer une loi de 2020 qui impose que les transactions effectuées par des particuliers ou des entreprises hors Union européenne ou Espace économique européen (EEE) soient approuvées par le ministère de la Défense.Bien que la loi s'applique à tous les ressortissants non-issus de l'Union européenne, "elle concerne principalement les transactions immobilières effectuées par des citoyens russes et les risques de sécurité qui y sont associés", a expliqué à l'AFP Jonas Kontta, un parlementaire du Parti du Centre et membre de la commission de la Défense.En l'état, le ministère ne peut intervenir que si une transaction compromet la défense nationale, l'intégrité territoriale ou la sécurité des frontières.Le nouveau texte "élargit le rayon" de ce mécanisme, explique à l'AFP Joona Lapinlampi, du département juridique du ministère de la Défense.Ainsi, la nouvelle loi pourrait viser un particulier qui chercherait à acheter une propriété dans les environs immédiats "d'un ministère ou d'une garnison".Le nouveau texte accorderait davantage de pouvoirs à l'État pour enquêter de plus près sur le financement des transactions immobilières potentielles.Les médias finlandais ont évoqué la semaine dernière une transaction dans laquelle un citoyen russe cherchait à acheter une vieille maison de retraite avec une centaine de chambres à proximité de la garnison de Niinisalo dans le sud-ouest du pays.Les services de sécurité et de renseignement finlandais (Supo) ont averti que des propriétaires agissant pour le compte d'un État étranger pourraient permettre que leurs biens soient utilisés pour abriter des troupes étrangères.
Il y a 2 ans et 195 jours

Le projet de loi de réforme de l'assurance chômage en débat au Sénat

Adopté le 12 octobre en première lecture par l'Assemblée nationale, ce texte porté par le ministre du Travail, Olivier Dussopt, prévoit dans un premier temps de prolonger les règles actuelles de l'assurance chômage, issues d'une réforme contestée du premier quinquennat Macron.Il enclenche aussi la possibilité, par décret, de moduler l'assurance chômage afin qu'elle soit "plus stricte quand trop d'emplois sont non pourvus, plus généreuse quand le chômage est élevé", selon les mots d'Emmanuel Macron pendant la campagne présidentielle.Ce "mécanisme de modulation" fait actuellement l'objet d'une concertation entre le gouvernement et les partenaires sociaux qui doit s'achever le 21 novembre."Favorables" au principe de cette modulation, les rapporteurs Frédérique Puissat (LR) et Olivier Henno (centriste) ont souhaité l'inscrire en clair dans la loi.Un nouvel article prévoit dans le code du travail la possibilité de moduler l'assurance chômage en fonction d'indicateurs conjoncturels.Les rapporteurs ont également prévu qu'un demandeur d'emploi ayant refusé trois propositions de CDI à l'issue d'un CDD au cours des douze derniers mois ne puisse pas avoir droit à l'assurance chômage.Ils estiment que la rédaction proposée "permet de bien cibler le refus caractérisé d'un salarié de s'engager dans un emploi stable".A l'Assemblée nationale, des amendements prévoyant la même mesure avaient été déposés par des députés Horizons et MoDem, mais retirés à la demande du gouvernement qui souhaitait retravailler une telle disposition.Elle va en tout cas faire débat dans l'hémicycle, la gauche accusant la majorité sénatoriale de "durcir" le texte du gouvernement. A contrario, des sénateurs LR souhaitent aller plus loin en réduisant le nombre à un seul CDI refusé.Quant à la disposition assimilant "l'abandon de poste" à une démission, introduite à l'Assemblée par des amendements de la majorité présidentielle et des LR, les sénateurs ont précisé la procédure applicable afin de la "sécuriser".La gauche est vent debout contre un texte qui "stigmatise les demandeurs d'emploi et les fait passer pour des profiteurs", selon les termes de Monique Lubin.Le groupe CRCE à majorité communiste défendra une motion de rejet d'emblée du projet de loi."Cap du paritarisme"C'est surtout sur l'article premier du texte qui prévoit la prolongation - au plus tard jusqu'au 31 décembre 2023 - des règles actuelles de l'assurance chômage que la majorité sénatoriale a marqué sa différence avec le gouvernement en commission. "Nous souhaitons redonner la main aux partenaires sociaux", a expliqué à l'AFP Mme Puissat. "On maintient le cap du paritarisme qui correspond à l'ADN du Sénat, dans l'esprit de la loi Larcher" de 2007, a précisé M. Henno.Sur ce point, droite et gauche se rejoignent.La date limite a été ramenée au 31 août 2023 en commission. Cette période "devra être utilisée pour engager des concertations destinées à faire évoluer la gouvernance de l'assurance chômage", a indiqué Mme Puissat.Un amendement abroge les dispositions du Code du travail prévoyant depuis 2018 la procédure de négociation d'un accord sur la base d'une "lettre de cadrage" afin de revenir à une "lettre d'orientation" qui "ne préempte pas la conclusion".Autre point rectifié par les sénateurs en commission: les paramètres du bonus-malus, dispositif qui a vocation à limiter les contrats courts. Ils ont notamment exclu du dispositif les fins de missions d'intérim.Un autre volet du projet de loi prévoit de faciliter la validation des acquis de l'expérience (VAE). Les sénateurs souhaitent l'ouvrir encore davantage.Une fois le texte voté par le Sénat - sans doute jeudi -, députés et sénateurs tenteront de s'accorder sur une version commune en commission mixte paritaire. Mais un accord n'est pas acquis. D'autant que le gouvernement a déposé des amendements pour tenter de revenir sur les dispositions les plus importantes adoptées en commission.
Il y a 2 ans et 195 jours

Le gouvernement veut interdire la location des "passoires thermiques" sur Airbnb

"Il est hors de question que les propriétaires de +passoires thermiques+ se réfugient [sur Airbnb]", a martelé le ministre sur BFM Business.En vertu de la loi Climat et résilience de 2021, les biens notés F et G en diagnostic de performance énergétique (DPE) seront progressivement interdits à la location à partir de janvier 2023. Cette interdiction ne devait toutefois pas s'appliquer aux biens destinés à la location touristique."Il faut qu'on travaille pour que ce soit les mêmes règles", a indiqué M. Klein, assurant que le gouvernement "se donnera les moyens pour mettre les garde-fous nécessaires".Ce décalage était dénoncé par les professionnels de l'immobilier, qui craignaient de voir des propriétaires transformer leurs logements en locations touristiques de courte durée dans un contexte où les biens à louer se font de plus en plus rares.Selon un sondage auprès de professionnels commandé en septembre dernier par la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim), 6% des propriétaires de passoires thermiques envisageaient ainsi cette solution."Depuis des mois, nous alertons sur ce scandale (...) Message entendu par le Ministre. Tant mieux ! ", a réagi le maire adjoint de Paris en charge du logement, Ian Brossat (PCF), sur Twitter.
Il y a 2 ans et 195 jours

Premiers résultats de l'Observatoire Santé et Qualité de vie urbaine

Son principe : transposer aux habitants d’une zone urbaine les grilles d’analyse des risques psychosociaux utilisées en entreprise pour conseiller les municipalités sous l’angle de la “santé psychologique” de leurs riverains. Testées depuis début 2022 sur un échantillon de plus de 3.000 répondants dans 58 départements, les premiers chiffres de référence nationaux viennent d’être publiés, afin de pouvoir ensuite être comparés avec les villes qui souhaiteront analyser le ressenti de leurs habitants.De premiers indicateurs riches de pistes de réflexion pour les municipalitésLa création d'un Observatoire National de mesure de la Qualité de Vie Urbaine (QVU) est une première en France qui évalue de manière scientifique la perception qu’ont les habitants de leur cadre de vie. A travers 98 questions regroupées en 11 dimensions, 4 modérateurs de QVU sont estimés : facteurs de protection, de risque, levier, vigilance. Leur analyse permet de répondre à la question « comment vont les français dans leur quartier/ville » en :Identifiant les impacts négatifs comme le stress éprouvé ou la santé morale et physique perçue.Distinguant les impacts positifs, source de bien-être et de qualité de vie urbaine appréciée par les habitants.L’Observatoire National de mesure de la Qualité de Vie Urbaine permettra aux collectivités et municipalités de :Procéder à un référendum continu, puissant facteur de satisfaction pour leurs populations.Redonner de la force et de la légitimité à l'expérience citoyenne et à la vie politique locale.Les principaux chiffres de l’Observatoire Santé et Qualité de Vie Urbaine montrent que les Français évaluent positivement leur qualité de vie urbaine, avec la note de 69/100.Stress : 15,2/40Santé physique : 67/100Santé morale : 66/100QV personnelle : 70/100Au-delà de ces résultats bruts, moyenne nationale de comparaison, ces indicateurs ont pour objectif de mettre en lumière les facteurs prioritaires aux yeux de ceux qui vont le mieux, et inversement, afin que les municipalités et collectivités puissent mettre en place des projets qui visent l’amélioration continue.Pour Barbara Attia : « Pour l’heure, le questionnaire aborde l’ensemble des dimensions dont on sait, de par la littérature, qu’elles ont un impact sur la santé et la qualité de vie des habitants : sentiments de liberté, de sécurité ou d’appartenance, attachement au lieu, importance du soutien social, des souvenirs etc ; tout en évaluant leurs perceptions à propos de leur environnement urbain : l’espacement des constructions, la beauté des bâtiments, les différents espaces disponibles, l’accessibilité, l’exposition à différents risques etc. Le croisement de ces données permet de faire à la fois un état des lieux de la santé globale des riverains mais aussi de donner une définition d'un environnement urbain de qualité. »Analyse qualitative des 1ers résultats de l’Observatoire Santé et Qualité de Vie UrbaineLes impacts positifs sur la Qualité de Vie Urbaine sont :Les facteurs de protection stratégiques : la sensation d’être bien intégré dans son quartier et la réputation de ce dernier, le soutien social perçu, les contacts visuels établis dans son environnement urbain de proximité, l’offre d’activités proposée pour les enfants, le volume des bâtiments.Les leviers pour l’amélioration de la Qualité de Vie Urbaine : l’importance du tissu associatif, la facilité à d’accès aux sanitaires, la présence d’équipements médicaux, le sentiment d’être consulté et la possibilité de mener des actions en faveur de l’écologie,Les impacts négatifs sur la Qualité de Vie Urbaine sont :La gêne provoquée par les bruits de voisinage ainsi que la gêne provoquée par la gestion des ordures et des déchets, la sensation d’oppression et le risque sécuritaire sont les points de vigilance auxquels prêter la plus grande attention.Enfin, la sensation que l’on construit trop est le facteur de risque prioritaire pour la population française aujourd’hui.Analyse quantitative des 1ers résultats de l’Observatoire Santé et Qualité de Vie UrbaineGlobalement les femmes sont plus stressées que les hommes (15.9/40 vs 14.2/40).Elles ont également une forme physique et morale moins élevée que les hommes. (F=64.7/100 ; H=68.8/100) (F=63.8/100 ; H= 68.9/100)Avec l’âge le stress diminueLes jeunes âgés de moins de 20 ans présentent le score de stress le plus élevé (18.1/40), les personnes âgées entre 20 et 49 ans sont à peine moins stressées (16.8/40). Dans cette continuité, les personnes âgées entre 50 et 59 ans sont également moins stressées avec 13.2/40, ainsi que les seniors âgés de 70 ans et plus (12.3/40). Plus précisément, les données montrent que les plus stressés sont les étudiants (18.7/40) suivis des personnes en recherche d’emploi (17.6/40) et des personnes ayant signé un contrat à durée déterminée (17.6/40).Des niveaux de forme perçus hétérogènesLes étudiants montrent un niveau de forme morale assez faible (57.6/100) à la différence des cadres et catégories professionnelles supérieures (70.7/100).Les personnes en recherche d’emploi ont une forme physique et morale plutôt faible (58.2 et 57.3/100), comparé aux personnes en activité indépendante qui présentent le plus haut niveau de forme physique (71.1/100).Des retraités et des couples en forme et heureux dans leur quartierLes retraités sont ceux qui présentent le niveau de stress le moins élevé (12.3/40) et ont également le niveau de forme morale le plus élevé (69.9/100). Ce sont eux qui ont le moins l’intention de quitter leurs quartiers (33.1/100).Les personnes vivant en couple sont également peu stressées (13.5/40) et ont une bonne forme morale et physique (70.1 et 67.6/100). Cette catégorie de personne est également une de celle qui désire le moins quitter son quartier (37.6/100).Pour Barbara Attia : « Avec l’Observatoire Santé et Qualité de Vie Urbaine, mon objectif final est de parvenir à inclure le bien-être des populations dans les statistiques nationales, et ainsi compléter les données auxquelles nous avons l’habitude de nous référer, qui sont aujourd’hui trop centrées sur l’économie et trop peu sur la questionnement des usagers. L'ambition de l'Observatoire Santé et Qualité de Vie urbaine est d'apporter une analyse fine et précise des attentes des citadins, car la Qualité de Vie Urbaine est à la fois un enjeu d’utilité et de santé publiques : améliorer la qualité de vie des habitants et la perception de leur environnement urbain, de façon scientifique et responsable. Pour les collectivités locales, considérer les attentes des habitants revient à avoir une démarche proactive vers une « cité heureuse ». Donner aux populations les clés pour comprendre un projet qui les concerne revient à les y engager. »
Il y a 2 ans et 195 jours

Les châteaux de la Loire face à l'augmentation du coût de l'énergie

A l'approche de l'hiver, le propriétaire du château de Meung-sur-Loire (Loiret) Xavier Lelevé s'inquiète pour sa facture de chauffage, gaz et électricité, qui tourne d'habitude autour de 15.000 à 20.000 euros. Mais pas cette année..."Ca va être multiplié entre cinq et dix. Ce n'est pas envisageable d'exploser le budget énergétique de cette manière", se désole-t-il.Des hausses qui, comme dans beaucoup d'entreprises, "impactent immédiatement le fonctionnement" et freinent les investissements dans la conservation. Tout comme le dialogue parfois compliqué avec les services publics du patrimoine, comme la Direction régionale des affaires culturelles (Drac).Dans une partie interdite au public de ce château classé aux Monuments historiques, Xavier Lelevé détaille les fenêtres. Certaines sont en très mauvais état et le ruban adhésif sur les boiseries n'offre qu'un rempart très limité face aux assauts du froid. Mais d'autres sont neuves. Fruits d'intenses tractations avec la Drac, elles ont été fabriquées avec un cahier des charges ultra précis pour respecter l'esthétique du bâtiment."Une fenêtre coûte à peu près 10.000 euros, on en a 148, donc vous voyez ce que le budget fenêtres peut représenter", explique-t-il.Loin des obstacles administratifs, Charles-Antoine de Vibraye a choisi de ne rien faire. Et tant pis si la facture grimpe, le succès du château de Cheverny (Loir-et-Cher), inspiration du Moulinsart d'Hergé, lui permet d'absorber l'augmentation du fioul, dont il consomme 30.000 à 40.000 litres par an.Le châtelain n'envisage pas non plus d'isolation: "Si vous emprisonnez la chaleur, vous faites du bien aux champignons potentiels et aux insectes qui vont vous bouffer votre bois. Je crois qu'il faut limiter le chauffage au strict minimum pour ne pas contrarier ce cycle sain d'échanges thermiques à l'intérieur d'un monument."Reste que les meubles d'époque se conservent mieux dans une atmosphère contrôlée: "C'est un peu la limite de mon raisonnement. Il faut faire en sorte d'avoir une chaleur minimale. Le château est chauffé sur les deux tiers de sa superficie, mais en particulier dans les pièces visitées, avec mobilier historique.""Chauffage la nuit à 8°C"Non loin de là, Chambord allume ses cheminées. Au pied de l'escalier de Léonard de Vinci, quatre grosses bûches alimentent doucement l'âtre, seule source de chaleur pour le visiteur.Mais les bureaux, boutiques, la quarantaine de maisons du domaine, ainsi que les pavillons forestiers sont chauffés."La facture a doublé en deux ans. On est passé de 260.000 euros à plus de 600.000 dans le budget prévisionnel 2023", regrette le directeur du Domaine national Jean d'Haussonville. Sur un budget de 30 millions d'euros par an, cette somme représente l'équivalent de deux expositions temporaires et d'un festival.Pour le directeur, la montée des prix ne fait qu'accélérer "la réflexion sur les sources vertueuses d'énergie". Chambord a donc rapidement lancé deux études pour se verdir: une sur l'installation de panneaux photovoltaïques sur les toits des hangars techniques, l'autre sur la géothermie et le chauffage par biomasse, histoire de profiter de la forêt.Dès les prochains mois, le domaine entend investir dans sa forêt de 50 km2 en installant une scierie, ouvrant la possibilité à plus long terme d'utiliser son bois pour se chauffer.En attendant, le château appartenant à l'Etat tente dès aujourd'hui de réduire la facture grâce à un système informatique de gestion technique des bâtiments."C'est un logiciel qui permet par exemple d'éteindre les lumières s'il n'y a plus d'occupant dans une pièce et de réduire le chauffage la nuit à 8°C", apprécie le directeur."Nous n'avons aucun doute sur notre capacité à faire 10% de réduction d'énergie dès 2023", assure-t-il.
Il y a 2 ans et 195 jours

L’appel à contributions "programme" de la 24ème édition des Assises européennes de la transition énergétique, est lancé

Afin de coconstruire le programme général de l’édition avec les parties prenantes et d’être au plus près des enjeux actuels, les co-organisateurs de l’événement – Bordeaux Métropole, la Communauté Urbaine de Dunkerque, le Grand Genève et l’ADEME, lancent comme chaque année, un appel à contributions pour l’élaboration du programme d’ateliers. Ainsi, collectivités, scientifiques et experts de la transition écologique, acteurs économiques et associatifs sont invités à soumettre leurs projets d’ateliers avant le 18 novembre 2022 à 23 heures.Les Assises européennes de la transition énergétique: le temps fort annuel des acteurs engagées dans la transition énergétique depuis 1999Lancées en 1999 par la Communauté urbaine de Dunkerque, en partenariat avec l’ADEME, puis co-organisées par Bordeaux Métropole et le Grand Genève, les Assises européennes de la transition énergétique sont devenues au fil du temps le rendez-vous annuel des acteurs territoriaux européens engagés dans la transition énergétique. Organisées dans la continuité des temps forts gouvernementaux, notamment des sommets de l’ONU sur le Climat (COP), les Assises sont l’occasion pour les gouvernements et acteurs locaux ainsi que leurs partenaires de s’approprier de manière collective les nouveaux enjeux nationaux et internationaux et, surtout, de partager des expériences réussies et des solutions concrètes pour mettre en œuvre la transition énergétique dans les territoires. Chaque année, l’événement réunit pendant 3 jours plus de 3500 congressistes autour d’un programme de plus de 150 événements : plénières, ateliers, visites de sites, village de la transition ou encore carrefour des métiers. L’édition 2022 a réuni en mai dernier, plus de 4500 participants dans le Grand Genève sur le thème crucial de la sobriété énergétique.Comment contribuer au programme 2023 ?Les co-organisateurs appellent les acteurs engagés dans la transition énergétique des territoires à témoigner de leurs actions, de leurs expériences en matière de politique air-climat, mobilité, urbanisme, ruralité, économie circulaire, emploi, formation, nouvelles technologies, gestion des systèmes d’information, innovations sociales, coopération ou encore planification…L’objectif ? Faire des Assises européennes de la transition énergétique un véritable laboratoire de partage d’expériences, d’idées et de recherche de solutions concrètes pour réussir collectivement la transition énergétique des territoires.Ainsi, élu, chercheur, technicien, financeur, citoyen, universitaire, membre d’une association, d’une ONG ou d’une agence locale de l’énergie, entrepreneur, ingénieur, sont invités à devenir acteur de la transition énergétique et à venir jouer un rôle privilégié en mettant en valeur leurs actions, en partageant leurs projets ou en mettant en débat leurs idées.Encore plus d’ateliers, et un nouveau format proposé aux contributeurs !Le jury composé des co-organisateurs reçoit chaque année, près de 300 contributions et ne peut en choisir que 100. Pour l’édition 2023, 140 dossiers seront sélectionnés avec notamment un nouveau format d’atelier qui fait son entrée !Les ateliers CHALLENGE : Des espaces de cocréationOu comment faire travailler les autres pour résoudre son problème ! Les contributeurs invitent les congressistes à coconstruire des pistes de solutions à une question, à un problème qui est probablement partagé dans les territoires. Durée : 2 heures / Public : 30 à 35 personnes.Les ateliers SPEED DATING : la grande foire des initiatives Le format d’atelier qui a le meilleur rapport efficacité temps/passé. Le contributeur qui est porteur d’un projet déjà opérationnel et qui affiche des résultats intéressants à partager, accueille à sa table une dizaine de participants pour présenter et échanger sur son projet. Durée : 1h30 / Public : 10 personnes. Les ateliers INSPIRATION : des moments de partage d’expérience En format mini plénière et accompagné d’un animateur, le contributeur rassemble plusieurs pilotes de projets qui ont fait leur preuve et qui s’inscrivent dans la même thématique. Durée: 1h15 / Public : de 20 à 70 personnes Nouveau format 2023 : Les ateliers LUDIQUES & SERIOUS GAME : des sessions pour apprendre et se détendreLe contributeur sensibilise, informe les participants ou crée du débat sur un sujet dans un format ludique qui dynamisera son assemblée. Jeu de plateaux, jeu de rôle, quizz, one man show, l’idée est de surprendre les congressistes sur un sujet sérieux ! Durée : 1h / Public : 15 à 20 personnes Les étapes clés pour participer à la programmation des ateliers de la prochaine édition : Prendre connaissance du guide disponible sur ce lien.Construire le dossier de contributionDéposer la contribution avant le 18 novembre 2022 23h.Lien vers le dépôt des contributions.Les critères de sélections du jury : Le respect du format choisi et l’originalité de l’animation envisagéeL’originalité de la contribution (contenu)Le lien avec l’actualitéL’implication de collectivités territorialesLe potentiel de reproductibilité dans d’autres territoiresLa diversité et le profil des intervenants, notamment la présence d'élus dans les intervenants choisisLa dimension européenne
Il y a 2 ans et 195 jours

Atelier du Pont livre 70 logements sociaux et commerces à Saint-Denis

Portée par Immobilière 3F, la transformation du Fort de l’Est à Saint-Denis en parc habité est répartie en 5 lots. Atelier du Pont a réalisé l’un de ces projets avec la construction de 70 logements sociaux et 4 commerces.Pour comprendre l’essence même du projet du nouveau quartier, il faut parcourir une partie de l’histoire de Paris et de son enceinte de Thiers. Créée en 1841 sous Louis-Philippe et son ministre Adolphe Thiers pour protéger la capitale des armées étrangères, le Fort de l’Est faisait partie d’une série de forts, judicieusement placés pour renforcés l’enceinte de Thiers, rendant ainsi la ville imprenable.Cette zone militaire a longtemps été mise de côté. Aujourd’hui, elle prend une nouvelle direction avec des logements et des commerces ayant pour objectif de développer cette partie de la ville.Anticipant la densification le long du chemin de Crèvecœur, le projet s’implante à l’alignement des rues et ouvre deux larges percées visuelles entre le futur Parc du Glacis et l’espace paysager côté rue.Le projet est organisé en trois petits bâtiments dont deux sont reliés au rez-de-chaussée par les halls d’entrée et les commerces. Au rez-de-chaussée, un passage planté chemine.D’abord privatif, il sera ensuite rétrocédé à la ville et permettra d’accéder au nouveau parc du Glacis à l’arrière du projet. Dans cette partie, une noue paysagère prend place.À l’entrée du quartier et face à la station de tramway, une émergence à R+8 marque l’angle et se distingue comme un signal.Le projet propose une architecture modeste, élégante et pérenne, et offre à chaque habitant des qualités d’usages qui font la force de l’opération : des vues, du soleil et un espace extérieur privatif ou partagé agréable.Sur rue, la façade en briques et plaquettes foncées forge l’identité du projet. Côté parc, la façade est sobre et rythmée par les balcons filants et le béton lasuré. Chaque logement est muni d’un balcon, d’une loggia ou d’un petit jardin. Sur les toitures, de grandes terrasses accessibles et partagées dotées d’espaces de détente et de potagers apportent des sas de respirations, contribuant notamment à créer du lien entre les habitants.La majorité des logements offre une double-orientation permettant d’apporter de la lumière à l’espace de vie. Au dernier niveau, des duplex offrent une vue sur tout Paris.Fiche Technique :Programme : 70 logements sociaux et 4 commerces, Saint-Denis Fort de l’Est (93)Maître d’ouvrage : Immobilière 3FMO déléguée : BatiplaineAdresse : chemin de CrèvecœurPerformances environnementales : Certification NF Habitat HQE Profil d’entréeSurface : 5.214 m2 SDPCoût travaux : 10.350.000 € HTBureaux d’études : EVP (Structure), WOR (Fluides & Environnement), AXIO (économie)Entreprise générale : Bouygues ConstructionLivraison : 2021
Il y a 2 ans et 195 jours

Cochebat dévoile les premiers chiffres 2022 pour les marchés de l'hydrodistribution et du PCRBT

Pour Remi Bertsch, Président de la commission communication de Cochebat : « Nous restons prudents quant à nos projections pour l’année 2022, dans un contexte où le marché du neuf reste tendu et où de plus en plus de promoteurs immobiliers stoppent certaines opérations pour des raisons économiques (pénuries, inflation, ...). Le contexte cumulé de 2020 et 2021 a pu entraîner une déstabilisation des marchés avec des effets de stockage et déstockage en fonction des fluctuations d’approvisionnement. »HYDRODISTRIBUTION : un marché stable pour le multicouche et baissier pour le PERLe marché du multicouche est stable. La croissance conséquente de +17,5% pour les diamètres supérieurs à 32 confirme l’utilisation croissante du multicouche en colonne montante, aussi bien dans le résidentiel collectif que dans le tertiaire.Les tubes polyoléfines enregistrent une baisse de -11% au premier semestre 2022. Pour Rémi Bertsch : « L’inflexion des indicateurs de construction et de la mise en chantier de logements individuels en décembre 2021 et janvier 2022 se ressent sur les ventes de PER, qui suivent généralement cette évolution, avec le décalage des marchés sur le second œuvre. »PLANCHER CHAUFFANT RAFRAÎCHISSANT BASSE TEMPÉRATURE : Cochebat s’inquiète de la qualité des systèmes installésLe marché du plancher chauffant rafraîchissant basse température connaît une baisse de -8,6%.Cochebat s’inquiète de la tension exercée sur les prix et la pénurie croissante des produits, qui amènent les installateurs à privilégier les achats séparés de composants des surfaces rayonnantes, au détriment du système. Or, la performance des systèmes est l’un des éléments essentiels pour satisfaire les exigences de la RE 2020 en matière de consommation d’énergie. Pour répondre à ces exigences, la marque CERTITHERM de COCHEBAT valide des systèmes complets et performants.
Il y a 2 ans et 195 jours

Progression du chiffre d'affaires d'Icade mais ralentissement en vue

Le groupe, à la fois promoteur et foncière de bureaux et de santé, maintient ses objectifs pour la fin de l'année, qui incluent le versement à ses actionnaires d'un dividende en hausse de 3 à 4%.Son pôle promotion, qui a vu son chiffre d'affaires progresser (+3,6% à 734 millions d'euros), pâtit en revanche de la hausse des taux d'intérêt et des coûts de construction."Les taux d'intérêt ont beaucoup augmenté depuis le début de l'année et donc on a ralenti notre programme d'investissement", a déclaré à l'AFP son directeur général, Olivier Wigniolle."Ce qu'on a à gérer, c'est la hausse des coûts de construction", a-t-il ajouté. "La négociation d'un marché de travaux, elle est plus longue. C'est une réalité. Se mettre d'accord avec les entreprises du bâtiment pour les travaux est plus compliqué qu'il y a un an."La branche foncière de santé, qui encaisse des loyers d'établissements de santé (cliniques, Ehpad...), a vu ses revenus locatifs grimper de 12%, du fait notamment d'acquisitions en France et à l'étranger (Portugal, Italie, Allemagne, Espagne).Ils baissent en revanche (de 1,6%) pour la branche foncière tertiaire.
Il y a 2 ans et 195 jours

Le SNFA dévoile ses nouvelles FDES Façade rideau collectives

En tant que représentant des professionnels de la menuiserie aluminium, le SNFA annonce la publication de ses FDES Façade rideau collectives.Cette nouvelle est d’importance capitale pour les professionnels de la façade qui, pour la conception des bâtiments neufs sous la RE2020, dépendaient de valeurs par défauts et pénalisantes pour ces produits. En effet, ces données, ne prenaient pas en compte le travail de la profession sur la réduction de l’empreinte carbone de leur solution (traçabilité de l’aluminium par le choix de fournisseurs plus proches géographiquement, intégration de la démarche Alu+C-, etc.).Ces FDES collectives Façade rideau collectives sont portées par les entreprises adhérentes du SNFA (façadiers et bureaux d’études façade) qui se sont engagées pour fournir des données au plus proche de leurs actions et démarches environnementales. Pour permettre à ses membres de répondre à cette obligation et pour compléter les données collectives déjà existantes sur d’autres produits, le SNFA publie quatre nouvelles FDES collectives très attendues concernant les façades rideaux :Façade rideau cadre de 50% à 75% vitréeFaçade rideau cadre de 76% à 100% vitréeFaçade rideau grille de 50% à 75% vitréeFaçade rideau grille de 76% à 100% vitrée Ces FDES sont vérifiées et sont disponibles sur la base de données Inies. Leur utilisation est réservée aux seuls membres du SNFA. Pour cela, le SNFA délivre des attestations indispensables à leur utilisation, seulement à ses membres.Ces FDES permettront à toute la profession de continuer à proposer des solutions vitrées avec des façades légères en aluminium et de répondre aux nouvelles exigences environnementales.Elles intègrent également la démarche de traçabilité « Alu+C- » qui rend robuste la traçabilité de l’empreinte carbone des profilés aluminium (billette et filage). Cette démarche est la propriété du SNFA et du GFA (Groupement des fileurs d’aluminium). Cliquez ici pour accéder aux FDES collectives du SNFA.
Il y a 2 ans et 196 jours

HDF Energy annonce un projet d'électricité solaire et hydrogène en Afrique du Sud

Ce projet, dont l'investissement total porte sur 3 milliards de dollars, est l'un des fers de lance de la transition énergétique du pays voué à abandonner à terme les centrales au charbon.Il a été attribué dans le cadre d'un appel d'offres public qui a également sélectionné les sociétés sud-africaines d'énergies renouvelables Red Rocket, Sola Group et Mainstream Renewable Power Developments.HDF Energy (Hydrogène de France) compte développer sur le site des centrales photovoltaïques capables de produire quelque 1.500 Megawatts d'électricité, avec plus de 3.500 MWh de stockage (pour la nuit lorsqu'il n'y a pas de soleil, NDLR) principalement sous forme d'hydrogène et de pile à combustible.Les centrales alimenteront ainsi en électricité stable et propre, de jour comme de nuit, toute l'année, plus de 1,4 million d'habitants, précise HDF Energy dans un communiqué.Eskom avait émis un appel à propositions en avril 2022, suivi d'un processus de sélection. Les sociétés retenues loueront au total plus de 6.000 hectares pour une période comprise entre 25 et 30 ans pour produire des énergies renouvelables."Les terrains appartiennent à Eskom et lui reviendront au bout de 30 ans, les projets recevront des financement des banques de développement qui portent des exigences sociétales et environnementales très poussées", a indiqué à l'AFP le patron de HDF Energy, Damien Havard.La province de Mpumalanga abrite 12 des 15 centrales à charbon de l'Afrique du Sud, qui fournissent plus de 80% de son électricité. Elle sont vouées au démantèlement dans le cadre d'un vaste plan de décarbonation du pays permis notamment par l'attribution de quelque 8,5 milliards de dollars de prêts et subventions reçus de pays riches via leurs banques de développement."En termes de puissance, notre projet remplacera une partie d'une des centrales à charbon", a commenté M. Havard.HDF Energy a également un projet en Namibie pour produire de l'électricité solaire, puis de l'hydrogène à partir de l'électrolyse de l'eau dessalinisée. Le groupe, qui s'est introduit en Bourse en 2021 à Paris, mène aussi avec des investisseurs, comme le groupe Ruby ou le fonds Meridiam, des projets similaires en Guyane, à la Barbade, à Trinidad. Mercredi soir, il a annoncé la signature d'un protocole d'accord avec le ministère de l'Energie indonésien.
Il y a 2 ans et 196 jours

Le Sénat veut marquer de son empreinte la loi sur l'assurance chômage

Adopté le 12 octobre par les députés en première lecture, ce texte amorce une nouvelle réforme de l'assurance chômage visant à faire évoluer les règles en fonction de l'état du marché du travail."Favorables" au principe de cette modulation que le gouvernement entend instaurer par décret, après concertation avec les partenaires sociaux, les rapporteurs Frédérique Puissat (LR) et Olivier Henno (centriste) ont souhaité l'inscrire en clair dans la loi.Un nouvel article prévoit dans le code du travail la possibilité de moduler l'assurance chômage en fonction d'indicateurs conjoncturels, charge à la convention d'assurance chômage conclue entre les partenaires sociaux d'en fixer les paramètres.Le gouvernement voit la modulation comme une première brique pour atteindre l'objectif de plein emploi en 2027, soit un taux de chômage d'environ 5% contre 7,4% actuellement. Une concertation entre le gouvernement et les partenaires sociaux sur cette modulation a débuté le 17 octobre et doit s'achever le 21 novembre.Les rapporteurs ont également prévu qu'un demandeur d'emploi ayant refusé trois propositions de CDI à l'issue d'un CDD au cours des douze derniers mois ne puisse pas avoir droit à l'assurance chômage.Ils estiment que la rédaction proposée "permet de bien cibler le refus caractérisé d'un salarié de s'engager dans un emploi stable".A l'Assemblée nationale, des amendements prévoyant la même mesure avaient été déposés par des députés Horizons et MoDem, mais retirés par leurs auteurs, à la demande du gouvernement qui souhaitait retravailler une telle disposition. Elle va en tout cas faire débat dans l'hémicycle, la gauche accusant la majorité sénatoriale de "durcir" le texte du gouvernement. A contrario, des sénateurs LR souhaitent aller plus loin en réduisant le nombre à un seul CDI refusé.Quant à la disposition assimilant "l'abandon de poste" à une démission, introduite à l'Assemblée par des amendements de la majorité présidentielle et des LR, les sénateurs ont précisé la procédure applicable afin de la "sécuriser".Ils estiment en effet "pas souhaitable qu'un salarié licencié à l'issue d'un abandon de poste dispose d'une situation plus favorable en matière d'assurance chômage qu'un salarié qui démissionne et qui n'est pas indemnisé"."Lettre d'orientation"C'est surtout sur l'article premier du texte, qui prévoit dans un premier temps de prolonger les règles actuelles de l'assurance chômage, que la majorité sénatoriale a marqué sa différence avec le gouvernement en commission."Nous souhaitons redonner la main aux partenaires sociaux", a expliqué à l'AFP Mme Puissat. "On maintient le cap du paritarisme qui correspond à l'ADN du Sénat, dans l'esprit de la loi Larcher" de 2007, a précisé M. Henno. L'article 1er du projet de loi autorise le gouvernement à prendre par décret en Conseil d'État les mesures d'application du régime d'assurance chômage jusqu'au 31 décembre 2023. En commission, les sénateurs ont ramené cette limite au 31 août 2023.Cette période "devra être utilisée pour engager des concertations destinées à faire évoluer la gouvernance de l'assurance chômage", a indiqué Mme Puissat.Un amendement abroge les dispositions du code du travail prévoyant depuis 2018 la procédure de négociation d'un accord sur la base d'une "lettre de cadrage", afin de revenir à une "lettre d'orientation" qui "ne préempte pas la conclusion".Autre point rectifié par les sénateurs en commission: les paramètres du bonus-malus, dispositif qui a vocation à limiter les contrats-courts. Ils ont notamment exclu du dispositif les fins de missions d'interim.Un autre volet du projet de loi prévoit d'étendre la validation des acquis de l'expérience (VAE) aux "proches aidants et aidants familiaux" pour leur faciliter l'accès aux métiers du grand âge. Les sénateurs veulent l'ouvrir "à toute activité en lien avec une certification, afin de donner un nouvel élan à ce dispositif".
Il y a 2 ans et 196 jours

Les Français à la recherche de leur logement : entre priorités, compromis et mauvaises surprises

L’Association QUALITEL a ainsi décidé de consacrer la 6ème édition* de son baromètre annuel au parcours de recherche et de sélection du logement, avant, pendant et après : quels critères indispensables au départ, quels compromis finalement concédés, quelles [mauvaises] surprises à l’arrivée...Focus sur les principaux retours exprimés par les acquéreurs ayant changé de logement depuis moins de 5 ans (étude complète disponible ici).Maison ou appartement, ville ou campagne... : le logement idéal, au départAu tout début de leur parcours de recherche, les futurs acquéreurs envisageaient plutôt :Une maison, pour 58% des répondants, vs 38% préférant un appartement ;En zone urbaine, pour 61%, vs 30% préférant la campagne ;Dans l’ancien, pour 48%, vs 26% préférant acheter dans le neuf.Mais au-delà de cet idéal, certains critères indispensables n’auraient selon eux pu faire l’objet d’aucun compromis, à commencer par le prix et la présence d’un espace extérieur, cités par 59% des personnes interrogées, suivis par le type de logement, maison ou appartement, cité par 56%.Des priorités qui varient selon le bien acheté :Qui dit logement... dit voiture :Pour 47% des Français, propriétaires ayant acheté au cours des 5 dernières années, le parking était un critère indispensable pour la recherche de leur logement.En revanche, pour une maison comme pour un appartement, la superficie n’est citée comme critère indispensable que par 35% des répondants. Et en appartement, le nombre de pièces prime même sur l’espace.L’adaptabilité du logement aux personnes âgées ou à mobilité réduite n’est citée quant à elle comme critère indispensable que par 12% des répondants (18% des 60 ans et +). Pourtant, 59% des acquéreurs sondés déclarent avoir « acheté [leur] logement pour y rester toute [leur] vie ».* Enquête réalisée en avril 2022, auprès de 3.056 personnes, dont 1.664 ayant changé de logement au cours des 5 dernières années. Les chiffres présentés dans ce communiqué de presse portent uniquement sur les propriétaires ayant changé de logement il y a moins de 5 ans.Après le rêve... : la réalité de la rechercheUne fois le logement idéal défini, il s’agit de le trouver. C’est à ce moment que les choses se compliquent.Le parcours de recherche se fait souvent sous pression, les acquéreurs devant faire face à une concurrence forte. La prise de décision peut s’avérer stressante, en particulier pour les jeunes de moins de 35 ans, souvent primo-accédants.La prise de décision est également très rapide :84% des acquéreurs ont visité 1 à 2 fois le bien avant de faire une offre ;Pourtant, 25% auraient voulu pouvoir le visiter à nouveau avant de prendre leur décision ;89% des acquéreurs ont fait leur offre en moins d’une semaine.Et les visites ne sont pas forcément suffisamment poussées. Ainsi par exemple, de nombreux critères, dont dépend la qualité de vie dans le logement, n’ont pas été systématiquement regardés : date de construction, niveau de sécurité, classe du DPE, ventilation… Toutefois, les acquéreurs ont été particulièrement attentifs à certains critères, à commencer par les vitrages et l’état général des fenêtres, cités par 88% des répondants, la superficie des pièces (87%), leur organisation et agencement, l’état des murs (présence de fissures ou de moisissures), le type de chauffage (individuel ou collectif)..., tous cités par 86% des répondants.Enfin, à l’heure des choix, 78% des acquéreurs ont dû faire des compromis. Et dans ce cas, même les critères les plus indispensables ou importants au début de la recherche, peuvent être concernés. En tête :Le prix, pour 18% des acquéreurs, avec un prix d’achat de 12% en moyenne plus élevé que le budget initial envisagé ;La superficie de certaines pièces, pour 17% des acquéreurs, avec une perte sur la superficie globale de 16% en moyenne du nombre de m² envisagés au départ.À l'arrivée : des mauvaises surprises pour une majorité de propriétaires interrogésPlus des 2/3 des propriétaires déclarent avoir eu au moins une mauvaise surprise une fois installés : 68% se disent ainsi gênés par des aspects qu’ils n’avaient pas remarqués lors des visites. En top 5 :Le froid l’hiver, pour 17% ;Le bruit des voisins, pour 16% ;La chaleur l’été, pour 13% ;Le bruit de la rue, pour 12% ;Les charges, les dépenses, pour 11%.Des mauvaises surprises qui peuvent entraîner des travaux imprévus : sila majorité des propriétaires avait bien identifié des travaux indispensables avant l’achat (56%), plus de la moitié (52%) en ont aussi découverts après l’achat.Globalement, 66% des répondants ont réalisé des travaux d’embellissement (peintures, revêtements, etc.), 45% la réfection complète d’une ou de plusieurs pièces, 34%, la réfection ou le remplacement d’un équipement, etc.Ces mauvaises surprises ne sont pas sans conséquence :La qualité perçue : alors que le Qualiscore** est de 6,8 /10 au global, pour toutes les personnes ayant acheté leur logement il y a moins de 5 ans, il n’est que de 6 pour celles ayant eu 3 mauvaises surprises ou plus ;Le temps resté dans le logement : 44% des propriétaires souhaitent en changer, dont 28% à court ou moyen terme. Un chiffre qui monte à 61% pour ceux qui ont eu de nombreuses mauvaises surprises.Et pourtant, certaines de ces mauvaises surprises auraient pu être évitées avec davantage d’attention lors des visites. Ainsi par exemple :45% des propriétaires qui ont eu des mauvaises surprises sur les charges n’avaient pas été attentifs à la classe du DPE ;32% des propriétaires qui ont eu des mauvaises surprises sur l’isolation acoustique n’avaient pas été attentifs aux nuisances sonores.Enfin si c’était à refaire, pour un futur achat, près de la moitié des propriétaires (47%) aimeraient être accompagnés par un professionnel du bâtiment lors des visites pour évaluer l'état du bien. Une tendance qui se vérifie encore plus pour les propriétaires ayant eu plusieurs mauvaises surprises et pour ceux ayant dû réaliser des travaux imprévus (55%).Tous les résultats de l’étude ici.
Il y a 2 ans et 196 jours

Estimation de la part des énergies renouvelables dans la consommation brute d'énergie finale en 2021

Après avoir atteint 22,09% en 2020, et remplissant ainsi l'objectif commun de 20%, les premières estimations situent à 22,45% la part pour 2021. Le rythme doit grandement s'accélérer pour atteindre l'objectif de 45% proposé par le programme REPowerEU à 2030.Selon les premières estimations d'EurObserv'ER, la part des énergies renouvelables a atteint 22,45% de la consommation brute d'énergie finale de l'Union européenne en 2021. Ce chiffre affiche une très légère progression de 0,36 point par rapport au niveau officiellement enregistré un an plus tôt (22,09%). Globalement, la consommation brute d'énergie finale renouvelable de l'Union européenne a augmenté de 15,2 Mtep entre 2020 et 2021 passant de 209,6 à 224,8 Mtep, soit une croissance de 7,3% en valeur absolue. Cette progression s'explique en premier lieu par une augmentation de la contribution de l'électricité renouvelable qui est passée de 87,3 à 94,5 Mtep (soit 8,2% de mieux). 2021 a été une année particulièrement bonne pour le solaire photovoltaïque : l'accroissement des capacités installées, associé à un très bon ensoleillement dans les principaux pays producteurs, a permis de générer 13,6 Mtep d'énergie au cours de l'année (+ 13,5% par rapport à 2020). Pour l'hydroélectricité et l'éolien, le calcul de la production normalisée du point de vue des conditions climatiques indique que 3,1 Mtep supplémentaires ont été produits par rapport à 2020 (+ 5%). Pour ce qui est de la chaleur renouvelable, la contribution à l'augmentation a été moins importante. Selon EurObserv'ER, le gain en 2021 a été de 7,1% pour une production évaluée à 112,02 Mtep (contre 104,6 Mtep en 2020). La biomasse solide compte à elle seule pour 80% de la contribution supplémentaire de la chaleur renouvelable (+6 Mtep). Le deuxième contributeur est la chaleur renouvelable produite à partir de pompes à chaleur avec 1,3 Mtep supplémentaire, confirmant un mouvement de plus en plus important d'une électrification des besoins de chaleur en Europe.Concernant le dénominateur, la consommation totale brute d'énergie finale (renouvelable ou non) de l'Union européenne a nettement progressé en 2021 passant de 948,9 à 1001,6 Mtep (+ 5,6%). Cette forte progression a notamment été due à un effet de rattrapage de l'activité économique par rapport à 2020 qui avait été marquée par des périodes de confinement très strict dans l'ensemble des pays de l'Union. Ce fort rebond de la consommation totale brute d'énergie finale a grandement contribué à gommer l'impact des 15,2 Mtep supplémentaires produits à partir de sources renouvelables sur leur part relative des EnR dans la consommation européenne.Les indicateurs calculés pour 2021 et présentés ici sont des résultats préliminaires. Ces données seront amenées à être révisées en décembre prochain lorsque les premières données officielles d'Eurostat seront publiées.Indicateurs préliminaires calculés 2021 de la part des sources d'énergies renouvelables dans la consommation brute d'énergie finale dans UE27.
Il y a 2 ans et 196 jours

Le plan Action cœur de ville a tenu ses engagements avec 5 milliards d’euros mobilisés en cinq ans

Elaboré en concertation avec les élus et les acteurs économiques des territoires dès 2017, le programme Action cœur de ville répond à une double ambition : améliorer les conditions de vie des habitants des villes moyennes et conforter le rôle de moteur de ces villes dans le développement du territoire.Pour cela, cinq milliards d’euros ont été engagés à l’échelle nationale sur cinq ans grâce à la coopération de l’Etat, des élus locaux (par l’intermédiaire de l’association d’élus Villes de France) et des partenaires financeurs (Action Logement, Banque des territoires, Agence nationale de l’habitat), afin de faciliter le travail des collectivités, inciter les acteurs du logement et de l’urbanisme à réinvestir les centres-villes ou encore favoriser l’implantation d’activités en cœur de ville.Moins de cinq ans après, les cinq milliards d’euros ont déjà été mobilisés et les résultats sont concrets et nombreux. A titres d’exemples, 6.500 actions sont engagées, 79.000 logements ont été rénovés, et l’on constate par ailleurs une augmentation de 15% de fréquentation dans les villes bénéficiaires d’Action cœur de ville en 2021 par rapport à 2018.Le 7 octobre dernier, la ministre Caroline Cayeux a réuni les partenaires financeurs – un an après que le Président de la République ait confirmé la poursuite du programme jusqu’en 2026 – afin de préparer la seconde phase du programme. Les grandes orientations seront précisées dans les prochaines semaines.Pour Caroline Cayeux, ministre chargée des Collectivités territoriales : « Grâce à Action cœur de ville, nos centres-villes sont plus attractifs ! Ce plan illustre la méthode et la vision que le Gouvernement souhaite accentuer lors de ce second quinquennat : celle d’un Etat accompagnateur et non prescripteur, pour permettre à chaque collectivité de développer ses propres projets. Action cœur de ville II nous permettra de poursuivre cette revitalisation, en intégrant cette fois les axes stratégiques des quartiers de gare et les entrées de ville dans la démarche. Il s’agira également de mettre l’accent sur la transition écologique, fil conducteur du quinquennat du Président de la République, afin d’accompagner les élus dans leurs démarches de sobriété foncière, de mobilité verte et de rénovation thermique. Poursuivons la dynamique ! »
Il y a 2 ans et 196 jours

Les solutions chauffage de Cheminées Poujoulat pour toutes les énergies et tous les bâtiments, en neuf comme en rénovation

Elle visent à donner la priorité à la sobriété énergétique et à la décarbonation de l’énergie, tout en diminuant l’impact carbone de la construction des bâtiments, avec en ligne de mire la disparition progressive des énergies fossiles.Innovation, performance, personnalisation, c’est sur ce triptyque que Cheminées Poujoulat s’appuie pour développer ses produits afin d’offrir des solutions de qualité en adéquation avec les besoins du marché.Le leader européen des conduits de cheminées et sorties de toit métalliques place la mixité énergétique au cœur de sa stratégie et propose un éventail complet de solutions de chauffage pour toutes les énergies – bois, gaz, électricité - et tous les bâtiments - maisons individuelles, habitat collectif - en neuf comme en rénovation.L’ensemble des produits mis au point par Cheminées Poujoulat bénéfi cient du CÉRIC Label délivré par le Laboratoire CÉRIC, référent en Europe dans les domaines de la cheminée et des énergies durables.Preuve de la reconnaissance de son expertise, Cheminées Poujoulat vient d’être récompensée par un Award de l’Innovation du Mondial du Bâtiment 2022 pour sa toute dernière solution unique sur le marché RÉNO VMC-GAZ.Au-delà de la performance énergétique, Cheminées Poujoulat a également à cœur de proposer des équipements personnalisables qui s’intègrent parfaitement à l’architecture des bâtiments.À chaque projet de fumisterie ou problématique de chauffage correspond une solution de chauffage Poujoulat ! Tour d’horizon.Des solutions bas carbone pour la maison individuelleLa récupération et la distribution d’air chaud avec AIRWOODLa dernière version d’AIRWOOD avec un nouveau système d’appoint électrique breveté, BOOSTY, offre, pour la première fois, la possibilité de faire de l’énergie bois la seule source de chauffage principal. Le système AIRWOOD récupère l’air ambiant de la pièce de vie, puis réchauffe cet air dans le conduit échangeur et le redistribue dans toute la maison de façon homogène et efficace, par des bouches de soufflage. Lorsque l’appareil de chauffage au bois n’est plus alimenté, BOOSTY prend le relais.La gamme AIRWOOD permet de réaliser jusqu’à 25% d’économies sur la facture selon l’énergie de chauffage, comparée aux énergies fossiles (fi oul, gaz, électricité) et se décline en 2 solutions pour répondre à toutes les configurations : AIRWOOD Confort+ compatible avec tous les appareils de chauffage au bois en neuf et en rénovation : foyer fermé, poêle à bois bûches ou poêle à granulés, AIRWOOD Alliance en neuf pour les poêles à granulés et la VMC double-fl ux. La gamme est valorisable dans les calculs réglementaires grâce au TITRE V Système-Conduit échangeur.EFFICIENCE, le conduit de cheminée nouvelle générationPour répondre aux exigences thermiques actuelles et à venir, et accompagner les performances des appareils labellisés Flamme Verte, Cheminées Poujoulat a innové en développant EFFICIENCE, un conduit de cheminée triple paroi « nouvelle génération » isolé en laine de roche.Solution inédite sur le marché, EFFICIENCE optimise la circulation des flux en assurant l’amenée d’air nécessaire à la combustion et l’évacuation des fumées sur un même conduit.À l’intérieur de son conduit, EFFICIENCE possède une isolation de 20 mm en laine de roche haute densité et haute température. Grâce à cette isolation, EFFICIENCE peut réchauffer l’air prélevé à l’extérieur, nécessaire pour la combustion, et optimise ainsi le rendement de l’appareil de chauffage bois. L’isolant en laine de roche favorise également l’évacuation des fumées par tirage naturel.De plus, en prélevant l’air comburant dans la partie supérieure du conduit, EFFICIENCE évite de percer le mur où est installé le poêle pour aller chercher l’air. Grâce à cette propriété, EFFICIENCE est la solution idoine pour participer à l’étanchéité à l’air de la maison neuve mais également en rénovation lorsque l’installation ne permet pas de percement ou de dépassement de faîtage.EFFICIENCE offre ainsi une grande souplesse d’installation pour tout appareil de chauffage à bois, poêle à bois bûches, poêle à granulés, insert ou foyer fermé. Il peut être installé à l’intérieur comme à l’extérieur de la maison et s’adapte à toutes les configurationsEFFICIENCE permet ainsi un positionnement sur le toit en fonction de l’emplacement de l’appareil sans avoir nécessairement à dépasser le faîtage (en principe, la loi prévoit un dépassement de 40 cm au-dessus de la ligne la plus haute de la toiture).PGI, un conduit spécifiquement développé pour les poêles à granulésLe système PGI a spécialement été développé par Cheminées Poujoulat pour l’installation des poêles à granulés. Le marché des poêles à granulés ne cessant de progresser, PGI rencontre un vif succès.Le système PGI est un conduit de fumée double paroi inox. Ce conduit haute technologie optimise la performance de l’appareil de chauffage et s’intègre parfaitement dans un habitat neuf ou existant.Sa technologie concentrique (deux tubes l’un dans l’autre) crée une lame d’air qui permet l’arrivée de l’air comburant et l’évacuation des fumées dans un même conduit.La gamme PGI offre une solution pour toutes les situations de raccordement du poêle. Le système peut être installé en conduit vertical ou horizontal, à l’intérieur ou à l’extérieur de la maison.Ce système a été conçu avec les plus grands fabricants de poêles européens pour s’adapter à tous les appareils à granulés et assurer un fonctionnement simple en toute sécurité.Opter pour ce système unique permet de réaliser jusqu’à 10% d’économies d’énergie, soit 200 à 400 kg de granulés de bois par an (selon les régions).Le plein d’accessoires pour la personnalisation des conduitsAutre marque de fabrique de Cheminées Poujoulat, l’esthétique et la personnalisation avec des conduits de cheminée et sorties de toit qui s’intègrent parfaitement à l’architecture des maisons et à la décoration intérieure des pièces de vie.Pour répondre aux attentes des consommateurs en quête de personnalisation, Cheminées Poujoulat a déjà franchi une étape en permettant aux particuliers de personnaliser leur conduit de cheminée avec des couleurs (tous les RAL), des finitions (mate ou satinée), des colliers de raccordement colorés, un régulateur de tirage design (RÉGUL’ART), une pièce de départ pour une jonction parfaite et esthétique entre le conduit THERMINOX et la buse du poêle à bois (DÉCO’START).Dernière innovation en date, la collection d’habillages ventilés DESIGN’UP combine sécurité, récupération de calories, esthétique et facilité d’installation. DESIGN’UP a été spécialement conçu pour permettre au consommateur de monter lui-même l’habillage sur son conduit de raccordement existant sans démontage préalable par simple emboîtement, au gré de ses envies et des aménagements décoratifs de son intérieur.La gamme se décline en 9 couleurs avec DESIGN’UP COLOR et en 3 décors avec DESIGN’UP DÉCO, pour satisfaire toutes les envies. Et pour un effet encore plus prononcé, ces nouveaux habillages ventilés se combinent avec des plaques de finition murales.La qualité de l’air avec VENTÉLIAAvec l’entrée en vigueur de la RE2020 depuis le 1er janvier 2022, la ventilation est devenue un élément-clé pour assurer le confort thermique été comme hiver ainsi qu’une bonne qualité de l’air intérieur.La sortie de toit spéciale ventilation VENTÉLIA se distingue par ses performances aérauliques exceptionnelles de 4 Pa qui favorisent la qualité de l’air intérieur Solution universelle, elle peut être raccordée à une VMC, une hotte de cuisine, un chauffe-eau thermodynamique, un sèche-linge...Disponible dans plusieurs fi nitions pour s’adapter à tous les types de toits et de pentes (tuiles, ardoises, toit terrasse, bac acier et toitures ondulées), VENTÉLIA s’intègre aisément dans son décor et s’installe avec la plus grande simplicité.Design d’extérieur : l’intégration parfaite des pompes à chaleur et climatisationOUTSTEEL : la solution de personnalisation des unités extérieures de pompes à chaleur et climatisationAvec sa nouvelle marque OUTSTEEL, lancée en mai 2021, Cheminées Poujoulat a étendu son terrain de jeu au marché de la pompe à chaleur et de la climatisation, plus précisément à son habillage et à sa protection.Reconnue depuis 70 ans pour son savoir-faire dans les conduits de fumée et sorties de toit métalliques, l’entreprise a mis à profit ses compétences pour proposer des solutions innovantes avec une nouvelle gamme complète de caches pompe à chaleur et climatisation en acier galvanisé, afin de protéger et dissimuler de manière esthétique ces unités techniques extérieures.Cache intégral, partiel ou simple « casquette », le produit s’ajuste à chaque modèle de pompe à chaleur ou climatisation, quel que soit le fabricant.Déjà composée de 5 modèles (Brousse, Bubbles, Colors, Cap et Cover), la gamme s’enrichit d’un tout nouveau design « Vénitian » lancé en septembre 2022.Des systèmes de raccordement pour la chaudière biomasse en maison individuelle et logement collectifDUALIS EI : une solution adaptée à tous types de chaudières à granulés étanchesParticulièrement adapté pour le remplacement de chaudière fioul, DUALIS EI est un conduit concentrique en inox polyvalent associant l’amenée d’air comburant et l’évacuation de fumée des chaudières à granulés étanches.Équipé de joints, l’assemblage se fait par emboîtement sécurisé par un collier de jonction entre chaque élément. Simple à mettre en œuvre, il s’intègre dans l’habitat neuf comme dans l’existant.Sous avis technique, le système a fait l’objet d’une série d’essais fonctionnels pour valider toute la connectique en fonction des différentes marques de chaudières étanches sous avis technique proposées sur le marché. Il optimise le rendement des chaudières basse température ou à condensation.THERMINOX pour les chaudières à bois bûches et granulés de boisTHERMINOX est un conduit double paroi isolé polycombustible adapté à tous les appareils de chauffage bois bûches ou granulés.À la fois performant et esthétique, le conduit de fumée THERMINOX convient aussi bien pour l’intérieur que pour l’extérieur des bâtiments, en maison individuelle et logements collectifs, en création comme en rénovation.Côté performance énergétique, THERMINOX garantit un fonctionnement optimal en toute sécurité, optimise le rendement de l’appareil de chauffage et réduit ainsi la consommation d’énergie. Conçu pour la traversée des murs et des planchers, il permet tous les types de montages.Les équipements pour le raccordement en habitat collectif3CE THERMO-D pour le raccordement des chauffe-eaux thermodynamiques dans le logement collectifParfaitement adaptés à la RE2020, les chauffe-eaux thermodynamiques sont en plein essor. Cet équipement destiné à produire de l’eau chaude sanitaire grâce à une pompe à chaleur complétée par une résistance électrique d’appoint permet de réduire jusqu’à 3 fois la consommation électrique en comparaison d’un chauffe-eau électrique classique.Pour permettre leur raccordement, Cheminées Poujoulat a développé le système concentrique étanche 3CE THERMO-D sous ATEx spécialement adapté aux immeubles de logements.Cette solution, rapide et facile à installer, assure l’amenée et l’évacuation d’air et optimise les performances de 1 à 6 appareils.3CE P Multi + Intérieur, le conduit collectif pour le raccordement des chaudières gaz individuelles étanchesLe 3CE P MULTI+ INTÉRIEUR est un conduit concentrique collectif permettant l’amenée d’air et l’évacuation des produits de combustion de 2 à 20 chaudières gaz individuelles étanches. Ce système allie performance, sécurité (étanchéité du système, résistance au feu et aux condensations) et installation rapide (simple emboîtement).L’étanchéité du système, assurée par des joints à lèvres, permet l’évacuation des fumées en légère pression, ce qui réduit considérablement l’encombrement du conduit (plus de 50%).Le conduit collectif est installé à l’intérieur des bâtiments, dans une gaine technique générale, regroupant également les autres réseaux.Le 3CE P MULTI+ INTÉRIEUR peut être équipé de deux terminaux verticaux différents : un terminal circulaire ou une sortie de toit, assurant ainsi une finition soignée et personnalisée en toiture.Les chaudières compatibles sont de type C4p, équipées d’un clapet antiretour sur le circuit air-fumée.RÉNO VMC-GAZ : pour le remplacement d’un appareil VMC-Gaz par une chaudière THPE à condensation dans les logements collectifsLauréat bronze d’un Award de l’Innovation du Mondial du Bâtiment 2022 dans la catégorie « Génie climatique » et récompensé par une mention spéciale dans la catégorie transversale « Bien Vivre dans la Ville en 2050 », RÉNO VMC-GAZ est la dernière innovation signée Cheminées Poujoulat.Ce système, unique en son genre à ce jour, permet de remplacer un appareil VMCGaz peu performant par une chaudière THPE à condensation dans les logements collectifs, en vue de réaliser des économies d’énergie.Il est constitué de conduits de fumée individuels en acier inoxydable et d’un terminal monté en toiture sur chaque colonne d’évacuation pour évacuer les produits de combustion et fournir l’extraction d’air nécessaire à la ventilation des logements. RÉNO VMC-GAZ est une solution brevetée (validation d’ATEx en cours). Elle sera disponible à partir de fi n 2022.Cette innovation vient compléter l’éventail de solutions permettant la rénovation et l’adaptation des conduits collectifs et individuels, qu’il s’agisse de l’évacuation des produits de combustion ou de la ventilation (AIRFLUE RÉNOVATION, RÉNOSHUNT, 3CE P MULTI+).RÉNOSHUNT pour la rénovation des conduits Shunt ou AlsaceLa solution RÉNOSHUNT présente de nombreux avantages pour la rénovation du système de chauffage dans le bâti ancien en permettant d’installer facilement, rapidement et en toute sécurité, des chaudières à condensation sur les conduits de fumée existants.Ce conduit collectif concentrique, réalisé grâce à la mise en œuvre d’un tubage dans le conduit de fumée existant, permet la rénovation et la réutilisation de conduits Shunt, lorsque ceux-ci n’assurent que l’évacuation des fumées. Jusqu’à 6 chaudières gaz à condensation peuvent être raccordées. L’air comburant circule, depuis l’extérieur, dans l’espace annulaire résiduel.Le tubage permet de canaliser les fumées vers l’extérieur, en préservant le conduit existant des condensats auxquels il ne résisterait pas. Fabriqué en acier inoxydable, RÉNOSHUNT répond à la réglementation incendie dans les immeubles de logements collectifs.Le système RÉNOSHUNT est facile à mettre en œuvre et, de ce fait, particulièrement adapté à une rénovation aux délais serrés. Le système mis au point par Cheminées Poujoulat limite les travaux par la réutilisation du conduit existant.L’action se fait par un simple tubage, réalisé essentiellement depuis la toiture, limitant de manière considérable l’intervention dans les logements.DUALIS RENODENS : une solution de rénovation pour individualiser l’évacuation des fumées en logements collectifsPour un meilleur confort thermique, des économies et un moindre impact environnemental, de plus en plus de chaudières gaz, souvent vieillissantes, doivent être remplacées par des chaudières gaz à condensation.Offre alternative à sa solution collective RENOSHUNT, le dernier né de la famille DUALIS, RENODENS est une nouvelle solution de rénovation individuelle des conduits collectifs maçonnés existants de type Shunt ou Alsace.Ce système, qui permet une évacuation individualisée des fumées pour chaque chaudière gaz à condensation, est performant et simple à mettre en œuvre grâce au « plus » Cheminées Poujoulat : le petit diamètre de son flexible en polypropylène (Ø 50 cm). Conscient que la place disponible dans un conduit maçonné de type SHUNT ou ALSACE est assez limitée, Cheminées Poujoulat a privilégié un diamètre étroit. Une différence notable en comparaison des autres flexibles disponibles sur le marché, plus gros.Ainsi, grâce à ses tubages individuels qui canalisent les fumées vers l’extérieur, DUALIS RENODENS permet à chaque chaudière gaz à condensation de fonctionner de façon indépendante. L’air comburant circule alors, depuis l’extérieur, dans l’espace résiduel. Une solution de plus en plus plébiscitée par les bailleurs sociaux notamment, pour supprimer toute interaction entre les chaudières grâce au circuit de combustions séparé.Le conduit de fumée flexible DUALIS RENODENS offre la possibilité de raccorder jusqu’à 6 chaudières individuelles gaz à condensation.Côté pratique, l’installation de DUALIS RENODENS se fait par un simple tubage réalisé essentiellement depuis la toiture. Très rapide, elle limite fortement l’intervention dans les logements et donc la gêne occasionnée auprès des occupants.Les conduits d’évacuation des produits de combustion éligibles à l’aide financière des Certificats d’Économies d’Énergie (CEE)Les Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) est un dispositif mis en place par l’État. Il oblige les fournisseurs d’énergie (Engie, EDF, Total, etc.) à inciter leurs clients à réaliser des travaux de rénovation énergétique de manière à réduire leurs dépenses énergétiques.Plus concrètement, les CEE se traduisent sous forme de primes qui permettent de réduire le montant des travaux.Cette prime est notamment octroyée pour remplacer, dans un bâtiment résidentiel collectif, un conduit d’évacuation des produits de combustion « incompatible avec des chaudières individuelles au gaz à condensation ». Il est en effet difficile de remplacer une chaudière ancienne par une à condensation si le conduit de fumée n’est pas adapté.Elle relève de la fiche d’opération standardisée CEE « BAR-TH-163 » (Conduit d’évacuation des produits de combustion). Plusieurs familles de conduits peuvent bénéficier de l’aide des CEE, selon certains critères :Dans le cas de la mise en place d’un conduit individuel, sa longueur doit être supérieure ou égale à 10 mètres ;Dans le cas de la mise en place d’un conduit collectif, ce dernier remplace un ou plusieurs conduits de fumée collectifs de type Shunt, Alsace, alvéole technique gaz pour chaudières non étanches, ou remplace des conduits collectifs pour chaudières étanches à tirage naturel (type 3CE).
Il y a 2 ans et 196 jours

Guardian Glass relève le défi de la Tour Hekla

Jouer avec les reflets de la lumière et de son environnement, présenter une esthétique unique et moderne, mais aussi contribuer à la création d’espaces alliant haute performance environnementale du bâtiment et bien-être des occupants : tels étaient les enjeux qu’ont dû relever les équipes Guardian.Allier prouesse technique et exigence environnementale du bâtimentLorsque Guardian se voit confier la réalisation de plus de 20.000 m2 de verre qui composeront la façade du futur emblème de la Défense, le cahier des charges est particulièrement ambitieux. La signature de l’architecte impose l’utilisation de produits réfléchissants avec de hautes performances techniques. Les matériaux devront aussi répondre à des objectifs précis en termes d’efficacité environnementale du bâtiment, les constructeurs visant une quadruple certification HQE Exceptionnel, BREEAM Excellent, LEED Platinum et EFFINERGIE+. L’ambition de la Tour HEKLA est aussi de se voir décerner les labels WELL (bien-être des occupants) et WiredScore Platinium.Guardian : un accompagnement sur-mesure avec des verres de haute technologiePour créer des façades « vivantes » qui changent d’apparence au cours de la journée, les équipes de Guardian décident de miser sur un mix de plusieurs verres à contrôle solaire issus de la gamme SunGuard High Performance (Neutral 60/40 et 50/32) et SunGuard HD Silver 70, en fonction des orientations de la façade et des performances esthétiques et techniques attendues. Elles proposent les premiers échantillonnages et organisent des visites dans leurs unités de production. Un prototype est monté en partenariat avec le façadier Permasteelisa avant validation.Les verres à contrôle solaire retenus pour ce projet sont fabriqués à partir de verres Guardian ExtraClear et UltraClear à faible teneur en fer, de couleur neutre et de clarté éclatante, sur lesquels sont déposées des couches pour des performances techniques et esthétiques variant selon les façades de la tour. Protection solaire, réflexion lumineuse, isolation thermique et acoustique… les verres sont conçus pour intégrer toutes les attentes du client.Pour David Tachon, Architectural Design Manager, Projets internationaux chez Guardian Glass : « Du bureau d’études à la supply chain, nous avons atteint les objectifs fixés et dans les temps impartis grâce à un partenariat étroit de nos équipes techniques et commerciales avec les architectes des Ateliers Jean Nouvel, Permasteelisa et les constructeurs. »
Il y a 2 ans et 196 jours

Pour la CAPEB Rhône et Grand Lyon, la prévention de la santé du chef d’entreprise s’impose comme une nécessité

En cette rentrée 2022 et face au contexte économique de plus en plus stressant, la CAPEB Rhône et Grand Lyon alerte sur le nombre croissant de chefs d’entreprise en situation proche du burn out et son incidence sur le plan économique et social.Un contexte de plus en plus stressantRelations de travail, relations avec les clients, pression des délais... les artisans du bâtiment ont toujours été confrontés à des situations de stress.Mais, directe conséquence de la récente pandémie, elles se révèlent de plus en plus nombreuses avec :la pénurie des matériaux : bois, acier, aluminium mais aussi colle, plâtre, matériel électrique, de plomberie... tous les corps d’état sont désormais touchés par des stocks qui diminuent ,l’allongement des délais d’approvisionnement et de livraison jamais atteints.Avec pour résultats une augmentation des coûts qui peuvent atteindre jusqu’à + 30%, les entreprises du bâtiment se retrouvent pris en étau entre :des prix démesurés et incontrôlables qui, étant injustifiables aux clients et difficilement reportables, imposent souvent au professionnels d’absorber ces hausses et d’impacter ainsi leurs margesdes chantiers qui, dans l’incapacité d’être finis dans les temps impartis, génèrent des indemnités de retard et rencontrent de grande difficultés pour rembourser les PGE émis pendant les différents confinements.Lié :aux grands sujets de société induits par la prise de conscience de l’environnement : qualité de l’air, rénovation énergétique, problèmes de stationnement et plus récemment l’arrivée des Zones à Faibles Emissions dans les grands centres urbains...à la pénurie de main d’œuvre :Déjà sensible dès 2019, ce phénomène est encore amplifié par :un ralentissement de la formation, ce qui a fortement réduit le mécanisme de renouvellement de main d’œuvre,le blocage de la main d’œuvre venant de l’étranger,les mouvements de main d’œuvre liés aux chantages à la rémunérations,au poids des démarches administratives : outre les 142 jours de travail en moyenne consacrés chaque année dans les PME, l’annonce de nouveaux dispositifs tels Prime Rénov s’avère conçus plus pour les grands groupes que pour les artisans, le phénomène va croissant et d’autant que l’on s’approche d’une situation de quasi plein emploi avec les 6,5% de chômage déclarés dans le Rhône en août.Les solutions propres au bâtimentAujourd’hui, la CAPEB Rhône et Grand Lyon se retrouve de plus en plus confrontée à des adhérents en souffrance et constate une forte augmentation des appels de chefs d’entreprises demandant des informations en vue d’arrêter leur activité.Depuis septembre 2022, ces appels ont même été multipliés par deux.Outre les moyens existant tels :les travaux de l’Observatoire Amarok qui, au travers d’un numéro vert gratuit (0800 501 201), permet une pris en charge rapide des Travailleurs Non Salariés avec son réseau de psychologues cliniciens et prévient le risque de développer un Etat de Stress Post-TraumatiqueIris, l’Institut de Rechercher et d’Innovation sur la Santé et la Sécurité au Travail, dédié aux artisans du BTP-Paysage, qui développe des solutions et des outils adaptés et innovants pour la prévention des risques professionnelsPro BTP et ses sessions de formation ainsi que sa cellule psychologiqueLa CAPEB Rhône et Grand Lyon met ainsi en place une succession d’outils et d’accompagnement :au travers de l’ensemble de tous ses services service d’aide juridique et sociale, service emploi, service formation, service économique, service qualificationavec la présence d’administrateurs au sein de toutes les caisses sociales et autres organismes paritaires.En termes de prévention, se faire accompagner sur le plan personnel s’avère incontournable: c’est là que la plus grande force de l’organisation du bâtiment, la plus puissante du département, demeure avec l’entraide entre tous les adhérents du réseau. Les artisans et petites entreprises du bâtiment ont toujours su faire preuve d’adaptation, et encore plus ces deux dernières années. Toutefois, outre le rappel de ses revendications portées, depuis le printemps 2022, par la CAPEB Rhône et Grand Lyon rappelle que le besoin de trésorerie pour les artisans et les TPE CAPEB s’élève désormais en moyenne à 20.000 € pour le 2ème trimestre consécutif, ce qui, hors confinement n’était pas arrivé depuis 7 ans.Les revendications de la CAPEBFace aux difficultés d'approvisionnement et aux hausses de prix qui en résultent et face à la flambée des prix de l'énergie et des carburants, le Réseau CAPEB se mobilise.Rembourser, comme pour le secteur agricole et le secteur des Travaux Publics, une partie de la TICPE pour les carburants utilisés pour des véhicules professionnels ;Imposer aux banques et aux assureurs crédits qu’ils ne dégradent pas la cotation des entreprises dès lors qu’elles décident de reporter le remboursement de leur PGE ;Veiller à ce que les industriels et les négoces ou distributeurs :participent activement au Comité de crise du BTP mis en place parle gouvernement (initiative qui a permis d’inciter les acheteurs publics à faire preuve de compréhension et de souplesse dans l’application des règles des marchés publics) ;intègrent dans leurs prix le juste coût de la décarbonation ;assument les risques d’augmentation des prix avec la filière(solidarité et intérêts mutuels des acteurs : industriels, négoces, entreprises et clients) dans le cadre d’une charte de solidarité ;Exiger des fournisseurs qu’ils préviennent au moins 3 mois à l’avance les entreprises du bâtiment de toute augmentation des prix et qu’ils maintiennent une stabilité des prix également durant au minimum trois mois (en effet, les tendances pratiquées actuellement imposent parfois un paiement au comptant et des validités des prix de 24h ou 48h alors que le délai de rétractation des clients est de 14 jours) ;Accélérer la refonte du calcul des différents index BT et leurs publications dans des délais rapides au regard de la crise actuelle ;Appliquer une TVA à taux réduit de 5,5% pour l’ensemble des travaux de rénovation ;Rendre enfin automatique, en marchés publics, l’application des pénalités de retard en cas de retard de paiement aux entreprises ;Mettre en place un mécanisme de bouclier tarifaire du coût de l’énergie aux niveaux européen et français pour disposer d’une production industrielle à prix maîtrisé et permettre la continuité des politiques publiques de rénovation énergétique et environnementale, directement menacées par la flambée des coûts des matériaux.
Il y a 2 ans et 198 jours

Le Qatar, géant du gaz, annonce deux nouveaux grands projets de centrales solaires

Ces nouvelles centrales, à Mesaieed Industrial City (Sud) et Ras Laffan Industrial City (Nord), porteront la production photovoltaïque de l'émirat à 1,675 gigawatts (GW) d'ici fin 2024, a précisé la compagnie nationale Qatar Energy.Leur construction sera supervisée par le conglomérat sud-coréen Samsung, pour un investissement initial de plus de 600 millions de dollars (600 millions d'euros).Mesaieed et Ras Laffan sont des lieux clés pour la production de gaz naturel au Qatar, en pleine expansion.La première centrale solaire de très grande envergure du pays (800 mégawatts), Al Kharsaa, à l'ouest de Doha, a commencé à alimenter le réseau national en juillet, selon des sources du secteur. Elle devrait être pleinement opérationnelle avant le début de la Coupe du monde de football le 20 novembre.D'après les organisateurs du tournoi, qui promettent qu'il s'agira du premier Mondial à atteindre la neutralité carbone, cette centrale alimentera les huit stades en électricité.Sur les deux millions de cellules photovoltaïques d'Al Kharsaa, le sable et la poussière du désert sont nettoyés chaque jour par des robots. Qatar Energy a fait savoir que le même système serait utilisé dans les deux nouvelles fermes.Le ministre de l'Energie Saad Sherida al-Kaabi a salué une étape majeure dans les efforts de l'Etat du Golfe pour "accroître le recours aux énergies renouvelables à haut rendement".Le Qatar, qui entend produire 5 GW d'énergie solaire d'ici 2035, est en retard sur ses voisins du Golfe. L'Arabie saoudite a annoncé cette année son intention d'augmenter sa production à plus de 5 GW d'ici 2030 et des centrales solaires existent aux Émirats arabes unis depuis près d'une décennie.
Il y a 2 ans et 199 jours

La Finlande va restreindre les transactions immobilières pour les étrangers

Le texte proposé est un amendement visant à renforcer une loi de 2020 qui impose que les transactions effectuées par des particuliers ou des entreprises hors Union européenne ou Espace économique européen (EEE) soient approuvées par le ministère de la Défense."Bien sûr, le contexte derrière ça est la guerre de la Russie contre l'Ukraine", a dit à l'AFP Joonas Kontta, un parlementaire du Parti du Centre et membre de la commission de la Défense.Bien que la loi s'applique à tous les ressortissants non-issus de l'Union européenne, "elle concerne principalement les transactions immobilières effectuées par des citoyens russes et les risques de sécurité qui y sont associés", a ajouté M. Kontta.En l'état, le ministère ne peut intervenir que si une transaction compromet la défense nationale, l'intégrité territoriale ou la sécurité des frontières.Le nouveau texte "élargit le rayon" de ce mécanisme, explique à l'AFP Joona Lapinlampi, du département juridique du ministère de la Défense.Les raisons de sécurité nationale "n'exigent pas que la sécurité soit compromise immédiatement", a-t-il expliqué.Ainsi, la nouvelle loi pourrait viser un particulier qui chercherait à acheter une propriété dans les environs immédiats "d'un ministère ou d'une garnison".Le nouveau texte accorderait davantage de pouvoirs à l'Etat pour enquêter de plus près sur le financement des transactions immobilières potentielles.Les médias finlandais ont évoqué cette semaine une transaction récente dans laquelle un citoyen russe cherchait à acheter une vieille maison de retraite avec une centaine de chambres à proximité de la garnison de Niinisalo dans le sud-ouest du pays.Les services de sécurité et de renseignement finlandais (Supo) ont averti que des propriétaires agissant pour le compte d'un Etat étranger pourraient permettre que leurs biens soient utilisés pour abriter des troupes étrangères.Selon le ministère de la Défense, l'amendement devrait entrer en vigueur début 2023.
Il y a 2 ans et 199 jours

Le nombre d'annonces de locations meublées touristiques en baisse à Paris

La mairie dénombre aujourd'hui 43.000 annonces déclarées de locations de meublés touristiques, contre 50.000 en 2020, a-t-elle communiqué lors de son "observatoire des meublés touristiques à Paris"."Cette baisse montre que notre politique sur le sujet porte ses fruits", a affirmé à l'AFP Ian Brossat, l'adjoint (PCF) au logement de la ville, se réjouissant d'une situation "sous contrôle" malgré le retour des touristes à Paris.Depuis 2017, les propriétaires de meublés touristiques doivent se déclarer auprès de la mairie pour obtenir un numéro d'enregistrement nécessaire à la location, dans la limite de 120 jours par an."Il reste du travail", a reconnu M. Brossat. "Sur toutes les annonces, près des trois quarts concernent des résidences principales, mais il reste environ 25% - soit 9.000 annonces - qu'il faut ramener vers le marché locatif principal".Afin de lutter contre ces locations de courte durée et les plateformes comme Airbnb ou Booking, la Ville de Paris dispose également d'un bureau de la protection des locaux d'habitation pour traquer les propriétaires en dehors des clous, qui avait l'année dernière encore durci ses règles.Depuis le début de l'année, la municipalité a dressé 173 amendes envers des particuliers, pour un montant atteignant près de 1,5 million d'euros, auxquelles il faut ajouter 42 jugements sur le respect du code du tourisme et 134.465 euros d'amende, ainsi qu'une condamnation de la plateforme NY Habitat à une amende de 345.000 euros.En 2021, le montant total des amendes avait atteint 12,5 millions d'euros, un montant qui s'explique notamment par la décision du tribunal judiciaire de Paris de condamner Airbnb à une amende de 8 millions d'euros en raison "d'absence de numéro d'enregistrement sur environ 1.000 annonces".La mairie, qui a aussi soumis à une autorisation préalable les transformations de commerce en rez-de-chaussée en meublés touristiques, constate une "forte augmentation" des demandes en la matière depuis, mais révèle pour l'heure avoir éconduit 80% des demandes (59 refus sur 73 décisions rendues). "C'est la preuve que ce nouveau règlement limite la transformation de commerces en Airbnb", a conclu Ian Brossat.