Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Batinfo

(31856 résultats)
Il y a 4 ans et 319 jours

Weber lance une gamme de mastics

C'est ainsi qu'à l'issue d'une enquête de satisfaction, Weber a choisi de compléter son large panel de produits par un cœur de gamme de mastics : 8 solutions qui constituent, à elles seules, 80% des besoins du marché, et s'adressent tant aux professionnels qu'aux particuliers bricoleurs.Après avoir développé dans les négoces ses libres-services carrelage puis maçonnerie, enrichi son expertise en colles par une nouvelle gamme dédiée aux revêtements de sol souples, Weber diversifie encore ses offres, lui permettant d'être véritablement présent à toutes les étapes chantiers.Une gamme simple et pratique Partant du constat que le marché des mastics se révèle « sur-segmenté » (avec pléthore de produits aux formulations très proches mais multipliant les packagings pour occuper l'espace dans les points de vente), Weber a souhaité en prendre le contre-pied et favoriser la simplicité et l'efficacité, misant sur une compréhension immédiate de sa gamme. Les 8 solutions que la société a ainsi sélectionnées alimentent 80 % du marché des mastics.Ce cœur de gamme présente l'avantage d'une grande praticité pour les négoces qui regroupent leur commande multi-produits auprès d'un même fournisseur (d'autant que le capital confiance envers Weber est très élevé), véritable atout en termes de logistique et gain de temps.Toujours en vue de renforcer la notion de services, Weber a imaginé un format inédit de carton prêt-à-vendre pour chacune des 8 références : il suffit d'en découper le haut et placer directement la box où on le souhaite dans le point de vente, en dehors du rayon dédié pour jouer l'achat d'impulsion ou, au contraire, au sein d'une zone où l'achat sera facilité par la complémentarité (les mastics carrelage dans l'espace dédié au carrelage). Exit la fastidieuse étape de mise en rayon !8 produits essentielsWeber présente tout d'abord 3 silicones, tous en cartouche 300 ml : weberseal tile se destine au carrelage, weberseal sanitary aux sanitaires et weberseal construction au bâtiment en général. Neutre, weberseal tile peut être utilisé sur du carrelage (pour réaliser des joints de raccordement entre paroi et baignoire ou bac de douche, étancher les joints dans les pièces humides) mais également des surfaces béton et bois. Riche de 7 couleurs inaltérables très résistantes aux UV, il demeure insensible aux moisissures.Présentant les mêmes performances techniques, weberseal sanitary est un silicone acétique qui s'avère extrêmement malléable offrant une adhérence optimale aux supports sanitaires (pour étancher les joints entre murs et lavabos, entre sols et toilettes par exemple) et weberseal construction, disposant du label SNJF Façade 25E, se met en œuvre sur pratiquement tous les supports (joints de construction courants, vitrages et joints de raccordement, joints entre PVC, profilés en métal, bois traité et verre).Cette nouvelle gamme Weber intègre également une mousse expansive, destinée au remplissage des cavités et conduits, aux applications dans les joints statiques ou encore à l'installation et la réparation de tuiles faîtières. Disponible en cartouches de 500 ou 750 ml (manuelle et pistolable), weberfoam PU bénéficie d'un fort rendement de remplissage ainsi que d'une grande stabilité de forme (pas de retrait ou post-expansion). Il procure une excellente isolation thermique et acoustique.Enfin, au rang des divers mastics, se distingue weberseal MS, dont la formule se révèle particulièrement résistante aux intempéries et aux UV. Là où d'autres mastics requièrent de préparer le support en amont, weberseal MS peut s'appliquer directement sur tous supports, même légèrement humides. Ses usages sont multiples : étanchéité et collage dans les industries de la construction et de métal, collages structuraux dans des applications vibrantes, rejointoyage des joints de sol, joints de raccordement et de dilatation entre les profilés des fenêtres et le mur...weberseal PU40, disposant comme weberseal construction du label SNJF Façade 25E, est adapté aux collages et à la réalisation de joints d'étanchéité, adhérant à de très nombreux matériaux, sans risque de déchirures. Enfin, weberseal roof tile est une colle à tuile d'une grande élasticité et weberseal acrylic, labellisé SNJF Façade 12,5P, recouvrable après durcissement, offre une excellente adhérence à de nombreux matériaux poreux et à l'aluminium (joints aux appuis de fenêtres, entre plinthe et mur, entre maçonneries, etc.).
Il y a 4 ans et 320 jours

Des décrets à venir pour la reconnaissance du Covid-19 en maladie professionnelle

M. Pietraszewski a rappelé que la reconnaissance en maladie professionnelle pour les soignants, promise par le ministre de la Santé, Olivier Véran, était "un devoir" envers ces professions.Il répondait à une question du député (Génération.s) de la Loire Régis Juanico sur la reconnaissance en maladie professionnelle pour les métiers autres que soignants (caissiers, pompiers, postiers, agents de maintenance...), souvent désignés comme "deuxième ligne"."Pour les autres travailleurs que vous évoquez, qui ont pu être contaminés dans le cadre de leur activité professionnelle, nous allons aussi faire en sorte qu'ils puissent obtenir une indemnisation au titre de la maladie professionnelle", a-t-il dit."Je ne partage pas votre proposition de créer un fonds, je crois qu'il est logique d'inscrire cela dans le système de maladie professionnelle qui est déjà éprouvé, qui fonctionne bien et qui me paraît tout à fait adapté", a-t-il ajouté."Nous présenterons dans les jours qui viennent les décrets qui seront ensuite publiés très rapidement sur le sujet", a-t-il ajouté. Le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, avait jugé la semaine dernière "insupportable" de n'être toujours pas fixé de manière claire sur la reconnaissance comme maladie professionnelle du coronavirus.La CFDT souhaite la reconnaissance du Covid-19 comme maladie professionnelle pour tous les métiers, de même que d'autres organisations syndicales, et pas uniquement pour les soignants.Une liste des maladies professionnelles reconnues est établie dans des tableaux annexés au code de la sécurité sociale et au code rural.Si le salarié entre dans les critères (avec des durées d'exposition au risque), il n'a pas besoin de prouver le lien entre sa pathologie et son travail. Si tous les critères ne sont pas remplis, il faut apporter la preuve du lien entre son travail et la maladie et c'est donc bien plus compliqué.Par ailleurs, en dehors de ces tableaux, tout salarié estimant avoir contracté une maladie du fait de son travail peut faire un dossier auprès d'un comité régional de reconnaissance des maladies professionnelles. Le processus est alors très long, "un parcours du combattant" selon plusieurs sources
Il y a 4 ans et 320 jours

Un rapport du Sénat propose des mesures pour soutenir les PME fragilisée par la crise sanitaire

Ce rapport de la Commission des affaires économiques du Sénat rassemble 17 mesures qui visent notamment à "éviter une vague de faillites" parmi les PME et à "relancer le commerce de proximité", selon une synthèse consultée par l'AFP.Il s'agit de "donner un certain nombre d'idées à l'exécutif pour la mise en œuvre du plan de relance" qui sera dévoilé en septembre, a précisé à l'AFP Serge Babary, sénateur (LR) d'Indre-et-Loire, copilote de la cellule à l'origine du rapport."Il reste encore des professions en grande difficulté, certaines sont connues et structurées comme l'événementiel, mais on s'inquiète aussi de tous les professionnels en amont de ces activités", a-t-il ajouté, citant par exemple les traiteurs, photographes et fleuristes qui gravitent autour de l'industrie du mariage.Pour accélérer la reprise de l'activité, les sénateurs proposent par exemple de baisser la TVA "par exemple à 5,5%" pour les secteurs les plus touchés par la crise (commerce, hôtellerie, restauration, etc.) ce qui pourrait se traduire par "une baisse des prix améliorant le pouvoir d'achat des consommateurs" et par "une hausse des marges" des entreprises concernées.Le rapport suggère aussi de renforcer et de prolonger jusqu'à la fin de l'année certains dispositifs existants. Il préconise en particulier d'assouplir les conditions d'éligibilité au fonds de solidarité permettant aux très petites entreprises de toucher une aide financière.Il recommande également de renforcer les fonds propres des TPE et des PME avec des prêts participatifs ou des obligations convertibles afin de "rétablir leur capacité d'investissement".Les commerçants et les artisans, "frappés de plein fouet" par l'interdiction d'accueillir du public, étaient déjà fragilisés par plusieurs facteurs, souligne le rapport, comme une faible trésorerie, la désertification des centres-villes ou leur manque de numérisation.Ils doivent donc "être durablement accompagnés dans la transition numérique", estiment les sénateurs, qui proposent de "soutenir la formation des dirigeants et salariés" dans ce domaine et de les inciter "à améliorer leur visibilité sur internet", à l'aide notamment d'un crédit d'impôt.Le commerce de proximité "doit être revalorisé", insiste le rapport, qui plaide pour sa promotion dans une campagne nationale.Pour dynamiser ces filières, l'aide à l'embauche d'un apprenti doit être renforcée, estime également le document.
Il y a 4 ans et 320 jours

Les artisans du bâtiment déçus par le projet de loi de finances, font 6 propositions au gouvernement pour relever le défi de la reprise

Ce plan n'est cependant pas à la hauteur de la situation d'urgence dans laquelle se trouvent les entreprises artisanales du bâtiment. Le Gouvernement occulte la question de la prise en charges des surcoûts liés aux précautions sanitaires et exclut les entreprises du BTP des mesures d'exonération de cotisations et contributions sociales. La CAPEB souhaite donc alerter les parlementaires et propose des mesures fortes, parfois déjà formulées lors du précédent projet de loi de finances pour 2020, qui permettront au secteur de se maintenir et de relever le défi de la reprise de l'activité économique. La CAPEB formule en outre six propositions au plus proche du terrain afin de déverrouiller certains obstacles à la reprise totale de l'activité.Patrick Liébus, Président de la CAPEB : « La crise qui frappe nos entreprises est un choc d'une ampleur inédite. La situation est grave : nous faisons face à de très fortes contraintes de trésorerie et nous devons nous organiser pour accroitre progressivement notre niveau d'activité, notamment en ce qui concerne les chantiers les plus complexes. N'oublions pas que notre secteur représente 6,4% de l'emploi et 5% de la valeur ajoutée en France et qu'il offre, au redémarrage de l'économie nationale, de puissants effets d'entraînement ! nous avons donc formulé des demandes concrètes et adaptées à la réalité du terrain, que les pouvoirs publics doivent prendre en compte pour relever le défi de la reprise de l'activité de l'artisanat du bâtiment. A situation exceptionnelle, nous voulons des mesures exceptionnelles. C'est le moment de prendre en considération certaines de nos propositions rejetées l'an passé, mais également d'en retenir de nouvelles. Nous demandons à nos CAPEB départementales de les porter à la connaissance de leurs parlementaires. »Des mesures gouvernementales à renforcerA l'occasion de l'examen du projet de loi de finances rectificatives qui sera examiné à l'Assemblé Nationale, la CAPEB souhaite interpeller les députés pour qu'ils alertent le Gouvernement sur la question de la prise en charge des surcoûts engendrés par la mise en place des précautions sanitaires. Pour la rénovation des logements, la CAPEB estime le surcoût des travaux sur site de l'ordre de 10 à 20%.Les postes les plus lourds concernent notamment la réorganisation des chantiers notamment en cas de co-activité entre plusieurs entreprises ou plusieurs équipes, le transport des salariés, la désinfection des surfaces, la gestion des déchets. Cela concerne également l'obligation de réaménagement des bases de vie, des vestiaires, des sanitaires sur site et bien évidemment de fournir aux travailleurs tous les équipements de protection nécessaires (gants, masque, etc.).La solution proposée par le Gouvernement réside dans la négociation ou la renégociation, et tout particulièrement en marché public. Or de quelle marge de manœuvre dispose une entreprise artisanale face à son client particulier ou encore face à son maitre d'ouvrage public. Cette mesure est, dans tous les cas, inopérante pour une petite structure.La CAPEB rappelle que ces coûts contribuent à augmenter les montants des devis et souhaite que l'État puisse prendre des dispositions compensatoires pour alléger les coûts des entreprises qui supporteront pour partie ces surcoûts.Le troisième projet de loi de finances rectificative prévoit par ailleurs d'accorder aux entreprises les plus touchées par la crise économique et sanitaire actuelle des mesures exceptionnelles d'exonération de cotisations et contributions sociales ainsi que des remises de dettes et des plans d'apurement. Ces mesures sont proposées aux secteurs d'activité les plus touchées notamment les secteurs du tourisme, de l'hôtellerie, de la restauration de la culture de l'événementiel du sport et du commerce de détail non alimentaire ainsi que les secteurs dont l'activité dépend de celles de ces secteurs. Elles ne concernent pas le secteur du Bâtiment pourtant lourdement touché par la crise économique actuelle, notamment en raison du temps nécessaires qu'il a fallu pour établir le guide officiel de recommandations sanitaires sur les chantiers et en raison des refus de la clientèle privée et des particuliers (87% de l'activité du secteur) de procéder aux chantiers.Compte tenu de son poids dans l'économie et de son importance pour l'activité dans les territoires, la CAPEB demande l'extension de ces mesures exceptionnelles d'exonération des cotisations et contributions ainsi que les remises de dettes, aux employeurs et travailleurs indépendants relevant du secteur du Bâtiment et des Travaux Publics.Projet de loi de finances rectificatives : l'occasion de revenir sur des erreurs du projet de loi de finances initialLe projet de loi de finances pour 2020 prévoyait d'exclure du CITE les 9° et 10° déciles qui représentent les ménages les plus « aisés ». Si l'on peut comprendre que le Gouvernement, au travers d'une mesure sociale, soutienne légitimement les ménages modestes et très modestes, pour autant en termes de massification des travaux et sur un plan environnemental, exclure les 9° et 10° déciles, qui réalisent actuellement près de 50% des travaux relevant du CITE, marque une incohérence et conduira inévitablement à une baisse du nombre de rénovations énergétiques des logements. Le projet de loi de finances rectificatives constitue une occasion de revenir sur cette mesure, en lien avec les objectifs fixés par le Président de la République qui souhaite mettre l'accent sur la rénovation énergétique.Le projet de loi de Finances 2020 supprimait en outre le CITE pour les ménages intermédiaires, concernant les chaudières gaz à très haute performance énergétique (THPE). Or, il est objectivement démontré que ces équipements ont vocation à remplacer le parc des chaudières fioul et gaz existant, en contribuant à la diminution des consommations énergétiques et des émissions de gaz à effet de serre. Une suppression brutale du CITE sur les chaudières gaz à très haute performance énergétique n'est donc pas concevable aujourd'hui.Enfin, la CAPEB plaide pour un retour de la TVA à un taux réduit de 5,5% pour l'ensemble des travaux de rénovation. Cette mesure représenterait une réponse concrète aux enjeux économiques et climatiques actuels.Six propositions simples et au plus proche du terrain pour soutenir l'activité du secteurLa CAPEB adresse par ailleurs aux pouvoirs publics des demandes adaptées au quotidien des entreprises artisanales. Tous les obstacles de terrain que peuvent rencontrer les entreprises artisanales et toutes les incohérences administratives qui minent le quotidien des entreprises artisanales doivent être levés afin que leur survie économique soit assurée.Afin de renforcer leur trésorerie pour éviter au maximum les défaillances d'entreprise, la CAPEB demande :Le paiement direct à l'entreprise de l'avance et du solde des aides aux travaux (MaPrimeRénov, Anah, Action Logement…)Anticiper le versement des primes CEE aux clients, notamment pour les chantiers engagés, afin d'accélérer les règlements envers les entreprisesPermettre aux collectivités territoriales de supprimer les « droits de trottoir » afin que ces entreprises puissent reprendre leur activité sur tout le territoire et le plus rapidement possibleLe droit au stationnement pour les véhicules professionnelsAutoriser durant les mois de l'été la mise en place d'échafaudages et/ou de bennesAccroître les rénovations par la possibilité de déroger au PLU, en favorisant un plus grand niveau de constructibilitéPatrick Liébus, Président de la CAPEB : « Pour conclure, et pour le moment, j'ai bien peur que ce que nous appelons « reprise » ne corresponde en fait qu'à l'exécution des devis et commandes d'avant Covid. Par conséquent, ce qui est très inquiétant pour les semaines et mois à venir, c'est l'éventuelle insuffisance des nouvelles commandes, qui constitueraient la « vraie » reprise. Mes deux craintes : un trou d'air en automne et encore trop peu de chantiers en activité totale et normale. Je rappelle que le dernière enquête des CERC fait apparaître que seulement 63% des chantiers repris fonctionnent à 100%. Malheureusement, un bon nombre d'entreprises artisanales sont amenées à supporter les surcoûts, notamment quand elles réalisent des travaux pour les particuliers, ce qui risque de les conduire à des situations de trésorerie très dégradées, voire de les conduire à la faillite. Enfin, sous peu, nous présenterons l'intégralité du plan de relance que la CAPEB propose pour le secteur, plan qui intégrera bien sûr ces quelques propositions »
Il y a 4 ans et 320 jours

93% des chantiers ont repris en France, selon Julien Denormandie

"Nous sommes à 93% de reprise des chantiers sur le territoire national", a déclaré M. Denormandie sur la chaîne BFM Business.De nombreux chantiers étaient tombés à l'arrêt au printemps, à la suite des mesures de confinement décidées contre la propagation du coronavirus. Même si ces chantiers n'étaient pas interdits, il s'est souvent révélé difficile de respecter les contraintes sanitaires, du moins dans un premier temps."Il y a à peu près 15 jours, nous étions à 70%, et il y a un mois, nous étions à à peine 50%", s'est félicité M. Denormandie. "La reprise est là et la dynamique est là."Pour autant, la reprise est plus lente que l'objectif qu'avait fixé le ministre. Il désirait, voici environ un mois, que l'intégralité des chantiers aient repris dès la fin mai.De plus, parmi les chantiers qui ont repris, certains restent en deçà de leur activité normale."Ils sont environ pour 70% d'entre eux repartis à pleine activité", a détaillé M. Denormandie. "Tous n'ont pas encore retrouvé leur régime de croisière."Confiant sur la reprise immédiate, le ministre craint surtout un "trou d'air" à l'automne, qui répercuterait les difficultés actuelles des entreprises à engranger des commandes.Le secteur craint que les mesures de relance prévues à l'automne par le gouvernement arrivent trop tard. Il regrette de ne pas faire l'objet, dès maintenant, d'un plan spécifique comme l'automobile, l'aéronautique et le tourisme."Notre objectif aujourd'hui, c'est de relancer la commande", a promis M. Denormandie, qui dit avoir mis la pression en ce sens sur les organismes dépendant directement de son ministère.Il a aussi rappelé que le gouvernement allait donner une enveloppe d'un milliard d'euros aux collectivités locales pour leurs investissements, bien que les fédérations du secteur jugent la mesure insuffisante en l'état.
Il y a 4 ans et 320 jours

Baisse de 30% des transactions immobilières sur toute la France mais un marché rééquilibré prêt à rebondir

Cette période a été l'occasion, pour de nombreux ménages, de repenser leur mode de vie et d'y adapter leur projet d'achat immobilier. Néanmoins, dans ce contexte, les conditions d'obtention d'un prêt se sont resserrées en raison notamment de la hausse des taux d'emprunt conjuguée à la baisse du taux d'usure [1]. Cette situation a engendré un effet ciseau [2] et pénalisé en premier lieu les ménages aux revenus les plus modestes.Afin de construire et de mener à bien sa demande de prêt, dans les conditions les plus avantageuses possibles et ce, quels que soient son profil ou sa situation financière, il est aujourd'hui plus que jamais nécessaire de se faire accompagner par un professionnel du crédit immobilier, tel que La Centrale de Financement. Les conditions d'emprunt sont d'ailleurs plus favorables au mois de Juin 2020 que sur le mois précédent ; après une remontée des taux des crédits immobiliers constatés au mois de Mai, ceux-ci ont finalement diminué sur l'ensemble des durées d'emprunt supérieures à 10 ans. À l'inverse, les taux ont confirmé leur tendance haussière sur les emprunts de courte durée (7 et 10 ans). Malgré le contexte de crise, les conditions d'emprunt restent donc toujours attractives et la pierre une valeur sûre !Une diminution du nombre de transactions profitable au marché du crédit immobilierAlors qu'en 2019 le nombre de transactions avait dépassé le million, le marché immobilier était au bord de la surchauffe sans avoir de véritables solutions pour le freiner et éviter le risque d'inflation. Avec la crise épidémique, la demande de crédit s'est fortement freinée permettant de rééquilibrer le marché du crédit immobilier, sans intervention du Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF).La Centrale de Financement a en effet constaté une diminution d'environ 30% de la demande de crédit, de janvier à Mai 2020 sur l'ensemble de la France, par rapport à 2019.« La diminution des demandes de prêt est légèrement moindre dans les zones les plus touchées par l'épidémie (-28,75%) en raison d'une volonté plus marquée des ménages installés en Ile-de-France de faire évoluer leur projet de vie vers des résidences situées à proximité d'espaces verts ou en bord de mer. », précise Sylvain Lefèvre, Président de La Centrale de Financement.Malgré les dommages induits par l'augmentation du chômage partiel en France, le marché du crédit immobilier devrait également être en mesure de rebondir.« Les pertes temporaires engendrées sur le marché par les emprunteurs (issus du secteur de la restauration, de l'hôtellerie etc.) ne pouvant plus honorer leurs échéances de prêts seront compensées par l'augmentation du pouvoir d'achat d'acquéreurs travaillant dans d'autres secteurs d'activité (santé, nouvelles technologies etc.). Le marché du crédit immobilier n'en est finalement que peu impacté. La Centrale de Financement reste donc très confiante sur l'avenir du crédit immobilier qui demeure l'un des investissements préférés des Français ! » déclare Sylvain Lefèvre.La Banque de France se veut également rassurante sur l'évolution du secteur, elle s'attend à un retour à la normale à partir de juillet. Pour elle, l'effet du confinement n'aura finalement eu qu'un impact « temporaire » sur le marché immobilier.Une période favorable au mûrissement des projets d'achat immobilierMalgré le confinement, les ménages français sont restés confiants et ont profité de cette période pour mûrir un projet d'achat ou le faire évoluer. Nombre d'entre eux ont notamment orienté leur réflexion vers l'acquisition d'une résidence secondaire.« Nous avons constaté une augmentation d'environ 10% des intentions d'achat pour les résidences secondaires, plus particulièrement dans l'Ouest (en Bretagne notamment) et dans le Sud, où les villes les plus attractives ont eu le vent en poupe (Nantes, Bordeaux, Montpellier, Avignon, etc.). Il s'agit, pour la plupart, de ménages parisiens qui souhaitent s'éloigner de la capitale tout en restant à proximité des grands axes TGV. » ajoute Sylvain Lefèvre.Si le marché du crédit immobilier peut s'appuyer sur de nombreux leviers pour repartir, la crise a néanmoins eu pour effet de pénaliser les emprunteurs les plus modestes. En cause : l'augmentation des taux d'emprunt conjuguée à la baisse du taux d'usure. Pour favoriser la reprise, il est donc nécessaire de proposer des solutions permettant aux ménages d'accéder à l'emprunt et ce, quels que soient leur situation financière ou leur profil.Favoriser la reprise en luttant contre l'effet pervers du taux d'usure, grâce à la délégation d'assurance !Fixé à la fin de chaque trimestre par la Banque de France, le taux d'usure protège l'emprunteur contre des taux supérieurs à ce taux plafond, dont le dépassement pourrait placer l'emprunteur dans une situation financière difficile. Mais, depuis le début de l'année, il baisse pour la deuxième fois et se rapproche des taux moyens pratiqués par les banques (qui ont augmenté pendant la crise), générant un effet ciseau. A ce jour, celui-ci laisse peu de marges aux emprunteurs modestes dont le dossier nécessite de négocier des intérêts plus élevés (banques et assurance de prêt compris) ...Afin de permettre aux ménages impactés par cet effet ciseau d'accéder à un crédit immobilier dans les meilleures conditions possibles, la Centrale de Financement, propose des solutions de financement sur-mesure et parvient à réduire significativement le coût de l'assurance, grâce à une délégation d'assurance adaptée.Le montant de l'assurance de prêt varie selon l'état de santé du contractant au prêt. Si ce dernier est atteint d'une ou plusieurs pathologies, le montant de l'assurance proposé par les Banques, généralement un contrat d'assurance groupe négocié en amont avec un assureur, peut être suffisamment important pour que son Taux Annuel Effectif Global (TAEG) atteigne rapidement le taux d'usure en vigueur. Le montant des assurances crédit proposées par les banques se base généralement sur le calcul d'un taux moyen établi selon le profil de l'emprunteur, et appliqué au montant total du capital emprunté.Or, avec une délégation d'assurance, l'emprunteur bénéficie de garanties d'assurance véritablement adaptées à son profil et ses capacités financières. Elle permet de bénéficier d'un remboursement évolutif et se base non pas sur le capital total à rembourser mais sur ce qui reste à rembourser par l'emprunteur. Ainsi, tout au long du remboursement du prêt, le montant de l'assurance diminue et engendre des mensualités moins importantes pour l'emprunteur, lui permettant de contracter un prêt immobilier dans les meilleures conditions.Juin 2020, un mois plus favorable à l'emprunt que le précédent !Après une hausse des taux généralement constatés sur le mois de Mai, ceux-ci ont finalement diminué sur les durées de prêt supérieures à 10 ans pour le mois de Juin 2020, améliorant les conditions d'emprunt sur 12, 15, 20 et 25 ans.Ainsi, avec les taux annoncés ce mois-ci, pour un emprunteur contractant un prêt d'un montant de 180 000 € sur 20 ans à 1,27%, la mensualité s'élèvera à 849,6 euros avec un coût total de crédit de 23 904 euros.Évolution des tauxLes taux immobiliers moyens de juin 2020 par durée d'empruntLes conditions de taux généralement constatées augmentent de 0,02% pour les prêts de courtes durées, à savoir sur 7 à 10 ans. En revanche, pour les emprunts d'une durée supérieure, les taux ont finalement diminué de 0,04% pour les prêts sur 12, 20 et 25 ans et de 0,03% pour les prêts contractés sur une durée de 15 ans. Les meilleurs taux immobiliers de juin 2020 par durée d'empruntLes meilleurs taux du mois de Juin restent stables par rapport à ceux du mois de Mai pour l'ensemble des durées d'emprunt. Un emprunteur bénéficiant d'un très bon dossier pourra donc solliciter un financement, avec un taux hors assurance, aussi avantageux que le mois précédent. Profil des emprunteurs ayant réalisé leur projet en mai 2020Usage du bien financé en mai 2020L'emprunteur type du mois de mai 2020[1]Le taux dit d'usure est celui au-dessus duquel les établissements de crédit n'ont pas le droit d'accorder de prêt. Il ne s'applique pas uniquement au taux d'emprunt proposé par la banque, mais au Taux Annuel Effectif Global (TAEG) qui inclut l'assurance emprunteur et les frais annexes.[2]Avec l'augmentation des taux pendant la crise, l'écart entre le TAEG et le taux d'usure s'est réduit : il s'agit de l'effet ciseau. Dans ces conditions, les futurs emprunteurs ont atteint plus rapidement le taux d'usure, entraînant ainsi le refus de leur prêt immobilier.[3]https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2020/03/26/les-seuils-de-l-usure-au-1er-avril-2020[4]Incluant les opérations de crédit destinées à regrouper des crédits antérieurs comprenant un ou des crédits mentionnés au 1° de l'article L. 313-1 du code de la consommation dont la part relative dépasse 60% du montant total de l'opération de regroupement de crédit.[5]S'agissant du taux de l'usure applicable aux crédits à taux fixe, fixation de seuils de l'usure par tranche de maturité: moins de 10 ans, 10 ans à moins de 20 ans, 20 ans et plus.[6]La délégation d'assurance, dans le cadre d'un crédit immobilier, permet aux emprunteurs de contracter une assurance emprunteur auprès d'une compagnie autre que l'organisme de crédit qui lui accorde le prêt (également appelée assurance de prêt « hors banque »)
Il y a 4 ans et 320 jours

Les travaux de la reconstruction de Notre-Dame pourront débuter en janvier 2021

"On finit toute la consolidation. Raisonnablement, on peut commencer les travaux en janvier 2021", a-t-il déclaré à la presse lors de l'inauguration d'une exposition de dessins d'enfants représentant la cathédrale, sur la palissade du chantier, en présence de Jean-Louis Georgelin, chef des opérations de la reconstruction du joyau de l'art gothique."Il y a toujours des aléas. Mais c'est raisonnable de le penser", a-t-il ajouté, saluant par ailleurs, devant plusieurs dizaines d'écoliers présents, le "signe d'espérance" donné par les enfants avec leurs dessins.Le chantier a connu des aléas. Il avait été retardé durant l'été par des mesures contre la contamination au plomb. Puis à l'automne et à l'hiver, les intempéries ont bloqué les travaux. Au printemps, le coronavirus a plongé le chantier dans le sommeil. Il pu reprendre récemment avec notamment la dernière phase de la délicate opération de démontage de l'échafaudage de la flèche de Notre-Dame, qui a commencé la semaine dernière.L'ambition du président Emmanuel Macron est de redonner vie à la cathédrale d'ici 2024.Mgr Aupetit a également béni une réplique de la statut de Notre-Dame, - la Vierge au pilier- installée depuis quelques jours sur le parvis.
Il y a 4 ans et 320 jours

Saint-Gobain développe des vitres de protection sanitaire

Saint-Gobain produit différentes solutions en kits complets (verres et fixations), faciles et rapides à poser pour se conformer à toutes les configurations de comptoirs ou de bureaux.Une offre plurielle pour répondre à tous les besoinsSaint-Gobain développe des ensembles en kits complets dont les modules peuvent être composés de 1 ou 3 faces en verre. Ils peuvent intégrer une ouverture « passe-documents » ou un parloir en fonction des besoins. Les vitres sont montées sur des profilés en aluminium ou assemblées avec des pièces métalliques selon les modèles. La stabilité des kits installés est renforcée par des systèmes d'adhésifs ou de pièces métalliques vissées directement sur le support. Les verres et les accessoires en aluminium sont totalement recyclables.Saint-Gobain propose différents designs de vitres de protection sanitaire en fonction du style souhaité. Leurs accessoires métalliques sont aussi disponibles en plusieurs finitions.En standard, les kits intègrent du verre PLANICLEAR® SECURIT (verre de sécurité trempé, norme EN 12150) dont l'épaisseur varie de 4 à 10 mm. Dans la mesure où ces épaisseurs sont respectées, des solutions avec des verres feuilletés de sécurité peuvent aussi être étudiées : STADIP PROTECT® pour une sécurité renforcée, STADIP SILENCE® pour plus d'isolation phonique, ou encore STADIP COLOR® pour ajouter de la couleur à la transparence.Pour les projets qui nécessitent une solution personnalisée, Saint-Gobain peut concevoir une solution spécifique : dimensions, contraintes techniques, association particulière entre le verre et les accessoires, etc.Une protection efficace et durableLes vitres de protection sanitaire Saint-Gobain constituent d'excellentes protections contre la contamination bactérienne ou virale.La surface lisse du verre offre un nettoyage facile et efficace, qui rend le matériau à la fois hygiénique et esthétique dans la mesure où la transparence perdure, sans jaunissement ni voile blanc après vieillissement du verre.Contrairement à d'autres types de matériaux de synthèse, les verres Saint-Gobain peuvent être nettoyés avec un produit anti-virus, à base d'alcool à 70° au minimum, sans risquer d'altérer leur surface au fil du temps.Une solution esthétique et modulableLa vitre de protection sanitaire crée une séparation transparente entre deux espaces et laisse pénétrer la lumière naturelle. Particulièrement esthétique et durable, cette solution offre un agencement sécurisé des comptoirs et bureaux dans tous types d'établissements : bars, restaurants, hôtels, bureaux, boutiques, centres de santé et autres bâtiments recevant du public.Les kits de vitres de protection sanitaire de Saint-Gobain s'installent sur tous types de supports solides et plans comme le bois, le béton, le carreau de plâtre, le verre... dont la surface est propre, lisse et résistante. En fonction du style souhaité, le kit peut être composé avec différentes options de verres décoratifs de la gamme Saint-Gobain :verre texturé trempé des gammes DECORGLASS® ou MASTERGLASS®, pour un effet translucide décoratif qui donne du caractèreverre de sécurité trempé avec impression digitale PICTURE-it®, pour des décors personnalisés : textes, logos, graphismes, photos, etc.vitrages à occultation commandée, vitrages chauffants, etc.
Il y a 4 ans et 320 jours

bio'bric s'organise avec ses partenaires pour accompagner et faciliter la reprise du marché

« On a vécu et on vit encore une période exceptionnelle. Même si le marché connait une période d'incertitude, la société Bouyer Leroux est aujourd'hui pleinement opérationnelle pour y faire face auprès de l'ensemble de ses clients (professionnels de la distribution, entreprises de maçonnerie, plâtriers plaquistes, couvreurs, constructeurs et promoteurs) grâce à ses équipes techniques et commerciales qui se sont adaptées aux nouvelles contraintes » révèle Pierre-Alexandre Cheminel directeur marketing et commercial.Une écoute du marché renforcée pour ajuster la production sur les besoins des clientsIl y a encore une interrogation concernant le mois d'août qui traditionnellement est un mois plus faible en activité pour le bâtiment.« Les entreprises maintiendront-elles leur activité pour rattraper les retards dus aux mois de mars et avril ? Optimiseront-elles leurs chantiers avant d'entrer dans la saison d'hiver? Il y a encore des inconnues. Nous avons anticipé plusieurs scénarios pour faciliter cette reprise et d'ores et déjà, acquis de nouvelles manières de travailler » confie PierreAlexandre Cheminel.Un plan d'actions spécifique pour mieux s'adapterOptimisation du stock, souplesse de la production et réactivité des équipes techniques et commerciales bio'bric sont les trois conditions pour répondre aux contraintes liées à la gestion du Covid-19 sur les chantiers et pour aider ces derniers à repartir au plus vite et efficacement.« Le bon partenaire en temps de crise est celui qui sait être à l'écoute du marché et adapter sans cesse son organisation pour répondre aux besoins de ses clients » souligne Pierre-Alexandre Cheminel. « Pour nous assurer que nous serions bien en mesure de le faire, nous nous sommes attachés à lever au sein de nos processus l'ensemble des risques potentiels liés à la situation d'incertitude que nous vivons ».Un dispositif industriel flexible pour pouvoir approvisionner les chantiers sur l'ensemble du territoire et éviter toute rupture de produitsBouyer Leroux a aujourd'hui un stock qui permet de construire 9000 logements (5000 maisons, 4000 logements collectifs), soit l'équivalent d'une ville de 20000 habitants. Ce stock est en cours de renforcement, avec l'objectif de couvrir 3 mois de ventes à fin juillet. De plus, Bouyer Leroux a la capacité d'augmenter rapidement et significativement sa production dans l'hypothèse d'un rattrapage d'activité dans les prochains mois.Grâce à une chaine d'approvisionnement 100% locale et en propriété, la disponibilité de la matière première, l'argile, n'est pas un sujet pour la brique. Bouyer Leroux dispose en effet de plus de 30 années de réserves d'argile. Un volume équivalent à plus de 6 mois de fabrication est déjà extrait et prêt à l'emploi.Le dispositif industriel composé de 9 usines idéalement situées en France permet de pallier l'éventualité d'un isolement de certaines régions dans le cas d'une deuxième vague. Un plan de substitution est déjà prévu en ce sens. Enfin, le panel de transporteurs partenaires de Bouyer Leroux a été évalué et permettra ainsi de répondre à la demande.Accompagner les clientsDans ce contexte de profonde transformation, notamment digitale, la direction marketing et commerciale bio'bric a rapidement mis en place des solutions en modifiant l'organisation de ses équipes techniques et commerciales, et en les formant.Les maîtres mots : bonnes pratiques et adaptabilité Les équipes techniques et commerciales bio'bric, doivent aussi s'adapter pour continuer à être aux côtés de leurs clients et de leurs partenaires, et les accompagner aux mieux en leur proposant de nouveaux services :Développement du digital et de la visio-conférencePour accompagner le protocole sanitaire des clients qui demande de limiter au maximum les rendez-vous physiques, les commerciaux peuvent désormais entrer en contact avec eux par visio-conférence (100% des commerciaux sont équipés). Cela change la conduite des entretiens. Il faut en peu de temps être pertinent en proposant le service le mieux adapté au besoin du client. Pour accompagner ce changement dans les pratiques et le discours commercial, 600 heures de formation des commerciaux ont été programmées en mai.Des tutoriels ont été créés pour la mise en œuvre des produitsDifficile de se rendre sur tous les chantiers actuellement, c'est pourquoi plusieurs vidéos courtes et explicites sont mises à la disposition des équipes techniques et commerciales.Des supports de communication adaptés aux besoins actuels des entreprisesAinsi, une fiche montrant que la brique collée est un système compatible avec les gestes barrières a été mise à disposition des entreprises. Ces dernières peuvent intégrer ces préconisations dans leur propre protocole de reprise sanitaire.Une offre pertinente dans le contexte actuelCompte tenu des surcoûts liés à l'instauration des mesures sanitaires sur les chantiers face au coronavirus, les promoteurs et constructeurs de maisons individuelles sont, aujourd'hui, en recherche de produits compétitifs qui offrent les performances thermiques, acoustiques et mécaniques attendues.Les nouvelles solutions, telles que la colle fix'bric et la planelle supeRmax, commercialisées par Bouyer Leroux répondent à ces critères.En collectif : la solution brique répond parfaitement aux attentes du marchéAinsi, pour compenser une partie des frais générés par la mise en application des gestes barrières sur chantiers, la solution brique très économique présente un intérêt certain pour les promoteurs qui ne travaillent pas encore avec ce système constructif qui a fait ses preuves. Selon la dernière étude Batiétude, la brique détenait en effet 27% de parts de marché dans le collectif en 2018.Les promoteurs qui font déjà confiance à la brique sont confortés dans leur choix. Non seulement la solution brique est économique mais elle est aussi très pertinente thermiquement. Par exemple, l'association de la planelle supeRmax (résistance thermique de 1,7 m². K/W) et la brique bgv'costo th+ optimise la performance de l'enveloppe du bâtiment tout en maîtrisant les coûts. Plus largement, le Pack Collectif bio'bric, qui associe des briques isolantes à des accessoires pour traiter de manière optimale les ponts thermiques, permet aux promoteurs de proposer plus facilement à leurs clients des espaces extérieurs tels que les balcons et terrasses qui devraient être plébiscités après cette période de confinement.En maison individuelle, les constructeurs cherchent à raccourcir leur temps de chantiers pour rattraper les retards fix'bric, la colle prête à l'emploi pour la bgv20, est une solution qui permet de gagner jusqu'à 1h30 par jour et par chantier ! Elle remporte un franc succès auprès des constructeurs et maçons. Maison France Confort, membre du groupe Hexaom, vient de l'adopter sur la région Midi-Pyrénées et la déploie actuellement sur la région Île-de-France.
Il y a 4 ans et 320 jours

Le chantier d'une église controversée dans l'Ardèche, suspendu en partie pour une une expertise environnementale

Quelque 70 militaires ont mené à bien l'opération, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.Onze personnes qui occupaient une passerelle en cours de construction ont été amenées au commissariat le plus proche. Après vérification de leur identité, elles ont toutes été relâchées."Tout s'est passé dans le calme. Les occupants n'ont pas opposé de résistance", ont indiqué les forces de l'ordre.Des militants locaux et des membres du mouvement Extinction Rébellion voulaient dénoncer un projet ayant vu le jour "dans le secret" et aux "graves conséquences écologiques" et menaçaient de bloquer le chantier sur la durée.La rivière La Bourges qui borde la construction est un habitat de plusieurs espèces protégées, font-ils valoir.Le Parc naturel régional des Monts d'Ardèche s'est prononcé contre cette construction en début d'année.Suite à l'occupation, une plainte a été déposée par les propriétaires des terrains. Les entrepreneurs chargés du chantier évaluent, quant à eux, les dégâts suite à la mobilisation. Mais ils n'ont pour l'instant pas déposé plainte.La préfète de l'Ardèche Françoise Souliman a indiqué qu'elle restait ouverte à une rencontre avec les opposants au projet mais qu'elle ne laisserait pas une ZAD (une "zone à défendre", dans le vocabulaire des militants écologistes) s'installer.Une expertise environnementale pour calmer les tensionsLa préfète de l'Ardèche a proposé de suspendre les travaux de la passerelle d'une église controversée au cœur du parc régional des monts d'Ardèche, le temps de mener une expertise environnementale pour étudier son impact sur une rivière en contre-bas.Cette étude indépendante, qui pourrait être menée dans l'été, permettrait de "préciser définitivement l'impact du projet sur les espèces et leur habitat", indique la préfète Françoise Souliman dans un communiqué.Ce chantier, qui a débuté il y a un an dans le village de Saint-Pierre-de-Colombier, est porté par la congrégation catholique de la famille missionnaire de Notre-Dame. Il prévoit la construction d'une imposante église de 3.500 places, d'un parvis, de logements, d'un parking et d'une passerelle sur la rivière La Bourges.Mais cette rivière qui borde la construction est un habitat de plusieurs espèces protégées. Le Parc naturel régional des Monts d'Ardèche s'était prononcé contre cette construction en début d'année.Et des militants écologistes se sont montés en collectif et avaient commencé à occuper le site ce week-end, avant d'être délogés par les forces de l'ordre lundi.Mardi, la préfète a réuni tous les acteurs de ce conflit. La congrégation religieuse a accepté le principe d'une étude. Reste maintenant à savoir si le groupe des "Ami.e.s de la Bourges" y souscrira également.Si tout le monde s'accorde, les travaux de la passerelle seront suspendus jusqu'aux résultats de l'étude, mais le reste du chantier pourra continuer.
Il y a 4 ans et 321 jours

Lancement du Prix Femmes Architecte 2020

Ce prix a pour but de mettre en valeur les œuvres et les carrières de femmes architectes, afin que les jeunes femmes architectes puissent s'inspirer des modèles féminins existants, et d'encourager la parité dans une profession à forte dominante masculine.Les seules conditions de participation à ce prix sont d'être inscrite à l'Ordre des Architectes et d'être l'auteure des projets présentés.Quatre prix sont décernés :Prix Jeune Femme architecte, moins de 40 ans – 3 projets à 5 réalisés ou non;Prix de l'œuvre originale réalisée par une femme architecte;Prix Femme architecte – 3 à 5 ouvrages construits;Prix International – 3 à 5 ouvrages construits par une femme architecte inscrite à l'Ordre des architectes non français.La compétition est ouverte depuis le 1er juin et se clôturera le 31 juillet 2020.Remise du prix première quinzaine de décembre 2020 au Pavillon de l'Arsenal 21 bd morland Paris 75004.Renseignements et candidature sur le site www.femmes-archi.org
Il y a 4 ans et 321 jours

Le marché du Crowdfunding immobilier reprend progressivement sa marche en avant

Un produit d'épargne installé dans le paysageAprès un très bon 1er trimestre marqué par une collecte de 9,2 millions d'euros, quatre fois supérieure au premier trimestre 2019, et un triplement des remboursements (4,2 millions d'euros), l'entrée en vigueur des mesures de confinement a entrainé une suspension de quelques jours des collectes réalisées par Fundimmo pour analyser la situation en relation avec ses partenaires promoteurs et recalibrer ses opérations. Avec 12 projets financés depuis la réouverture de la plateforme le 14 avril dernier, représentant un montant de 12 millions d'euros, ce premier bilan post confinement témoigne d'un retour des investisseurs vers ce produit désormais connu par plus d'1/3 des Français*. Plusieurs nouvelles collectes sont prévues par Fundimmo pour des projets en attente d'un déblocage administratif, d'ici la tenue des élections municipales.« Le bilan marché du premier semestre devrait confirmer que le crowdfunding immobilier poursuit sa croissance malgré les difficultés que le secteur immobilier a dû affronter lors de cette crise » explique Jérémie Benmoussa, Président du Directoire de Fundimmo. « Les épargnants reviennent sur les plateformes, preuve de leur confiance renouvelée dans ce placement qui a offert un rendement moyen de 9,2% par an l'année dernière, et les promoteurs ont plus que jamais besoin de financement pour mener à bien leurs projets. Ils répondent toujours présents et maintenant que les chantiers reprennent progressivement et qu'une date est fixée pour les élections municipales, le marché maintient ce cap. Le recours au crowdfunding immobilier reste aujourd'hui un levier de croissance majeur pour les opérateurs immobiliers, aussi bien pour soulager leur trésorerie que pour obtenir rapidement les fonds propres nécessaires au refinancement ou au lancement des opérations. »Un placement toujours attractif pour les épargnantsAvec un record de collecte sur le T1 2020 (95 millions d'euros, en hausse de +106% par rapport au T1 2019), le marché devrait poursuivre sa progression ou a minima se stabiliser malgré la crise Covid-19. Il est en de même pour le rendement qui devrait conserver son attractivité et renforcer les positions de ce produit d'épargne en tant que placement de diversification à privilégier.Si la durée de réalisation des programmes immobiliers pourrait être rallongée suite aux retards pris sur les chantiers en raison de la crise sanitaire, cela ne constitue pas pour autant un signal d'alarme dans la mesure où les intérêts des particuliers continuent à courir lorsque des projets prennent du retard. Le retard moyen des projets qui seront effectivement en retard de remboursement devrait être d'environ 4 mois pour les projets qui devront être remboursés dans les 12 prochains mois.« L'immobilier de demain devra prendre encore davantage en compte les aléas extérieurs sur la réalisation des chantiers » précise Jérémie Benmoussa. « Cela conduira peut-être à un léger allongement des durées de financement dans les années à venir, mais les taux devraient dans l'immédiat peu évoluer. Le confinement a quoi qu'il en soit prouvé que le numérique a plus que jamais sa place dans l'univers des placements, a fortiori pour des plateformes comme Fundimmo qui peuvent accompagner à distance les épargnants et les opérateurs immobiliers, preuve de la résilience de ce modèle. Gageons que les pouvoirs publics permettent au secteur immobilier de poursuivre la reprise enclenchée dans les meilleures conditions, pour que ce marché en pleine croissance poursuive son développement sur des bases solides. »*Étude OpinionWay pour Fundimmo, janvier 2020
Il y a 4 ans et 321 jours

Suite au confinement, les Français vont-ils plus privilégier les espaces extérieurs que leur habitation ?

Un mal-être généralLe confinement aura eu un impact certain sur le ressenti des Français vis-à-vis de leur habitation.En effet, qu'ils soient en maison ou en appartement, le constat reste le même : les Français n'en peuvent plus de leur logement ! Ainsi, même les personnes ayant un jardin sont 41% à déclarer ne plus voir en peinture leur maison. Les personnes ayant une habitation avec une terrasse ou un balcon sont légèrement plus nombreuses dans ce cas avec 53% de représentativité. Enfin, ce sont les Français qui vivent dans une habitation sans espace extérieur qui sont les plus sensibles à ce malaise à plus de 63%. Une envie de changementMaison avec Jardin, appartement avec terrasse ou sans, dans tous les cas, la grande majorité des Français aimerait bien changer d'habitation. C'est ce que déclarent 59% des personnes ayant un jardin, 67% ayant une terrasse ou un balcon et 71% qui n'ont aucun espace extérieur.Ça déménage !A la question « prévoyez-vous de déménager cette année ? », les réponses divergent en fonction des typologies d'habitation. En effet, si les personnes qui n'ont aucun espace extérieur sont plus de 62% et celles avec une terrasse ou un balcon à plus de 56%, à vouloir trouver un nouveau logement cette année, celles qui possèdent un jardin ne sont plus de 43% à avoir envie de déménager.Le jardin devient primordialLes habitations qui proposent un espace extérieur privé vont devenir de plus en plus prisées par les Français. En effet, plus de 53% des répondants déclarent que la surface extérieure est aussi importante que la surface intérieure. 42% vont même jusqu'à la déclarer plus importante et uniquement 6% la considère moins importante.Vive la campagne !Si 25% des locataires préfèrent encore la ville, et 30% la banlieue, plus de 45% veulent vivre maintenant au vert. Fait intéressant, plus les répondants ont déjà des espaces extérieurs, plus ils en veulent pour leurs projets à venir. Ainsi les personnes ayant un jardin sont 62% à voter pour la campagne et celles ayant une terrasse ou un balcon sont 42% quand celles qui n'ont rien ne sont que 31% et préfèrent à 37% un logement en banlieue.L'espace appelle l'espacePour profiter pleinement d'un espace extérieur, les Français sont même prêts à mettre la main au porte-monnaie. En effet, les personnes qui ont déjà un jardin sont disposées à 68% à payer plus pour plus d'espace extérieur, celles qui ont une terrasse sont 59% et celles sans rien sont 56%.*Méthodologie : enquête réalisée auprès de 6.304 locataires répartis sur l'ensemble du territoire français, selon la méthode des quotas, durant la période du 29 mai au 4 juin 2020. Sondage effectué en ligne, sur le panel propriétaire BuzzPress France regroupant plus de 21.255 personnes. Toutes les informations mises en avant par les personnes interrogées sont déclaratives. Profils des répondants :57% disposent d'un jardin (dont 9% des répondants qui ont également une terrasse ou un balcon),38% disposent d'une terrasse ou d'un balcon,14% n'ont aucun espace extérieur.
Il y a 4 ans et 321 jours

Xavier Striebig, nouveau secrétaire général du SNPU

Assurant la promotion en France du panneau d'isolation en mousse rigide de polyuréthane, Xavier Striebig accompagne les membres du Syndicat dans la promotion de la solution, dans l'évolution des normes techniques et des exigences environnementales, et participe à l'animation du réseau. Il aura également pour mission de renforcer la présence du SNPU auprès des acteurs de son écosystème, tel que l'AIMCC. Diplômé de l'École Spéciale des Travaux Publics et de l'École Royale Polytechnique de Stockholm, cet ingénieur ETP 90 puise ses connaissances du secteur et son expertise dans deux expériences enrichissantes qui auront marqué sa carrière, au CSTB puis chez UNILIN INSULATION.« Cette prise de nouvelle fonction s'inscrit comme le prolongement naturel de mon parcours professionnel. Déjà historiquement attaché au SNPU, il me tient à cœur de faire perdurer cette institution et de renforcer son rayonnement dans les débats d'actualité. De l'évolution des réglementations techniques à l'application de la Loi Économie Circulaire, notre Syndicat entend être présent pour soutenir ses membres et être pro-actif face aux enjeux de demain. Fédérer et valoriser les démarches et les travaux de nos Commissions seront des clés de notre réussite. », explique Xavier Striebig, Secrétaire Général SNPU.Des normes au terrainEn 1994, Xavier Striebig occupe les fonctions d'Ingénieur Chargé d'Affaires au CSTB. Il devient alors Responsable du domaine de 2 la couverture à partir de 1997, puis Rapporteur du Groupe Spécialisé n° 5.1 « Couvertures ». Une période durant laquelle il instruit les Avis Techniques, rédige les DTU en partenariat avec la FFB et les divers organismes ou syndicats professionnels, ou encore accompagne les industriels dans le cadre de leur développement technique. En septembre 2008, il prend la Direction Technique et Développement d'UNILIN INSULATION, poste qu'il occupera jusqu'à sa nomination au SNPU et où il aura largement contribué à la mise en place du panneau PU (ACERMI, Avis Technique, essais, FDES, formation de la force de vente, etc.). En 2010, il intègre les Commissions Technique et Environnement du SNPU.
Il y a 4 ans et 321 jours

Action Logement mobilise des financements pour la reprise des chantiers

La crise sanitaire actuelle a eu pour effet l'interruption quasi totale des chantiers de construction, de réhabilitation et de maintenance du patrimoine de l'ensemble des bailleurs sociaux. Afin d'accompagner la reprise des chantiers, Action Logement a décidé de participer à la prise en charge partielle du surcoût liés aux mesures de sécurité sanitaire, en partage avec l'ensemble des acteurs.Le dispositif : L'aide sera négociée au cas par cas avec chaque organisme de logement social pour répondre à leurs besoins spécifiques. Elle comprend :La délivrance de prêts de hauts de bilan (PHB2.0) bonifiés par Action Logement à hauteur de 400 millions d'euros.La renégociation des prêts contractés auprès d'Action Logement Services, avec la possibilité de bénéficier de taux fixes et d'un réaménagement éventuel de durée et de profil des prêts.Bruno ARCADIPANE, Président d'Action Logement Groupe déclare :« Les Partenaires sociaux expriment par ces mesures leur volonté de participer activement à la reprise de l'activité économique, fondamentale pour l'attractivité des territoires. Ces aides viendront soutenir les entreprises et l'emploi dans une logique citoyenne et solidaire ».Jean-Jacques PEROT, Vice-président d'Action Logement Groupe souligne :« Notre responsabilité est bien de mettre tout en œuvre pour apporter notre soutien à la reprise des chantiers et à l'emploi. Plus que jamais, en cette période de crise, notre pays a un besoin massif d'une offre renouvelée en logement à prix abordables. En soutenant la reprise, le Groupe fait la démonstration de son engagement. »
Il y a 4 ans et 321 jours

Bientôt une promenade piétonne de 7 km dans le centre d'Athènes

"La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été.La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électriques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier.
Il y a 4 ans et 321 jours

Cheminées Poujoulat lance 3CE Thermo-D pour le raccordement des chauffe-eau

Le chauffe-eau thermodynamique est un équipement électrique destiné à produire de l'eau chaude sanitaire grâce à une pompe à chaleur complétée par une résistance électrique d'appoint. Il a ainsi recours à une énergie renouvelable, l'air.Il permet de réduire jusqu'à 3 fois la consommation électrique en comparaison d'un chauffe-eau électrique classique. En neuf, il permet d'anticiper la RE 2020, participe à l'obtention du label E+ C- et donne accès au bonus de constructibilité jusqu'à 30%, pour des projets de « construction exemplaire ».Un système certifié et développé en partenariat avec deux acteurs majeurs du chauffe-eau thermodynamiqueFort de ce constat et grâce à son expérience dans le domaine des équipements de chauffage depuis 70 ans, Cheminées Poujoulat a conçu 3CE Thermo-D, en collaboration avec deux acteurs majeurs dans le domaine du chauffe-eau thermodynamique : Saunier Duval et Auer.Garanti et sous Appréciation Technique d'Expérimentation (ATEx), ce système concentrique étanche pour l'amenée et l'évacuation d'air est parfaitement adapté à l'habitat collectif neuf ou existant.Disponible en 3 diamètres (125/200, 160/250 et 200/300), le conduit 3CE Thermo-D permet le raccordement de 1 à 6 appareils individuellement sur une même colonne.La solution proposée par Cheminées Poujoulat se distingue par le choix des matériaux :« Pour le conduit central, nous avons fait le choix du polypropylène car il permet de conserver les performances des chauffe-eau thermodynamiques en évitant de refroidir l'air extérieur circulant dans l'espace annulaire. La paroi extérieure est en inox 304 afin de respecter la réglementation incendie, avec une paroi incombustible, et d'éviter la corrosion liée à la présence d'eau, la condensation, dans l'espace annulaire pour une plus grande longévité », détaille Vianney Bucher, chef produits chez Cheminées Poujoulat.Le système est sécurisé par une étanchéité maîtrisée et des colliers de jonction à chaque emboîtement.Les percements en façade sont évités avec un seul terminal en toiture sans contrainte de position. Marque de fabrique de Cheminées Poujoulat, le terminal peut être personnalisé avec une finition inox ou noir mais également dans d'autres couleurs RAL sur demande.Un montage facile et un temps de pose réduitLe système 3CE Thermo-D s'adapte à chaque configuration de bâtiments, avec toit terrasse ou toiture en pente. Un dévoiement peut être installé dans la partie supérieure du conduit, ce qui permet de s'adapter à la construction en évitant des éléments de la charpente par exemple.La conception est simplifiée avec une seule colonne verticale qui évite les soffites et les faux-plafonds dans les logements.Le montage et la pose sont réduits grâce à un conduit modulaire et un nombre de pièces limité à 4 par niveau avec un élément Té de 950 mm de hauteur utile. Afin de faciliter la mise en œuvre, l'étanchéité du tube extérieur se réalise par un emboîtement cône sur cône, sans joint. L'adaptation à chaque hauteur d'étage se fait par l'utilisation d'éléments réglables.Les condensats et l'eau de pluie, éventuellement présents, dans les deux conduits sont évacués par un seul siphon en pied de conduit, ne nécessitant donc qu'un seul raccordement au réseau des eaux usées.Prévue dans l'ATEx, la mise en œuvre du 3CE Thermo-D est également possible en maison individuelle.Les + du 3CE Thermo-D de Cheminées PoujoulatUn système certifié par une ATEx du CSTBUn développement en partenariat avec deux acteurs majeurs dans le domaine du chauffe-eau thermodynamiqueEn habitat collectif neuf ou existantRaccordement de 1 à 6 chauffe-eau thermodynamiquesUn conduit central en polypropylèneUne paroi extérieure en inox 304Un terminal personnalisable : finition inox ou noir, autres couleurs RAL sur demande
Il y a 4 ans et 321 jours

Travailler davantage, c'est "travailler tous", selon Bruno Le Maire

"Ça veut dire travailler tous, (...) ça veut dire qu'il faut que le plus grand nombre de Français puissent trouver un travail", a déclaré Bruno Le Maire sur France Info.Interrogé sur l'éventualité de demander aux Français de renoncer à des jours de congés, le ministre de l'Economie a répondu: "non, je ne crois pas du tout que ce soit ce qu'a dit le président de la République (...). La lecture est très simple: il faut que nous travaillions tous"."Il faudra trouver un emploi pour les jeunes qui vont entrer sur le marché du travail dans quelques mois, (...) il faudra faire attention à ce qu'on ne licencie pas massivement des personnes de plus de 50 ans par solution de facilité", a-t-il ajouté.Emmanuel Macron a prévenu dimanche dans son allocution que pour faire repartir l'économie française, il faudrait "travailler et produire davantage pour ne pas dépendre des autres", et ce "alors même que notre pays va connaître des faillites et des plans sociaux multiples en raison de l'arrêt de l'économie mondiale"."La reconstruction économique est la priorité absolue nationale des prochains mois", a insisté Bruno Le Maire lundi, estimant qu'il fallait "inciter les entreprises à reprendre l'activité".Les règles qui s'appliqueront à elles pour assurer la sécurité sanitaire "ne changent pas" pour l'instant, a-t-il précisé, ajoutant que les guides de protocoles sanitaires "continuent à être mis en place"."Est-ce que demain il sera possible de regarder un point ou un autre de ces protocoles? Oui certainement", a-t-il toutefois indiqué.Le télétravail "reste souhaitable dans la mesure où ça permet d'avoir une reprise progressive et de limiter la circulation du virus", a jugé le ministre. Mais c'est une solution "transitoire" qui "n'est pas la panacée", a-t-il estimé.
Il y a 4 ans et 321 jours

Myral, premier industriel de la façade à obtenir la certification Origine France Garantie

La certification OFG a pour objectif d'assurer la traçabilité d'un produit en donnant une indication de provenance claire et objective aux clients. Cette certification permet aussi de valoriser le made in France à un moment symbolique, où en pleine crise du Coronavirus, la relance de l'économie passera notamment par le soutien aux entreprises nationales.Valoriser le savoir-faire et la fabrication française des solutions MyralPour Myral, dont le siège et l'usine sont installés à Is-sur-Tille dans le département de la Côte d'Or, cette initiative est logique car cela fait plus de 30 ans que l'entreprise fait le choix du made in France dans son développement et dans l'innovation centrée sur sa solution d'isolation par l'extérieur des façades. Elle est d'ailleurs le premier fabricant spécialisé dans l'enveloppe du bâtiment à obtenir cette certification présente dans tous secteurs confondus et à désormais pouvoir apposer le fameux logo bleu-blanc-rouge. « Il nous permet de mettre en lumière notre démarche qualité, en valorisant notre savoir-faire et en assurant à nos clients l'origine française de nos produits », poursuit Sylvain Bonnot.Un engagement quotidien pour la « lutte contre les passoires thermiques »En plein développement, le groupe bourguignon a passé en 2019 le cap des 100 salariés. Il produit chaque année, dans son usine, plus de 250000 m² de parements isolants. Ils sont distribués sous la marque Uniso dans tout l'hexagone aux particuliers par des partenaires, et son réseau de franchises Les Appliqués, ainsi que sur les marchés du collectif et du tertiaire… Avec l'objectif avoué de participer au mouvement national contre le gaspillage d'énergie dans l'habitat, aussi nommé « lutte contre les passoires thermiques » par les pouvoirs publics. Un engagement fort, qui résonne encore davantage dans le contexte de crise sanitaire et économique actuel, et que la certification Origine France Garantie va participer à souligner.« En tant qu'industriel français qui investit en France et qui est actuellement engagé dans l'effort national de relance de l'économie nous sommes fiers d'obtenir cette certification Origine France garantie. C'est un symbole auquel sont sensibles nos clients : de la maîtrise d'ouvrage publique ou privée, aux particuliers qui souhaitent gagner en confort dans leur maison. » - Sylvain Bonnot, président de Myral, à l'annonce de la certification OFG
Il y a 4 ans et 322 jours

Julien Denormandie annonce de nouveaux testings pour déceler les discriminations à l'emploi

"Il faut lutter contre les discriminations au quotidien", dit le ministre, en citant notamment de premiers testings organisés par le gouvernement qui avaient permis "d'épingler 7 entreprises sur les 40 testées".Le testing consiste à envoyer pour la même offre d'emploi deux CV identiques avec comme uniques différences l'origine du candidat et/ou une adresse dans un quartier populaire.M. Denormandie annonce également l'arrivée prochaine d'un décret obligeant "toutes les agences immobilières et les associations professionnelles à suivre une formation de lutte contre les discriminations" tous les trois ans.Enfin, Julien Denormandie prône la suppression du mot "race" du préambule de la Constitution, qui stipule que "tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés".Dimanche matin, dans les colonnes du JDD, un autre ministre, Gabriel Attal, s'inquiète de "forces funestes" qui chercheraient à prospérer sur le ressentiment de la jeunesse pour "imposer une lutte des races". Le ministre appelle par ailleurs à "un effort collectif pour sauver les plus jeunes" face à la crise économique, et indique que la pérennisation de la réserve civique mise en place pendant la crise du Covid pourrait être une piste.L'association La maison des potes, qui lutte contre les discriminations, a salué dans un communiqué les annonces de Julien Denormandie, mais regretté qu'elles ne soient pas "plus offensives"."L'intérêt des testings, contrairement aux statistiques ethniques (qui n'ont d'intérêt que pour ceux qui veulent des places en fonction de quotas), c'est de pouvoir épingler des actes de discrimination pour pouvoir les sanctionner mais il faut maintenant que les testings (...) soient suivis d'enquêtes de l'inspection du travail et du procureur de la République au sein des entreprises épinglées", affirme l'association."Faire des testings pour seulement faire du "Name and Shame", ce n'est pas suffisant. C'est comme si on se contentait de publier le nom de ceux qui font du 160 km/h sur nos routes au lieu de leur retirer le permis et de leur faire payer des amendes", poursuit-elle.Elle appelle à combiner les testings "aux sanctions des discriminations épinglées" et demande à être reçue par le ministre.
Il y a 4 ans et 322 jours

Pour Stéphane Plaza, de retour sur M6, "l'immobilier est une priorité" pour les Français

Le présentateur et agent immobilier va retrouver sa case quotidienne à 18H50, occupée depuis mars par "Tous en cuisine" de Cyril Lignac. Si les leçons de cuisine du chef ont cartonné auprès des téléspectateurs, pas de jalousie entre les deux hommes, à en croire Stéphane Plaza, qui a fait une visite surprise et en direct jeudi dans l'émission culinaire."Pendant le confinement, voir des appartements qu'on ne pouvait pas visiter n'était pas forcément le plus judicieux, et mettre un programme neuf de Cyril Lignac, qui a excellemment bien marché, était une bonne nouvelle pour la chaîne et ne m'a pas du tout dérangé. Ca a permis de faire un petit peu reposer la marque Chasseurs d'appart', et de revenir avec des inédits, pour défendre des associations", dit-il à l'AFP.Des émissions inédites tournées à Toulouse, avant la crise du Covid-19, et qui ne montrent donc pas encore les nouvelles pratiques dans l'immobilier."On ne travaille plus de la même façon", explique M. Plaza. Outre les masques, par exemple, "on fait en sorte que toutes les portes et placards soient ouverts avant le début de la visite, par une seule personne qui porte des gants, pour protéger tout le monde".Les tournages de l'émission devraient reprendre ce mois-ci, a priori avec des équipes réduites et en respectant ces consignes. Avec des portes ouvertes, "il y aura peut être moins de surprises, mais je ne vais pas jouer là-dessus, on fera très attention", promet-il.Selon lui, l'immobilier n'a pas été terrassé par le coronavirus. "On peut dire qu'il y a une crise sanitaire pour l'instant, mais il n'y a pas une crise immobilière", note l'agent immobilier le plus célèbre du petit écran, à la tête de son propre réseau d'agences.Si les transactions ont été paralysées pendant deux mois, "à l'heure actuelle, l'immobilier, en tout cas, est une priorité du fait du télétravail et du confinement, selon qu'il s'est bien passé ou non, mais c'est surtout le marché de la location qui redémarre".En outre, "on sait que la pierre est une valeur sûre, avec laquelle on ne va pas doubler son investissement mais qui fait rarement perdre de l'argent", quand d'autres placements ont montré leur coté risqué, observe-t-il."Mais il faut retrouver confiance, il y a beaucoup de questionnements", dit-il, soulignant que la crise sanitaire "fait changer les mentalités". Avec beaucoup d'éléments positifs : "Il y a plus de sourires, plus d'humain, on est contents après cette privation de liberté de pouvoir faire des choses", salue-t-il.
Il y a 4 ans et 322 jours

Baromètre Coface 2e trimestre 2020 : d'un choc massif à une reprise différenciée

Dans ce contexte, Coface prévoit que l'ampleur de la récession cette année (baisse du PIB mondial de 4,4%) sera plus forte qu'en 2009. Malgré la reprise attendue en 2021 en cas d'absence de 2ème vague d'épidémie (+5,1%), le PIB resterait 2 à 5 points inférieur à celui de 2019 aux Etats-Unis, en zone euro, au Japon ou encore au Royaume-Uni.La montée attendue de l'épargne de précaution des ménages et les annulations d'investissements des entreprises dans un contexte d'incertitude persistante quant à l'évolution de la pandémie, le caractère irrécupérable des pertes de production dans certains secteurs (en particulier des activités de services ainsi que matières premières utilisées comme combustible) expliquent cette absence de rattrapage rapide. Certes les mesures des banques centrales ont permis de stabiliser les marchés financiers depuis le mois d'avril. Et celles des Etats (notamment en Europe de l'Ouest) ont eu le mérite de contribuer jusqu'ici à maintenir certaines capacités de production des entreprises, notamment en accroissant l'endettement. Mais elles reportent les ajustements en matière d'emploi et les problèmes de trésorerie des entreprises.Les défaillances d'entreprises dans le monde devraient augmenter d'un tiers dans le monde d'ici 2021 par rapport à 2019Malgré les mesures de soutien public, la montée des défaillances d'entreprises déjà mise en exergue dans le précédent baromètre Coface(1) devrait toucher toutes les principales économies matures : États-Unis (+43%), Royaume-Uni, (+37%), Japon (+24%), France (+21%), Allemagne (+12%). Mais beaucoup d'économies émergentes (+44% au Brésil, +50% en Turquie) seront aussi affectées par les conséquences économiques des mesures de confinement ainsi que par la chute des recettes touristiques, des remises des travailleurs expatriés et celles liées à l'exploitation des matières premières dont les cours ont baissé.En plus des transports, la pandémie fragilise davantage les secteurs déjà vulnérables : automobile, métallurgie, distribution et textile-habillementLa forte hausse de sinistralité reflète une montée du risque de crédit des entreprises à court terme (6 à 12 mois). Coface prend acte de cette montée des risques pays qui se traduit dans son évaluation (utilisant des données à la fois macroéconomiques, financières et microéconomiques) par 71 déclassements, soit un peu plus de 40% des économies couvertes dans le monde. Sur le front sectoriel aussi, environ 40% des 13 secteurs d'activité évalués dans 28 pays (représentant 88% du PIB mondial) sont déclassés. Dans le contexte actuel de crise de la mobilité, les transports sont les plus touchés par ces changements. Viennent ensuite l'automobile et la distribution, déjà dans une position de faiblesse l'an passé. A l'autre bout de l'échelle, les secteurs pharmaceutiques et, dans une moindre mesure, ceux de l'agroalimentaire et des TIC, sont les plus résilients.> Téléchargez l’intégralité du baromètre Coface T2 2020 : cliquez ici(1)https://www.coface.fr/Actualites-Publications/Publications/Barometre-Risque-Pays-et-Secteurs-T1-2020
Il y a 4 ans et 322 jours

Les entreprises d'ingénierie regrettent le manque de clarté du gouvernement sur la prise en charge des surcoûts sanitaires

Les ingénieristes de la filière, qui représentent 40.000 entreprises et 100.000 emplois sur tout le territoire, regrettent le manque d'ambition d'une circulaire qui ne pose aucune obligation absolue. En l'absence de démarche coordonnée, il reviendra aux acteurs de s'entendre projet par projet. Un vide juridique qui fait craindre de nouveaux surcoûts pour l'ingénierie (liés au temps passé en études, analyses et négociations), des risques de contentieux et une rupture d'égalité territoriale (avec l'apparition de situations hétérogènes) qui met en jeu la pérennité des emplois dans l'hexagone.Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie commente : « Alors que le secteur de la construction connaît une crise sans précédent et se mobilise pour la relance, la question des surcoûts liés aux mesures de sécurité sanitaire va nous ralentir inutilement. Qui prend en charge ? Quels types de surcoûts ? Dans quelle proportion ? Les acteurs de la construction attendaient un geste fort et des dispositions claires de la part de l'État pour aller vite. La circulaire du 9 juin est malheureusement très en retrait. En refusant de trancher, elle nous confie plus de responsabilités pour lesquelles nous devons être rémunérés. »Spécialisées dans les prestations intellectuelles à haute valeur ajoutée, les entreprises d'ingénierie sont le liant naturel des acteurs de la filière. Elles interviennent aux côtés des maîtres d'ouvrages dès les phases d'avant-projet pour étudier et concevoir les ouvrages. Et elles suivent, coordonnent et contrôlent leur bonne construction, exécution et maintenance en lien avec les constructeurs.Achats de masques, pertes d'exploitation, pertes de rendement, étalement des frais généraux… A l'instar des autres acteurs, l'ingénierie est fortement impactée par la crise et souffre déjà de nombreux surcoûts. Près de 60% des entreprises estiment ainsi que leur activité sera en baisse au 2e semestre 2020* et les plus petites structures craignent pour leur survie.Avec la circulaire du 9 juin, les ingénieristes craignent désormais de devoir prendre en charge des surcoûts additionnels. En tant que maîtres d'œuvre, il leur reviendra d'instruire les dossiers de répartition des surcoûts entre constructeurs et maîtres d'ouvrage, ainsi que les éventuelles réclamations. En l'absence de méthodologie validée, cette nouvelle mission nécessitera une analyse et des négociations projet par projet.A noter qu'il leur est également revenu de mener à bien des études non prévues au sujet des conditions de fermeture puis de réouverture des chantiers. Or, la circulaire prévoit « une renonciation à toute indemnité pour les coûts d'études et de conduite d'opération en vue de la préparation de la reprise du chantier. » La profession considère que cela ne pourra s'appliquer aux maîtres d'œuvre.Si la profession est pleinement mobilisée en vue de la relance et prête à prendre ses responsabilités, Syntec-Ingénierie en appelle à une clarification des dispositions de la circulaire. Elle alerte sur des surcoûts additionnels qui mettent en risque l'activité et la pérennité des emplois que l'ingénierie externalisée génère partout sur le territoire. La fédération demande, par ailleurs, à être pleinement intégrée aux comités de suivi qui seront mis en place pour donner des références lors des négociations futures entre les maîtres d'ouvrage public comme privés et les entreprises.*Baromètre réalisé par Syntec-Ingénierie auprès de ses adhérents au cours de la semaine du 11 mail. Les répondants sont des entreprises de toutes tailles, qui interviennent dans l'industrie et la construction et dans tous les secteurs d'activité d'ingénierie.
Il y a 4 ans et 322 jours

94% des entreprises ont redémarré les chantiers en Auvergne-Rhône-Alpes, mais à des niveaux variables

Un niveau d'activité identique voire supérieur à l'avant-Covid pour 56% des entreprisesDepuis le 11 mai, 94% des artisans déclarent avoir repris leur chantier. Si plus d'une entreprise sur deux déclare être revenue à un rythme d'activité normal (38%), voire en progression (18%), pour 40% d'entre elles, le rythme reste ralenti (30%), très ralenti (10%), voire encore à l'arrêt pour 2% des entreprises. S'agissant des marchés publics, 71% des entreprises concernées les ont redémarrés.Les principales difficultés remontées par les entreprises concernent l'approvisionnement en fournitures et matériels de chantiers (1 entreprise sur 4) et la réorganisation des chantiers liées à la mise en œuvre des préconisations de sécurité de l'OPPBTP (1 entreprise sur 5). L'accès au déchetterie reste également problématique pour un certain nombre d'entre elles.Malgré ces difficultés, les entreprises restent positives. 75% restent en effet confiantes en l'avenir de leur entreprise et 95% estiment avoir été accompagnées pendant la crise, même si c'est à des degrés différents.Les surcoûts directement liés au covid-19Entre le coût des EPI, du nettoyage et de désinfection des locaux et des chantiers, le temps perdu à la gestion du covid-19, 19% des artisans estiment qu'il faudrait majorer leur taux horaire de 3 à 5% pour absorber le surcoût.Cependant 83% des entreprises ne répercuteront pas ces frais supplémentaires sur les chantiers en cours.L'apprentissage, fortement impactéL'apprentissage, voie privilégiée de formation par les entreprises artisanales du Bâtiment, a été fortement impacté par cette crise, notamment avec l'interruption des formations en cours.Cependant 86% des entreprises qui avaient embauché un apprenti ont bien prévu de poursuivre son contrat.Pour relancer l'apprentissage à la rentrée, l'accompagnement qui encouragerait les entreprises à recruter des apprentis, se caractérise notamment par une aide financière supérieure, l'exonération des charges, moins de contraintes administratives au bureau et sur les chantiers, un accompagnement sur les aspects sécurité dans ce contexte particulier lié au covid-19... La motivation du jeune reste également un critère essentiel, notamment pour les entreprises ayant déjà des apprentis.Dominique Guiseppin- Président de la CAPEB Auvergne-Rhône-Alpes : « Le plan de relance de l'apprentissage annoncé par le gouvernement le 4 juin qui prévoit notamment d'augmenter l'aide financière aux entreprises et d'accorder un délai supplémentaire de 6 mois aux jeunes pour trouver une entreprise et signer un contrat, va dans le bon sens. Il est en effet essentiel de soutenir cette voie de formation essentielle pour l'artisanat du Bâtiment. Une campagne de communication est d'ailleurs conduite au sein des BTP CFA de la région pour promouvoir l'apprentissage, et la CAPEB y est particulièrement investie notamment à travers l'investissement important de Christelle Rozier, Présidente de BTP CFA Auvergne-Rhône-Alpes et Présidente de la commission Emploi-formation à la CAPEB Aura. »
Il y a 4 ans et 322 jours

Les acteurs de la filière bois font des propositions pour la décarbonisation des bâtiments neufs

Les acteurs du secteur plaident également pour une politique pérenne de soutien à l'offre associée au soutien à la demande pour renforcer l'outil industriel national.La future réglementation environnementale 2020 ambitionne de diminuer l'impact sur le climat des bâtiments neufs en prenant en compte les émissions des bâtiments sur leur cycle de vie dès la construction.Autrement dit, le calcul des émissions de CO2 reposera à la fois sur les émissions produites par le système constructif ET sur les émissions liées aux principaux usages (en particulier le chauffage et l'eau chaude sanitaire).Quels avantages à l'utilisation du bois matériau et du bois énergie ?Du point de vue environnemental, le bois est le matériau de construction qui consomme le moins d'énergie grise. Il est, de plus, jusqu'à 12 fois plus isolant que le béton et permet ainsi de réduire les consommations énergétiques liées au chauffage l'hiver et d'améliorer substantiellement le confort d'été. Ce dernier point constitue, d'ailleurs, un des objectifs que le Gouvernement a assigné au futur texte. Enfin, le bois matériau constitue un stock de carbone sur le long terme qui possède, en fin de vie, diverses voies de valorisation.Concernant le bois énergie, son caractère renouvelable lui confère un avantage carbone essentiel. Souple, économique et local, il contribue au respect de nos objectifs climatiques et à la réduction du déficit de la balance commerciale énergie fortement grevée par les importations d'énergies fossiles.Avec 378 000 emplois équivalent temps plein, la filière forêt - bois génère 25 milliards d'euros de valeur ajoutée. Elle représente, par ailleurs, 12,4% des emplois industriels nationaux1. De son côté, la filière du bois énergie regroupe plus de 50 000 emplois équivalent temps plein2.Vers une réglementation environnementale ambitieuse ?Dans leur communiqué de presse du 14 janvier, les ministres en charge de la règlementation environnementale 2020 ont rappelé leur volonté de dynamiser le recours aux matériaux biosourcés pour les systèmes constructifs et d'encourager la consommation d'énergies décarbonées, notamment la chaleur renouvelable.Les acteurs industriels que nous représentons saluent cette volonté de recourir plus massivement à une ressource, le bois, dont le bilan économique, social et environnemental lui confère une place de premier ordre.Mais, pour accélérer cette dynamique, la profession attire l'attention du Gouvernement sur plusieurs points :Il est essentiel que le contenu carbone des différents matériaux de construction soit scientifiquement objectivé afin d'éviter toute déclaration fantaisiste et que le stockage carbone soit bien pris en compte dans le cadre de la RE2020 ;Un ratio de chaleur renouvelable contraignant et ambitieux doit être mis en place afin de permettre le déploiement des solutions bois énergie à hauteur de nos engagements (38% de chaleur renouvelable en 2030).Quelles propositions pour massifier l'offre nationale ?A côté du soutien stratégique à la demande que constitue la mise en œuvre d'une réglementation environnementale 2020 ambitieuse en termes d'obligations de moyens, la politique de soutien à l'offre reste absolument nécessaire.Avec 95% du bois énergie provenant des forêts françaises et 63% du bois construction, promus comme "Bois de France", l'indépendance nationale est importante. Néanmoins, il est possible d'aller au-delà dans la mesure où le potentiel est loin d'être totalement exploité. C'est pourquoi, dans le cadre du Pacte productif et de son verdissement, il paraît essentiel de porter des mesures de compétitivité pour l'industrie du bois en :Allégeant la fiscalité de production aujourd'hui trois fois plus élevée en France que la moyenne européenne et huit fois supérieure à celle de nos voisins allemands ;Soutenant les investissements productifs tels que le séchage via le Fonds chaleur de l'ADEME ou en réintroduisant une enveloppe budgétaire fléchée vers des installations de cogénération biomasse bien ciblée ;Réintroduisant un dispositif de suramortissement pour moderniser l'outil productif ;Accompagnant les mesures et dispositifs de replantation pour disposer d'un capital de long terme et d'un puits de carbone encore plus efficace ;Promouvant la marque bois de France auprès des donneurs d'ordre publics et privés.Après un épisode sanitaire sans précédent qui a souligné la dépendance de notre pays à des biens importés, il est indispensable de garantir un haut niveau de sécurité d'approvisionnement sur les volets stratégiques des matériaux de construction et des combustibles. Le bois de France est le garant de cette autonomie vitale et constitue un levier de la relance économique.Michel DRUILHE, Président de France Bois Forêt, déclare : « Avec la filière forêt bois, nous disposons d'une ressource nationale dont les usages matériaux et énergie sont particulièrement complémentaires. La réglementation environnementale 2020 et une politique de soutien à l'offre associée peuvent permettre d'accroître le recours à une ressource durable, décarbonée et locale. Si nous réalisons cette ambition, nous disposerons d'un gisement très important, à portée de main, de création de valeur et d'emplois pour notre pays. Nous sommes à même de créer près de 100 000 emplois d'ici 2030 dans les territoires. »1 Source : comité stratégique de filière bois - 20202 Source : étude emplois énergies renouvelables réalisée par EY pour le SER - 2020
Il y a 4 ans et 322 jours

Viega lance une nouvelle plaque de commande de WC sans contact

La nouvelle plaque de commande de WC Visign for Style 25 sensitive se déclenche dès que l'on approche la main à une certaine distance de la fonction de rinçage souhaitée. Ce geste conserve ainsi la distance nécessaire permettant d'éviter le contact avec les bactéries et les virus.La plaque de commande de WC Visign for Style 25 sensitive bénéficie de technologies électroniques haut de gamme éprouvées. Elles permettent un déclenchement sans contact particulièrement confortable, mais également hygiénique. Il suffit de passer la main devant la représentation graphique de la fonction souhaitée pour déclencher le rinçage. La zone plus large représente une chasse d'eau complète, tandis que la zone plus petite permet d'économiser deux, trois ou quatre litres d'eau de rinçage selon le réglage.Une utilisation intuitive même dans l'obscuritéDans cet environnement où l'hygiène est primordiale, il est indispensable d'avoir une utilisation intuitive. Avec Visign for Style 25 sensitive, les points lumineux délicatement positionnés sur la plaque prennent en charge cette fonctionnalité. Ils signalent le déclenchement sans contact de la fonction de rinçage choisie et symbolisent en même temps les zones des commandes respectives. Visign for Style 25 sensitive est recouvert d'une résine luminescente qui se recharge constamment à la lumière naturelle ou artificielle. Elle assure également la fonction de guide dans l'obscurité, si bien qu'il n'est plus forcément nécessaire d'allumer la lumière dans la pièce.Visign for Style 25 sensitive est fabriquée en résine haut de gamme, particulièrement facile à nettoyer grâce à sa surface lisse, sans rainures.
Il y a 4 ans et 322 jours

Un plan de 24 millions d'euros pour rénover quatre résidences universitaires dans le Nord

Situées à la Cité scientifique de Villeneuve d'Ascq, ces quatre résidences étudiantes gérées par le Crous de Lille et regroupant quelque 600 logements doivent être mises aux normes sanitaires et énergétiques."Construites dans les années 1960/70, ces résidences sont particulièrement vétustes. La crise sanitaire, la suspension des cours à l'université et le confinement des étudiants ont souligné cette situation inadmissible", a rappelé le ministère de l'Enseignement supérieur dans un communiqué.Un protocole a été signé vendredi à Lille par les représentants de l'État, de la MEL, du Crous et de l'académie de Lille. La MEL accompagnera l'État dans ce programme de rénovation jusqu'à 12 millions d'euros sur cinq ans, pour une réouverture prévue à la rentrée 2024 et la rentrée 2025.Thierry Bégué, conseiller hébergement de la présidente du Cnous, a salué "une opération emblématique et ambitieuse" car le parc de Villeneuve d'Ascq était "l'un des plus dégradés de France". Le Cnous a investi 40 millions d'euros supplémentaires pour boucler la réhabilitation du parc, pour 1.100 logements supplémentaires, a-t-il également indiqué.En avril, des étudiants interrogés par l'AFP avaient décrit une "situation catastrophique", évoquant notamment "les traces d'humidité, les moisissures", le manque d'isolation, "la saleté, la crasse permanente" et "des cafards partout".
Il y a 4 ans et 322 jours

Placo® et Isover accompagnent les entreprises du bâtiment avec un dispositif de formation à distance

Ils proposent ainsi aux artisans installateurs et prescripteurs de les accompagner pour enrichir leurs connaissances et monter en compétences sur des thématiques liées à leurs métiers. Une série de modules d'e-learning et de webinars en live sont mis à disposition gratuitement depuis le 28 avril prochain. Isolation thermique et acoustique, mise en œuvre dans les règles de l'art, application des réglementations en vigueur..., autant de sujets d'expertise qui n'auront plus de secret pour les plus studieux !Un catalogue de modules d'e-learning…Jusqu'à fin juillet 2020, les professionnels pourront bénéficier d'un accès libre à des modules d'e-learning via le campus digital. Les sujets sont articulés autour de demandes régulières remontant du terrain et de l'assistance technique : cloisons distributives, plafonds non démontables, acoustique en maison individuelle, fondamentaux de l'assurance construction… Les modules, d'une durée de 20 à 40 minutes, s'appuient sur des vidéos, des commentaires audio ou encore des diapositives. À l'issue de la formation, les utilisateurs peuvent tester leurs connaissances grâce à un quizz. L'interactivité restant essentielle, il est possible de participer à un forum de discussion en lien avec le module e-learning pour échanger entre pairs ou avec un formateur expert.…et un programme de webinars en liveLes entreprises et prescripteurs peuvent participer à des webinars portant par exemple sur la correction acoustique, l'aménagement des combles perdus ou les cloisons grandes hauteurs. Programmés dès le 28 avril prochain, ces évènements en ligne, d'environ une heure, seront rythmés par un tchat de questions/réponses. Pouvant accueillir jusqu'à 500 participants, ils seront animés par des experts ou des formateurs des centres de formation Placo® et ISOVER. L'inscription est simple, il suffit de se connecter à la plateforme. Ces webinars seront également accessibles en replay pour ceux n'étant pas disponibles aux rendez-vous en direct.Les programmes ainsi que toutes les informations pratiques seront communiqués via les comptes LinkedIn Placo® et ISOVER France.Répondant aux besoins des entreprises du bâtiment en cette période de confinement, cette démarche illustre la volonté des deux marques de faciliter le quotidien des professionnels. Elle s'inscrit dans la continuité de l'offre de l'organisme de formation Placo® et ISOVER. Chaque année, il forme, à travers tout le territoire, plus de 1500 professionnels (clients, entreprises et négoces), dans les domaines de l'aménagement intérieur et de l'isolation. Toutes ces formations sont certifiées CERTIBAT (QUALIBAT) et éligibles sous certaines conditions aux prises en charge par les OPCO.
Il y a 4 ans et 322 jours

L'importance de l'acoustique dans un bâtiment

Malheureusement, tous les bâtiments et les immeubles de bureaux ne sont pas forcément conçus pour améliorer notre expérience sonore. Puisque le son circule partout autour de nous, le bruit indésirable aussi. Prendre en compte l’acoustique dès le débutPourquoi les architectes, concepteurs et constructeurs devraient prendre en compte l’acoustique dès le premier jour ? Dans les années 1970, des chercheurs étudiant le niveau sonore à New York ont découvert que dans certains bâtiments, le bruit de la circulation était si fort que c’était comme si un aspirateur fonctionnait en continu. Cette pollution sonore impactait les gens jusqu’au huitième étage ! Concevoir pour l’expérience et non pas juste pour l’esthétiquePour comprendre l’importance de concevoir un immeuble en prenant l’expérience utilisateur, imaginez un dirigeant d’entreprise. Que veulent-ils ? Que leurs locaux soient beaux, évidemment. Mais la productivité et la satisfaction des employés occupent également une place de choix. Il est scientifiquement prouvé que le son peut nuire à la productivité des employés. Alors pourquoi il y a tant de bâtiment mal conçu ? D’une part, le budget peut bloquer. Si le budget est limité, l’architecte peut passer outre les problèmes d’acoustiques pour aller à l’essentiel. Il y a aussi le souci d’incompréhension ou de manque de connaissance par rapport à l’importance de l’insonorisation.Si votre immeuble n’a pas été conçu en prenant en compte l’insonorisation, de nombreuses solutions existent pour améliorer l’acoustique et diminuer la pollution sonore dans les bureaux : les mousses acoustiques, des dalles de plafond acoustiques, la moquette, des cloisons séparatrices…Allier esthétique et expérienceLa meilleure façon de résoudre les problématiques d’acoustiques est de commencer par la conception de l’architecture. La disposition des pièces joue un rôle majeur et les surfaces planes peuvent créer des problèmes de réverbération. L’intégration de matériaux insonorisés dans votre conception améliorera l’expérience de la pièce dès le début et élimine le besoin de travaux de rénovation par la suite. Le secteur du bâtiment a parcouru un long chemin au fil des années. Une amélioration majeure constatée est l’augmentation du nombre de bâtiments respectueux de l’environnement. De nombreux constructeurs prennent très au sérieux les matériaux qu’ils utilisent.
Il y a 4 ans et 324 jours

L'aéroport de Bâle-Mulhouse prévoit un effondrement de 80% de son trafic en 2020

Le nombre de passagers transportés devrait chuter à 1,8 million en 2020, contre 9,1 millions l'an dernier, a estimé le directeur de l'EuroAirport, Matthias Suhr.La plate-forme binationale, 5e aéroport régional français et le troisième par la taille de Suisse, avait enregistré l'année passée son neuvième record de fréquentation de suite.Depuis 2011, où il accueillait 5 millions de passagers, son trafic avait presque doublé, porté notamment par l'implantation de la compagnie à bas coûts Easyjet, qui a représenté à elle seule 60% du total de 2019.Le retour aux performances d'avant Covid-19 n'est pas planifié avant trois ans, selon M. Suhr: "Il est certain que ce ne sera pas le cas dès 2021, l'attente porte sur 2023", a-t-il déclaré lors d'un point de presse.En janvier et février 2020, le trafic était resté très proche des niveaux des mêmes mois en 2019, puis il a diminué de près des deux tiers en mars avant de devenir quasi inexistant, selon les statistiques communiquées mercredi.Selon M. Suhr, l'activité va amorcer une "reprise" le 1er juillet, 80 destinations étant mises au programme à cette date, "soit environ 80% du réseau antérieur à la crise", mais avec des fréquences de vols réduites.
Il y a 4 ans et 325 jours

L'effondrement d'un balcon à Angers en 2016 serait bien dû à des malfaçons dans la construction

Ces trois expertises qui viennent d'être remises au juge d'instruction qui les avaient diligentées, confirment l'existence de malfaçons dans la construction de l'immeuble et de ses balcons, selon cette source.Des éléments que confirme le procureur de la République d'Angers: "Les expertises sont formelles, il n'y a pas de défaut d'entretien, mais de construction."Dans la soirée du 15 octobre 2016, 18 jeunes avaient basculé dans le vide lors de l'effondrement du balcon d'un immeuble de la rue Maillé, dans le centre-ville d'Angers.Quatre d'entre eux, trois hommes de 21, 23 et 25 ans, ainsi qu'une jeune fille de 18 ans, avaient été tués.Avec ces nouveaux éléments le juge d'instruction devrait clore l'information judiciaire et communiquer le dossier au procureur afin qu'il prenne ses réquisitions, puis rendre son ordonnance de renvoi pour un procès devant le tribunal correctionnel.Sauf nouvelles demandes d'actes des avocats, le dossier est terminé. "Il est en train de se finir et doit m'être communiqué au plus tard cet été", a confirmé Eric Bouillard, procureur de la République d'Angers.Retardé à cause du confinement, ce dossier est considéré comme "prioritaire" par M. Bouillard. "Il y a une vraie nécessité de répondre aux familles. Il faut aller vite. C'est mon objectif depuis que je suis arrivé", a-t-il expliqué.Le procureur espère toujours la tenue d'un procès début 2021, évoquée en novembre lors d'une réunion destinée aux parties civiles. "On va tout faire pour tenir cet engagement", a ajouté M. Bouillard.Dans ce dossier, cinq personnes sont mises en examen depuis octobre 2018 pour homicides et blessures involontaires: le responsable du cabinet d'architecture Rolland, le dirigeant et deux salariés de l'entreprise de gros œuvre Bonnel, ainsi qu'un chargé d'affaires de l'Apave, l'organisme de contrôle technique de construction.Mercredi, le juge d'instruction a par ailleurs rejeté l'idée de relancer des investigations concernant une éventuelle défaillance dans l'entretien de l'immeuble.Cette demande avait été effectuée quinze jours plus tôt par Me Thierry Fillion et Me Pascal Rouiller, conseils de l'entreprise de gros œuvre. Les avocats estiment qu'un défaut d'entretien est "certain" et qu'écarter cette piste "n'est pas de nature à permettre la totale manifestation de la vérité".
Il y a 4 ans et 325 jours

Une demande LR pour permettre aux départements de soutenir les petites entreprises rejetée par l'Assemblée

Pour affronter la crise, le texte du député Pierre Cordier (LR) proposait de revenir temporairement sur la loi NOTRe de 2015 qui consacre la répartition des compétences des collectivités locales: le champ social pour les départements et l'attractivité économique pour les régions."Donnons aux départements les moyens d'agir directement", a réclamé l'élu de droite, citant le cas de son département des Ardennes, qui a récemment voté la création d'un fonds de 5 millions d'euros de soutiens aux TPE et aux artisans, mais a vu son dispositif retoqué, à la demande de l'Etat.Les entrepreneurs ont besoin de "bénéficier d'un guichet unique", a répondu la ministre de la Cohésion des territoires, Jacqueline Gourault. Et ce sont les régions qui gèrent l'instruction des dossiers des entreprises en difficulté."L'argent public est rare et précieux. Chacun doit comprendre et concentrer l'effort là où il est attendu", pour ne pas "disperser les ressources" ou "doublonner les interventions", a-t-elle argumenté, en soulignant combien les départements étaient "attendus" sur le front social, en pleine crise.Sur le plan économique, "les départements peuvent aussi agir dans certains domaines précis comme l'économie sociale et solidaire", le "tourisme" ou des aides pour les "entreprises agricoles ou la pêche", a-t-elle précisé. Et ils peuvent "participer au fonds de solidarité". Un décret viendra préciser cette possibilité avec une "territorialisation", a ajouté la ministre.De l'extrême droite à la gauche, toutes les oppositions ont soutenu le texte des LR, à l'instar du socialiste David Habib, y voyant du "bon sens" et de la "souplesse", face à une vision "parisienne" et "trop technocratique"
Il y a 4 ans et 325 jours

Le gouvernement veut aider les travailleurs indépendants à redémarrer leur activité

"Le président de la République veut un plan sur les indépendants", a déclaré sur BFMTV/RMC Mme Pannier-Runacher.Les salariés de PSA, de Renault "on les entend" mais "quand un indépendant dépose le bilan on ne l'entend pas alors que ça peut être le premier plan social français, ça peut être des millions de personnes qui déposent le bilan parce qu'il ne sont pas capables de redémarrer", a-t-elle ajouté.Selon les fédérations professionnelles, "30% des commerçants et artisans se demandent s'ils sont capables de passer l'année", a souligné la secrétaire d'État."Nous devons les accompagner avec des mesures fortes", aider notamment les commerçants à "être capables de résister à Amazon" grâce à une "transformation numérique", a-t-elle détaillé.Dans son plan d'urgence pour aider les entreprises face à la crise sanitaire, le gouvernement a notamment mis en place un fonds de solidarité en faveur des très petites entreprises et des indépendants. Il va être abondé de plus de 8 milliards d'euros.
Il y a 4 ans et 325 jours

Olivier Salleron succède à Jacques Chanut à la présidence de la Fédération Française du Bâtiment

Au cours de son intervention, Olivier SALLERON a rappelé sa détermination à donner plus de place au bâtiment dans l'économie nationale et à préparer le futur de la profession. C'est pourquoi, le nouveau président de la FFB a annoncé le lancement des États généraux de la construction. Cet appel à la mobilisation générale s'inscrit dans le cadre d'une nécessaire relance après la crise sanitaire subie de plein fouet.Ce sera aussi l'occasion de matérialiser la relance durable du secteur et d'apporter les réponses structurantes aux grands enjeux qui attendent l'ensemble du bâtiment et de la filière : chantiers du futur, image et attractivité du secteur, recherche de nouveaux gains de compétitivité, valorisation de l'apprentissage, lutte contre toutes les formes de concurrence déloyale, promotion des entreprises autour de l'ensemble des corps de métiers, évolution des compétences, innovation et propositions de la profession dans le cadre de la transformation numérique et de la transition énergétique où le secteur est en première ligne.Pour Olivier SALLERON, président de la FFB : « C'est une grande fierté que de prendre la présidence de la FFB. Avec mon équipe, motivée et déjà pleinement engagée, je consacrerai toute mon énergie et mon action à la promotion et la représentation des 50 000 artisans et entrepreneurs adhérents de la fédération. Nous allons répondre aux défis immenses qui nous attendent. Le lancement d'un plan massif de rénovation énergétique des bâtiments en est une première illustration, au même titre que la nécessité d'accompagner la rénovation ou la construction d'un million de logements par an sur tout le territoire. L'emploi et la dynamique territoriale seront au cœur de mon engagement pour conserver toutes ses lettres de noblesse à notre profession et faire reconnaître, à son juste niveau, la contribution essentielle de notre secteur à la vie économique et sociale de la France ».Olivier SALLERON a constitué son équipe :Conseil des Régions : Patrick RAMÉConseil des Professions : Franck PERRAUDCommission Développement des compétences : Marie DUPUIS-COURTESConseil de l'Artisanat : Henry BRINConseil National de la Sous-traitance du Bâtiment et Commission Marchés : Christophe POSSÉMÉCommission Sociale : Anthony LAUDATJeunes dirigeants et Communication : Marie-Ange GAY-RAMOSCommission Économique : Samuel MINOTCommission Transition écologique : Jean PASSINIFemmes dirigeantes : Valérie COPINCommission Innovation et Transition numérique : Emmanuel GRAVIERCommission Stratégie et prospective : Édouard BASTIENDéveloppement : Frédéric CARRÉTrésorier : Jacques BLANCHETPar ailleurs, Patrick RAMÉ, Franck PERRAUD, Marie DUPUIS-COURTES, Henry BRIN, Anthony LAUDAT et Daniel RIGOUT sont nommés vice-présidents.
Il y a 4 ans et 325 jours

Les français veulent s'éloigner des grandes villes

La crise du coranavirus a touché et confiné 67 millions de français, obligés de rester chez eux du 13 Mars au 11 Mai 2020 puis en déconfinement progressif jusqu'à ce jour. Les familles avec enfants, les célibataires et les personnes âgées ont dû s'habituer à rester au sein de leur logement pendant plus de 2 mois et n'ont plus du tout les mêmes envies après cette crise sanitaire sans précédent. Pendant la crise, PAP.fr, l'acteur qui réalise le plus de transactions sur le marché de l'ancien en France avec plus de 9 millions de visites par mois sur son site (Chiffres Médiamétrie) et des centaines de milliers d'annonces publiées chaque année, avait constaté une explosion du nombre de recherches de biens en Grande Couronne et en province sur certains départements mais ne savait pas si ces tendances allaient se poursuivre après le confinement. C'est pourquoi, PAP.fr a mené une étude sur les recherches réalisées sur son site du 11 au 25 Mai 2020 par rapport à la même période en 2019 et les résultats surprenants, renforcent ces nouvelles aspirations.Est-ce l'avènement du télétravail qui permet aux français d'envisager une autre manière de vivre ? Est-ce les frustrations du confinement qui leur donnent envie d'espaces plus grands mais plus loin ? Ils veulent vivre mieux, quitte à être plus éloignés de leur lieu de travail.1/ Un volume d'acheteurs en nette progression : +38%Les français sont plus nombreux qu'en mai 2019 à vouloir acheter un bien !Sur les 2 premières semaines de déconfinement, PAP.fr a constaté +38% d'acheteurs potentiels par rapport aux mêmes semaines de l'année dernière.PAP.fr a même connu un record historique de trafic le lundi 25 Mai 2020 avec 410.000 visites (c'est la 1ère fois que PAP.fr dépasse le seuil des 400.000 visites en une journée), en plus de 40 ans !* Résultat d'une étude menée par PAP.fr sur les recherches réalisées sur son site du 11 au 25 mai 2020 par rapport au 11 au 25 mai 20192/ La recherche de biens en Ile-de-France explose... sauf à Paris !Tous les départements d'Ile-de-France connaissent une forte hausse de recherches : de +15% pour les Hauts-de-Seine à +112% pour la Seine-et-Marne.La tendance d'envie de Grande Couronne se confirme nettement, et Paris reste le dernier département en baisse avec -12% par rapport à la même période en 2019.Les franciliens rêvent d'espace, de jardin et cherchent des biens avec ce potentiel, quitte à être plus éloignés de leur lieu de travail. L'avènement et la poursuite du télétravail leur permettra peut-être de se rendre à leur bureau que 2 ou 3 jours par semaine et de pouvoir profiter ainsi d'un cadre de vie plus agréable.3/ Une très forte progression des recherches sur les départements limitrophes des plus grandes métropoles françaises !Les départements autour de l'Ile-de-France, comme l'Eure et le Loiret, font une nette percée, ce sont certainement des franciliens qui envisagent de vivre dans un département autour de l'Ile-de-France.Les départements propices aux résidences secondaires sont toujours présents, mais ils ne sont désormais plus les seuls en haut du classement.Mais surtout, d'autres départements français sont désormais extrêmement recherchés, 2 fois plus que l'année dernière !Comme par exemple, l'Ain, avec +117%, pour les lyonnais en manque de verdure ou de biens plus grands ; le Pas-de-Calais et le Nord pour les Lillois ou certains franciliens, tentés de venir travailler à Paris 1 ou 2 jours par semaine en train ou à la recherche d'une maison de campagne ; l'Yonne pour les franciliens travaillant dans le sud de l'Ile-de-France ou comme résidences secondaires mais aussi les Alpes de Haute Provence, la Drôme, les Landes, la Savoie, le Loiret, les Pyrénées-Atlantiques, la Haute-Savoie, l'Isère, le Calvados, la Dordogne....la ruée vers des maisons ou biens spacieux, aérés et à la campagne est bel est bien là !
Il y a 4 ans et 325 jours

Ewpe Smart : l'appli pour Vitoclima

Il y a 4 ans et 325 jours

Vinci va construire pour 850 Millions d'euros le futur siège de Total à la Défense

La filiale immobilière de l'assureur Groupama "lance avec Vinci la construction de The Link, futur siège de Total à Paris La Défense", ont annoncé dans un communiqué commun les trois groupes, ainsi que l'organisme public qui gère la Défense.Groupama, qui est le promoteur du projet immobilier, et Vinci, qui gérera sa construction, ont précisé à l'AFP qu'il s'agissait d'un contrat de 850 millions d'euros pour le second.Plus largement, le chantier représente un milliard d'euros d'investissements."Les travaux et les aménagements sont prévus pour une durée de 5 ans, à l'issue de laquelle Total prendra livraison de l'immeuble et sera locataire de The Link pour 12 ans renouvelables", précisent les groupes.Total avait annoncé en 2017 son intention de rester à la Défense pour son nouveau siège. Actuellement, le géant de l'énergie occupe les tours Coupole et Michelet qui sont vieillissantes.Le nouveau site réunira deux tours, l'une de 228 mètres et l'autre de 165 mètres, par des passerelles végétalisées. Le projet, qui représente 130.000 mètres carrés d'espaces, a été conçu par l'architecte Philippe Chiambaretta."Nous souhaitons construire avec Vinci une tour de nouvelle génération avec ses deux bâtiments reliés par des passerelles: les +links+", a déclaré le patron de Groupama, Thierry Martel, cité dans le communiqué."Le maintien de ce projet dans la période inédite que nous connaissons constitue un choix fort de confiance en l'avenir", a-t-il conclu, en référence à la crise sanitaire et économique du coronavirus.
Il y a 4 ans et 325 jours

La "jouissance privative" n'est pas la propriété

L'habitant d'un rez-de-chaussée qui entendait construire dans le jardin, partie commune à sa disposition, devait demander l'autorisation à la copropriété même s'il a l'usage exclusif des lieux, a confirmé la Cour de cassation.Ce n'est pas parce que l'on est seul utilisateur que l'on peut se comporter en propriétaire et apporter des modifications importantes, a expliqué la Cour.En copropriété, il faut donc une autorisation de l'assemblée générale des copropriétaires qui ont parfaitement le droit de refuser et d'exiger la démolition de ce qui aurait été fait sans leur accord.Le copropriétaire en cause invoquait la loi de 1965 qui organise la vie en copropriété et qui dispose que "sont privatives les parties des bâtiments et des terrains réservées à l'usage exclusif d'un copropriétaire déterminé". Il ajoutait que son acte d'achat mentionnait bien un appartement en rez-de-chaussée "avec jouissance privative d'une parcelle" à usage de jardin.Cet habitant en concluait que, propriétaire ou non, il pouvait user du jardin comme de toute partie privative lui appartenant, et notamment sans demander l'autorisation ou l'avis de quiconque. Mais les juges n'ont pas cautionné ce raisonnement. L'attribution d'un droit d'usage exclusif ne modifie pas la propriété, ont-ils expliqué.(Cass. Civ 3, 23.1.2020, U 18-24.676).
Il y a 4 ans et 325 jours

18 organisations appellent à une politique énergétique plus cohérente dans le bâtiment

Face à ces constats, les mesures proposées par le gouvernement pour le bâtiment conduisent à une électrification massive des usages thermiques sans chercher forcément à réduire significativement les niveaux de consommation lors des rénovations, ni à recourir abondamment à la chaleur renouvelable. Cette stratégie risque de s'accompagner d'une augmentation de la précarité des ménages par la hausse des factures de chauffage, d'une disparition importante d'emplois, et de l'abandon d'un mix énergétique diversifié conduisant de manière équilibrée à une décarbonation beaucoup plus résiliente aux aléas futurs inévitables.Dans une lettre ouverte au Premier ministre publiée le 9 juin, 18 organisations appellent les pouvoirs publics à revoir d'urgence cette stratégie aux conséquences graves et irréversibles, en revenant sur les arbitrages de cette réforme qu'elles jugent dangereuse et inappropriée au regard des objectifs environnementaux que la France doit atteindre. Elles souhaitent qu'une réelle concertation soit mise en place et proposent dans ce cadre la réalisation, en substitution de cette réforme, d'un grand programme de rénovation à très haute efficacité recourant massivement aux sources de chaleur renouvelables et aux pompes à chaleur performantes.La lettre disponible en suivant le lien : https://www.soutiens.online/, est ouverte à des signatures complémentaires.