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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Batinfo

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Il y a 3 ans et 19 jours

Autodesk rachète Spacemaker spécialiste de l'IA pour l'aménagement urbain

A l'occasion d'Autodesk University, Autodesk annonce avoir signé un accord définitif pour acquérir Spacemaker pour un montant de 240 millions de dollars nets (environ 203 millions d'euros). Basé à Oslo en Norvège, Spacemaker utilise l'intelligence artificielle et la conception générative pour aider les architectes, les urbanistes et les promoteurs immobiliers à prendre plus rapidement et de façon mieux avisée, des décisions dans les premières phases d'une opération (en particulier lors des études d'avant-projet). Cela permet également d'intégrer les perspectives de durabilité dès le départ. En évaluant très rapidement, les meilleures options de conception, Spacemaker aide les architectes à optimiser les investissements immobiliers de leurs clients sur le long terme. L'acquisition de Spacemaker dote Autodesk d'une plateforme puissante capable d'apporter, grâce à l'intelligence artificielle, des fonctions modernes et accessibles d'automatisation, et d'accélérer la productivité des architectes en matière de design.Grâce à Spacemaker, les architectes peuvent rapidement créer et évaluer des options de conception relatives à un bâtiment ou à un aménagement urbain. Avec l'intelligence artificielle comme partenaire de l'architecte, la plateforme Spacemaker permet aux utilisateurs de générer, d'itérer et d'optimiser très tôt diverses options de conception, tout en tenant compte des critères de conception et des données comme le terrain, les cartes, le vent, l'ensoleillement, le trafic... Spacemaker génère rapidement des options de conception optimisées pour exploiter au mieux le site. De meilleurs résultats sont ainsi obtenus dès le départ. Les concepteurs peuvent alors se concentrer sur la partie créative de leur métier.« Spacemaker dispose d'une connaissance approfondie de l'automatisation et donne aux concepteurs la possibilité de créer et de tester des idées d'aménagement urbain en quelques minutes », explique Andrew Anagnost, PDG et Président d'Autodesk. « Avec deux milliards d'habitants en plus sur notre planète d'ici 2050, concevoir rapidement et durablement des plans d'aménagement urbain doivent être une priorité. La technologie de Spacemaker apporte un changement fondamental dans la façon dont nous imaginons et construisons les villes, tout en préservant la santé de la population et celle de la planète. »« Chaque décision que nous prenons reflète nos valeurs. L'acquisition de Spacemaker souligne notre engagement à accompagner les architectes et les designers à changer le monde pour le meilleur », déclare Amy Bunszel, vice-présidente principale pour les solutions de conception AEC (architecture, ingénierie, construction) chez Autodesk. « Associée à nos technologies et à nos équipes, la solution révolutionnaire de Spacemaker permettra aux designers de prendre des décisions de conception plus avisées et de contribuer à résoudre certains des plus grands défis qui nous attendent tous. »« Il y a quatre ans, nous nous sommes donnés pour mission d'aider les équipes de conception, d'ingénierie et de projet à réinventer le développement des villes et des quartiers dans le monde entier, pour qu'ils soient plus durables tout en maximisant l'investissement », a déclaré Havard Haukeland, PDG et cofondateur de Spacemaker. « Autodesk partage notre vision : celle de concevoir une planète plus saine pour tous. De plus, Autodesk dispose d'un réseau international unique qui permettra de rendre disponible notre solution plus rapidement auprès des équipes de planification. C'est une étape importante pour notre équipe et pour ceux qui nous ont soutenus depuis le début. »« En Norvège, les promoteurs immobiliers sont à l'avant-garde de la transformation numérique dans le secteur du bâtiment. Cela se traduit à la fois par une rentabilité accrue des projets mais surtout par une meilleure capacité à lutter contre le changement climatique grâce à des développements immobiliers plus durables », a déclaré Daniel Kjørberg Siraj, PDG d'OBOS. « Les entreprises qui rebattent les cartes telles que Spacemaker font partie de la solution. Aussi, il est primordial de leur ouvrir la voie dont ils ont besoin pour avoir cet impact. En tant qu'investisseur et utilisateur de la première heure, je suis très heureux de voir Spacemaker rejoindre Autodesk. J'attends avec impatience de voir cette technologie d'origine norvégienne transformer l'industrie à l'échelle mondiale. »
Il y a 3 ans et 19 jours

Baisse du CA de Nexity au 1er trimestre, impacté par le ralentissement de l'immobilier commercial

Nexity, qui se présente comme un "opérateur intégré" couvrant tous les métiers de l'immobilier, de la promotion à la gestion de syndic en passant par l'exploitation de résidences, a dégagé 895 millions d'euros de chiffre d'affaires.C'est 21% de moins qu'un an auparavant, 13% sans tenir compte des cessions l'année dernière du réseau d'agences Century 21 et du gestionnaire de résidences seniors Aegide-Domitys.Un chiffre "bien en ligne avec les prévisions", selon le groupe qui maintient ses objectifs financiers pour 2022. "Nexity traverse la période d'instabilité actuelle avec confiance et n'observe pas à court terme d'impact significatif du contexte géopolitique global sur son activité commerciale ou sur l'avancement de ses chantiers. (...) Nous sommes déjà en action pour anticiper et absorber une potentielle dégradation des conditions économiques dans les prochains mois", assure la directrice générale, Véronique Bédague.Le groupe estime être en mesure de faire face à une augmentation "plus prononcée" des coûts des matériaux de construction et à une hausse des taux d'intérêt.La baisse de chiffre d'affaires vient de sa branche Promotion, qui représente près de 80% de son activité. Dans le résidentiel, les réservations de logements neufs restent stables, mais elles rapportent moins car elles ont davantage été le fait de bailleurs sociaux et d'investisseurs institutionnels, dont les commandes sont moins rentables."La poursuite du redressement du nombre de permis de construire obtenus depuis le début de l'année (+17% par rapport au T1 2021) alimentera l'offre commerciale dans les prochains mois", promet néanmoins Nexity.Dans l'immobilier commercial, en revanche, l'activité dégringole. Le groupe, qui avait réalisé en 2021 une importante vente, une tour de bureaux à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), assure que ce repli était attendu dans "un marché en bas de cycle et toujours attentiste."Sa branche Services voit, elle, son activité progresser, après avoir souffert des mesures sanitaires liées à l'épidémie de Covid-19 en 2020 et 2021, notamment dans ses espaces de coworking.
Il y a 3 ans et 19 jours

Ubiwan lance Ubispot*2, son nouveau capteur LTE-M

Aujourd’hui l’entreprise s’appuie sur une équipe de 20 collaborateurs qui accompagnent au quotidien 400 clients dans les secteurs du BTP, de l’industrie et de la maintenance. C’est pour maintenir cette relation privilégiée et pérenne avec eux et répondre à l’évolution de leurs besoins qu’Ubiwan a su faire preuve de réactivité en plaçant la gestion des données géographiques et l’innovation au cœur de sa stratégie de développement, avec le lancement d’ Ubispot*2, son premier capteur LTE-M. Dans ce contexte porteur, Ubiwan adresse un marché de 100 millions d'équipements et vise les 10M€ de CA d’ici 5 ans (vs 1,7M en 2020).La gestion de la mobilité au service des entreprisesSalariés nomades, matériels qui se déplacent et tâches déportées hors de l’entreprise : aujourd’hui, plus de 450.000 entreprises et administrations voient tout ou partie de leur activité s’exercer en dehors de bureaux ou de sites de production.Techniciens, réparateurs, livreurs, artisans, professionnels du TP et bien sûr transport : la gestion de la mobilité est aujourd’hui un enjeu clé pour ces professionnels… et leurs managers. Une solution de géolocalisation et de gestion de flotte répond avant tout aux besoins d’une entreprise qui vise à optimiser le pilotage de son activité hors de ses murs et à en dégager des bénéfices économiques et sociaux profitables à tous au sein de l’entreprise, de la TPE au grand groupe. Ubiwan s’appuie sur la géolocalisation en temps réel pour permettre à ses clients d’obtenir des données fiables sur les localisations et usages de leurs biens et ainsi optimiser l’activité globale de l’entreprise. Le déploiement d’un suivi de flotte se traduit par la présence d’un capteur GPS (Ubispot) branché ou apposé sur les équipements nomades (véhicules, matériels, engins) que l’on souhaite analyser pour, in fine, améliorer leurs performances.Paramétrés pour connecter l’ensemble d’une flotte (voitures, utilitaires, camions, poids-lourds, engins, matériels, containers, bennes etc.) à la plateforme Ubiwan Connect, les capteurs permettent l’accès à une profondeur d’analyse très élaborée. Jusqu’à 250 types de données différentes sont remontées par capteurs : localisation sur une carte interactive, vitesse moyenne du véhicule, déplacements, activités du moteur (arrêt, fonctionnement), comportement du véhicule (freinages, accélérations), inclinaison, etc. Outre la géolocalisation, le déploiement d’une solution de gestion de flotte influe sur la productivité (optimisation des plannings, dématérialisation des feuilles de route, affectation des missions via smartphone), la réduction des coûts d’entretiens des véhicules (utilisation raisonnée, baisse du taux de panne) ou encore la réduction de son empreinte carbone (optimisation des parcours).Mettre en place une solution de géolocalisation de flotte de véhicules implique d’obtenir et manipuler des données qui peuvent être sensibles. Raison pour laquelle cette démarche est soumise à la Réglementation européenne de protection des données personnelles (RGPD). D’un point de vue légal, celle-ci doit être justifiée par les impératifs de l’entreprise, et être acceptée par les collaborateurs. Ubiwan propose à cet effet un manuel destiné aux conducteurs pour encadrer l’utilisation des capteurs (mode privé, géolocalisation désactivée, temps personnel, etc.) afin d’assurer une utilisation respectueuse de l’outil.Ubispot*2, le nouveau capteur LTE-MChez Ubiwan, 50% des effectifs sont dédiés à la R&D. Une stratégie gagnante qui avait déjà permis à l’équipe de concevoir le premier capteur IOT bi-mode autonome 5 ans, primé au Salon Intermat de 2018. L’entreprise signe sa singularité par sa capacité à innover et à proposer des solutions adaptées aux mutations du marché, en témoigne le développement d’Ubispot*2, son nouveau capteur LTE-M.Tout terrain, ce nouveau capteur vient renforcer la gamme de capteurs autonomes et ne nécessite pas de branchement externe. Cette balise GPS permet de géolocaliser les équipements en étant simplement posée, accrochée ou vissée à son support en toute autonomie pendant 3 ans. 1 fois par jour, Ubispot*2 remonte les informations clés pour visualiser en un clic la situation de ses équipements.Extension de la technologie 4G, le LTE-M (Long-Term Evolution for Machines) combine une faible consommation énergétique et une couverture cellulaire étendue. En intégrant le réseau LTE-M, Ubiwan fait le choix d’un réseau fiable et pérenne. Le LTE-M ouvre également la voie à de nouveaux usages, en offrant une connexion performante, même à 100 km/h. Contrairement aux technologies LPWAN (Low-Power Wide Area Network), LTE-M assure la garantie d’acheminement des données et assure continuellement une capacité bidirectionnelle des données.De plus, cette technologie présente l’intérêt d’être accessible au niveau international, avec les mêmes exigences de qualité et de sécurité que tous les réseaux cellulaires et de parfaitement s’adapter au marché des objets connectés (IoT).Fiable et adaptée, tant sur le plan économique que technique, la technologie LTE-M utilisée pour Ubispot*2 offre la synergie d’une solution de géolocalisation optimale et d’une consommation énergétique réduite, idéale pour répondre aux enjeux des acteurs de l’Industrie, du BTP ou de la location.Pour David Babin, CEO Ubiwan : “Notre expertise IOT et notre maîtrise combinée des capteurs et des réseaux nous a permis d'intégrer le réseau LTE-M dans un contexte où le marché des réseaux connaît des évolutions majeures. En 2016, alors que nous étions ambassadeurs de la LORA Lalliance nous prévoyions l’avènement des réseaux LTEM et Narrowband IOT comme vecteurs d’adoption massifs de l’IOT. Notre politique R&D et notre cycle de qualification nous permettent aujourd'hui de considérer LTE-M comme mature et de proposer une solution à la fois innovante, pertinente et robuste pour nos clients. Notre vocation sera toujours d’intégrer les technologies qui représentent l’équilibre technique et économique.”
Il y a 3 ans et 19 jours

Nouvelle méthode de gouvernement : Roux de Bézieux méfiant sur un retour des "grands-messes"

"Oui, le président de la République a été très vertical (...) dans la manière dont il a exercé le pouvoir" et "on voit bien que ça ne peut pas marcher dans le contexte politique actuel. Par contre, moi je ne crois pas qu'il faille retomber dans les grands-messes, où on met tout le monde autour de la table pour parler de tous les sujets en même temps, avec des gens qui sont plus ou moins concernés, tout ça n'aboutissant à rien", a-t-il déclaré lors du "Club de l'économie", organisé par le journal Le Monde.Durant la campagne et après sa réélection, Emmanuel Macron a promis de mettre en place "une nouvelle méthode" de gouvernement, basée sur "une plus large concertation", en particulier pour ses chantiers prioritaires que sont l'école ou la santé, mais aussi sur la future réforme des retraites.Pour le président de la première organisation patronale, "il y a une autre méthode à inventer", qui soit "très segmentée autour de certains sujets", le logement par exemple, et ne réunissant que les acteurs "concernés". Ce n'est "pas la peine de faire ça à grand renfort de Grenelle, de trucs et de machins, qu'on adore en France mais qui ne fonctionnent pas", a-t-il insisté.
Il y a 3 ans et 19 jours

URW proche d'un retour à la normale d'avant-Covid 19

Début 2022, le groupe, propriétaire du Forum des Halles à Paris et du centre commercial de la Part-Dieu à Lyon a dégagé 897,1 millions d'euros de loyers nets.C'est 34% de plus qu'au premier trimestre 2021, quand la lutte contre la pandémie avait largement ralenti l'activité des centres commerciaux, et à peine 5% de moins qu'en 2019.URW se félicite dans un communiqué d'une "forte reprise post-Covid-19".Le chiffre d'affaires des commerçants hébergés par URW est remonté à 93% de son niveau d'avant-Covid 19, et l'a même dépassé aux États-Unis, dont le groupe veut se désengager courant 2022-2023.Au cours du trimestre, il s'est d'ailleurs débarrassé d'un centre commercial à Los Angeles, ainsi que d'un centre à Solna (Suède) et d'une part dans le Carré Sénart en banlieue parisienne. Reflet de sa stratégie de désendettement et de concentration sur les emplacements au coeur des grandes métropoles européennes.La fréquentation de ses centres est cependant restée en retrait au cours du trimestre, à 82% du niveau de 2019. Les visites sont donc "plus productives", explique le groupe.URW, qui a annoncé en mars une nouvelle stratégie publicitaire basée sur la publicité ciblée et l'exploitation des données des visiteurs, a signé un partenariat de 8 ans avec Clear Channel France portant sur 600 écrans installés dans 20 centres commerciaux français.Sa branche expositions, comprenant notamment les parcs des expositions de Villepinte et de la Porte de Versailles, a logiquement bien profité de la fin des mesures sanitaires et de la reprise des évènements en présentiel.
Il y a 3 ans et 19 jours

Déchets du bâtiment : Valdelia salue la consultation publique du projet d’arrêté portant cahier des charges des éco-organismes de la filière

Valdelia, candidat à l’agrément pour élargir ses activités d’éco-organisme à la gestion des déchets de produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment, accueille cette nouvelle avec enthousiasme. L’éco-organisme considère ce texte comme ambitieux, plus équilibré et plus réaliste, qui inscrira progressivement la filière dans une perspective résolument tournée vers l’économie circulaire. Il appelle également les acteurs du bâtiment à se mobiliser autour de lui, et annonce la tenue d’un nouveau colloque intitulé « Bâtir ensemble une filière performante, édition #02 », le 22 septembre 2022, à La Maison de la Chimie, à Paris.Un pas de plus vers l’agrément des éco-organismesLa mise en œuvre de la filière relative à la gestion des déchets issus des produits et matériaux du secteur du bâtiment est bien en ordre de marche. Avec le lancement ce lundi 25 avril 2022 de la consultation publique de l’arrêté encadrant les objectifs qui devront être atteints par les éco-organismes agréés, le cadre réglementaire se précise encore un peu plus. Pour Arnaud Humbert-Droz, Président Exécutif de Valdelia : « Ultime étape avant la constitution de notre dossier de demande d’agrément, nous invitons l’ensemble des professionnels du bâtiment à être acteur de la filière en participant à nos expérimentations, et espérons convaincre les metteurs sur le marché encore indécis d’adhérer à notre modèle d’éco-organisme. »Cette étape fondamentale pour organiser la filière de demain vient conforter Valdelia et ses partenaires dans la nécessité d’accélérer leurs efforts dans le déploiement des expérimentations en cours. Quatre typologies d’expérimentations, déployées actuellement sur tout le territoire national, s’attachent à tester la chaîne opérationnelle complète de la gestion des déchets du bâtiment, et préfigurent d’ores-et-déjà les dispositifs qui seront déployés progressivement au lancement de la filière :La collecte en point d’apport volontaire chez les distributeurs et négoces.La collecte en point d’apport volontaire sur déchetteries professionnelles.La collecte en chantier de construction neuve.La collecte en chantier de rénovation et curage.En parallèle de cette approche pragmatique sur le terrain, Valdelia multiplie les rencontres avec les prestataires de collecte et de traitement pour affiner sa connaissance des savoir-faire actuels et imaginer les solutions qui contribueront non seulement à la seconde vie des produits, mais aussi à la préservation de la qualité des matières recyclées.L’éco-organisme : la réponse à la mise en place de la filièreLa filière REP PMCB et ses exigences réglementaires représentent une nouvelle donne pour tous les acteurs du bâtiment, et sa mise en place entraînera des changements culturels, juridiques et organisationnels dans le monde du bâtiment.Rejoindre le système collectif porté par Valdelia permettra aux professionnels du secteur de disposer d’un outil clé en main à leur service. Malgré un contexte difficile (nouvelles réglementations, problèmes d’approvisionnement matières, etc.), le projet d’arrêté signe un retour optimiste quant à l’entrée en vigueur de la REP PMCB. Il traduit une vision d’avenir et une opportunité de bâtir ensemble une filière industrielle innovante et performante.Pour Arnaud Humbert-Droz, Président Exécutif Valdelia : « Depuis l’arrivée de la nouvelle réglementation découlant de la loi AGEC, l’envie de construire ensemble, d’apporter des réponses opérationnelles, adaptées, respectueuses des intérêts de chaque partie prenante, ne nous a jamais quittés. Plus que jamais, nos équipes sont au travail pour faire en sorte que son application soit facilitée, et que l’ensemble des acteurs du bâtiment, mais aussi du réemploi, de la réutilisation et du recyclage, puissent développer et ancrer leur activité dans l’économie circulaire. »Un nouveau colloque annoncé : "100% opérationnel", dédié aux retours d’expérienceÀ l’occasion du nouveau colloque « Bâtir ensemble une filière performante - édition #02 », qui se tiendra le jeudi 22 septembre 2022 à la Maison de la Chimie à Paris, Valdelia et ses partenaires animeront des tables rondes, pour partager avec les différents acteurs du bâtiment leur vision et leurs retours d’expérience sur les sujets stratégiques de la filière des déchets issus du bâtiment : collecte et diversité des acteurs, traitement et complexité des déchets, réemploi et réutilisation des produits et matériaux, outils prêts à déployés et traçabilité des flux, R&D et innovation, ou encore progressivité et mise en place de la filière.
Il y a 3 ans et 19 jours

Humidistop : Concepteur fabricant d'appareils contre l'humidité des murs, le calcaire et les ondes

Tous les produits Humidistop sont fabriqués en France et à prix direct usine. Outre les problèmes de santé qu’elle provoque, l’humidité incarne le plus sûr moyen de dévaloriser son patrimoine. De nombreuses solutions cohabitent sur le marché Français. Mais l’importance est de supprimer la cause du mal, pas seulement ses effets. D’autant que la cause de l’humidité n’est jamais là où le mal est visible, en effet elle se cache derrière vos placos, dans vos sols, entre les pierres, derrière le ciment…L’humidité ne tient pas lieu de fatalité et il est possible de la supprimer. Humidistop propose à tous les particuliers et les professionnels, ses inverseurs de polarité IPE STOP ONE et IPG GEOSTOP à prix usine pour supprimer l’humidité dans les murs (remontées capillaires). L'entreprise a développé depuis de nombreuses années ses propres appareils pour éliminer l’humidité dans les murs et plus particulièrement les remontées capillaires. L’inverseur de polarité électromagnétique IPE STOP ONE et l’inverseur de polarité géomagnétique IPG GEOSTOP sont des solutions qui s’adressent à tous les types d’habitation et s’adaptent à tous les budgets. Ces produits sont appréciés pour leur faible coût, leur rapidité d’installation et leur efficacité. En ce sens elles représentent une forte valeur ajoutée pour la valorisation de votre logement.
Il y a 3 ans et 19 jours

Nouvelle baisse des aides CEE pour les travaux d'isolation dans le résidentiel à partir du 1er mai 2022

En effet, une évolution de la réglementation entre en vigueur et engendre une baisse de 20% à 30% en moyenne du montant des “primes énergie”, l'aide financière du dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie, dédiées à l'isolation thermique des murs, combles, tuyaux d'eau chaude sanitaire et toitures terrasses des bâtiments résidentiels. Décryptage du groupe Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie.Pour Marina Offel, responsable des affaires publiques et juridiques du groupe Hellio : “C'est un des dossiers qui sera sur la table du prochain ministère en charge du logement. L'État a en effet choisi de réduire drastiquement les aides à l'isolation thermique des logements pour contrer les arnaques à 1 euro. Cela est dommageable pour les ménages qui financeront moins bien les projets de rénovation de leur logement, mais aussi pour la filière professionnelle qui s'est structurée pour répondre à la demande, aujourd'hui en pleine crise.Une baisse paradoxale qui intervient au moment où la maîtrise de l'énergie n'a jamais été aussi cruciale pour lutter contre la précarité, le réchauffement climatique et la hausse des prix de l'énergie ! Attention, cette baisse ne concerne pas l'isolation dans le secteur tertiaire, par exemple, qui reste bien subventionnée aujourd'hui.”Baisse des primes financières pour les travaux d'isolation les plus effectués par les ménagesLe 39e arrêté du dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie paru le 10 décembre 2021 vient modifier la réglementation applicable aux aides financières des opérations d'isolation thermique dans le logement.En effet, sont modifiés les montants des primes issues du dispositif des CEE pour les opérations suivantes (1) :Isolation des planchers bas : la nouvelle prime au m2 est en moyenne de 4,73 euros, soit une baisse moyenne de 32%Exemple : en Charente-Maritime (zone climatique H2 des CEE), pour l'isolation des planchers bas d'une maison individuelle de 80m², l'aide CEE passe de 572 euros à 391 euros.Isolation des murs : la nouvelle prime au m2 est en moyenne 6,93 euros, soit une baisse moyenne de 33% pour les logements chauffés à l'électricité, et de 58% pour les logements chauffés au combustible.Exemple : en Charente-Maritime, pour l'isolation des murs d'une maison individuelle de 80 m² avec une surface de murs de 140m² à isoler, chauffée à l'électricité, la prime passe de 1.540 euros à 1.001 euros d'aides CEE.Isolation des toitures terrasses : la nouvelle prime au m2 est en moyenne de 5,26 euros, soit une baisse moyenne de 26%.Isolation des réseaux d'eau chaude sanitaire, ou “calorifugeage” : la nouvelle prime par mètre linéaire est en moyenne de 24,77 euros, soit une baisse moyenne de 21%. (1) La nouvelle prime au m² indiquée correspond à la moyenne des nouveaux forfaits sur la France à 5 500 euros du GWhc. Modifications techniques des dossiers d'obtention des primes financièresLe même arrêté publié en décembre, complété par l'arrêté du 18 février 2022, précisent d'autres modifications concernant :La visite préalable obligatoire avant la pose de l'isolation des murs et des planchers bas,Le respect d'un délai de réflexion de 7 jours entre la signature du devis et la pose de l'isolant des murs,Le respect des définitions précisées des différents procédés d'isolation,La résistance thermique nécessaire de l'isolant.
Il y a 3 ans et 19 jours

La CAPEB adopte un Plan de transformation stratégique et une feuille de route

La CAPEB accueille avec impatience les Assises du bâtiment annoncées par Bruno Le Maire lors de la séance officielle. Enfin, elle entend nourrir ses réflexions pour l’avenir des petites entreprises du bâtiment, comme elle a commencé à le faire ce 22 avril dans le cadre de son Congrès.A l’occasion de son Assemblée générale qui s’est tenue à Paris les 21 et 22 avril 2022, la CAPEB a adopté un plan de transformation stratégique, le plan CAP CAPEB, nourri des réflexions et des propositions de l’ensemble de son réseau pendant plus d’une année. Au travers de ce plan, la CAPEB entend adapter et moderniser ses pratiques actuelles pour mieux répondre aux besoins et aux attentes des entreprises artisanales du bâtiment, et dynamiser l’ensemble de son réseau en s’appuyant notamment sur ses compétences.Réunis en Assemblée générale, les présidents et délégués des CAPEB départementales ont adopté par ailleurs quatre résolutions résumant leurs priorités dans les domaines de l’économie de l’artisanat du bâtiment, des techniques et des professions, des compétences et de la formation professionnelle et enfin, de la protection sociale et de l’emploi.Validé par les délégués à l’unanimité lors de cette Assemblée générale, la CAPEB publiera dans les prochains jours son rapport d’activité pour l’année 2021 qui sera également mis en ligne sur son site capeb.fr.Enfin, au cours de la séance officielle qu’elle a organisée le 22 avril, la CAPEB a accueilli les représentants des deux candidats à l’élection présidentielle. Au vu des résultats de dimanche, la CAPEB prend donc acte et retient la proposition annoncée en primeur par Bruno Le Maire, en tant que représentant du candidat Emmanuel Macron, qui a invité la CAPEB à participer, après les élections législatives, à des Assises du bâtiment. La CAPEB se félicite de cette initiative qui s’impose en effet, compte tenu de la crise que connaît le secteur de la construction en termes de prix et d’approvisionnements.La CAPEB se félicite également de l’avis positif de Bruno Le Maire, exprimé en réponse à une question posée par la CAPEB, quant à la modification des règles de la mesure de la représentativité proposée par la CAPEB et l’U2P, pour que les TPE puissent occuper leur juste place.D’ici là, la CAPEB continue de porter ses revendications et ses priorités auprès des candidats aux élections législatives, résumées dans son Livre blanc.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « La CAPEB peut se réjouir d’avoir un réseau mature et décidé à se moderniser pour être encore plus efficace dans l’accompagnement des entreprises du bâtiment au quotidien. Le Plan de transformation, CAP CAPEB, permettra à la CAPEB de renforcer ses atouts au bénéfice de tous. Comme l’ont montré les débats du Congrès que nous avons organisés ce 22 avril, les entreprises artisanales du bâtiment peuvent renforcer leur place de leader dans les années qui viennent et ont de belles perspectives devant elles en termes d’activité. Elles savent s’adapter mais devront se réinventer, malgré l’environnement et les fortes concurrences auxquels elles doivent faire face. »
Il y a 3 ans et 20 jours

RealWear améliore ses casques à réalité augmentée pour l'industrie et la construction

RealWear, un leader mondial des systèmes mains libres intelligents portés sur la tête, lance la version 12 de son firmware qui apporte une expérience utilisateur améliorée pour l’ensemble de ses devices. Cela comprend de nouvelles fonctionnalités allant d’une stabilisation vidéo améliorée à une dictée dans le cloud renforcée, en passant par la prise en charge d’Android 10.Les nouvelles mises à jour du firmware de RealWear apportent à la caméra du modèle phare de casques HMT-1 une stabilisation vidéo en temps réel. Celle-ci contribue à éliminer les micromouvements indésirables liés aux actions naturelles de l’utilisateur, ce qui permettra une collaboration plus fluide entre les équipes sur le terrain et les collaborateurs à distance. Le logiciel assure la détection des mouvements, un haut degré de précision, la capture dynamique du flou, l’EVS (stabilisation électronique de la vidéo) et des performances en mode basse consommation.« La version 12 promet d’apporter aux travailleurs de première ligne encore plus de clarté lorsqu’ils sont sur le terrain », commente Jon Arnold, vice-président des ventes EMEA de RealWear. « Avec un grand nombre de nos clients qui dépendent désormais de la technologie portable, il est essentiel que les travailleurs de première ligne puissent fournir la meilleure clarté et visibilité possible d’un site à leurs équipes et collègues qui peuvent être basés à distance. La version 12 répond à cette exigence en proposant une prise en charge linguistique supplémentaire, une dictée vocale améliorée et une stabilisation vidéo. »Outre la stabilisation vidéo, la version 12 apportera les mises à jour suivantes pour le HMT-1­:RealWear HMT-1 mis à niveau vers Android 10 - La version 12 mettra à niveau le firmware et les applications natives du casque RealWear HMT-1 vers Android 10. Cela améliore la fonctionnalité, la convivialité et la sécurité du dispositif. Tout nouveau RealWear Explorer - RealWear Explorer est un outil d’aide RealWear gratuit, très populaire et utile, qui fonctionne sur Mac ou Windows PC et qui reflète l’écran d’un HMT-1 sur l’écran d’un ordinateur. RealWear Explorer a été conçu à l’origine pour les développeurs, mais il est également très populaire auprès des utilisateurs finaux. En plus de tester l’interface utilisateur, il est idéal pour faire des démonstrations à un groupe plus important sur un grand écran afin de montrer le point de vue du travailleur de première ligne, pour tester les applications en cours de développement et pour faciliter la saisie des mots de passe. RealWear Explorer est compatible avec le HMT-1 et le HMT-1Z1. La société a ouvert ces derniers mois de nouveaux bureaux sur des marchés importants et a récemment annoncé qu’elle avait franchi une étape importante en livrant des dispositifs portables à plus de 3 000 entreprises clientes uniques dans le monde entier, dans divers secteurs.En raison de la pandémie et des restrictions de voyage qui en ont résulté, les ingénieurs n’ont plus été en mesure de se rendre dans les usines et les installations pour aider, en personne, les techniciens sur place. Par conséquent, RealWear est rapidement devenu le dispositif portable de choix pour la collaboration virtuelle à distance afin de dépanner les équipements et d’effectuer des contrôles de qualité, des audits, des inspections, des visites d’usines et des tests d’acceptation de produits et d’usines (FAT). Encouragées par ce succès, des sociétés de collaboration de premier plan dont Microsoft, Cisco et Zoom ont adapté leurs logiciels pour tirer pleinement parti de la solution de réalité augmentée de RealWear, qui est le choix des travailleurs de terrain de certaines des plus grandes marques industrielles du monde.RealWear développe des casques portables mains libres à commande vocale, conçus dès le départ pour répondre aux besoins uniques des secteurs du pétrole et du gaz, de la logistique et du transport, de la fabrication, de la santé et de l’automobile. Le produit phare de la société, le HMT-1, est le premier ordinateur tablette de classe Android, robuste et porté sur la tête, qui libère les mains des travailleurs pour les tâches dangereuses. Contrairement aux autres appareils disponibles sur le marché, le HMT-1 sert de dispositif de travail collaboratif toute la journée. Il offre aux travailleurs de terrain une autonomie de 9 à 10 heures à travers des utilisations variées. Les batteries sont également remplaçables à chaud pour éviter les temps d’arrêt ou la perte de progrès pendant le travail.
Il y a 3 ans et 20 jours

RealWear améliore ses casques à réalité augmenté pour l'industrie et la construction

RealWear, un leader mondial des systèmes mains libres intelligents portés sur la tête, lance la version 12 de son firmware qui apporte une expérience utilisateur améliorée pour l’ensemble de ses devices. Cela comprend de nouvelles fonctionnalités allant d’une stabilisation vidéo améliorée à une dictée dans le cloud renforcée, en passant par la prise en charge d’Android 10.Les nouvelles mises à jour du firmware de RealWear apportent à la caméra du modèle phare de casques HMT-1 une stabilisation vidéo en temps réel. Celle-ci contribue à éliminer les micromouvements indésirables liés aux actions naturelles de l’utilisateur, ce qui permettra une collaboration plus fluide entre les équipes sur le terrain et les collaborateurs à distance. Le logiciel assure la détection des mouvements, un haut degré de précision, la capture dynamique du flou, l’EVS (stabilisation électronique de la vidéo) et des performances en mode basse consommation.« La version 12 promet d’apporter aux travailleurs de première ligne encore plus de clarté lorsqu’ils sont sur le terrain », commente Jon Arnold, vice-président des ventes EMEA de RealWear. « Avec un grand nombre de nos clients qui dépendent désormais de la technologie portable, il est essentiel que les travailleurs de première ligne puissent fournir la meilleure clarté et visibilité possible d’un site à leurs équipes et collègues qui peuvent être basés à distance. La version 12 répond à cette exigence en proposant une prise en charge linguistique supplémentaire, une dictée vocale améliorée et une stabilisation vidéo. »Outre la stabilisation vidéo, la version 12 apportera les mises à jour suivantes pour le HMT-1­:RealWear HMT-1 mis à niveau vers Android 10 - La version 12 mettra à niveau le firmware et les applications natives du casque RealWear HMT-1 vers Android 10. Cela améliore la fonctionnalité, la convivialité et la sécurité du dispositif. Tout nouveau RealWear Explorer - RealWear Explorer est un outil d’aide RealWear gratuit, très populaire et utile, qui fonctionne sur Mac ou Windows PC et qui reflète l’écran d’un HMT-1 sur l’écran d’un ordinateur. RealWear Explorer a été conçu à l’origine pour les développeurs, mais il est également très populaire auprès des utilisateurs finaux. En plus de tester l’interface utilisateur, il est idéal pour faire des démonstrations à un groupe plus important sur un grand écran afin de montrer le point de vue du travailleur de première ligne, pour tester les applications en cours de développement et pour faciliter la saisie des mots de passe. RealWear Explorer est compatible avec le HMT-1 et le HMT-1Z1. La société a ouvert ces derniers mois de nouveaux bureaux sur des marchés importants et a récemment annoncé qu’elle avait franchi une étape importante en livrant des dispositifs portables à plus de 3 000 entreprises clientes uniques dans le monde entier, dans divers secteurs.En raison de la pandémie et des restrictions de voyage qui en ont résulté, les ingénieurs n’ont plus été en mesure de se rendre dans les usines et les installations pour aider, en personne, les techniciens sur place. Par conséquent, RealWear est rapidement devenu le dispositif portable de choix pour la collaboration virtuelle à distance afin de dépanner les équipements et d’effectuer des contrôles de qualité, des audits, des inspections, des visites d’usines et des tests d’acceptation de produits et d’usines (FAT). Encouragées par ce succès, des sociétés de collaboration de premier plan dont Microsoft, Cisco et Zoom ont adapté leurs logiciels pour tirer pleinement parti de la solution de réalité augmentée de RealWear, qui est le choix des travailleurs de terrain de certaines des plus grandes marques industrielles du monde.RealWear développe des casques portables mains libres à commande vocale, conçus dès le départ pour répondre aux besoins uniques des secteurs du pétrole et du gaz, de la logistique et du transport, de la fabrication, de la santé et de l’automobile. Le produit phare de la société, le HMT-1, est le premier ordinateur tablette de classe Android, robuste et porté sur la tête, qui libère les mains des travailleurs pour les tâches dangereuses. Contrairement aux autres appareils disponibles sur le marché, le HMT-1 sert de dispositif de travail collaboratif toute la journée. Il offre aux travailleurs de terrain une autonomie de 9 à 10 heures à travers des utilisations variées. Les batteries sont également remplaçables à chaud pour éviter les temps d’arrêt ou la perte de progrès pendant le travail.
Il y a 3 ans et 20 jours

La gamme Usystem Roof s’élargit avec deux nouveaux panneaux de toiture en fibre de bois pour une isolation éco-responsable

Pour qu’isolation thermique, confort d’été et construction durable ne fassent qu’un, Unilin Insulation étoffe sa gamme de panneaux de toiture Usystem Roof avec de la fibre de bois. Deux nouveaux produits voient ainsi le jour : Usystem Roof OS Comfort Natural et Usystem Roof DS Natural Wool.Des matériaux durables au service de l’efficacitéLes nouveaux panneaux Usystem Roof d’Unilin Insulation conviennent particulièrement à l’isolation par l’extérieur des rampants de toiture en bio-construction, en neuf comme en rénovation.Ils offrent tous les avantages de deux matériaux durables (fibre de bois et polyuréthane pour Usystem Roof OS Comfort Natural et fibre de bois pour Usystem Roof DS Natural Wool) caractérisés par des cycles de vie étendus et une réduction des émissions de gaz à effet de serre des bâtiments.USYSTEM Roof OS Comfort NaturalUsystem Roof OS Comfort Natural est un panneau de toiture bi-matière 3 en 1 assurant à la fois le support de couverture, l’isolation thermique et la finition intérieure du plafond.Il permet de traiter toutes les configurations de manière traditionnelle : découpes noues et arêtiers, débords de toiture, fenêtres de toit, passage de cheminées, ...Composé de mousse de polyuréthane, de fibre de bois (60 mm) et d’un écran de sous-toiture HPV intégré, Usystem Roof OS Comfort Natural offre une isolation thermique performante, tout en préservant le toit des risques d’humidité, pour un confort en toute saison : gain de chaleur en hiver et maintien de la fraîcheur en été !L’écran de sous-toiture permet un jointement parfait sans bande ni manipulation complémentaire grâce aux recouvrements adhésifs intégrés pour un temps de pose réduit et une sécurité optimale des couvreurs.USYSTEM Roof DS Natural WoolPanneau sandwich chevronné à base de fibre de bois (densité de 50 kg/m3) et pare-vapeur intégré, Usystem Roof DS Natural Wool est une solution constructive bio-sourcée assurant l’isolation thermique et acoustique, le confort d’été et la ventilation du bâtiment.Autorisant de grands entraxes entre pannes, il convient à toutes les formes de toiture en pente et il est aussi facile à mettre en œuvre que le caisson chevronné Usystem Roof OS Comfort Natural. Il existe en version non lattée pour la pose parallèle à l’égout.Des finitions intérieures pour tous les goûtsPour répondre à toutes les envies en matière de décoration intérieure, les solutions Usystem Roof avec fibre de bois d’Unilin Insulation sont proposées dans une large gamme de finitions pour les plafonds, de la finition semi-finie à la finition complète :jusqu’à 12 finitions semi-finies personnalisables,2 décors synthétiques texturés pour une esthétique contemporaine (Deco White etDeco Beige),4 finitions bois véritable, brut, flotté, cérusé pour un intérieur authentique.Moins carbonés, les nouveaux panneaux de toiture avec fibre de bois Usystem Roof répondent aux exigences de la réglementation RE2020, contribuant à la réduction des émissions sur le cycle de vie du bâtiment. Ils sont par ailleurs éligibles à MaPrimeRénov'. Enfin, ils sont certifiés ACERMI, gage de qualité.
Il y a 3 ans et 20 jours

JO2024 : lancement des travaux du Centre aquatique de Marville en Seine-Saint-Denis

Ce jeudi 21 avril ont officiellement été lancés les travaux de construction du futur Centre aquatique de Marville, en présence de Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-Denis, Yasmine CAMARA, Conseillère régionale d'Île-de-France déléguée spéciale aux Jeux olympiques et paralympiques, Pierre RABADAN, Adjoint à la Maire de Paris en charge du sport, des Jeux olympiques et paralympiques et de la Seine, Emmanuel CONSTANT, Vice-président du Département de la Seine-Saint-Denis chargé de l'Education et des Jeux olympiques et paralympiques, Zaïnaba SAÏD-ANZUM, Conseillère départementale déléguée au Sport, Mathieu HANOTIN, Président de Plaine Commune, Maire de Saint-Denis, et Gilles POUX, Maire de La Courneuve. Après une phase de conception, d'études et d'obtention du permis de construire, les travaux, débutés, en janvier 2022 sous la direction d'un groupement d'entreprises mené par GCC, s'achèveront en octobre 2023. Le site sera livré pour les Jeux en janvier 2024, avant une ouverture au grand public en septembre 2024. Cet équipement est financé à hauteur de 30,5 millions d'euros (valeur 2016) par la SOLIDEO, grâce notamment aux importantes contributions de la Ville de Paris et du Conseil Départemental de la Seine-Saint-Denis à son budget, et avec le soutien également de la Région Île-de-France. Un héritage sportif majeur pour la Seine-Saint-Denis Ce nouveau centre aquatique remplacera l'actuelle piscine ouverte en 1975 au sein du Parc départemental des sports de Marville situé entre les communes de Saint-Denis et de La Courneuve. Il offrira un espace totalement neuf de 4 600m2 dont près de 1 600m2 de plan d'eau, avec des bassins intérieurs et extérieurs, un espace bien-être et balnéothérapie, deux solariums, une plage aqualudique ou encore une lagune de jeux. Pendant les Jeux Olympiques, le Centre aquatique accueillera les entraînements de water-polo. Après 2024, ce nouvel équipement public renforcera considérablement l'offre aquatique du parc des sports de Marville, que ce soit pour une pratique sportive ou de loisirs, des clubs, des groupes scolaires et des habitant.e.s de la Seine-Saint-Denis. Le futur Centre aquatique s'inscrit ainsi pleinement dans le « Plan piscines » de 40 millions d'euros voté par le Département fin 2015 et visant à la rénovation de la moitié des piscines et à la construction de 5 nouvelles piscines en Seine-Saint-Denis. Un effort essentiel pour un territoire qui compte moins de 60 m2 de bassin de natation pour 10 000 habitants, contre plus de 160 m2 en moyenne en Île-de-France, et où plus de 50% des élèves entrant en 6ème ne savent pas nager.Un projet au cœur de la transformation du Parc des sports de MarvilleLe Centre aquatique s'inscrit dans le cadre du projet d'aménagement du Parc des sports de Marville. Ce site de 33 hectares, dont le Département est gestionnaire depuis 2019, bénéficiera de 30 millions d'euros d'investissement (hors Centre aquatique) afin de réhabiliter ses équipements sportifs pour en faire un site sportif structurant à l'échelle de la Seine-Saint-Denis tant en matière de pratiques sportives conventionnées que de pratiques sportives libres pour toutes et tous.« Le futur Centre aquatique de Marville constitue l'un des principaux héritages sportifs des Jeux de 2024 pour la Seine-Saint-Denis. Dans un territoire où nous manquons fortement d'infrastructures en matière de natation, ce futur Centre aquatique démontre à quel point les Jeux peuvent être un accélérateur des politiques publiques et de la pratique sportive pour toutes et tous, qu'elle soit de loisirs ou tournée vers la compétition. »Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-Denis« Dès la rentrée 2024, les habitants de Seine-Saint-Denis et de Paris, et en particulier les plus jeunes d'entre eux, pourront bénéficier de ces nouveaux bassins qui auront accueilli les meilleures équipes du monde de water-polo pour leur préparation aux Jeux de 2024. Ce nouvel équipement concrétise les retombées positives et durables des Jeux sur nos territoires, notamment pour l'amélioration nécessaire de l'offre sportive nautique. »Pierre RABADAN, Adjoint à la Maire de Paris en charge du sport, des Jeux olympiques et paralympiques et de la Seine
Il y a 3 ans et 20 jours

Iberdrola annonce un bénéfice net en légère hausse au premier trimestre

Le géant espagnol, l'un des leaders mondiaux des énergies renouvelables, a engrangé 1,06 milliard d'euros de bénéfice entre janvier et mars, soit une hausse de 3% par rapport au premier trimestre 2021 (1,02 milliard).Ce chiffre est légèrement supérieur aux prévisions des analystes interrogés par le fournisseur d'informations financière Factset, qui tablaient en moyenne sur 1,04 milliard d'euros de profits.Il s'explique notamment par des bons résultats aux États-Unis et au Brésil, où l'activité a été stimulée par d'importants investissements, souligne Iberdrola dans un communiqué.Le groupe espagnol a vu en revanche son bénéfice reculer de 29% sur un an en Espagne, à 337 millions d'euros - soit moins d'un tiers de son résultat mondial.Cela s'explique par la flambée de "son coût d'approvisionnement", qui n'a pas été "répercuté aux clients" bénéficiant de tarifs fixes, assure l'entreprise dans son communiqué.A la bourse de Madrid, le cours d'Iberdrola était en légère baisse (-1,04%) à 07H50 GMT, dans un marché lui aussi en recul (-0,94%). Les prix de l'énergie ont connu une envolée ces derniers mois en raison de tensions sur les marchés liées au redémarrage de l'activité après des mois de pandémie, et à l'invasion de l'Ukraine par la Russie."La crise actuelle sur le marché énergétique démontre la nécessité d'accélérer la transition énergétique pour atteindre l'autonomie énergétique en Europe", souligne le président d'Iberdrola, Ignacio Galán.Cela doit passer par "des solutions inscrites dans un cadre européen" et par "un dialogue continu entre les agents et les administrations", ajoute M. Galan, cité dans le communiqué.Iberdrola précise avoir investi 2,1 milliards d'euros au premier trimestre, et 9,6 milliards d'euros sur les 12 derniers mois, en grande majorité pour développer sa capacité de production d'énergie renouvelable.Ces investissements ont concerné en premier lieu les États-Unis (32%), l'Espagne (20%), le Brésil (18%) et le Royaume-Uni (15%), avec des montants importants injectés dans l'éolien en mer, précise le groupe.Sur les 12 derniers mois, 3.500 mégawatts (MW) d'énergie renouvelable ont ainsi été installés, dont 1.218 MW dans le secteur photovoltaïque, 1.136 MW dans l'éolien terrestre et 998 MW dans l'hydroélectrique.Iberdrola, qui dispose désormais d'un portefeuille de 90.000 mégwatts, indique confirmer au vu de ses investissements ses objectifs pour 2022, avec un bénéfice compris entre 4 et 4,2 milliards d'euros.
Il y a 3 ans et 20 jours

Matterport lance le fichier BIM et un plug-in Autodesk Revit pour l'industrie du bâtiment

Matterport, Inc. (Nasdaq : MTTR), l’entreprise de données spatiales à la tête de la transformation digitale du monde bâti, a présenté aujourd'hui le fichier BIM de Matterport, un nouveau service qui réduit considérablement le temps et les coûts de la modélisation des informations du bâtiment (Building Information Modeling, BIM) pour le secteur de l'architecture, de l'ingénierie et de la construction (AEC). Désormais inclus dans l’abonnement Matterport, les clients peuvent en un clic transformer un jumeau numérique Matterport capturé par une caméra 3D compatible en un fichier BIM prêt à l’emploi. Le résultat est fourni en quelques jours, prêt à être introduit dans l'application BIM de leur choix. Ce nouveau service accélère considérablement les projets et réduit jusqu’à 70% des coûts associés, en éliminant le processus manuel traditionnel qui demande beaucoup de temps et d'efforts. En complément, Matterport a également annoncé un nouveau système de plug-in pour les clients d'Autodesk® (Nasdaq : ADSK) Revit®, le principal logiciel BIM utilisé dans l'industrie pour créer des modèles d'espaces pour la conception, la visualisation, l'analyse et la construction. Désormais, les architectes, les concepteurs et les ingénieurs du bâtiment peuvent immédiatement télécharger le fichier BIM de Matterport dans Revit et commencer à créer et à gérer les informations d’un projet de construction ou de conception étape par étape. « Les lancements du fichier BIM et du plug-in Revit de Matterport témoignent de l'engagement de Matterport envers les secteurs de l’architecture, de l’ingénierie et de la construction. Il montre aussi comment l'utilisation des pratiques BIM et des plateformes technologiques peut accroître le niveau d’efficacité et automatiser la gestion de certaines activités pour les clients d'Autodesk », déclare Jim Quanci, directeur principal d'Autodesk Developer Network. « Nous sommes ravis de travailler aux côtés de Matterport pour rendre le BIM "as built" plus facile. »Stimuler la productivité tout en réduisant les coûts de modélisation de 70%L’offre BIM rassemble en un seul endroit toutes les informations relatives à chaque composant d'un bâtiment. Les parties prenantes du projet peuvent inclure dans le modèle BIM des informations sur les performances, les types de matériaux, les coûts, etc. Jusqu'à présent, ce processus nécessitait une quantité considérable de travail de mesure et de traduction CAO (conception assistée par ordinateur) pour introduire des quantités phénoménales de données dans le système, ce qui pouvait prendre plusieurs semaines, voire plus, selon la taille et la complexité du projet. Avec le fichier BIM de Matterport, les équipes peuvent générer le même résultat pour un coût qui s’élève à une fraction du coût habituel de développement de la documentation adéquate, tout en réduisant les coûts de modélisation pour leurs clients.« Les coûts de modélisation qui se répercutent sur le client peuvent être très élevés. L'économie de 70 % réalisée avec le fichier BIM de Matterport est significative, et nous pensons que nos clients seront très satisfaits de l’adoption de ce nouveau système de numérisation vers le BIM », a déclaré Akira Jones, directeur des services numériques chez HH Angus and Associates Ltd. « Comme nous utilisons déjà Matterport pour capturer des jumeaux 3D précis de tous nos espaces, il nous suffit de commander le fichier BIM en quelques clics et de le mettre dans Revit. Nous avons supprimé plus de 40 heures/personnes sur un travail récent, ce qui a permis à notre équipe de consacrer plus de temps pour offrir un excellent travail de conception pour nos clients. »Simplifier le flux de travail BIMLe fichier BIM de Matterport permet aux clients d'adopter facilement ce nouveau système de numérisation vers le BIM. Tout d'abord, un jumeau numérique est créé en scannant l'espace avec une caméra 3D comme la Matterport Pro2 ou en programmant un technicien hautement qualifié par le biais de Matterport Capture Services. Ensuite, le fichier BIM peut être commandé à partir de son compte Matterport. A la réception, les clients peuvent l'importer dans l'application BIM de leur choix. Pour ceux qui utilisent le plug-in Revit, le fichier BIM peut être immédiatement téléchargé dans leur espace Autodesk.« Nous avons travaillé avec Autodesk sur notre plug-in Revit et collaboré avec certaines des entreprises les plus importantes et les plus reconnues de l’industrie pour développer l'offre de fichiers BIM de Matterport. Avec le lancement de ces deux solutions pour le secteur de la construction, nous sommes ravis d'offrir le moyen le plus rapide et la plus pratique pour passer d'une numérisation 3D Matterport à un fichier BIM en quelques jours seulement et enun simple clic », a déclaré Preethy Vaidyanathan, vice-président des produits chez Matterport. « Le fichier BIM de Matterport n'offre pas seulement un retour sur investissement révolutionnaire pour nos clients du bâtiment, il sert aussi de source unique et fiable pour la conception, la construction et la gestion des propriétés.»
Il y a 3 ans et 20 jours

Neuf morts dans un glissement de terrain à Bukavu en République démocratique du Congo

"A ce bilan s'ajoutent neuf blessés graves, cinq maisons complètement détruites et quatre véhicules endommagés", a précisé Bienfait Ngolombe, chargé de communication à la mairie de la ville.Selon lui, parmi les neuf morts figurent un bébé de huit mois, un jeune de 19 ans et une femme enceinte, dont "les maisons se sont effondrées et ont été englouties par la terre".Le bilan en fin de nuit était de deux morts, mais d'autres corps ont été retirés des décombres dans la journée de mardi.L'accident a eu lieu sur l'avenue Kadurhu, dans la commune de Kadutu de Bukavu, une ville dont les constructions s'étagent sur des collines, à la pointe sud du lac Kivu. Le lieu du sinistre, situé sur une forte pente exposée à l'érosion, est jugé impropre à la construction."Le danger est permanent, presque toutes les maisons proches du lieu du sinistre ont des fissures et les risques de glissement sont perceptibles dans presque toutes les parcelles", a déploré le chef de quartier, Faustin Buroko.M. Buroko."La population doit prendre conscience des risques auxquels elle s'expose en construisant sur de tels sites et le gouvernement devrait prendre des mesures", a-t-il ajouté, estimant à plus de 60 le nombre de ménages nécessitant une "relocalisation".Le gouverneur de province, Théo Ngwabidje Kasi, qui s'est rendu sur les lieux du sinistre, a dit avoir demandé au bourgmestre de Kadutu "d'identifier toutes les personnes qui ont construit à cet endroit". "Un délai leur sera accordé" avant que les autorités provinciales ne fassent procéder à la démolition des maisons, a-t-il déclaré.
Il y a 3 ans et 20 jours

A Rennes, accueillir plus d'habitants est un exercice d'équilibriste

"C'est pas New York ici!", "Non à la tour infernale !". A l'entrée de Rennes, une dizaine de banderoles accrochées aux façades de petites maisons expriment l'exaspération d'habitants face à l'arrivée d'une tour de 17 étages."Accueillir des gens, on n'a rien contre, ce qui nous dérange c'est la hauteur, on n'est plus dans le raisonnable", s'inquiète Benjamin Hubert, membre du collectif "L'Enchanteur désenchanté".Plus à l'est, un autre collectif, "Voir le ciel à Rennes", tente lui de "faire descendre" un projet d'immeuble de 15 étages. "On construit ce qu'on veut où on veut sans concertation, comme dans les années 1960. Les gens sont effarés par tant de béton, avec des maisons qui tombent comme des petits pains", s'emporte Philippe, riverain.Certains se plaignent aussi des embouteillages. "Je ne reconnais plus la ville à taille humaine où je suis née. Il n'y a plus de fluidité dans les transports, et les tensions montent entre les habitants", juge Françoise, 44 ans, membre du collectif Coudurr (collectif uni pour une densification urbaine rennaise raisonnée). Il réclame une pause des projets "défigurant les quartiers" et un débat public sur la "croissance folle de la métropole".Selon l'Insee, la métropole rennaise connaît une "forte croissance démographique" depuis 30 ans, et devrait compter 100.000 habitants supplémentaires en 2040. Face à ces prévisions et aux 22.000 demandes de logement social en attente, la métropole envisage 30.000 nouveaux logements d'ici 2028."La vraie question n'est pas de dire +il nous faut 30.000 logements+ mais de savoir jusqu'où on peut densifier une ville sans la rendre impossible à vivre", interroge Jean-Pierre Renault, président de l'association "Les amis du patrimoine rennais".Traumatisme"Rennes c'est aussi la vie de ses quartiers au tissu pavillonnaire important, où règne une certaine nonchalance. Or quand la ville se construit sur elle-même à toute vitesse, on peut faire des erreurs et ne pas toujours respecter l'harmonie avec l'environnement", poursuit cet architecte, qui craint une "monotonie des gabarits d'immeubles" et une "perte de repères" des habitants.Selon Alain Bénesteau, directeur de l'Audiar, l'agence d'urbanisme de Rennes, l'agglomération rennaise reste deux fois moins dense que sa cousine nantaise. "Le phénomène de décohabitation, avec les séparations et le départ d'étudiants du domicile parental, mais aussi le vieillissement de la population, font qu'on a besoin de davantage de logements à population égale", explique-t-il.A cela s'ajoutent une démographie dynamique et un solde migratoire positif dû à l'attractivité de la ville, qui conjugue faible taux de chômage et proximité avec le littoral et Paris grâce au TGV."Sur 5.000 nouveaux habitants annuels, 2.800 sont issus du solde naturel", martèle Marc Hervé, premier adjoint PS à l'urbanisme, rappelant que la densification concerne "une surface marginale, mais très visible car sur les grands axes"."Ce sont d'abord les Rennais qu'il faut loger, car les Franciliens ne représentent que 10% des transactions immobilières", assure l'élu. Il reconnaît que le développement à la verticale de la ville "peut constituer un traumatisme".Afin d'améliorer la concertation, une charte incite désormais les promoteurs à informer la population avant le dépôt du permis de construire."On essaye de satisfaire une partie des revendications", assure Marc Hervé.Face à la hausse des prix de l'immobilier à Rennes - +11% en un an dans l'ancien - pas question toutefois d'arrêter de construire. "Il faut que tout le monde puisse trouver un logement, notamment les bas revenus, car on a besoin de tous les métiers", prévient Jean-Yves Chapuis, ancien adjoint à l'urbanisme.Pour Ana Sohier, ex-élue UDB (Union démocratique bretonne, autonomistes) au patrimoine, "il faut réinterroger le concept des métropoles". "On concentre, puis on se plaint de la densification. Aujourd'hui la question se pose de mieux répartir l'activité économique pour mieux répartir les habitants", argumente-t-elle.
Il y a 3 ans et 20 jours

Les entreprises en campagne... pour recruter des apprentis

Au forum annuel de l'alternance mercredi 20 et jeudi 21 avril à la Cité des sciences àParis, une centaine d'exposants proposaient en vue de la rentrée prochaine quelque 6.600 offres en alternance, du CAP au Master."On a plus d'entreprises présentes qu'en 2019 - dernière édition en présentiel -, on a davantage d'offres de petites entreprises et dans plus de secteurs", témoigne Karine Leprat, conseillère emploi à la CCI Paris Île-de-France, organisatrice du salon.Ce constat local confirme l'engouement national pour l'apprentissage, avec 718.000 contrats signés en 2021, soit une hausse de 37% après déjà 42% en 2020.Pour Mme Leprat, si la réforme de 2018 a facilité l'accès des jeunes, l'apprentissage a été "clairement boosté" par les aides décidées pendant la crise du Covid, une prime de 5.000 euros pour un mineur et de 8.000 pour un majeur.Prolongées jusqu'à fin juin 2022, elles ont rendu le coût de la première année quasi nul pour l'employeur et évité un effondrement de l'embauche des jeunes."C'est flagrant, beaucoup d'entreprises se sont mises à l'alternance, notamment dans le supérieur", juge-t-elle. Avant la crise, l'aide était réservée aux entreprises de moins de 250 salariés recrutant des apprentis préparant un diplôme de niveau inférieur ou égal au bac, là où l'effet sur l'insertion professionnelle est le plus fort.Sur le salon, la plupart des entreprises l'admettent sans ambages. "Nos managers sont en demande d'alternants, ce sont des salariés performants qui ne coûtent pas cher. Et ils sont là pour une durée assez longue, souvent deux ans", souligne Chloé Drapier, elle même alternante en recrutement chez Center Parcs."Avec les aides, nous sommes passés de 100 alternants en 2019 à 200 cette année sur 1.000 recrutements", reconnaît Florence Hipolite, responsable recrutement chez Id Logistics."Crouler sous les demandes"Mais les employeurs y voient surtout un moyen de former de nouveaux salariés pour les fidéliser dans des secteurs sous tension."Nous avons de gros besoins de ressources avec une croissance à deux chiffres et nous voulons passer d'un taux de rétention (embauche à l'issue de l'alternance) de 40 à 50%", indique Mme Hipolite. "C'est pour tous nos métiers (RH, services administratifs, maintenance, logistique, transport...)", ajoute-t-elle.Sans les aides, "on aurait les mêmes objectifs d'alternants car on en a un a priori très positif", assure Caroline Monmarson, responsable RH Castorama en Île-de-France.Elle "croule sous les demandes" car "c'est un moyen très intéressant pour les jeunes de financer leurs études et d'avoir une expérience du monde du travail", explique-t-elle.Mais elle avoue avoir "de plus en plus de mal à recruter des jeunes plus exigeants sur les horaires, l'équilibre vie pro-vie privée, ce qui peut être compliqué dans le commerce".Présent pour la première fois, Fnac-Darty veut former en alternance, "300 techniciens électroménager" qui seront quasiment "tous ensuite embauchés", selon Pascal Rovaris, qui en coordonne les recrutements.Mais, en dépit des vidéos de témoignages qu'il a amenées sur son stand, il déplore que les jeunes recherchent davantage une alternance en informatique ou marketing que pour "un métier manuel encore dévalorisé".Si Aurélien Cadiou, président de l'Association nationale des apprentis de France, se réjouit que ces aides exceptionnelles aient permis "à des petites entreprises de découvrir l'apprentissage", il craint que les employeurs "qui en recruteraient parce que cela leur coûte moins cher qu'un stagiaire ne délaissent l'accompagnement".Selon une enquête de l'Observatoire de l'alternance menée fin 2021 auprès de 500 alternants, plus d'un quart d'entre eux indiquent ainsi ne pas avoir de tuteur en entreprise, pourtant obligatoire.
Il y a 3 ans et 20 jours

Étude annuelle sur les placements immobiliers : "40 ans de performances comparées – 1981-2021"

En couvrant 4 décennies complètes, marquées par quatre crises économiques majeures (krach obligataire et boursier d’octobre 1987, éclatement de la bulle internet au début des années 2000, crise des subprimes en 2008 entraînant la crise financière globale, choc brutal sur l’économie mondiale à partir de 2020 avec l’irruption de la crise sanitaire), l’étude de l’IEIF aboutit à des conclusions robustes sur l’évolution longue des principaux placements.Cette édition 2022, avec les caractéristiques des placements à fin 2021, couvre la période de rebond économique et mesure les impacts majeurs laissés par la crise pandémique sur l’univers des placements quant à la hiérarchie des actifs.Au préalable, l’étude 40 ans de performances fait le point sur les caractéristiques des patrimoines des ménages pour appréhender leurs attentes en matière de placements mais également l’évolution de leurs comportements d’épargne.Un surplus d’épargne financière toujours très élevé en FranceSelon la Banque de France, le surplus d’épargne financière des ménages, constitué sur deux ans (entre le premier trimestre 2020 et le quatrième trimestre 2021) calculé comme la différence entre les flux d’épargne financière observés et les flux qu’on aurait obtenus en prolongeant la tendance pré-Covid, est estimé à 175 milliards d’euros, après 113 milliards à fin 2020.En moyenne sur l’année, le taux d’épargne des ménages en France s’établit à 19,5% en 2021 selon l’Insee après 21,4% en 2020. Le taux d’épargne financière a également reculé : il s’établit à 8,7% en 2021 après 12,2% en 2020.En 2021, l’épargne financière s’est principalement portée sur les dépôts bancaires qui ont progressé de plus de 104 milliards d’euros : dépôts à vue et dépôts rémunérés dont les encours s’établissent respectivement à 672 milliards d’euros et 1.161 milliards d’euros à fin 2021. L’assurance-vie a progressé de 39 milliards d’euros et représente désormais un encours de 2.178 milliards d’euros.En lien avec les performances de 2021, la Bourse continue d’attirer un nombre croissant d’investisseurs : 1,6 million de particuliers ont passé un ordre d’achat ou de vente en 2021, dont 217.000 nouveaux entrants.Des classements de performances différents selon les périodesSur 5 ans (2016-2021) : les performances des locaux Industriels (couvrant la logistique et les locaux d’activité) sont particulièrement élevées, en raison de la forte appréciation des valeurs vénales de la Logistique sur la période. Alors que les Actions présentent un TRI 5 ans de plus de 10%, l’immobilier coté est en territoire négatif, en lien notamment avec le comportement en bourse des Foncières Commerces.Sur 10 ans (2011-2021) : les Actions sont en tête du classement des performances avec un TRI 10 ans de 12,4% devant l’immobilier direct : les locaux Industriels sont en deuxième place avec un TRI 10 ans de 11,4% suivis par les Bureaux (7,8 %) et les Commerces (7,2%).Sur 20 ans (2001-2021) : comme sur 15 ans, les Commerces sont nettement en haut du classement avec un TRI 20 ans de 17,6%, suivi par les Foncières (TRI 20 ans : 12,3%). Les autres actifs immobiliers direct se positionnent ensuite : les locaux Industriels (TRI 20 ans : 10,4%) puis les Bureaux (TRI 20 ans : 10,3%) et le Logement (TRI 20 ans : 10,1% pour le Logement France et 9,4% pour le Logement à Paris).Sur longue période : Sur 30 ans (1991-2021), les Actions et l’Immobilier coté délivrent des niveaux de performances comparables. Le Logement est particulièrement performant sur 30 ans et distance les autres classes d’actifs immobiliers. Les TRI des SCPI et des Bureaux sont très proches, en lien avec la forte exposition historique des SCPI aux Bureaux. Sur 40 ans (1981-2021), les placements en bourse sont les plus performants : les Actions devancent l’Immobilier coté de 2 points. Le Logement à Paris présente un TRI supérieur à 10% sur 40 ans. L’immobilier non coté présente des performances supérieures à celles des obligations.Un couple rendement/risque toujours attractif pour l’immobilier vis-à-vis des autres classes d’actifsDe part ces caractéristiques, l’immobilier se positionne à mi-chemin entre les actions d’une part et les obligations d’autre part et présente un couple rendement -risque attractif par rapport à ces 2 références. Les couples rendement-risque permettent de positionner les différents placements les uns par rapport aux autres selon les durées observées, en distinguant pour un niveau de risque comparable, les niveaux de performances obtenus des différents placements ou à niveau de performance comparable, les placements qui se révèlent plus volatils, donc plus risqués.Les Bureaux et le Logement présentent des performances et des niveaux de volatilité proches sur 5 ans et sur 10 ans. Sur 10 ans, les Actions distancent les Foncières avec une performance plus élevée et une volatilité nettement plus contenue. Sur 15 ans, Le Logement, les Bureaux et les SCPI présentent des performances supérieures à celles des Actions. Comparés au Logement et aux Bureaux, les Commerces sont sur des niveaux de volatilité proches mais délivrent des performances plus faibles que ce soit sur 5, 10 ou 15 ans. Sur 30 ans, le Logement France présente une performance légèrement supérieure à celles des actifs côtés, mais avec deux fois moins de volatilité.Sur 40 ans, les Actions présentent des niveaux de performances et de volatilités plus élevés que ceux des autres actifs.ConclusionPour Stéphanie Galiègue, Directrice Générale déléguée de l’IEIF : « les résultats de l’édition 2022 confirment ceux de 2021 avec une dichotomie plus forte entre les classes d’actifs immobiliers dont les performances sont les plus robustes à l’image de l’Industriel, (en particulier la Logistique) et du Logement (faible volatilité) et celles dont le modèle a été fragilisé par la crise sanitaire malgré le rebond économique qui a suivi : Bureaux, Commerces. Seulement, les performances des actifs sur les 40 dernières années ont été portées par un environnement économique mondial particulier : les prochaines décennies risquent d’être marquées par la déglobalisation, les échéances climatiques et le vieillissement de la population, dans un contexte de faible croissance économique et d’inflation élevée. Cela modifiera nécessairement la structure de l’économie, de l’épargne et donc le comportement des différents placements. »
Il y a 3 ans et 20 jours

Stratégie'Réno, un outil numérique gratuit pour mieux conseiller ses clients lors de travaux de rénovation

Gratuit, ergonomique, ce service permet en quelques clics de déterminer et prioriser les impacts de travaux de rénovation énergétique sur d’autres lots de travaux. Accessible sur www.strategiereno.fr, cet outil se transforme en application en créant un bouton d’accès directement sur l’écran d’accueil de votre smartphone.Des recommandations de travaux générées en quelques clicsLors d’une première visite chez un client, cet outil permet à un artisan ou une entreprise d’évaluer en quelques minutes, l’état et la performance de chaque composant du logement : isolation des murs, du plancher bas, de la toiture, menuiseries, système de chauffage, ECS ou de la ventilation, etc. Des questionnaires simples et rapides, le guide pas à pas dans ce process.A l’issue de cette évaluation, l’outil identifie et priorise automatiquement les impacts des travaux envisagés sur les autres lots du logement.Il dispose alors d’un rapport d’évaluation, incluant des recommandations de travaux argumentées qui pourront être partagées à son client.Une prise en compte de la typologie du bâtimentLe professionnel est également accompagné dans l’identification de la typologie du bâtiment. Une sélection de typologies lui est proposée en fonction de la localisation du chantier et de la période constructive. L’outil s’appuie sur une base de données qualifiant 67 typologies de maisons individuelles et de logements collectifs. Cette étape permet de prendre en compte les spécificités du bâti dans l’établissement des recommandations de travaux.Un accès rapide à une bibliothèque techniqueUne bibliothèque technique permet d’accéder rapidement à des éléments clés sur les solutions de rénovation possibles, ainsi que sur les typologies de bâtiment rencontrés. Pour chaque solution technique possible, le professionnel retrouvera notamment les avantages de la solution, les diagnostics préalables à anticiper, les performances minimales recommandées, les points de vigilance à connaitre, etc.Pour chacune des 67 typologies de maisons individuelles ou de logement collectif, le professionnel retrouvera une présentation de leur représentativité et poids énergétique, de leur caractéristiques urbaines, architecturales et constructives, des risques à évaluer, ainsi que des stratégies de rénovation possibles.Cet outil a été élaboré de manière concertée avec les organisations professionnelles du bâtiment (CAPEB et FFB) et les pouvoirs publics (ADEME et DHUP), sous le pilotage de l’Agence Qualité Construction (AQC).
Il y a 3 ans et 21 jours

A l'approche des législatives, le bâtiment adresse 85 propositions aux candidats pour une « France, terre de bâtisseurs »

Ce document couvre tous les champs législatifs qui impactent le quotidien des entreprises : urbanisme, fiscalité, droit du travail, développement des compétences, marchés, etc…Ces propositions s’articulent autour de 16 priorités : Soutenir l’accession à la propriétéConcilier le « zéro artificialisation nette » (ZAN) des sols et les besoins de développement des territoiresTenir compte des contrats d’apprentissage déjà en cours dans l’entreprise au titre de l’insertionInstaurer le permis déclaratif en lotissement et en zone d’aménagement concertéGénéraliser la dématérialisation de l’instruction des demandes d’autorisation d’urbanismeAutoriser la publicité sur les bâches de chantier pour financer la rénovationLimiter la durée de l’activité en microentrepriseLutter contre le dumping social et le travail illégalLever les freins au recrutementDécourager la permittence des intérimairesInstaurer un moratoire sur les « zones à faibles émissions mobilité » et accompagner les entreprisesAlléger la charge fiscale pour les TPELimiter la sous-traitance dans les marchés de travauxModifier les règles sur les variations de prixCompenser les surcoûts liés à la RE2020Encourager davantage la rénovation globalePour Olivier Salleron, président de la FFB : « Toutes les mesures fléchées vers le bâtiment depuis 5 ans, ont connu une traduction positive en termes d'emploi, de relance de la croissance, d'innovation et de hausse du pouvoir d'achat pour des centaines de milliers de français. Ces nouvelles propositions ont toutes un seul et même objectif : rappeler que la France est d'abord et avant tout une terre de bâtisseurs. C'est ce qui lui donne sa puissance, son identité, son équilibre territorial ! »Téléchargez les 85 propositions de la FFB en cliquant ici (PDF 6,3 MB).
Il y a 3 ans et 21 jours

Le Groupe HPG accroît ses capacités de production de menuiseries aluminium

Alu PréférenceMarque du Groupe dédiée à la fabrication de menuiseries aluminium, Alu Préférence s’adresse aux négoces spécialistes et généralistes. Aujourd’hui, Alu Préférence augmente de nouveau ses capacités de production. Après avoir mis en oeuvre en 2019 un investissement lui ayant permis d’accroître ses capacités de production de 30%, Alu Préférence va intégrer en son giron Espace Aluminium. Cette filiale d’HPG située à St André de Cubzac, à proximité du site historique d’Alu Préférence, permettra d’étendre les capacités de cette dernière de 30% à partir de l’été 2022. La marque Alu Préférence se dotera ainsi des moyens lui permettant de répondre au mieux à la demande de ses clients.BieberUn nouvel atelier de production de menuiseries aluminium, opérationnel dès l’été 2022, va être créé sur le site historique de la marque basé à Waldhambach, en Alsace. À cette occasion, Bieber prévoit de recruter une trentaine de personnes. En regroupant l’ensemble des productions de la marque sur un seul site, Bieber se dotera des moyens lui permettant d’accompagner au plus près ses clients.Le Groupe HPG en quelques chiffresLe Groupe HPG est un industriel français de référence dans le secteur de la menuiserie extérieure. C'est au travers de ses quatre marques commerciales, Préfal, Préfalu, Alu Préférence et Bieber qu'il évolue sur ce marché depuis 1989. Avec près de 10 usines de production réparties sur tout le territoire français, le Groupe HPG réalise un chiffre d'affaires de 140 millions d'euros et regroupe plus de 600 collaborateurs.
Il y a 3 ans et 21 jours

Zehnder ComfoTube Therm, nouvelle gaines de ventilation double-flux isolées

Adaptées au chauffage en hiver et au rafraîchissement sur l’air en été, les nouvelles gaines de ventilation isolées Zehnder ComfoTube Therm 90 et Zehnder ComfoTube Therm flat 51 offrent non seulement aux bâtiments performants une solution limitant les pertes de charge et les déperditions thermiques, mais évitent également la condensation générée par de trop grands écarts de température.Performances thermiques élevéesLes solutions de ventilation double-flux Zehnder récupèrent la fraîcheur en été et la chaleur en hiver. S’adaptant automatiquement, elles constituent un moyen durable pour créer un climat intérieur sain et confortable dans une habitation en toute saison. Dotées d’une couche extérieure d’isolation d’une épaisseur de 9 mm en caoutchouc cellulaire, les nouvelles gammes de gaines semi-rigides en PEHD Zehnder Comfotube Therm 90 et Zehnder Comfotube Therm flat 51(de forme oblongue et extra plate) participent aux performances thermiques du système de ventilation.Isolées, ces nouvelles gaines permettent de limiter les pertes de charge, d’éviter la condensation, mais également de réduire les déperditions thermiques liées au réseau, entre la batterie et le soufflage à la bouche. Elles sont particulièrement adaptées aux longueurs de gaines réduites (inférieures à 10 mètres) grâce à leur bonne conductivité thermique : λ=0,035 W/m*K à 20°C.FlexiblesLa couche d’isolation n’étant pas collée, les gaines de ventilation conservent tout leur rayon de courbure afin de s’intégrer facilement à l’architecture du bâtiment (en faux- plafond, au sol ou derrière des cloisons).DurablesLes nouvelles gaines isolées sont constituées d’une paroi extérieure ondulée et d’une paroi intérieure lisse, Clinside, favorisant le nettoyage à plus de 98% et garantissant la durabilité de l’ensemble. Sans couture, la couche d’isolation ne risque pas de se détacher dans le temps.Montage simple et rapideLivrées isolées, les gaines Zehnder Comfotube Therm et Zehnder Comfotube Therm flat 51 sont prêtes à installer et ne nécessitent ainsi pas de temps de main d’œuvre supplémentaire.Les manchons de raccordement isolés Zehnder ComfoFit Therm en polypropylène expansé complètent cette offre réseau afin de réaliser des connections sans pont thermique.Avec cette nouvelle offre complète de réseaux isolés, Zehnder pense à la fois au confort des habitants en toute saison mais aussi à celui des installateurs lors de la pose du système de ventilation double-flux.
Il y a 3 ans et 21 jours

L'architecte britannique Norman Foster propose de reconstruire la ville de Kharkiv en Ukraine

La Fondation de l'architecte de 86 ans a indiqué que Norman Foster s'était entretenu lundi 18 avril par visioconférence avec Igor Terekhov, le maire de la deuxième ville d'Ukraine située dans l'Est.M. Foster lui a présenté un plan pour reconstruire sa ville, connue pour son architecture dans le style Art nouveau et dont le quart des bâtiments ont été détruits depuis que la Russie a envahi l'Ukraine le 24 février.Située près de la frontière avec la Russie, la ville de Kharkiv a été le théâtre d'âpres combats au début de l'offensive russe mais est restée sous contrôle ukrainien.M. Foster a assuré vouloir "rassembler les meilleurs esprits avec les meilleurs talents du monde en termes de planification, d'architecture, de design et d'ingénierie", afin de commencer à travailler "immédiatement" pour permettre "la renaissance de la ville de Kharkiv".Il a affirmé que la première étape constituerait à dessiner un plan pour une "ville du futur", qui "combinerait l'héritage du passé le plus apprécié et vénéré avec des infrastructures et des bâtiments les plus désirables et écologiques".Dans des extraits vidéo de l'entretien publiés par les autorités de la ville mercredi, Igor Terekhov a affirmé à Norman Foster, en russe, "avoir vu (son) travail et vouloir vraiment voir ce style nouveau, progressif, dans notre ville"."J'aimerais que nous ayons un centre-ville qui devienne un des points forts de l'Europe", a encore dit le maire.Selon lui, quelque 25% des bâtiments de la ville ont été détruits et Kharkiv a besoin de nouveaux hôpitaux, de nouvelles écoles et crèches ainsi que de bureaux pour son secteur de la tech en plein essor.Tous ces bâtiments doivent être équipés d'abris antibombes, a-t-il précisé, soulignant que les immeubles résidentiels devraient aussi avoir des parkings souterrains ayant une "double fonction" et pouvant être convertis en abri en cas d'urgence.
Il y a 3 ans et 21 jours

Sur la future ligne 18 du Grand Paris Express, le tunnelier Caroline entre en gare

Employés du groupement Vinci-Spie, responsables de la Société du Grand Paris (SGP) ou élus, les 120 invités, installés à 30 m de la paroi à démolir, ont vu le bout du tunnel au bout d'une heure.Progressivement, la roue de coupe de Caroline, un monstre de 9 m de diamètre pour 110 tonnes fabriqué en Allemagne, a montré ses dents et mollettes derrière la paroi de béton prévue pour être facilement détruite, et méthodiquement laminée.Placés sous la protection de Sainte-Barbe, dont la statue est présente sur le chantier, les compagnons, qui ont le statut de mineurs, baptisent toujours les tunneliers d'un prénom féminin.Les débris ont commencé à tomber dans un bruit sourd. Progressivement déshabillée, l'ossature en fibre de verre a perdu pièce par pièce avant un final prévisible, l'écroulement de la paroi en deux temps.Depuis l'aurore, Caroline avait parcouru les deux derniers mètres pour entrer dans la "boîte-gare" de 23 m de profondeur et 65 m de long, future gare d'Antonypole qui doit accueillir à terme 12.000 voyageurs par jour.Des ouvriers ont hissé le drapeau de leurs entreprises entre les pales du tunnelier, mis au repos forcé pendant 36 heures, le temps de nettoyer la scène. "C'est un aboutissement, surtout que ça part de rien", savoure Christophe Orain, un ingénieur qui salue "une aventure humaine avec des machines révolutionnaires".15 m par jourL'arrivée de Caroline est un "gros événement: c'est le premier percement d'un tunnel dans une gare sur la ligne" 18, souligne Vianney Elzière, directeur de projet de la ligne. Mais il faudra patienter jusqu'à 2027 pour voir les trains circuler sur ce tronçon du Grand Paris express, constitué de quatre nouvelles lignes de métro (15, 16, 17 et 18) desservant la proche et la grande couronne.Lancé en décembre 2021, Caroline a creusé environ 800 m depuis sa base de départ de Massy (Essonne), à un rythme de 15 m par jour, pauses comprises. Le creusement d'une terre argileuse, et donc peu capricieuse, s'étant déroulé sans encombre, la première étape a été bouclée avec deux semaines d'avance. Mais devant les 5,2 km restant à parcourir jusqu'à Orly, M. Elzière veut "rester humble et modeste face à la nature".Au départ du tunnel, les chiffres donnent le tournis: 150 camions par jour pour évacuer les 9 fosses de déblai de 1.000 m2 chacune, deux silos d'accès de 36 mètres de profondeur pour 27 m de diamètre...Dans le tunnel, environ 2.500 voussoirs, ces morceaux de voûte pesant 7 tonnes chacun, ont été posés à un rythme d'une demi-heure par anneau de deux mètres. A l'intérieur de la jupe du tunnelier, situé à l'arrière de la roue et du bouclier qui garantit l'étanchéité, ils sont amenés par l'érecteur et fixés par deux ouvriers.Horizon 2030Dans le même mouvement, la terre forée, fluidifiée par une mousse, est évacuée via la vis d'extraction sur un tapis qui s'étire avec le tunnelier, long de 100 m dans sa version allongée. Quand Caroline atteindra Orly, le tapis convoyeur fera donc 6 km de long...Dans sa cabine, Giuseppe Sanchez fait avancer Caroline à l'aide de vérins hydrauliques de 6 m de long qui se propulsent sur les anneaux déjà posés. "Si je mets plus de pression vers la gauche, la direction bouge", explique le pilote qui s'oriente avec une cible millimétrée dont il doit dévier le moins possible.Les sept voussoirs d'un même anneau posés à l'intérieur de la jupe, la machine redémarre. Le vide créé par l'avancée du train est comblé par du mortier injecté entre le béton et la terre afin de consolider l'ouvrage. Entamée en 2020, la ligne 18 doit relier à l'horizon 2030 l'aéroport d'Orly à Versailles, à travers dix gares de la grande couronne pour un budget de 4,4 milliards d'euros, selon M. Elzière.A Massy, les travaux suscitent "plus une gêne qu'un enthousiasme" chez les habitants, reconnaît le maire (UDI) Nicolas Samsoen. "Mais ils savent que ça va changer leur vie."
Il y a 3 ans et 21 jours

La BnF Richelieu annonce sa réouverture en septembre

Cette réouverture "coïncide avec le tricentenaire de sa première installation dans l'ancien palais Mazarin, en 1721-1722", a-t-elle ajouté.La date choisie est le week-end des Journées européennes du patrimoine, les 17 et 18 septembre.Les visiteurs découvriront alors un nouveau jardin, rue Vivienne, qui "valorisera un ensemble de plantes papyrifères" dans un quartier peu pourvu en espaces verts, mais également un musée flambant neuf offrant quelques trésors des collections de la Bibliothèque comme des vases grecs ou le trône du roi Dagobert."Ces salles, dont certaines étaient accessibles au public, n'étaient pas pensées comme un musée. Cette fois, c'est exposé et ouvert à tous, des endroits exceptionnels comme l'ancienne salle de lecture du Cabinet des médailles, le Cabinet Louis XV", a expliqué à l'AFP la présidente de la BnF, Laurence Engel.Cet immense ensemble architectural, qui nécessitait une vaste remise aux normes, a été entièrement repensé pour le rendre plus ouvert, fonctionnel et aéré.Après l'ouverture en 1998 d'un autre site pour la BnF, la Bibliothèque François-Mitterand dans le 13e arrondissement, Richelieu a été réservé à des départements spécialisés : Manuscrits, Estampes et photographie, Monnaies, médailles et antiques, Arts du spectacle et musique, Cartes et plans.Si les chercheurs sont les utilisateurs historiques de cette bibliothèque, le grand public sera appelé à fréquenter sa majestueuse salle de lecture, la salle Ovale, pour y feuilleter entre autres 9.000 bandes dessinées en accès libre.Les travaux ont coûté 248 millions d'euros, indique le site internet de la BnF.
Il y a 3 ans et 21 jours

Un cadre hospitalier à Marseille jugé pour favoritisme

"Un système à la marseillaise marqué par une proximité inadaptée et illégale entre un agent public et un entrepreneur ami" : c'est ce qu'a dénoncé lundi le procureur du tribunal correctionnel de Marseille.Le prévenu, poursuivi pour prise illégale d'intérêts, favoritisme et recel d'abus de biens sociaux, était responsable des services techniques de l'hôpital psychiatrique Edouard-Toulouse à Marseille.De 2007 à 2011, le prévenu avait signé pour 1,2 million d'euros de contrats au profit d'une société, D2G Construction, dans laquelle il détenait un quart des parts. Parmi eux, ce sont trois marchés publics d'un montant global de 547.000 euros que le tribunal a disséqués. Le gérant de la société attributaire de ces contrats avec l'hôpital ne disposait d'aucun salarié ni même de matériel. Il faisait travailler un sous-traitant qui a reconnu n'employer que des salariés non déclarés, recrutés à la journée devant des distributeurs de matériaux et payés cent euros la journée pour un maçon, soixante euros pour un manœuvre.Contre le gérant de D2G Construction, le procureur a également réclamé deux ans de prison avec sursis, une amende de 20.000 euros et une exclusion durant cinq ans des marchés publics. Une amende de 50.000 euros a été requise contre la société D2G Construction, aujourd'hui en sommeil.A la barre, le cadre hospitalier recruté en 2003 par l'hôpital a reconnu avoir été "négligent".Selon le procureur, le responsable des services techniques faisait bénéficier son ami entrepreneur d'informations privilégiées permettant à D2G Construction de déposer des offres très offensives. Pour le chantier de rénovation des sanitaires d'un pavillon estimé à 250.000 euros, la société avait par exemple remporté le marché avec une offre inférieure de 100.000 euros.Dénonçant des "petits arrangements entre amis", l'avocate du centre hospitalier a évoqué "une trahison" et réclamé 100.000 euros de dommages et intérêts.Me Bernard Hini a plaidé "l'absence d'intention délictuelle" de son client, "un homme d'une parfaite honnêteté, bardé de diplômes", qui aurait fait l'objet d'une vengeance après avoir conduit une enquête sur des malversations commises par deux cadres de l'hôpital.Le tribunal rendra sa décision le 23 mai.
Il y a 3 ans et 21 jours

Le Syndicat national du béton prêt à l’emploi (SNBPE) poursuit ses actions de découverte des métiers de la filière béton

Une vingtaine de futur(e)s ingénieur(e)s (3ème année en Génie Civil et 1ère année en prépa) a pu ainsi découvrir sur le terrain le fonctionnement d’une chaîne de production de béton dans sa globalité : de l’activité d’extraction à celle de production du béton préfabriqué et prêt à l’emploi, en passant par l’observation du front de taille, la manœuvre des engins et une visite du laboratoire où se poursuivent des travaux sur la résistance des matériaux, les bétons bas carbone, les bétons à hautes performances, le recyclage et la valorisation des granulats… Polytech Marseille propose à ses élèves un projet pédagogique vertueux. Pour aider les étudiants de première année de classe préparatoire intégrée de l'école dans le choix de leurs futures spécialisations, chaque département met en place des actions pour les présenter. Le département génie civil propose des visites de sites industriels de l'univers de la construction et s'associe au SNBPE pour faire découvrir, aux futurs ingénieurs, les acteurs du premier maillon de l'acte de construire. Des étudiants de 3ème année génie civil accompagnent, dans cette démarche, des élèves de 1ère année de classe préparatoire, en leur faisant profiter de leur expérience récemment acquise.Le SNBPE : un engagement permanent auprès des étudiants et des établissements d’enseignement pour la valorisation des métiers de la filière bétonCe type de journée pédagogique s’inscrit dans la volonté du SNBPE de mieux faire découvrir l’ensemble des métiers liés à la production du béton avec une approche terrain de partage des compétences et d’expérience des professionnels du secteur. C’est aussi l’occasion de sensibiliser les étudiants quant aux démarches éco-responsables pratiquées par des industriels toujours plus vertueux.
Il y a 3 ans et 21 jours

Le bâtiment salue la réélection d'Emmanuel Macron mais attend plus de mesures pour le secteur lors de ce second quinquennat

Alors que la crainte de voir passer l'extrême-droite au pouvoir s'intensifiait chez de nombreux français, Emmanuel Macron a finalement été réélu le 24 avril. Lors de son discours de victoire, il déclarait « Votre vote m'oblige » en déclarant avoir conscience qu'une partie des votes en sa faveur étaient des votes contre le parti de Marine Le Pen.Le président pourrait potentiellement modifier sa ligne politique par rapport à son précédent mandat. Il avait notamment annoncé la possibilité de nommer un Premier Ministre chargé de la planification écologique, une mesure tirée du programme du candidat de l'Union Populaire, Jean-Luc Mélenchon. Cette décision, si elle vient à être appliquée, peut signifier de nombreux changements pour le secteur du BTP mais aussi de l'énergie ou de l'immobilier.Lors du débat du second tour, Emmanuel Macron avait déjà annoncé vouloir accéler le rythme de la transition écologique en France et il a réitéré cette intention devant ses partisans au soir des résultats de l'élection en déclarant « Faire de la France une grande nation écologique, c'est notre projet », affichant une volonté de « baisser de 40% notre consommation d'ici 2050 ».Le président souhaite s'appuyer sur le création de 6 à 14 nouveaux réacteurs EPR2, sur l'éolien offshore et sur une multiplication par 10 des capacités solaires installées.Concernant le bâtiment, comme déclaré lors du débat du second-tour, Emmanuel Macron compte accélérer les rénovations énergétiques des logements et vise un objectif de 700.000 rénovations par an.Les organisations du BTP félicitent Emmanuel Macron mais maintiennent leurs attentesPlusieurs acteurs du BTP et de l'artisanat saluent la victoire du candidat LREM et la continuité politique qu'elle apporte, mais ils rappellent également que du chemin reste à parcourir.La CPME désire notamment que « ce quinquennat permette la poursuite des réformes annoncées, en particulier celle des retraites » et que des sujets importants tels que « la réforme de la fonction publique et la remise à l'équilibre des finances publiques, quasiment absents de la campagne électorale, soient remis sur la pile des dossiers prioritaires ».La CMA de son coté salue les « mesures massives et décisives qui ont été décidées par l'État afin de sauvegarder les entreprises affectées par la crise sanitaire ».Pour Joël Fourny, président de CMA France : « J’adresse toutes mes félicitations à Emmanuel Macron pour sa réélection et souhaite que l’artisanat, première entreprise de France, soit au cœur de la politique économique menée par notre pays. »La Chambre des Métiers de l'Artisanat demande néanmoins des changements pour le nouveau mandat présidentiel et notamment la nomination dans le prochain gouvernement d'un « ministre en charge des 1,8 millions d'entreprises relevant du secteur de l'artisanat ».Pour Joël Fourny, président de CMA France: « Les artisans ont pu bénéficier de politiques publiques adaptées, ciblées sur leurs besoins spécifiques. Ce dialogue continu et cette collaboration efficace avec le gouvernement doit se poursuivre et s’amplifier pour maintenir la dynamique de l’apprentissage, garantir l’avenir d’un secteur en tension et permettre la croissance durable des entreprises artisanales. »L'UNAM, avec l'appui des Intercommunalités de France, rappelle « l'urgence d'agir face à la crise du logement et notamment la nécessité de réhabiliter une pensée aménagiste et de sortir d’une vision comptable pour adopter une vision fonctionnelle qui s’applique aux modes de vie ». Elle appelle de ses vœux une révision des modalités de mise en œuvre de la loi Climat & Résilience en matière de lutte contre l’artificialisation pour mieux optimiser le foncier disponible et éviter de pénaliser près de 10.000 communes déjà carencées en foncier.Pour François Rieussec, Président de l’Union Nationale des Aménageurs (UNAM): « La comptabilité urbaine ne doit pas remplacer la pensée urbaine. Et imaginer que des mesures compensatoires sont une solution, c’est délivrer un droit à la détérioration à l’environnement. Il faut que les opérations soient vertueuses en elles-mêmes, intégrer les solutions environnementales et ne pas externaliser les problèmes. »
Il y a 3 ans et 21 jours

Potentiel des gaz renouvelables : l'Association française du gaz présente sa vision à horizon 2050

Ces rendez-vous ont mis l’accent sur les technologies gazières d’aujourd’hui et de demain, leur potentiel et les mesures prises pour accélérer leur développement.Voici une synthèse de ces échanges qui ont rappelé le rôle primordial des gaz renouvelables et bas carbone pour favoriser la transition énergétique et ce pour plusieurs raisons : une production en continu, une facilité de stockage, des installations existantes, un réseau de transport et de distribution disponible, la contribution à la gestion des déchets, un enjeu des territoires... L’industrie gazière dispose actuellement de 5 briques technologiques et d’innovation : la méthanisation, le méthane par fermentation ;la pyrogazéification, le méthane par traitement de déchets carbonés ;la gazéification hydrothermale, le méthane par traitement aqueux à haute température ;la méthanation, le méthane issu du CO2 et de l'hydrogène ;l’utilisation des gaz fossiles couplés à la capture et stockage de carbone.Ces technologies se situent à différents stades de maturité être présentent un potentiel total significatif supérieur à 335 TWh à l'horizon 2050. Une vision d’ensemble montre que ce potentiel identifié s’inscrit dans une complémentarité des différents usages et couvre largement l’ensemble de ces usages.La méthanisation : le méthane obtenu par fermentation > un potentiel de 190 TWh en 2050 pour une production à cette même date de 135 TWh ;La pyrogazéification : le méthane par traitement thermique de déchets carbonés > un potentiel de 180 TWh pour une production à cette même date de 90 TWh ;La gazéification hydrothermale : le méthane par traitement aqueux à haute température > un potentiel de 100 TWh pour une production à cette même date de 50 TWh ;La méthanation : le méthane issu du CO2 et de l’hydrogène > un potentiel de 120 TWh pour une production à cette même date de 60 TWh. La troisième révolution gazière repose sur le développement de ces nouvelles technologies conditionné par un cadre réglementaire et financier stable. L’avis des experts participants* : Pour Jean-Marc Leroy, Président de l’Association française du gaz : « Les gaz renouvelables et bas carbone vont permettent d’assurer l’autonomie énergétique du pays et sa compétitivité. Nous souhaitons que ces nouveaux gaz soient complémentaires aux autres énergies pour tirer le meilleur parti de chacune d’entre elles. » Pour David MARCHAL, Directeur exécutif adjoint à l’expertise et aux programmes de l’Ademe : “Le gaz reste présent dans nos 4 scénarios prospectifs de neutralité carbone pour la France à horizon 2050 à des niveaux assez significatifs allant de 150 TWh à plus de 350 TWh. Dans 3 scénarios sur 4 le gaz est à plus de 80% renouvelable."Pour Alexis Masse, Délégué Stratégie chez GRDF : « Les 5 briques technologiques et d’innovation peuvent couvrir plus que les usages de la France à 2050. » Pour Élodie Le Cadre Loret, Lead Science Advisor chez Engie : « À ces chiffres sur le potentiel des technologies actuelles s’ajoutent différentes options pouvant apporter plus de souplesse, comme des solutions de capture de stockage de carbone, un potentiel de développement de bio-propane ; la France pourrait représenter une plaque tournante du e-méthane en transit ou importé ou encore la présence d’hydrogène renouvelable et bas carbone sur laquelle s’appuyer. » Pour Frédéric Martin, Directeur général adjoint chez GRDF : « La méthanisation a été deux fois plus vite que prévu nous avons 383 méthaniseurs opérationnels et 1000 autres sont en projet. » Pour Thierry Trouvé, Directeur général de GRTgaz : « Nous traversons une crise énergétique durable en Europe c’est pourquoi il faut aller à fond sur le solaire, l’éolien et le biométhane, nous n’avons plus le luxe de nous passer de quoi que ce soit. » Trois autres ateliers thématiques auront lieu prochainement, ils aborderont : la mobilité, l’industrie et le bâtiment.*Les intervenants ayant participé à ces ateliers : Élodie Le Cadre, Lead Science Advisor chez ENGIE - Laurent FULCHERI, Directeur de recherche au centre Persée de Mines-ParisTech - Frédéric Martin, Directeur général adjoint de GRDF - Thierry Caquet, Directeur scientifique Environnement à l’INRAE, Isabelle Moretti de l'Académie des technologies, pôles énergie et culture - Alexis Masse, Délégué Stratégie de GRDF, Président de la commission « Gaz renouvelables » de l’AFG - Jean-François DELAITRE, Président de l’AAMF, Thierry TROUVE, Directeur général de GRTgaz - David MARCHAL, Directeur exécutif adjoint à l’expertise et aux programmes de l’Ademe - Olivier GUERRINI, Senior Vice President Biogas Business Unit, TotalEnergies - Charles-Antoine GAUTIER, Directeur Adjoint pour l’énergie de la FNCCR - Frédéric MARTIN, Directeur Général Adjoint, GRDF - Philippe BOUCLY, président de France Hydrogène, Monique AXELOS - Directrice scientifique pour l’alimentation et la bioéconomie, à l’INRAE.
Il y a 3 ans et 21 jours

Une solution unique pour protéger le bois en couleur

Bois ColorParce que le bois habille de plus en plus de bardages ou de decks, parce que la couleur n’est plus le seul apanage des volets ou des portes, il fallait mettre au point une protection technique qui permette cette révolution en couleur garantissant à la fois décoration et durabilité.Comprendre la protection des bois : au moment du choix du produit se pose souvent la question de savoir combien de temps la protection durera. En effet, ne pas revenir trop rapidement à la maintenance est forcément un argument important. Parmi les différentes options de protection qui s’offrent aux bois : huiles, lasures ou saturateurs, Durieu recommande souvent les saturateurs qui ont comme qualité principale leur excellente imprégnation qui permet de nourrir le bois dans la masse sans laisser de film en surface. Les lasures peuvent durer plus longtemps mais la maintenance sera plus compliquée et le risque d’écaillage omniprésent du fait du film. Une finition non filmogène telle un saturateur limite les risques d’écaillement et permet un entretien simple. Durieu recommande aussi de choisir des saturateurs plutôt teintés quand il s’agit de protéger les bois dans des zones à fort ensoleillement car la présence de pigments renforce la protection dans le temps.Une solution pas comme les autres : à partir de ces constats, les équipes de recherche Owatrol ont su créer un produit hybride mi saturateur mi lasure qui associe le meilleur des deux solutions. BOIS COLOR imprègne le bois en profondeur pour le nourrir de l’intérieur et laisser en surface un film souple opaque de couleur avec une longévité incomparable.Bois Color : imprégner, protéger et durer dans toutes les situationsImprégner : bénéficiant de l’expertise d’Owatrol, BOIS COLOR abrite dans sa composition des résines alkydes de très haute qualité qui lui donnent d’excellentes qualités de pénétration indispensables pour assurer une vraie protection au support. En effet comme pour un saturateur, la capacité d’imprégnation du produit est l’assurance de protéger le bois dans la masse : il est nourri de l’intérieur et peut alors durer longtemps à l’extérieur.Protéger : BOIS COLOR laisse un film de couleur souple en surface qui protège et décore. La finition fait corps avec le support et le film épouse les déformations du bois dues aux variations hygrométriques, assurant ainsi la longévité de l’ouvrage.Durer : Prouesse technique - un produit filmogène qui participe à la longévité du support.Effet seconde peau : toute la réussite technique tient dans la souplesse du film. En épousant parfaitement la surface du bois, BOIS COLOR suit les variations dimensionnelles du matériau, en évitant ainsi que le film craque. Les risques d’écaillage sont donc limités et le support bénéficie d’une longévité vraiment durable. Il est nourri et protégé de l’intérieur et assuré de résister aux agressions climatiques grâce à la souplesse de son film.Pour tous les climats : BOIS COLOR est une vraie solution pour les zones de montagne ou très ensoleillées et ou en bord de mer où les températures varient beaucoup dans la journée.Résistance UV : la grande stabilité des pigments du BOIS COLOR offre une excellente résistance aux UV, et la garantie que les couleurs ne vont pas se délaver au bout de quelques mois aux intempéries.Dans toutes les situations : du sol au toit ! La qualité du film permet aussi aux terrasses de résister à l'abrasion grâce à sa technologie alliant souplesse et solidité.Également :Universel : BOIS COLOR est compatible avec toutes les essences des plus tendres aux plus dures grâce à son pouvoir de pénétration exceptionnel.Longévité garantie : l’excellence de sa tenue n’est pas une légende et BOIS COLOR est garanti 15 ans en application verticale et 5 ans en application horizontale contre les risques d’écaillage, ce qui en fait un produit désigné lorsque l’on souhaite protéger un support bois sans y revenir trop vite.Une palette dynamique aux 13 teintes pour rendre unique chaque ouvrage.Fiche technique Bois ColorDescription produit : Protection colorée mate destinée à protéger et à décorer les bardages et les terrasses en bois.Propriétés : Excellente durabilité sans écaillage :15 ans en bardage vertical et 5 ans en terrasse horizontale.Grande facilité d’application.Aspect décoratif mat tendance qui conserve l’aspect naturel du bois.S’applique sur tous les bois neufs ou anciens préparés.Produit microporeux, il laisse le bois respirer.Très haute tenue des couleurs.DestinationsUsage extérieur :Tous bois : résineux, feuillus, exotiques, thermochauffés ou transformés (Accoya et Kebony).Bois bruts neufs ou anciens préparés.S’applique aussi sur béton, PVC,...Retrouvez Bois Color sur la boutique Owatrol.
Il y a 3 ans et 22 jours

Terrao appelle les industries à agir en faveur de la dépollution et de la transition énergétique

Le film Terrao, réalisé par Havas & Compagnies, sera diffusé du 9 au 25 avril sur BFM. L’objectif est d’alerter les industries sur l’urgence de limiter voire d’éliminer la pollution de l’air liée aux activités industrielles et humaines, au-delà de la feuille de route européenne de neutralité carbone. Le film commence par l’échéance 2030 : « il faudra attendre 2030 pour que les émissions de méthane diminuent de 30% ».Créée en 2012 par le Professeur Jaouad Zemmouri, la technologie Terrao permet, grâce à un échange direct par brassage de l’air ou des fumées avec de l’eau, d’assurer un transfert quasi parfait des calories et de la matière entre les deux fluides. Ce brassage conduit au lavage de l’air ou des fumées et à la récupération de leur chaleur latente et sensible. La régénération de l’eau permet d’en extraire ensuite la pollution.Multibreveté, Terrao est une véritable innovation qui permet d’ouvrir le champ des possibles dans le combat pour la qualité de l’air et la transition énergétique*. La technologie Terrao est un principe unique qui se décline en différentes solutions adaptées à chaque exigence : TerraoTherm : Le recyclage de la chaleur ; TerraoSave : Le traitement des fumées ; TerraoPur : La purification de l’air. Pour Jaouad Zemmouri, Président de Terrao : « Nous sommes fiers de collaborer avec des industries de renom qui voient en notre technologie une opportunité d’intégrer l’ère de la transition énergétique tout en contribuant à limiter la pollution atmosphérique. On ne peut pas aimer ses enfants et leur laisser une Terre avec un air pollué. »* Selon le ministère de la Transition énergétique, en 2020, la part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d’énergie en France s’élevait à 19%. Un taux en deçà de l’objectif fixé par l’Europe à la France, à savoir 23%. Selon la loi de transition énergétique de 2015 et la loi climat de 2019, cette fameuse part devra atteindre, en 2030, l’objectif de 33%.
Il y a 3 ans et 22 jours

La startup Waste Marketplace lève 2 millions d’euros pour financer son développement commercial et sa solution digitale

Fondée en 2018 dans le cadre du programme d'intrapreneuriat de VINCI, Waste Marketplace propose une application qui simplifie la gestion des déchets de chantiers et industriels. Waste Marketplace mutualise les recherches et les audits chez les prestataires et sélectionne, pour ses clients, le meilleur rapport taux de valorisation/prix et localisation, pour chaque type de déchets.Waste Marketplace s’occupe de tout pour ses clients : démarches administratives, devis des prestataires, reporting précis sur les émissions de carbone générées, traçabilité des contenants. Tout est accessible en 1 clic sur l’application.SMABTP a fait le choix d’entrer au tour de table de Waste Marketplace pour participer au développement d’une offre de service utile à ses clients, acteurs du BTP. VINCI Construction reste un soutien actif dans le développement de la startup.L’objectif de cette levée de fonds par augmentation de capital, est de poursuivre le développement commercial de Waste Marketplace sur tout le territoire national et de continuer le développement fonctionnel et technologique de sa plate-forme digitale.Pour Jérôme de Tomasi, CEO de Waste Marketplace : "Cette levée de fond va nous permettre de développer davantage notre force commerciale pour mailler encore plus finement le territoire national afin de proposer le prestataire le plus adapté pour chaque besoin. Les fonds serviront également à perfectionner l’outil digital, notamment sur la traçabilité des déchets pris en charge."Pour Hervé Leblanc, directeur général adjoint grands comptes et international, groupe SMA : "Les échanges que nous avons eus avec Waste Marketplace nous ont permis de constater que cette société présente un intérêt indéniable pour les professionnels du BTP. Elle leur permet de simplifier la gestion de leurs déchets, un véritable enjeu pour le secteur qui doit intégrer le renforcement de la réglementation dans ce domaine. C’est pourquoi, nous avons fait le choix d’accompagner cette startup afin de soutenir une solution utile à la protection de l’environnement et à nos sociétaires."Pour Thierry Mirville, président de VINCI Construction Invest : "VINCI Construction fait de l’économie circulaire un axe fort de son développement et de ses savoir-faire techniques. Nous sommes particulièrement fiers du développement ambitieux de Waste Marketplace qui démontre que pour favoriser le réemploi et le recyclage des matériaux depuis et sur nos chantiers, il faut des solutions simples, économiques, locales et intégrant la traçabilité de leur origine à leur mise en œuvre."Pour Julien Villalongue, directeur, Leonard : "Parmi les nouvelles filiales et activités du groupe VINCI nées du parcours Intrapreneurs animé par Leonard, Waste Marketplace a rapidement trouvé son marché grâce à son excellente adéquation avec les besoins des acteurs du BTP et de l’industrie, pour qui l’enjeu environnemental s’affirme désormais comme une priorité."Chiffres clés :400 chantiers et site industriels actifs500 prestatairesPrès de 3.000 mouvements par moisPlus de 5.000 tonnes de déchets traitées chaque mois87% de valorisation en moyenne+263% : croissance du CA entre 2020 et 2021
Il y a 3 ans et 22 jours

Arcadis enjambe les voies de la Gare d’Austerlitz

Arcadis, société internationale d’ingénierie et de conseil, dévoile le pont de franchissement du faisceau ferré de la gare d’Austerlitz, visant à désenclaver le quartier de la Gare d’Austerlitz. Ce tablier en acier de 2 100 tonnes a été poussé, pour la seconde fois, au-dessus des voies ferrées avec une vitesse moyenne de 2m à l’heure entre samedi 16 et dimanche 17 avril. Par sécurité, le trafic ferroviaire a été complètement interrompu sur 7 voies. « Lancer le pont au-dessus des voies avec un seul point d’appui intermédiaire est à la fois une grande prouesse technique et une opération emblématique qui vient concrétiser le travail de plusieurs années. » déclare Arnaud NAËL, Directeur de projet chez Arcadis. Les équipes Arcadis ont dû faire face à des contraintes fortes liées aux infrastructures existantes (voies ferrées, ligne 10 du métro, hôpital de la Salpêtrière…) sans en impacter le fonctionnement quotidien. Au-delà de la complexité structurelle liée à l’architecture du pont, l’autre défi de taille était d’insérer harmonieusement la nouvelle liaison dans un contexte architectural très divers : de nombreux bâtiments historiques dont la chapelle Saint-Louis de la Salpêtrière côté boulevard de l’Hôpital et des nouveaux bâtiments dont le siège du groupe Le Monde côté avenue Pierre Mendès-France. Enfin, des obstacles climatiques ont donné du fil à retordre aux équipes : la crue du Rhin en juillet 2021 a ralenti le transport par voie fluviale de la charpente métallique, préassemblée dans l’usine de Lauterbourg en Alsace et acheminée sur site pour y être finalisée.D’une longueur de 87 mètres et d’une largeur variable de 19 à 32 mètres, le pont a été pensé comme une place publique visant à créer un nouveau lien piéton, cycliste et routier entre deux quartiers de Paris Rive Gauche en franchissant l’obstacle du faisceau ferroviaire de la gare d’Austerlitz. En tant que maître d’œuvre (mandataire), Arcadis a remporté, aux côtés de Wilkinson Eyre Architects et Arpentère (paysagiste), le concours lancé en 2016 par la SEMAPA (aménageur de la ZAC Paris Rive Gauche) et la Ville de Paris, pour la réalisation du pont reliant les deux secteurs du quartier Austerlitz de part et d’autre des voies ferrées. « Avec le pont Mère-Teresa qui franchit le faisceau Saint-Lazare, nous sommes les concepteurs des deux derniers ponts enjambant des faisceaux ferrés parisiens : des opérations complexes et peu courantes dans un environnement bâti extrêmement dense. Notre maîtrise de l’opération dans son ensemble et notre expérience éprouvée avec le pont Mère-Teresa nous ont permis d’accompagner la SEMAPA dans ce projet emblématique qui constitue un défi à la fois technique, architectural et urbain, dont nous sommes très fiers. » déclare Claire RAVETTI, Cheffe de projet chez Arcadis. Le chantier, qui a démarré en juin 2020, devrait prendre fin courant 2023 avec les travaux d’accostage et d’aménagement de surface. En attendant l’ouverture du pont au public à l’issue des travaux du secteur Austerlitz, la SEMAPA a salué cette dernière grande opération de lançage. « Relier les berges de Seine aux quartiers existants du XIIIème arrondissement de Paris en franchissant l’obstacle du faisceau ferroviaire de la gare d’Austerlitz est une véritable prouesse technique et offre une ouverture du quartier Austerlitz-Gare. Une fois mis en service, le nouveau pont devrait permettre aux piétons de gagner 15 minutes de marche ! » conclut la SEMAPA.Arcadis possède une expertise reconnue dans la conception d’ouvrages d’art et les projets d’ingénierie civile complexes avec des réalisations majeures comme le Viaduc de Millau, la couverture du périphérique à Porte de Vanves ou en encore les bâtiments-ponts tels que la Tour de la Biodiversité dans le 13ème arrondissement de Paris et l’ensemble immobilier « Les Vergers » à Cergy-Pontoise.
Il y a 3 ans et 22 jours

BYSprong, l’innovation de Bouygues Construction pour massifier la rénovation énergétique des bâtiments

Son caractère innovant : des solutions industrialisées pour réduire les coûts et la durée des travaux tout en augmentant la performance énergétique du bâti.Développée par la direction Recherche & Développement de Bouygues Construction, BYSprong apporte une réponse industrialisée pour accélérer la rénovation énergétique du parc immobilier. Une offre qui permet à la fois aux clients de transformer un bâtiment énergivore en bâtiment à énergie positive, et aux occupants de respecter leur confort, grâce à une exécution des travaux dans un délai optimisé.Comment ? L’offre BYSprong repose sur 5 solutions majeures. Industrialisées et standardisées, ces solutions de rénovation énergétique apportent des économies d’échelle aux clients et peuvent être mises en place collectivement ou séparément selon les besoins :Automatisation des études : le bâtiment est scanné. Les données 3D obtenues sont traitées informatiquement pour produire un bilan carbone, une étude thermique, une analyse des coûts et des plans de fabrication.Préfabrication de l’enveloppe isolante en atelier : BYSprong fait appel à des partenaires locaux et recourt à des matériaux biosourcés pour réaliser une enveloppe sur mesure à assembler sur site.Optimisation de la production et de la consommation énergétique : un module énergétique « tout en un » est intégré. Il assure la production du chauffage, de l’eau chaude sanitaire, la ventilation et la gestion de l’éventuelle installation photovoltaïque. Il est accessible pour la maintenance sans gêner l’occupant.Compensation de la consommation énergétique par la production d’électricité issue de panneaux photovoltaïques.Contrôle et pilotage de la consommation : Le locataire, le bailleur et le mainteneur peuvent surveiller et optimiser la consommation. La détection en temps réel de tout dysfonctionnement permet une intervention extrêmement rapide.Pour Nicolas Borit, directeur général délégué de Bouygues Construction : « Le parc social français représente cinq millions de logements, dont 25% sont dits « énergivores ». La réhabilitation de ce patrimoine est essentielle pour répondre à l’urgence climatique et notre volonté avec BYSprong est clairement de contribuer à cet enjeu majeur. »D’abord mise en œuvre sur plusieurs opérations (exemple dans l’encadré ci-après), l’offre BYSprong peut maintenant être déployée massivement. Deux projets vont notamment commencer en 2022 : 207 logements pour Vilogia à Hem (département du Nord, 59) et de 318 logements pour Maisons & Cités dans les Hauts-de-France.Un exemple concret de rénovation énergétique avec BYSprong à Longueau près d'AmiensCe premier projet BYSprong a permis de rénover douze maisons des années 1960, près d’Amiens, en les rendant autonomes en énergie.Le projet, qui couvrait les phases conception, réalisation, exploitation et maintenance, a été mené par les équipes de Bouygues Bâtiment Grand Ouest et par Dalkia (groupe EDF) pour la maintenance.Les équipes ont réalisé le scan 3D des façades d’origine pour permettre la production d’une enveloppe préfabriquée (40 cm d’épaisseur) et adaptée à l’existant.Les systèmes énergétiques ont été installés dans un module à l’extérieur des maisons, et mutualisés pour des ensembles de trois logements.Grâce à ces améliorations, les logements affichent un niveau A de Diagnostic de Performance Energétique (DPE), contre D ou E avant les travaux.La production annuelle d’électricité par les capteurs photovoltaïques en toiture (7 000 kWh par logement) couvre la consommation énergétique des habitants.Chiffres clés :7 000 kWh /par logement. C’est la production annuelle d’électricité par les capteurs photovoltaïques.30 ans de garantie de performance énergétique.
Il y a 3 ans et 22 jours

La gamme Inspirio d'Argeton : une source de créativité pour des façades en terre cuite inédites

6 collections inspirées des éléments de la nature composent la gamme Inspirio (minéral, métal, béton, nature, classique et graphique) et se déclinent dans une grande variété de coloris. La gamme Inspirio bénéficie de tous les avantages de la terre cuite : économe en énergie pour sa fabrication, recyclable et résistante au temps.Inspirio, une nouvelle créativitéGrâce à la grande diversité esthétique et technique de ses bardages en terre cuite, Argeton a su, ces dernières années, donner une dimension de modernité aux systèmes d’habillage de façades.Aujourd’hui, Argeton va plus loin en propulsant la créativité dans une nouvelle dimension, celle de l'Engobe Digital Inspirio.Innovante, la gamme de bardage en terre cuite Inspirio exploite la technologie d’engobe digital, pour proposer de nouveaux designs et l’ouverture vers la concrétisation d’idées créatives inédites pour tous les projets architecturaux.Les engobes sont des pigments minéraux de surface de haute qualité appliqués sur les bardeaux en terre cuite avant le processus de cuisson.L’avantage de l’application des pigments minéraux et de leur cuisson est que tous les composants sont fusionnés ensemble : contrairement aux revêtements organiques, les surfaces ne peuvent pas se délaver ou se décolorer avec le temps. Cela confère aux façades Inspirio d’Argeton une qualité et une finition haut de gamme.Enfin, en associant les propriétés naturelles des matériaux de construction en terre cuite aux nouvelles esthétiques innovantes et respectueuses de l’environnement d'aujourd'hui, les bardeaux Inspirio sont adaptés pour toute démarche de construction durable.Inspirio, des expressions uniques pour les façadesConçue pour offrir un choix illimité en matière de formes, de surfaces et de coloris, la gamme Inspirio d’Argeton se compose de 6 collections inspirées des éléments issus de la nature. Elles comprennent à ce jour 41 modèles disponibles et se déclinent à l’infini grâce à la possibilité de créer des décors sur-mesure.Spécialiste des systèmes de bardage en terre cuite, Argeton de Wienerberger innove avec la gamme Inspirio. Celle-ci s’appuie sur la technologie de l’engobage digital afin de proposer une source inégalée de créativité pour tous les projets architecturaux. 6 collections inspirées des éléments de la nature composent la gamme Inspirio (minéral, métal, béton, nature, classique et graphique) et se déclinent dans une grande variété de coloris. La gamme Inspirio bénéficie de tous les avantages de la terre cuite : économe en énergie pour sa fabrication, recyclable et résistante au temps.Fondé à Vienne en 1819, Wienerberger est aujourd’hui le 1er briquetier mondial et le 1er tuilier Européen. Présent dans 28 pays, ses usines emploient plus 17 624 personnes à travers le monde. En France, 749 collaborateurs travaillent dans les 8 usines de tuiles et de briques détenues par le Groupe. Le chiffre d’affaires 2021 atteint 202 240 millions d’euros avec 6 marques reconnues : Aléonard (solutions toiture), Argeton (solutions façade), Climamur (solution à isolation répartie),Koramic (solutions toiture et façade), Porotherm (solutions mur) et Terca (solutions façade). La terre cuite, matériau sain, économique et écologique, répond idéalement aux projets de construction à haute performance énergétique. Matériaux écoresponsables, les briques et les tuiles terres cuites ont une durée de vie minimum de 100 ans.Inspiration minéraleLa collection "Inspiration minérale" offre subtilement l’aspect de la pierre naturelle. Les bardages reproduisent fidèlement les veines subtiles et les motifs présents dans ce matériau. La collection se compose de 6 modèles (Venere, Travertino , Sandro, Maestro, Palazzo et Juno) et se décline dans 9 coloris : light grey, dark grey, blue grey, white, red, rose, brown, orange brown et beige.Inspiration métalLa collection "Inspiration métal" exprime toute la puissance esthétique de ce matériau vivant. Les reflets subtils et les ombres sur les nombreuses facettes confèrent aux surfaces du bardage une valeur esthétique très forte. Tout en représentant les aspects du métal, la collection bénéficie des avantages de la terre cuite contre la corrosion, l'abrasion, la longévité des couleurs, ainsi que son respect de l’environnement. La collection "Inspiration métal" se compose de 3 modèles (Comet, Patino, Verona) et se décline dans 6 coloris : rusty, blue, rusty blue, rusty orange, grey, light grey.Inspiration bétonLa collection "Inspiration béton" simule l’esthétique du béton brut. Les travaux de transformation tels que l'acidification, le sablage, le lavage et le ponçage apparaissent aussi réalistes grâce à l’engobage numérique qu'avec le béton coulé. Grâce à ce nouveau design, il est enfin possible de bénéficier d’une esthétique béton tout en profitant du naturel de la terre cuite et des avantages d’une façade ventilée.La collection "Inspiration béton" se compose de 4 modèles (Marbeto, Griseo, Terrazzo, Marlo) et se décline dans 6 coloris : grey, light grey, medium grey, warm grey, dark grey, cream.Inspiration natureLa collection "Inspiration Nature" associe le charme et la chaleur des surfaces naturelles à une touche d’ingéniosité humaine. Les nuances de couleurs, les nœuds et les stries sont reproduits si fidèlement sur le bardage en terre cuite qu’ils n’ont rien à envier aux sources d’inspiration. La collection "Inspiration Nature" se compose de 4 modèles (Quercia, Ebano, Carbone, Rustico) et se décline dans 7 coloris : brown, medium brown, light brown, reddish brown, black, ash grey et washed out grey.Inspiration classiqueLa collection "Inspiration classique" offre une façade rustique et minimaliste. Bénéficiant des avantages de durabilité et économe en énergie de la terre cuite, « Inspiration classique" est résistante aux chocs, facile à nettoyer et pratiquement sans entretien. Elle se compose d’un modèle (Aurea) décliné dans 3 coloris : (light grey, dark grey et reddish brown).Inspiration graphiqueLa collection "Inspiration graphique" a été réalisée en collaboration avec des architectes pour créer des visuels inédits basés sur des lignes géométriques ou des formes organiques et donner ainsi aux façades une vivacité et une profondeur particulière. La collection "Inspiration graphique" se compose d’un modèle (Génio) décliné dans 4 coloris : mars, blue marble, blue triangle et beige circle.
Il y a 3 ans et 22 jours

Au Japon, le roi des cerisiers fait de l'ombre à la diversité

La période provoque chaque année une effervescence nationale au Japon, où les médias rivalisent de prévisions sur le calendrier précis de la pleine floraison des cerisiers ("sakura") et où les badauds s'adonnent à la coutume festive du "hanami" - l'admiration de leurs fleurs.Les Somei Yoshino représentent plus de 90% des cerisiers ornementaux plantés au Japon. Leur floraison, qui dure environ une semaine, tend à se déclencher simultanément sur les arbres d'une région donnée car ce sont des clones d'un seul spécimen.Prisée pour sa pousse rapide, cette variété a conquis tout le Japon lors de l'urbanisation effrénée du pays entre les années 1950 et 1980. Mais elle est aussi plus exposée que d'autres à des maladies et tend à prendre beaucoup de place en grandissant."Le secret c'est de planter la bonne variété au bon endroit", estime Hideaki Tanaka, un expert des cerisiers ornementaux qui aimerait davantage de diversité en la matière au Japon."Il y a toutes sortes de sakura, pas seulement le Somei Yoshino. Je veux aider à recréer les temps anciens, quand il y avait une grande variété à admirer" avec des périodes de floraison différentes, ajoute-t-il.Sa ferme horticole à Yuki, dans le département d'Ibaraki (nord-est de Tokyo), présente environ un millier de cerisiers de 400 variétés différentes afin d'inciter les municipalités de tout le pays à envisager des alternatives au Somei Yoshino.Son exploitation a aussi distribué plus de trois millions de jeunes plants de sakura, dont des Somei Yoshino, mais elle fait désormais la promotion d'une autre variété, le "Jindai Akebono", un cerisier plus résistant aux infections et moins volumineux quand il grandit, le rendant ainsi plus facile à tailler.Un lien affectif fortPendant des décennies, d'innombrables Somei Yoshino n'ont pas été correctement taillés, les laissant vulnérables à une infection appelée la "maladie du balai de sorcière", qui forme des grappes de rameaux disgracieux et nuit à la floraison.Les Somei Yoshino deviennent aussi très grands et très larges, ce qui peut représenter un danger en cas de typhon ou autre catastrophe naturelle au Japon, et leurs racines volumineuses peuvent fissurer les trottoirs.Malgré tous ces inconvénients, remplacer cette variété reine n'est pas facile pour les municipalités, car les habitants sont souvent très attachés aux cerisiers de leur quartier.A Kunitachi par exemple, dans la banlieue ouest de Tokyo, la ville a mis trois décennies pour enlever environ 80 Somei Yoshino sur 210 censés être remplacés.Avec leurs branches étendues, ces arbres forment un tunnel floral que les habitants du quartier veulent préserver. "Des gens avaient emménagé ici pour les admirer", explique Ryusuke Endo, un responsable des services de voirie de Kunitachi.A Yokohama (sud-ouest de Tokyo), le projet d'abattre 300 cerisiers Somei Yoshino bordant une avenue fréquentée a aussi récemment provoqué un tollé et fait du bruit dans les médias locaux."Le Somei Yoshino sera toujours la principale attraction", reconnaît lui-même l'horticulteur Hideaki Tanaka. "Mais j'aimerais aider les communautés à créer d'autres espaces où les gens peuvent admirer toutes sortes de variétés de cerisiers".A Kunitachi, où la municipalité a commencé à planter des Jindai Akebono, la variété dont M. Tanaka fait la promotion, "les gens commencent à se rendre compte que ces arbres-là sont beaux également", veut croire M. Endo.
Il y a 3 ans et 22 jours

Les inondations en Afrique du Sud, triste révélateur d'une crise aiguë du logement

Les crues et les glissements de terrain causés par une semaine de fortes pluies dans la province du KwaZulu-Natal (KZN, est), ouverte sur l'océan Indien, ont fait au moins 435 morts et laissé des milliers de personnes sans toit. Les quartiers les plus démunis ont été dramatiquement touchés.Thulisile Ntobela, 31 ans, vivait autrefois dans un appartement. Mais lorsque son loyer a augmenté, cette mère de cinq enfants, sans emploi, n'a pas pu suivre et elle a du déménager.Sur ce bout de terrain vague, elle a construit une cabane il y a cinq ans. Ici, pas de loyer, "on construit notre maison et on s'installe", dit-elle. Auparavant plantée de gommiers, la zone d'eNkanini est aujourd'hui occupée par des centaines de baraques en tôle, vulnérables aux intempéries. Quelque 87 constructions ont été détruites par les récentes inondations.En Afrique du Sud, environ 13% des près de 60 millions d'habitants vivent dans des logements informels, selon les statistiques officielles. Sur des terrains souvent non constructibles et parfois inondables."J'avais tellement peur. Je tenais mon bébé dans mes bras. Les gens criaient" pendant la tempête, raconte Thulisile Ntobela. Le plus jeune de ses enfants, un nourrisson de huit mois, est accroché dans son dos. Par miracle, aucun d'entre eux n'a été blessé, ils se sont réfugiés chez un voisin lorsqu'ils ont senti le sol bouger.Héritage de l'apartheid"Nous n'avons pas de maison. C'est chez nous ici", dit simplement Mzwandile Hlatshwayo, 25 ans, qui vit aussi dans le township. Il est venu d'un coin rural de la province pour chercher du travail. "S'il y avait la moindre chance d'obtenir un logement social, nous irions", dit-il.Le pays manque de 3,7 millions de logements, selon le Centre pour le financement du logement abordable en Afrique (CAHF). L'exode rural pour des raisons économique a accentué la pression sur le logement dans les centres urbains.Un autre facteur est que la majorité des terres sont détenues par les 8% de Sud-Africains blancs, héritage d'une politique d'expropriation de la population noire pendant l'apartheid.Trente ans après la fin du régime raciste, la question de la redistribution des terres n'est toujours pas résolue dans un pays classé comme le plus inégalitaire du monde par la Banque mondiale.Selon les secouristes qui ont passé des jours dans les townships de la ville à récupérer des corps enfouis dans les coulées de boue, les cabanes construites sans tenir compte du terrain étaient exposées à un risque accru aux inondations.Les autorités ont déclaré commencer à aménager des espaces dans le quartier voisin de Ndwedwe, afin de construire des logements temporaires pour les victimes des intempéries. Des solutions à plus long terme sont encore à l'étude.Cette catastrophe naturelle sans précédent dans le pays est l'occasion pour le gouvernement de s'attaquer enfin au problème des sans-terre et de la pauvreté, estime Sbu Zikode, de l'organisation locale de défense des terres et du logement, Abahlali baseMjondolo (habitants des cabanes, en zoulou)."Le pays et le monde nous regardent pour savoir comment nous allons faire face à la catastrophe", dit-il. "Le gouvernement est obligé d'agir et de fournir des terres".
Il y a 3 ans et 22 jours

L'Etat accorde une dotation de 10 millions d'euros à la Monnaie de Paris

La Monnaie de Paris souffre depuis plusieurs années d'une baisse des commandes de l'État: en 10 ans, elles ont été divisées par deux, l'argent liquide étant de moins en moins utilisé au profit d'autres moyens de paiement, comme le sans contact ou les applications sur smartphone.L'établissement a donc entamé une stratégie de diversification, grâce notamment à l'édition de pièces thématiques autour de personnages réels ou fictifs comme Napoléon ou Harry Potter, qui lui a permis l'an dernier de redevenir profitable.Présent à Paris et dans la banlieue bordelaise (Gironde), il souhaite également exploiter des terrains lui appartenant en menant des projets immobiliers.Dans un récent entretien au quotidien régional Sud Ouest, son PDG Marc Schwartz, indiquait ainsi vouloir s'"assurer des revenus complémentaires en créant des locaux" sur un de ses sites à Pessac, près de Bordeaux, pour les louer à des entreprises.