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Il y a 4 ans et 195 jours

Jean-Michel Talazac, nommé Directeur Commerce et marketing chez AC Environnement

Jean-Michel Talazac a été nommé, le 1er octobre dernier, Directeur commerce et marketing chez AC Environnement. Basé au siège régional à Lyon, sa zone d'action s'étend sur tout l'hexagone.Diplômé en licence de commerce et fort d'une formation en management des forces de ventes, il a débuté sa carrière en tant qu'ingénieur technico-commercial avant d'intégrer la division AUTOMATION du groupe Bosch au poste de Directeur des ventes sur la région Nord. Il a ensuite travaillé chez Apave Groupe, expert de la maîtrise des risques où il a fait ses armes dans le domaine de l'inspection réglementaire avant d'intégrer la Direction commerciale chez Bureau Veritas. Il passera ensuite une partie de sa carrière chez Dekra Industrial où il occupera le poste de Directeur national des comptes stratégiques. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Jean-Michel Talazac aura la charge de la structuration et du management de la direction commerciale, de la diversification de l'offre de service et du développement du portefeuille clients B to B.Depuis le début de l'année, le groupe AC Environnement a engagé une démarche de professionnalisation de son organisation et de transformation numérique complète de ces process afin de poursuivre son développement et mieux accompagner ses collaborateurs dans l'exercice de leur métier. Pour cela, il s'est doté d'une nouvelle direction composée d'experts, aux côtés de Denis Mora son président, que sont Bruno Afresne, directeur général exploitation et commerce, Gilles Simionesco, directeur général administratif et financier, Jean-Baptiste Sebag, directeur général opérations et transformation. Ce nouveau comité de direction sera chargé de mettre en œuvre un nouveau plan stratégique à 4 ans.La parole à Jean-Michel Talazac« Fort de mon background industriel ainsi que de mes expériences dans le domaine du Testing, de l'Inspection et de la Certification (TIC), ma mission sera de mettre à profit mon expertise du développement commercial pour conquérir les grands comptes privés, ce qui constitue l'un des objectifs d'AC Environnement. Intégrer ce groupe fait sens pour moi car il s'agit d'une ETI à dimension humaine qui favorise la proactivité, l'agilité ou encore la rapidité de prise de décision, valeurs aujourd'hui qui sont grandement plébiscitées par le marché. Dans ce cadre-là, AC Environnement a une carte évidente à jouer en conservant trois axes qui sont selon moi majeurs : la qualité des prestations, l'innovation en lien avec la gestion de la data et le positionnement au cœur du dispositif de l'importance du service Client. Aujourd'hui c'est le match qui se joue et se jouera pour les années à venir. S'agissant de la digitalisation des systèmes l'un des enjeux principaux étant, comment inscrire la data dans la chaîne de valeur de l'entreprise dans l'objectif de générer de la valeur ajoutée pour satisfaire et pérenniser nos Clients.»Jean-Michel Talazac, nouveau Directeur Commerce et marketing chez AC Environnement
Il y a 4 ans et 195 jours

Extension-Restructuration du Lycée Nadar à Draveil

Le Lycée Nadar va quasiment doubler sa capacité d'accueil à partir de 2024 en passant de 700 à 1.300 élèves. Cet objectif nécessite divers types d'interventions sur le bâti, allant de la construction de nouvelles surfaces à l'agrandissement et la restructuration de fonctions existantes, notamment la demi-pension.À la diversité programmatique du projet : salles de sciences, laboratoires, salles de secourisme, enseignement général, salles de sport, réfectoire, administration relocalisée, l'architecture répond par une image iconique et renouvelée du lycée.L'intervention de l'agence ROPA&ASSOCIÉS Architectes va essentiellement s'attacher, au-delà d'une réponse optimale aux demandes fonctionnelles, à conférer au cœur d'îlot une identité nouvelle reposant sur l'ouverture, la lumière et l'ombre, le confort et le calme conférés par une grande simplicité formelle, la lisibilité constructive et la matérialité chaleureuse du bois.Afin de s'intégrer le plus en douceur au lycée existant et à l'environnement très boisé du site avec la proximité de la forêt de Sénart, l'extension se développe en gradins, avec les planchers dans le prolongement des niveaux existants.De larges débords horizontaux soulignent, en les protégeant efficacement de l'ensoleillement, chaque niveau accessible, libérant ainsi en les magnifiant les vues sur le paysage.Ces casquettes filantes viennent homogénéiser tout en le renouvelant le paysage architectural du cœur d'îlot, en reconfigurant au plus près des besoins de la population lycéenne la relation intérieur/extérieur. La notion de préau accompagne tout le linéaire bâti donnant sur la cour paysagère, offrant un abri continu, aux ambiances différenciées.L'intervention en site occupé sera phasée et impliquera l'adaptation des modes constructifs. Ils seront écoresponsables en mettant majoritairement en œuvre des matériaux biosourcés privilégiant la filière sèche et la préfabrication.Enfin, les toitures et casquettes seront largement végétalisées, afin de proposer aux usagers un environnement proche agréable visible depuis les espaces intérieurs.Fiche chantierMaîtrise d'ouvrage :Région Île-de-FranceIle-de-France Construction Durable - mandataireLocalisation :Lycée Professionnel Nadar - DRAVEIL (91)ROPA&ASSOCIÉS Architectes :Djamel Kara, Laurent Blondel,Bernard Ropa, Fabien BurgeatCotraitants : OTE Ingénierie (BET TCE et économiste)BEGC (Cuisiniste)OTELIO (HQE)Missions :Base Loi MOPSignalétiqueCDPGFDIAGES-QEProgramme : Extension de capacité et restructurationSHON :4 000 m² (hors restructuration)Budget travaux :13 M€ HTCalendrier :Livraison prévue en Septembre 2024Démarche environnementale :Label E3C1Bâtiment biosourcé à ossature bois
Il y a 4 ans et 195 jours

Nouveau dispositif de formation pour les salariés dont les emplois sont menacés

Ce dispositif s'adresse à des salariés dont les emplois sont menacés et qui se positionnent sur une formation vers un métier porteur localement, a expliqué le ministère du Travail lors d'un point de presse téléphonique à l'issue de la conférence du dialogue social à Matignon.Le dispositif se veut territorialisé et doit se construire autour de plateformes de transition où se mettront en relation des entreprises ayant des salariés à reconvertir et des entreprises ayant des besoins de recrutement.Concrètement, la rémunération et la formation des salariés doit être prise en charge par l'État à hauteur de 40% pour les entreprises de plus de 1.000 salariés. Elle sera de 75% pour les entreprises de 300 salariés jusqu'à 1.000, tandis que pour les petites et moyennes entreprises ou les TPE, l'État prendra en charge 100% de la rémunération et de la formation des salariés, a indiqué le ministère.Le coût pour l'État est évalué à 500 millions d'euros dans le cadre du FNE formation (Fonds national pour l'emploi), des moyens déjà budgétés et qui pourront être ajustés à la hausse.Le ministère espère que le dispositif, dont les modalités de mise en œuvre restent à "affiner", pourra être pleinement opérationnel "avant la fin de l'année".Doivent s'y ajouter la modification de plusieurs dispositifs existants de reconversion professionnelle, comme les congés de mobilité et les congés de reclassement, afin de faciliter le passage d'un secteur touché par la crise à un secteur en tension.Le ministère a par ailleurs indiqué que le dispositif d'activité partielle longue durée (APLD) lancé en juillet avait "pris son envol", avec plus de 3.600 entreprises ayant signé un accord, représentant 200.000 emplois. Cinq accords de branche ont également été signés et une vingtaine sont en discussion.Ce dispositif autorise une réduction du temps de travail jusqu'à un maximum de 40% d'heures chômées sous condition d'un accord d'entreprise ou de branche, de 6 à 24 mois, validé par l'administration et comprenant des engagements sur l'emploi et la formation.La rue de Grenelle a toutefois fait état d'un "bémol" dans le contenu des accords en ce qui concerne les ambitions en matière de formation alors que la logique du dispositif est d'y consacrer le temps chômé, et a dit compter "mobiliser les entreprises".
Il y a 4 ans et 195 jours

Risques de fermetures d'aéroports européens si le trafic continue à baisser

Airports council international (ACI) estime que "193 aéroports seront confrontés à une insolvabilité dans les prochains mois si le trafic passagers ne reprend pas d'ici la fin de l'année. Il s'agit principalement d'aéroports régionaux" qui n'assurent que des vols intérieurs, selon l'organisation.Mais "les aéroports européens plus importants et les hubs ne sont pas à l'abri d'un important risque financier", poursuit ACI Europe, qui représente 500 aéroports dans 46 pays européens. "Ils ont réduit les coûts jusqu'à l'os et ont recours aux marchés financier pour consolider leurs résultats et mettre en place des boucliers" financiers, note l'ACI."Cette hausse soudaine de la dette de 16 milliards d'euros supplémentaires pour les 20 principaux aéroports européens représente près de 60% de leur chiffre d'affaires pour une année normale", explique l'organisation.En septembre, le trafic des aéroports européens était en baisse de 73% en moyenne par rapport à la même période l'an dernier et de 75% à la mi-octobre, selon elle."Les chiffres publiés aujourd'hui reflètent une situation extrêmement sombre. Après huit mois de crise, les aéroports brûlent du cash pour rester ouverts, avec des revenus loin de couvrir les frais opérationnels", a commenté Olivier Jankovec, directeur général d'ACI Europe. Il a appelé, pour faire redémarrer le trafic, au déploiement massif de tests de Covid-19 dans les aéroports pour éviter les mesures de quarantaine à l'arrivée.
Il y a 4 ans et 195 jours

L'exécutif prépare des "décisions difficiles" pour lutter contre le Covid-19

Le président Emmanuel Macron a réuni dans la matinée un conseil de défense en présence du Premier ministre Jean Castex et d'une dizaine de ministres.Les scénarios évoqués pour le durcissement vont d'un renforcement du couvre-feu -qui pourrait par exemple débuter à 19H00, voire être étendu à tout le territoire- à un reconfinement total, ou bien limité aux week-ends.En fin d'après-midi, Jean Castex recevra les responsables politiques puis les partenaires sociaux à Matignon pour les "consulter" sur "les durcissements envisagés". Puis un nouveau conseil de défense se tiendra mercredi matin pour prendre les décisions qui seront annoncées aux Français d'ici la fin de la semaine."Il faut s'attendre à des décisions difficiles", a prévenu mardi le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, en écho aux propos alarmants tenus par plusieurs médecins ces derniers jours."A un moment il faut prendre des décisions dures (...) comme tous nos voisins" européens, a-t-il ajouté sur France Inter, faisant référence aux nouvelles restrictions prévues en Italie, en Espagne ou en République tchèque.Le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, avait qualifié lundi la situation en France de "critique", disant craindre que la deuxième vague soit "plus forte que la première".La pression monte en réaLe nombre de cas positifs confirmés a crû de 26.771 en 24 heures, selon les chiffres de Santé publique France de lundi. La veille, la France avait battu un nouveau record avec plus de 50.000 cas positifs confirmés en un jour. Le professeur Delfraissy a même estimé que le nombre réel de contaminations tournerait "autour de 100.000 cas par jour".Le nombre de patients en réanimation continue à grimper, augmentant la pression sur les hôpitaux. Leur nombre s'élevait lundi à 2.761, pour un total de 5.800 lits de réa dans toute la France.Mardi matin, l'Agence régionale de santé (ARS) des Pays de la Loire a annoncé attendre huit patients transférés par avion en provenance d'Auvergne Rhône-Alpes et l'ARS Bretagne a accueilli de son côté quatre patients d'Occitanie.Taboue il y a encore quelques semaines, l'hypothèse du reconfinement est désormais considérée comme une nécessité par un nombre grandissant de scientifiques et de politiques, qui espèrent éviter qu'il soit national et total.Il va "falloir faire avec des semaines qui seront plus que difficiles", a prédit l'infectiologue Gilles Pialoux, en se prononçant pour l'adoption d'une "mesure drastique, qu'on appellera confinement".Pour lui, la difficulté actuelle réside dans la dimension désormais "nationale" de l'épidémie, à la différence de la première vague au printemps à la première vague".Quelque 46 millions d'habitants sont désormais soumis à un couvre-feu nocturne entre 21H00 et 06H00 du matin.La ministre du Travail, Elisabeth Borne, a de son côté encouragé mardi matin à "aller au maximum sur le télétravail pour les postes qui le permettent".Risque d'effondrement de l'économieLes politiques semblent résignés au durcissement des mesures, mais l'opposition ne ménage pas ses critiques au gouvernement."Je préfère des confinements locaux à la Toussaint qu'un confinement généralisé à Noël", a ainsi estimé le chef de file des députés LR, Damien Abad, sur France Info.Pour autant, les députés PS ont dénoncé mardi un "vent de panique" au sein de l'exécutif face à l'accélération de la propagation du virus, leurs homologues de LR estimant que le gouvernement "baisse les bras".Selon le député socialiste Boris Vallaud, "le sentiment est que le gouvernement passe d'une étape à l'autre avec souvent un train de retard", a-t-il dit à la presse.Selon des sources parlementaires et gouvernementales, le gouvernement pourrait répondre à la demande d'explications du Parlement en organisant jeudi deux débats successifs à l'Assemblée, puis au Sénat.Le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, avait alerté lundi sur le fait que "si on reconfine totalement comme on l'a fait en mars, ce n'est pas moins 10% de récession qu'on risque, c'est un écroulement de l'économie".La Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) a également mis en garde mardi contre le risque d'un "effondrement de l'économie française" en cas de "reconfinement total ou partiel". "Les entreprises sont aujourd'hui beaucoup plus fragiles qu'au mois de mars et beaucoup d'entre elles, notamment les plus petites, seraient dans l'incapacité d'assumer un endettement supplémentaire", selon elle.Dans la nuit de lundi à mardi, les députés ont voté en première lecture la première phase du plan de relance, 22 milliards en 2021 sur les 100 milliards prévus d'ici à 2022, un plan censé permettre à la France de rebondir face à la récession économique.En mars, le confinement avait été décidé pour éviter que le système hospitalier ne craque sous un afflux trop important de malades du Covid. L'épidémie a fait 35.018 morts dans le pays depuis ses débuts, selon les chiffres de Santé publique France.
Il y a 4 ans et 195 jours

Bruno Le Maire confirme une baisse du PIB français au quatrième trimestre 2020

"Je vous confirme qu'après un rebond que nous attendons autour de 16% au troisième trimestre 2020, la croissance sera négative au quatrième trimestre en 2020", a-t-il déclaré à l'Assemblée durant l'examen du projet de Budget pour 2021.Vendredi, M. Le Maire avait prévenu que le PIB risquait de baisser au quatrième trimestre, après la décision du gouvernement d'étendre le couvre-feu, qui concerne désormais 54 départements et la Polynésie.Le couvre-feu pénalise plusieurs secteurs d'activité, déjà fortement affectés par la crise sanitaire, comme l'hôtellerie-restauration, l'évènementiel ou la culture.Devant les députés, le ministre a aussi indiqué qu'il allait réactiver le suivi hebdomadaire des filières les plus touchées avec les partenaires sociaux et les élus locaux."Nous adapterons tous nos dispositifs à la gravité de la situation économique" tant que l'épidémie se poursuivra, a-t-il encore promis, alors que le gouvernement a déjà renforcé le soutien public (Prêt garanti par l'État, exonérations de charges, chômage partiel, etc.) aux secteurs les plus pénalisés par le couvre-feu."Si de nouvelles mesures sanitaires devaient être prises dans les jours qui viennent, nous vous proposerons (...) d'augmenter les crédits des dispositifs de soutien à notre économie", a ajouté le ministre, au moment où les appels de scientifiques se multiplient en faveur d'un reconfinement, même partiel.Ces nouvelles aides seront annoncées "quand nous aurons plus de visibilité sur la situation sanitaire et sur les mesures nécessaires", a précisé M. Le Maire.Le gouvernement continue de tabler sur une récession de 10% de l'économie française cette année, avant un rebond de 8% l'an prochain.
Il y a 4 ans et 195 jours

Le plan jeunes "commence à porter ses fruits" selon le gouvernement

Sur les mois d'août et septembre, il y a eu 696.000 embauches de jeunes de moins de 26 ans sur des contrats d'au moins trois mois contre 686.000 l'année dernière, soit "une hausse de 1,3%", a indiqué le ministère du Travail à des journalistes.La progression était plus forte en août - 9% -, probablement du fait d'un effet rattrapage après le déconfinement.Mais en septembre, le niveau est "comparable à celui d'il y a un an", souligne le ministère alors "qu'on craignait un effondrement des recrutements".Le plan jeunes instaure une aide pour tout jeune de moins de 26 ans recruté entre août et janvier sur un CDD d'au moins trois mois ou un CDI pour une rémunération inférieure ou égale à deux fois le Smic. Elle est de 1.000 euros chaque trimestre pendant un an maximum.Le ministère n'a pu donner la durée moyenne des contrats mais "il y a une incitation à fidéliser le jeune" avec le versement trimestriel, estime-t-on.Concernant l'apprentissage, il y a actuellement "314.000 contrats signés" et le ministère pense qu'on pourrait atteindre à la fin de l'année le niveau de l'année dernière de 368.000 contrats (alors en hausse record de 16%).Les entreprises peuvent bénéficier d'une aide de 5.000 euros pour recruter un apprenti de moins de 18 ans ou de 8.000 euros pour un majeur d'ici fin février. Soit un coût quasi nul jusqu'à 21 ans.Le ministère y voit le signe que "les aides sont connues" et juge "très probable qu'elles participent à cette relative bonne tenue des recrutements".Sur les contrats d'accompagnement pour l'insertion des jeunes les plus éloignés de l'emploi, les retours sont aussi en ligne avec les objectifs, à l'exception de la Garantie jeunes.Ce dispositif piloté par les Missions locales, qui repose notamment sur des ateliers collectifs, est plus compliqué à mettre en oeuvre avec les conditions sanitaires actuelles, a-t-on expliqué.
Il y a 4 ans et 195 jours

La vie de chantier

Il y a 4 ans et 196 jours

Le Groupe Velux s'engage pour une « neutralité carbone à vie » en partenariat avec le WWF

Le Groupe VELUX a annoncé son nouvel engagement d'atteindre la «neutralité carbone à vie» d'ici son 100e anniversaire en 2041. Cet engagement amènera le Groupe, leader sur le marché des fenêtres de toit, à capturer l'équivalent de son empreinte carbone historique[1], soit 5,6 millions de tonnes de CO² (scope 1 et 2[2]) émises depuis sa création en 1941. Cette ambition va se concrétiser grâce à des projets de conservation des forêts supervisés par le WWF.Conformément aux objectifs ambitieux fixés par l'accord de Paris sur le climat, qui vise à limiter l'augmentation de la température mondiale à 1,5 °C, le Groupe VELUX s'est engagé dans cette trajectoire afin de réduire significativement les émissions de carbone liées à son activité et à sa chaîne de valeur (scopes 1, 2 et 3[3]).La « neutralité carbone à vie » est un nouvel engagement pionnier développé par le Groupe VELUX en collaboration avec le WWF International, visant à assumer la responsabilité des émissions de carbone passées et futures. Cette ambition innovante vise à capturer l'équivalent des émissions de carbone historiques du Groupe VELUX et vise à préserver en même temps les inestimables forêts naturelles et la faune du monde entier.« La planète fait aujourd'hui face à une crise grave en termes de climat et de biodiversité, ce qui nécessite des mesures exceptionnelles. En accord avec nos valeurs d'entreprise, nous cherchons à faire toujours plus que la majorité ; c'est donc pour cela que nous avons développé l'engagement de "neutralité carbone à vie". Cet engagement novateur implique un partenariat de 20 ans avec le WWF International, afin de capturer l'équivalent de nos émissions de carbone historiques d'ici 2041. Nous réduirons également significativement nos futures émissions de CO² et demandons à nos fournisseurs de faire de même. Nous espérons que d'autres sociétés trouveront là l'inspiration de parvenir elles mêmes à une "neutralité carbone à vie", afin de créer un futur durable pour toutes et tous. »- David Briggs, PDG du Groupe VELUXPour atteindre une « neutralité carbone à vie » le Groupe VELUX collabore avec le WWF en investissant dans des projets forestiers et de préservation de la biodiversité jusqu'en 2041. Ceux-ci contribueront à stopper la détérioration d'habitats naturels, la déforestation et la dégradation des sols menaçant la biodiversité, en travaillant aux côtés et au bénéfice des communautés locales. Les deux premiers projets forestiers verront le jour en Ouganda et en Birmanie.En Ouganda, l'accent sera mis sur la restauration des forêts dégradées, la création de nouvelles forêts et la protection des forêts naturelles existantes grâce à un large éventail de mesures, parmi lesquelles le boisement, reboisement, revégétalisation et la gestion durable des forêts. Ce projet permettra également de faire pousser des arbres au sein de terrains boisés, systèmes agroforestiers et plantations en-dehors des zones protégées, afin de répondre à la demande liée à divers produits forestiers et réduire la pression exercée sur les forêts naturelles. Le projet en Birmanie aura pour objectif de conserver la biodiversité unique et les paysages forestiers du canton birman de Tanintharyi, en travaillant étroitement avec les communautés locales.« L'impact des crises actuelles liées au climat et à la biodiversité devenant de plus en plus clair, une volonté et des mesures solides sont désormais urgemment nécessaires pour créer un futur durable pour toutes et tous. L'engagement de "neutralité carbone à vie" du Groupe VELUX est un exemple important, que d'autres pourront ensuite suivre. »« Faire une promesse conforme à l'objectif de limitation de l'augmentation de la température mondiale à 1,5 °C tout en protégeant des paysages forestiers importants et la biodiversité –et les services cruciaux qu'ils fournissent aux communautés et à l'économie- est un projet positif et ambitieux en ligne avec des engagements climatiques responsables servant de fondation pour atteindre les Objectifs de Développement Durable. Ensemble, nous espérons que d'autres sociétés seront inspirées par la "neutralité carbone à vie" de VELUX afin d'élever l'ambition globale des entreprises en matière d'action climatique ou en faveur de la nature. »- Marco Lambertini, directeur général du WWF InternationalLe partenariat avec le WWF s'inscrit plus largement dans la stratégie de développement durable « Sustainability Strategy 2030 » du Groupe VELUX afin de devenir une entreprise neutre en émission de CO² d'ici 2030. Cet objectif de réduction des émissions se base sur la science, grâce au programme « Science Based Targets Initiative »[4]. Afin de révolutionner son activité, le Groupe VELUX accélère ses investissements dans l'efficacité énergétique au sein de ses sites de production, la transition vers les énergies renouvelables et l'achat d'électricité 100 % renouvelable. Il s'est également engagé à modifier de manière significative la façon dont il effectue la sélection et l'achat de matériaux. Pour plus d'informations sur la « neutralité carbone à vie » de VELUX et les projets de conservation des forêts au cœur du partenariat avec le WWF, rendez-vous sur velux.com / itsournature.com.NOTES [1] – Aucune méthodologie standard n'existe aujourd'hui afin de calculer une empreinte carbone historique. Des données précises sur les facteurs d'émissions et la consommation énergétique passés n'existent pas souvent. Le Groupe VELUX a donc développé une méthode permettant de calculer ses émissions carbone historiques. Cette méthode est basée sur la norme « Greenhouse Gas Protocol Corporate Standard » mondialement reconnue, et appliquée aux données historiques. Cette méthodologie unique, ainsi que ses suppositions sous-jacentes, sont vérifiées de manière indépendante par l'organisme Carbon Trust et analysées par des experts du WWF.[2] – Définition des scopes 1 et 2. Scope 1 (émissions directes générées par des sources possédées ou contrôlées par une entreprise, comme les infrastructures d'une société ou encore des véhicules de fonction). Scope 2 (émissions indirectes provenant de la génération d'électricité, de vapeur, de chauffage ou de refroidissement utilisés dans l'activité de l'entreprise concernée).[3] – La définition du scope 3 inclut toutes les autres émissions indirectes produites au sein de la chaîne de valeur d'une société (comme lors de l'achat de biens et services ou la génération et le transport de déchets).[4]– L'initiative « Science Based Targets » a pour but d'encourager les entreprises à définir des objectifs basés sur la science et accroître leur avantage concurrentiel dans le cadre de la transition vers une économie à faibles émissions de carbone. Elle s'inscrit dans une collaboration entre le CDP, le Pacte mondial des Nations Unies, le World Resources Institute (WRI) et le World Wide Fund for Nature (WWF) et constitue l'un des engagements de la coalition We Mean Business. Cette initiative définit et promeut les bonnes pratiques en matière de développement d'objectifs basés sur la science, propose des ressources et des conseils destinés à limiter les obstacles à leur adoption et analyse et approuve de manière indépendante les objectifs fixés par les sociétés.
Il y a 4 ans et 196 jours

Wizzcad orchestre la rénovation de plus de 20.000 logements occupés

Alors que le nouveau plan de relance prévoit de consacrer 7 milliards d'euros à la rénovation des bâtiments en France, WIZZCAD s'impose en tant qu'acteur incontournable du secteur. Sa solution permet aux bailleurs de réduire le temps de vacance par deux lors de la rénovation des logements diffus, d'accélérer les travaux et d'améliorer le confort des locataires lors de la rénovation de logements occupés.Prises de rendez-vous avec les occupants, gestion des états des lieux, des réclamations et interventions de multiples corps de métier... les chantiers de réhabilitation de logements en milieu occupé sont particulièrement délicats à gérer, génèrent d'importants surcoûts pour les bailleurs et sont souvent source d'insatisfaction pour les locataires.Pour faire face à ces défis économiques, sociaux et logistiques, WIZZCAD a conçu un module spécifique de réhabilitation en milieu occupé permettant de maximiser la productivité des chantiers de rénovation tout en améliorant la relation locataire. Diviser par deux la durée des chantiersEn digitalisant les processus métier tout au long du cycle de vie des bâtiments, WIZZCAD améliore considérablement les performances de chantiers de rénovation. Sa plateforme collaborative permet de gérer en temps réel et à distance les approvisionnements de matériaux, les plannings d'interventions ainsi que le management des équipes sur le terrain.Outre ce pilotage de chantier, WIZZCAD permet également aux bailleurs d'informer en temps réel leurs locataires de l'avancée des travaux via une application dédiée. Les intervenants du chantier peuvent également interagir directement avec les locataires via cette application pour les prises de rendez-vous, les états de lieux ou la gestion de réclamation.En fluidifiant et simplifiant l'ensemble des collaborations bailleurs - locataires - entreprises sur les chantiers de rénovation, WIZZCAD divise par deux la durée des chantiers et donc le temps de vacances des logements rénovés.Plus de 20.000 logements occupés réhabilitésWIZZCAD est aujourd'hui reconnue par les grandes majors du secteur du BTP. Vinci Construction, Bouygues Construction, Cegelec, Colas, GTM Bâtiment, Eiffage, Engie Axima et Gecina ont ainsi adopté la technologie Wizzcad sur plus de 14.000 projets parmi lesquels de nombreux projets de réhabilitation en milieu occupé et en diffus.Au-delà des acteurs de la construction, de plus en plus de bailleurs sont séduits par les gains de temps et l'amélioration de la satisfaction des locataires qu'apporte la technologie WIZZCAD. C'est par exemple le cas de Valophis, Seine Saint Denis Habitat ou Opaly qui s'appuient depuis cette année sur WIZZCAD pour piloter la réhabilitation de leur parc locatif, portant le total des réhabilitations de logements gérés au sein de la solution à plus de 20.000 aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 196 jours

Eiffage lance sa campagne de communication bas carbone « Rendre visible l'invisible »

Quelques grands projets ont agi, et agissent toujours, comme catalyseurs de solutions portées par ses métiers. A court terme, il y a forcément de la contrainte, mais de la contrainte naît toujours l'innovation. Les enjeux du climat et de la biodiversité sont des opportunités formidables pour le secteur.La campagne de communication bas carbone « Rendre visible l'invisible », conçue avec l'agence TBWA Corporate, a été pensée pour rendre encore plus visibles aux yeux de tous les engagements, actions et performances d'Eiffage en matière de bas carbone. Elle a pour objectif de valoriser sa contribution positive et durable et permet de percevoir l'invisible derrière tout projet. Cette campagne nous rappelle qu'il y a toujours au moins deux façons de voir les choses et nous invite à en voir deux. Elle donne corps à la promesse du Groupe d'un avenir à taille humaine (#HumanPerspective) en mettant en lumière ce qu'il peut apporter au monde qui l'entoure.La signature « Voyons les deux » met en exergue la démarche ouverte et participative du Groupe, car il ne peut mener à bien seul la mutation du secteur.Cette campagne comprend dans la phase de lancement un film (disponible sur eiffageforclimate.com) et 10 visuels, basés sur des exemples concrets et réels issus des différents métiers du Groupe, qui seront diffusés progressivement sur les comptes réseaux sociaux et sur le site Internet Eiffage.
Il y a 4 ans et 196 jours

Résineo® Arbre en liège recyclé, un nouveau revêtement perméable pour les tours d'arbre

Une solution limitant l'imperméabilisation des sols & bénéfique pour les arbresLe revêtement Résineo® Arbre en Liège est un revêtement drainant qui se pose au pieds des arbres comme alternative aux grilles galvanisées ou aux autres revêtements (bétons, enrobés etc.). Grâce à sa perméabilité, il favorise l'infiltration des eaux directement au pieds de l'arbre et favorise sa croissance.Une démarche durableAvec Résineo® Arbre en liège, LRVision s'inscrit dans une démarche durable en intégrant la revalorisation des déchets à son processus de fabrication. C'est un revêtement composé de matériau recyclé issus des déchets de l'industrie du liège (isolation, bouchons, etc.) ainsi que de granulats de marbre millimétriques récupérés lors de la fabrication de galets décoratifs.Un revêtement facile d'entretien pour des tours d'arbre propresDe part sa perméabilité, le revêtement Résineo Arbre est facile d'entretien, un entretien au jet d'eau suffit pour évacuer les feuilles, déjections animales et autres déchets habituellement observés au pieds des arbres.Informations pratiquesNom du produit : Résineo Arbre en liègeMarque : Résineo®Fabricant : LRVisionApplication : revêtement coulé en place pour les tours d'arbreSurfaces : aux pieds des arbres et arbustesDisponibilité : immédiate
Il y a 4 ans et 196 jours

Le groupe immobilier Icade gagne en optimisme pour 2020 malgré le Covid

"On a un impact de la crise qui se révèle être moindre" que prévu, a résumé à l'AFP le directeur général d'Icade, Olivier Wigniolle, à l'occasion des chiffres trimestriels du groupe.A la fois actif dans les bureaux, le logement et les établissements de santé, Icade a enregistré au troisième trimestre un chiffre d'affaires de 356 millions d'euros, soit une hausse de 4,9% par rapport à la même époque l'an dernier.C'est une amélioration après une baisse au premier semestre face à la crise sanitaire et à des semaines de confinement qui ont plombé l'activité du groupe.Icade, dont le capital est essentiellement public via la Caisse des Dépôts, prévient toutefois que ses résultats 2020 baisseront nettement. Son indicateur de référence, le "cash flow net courant" devrait s'établir autour de 4,80 euros par action, soit un recul de plus de 8%.Mais, par rapport au début de l'été, le groupe a gagné en optimisme. Il estime que la crise n'amputera son bénéfice net annuel que d'environ 75 millions d'euros et non plus une centaine.Il y a "trois principales raisons", a énuméré M. Wigniolle.D'abord, Icade s'est rendu compte que ses chantiers, largement interrompus par le confinement, avaient redémarré plus vite et plus efficacement qu'attendu.Second facteur favorable, le groupe a subi moins d'impayés que prévu de la part de ses locataires, que ce soit dans les bureaux ou les établissements de santé."On est quasiment à des taux d'avant crise", a expliqué le directeur général, estimant que les allègements consentis aux locataires avaient globalement permis de les maintenir à flot.Enfin, troisième facteur, "on avait imaginé que la commercialisation de logements allait être plus compliquée que par le passé", a expliqué M. Wigniolle. "Il faut bien reconnaître qu'on avait une vision trop pessimiste."Comme les autres grands promoteurs français, Icade a profité d'un bond des ventes de logements aux grands investisseurs, qui devrait compenser une chute auprès des particuliers depuis le début de la crise.En matière de ventes annuelles de logements, "on fera vraisemblablement mieux qu'en 2019", a assuré M. Wigniolle, même si leur nombre s'inscrivait en nette baisse à fin septembre.
Il y a 4 ans et 196 jours

L'État doit rééquilibrer les pouvoirs entre Marseille et la Métropole

"C'est à l'État de modifier cette situation de manière urgente", a insisté la nouvelle maire de Marseille, dans un communiqué, après sa rencontre avec le Premier ministre dans son bureau de l'hôtel de ville.Affirmant que "l'héritage de 25 années de gestion hasardeuse (par l'ancienne municipalité LR de Jean-Claude Gaudin) la laisse sans les marges de manœuvre nécessaires pour investir pour l'avenir de la ville", Mme Rubirola a regretté que "les outils d'aménagement du territoire en matière de logement ou de transports publics" soient "détenus" à la métropole Aix-Marseille "par des élus marseillais d'opposition"."Ceux qui ont gravement échoué hier à la tête de la mairie de Marseille continuent, contre le choix du peuple marseillais, à orienter le destin de toute une ville", a dénoncé la maire écologiste de Marseille, en référence directe à Martine Vassal, la tête de liste des Républicains lors des municipales, qui préside à la fois la métropole Aix-Marseille-Provence et le Conseil départemental.Appelant le Premier ministre à "mobiliser tous les moyens de l'État afin d'accompagner la nouvelle volonté politique municipale", Mme Rubirola a également regretté, dans ce même communiqué, que Marseille n'ait pas été "associée" au plan de relance État-Région signé un peu plus tard dans la journée par le Premier ministre à la Préfecture."Au sein de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, Marseille doit être une priorité. Il n'est plus tolérable de travailler de cette manière. La Ville entend faire respecter le choix des Marseillais", a insisté Mme Rubirola.Après sa rencontre avec Mme Rubirola, en quittant la mairie, M. Castex avait confirmé avoir "parlé des problématiques de la ville" de Marseille: "Je lui ai répété mon souhait que l'État travaille avec la ville et l'ensemble des acteurs locaux sur des sujets structurants, (...) donc je reviendrai pour traiter de ces sujets", avait-t-il conclu.
Il y a 4 ans et 196 jours

Nouveau report de la réforme de l'assurance chômage, les syndicats réclament l'abandon

Le Premier ministre a réuni pendant près de trois heures les partenaires sociaux à Matignon pour sa deuxième "conférence du dialogue social" depuis juillet, juste après son arrivée, pour faire "un point d'étape" sur les chantiers en cours, notamment face à la crise sanitaire et sociale (plan jeune, reconversions professionnelles...).A l'issue, un report de trois mois de l'application de la réforme controversée de l'assurance chômage, soit jusqu'au 1er avril 2021, a été annoncé, M. Castex indiquant toutefois qu'il "n'entend pas renoncer" à cette "réforme majeure".L'exécutif avait déjà accepté en juillet de suspendre jusqu'au 1er janvier cette réforme, qui prévoit notamment un durcissement de 4 à 6 mois de travail pour ouvrir des droits et une réforme du mode de calcul des allocations défavorables à ceux qui alternent chômage et contrats courts.Les responsables des cinq centrales syndicales ont réclamé à l'unisson l'abandon de la réforme, jugeant le simple report "absolument scandaleux" (Philippe Martinez, CGT) ou "complètement inadapté" (Cyril Chabanier, CFTC), et demandant "une réponse plus claire" (Yves Veyrier, FO)."Cette réforme petit à petit, on est en train de faire la démonstration qu'elle n'est pas du tout adaptée à la période", a affirmé Laurent Berger (CFDT), François Hommeril (CFE-CGC) la dénonçant comme "punitive".Côté patronal, le président de la Confédération des PME, François Asselin a estimé que le report posait la question du calcul du bonus-malus pour pénaliser les entreprises qui abusent des contrats courts.La réunion, à laquelle participaient les ministres de l'Économie Bruno Le Maire et du Travail Élisabeth Borne, ainsi que le secrétaire d'État Laurent Pietraszewski, n'a pas débouché sur l'abandon d'un autre dossier ultra sensible aux yeux des syndicats: la réforme des retraites qui doit normalement revenir dans le débat fin 2020-début 2021."Le bon curseur"Tous les participants ont insisté sur la gravité de la situation avec un couvre-feu, instauré dans 54 départements et qui risque de dégrader un peu plus la situation de l'emploi.Geoffroy Roux de Bézieux (Medef) a mis en garde contre un possible "écroulement" de l'économie en cas de reconfinement généralisé, comme au mois de mars, plaidant pour trouver "le bon curseur entre économie et santé".Le sujet du télétravail a été "largement abordé" dans la discussion, alors que les partenaires sociaux doivent démarrer une négociation en vue d'un accord le 3 novembre. Le gouvernement l'encourage et souhaite éviter un reconfinement général. La ministre du Travail Élisabeth Borne a assuré lundi que le protocole en entreprise "est efficace" et "très bien appliqué".Une mission va aussi plancher sur le cas des salariés de la "deuxième ligne" face au Covid-19. Elle aura la charge d'identifier ceux concernés. La CGT a jugé "scandaleux" l'intérêt tardif pour ceux "dont on parle depuis le mois de mars", la CFDT ajoutant qu'"il ne faut pas que ça aille trop lentement".Les syndicats insistent depuis le confinement pour parler de ces salariés, afin d'étudier une "revalorisation des salaires, conditions de travail, emploi et carrières".Le sujet du partage de la valeur en entreprise a, lui, été jugé non urgent par plusieurs participants côté patronal et syndical.Face à la crise, des mesures "extrêmement fortes" ont été prises pour "atténuer l'impact" économique et social, et "obtiennent des résultats", a insisté M. Castex. Il a mentionné le plan pour l'emploi des jeunes dont les chiffres d'août et septembre sont "encourageants, notamment dans le domaine de l'apprentissage".Le chef du gouvernement a aussi souligné le recours à l'activité partielle de longue durée, la formation professionnelle et la reconversion des salariés "qu'il nous faut par tout moyen privilégier sur les licenciements"."Ces résultats concrets sont rendus possibles par le dialogue social" alors que "les accords dans les entreprises, dans les branches professionnelles n'ont jamais été aussi nombreux". "C'est le meilleur antidote à la crise", a-t-il martelé.
Il y a 4 ans et 196 jours

Certaines mesures de la future RE 2020 inquiètent les bureaux d’études et ingénieurs conseils

Des éléments qui méritent d'être salués…La Fédération CINOV est parfaitement en phase avec l'ambition initiale de préparer et d'anticiper la mise en place de la prochaine réglementation et le principe de l'Expérimentation Energie-Carbone, qui consiste à favoriser la construction de bâtiments à énergie positive et à faible empreinte carbone (E+C-).CINOV se réjouit donc de la prise en compte du carbone dans la RE 2020 et aussi du « Confort d'été » ainsi que de la « Qualité de l'air intérieur » (QAI).CINOV salue par ailleurs la présence d'éléments qu'elle juge positifs dans cette nouvelle réglementation, parmi lesquels le principe de progressivité des seuils carbone (en cohérence avec l'évolution de la décarbonation de l'activité de construction et de ses produits, ainsi que de l'énergie), le souhait d'un accompagnement des filières et d'une acculturation progressive des acteurs à la RE 2020, et la préfiguration de labels qui permettraient de distinguer certaines opérations.… mais qui ne parviennent pas à compenser les inquiétudes de la FédérationMalgré ces éléments positifs, la Fédération CINOV regrette que l'administration n'ait pas fait davantage confiance aux acteurs de terrain dans l'élaboration de cette nouvelle réglementation, alors que ces derniers possèdent une connaissance approfondie des sujets qui aurait mérité une meilleure considération. CINOV regrette que certaines propositions qui ont recueilli un grand nombre d'avis défavorables lors de la phase de concertation aient été malgré tout maintenues. A contrario, d'autres éléments – dont les retours d'expériences sur la mise en œuvre de la RT 2012 – n'ont été que trop peu intégrés à la démarche RE 2020 alors qu'ils y auraient eu toute leur place.La Fédération s'inquiète plus particulièrement du choix de la méthode de l'Analyse de Cycle de Vie (ACV) dynamique, qui consiste à réaliser un bilan environnemental multicritère et multi-étape d'un système sur l'ensemble de son cycle de vie, tout en pondérant les émissions de gaz à effet de serre en fonction de l'année de l'émission.« L'imposition de cette méthode est difficilement compréhensible, et son intérêt discutable. Nous nous opposons, comme la majorité des acteurs concernés, à cette méthode dont nous considérons qu'elle manque de pédagogie, qu'elle est difficile à comprendre et qu'elle ne repose sur aucun fondement scientifique » souligne Damien Racle, Président de CINOV Ingénierie.Cette méthode marque également une rupture avec la pratique E+C- susmentionnée, et présente une complexité additionnelle à la RT 2012 – déjà perçue comme particulièrement complexe par l'ensemble des acteurs. A l'ACV dynamique, la Fédération CINOV aurait préféré l'adoption de la méthode de l'ACV statique complétée d'un indicateur sur le stockage carbone.CINOV regrette également l'abandon du Bilan-BEPOS dans la nouvelle réglementation. La majorité des acteurs s'était pourtant prononcée pour le maintien de cet outil qui permet d'évaluer le bilan énergétique global d'un bâtiment, et de valoriser les « Bâtiments à Energie POSitive » (BEPOS) qui produisent davantage d'énergie (thermique ou électrique) qu'ils n'en consomment.Par ailleurs, la Fédération CINOV déplore l'absence d'exigence de compétences dans la RE 2020. « L'administration semble miser sur le fait que les bureaux d'études non-compétents seront de facto exclus par le marché. Nous considérons quant à nous que la mise en place d'exigences de compétences est essentielle compte tenu de la complexification des calculs et du risque de captation du marché par les bureaux d'études « low cost » ou hors-sol par effet de prix, au détriment des références et de l'investissement en temps dans la formation et la qualification » explique Damien Racle, Président de CINOV Ingénierie.Ce risque est bien réel et a pu être constaté lors de la mise en œuvre de la RT 2012, pour laquelle aucune exigence de compétences n'a été imposée et qui a permis à nombre de prestations « low cost » (études ou permis) de se développer. Par ailleurs, la Fédération CINOV s'étonne que le diagnostic de performance énergétique (DPE) soit quant à lui soumis à une certification alors que les enjeux sont parfaitement identiques : il s'agit en effet d'établir un diagnostic conforme pour lequel il convient d'être particulièrement vigilant lors des phases d'étude et de conception.
Il y a 4 ans et 196 jours

Les PME refusent toute obligation de contrepartie aux mesures du plan de relance

"La CPME est résolument opposée à des soi-disant +contreparties+ alors que de très nombreuses entreprises luttent actuellement pour leur survie", a prévenu l'organisation patronale dans un communiqué.Dans le contexte du renforcement des restrictions sanitaires, "les entreprises, et notamment les TPE-PME, ont plus que jamais besoin d'être soutenues et accompagnées" et "il est impératif" qu'elles "saisissent les opportunités offertes" par le plan de relance, explique-t-elle."Soumettre les entreprises s'engageant en ce sens à de nouvelles contraintes et obligations serait donc une aberration", assure-t-elle.Un amendement au projet de Budget pour 2021, déposé par les députés de la majorité et qui sera discuté la semaine prochaine, prévoit notamment que les entreprises de plus de 50 salariés seront obligées de fournir un bilan de leurs émissions de gaz à effet de serre.A l'inverse, plusieurs ONG environnementales, dont Greenpeace, Oxfam, WWF et la Fondation Nicolas Hulot, ont qualifié de "simulacre de contreparties" cette proposition qui n'est "pas à la hauteur des enjeux".Cet amendement "n'aura aucun impact sur la baisse des émissions de gaz à effet de serre", jugent-elles, car il "ne prévoit aucune obligation pour les entreprises de réduire leur impact [sur le] climat".Par ailleurs, elles rappellent que les grandes entreprises sont déjà obligées de publier chaque année un bilan de leurs émissions de gaz à effet de serre.Pressé de ne pas soutenir les entreprises via le plan de relance sans leur imposer de contreparties, le gouvernement s'est dit prêt à leur demander des engagements en matière environnementale, de gouvernance, de dialogue social ou encore d'égalité entre les hommes et les femmes.La proposition des députés prévoit ainsi que les entreprises devront publier leur note à l'Index de l'égalité professionnelle et prévoir de s'améliorer si elles ne remplissent pas un objectif qui sera fixé par le gouvernement.Par ailleurs "le comité social et économique devra être consulté sur le montant, la nature et l'utilisation des aides obtenues par l'entreprise au titre du plan de relance", selon l'exposé de l'amendement.Le gouvernement soutiendra cet amendement, a indiqué Bercy à l'AFP.
Il y a 4 ans et 196 jours

Les 60 nouveaux lauréats de l'appel à manifestation d'intérêt « Fabriques de territoire » annoncés

Cette annonce a eu lieu en conclusion de la réunion du Conseil national des Tiers-Lieux, réuni dans le cadre de l'événement « le choc des cultures » organisé à Roubaix (59) par la Condition Publique et la Compagnie des tiers-lieux, avec le soutien de l'Agence Nationale de la Cohésion des Territoires et de l'association France Tiers-Lieux.Cet appel à manifestation d'intérêt a été lancé par sept membres du Gouvernement en juillet 2019 à la Cité Fertile de Pantin (93) à la suite du rapport de la « mission coworking » pilotée par Patrick LEVY-WAITZ, Président de la fondation Travailler autrement, visant à soutenir le développement des tiers-lieux et la structuration et professionnalisation du réseau de ces lieux hybrides. Ces lieux appelés tiers-lieux, fablabs, friches industrielles ou culturelles, espaces publics numériques ont démontré leur utilité incontournable pendant le confinement et la crise sanitaire qui ont accéléré leur consolidation.Par ce programme « Fabriques de territoire », le Gouvernement encourage ce mouvement de fond et veut s'inscrire au côté des porteurs de projets, pour les aider à concrétiser et pérenniser leurs initiatives, en veillant à ce que tous les territoires soient concernés. Les ministères et partenaires associés ont défini une offre de services, qui s'étend de l'aide en amorçage, en investissement ou en fonds propres, à la mise à disposition de locaux ou à l'apport de recettes de fonctionnement. Cette approche originale est d'abord guidée par le souci de proposer un accompagnement sur-mesure à chaque porteur de projet.Ces 60 nouvelles fabriques rejoignent les 110 tiers-lieux déjà labellisés. Elles recevront une subvention de 150.000 euros sur trois ans afin de soutenir l'amorçage de leur projet, leur rayonnement au-delà du territoire dans lequel elles sont implantées, la constitution de leur équipe et la recherche de leur équilibre économique. Elles intègrent ainsi une communauté animée par des valeurs de partage, la production de biens communs, l'expérimentation de modèles de gouvernance participative et l'ambition de produire du lien social au bénéfice des habitants de leur territoire. Pour rappel, la ministre s'est engagée à accompagner le déploiement de 300 fabriques dont 150 dans les quartiers de la politique de la ville et 150 hors des grands centres urbains avec un accompagnement financier et d'ingénierie de 45 millions d'euros répartis sur 3 ans pour chaque lauréat.Cette sélection marque l'entrée de 8 nouveaux départements qui ne comptaient pas de fabriques jusqu'alors: l'Ardèche, le Gers, les Landes, l'Orne, les Pyrénées-Atlantiques, la Haute-Savoie, l'Indre, la Lozère et la Corse.Toutes les informations sont disponibles sur www.societenumerique.gouv.fr/tierslieuxListe des 60 lauréats de la 3ème vague de l'AMI Fabriques de TerritoireAuvergne-Rhône AlpesPANGLOSS LAB (01 - Ain)LE VESSEAUX-MERE (07 - Ardèche)LE MOULIN DIGITAL (26 - Drôme)LES TRACOLS (26 - Drôme)LE GRAND COLLECTIF (38 - Isère)BIG BANG BALLERS FRANCE (38 - Isère)RUES DU DEVELOPPEMENT DURABLE (42 - Loire)AGORA GUIERS (73 - Savoie)INNOVALES (74 - Haute-Savoie)Bourgogne Franche ComtéLA COURSIVE BOUTARIC (21 - Côte-d'Or)L'ARETE (25 - Doubs)BretagneCCI DES COTES D'ARMOR (22 - Côtes-d'Armor)LES COLS VERTS (35 - Ille-et-Vilaine)L'ARGONAUTE & CO (56 - Morbihan)DEPART IMMINENT POUR L'HOTEL DE LA GARE (56 - Morbihan)Centre-Val de LoireBANDITS-MAGES (18 - Cher)MAISON DES JEUNES DE LA CULTURE ET DES SAVOIRS (36 - Indre)COMMUNAUTE DE COMMUNES COEUR DE BRENNE (36 - Indre)CorseUNIVERSITE DE CORSE P PAOLI (2B - Haute-Corse)Grand EstLE RUCHER CREATIF (10 - Aube)LE SHED (51 - Marne)ASS FONDATION ETUDIANTE POUR LA VILLE (57 - Moselle)CENTRE D'ANIMATION SOCIAL ET FAMILIAL DE BISCHWILLER (67 - Bas-Rhin)LA CABANNE DES CREATEURS (67 - Bas-Rhin)COLLECTIF OR DU COMMUN (68 - Haut-Rhin)Hauts-de-FranceGRANDSOISSONS AGGLOMERATION (02 - Aisne)COOPERATIVE BARAKA (59 - Nord)CA DES DEUX BAIES EN MONTREUILLOIS (62 - Pas-de-Calais)Ile-de-FranceVERGERS URBAINS (75 - Paris)SALLE SAINT BRUNO (75 - Paris)VANDERLAB (78 - Yvelines)ASSOCIATION LES CHAUDRONNERIES (93 - Seine-Saint-Denis)ASSOCIATION PAS SI LOIN (93 - Seine-Saint-Denis)SCIC SA LA MAIN 9-3.0 (93 - Seine-Saint-Denis)NormandieLA COOP DES TERRITOIRES (61 - Orne)SCENE NATIONALE 61 (61 - Orne)LES COPEAUX NUMERIQUES (76 - Seine-Maritime)Nouvelle-AquitaineLA PROUE (17 - Charente-Maritime)LA SMALAH (40 - Landes)TRAVERSES PARCOURS (40 - Landes)COMMUNE DE PAU SERNAM (64 - Pyrénées-Atlantiques)LACAZE AUX SOTTISES (64 - Pyrénées-Atlantiques)LE TEMPS DE VIVRE (87 - Haute-Vienne)OccitanieCARCASSONNE AGGLO (11 - Aude)LAETIS CREATIONS MULTIMEDIAS (12 - Aveyron)PINGPONG COWORK (12 - Aveyron)LE 100E SINGE (31 - Haute-Garonne)GERS DEVELOPPEMENT (32 - Gers)ASSOCIATION LA DISTILLERIE (34 - Hérault)Lozère Développement (48 - Lozère)Ass. Léo Lagrange (81 - Tarn)PACAASSOCIATION LOGIS JEUNES PROVENCE (06 - Alpes-Maritimes)LA FABULERIE (13 - Bouches-du-Rhône)CIRCULAIRE Jeanne Barret (13 - Bouches-du-Rhône)HEKO FARM (13 - Bouches-du-Rhône)La Vallée du Gapeau en Transition (83 - Var)DELTA LAB (84 - Vaucluse)Pays-de-la-LoireBEAU-TIERS-LIEU (44 - Loire-Atlantique)ASS CTRE SOCIAL SOCIO CULTUREL CHEMILLE (49 - Maine-et-Loire)COMMUNE DE SAINT-DENIS-DE-GASTINES (53 - Mayenne)
Il y a 4 ans et 196 jours

Présentation du label Cit'ergie

Il y a 4 ans et 197 jours

Green Systèmes se lance sur le marché de l'optimisation énergétique

Afin de lancer la commercialisation en France, et d'industrialiser sa solution de connexion au bâtiment (la Green Box) Green Systèmes annonce une levée de fonds d'un montant de 750 000 € avec le soutien du Groupe Trace et des investisseurs historiques de l'entreprise.De la collecte des données en passant par l'analyse des consommations jusqu'au pilotage de microgrids Afin d'améliorer la performance énergétique des bâtiments et usines du territoires français, Green Systèmes a développé différentes solutions d'optimisation pour être présent sur l'ensemble de la chaîne de valeur. 4 intenses années de recherche et développement ont été nécessaires avant de se lancer sur le marché avec des produits particulièrement innovants :Collecte des données en temps réelLa Green Box, développée par Green Systèmes, est un boitier plug and play à brancher directement dans le tableau électrique du bâtiment. Ses modules interconnectés permettent de relever tout type de données (eau, gaz, électricité, température, CO2…) quel que soit le protocole de communication utilisé dans le bâtiment (LoRaWAN, Modbus, TIC…)Analyse des factures et pilotage des consommations à distance avec la Green Solution, solution logicielle SaaSGreen Systèmes propose une solution regroupant l'ensemble des fonctionnalités nécessaires pour un monitoring énergétique performant.Centralisation, harmonisation et uniformisation des données : toutes les données de consommation sont centralisées au sein d'un tableau de bord entièrement personnalisable. Cette solution permet une analyse simple et surtout d'identifier rapidement les gisements d'économie d'énergie.Pilotage des équipements : le pilotage des équipements à distance permet de programmer différentes plages horaires pour allumer ou éteindre automatiquement des équipements (éclairage, VMC…) et ainsi éviter de consommer inutilement.Centralisation et analyse des factures énergétiques : analyse automatique des factures d'énergie pour identifier les erreurs de calcul.Alertes en cas de dysfonctionnement : envoi d'alertes SMS / e-mail en cas de dysfonctionnement d'équipements (fuite d'eau, augmentation des températures, dérive de la consommation électrique…)Pilotage d'un Microgrid Les énergies renouvelables sont de plus en plus présentes en France et certains bâtiments sont équipés de panneaux solaires... Green Systèmes propose son logiciel de pilotage de Microgrids. Il calcule précisément la production attendue via son algorithme prédictif et optimise la consommation. Il permet également de piloter les équipements alimentés par des énergies renouvelables (batterie de stockage, borne de recharge pour véhicule électrique…). L'objectif est d'augmenter le taux d'autoproduction et d'autoconsommation des bâtiments en gérant l'effacement pour éviter les pics de consommation ou en stockant de l'électricité en période de sous charge.Cette levée de fonds a donc pour objectif d'industrialiser la Green Box et de lancer la commercialisation de la Green Solution sur le territoire français, avant une prochaine levée de fonds, pour accélérer en France et lancer les produits à l'international.Green Systèmes compte figurer parmi les leaders en matière d'optimisation énergétique en proposant une gamme de produits complète, répondant au différents problématiques liées aux consommations des bâtiments.
Il y a 4 ans et 197 jours

CUPACLAD Design Waterfall : dynamisme et efficacité en cascade

Nos concepteurs et experts de l’ardoise naturelle ont levé le voile de cette nouvelle création. Prenant le contrepied de plupart des designs, l’ardoise placée verticalement vient provoquer un effet visuel plongeant comme si une cascade nous surplombait.Les créations CUPACLAD Design se dont une place dans le monde des façades ventilées. Ce qui séduit le plus ? La personnalisation ! Vous avez une idée et avez besoin d’un coup de pouce pour la mettre en pratique… Nous vous aidons lui donner vie !Détails techniquesLe système Waterfall est une succession rythmée d’ardoises de formats 50×25, 50×20 et 50×15, dans un alignement vertical. Les pièces sont fixées à l’aide des vis autoperceuses en acier inoxydable qui demeurent invisibles. Le principe de fixation a été éprouvé et vérifié par nos experts pour réduire au minimum le temps d’installation.Vous souhaitez entrer dans le monde des façades ventilées en ardoise naturelle ? Waterfall colle avec tout type de projet, depuis la maison individuelle jusqu’au plus grands équipements ERP.La façade ventilée est le système de bardage extérieur le plus efficace. Son utilisation garantit une excellente performance énergétique. L’ardoise du système Waterfall, forte d’une esthétique naturellement vibrante, provoque une sensation de mouvement.Les jeux de lumière à la surface des ardoises en font un bâtiment lumineux et changeant. De plus, rien n’empêche de combiner ces effets avec d’autres matériaux en façade, en variant les couleurs et les textures.Si vous aimez le concept, retrouvez ici toutes les propositions de la série CUPACLAD Design. Pour contempler des réalisations en France ou ailleurs, voir notre page de projets.
Il y a 4 ans et 197 jours

La guerre médiatique est lancée autour des centres commerciaux d'Unibail

L'enjeu, c'est le sort d'URW, un géant mondial du commerce qui détient notamment le Forum des Halles et se trouve en plein marasme face à la crise sanitaire du coronavirus. Ses revenus ont chuté et son cours de Bourse est au plus bas depuis plus de 20 ans."La direction a failli, c'est un constat absolument unanime sur la place", a déclaré vendredi Léon Bressler, ancien patron d'Unibail, qui vient d'engager le combat contre les actuels dirigeants."Il nous a fallu agir pour sauver une entreprise qui n'a plus de cap", a insisté M. Bressler, lors d'une conférence de presse.Celle-ci marquait l'apogée d'une semaine de lutte entre les dirigeants actuels et leurs deux opposants, M. Bressler et l'homme d'affaires bien plus médiatique, Xavier Niel, le fondateur de l'opérateur Free..Stratégique, le combat est aussi médiatique. Les deux opposants, qui détiennent ensemble un peu plus de 5% du groupe, ont lancé les hostilités en fin de semaine dernière par une grande interview au Figaro.Ils y annonçaient leur intention de s'opposer à une énorme augmentation de capital, de 3,5 milliards d'euros. Elle vise à préserver la solidité financière du groupe mais va aussi mécaniquement réduire sa valeur pour les actionnaires actuels."Accident industriel"En réalité, le désaccord est bien plus profond car il touche à la grande opération menée par Unibail ces dernières années, le rachat pour une vingtaine de milliards d'euros de l'anglo-saxon Westfield.Cette acquisition lui a permis de mettre un pied aux Etats-Unis, mais "c'est l'un des plus grands accidents industriels français, tous secteurs confondus, depuis 25 ans", a jugé vendredi M. Bressler.Si ce rachat a fait changer Unibail de dimensions financière et internationale, il l'a aussi contraint à d'importantes cessions pour équilibrer son portefeuille, et son titre n'a cessé de décliner depuis l'annonce de l'opération voici près de trois ans.Les opposants proposent donc de se débarrasser purement et simplement de tous les centres acquis aux Etats-Unis, d'ici deux ou trois ans. Et, selon eux, avec l'argent récupéré, il n'y aura aucun besoin d'une augmentation de capital.Pour l'actuelle direction, c'est inacceptable. Comment revenir sur l'opération la plus emblématique du groupe, voire du secteur, depuis une dizaine d'années ?A leur tour, les dirigeants d'URW ont multiplié les interventions médiatiques ces derniers jours. Interview au Figaro, là aussi, puis passages dans de multiples radios.Ils dénoncent "un pari fou", selon les termes employés mercredi par Christophe Cuvillier, président du directoire d'URW, sur BFM Business. Conclusion le 10 novembreL'actuel patron souligne l'aspect profondément incertain des propositions des deux opposants, en pleine crise sanitaire et économique. Peut-on miser sur une revente en masse des centres américains alors que l'épidémie bat son plein et que l'on s'interroge encore sur l'ampleur de ses conséquences économiques?Les opposants proposent "un grand saut dans l'inconnu", a martelé M. Cuvillier. "Ils le reconnaissent, il n'y a pas de marché aujourd'hui.""Nous pensons que c'est faire prendre un grave risque à l'entreprise", a-t-il insisté, estimant que l'augmentation de capital permettrait d'"agir tout de suite".Le lutte se fixe donc sur cette augmentation, ce qui contribue à son intensité. En effet, le temps presse pour les deux camps car l'opération doit être approuvée - ou non - par une assemblée générale le 10 novembre.L'issue est incertaine car l'augmentation devra obtenir au moins deux tiers des voix des investisseurs présents.URW peut, a priori, compter sur les grandes banques qui ont d'ores et déjà promis de souscrire à l'augmentation de capital, dont son premier actionnaire, la banque Goldman Sachs.Mais celle-ci détient à peine plus de 10% du groupe, dont l'actionnariat est particulièrement éclaté. C'est donc un combat pied à pied qui s'annonce où il s'agira de se montrer en position de force.Les opposants sont "submergés par le soutien de centaines de petits actionnaires", a assuré vendredi M. Bressler, évoquant des messages "sympathiques" du côté des plus gros.
Il y a 4 ans et 197 jours

Coffrage Schöck ASE, le chantier exemplaire de la Tour Ycone à Lyon

Cette solution innovante, clé en main, a ainsi été retenue par le spécialiste de produits béton Plattard pour la préfabrication de plus de 300 mètres linéaires de poutres assemblées au cœur de la Tour Ycone, dans le quartier Confluence, sur la presqu'île de Lyon. Signée de l'architecte Jean Nouvel, cette tour singulière culmine à 64 mètres de haut et abrite un programme mixte de 92 appartements (dont 27 logements en prêt locatif social) répartis sur 14 étages et 660 m2 de commerces localisés en rez-de-chaussée. L'ossature bois, la façade en béton habillée d'aluminium, une double peau en verre opaline ménageant de spacieuses terrasses ou loggias, et une coiffe métallique confèrent une silhouette "flottante" à Ycone. Une légèreté qui s'appuie sur la solidité des planchers montés, à chaque niveau, avec des poutres intégrant les coffrages Schöck ASE en béton fibré extrudé C40/50.Un chantier facilité par une préfabrication elle-même ultra simplifiéeAlors que pour un chantier type, le coffrage traditionnel sur site s'avère une étape fastidieuse, chronophage et parfois risquée, notamment quand les ouvriers sont amenés à coffrer sur des grandes hauteurs, la solution préfabriquée POUTRÉKO® évite nombre de manutentions et apporte une sécurité optimale.L'intégration des Schöck ASE en usine permet d'obtenir des poutres précoffrées pourvues de leur ferraillage qui seront livrées sur site afin d'être coulées en même temps que le plancher. Plus légères car évidées, elles s'avèrent plus facile à décharger et à manipuler, autant de valeurs ajoutées fort appréciées des compagnons. Quant au clavetage entre poutres, là-encore la simplicité prévaut : il suffit de découper les coffrages ASE pour couler nœuds et têtes de poteaux en une seule fois. La large gamme des ASE proposée a ainsi permis l'utilisation de 6 hauteurs d'ASE différentes (tous d'une longueur de 270 cm, mais variantes en hauteur : 18 / 20 / 25 / 30 / 35 / 40 cm) pour s'adapter aux diverses configurations rencontrées sur le chantier de la Tour Ycone ! Ces modèles ASE 0DW, dépourvus de joints d'étanchéité, ont ainsi fait la différence, leur profil chanfreiné séduisant les utilisateurs et assurant une finition irréprochable.Rappelons, par ailleurs, que les coffrages Schöck ASE se caractérisent par leur résistance au cintrage (15-16 N/mm2), à la pression (55- 60 N/mm2), au gel et aux intempéries.Soulignons, enfin, que cette solution ne génère aucun déchet en usine de préfabrication comme sur chantier par rapport aux systèmes traditionnels et amoindrit également la gêne occasionnée aux riverains (puisqu'elle réduit la longue et sonore étape du coffrage et coulage sur site).PrixGrand Prix régional au concours des Pyramides d'argent 2018Prix innovation Industriel 2018Pyramide bas carbone 2017Fiche chantier Tour YconeMaître d'ouvrage : SCCV M3 SUD CONFLUENCE, Co-promotion GROUPE CARDINAL et VINCI PROMOTION IMMOBILIÈREArchitecte : ATELIERS JEAN NOUVELEntreprise de construction : FONTANEL SAEntreprise de préfabrication : PLATTARD SAS
Il y a 4 ans et 199 jours

La date limite pour basculer son DIF sur son CPF pourrait être repoussée

Constatant "qu'un salarié sur quatre" seulement a effectué cette opération, Mme Borne indique avoir demandé à ses services "d'étudier la possibilité d'un nouveau report", dans un entretien à La Croix."Nous allons en outre relancer une campagne de communication, en collaboration avec la Caisse des dépôts, pour rappeler la date de clôture aux salariés et les inciter à basculer leurs droits. Mais nous allons davantage mobiliser les entreprises pour qu'elles sensibilisent les salariés au sujet", ajoute-t-elle.Un salarié a jusqu'au 31 décembre pour transférer ses droits acquis fin 2014 au titre du DIF (Droit individuel à la formation) sur son CPF (compte personnel de formation), qui lui a succédé en 2015.Il doit récupérer son solde d'heures sur son bulletin de salaire de décembre 2014 ou de janvier, ou demander une attestation à son employeur d'alors, et le rentrer dans son compte CPF, désormais disponible en application.Pour quelqu'un qui n'avait jamais utilisé son DIF, cela représente un maximum de 120 heures, qui ont été depuis converties en euros à raison de 15 euros de l'heure, soit un potentiel de 1.800 euros.Depuis le 1er janvier 2019, le CPF n'est en effet plus alimenté en heures mais en euros à raison de 500 euros par an (800 pour les salariés non qualifiés), dans la limite de 5.000 euros (8.000).Récupérer l'argent du DIF permet donc à un salarié de gagner quelques années pour atteindre la limite de son CPF."C'est en temps de crise qu'il faut se former et renforcer son employabilité", estime Mme Borne, en rappelant que "c'est aussi dans l'intérêt des employeurs, qui peuvent abonder le compte de leurs salariés dans le cadre d'un plan de formation".
Il y a 4 ans et 199 jours

Le gouvernement lance deux appels à projets visant au développement de la filière hydrogène

En application de la stratégie nationale du Gouvernement pour le développement de l'hydrogène décarboné en France, Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, des Finances et de la Relance, Frédérique Vidal, ministre de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l'Innovation, Jean-Baptiste Djebbari, ministre délégué chargé des Transports, Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l'industrie, Guillaume Boudy, secrétaire général pour l'investissement et Arnaud Leroy, président-directeur général de l'ADEME, annoncent l'ouverture de deux appels à projets visant au développement de la filière hydrogène.Aujourd'hui, de manière partagée à travers l'Europe, l'hydrogène constitue une opportunité stratégique pour la transition vers une économie « zéro carbone » et la création d'une filière industrielle. L'hydrogène produit de façon décarbonée est un levier clé de décarbonation de plusieurs processus industriels et de certaines mobilités, et permettra à terme d'optimiser le rôle des énergies renouvelables dans le mix énergétique. L'hydrogène s'inscrit également dans une priorité stratégique de souveraineté énergétique pour de nombreux États. La France se mobilise aux côtés de ses partenaires européens pour la création d'une chaîne de valeur à l'échelle européenne sur l'hydrogène, comme en témoigne la rencontre du 13 octobre entre le président de la République Emmanuel Macron, la chancelière allemande Angela Merkel, les ministres français et allemands de l'économie Bruno Le Maire et Peter Altmaier, la présidente de la Commission Ursula von der Leyen et le commissaire européen chargé de la politique industrielle Thierry Breton, et des dirigeants d'entreprises.Les deux appels à projets lancés aujourd'hui constituent la première étape de cette stratégie:L'appel à projets « Briques technologiques et démonstrateurs » financé par le Programme d'investissements d'avenir (PIA) de l'Etat et opéré par l'ADEME, s'adresse principalement aux entreprises. Il vise à développer ou améliorer les composants et systèmes liés à la production et au transport d'hydrogène et à ses usages tels que les applications de transport ou de fourniture d'énergie, ou encore à concevoir et développer de nouveaux véhicules notamment pour le transport routier de marchandises et le ferroviaire. Il pourra également soutenir des pilotes et démonstrateurs d'envergure (supérieur à 20MW) sur le territoire national, permettant à la filière industrielle de l'hydrogène de développer de nouvelles solutions et de se structurer.L'appel à projets « Écosystèmes territoriaux hydrogène » de l'ADEME soutient des investissements de production et de distribution d'hydrogène renouvelable ou décarboné, pour des usages industriels et en mobilité, en particulier dans le domaine des utilitaires et des transports lourds (collectifs ou de marchandise). Il vise à faire émerger des consortiums réunissant sur un même territoire collectivités et industriels porter des écosystèmes de grande envergure favorisant des économies d'échelle.Qui peut déposer un projet ?L'appel à projets « Briques technologiques et démonstrateurs » s'adresse aux entreprises, pour des projets menés seul ou en partenariat avec d'autres entreprises et/ou acteurs de la recherche, pour des projets d'innovation d'un montant minimum de 2 à 5 millions d'euros selon les axes visés dans l'appel à projet.L'appel à projets « Écosystèmes territoriaux hydrogène » s'adresse aux collectivités et entreprises, souhaitant s'investir dans la production et la distribution d'hydrogène, ainsi que dans les usages industriels et en mobilité.Calendrier, dates limites et formulaires de dépôt des projets :« Briques technologiques et démonstrateurs » : dépôt au fil de l'eau jusqu'au 31 décembre 2022;« Écosystèmes territoriaux hydrogène » : 17 décembre 2020 ; 16 mars 2021 ; 14 septembre 2021;Pour rappel, la stratégie d'accélération française a été officiellement annoncée le 8 septembre dernier. Avec une dotation globale de plus de 7 Md€ jusqu'à l'horizon 2030 dont 2 Md€ intégrés dans le plan de relance, la stratégie française porte des ambitions très élevées pour répondre aux enjeux suivants:Des enjeux environnementaux : l'hydrogène est pourvoyeur de nombreuses solutions pour décarboner l'industrie et les transports et réduire les impacts sur la qualité de l'air de la mobilité;Des enjeux économiques : l'hydrogène offre l'opportunité de créer une filière et un écosystème industriels créateurs d'emplois ;Des enjeux de souveraineté énergétique pour réduire notre dépendance vis-à-vis des importations d'hydrocarbures ;Des enjeux d'indépendance technologique pour valoriser les atouts dont dispose la France dans la compétition mondiale.Au travers de cette stratégie, le soutien de l'État accompagne de manière séquentielle et progressive toutes les étapes clés de l'émergence d'une filière industrielle locale :Le soutien à la R&D permettant de développer des technologies plus performantes pour l'ensemble des usages de l'hydrogène ;Le soutien aux premières commerciales et à l'industrialisation qui combine une approche européenne (partenariats avec des pays partenaires pour développer des projets d'envergure) et nationale ;Le soutien au déploiement qui permet d'amorcer la diffusion de ce vecteur et de ses usages sur certains marchés.
Il y a 4 ans et 199 jours

Nouvelle mise à jour du guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction

Cette nouvelle version du guide introduit les mesures applicables spécifiquement dans les zones où un couvre-feu a été mis en place les 17 et 22 octobre derniers. Ainsi, le guide précise que :dans les zones où des mesures de couvre-feu sont appliquées, en application de l'état d'urgence sanitaire, le port du masque est permanent dans les milieux clos et partagés. Ceci ne s'applique pas aux chantiers ni aux ateliers, où la dérogation au port permanent reste possible dès lors que les conditions de ventilation / aération fonctionnelles sont conformes à la réglementation, que le nombre de personnes présentes dans la zone de travail est limité, que ces personnes respectent la plus grande distance possible entre elles, y compris dans leurs déplacements, et portent une visière et que l'activité de travail ne nécessite pas une protection respiratoire spécifique.dans les zones soumises à couvre-feu, les employeurs fixent dans le cadre du dialogue social de proximité, un nombre minimal de jours de télétravail par semaine, pour les postes qui le permettent. Ils sont également invités à le faire dans les autres zones. Par ailleurs, une attestation de déplacement « couvre-feu » de l'employeur est nécessaire pour circuler, dans les zones concernées, entre 21h et 6h du matin.L'Organisme rappelle également que les personnes vulnérables à risque de forme grave présentant des pathologies particulièrement lourdes, listées dans le décret n° 2020-521 du 5 mai 2020, ont la faculté, si le médecin traitant l'estime nécessaire, d'être placées en activité partielle.Par ailleurs, l'OPPBTP met à jour les annexes et documents pratiques mis à disposition des entreprises :La fiche conseils « Adaptations et dérogations au port du masque dans les lieux clos » ;La fiche conseils « Contact-tracing : identification et déclaration des cas contacts » ;La fiche conseils « Collaborateurs vulnérables à risque de forme grave ».Ces fiches, comme l'ensemble des outils et documents mis à disposition par l'OPPBTP, sont rassemblés dans la Boîte à Outils Covid-19 disponible sur le site preventionbtp.fr. La nouvelle version du guide est disponible ici.
Il y a 4 ans et 199 jours

Le gouvernement renforce les "emplois francs" pour l'embauche des jeunes dans les quartiers

L'aide accordée aux entreprises procédant à une telle embauche est désormais portée à 7.000 euros la première année, au lieu de 5.000 (puis 5.000 euros les deux années suivantes), a précisé la ministre sur France 2. Le dispositif, qui devait prendre fin au 31 décembre de cette année, est par ailleurs prolongé d'un an. Le décret en ce sens est paru jeudi au Journal officiel.Si l'embauche se fait en CDD d'au moins six mois, l'aide est de 5.500 euros la première année, puis 2.500 euros l'année suivante.Il en va de "l'égalité des chances", a fait valoir la ministre. "Chacun doit pouvoir trouver sa place dans la République. Je ne peux pas accepter qu'un jeune ne trouve pas de travail parce qu'il n'a pas la bonne adresse ou les bons codes", a-t-elle insisté."Je dis aux employeurs: +n'hésitez pas à employer ces jeunes+. S'ils n'ont pas les codes, nous leur donnerons, s'ils ont besoin d'être accompagnés, pour comprendre les règles des entreprises, nous le ferons", a expliqué Mme Borne.Le dispositif des emplois francs est ouvert à tout employeur, situé ou non en quartier de politique de la ville (QPV), qui embauche un chômeur habitant dans ces quartiers.Expérimentée depuis avril 2018 dans une dizaine de zones, la mesure avait été généralisée en 2020 à l'ensemble des 1.500 quartiers prioritaires pour amplifier des résultats quantitatifs modestes.Le ministère tablait sur 40.000 emplois créés d'ici fin 2020 mais la crise a réduit le nombre d'embauches.Selon la Dares (le service statistiques du ministère), le nombre hebdomadaire de demandes d'aides acceptées par Pôle emploi a été divisé par près de quatre après les quatre premières semaines du confinement, passant de 700 à moins de 200. Il s'est ensuite stabilisé entre 200 et 300 par semaine, avant d'augmenter légèrement à partir de fin juin (entre 250 et 350 par semaine).Le gouvernement a prévu pour ce dispositif en 2021 une enveloppe budgétaire en hausse de plus de 40% sur un an, à 317 millions d'euros au lieu de 224.
Il y a 4 ans et 199 jours

L'économie française menacée de rechute par la deuxième vague épidémique

Depuis quelques semaines, les indicateurs économiques témoignaient déjà d'un regain d'inquiétude lié à la recrudescence des contaminations en France.Mais en imposant notamment un couvre-feu sur une partie du territoire, le gouvernement a de fait mis à l'arrêt un certain nombre d'activités déjà fortement pénalisées: les bars et restaurants, comme les métiers de la culture et de l'évènementiel.Ces mesures "vont limiter l'impulsion de croissance au risque d'avoir une variation négative de l'activité au dernier trimestre", prévient Philippe Waechter, chef économiste chez Ostrum Asset Management. Lui, mise sur un recul du PIB de 0,5% sur les trois derniers mois de l'année.Pour l'assureur-crédit Euler Hermes, il devrait se contracter de 1,1% et à l'OFCE, on table sur une baisse "de l'ordre de 0,8%", indique Mathieu Plane, directeur adjoint du département analyse et prévision."Cette nouvelle dégradation au dernier trimestre est liée aux trois secteurs déjà les plus touchés - l'hôtellerie-restauration, les services de transports et les services aux ménages, qui englobent notamment les activités de loisirs - et qui vont replonger", précise-t-il."Mois de tous les dangers"L'économie française affronte "le mois de tous les dangers", prévient encore Sylvain Duranton du Boston Consulting Group, qui a publié jeudi son nouveau "baromètre de la reprise" fondé sur l'analyse de quelque 10.000 données haute fréquence."L'économie est prise en tenaille entre une confiance des consommateurs, une envie d'acheter, de sortir, de faire du sport qui s'affaisse du fait de la pandémie, un rebond qui ne rebondit plus, et des particuliers et entreprises qui hésitent à investir", explique-t-il à l'AFP.Signe de ce climat attentiste, la production de prêts par les banques est en recul.L'Insee, qui tablait encore début octobre sur une stagnation du PIB au dernier trimestre, après la chute de 13,8% au deuxième et le rebond estimé de 16% au troisième, pourrait aussi abaisser sa prévision."C'était avant les nouvelles annonces de restrictions" et le nouveau contexte renforce la possibilité d'une "baisse par rapport à cette prévision", a prévenu mercredi le directeur général de l'Institut national de la statistique, Jean-Luc Tavernier, auditionné au Sénat.L'indicateur mensuel du climat des affaires, publié jeudi matin par l'Insee, a ainsi reflué en octobre pour la première fois depuis le déconfinement, illustrant les inquiétudes des chefs d'entreprises sur leurs perspectives d'activité.Au-delà de la perte d'activité dans les secteurs directement touchés, la deuxième vague de la pandémie renforce l'incertitude sur l'avenir, un climat peu propice aux décisions de consommation ou d'investissement.Épée de DamoclèsCar malgré les mesures de soutien prises par le gouvernement, c'est bien la situation épidémique qui donnera le tempo de la reprise ou non de l'économie."Tant qu'on aura cette épée de Damoclès au-dessus de nos têtes, n'imaginons pas que nous pourrons retrouver une activité normale", souligne ainsi à l'AFP Philippe Waechter.Malgré tout, la France n'est pas revenue dans la situation du confinement général du printemps où une grande partie de la population ne pouvait plus travailler, nuance Mathieu Plane.Si les dernières restrictions décidées risquent de mettre au chômage de nombreuses personnes car "ces secteurs sont très riches en emploi, leur poids dans le PIB n'est pas massif, environ 4%, et ce ne sont pas des secteurs moteurs de l'économie" comme l'aéronautique ou l'automobile, juge-t-il.Il estime toutefois que le gouvernement devrait encore renforcer le soutien aux entreprises, qui auront du mal à faire face aux premières échéances des prêts garantis par l'État obtenus pendant la crise et au remboursement des reports de charges qui leur ont été accordés.Pour Philippe Waechter aussi, il faut que la France, et plus généralement l'Europe, accentue "l'impulsion budgétaire" pour relancer l'économie, avec "un soutien à la demande plus marqué".Sinon, "il n'est pas sûr qu'on ait le rattrapage attendu au premier ou au deuxième trimestre de l'année prochaine", prévient-il.
Il y a 4 ans et 199 jours

Jacques Perotto est élu Président de CINOV SYPAA

Après une année au cours de laquelle il a co-piloté le syndicat avec Gérard Pinot, Président sortant, M. Perotto entend poursuivre le travail amorcé sur la constitution de référentiels qui puissent permettre de catalyser toutes les démarches liées à la programmation – à l'échelle d'un bâtiment, d'un projet urbain et d'un territoire – et de structurer les missions d'AMO.Fort de 40 années d'expertise dans ces domaines, Jacques Perotto a notamment fondé en 1986 l'entreprise de conseil en management AGORA, située à Lyon. Auparavant, il avait participé à la création de l'association CEGES qui, de 1981 à 1986, faisait figure de précurseur dans la mise en place de dispositifs innovants en matière d'aide à la création d'entreprises.Diplômé de l'Institut d'Etudes Politiques de Lyon et d'un DEA Sociologie et économie urbaine de l'Université Lyon II, M. Perotto entend mettre son expérience au service du syndicat, de ses adhérents et de la profession dans son ensemble.CINOV SYPAA, un syndicat au cœur des transformations à l'œuvreA la tête de CINOV SYPAA, Jacques Perotto s'est fixé comme objectif majeur de poursuivre la représentation des métiers de la prestation intellectuelle du conseil en urbanisme, notamment ceux des programmistes et des AMO. Il souhaite aussi renforcer la représentativité du syndicat, sa notoriété et son influence, et promouvoir la reconnaissance des qualifications professionnelles de la branche. M. Perotto entend, enfin, faire valoir l'intérêt de la formation et de la mise à jour continuelle des compétences au sein de la profession.Dans le contexte de crise sanitaire que nous connaissons actuellement, CINOV SYPAA souhaite encourager les bonnes pratiques professionnelles au service d'une économie responsable, et dynamiser les actions entre les métiers de l'urbanisme vis-à-vis des transformations de la société (économique, sociale, technologique et environnementale). Jacques Perotto entend aussi alerter sur les difficultés auxquelles est confrontée la filière. « La crise sanitaire a eu un impact important sur nos activités, qui reposent essentiellement sur la consultation », explique-t-il. « Au cœur des méthodologies que l'on met en œuvre, le travail d'équipe est essentiel, nos métiers sont donc peu compatibles avec la généralisation du télétravail... En effet, nous travaillons la plupart du temps de manière collaborative, en co-intervention entre professionnels, en concertation avec les parties prenantes à un projet et en co-production avec les équipes clients, pour lesquelles l'écoute, l'échange et le rapport humain sont primordiaux ! »La concurrence du secteur public constitue l'autre difficulté majeure à laquelle sont confrontés les programmistes en architecture et urbanisme. « Localement, beaucoup de nos concurrents sont des structures publiques et parapubliques, face auxquelles nous pouvons difficilement créer un rapport de force favorable, même si nous sommes souvent plus agiles et plus imaginatifs. Nos adhérents ont le sentiment que la crise a renforcé la concurrence déloyale de ces structures », déplore M. Perotto.Ce mandat sera donc l'occasion pour Jacques Perotto et le nouveau Conseil d'administration de mobiliser les adhérents autour de ces enjeux, de renforcer la place des programmistes sur les questions liées à l'évolution des territoires, d'agir pleinement sur la qualité du cadre de vie et de faire valoir le point de vue d'une profession totalement impliquée dans les mutations et les transitions en cours.
Il y a 4 ans et 200 jours

L'Experience IVECO S-WAY

Il y a 4 ans et 200 jours

L'aéroport de Nice ne prévoit pas de retour à la normale avant 2023 ou 2024

"A ce stade, on table sur une reprise du trafic pour 2023-2024", a indiqué M. Goldnadel, nouvellement nommé à la tête du directoire de cette société qui regroupe les aéroports de Nice, Cannes et Saint-Tropez, lors d'une conférence de presse."Mais on peut être dans le peloton de tête des aéroports qui vont recouvrer un peu plus rapidement leur activité, du fait de l'attractivité du territoire et du trafic réparti entre vols domestiques, passagers en provenance de grandes capitales européennes et trafic international pur", a-t-il ajouté.En 2020, l'aéroport de Nice devrait à peine enregistrer le tiers de son activité de 2019, soit 5 millions de passagers contre 14,8 millions, en raison de l'arrêt du trafic international et des restrictions au trafic européen: "Ici il y a peu d'alternatives à l'avion pour rejoindre les autres grandes capitales régionales, voire Paris, donc on a un trafic domestique plutôt plus dynamique", qui représentera 90% du trafic de l'année, a souligné M. Goldnadel.Du fait de cette baisse d'activité, la société des Aéroports de la Côte d'Azur, qui depuis 2016 est un groupe privé détenu majoritairement par le consortium Azzurra, va enregistrer des pertes en 2020, dont le montant n'a pas été précisé.ACA a fait appel à un prêt garanti par l'État (PGE), pour un montant non communiqué, effectué des économies de fonctionnement et usé du dispositif de chômage partiel à hauteur, actuellement, de 30% de l'activité de ses 520 employés. Au total, la plate-forme aéroportuaire de Nice emploie 8.000 personnes en temps normal.M. Goldnadel n'a pas souhaité à ce stade se prononcer sur la réouverture du terminal T1, fermé depuis la crise sanitaire, indiquant attendre les prévisions de vols des compagnies aériennes pour 2020.S'agissant du dossier de l'extension du terminal T2, engagé avant la crise sanitaire, M. Goldnadel persiste à penser qu'elle sera "nécessaire": d'ici trois ou quatre ans, on aura retrouvé le trafic de 2019. Or, rien qu'avec le trafic de 2019, cette extension aurait été nécessaire", a-t-il estimé, concédant seulement un "décalage" des travaux.Contestée en justice par des associations de défense de l'environnement, cette extension doit notamment permettre la construction de six salles d'embarquement supplémentaires.
Il y a 4 ans et 200 jours

APC Render+ de EDICAD est sorti

APC Render+ de EDICAD : puissance et précisionDisponible pour PC, APC Render+ fait partie d'une suite de logiciels allant de la conception à l'exploitation des bâtiments. Le moteur 3D en temps réel utilise la technologie Unigine, spécialisée dans l'industrie et la haute technologie, afin de bénéficier de la puissance des cartes graphiques NVIDIA et ATI. Rien de mieux pour obtenir une précision inédite !« EDICAD propose avec APCRender+ un logiciel de visualisation 3D puissant qui vous permettra de faire vos présentations en naviguant directement au cœur de vos projets.»Stéphane Agullo - Infographiste 3DPour tous les professionnels du bâtimentAPC Render+ s'adresse à tous les professionnels du bâtiments : architectes, promoteurs, piscinistes, paysagistes, constructeurs de maisons individuelles ou architectes d'intérieur. Les clients apprécient la grande facilité de visualisation grâce à son réalisme ultra précis : des options permettent même de simuler la localisation ou la météo !Avec son ergonomie claire et intuitive, vous pourrez créer les projets 3D de vos clients très simplement, et leur permettre de se projeter dans leur future maison ou bâtiment d'entreprise.Un outil adaptable pour tousMême si APC Render+ est inscrit dans une suite de logiciels développés par EDICAD, l'un de ses points forts est qu'il s'adapte à tous les formats de fichiers. Utilisateurs de CAO, vous pourrez importer vos projets provenant d'autres logiciels sans aucun souci. De plus, la bibliothèque d'origine est bien fournie en objets et matériaux, avec des projections triplanaires sur mur courbe. Cependant, si vous en avez le besoin, vous pourrez aussi y ajouter vos propres livrables. « L'équipe de développement d'EDICAD est passionnée, réactive, et très sympa, ce qui annonce un support sérieux, et des évolutions prometteuses ! » Stéphane Agullo - Infographiste 3DPour en savoir plus sur EDICAD et APC Render+ : cliquez ici
Il y a 4 ans et 200 jours

Les opposants à la direction d'URW passent les 5% du capital

"La participation du consortium dans URW a franchi en hausse le seuil de 5% du capital social de la société", a déclaré dans un communiqué ce groupement, qui rassemble l'entrepreneur Xavier Niel et un ancien patron d'Unibail, Léon Bressler.Les deux hommes, qui revendiquaient jusqu'ici environ 4% du groupe, ont engagé la semaine dernière une bataille ouverte avec l'actuelle direction d'URW, qui détient une centaine de grands centres commerciaux comme le Forum des Halles à Paris.Ils s'opposent à un plan engagé par le groupe face à la crise sanitaire et économique du coronavirus. Celle-ci a lourdement affecté les revenus d'URW, confronté à la fermeture obligatoire de nombreux centres pendant des semaines de restrictions sanitaires.Les opposants à la direction refusent notamment la perspective d'une vaste augmentation de capital de 3,5 milliards d'euros, estimant qu'il ne s'agit que d'une stratégie à courte vue.Ils jugent que les difficultés d'URW remontent à bien avant la crise et accusent notamment la direction d'avoir fait une énorme erreur en s'implantant sur le marché américain avec le rachat en 2018 d'un autre géant, Westfield.Les opposants souhaitent revenir sur cette opération massive - une vingtaine de milliards d'euros - qui n'a de fait jamais séduit les investisseurs.Depuis son déclenchement, l'action d'URW n'a fait que décliner pour finalement chuter à un niveau jamais vu depuis les années 1990. L'offensive des activistes a un peu fait rebondir le titre, mais celui-ci rechutait de près de 7% jeudi.De son côté, la direction défend le rachat de Westfield ainsi que son projet d'augmentation de capital, jugeant très risqué de parier comme les opposants sur un recentrage européen et la vente des centres Westfield pour récupérer des fonds.En montant au capital, les activistes renforcent leur position à l'approche d'une assemblée générale, le 10 novembre, qui doit décider ou non de l'augmentation de capital.L'issue est incertaine car l'actionnariat d'URW est particulièrement éclaté et le projet nécessitera l'approbation d'au moins deux tiers des actionnaires présents.
Il y a 4 ans et 200 jours

Alstom signe une lettre d'intention pour une ligne de métro à Bagdad

La lettre d'intention a été signée lundi à Matignon à l'occasion de la visite officielle du Premier ministre irakien Moustafa al-Kazimi en présence du chef du gouvernement français Jean Castex, a précisé Alstom dans un communiqué.Il s'agit de construire une ligne de 20 km de long comportant 14 stations. Le projet inclut la fourniture par Alstom du matériel roulant, des systèmes électromécaniques, des voies, ainsi que les travaux de génie civil associés, confiés au groupe sud-coréen Hyundai Engineering & Construction.Il est encore trop tôt pour évoquer un montant ou une date d'ouverture de la ligne, a indiqué une porte-parole d'Alstom à l'AFP.Le groupe français discute depuis des années avec les autorités irakiennes.Il avait déjà signé en décembre 2017 un protocole d'accord pour ce projet. Le montant des travaux était alors évalué entre 2,1 et 2,5 milliards de dollars, pour une ouverture espérée en 2023.Le même document évoquait le développement de deux lignes de métro aérien dans la deuxième ville du pays, Bassora (sud-est).Alstom avait auparavant signé, en 2011, un accord préliminaire pour la construction d'un métro à Bagdad, de même qu'un protocole d'accord pour la construction d'une ligne de train à grande vitesse entre Bagdad et Bassora.
Il y a 4 ans et 200 jours

Le Sacré-Cœur de Montmartre est désormais inscrit aux monuments historiques

L'inscription de la basilique avait été proposée par la direction régionale des affaires culturelles (DRAC) d'Ile-de-France. La commission régionale du patrimoine et de l'architecture (CRPA) a donné à l'unanimité un avis favorable le 13 octobre dernier, recevant le soutien explicite de la ministre de la Culture Roselyne Bachelot.Le dossier va être transmis à la Commission nationale du patrimoine et de l'architecture (CNPA), chargée de statuer sur le classement du site: un statut encore plus favorable pour la protection d'un monument historique.Selon le code du patrimoine, un édifice inscrit monument historique peut recevoir jusqu'à 40 % de subventions de l'Etat pour ses travaux de conservation et de rénovation, tandis qu'un édifice classé peut bénéficier de subventions sans limites de pourcentages.La basilique, édifiée dans les années 1870 sur les plans de l'architecte Paul Abadie, ainsi que ses abords, sont concernés par cette procédure d'inscription et de classement: cela concerne notamment le square Louise Michel, lieu de commémoration de la Commune. C'est en partie sur la Butte Montmarte qu'elle est née il y a 150 ans et a été réprimée.Tous les signaux sont au vert pour un classement au premier semestre 2021, soulignait-on mercredi au ministère.150 ans après la Commune, ce nouveau statut a une signification symbolique de réconciliation, puisqu'il protège en même temps un lieu du culte catholique et le théâtre de la révolte du peuple de Paris, souligne-t-on encore de même source.Depuis 2012, l'Etat a entrepris d'étendre la protection des édifices religieux parisiens, et des églises comme la Trinité en ont profité.Symbolisant dans le monde entier Paris aux mêmes titres que Notre-Dame ou la Tour Eiffel, le Sacré-Cœur est visité (hors période Covid) par 10 millions de personnes par an. La basilique monumentale a longtemps enflammé le débat entre cléricaux et anticléricaux. Sa construction avait répondu à un voeu émis en octobre 1871 pour "expier" la défaite de la France face à l'armée prussienne. Mais la première pierre n'avait été posée qu'en 1874, soit après la Commune.Au total 66 églises sont protégées (inscrites ou classées) à Paris, sur 1.950 sites et édifices qui le sont. Environ 44.500 édifices sont protégés en France.
Il y a 4 ans et 200 jours

Disneyland Paris va se doter d'une centrale solaire grande comme 24 terrains de foot

Le projet déploiera ainsi au-dessus de 17 hectares de places de stationnement des ombrières photovoltaïques, sortes d'auvents recouverts de 67.500 panneaux solaires, qui abriteront du même coup les visiteurs des intempéries ou du soleil, a détaillé Disneyland Paris, dans un communiqué publié à l'occasion de la Journée mondiale de l'Énergie.Cette structure, construite en partenariat et coinvestissement avec le leader français du solaire photovoltaïque Urbasolar, "permet à la fois d'optimiser l'espace et d'améliorer le confort des visiteurs", a souligné auprès de l'AFP Damien Audric, directeur de l'aménagement de Disneyland Paris, première destination touristique privée en Europe."Cette centrale contribuera à la réduction des émissions gaz à effet de serre (GES) à hauteur d'environ 750 tonnes de CO2 par an au sein du territoire local de Val d'Europe en Seine et Marne ou le parc est implanté", a-t-il précisé.Les 31 GWH d'électricité produits à terme correspondent "à l'équivalent de la consommation énergétique annuelle d'une ville de 14.500 habitants", a-t-il expliqué.Selon Urbasolar, qui assurera la gestion et l'exploitation de cette centrale, il s'agira d'une des plus grandes à ombrières photovoltaïque en Europe."L'innovation et la préservation de l'environnement font partie de l'héritage transmis par Walt Disney et ce projet ambitieux qui fait appel à l'énergie solaire illustre l'engagement de Disneyland Paris sur le sujet", a déclaré Natacha Rafalski, présidente de Disneyland Paris, citée dans le communiqué.La construction a débuté en juillet à Disneyland Paris et "comme c'est un défi de construire tout en permettant l'usage du parking, c'est un chantier qui va se déplacer en plusieurs étapes" jusqu'en 2023, "avec une première partie opérationnelle dès le printemps 2021", a souligné Damien Audric."Clin d'oeil" à la magie Disney, a-t-il ajouté, "une tête de Mickey, illuminée par des leds sera visible la nuit depuis le ciel, ou à bord du ballon installé dans Disney Village".Ce projet s'inscrit dans la stratégie environnementale conduite ces dernières années par Disneyland Paris, a-t-il rappelé, et qui s'est traduite par une série de mesures allant de la suppression des pailles et plastiques mono-usage à la création d'une station d'épuration ou d'une centrale géothermique qui produit environ 20 GWh.
Il y a 4 ans et 200 jours

Crise sanitaire, plan de relance Bâtiment et rénovation globale : le programme FEEBAT accompagne les professionnels

Pour soutenir, l'activité du bâtiment et encourager la transition énergétique, le gouvernement a renforcé MaPrimeRénov' afin d'encourager les propriétaires à réaliser des travaux de rénovation globale. La condition préalable ? La réalisation d'un audit énergétique avant travaux par un professionnel qualifié auditeur énergétique en maison individuelle, pour quantifier les économies d'énergies et proposer plusieurs scénarii de travaux au particulier.Les formations AUDIT Reno et DynaMOE préparent les entreprises et artisans de travaux, ainsi que les architectes et maîtres d'œuvre, à la réalisation de cet audit, grâce à des formations de qualité répondant au décret 2018-416 du 30 mai 2018 sur l'audit énergétique en maison individuelle.AUDIT Reno et DynaMOE sont des portes d'entrée privilégiées vers les qualifications d'auditeurs énergétiques en maison individuelles, et notamment la qualification 19.11 de l'OPQIBI pour les maîtres d'œuvre.Formations FEEBAT : des formats souples, individualisés et parfaitement adaptés au contexte sanitaireFace aux risques sanitaires actuels et parfaitement en phase avec le développement du digital/numérique, FEEBAT s'est adapté en créant des programmes en distanciel ou alternant présentiel/distanciel. Le module RENOVE Distanciel propose 21 heures de formation à distance réparties en 7 classes virtuelles. Le module AUDIT Reno mixe 6 heures de présentiel en une seule journée et une partie distancielle à raison de 8 heures, réparties entre des activités en autonomie sur son ordinateur ou sa tablette et des classes virtuelles avec un formateur et ses pairs.Les avantages sont indéniables : une plus grande souplesse dans la gestion de l'emploi du temps des professionnels formés et une approche sur mesure grâce à la partie en distanciel. Les connaissances acquises à distance sont par la suite mobilisées lors de la partie présentielle et les échanges entre pairs et avec le formateur expert métier en sont alors facilités.FEEBAT accompagne également les formateurs dans cette mutationSélectionnés pour leurs compétences techniques et pédagogiques, les formateurs et organismes de formation disposent désormais, via FEEBAT, de sessions de prise en main des nouveaux modules mis à leur disposition. FEEBAT a spécialement créé à leur intention des « formations d'appropriation » pour leur permettre d'être parfaitement à l'aise avec les 3 modules derniers nés :AUDIT Reno (1 journée d'appropriation), RENOVE Distanciel (½ journée d'appropriation sur l'animation de classe virtuelle) et DynaMOE (3 journées d'appropriation).A retenir : à l'occasion de la mise en place de DynaMOE, FEEBAT a lancé sa première communauté d'acteurs de la formation. Cette nouvelle plateforme conçue comme un véritable espace de partage permet de simplifier, capitaliser et dynamiser les échanges entre formateurs, organismes de formation et FEEBAT. Un moyen pour ces acteurs de rester parfaitement connectés pour faire évoluer et améliorer l'offre de formation !FEEBAT, un programme soutenu par les représentants de la Filière Bâtiment avec plus de 180.000 personnes formées FEEBAT est développé et soutenu par les pouvoirs publics (ministère de la Transition Ecologique et Solidaire, Ministère de la Cohésion des Territoires, ministère de la Culture, ministère de l'Education Nationale et de la Jeunesse, l'ADEME), les représentants de la Filière Bâtiment, la CAPEB, le FFB, l'ATEE, le CNOA, les SCOP du BTP, et le CCCA-BTP.Initié en 2007, porté et financé par EDF dans le cadre du dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie (CEE) et des fonds de la formation continue issus de la collecte des entreprises, le Programme FEEBAT (Formation des professionnels aux économies d'énergie dans le bâtiment) est devenu incontournable en matière de transition et d'efficacité énergétique. Depuis plus de 12 ans, c'est LA référence de la formation des professionnels.
Il y a 4 ans et 200 jours

Les parlementaires renoncent à la résiliation "à tout moment" de l'assurance d'emprunt immobilier

Des parlementaires étaient réunis en commission mixte paritaire pour tenter de trouver un texte de compromis sur le projet de loi dit "Asap", qui rassemble une série de simplifications administratives.Dans l'accord trouvé, les élus des deux chambres sont revenus à la version du Sénat s'agissant de l'assurance emprunteur.La date d'échéance pour une résiliation de contrat est la date d'anniversaire du contrat ou "toute autre date d'échéance prévue au contrat". Mais la résiliation ne pourra pas se faire "à tout moment", comme le souhaitaient des députés et l'association UFC-Que Choisir.L'article précise que l'assureur doit informer "chaque année" l'assuré sur "un support papier ou durable" de son droit de résiliation et de ses modalités."Même si l'Assemblée voulait aller plus loin, l'article initial des sénateurs est un vrai plus pour les consommateurs", considère le rapporteur du texte Guillaume Kasbarian, député LREM.La ministre déléguée à l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher, s'était prononcée contre la résiliation à tout moment: "Les banques vont monter le coût de l'assurance, la perversité de ce dispositif pourrait être que les plus vulnérables paient plus", avait-elle estimé.La France compterait quelque 6 millions de particuliers détenteurs d'un crédit immobilier, générant environ 6 milliards d'euros par an de cotisations d'assurances, selon des chiffres fournis dans le rapport de la commission.Après le compromis trouvé, le projet de loi Asap va faire l'objet d'un ultime vote mardi au Sénat et mercredi à l'Assemblée, valant adoption définitive.Il a pour but de faciliter les démarches des administrations, entreprises et particuliers, avec comme tête de gondole un dispositif visant à simplifier l'expulsion de squatteurs de résidence secondaire.
Il y a 4 ans et 200 jours

La collecte sur le Livret A depuis le début de l'année à un niveau record

La collecte de septembre est cependant restée élevée avec un montant net de 1,26 milliard d'euros, a signalé mercredi la Caisse des dépôts qui gère ce placement, le plus populaire en France après l'assurance vie.C'est le mois le plus faible depuis février, avant que la pandémie de Covid-19 ne frappe la France et n'engendre plusieurs mois de confinement. C'est également moins bien que les 2,25 milliards d'euros du mois d'août mais supérieur de 26% à septembre 2019, sachant que le mois de la rentrée est traditionnellement un mois de collecte faible.S'il signale un "retour à la normale" en septembre, Philippe Crevel, directeur du Cercle de l'épargne, note tout de même que "le déficit de consommation entre mars et mai n'a pas été comblé dans les mois qui ont suivi"."Les ménages ne sont pas en mode consommation, mais en mode prudence", du fait de la situation sanitaire, souligne-t-il, tandis que la France fait face à une accélération de la pandémie de Covid-19.La collecte sur les Livrets de développement durable et solidaire (LDDS) n'a, elle, été que de 20 millions d'euros en septembre.Pour autant, depuis 2008, les Français ont l'habitude de retirer plus d'argent qu'ils n'en déposent sur le LDDS en septembre et la performance de 2020 témoigne donc d'une collecte supérieure à la moyenne.Additionnés, le Livret A et le LDDS engrangent une collecte nette de 1,28 milliard d'euros en septembre, et de 32,74 milliards depuis le début de l'année, ce qui est également un record.Le Livret A finance essentiellement le logement social, tandis que le LDDS est dédié à l'économie sociale et solidaire ainsi qu'aux économies d'énergie dans les logements. À fin septembre, 443,7 milliards d'euros étaient placés au total sur les deux, soit une hausse d'environ 8% sur un an.
Il y a 4 ans et 201 jours

Novadys s'attaque au marché des travaux publics avec son application mobile novaRéseaux

Avec le durcissement du décret n°2018-899 au 1er janvier 2020, portant sur la sécurité des travaux publics et notamment sur la réalisation des comptes-rendus de marquage-piquetage, NOVADYS souhaite apporter une solution concrète pour le quotidien des entreprises des travaux publics.L'application mobile novaRéseaux met à disposition des utilisateurs un modèle de compte-rendu de marquage-piquetage.L'utilisateur peut y joindre des photos en tant que preuve de réalisation, celles-ci sont géolocalisées et horodatées dans l'application.La clôture du compte-rendu s'effectue au travers de la signature dans l'application mobile novaRéseaux.Le compte-rendu finalisé ainsi que l'ensemble des autres documents essentiels au chantier comme l'AIPR et les DICT sont dématérialisés sur novaRéseaux et accessibles en mobilité.La solution novaRéseaux facilite la communication entre les collaborateurs internes et externes des travaux publics.En permettant de réduire le nombre d'impressions et de limiter les déplacements, novaRéseaux s'inscrit également dans une démarche éco-responsable.Toutes les informations sur novaRéseaux se trouvent sur btp.novadys.fr/novaRéseaux
Il y a 4 ans et 201 jours

Un important chantier de rénovation débutera en novembre au Mont-Saint-Michel

Cette restauration est réalisée en raison d'une "dégradation sanitaire importante du bâtiment", avec "une altération de la pierre ainsi que des infiltrations d'eau", note le CMN dans un communiqué de presse."Certaines parties sont en effet recouvertes d'une couche très dense de lichen et de mousse, des surfaces conséquentes de parements se délitent et les ardoises des couvertures, vieilles de près de 150 ans, doivent être changées", ajoute le CMN.Pour réaliser ce chantier, d'un budget de près de sept millions d'euros, il sera nécessaire de monter des échafaudages d'une hauteur équivalente à celle de l'Arc de triomphe de Paris pour restaurer quelque 8.000 m2 de façades du bâtiment.Un ascenseur sera même installé le long de la façade afin d'accéder plus rapidement aux niveaux supérieurs du chantier, où une trentaine de compagnons interviendront.L'abbaye du Mont-saint-Michel, qui a rouvert le 15 juin après une fermeture liée à la pandémie du Covid-19, restera ouverte au public pendant la restauration."Les travaux seront réalisés par Degaine, filiale de VINCI Construction France, spécialisée dans la restauration des bâtiments classés ou inscrits à l'inventaire des monuments historiques", précisé le CMN.L'abbaye du Mont-Saint-Michel, qui a accueilli plus d'1,4 million de visiteurs en 2019, a fait l'objet de plusieurs campagnes de restauration ces dernières années, dont la statue de l'archange Saint-Michel (2016) ou le cloître (2017).