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Il y a 4 ans et 201 jours

Les revenus de Vinci baissent à nouveau au troisième trimestre, toujours affectés par la crise sanitaire

Entre juillet et septembre, le groupe a dégagé un chiffre d'affaires de 12,3 milliards d'euros, soit un déclin de 6,4% par rapport à la même époque de l'an dernier.Au premier semestre, il avait déjà subi un fort recul (-15%) de ses revenus et était tombé dans le rouge, conséquence des divers effets de la crise sanitaire. Celle-ci a continué à l'affecter au troisième trimestre.Vinci souffre en premier lieu de la chute de l'activité dans les grands aéroports, un secteur sur lequel il s'est beaucoup développé ces dernières années. Ses revenus s'y effondrent de presque trois quarts par rapport à un an plus tôt.Les aéroports du groupe avaient connu un petit mieux pendant l'été, après la levée de mesures de confinement dans de multiples pays, mais cette amélioration "a été interrompue en septembre par les nouvelles mesures de restrictions, mises en place face au retour de la pandémie", souligne-t-il.Le tableau est moins noir sur ses autoroutes et sur ses chantiers, mais ses revenus n'y ont, dans un cas comme l'autre, pas retrouvé leur niveau d'un an plus tôt et s'inscrivent en léger recul.Si les chantiers interrompus par la crise sanitaire ont repris pour la plupart, leur fonctionnement reste entravé par les mesures hygiéniques de lutte contre le nouveau coronavirus.A plus long terme, l'activité s'annonce néanmoins favorable sur les chantiers, car Vinci a engrangé de nouvelles commandes prometteuses, comme la construction du siège du groupe Total à La Défense.Gages de revenus à venir, ces nouvelles commandes représentent un montant nettement plus élevé (+4%) qu'un an plus tôt.Dans ce contexte, Vinci ne change pas ses dernières prévisions, données en juillet. Pour ce semestre, il table sur une baisse de ses bénéfices, mais "nettement" moins marquée que celle qui l'a conduit dans le rouge lors de la première moitié de l'année.Pour la suite, il promet une amélioration l'an prochain mais sans revenir encore à ses performances de 2019.
Il y a 4 ans et 201 jours

Verde Saint Denis by Ariostea

Pour suivre les tendances du design d'intérieur, qui ces dernières années ont vu un amour croissant pour le passé, pour l'histoire et pour les atmosphères de la tradition, Ariostea avec Verde Saint Denis rend hommage à un splendide marbre italien provenant du Val d'Aoste.Fond vert bouteille foncé et une trame dense de veinures blanches sont les particularités de cette pierre des Alpes Occidentales qui surprend par l'intense contraste chromatique de sa texture réhaussée par une finition brillante qui en souligne les moindres détails et tonalités.Sous le signe d'une esthétique séduisante pour une élégance intemporelle, les plaques Ultra sont particulièrement adaptées à la pose au sol et en revêtement dans les spas, les lieux de représentation, dans les contextes destinés au shopping et la restauration, et se prêtent à la création d'éléments de décoration sur mesure comme les plans de travail, tables, étagères, sièges, lavabos, receveurs de douche, rendant chaque projet conceptuel sans égal.Avec Verde Saint Denis se reconfirme la capacité de recherche, d'innovation et de créativité d'Ariostea, une entreprise qui parvient à offrir au marché des surfaces qui vont au-delà du concept de céramique traditionnelle en fournissant aux concepteurs des solutions fonctionnelles qui redéfinissent les critères de la conception.
Il y a 4 ans et 201 jours

Le notariat élit David Ambrosiano à sa présidence, les débats relancés sur l'ouverture de la profession

"David Ambrosiano, 50 ans, notaire à Fontaine - Isère -, a été élu président du Conseil supérieur du notariat", a annoncé dans un communiqué cette institution, qui chapeaute l'ensemble de la profession en France.M. Ambrosiano, qui succède au notaire parisien Jean-François Humbert, a immédiatement demandé à suspendre l'ouverture en cours de la profession, dans la lignée des précédentes prises de position du Conseil.Cette libéralisation, très relative, a eu lieu dans le cadre de la "loi Macron", adoptée en 2015 quand l'actuel président de la République était ministre de l'Economie.Elle a, concrètement, débouché sur la création de plusieurs centaines de nouveaux offices de notaires, alors que les nouveaux arrivants devaient jusqu'alors hériter d'une étude déjà existante, à de très rares exceptions près.Cette ouverture suscite l'opposition, vive au début puis plus contenue par la suite, des instances de la profession qui craignent les conséquences économiques d'une ouverture à la concurrence jugée trop brusque."Une pause dans les créations est nécessaire pour permettre le développement des offices créés récemment, et ne pas casser notre maillage territorial unique", a demandé mardi M. Ambrosiano.Peu avant l'été, l'Autorité de la concurrence, qui fournit régulièrement au gouvernement une feuille de route pour mener cette ouverture, a déjà promis de tenir compte des effets de la crise sanitaire et économique du coronavirus sur la profession.Le notariat a, néanmoins, récemment subi une défaite juridique devant le Conseil d'Etat à ce sujet. L'institution a refusé ce mois-ci d'annuler les dernières créations d'offices, décidées fin 2018 par le gouvernement en suivant l'avis de l'Autorité de la Concurrence.
Il y a 4 ans et 201 jours

Barbara Pompili prend plusieurs mesures pour inciter à produire sa propre électricité en milieu rural

« L'autoconsommation, c'est ce qui permet à chacun de devenir son propre producteur d'électricité, par exemple grâce à des panneaux solaires installés sur le toit de sa maison, et de pouvoir en faire bénéficier les consommateurs voisins. C'est une logique que je veux massifier dès lors que l'énergie proviendra de sources renouvelables. Jusqu'à présent, cette pratique de partage entre un producteur et ses voisins était limitée à un rayon d'1 kilomètre. J'ai décidé d'étendre ce rayon à 10km en zone rurale pour augmenter la capacité de chaque citoyen, entreprise ou collectivité à participer à la transition énergétique tout en réduisant ses charges. » a déclaré Barbara Pompili.Actuellement, près de 78 000 installations en autoconsommation sont raccordées en France, pour une puissance totale de 320 MW. Le Gouvernement souhaite aujourd'hui aller plus loin en accélérant le développement de l'autoconsommation en électricité des Français. L'autoconsommation collective permet en effet à un groupe de personnes de consommer l'électricité qu'ils produisent grâce à leurs propres moyens, souvent à partir de panneaux solaires photovoltaïques.En novembre 2019, le ministère avait déjà pris des dispositions pour faciliter les opérations d'autoconsommation collective. Tous les habitants situés dans un rayon de 1km autour de la source de production d'électricité pouvaient accéder à l'énergie ainsi produite.L'expérience de l'année écoulée a montré que ce rayon pouvait être trop petit dans les zones rurales, du fait de la dispersion des auto-consommateurs potentiels. Afin de répondre à cette particularité, il sera désormais possible pour les opérations situées dans une zone rurale de demander une dérogation dans la limite d'un rayon de 10 km, soit une surface totale 100 fois plus importante qu'actuellement.Cet arrêté aura un impact concret en permettant l'émergence d'opérations actuellement en projet, comme le projet des centrales villageoises du Val de Quint par exemple.Par ailleurs, le ministère de la transition écologique a mis en consultation une nouvelle version des cahiers des charges pour les appels d'offres destinés à attribuer le soutien aux énergies renouvelables sur la période 2021-2026. Cette nouvelle version qui concerne les appels d'offres pour les opérations d'autoconsommation prévoit une formule de rémunération plus simple, qui devrait permettre ainsi à plus de projets de candidater. Enfin, le plafond de puissance pour les projets pouvant candidater sera augmenté, en passant de 1 MW à 10 MW.Enfin, le futur arrêté tarifaire pour les projets photovoltaïques sur bâtiment qui augmente le plafond de 100 à 500kW et qui a reçu un avis favorable du Conseil supérieur de l'énergie est en cours de notification auprès de la Commission européenne. Il facilitera l'autoconsommation pour les installations entre 100 et 500 kW et permettra qu'une partie de l'électricité produite puisse être autoconsommée.
Il y a 4 ans et 201 jours

La Tournée de l'apprentissage 2020

Il y a 4 ans et 201 jours

PRB vous accompagne dans la réalisation de vos projets

Grâce à l'application mobile PRB Color', simulez votre projet de coloration de façade en toute simplicité. Facile d'utilisation, l'application PRB Color' vous permet d'afficher immédiatement la palette de teintes PRB sur votre façade. En quelques minutes, l'application PRB Color' exécute votre projet de décoration en prenant en comptes les différentes luminosités. De plus, PRB Color' vous propose la liste des points de vente les plus proches pour acheter le produit avec les couleurs choisies. PRB Color' intègre aussi une nouvelle technologie permettant de mesurer avec précision la couleur d'objets lisses, texturés, ou avec des motifs et de trouver la couleur correspondante dans les nuanciers sélectionnés. Application disponible sur Androïd et Apple.Le calculateur de joint PRB en ligne vous permet de calculer la consommation de joint pour votre projet. Renseignez les différentes mesures (format de carrelage, longueur de joint…) et sélectionnez le produit PRB désiré. En quelques clics, le calculateur vous indique la quantité de produit correspondant à vos besoins. Ainsi vous êtes sûr d'avoir la bonne quantité nécessaire.Retrouvez le calculateur de joint ConsoJoint sur PRB.fr ou sur les applications Androïd et Apple. Le book ITE PRB THERMOBOIS est un support expliquant l'un des systèmes d'isolations thermique PRB par l'extérieur, en panneaux de fibres de bois. On y retrouve une partie en échantillons permettant de visualiser les différentes étapes du système, pour chaque étape, le nom du produit PRB correspondant. Sans oublier la partie information qui regroupe les différents avantages ainsi qu'un visuel éclaté de cette technique. A noter que le système ITE PRB THERMOBOIS dispose d'un ETA. Le livret esthétique façade Peinture, RME, RPE représente les différents produits pour vos façades extérieures. Finitions minérales, types de peintures, système d'imperméabilisation, types d'enduits et différentes granulométries : à vous de choisir ! Avec des échantillons, vous pouvez toucher le produit et faire les choix qui vous correspondent le mieux. En manque d'inspiration ? Retrouvez des photos des différents rendus avec la liste des produits utilisés. Aujourd'hui, choisi la finition pour vos murs extérieurs est devenu un jeu d'enfant. ConsoJoint : https://www.prb.fr/fr/calcul-de-consommationPRB Color’ : https://www.youtube.com/watch?v=01OvMmGpchc
Il y a 4 ans et 201 jours

L'exécutif présente un projet de loi pour prolonger l'état d'urgence sanitaire jusqu'au 16 février inclus

L'exécutif entend aussi pouvoir appliquer des mesures de restrictions de circulation, de rassemblements ou d'ouvertures des établissements au moins jusqu'au 1er avril 2021, sur tout ou partie du territoire et en fonction de la situation épidémique, selon le même texte.L'Assemblée nationale siègera exceptionnellement samedi et dimanche pour examiner ce projet de loi qui fera ensuite la navette au Sénat.Rétabli samedi dernier par simple décret, l'état d'urgence sanitaire est pour l'heure en vigueur jusqu'au 16 novembre. L'extension au-delà d'un mois de ce régime d'exception nécessite un vote du Parlement.L'état d'urgence sanitaire, créé à l'occasion de la crise du Covid-19, avait déjà été mis en place du 23 mars au 10 juillet 2020. Un régime transitoire, permettant certaines restrictions, avait ensuite été appliqué, jusqu'à ce qu'Emmanuel Macron, au vu de la dégradation des indicateurs sanitaires, ne décide la semaine dernière d'un tour de vis.L'état d'urgence autorise, si nécessaire, à limiter voire interdire les déplacements, ou à instaurer des confinements partiels ou complets de la population.Le projet de loi présenté mercredi offre donc ces armes à l'exécutif jusqu'au 16 février inclus, même si rien ne l'empêche d'y mettre fin de manière anticipée et localisée.Quand l'état d'urgence sera levé, entrera alors en vigueur le régime juridique transitoire tel qu'il a été appliqué à l'été 2020, au moins jusqu'au 1er avril 2021. Cette base légale permet par exemple aux préfets de départements d'imposer le port du masque, ou encore de fermer des cafés et restaurants en cas de regain de l'épidémie.Le texte ne fait aucune mention d'un report des élections départementales et régionales, demandé par certains à l'image du président de l'Assemblée Richard Ferrand qui a dit mercredi "souhaiter" un décalage. Un report passerait par l'adoption d'un projet de loi ad hoc.Le texte arrivé mercredi sur la table du Conseil des ministres habilite aussi le gouvernement à prendre un certain nombre d'ordonnances jusqu'au 1er avril 2021, notamment en matière d'emploi et du code du travail. Il ouvre notamment la possibilité à l'exécutif de prolonger le dispositif d'activité partielle au-delà du 31 décembre 2020, avec une indemnisation totale pour les secteurs les plus touchés par la crise.Des adaptations législatives sont enfin prévues avec le déploiement des tests rapides antigéniques, qui permettent d'obtenir des résultats en 15-20 minutes.
Il y a 4 ans et 201 jours

Convention climat : l'architecture de la future loi présentée aux citoyens

La ministre de la Transition écologique a présenté aux membres de la Convention citoyenne pour le climat (CCC) et à des élus "l'architecture" de la future loi qui doit reprendre une partie des propositions de la CCC, a-t-on appris mardi de sources concordantes."J'ai présenté aujourd'hui avec (le ministre chargé des Relations avec le Parlement Marc Fesneau) l'architecture du projet de loi d'application des propositions de la @Conv_Citoyenne", a indiqué Barbara Pompili sur Twitter lundi soir.Cette présentation a été faite lors de la première réunion du groupe de travail qui réunit députés et membres de la CCC, dans l'objectif de l'élaboration de cette loi qui doit être présentée en Conseil des ministres d'ici à la fin de l'année.5 grands thèmesCette loi devrait être décomposée en cinq titres reprenant les cinq grands thèmes sur lesquels les 150 citoyens ont travaillé: consommer, produire et travailler, se déplacer, se loger et se nourrir, selon une source proche de la réunion.Certains axes plus précis comme l'encadrement de la publicité, l'information des consommateurs, la rénovation énergétique des bâtiments ou encore l'artificialisation des sols seront également développés, a-t-on appris de même source. "Dans chaque chapitre, on voit des grands thèmes qui vont être repris, mais pas le contenu précis", a commenté mardi Grégoire Fraty, coprésident de l'association "les 150" qui regroupe 130 des 150 citoyens."Ça va dans le bon sens, mais c'est normal qu'on ne retrouve pas toutes nos billes vu que ce projet de loi ne reprend que 40% de nos mesures", a-t-il indiqué à l'AFP.146 mesures retenues sur les 149 présentéesParmi les 149 mesures de la CCC présentées en juin, le président Emmanuel Macron s'est engagé à en reprendre 146, sortant trois "jokers".Selon le ministère de la Transition écologique, 40% des mesures doivent passer par voie législative (en grande majorité dans cette loi spécifique), 20% dans le projet de budget 2021, 10% par voie réglementaire, 5% relèvent de négociations internationales et le reste d'"autres modalités".D'ores et déjà, une cinquantaine de mesures sur les 146 sont totalement ou en cours de mise en œuvre, a assuré une source gouvernementale.Six ont été incluses dans le budget 2021 dont le premier volet vient d'être voté à l'Assemblée (hausse du forfait mobilité durable, baisse des taxes sur le carburant des avions de tourisme, création d'un malus au poids des voitures...), mais pas la révision du barème de l'indemnité kilométrique dans l'impôt sur le revenu, finalement écartée et qui devrait revenir en partie par voie règlementaire.Le gouvernement doit prochainement mettre en ligne un tableau de bord qui permettra de suivre le devenir de chaque mesure.Cette évaluation risque de provoquer des contestations de la part des ONG qui estiment que nombre des annonces ne sont que partiellement en ligne avec les propositions des citoyens, propositions qu'elles accusent le gouvernement de "détricoter".Dans une lettre adressée au président de la République la semaine dernière, l'association "les 150" a elle regretté l'absence de "soutien clair" du gouvernement à leurs propositions et le manque d'"ambition générale" pour le climat alors que l'objectif de la CCC était de réduire les émissions de gaz à effet de serre de la France d'au moins 40% d'ici à 2030.
Il y a 4 ans et 202 jours

Système complet d'isolation RT Max

Il y a 4 ans et 202 jours

Réintroduire la donnée du reste à vivre pour faciliter l'accès au crédit immobilier

Malgré l'amélioration des conditions d'accès à l'emprunt en octobre 2020, le maintien des mesures du Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) - durée de l'emprunt limitée à 25 ans et taux d'endettement à 33% maximum - pénalise toujours de nombreux emprunteurs... Afin de faciliter l'accès au crédit immobilier, et tout particulièrement dans un contexte bousculé par la crise épidémique, La Centrale de Financement souhaiterait que certains critères soient revalorisés lors de l'analyse des dossiers d'emprunts, tels que la donnée du reste à vivre...La remontée du taux d'usure : une bonne nouvelle pour le marché du crédit immobilierFixé à la fin de chaque trimestre par la Banque de France, le taux d'usure protège l'emprunteur contre des taux supérieurs à ce taux plafond, dont le dépassement pourrait placer l'emprunteur dans une situation financière difficile. Depuis le début de l'année, celui-ci a baissé à deux reprises et s'est rapproché des taux moyens pratiqués par les banques, générant ainsi un effet ciseau[2]. Une situation qui a pénalisé de nombreux emprunteurs, âgés ou polypathologiques, dont le dossier nécessitait de négocier des taux intérêts plus élevés (banques et assurance-crédit compris), en raison notamment d'une santé considérée comme « à risque » par les assureurs[3].Au 4ème trimestre 2020, le taux de l'usure est néanmoins remonté de 0,12%, sur les durées de 10 ans et plus, et a atteint 2,68 % sur 20 ans et plus, soit une hausse d'environ 10 points de base par rapport au troisième trimestre 2020...« Cette remontée des taux s'explique par l'augmentation légère des taux de crédit pratiqués par les banques ces derniers mois. Elle permet de débloquer de nombreuses demandes de prêt, pourtant solides, mais jusqu'alors mises en suspend en raison de la baisse trop importante du taux d'usure au cours des mois précédents... C'est une véritable bonne nouvelle, car cela permet d'assouplir les conditions d'accès à l'emprunt sur un marché du crédit immobilier déjà fortement contraint par les mesures mises en place par le HCSF, depuis janvier dernier. »Sylvain Lefèvre, président de La Centrale de FinancementRéintroduire la donnée du reste à vivreLes mesures du HCSF ont significativement restreint l'accès au crédit immobilier et engendré de réels déséquilibres sur le marché. A ce jour, de nombreux ménages se voient en effet refuser leur demande de prêt en raison d'un endettement excédant, certes, 33% mais disposant d'un reste à vivre tout à fait suffisant...Alors que la reprise de l'épidémie en France dispose d'un impact direct sur le moral des Français, de moins en moins enclins à s'engager dans un projet d'achat immobilier, il devient en effet urgent d'assouplir les conditions d'accès au crédit afin de ne plus pénaliser les emprunteurs véritablement en mesure de se positionner...« Pour continuer de porter et de soutenir le marché du crédit immobilier, dans ce contexte de reprise de l'épidémie, il est absolument nécessaire de réintroduire la donnée du reste à vivre dans l'analyse des demandes de prêt, et faciliter ainsi l'accès à l'emprunt ! », déclare Sylvain Lefèvre.Octobre 2020 : un mois particulièrement favorable à l'emprunt En octobre 2020, les taux ont légèrement baissé, sur l'ensemble des durées de prêt, par rapport au mois de septembre 2020. Ainsi, avec les taux annoncés en octobre 2020, un emprunteur contractant un prêt d'un montant de 180 000€ sur 20 ans à 1,18%, verra sa mensualité s'élever à 842.4 euros pour un coût total de crédit de 22 176 euros.Évolution des tauxLes taux immobiliers moyens d'octobre 2020 par durée d'empruntLes conditions de taux généralement constatées sont en baisse de 0,01% pour les prêts sur 15 et 20 ans et de 0,02% pour les prêts sur 10 et 12 ans. La diminution la plus importante constatée en octobre 2020 concerne les prêts contractés sur une durée de 7 ans, pour lesquels les taux immobiliers ont chuté de 0,07% par rapport au mois précédent.Durée de prêtTaux fixesde septembre 2020Taux fixesd'octobre 2020ÉvolutionRemboursement mensuel pour 10 000€ empruntés7 ans / 84 mois0,73 %0,66%- 0,07 %121,85€10 ans / 120 mois0.79 %0,77%- 0,02 %86,61 €12 ans / 144 mois0,90 %0,88%- 0,02 %73.20 €15 ans / 180 mois1.04 %1,03%- 0,01 %59.98 €20 ans / 240 mois1.19 %1,18%- 0,01 %46.80 €25 ans / 300 mois1.46 %1,44%- 0,02 %39.71 €Les meilleurs taux immobiliers d'octobre 2020 par durée d'empruntLes meilleurs taux du mois d'octobre restent, dans l'ensemble, stables par rapport à ceux du mois de septembre. Seuls les meilleurs taux obtenus sur les prêts d'une durée de 7 ans ont légèrement augmenté, à savoir de 0,1%, entre septembre et octobre 2020.Durée de prêtTaux fixes de septembre 2020Taux fixes d'octobre 2020ÉvolutionRemboursement mensuel pour 10 000€ empruntés7 ans / 84 mois0,39%0,40 %+0,1 %120,74 €10 ans / 120 mois0.50 %0.50 %=85.45 €12 ans / 144 mois0,60%0,60%=71,99 €15 ans / 180 mois0.75 %0.75 %=58.76 €20 ans / 240 mois0.92 %0.92 %=45.63 €25 ans / 300 mois1.08 %1.08 %=38.05 €Profil des emprunteurs ayant réalisé leur projet en septembre 2020[1] Le taux dit d'usure est celui au-dessus duquel les établissements de crédit n'ont pas le droit d'accorder de prêt. Il ne s'applique pas uniquement au taux d'emprunt proposé par la banque, mais au Taux Annuel Effectif Global (TAEG) qui inclut l'assurance emprunteur et les frais annexes. Celui-ci est calculé, chaque trimestre par la Banque de France, sur la base de la moyenne des taux d'intérêt constatés sur le trimestre précédent. Cette moyenne est ensuite majorée d'un tiers pour définir le taux d'usure du trimestre suivant.[2] Avec l'augmentation des taux pendant la crise, l'écart entre le TAEG et le taux d'usure s'est réduit : il s'agit de l'effet ciseau. Dans ces conditions, les emprunteurs ont atteint plus rapidement le taux d'usure, entraînant ainsi le refus de leur prêt immobilier. [3] Engendrant une surcote d'assurance.
Il y a 4 ans et 202 jours

Covid-19 : Éliminer le virus grâce à l'éclairage UV-C et les nouvelles technologies Signify

Dans le cadre des dernières annonces du gouvernement, l'éclairage UV-C se révèle de plus en plus important pour, entre autres, désinfecter l'air et les objets. Cela contribue notamment à renforcer la protection sanitaire au sein des maisons de retraite, établissements scolaires, commerces alimentaires, magasins de détail, ou encore dans l'industrie, les bureaux et les transports publics. L'efficacité des sources de lumière UV-C de Signify sur l'inactivation du SRAS-CoV-2, le virus à l'origine de la COVID-19, a été validée par l'université de Boston.Les professionnels du marché français pourront désormais s'équiper, aussi bien de luminaires de désinfection UV-C Philips destiné à la désinfection de l'air, des systèmes de désinfection de surface que de chambres de désinfection UV-C Philips pour l'assainissement des objets.Comment agissent les UV-C ?Les UV-C désactivent l'ADN et/ou l'ARN des micro-organismes, y compris les virus et les bactéries, les rendant inoffensifs. Les lampes UV-C de Signify émettent un pic de rayonnement à 254 nm, ce qui est proche du pic d'efficacité germicide et donc idéal pour désinfecter l'air, les surfaces et les objets.L'éclairage UV-C a fait ses preuves et est reconnu comme un désinfectant efficace. Aucun pathogène connu ne résiste à l'UV-C. L'efficacité des sources de lumière UV-C de Signify pour désinfecter le SRAS-CoV-2, le virus qui cause la COVID-19, a été récemment validée par un test de laboratoire de l'université de Boston, qui a démontré que les sources de lumière UV-C de Signify désactivent le SRAS-CoV-2 en quelques secondes, avec un taux d'élimination des germes et bactéries de l'ordre de 99,9%.Dans un monde où les organisations cherchent de nouveaux moyens de poursuivre leurs activités en toute sécurité afin de fournir le meilleur service à leurs clients, Signify les accompagne dans leurs plans de sécurisation des espaces de travail pour renforcer la sécurité sanitaire.« Plus que jamais, il est essentiel de pouvoir avoir recours à des solutions de décontamination efficaces. Avec 35 ans d'expérience dans le domaine de l'éclairage UV-C, nous avons acquis une solide expertise en matière d'applications. Et la situation actuelle, en France et dans le reste du monde nous amène à développer une nouvelle gamme de luminaires et de chambres de désinfection par UV-C, idéales pour une utilisation dans les bureaux, les commerces, les usines, les zones d'accueil, les écoles et les toilettes publiques ».François Darsy, Responsable Marketing, chez SignifySolutions de désinfection de l'airLuminaires de désinfection UV-C Philips Upper-Air : Signify propose des dispositifs de désinfection de l'air par UV-C à montage mural ou au plafond. Installé sur un mur à une hauteur typique de 2,3 à 3 m, les luminaires Upper-Air désinfectent l'air en continu et silencieusement dans la partie supérieure de la pièce avec un puissant rayonnement UV-C. Combinés à un réflecteur et à un système optique, ce système assure aux personnes de pouvoir continuer à travailler dans les parties inférieures d'une pièce en toute sécurité. Les appareils de désinfection de l'air ambiant par UV-C permettent de désinfecter l'air en continu. Ces luminaires sont parfaitement adaptés aux maisons de retraite, aux bureaux, aux commerces de détail, aux magasins d'alimentation, à l'hôtellerie, aux écoles, aux banques, ainsi qu'aux lieux culturels et de divertissement (cinémas, salles de théâtre, salles de sport), les toilettes publiques, les hôpitaux et autres zones à forte fréquentation.Solutions de désinfection des objetsChambre de désinfection Philips UV-C : Cette chambre est destinée à la désinfection instantanée d'objets et appareils portatifs. Fournissant une dose de désinfection de 80 mJ/cm², la chambre désactive à plus de 99,9% le virus SARS-CoV-2 en une minute. Ces chambres sont dotées de fonctions avancées pour assurer une désinfection en toute sécurité, notamment grâce à des capteurs sur les portes d'accès, des serrures magnétiques pour empêcher l'ouverture accidentelle de la porte et des trappes d'inspection. Un écran de maintenance permet de surveiller la durée de vie des lampes ou encore la dose d'UV diffusée. Les objets que l'on peut désinfecter ainsi comprennent les objets à usage partagé tels que les casques d'écoute, les scanners à main et les outillages divers. La chambre peut également être utilisée sur les vêtements et les tissus, ce qui en fait une solution idéale dans les magasins de mode pour la désinfection des vêtements après utilisation dans les cabines d'essayage. La chambre de désinfection Philips UV-C n'est pas destinée et ne doit pas être utilisée pour désinfecter des dispositifs médicaux ou à des fins médicales.Systèmes de désinfection des surfacesIl s'agit d'un système modulaire basé sur une installation fixe de luminaires au plafond qui est utilisée à des moments choisis pour désinfecter une pièce ou un espace clos avec un puissant rayonnement UV-C. La réglette UV-C Philips permet de désinfecter les zones de contacts fréquents, telles que les salles de réunion, les restaurants, les supermarchés, les toilettes ou les bâtiments publics.Installation et sécuritéLes solutions de désinfection des surfaces par UV-C nécessitent la mise en place impérative de procédures rigoureuses pour garantir la sécurité des individus. Les luminaires UV-C ouverts nécessitent un usage en enceinte fermée ou un lieu à accès contrôlé avec un protocole de sécurité qui garantit que, pendant le fonctionnement des UV-C :Il n'y a pas de personnes présentes pendant le fonctionnement de l'UV-C Le lieu est verrouillé pendant le fonctionnement de l'UV-C Aucun accès involontaire ne peut se produire pendant le fonctionnement de l'UV-C.Ce type de système doit être dimensionné, installé et maintenu par un professionnel certifié du réseau de Value Added Partner de Signify qui appliquera des protocoles et outils standardisés à cet effet. L'installation doit être réalisée par un professionnel, afin d'éviter tout risque d'exposition des êtres humains et des animaux, car l'UV-C peut provoquer des lésions cutanées et oculaires.L'utilisation sûre des UV-C est rendue possible par les normes existantes et les nouvelles directives de l'industrieLes dangers potentiels liés à l'utilisation des UV-C sont bien compris, et des mesures de protection appropriées sont décrites dans les normes pour les prévenir. Au début de l'année 2020, la Global Lighting Association (GLA) a réuni des experts de l'industrie et a permis d'élaborer des directives de sécurité pour les technologies UV-C de la GLA², qui définissent ces mesures de protection supplémentaires. Ces lignes directrices aident les fabricants à s'assurer que les produits UV-C sont fabriqués, installés et complétés en respectant des procédures rigoureuses et encadrées et cela afin de garantir une utilisation sûre à tout moment. Signify, l'un des leaders du secteur de la technologie UV-C, a contribué à l'élaboration de ces lignes directrices, en mettant à profit ses années d'expérience en matière d'application et en les partageant avec l'ensemble du secteur afin de permettre l'utilisation la plus large et la plus sûre possible de cette technologie pour faire face à la pandémie actuelle.Alors que les normes seront détaillées dans les années à venir, et que la CEI et d'autres organismes de normalisation ont commencé à le faire, les principales exigences de sécurité sont couvertes de manière adéquate par les réglementations existantes et les lignes directrices du GLA sur la sécurité des UV-C.
Il y a 4 ans et 202 jours

Le débat public sur l'éolien marin en Normandie pointe inquiétudes et manque d'information

En plus des trois parcs déjà prévus sur la façade normande, non encore construits, le gouvernement en a annoncé un quatrième, qui serait attribué d'ici 2021 pour mise en service en 2028.Entamé en novembre 2019, le débat, achevé en août, s'est tenu dans "un contexte critique", sur fond de crainte des pêcheurs quant aux conséquences du Brexit sur le rétrécissement de leur zone d'activité, note la commission.Cinquième débat normand en dix ans, celui-ci s'est "engagé sur un fond de déjà-vu, de défiance envers le maître d'ouvrage (l'État, NDLR) et d'incrédulité quant aux apports réels des études d'impact", souligne la synthèse.Pour la première fois pourtant, il était organisé très en amont du projet, les participants étant invités à se prononcer sur sa localisation et celle d'autres parcs potentiels.Ils ont ainsi défini des zones "intouchables" pour cause de ressource halieutique ou de patrimoine (plages du Débarquement, Etretat...). Ils l'ont aussi souhaité loin des côtes (au-delà de 30 km), ou, pour certains, près des trois parcs déjà prévus afin d'en limiter les coûts.Dans ses recommandations, la commission suggère notamment à l'État de permettre la pêche dans les nouveaux parcs, comme cela se fait en Europe du Nord.Elle relève aussi une forte demande de planification de la mer pour faire cohabiter les usages et "sortir des décisions au coup par coup". Il existe bien un "+document stratégique de façade (DSF)+" mais il est "insuffisant", explique à l'AFP Francis Beaucire, président de la commission, créée pour superviser ce débat.La recherche scientifique, associée à l'expérience des usagers, doit en outre être développée pour établir l'impact des activités éoliennes sur la faune marine et "lever les controverses inutiles", note M. Beaucire.Au-delà, la commission demande à l'État de mettre à disposition du public "un bilan écologique et économique complet de toutes les sources de production électrique, nucléaire compris", pour mieux faire comprendre ses choix en matière de ressources énergétiques.Le gouvernement a jusqu'au 19 janvier pour répondre.La France a depuis 2012 attribué sept projets éoliens marins. De difficultés administratives en blocages judiciaires, aucun n'est encore en activité, et le premier à démarrer devrait être Saint-Nazaire en 2022.
Il y a 4 ans et 202 jours

L'État a reçu pour près de 8 milliards d'euros de projets pour la rénovation des bâtiments publics

"Plus de 4.000 projets de rénovation pour près de huit milliards ont été proposés", a annoncé l'exécutif dans un communiqué.Le gouvernement a fait de la rénovation énergétique l'un des grands axes de son plan de relance, qui a été annoncé à la rentrée et vise à sortir durablement l'économie de la crise engendrée par le Covid-19.Il compte consacrer presque sept milliards d'euros sur deux ans à ce thème et la plus grande partie de ce budget - quatre milliards - doit alimenter un vaste plan de rénovation des bâtiments publics.Celui-ci comprend deux grands volets: d'un côté, les seuls établissements d'enseignement et de recherche, comme les universités, et, de l'autre, administrations et différents établissements publics.Ce sont ces acteurs qui ont présenté les huit milliards d'euros de projets annoncés mardi et parmi lesquels une sélection devra donc être effectuée dans l'idée de lancer les travaux dès l'an prochain.Pour l'essentiel des projets, ce sont les préfets de région qui effectueront la sélection lors des prochaines semaines.Mais, pour les plus coûteux - plus de cinq millions d'euros ou plus de huit millions en Île-de-France -, les décisions seront arrêtées d'ici environ un mois par le gouvernement lui-même.L'ensemble des dossiers retenus doit être annoncé avant le 30 novembre.
Il y a 4 ans et 202 jours

Drone Volt annonce le décès de son PDG, Olivier Gualdoni

Les équipes DRONE VOLT s'associent à la peine immense de son épouse, ses 2 enfants et tous ses proches.Olivier était avant tout un époux et un père aimant, un homme très apprécié de tous, généreux, ouvert et toujours disponible, une personne sur qui l'on pouvait compter en toute circonstance, tant sur le plan personnel qu'humain. Doué d'une très grande capacité d'écoute, Olivier plaçait toujours la relation humaine au cœur de l'entreprise et a su ainsi créer autour de lui une équipe solide et soudée en laquelle il avait toute confiance. Leader charismatique, Olivier était un dirigeant dynamique et entièrement dévoué à son entreprise et ses collaborateurs.Olivier a pris la direction de DRONE VOLT fin 2015 et a été ces 5 dernières années l'artisan de la transformation d'une petite entreprise de distribution de drones en un constructeur de drones professionnels, aujourd'hui groupe international capable de lutter à armes égales avec les géants en place. Grâce à la mise en œuvre d'une stratégie innovante basée sur la compétence d'équipes d'ingénieurs et de techniciens français et hollandais, le groupe DRONE VOLT a gagné des parts de marché auprès des plus grandes entreprises et agences gouvernementales de la planète.Le Conseil d'administration, réuni en urgence ce jour, a décidé de modifier la gouvernance du Groupe.Le Conseil d'Administration a coopté Dimitri Batsis, fondateur de DRONE VOLT et actionnaire historique depuis 2012, en qualité d'administrateur de la société en remplacement d'Olivier et l'a nommé Président du Conseil d'administration, un poste qu'il avait confié à Oliver quelques années plus tôt.Lors de la même séance, le Conseil a décidé à l'unanimité de dissocier les fonctions de Président et de Directeur Général et a nommé Marc Courcelle, jusqu'alors Directeur de la Production de DRONE VOLT, en qui Olivier avait toute confiance, comme Directeur Général.Tout en pleurant cette perte immense aux côtés de sa famille, le groupe DRONE VOLT assure être en ordre de marche pour poursuivre ses activités et peut compter aujourd'hui sur l'équipe en place qui prend la relève.
Il y a 4 ans et 202 jours

Le gouvernement présente des mesures pour assurer la continuité de l'approvisionnement en électricité cet hiver

Le 11 juin dernier, à l'occasion d'une présentation de l'évaluation des besoins en électricité pour les mois à venir, RTE a souligné l'impact de la crise sanitaire et du confinement qui ont conduit à décaler les travaux de maintenance des réacteurs nucléaires normalement réalisés au printemps et en été et qui ont donc réduit la disponibilité du parc en hiver. Le ministère avait annoncé des mesures pour contribuer à l'équilibre du système électrique pendant l'hiver 2020-2021 : optimisation du planning d'arrêts et de maintenance des réacteurs nucléaires pour assurer une disponibilité maximale durant l'hiver, coup de pouce pour l'installation de thermostats à hauteur de 150 euros, campagnes de sensibilisation aux économies d'énergie, soutien à l'effacement.L'effacement désigne des contrats passés entre des opérateurs spécialisés et des entreprises ou des particuliers qui acceptent, pendant quelques minutes ou quelques heures, de réduire ou différer certaines de leurs consommations pour soulager le réseau électrique en période de pointe. Cela peut concerner des procédés industriels, ou encore le chauffage ou la production d'eau chaude de particuliers volontaires. Les entreprises ou particuliers qui passent ces contrats y gagnent en consommant mieux, à des moments où l'énergie est moins chère et moins carbonée, et en bénéficiant du soutien apporté par l'État.L'appel d'offre finalisé aujourd'hui va permettre de réduire les consommations pendant les pointes de 1,5 Gigawatt, soit l'équivalent de la puissance de plus d'une centrale nucléaire. L'effacement contribue à la sécurité d'approvisionnement et peut permettre d'éviter de faire appel à des moyens fossiles.Pour atteindre ce résultat, le dispositif de soutien à l'effacement a été renforcé pour augmenter les capacités d'effacement pour l'hiver prochain : le plafond de prix de l'appel d'offres a été doublé, passant à 60k€/MW pour l'année 2021 ; une bonification pour les nouvelles capacités d'effacement qui pourraient se rendre disponibles dès le mois de novembre 2020 a également été mise en place.Ces mesures ont rencontré un grand succès. Barbara Pompili désigne aujourd'hui 59 projets lauréats de l‘appel d'offres pour l'année 2021. Ils représentent un volume total de 1509 MW qui a presque doublé par rapport à l'appel d'offres pour l'année 2020. Parmi ces 1509 MW de projets sélectionnés, 371 MW seront disponibles dès novembre-décembre, contribuant à la sécurité d'approvisionnement dès le début de l'hiver.
Il y a 4 ans et 202 jours

Une enquête passe au crible plus de 150 Contrats de Performance Énergétique (CPE)

A travers l'étude d'un panel de plus de 150 CPE recensés grâce aux adhérents du SNEC, l'enquête 2020 du syndicat, membre de la FEDENE, a permis de mettre en évidence pour la première fois les caractéristiques et les résultats concrets de la mise en place de ce type de contrat. Ce sont ainsi 7, 3 millions de m² couvrant environ 3.400 bâtiments dont la performance énergétique a été étudiée.Un développement significatif des CPE depuis 10 ans Le nombre de CPE engagés a été multiplié par deux entre 2011 et 2019. Cette dynamique se constate partout en France avec deux régions où le CPE est particulièrement développé : Auvergne Rhône Alpes et Ile-de-France.Un contrat qui s'adapte à tous les projets de rénovation énergétique et aux attentes des maîtres d'ouvrageL'enquête démontre la capacité des CPE à répondre aux nouvelles attentes des maitres d'ouvrages et à s'adapter à leurs exigences : engagement de baisse de consommations énergétiques pouvant atteindre plus 40%, introduction d'un engagement de réduction des émissions de CO2 dans près de la moitié des contrats recensés, mise en place de bouquets de solutions adaptés et efficients économiquement, atteinte des résultats énergétiques. L'enquête fait ressortir également que la mise en œuvre de CPE permet de traiter l'ensemble des projets de rénovation : qu'il s'agisse d'un projet de rénovation énergétique à gains rapides, de la rénovation énergétique pour atteindre par exemple les objectifs du décret tertiaire, ou encore la réhabilitation lourde d'un patrimoine dont l'objet n'est pas prioritairement la performance énergétique. Une performance énergétique au rendez-vousL'analyse des consommations énergétiques réelles constatées dans la durée montre l'atteinte des objectifs de performance énergique garantis dans les CPE.« L'enquête 2020 du SNEC démontre la pertinence des Contrats de Performance Energétique pour faciliter la mise en œuvre du plan France Relance sur la rénovation énergétique et garantir l'atteinte des objectifs tant en termes économiques qu'écologiques de baisse de consommations d'énergie dans la durée. »Olivier SALVAT – Président du SNECLes propositions du SNEC pour contribuer au développement des CPEUn projet de contrat-type CPE pour fin 2020Le SNEC travaille sur un modèle de contrat, simple et pédagogique, adapté aux copropriétés et aux bâtiments tertiaires. Sa publication est attendue pour la fin d'année 2020. Le syndicat contribue aussi au projet de CCAG1 pour la commande publique, avec la FNCCR2.Un « Coup de Pouce » CEE pour le décret tertiaireAfin d'engager au plus tôt les rénovations énergétiques nécessaires pour atteindre les objectifs du décret tertiaire à l'horizon 2030, le SNEC propose la mise en place d'un coup de pouce CEE qui soutiendrait le déploiement de CPE ambitieux dans le secteur.Un label QualitEEAprès sa signature en mai du Code de conduite européen sur les CPE, le SNEC souhaite engager un projet de labellisation capable d'assurer la performance et la qualité des services d'efficacité énergétique.Pour télécharger la synthèse des résultats de l'enquête SNEC 2020, cliquez ICI.1 Cahier des clauses administratives générales2 Fédération nationale des collectivités concédantes et régies
Il y a 4 ans et 202 jours

Des ventes exceptionnelles du patrimoine immobilier ont dopé les gains de l’État l'an dernier

Initialement, le gouvernement avait prévu que les cessions immobilières lui rapportent 320 millions d'euros en 2019, précise le gouvernement dans ce document annexé au projet de budget 2021.Cet écart s'explique principalement par la conclusion de la vente de la deuxième partie de l'Ilot Saint-Germain, situé dans le VIIe arrondissement de Paris, à la Régie immobilière de la ville de Paris, et qui a rapporté à elle seule plus de 368 millions d'euros.Ce montant est bien supérieur à ce qu'en attendait l'État, qui avait évalué ce bien "entre 198 et 222 millions d'euros".De même, la vente de l'hôtel de Seigneley dans le VIIe arrondissement, propriété du ministère de l'Économie, a rapporté à l'État 61 millions d'euros.Mais ces gains exceptionnels ne devraient pas être réédités cette année. "Pour le début de l'année 2020, la répartition par ministère des cessions 2020 subit les effets de la crise sanitaire", note le gouvernement.Ainsi entre le 1er janvier et le 3 août, 271 biens ont été cédés pour un montant de 47 millions d'euros.Le plan prévisionnel d'environ 260 millions d'euros de cessions par an pour la période 2020-2022 s'annonce ainsi difficile à tenir.Par ailleurs, depuis 2013, l'État s'est engagé à céder chaque année du foncier public avec une décote afin d'y faciliter la construction de logements sociaux.L'an dernier, 13 nouvelles cessions ont eu lieu (après 18 en 2018, 21 en 2017 et 34 en 2016). Au total, les 120 réalisées depuis 2013, doivent permettre la construction de 11.000 logements, dont 8.500 logements sociaux, représentant un effort financier de l'État de 226 millions d'euros via les décotes accordées, précise le gouvernement dans ce document.Désormais, l'État a vendu ses biens "les plus liquides" et la nouvelle stratégie de gestion de son patrimoine, établie fin 2018, prévoit de "conserver et de louer les immeubles inutiles, mais présentant un intérêt particulier, par exemple, en raison de leur situation géographique, de leur configuration, de leur valeur patrimoniale".Une dizaine de sites parisiens ont d'ores et déjà été identifiés.
Il y a 4 ans et 202 jours

Adecco lance "le CDI apprenant", avec à la clé 15.000 recrutements

En France, "il y a un immense paradoxe: d'un côté, 700.000 à un million de chômeurs de plus cette année et d'un autre, 400.000 emplois non pourvus", souligne à l'AFP Alexandre Viros, le président France du groupe spécialisé dans le travail intérimaire.Ce nouveau dispositif s'appuie sur le socle juridique et sécurisé du CDI intérimaire qui existe depuis 2014. Son atout ? Se former à un métier pour lequel il existe des besoins de recrutement, tout en bénéficiant d'une sécurité d'emploi, en étant salarié à temps plein par Adecco.Le groupe prévoit de recruter grâce à ce dispositif 15.000 personnes d'ici fin 2021, dont 3.000 d'ici fin 2020.Dans le contexte de crise économique générée par le coronavirus, "la formation est plus que jamais primordiale", insiste M. Viros. Avec le CDI apprenant, la formation débutera "dès le premier jour". Au bout, un diplôme ou une certification.Ce sera le moyen de "créer des passerelles entre les secteurs les plus touchés par la crise et les entreprises qui recrutent", que ce soit dans les métiers de l'e-commerce, du BTP ou du secteur médical, relève le dirigeant, en invitant les candidats potentiels à se rendre en agence et à postuler.Ce peut être aussi un technicien de l'aéronautique à Toulouse qui subit un plan de restructuration. "En face de cela, explique M. Viros, il y a des besoins en fibre optique. On va le former à la fibre optique, un métier d'avenir".
Il y a 4 ans et 203 jours

Armacell France accueille son nouveau Directeur Général, Damien Nowak pour développer ses marchés

Titulaire d'une maitrise de commerce, gestion et marketing, Damien Nowak bénéficie d'une expérience forte au sein de multinationales industrielles. Homme de terrain, à plusieurs reprises en charge de marchés stratégiques concurrentiels B to B sur le territoire français, il a su mener au succès ses équipes et faire remporter la satisfaction clients. Fin connaisseur du marché français B to B sur les secteurs bâtiment et construction il a su détecter les besoins clients, développer des marchés et délivrer de la valeur aux clients au-delà des habituels standards.Marié et père de 4 enfants Damien Nowak est engagé dans plusieurs projets valorisant l’humain, est passionné par la découverte de cultures et de territoires mais également de sports qu'il a pu pratiquer à haut niveau.« Je suis très enthousiaste à l'égard de ce nouveau défi et de la possibilité d'avoir un impact direct sur le développement d'Armacell France. Je retrouve sur nos marchés très concurrentiels à tous les niveaux, grand nombre de similitudes avec des marchés sur lesquels j’ai pu travailler ardemment. Armacell France, dont la qualité des produits et des services est plébiscitée, est bien placée pour répondre aux besoins clients et devenir une entreprise encore plus forte et plus leader, au service du marché. Je m’y atèle déjà avec toute mon équipe ! »Damien Nowak, Directeur Général Armacell France
Il y a 4 ans et 203 jours

J1 La Passerelle : signature de la promesse de convention d'occupation temporaire

Une nouvelle étape vers la réalisation du projet a été franchie avec la signature par les parties prenantes de la promesse de convention d'occupation temporaire d'une durée de 70 ans.Le projet « J1 - La Passerelle », dessiné par l'agence d'architectes Reichen et Robert, a été guidé par le souhait de renouer du lien entre la ville et le port, et l'ambition partagée de rendre l'accès à la mer aux Marseillais. Ce projet urbain propose ainsi de développer une grande esplanade entièrement ouverte à tous de plus de 12 000 m² abritée par une vaste canopée. Le choix architectural a été de conserver l'esprit du lieu : une grande halle, objet de collection, témoin de l'histoire de la ville et mémoire collective vivante. Ce parti-pris vise à faire du J1 un emblème iconique de Marseille et un incontournable lieu de destination. Le bâtiment réhabilité contribuera au rayonnement de Marseille par une diversité des activités et des programmes : culture, loisirs, activités tertiaires, formation, restauration ou encore hôtellerie.De gauche à droite : Jean-Luc Brial - Directeur général adjoint VINCI Construction France, Annaïg Velay - Directrice ADIM Provence, Hervé Martel - résident du directoire du Port de Marseille Fos, Richard Curnier, Directeur régional de la Banque des Territoires en Provence-Alpes Côte d'Azur, Olivier Betoux - Directeur délégué Provence - VINCI Construction France. Les prochains mois seront consacrés notamment à la finalisation des études de conception et au dépôt du permis de construire de l'ouvrage, pour un démarrage des travaux début 2022 et une livraison prévisionnelle en 2024.
Il y a 4 ans et 203 jours

Damien Racle est nommé Président de CINOV Ingénierie

Damien Racle a démarré sa carrière dans l’industrie en 1998, chez Alcatel, avant de rejoindre le Groupe Veolia en 2004. En 2015, il entre au capital et prend la direction de MANEXI, Bureau d’études du Bâtiment, qu’il développe depuis autour de deux enjeux majeurs : les impacts du changement climatique et la maîtrise du risque sanitaire. Placer l’ingénierie au cœur des transitions numériques, écologiques et énergétiques A la tête de CINOV Ingénierie, Damien Racle aura à cœur de continuer à soutenir les adhérents et la filière dans le contexte économique actuel tout en faisant valoir les positions de CINOV Ingénierie dans le cadre des projets de réglementations en cours (RE2020) et du plan France Relance. Pour ce faire, il souhaite s’attacher en priorité à promouvoir le rôle moteur que doit jouer l’ingénierie dans les transitions numériques, écologiques et énergétiques actuelles.« Nous vivons actuellement une période à la fois inédite et décisive, sur le plan économique et écologique. L’ingénierie est porteuse de solutions efficientes pour nous aider collectivement à prendre les bonnes décisions. Il était donc primordial pour moi de m’engager au sein d’une association professionnelle à ce moment clé de notre histoire, pour peser dans les débats et contribuer pleinement à faire reconnaître la dimension stratégique de notre profession » témoigne Damien Racle, Président de CINOV Ingénierie.
Il y a 4 ans et 203 jours

Nouvelle implantation pour Hörmann qui fait sens

En plus des filiales commerciales, Hörmann dispose d'un site de production sur le territoire national : TUBAUTO SAS. Au total, 410 collaborateurs sont employés par le groupe en France et plus de 6.000 collaborateurs dans le Monde, développant un chiffre d'affaires d'un milliard d'euros. Précisons d'ailleurs que les activités françaises se hissent à la 1ère place du groupe familial Hörmann en termes d'apport de chiffre d'affaires - sur les 90 présences dans le monde revendiquées par le groupe -.Rappelons que le groupe Hörmann avait, en 2016, impulsé une nouvelle dynamique visant à regrouper les sièges de ses trois entités françaises : Hörmann France, dont le siège était basé jusque-là à Gonesse, TUBAUTO SAS qui fabrique historiquement (création en 1933) des portes de garage à Sens et TUBAUTO Distribution qui, comme son nom l'indique, est en charge de la commercialisation des références TUBAUTO et EUROPRO en France.À la suite d'un important investissement de 10 millions d'euros initié en 2017, Hörmann France a donc rejoint le site historique de TUBAUTO à Sens de 15.000 m2.Ces 10 millions ont été dédiés pour moitié à la construction d'un nouveau bâtiment (3.000 m2 de bureaux) et, l'autre moitié, au parc machines et à l'extension de 20.000 m2 de l'usine TUBAUTO.Avec ce nouvel écrin qui abrite également un superbe show-room de 400 m2 mettant en lumière tant les solutions Habitat que celles pour l'Industrie, Hörmann France se donne ainsi les moyens de poursuivre son développement national.Disposant d'un maillage de sept agences et sept dépôts répartis sur l'Hexagone, Hörmann France emploie 230 collaborateurs et dispose d'un réseau de près de 150 partenaires Espace Conseil.Les tendances Hörmann en HabitatEn développement depuis plusieurs années, la division Habitat Hörmann France, avec son offre aboutie de portes de garage, portes d'entrée, portes d'intérieur et motorisations a comme toute la filière bâtiment subi les effets de la crise sanitaire.« Le premier semestre 2020, d'une manière générale, a fortement été entaché par la crise de la COVID-19 avec, chez Hörmann, un recul des ventes Habitat par rapport à la même période en 2019. Toutefois, l'activité reprend nettement depuis la sortie du confinement, la plupart des chantiers ayant été repoussés et non annulés. Après deux premiers trimestres 2020 difficiles, le résultat pour le troisième trimestre 2020 est bon et devrait le rester pendant plusieurs trimestres. D'autant que, comme toujours, Hörmann innove et va présenter des nouveautés…»Nicolas Mergenthaler, chef de marché HabitatLes nouveautés produits Hörmann HabitatMarque haut de gamme qui décline également depuis quelques années des réponses à prix particulièrement attractifs, comme par exemple l'offre de portes de garage sectionnelles et motorisées RenoMatic, Hörmann place l'innovation au coeur des tendances digitales en dévoilant au marché français ses solutions en ligne, conjuguées à une nouvelle offre RenoMatic étendue.Contrairement à d'autres configurateurs du marché, accessibles seulement depuis KWN, KWW ou encore iHAAS, ce nouveau configurateur s'adresse plus particulièrement aux clients d'Hörmann France mais aussi aux particuliers ayant pour projet l'installation d'une nouvelle porte d'entrée ou porte de garage sectionnelle. Facile à utiliser à partir d'une simple photo de façade, le configurateur permet de projeter le plus fidèlement possible la future installation qu'il s'agisse d'une porte d'entrée ou d'une porte de garage. L'utilisateur, professionnel ou grand public, ayant simplement à sélectionner sa porte dans les catégories proposées et de la configurer en quelques clics seulement. Mentionnons d'ailleurs que les finitions, surfaces et couleurs, sont représentées de manière hyper réaliste et très fidèle, notamment pour les surfaces Decograin et Duragrain. Notons enfin que l'ensemble des gammes de portes d'entrée Hörmann y est référencé, du haut de gamme, la ThermoCarbon, à la très accessible Thermo46, avec ou sans parties latérales. De même, si les portes de garages LPU 42 et ART 42 y sont déjà accessibles, Hörmann a prévu de compléter prochainement le panel des solutions avec l'exhaustivité de ses réponses. Concluant sur une proposition exportable sous pdf avec la configuration personnalisée, le particulier pourra ensuite se rendre chez un partenaire Hörmann, Espace Conseil ou non, pour lui demander un devis personnalisé. Du côté du professionnel partenaire Hörmann, ce configurateur, véritable différenciateur et accélérateur de business, sera un gage de développement de chance de concrétiser la vente avec une proposition au rendu hautement fidèle des futurs travaux qui leur permettra de s'y projeter totalement.Système flexible Smart Home : Hörmann homeeGrâce à une simple installation de l'unité centrale Smart Home homee Brain sur le réseau domestique par connexion wifi avec routeur, ce nouveau système Hörmann assure une facilité de pilotage et de commande des motorisations de porte de garage et de portail, mais aussi des serrures de porte d'entrée, tout comme des motorisations de porte et autres appareils compatibles (caméras de sécurité, les thermostats de chauffage, station météo ou les volets roulants....).En effet, l'unité centrale embarque de série le système Hörmann BiSecur et une connexion Wifi compatible avec les systèmes AVM Smart Home, Neamţ, Belkin, Nuki, Homematic, myStrom, WOLF Haustechnik. De plus, elle peut à loisir être complétée d'autres cubes et donc d'autres systèmes radios comme Zigbee (pour les appareils et systèmes Philipps Hue, Bitron, Ikéa), mais aussi EnOcean (cube optionnel pour Smart Home AFRISO, Eltako), Z-Wave (pour Aeotec, Danfoss, Devolo, Everspring, Fibaro). La commande s'opère en effet très facilement de n'importe où via une application gratuite (compatible smartphone et tablette), une application web PC ou encore par simple commande vocale (avec Amazon Alexa, Google Assistant ou Appli Siri). Proposant notamment une vue d'ensemble précise des différents statuts de chacune des ouvertures connectées (porte d'entrée, de garage ou encore portail), il permet de s'assurer de l'ouverture ou de la fermeture de chaque élément tout comme du verrouillage de la serrure mais aussi de déterminer des scénarios d'usage synonymes de sécurité, de confort et d'économie d'énergie. Enfin, l'utilisateur appréciera la fonctionnalité de notification d'alerte en cas de porte d'entrée déverrouillée par l'application ou si le détecteur de mouvement s'enclenche.Une Nouvelle offre RenoMatic étendueFort du succès rencontré en France et en Europe par l'Europa Promotion (25 % de progression en France), Hörmann France a dévoilé depuis le 1er octobre 2020, une nouvelle offre, véritablement exhaustive et au prix très attractif, en portes de garage sectionnelles : la gamme RenoMatic. Hörmann France souhaite ainsi confirmer le succès de l'offre RenoMatic en complétant les 4 dimensions standard proposées dans la promotion 2020 par la totalité des références, y compris en sur-mesure. Nicolas Mergenthaler précise : « Cela devrait ainsi permettre à nos clients professionnels de renforcer leurs positions et de gagner de nouvelles commandes sur leurs secteurs, notamment face aux assembleurs.»Les tendances Hörmann en IndustrieCôté Industrie, Hörmann France constate aussi le coup d'arrêt au moment du confinement avec un maintien d'une faible activité services. Pour autant, Laurent Sautier chef de marché Industrie Hörmann, salue « la reprise post-déconfinement de tous les chantiers entamés avec notamment un maintien assez soutenu dans le service après-vente et une activité positive des secteurs de la logistique et des entrepôts. En revanche, sur le marché des industriels, la frilosité et le blocage des investissements dû à l'incertitude des conséquences de la pandémie sur de nombreux secteurs entraînent une baisse d'activité dans les projets ». Hörmann France peut ainsi revendiquer des belles et récentes références comme par exemple l'équipement du siège de BMW France dans les Yvelines, mais aussi le MIN de Nantes et ses 250 portes industrielles, ou encore les bases logistiques d'Auchan (67), Lidl (38), La Poste (77, 87), Biocoop (35), Schenker (85), XPO (79), Mondial Relay (44), tout comme les 96 portes sectionnelles Hörmann pour le circuit de Magny Court dans la Nièvre.Les nouveautés produits Hörmann IndustriePortes coulissantes coupe-feu à 1 vantail, 2 vantaux ou en exécution télescopique : avec la gamme la plus importante d'Europe en solutions coupe-feu, Hörmann propose des réponses esthétiques et performantes en portes tertiaires acier et acier inoxydable, portes tertiaires à chassis tubulaire entièrement vitrées, mais aussi des portes automatiques piétonnes ou encore des rideaux coupe-feu ou de compartimentage. Ses nouvelles références en portes coulissantes coupe-feu EI230/EI260, EI290 et EI2 120 OD, avec leur marquage CE et leur portillon incorporé (en exécution sans seuil homologuée pour porte coulissante anti-fumées), constituent la nouvelle génération de réponses Hörmann dédiées tant pour le coupe-feu que le pare-feu, en 1 ou 2 vantaux, double ou triple panneau téléscopique. Des qualités feu qui se conjuguent également avec des hautes performances acoustiques (allant de 29 à 31 dB). Indiquons aussi qu'Hörmann complète son panel de réponses par différents modèles de motorisations possibles comme d'équipements spéciaux (course libre, tablier porte et portillon incorporé verrouillable, potelets de protection et chasse-roue...) ainsi que d'une porte coulissante (EI230) à fermeture affleurante pour une largeur de passage maximale.Rideau de compartimentage FlexFireAvec ce rideau textile (filaments de verre renforcé d'acier V4A) coupe-feu destiné aux bâtiments commerciaux et industriels, Hörmann apporte des réponses concrètes en cas d'incendie. En effet, ce rideau (contrôlé par une unité de commande FSA-FLexControl de série) s'avère capable de fermer les grandes ouvertures en seulement quelques secondes (6 par mètre) afin d'empêcher toute propagation du feu aux zones adjacentes. Particulièrement recommandé pour les hôtels, bâtiments publics et grands magasins, le FlexFire d'Hörmann se veut parfaitement adapté aux chantiers avec configurations exigües et à l'espace de montage limité (car prenant beaucoup moins de place que la solution traditionnelle porte). Soulignons qu'il se décline dans des dimensions allant jusqu'à 5 x 5 mètres et qu'il propose des versions coupe-feu de l'E30 à l'E120, en fonction des exigences imposées. Autre atout sécurité, Hörmann le fournit avec une alimentation électrique ainsi que deux batteries, assurant un fonctionnement y compris en cas de coupure de courant. Enfin, si le raccordement à une centrale d'alarme incendie du client est possible dans le système de commande, notons qu'en combinaison avec des détecteurs d'incendie (optiques ou thermiques) qui surveillent la zone de la porte, cette commande répondra idéalement aux exigences de la norme EN 14637.Porte rapide V4008 SELPorte rapide simple adressée aux marchés de la distribution ou les petites industries. Avec son moteur tubulaire situé dans l'axe d'enroulement de la porte, la 4015 SEL ALU-R se veut aussi discrète dans son fonctionnement que par son design fluide, avec des parties latérales fines (125 mm d'épaisseur) et élégantes réalisées en aluminium. Cette nouvelle porte rapide, disponible en cinq coloris de tablier (jaune, orangé, rouge carmin, bleu gentiane et gris agate), convient particulièrement aux situations de montage avec espace réduit et aux fréquences élevées grâce à ses montants latéraux fins et à son moteur tubulaire performant. De même, grâce au petit interstice au niveau des montants latéraux et joints à lèvre, la porte se veut étanche sur tout son pourtour. Précisons également que les coulisses de la V 4015 SEL ALU-R ont été réduites grâce à l'utilisation d'un moteur tubulaire puissant, source d'un gain de place non négligeable dans le bâtiment. Côté sécurité et robustesse, notons de plus que la 4015 SEL ALU-R est dotée d'un capot de protection sur l'arbre de série en aluminium. Particulièrement facile d'entretien, grâce notamment à son capot d'arbre séparable, la V 4015 SEL ALU-R revendique une grande étanchéité assurée par le joint à lèvre et à la faible distance au cadre dormant. Si la V 4015 SEL ALU-R est équipée de série d'une barrière photoélectrique et du profilé Softedge avec interrupteur radio anticrash et réenfilage manuel, elle s'accompagne, en option, d'éléments de commande intégrés au montant latéral qui permettent l'utilisation de toutes les fonctionnalités de commande (ouverture, fermeture, réglage pour l'entretien...). Ainsi, grâce au profilé SoftEdge flexible, les temps d'arrêt dus aux endommagements du tablier sont révolus. Enfin, puisqu'Hörmann pense à tout, la V 4015 SEL Alu-R est également disponible en option avec un profilé de sol en aluminium pour une charge au vent de classe 1 (norme DIN EN 12424) ou encore avec un tablier anti-insectes à la place de la bande transparente. De même, Hörmann préconise cette référence pour une utilisation en salle blanche avec son exécution «Clean», qui comprend un habillage avec trappe de visite et lèvre d'étanchéité supplémentaire pour environnement à la différence de pression allant jusqu'à 30 Pa, ainsi qu'un profil de bas de porte en aluminium.Leader européen dans la fabrication des portes, blocs-portes, huisseries et motorisations pour l'industrie, le tertiaire et l'habitat, l'entreprise familiale Hörmann poursuit sa croissance. Forte aujourd'hui d'un réseau composé de plus de 80 sites de distribution et de nombreux distributeurs répartis dans 30 pays d'Europe, d'Amérique du Nord et d'Asie, de plus de 6 000 collaborateurs et de 31 usines hautement spécialisées, Hörmann développe annuellement un CA total de plus d'un milliard d'euros. Une réussite portée par son engagement sans cesse renouvelé en faveur de l'innovation, de la qualité et de la proximité client.
Il y a 4 ans et 203 jours

La Fédération des Ascenseurs dévoile les lauréats du concours d'architecture "La Cité des Ascensions Durables"

Ce concours était doté de 9 000 € de prix. Il s'agissait de réfléchir à la manière dont les techniques les plus pointues de l'ascensorisme et du levage, peuvent améliorer la qualité de l'environnement et des cadres de vie de demain.Grâce à ces nouvelles méthodes, les candidats ont pu proposer des pistes poétiques, réalistes et/ou futuristes, pour redynamiser les centres-villes anciens, pour mieux vivre en ville dense, pour préserver les terres agricoles, pour diminuer l'impact des voitures, pour rendre plus durables les immeubles de grande hauteur, pour favoriser l'agriculture urbaine, pour améliorer les recyclages courts et les stockages de proximité, pour simplifier les déplacements, pour économiser l'énergie et améliorer le confort ou pour installer de nouveaux artisanats en ville.Les projets montrent que la jeune génération est prête à relever les défis de l'innovation pour réfléchir autrement aux cadres de vie. Pour elle, il s'agit d'allier préservation de la planète et emploi des hautes technologies propres.Madame Emmanuelle COSSE, ancienne ministre du Logement a présidé le jury composé de Claire Bailly, architecte, enseignante, chercheure, co-fondatrice de l'Atelier Bio-numérique, Vincent Ducrey, co-fondateur et dirigeant du Digital Think Tank HUB Institute, Guillaume Fournier Favre, Président de la Fédération des Ascenseurs, Thomas Guéret, Chef de la mission prospective au Ministère de la transition écologique et solidaire, et Jean-Michel Jacquet, architecte conseil de la DGALN.La réunion du jury a été animée par Alain Meslier, Délégué Général de la Fédération des Ascenseurs et Jean Magerand, architecte, docteur, chercheur, co-fondateur de l'Atelier Bio-numérique.Les lauréats du concours1er prix : Le sens de la GravitéLouis HAREL, ENSA Lyon – 4 000 €Une utopie réaliste low tech pour logements existants, autour des cages d'ascenseur high tech, où convivialité et cycles courts sont les maître-mots. L'ascenseur devient le centre d'un tiers-lieu vertical, utilitaire et poétique. Ce lieu de rencontre et d'échange rend la vie des habitants plus écologiquement vertueuse et plus confortable.2ème prix : Flux LabGeorges SOUAID et Marina CAMACHO GALAN, ENSA PLV – 2 000 €Un projet radical pour une ville verticale généreuse, où high tech numériques et sources biologiques d'énergie se combinent pour contribuer à proposer des villes plus sereines et plus respectueuses des milieux naturels.3ème prix : Flying GardenNoémie GRATIEN, ENSA Lyon – 1 500 €La verticalité au service d'exploitations agricoles urbaines, rendues opérationnelles par des systèmes sophistiqués de dessertes automatiques horizontales et verticales.4ème prix : RélévationMona MENADI, Carrick REDDIN, Alexandra VAN MILINK, SciencesPo Paris Sciences Po Paris ; Alice DUVIVIER, Ingénieure INSA Rouen – 1 000 €Exploiter les sous-sols des villes comme un gisement d'espaces à occuper, pour densifier sans surélever. L'ascension durable est mi-aérienne, mi-souterraine, parcourant une ville compacte, laissant à la lumière naturelle les espaces de vie, et utilisant les espaces sombres pour les dispositifs de stockage, production, circulation.5ème prix : Retour à la terre en s'élevant vers le cielBaptiste MINGOIA, David LUCOT, diplômés Master d'Architecture, ENSA PVS – 500 €Une utopie pour l'équilibre entre ville et nature, avec de grandes tours multi-programmatiques, écologiques, organisées chacune autour d'un bassin vertical, qui stocke la pluie et l'eau atmosphérique, irrigue les cultures, fournit de l'énergie.Projets Mentionnés :ADN2 - Ascenseur Développeur de Nature dans la Néo-technologie, Clément BEAUQUIER, doctorant Polytechnique Paris ; Manon BELEC, Yann DODUIK, diplômés Master d'ArchitectureMention Amélioration de la biodiversité en villeTerminus Betterave - Gare agricole sur le circuit maraîcher de la Somme, Antonin DELAIRE, École d'architecture Marne La ValléeMention Transport et stockage automatiques des produits agricoles en circuits courtsLes sommets du réemploi - Mobilités et programmations innovantes en montagne, Marion SERRE, Gabriele SALVIA, docteures en architecture ; Mirella CACCIA KOSTOVIC, ENSA MarseilleMention Mobilités vertueusesHUB2O, Aude CALATAYUD, Estelle JACOB, ENSA StrasbourgMention Innovation en matière de transport urbainPerversions, Livio SPADA, Master Spatial Planning Londres, Federico PERUGINI, École d'architecture de Pavia, Nicola DRAGHI, Master Sustainable Energy Technology TU DelftMention Innovation territoriale et politique
Il y a 4 ans et 203 jours

Baromètre Domexpo : où les franciliens font-ils construire ?

En 2019, 8.557 ménages originaires d'Île-de-France ont obtenu une autorisation pour la construction d'une maison individuelle neuve. Parmi eux :6.091 ont fait construire en Île-de-France, soit 71%2.466 l'ont fait dans une autre région française, soit 29%Ces tendances restent stables par rapport au dernier Baromètre Domexpo dédié à cette thématique qui révélait également que 30% des ménages originaires de l'Île-de-France ont choisi de quitter leur région d'origine pour s'installer, principalement, dans l'ouest et le sud de la France.Quelles sont donc les zones géographiques françaises choisies par les (futurs ex) franciliens qui décident de faire construire ?Le Baromètre Domexpo révèle ainsi que, parmi les 2 466 ménages qui font construire en dehors de l'Île-de-France :30% d'entre eux choisissent la façade Atlantique (v/s 37% en 2018) ;29% optent pour un département limitrophe à l'Île-deFrance (v/s 30% en 2018) ;14% souhaitent s'installer sur la façade Méditerranéenne ou en Corse (v/s 10% en 2018).Les autres (27%) sont dispersés sur le reste de la France.« Comme pour les éditions précédentes, on constate qu'1 francilien sur 3 choisit de faire construire sa maison en dehors de l'Île-de-France, principalement sur la façade Atlantique, ou la bordure Méditerranéenne. Pour ceux qui choisissent de faire construire aux alentours de l'Île-de-France, il s'agit principalement de primo-accédants qui souhaitent bénéficier d'un coût du foncier plus abordable, tout en restant à proximité de leur région d'origine… Rappelons que cette configuration francilienne est assez atypique, car dans toutes les autres régions françaises, les ménages ne s'éloignent que très rarement de leur lieu de domiciliation initial.Toutefois, ces tendances devraient très prochainement évoluer : avant le confinement lié à la crise sanitaire, les particuliers ne souhaitaient pas trop s'éloigner de Paris, et donc de l'Île-de-France, afin d'éviter des temps de trajets trop longs pour aller sur leur lieu de travail. Mais, aujourd'hui, ils ont changé d'état d'esprit et n'ont plus peur de passer du temps dans les transports en commun ou en voiture. De plus, la généralisation du télétravail favorise cet éloignement. L'Eure (27) et l'Oise (60) deviennent par exemple des départements de plus en plus recherchés. Nous vous donnons donc rendez-vous pour l'édition 2021 du Baromètre Domexpo consacré aux franciliens qui font construire, pour constater les premières conséquences de la Covid-19 sur les départements privilégiés pour faire construire sa maison. »Daniel Lair-Lachapelle, Président de Domexpo
Il y a 4 ans et 203 jours

Comment la crise sanitaire change les attentes des Français sur les objets connectés ?

L'amélioration de la qualité de vie au centre des attentes 53% des Français estiment qu'ils pourront les aider à mieux vivre d'éventuelles nouvelles contraintes liées à la crise sanitaire. Exit la sécurité ou le gain de temps, l'objet connecté rime désormais avec qualité de vie, se fait plus proche et plus « humain ». En effet, en comparaison à 2019, le nombre de personnes qui déclarent avoir acheté un objet connecté pour rester en contact avec leurs proches bondit de 6 points. De la même manière, occuper son quotidien grâce aux objets connectés devient une motivation prioritaire pour 44% des Français. Ce sont les équipements de divertissement (son et image) qui tirent leur épingle du jeu. En effet, si les montres connectées (22%) trustent toujours la première place des ventes, on remarque que la crise a porté les Smart TV à un niveau quasiment similaire (21%). Quant aux amplificateurs de son et diverses enceintes, ils grimpent à 14%, juste derrière les assistants vocaux (15%).« On observe un glissement d'image des objets connectés de la performance vers le confort, la qualité du temps partagé et le divertissement. L'objet connecté permet de se réapproprier son foyer. Au-delà de l'effet COVID, c'est bien une tendance durable qui semble se mettre en marche. Les Français se recentrent sur leur habitat et anticipent le temps croissant qu'ils vont passer chez eux, que ce soit grâce au déploiement du télétravail, ou encore à la relocalisation des loisirs au sein du foyer. Nous sommes fiers de partager ces valeurs avec les Français et d'œuvrer chaque jour à créer des liens et à les maintenir, pour mieux vivre ensemble » remarque Claire Verbrugge, Directrice marketing Boulanger. Des objets connectés au pied du sapinQue ce soit pour soi (10%) ou pour offrir (13%), les objets connectés seront cette année bel et bien au pied du sapin.« 17% des Français ont acquis un objet connecté durant le confinement et malgré ce chiffre important pour un épisode de « seulement » deux mois, les intentions d'achat pour Noël restent relativement stables par rapport à l'année dernière (21% des Français). L'équipement des foyers français en matière d'objets connectés progresse donc en permanence » explique Claire Verbrugge, Directrice marketing Boulanger.A noter également la progression chaque année du nombre de Français prêts à faire le choix du reconditionné pour s'équiper. Il grimpe cette année à 50% (+2 points par rapport à 2019). Une hausse encore plus notable chez les 18-24 ans qui sont 64% à le déclarer (+4 points par rapport à 2019). Un moyen pour toutes les catégories de Français, des plus modestes aux plus aisés, de maîtriser leur budget (49%) et de préserver les ressources naturelles (35%)..Le saviez-vous ?Seuls 15% des Français font appel à l'offre de service du vendeur pour installer et profiter du plein usage de leur appareil connecté. 10% d'entre eux déclarent ne pas savoir que ce service existe. Il est pourtant possible de bénéficier de service « Livré-connecté » ou encore d'une aide à l'installation par visio ou par téléphone sur rendez-vous. Grâce à ces services les clients peuvent profiter de leur appareil connecté immédiatement. Lorsqu'elle a lieu à domicile, l'installation se fait dans le respect des gestes barrières, pour la sécurité de tous.*Baromètre IFOP pour Boulanger « Les Français et les Objets Connectés » - Questionnaire auto-administré en ligne auprès d'un échantillon représentatif de la population française - septembre 2020.
Il y a 4 ans et 203 jours

Près d'un million de personnes en recherche d'emploi formées en 2019

Le PIC, lancé en 2018, est destiné à former un million de jeunes décrocheurs et un million de demandeurs d'emploi d'ici 2022.Le tout premier rapport du comité scientifique de suivi de ce programme se focalise principalement sur l'état des lieux de la formation, montrant notamment qu'en 2019 près de 450.000 formations ont été financées par Pôle emploi (344.000 en 2018), 380.000 par les Régions (347.000 en 2018) et 54.000 par l'État (25.000), entre autres.Les formations de Pôle emploi répondent à des besoins immédiats de main-d'oeuvre et favorisent un accès rapide à l'emploi, tandis que celles des Régions sont tournées vers des parcours longs et l'accès à une qualification et/ou un diplôme. Ce qui explique que les durées des formations des Régions (5,5 mois) soient presque trois fois plus longues que celles commanditées par Pôle emploi (2,3 mois), une constante depuis 2015.Depuis 2015, la part des moins de 25 ans en formation a diminué progressivement de 33% à moins de 25%, au profit des séniors et des demandeurs d'emploi de plus de 25 ans.Ce recul s'explique par le fait que les chercheurs d'emplois parmi les moins de 25 ans ont reculé entre 2015 et 2019. Autre explication: le développement d'une offre alternative à la formation entre 2015 et 2019, comme la Garantie jeunes (gérée par les missions locales) ou le service civique.Le comité note un accompagnement vers l'emploi "peu développé" mais ne dispose pas "à ce stade d'une mesure de l'insertion professionnelle de l'ensemble des sortants de formations dans le contexte du PIC".Avant le déploiement de ce programme, dans les six mois qui suivaient la fin de la formation, plus de 50% des demandeurs d'emploi accédaient à un emploi d'un mois ou plus, en 2017 et 2018.Le comité pointe le fait que le PIC "a été pensé et organisé pour une période de reprise, postérieure à la crise de 2008, durant laquelle on anticipait une augmentation, progressive mais régulière, de la demande de travail". Or "la crise sanitaire a profondément bouleversé le marché du travail français", un sujet sur lequel le comité ne se penche pas dans ce premier rapport.
Il y a 4 ans et 203 jours

Un projet de centrale à fioul en Guyane remplacé par celui d'une centrale alimentée en biomasse liquide

"Dans un contexte de forte croissance des besoins en approvisionnement en électricité en Guyane et dans la perspective de la fermeture de la centrale au fioul lourd de Dégrad des Cannes, il était indispensable de trouver sans attendre une solution pérenne et de construire une autre centrale", a observé la ministre dans ce communiqué."J'ai considéré qu'il était en revanche hors de question de miser sur le fioul, qui est une énergie polluante et fortement émettrice de CO². J'ai donc décidé, avec Rodolphe Alexandre, de réorienter le projet de centrale prévu jusqu'ici pour retenir une option d'alimentation à 100% fondée sur de la biomasse liquide", détaille-t-elle."Le projet initial prévoyait une centrale fonctionnant au fioul léger, avec une mise en service prévue début 2024", précise son ministère, selon lequel "Barbara Pompili s'assurera que les biocarburants utilisés respectent les critères de durabilité et soient conformes aux directives européennes".Ils ne devront notamment pas provenir de matières premières "présentant un risque élevé d'induire des changements dans l'affectation des sols", excluant notamment huile de palme et soja.Selon le gouvernement, la réorientation du projet doit permettre de réduire "considérablement les émissions de gaz à effet de serre" et "réduira également fortement les émissions d'oxydes d'azote (-64%) et d'oxydes de soufre (-99,6%)".
Il y a 4 ans et 204 jours

Un projet architectural ?

Il y a 4 ans et 204 jours

Tubesca-Comabi présente le MECA MODUL®, "le bon calcul"

Après le lancement du mini échafaudage roulant, Nano'Tower, et de l'escalier public, Publistep, en 2019, l'entreprise dévoile un tout nouveau concept, le Meca Modul®, « le bon calcul ».Face à la diversité des environnements industriels, les missions de maintenance sont extrêmement complexes et exposent les opérateurs à des risques variés. C'est pour résoudre ces problématiques et répondre aux besoins des professionnels de la maintenance que Tubesca-Comabi a imaginé le Meca Modul.Des solutions qui s'adaptent aux utilisateurs et à leur environnementFabriqués en France, en aluminium, comme la plupart des produits de Tubesca-Comabi, à la croisée des chemins entre des solutions standards et des solutions sur mesure, les modules de ce nouveau concept sont simples à monter et surtout très sûrs. Ils s'adaptent à chaque poste de travail et évoluent avec les besoins spécifiques des professionnels. Ces derniers peuvent en effet choisir parmi 3 utilisations de modules pour :accéder à une machine pour sa maintenance et aux quais de chargement. Ces modules permettent également tout type d'accès permanent ;travailler sur des lignes de production ainsi que sur des postes de travail temporaires ou permanents ;circuler sur des zones sécurisées en espaces étroits ou encombrés, et sur des accès divers, ainsi que sur des zones de franchissement (de faibles hauteurs).Conçu pour que les opérateurs de maintenance puissent travailler en toute sécurité et en évitant tout risque de chute, le Meca Modul répond aux exigences des normes EN 14122 et EN 14123.Un concept aux multiples avantagesAprès avoir choisi leurs modules, les professionnels peuvent opter pour la configuration souhaitée parmi plus de 80 configurations possibles.Le confort de leur poste de travail est aussi assuré par une protection collective. Ils peuvent en effet choisir leur option de sécurité ou de confort : rampe, garde-corps et portillon de sécurité…Par ailleurs, Tubesca-Comabi garantit une disponibilité immédiate des modules, lorsqu’elle en reçoit la commande. Dès réception, il ne reste plus qu’à effectuer le montage, simple et rapide, par l’utilisateur.Très faciles à manipuler et à déployer, ces solutions ont été étudiées pour que leur installation soit facile et réalisée en quelques minutes.
Il y a 4 ans et 204 jours

Kiloutou crée une nouvelle filiale spécialisée dans la signalisation & la protection des chantiers

De la demande administrative d'emprise sur voie publique au démontage des installations, les différentes étapes liées à l'organisation d'un chantier ou d'un évènement nécessitent, à la fois, des équipements spécifiques, de la flexibilité et de la réactivité.Fort de ce constat auprès des acteurs du BTP, des collectivités territoriales et des entreprises organisatrices d'évènements, KILOUTOU Signalisation a ouvert sa première agence à Génicourt (95) pour servir notamment l'Ile-de-France et les chantiers du Grand Paris.L'offre de produits la plus large du marchéAvec un catalogue de plus de 250 références, KILOUTOU SIGNALISATION propose l'offre la plus large du marché des dispositifs de signalisation routière, d'équipements d'affichage et de matériels pour sécuriser et protéger les chantiers et toutes manifestations publiques ou privées :Matériels pour le franchissement des sols : tunnel pour piéton, passerelle véhicule ou piéton, plaque de protection des sols ou passage de câbles, plaque de franchissement acier et résine…Séparateurs de voies et de protection en béton ou en PVC, plots anti-intrusion...Barrières de police, de Travaux Publics en acier ou PVC, grillagées, rampes canaliseur de foule…Panneaux de signalisation (danger/interdiction/indication/chantier), cônes et balisage (balises, feux de signalisation fixes et temporaires) avec possibilité de personnalisationMarquage au sol fixe ou temporaireProtections, clôtures et bardages de chantier : clôture bardée, palissade et portail de chantier, clôture ville de Paris… avec possibilité de personnalisation des façadesÉquipements de chantier : guérite, conteneur, WC chimique, WC PMR, toilette sèche, urinoir…Des services complémentairesKILOUTOU SIGNALISATION s'impose comme un véritable partenaire du BTP, des collectivités territoriales et de l'événementiel en proposant une gamme de services répondant concrètement aux besoins d'agilité et de réactivité :Une gestion et traitement des autorisations administratives d'emprise sur la voie publiqueLes demandes administratives permettant la pose d'éléments sur la voie publique peuvent être prises en charge par KILOUTOU SIGNALISATION en amont du montage.Un service de livraison, d'installation et de reprise assuré 24h/24, 7j/7Une reconfiguration des installations pour un suivi au plus près des différentes phases des chantiersLes équipes de KILOUTOU SIGNALISATION suivent les différentes étapes des travaux et réadaptent la disposition des éléments, tout en préservant la sécurité des installations et des personnes.Une maintenance et/ou un remplacement en cas d'éléments cassés ou manquantsIl est possible de bénéficier d'une maintenance préventive et curative des installations durant toute la durée de la location. Une équipe de monteurs dédiée intervient en cas de casse ou de vol des éléments.Une prestation pour le marquage au solPour les passages piétons temporaires ou pour des marquages de déviations de voies, KILOUTOU SIGNALISATION dispose du matériel nécessaire pour produire les réalisations demandées, y compris la pose d'éléments podotactiles.Des impressions à la demande de panneaux de communication ou de signalisationKILOUTOU SIGNALISATION propose la réalisation de panneaux de communication, telle que la signalétique évènementielle de grande taille ou des panneaux de chantiers.
Il y a 4 ans et 204 jours

Rivalis accompagne les artisans et dirigeants de TPE

RIVALIS, réseau d'accompagnement des Dirigeants de TPE vient en soutien à plus de 22.400 dirigeants, principalement des TPE de moins de 20 salariés et des artisans. Les clés de son succès ? Une méthodologie alignée aux réalités du terrain, des conseillers expérimentés et une boîte à outils pour suivre les performances de l'entreprise et ajuster sa stratégie de développement.+71% de sérénitéÊtre à la tête d'une TPE n'est pas de tout repos. Avec RIVALIS, les Dirigeants peuvent désormais se concentrer sur leur métier et assurer la gestion de leur entreprise aux côtés, et sous l'impulsion, de leur conseiller RIVALIS. « Prendre de la hauteur, ne plus être seul, se faire conseiller, être challengé… nombreuses sont les motivations pour faire appel à RIVALIS. Et au final, les résultats sont probants, tant pour le Dirigeant que pour l'entreprise* : +71% de sérénité, +17% de revenu, +33% de congés, +40% de résultat d'exploitation annuel…Le cas de l'entreprise P. CAMUSAT : des projets de développement maintenus malgré la crise du COVID-19Malgré la bonne santé financière de l'entreprise PHILIPPE CAMUSAT, c'est la première fois en 12 ans que les dirigeants ont douté... L'entreprise et ses 4 salariés se sont confinés dès le 17 mars. La peur de la crise sanitaire, les difficultés à gérer le flot d'informations, parfois contradictoires, le manque de visibilité, la peur du lendemain ont rapidement laissé place à la détermination. Entourée de son conseiller RIVALIS, l'entreprise familiale a rebondi très vite après le confinement, en maintenant son projet de développement avec l'embauche de 2 salariés supplémentaires, l'achat d'un véhicule et la diversification de l'activité. Ces décisions ont été prises à partir d'analyses et de prévisionnels précis réalisés par Anthony Vallet, leur conseiller RIVALIS, qui, chaque jour, les a accompagnés dans leur cheminement.Le Conseiller RIVALIS, un dirigeant au service d'autres dirigeantsRIVALIS compte plus de 650 conseillers, dont près de 100 en Ile de France. Tous sont d'anciens cadres ou chefs d'entreprise, animés par la volonté de transmettre un savoir-faire.« Dans la relation de confiance établie entre le Dirigeant et son conseiller, nous abordons systématiquement son projet de vie pour s'assurer qu'il soit compatible avec le projet d'entreprise. On l'oublie souvent mais l'un ne va pas sans l'autre ! », précise Roland Cordon, conseiller RIVALIS IDF depuis 12 ans en Essonne.Chaque mois, le conseiller RIVALIS travaille aux côtés du dirigeant à l'optimisation du pilotage de son entreprise. Pour chaque décision importante, il l'accompagne avec des recommandations et une hauteur de vue, qui lui sont bénéfiques. La méthode RIVALISAu-delà de l'accompagnement par le Conseiller, la méthode RIVALIS c'est aussi la mise à disposition d'HENRRI, un outil informatique. Ainsi, les Chefs d'entreprise peuvent connaître en temps réel la situation de leur entreprise (rentabilité, trésorerie, impayés…), simuler et décider de la meilleure option, que ce soit pour un devis, une embauche ou encore l'acquisition de machines.* Enquête réalisée sous contrôle d'huissier par téléphone et en face à face, auprès de 510 clients ayant bénéficié d'1 an d'accompagnement RIVALIS minimum, du 06/05/19 au 30/07/19
Il y a 4 ans et 204 jours

Rheinzink mêle histoire et architecture moderne pour une vinothèque en Afrique du Sud

Exploités depuis plus de 100 ans dans la région de Stellenbosch, le vignoble Louisvale connait un succès sans cesse grandissant grâce à ses vins primés dans le monde entier. Pour accueillir leurs clients dans les meilleures conditions, les propriétaires ont décidé de compléter le manoir existant par une vinothèque dédiée à la dégustation et l'organisation d'évènements festifs.Pour la conception architecturale de cette extension, l'agence sud-africaine Christoff Albertyn Architects a souhaité rendre un hommage appuyé au peuple Khoïkhoï et à son mode de vie. Présents depuis plus de 2 000 ans dans cette région, les Khoïkhoï sont notamment connus pour leur huttes en bois en forme de dôme et pour leur régime alimentaire estival : les huitres perlières, véritables escargots de mer de forme ovale à l'intérieur en nacre, les Perlemoen.En écho, la structure de 2 étages de la nouvelle vinothèque présente la forme ovale de la Perlemoen et la façade sud offre aux regards la forme douce d'un dôme, percé de quelques ouvertures reprenant la géométrie de ces escargots de mer.Pour souligner et sublimer la forme complexe de cette façade, l'agence Christoff Albertyn Architects a choisi le zinc-titane RHEINZINK. Le matériau répondait précisément à trois critères : sa malléabilité permettant de réaliser facilement la forme tridimensionnelle de la façade ; l'absence d'entretien quasiment pendant toute sa durée de vie grâce à la formation naturelle d'une patine protectrice ; ses réponses aux critères du concept Cradle to Cradle en faveur de la protection de l'environnement.Enfin, pour bénéficier dès le départ l'apparence d'une surface patinée naturellement sous l'effet des intempéries, la teinte prePATINA ardoise a été sélectionnée dans le nuancier d'aspects de surface de teintes RHEINZINK.
Il y a 4 ans et 206 jours

Des immeubles en Chine envahis par les plantes

Le complexe de huit immeubles expérimentaux a été construit en 2018 dans la grande ville de Chengdu, capitale de la province du Sichuan. A l'époque, le projet a été décrit comme "une forêt verticale".Particularité: les appartements de ce quartier d'habitation, baptisé "Jardin forestier de Qiyi", possèdent tous des balcons où la végétation est maximisée, donnant aux édifices des allures de petite jungle.Selon le site internet du promoteur immobilier, l'ensemble des 826 appartements mis en vente ont trouvé acquéreur très rapidement en avril 2018.Mais des vidéos tournées début septembre montrent des bâtiments à l'apparence négligée, où la végétation semble avoir littéralement envahi les lieux: une mini-forêt s'étend sur de nombreux balcons et sur les murs extérieurs.Certains appartements paraissent occupés, avec de la lumière à l'intérieur des logements, des plantes bien taillées et du mobilier installé sur la terrasse. Mais les terrasses de nombreux autres sont recouvertes par une végétation laissée à l'abandon.Seules une dizaine de familles ont emménagé dans le quartier, selon le quotidien semi-officiel Global Times.Le faible taux d'occupation serait dû à la présence de nombreux moustiques, qui prolifèrent en raison de la végétation, ont déclaré des locataires au journal.
Il y a 4 ans et 206 jours

Deux sociétés condamnées pour des défauts sur un viaduc de l'A87 dans le Maine-et-Loire

Les sociétés Demathieu Bard Construction et Egis International sont condamnées à verser à ASF, une société du groupe Vinci, 1,032 million d'euros au titre de "désordres de fissuration résultant du phénomène de réaction sulfatique interne", ainsi que 1,487 million d'euros "au titre des désordres de fissuration liés au défaut de ferraillage". Demathieu Bard Construction était chargée de mettre en oeuvre les armatures métalliques de charpente de l'édifice et Egis International, en sa qualité de maître d'oeuvre, de contrôler les plans de ferraillage. Le différend porte sur un viaduc de 350 mètres de long, dit "viaduc du Layon", situé entre Angers et Cholet. ASF, qui a engagé la procédure sur le fondement de la garantie décennale des constructeurs, assure avoir dû procéder notamment à des travaux de consolidation du pont en raison des défectuosités observées. Des fissures avaient été observées dès 2004 sur les chevêtres des piles du viaduc "résultant, selon l'expertise, d'une insuffisance du ferraillage des chevêtres et d'une réaction chimique interne au béton appelée +réaction sulfatique interne (RSI)+", précise le tribunal. Les travaux avaient été réceptionnés en 2000.
Il y a 4 ans et 206 jours

Le secteur de la construction dispose-t'il des capacités numériques suffisantes pour la smart city ?

Finalcad, éditeur de logiciels leader du secteur de la construction, publie les résultats de son étude menée auprès de 400 dirigeants de la construction en France, en Espagne, à Singapour et au Japon dédiée à l'avenir de la construction et de la numérisation.Cette étude révèle que près de la moitié (47%) des personnes interrogées estime que le secteur de la construction ne dispose pas des capacités numériques suffisantes pour répondre aux exigences de la ville intelligente. Ce résultat interpelle alors que le développement intelligent ne cesse de prendre de l’ampleur à travers le monde. À titre d'exemple, en prévision des Jeux olympiques et paralympiques de Paris en 2024, le gouvernement français a déclaré que les nouvelles constructions et installations devraient être durables et « intelligentes ». Pour répondre à cette exigence, les sociétés de construction doivent combler leurs lacunes numériques et, en raison de l'incidence actuelle du COVID-19, accélérer leur transformation numérique dès maintenant, au risque de passer à côté d'importantes opportunités.Le défi de la transformation numérique du secteur de la constructionAujourd'hui, le secteur semble relativement prêt à affronter le défi de la numérisation : en effet, 95% des répondants indiquent que leur entreprise est « assez préparée » en matière de collecte de big data et d'adoption des technologies numériques.Des freins qui persistentCertaines barrières demeurent cependant, ainsi 68% des personnes interrogées affirment que leur principale difficulté, en termes de développement intelligent, est leur incapacité à collecter les données en temps réel. Dans ce domaine, plus d'un quart d'entre elles (28%) pointe également son inaptitude à créer l' « empreinte » numérique d'un bâtiment ou d'un actif.Surmonter ces obstacles sera essentiel pour le développement intelligent, mais aussi pour la construction « verte ». Par exemple, la Commission européenne met actuellement en place Level(s), une nouvelle structure qui permettra d'ici fin 2020 d'adopter une nouvelle approche de développement des bâtiments durables. Level(s) encourage les constructeurs, les architectes et les autorités publiques à réfléchir au cycle de vie d'un bâtiment, depuis l'achat des matériaux jusqu'à son éventuelle déconstruction et au recyclage des matériaux. Toutefois, l'étude conclut que les sociétés de construction ne sont pas encore prêtes à adopter ce type d'approche. En effet, nombre d'entre elles ne peuvent pas collecter et communiquer les données concernant la provenance des matériaux (32%) ni le pourcentage de déchets de matériaux recyclés sur un chantier (42%).« Le COVID-19 a durement touché le secteur de la construction, et le chiffre d'affaires des entreprises a absorbé le plus gros de l'impact. Notre étude montre que les marges bénéficiaires stagnaient déjà à environ 2% avant le COVID-19. Même si l'extrême difficulté qu'affronte le secteur ne fait aucun doute, elle offre aux sociétés de construction l'opportunité de passer au numérique afin d'assurer leur avenir. En privilégiant une numérisation immédiate, elles seront en mesure de tirer parti des futures tendances telles que les villes intelligentes et la construction verte. Ce faisant, elles pourront jouer leur rôle en contribuant à un futur plus durable, tout en accédant à de nouvelles sources de revenus essentielles à leur relance. »-Franck Le Tendre, PDG de Finalcad L'étude révèle également que les lacunes de compétences numériques constituent un frein à la transformation numérique pour la plupart des entreprises de construction : 96% des personnes interrogées estiment que leurs collaborateurs ne disposent pas des aptitudes nécessaires pour utiliser les applications et les outils numériques dans une certaine mesure.Vers une accélération de la numérisation pour plus de productivité et d'efficacitéPour relever ce défi, les sociétés de construction doivent investir dans des solutions intuitives privilégiant l'expérience utilisateur et la simplicité d'utilisation. Tous les collaborateurs pourront ainsi utiliser ces nouveaux outils, quelles que soient leurs compétences actuelles. En promouvant l'adoption des outils numériques grâce à cette approche, la numérisation s'accélèrera, à l'instar de la productivité, de l'efficacité et de la collaboration entre projets. Compte tenu du fait que 97% des dirigeants de la construction reconnaissent avoir certaines difficultés pour travailler de façon collaborative et partager facilement des informations, il est particulièrement important de catalyser ce changement.« La réduction des lacunes de compétences numériques jouera un rôle crucial pour contribuer à une collaboration et une communication efficaces dans le secteur de la construction. Il est par ailleurs essentiel de nous remettre des bouleversements causés par le COVID-19, qui a considérablement modifié le fonctionnement des entreprises, dans les bureaux comme sur les chantiers. La création de la première workplace numérique permettra aux sociétés de construction de jeter les bases numériques de leur future réussite. Point crucial, l'environnement de travail numérique est de surcroît bien plus attrayant pour les jeunes collaborateurs, étant donné que d'ici 2025, 75% des professionnels seront des millénials. Cette approche permettra aux entreprises de tirer parti des tendances et des opportunités commerciales post-COVID-19. »-Franck Le Tendre, PDG de Finalcad Étude Dirigeants Finalcad 2020 : « L'avenir numérique de la construction internationale » est la deuxième partie du rapport qui vise à analyser la numérisation de la construction.Pour consulter les résultats complets et télécharger le rapport, cliquez iciL'étude a été menée en février et mars 2020 pour Finalcad et réalisée par Coleman Parkes, société indépendante d'études de marché auprès de 400 personnes travaillant dans des entreprises de construction commerciale et résidentielle avec un chiffre d'affaires supérieur à 51 millions de dollars par an en France, en Espagne, à Singapour et au Japon. Au total, 200 responsables de site/directeurs gérant en moyenne 10 sites, et 200 responsables/directeurs de siège ont été interrogés. Sur les chantiers, les répondants étaient des chefs de projet, responsables d'un chantier ; aux sièges, il s'agissait de directeurs d'unité opérationnelle chargés de la construction.Pour plus de détails, consultez la section « Informations démographiques ».
Il y a 4 ans et 206 jours

Pas d'édition physique du salon Mapic cette année à cause de l'épidémie

"L'édition 2020 du Marché international de l'implantation commerciale et de la distribution (Mapic) se fera entièrement en ligne via une nouvelle plateforme digitale", indique un communiqué."L'événement physique, initialement prévu du 17 au 19 novembre à Cannes, est annulé en raison de l'impact continu de la Covid-19", précise-t-il.Il en est de même pour "LeisurUp", un nouveau salon professionnel dédié uniquement au créneau du loisir, qui devait avoir lieu en même temps que le Mapic."Mapic Digital réunira les professionnels de l'immobilier commercial, de la distribution et du loisir, du monde entier", a commenté Nathalie Depetro, directrice du Mapic, citée dans le communiqué. Ils pourront notamment y "organiser des rendez-vous d'affaires virtuels", "assister à des conférences en ligne" ou encore "accéder à du contenu exclusif comme des livres blancs".L'an dernier, le Mapic avait réuni pendant trois jours environ 8.500 participants venus de 80 pays.
Il y a 4 ans et 206 jours

Les plus pauvres sont de plus en plus découragés d'acheter leur logement

Il y a "une baisse des emprunteurs les plus modestes" parmi les crédits immobiliers accordés par les banques, a souligné ce jeudi Jean-Marc Vilon, directeur général de Crédit Logement.Cet organisme, qui réunit les principales banques françaises, vient de publier ses chiffres trimestriels sur l'état du marché. Etablis avec l'institut CSA, ils font référence pour le secteur.D'un côté, ils témoignent de conditions toujours très favorables, dans la lignée des dernières années: des taux extrêmement bas, 1,22% en moyenne en septembre, et des prêts accordés pour des durées historiquement longues, 19 ans et deux mois le mois dernier.Mais cela ne veut pas dire qu'il est toujours aussi facile d'emprunter pour acheter un logement.Au troisième trimestre, les banques ont diminué le nombre total de prêts immobiliers de près de 8% par rapport à un an plus tôt, et ce sont les plus pauvres qui en font largement les frais.Bien sûr, la crise sanitaire est passée par là avec, au printemps, plusieurs semaines de confinement qui ont bloqué de nombreuses opérations.Mais les professionnels évoquent une tendance plus large, avec un grand coupable en tête: les autorités financières, qui demandent depuis près d'un an aux banques de restreindre leurs conditions.Le ministère de l'Economie et la Banque de France enjoignent notamment aux banques d'éviter de prêter sur plus de 25 ans. Ils craignent que l'essor des prêts immobiliers, sensible depuis des années et largement lié à la politique très interventionniste de la Banque centrale européenne (BCE), finisse par se traduire par des opérations trop risquées.Vague d'impayés à l'horizonCes mesures ont vivement déplu à un large pan du monde immobilier, des courtiers en crédit jusqu'aux constructeurs de maison.Sur un ton parfois alarmiste, ils ont estimé que cela revenait à exclure de nombreux ménages du marché immobilier, en particulier ceux qui veulent acheter un logement pour la première fois.Est-ce une réalité? En partie. Les prêts immobiliers n'ont pas connu d'effondrement massif mais certaines catégories souffrent plus que d'autres."On a un marché où les primo-accédants, surtout les plus modestes, ont eu plus de mal à réaliser leurs opérations", a remarqué M. Vilon, qui s'exprimait dans une vidéo en ligne.Ces propos rejoignent les constats de grands acteurs comme Nexity, premier promoteur français. Son patron, Alain Dinin, affirmait en septembre que les mesures de restriction excluaient de fait près de la moitié de ses clients achetant leur premier logement."Socialement, politiquement, c'est une erreur de ne pas penser à permettre aux gens à revenus modestes de se loger", a martelé lors d'une conférence de presse M. Dinin, virulent depuis des mois contre ces restrictions.De leur côté, les autorités ont maintenu ces mesures à la rentrée et préviennent qu'il n'est pas d'actualité de revenir dessus.Au sein du Haut comité de stabilité financière (HCSF), qui réunit les autorités financières, on assume d'être prudent alors que la crise économique du virus s'annonce historique et qu'une explosion du chômage aurait de lourdes conséquences sur le remboursement des crédits."On ne peut pas exclure un gros accident sur le marché du travail", prévient une source proche du HCSF. "Ce n'est pas le scénario central, mais quand vous faites de la stabilité financière, il faut tenir compte de ça".Les gens sont-ils déjà en difficulté pour rembourser leurs crédits immobiliers? Pas encore, selon Crédit Logement, mais c'est parce que les banques ont fait des concessions ponctuelles pendant le confinement. A plus long terme, banques et emprunteurs risquent bien d'être rattrapés par la situation."C'est surtout 2021 qui va être marquée par l'arrivée de ces impayés sur le crédit immobilier", a conclu M. Vilon.
Il y a 4 ans et 207 jours

Offensive d'actionnaires minoritaires contre la direction d'Unibail-Rodamco-Westfield

"Ce n'est pas une fronde, c'est une action constructive", a mis en avant jeudi lors d'une conférence téléphonique Léon Bressler, ancien PDG de 1992 à 2006 de la foncière, qui "mène" un consortium d'actionnaires aux côtés de Xavier Niel, l'entrepreneur aux multiples casquettes qui a notamment fondé Iliad (la maison mère de l'opérateur Free).Jeudi, dans un communiqué, ce "consortium d'investisseurs" a annoncé "lancer une action pour s'opposer au projet Reset" présenté en septembre par la direction du géant des centres commerciaux.Avec ce vaste plan, la foncière cherche à renforcer sa situation financière, affectée par l'impact du Covid-19, et prévoit entre autres une augmentation de capital de 3,5 milliards d'euros, des économies et 4 milliards d'euros de cessions.Les actionnaires d'URW doivent se prononcer sur l'augmentation de capital lors d'une assemblée générale extraordinaire convoquée le 10 novembre prochain.Le consortium d'investisseurs a indiqué jeudi qu'il voterait contre cette résolution et ils "appellent tous les actionnaires à faire de même".Le consortium réclame aussi "la nomination de trois nouveaux membres au conseil de surveillance", équivalent d'un conseil d'administration, "afin de renforcer le contrôle nécessaire sur le management et développer les compétences pour bâtir une stratégie alternative dans le meilleur intérêt d'URW et de toutes ses parties prenantes".Les réactions ont été logiques: en Bourse, le titre - en chute libre depuis le début d'année - a bondi de presque 15%, dans la perspective de voir s'éloigner une augmentation de capital qui diluerait la valeur de l'action.En revanche, la foncière a opposé un refus net aux demandes des minoritaires, qui "ajoutent incertitude et risque à un environnement actuel déjà complexe", juge-t-elle dans un communiqué qui assure du soutien unanime du comité de surveillance à l'actuelle stratégie."Accident industriel"A celle-ci, "nous pensons offrir une stratégie alternative", résume l'ancien PDG Léon Bressler.Il avait remis un pied dans la foncière URW en 2019, via la société d'investissement immobilière Aermont, en prenant 2% du capital. "Nous avons pris la décision d'avancer ensemble avec Xavier et acquis un complément d'actions", a-t-il précisé lors de la conférence téléphonique.Les deux hommes, qui proposent un projet alternatif baptisé "Refocus", pointent du doigt notamment le rachat en juin 2019 du géant anglo-saxon Westfield pour plus de 20 milliards d'euros, qui a endetté la foncière.Le plan Reset lancé par la direction du groupe "est une décision malheureuse prise par un management prisonnier de la stratégie désastreuse qu'il a engagée avec l'acquisition de Westfield", estime Léon Bressler."Cette acquisition a affaibli la position dominante d'URW en Europe avec en contrepartie une position marginale aux États-Unis, un marché beaucoup moins attractif. En outre, elle a endetté la société, elle a distrait le management et elle a conduit à une très mauvaise allocation des ressources", selon l'ancien PDG.L'opération est même qualifiée d'"accident industriel" par Xavier Niel, qui évoque "une triple erreur: un mauvais deal au mauvais moment et au mauvais prix".Il épingle "une gouvernance d'entreprise défaillante" à la tête de la foncière, et met en avant le fait que la stratégie proposée par le consortium vise "à repositionner URW en tant qu'acteur européen et +pure-player+"."Le cours de Bourse (d'URW) a baissé de 85%, ce n'est pas lié au Covid-19 et cette baisse avait été entamée majoritairement avant la crise du Covid", pointe M. Niel.Pour Léon Bressler, "il y a une sortie par le haut, alors pourquoi prendre la sortie par le bas qui détruit le capital et qui ne prévoit rien pour l'avenir de l'entreprise?" s'interroge-t-il.Interrogé sur l'intention éventuelle du consortium d'acheter d'autres actions, M. Bressler a indiqué: "c'est une possibilité qui est ouverte, nous sommes prêts à investir bien davantage".Unibail-Rodamco-Westfield a dû fermer de nombreux centres pendant le pic de la crise sanitaire. Elle a accusé une perte nette de 3,5 milliards d'euros au premier semestre, où ses revenus ont chuté de 14,2% à 1,07 milliard d'euros.
Il y a 4 ans et 207 jours

La crise sanitaire entraîne des retards dans les chantiers du métro de la RATP

Le prolongement de la ligne 4 à Bagneux-Lucie Aubrac, sur 2,7 km avec deux stations supplémentaires, doit maintenant être mis en service "fin 2021", au lieu de mi-2021, a détaillé la compagnie publique dans un communiqué.Celui de la ligne 12 jusqu'à la mairie d'Aubervilliers, sur 1,9 km avec deux stations supplémentaires, est envisagé pour le printemps 2022, et plus fin 2021.Parmi les autres chantiers, le prolongement de la ligne 11 sur 5,4 km, avec six stations supplémentaires, jusqu'à Rosny-Bois-Perrier (Seine-Saint-Denis) est envisagé "à l'horizon 2023", selon la RATP.Quant à la mise en service du prolongement de la ligne 14 au sud d'Olympiades (Paris) à l'aéroport d'Orly (Essonne), 14 km de plus avec sept stations nouvelles, elle est toujours "planifiée en 2024 avec l'ambition maintenue d'être opérationnel pour les Jeux olympiques 2024"."Ces nouveaux calendriers des chantiers restent sous réserve de l'évolution de la situation sanitaire et économique qui peuvent nécessiter une adaptation permanente", a précisé la RATP.Dans l'immédiat, la ligne 14 doit être prolongée au nord le 14 décembre, sur 5,8 km jusqu'à la mairie de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis).Trois nouvelles stations seront ouvertes à cette occasion. La quatrième, Porte de Clichy, ne le sera qu'en janvier.
Il y a 4 ans et 207 jours

Les revenus de Covivio gardent leur tendance à la baisse au troisième trimestre

Sur les neuf mois écoulés à fin septembre, Covivio a dégagé un chiffre d'affaires de 464 millions d'euros, soit un recul de 9,1%.C'est à peu près la même évolution que celle observée sur le seul premier semestre (-10,8%), ce qui témoigne d'une tendance semblable au troisième trimestre malgré une légère amélioration.Le groupe détient des bureaux, des logements et des hôtels dans plusieurs pays européens. S'il a bien résisté à la crise sanitaire sur les deux premiers créneaux, il souffre en revanche beaucoup dans l'hôtellerie.Dans ce secteur, certes, "la performance des mois de juillet et août a été meilleure que prévue", mais "les revenus restent largement en dessous des années précédentes", commente le groupe dans un communiqué.Surtout, "depuis septembre, le climat d'incertitude persiste et les contraintes se durcissent, pesant fortement sur les performances", note-t-il."La plupart des hôtels ont rouvert en Europe, mais les taux d'occupation restent bas en septembre", conclut Covivio, qui détient notamment un important portefeuille d'hôtels de luxe au Royaume-Uni.Le groupe confirme son objectif annuel qu'il nettement abaissé cet été. Il table sur un bénéfice récurrent - indicateur de référence du secteur - de 380 millions d'euros, soit un recul de plus de 15%.
Il y a 4 ans et 207 jours

Covid-19 : les entreprises devront arrêter un nombre minimal de jours de télétravail selon Borne

Dans la fonction publique, "chaque fois que cela pourra être concilié avec les nécessités du service, les administrations définiront dès la semaine prochaine une organisation du travail permettant deux à trois jours de télétravail par semaine", a déclaré le Premier ministre Jean Castex lors d'une conférence de presse, au lendemain de l'intervention d'Emmanuel Macron sur la crise sanitaire.De son côté, Élisabeth Borne, la ministre du Travail, a annoncé que le protocole sanitaire demandera aux entreprises, "tout particulièrement à celles qui sont dans les zones où s'appliquent le couvre-feu, de définir un nombre de jours minimal de télétravail par semaine pour les postes qui le permettent".Il leur sera également demandé "dès la semaine prochaine" d'étaler "les horaires d'arrivée et de départ au travail".Selon le projet de protocole dont l'AFP a obtenu copie et qui doit être publié vendredi, le télétravail reste "recommandé en ce qu'il participe à la démarche de prévention du risque d'infection au SARS-CoV-2 et permet de limiter les interactions sociales aux abords des lieux de travail et sur les trajets domicile-travail".A ce titre, dans les zones soumises à couvre-feu, "les employeurs fixent, dans le cadre du dialogue social de proximité, un nombre minimal de jours de télétravail par semaine pour les postes qui le permettent. Ils sont également invités à le faire dans les autres zones. Ils veillent au maintien des liens au sein du collectif de travail ainsi qu'à la prévention des risques psycho-sociaux"."En complément, et dans les zones soumises à couvre-feu, les employeurs adaptent les horaires de présence afin de lisser l'affluence aux heures de pointe. Ils sont également invités à le faire dans les autres zones".Emmanuel Macron a préconisé mercredi "deux à trois jours de télétravail par semaine" dans les entreprises où cela est possible, pour "réduire un peu la pression collective"."Il faut trouver un compromis entre le télétravail, son intérêt pour réduire les interactions sociales, mais aussi prendre en compte cette nécessité de collectif dans le travail et faire attention aux risques psychologiques pour les salariés", face à l'isolement, a ajouté Élisabeth Borne sur BFMTV jeudi dans la soirée.Par ailleurs, une fiche pratique sera diffusée "dans les prochains jours" sur les règles à appliquer dans la restauration collective, a-t-elle encore précisé sur LCI.Le projet de protocole, qui continue d'imposer le port du masque en entreprise, indique également que "l'employeur veille au respect des gestes barrière lors des moments de convivialité réunissant les salariés dans le cadre professionnel".