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Il y a 3 ans et 22 jours

Immobilier logistique : un 1er trimestre 2022 dans l’élan de 2021

Le marché utilisateurs : un 1er trimestre 2022 dans la continuité de 2021Avec près d’1 M de m² placés en logistique à l’échelle de la France (978 700 m²), le 1er trimestre s’inscrit dans le prolongement de la fin 2021, avec une hausse de 23 % par rapport au 1er trimestre 2021 et se positionne plus globalement comme un très bon trimestre. L’agro-alimentaire a été particulièrement actif au cours de ce 1er trimestre témoignant du dynamisme de ce secteur économique, et son corollaire la poursuite de la réorganisation de leur supply chain dans un environnement concurrentiel, avec, en particulier, plusieurs transactions XXL recensées. « Les besoins des utilisateurs sont réels mais le climat géopolitique en pousse certains à davantage de prudence dans les prises de décision, en particulier pour les plus grands projets », commente Pierre-Louis Dumont, Directeur Exécutif Agence I&L France.La tension sur l’offre continue de brider certains marchés comme Rhône-Alpes ou bien encore PACA qui pousse les entreprises à se positionner sur des localisations alternatives de 2ème voire 3ème couronne de métropoles. « Ce phénomène de report témoigne des besoins et de l’envie de faire des utilisateurs malgré une offre lacunaire. Néanmoins, cet éloignement croissant des barycentres de distribution se fait au prix de coûts de transport supplémentaires et d’un impact environnemental non souhaité », ajoute Pierre-Louis Dumont.L’investissement surfe sur le dynamisme du marché utilisateurs Les fondamentaux du marché de la logistique restent très bons. « Dns ce contexte d’incertitude, les produits avec des flux locatifs sécurisés à long terme sont toujours recherchés par la majeure partie des investisseurs. » Les produits en blanc ou avec des durées de baux courtes continuent d’intéresser ceux cherchant à capturer les croissances des valeurs locatives et générant ainsi des rendements supérieurs ces prochaines années », commente François-Régis de Causans, Directeur Investissement I&L. Toutefois, au-delà de l’attrait structurel et long terme de cette classe d’actif, le climat actuel est particulièrement complexe et les tendances à court et moyen termes ne sont pas clairement identifiées.
Il y a 3 ans et 23 jours

L’Alliance HQE-GBC France édite un guide des bonnes pratiques du bâtiment durable et de la commande publique

Des dizaines d’experts de huit pays de l’Union Européenne se sont engagés dans la préparation du guide dans le cadre du projet Life Level(s), qui met en avant les différents degrés de durabilité des bâtiments.Le projet encourage les pays de l’Union Européenne à intégrer dans leur législation les critères d’évaluation de performance des bâtiments en matière de durabilité issus du cadre de travail Level(s) de l’UE. Ce dernier tient compte du cycle de vie complet d’un bâtiment, en couvrant les étapes de fabrication des matériaux, de construction, d'exploitation du bâtiment, de déconstruction et de démolition.Le Guide établit que la commande publique durable doit se construire autour de trois indicateurs clés : l’Analyse du Cyclede Vie (ACV), le Coût Global et la Qualité de l’Air Intérieur (QAI). Sur le critère de l’ACV, la France s’illustre avec les projets portés par le bailleur social Lille Métropole Habitat et le CD2E à Villeneuve d’Ascq et Wavrin. Pionniers, ces projets ont intégrés dès 2019, neuf indicateurs d’ACV dans leur appel d’offres en se basant sur l’expérimentation E+C-, ce qui a permis de connaître les performances environnementales du projet et de développer des stratégies d’écoconception.« L’Alliance HQE-GBC France, avec son principe de Haute Qualité Environnementale place l’intérêt général au cœur de ses préoccupations. Afin que les bâtiments de demain soient durables et contribuent à la protection de la santé de tous, nous devons dès aujourd’hui mettre en place les mesures nécessaires pour assurer leur performance environnementale, économique et la qualité de vie en leur sein. De la maison individuelle à l’écoquartier, des immeubles de bureaux aux complexes sportifs, les indicateurs de performance appuyés par Life Level(s) doivent nous permettre d’aiguiller nos choix de construction. En diffusant alors les bonnes pratiques, nous parviendrons par un effort commun à atteindre nos objectifs, » dit Estelle Réveillard, directrice de l’Alliance HQE-GBC France. Elle ajoute que la collaboration européenne au sein du projet Life Level(s) permet de développer un cadre de travail robuste et d’amplifier les retombées du travail accompli.En guise d’avancée concrète, L’Alliance HQE-GBC France a préparé une lettre d’engagement pour les autorités publiques et les entreprises qui souhaitent intégrer les indicateurs LIFE Level(s) de durabilité dans leurs appels d’offres et contribuer ainsi de manière concrète à la préservation de l’environnement et de la santé.Guide consultable via ce lien.
Il y a 3 ans et 23 jours

L’Alliance HQE-GBC France édite un guide des bonnes pratique du bâtiment durable et de la commande publique

Des dizaines d’experts de huit pays de l’Union Européenne se sont engagés dans la préparation du guide dans le cadre du projet Life Level(s), qui met en avant les différents degrés de durabilité des bâtiments.Le projet encourage les pays de l’Union Européenne à intégrer dans leur législation les critères d’évaluation de performance des bâtiments en matière de durabilité issus du cadre de travail Level(s) de l’UE. Ce dernier tient compte du cycle de vie complet d’un bâtiment, en couvrant les étapes de fabrication des matériaux, de construction, d'exploitation du bâtiment, de déconstruction et de démolition.Le Guide établit que la commande publique durable doit se construire autour de trois indicateurs clés : l’Analyse du Cyclede Vie (ACV), le Coût Global et la Qualité de l’Air Intérieur (QAI). Sur le critère de l’ACV, la France s’illustre avec les projets portés par le bailleur social Lille Métropole Habitat et le CD2E à Villeneuve d’Ascq et Wavrin. Pionniers, ces projets ont intégrés dès 2019, neuf indicateurs d’ACV dans leur appel d’offres en se basant sur l’expérimentation E+C-, ce qui a permis de connaître les performances environnementales du projet et de développer des stratégies d’écoconception.« L’Alliance HQE-GBC France, avec son principe de Haute Qualité Environnementale place l’intérêt général au cœur de ses préoccupations. Afin que les bâtiments de demain soient durables et contribuent à la protection de la santé de tous, nous devons dès aujourd’hui mettre en place les mesures nécessaires pour assurer leur performance environnementale, économique et la qualité de vie en leur sein. De la maison individuelle à l’écoquartier, des immeubles de bureaux aux complexes sportifs, les indicateurs de performance appuyés par Life Level(s) doivent nous permettre d’aiguiller nos choix de construction. En diffusant alors les bonnes pratiques, nous parviendrons par un effort commun à atteindre nos objectifs, » dit Estelle Réveillard, directrice de l’Alliance HQE-GBC France. Elle ajoute que la collaboration européenne au sein du projet Life Level(s) permet de développer un cadre de travail robuste et d’amplifier les retombées du travail accompli.En guise d’avancée concrète, L’Alliance HQE-GBC France a préparé une lettre d’engagement pour les autorités publiques et les entreprises qui souhaitent intégrer les indicateurs LIFE Level(s) de durabilité dans leurs appels d’offres et contribuer ainsi de manière concrète à la préservation de l’environnement et de la santé.Guide consultable via ce lien.
Il y a 3 ans et 23 jours

Airina, un nouveau purificateur d'air professionnel autonome et silencieux 100% Made in France

Les chiffres sont éloquents. Alors que nous passons près de 90% du temps dans des espaces clos (maison, travail, transports en commun...), l'air intérieur est 8 fois plus pollué que l'air extérieur. Une situation qui n'est pas sans conséquence sur notre organisme : 20 000 décès prématurés chaque année sont causés par les polluants présents dans l'air intérieur, qui provoque aussi 28% des AVC, 17% de cancers et de nombreuses pathologies (asthme, allergies respiratoires, fatigue, vertiges, maux de tête...). C'est pour cela que l'Anses considère aujourd'hui qu'il s'agit d'un véritable enjeu de santé publique (source) et que certains ERP ont l'obligation de surveiller la qualité de l'air intérieur (QAI). Oui mais... en pratique comment faire pour garantir un air pur et sain lorsque les surfaces sont importantes ? Les appareils actuels sont complexes à utiliser, souvent bruyants et fabriqués à l'autre bout de la planète. D'où l'innovation apportée par Airina, un purificateur d’air professionnel développé et produit en France, qui améliore en continu la qualité de l’air intérieur sur de larges superficies en détectant et filtrant 99.995% des particules fines, virus & bactéries, germes & moisissures, COV, allergènes & odeurs. Un concentré d'innovation pour purifier vite et bien jusqu'à 200m² Airina est le fruit de plus de 40 années d'expérience dans le traitement de l'air. Ce purificateur d'air "nouvelle génération" est d'ailleurs né bien avant la pandémie : il a été conçu à l'origine pour répondre à la réglementation édictée par le décret 2015 – 1000, relatif aux modalités de surveillance de la qualité de l'air intérieur dans certains établissements recevant du public (en priorité les crèches, écoles maternelles et primaires). Le gouvernement souhaite en effet limiter les concentrations de polluants et impose aux ERP certains seuils à ne pas dépasser pour le Formaldéhyde, le Benzène et le CO2. Mais au-delà de cette obligation, offrir aux usagers, clients et collaborateurs une bonne qualité de l'intérieur doit être une priorité pour toutes les organisations, notamment dans le cadre de leur démarche RSE. Toutes les études montrent en effet un impact positif sur la santé et la réduction des maladies, le bien-être, l'attention et par conséquent sur le taux d'absentéisme. Aujourd'hui, Airina accompagne les écoles/lycées, restaurants, lieux de culture, entreprises, collectivités et établissement disposant de salles d'attentes et/ou de réception en leur permettant de les informer sur la qualité de l'air intérieur et de le purifier efficacement sur de grands espaces. "Airina peut réaliser jusqu'à 5 renouvellements d’air complets par heure (en lien avec la recommandation de la haute autorité de la santé) et donc 200 m2, ce qui en fait un purificateur à haute performance." Un appareil "plug & work" qui sait se faire discret Pour utiliser Airina, rien de plus simple : il suffit de le placer dans la zone à traiter, de le brancher et de l'allumer. Et c'est tout ! Grâce à sa petite taille (67 cm longueur, 69.1 cm largeur et 112.8 cm hauteur) et à ses roulettes, le purificateur est mobile et il se positionne sans problème à l'endroit souhaité. Avec une garantie de résultats : le renouvellement intégral de l'air est effectué en 15 minutes à peine, pour éliminer plus de 99,99% des virus et bactéries en mode "zéro prise de tête". Car Airina se fait facilement oublier. Ultra-silencieux (47 dB(A) à 1 m), il peut aussi être totalement personnalisé (couleurs, motifs, etc.) pour se fondre dans le décor. Un must pour ne pas perturber la concentration des équipes ou altérer le confort de la clientèle, ni nuire au design des lieux. Une utilisation intuitive qui simplifie le quotidien La troisième et dernière version d'Airina a été spécialement conçue pour mettre le meilleur de la technologie au service des utilisateurs. En quelques clics sur son interface tactile, il est ainsi possible de :Visualiser rapidement tous les indices de la qualité de l'air (indicateur visuel - selon ATMO)Mesurer la qualité de l'air intérieur : taux de CO2 en temps réel, informations sur les particules fines, quantité d'air traitée, évolution détaillée de la QAI sur 12h ;Contrôler le purificateur, en adaptant notamment sa vitesse de purification ;Sélectionner le mode auto pour que sa vitesse s'adapte à la qualité de l'air environnant ;Programmer les horaires de fonctionnement de l'appareil ;Choisir de recevoir des alertes SMS (maintenance & qualité de l'air) ; Airina, une marque française du groupe NEU-JKF Delta NEU Le purificateur d'air Airina est conçu et fabriqué en France, à La Chapelle-D'armentières, juste à côté de Lille. Cette marque dynamique appartient au groupe NEU-JKF Delta NEU, expert dans le captage et le traitement de l'air en milieu industriel depuis plus de 60 ans. "Airina est née de notre solide expérience industrielle à destination de tous les professionnels recevant du public et souhaitant les protéger." Le groupe représente aujourd'hui plus de 650 collaborateurs, 10 filiales dans le monde, 1 centre de formation, 1 station d’essai et accompagne plus de 35 000 clients. Il est membre de la French Lab qui regroupe les acteurs industriels français défendant le savoir-faire français et la fabrication française.
Il y a 3 ans et 23 jours

Forte de 30 ans d’actions, l'UNICEM demande aux pouvoirs publics la reconnaissance de son Label RSE sectoriel

Elle profite de cet anniversaire pour réitérer l’appel de la profession auprès des pouvoirs publics d’une reconnaissance de son Label sectoriel RSE.Pour Louis Natter, président UNICEM entreprises engagées : « L’avenir nous invite à poursuivre nos efforts et à renforcer nos ambitions. »Les industries de carrières et matériaux de construction extraient et produisent les matériaux minéraux nécessaires aux secteurs de la construction et des travaux publics. L’UNICEM (Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction), qui représente la profession, rassemble près de 1400 entreprises, TPE, ETI patrimoniales, groupes d’envergure internationale, qui font fonctionner plus de 7000 sites répartis sur l’ensemble du territoire.Par ce maillage territorial, ces entreprises participent pleinement au maintien de l’activité économique, industrielle et de l’emploi au cœur des régions. Il permet aussi d’établir une proximité géographique entre les sites d’extraction, de production et les zones de mise en œuvre (chantiers), diminuant, de fait, les distances et donc l’empreinte carbone liée au transport des matériaux. Conscients de leur responsabilité sociétale et environnementale et soucieux de contribuer positivement aux enjeux de développement durable, la filière et ses acteurs, font de ces sujets une priorité et déploient, depuis trois décennies déjà, de nombreuses actions...La célébration, symbolique, de ces 30 ans d’engagement en matière de développement durable, est l’occasion de revenir sur les temps forts qui ont jalonné ces années : les actions mises en place, les progrès enregistrés et les résultats obtenus. C’est aussi l’occasion pour la profession de lancer un appel, auprès des instances publiques, tant nationales qu’européennes à la reconnaissance des labels sectoriels RSE,et au soutien des PME qui s’engagent dans la RSE.1992-2022 : 30 ans de progrès en matière de développement durable1992 : Création de la charte professionnelle des producteurs de granulatsDès 1992, les producteurs de granulats, soucieux de mieux cerner l’impact environnemental lié à leur activité d’exploitation de carrières, se mobilisent et créent la charte professionnelle des producteurs de granulats. Grâce à l’adhésion de nombreux sites et en partenariat avec des centres de recherche reconnus*, plus d’une centaine d’études** scientifiques sont menées sur un peu plus de 10 ans. Ces études ont permis d’aboutir à des recommandations et à la rédaction d’un socle commun de bonnes pratiques portant, entre autres, sur la préservation de la ressource en eau, l’amélioration de l’insertion paysagère, le respect de la biodiversité, la réduction des émissions de poussière, la maîtrise de l’énergie, l’organisation de concertations avec les parties prenantes.* Les partenaires de ces études : BRGM (Bureau des Recherches Géologiques et Minières), Cemagref (Centre d’Étude du Machinisme Agricole et du Génie Rural des Eaux et Forêts (CEMAGREF), CNRS (Centre National de Recherche Scientifique), Muséum national d’histoire naturelle, Laboratoire des ponts et chaussées, INERIS (institut national de l’environnement industriel et des risques) et plusieurs universités.** Ces études sont aujourd’hui regroupées dans un catalogue mis à la disposition via ce lien2004 : La Charte environnement des industries de carrièresDans le prolongement des recommandations et bonnes pratiques formulées par la charte professionnelle des producteurs de granulats et afin d’encourager la progression des acteurs du secteur des industries de carrières sur le plan environnemental, un référentiel est créé : la Charte environnement des industries de carrières dont l’objectif est d’évaluer, d’une part et valoriser, ensuite, les progrès effectués par les industriels en matière de développement durable. Plus de 900 sites se sont engagés dans cette démarche. Ils ont pu à ce titre bénéficier d’un accompagnement qui leur aura permis de progresser dans la maîtrise de l’impact environnemental et développer, grâce à des recommandations et formations spécifiques, leurs compétences et celles de leurs collaborateurs.2017 : Création d’UNICEM entreprises engagéesAprès plusieurs décennies d’actions engagées et déployées sur le terrain, c’est de la volonté de rassembler les différents acteurs des industries de carrières et matériaux de construction qu’est née UNICEM entreprises engagées.Afin de faciliter et favoriser l’intégration de la RSE dans la stratégie et les pratiques des acteurs de la filière, UNICEM entreprises engagées lance la Charte RSE à destination de ses adhérents, un référentiel solide, évalué par des organismes tiers indépendants. Déployée dans un premier temps au sein des entreprises productrices de béton prêt à l’emploi, la Charte RSE est étendue à l’activité extractive en 2018.UNICEM entreprises engagées partenaire de la Plateforme RSE En 2018, l’UNICEM est retenue par les instances publiques pour participer à une expérimentation nationale pilotée par la Plateforme RSE (organisme gouvernemental directement rattaché au premier ministre) sur les labels sectoriels RSE. Le référentiel RSE porté par UNICEM entreprises engagées a su répondre aux préconisations de la plateforme et contribue à la reconnaissance de la filière comme un acteur engagé en faveur de la RSE.2021 : Label RSE et CAP Environnement, les nouvelles signatures des engagements de la professionL’association UNICEM entreprises engagées se dote d’une charte d’engagement et formalise ainsi la vision et les valeurs communes à l’ensemble de ses adhérents, ainsi que les objectifs qu’ils poursuivent. En parallèle, le nom des démarches évolue. La Charte environnement des industries de carrières devient Cap environnement et la charte RSE prend le nom de Label RSE.CAP Environnement signe les engagements de la professionCap environnement, la démarche de progrès des industries de carrières, repose sur un référentiel environnemental appliqué site par site par les adhérents de l’association, avec l’intervention d’un auditeur conseil externe.Ce cadre rigoureux mis en place afin d’allier au mieux développement économique et respect de l’écosystème tout en favorisant une écoute mutuelle et constructive avec les acteurs locaux a permis des progrès considérables au sein de la profession : meilleure maîtrise et réduction des impacts, valorisation de la biodiversité, réaménagements et amélioration de sites, développement de l’économie circulaire, renforcement de la concertation…Evalués par des organismes tiers, plus de 600 sites de carrières sont, à ce jour, engagés dans la démarche Cap environnement.Nombre de sites engagés dans la démarche Cap environnement (avril 2022)635 sites / 262 entreprises50% de la production de l'UNPGLe Label RSE : une reconnaissance pour la professionL’engagement des entreprises dans la RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) correspond à une attente renforcée par la crise sanitaire. Appelant les entreprises, quelle que soit leur taille, à plus de résilience, la RSE devient un réel gage de performance qui doit être promu par des démarches sectorielles et volontaires.Les entreprises qui s’engagent dans cette démarche réalisent d’abord une auto-évaluation de leurs pratiques et de leurs performances suivant les 35 items du référentiel. Elles font ensuite l’objet d’une évaluation plus poussée effectuée sur site par un organisme tiers indépendant (OTI), sur l’ensemble des grandes thématiques du label :GouvernanceCapital humainEnvironnementClients consommateurs fournisseursAncrage localUn comité d’évaluation associant des parties prenantes externes valide le niveau attribué par l’OTI.À ce jour plus de 1000 sites sont engagés dans la démarche du label RSE de l’UNICEM.Nombre de sites engagés dans le label RSE (avril 2022)Béton Prêt à l’Emploi : 685 sites, 47% de la production du SNBPECarrières et Recyclage d’inertes : 406 sites / 28% de la production de l’UNPG Les facteurs de réussiteOutils, formations et accompagnementAfin d’encourager et aider les entreprises à s’investir toujours plus dans ses démarches, UNICEM entreprises engagées a développé une forte culture de l’accompagnement par la mise en place de nombreuses méthodes et outils :Publication de guides pédagogiques accessibles via un espace internet réservé aux adhérents,Organisation de sessions régionales de formation ciblées,Programmation régulière de webinaires,Déploiement en régions d’opérations pilotes d’accompagnement à la RSE.Concertation et dialogue avec les parties prenantesLe dialogue avec les parties prenantes (collectivités territoriales, associations…) est au cœur des démarches portées par UNICEM entreprises engagées. Des partenariats ont été développés dans ce sens avec notamment l’association Humanité et Biodiversité. Un comité des parties prenantes est réuni au moins une fois par an. De nombreuses initiatives locales et territoriales sont également mises en œuvre (journées portes ouvertes et découverte, sensibilisation auprès des écoles, chantiers nature solidaires).Témoignage Sandrine Bélier, Humanité et Biodiversité En tant que membre du comité des parties prenantes et du comité d’évaluation du label RSE de l’UNICEM, que pensez-vous de ce label ? « Je pense que c’est un outil très intéressant et important d’amélioration continue tant sur les aspects environnementaux que sociaux. C’est un label exigeant, sérieux et robuste. »Qu’apporte-t-il aux entreprises ? « Je pense que cela apporte de la crédibilité à l’entreprise tant vis-à-vis de ses salariés, que de ses clients mais aussi vis-à-vis des acteurs du territoire où elle est implantée. Par cet engagement, elle peut participer à créer de la valeur éthique. »Quel est votre rôle en tant que partie prenante ? « J’ai été, au nom d’« Humanité et Biodiversité » associée à toutes les étapes d’élaboration de ce label, dès sa création et nos propositions pour faire évoluer le référentiel d’évaluation ont été prises en compte et intégrées. Je participe, avec exigence, au processus d’évaluation des entreprises candidates au label RSE de l’UNICEM et veille au sérieux et à la réalité des démarches engagées par ces entreprises. »Et demain ? Perspectives et objectifs pour les années à venirPour Louis Natter, président UNICEM entreprises engagées : « En 30 ans, nous avons démontré notre capacité à répondre efficacement aux enjeux environnementaux et sociétaux liés à nos activités. Nous l’avons fait progressivement et collectivement, en accueillant au sein de l’association des entreprises toujours unies par cette volonté d’améliorer constamment leurs pratiques. L’avenir nous invite à poursuivre nos efforts et à renforcer nos ambitions. Si les attentes de nos parties prenantes, notamment celles de nos clients, nous confortent dans cet élan, la complexité des obligations réglementaires et normatives auxquelles nous devrons tous répondre demain ne nous facilitera pas la tâche. Les évolutions en matière d’information extra-financière et de transparence illustrent bien ce point. Nous porterons donc une attention toute particulière à l’accompagnement des entreprises de toutes tailles, en particulier des PME, en les aidant à anticiper ces changements. Immanquablement, nous ajusterons nos référentiels et nos programmes de formations ; nous veillerons aussi à établir, dès que possible, un maximum d’équivalence entre nos démarches et les systèmes d’évaluation RSE, publics ou privés, toujours plus nombreux et exigeants. Et surtout, nous nous mobiliserons pour que ce label, qui valide toutes les conditions requises, obtienne la reconnaissance qu’il mérite. En particulier, après avoir participé aux expérimentations conduites par la Plateforme RSE, nous sommes impatients de voir ce label sectoriel reconnu - enfin ! - par les pouvoirs publics. »Fédérer et élargir le cercle des entreprises engagéesUNICEM entreprises engagées (UEE) entend, dans les années à venir, fédérer davantage de PME et d’entreprises familiales dans ses actions et élargir la typologie des activités concernées.Dans cet objectif, elle développe différents outils et met en place des opérations d’accompagnement. Elle a ainsi publié, en 2020, un guide méthodologique à destination des PME afin de faciliter leur engagement dans la RSE et va, prochainement, éditer un recueil des bonnes pratiques RSE et proposer, sous forme de quiz, une approche pédagogique de sensibilisation à la RSE.S’investissant aussi sur le terrain, UNICEM entreprises engagées a lancé en 2021 une opération d’accompagnement dans six régions. Depuis le début de l’année 2022, une cinquantaine de nouveaux sites issus de PME et d’entreprises familiales ont ainsi rejoint la démarche. Ces dernières représentent à ce jour près de 70% des entreprises adhérentes au label RSE.L’association entend également élargir la typologie des activités qu’elle représente. Aujourd’hui, peuvent s’engager dans le label RSE les industries extractives, les plateformes de recyclage de déchets inertes et unités de production de béton prêt à l’emploi. Les récentes évolutions apportées au référentiel le rende désormais applicable à l’activité « roches ornementales » et les premiers granitiers vont rejoindre, prochainement, la démarche.UNICEM entreprises engagées reste prête à accompagner toute autre activité de la filière minérale afin de faciliter son engagement dans le label RSE.Quelques témoignages Stephan HELMBACHER, PDG des Sablières et ballastières Helmbacher Pourquoi vous êtes-vous engagés dans le label RSE ? « Après plus de 10 ans d’engagement dans la Charte Environnement, nous avons souhaité nous remettre en question et nous réinventer à travers le label RSE qui présentait une vision plus large de nos responsabilités. »Quels sont les résultats / bénéfices de cette labellisation ? « En interne, les premiers résultats sont la belle capacité à mobiliser une équipe. Plus globalement, la démarche nous permet de gagner en crédibilité et en respectabilité auprès de nos parties prenantes. »Pierre-Yves BEAULIEU, Directeur, Carrières et Béton B. BRONZO Pourquoi vous êtes-vous engagés dans le label RSE ? « Étant engagé dans la démarche de la Charte Environnement depuis le début en 1992, l’engagement dans le label RSE est pour nous un prolongement. Tous les items de la démarche font déjà parti de notre quotidien. » Quels sont les résultats / bénéfices de cette labellisation ? « Je reste convaincu qu’à moyen terme cela fera la différence en termes d’embauche, de pérennité des emplois et de regard de nos parties prenantes, collectivités locales, riverains, fournisseurs. Nos relations seront plus sereines et plus durables tout en montrant que notre profession est sincèrement Responsable. »Encourager l’engagement des PME-TPE dans la démarche RSETrès souvent le manque de temps et de moyens se révèlent un frein pour les PME-TPE dans le déploiement de la RSE. Partant de ce constat et de leurs observations, UNICEM entreprises engagées souhaite que les pouvoirs publics apportent un soutien au développement de la RSE dans les PME en :Finançant en partie l’accompagnement d’un expert pour réaliser un état des lieux, construire un plan d’action puis le mettre en œuvre,Facilitant l’accès aux dispositifs d’aides publiques octroyées par certaines régions (comme celle des Pays de la Loire* ) aux entreprises qui s’engagent dans un label RSE,Encourageant la création d’un prêt RSE aux conditions avantageuses (taux d’intérêt inférieurs ou sans garantie) à l’image du prêt vert financé par BPI France et l’ADEME pour les TPE-PME* Sous réserve d’éligibilité, la Région peut cofinancer cet accompagnement, par le biais d’une subvention de 50% maximum du montant hors taxes (H.T.) des coûts de l’étude, et ceci dans une limite de 15.000 €. Plus d’informations à cette adresse.Accélérer la reconnaissance du label RSEUNICEM entreprises engagées plaide pour une reconnaissance par les pouvoirs publics des labels sectoriels répondant aux préconisations formulées dans les rapports publiés suite à la loi PACTE et demande la mise en place d’une charte publique qui servira de cadre à la reconnaissance de ces labels.En complément, UNICEM entreprises engagées souhaite que les entreprises labellisées RSE soient dispensées de répondre aux questionnaires des donneurs d’ordre sur les aspects RSE. SNCF Réseau s’est montrée pionnière en la matière : les prestataires de matériaux bénéficiant du Label RSE UNICEM peuvent se prévaloir de ce référentiel sans avoir à passer par un autre mode d’évaluation.Le label RSE de l’UNICEM reconnu par SNCF RéseauPour Bérangère GALLAND, Chef du Département RSE & Communication DGFA - DIRECTION DES ACHATS SNCF RESEAU : « L’évaluation réalisée dans le cadre du label RSE UNICEM entreprises engagées par un organisme tiers indépendant permet de répondre à l’obligation de diagnostic des performances RSE demandée par SNCF Réseau à ses fournisseurs. Ainsi, nos prestataires de matériaux bénéficiant du Label RSE UNICEM peuvent se prévaloir de ce référentiel sans avoir à passer par un autre mode d’évaluation. »UNICEM entreprises engagées demande, depuis plusieurs années, que la commande publique soit un véritable levier pour encourager la RSE. Pour répondre à cet enjeu, l’UNICEM propose que l’État et les collectivités territoriales soient encouragés à recourir aux entreprises labellisées RSE.En parallèle, le débat doit être réengagé sur les règles européennes des marchés publics, afin d’autoriser les donneurs d’ordre à valoriser les prestataires labellisés RSE.Enfin, pour aller plus loin, UNICEM entreprises engagées propose, aussi, que les entreprises labellisées RSE puissent bénéficier :D’une bonification des aides publiques relatives à l’innovation, la transition écologique, la décarbonation ;De garanties publiques permettant de limiter les cautions à fournir vis à vis des banques et assurances ;D’un allègement du montant des garanties financières au titre de la remise en état (carrières, installations de traitement des déchets) ;De taux privilégiés auprès des banques et des assurances.
Il y a 3 ans et 23 jours

Ingérop acquiert Acterra, un cabinet précurseur dans le domaine du changement climatique

Cette acquisition répond à la volonté d’Ingérop de renforcer son offre d’ingénierie et de conseil par des expertises pointues et d’amplifier son action dans toutes ses activités en faveur de la transition écologique, axe prioritaire de sa stratégie d’entreprise « Vision 2025 ».Acterra, précurseur de l’adaptation et de la résilience au changement climatiqueDepuis plus de 15 ans, Acterra accompagne ses clients à chaque étape de leur action : apport d’expertise dans les phases de diagnostic des impacts du changement climatique, définition de stratégies et de programmes d’actions, accompagnement du changement et assistance à la maîtrise d’ouvrage, réformes institutionnelles et organisationnelles, suivi et évaluation de politiques et projets, accès à la finance climat, recherche & innovation. Le cabinet intervient auprès de bailleurs de fonds (AFD, GIZ, FFEM, Banque Mondiale, etc.), d’organisations internationales (PNUE, PNUD, FAO, Green Climate Fund), de gouvernements et d’agences nationales (ADEME, Agences de l’Eau, OFB, Ministères de l’Ecologie), de collectivités locales (Métropole Aix-Marseille, Communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise) et d’entreprises privées.Basé à Marseille, le cabinet Acterra emploie 8 personnes et réalise un chiffre d’affaires d’environ 1,2 million d’euros, en progression constante depuis sa création.Un rapprochement synonyme de synergie, de complémentarité et d’engagementTout en restant une entité indépendante, pilotée par son dirigeant actuel, Stéphane Simonet, Acterra rejoindra Ingérop Méditerranée, dont le siège est également basé à Marseille, faisant jouer de ce fait pleinement la synergie et la complémentarité des équipes.L’expertise de l’entreprise viendra naturellement irriguer l’ensemble des projets portés par Ingérop dans ses différentes missions et activités (bâtiment, eau, énergie, industrie, infrastructures & mobilité, transport, ville) et permettra ainsi à Acterra d’élargir son champ d’action. En effet, la capacité d’adaptation et de résilience au changement climatique est un enjeu primordial aujourd’hui, quel que soit le projet - public ou privé, son échelle - locale à internationale, ou la nature de la mission confiée.Enfin, Acterra renforcera le savoir-faire d’Ingérop en matière de recherche et de développement de services climatiques, comme de formation, pour renforcer l’expertise de l’ensemble des collaborateurs et clients du groupe.« Je me réjouis de ce rapprochement avec le cabinet Acterra, qui s’inscrit parfaitement dans notre vision stratégique 2025. En effet, les enjeux liés au changement climatique sont aujourd’hui au cœur des préoccupations de tous nos clients et des projets que nous portons. L’expertise des équipes d’Acterra et la reconnaissance de leur savoir-faire au niveau international sont pour nous de véritables atouts pour l’avenir. », précise Yves Metz, président d’Ingérop.Pour Stéphane Simonet, dirigeant du Cabinet Acterra: « Acterra a connu ces dernières années une croissance importante de ses activités en France comme à l’international. Le rapprochement avec Ingérop va nous permettre de poursuivre ce développement et d’enrichir notre gamme de services et de solutions grâce aux synergies créées avec les différentes entités du groupe. Il s’agit donc pour nous de la bonne décision, au regard de l’urgence climatique et des besoins en constante évolution de nos clients, et du bon partenaire, dont la stratégie, les valeurs et le modèle de gouvernance s’inscrivent pleinement dans notre vision entrepreneuriale. »
Il y a 3 ans et 23 jours

L'architecte Jean-Michel Wilmotte dessine la Maison virtuelle de l’Ukraine

La Cité internationale ne dispose pas d’une Maison de l’Ukraine mais, pour offrir à ces personnes les meilleures conditions d’accueil, elle a demandé à l’architecte Jean-Michel Wilmotte d’imaginer une Maison virtuelle de l’Ukraine. Ce projet, hautement symbolique mais ancré dans la réalité, vise trois objectifs : offrir aux étudiants, chercheurs et universitaires un logement au sein des 43 maisons que compte le campus, les accompagner tout au long de leur séjour et préparer l’avenir de la jeunesse et de la communauté universitaire ukrainienne. Afin de financer ce projet, la Cité internationale lance une campagne d’appel aux dons, une vente en NFT de 3 dessins de Jean-Michel Wilmotte ainsi qu’une vente aux enchères chez Sotheby’s des dessins et d’une œuvre conçue par Jean-Michel Wilmotte.Une Maison virtuelle de l’Ukraine pour accueillir les talents de demain, accompagner leur réussite et préparer leur avenirAccueillir les talents de demainPremier site d’accueil des étudiants et chercheurs internationaux à Paris depuis bientôt 100 ans, la Cité internationale universitaire de Paris est solidaire du peuple ukrainien. Il n’existe pas de Maison de l’Ukraine sur le campus, mais le projet de Maison virtuelle de l’Ukraine permet de pallier effectivement cette absence. Grâce à ce projet, d’ici le mois de juin 2022, des étudiants, chercheurs et universitaires touchés par la guerre seront accueillis au fil de l’eau dans les chambres qui se libèreront sur le campus puis, à compter de la rentrée 2022, ils le seront dans des hébergements réservés au sein des 43 maisons du campus.Accompagner leur réussiteLes étudiants, chercheurs et universitaires touchés par la guerre seront accompagnés dans leurs démarches. Ils pourront bénéficier gratuitement de toute notre offre d’accompagnement : soutien financier, social, psychologique, médical et linguistique. Ils pourront également trouver un appui dans l’offre culturelle et artistique proposée sur le campus. Ils partageront la vie quotidienne de près de 7 000 résidents de 150 nationalités. En lien avec les universités et les grandes écoles franciliennes, nous accompagnerons également les étudiants ukrainiens logés dans d’autres résidences en Île-de-France pour constituer une communauté ukrainienne bien réelle mais symboliquement réunie sous cette bannière de la maison de l’Ukraine. La Cité internationale se place ainsi en pivot de l’accueil en lien avec l’opérateur Campus France, les Crous et les établissements d’enseignement supérieurs franciliens.Protéger et préparer leur avenirLa Maison virtuelle de l’Ukraine symbolise l’espoir d’un renouveau fondé sur la connaissance et les valeurs de tolérance. Elle permettra de préserver l’avenir des étudiants, chercheurs et universitaires en exil dans une perspective de moyen terme : préserver la jeunesse et la communauté universitaire et académique ukrainienne. L’université ukrainienne ne doit pas être sacrifiée et toute une génération d’étudiants venant de ce pays meurtri doit retrouver sa place au milieu de la jeunesse du monde et de ce campus international unique chargé d’histoire qu’est la Cité internationale universitaire de Paris. Le talent de Jean-Michel Wilmotte au service d’une œuvre collectiveL’architecte Jean-Michel Wilmotte a accepté de participer à ce projet innovant et d’accompagner la Cité internationale, haut lieu architectural chargé d’histoire, dont il partage l’ambition d’accompagner et de préparer l’avenir de la communauté universitaire et académique ukrainienne en pariant sur la jeunesse, le savoir et la raison.L’agence Wilmotte & Associés a imaginé un pavillon, réminiscence de l’architecture constructiviste, dont les volumes et l’utilisation des matériaux rappellent le drapeau ukrainien. Cette œuvre numérique est aussi une façon de mettre en avant l’art et la culture comme réponse au fracas et aux destructions de la guerre. Trois œuvres ont été dessinées : la façade de la maison, une chambre et un espace collectif avec un piano.Une campagne d’appel aux dons, une vente en NFT et aux enchèresPour concrétiser son projet, la Cité internationale lance :Le 19 avril une campagne d’appel aux dons et une vente en NFT des 3 dessins de Jean-Michel Wilmotte,Le 9 juin une vente aux enchères chez Sotheby’s France, Europe et New-York des 3 dessins et d’une œuvre conçue par Jean-Michel Wilmotte.Les fonds recueillis permettront d’héberger jusqu’à 500 étudiants, chercheurs et universitaires touchés par la guerre en Ukraine dans les 43 maisons du campus, de les accompagner tout au long de leur séjour (aides administratives, suivi médical et psychologique, apprentissage du français, offre culturelle…) et de constituer un fonds d’aide d’urgence. Ce dispositif s’adresse également aux résidents ukrainiens présents sur le campus au moment du déclenchement de la guerre et à leurs familles proches qui les auront rejoints.Faire un don ou acheter une œuvre en NFT : maisondelukraine.fr
Il y a 3 ans et 25 jours

En Normandie, les transports en commun passent au vert avec l'essor du BioGNV

En 2021, la production de gaz vert « Made in Normandie » prend un nouvel élan avec l'essor du réseau de méthaniseurs : à ce jour, 19 unités injectent dans les réseaux et contribuent à desservir 24 stations d'avitaillement en GNV/BioGNV. Et ces chiffres devraient doubler en 2022 ! A l'occasion de la Semaine Européenne de la Mobilité, GRDF en Normandie dresse un état des lieux de cette révolution verte dans les transports normands. GRDF soutient la révolution verte des transports normands Aujourd'hui, un bus sur quatre vendu en France circule au GNV/bioGNV. Les collectivités normandes plébiscitent largement ce carburant pour verdir leurs flottes de bus. Cette année, par exemple, Caen la Mer et Le Havre ont respectivement commandé 200 et 55 bus fonctionnant au GNV pour renouveler leur parc de véhicules de transports en commun. A Caen, la mise en service des premiers bus GNV est effective depuis septembre. A Argentan dans l'Orne, première agglomération normande autonome en été en gaz vert depuis l'année dernière, les transports publics se modernisent. En charge de la compétence mobilité depuis le 1er juillet 2021, Argentan Intercom a mis en service ses trois premiers bus au GNV le 30 août. « Nous avons investi sur le bus au GNV. C'est plus propre, avec un carburant produit localement, et c'est un moyen non négligeable de faire des économies. Par rapport au gazole, nous faisons 36 % d'économies sur le coût du carburant. » explique Frédéric Leveillé, Président de l'intercommunalité.En Normandie, 15 stations privées et 9 stations publiques d'avitaillement sont d'ores et déjà opérationnelles, une dizaine de nouvelles stations est en cours d'étude pour renforcer la demande La mise en service de stations d'avitaillement se multiplie dans la région pour suivre la montée en puissance de ce carburant alternatif. Récemment, une nouvelle station multi-énergies (gaz, hydrogène, électricité) au sud d'Evreux (à la croisée de la N154 et N13, un carrefour logistique important dans le département) a vu le jour. LE SDEM Syndicat d'Energies de la Manche a aussi en projet une station GNV/bioGNV pour alimenter les transporteurs de l'agglomération de Carentan les Marais (zone élargie de la baie du cotentin : Carentan, Isigny, Sainte-Mère-Eglise, etc.) En Normandie, 19 unités de méthanisation injectent déjà dans les réseaux GRDF, et une quarantaine de projets devrait voir le jour en 2022 ! Le bioGNV est obtenu par la méthanisation de déchets organiques divers et parfois combinés : ordures ménagères, boues des stations d'épuration, produits agricoles et tontes des espaces verts... Tous les véhicules GNV sont compatibles avec le BioGNV, ce qui permet une interchangeabilité simple. C'est une énergie locale et renouvelable. A ce jour, la Normandie compte 19 méthaniseurs en injection. En 2022, ce réseau devrait connaitre une forte croissance avec 40 nouveaux projets, en partenariat avec les agriculteurs locaux.Pour Aymeric Cotrel, Directeur GRDF en Normandie : « L'agriculture joue un rôle essentiel dans la production d'énergie et particulièrement en ce qui concerne la méthanisation où plus de 90% de la production est issue du monde agricole. Cette filière est indispensable pour la transition écologique du territoire normand. La méthanisation crée une passerelle entre le monde agricole et le monde urbain. En approvisionnant les véhicules bien sûr, mais aussi en créant de la ressource énergétique pour injecter du gaz pour chauffer les foyers ou les équipements publics. Nous accompagnons quotidiennement les agriculteurs dans cette diversification de leur métier. »Mathieu Deschamps, agriculteur-méthaniseur, bientôt « avitailleur »Niché dans un petit village de Seine Maritime à Cléville, Mathieu Deschamps éleveur, est aussi méthaniseur depuis 10 ans. Le biométhane que son unité produit, est injecté dans les réseaux de GRDF depuis juin 2021 et dessert l'équivalent de la consommation annuelle de 2 000 logements ou de 100 bus roulant au GNV. Convaincu par les avantages de cette énergie verte, l'agriculteur envisage de créer une station d'avitaillement avec des partenaires à quelques kilomètres de son site de méthanisation. Ce projet devrait voir le jour à l'automne prochain. « Notre démarche est centrée sur l'économie circulaire et la production locale. Ce projet de point d'avitaillement nous permet d'ancrer notre activité de méthanisation localement. »
Il y a 3 ans et 25 jours

Démanteler les éoliennes ? Plutôt "accélérer" la transition, estime le président d'Engie

"L'enjeu aujourd'hui, ce n'est pas de ralentir la transition énergétique et encore moins de partir en marche arrière, c'est au contraire d'accélérer", a-t-il répondu à un actionnaire l'interrogeant sur "le démantèlement des éoliennes" prôné par la candidate d'extrême droite, à l'occasion de l'assemblée générale annuelle de l'entreprise."L'idée qu'on puisse démanteler des éoliennes lorsqu'elles sont en fin de vie ça fait partie de nos obligations de le faire, sinon ça me paraît plutôt une forme d'aberration", a déclaré M. Clamadieu."Il faut que nos projets de développements renouvelables s'intègrent dans leur environnement local, mais je pense que la priorité pour nous, c'est vraiment d'avancer ; le nous étant Engie mais aussi la France et l'Europe", a conclu le dirigeant, dont le groupe est désormais un acteur important des énergies renouvelables. La candidate d'extrême droite et finaliste de l'élection présidentielle propose dans son programme "un moratoire sur la construction de toute nouvelle éolienne, sur terre ou mer", tandis que leur démantèlement serait "engagé progressivement".
Il y a 3 ans et 25 jours

Journée de la Terre : selon une nouvelle étude, 1 Français sur 5 est climatosceptique

Dans le même temps, l’environnement, supposé être l’une des préoccupations majeures des Français (sondage Elabe), n’a été que peu abordé dans le cadre des débats à la Présidentielle. Si certains experts évoquent une forme de déni collectif sur le sujet, d’autres une méconnaissance persistante ou encore un enjeu tellement intériorisé qu’il ne représenterait plus véritablement une bataille à mener, qu’en est-il réellement ? L’urgence climatique est-elle perçue comme telle par les Français ? Sont-ils prêts à changer ou pensent-ils qu’il est simplement trop tard et qu’il faudra « faire avec » ? Décryptage de l’étude OpinionWay réalisée pour PrimesEnergie.fr, principal financeur privé de la transition énergétique.« Nous entendons régulièrement une petite musique qui nous raconte que l’enjeu climatique est désormais intégré par le plus grand nombre, les résultats de l’étude nous montrent que ce n’est pas tout à fait vrai. Non seulement 1 Français sur 5 ne croit pas au réchauffement climatique, mais parmi les autres, la moitié ne semble pas prendre la mesure du défi qui nous attend », constate Nicolas Moulin, fondateur de PrimesEnergie.fr.« Une part significative des répondants ne fait pas de lien direct entre le dérèglement climatique et les thématiques sociales et pourtant, les périodes de sècheresse de plus en plus intense en France et dans le monde, comme actuellement dans l'Ouest des Etats-Unis, vont avoir des conséquences directes sur la production alimentaire et donc générer ou renforcer une inflation préexistante. Opposer la lutte pour le climat aux enjeux sociaux est un contresens total, le niveau de réchauffement sur lequel nous pouvons agir aujourd’hui va totalement conditionner l’ensemble des autres sujets jugés plus prioritaires par la majorité des Français ».1 Français sur 5 est climatosceptique21% des Français sont climatosceptiques avec des différences très sensibles selon la région et l’âge.Les habitants du Sud-Est, particulièrement confrontés à des phénomènes météorologiques extrêmes ne sont « que » 18% à ne pas croire au réchauffement climatique. Une proportion qui monte à 26% soit plus d’1 Français sur 4 dans le Nord-Ouest du pays.Les plus climatosceptiques (25%) vivent dans des communes de 2 000 à 20 000 habitants contre 20% dans les zones rurales et 18% en région parisienne. Le critère de l’âge est le plus déterminant avec des écarts de 15 points entre les plus climatosceptiques (29% des 35-49 ans) et les moins climatosceptiques (14% des + de 65 ans). En revanche pas de différence significative entre les femmes et les hommes (respectivement 21% et 20%).Conflit générationnel ?Si une majorité de Français (79%) ne doutent pas du réchauffement du climat, ils sont toutefois 63% à considérer qu’il y a des sujets plus prioritaires (emploi, sécurité, pouvoir d’achat, santé). A nouveau, le critère le plus déterminant pour observer des différences de perception est générationnel avec 71% des 35-49 ans qui considèrent que d’autres sujets sont prioritaires contre 52% des 18-25 ans, soit près de 20 points d’écart.Lutter pour le climat… sans changer nos modes de vie ?Par ailleurs, 75% considèrent qu’il est possible de concilier lutte pour le climat, croissance économique et mode de vie des pays développés en réalisant des économies d’énergie. A nouveau, les 35-49 ans sont les plus enclins à penser cela possible (81% contre 70% chez 25-34 ans et chez les 50 – 64 ans).Dans le même temps, près de la moitié des Français (47% des personnes interrogées) pensent qu’il est trop tard pour inverser le cours du réchauffement climatique et même 57% pour les 35-49 ans.A contrario, 44% des jeunes de 18 à 24 ans et seulement 39% des + de 65 ans pensent qu’il est trop tard. Les plus jeunes et les plus anciens se rejoignent dans une forme d’optimisme.Méthodologie : étude et analyse réalisée au 1er trimestre 2022 par OpinionWay auprès d’un échantillon de 1022 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
Il y a 3 ans et 25 jours

Présidentielles : qui est le plus eco-responsable ?

En chiffrant le poids carbone de chaque mesure, elle fait apparaître l’influence déterminante du choix pro-nucléaire des candidats, et les lacunes de Marine Le Pen dans les autres domaines. Son choix de privilégier le pouvoir d’achat n'intègre pas l’impératif de décarbonation.En matière d’énergie nucléaire, les deux candidats font le choix de nouveaux réacteurs pour accélérer la décarbonation, avec un léger avantage pour Marine Le Pen: le programme d'Emmanuel Macron prévoit 6 nouveaux réacteurs pour économiser 32 Mt CO2 éq par an, soit de 7% de l’empreinte totale de la France, contre 10 nouveaux réacteurs pour Marine Le Pen, et une économie potentielle 54 Mt CO2 éq par an, soit 12% de l’empreinte nationale annuelle une fois les centrales actives.En matière de renouvelables, Marine Le Pen recule sur les éoliennes, avec un excès potentiel de 6 Mt CO2 éq de plus par an, soit 1,5% de l’empreinte nationale annuelle, alors qu'Emmanuel Macron propose de poursuivre leur développement.En matière d’énergies fossiles, Emmanuel Macron propose la fin du charbon, pour une économie potentielle de 14 Mt CO2 éq par an, ce qui représente 3,2% de l’empreinte nationale annuelle. Marine Le Pen ne s’engage pas.Pour décarboner l’industrie, Emmanuel Macron propose un investissement de plus de 5 milliards d’euros, qui ferait économiser 5 Mt CO2 éq, soit 1,1% de l’empreinte carbone annuelle. Mme Le Pen ne se prononce pas sur le sujet.Pour réduire les émissions des transports, Emmanuel Macron et Marine Le Pen souhaitent développer les technologies hydrogène. Cette dernière propose de remonter la limite de vitesse à 90 km/h, ce qui engendrerait des émissions estimées à 0,4 Mt CO2 éq, soit 0,1% de l’empreinte carbone annuelle de la France.En matière de logement, les deux programmes manquent de précision pour bien chiffrer l’impact, même si Emmanuel Macron avance plus d'objectifs sur la rénovation des logements, et que Marine Le Pen évoque simplement un prêt d’aide à la rénovation.Pour Alexis Normand, CEO de Greenly : "La campagne présidentielle est encore une occasion manquée de sensibiliser les Français aux enjeux climatiques qui assombrissent pourtant leur avenir. Dans son sixième rapport paru le 4 avril 2022, le GIEC a présenté une feuille de route complète des actions à mettre en œuvre dès à présent, pour limiter efficacement le réchauffement à 1.5° degrés."Malgré la clarté des propositions et l’urgence, les discussions sur le climat n’ont représenté que 2,7% du temps de parole des candidats. Stratégie délibérée ou faible niveau de conscience, les candidats n’ont pas souhaité utiliser ce temps de débat privilégié pour sensibiliser leurs électeurs. Il ne reste que peu d’études qui ont tenté d’évaluer l’impact climatique des propositions des candidats.Pour Alexis Normand, CEO de Greenly : "Les experts climats de Greenly ont souhaité pallier ce manque d’information en chiffrant les propositions des candidats du second tour. L’étude mesure l’impact des propositions des candidats par secteur, au regard de la trajectoire sectorielle prescrites par GIEC et des recommandations."Le GIEC évoque une fenêtre de tir de trois ans pour agir avant que l’objectif des 1.5° devienne inatteignable. Les programmes des candidats sont-ils de taille pour affronter le problème majeur de ce siècle ?MéthodologieCet exercice de chiffrage s’est concentré sur les propositions les plus précises, en donnant des ordres de grandeur étayés par des hypothèses scientifiques, sur l’impact estimé pour chacun des secteurs les plus émissifs : Énergie, Industrie, Transports, Construction/Logements.
Il y a 3 ans et 26 jours

Hydrogène vert : 10 milliards d’euros de retombées économiques en France d’ici à 2030 pour les fabricants de matériel électrique

Avec l’étude de marché du GIMELEC, le syndicat professionnel de la filière électronumérique, publiée le 14 avril, Le potentiel économique colossal que l’hydrogène décarboné représente en France est maintenant connu, évalué jusqu’à 10 milliards d’euros cumulés d’ici 2030 pour les fabricants de matériel électrique et d’automatismes, dont une grande partie de PME et d’ETI.Pour Rodolphe de BEAUFORT, Délégué général adjoint du GIMELEC : « L’hydrogène est déjà massivement utilisé dans l’industrie sous sa forme dite grise, c’est-à-dire produite à partir d’énergies fossiles. Il y a aujourd’hui un véritable regain d’intérêt pour le substituer par sa forme verte, ou décarbonée, conséquence collatérale de l’explosion du prix du gaz liée à la guerre en Ukraine. On entend beaucoup parler de l’hydrogène pour son usage dans les transports, des voitures aux trains en passant par l’aviation légère. L’étude du GIMELEC montre quant à elle que la performance environnementale et énergétique de l’hydrogène se joue surtout et d’abord dans l’industrie. C’est là, à court terme, dans les usines sidérurgiques, chimiques et de raffinage qu’il permet le plus fort gain en termes de décarbonation. On parle de 11 millions de tonnes de CO2 pouvant être évitées chaque année soit 15% des émissions de l’industrie. » Plusieurs Gigafactories d’électrolyseurs s’apprêtent à sortir de terre en France : Aspach (2022), Béziers (2023), Belfort (2024), et Vendôme (2025). Elles devront répondre aux besoins qui vont exploser d’ici 2030. L’étude du GIMELEC confirme le potentiel d’environ 6,5 GW d’électrolyseurs à installer d’ici 2030 en France, puis 18 GW sur la décennie suivante. Ces potentiels, ventilés sur les sept principales régions industrielles du pays, font ressortir le défi de construction des infrastructures nécessaires. Ce potentiel devrait être repris dans la prochaine Stratégie Nationale Bas Carbone afin que la France se mobilise pour la décarbonation de son industrie puis la promotion des alternatives de mobilité propre, en complément de l’électrification directe. La réussite de la stratégie hydrogène de la France dépendra en grande partie de la mobilisation des acteurs industriels, constructeurs de matériel électrique et d’infrastructures, pour coordonner leurs efforts et répondre ainsi à la croissance exponentielle de ce marché. Cela est d’autant plus nécessaire que la concurrence internationale se met en place, notamment dans les pays asiatiques.Pour Rodolphe de BEAUFORT, Délégué général adjoint du GIMELEC : « Oui, nous identifions un potentiel en forte croissance atteignant, dès 2030, 3 milliards d’euros par an de retombées économiques pour les fabricants de matériel électrique en France. Oui, il y aura des recrutements massifs, en particulier dans les territoires où se concentreront les efforts de développement de l’hydrogène, en Méditerranée et dans la Vallée de la Seine, mais aussi partout sur le territoire national et européen, notamment dans les usines de composants électrotechniques qui sont à la base de ces nouvelles infrastructures énergétiques. Mais il faut pour cela que tout l’écosystème industriel travaille de concert. C’est tout l’objet du groupe hydrogène constitué par le GIMELEC à l’issue de son étude : fédérer les offreurs de technologies au service du développement des capacités industrielles et de la compétitivité de ce secteur. »
Il y a 3 ans et 26 jours

Le verre à occultation commandée Priva-Lite dans la Tour Saint-Gobain

Ce verre de haute technologie est utilisé pour gérer des espaces de confidentialité en un instant. Il est logiquement utilisé par des grands groupes pour créer des bureaux plus flexibles, ou par des hôpitaux qui souhaitent transformer les espaces des patients, et ainsi gagner en intimité.
Il y a 3 ans et 26 jours

Rencontre de l'aluminium Technal, du bois et du béton pour une maison familiale à Fontcouverte (17)

L’agence FÉLIX BIRON ARCHITECTE a travaillé avec l’ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL BIRON SAS afin de faire pénétrer généreusement la lumière naturelle et profiter des différentes vues dans toutes les pièces de l’habitation. Une collaboration père/fils en toute confiance, qui a permis de réaliser des ouvertures en aluminium TECHNAL à la fois architecturales, épurées et aux détails complexes : baies coulissantes XXL ou à galandage double, fenêtres et portes sur pivot désaxé...Ce projet minimaliste, qui fait l’éloge du minéral et du végétal, a reçu le Prix HABITER LOGEMENTS INDIVIDUELS lors du dernier PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL organisé en décembre 2021. La couleur gris métal givré TECHNAL des menuiseries aluminium rappelle celle du bois de l’enveloppe.Ouvertures architecturales du rez-de-chausséeLes occupants entrent sous un volume en bois, porté par deux murs monolithiques en béton. Cette séquence est mise en valeur par une porte d’entrée SOLEAL sur pivot désaxé (L. 1,4 x H. 2,6 m), qui offre une emprise visuelle minimale sur ces deux murs. Les occupants semblent glisser dans la maison à travers cette ouverture !Dans toute sa largeur, le salon s'ouvre sur le jardin au travers d’une baie coulissante LUMEAL qui s’étire sur 15 m (6 vantaux). Son orientation plein Sud maximise les apports de lumière. À ouvrant caché, elle est naturellement anti-effraction. Un gage de sécurité optimal ! Des brise-soleil en bois créent de l’ombre et participent au contrôle de la chaleur.Ouvertures architecturales à l'étageEn empruntant l'escalier, une diagonale visuelle se dessine au travers d'une grande fenêtre carrée SOLEAL 65 (L. 1,9 x H. 1,9 m). Une fois à l'étage, cette ouverture originale sur pivot offre un cadrage intimiste sur la falaise.Une large circulation, baignée d'une lumière zénithale, accueille bureaux et rangements. Elle dessert les trois chambres des enfants, ouvertes sur l’extérieur grâce à des coulissants à galandage double SOLEAL. Ces baies spécifiques permettent de créer à la fois une ouverture et un système d’occultation à l’intérieur. Leur retrait d’un mètre, par rapport à la façade, protège des rayons du soleil et facilite l’intégration de rangements dans l’épaisseur du mur.
Il y a 3 ans et 26 jours

Fundo Ligno et Fundo RioLigno, deux receveurs Wedi pour intégration en plancher bois

Comme tous les produits wedi, le Fundo Ligno et le Fundo RioLigno sont 100% étanches, fiables, testés et certifiés. En tant qu’expert de l’étanchéité, wedi ne fait aucune différence technique entre l’installation d’un receveur sur béton ou sur un plancher bois et propose deux produits dédiés zéro ressaut !La construction bois est actuellement favorisée par un cadre réglementaire, la RE2020, qui vise à diminuer l’impact carbone des bâtiments tout en poursuivant l’amélioration de leur performance énergétique. Pourtant, il est complexe de faire viser auprès du CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) et des assureurs, des systèmes de douches sur supports bois, alors que dans le même temps, les majors de la construction intègrent de plus en plus le bois dans leurs projets.Pour répondre à ces évolutions réglementaires et à ce besoin, les industriels doivent à la fois bien sûr, développer des solutions adaptées mais aussi tenter d’apporter des garanties. C’est le cas de wedi dont tous les produits sont compatibles sur supports béton ou bois.En développant deux solutions spéciales bois, le constructeur a la volonté de contrer les idées reçues sur ce matériau, de valoriser l’installation de douches en et sur structures en bois et d’accompagner les professionnels du secteur en apportant son expertise et ses garanties propres.Le contexte règlementaireLe bois est fortement plébiscité sur le marché de la construction. Au-delà de ses vertus esthétiques qui rappellent la nature, le bois est un matériau biosourcé reconnu pour son empreinte carbone extrêmement performante.L’utilisation du bois est en pleine croissance dans la construction de bâtiments publics et de logements individuels puisqu’il confère un excellent bilan carbone. D’ailleurs, des majors du bâtiment prennent en compte la pertinence de ce matériau, comme Bouygues notamment avec sa filiale WeWood qui annonce la construction de 30% de logements en bois pour 2024 dans leurs opérations.Aujourd’hui, la problématique des ouvrages en bois réside dans leur assurabilité. Le CSTB, les contrôleurs techniques et les assureurs sont assez méfiants face à l’étanchéité des salles d’eau sur support bois. Ils craignent qu’en cas de dégâts des eaux, la fuite touche la structure en bois de l’ouvrage et que les dommages deviennent alors plus graves que sur support béton.A cela s’ajoute un autre frein : la question du zéro ressaut. Depuis le 1er juillet 2021, les logements neufs doivent obligatoirement être équipés d’une douche zéro ressaut, mesure qui renforce la crainte d’une salle de bain sinistrée.Pour wedi, le zéro ressaut n’a jamais posé de problème étant donné la maitrise acquise depuis de très nombreuses années sur ces procédés, partout en Europe et en Amérique du nord. De plus, l’expertise wedi réside dans la maitrise de l’étanchéité et la fiabilité de ses systèmes garantie au minimum 10 ans.Le spécialiste de la salle de bain souhaite rassurer les profes-sionnels et installateurs de douches en proposant des systèmes complets parfaitement compatibles entre eux qui permettent de réaliser intégralement des salles de bains zéro ressaut, 100% étanches.Les majors font confiance à wedi dans le cadre de constructions bois. Ils s’appuient sur le savoir-faire de l’entreprise, l’accompagnement du responsable technique wedi et sur leurs bureaux de contrôle qui échangent avec le service technique avant de réaliser chaque projet. C’est notamment le cas du groupe Leco, spécialiste de la conception et de la construction modulaire en bois.Xavier Jaffray, Président du groupe Leco, revient sur son partenariat avec wedi : « Avoir wedi comme partenaire est essentiel pour la recherche et le développement. Avec l’accord des bureaux de contrôle, nous avons pu réaliser avec wedi plusieurs opérations sur des planchers en bois. Cela n’a été possible que parce qu’on avait pu définir ensemble un cadre de validation réglementaire des processus. La solution wedi est plus qualitative que des douches normales. En règle générale on la met en oeuvre quand on veut monter en gamme tout en répondant à des contraintes réglementaires. »Christophe Gay, Kasteliades, témoigne également de son choix des solutions wedi dans son activité, la rénovation de châteaux pour en faire des résidences de vacances haut de gamme. « Les solutions wedi sont parfaitement adaptées à nos besoins, que ce soit pour la mise en oeuvre facile ou pour la garantie d’étanchéité ! » « …dans les châteaux on retrouve souvent du parquet dans l’intégralité des pièces. On ne peut donc pas se permettre d’utiliser un joint qui ne serait pas fiable dans le temps et se retrouver face à une inondation des parquets et des étages inférieurs où se trouvent des fresques de plus de 200 ans. »Des produits wedi adaptés aux constructions en boisLes receveurs Fundo Ligno et RioLigno ont été développés pour faciliter l’intégration de receveurs dans les planchers bois, en affleurement, supprimant ainsi les travaux de réajustement.L’installateur gagne ainsi un temps considérable et doit simplement découper la zone de plancher nécessaire pour mettre en oeuvre le receveur. Par ailleurs, les deux produits sont 100% étanches ce qui leur permet de s’adapter aux planchers en bois, supports sensibles à l’humidité. Tous les receveurs wedi sont soumis à des tests d’étanchéité en usine ce qui leur confère une haute fiabilité. Ils sont également entièrement compatibles avec les produits de la gamme wedi ce qui leur confère un réel avantage.Le Fundo LignoLa gamme de receveurs de douche de plain-pied Fundo Ligno, avec écoulement classique en un point, est dédiée au montage sur plancher bois, qu’il s’agisse d’un chantier neuf ou en rénovation.Avec 20 mm d’épaisseur, il s’intègre parfaitement au plancher bois, évitant ainsi les travaux de ragréage.Garanti 100% étanche, il assure une fiabilité digne de l‘expertise wedi.Disponible en version carré et rectangulaire, il s’adapte à tous les designs.Le Fundo RioLignoComme le Fundo Ligno, le Fundo RioLigno rectangulaire avec écoulement linéaire a été conçu pour être installé sur plancher bois.Proposé sous plusieurs dimensions, le receveur mesure 25 mm de hauteur ce qui lui permet de s’intégrer facilement au plancher existant.Par ailleurs, le Fundo RioLigno est compatible avec les barrettes de finition ainsi qu’avec les profilés de pente de la gamme wedi.Filière bois : un marché complexe en FranceD’une manière générale, la construction bois est traversée par des enjeux contradictoires. D’un côté, elle est fortement encouragée par la stratégie de décarbonation engagée en réponse à la situation climatique. De l’autre, elle engendre des craintes sur le plan assurantiel.Aujourd’hui, de nouveaux acteurs sont appelés à intervenir sur le marché de la construction bois, tant au niveau du gros oeuvre que des corps d’état secondaires. Habitués aux structures en béton ou maçonnées, ils doivent acquérir une nouvelle expérience et se former à la manipulation du bois.En effet, le bois est évidemment plus sensible à l’humidité que le béton. Pour autant, les acteurs de la filière rappellent qu’en Amérique du Nord, dans les pays nordiques, le bois est depuis longtemps admis dans les constructions. Les assureurs et contrôleurs français quant à eux restent préoccupés par les coûts d’assurabilité, les pratiques de constructions bois et les questions d’étanchéité.Autant d’interrogations qui amènent à l’élaboration, la révision ou la simple adaptation des règles et référentiels susceptibles à la fois de conforter et sécuriser la construction bois.
Il y a 3 ans et 26 jours

Altarea se mobilise pour les réfugiés ukrainiens

Les collaborateurs du groupe Altarea sont mobilisé pour venir en aide aux réfugiés ukrainiens, en menant deux types d’actions avec des associations à vocation humanitaire :Un partenariat a été initié avec le Secours Populaire français afin de récolter des dons financiers des collaborateurs, chaque euro versé étant doublé par l’entreprise. Des collectes de produits de première nécessité et de vêtements ont également été initiés par des collaborateurs, au sein du siège parisien du Groupe et dans les filiales régionales, afin d’être envoyés en Ukraine.Par ailleurs, dans le cadre du partenariat avec Habitat & Humanisme, nous proposons d’accueillir environ 30 familles de réfugiés ukrainiens dans certaines de nos résidences seniors Cogedim Club, où nous avons des disponibilités. Des appartements « prêts à vivre » sont mis à disposition des familles arrivant en Ile-de-France ainsi qu’en régions. Les premières familles sont attendues dans nos résidences de Lyon, Marseille et Thonon-les-Bains.Pour Jacques Ehrmann, Directeur Général Groupe, Altarea : « Un véritable élan de solidarité est né au sein du Groupe avec la volonté de soutenir les populations civiles ukrainiennes. Je remercie les collaborateurs qui se sont spontanément manifestés pour participer à cette mobilisation citoyenne, notamment les équipes de Cogedim Club qui sont en train de mettre en œuvre les conditions d’accueil de familles de réfugiés ukrainiens au sein de certaines de leurs résidences. Je remercie également le Secours Populaire français et Habitat & Humanisme qui, à travers leurs cellules d’urgence, rendent ces aides possibles et accompagnent celles et ceux que la guerre a fait fuir. Nous sommes à leurs côtés pour trouver des solutions en conjuguant mobilisation et action. »
Il y a 3 ans et 26 jours

Le Mur Manteau appelle le gouvernement à soutenir la filière de l'ITE

Malgré l'augmentation des aides MaPrimesRénov' pour favoriser l'installation de nouveaux systèmes de chauffage, l'indépendance énergétique et la lutte contre le changement climatique doivent passer par une réduction importante et surtout structurelle de la consommation électrique en France.Un soutien à l'isolation globale et performante permettrait de diminuer les besoins énergétiques des bâtiments et d'éliminer sur la durée la dépendance énergétique de la France vis-à-vis des hydrocarbures russes.Le Groupement du Mur Manteau attend donc du gouvernement, en complément des mesures encourageant à l'installation d'un système de chauffage, un soutien aux Travaux d'Isolation Thermique par l'Extérieur (ITE). Les aides pour tous les ménages et plus particulièrement les plus modestes ont en effet fortement baissé.Barbara Pompili mettait récemment en avant que "la solution [à la crise actuelle] n'est pas de ralentir la transition écologique mais de l'accélerer". Dans cette optique, le Mur Manteau encourage le gouvernement à soutenir la filière de l'isolation thermique par l'extérieur, une filière stratégique et créatrice d'emplois locaux et impossibles à délocaliser.
Il y a 3 ans et 26 jours

Biden rétablit des études d'impact environnemental restreintes par Trump

L'annonce concerne une loi, le National Environmental Policy Act (NEPA), selon laquelle tout projet de construction majeur aux Etats-Unis – autoroutes, oléoducs... -- doit être précédé d'une étude d'impact environnemental, menée par l'agence fédérale compétente.En 2020, le gouvernement du président républicain Donald Trump avait limité son application, notamment la nécessité de prendre en compte les impacts "cumulatifs" d'un projet (comme la contribution au changement climatique), arguant que ces études étaient trop complexes et prenaient trop de temps.L'administration Biden, qui depuis qu'elle est au pouvoir est revenue sur de nombreuses décisions environnementales prises par M. Trump, a ainsi choisi de rétablir les règles antérieures.Les agences fédérales devront à nouveau évaluer les conséquences "directes, indirectes et cumulatives d'une action", a écrit le Council on Environmental Quality (CEQ) de la Maison Blanche dans un communiqué. Cela inclut d'évaluer "de façon complète les impacts sur le changement climatique", ainsi que "la pollution supplémentaire relâchée pour des quartiers déjà accablés par un air pollué ou une eau sale", précise-t-il.Les agences fédérales pourront également de nouveau étudier des "approches alternatives susceptibles de minimiser le coût environnemental et de santé publique", en concertation avec les populations locales.La Maison Blanche promet que cela n'entraînera pas de délais supplémentaires pour les projets de construction à l'étude. Cette mesure va "aider à ce que les projets soient construits de la bonne manière dès le départ", a déclaré Brenda Mallory, à la tête du CEQ, citée dans le communiqué.Le gouvernement démocrate a également indiqué qu'il proposerait "dans les prochains mois" des changements supplémentaires pour cette loi. Ces derniers devront intervenir "le plus vite possible" et être "les plus forts possibles", a commenté Leslie Fields de l'ONG environnementale Sierra Club, tout en se félicitant que cette "protection environnementale de base" soit désormais rétablie.L'annonce du gouvernement est "un pas en avant essentiel", a abondé Abigail Dillen, de l'association Earthjustice, mais "l'administration Biden ne peut pas s'arrêter là."Le gouvernement de Joe Biden, qui a fait de la lutte contre le changement climatique une de ses priorités, s'est notamment attiré ces derniers jours les vives critiques des associations environnementales, après l'annonce de la reprise des ventes de concessions pour l'exploitation d'hydrocarbures sur les terres fédérales.
Il y a 3 ans et 26 jours

"Biens mal acquis" au Gabon : premières mises en examen en France d'enfants d'Omar Bongo

Entre le 25 mars et le 5 avril, le juge financier Dominique Blanc a successivement mis en examen Grâce (58 ans), Betty (55), Arthur (51) puis Hermine Bongo (53), pour recel de détournement de fonds publics, de corruption active et passive et d'abus de biens sociaux, selon des éléments obtenus par l'AFP.La justice française soupçonne en effet plusieurs membres de la famille Bongo, d'Omar le défunt père à Ali, le fils et actuel président, en passant par la fille Pascaline, d'avoir "sciemment" bénéficié d'un important patrimoine immobilier "frauduleusement" acquis par le patriarche et dont la valeur a récemment été évaluée par la justice "à au moins 85 millions d'euros".Les quatre enfants mis en examen de celui qui fut président du Gabon de 1967 à sa mort en 2009 ont tous contesté devant le juge avoir conscience de cette origine frauduleuse.Après la mise en examen de la BNP en mai 2021, ces mises en cause marquent une nouvelle accélération dans cette enquête difficile et au long cours, déclenchée après une plainte en mars 2007.D'autres enfants, parmi les 54 de l'ex-allié historique de la France, pourraient suivre.Contacté par l'AFP, Jessye Ella Ekogha, porte-parole de la présidence gabonaise, n'a pas fait de commentaire.Dans ce dossier des biens mal acquis, outre les enfants Bongo et la BNP Paribas, sont poursuivies quatorze autres personnes physiques dont des membres de la famille du président congolais Denis Sassou Nguesso et plusieurs Français parmi lesquels un avocat, un notaire, une gérante de société civile immobilière (SCI), etc.Avocate de Grâce Bongo, Me Elise Arfi a dénoncé une mise en examen "scandaleuse" qui crée "de l'insécurité juridique", "25 ans" après l'acquisition des biens. "Le chapitre famille Bongo qui s'est ouvert va se poursuivre", a commenté Me William Bourdon, avocat de l'association Transparency International France, partie civile dans ce dossier. "La procédure enseigne maintenant à quel point les biens français n'ont pu être mal acquis que grâce au concours des ingénieurs du chiffre et du droit", a-t-il ajouté.
Il y a 3 ans et 26 jours

Le Département de la Seine-Saint-Denis renforce sa politique de l'arbre

À cette occasion, un coup d'accélérateur de ce plan a été donné, avec la poursuite de la signature de la charte d'engagement pour les arbres du territoire et le lancement de l'appel à projets « Forêt Urbaine ».En 2020, le Département de la Seine-Saint-Denis a voté un plan d'investissement de 60 millions d'euros, le « plan Canopée », avec pour objectif principal de faire passer la couverture arborée du territoire de 16% à 20% d'ici 2030, et de planter 30.000 arbres. Ce plan vise également à protéger le patrimoine arboré existant tout en mobilisant et en sensibilisant la population aux enjeux environnementaux.Un premier bilan depuis le lancement du plan CanopéeDepuis 2020, 16.000 arbres ont été plantés par le Département, le long des routes départementales, dans les crèches ou encore dans les collèges, avec notamment la création de trois cours oasis, mais aussi dans les parcs, comme celui de la Fosse Maussoin à Clichy-sous-Bois, où poussent 10.000 nouveaux plants. De premières forêts urbaines ont également été créées, comme à Sevran ou Epinay-sur-Seine.Aujourd'hui, le Département compte 96 essences différentes – contre 55 en 2019 – davantage adaptées aux changements climatiques. 45% sont des espèces indigènes, contre 33% en 2019. Les plantations réalisées ont permis de créer 14 ha de couverture arborée moyenne supplémentaire (arbres à l'âge adulte) et de désimperméabiliser 7.632 m².Une charte d'engagement pour les arbres de la Seine-Saint-DenisAfin d'associer et de sensibiliser les partenaires du territoire, du public comme du privé, aux enjeux environnementaux et sociaux que représente la place de l'arbre en ville, le Département a décliné les objectifs de son plan Canopée au travers d'une charte. En la signant, les collectivités territoriales, les bailleurs, les grands propriétaires fonciers, les aménageurs ou encore les associations, s'engagent à poursuivre les 3 principales ambitions du plan Canopée : Développer le patrimoine arboré du Département, le protéger et mobiliser pour sa préservation et son accroissement.Le mardi 19 avril à la Maison du Parc Jean-Moulin Les-Guilands, 11 actrices et acteurs ont signé cette charte : L'EPT Plaine Commune ; les villes de Montreuil, Ile-Saint-Denis et Bagnolet ; l'Union nationale des entreprises du paysage ; les associations Nature and Us, Sens de l'humus, Ferme du Sausset, Environnement 93, Fruits défendus et ANIMA. Elles et ils rejoignent les six précédent·e·s signataires : les villes de La Courneuve, Saint-Denis et Noisy-le-Sec, Seine-Saint-Denis Habitat, Séquano Aménagement et l'association Halage.Un appel à projets pour la création de forêts urbainesAfin d'aider les collectivités territoriales de Seine-Saint-Denis à valoriser leur foncier en développant leur patrimoine arboré, le Département lance cette année son appel à projets « Forêt Urbaine ».Les lauréat·e·s pourront bénéficier :d'un soutien financier de 35.000 € maximum par projet de forêt urbained'un appui technique pour la conduite de leur opération : mise à disposition du Guide Technique Canopée ; accompagnement méthodologique pour le lancement des études préalables, la conception et la mise en place du projetd'un appui à la valorisation de leur projetPour cette première édition, deux à trois projets de forêts urbaines seront soutenus. Les candidatures peuvent être déposées dès à présent et jusqu'au 3 juin 2022. Les projets lauréats seront révélés au mois de juillet.Pour Stéphane Troussel, Président du Département de la Seine-Saint-Denis: "Alors que la crise sanitaire a mis en lumière le besoin pressant de redonner plus de place à la nature en ville, le Département s'est engagé dans un effort exceptionnel et durable de développement et de préservation de son patrimoine arboré, mais également de plantation d'essences nouvelles, adaptées aux bouleversement climatiques annoncés. Nous ne pourrons atteindre ces ambitieux objectifs seul·e·s. Avec Belaïde Bedreddine, Vice-président chargé de l'écologie urbaine, nous tenons donc à remercier l'ensemble des partenaires, du public comme du privé, de plus en plus nombreux·ses à s'engager à nos côtés pour créer une véritable politique départementale de l'arbre en Seine-Saint-Denis et améliorer le cadre de vie des habitant·e·s."
Il y a 3 ans et 26 jours

Le Livret A a engrangé 3 milliards d'euros nets en mars

C'est peu ou prou le résultat de février dernier (2,94 milliards) ou de mars 2021 (2,8 milliards).Le Livret de développement durable et solidaire a pour sa part engrangé 650 millions d'euros nets, soit un peu plus que les 540 millions de février, mais moins que les 870 millions de mars 2021.Au total, le surplus de dépôts du Livret A et du LDDS a totalisé 3,67 milliards d'euros sur le mois, exactement comme en mars 2021, soit un encours total sur les deux produits de 483,6 milliards d'euros à fin mars.Et sur le trimestre, les deux livrets ont engrangé près de 14 milliards d'euros nets, contre 14,6 milliards à la même période l'année dernière et un peu moins de 10 milliards les années précédentes, signe que les Français n'ont pas relâché leurs efforts d'épargne.L'une des explications de la persistance de l'attrait du Livret A pourrait être le doublement du taux d'intérêt, passé de 0,5% à 1% au 1er février. Cette hausse, la première en plus de dix ans, a également concerné le LDDS.Géré conjointement par la Caisse des dépôts et les réseaux bancaires, le Livret A sert essentiellement à financer le logement social, tandis que le LDDS est dédié à l'économie sociale et solidaire ainsi qu'aux économies d'énergie dans les logements.Ils sont souvent considérés comme des placements refuge. L'année dernière, les Français ont déposé 15,17 milliards d'euros de plus qu'ils n'en ont retiré sur leurs Livrets A, et 3,94 milliards d'euros sur leurs LDDS.
Il y a 3 ans et 26 jours

Débat de l'entre deux-tours 2022 : les mesures de Marine Le Pen et Emmanuel Macron qui concernent le BTP

Écologie et rénovation énergétiqueLe premier point sur lequel le ton est monté lors du débat est la question des énergies renouvelables. Emmanuel Macron souhaite continuer à miser sur le développement des panneaux photovoltaïques et des éoliennes, tout particulièrement offshore, en maintenant et améliorant le nucléaire le temps que les énergies renouvelables prennent plus d'ampleur dans la consommation énergétique française.Le candidat-président compte également réduire les besoins du pays en accélérant la rénovation énergétique avec le dispositif MaPrimeRénov'. Il veut ainsi doubler le nombre de logements rénovés en passant à 700.000 logements rénovés chaque année s'il est réélu.Il a également confirmé vouloir créer une prime pour aider les seniors à aménager leur logement basée sur MaPrimeRénov' afin de leur permettre d'éviter les EHPAD et intitulée MaPrimeAdapt'.Emmanuel Macron souhaite maintenir le bouclier tarifaire sur le prix des énergies le temps de la crise, après laquelle il ne subventionnera plus le pétrole et les énergies fossiles pour à la place reverser ces subventions sous forme d'aides à la rénovation énergétique des logements français.Marine Le Pen, accusée par son concurrent d'être « climato-sceptique », souhaite diminuer la TVA sur les produits énergétiques fossiles pour soulager les ménages et favoriser le pouvoir d'achat. Elle veut également sortir du marché européen de l'électricité qu'elle considère comme source de l'augmentation du prix de l'énergie et à la place laissé l'État réguler les prix.Elle est aussi contre le blocage des importations de gaz russe en raison des retombées néfastes que cela engendre sur les particuliers et les entreprises.Elle affirme également sa volonté de s'opposer aux éoliennes terrestres car, selon elle, cette source d'énergie s'avère trop incertaine puisque basée sur la présence ou non de vent pour alimenter les turbines, trop dérangeante pour ceux habitant à proximité en évoquant des « troubles anormaux du voisinage » et que quand les éoliennes ne tournent pas « il faut avoir recours au charbon », ce qui contrecarre l'intérêt écologique des éoliennes. Elle souhaite donc démonter les éoliennes incriminées et organiser des référendums pour décider du sort des autres projets éoliens.La candidate du Rassemblement National juge aussi que le modèle économique de libre-échange est grandement responsable des émissions de gaz à effet de serre car « les importations en représentent 50% ». Elle privilégierait un modèle basé sur la production locale autant que possible en passant par une réindustrialisation afin de permettre une plus grande indépendance française et une forme de « patriotisme économique ».Le rythme de la transition écologique dicté par Emmanuel Macron est également remis en question par Marine Le Pen. Elle dénonce une « politique écologique punitive » pour les ménages n'allant pas assez vite dans leur transition écologique avec notamment les restes à charge importants lors de travaux de rénovation énergétique d'un logement ou encore la décision d'interdire l'installation de nouvelles chaudières au fioul malgré le fait que certains ménages n'auraient « pas les moyens de faire autrement ». Les Zones à Faibles Émissions ont également été critiquées par Marine Le Pen, dénonçant une inégalité pour les ménages ne pouvant pas investir dans un véhicule électrique ou peu polluant mais qui habitent dans une ZFE.Travail et retraiteMarine Le Pen a annoncé vouloir s'assurer que les charges sociales de travailleurs détachés en France soient payées en France. Le fait que ces charges soient reversées dans le pays d'origine du travailleur est selon elle « une perte nette pour notre pays et crée une préférence étrangère à l'emploi dans un certain nombre de secteur ». Pour elle ce mécanisme provoque une asymétrie pour les entreprises n'ayant pas recours à des travailleurs détachés par rapport à celles y faisant appel.Pour Emmanuel Macron en revanche, sa politique menée jusqu'à présent à permis de réduire les fraudes et il s'estime satisfait d'avoir « changé les règles pour que soit respecté le principe « à travail égal salaire égal » concernant les travailleurs détachés. L'actuel président a également pointé du doigt le fait que faire payer en France les charges sociales des travailleurs détachés étrangers mais que ne pas appliquer ce même principe aux travailleurs français à l'étranger, c'est-à-dire « la préférence nationale à l'emploi », représenterait « la fin du marché commun du travail européen ».Le sujet des retraites a lui aussi montré le clivage entre les deux candidats. Marine Le Pen souhaite faire revenir la retraite à 60 ans ou 62 ans (40 à 42 annuités) afin que les français puissent profiter de celle-ci.Emmanuel Macron quant à lui maintient son intention de faire passer la retraire à 65 ans mais également de conserver les critères de pénibilité, qu'ils jugent fondamentaux dans le système des retraites, pour continuer de permettre à ceux qui ont exercé une profession difficile de partir plus tôt à la retraite.
Il y a 3 ans et 26 jours

Inflation et déficit : comment présider la France dans une économie menacée

"Incontestablement, nous allons devoir traverser des temps économiques plus difficiles. L'économie française avance sur une route devenue plus glissante", a prévenu dans l'entre-deux tours le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau.Alors que la croissance française a atteint 7% en 2021, une des plus importantes de la zone euro après la récession record de 8% de 2020, le paysage s'est assombri ces dernières semaines."On avait assez bien réussi en France la sortie de la crise du Covid-19, et même de manière surprenante", souligne Patrick Artus, chef économiste de Natixis, évoquant le faible nombre de faillites, un endettement des entreprises maîtrisé et la baisse du chômage.Mais la guerre en Ukraine a aggravé les perturbations des chaînes d'approvisionnement des entreprises, freinant l'activité dans l'industrie, et a renforcé une inflation (4,5% en mars) déjà importante du fait de la flambée des prix de l'énergie et des matières premières. "Le conflit vient encore affaiblir la croissance qui était en train de se tasser, avec une inflation qui grignote le pouvoir d'achat des ménages et érode les marges des entreprises", estime Emmanuel Jessua, économiste chez Rexecode, tablant sur une inflation autour de 4% cette année.Avec sans doute en perspective une "répercussion progressive" sur les salaires et les prix de vente, amenés à augmenter pour suivre le mouvement de hausse, ce qui va "encore alimenter l'inflation" dans les prochains mois, comme on l'observe déjà aux États-Unis, ajoute-t-il.Pour l'instant, l'économie française semble encore résister, avec une progression du PIB attendue à 0,25% au premier trimestre selon la Banque de France, et 0,3% selon l'Insee, mais les deux institutions se montrent beaucoup plus prudentes pour la suite.La guerre provoque "un choc de prix, d'incertitude et de confiance", a résumé mi-mars Julien Pouget, chef du département de la conjoncture à l'Insee. Ménages et entreprises montrent déjà des signes de pessimisme qui pourraient peser sur la consommation et sur l'investissement."Énorme problème" de finances publiques"Je pense qu'on va perdre 2 points de croissance cette année par rapport aux 4% qu'on pouvait escompter", estime Patrick Artus. Une moindre croissance à laquelle va s'ajouter une perte de pouvoir d'achat, qui frappera davantage les ménages les plus modestes, plus sensibles aux hausses des prix de l'énergie et des produits alimentaires.Le FMI a d'ailleurs abaissé mardi de 0,6 point à 2,9%, sa prévision pour la France.Comment, dans ce contexte, financer les investissements nécessaires pour la transition écologique, l'éducation, les compétences et la santé ? Et comment soutenir la réindustrialisation de la France alors que le déficit commercial a atteint des records ? C'est tout le défi du prochain quinquennat.Le ou la futur(e) président(e) de la République, devra sans doute muscler son action contre les effets du conflit, et en premier lieu l'inflation.Marine Le Pen propose notamment une baisse de la TVA, quand Emmanuel Macron promet par exemple une aide ciblée et une réévaluation des pensions de retraite à l'été prochain.Le tout dans un contexte budgétaire tendu, avec un déficit (6,5% fin 2021) et une dette gigantesques (112,9%) en sortie de crise sanitaire. "On a des programmes assez coûteux - même si celui d'Emmanuel Macron l'est beaucoup moins que celui de Marine Le Pen - et dont le financement n'est pas toujours explicite", pointe Emmanuel Jessua.Le président-candidat a chiffré le sien à environ 50 milliards d'euros, financé en partie par la réforme des retraites et l'atteinte du plein emploi, tandis que Marine Le Pen prévoit 68 milliards d'euros de dépenses, dont le financement prévu est mis en doute par la plupart des économistes."Quel que soit le candidat élu, de toute façon il aura un énorme problème de finances publiques et il ne faut pas croire qu'on pourra passer ça à la trappe", prévient Patrick Artus.Une situation d'autant plus inquiétante que pour faire face à l'inflation la Banque centrale européenne a ouvert la voie à un relèvement de ses taux d'intérêts, ce qui pourrait gripper encore davantage la croissance.
Il y a 3 ans et 27 jours

Les experts-comptables se mobilisent pour le pouvoir d’achat et font 100 propositions concrètes pour une France plus forte, juste et compétitive

Les experts-comptables sont au cœur de l’économie et au cœur de la société, ils sont des chefs d’entreprise au service des chefs d’entreprise : ils sont légitimes pour proposer et orienter les dirigeants.Aussi, les experts-comptables proposent donc de :Supprimer les cotisations sociales (hors retraite) des salaires et transférer le financement de la protection sociale par une hausse de la TVA et une micro-taxe sur les mouvements financiersAugmenter le pouvoir d’achat en exonérant de cotisations sociales (salariales et patronales) et d’impôts les heures supplémentaires et complémentaires. Cette mesure favoriserait à la fois le pouvoir d’achat des salariés et la capacité des entrepreneurs à assurer leur production malgré les difficultés de recrutementPérenniser la prime PEPA version 2021 exonérée de cotisations sociales et d’IR (intéressement simplifié pour les petites entreprises jusqu’à 50 salariés)Autoriser les déblocages exceptionnels de l’épargne salariale, sans conditions d’utilisationExonérer les dons d'argent pour l’acquisition d’un bien immobilier (achat, construction, investissement locatif...)Augmenter le montant des donations exonérées et réduire la durée des abattements. Par exemple : 150.000 euros tous les 12 ans (donation en nue-propriété) ou 300.000 euros tous les 6 ans (donation en pleine propriété).Le communiqué se conclut sur le fait que les experts-comptables souhaitent « Être acteurs plutôt que spectateurs, proposer plutôt que protester, construire plutôt que dénigrer... Fiers d’être experts-comptables ! ».Téléchargez les 100 propositions des experts-comptables.
Il y a 3 ans et 27 jours

WOLF lance la chaudière à gaz à condensation CGB-2-68/75/100

Se destinant particulièrement au secteur tertiaire, elle permet de répondre à des besoins intensifs d'utilisations, notamment grâce à son grand pouvoir thermique, une plage d'utilisation étendue et de meilleurs rendements…Dotée des dernières innovations technologiques, d'une capacité de contrôle de la régulation et de composants de qualité, le tout sans soupape de décharge… la chaudière CGB-2-68/75/100 se distingue sur son secteur !Efficace, elle allie robustesse et performanceLe contrôle intégré de la modulation maximise le rendement de la condensation en mode chauffage et minimise l'énergie électrique nécessaire. De plus, la plage de modulation extrêmement élevée à 1:6, peut être modulée jusqu'à 16% de la puissance nominale, ce qui est idéal pour les variations du besoin de puissance.Les matériaux utilisés assurent quant à eux une robustesse longue durée : le corps de chauffe en Alu-silicium extrudé, dont le revêtement est ajusté à sa puissance, comporte un grand nombre d'ailettes pour un échange de chaleur optimal.La chaudière est optimisée jusqu'à sa conception, avec des capteurs de température, des gaz de combustion, un couvercle de chambre de combustion avec isolation en vermiculite, un purgeur d'air automatique… Fiabilité et durabilité maximales sont garanties !Performante, la chaudière gaz à condensation CGB-2-68/75/100 permet d'atteindre un coefficient saisonnier de chauffage des locaux N.s (ETAS) de 95%.Flexible, elle s'adapte à toutes les structuresLes modèles de chaudières gaz à condensation CGB-2-75/100 sont cascadables jusqu'à 5 unités, ce qui lui assure une large gamme d'applications et une puissance pouvant aller jusqu'à 500 kW.L'intégration aisée dans les systèmes de gestion des bâtiments (GTB) renforce cette flexibilité et permet un large éventail d'applications : des logements collectifs aux hôtels, en passant par les piscines…Idéale pour les mini chaufferies en puissance 68, elle permet d'être installée sans avoir à réaliser l'ensemble des tests et ni à installer les équipements requis pour l'installation de chaufferie.Pilotable à distance et silencieuseGrâce au WOLF Control System 2, le module de commande WOLF permet un réglage des programmes quotidiens, en plus des autres fonctions intelligentes [mode vacances, verrouillage clavier] et de l'affichage numérique ergonomique [heure, températures, mode de fonctionnement, messages d'erreur et indicateur pour le changement du filtre]. Au quotidien, la chaudière saura se faire oublier grâce à son aspect compact, mais aussi à son isolation optimisée, ce qui en fait une des chaudières les plus silencieuses du marché avec seulement 47 dB(A).Le + produitUn entretien et une installation facilités, pour le plus grand bonheur des installateurs WOLF !Grâce à son installation murale, aucun dégagement latéral minimal n'est requis, les connexions sont entièrement compatibles avec le modèle précédent et une conversion simple au LL/GPL facilitent le travail de l'installateur WOLF.L'assistant de mise en service dans le module de programmation BM-2 reconnaît également les composants WOLF et conduit directement à une configuration réussie.L'accessibilité aux différentes connexions et composants électroniques a aussi été perfectionnée : tous les circuits électroniques, le module optionnel WOLF Link ou le module EA sont ainsi réunis dans un seul boîtier. Les conduits de câbles intégrés et le passage central des câbles garantissent un accès pratique pour l'installation et l'entretien.
Il y a 3 ans et 27 jours

Adeline Mourlevat prend la tête du Service Référencement Industriels d’Elcia

Adeline, vous venez d’être nommée Responsable du Service Référencement, mais vous êtes chez ELCIA depuis plus de cinq ans maintenant. Pouvez-vous revenir sur votre parcours ?« J’ai rejoint ELCIA en 2017, à la sortie de mes études à l’INSA de Lyon où j’ai été diplômée en Génie des matériaux. J’ai intégré le Service Référencement dans lequel j’ai occupé le poste d’Ingénieur Projets pendant deux ans. En 2019, j’ai sauté sur l’opportunité de devenir Ingénieure Commerciale afin d’accompagner nos commerciaux Industrie sur la partie technique. J’ai appris l’avant-vente, le commerce et le suivi clients. J’ai ensuite rejoint le Service Clients Industrie qui a été créé en 2021, en tant que Chef de projets clients : j’accompagnais nos partenaires industriels dans la mise en production de leurs projets EDI ou encore MyPricer. J’ai pu y développer mes compétences sur l’accompagnement, le suivi des projets, le conseil clients. J’ouvre aujourd’hui une nouvelle page de mon aventure chez ELCIA en devenant Responsable du Service Référencement. »Vous prenez la Direction du Service Référencement, qui est l’un des Services historiques d’ELCIA. Pouvez-vous nous le présenter ?« Le Service Référencement est l’un des piliers d’ELCIA ! C’est lui qui a référencé et qui est en charge du maintien à jour des 1 750 Bibliothèques de tarifs de nos 600 Industriels partenaires dans le Configurateur ELCIA. Ce Service est le garant de la fiabilité de nos Bibliothèques référencées ! C’est son travail qui fait que nos clients artisans, installateurs et revendeurs peuvent réaliser des devis justes, avec des prix à jour et qu’au final le produit chiffré soit fabricable. Pour cela, le Service Référencement travaille en toute confiance avec les équipes de nos partenaires industriels. Il faut comprendre leurs produits, leurs options et leurs règles métier, pour ensuite les paramétrer dans nos outils.Nous mettons donc un point d’honneur à ce que chaque membre du Service soit un véritable expert métier, qui parle le même langage que les industriels. Chaque nouvel arrivant suit une formation de plusieurs mois, sur nos outils internes, mais aussi sur le métier de nos partenaires, le secteur de la Menuiserie, son vocabulaire.Le Service Référencement est aujourd’hui composé de 19 Ingénieurs et 3 Techniciens, dont une partie sur notre site de Tarbes, notamment pour la gestion des projets transversaux avec ISIA. Depuis quelques années, nous avons organisé le Service en nous inspirant des étapes qui existent dans l’Industrie : études et estimations, planification, qualité et production. »Quelles seront vos missions sur ce nouveau poste ?Je prends la tête du Service Référencement avec deux grands objectifs ! Face aux variations de prix actuelles, nous devons garantir au marché que les mises à jour de nos 1 750 Bibliothèques de prix référencées soient livrées à la bonne date. C’est un vrai challenge ! Deuxième objectif : accompagner les industriels pour que la configuration de leurs produits soit plus riche et permette à leurs clients de passer commande en EDI. La dématérialisation des commandes facilite leur quotidien et évite à leurs équipes de perdre du temps à rappeler l’installateur parce qu’il manque des informations.Cela passe par le management du Service, le suivi de son activité et du respect de ses objectifs. Je veille au bon déroulement des projets de Référencement, j’accompagne les membres de l’équipe, les aide, les conseille. J’ai été Ingénieur Projets pendant deux ans, c’est indispensable pour comprendre le fonctionnement du Service. Je m’assure aussi de leur bienêtre dans le Service et de leur montée en compétences, que ce soit techniquement ou en gestion de projets. Je vais être épaulée par Jonathan Farge, qui fait partie du Service Référencement depuis 17 années. Nous allons former un véritable binôme.La stratégie d’amélioration continue du Service sera également au coeur de mes missions. Les besoins de nos partenaires industriels évoluent, les solutions ELCIA aussi. Il doit en être de même pour nos outils internes !Enfin, mon rôle est aussi d’échanger avec les autres services d’ELCIA. Par exemple, avec le Service Produit pour leur faire part des besoins techniques qui nous sont remontés par les industriels ou encore avec le Service Clients Industrie pour répondre de manière efficace aux problématiques de nos partenaires.Pour terminer, quel plus souhaitez-vous apporter ?Mes différentes missions chez ELCIA me permettent d’avoir aujourd’hui une vision à 360° de l’Industrie : technique, commerce, accompagnement. Cette vision globale, je l’ai aussi en interne. J’ai côtoyé plusieurs Services, je connais les besoins de chaque équipe. Je souhaite m’appuyer sur cette expérience pour fluidifier les relations entre les différents Services ELCIA : ce sont nos partenaires qui en sortiront gagnants !J’ai aussi à coeur d’apporter un regard neuf sur l’organisation du Service Référencement. Pouvoir réorganiser certains aspects de la vie de l’équipe, toujours dans ce souci d’amélioration continue, pour toujours plus d’efficacité et de qualité.Chez ELCIA, des femmes manageuses et heureuses !Girl Power ! Avec la nomination d’Adeline MOURLEVAT sur un poste de management, une barre symbolique vient d’être franchie : 58% des collaborateurs d’ELCIA sont désormais managés par des femmes !Alors que le ratio hommes/femmes chez ELCIA est de 68% contre 32%, la majorité des collaborateurs sont managés par des femmes en totale réussite sur leur poste d’encadrement. Pour Stéphanie ROBIN, DRH du Groupe : « Même si le monde de l’édition logicielle reste un secteur encore difficile à féminiser, chez ELCIA, nous travaillons à plus de parité. C’est un chiffre clé pour l’entreprise, il souligne le fait que les femmes accèdent à des postes d’encadrement et de direction autant que leurs collègues masculins »Manageuses et heureuses ! Pour célébrer la Journée des droits des femmes, ChooseMyCompany (à l’origine notamment du Label HappyAtWork), a publié le WomenTop40, son classement des 40 meilleures entreprises de 100 à 500 salariés où les femmes sont les plus heureuses et engagées. ELCIA se classe à la 23ème place, sur plus de 678 entreprises dans la catégorie. Une vraie fierté !
Il y a 3 ans et 27 jours

L’OPPBTP intègre le think tank Cinov’action pour une meilleure prise en compte de la prévention par les acteurs du BTP

Pour ce faire, l’OPPBTP s’associe pour la première fois à la Fédération Cinov, représentative de la branche BETIC qui regroupe les métiers du conseil, de l’ingénierie et du numérique. Ce partenariat permettra à l’Organisme d’intégrer le think tank Cinov’action et ainsi contribuer aux réflexions et travaux collectifs menés avec tous les acteurs de la chaîne de valeur pour améliorer les conditions de travail des personnes intervenant dans le processus de construction.La prévention des risques, un enjeu de taille pour la maîtrise d’œuvre et la maîtrise d’ouvrageDans le cadre de ses missions, l’OPPBTP s’engage à accompagner l’ensemble des acteurs de la filière BTP, les entreprises de construction bien sûr, mais aussi les maîtres d’ouvrage, les maîtres d’œuvre et les coordonnateurs SPS.La crise sanitaire a mis la santé et la sécurité au travail au cœur des enjeux et des préoccupations de tous les acteurs de la construction. D’une part, la maîtrise d’œuvre a identifié des besoins de connaissance et de solutions opérationnelles en la matière. La crise a montré également l’intérêt de mieux intégrer les besoins de toute la chaîne de construction, jusqu’aux opérateurs et le fonctionnement du chantier. D’autre part, le rôle clé que doivent jouer les maîtres d’ouvrage (MOA) en santé et sécurité au travail a été mis en valeur fortement. Maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre, deux acteurs essentiels de la chaîne de valeur de la construction, doivent être pleinement en mesure d’appliquer les principes généraux de prévention et fournir les moyens nécessaires aux entreprises et salariés du BTP pour travailler en sécurité.Des métiers en pleine mutationEn parallèle, ces métiers sont sujets à d’importantes transformations en cours et à venir, d’un point de vue environnemental, technologique, sociétal et économique. Le climat, le numérique, les évolutions sociales peuvent être tout autant des opportunités que des freins. Conscient de ces profondes mutations, la Fédération Cinov, qui compte parmi ses adhérents 98 % des maîtres d’œuvre du BTP, a créé en 2016 le think tank Cinov’action. Celui-ci propose un cadre pérenne de travaux collectifs entre différents acteurs de la branche (industriels, entreprises, institutionnels, ingénieurs), afin d’anticiper les évolutions nécessaires de leurs métiers, de construire des collaborations porteuses d’innovation et de concevoir des solutions qui les fassent progresser. Une démarche qui fait écho à la troisième priorité stratégique du plan @Horizon 2025 de l’OPPBTP : réaliser l’ingénierie prévention des métiers de demain, avec l’objectif d’une prévention intégrée dès la conception, portée par l’innovation.Un partenariat inédit avec la Fédération CinovDans ce contexte, l’OPPBTP et la Fédération Cinov ont souhaité se rapprocher pour la première fois, en permettant à l’Organisme d’intégrer le think tank Cinov’action. L’adhésion de l’OPPBTP à Cinov’action a ainsi pour objectif d’agir auprès de la maîtrise d’œuvre et de la maîtrise d’ouvrage pour une meilleure prise en compte de la prévention dans le montage des opérations et une plus forte implication sur ces questions, en lien avec les Coordonnateurs Sécurité et Protection de la Santé (CSPS) et les entreprises.Dans le cadre de leur collaboration, l’OPPBTP participera à différents travaux, notamment :la contribution à un outil d’autodiagnostic des compétences à destination de la maîtrise d’œuvre, en intégrant un volet dédié à la santé-sécurité au travail ;le lancement de travaux pour élaborer une étude dédiée à l’évolution des métiers de la construction (nouveaux matériaux, contrainte environnementale, utilisation du digital...)L’implication de l’OPPBTP permettra de faire valoir la prévention des risques professionnels comme un point essentiel de la réflexion. L’objectif est de formuler des propositions qui seront portées auprès des instances nationales pour mieux accompagner les mutations du secteur. Pour Fréderic Lafage, Président de la fédération CINOV : « Convaincus que de nombreux métiers vont muter, que les méthodes de collaboration vont profondément évoluer, nous pensons qu’une des solutions passe par le décloisonnement des métiers et la mise en œuvre de réflexions avec l’ensemble des acteurs économiques de la chaîne de valeur. Seule cette approche élargie peut permettre d’anticiper et de répondre aux complexités auxquelles les professionnels et plus largement la société sont confrontées. Les sujets sur lesquels travaille Cinov’action sont liés à la nécessité de répondre aux enjeux qui découlent des transitions en cours et de s’adapter à l’incertitude de notre monde. L’arrivée de l’OPPBTP au sein de Cinov’action marque la volonté de prendre en compte la prévention comme un levier majeur d’efficacité et une nécessité à rechercher dans tout processus innovant. »Pour Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP : « Notre adhésion à Cinov’action va permettre à l’OPPBTP d’élargir le champ de ses actions en faveur de la prévention des risques au-delà de notre champ habituel d’entreprises adhérentes. Cinov’action et l’OPPBTP partagent une même analyse sur les enjeux auxquels la construction est confrontée, et sur les réponses pertinentes à y apporter, basées sur l’innovation, la coopération, l’amélioration des processus opérationnels. La maitrise d’œuvre doit jouer un rôle plus important dans le futur pour assurer un haut niveau de performance des opérations de construction, dont en santé et sécurité au travail. Car un chantier bien mené en prévention est un chantier bien mené en production ! » commente Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP. »
Il y a 3 ans et 27 jours

Une ferme hors-sol investit un parking en plein quartier défavorisé

La ferme Champerché a choisi ce parking de 1.300 mètres carrés au cœur du quartier défavorisé des Indes, à Sartrouville (Yvelines), pour installer ses cultures hors-sol, disposées sur quatre niveaux dans neuf vastes salles.Safia Zalagh, 54 ans, courts cheveux noirs plaqués par le gel, connaît bien ce parking. Dans sa jeunesse, elle y retrouvait ses copains "pour sortir, danser, s'occuper de ceux qui avaient trop bu. On avait aménagé l'espace, c'était confortable", se souvient en riant cette habitante du quartier.Champerché a pour ambition de développer la culture hors-sol pour montrer que cette solution, déjà testée à Paris dans une ferme de 42 m2, est viable à plus grande échelle. "On souhaite industrialiser la production donc la taille de l'endroit était déterminante", explique Guillaume Fuyet, un des trois frères fondateurs de l'entreprise, responsable de la recherche et du développement.Comment ce parking est-il passé d'un squat de jeunes à une ferme de culture hors-sol à la pointe de la technologie ?"On souhaitait s'installer dans les Yvelines car on y a vécu longtemps enfants, avec mes frères", présente Antoine Fuyet, directeur de Champerché. La fratrie a rencontré le maire de Sartrouville, Pierre Fond (LR), qui les a dirigés vers le quartier des Indes et le bailleur social 1001 vies habitat. Parking condamné"Avec le projet de démolition et de reconstruction" des immeubles, "il y a de l'espace disponible dans la cité", présente Nicolas Brunet, directeur régional du bailleur social. "Le parking était condamné depuis une quinzaine d'années car il y avait des dégradations."Avec l'installation de Champerché, "tout le monde est gagnant" estime le représentant du bailleur HLM. "C'est un projet qui a un sens social, qui n'est pas rejeté par les habitants."Durant les travaux, qui ont duré presqu'un an (réhabilitation, installation des étagères...), les riverains de la cité, intrigués, ont défilé devant la porte du parking pour en savoir plus."Avant même qu'on ouvre, on a reçu au moins 30 demandes d'embauche", se rappelle Grégoire Silva, trésorier de l'entreprise. A l'issue d'entretiens, six personnes sont embauchées, dont quatre vivent dans le quartier ou aux alentours.Safia a été recrutée en août, en tant qu'"agricultrice urbaine". "J'étais paysagère, planter des arbres je sais faire mais je n'avais jamais fait de semis", mime la dynamique quinquagénaire. Maintenant, lorsqu'elle fait des semis d'aneth, ses gestes sont assurés. "Ils m'ont tout appris, c'est une super équipe.""Dès le départ c'était notre volonté d'embaucher des personnes venues de la cité des Indes", explique Guillaume Fuyet, un des trois frères fondateurs de Champerché. Les nouvelles recrues ont mis la main à la pâte pour installer les cultures. "Les bacs, les robinets, c'est nous qui avons monté tout ça", raconte Safia en désignant les étagères où poussent ses précieuses salades.Des équipements nécessaires pour mettre en place une culture en bioponie : les racines des plantes baignent dans une solution d'eau et d'engrais "organique", sans pesticides."On y trouve des champignons, des bactéries... c'est ce qui donne du goût à nos produits, contrairement à la majorité des cultures hors-sol qui utilisent des solutions minérales et auxquelles on reproche de manquer de saveur", détaille Guillaume Fuyet.Le parking insalubre est devenu une fourmilière. Chaque jour basilic thaï, coriandre ou menthe sont récoltés puis livrés aux clients, des grandes surfaces ou des restaurateurs."J'ai présenté une certaine variété de menthe du Pérou, les restaurateurs sont demandeurs", présente passionnément Guillaume Ripoche, incollable sur les 60.000 plantes cultivées à Champerché. "Maintenant il faut que je produise !"
Il y a 3 ans et 27 jours

Le Danemark présente son plan pour se passer de gaz russe

La Première ministre Mette Frederiksen avait fixé début mars un objectif de sortie du gaz russe "le plus vite possible", alors que l'UE réfléchit à un arrêt des achats à la Russie pour sanctionner Moscou.Le plan présenté mardi par l'exécutif danois prévoit notamment que la moitié des 400.000 foyers du pays qui se chauffent actuellement au gaz basculeront vers un raccordement au chauffage urbain ou vers les pompes à chaleur fonctionnant à l'électricité d'ici à 2028.Pour les foyers restants et l'industrie, le plan prévoit aussi un développement du biogaz d'origine renouvelable, "qui assurera que nous soyons libres de Poutine", a déclaré le ministre du Climat et de l'Energie Dan Jørgensen lors d'une conférence de presse.Le Danemark va également "étudier la possibilité d'anticiper et d'augmenter temporairement la production de gaz de mer du Nord sur les gisements déjà exploités", en "dialogue avec les acteurs du marché", a expliqué le gouvernement dans un communiqué.Le gouvernement danois a également dopé son plan de développement des énergies renouvelables, et prévoit désormais un quadruplement des centrales solaires et surtout de l'éolien terrestre, à horizon 2030.Le royaume scandinave est déjà un des grands champions européens de l'éolien, qui lui fournit actuellement environ la moitié de son électricité - le reste étant dominé par la biomasse et le charbon."Nous voulons développer les énergies renouvelables autant qu'il est possible de le faire de façon intelligente", a assuré Mme Frederiksen.Le gaz fournit environ 18% de l'énergie consommée au Danemark chaque année, selon les statistiques officielles. Une grande partie est longtemps venue des gisements du pays en mer du Nord, mais ceux-ci sont en rapide déclin.En 2019, la production nationale n'a permis que de couvrir 72% du gaz consommé dans le pays, selon l'Agence danoise de l'énergie.La Russie figure parmi les principaux fournisseurs des importations danoises et fournit environ 40 à 45% du gaz importé dans l'Union européenne.Les 27 mettent les bouchées doubles pour sortir du gaz russe, mais cet effort prendra plusieurs années selon les analystes.Le Danemark avait voté en 2020 l'arrêt complet de sa production de gaz en mer du Nord d'ici à 2050, devenant le premier producteur significatif d'hydrocarbures à fixer une date de fin d'exploitation.L'exécutif ne prévoit pas de renoncer à cette mesure, a-t-il indiqué mardi.
Il y a 3 ans et 27 jours

70.000 bénéficiaires du contrat d'engagement jeune depuis son lancement en mars

D'une durée de six mois à un an et ciblé sur les 16-25 ans (29 pour ceux en situation de handicap), le CEJ a pris le relais de la Garantie jeunes avec la même rémunération mensuelle de 500 euros mais un accompagnement plus intensif de 15 à 20 heures par semaine.Parmi les jeunes entrés en CEJ mi-avril (45.000 à Pôle emploi et 25.000 en mission locale), 87% sont de niveau bac ou infra-bac. Plus de la moitié de ceux en mission locale sont sans diplôme, ce qui correspondent à la cible visée des jeunes peu ou pas qualifiés.Ils ont majoritairement moins de 21 ans et 30% résident en Quartier de la politique de la ville (QPV) ou en Zone de revitalisation rurale (ZRR). Au sein de Pôle emploi, 30% des jeunes en CEJ touchent plus de 500 euros d'allocation chômage par mois, ce qui semble indiquer que leur entrée n'était pas motivée par des raisons financières mais par la perspective d'un accompagnement plus personnalisé.Alors que la Garantie jeunes était uniquement opérée par les missions locales, le CEJ peut être aussi assumé par Pôle emploi, qui y a dédié 1.660 conseillers pouvant accompagner chacun 30 jeunes maximum.Le contrat conclu entre le jeune et son conseiller référent doit prévoir "une mise en activité soutenue et régulière" (notamment par des ateliers, des immersions en entreprise, des formations, des actions sociales) visant à orienter le jeune vers l'emploi ou l'alternance. Selon Pôle emploi, ce suivi monte en puissance et tourne autour de 15 heures par semaine.Le CEJ se veut "un droit ouvert" sans limites, mais le gouvernement estime qu'il pourrait concerner 400.000 jeunes par an.Selon l'Insee, le taux des 15-29 ans "ni en emploi, ni en études, ni en formation" était de 12,2% au 4e trimestre 2021, soit près de 1,5 million.Si Emmanuel Macron est réélu, il a indiqué son intention de refonder le RSA en s'inspirant du CEJ.
Il y a 3 ans et 27 jours

Étude du marché des appareils individuels de chauffage au bois en 2021

Les ventes totales se sont élevées à 422.930 unités, un record depuis 2015. Ces bons résultats ont principalement été portés par les segments des appareils automatiques à granulés tels que les chaudières automatiques qui ont plus que plus que doublé leur ventes (+119,6% pour 31.910 unités) en 2021. Autre marché très dynamique, celui des poêles automatiques qui progresse de 43,2% (174.020 unités). Sur l'ensemble des ventes en 2021, l'activité des appareils à granulés (tous types confondus) dépasse celle des appareils à bûches (213.340 unités vendues contre 209.590).Le marché des foyers et inserts (avec 63.780 unités vendus), certes en croissance par rapport à 2020, reste cependant sur une tendance décroissante sur les 10 dernières années. Les ventes de ce segment ont été divisées par près de trois depuis 2011. Enfin, le marché des cuisinières continue sa marginalisation avec une baisse de 17,3% en 2021 et ne représente plus qu'un marché de niche (2.710 unités).Ces constats sont issus de l'étude qualitative 2021 d'Observ'ER (Observatoire des énergies renouvelables) sur le marché des appareils domestiques de chauffage au bois.Pour télécharger l'étude, cliquez ici.
Il y a 3 ans et 28 jours

EurObserv’ER publie le Baromètre Éolien 2022

Chiffres clés du secteur éolien dans l'Union européenne en 202111,3 GW : Nouvelle capacité éolienne installée dans l'UE27 en 2021 (10,4 GW en 2020)187,8 GW : Capacité éolienne totale installée dans l'UE27 fin 2021 (177,0 GW en 2020)384,9 TWh : Production d'électricité éolienne dans l'UE27 en 2021 (397,4 TWh en 2020)0,6 GW : Nouvelle capacité éolienne offshore installée dans l'UE27 en 2021 (2,5 GW en 2020)15,1 GW : Capacité éolienne offshore totale installée dans l'UE27 fin 2021 (14,5 GW en 2020)Principaux enseignements du baromètre éolien 2022 d'EurObserv'ERLes installations onshore compensent à peine une année catastrophique pour l'éolien offshore (seulement 0,6 GW mis en service). L'industrie offshore est pourtant très innovante avec des prototypes de 15 MW en phase de test, mais les contraintes liées aux autorisations de nouveaux parcs brident cette dynamique. Pour atteindre 40 % de renouvelables dans la consommation finale d'énergie en 2030, il faudrait tripler les installations. La capacité totale installée (hors Royaume-Uni) s'élève donc à 187,8 GW dans l'Union Européenne. La production d'électricité de 384,9 TWh est en baisse (397,4 TWh en 2020) mais s'explique par une année 2020 exceptionnelle en termes de vent (362,5 TWh en 2019).Tendances de l'énergie éolienne mondialeLa puissance éolienne mondiale s'élevait à 737 GW en 2020 pour une production d'électricité de 1 592 TWh. Même si les derniers chiffres pour 2021 ne sont pas encore connus, il est très probable que les nouvelles installations soient largement insuffisantes par rapport à la trajectoire de l'AIE, nécessaire pour atteindre l'objectif du scénario Net Zero, soit une augmentation de la production éolienne de 18 % par an sur la période 2021-2030. Notons tout de même des déclarations ambitieuses aux États-Unis visant une réduction de 50 % des émissions en 2030 (par rapport à 2005), malgré une capacité éolienne installée de seulement 12,7 GW en 2021 (- 25 % par rapport à 2020). La Chine a, quant à elle, installé plus de 47,6 GW sur l'année (contre 72,1 GW en 2020), avec notamment un bond sur le marché offshore (16,9 GW en 2021 contre 3,06 GW en 2020).
Il y a 3 ans et 28 jours

Nouvelle enquête sur le développement des webinaires dans le BTP

Dans le contexte de la crise sanitaire, de nouveaux modes de communication et de travail basés sur l’utilisation des outils digitaux se sont développés, avec notamment le recours aux webinaires. L’étude montre que cet outil est encore en phase de développement dans les habitudes des entreprises artisanales, puisque 43% des entreprises artisanales interrogées ont assisté à un ou plusieurs webinaires sur la période 2020-2021. L’intérêt des artisans pour ce format se confirme : 62% des participants estiment se sentir autant à l’aise en distanciel qu’en présentiel, et 52% des entreprises artisanales souhaitent poursuivre ou commencer à faire appel à cette pratique. Les entreprises plébiscitent les formats courts, en début ou fin de journée, principalement sur des thématiques techniques, en lien avec leur métier (35% des webinaires suivis).L’étude fait également apparaître tout d’abord le besoin de renforcer la visibilité de la tenue de ces webinaires, compte-tenu du fait que 14% des artisans disent ne pas être au courant, mais aussi d’organiser des formats mixant présentiel et distanciel.Le webinaire, un moyen d’information et de formation encore peu répandu chez les artisans, mais qui tend à se démocratiserAvec près de la moitié des répondants qui ont assisté à au moins un webinaire sur la période 2020-2021, l’étude réalisée démontre que le webinaire est un outil qui tend à prendre sa place parmi les habitudes des artisans. Parmi les participants, 29% sont des chefs d’entreprises, 8% sont des conjoint(e)s d’artisans et 6% sont des assistants ou des secrétaires.L’étude montre que la principale raison pour laquelle les artisans n’ont assisté à aucun webinaire est qu’ils préfèrent assister à des réunions en présentiel (37% des répondants). Ils évoquent également un manque de temps (33%), le fait qu’ils n’ont pas eu connaissance des webinaires proposés (18%) ou encore une qualité de connexion internet insuffisante pour pouvoir suivre le webinaire (12%).Par ailleurs, seuls 11% des salariés des entreprises interrogées ont participé à au moins un webinaire en 2020-2021. Selon les chefs d’entreprises dont les salariés n’en ont pas suivi, cela s’explique principalement par une préférence pour les réunions en présentiel (20%), des locaux qui ne sont pas toujours adaptés pour organiser la présence des salariés (19%), ainsi que par la non connaissance de la tenue de ces webinaires (17%).L’étude met également en évidence le fait que la part des entreprises artisanales ayant assisté à au moins un webinaire varie en fonction de la taille de l’entreprise : plus l’entreprise a un effectif de salariés important, plus elle a tendance à y participer.Alors que 59 % des entreprises de 10 à 19 salariés ont assisté à au moins un webinaire en 2020-2021, c’est le cas de seulement 31% d’artisans travaillant seuls.L’intérêt des artisans pour les webinaires tend néanmoins à se confirmer, puisque 52% des interrogés souhaitent poursuivre ou commencer à recourir à cette pratique.Parmi les principaux avantages qu’offre ce format, les entreprises artisanales soulignent en majorité que cela leur permet de gagner du temps (30% des entreprises interrogées) et de réaliser des économies, liées aux frais de déplacement (26% des entreprises interrogées). De plus, parmi les 43% d’entreprises ayant suivi au moins un webinaire sur la période, 62% ont estimé se sentir autant à l’aise en distanciel qu’en présentiel pour participer à la réunion.Enfin, 52% des artisans estiment que la qualité des échanges se trouve impactée par les réunions en distanciel. Cette appréciation s’observe en grande majorité chez les artisans de zone rurale (40%, contre 12% en zone urbaine), et peut donc s’expliquer par la présence de zones blanches en région rurale, impactant la qualité du réseau internet.Une préférence marquée pour des formats courts, en début ou fin de journéeLes résultats de l’étude montrent que la grande majorité des entreprises artisanales estiment qu’un webinaire devrait durer moins d’une heure (76%), et 21% estiment qu’ils devraient durer une heure. Au-delà, ils estiment qu’il y a un risque de perdre l’attention des participants, voire de quitter le webinaire avant la fin. Pour cette raison, seulement 2% sont favorables à un format de plus d’une heure.Le moment de la journée a également une incidence sur la volonté des artisans à participer ou non à un webinaire. En effet, ils estiment que les débuts et fins de journée sont plus propices pour y participer. Les chefs d’entreprises préfèrent aussi majoritairement assister à un webinaire après 17h (35%) ou vers 9h (25%). Ces mêmes tendances se dessinent pour leurs salariés (32% après 17h et 32% vers 9h).Des contenus techniques plébiscités, mixés à une partie pratique en présentielLes webinaires techniques en lien avec le métier de l’artisan ont été les plus suivis (35%).Les webinaires ont également été utilisés par les entreprises artisanales pour s’informer sur le Covid-19 (28%), sur l’utilisation d’un outil administratif (27%), ainsi que sur un risque précis en entreprise tel que le bruit, les poussières, les travaux en hauteur… (10%).On retrouve cet intérêt pour les webinaires techniques dans les réponses des entreprises interrogées concernant les thématiques qu’elles souhaitent voir traitées lors de ces réunions à distance. En effet, elles sont 30% à préférer suivre des webinaires consacrés à l’aspect technique ou à leur métier. Cette thématique est suivie par la gestion administrative (26% des répondants), le juridique (25%) et la santé – sécurité (19%).Concernant particulièrement le suivi des webinaires en santé-sécurité, 33% des entreprises artisanales interrogées souhaitent que ces webinaires portent sur un risque spécifique, avec une explication de la réglementation et des conseils pratiques pour s’en prévenir. Parmi les risques ayant suscité le plus d’intérêt, on retrouve les risques chutes de hauteur, les contraintes physiques et TMS, le stress et enfin les risques liés aux poussières. Par ailleurs 32% préféreraient des webinaires abordant la mise à jour du document unique, 22% souhaiteraient suivre des webinaires de présentation des outils de l’OPPBTP et de l’IRIS-ST, tandis que 13% s’orientent vers des webinaires portant sur la création du document unique.On observe également un intérêt pour des formats qui mixeraient le distanciel avec le présentiel. 55% des chefs d’entreprises interrogés indiquent être favorables au suivi de formations obligatoires à la sécurité en ayant recours au distanciel pour la partie théorique et au présentiel pour les aspects pratiques. La tendance reste la même concernant leurs salariés.Le mailing, principale source d’information des entreprises artisanales concernant la tenue d’un webinaireSelon les résultats de l’enquête, la réception de newsletters et d’e-mails d’informations est le principal moyen d’information de la tenue du webinaire pour les entreprises artisanales du BTP (63%). 16% disent également avoir été informés via les réseaux sociaux, 5% par le bouche à oreille et 2% par le biais d’articles de presse.En revanche, 14% des entreprises interrogées indiquent ne pas avoir été informés de la tenue de webinaires.La grande majorité des entreprises artisanales apprécient de recevoir un rappel par mail le jour J contenant les informations de connexion nécessaires.Ils sont en effet 85% pour les entreprises de 1 à 19 salariés, et 80% pour les artisans travaillant seuls, à être favorables à ce type de rappel par mail.En revanche, les entreprises artisanales préfèrent ne pas être sursollicitées. Seulement 1/3 d’entre elles sont favorables à l’envoi de plusieurs mails rappelant la date du webinaire (31%). 54% préfèrent ne recevoir qu’un mail, et 15% ne souhaitent pas recevoir de rappel.Focus sur le webinaire Référent Covid de l’OPPBTPSur l’ensemble des répondants, 60 personnes ont participé au webinaire Référent Covid de l’OPPBTP. On constate sans surprise une participation très faible du côté des artisans travaillant seuls (3% des participants), du fait de l’absence de salariés à gérer. Près de 60% des participants ont été des chefs d’entreprises, et 23% ont été des conjoint(e)s d’artisans.Malgré cette petite participation, la majorité des participants émettent des retours positifs« Nous avons été projetés dans le distanciel par la crise Covid. Nous avons pu gérer, gouverner et faire face à notre quotidien grâce à ces nouveaux moyens digitaux. Les entreprises artisanales du bâtiment ont découvert l’usage des visioconférences et des webinaires pour rester informées et continuer à échanger. La pandémie a également été l’occasion de recourir aux formations en ligne. Si ces nouveaux modes d’information, de communication et de travail constituent de réels gains de temps pour les chefs d’entreprise, il n’en reste pas moins que le présentiel reste plébiscité et d’ailleurs, une forte proportion d’entre eux (37%) n’a pas souhaité y recourir. Le distanciel est une solution pratique et utile à condition d’être limité dans sa durée et sa fréquence car rien ne remplacera jamais la qualité des échanges en présentiel » Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB.« Que ce soit pour la formation ou l’information, le webinaire a bien des atouts notamment les gains de temps de déplacement, la possibilité d’être revisionnée lorsqu’on ne peut se libérer pendant le live ou encore de créer du contenu disponible. Cela étant, nous ne devrons pas abandonner totalement nos réunions physiques qui permettent de tisser des liens humains et créer de la convivialité. Et, il faut bien l’avouer, quand on suit une conférence en ligne, on peut vite être amené à décrocher du fait d’éléments perturbateurs : téléphone qui sonne, salariés qui vous sollicitent… Si nous nous sommes familiarisés, notamment durant la crise, à cet outil parfaitement adapté par sa flexibilité au rythme de nos entreprises, il ouvre sans doute encore de nombreuses possibilités » Françoise DESPRET, Présidente de la CNATP.
Il y a 3 ans et 28 jours

Isolation des studios de Bichon TV

Il y a 3 ans et 28 jours

La dernière génération de portes sectionnelles de Dynaco allient stabilité, durabilité et multi design

Grâce à leurs différentes options et caractéristiques, elles peuvent s'intégrer à tout type de bâtiment. En outre, les deux solutions sont conformes à toutes les exigences opérationnelles et de sécurité des directives et normes européennes du Comité européen de normalisation (CEN). Dynaco l-14P PanelLa porte sectionnelle industrielle Dynaco l-14P Panel a un design moderne et épuré. Elle est l'une des portes sectionnelles isolées les plus stables et les meilleures du marché. Cette porte est constituée de panneaux isolés conçus sans ponts thermiques afin de minimiser les pertes d'énergie et donc de réduire les coûts énergétiques. La porte Dynaco l-14P Panel convient à tout type de bâtiment, tant sur le plan fonctionnel qu'esthétique. Grâce à ses nombreuses options de configuration, cette porte sectionnelle peut être installée dans pratiquement tous les environnements. Une fois ouverte, elle glisse sous le toit, laissant l'ouverture de la porte complètement libre. La crème de la crème La sécurité de ses utilisateurs est toujours prioritaire chez Dynaco. Par exemple, le système d'équilibrage des portes l-14P Panel et l-14F Frame permet d'accueillir des charges importantes. En effet, les deux solutions sont équipées de dispositifs de sécurité qui peuvent bloquer le mouvement descendant de la porte. La répartition de la charge sur les panneaux de ces portes minimise le risque de délamination et de fissure du panneau, ce qui se traduit par une durée de vie plus longue. Enfin, les panneaux des portes les plus larges et les panneaux avec fenêtres sont renforcés par des profilés métalliques, qui garantissent une résistance optimale au vent. En bref, les dernières portes sectionnelles industrielles de Dynaco sont les meilleures du lot en matière de sécurité et de qualité.
Il y a 3 ans et 28 jours

Corimmo Invest lance la construction d’un pôle Hôtellerie-Restauration

Situé dans la commune d’Esmans, en Seine-et-Marne, à 23 kilomètres de Fontainebleau, ce futur ensemble immobilier comprendra six enseignes dont quatre restaurants, un hôtel et un bar pour une surface locative totale de 4.060 m².L’ensemble comprendra également 229 places de stationnement extérieur, dont 24 équipées de points de recharge pour véhicules électriques et 8 réservées à des personnes en situation de handicap, pour garantir l’accès de l’ensemble à tous les publics.CORIMMO Invest interviendra sur cette opération en tant que promoteur, mais également investisseur et restera propriétaire du foncier pour trois des six enseignes qui seront louées en BEFA (2 restaurants et 1 boulangerie). Les 3 autres étant vendues en VEFA (1 restaurant asiatique, 1 hôtel et 1 bar).Cette réalisation viendra compléter l’offre déjà présente sur l’espace commercial du Bréau, composé d’une quarantaine d’enseignes marchandes et de restauration (E. Leclerc ; Flunch ; Decathlon ; Micromania …)CORIMMO Invest confie à la société COREAL, du même groupe, la réalisation de ce projet clé en main. Par ailleurs, la structure de l’ensemble des bâtiments sera composée d’une charpente métallique, respectueuse de l’environnement, marque de fabrique du Groupe COREAL.Une construction respectueuse de la Loi sur l’EauConstruit sur un ancien terrain nu en bord de route, cet ensemble répondra aux normes européennes sur l’eau, fixées par le code de l’environnement.Ainsi, CORRIMO Invest s’assure d’une non-dégradation des ressources et des milieux, du bon état des masses d’eau, et de la réduction des pollutions liées aux substances.L’intégralité des eaux de pluie du projet sera stockée et filtrée sur l’emprise de la parcelle afin de supprimer l’impact de ce projet sur le fonctionnement des nappes phréatiques locales. Par ailleurs, le projet impactant les bassins versants des fonciers périphériques, les eaux de ruissèlement seront collectées puis dirigées vers des noues d’infiltration. Fiche technique :Adresse : Lieu-dit Le Petit Fossard, Esmans (77940)Promoteur : CORIMMO InvestNombre de lots : 6 bâtiments (3 restaurants, 1 hôtel, 1 bar, 1 boulangerie)Destination : Pôle hôtellerie - restaurationSurface locative : 4 060 m2Surface totale du terrain : 14 585 m²Places de stationnement : 229 places de stationnement extérieur dont 8 PMR et 24 électriquesLivraison prévisionnelle : juin 2022
Il y a 3 ans et 28 jours

Lancement de Chantiers-moins-chers.com pour permettre aux artisans du bâtiment d'obtenir des prospects à moindre coût

L’intérêt de ce nouvel outil à disposition des artisans du BTP est simple : grâce au levier des chantiers invendus, l’équipe permet d’une part aux professionnels du secteur d’accéder à des contacts moins chers de prospects à la recherche de devis pour des travaux liés à leur habitat ; et d’autre part, aux particuliers en attente de devis de trouver un professionnel de qualité capable de satisfaire leur demande.Chantiers-moins-chers.com, pour répondre aux besoins des artisans du BTP comme des particuliersPour Jean-Christophe Gigniac, gérant et fondateur de ForumConstruire SARL : "Nous générons chaque année des milliers de demandes de travaux grâce à ForumConstruire.com, notre site principal. Si la très grande majorité d’entre elles trouve preneur, ce n’est pas le cas pour certaines, qui constituent donc des « chantiers invendus ». Mais attention, invendu ne veut pas dire de piètre qualité ! C’est juste que nous n’avions pas d’acheteurs ou d’artisans pour celui-ci à l’instant T. Au lieu que ces leads soient perdus, le but, via ce nouveau site, est de les revendre à bas coût aux artisans. Ainsi, tout le monde est gagnant : l’artisan qui accède à moindre coût à de nouveaux contacts, et les particuliers qui obtiennent une réponse avec devis à leur demande de travaux."Chantiers-moins-chers.com s’appuie ainsi sur le levier des chantiers invendus. Chaque année en effet, quantité de demandes de chantiers ne trouvent pas preneur sur les sites spécialisés. Face à ce constat, l’équipe de ForumConstruire, spécialiste du secteur du bâtiment depuis 18 ans, a imaginé une solution gagnant-gagnant, permettant à la fois aux particuliers d’obtenir un devis répondant à leurs attentes en matière de construction, de rénovation ou d’amélioration de leur habitat, et aux artisans d’accéder, aisément et à moindre coût, à des demandes de chantiers de qualité mais qui ne trouvaient jusque-là pas preneur, que ce soit pour des raisons de disponibilité d'artisan et/ou de couverture géographique. Pour plus de précisions, la vidéo de présentation de la plateforme est disponible ici.Des projets de travaux vérifiés, pour des prospects de qualitéLes chantiers proposés aux artisans par le biais de Chantiers-moins-chers.com ne sont pas disponibles ailleurs. Chaque chantier peut-être envoyé à un maximum de 3 artisans inscrits sur la plateforme (si tant est que 3 artisans soient inscrits dans la même région et le même métier, ce qui est peu fréquent). Chacun d’entre eux est systématiquement vérifié et actualisé avant que le contact ne soit proposé aux artisans : lorsque l’équipe reçoit un chantier, elle envoie un SMS au particulier afin de lui poser plus de questions quant aux travaux à réaliser. Un artisan ne recevra donc le chantier que si le particulier a répondu à toutes les questions et a réaffirmé vouloir être mis en relation avec un professionnel. Les chantiers sont donc « frais » et les coordonnées des particuliers prospects sont exactes. Une sécurité et un gain de temps non négligeable pour le professionnel.Publié à l’automne 2021 pour une première phase pilote, Chantiers-moins-chers.com a déjà su séduire 1.500 artisans inscrits sur la plateforme, à qui il a d’ores et déjà transmis 25.000 projets de travaux.Pour Nicolas P., peintre en bâtiment exerçant à Lyon : "Je suis client de plusieurs plateformes d’achat de contacts, et j’apprécie particulièrement chantiers-moins-chers.com, sur lequel je me suis inscrit en ce début d’année. Grâce à cette plateforme, j’arrive à avoir des contacts de prospects à des prix très attractifs et, si jamais j’ai un souci sur un contact, le service client est disponible et particulièrement réactif. Leur système de réclamation est simple, et je suis recrédité dans la journée si besoin est."Concrètement, comment ça marche ?Sur Chantiers-moins-chers.com, l’artisan ne paie que pour les demandes de chantiers qu’il reçoit. Les tarifs varient en fonction du type de travaux demandé. La liste des tarifs appliqués est accessible sur cette page. Lors de son inscription sur la plateforme, après avoir renseigné l’ensemble de ses coordonnées et son SIRET, l’artisan définit le mot de passe qui lui permettra d’accéder au site de façon sécurisée. Ensuite, il définit ses besoins spécifiques : quelle zone géographique couvre-t-il (il peut ainsi définir sa zone de chalandise soit en termes de distance par rapport à son entreprise, ou en saisissant les villes souhaitées, ou enfin en renseignant les départements ou pays qu’il est en capacité de couvrir) ? Quels types de chantiers souhaite-t-il recevoir ? Il est à noter que, pour que son inscription soit validée, l’artisan devra impérativement délivrer une attestation d’assurance en bonne et due forme, qu’il pourra adresser à Chantiers-moins-chers.com par mail, courrier, ou encore en la téléchargeant directement via le site, une fois connecté.Une fois son inscription terminée, le compte Chantiers-moins-chers.com de l’artisan est automatiquement crédité de 25€ de bienvenue, afin qu’il puisse tester librement le service. Il commencera alors à recevoir des demandes de chantiers correspondant à ses réglages spécifiques. A chaque demande de chantier reçue, son crédit Chantiers-moins-chers.com est débité du prix du chantier. Lorsque son crédit Chantiers-moins-chers.com est épuisé, il ne reçoit plus de nouvelle demande de chantier, mais il a toujours la possibilité de consulter celles qu’il a reçues précédemment. L’artisan reçoit alors un email l’informant de la situation et l’invitant à recharger son compte pour recevoir de nouveaux contacts. Par la suite, il a la possibilité de recharger manuellement ou de façon automatique son compte, selon ses besoins.Par ailleurs, si jamais l’artisan part en vacances ou est débordé, il a la possibilité de suspendre momentanément son compte, puis de réactiver ses achats quand il le souhaite. Enfin, en cas de besoin, l’artisan a la possibilité de joindre le service client, qui saura l’accompagner et répondre à ses interrogations avec réactivité, voire mettre en place un procédure de réclamation si nécessaire.
Il y a 3 ans et 28 jours

Floorify remporte le prix Neb’Oscar du "Meilleur fournisseur de revêtements de sol 2021"

Nebopan est le premier groupement français de PME indépendantes actives dans le commerce du bois et de ses dérivés. Il compte actuellement 23 membres, 2 000 employés et plus de 30 000 clients dans toute la France.Floorify propose la gamme la plus belle, la plus qualitative et la plus complète de revêtements de sol en vinyle rigide distribués exclusivement par les meilleurs magasins spécialisés. Floorify est le meilleur du design, de la qualité et du service belge et en pleine expansion en France pour faire vivre son expérience.Pour le prix Neb’Oscar, tous les membres de Nebopan ont pu choisir leur fournisseur préféré. Floorify a été récompensé pour la qualité de son service, sa capacité à innover, à proposer des solutions durables et à rechercher sans cesse de nouveaux produits. "Pour nous, le prix du Neb’Oscar est inestimable. Le fait d'avoir été choisi par nos propres clients comme leur fournisseur préféré signifie que nous sommes sur la bonne voie et c'est un véritable triomphe pour toute l'équipe. Nous allons poursuivre dans cette voie et restons engagés dans l'optimisation des services, la recherche et le développement afin de proposer la collection la plus attractive et la plus innovante de revêtements de sol en vinyle rigide."
Il y a 3 ans et 28 jours

Les juges des expropriations, témoins des mutations de la Seine-Saint-Denis

Par une grise après-midi à Saint-Denis, une nuée d'avocats arpente avec une juge des expropriations les 13.000 m2 d'un bâtiment de locaux professionnels à moitié vides, du parking jusqu'au toit. Les uns lui vantent l'emplacement idéal, les autres pointent des taches d'humidité aux murs.Dans le cadre de la diversification de la Plaine Saint-Denis, morne quartier d'entrepôts et bureaux, un aménageur public a préempté ces locaux au moment de leur mise en vente. Mais acquéreur et vendeur n'ont pu s'accorder sur le prix, nécessitant l'intervention d'une juge des expropriations pour trancher le litige.Ces magistrats spécialisés sont chargés, en cas de désaccord financier lors d'une préemption ou d'une expropriation ordonnée par la préfecture pour un projet d'utilité publique, d'arbitrer la somme que l'acteur public versera au propriétaire forcé de lui vendre.Cette mission fait de ces juges un maillon essentiel des grands projets d'urbanisme. "Nous sommes là pour assurer un équilibre entre intérêt général et protection des droits individuels et faire en sorte que l'expropriant n'abuse pas des prérogatives dont il dispose", explique Charline Cheruel, 36 ans, qui a rejoint le service en 2019.Dans ce département hérissé de grues, la patte des juges des expropriations se retrouve dans de nombreux chantiers emblématiques des évolutions du département : construction du village olympique pour les JO de Paris-2024, prolongement des lignes 11 et 14 du métro, des tramways T1 et T4, etc. En Seine-Saint-Denis, les besoins sont tels que le pôle compte désormais trois juges, contre une seule il y a quelques années. Une exception dans le paysage des tribunaux de France qui, dans leur immense majorité, n'ont pas même un seul magistrat consacré à plein temps à ce contentieux souvent marginal.Rattrapage historiqueCette particularité tient à la transition tardive que traverse actuellement la Seine-Saint-Denis.Historiquement défavorisé et sinistré par la désindustrialisation, ce territoire de 1,6 million d'habitants connaît ces dernières années un indéniable mouvement de revitalisation urbaine, une attention accrue des pouvoirs publics se conjuguant à la pression foncière de la capitale limitrophe."C'est un département sur lequel la rénovation urbaine ne s'est pas faite. Dans les autres départements autour de Paris, la rénovation s'est faite dès l'après-guerre, ce qui n'a pas eu lieu dans le 93 car les terrains n'étaient pas chers et étaient acquis par des sociétés industrielles qui avaient besoin de surface", analyse Sylvie Suply, 63 ans, juge des expropriations à Bobigny depuis onze ans.La lutte contre les marchands de sommeil et l'habitat insalubre, une priorité des autorités en Seine-Saint-Denis, les accapare beaucoup et les amène à écumer des villes comme Aubervilliers, Saint-Ouen et Saint-Denis.L'opération phare du service actuellement est le plan de rénovation urbaine, étalé jusqu'en 2030, du quartier du Chêne Pointu à Clichy-sous-Bois, copropriété parmi les plus dégradées de France, connue pour avoir servi de décor au film "Les Misérables".Pour procéder à la destruction des grandes barres insalubres, un nouvel immeuble est exproprié chaque année, soit plus de 150 nouveaux dossiers qui atterrissent à chaque fois sur le bureau des juges.Lors des visites sur place, "on entend dans les cages d'escaliers des dealers siffler pour prévenir qu'ils ne sont plus tout seuls. On va visiter les biens et c'est souvent vraiment terrible. Des cafards qui montent aux murs, une salle de bains avec de la moisissure partout, une multiprise pour l'ensemble des appareils électriques de la famille...", témoigne Bénédicte Baudoin, 44 ans.Petit à petit, un urbanisme remplace l'autre dans le département, observe Sylvie Suply : "il y a des créations de quartiers plus que de grands ensembles, avec des immeubles moins hauts, beaucoup de services de proximité comme des petits commerces, des crèches, des jardins aménagés pour les enfants".Pour les juges des expropriations en Seine-Saint-Denis, il reste toutefois encore du travail... "pour quelques décennies".
Il y a 3 ans et 28 jours

Revalorisation de 2,65% du SMIC à compter du 1er mai 2022

Sur un an (de mai 2021 à mai 2022), le SMIC aura donc augmenté de 5,9%, soit 91 euros brut par mois (72 euros net) ; il sera passé de 1230,60 euros à 1302,64 euros net.En France, le pouvoir d’achat des travailleurs au SMIC est protégé par un dispositif de revalorisation automatique inscrit dans la loi, qui assure que le SMIC progresse au moins aussi vite que l’inflation. Selon les résultats définitifs de l’indice des prix à la consommation au mois de mars publiés par l’INSEE ce jour, l’inflation hors tabac entre novembre 2021 et mars 2022 pour les ménages du premier quintile, soit les 20% des ménages ayant les revenus les plus modestes, s’établit à 2,65%. Avec cette augmentation, le SMIC horaire brut passera de 10,57 euros à 10,85 euros quand le SMIC mensuel brut, pour une personne à temps plein, passera de 1603,12 euros à 1645,58 euros.