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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Batinfo

(31865 résultats)
Il y a 4 ans et 308 jours

GBH (distribution) et NGE (BTP) obtiennent des prêts garantis par l'État

Ces deux prêts sont garantis à hauteur de 80% par l'État et correspondent au volet de mesures annoncées par le gouvernement pour soutenir les entreprises frappées par la crise du coronavirus.Les six prêts accordés à GBH et qui atteignent un total de 115 millions concernent ses six sociétés, Automobiles Réunion SN, Cotrans Automobile SAS, Cama, Société guadeloupéenne de distribution moderne, Martinique Automobiles SN et Guyane Automobile SAS.Face au confinement et à l'arrêt brutal de l'économie, le gouvernement a annoncé le 23 mars la mise en place de prêts garantis par l'État (PGE) aux entreprises, pour un montant total pouvant atteindre 300 milliards d'euros.Ces prêts sont garantis à 90% pour la plupart des entreprises et à 70% ou 80% pour les grands groupes.Début juin, le directeur général de la banque publique d'investissement (Bpifrance) Nicolas Dufourcq indiquait que près de 500.000 entreprises avaient déjà bénéficié d'un PGE pour un total de 85 milliards d'euros.
Il y a 4 ans et 308 jours

Le store latéral Ely de Bat adapté pour toute solution d'intimité

L'offre BAT reflète cette double âme avec des produits qui d'une part vous permettent de créer des environnements dédiés à la détente, d'autre part ils offrent de nouveaux espaces à utiliser pour étendre leur potentiel commercial.ELY est un nouveau store latéral capable de répondre aux besoins contemporains des restaurants, hôtels, hôtels de charme et autres environnements contractuels pour augmenter les espaces pouvant être utilisés par les clients en toute sécurité ou pour moderniser l'espace extérieur de leurs locaux.Il s'agit en fait d'un store à ouverture latéral qui peut être combiné en couleur et en tissu, qui est utilisé comme "séparateur" pour créer des zones distinctes. Parfait à la fois lorsque vous voulez plus d'intimité et pour les grands espaces extérieurs publics où vous souhaitez délimiter des zones spécifiques.Grâce à sa structure linéaire, sa facilité de montage et sa conception minimale, ELY est la solution idéale qui combine les besoins de protection solaire avec ceux de mobilier d'extérieur. Extrêmement simple à installer, ELY est un système d'obscurcissement modulaire caractérisé par une conception linéaire et compacte, également grâce au nouveau coffre symétrique et au nouveau profil de support.La poignée est très pratique et peut être installée frontalement ou latéralement, tandis que la roue de guidage rend la manipulation simple et sûre. Jusqu'à quatre rideaux peuvent être connectés au poteau central pour diviser l'espace en autant de secteurs.De cette façon, les espaces extérieurs peuvent être optimisés et redistribués : en s'appuyant sur la fiabilité de BAT, les restaurateurs et les hôteliers peuvent être assurés et les clients vivent une expérience d'accueil de haut niveau, en toute sécurité.Une fois de plus, le Groupe BAT est confirmé comme le partenaire idéal pour ceux qui privilégient le design et le bien-être des clients. De cette façon, les opérateurs du secteur CHR sont garantis de pouvoir travailler avec plus de continuité et un double avantage : en termes de prestige de l'emplacement et avec plus de places disponibles.Caractéristiques techniques :Facilité d'installationPoignée frontal ou latérale, simple ou doubleRoue de guidage sous le terminal pour un meilleur glissementCoffre symétrique
Il y a 4 ans et 308 jours

Une entreprise du BTP de la Marne condamnée pour homicide involontaire

Le parquet avait requis 20.000 euros d'amende contre l'entreprise Pieux Ouest, experte en fondations spéciales, qui, interrogée par l'AFP vendredi, ne savait pas encore si elle ferait appel ou non de ce jugement rendu mercredi."Les poursuites devant le tribunal avaient été engagées par le parquet estimant que l'employeur avait commis une faute caractérisée en ne mettant pas à la disposition des ouvriers un équipement de travail conforme aux règles de sécurité, en n'établissant pas de mode opératoire adapté (...) alors que les risques professionnels au démontage d'une foreuse étaient importants et connus de l'entreprise, et en omettant de dispenser à ses travailleurs des formations adaptées", a expliqué à l'AFP la procureure de Châlons, Ombeline Mahuzier.La victime, âgée de 53 ans, avait eu la tête broyée entre un bras dépliant et un engin de chantier alors que, malgré le protocole établi, l'homme ne se trouvait pas du bon côté d'une foreuse pendant son démontage. L'ouvrier ne portait pas de casque au moment de l'accident.C'est pourquoi, durant l'audience du 27 mai, la défense de la société, filiale du groupe Spie-Batignoles depuis 2019, avait rejeté une partie de la responsabilité de l'accident sur le chef de chantier et le salarié lui-même."La victime avait en effet commis une faute qui n'était pas toutefois la seule cause de l'accident", précise Mme Mahuzier.
Il y a 4 ans et 308 jours

Un ouvrier du BTP meurt dans une carrière de calcaire

La victime était en arrêt cardio-respiratoire à l'arrivée des pompiers, alertés vers 7h10, qui n'ont pas pu la sauver malgré les soins prodigués.Selon les gendarmes, le pneu d'un engin de chantier, de 10 mètres de long, servant à l'excavation, a explosé et a mortellement atteint la victime."Le salarié menait une opération de maintenance classique sur un pneumatique de support d'installation. Une violente et brutale perte de pression due à une raison encore inconnue a projeté le salarié", a expliqué dans un communiqué l'entreprise, qui a mis en place une cellule psychologique "pour accompagner ses collègues".Les carrières du Boulonnais appartiennent au groupe CB, qui produit des matériaux destinés à l'industrie (sidérurgie, chaux, sucre, verre, alimentation animale...), au bâtiment (béton prêt-à-l'emploi, préfabrication) et aux travaux publics.Une enquête a été ouverte par la gendarmerie de Marquise.
Il y a 4 ans et 308 jours

Dépenses accrues, recettes en berne et prévisions révisées : les chiffres du nouveau budget

Chute de 11% du PIBCe nouveau projet de loi de finances rectificative table sur un recul de 11% du PIB en 2020, au lieu de 8% auparavant, soit la plus forte récession de la France depuis 1945.Cette prévision tient compte d'un redémarrage de l'économie seulement "progressif", explique-t-on à Bercy.Il s'agit d'une estimation "prudente", selon le Haut Conseil des finances publiques (HCFP).Dette au plus hautAvec les dépenses supplémentaires pour soutenir l'économie et la récession record, le déficit public va se creuser à 11,4% du PIB, contre 3% l'an dernier, anticipe le gouvernement.La dette publique devrait s'envoler à 120,9% du PIB, alors qu'elle avait atteint 98,1% l'an dernier. La France figure ainsi parmi les pays européens les plus endettés.460 milliards de soutienLe gouvernement a désormais prévu près de 136 milliards d'euros de mesures de soutien à l'économie, contre 110 milliards prévus à la fin avril. Cela fait 57 milliards d'euros de dépenses budgétaires exceptionnelles depuis le début de la crise, le reste étant notamment des reports de charges.À cela s'ajoutent près de 327 milliards de garanties (crédits, export, etc.) accordées par l'État.Au total, le gouvernement a mobilisé 460 milliards d'euros, soit "21% de la richesse nationale", selon le ministre de l'Économie Bruno Le Maire.45 milliards pour les secteurs sinistrésDans le détail, le gouvernement va débloquer 45 milliards d'euros pour soutenir les secteurs les plus touchés par la crise, a indiqué M. Le Maire. Ce montant recouvre des mesures budgétaires et un soutien à la trésorerie des entreprises.Le tourisme bénéficiera de 18 milliards d'euros. Cette somme englobe lesmesures de chômage partiel, les prêts garantis par l'État, près de 3 milliards d'euros d'exonérations sociales ou encore les reports d'impôts.L'industrie automobile profitera de 8 milliards. Outre l'aide au chômage partiel et les emprunts garantis, ce montant inclut un milliard d'euros pour soutenir la demande de véhicules et un milliard pour encourager les investissements pour produire les voitures hybrides et électriques en France.L'État consacrera 15 milliards d'euros à l'industrie aéronautique et au transport aérien, dont 7 milliards de prêts accordés à Air France-KLM.Le gouvernement va aussi dédier 600 millions d'euros supplémentaires aux start-up technologiques, en créant notamment un fonds d'investissement. Des mesures sont aussi prévues pour les secteurs de la culture et du BTP. Chômage partiel: 5 milliards supplémentairesAu total, ce projet de budget comprendra environ 13 milliards d'euros de crédits budgétaires supplémentaires.Le dispositif de chômage partiel, dont une partie est prise en charge par l'Unédic, sera doté de 5 milliards d'euros de plus par rapport aux 25 milliards déjà prévus. Ce sou t rectifié.L'impôt sur les sociétés devrait notamment rapporter 13 milliards de moins que ce qui était prévu dans le précédent budget rectifié, et désormais plus de 32 milliards de moins que ce qui était anticipé dans le budget initial adopté fin 2019. Les recettes de TVA devraient encore plonger de 8,5 milliards par rapport au précédent budget rectifié, soit un manque à gagner d'un peu moins de 20 milliards par rapport à ce qui était anticipé dans le budget initial. En revanche, le gouvernement n'anticipe aucun impact à ce stade sur l'impôt sur le revenu.La dépense publique va s'élever à 63,6% du PIB à la fin de l'année du fait des mesures de soutien.Tendance baissière de l'inflationDans ses prévisions, le gouvernement a également pris en compte une "tendance à la baisse des perspectives d'inflation", avec une estimation "de l'ordre de 0,4%" pour l'année 2020 en France.
Il y a 4 ans et 308 jours

Convention climat : Macron retient 146 propositions et annonce 15 milliards d'euros pour la conversion écologique

Pour Emmanuel Macron, "le temps est venu d'agir", sur les 149 propositions formulées, 146 sont retenues et seront transmises soit au Gouvernement, soit au Parlement, soit au peuple français. Il annonce également débloquer 15 milliards d'euros sur deux ans et promet une mise en œuvre rapide.15 milliards pour la conversion écologiqueDevant les citoyens de la Convention pour le climat, Emmanuel Macron a déclaré que « L'État prendra toute sa part: 15 milliards d'euros supplémentaires sur deux ans seront injectés pour la conversion écologique de notre économie », promettant la mise en place d'un « fonds de transformation écologique de notre économie dans le plan de relance » pour notamment « investir dans les transports propres, rénover nos bâtiments » et « inventer les industries de demain ».Une mise en œuvre rapideLes premières mesures qui relèvent du champ réglementaire, seront étudiées lors d'un prochain conseil des ministres restreint, baptisé pour l'occasion conseil de défense écologique.D'autres mesures seront intégrées au plan de relance économique écologique et sociale, soumis au parlement dès la fin de l'été.Pour finir un projet de loi spécifique sera présenté à la fin de l'été, il intégrera l'ensemble des mesures qui relèvent du champs législatif.Pour arriver à une mise en œuvre rapide, des groupes de travail seront formés pour une collaboration étroite avec le gouvernement et le parlement.Le gouvernement réunira également les associations d'élus pour discuter de l'ensemble des propositions qui concernent les collectivités locales.Les 3 propositions rejetéesEmmanuel Macron a retenu presque toutes les propositions formulées par la Convention climat à l’exception de trois :Non à une taxe de 4% sur les dividendes, qui découragerait l'investissement selon le PrésidentRefus de la limitation de la vitesse à 110 km/h sur les autoroutes, car pour Emmanuel Macron « La transition écologique ne doit pas se faire au détriment des communes, des régions les plus enclavées »La proposition de récrire le préambule de la Constitution en plaçant l'environnement au-dessus des autres valeurs fondamentales a également été rejetée par le chef de l’État
Il y a 4 ans et 308 jours

Les architectes appuient les propositions des citoyens de la Convention climat

Les propositions sont "dans la ligne de celles que le Conseil a porté auprès du gouvernement, lors du grand débat national, ou plus récemment auprès des maires", souligne-t-il dans un communiqué."Construire et rénover avec le meilleur bilan écologique est possible, que cela soit lors du chantier et pendant la vie du bâtiment, en utilisant des matériaux sains, biosourcés, et en circuit court", estime le conseil de la profession, alors que les besoins de logements restent toujours très importants en France.Les architectes se prononcent pour l'arrêt de "l'artificialisation des sols". La convention citoyenne, estiment-ils, "insiste à juste titre sur la nécessité de réinvestir les friches et les zones commerciales obsolètes des entrées de ville", soit "des centaines de milliers d'hectares artificialisés et mono-fonctionnels".Parmi ses propositions, remises au gouvernement, les 150 membres de la Convention citoyenne plaident notamment pour une rénovation énergétique obligatoire des bâtiments d'ici à 2040, avec un système progressif de prêts et subventions, remboursés par les économies réalisées. Le secteur du logement et du bâtiment représente de l'ordre de 20% des émissions de gaz à effet de serre en France.Aborder la question de la rénovation des bâtiments "uniquement par le volet énergétique est un frein", juge pour sa part le Conseil de l'Ordre des architectes, pour qui "la conception, en neuf comme en rénovation, doit prendre en compte tous les paramètres de la qualité d'usage, le fonctionnement, la valeur patrimoniale, l'adaptabilité de l'habitat aux transformations de la structure familiale et au choc climatique, et évidemment les volets santé et énergie".
Il y a 4 ans et 308 jours

FGH-V Galeria, la fenêtre balcon qui allie esthétisme, simplicité et sécurité

La fenêtre FGH-V Galeria se transforme en balcon lorsque les deux vantaux sont ouverts. La partie supérieure s’ouvre par projection vers le haut, alors que la partie inférieure s’ouvre par projection vers l’avant, créant ainsi un balcon. Le châssis supérieur peut basculer jusqu’à 45° et peut être maintenu à l’aide d’un mécanisme innovant permettant de le laisser dans la position souhaitée.Lors de l’ouverture, les barrières de sécurité latérales coulissent et s’intègrent dans le châssis inférieur et lors de la fermeture, les rails du balcon se cachent à l'intérieur de la fenêtre et ne sont visibles qu’au-dessus de la surface du toit. Ceux-ci ne collectent ainsi pas la saleté et ne gâchent pas l'esthétique de la toiture. Une fois le balcon ouvert, les rails sont toujours secs et propres, ce qui contribue à un fonctionnement fluide.La fenêtre-balcon Galeria assure le plus haut niveau de sécurité. Le système TopSafe offre une sécurité de fonctionnement et permet de résister aux effractions. Le format standard de la fenêtre est équipé d’un triple vitrage isolant avec un verre intérieur laminé et anti-effraction classé P2A. En cas de dommage, les morceaux de verre restent collés au film pour éliminer toute risque d’accident. Le vitrage est équipé d'un verre externe trempé offrant une garantie à vie contre la grêle.Un autre élément important de la fenêtre Galeria est son entrée d'air automatique V40P. Grâce à une zone de conduit réglable, elle fournit la quantité d'air optimale qui garantit un microclimat sain la pièce et assure des économies d'énergie.Référence chantier :Richmond, Êtats-UnisUn nouvel immeuble au centre-ville de Richmond, en Virginie aux États-Unis, propose des appartements luxueux dans les combles. L'excellent confort de vie a été garanti par installation des fenêtres de toit FAKRO Galeria. Les grandes tailles de fenêtres offrent une large vue de l'extérieur, ce qui donne une sensation d'espace et de contact avec l'environnement.
Il y a 4 ans et 308 jours

L'État "indifférent" à la reconversion de Fessenheim selon un député LR

"L'enjeu politique pour le gouvernement, ce fut la fermeture de Fessenheim. Pour ce qui est de la suite, l'État est indifférent", a déploré le député devant la presse à Colmar, à l'issue d'une visite de la centrale par une délégation de cinq députés de la mission d'information qu'il préside.M. Schellenberger a pointé les "contradictions criantes" de l'État. Le préfet du Haut-Rhin, avec lequel la délégation s'est entretenue lundi, "trouve que pas assez de projets innovants viennent du territoire", or des élus rencontrés le même jour ont rappelé les "projets innovants" autour de l'hydrogène "dix fois présentés, et dix fois écartés", a fait valoir le député."Les collectivités locales, elles, ont fait ce qu'elles avaient à faire", a-t-il assuré.La mission d'information s'est rendue à Fessenheim à une semaine de l'arrêt définitif du second réacteur de la centrale, prévu le 30 juin, étape décisive avant une longue phase de démantèlement.Sa délégation n'a toutefois pas pu visiter les installations nucléaires proprement dites, la direction du site ayant fait valoir la "tension sociale et humaine" à l'approche de cette échéance, a rapporté M. Schellenberger. "Je le comprends", a-t-il réagi.Constituée en février dernier, la mission d'information de l'Assemblée nationale relative au suivi de la fermeture de la centrale est chargée pendant un an de mener des visites de terrain et des auditions de représentants d'EDF, de l'État, des syndicats ou encore des associations anti-nucléaires.Les auditions déjà conduites ont mis en évidence "un manque d'engagement et d'intérêt de l'État", a insisté M. Schellenberger dans un texte remis à la presse lundi.Le député a cité "le projet de technocentre (site-pilote pour le démantèlement de centrales nucléaires) désapprouvé puis finalement soutenu avec prudence par la ministre (de la Transition écologique) Elisabeth Borne", les questions fiscales longtemps en suspens, ou "le peu, 10 millions d'euros, dont bénéficie le territoire" au regard des 400 millions d'euros minimum d'indemnités versées à EDF.
Il y a 4 ans et 308 jours

Le chantier du Tram T13 Express

Il y a 4 ans et 309 jours

Retour d'expérience sur l'utilisation de Rockfleece B Energy de Rockwool

Une alternative mêlant qualité et durabilité « Notre choix de passer sur un système soudable est basé sur la qualité et la durabilité dans le temps »Rockfleece B Energy est constitué d’un parement en voile de verre et permet de faire du soudé en plein. Utilisé en épaisseur de 140 mm sur ce chantier bâtiment neuf de 950 m2 à destination d’une enseigne de distribution de matériaux, le panneau isolant apporte, selon Hervé Soubeyrand, « une meilleure adhérence sur le complexe d’étanchéité final tout en limitant le nombre de fixations sur la toiture ». C’est justement pour ces raisons que Sleico, qui oriente son offre vers des solutions techniques durables et soudées en plein, a été curieuse d’essayer ce nouvel isolant.Conséquence : une diminution des poinçonnements avec l’usage ultérieur – tels que ceux résultant de la circulation sur les toitures – qui assure ainsi la pérennité de l’installation au fil du temps. Le produit est d’ailleurs assujetti à une garantie de 25 ans. « C'est un très bon rapport qualité prix et un bon système d'étanchéité »L’utilisation du soudé en plein permet également de se passer du recours à des systèmes renforcés généralement bien plus onéreux. Le produit présente donc un double avantage pour les étancheurs : tout en présentant un « retour dans le temps bien meilleur qu’un système bicouche basique » et donc une très bonne qualité du système d’étanchéité, ce panneau isolant garde le coût abordable d’un soudable. Des conditions de travail améliorées pour une meilleures productivitéBasé sur un voile de verre et non plus sur un bitume, Rockfleece B Energy facilite le travail des poseurs. En effet, cette nouvelle solution de soudé en plein rend la découpe du produit plus simple, d’autant qu’elle ne pollue pas les outils lors de la manipulation. Il en résulte une amélioration des conditions de travail sur les chantiers et, par extension, une amélioration notable de la productivité pour la société d’étanchéité. Elle apporte en plus une solution en lambda 0,036 pour les technologies soudées en plein ce qui réduit l’épaisseur et le poids des panneaux vis-à-vis des panneaux revêtus bitumes classiques.Découvrez le reportage sur le chantier et les explications de Michel Soria, chef de produit supports d'étanchéité et isolants bardage Rockwool en vidéo
Il y a 4 ans et 309 jours

Covid-19 : Cemex accompagne au mieux les acteurs du BTP grâce à son offre « Construire autrement »

Cette offre s'articule autour de trois volets : la protection des hommes, la relation clients et l'apport de solutions concrètes pour faire face aux nouvelles contraintes rencontrées par les entreprises de construction sur les chantiers, comme par exemple, limiter les manipulations, faciliter la distanciation physique ou encore rattraper les retards accumulés durant la période de confinement. « Maintenir l'activité de l'industrie de la construction est crucial, aussi bien pour l'économie française que pour la lutte sanitaire », indique Jean-Marie Modica, directeur matériaux France Sud. « Le secteur crée des infrastructures et des aménagements essentiels comme des établissements de santé ; CEMEX souhaite contribuer à cet effort en proposant des solutions facilitatrices à ses clients », ajoute-t-il.Protéger les hommesGrâce à l'élaboration de protocoles stricts de santé et sécurité spécifiques et à la sensibilisation de ses collaborateurs, CEMEX garantit la fourniture de matériaux de construction en toute sécurité, que ce soit lors de l'enlèvement des matériaux sur les sites CEMEX ou lors de la livraison et mise en œuvre des matériaux sur chantier. Par ailleurs, fort de son savoir-faire et de son dispositif industriel dédié à la fabrication d'adjuvants, CEMEX Admixtures a, dès le début de la crise sanitaire, adapté ses chaînes de production pour produire une solution hydroalcoolique que CEMEX commercialise à prix coûtant auprès de ses clients.Maintenir le lien à distance« Les équipes CEMEX se sont mobilisées pour analyser quelles solutions digitales pouvaient être mises en œuvre afin de faciliter les activités de nos clients en télétravail ou sur les chantiers sur lesquels la distanciation doit être assurée », indique Stéphanie Godicheau, responsable commerce digital. La plateforme digitale CEMEX Go est un outil pratique, rapide et sûr. Grâce à cette plateforme, les clients commandent leurs matériaux, suivent les livraisons, accèdent aux bons de livraison et factures depuis leur ordinateur ou téléphone, le tout à distance. Le contact physique est ainsi réduit au maximum.Améliorer la productivité des chantiersAvec son offre produits, CEMEX apporte un soutien précieux quant à la gestion des chantiers. La gamme evolution® des bétons autoplaçants diminue le nombre d'interventions humaines lors du coulage, les chapes fluides optimisent le temps de travail et les bétons fibrés suppriment la manipulation d'armatures. Hydratium® remplace les opérations habituelles de cure du béton tandis que les granulats en big bags limitent les manipulations et optimisent l'espace sur les chantiers. Les bétons Promptis®, CXB® Rapide et CXB® Accéléré permettent quant à eux de gagner en temps et en efficacité.Par ailleurs, la flotte des matériels de livraison CEMEX est adaptée aux contraintes inhérentes aux chantiers : accessibilité en hauteur, éloignement du point de coulage... En plus de la productivité, les pompes, malaxeurs-pompes et malaxeurs-tapis améliorent également la sécurité des équipes sur site et facilitent la mise en œuvre du béton.
Il y a 4 ans et 309 jours

Projet de PSE pour les 70 salariés d'une usine de mâts d'éoliennes en Picardie

Basée en Picardie depuis 2012, l'entreprise "a le regret d'annoncer qu'elle ne dispose pas de nouvelles commandes et de projets en vue pour le second semestre 2020", a-t-elle affirmé dans un communiqué."La demande de mâts en béton connait une baisse générale. En effet, la production de mâts en béton est essentiellement destinée aux éoliennes de grande hauteur dont le rythme de croissance escompté est en deçà des prévisions en France", a-t-elle ajouté.Wec Mâts Béton "se mobilise activement pour étudier les conditions de poursuite de ses activités, notamment par la recherche d'un repreneur, et trouver des solutions socialement responsables pour ses 70 employés".Le plan de sauvegarde de l'emploi, qui doit encore être homologué par la Direccte (Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi), a été ouvert le 18 juin, a précisé l'entreprise qui continue "d'honorer les commandes engagées".
Il y a 4 ans et 309 jours

Les panneaux Rexolatte d'Unilin Insulation coiffent l'écosystème Darwin à Bordeaux

Partiellement réhabilitée sous l'impulsion d'un maître d'œuvre privé, cette zone de près de 20.000 m² est composée de bâtiments datant du XIXème siècle qui accueillent une multitude d'activités.Pour la rénovation complexe de la toiture d'un des bâtiments devant recevoir des bureaux en open-space à l'étage, les panneaux Rexolatte avec une sous-face acoustique noire perforée d'UNILIN Insulation ont été retenus pour leurs qualités thermiques, acoustiques et leur rapidité de pose.DARWIN, un écosystème où il fait bon travailler ou se détendreA la fois espace de travail et de détente, DARWIN est né sous l'impulsion d'un entrepreneur visionnaire, sur la friche de la caserne militaire Niel et des Magasins Généraux située sur les berges de la rive droite de Bordeaux. Cet écosystème unique, tourné vers l'entrepreneuriat responsable et la transition écologique, accueille des entreprises, des restaurants, une épicerie bio, des associations et un skatepark mais aussi des espaces dédiés au street-art.Rexolatte, des panneaux de toiture aux multiples avantages adaptés aux contraintes du chantierAfin de rénover la toiture de 2700 m² d'un des bâtiments de DARWIN déjà en exploitation au rez-de-chaussée et destiné à recevoir des bureaux en open-space à l'étage, l'entreprise de charpente MCE Perchalec a recommandé l'utilisation des panneaux Rexolatte. Composés de laine de roche à forte densité, ils bénéficient de qualités thermiques et acoustiques et leur mise en œuvre est simple et rapide.« Les murs étant en pierre de 60 cm d'épaisseur, les panneaux de toiture devaient bénéficier d'une résistance thermique élevée pour compenser l'absence d'isolation. Nous avons ainsi proposé Rexolatte avec une sous-face acoustique perforée en finition noire (Fibralux FR Black) teintée dans la masse, développée en partenariat avec UNILIN Panels pour ce chantier. Cette version décorative de la sous-face a tout de suite plu au client. Conformes aux exigences en matière d'incendie pour les ERP (classification B-s2-d0), les panneaux Rexolatte sont tout à fait adaptés à cette réhabilitation de bâtiment qui doit recevoir du public », explique Alexandre KATSELIS, conducteur de travaux de l'entreprise MCE Perchalec.Compte tenu des contraintes techniques du chantier, les panneaux Rexolatte de 4,60 m de long sont posés perpendiculairement au sens de la pente de la charpente métallique que souhaitait conserver le propriétaire.Permettant d'atteindre des portées importantes entre appui, ils reposent sur les fermes métalliques de la charpente. Au total, ce sont plus de 700 panneaux de 80 cm de large qui ont été mis en œuvre par 4 personnes sur le chantier.Entreprise de Charpente : MCE PERCHALEC, Blanquefort (33)
Il y a 4 ans et 310 jours

Santé au travail : l'Assemblée vote une résolution symbolique, en attendant une loi

"Cette résolution est un préalable à une proposition de loi que nous souhaitons présenter d'ici la fin d'année", a redit la députée LREM Charlotte Lecocq, qui s'était déjà exprimée sur le sujet mi-juin.La ministre du Travail Muriel Pénicaud a souligné le lien avec l'épidémie du coronavirus, qui a donné une "acuité" et une "omniprésence inédite" à cet "enjeu de société"."Il faut améliorer la santé au travail significativement et installer au quotidien une culture de la prévention", a-t-elle insisté.Dans la résolution votée lundi, les marcheurs déplorent que "la santé au travail, tout comme la santé scolaire, soit encore l'un des parents pauvres des politiques de santé publique".Ils s'engagent à une réforme pour "doter la France d'un système d'acteurs de santé au travail plus efficace et tourné vers la prévention des risques professionnels".La députée du Nord Charlotte Lecocq (LREM) a assuré que la proposition de loi serait construite "en articulation étroite avec les négociations rouvertes" lundi dernier par "les partenaires sociaux". Les discussions sur ce sujet avaient échoué jusqu'ici.L'opposition a globalement jugé inutile la résolution, "des intentions, sans propositions concrètes", selon le LR Stéphane Viry, et une résolution "bavarde" et qui n'a "pas de plus-value", aux yeux du socialiste Alain David.La députée LFI Mathilde Panot a reproché à la majorité le rejet d'une proposition de loi LFI sur le burn-out en février 2018.Les partenaires sociaux ont repris lundi dernier les discussions. En février dernier, la reprise des négociations, six mois après un constat de désaccord, avait été interrompue par le confinement.La santé au travail a fait l'objet de deux rapports en 2018 et 2019 de Charlotte Lecocq.Sa proposition de confier la gestion des financements à l'Urssaf avait provoqué une levée de bouclier du Medef. Les partenaires sociaux craignaient une "étatisation" du système, avec la création préconisée d'une structure unique "France Santé Travail" sous tutelle des ministères du Travail et de la Santé.
Il y a 4 ans et 310 jours

Une mère et ses deux enfants tués dans l'effondrement d'un bâtiment en Italie

La corniche, longue de près de 70 mètres, d'un ancien bâtiment industriel s'est effondrée soudainement sur la chaussée, ont indiqué ces agences.Une mère âgée de 38 ans se trouvait là avec deux de ses enfants de 15 mois et 5 ans, tous les trois ont été écrasés. La femme, d'origine marocaine, et son garçon de cinq ans sont morts sur le coup, tandis que le bébé, une petite fille, est morte peu après son évacuation à l'hôpital, a précisé l'agence Ansa.La scène s'est déroulée sous les yeux du frère aîné, âgé de neuf ans, qui se trouvait de l'autre côté de la route et a échappé à la chute de l'amas de briques et de pierres. Une passante de 42 ans a également été blessée.L'extraction des corps des victimes a pris plusieurs heures.L'incident a eu lieu dans la petite localité d'Albizzate, en périphérie nord-ouest de Milan en Lombardie. Le ministère public a ouvert une enquête pour meurtre et homicide involontaire.L'édifice concerné, sans étage, abritait autrefois une entreprise textile et accueille actuellement plusieurs commerces. Toute la zone a été bouclée et un bâtiment "jumeau", où se trouve un supermarché, a été fermé.
Il y a 4 ans et 311 jours

Les "Extatiques", exposition d'art contemporain à l'air libre

C'est "une autre manière de voir la vie, l'architecture, les espaces", avec "un prisme différent", celui des artistes, résume Fabrice Bousteau, le commissaire de l'exposition.Intitulée Rien à Voir, l'exposition dévoile une vingtaine d'œuvres en plein air, en accès libre. Elles ont pour la plupart été conçues spécialement pour l'événement dans le but de "créer un dialogue inédit avec l'environnement"."Moi je milite (...) pour mettre les œuvres d'art dans l'espace public parce que c'est gratuit, donc c'est le meilleur accès démocratique et ça crée une surprise du quotidien", a expliqué à l'AFP M.Bousteau.Parmi les œuvres présentées à la Seine Musicale, "Méandre", d'Elsa Sahal, perchée au cœur de l'île Seguin et dont les courbes et les formes font écho à celles du fleuve qu'elle domine."C'est une sorte de monstre sorti de l'eau accompagné d'une flore sous-marine qui est représentée par ces éléments en céramique, sur lesquels on peut s'assoir et méditer sur le lien entre l'homme et la nature, le lien qu'on a avec l'eau et le monde sous-marin" raconte l'artiste.D'autres œuvres, comme "Le jour où les fleurs ont gelé", de Julie C. Fortier, ou "Screwd Harmonies" de Matteo Nasini, offrent une expérience sensorielle au visiteur, mettant respectivement l'accent sur l'odorat et l'écoute.A La Défense, le visiteur peut déambuler et découvrir les œuvres une à une sur l'Esplanade. Au bout du circuit, l'obélisque d'Iván Argote forme une arche dont la pointe s'étale lourdement sur le sol."L'obélisque, pour moi, est un symbole de force et de pouvoir. Je voulais lui enlever toute cette masculinité et la laisser à terre", explique l'artiste colombien dont l'œuvre est située, non sans symbole, au cœur du quartier d'affaire et dans le même axe que celle qui trône sur la place de la Concorde.
Il y a 4 ans et 311 jours

Un homme condamné à 2 ans de prison ferme dans l'affaire de l'attribution du marché du "Pentagone français"

Au centre du procès qui a eu lieu fin janvier: l'attribution en février 2011 de ce marché de plus de 3,5 milliards d'euros - un partenariat public-privé - à un consortium mené par Bouygues. L'enquête avait démarré en 2010 après un signalement anonyme.L'homme d'affaires Karim Aïssa a été condamné par le tribunal correctionnel de Paris à quatre ans de prison dont deux ans avec sursis, ainsi qu'à une amende de 50.000 euros. Le tribunal l'a de plus interdit de gérer une entreprise.Le parquet avait requis contre cet homme qualifié par le procureur de "professionnel de la corruption" une peine de quatre années d'emprisonnement et de 200.000 euros d'amende."C'est une rare photographie de la corruption", avait estimé le procureur. Karim Aïssa offrait notamment des places de spectacles, invitait à Roland-Garros, promettait rémunération, reconversion de carrière afin d'obtenir des informations sur des procédures d'appel d'offre, avait-il décrit. Son objectif était de négocier ces informations avec les candidats aux appels d'offre.Aux côtés de Karim Aïssa était jugé un ancien militaire, Fabrice Couderc, qui avait dérobé des documents confidentiels. Comparaissant pour "favoritisme" et "corruption passive", il a été condamné à trois ans de prison avec sursis et une interdiction d'exercer un emploi public pour cinq ans. Le parquet avait requis contre lui une peine de deux années d'emprisonnement dont un an avec sursis et 50.000 euros d'amende.Karim Aïssa était entré en contact avec Fabrice Couderc, capitaine de l'armée de terre, qui travaillait alors à la Direction mémoire patrimoine archives (DMPA), qui traitait de l'ensemble de l'immobilier de la Défense. Karim Aïssa lui aurait promis en échange de documents une somme d'environ 80.000 euros, mais aucune contrepartie financière n'a été versée.L'ancien militaire affirme de son côté avoir transmis seulement des informations et des documents d'ordre général, comme des brochures explicatives sur la finalité du projet.Le parquet national financier (PNF) avait demandé un procès pour un haut responsable de Bouygues, mais celui-ci avait bénéficié d'un non-lieu du juge d'instruction. Selon ce magistrat, "il n'a pas été possible d'établir un lien entre les informations contenues dans les documents détenus par Karim Aïssa et les améliorations apportées à Bouygues dans son offre finale".
Il y a 4 ans et 311 jours

Le secteur de la rénovation énergétique s'engage

Les partenaires s'engagent ainsi à :Poursuivre le développement de la plateforme Pass'Réno HabitatCréée en 2015 par l'ALEC-MVE elle met en relation les particuliers et le réseau de professionnels RGE locaux pour la réalisation de travaux énergétiques.Promouvoir et défendre le marché métropolitain de la rénovation énergétiqueUne coopération qui s'exprimera par des actions de communication communes (interventions conjointes lors d'événements, collaborations techniques ou partages d'expériences).« Le marché de la rénovation énergétique est une opportunité exceptionnelle de développement qui offre de véritables perspectives pour les nombreux métiers de la construction » souligne Jean-Luc Tuffier, Président de la FFB Grand Paris.« Le partenariat avec l'ALEC-MVE est une opportunité pour massifier les opérations de rénovation énergétique sur le territoire métropolitain. » ajoute Bertrand Demenois, Président de Rénovactif.« S'appuyer sur le partenariat de la FFB Grand Paris, permettra à Pass'Réno Habitat de mobiliser davantage de professionnels du bâtiment autour de la rénovation énergétique et favoriser ainsi une réelle dynamique locale entre les propriétaires prêts à s'engager et les entreprises » indique Mireille Alphonse, Présidente de l'ALEC-MVE.
Il y a 4 ans et 311 jours

Le Sénat présente 170 mesures pour relancer l'économie française

Le plan présenté par la commission des affaires économiques du Sénat se veut une « boîte à outils » concrète qui vise, au-delà de la préservation de l'activité, à renouer avec une croissance plus résiliente, plus compétitive et plus sobre en carbone.Ce plan de relance est décliné en sept volets sectoriels consacrés à l'agriculture, aux PME, au commerce et à l'artisanat, à l'industrie, au numérique, au tourisme et au logement, volets issus des sept cellules sectorielles de veille de contrôle et d'anticipation de la commission.« La France passe dans le vert pour ce qui est de la crise sanitaire, mais l'économie entre dans le rouge ; il faut réagir et changer de braquet, la France est plus impactée que les autres économies européennes. En Allemagne, la récession est beaucoup moins forte. Elle a mieux géré la crise et dispose d'une capacité de relance budgétaire plus importante » a souligné Sophie Primas, présidente de la commission des affaires économiques.Convaincue « que c'est en gagnant des marchés que les entreprises françaises créeront de l'emploi, que c'est en investissant dans la transition énergétique et numérique que nous préparerons l'avenir », elle a indiqué que l'objectif de ce plan est « non seulement d'éviter la catastrophe économique et sociale qui se profile, mais de moderniser l'économie française, de faire de cette sortie de crise une opportunité ».Ce plan se fixe quatre objectifs : approfondir la construction européenne pour peser dans la mondialisation, améliorer la compétitivité des entreprises françaises, diversifier les chaînes d'approvisionnement et relocaliser certains centres de production stratégiques, et faire de la transition énergétique le levier de la reprise.Ce plan de relance se distingue par sa méthode, aussi bien en ce qui concerne son élaboration, qui est issue des nombreux retours de terrain et d'une approche pluraliste associant toutes les sensibilités du Sénat, que par sa mise en œuvre, qui suppose une rupture avec le centralisme administratif et politique français et un approfondissement de la décentralisation.Sophie Primas a déclaré : « La période du confinement a été un moment d'hypercentralisation, nous appelons de nos vœux une relance partenariale avec l'Europe d'un côté et les collectivités territoriales de l'autre ; la relance, c'est aussi la relance de la construction européenne et de la décentralisation ».Les 170 mesures issues des plans sectoriels sont regroupées autour de dix orientations concrètes qui comportent aussi bien des mesures de relance de l'investissement que de la consommation ciblées sur les secteurs en difficulté, des propositions portant notamment sur la réforme des impôts de production, la participation, l'insertion des jeunes, la réforme de l'État et la simplification administrative.Ce plan de relance propose également des réformes ambitieuses des politiques de l'Union européenne, aussi bien en matière de politique commerciale que de politique industrielle, d'harmonisation fiscale et sociale avec notamment la promotion d'un mécanisme d'ajustement carbone aux frontières extérieures.Le rapport de la commission des affaires économiques du Sénat, qui comporte plus de 720 pages, se veut une contribution ambitieuse et lucide aux débats sur la relance de l'économie française dans le monde de l'après-crise. Pour aller plus loin : Voir les 170 mesures du plan de relance
Il y a 4 ans et 311 jours

Élection de 7 nouveaux administrateurs nationaux pour la CAPEB et départ de Patrick Liébus

Outre l'examen et l'adoption des questions statutaires, les délégations ont procédé aux votes des 9 postes d'administrateurs venant à échéance. Ainsi le Conseil d'administration national accueille 7 nouveaux administrateurs. Ce Conseil renouvelé se réunira les 2 et 3 juillet pour élire le président national. Patrick Liébus ne se représentant pas au poste d'administrateur national, il tenait ce jour sa dernière Assemblée générale, clôturant ainsi dix années à la présidence nationale. Jusqu'à la réunion du prochain Conseil d'administration de juillet, la présidence nationale sera assurée par intérim par le Premier Vice-Président Jean-Christophe Repon.Les 7 nouveaux élus au sein du Conseil d'administration de la CAPEB nationale :Thierry TOFFOLI :Élu administrateur national au titre de la présidence de l'Union Nationale Artisanale Maçonnerie-Carrelage pour un mandat de trois ans, il succède à Dominique Métayer. Son entreprise de carrelage située en Haute Garonne emploie 2 salariés. A l'assemblée générale de la CAPEB d'avril 2015, il avait été élu administrateur confédéral. Conseiller professionnel de l'UNA MC depuis 2000, il est membre de commissions de normalisation DTU et groupes spécialisés au CSTB, relatifs à la pose de revêtement céramique.Sylvain FORNES :Élu administrateur national au titre de la présidence de l'Union Nationale Artisanale Peinture Vitrerie Revêtement, il succède à Jean-Jacques Chatelain. A la tête de son EURL de trois personnes dans le Rhône, ce Maître Artisan propose en activité principale des travaux de peinture, plâtrerie, faux plafonds, ITE et ITI sont ses activités secondaires. Très investi, il a présidé la CAPEB Rhône et Grand Lyon pendant 9 ans et a été conseiller professionnel de l'UNA qu'il préside aujourd'hui.Jean Pierre RICHARD :Élu administrateur national au titre de la 7ème circonscription élective, il est artisan électricien depuis 2006 dans l'Yonne à Moneteau. Il a adhéré à la CAPEB de son département en 2007 dont il est élu président en 2013. Également administrateur de l'U2P de l'Yonne depuis 2013, il est élu à la Chambre de Métiers et de l'Artisanat de l'Yonne et de la région depuis 2010.Nathalie BERGERE :Élue administratrice nationale, elle est co-gérante d'une entreprise de plomberie-chauffage-électricité créée en 2010, employant 5 salariés. Adhérente de la CAPEB de la Mayenne, elle s'est rapidement engagée au bénéfice de la commission départementale puis nationale des femmes d'artisans, en qualité de conseillère de la présidente. Laure VIAL :Élue administratrice nationale, elle est gestionnaire d'une entreprise artisanale de plomberie-chauffage créée en 2003 et employant 2 salariés. Adhérente à la CAPEB des Alpes de Haute-Provence depuis cette date, elle est élue à la présidence de la CAPEB Alpes-Durance, regroupant les deux départements avec les Hautes Alpes. Membre de la Chambre de métiers de son département, elle est élue présidente de la CMA des Alpes de Haute Provence.Vincent DEJOIE :Élu administrateur national, il dirige une entreprise artisanale de peinture, créée en 1985, employant 31 salariés dans les côtes d'Armor. Adhérant à la CAPEB de son département en 1985, il est élu administrateur puis la préside de 2013 à 2019 avant d'être porté, tout récemment, à la présidence de la CAPEB Bretagne.Laurent MARMONIER :Élu administrateur national, il dirige une entreprise artisanale de maçonnerie tournée vers la restauration du bâti ancien et vers l'amélioration thermique, qui emploie 2 salariés. A la création de son entreprise, il adhère à la CAPEB de l'Isère en 1999. Engagé en faveur de la politique professionnelle, il est nommé conseiller professionnel de l'UNA MC en 2014Liste alphabétique complète du Conseil d'Administration :(Nom, prénom, département, commune d'implantation de l'entreprise, métier)En rouge : nouvellement élu / En bleu : rééluBASILI Sabine > Ain (01120 Thil)Conjointe associée : Plomberie-Chauffage-ClimatisationVice-Présidente confédéraleBEAUDONNAT Cécile > Puy-de-Dôme (63210 Vernines)Conjoint collaborateur : Charpente CouverturePrésidente de la CNFABELLANGER Christophe > Maine et Loire (49000 Angers)ÉlectricienPdt de l’UNA Équipement Électrique et ÉlectrodomotiqueBERGERE Nathalie > Mayenne (53320 Loiron Ruille)Co-gérante entreprise de plomberie-chauffage-électricitéBOUNHOL Patrick > Aveyron (12120 Arvieu)Couvreur-ZingueurBROCHU Michel > Loire-Atlantique (44810 Heric)Charpentier-MenuisierCHATRAS Gilles > Puy-de-Dôme (63830 Nohanent)Plâtrier Peintre DécorateurSecrétaire confédéral adjointDEJOIE Vincent > Côte d’Armor (22490 Pleslin Trigavou)PeintreDESMEDT Jean-Marc > Côte-d'Or (21200 Ste Marie la Blanche)MenuisierPrésident de l'UNA Charpente-Menuiserie-AgencementDUMON Michel > Gironde (33330 St Etienne de Lisse)Menuisier CharpentierTrésorier confédéral adjointFORNES Sylvain > Rhône (69250 Montanay)PeintrePdt de l’UNA Peinture-Vitrerie-RevêtementsGASPAR Dominique > Meuse (55800 Revigny-sur-Ornain)MenuisierHADJIPANAYOTOU Antony > Hauts-de-Seine (92140 Clamart)Plombier ChauffagisteLABAT Jean-Yves > Landes (40180 Saugnac et Cambran)Plâtrier Pdt de l'UNA Métiers et Techniques du Plâtre et de l'IsolationLE DEVEHAT Éric > Ille-et-Vilaine (35600 Redon)Tailleur de pierrePdt de l’UNA Métiers de la PierreMARMONIER Laurent > Isère (38140 Poliénas)MaçonMATHIEU Francis > Creuse (23300 St Agnant de Versillat)Couvreur Charpentier ZingueurMORALES David > Haute-Garonne (31160 Encausse les Thermes)Plaquiste PlâtrierOLIVET Gilbert > Hérault (34000 Montpellier)Serrurier MétallierPdt de l’UNA Serrurerie-MétalleriePOSTEL Corine > Yvelines (78270 Chaufour les Bonnières)Conjointe collaboratrice (Couvreur)Trésorière confédéraleQUÉNET Albert > Finistère (29710 Ploneis)PeintreRANCUREL Jean-Claude > Vaucluse (84150 Violes)Plombier-ChauffagistePrésident de l’UNA Couverture-Plomberie-ChauffageRAVON Thierry > Charente (16430 Balzac)CarreleurREPON Jean-Christophe > Var (83000 Toulon)Électricien1er Vice-Président confédéralRICHARD Jean-Pierre > Yonne (89470 Moneteau)ÉlectricienTOFFOLI Thierry > Haute-Garonne (31840 Aussonne)CarreleurPdt de l’UNA Maçonnerie-CarrelageVIAL Laure > Alpes de Haute-Provence (04870 Saint-Michel l’Observatoire)Gestionnaire entreprise de plomberie-chauffageVIALATTE Tony > Eure (27930 Brosville)Couvreur
Il y a 4 ans et 311 jours

Le vélo progresse fortement en centre-ville mais baisse presque partout ailleurs

Ces derniers mois, les contraintes liées au coronavirus ont amené beaucoup de citadins à enfourcher une bicyclette pour aller au boulot.Et nombre de candidats aux municipales ont vanté les vertus environnementales de ce mode de transport. Sans "plan vélo", mâtiné d'"urbanisme tactique" depuis le déconfinement, impossible de faire campagne dans les grandes villes...Rejoindre son lieu de travail à coups de pédale reste un phénomène "très urbain": en 2015, à l'échelle nationale, il ne concernait que 1,9% des actifs ayant un emploi, selon l'Insee. Contre 6% à Lyon et de 12% à 16% à Bordeaux, Grenoble ou Strasbourg - agglomération la plus cyclable de France.La forte progression de la pratique en centre-ville est "un trompe-l'œil qui cache une baisse presque partout ailleurs ces dix dernières années", nuance une vaste étude sur les usages du vélo en France, publiée en avril sous l'égide de l'Ademe et de la Direction générale des entreprises.Cette "fracture territoriale majeure" en recoupe une autre, d'ordre social: "ceux qui refont du vélo, ce sont surtout les cadres et professions intermédiaires, alors qu'avant c'étaient les ouvriers et les employés", souligne Francis Papon, chercheur à l'Institut français des sciences et technologies des transports (Ifsttar).Des années 30 à l'après-guerre, on pouvait voir en effet des flots de cyclistes sortir chaque jour des usines, en région parisienne comme dans les grandes cités de province. Puis vint l'ère de la "bagnole".En 1958, le constructeur de camions Berliet, qui employait 12.000 personnes à Vénissieux, aux portes de Lyon, avait déjà réduit "des trois-quarts" ses abris à bicyclettes et son patron anticipait "une extension rapide et considérable des quatre roues". Il ne croyait pas si bien dire."Essaimer"Soixante ans plus tard, à quelques hectomètres de là, la Société d'équipement et d'aménagement du Rhône et de Lyon (SERL) réindustrialise une friche de 11 hectares, voisine de gros axes routiers mais très bien reliée aux transports en commun. L'occasion rêvée d'un site sans parking ?L'idée a séduit... tant que les entreprises accueillies fonctionnaient en mode start-up: leurs dirigeants venaient à vélo ou en trottinette électrique. "Mais il a fallu se rendre à l'évidence: en phase de production, leurs opérateurs viendraient de plus loin en voiture", raconte Audrey Delaloy, qui pilote le projet.Au-delà des périphériques, les aménagements cyclables font souvent défaut, surtout de banlieue à banlieue. Le nombre des adeptes s'en ressent: plus de 5.500 Lyonnais (soit 1,1% de la population) ont participé en 2019 au "Baromètre des villes cyclables", contre seulement une soixantaine de personnes à Vaulx-en-Velin (0,1%) par exemple.Dans cette commune, "des axes importants restent dépourvus de tout aménagement", constate Pierre Crepel, un militant du vélo qui y habite depuis 30 ans. "Des gens disent qu'ils s'y mettraient bien mais que c'est trop dangereux et qu'il y a trop de vols. Et que la voiture reste plus commode."Joseph d'Halluin, secrétaire général de la Fédération française des usagers de la bicyclette (FUB), veut croire que "ce n'est pas une fatalité: en faisant du vélo un sujet des municipales, on espère que ça va essaimer au-delà des coeurs de ville".L'assistance électrique permettant d'allonger les distances, "les marges de progression sont fabuleuses en première et deuxième couronnes", abonde Nicolas Frasie, administrateur de "La Ville à Vélo".Pour augmenter la part modale du cycle dans l'agglomération à 20% en 2030 - contre 3% en 2015 - cette association lyonnaise réclame notamment un "réseau express" reliant 30 communes de la Métropole et ses points névralgiques.Des structures proposent des séances de vélo-école en périphérie pour inciter à s'y mettre en selle. Comme Janus France, dont le local d'Oullins est installé dans un quartier enclavé par une voie rapide et le Rhône.De là, seul un pont surchargé de voitures, doté récemment d'un couloir malaisé pour les cyclistes, permet de rejoindre le centre de Lyon. "Alors qu'une passerelle dédiée donnerait beaucoup plus envie d'y aller à vélo", estime le fondateur de l'association, Rodrigue Yao Ogoubi.
Il y a 4 ans et 312 jours

Les valeurs sûres d'Alkern pour un aménagement extérieur assurément réussi

Outre la carte de l'esthétique, rappelons de plus que la pierre reconstituée s'avère le matériau le plus adapté à la réalisation de bassins aux formes compliquées notamment arrondies (à l'opposé des rectangles actuels), qu'elle ne gèle pas et se veut très facile d'entretien. Un segment rénovation de bassin qui se développe d'ailleurs très fortement actuellement et qu'ALKERN accompagne en proposant des références aux différentes formes, accompagnées de margelles coordonnées.Ghisa et Volcanik, la sélection ALKERN pour apporter à la maison un caractère exceptionnelGhisa, l'effet martelé d’inspiration industrielle : Très appréciée depuis son lancement, la gamme Ghisa s’inspire ouvertement de l’esprit industriel pour revêtir un effet martelé des plus modernes et raffinés. Disponible en dimensions 75 x 45 cm et épaisseurs de 2,5 ou 3,5 cm, la dalle en pierre reconstituée Ghisa s’avère ingélive, comme l’ensemble des références ALKERN et se veut aussi facile d’entretien. Elle est proposée en différentes finitions : le très chic et urbain métal, en traditionnel ton pierre ou encore en élégant gris nuancé. Précisons aussi que l'offre Ghisa se complète de solutions de margelles coordonnées aux dalles, pour pousser l’esprit urbain jusqu’au moindre détail au bord de la piscine et revendiquer une belle unité de style. Prix public indicatif à partir de 46 € HT du m² pour les dalles ton pierre.Volcanik, la dalle aspect pierre de lave polie grand format : Devant le succès de références régionales, ALKERN a décidé de proposer sur l'ensemble du territoire ses dalles Volcanik. D'un aspect pierre de lave polie, la dalle Volcanik complète judicieusement son offre de solutions grands formats ALKERN à l’aspect structuré et naturel. S'inscrivant parfaitement dans la tendance actuelle des grandes dimensions accentuant la sensation d'espace, Volcanik joue pourtant la carte du minimalisme et de la naturalité pour réussir assurément la création d'espaces aux ambiances pures et ressourçantes. Volcanik est déclinée en dimensions de 75 cm de long x 45 cm de large x 3,5 cm d'épaisseur et en deux coloris : Gris ou Sable. Prix public indicatif à partir de 44 € HT du m².Premier fabricant indépendant de produits préfabriqués en béton en France, ALKERN emploie environ 1.200 collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires d’environ 200 millions d’euros. Le Groupe s’appuie sur une cinquantaine de sites de production de produits béton avec une présence sur les secteurs du bâtiment, de l’aménagement extérieur et des travaux publics.
Il y a 4 ans et 312 jours

Des techniques de pointe mises en œuvre pour la nouvelle centrale électrique de Landivisiau

En l'absence d'implantation de centrales nucléaires, la Bretagne est fortement dépendante des régions voisines pour couvrir sa consommation en électricité. Ainsi, la Bretagne importe plus de 80% de l'électricité qu'elle consomme.Rendre la Bretagne énergétiquement plus indépendanteUne centrale à cycle combiné au gaz naturel est une installation thermique produisant de l'électricité par la combinaison d'une turbine alimentée en gaz naturel et d'une turbine à vapeur. Cette technologie permet de répondre aux besoins de soutien du réseau électrique et correspond en matière de puissance nécessaire (422 MW) et de critères de disponibilité tels qu'identifiés par le Pacte électrique breton et la PPI (Programmation Pluriannuelle des Investissements de production d'électricité).Sous le contrôle de la Compagnie Electrique de Bretagne, propriétaire de la centrale, Siemens a la responsabilité de l'ingénierie, la fourniture et la construction de cette centrale électrique à cycle combiné ainsi que de son exploitation pendant 20 ans à compter de sa mise en service prévue pendant l'hiver 2021-2022.3 entités engagées avec des savoir-faire pluriels3 entités du groupe Spie batignolles réalisent cette opération divisée en deux projets distincts baptisés « Main Civil Work package » et « Design & Construct buildings package ».« Main Civil Work package », réalisé par Spie batignolles génie civil et Spie batignolles valérian, concerne tous les travaux de génie civil, de fondations, de terrassement, de VRD, de voiries, ainsi que la création d'un radier particulièrement technique.Spie batignolles valérian a notamment réalisé les terrassements pour les fondations d'ouvrages, les substitutions sous-fondations, les tranchées pour l'enfouissement des réseaux techniques, les assainissements et les chaussées.Les équipes de Spie batignolles disposent d'un délai court de 21 mois pour la réalisation de ce marché « Main Civil Work Package » portant sur un montant de 25 millions d'euros TTC.« Design & construct buildings package », confié aux équipes de Spie batignolles grand-ouest, correspond à un marché de conception/construction d'un bâtiment constitué de 3 parties.La livraison de ce bâtiment est prévue pour mars 2021 mais les équipes devront mettre à disposition de Siemens d'ici là des premiers espaces dans le cadre de livraisons intermédiaires.1.000 m3 de radier réalisés en moins de 24h avec des tests préalables sur le béton employéQuelques jours avant le début du confinement, les équipes de Spie batignolles génie civil et de Spie batignolles valérian ont réalisé un radier de près de 1.000 m3, correspondant au bétonnage de la partie inférieure du massif turbine.Le cahier des charges de Siemens imposait que le cœur de cet ouvrage ne dépasse pas la température de 65°C et conserve une température homogène dans son ensemble, avec un écart maximum de 20°C entre le cœur de l'ouvrage et sa surface. La température du béton frais devait être comprise entre 5 et 30°C.En effet, à sa mise en œuvre, un radier va naturellement réagir en se réchauffant. Les équipes avaient donc pour consigne de limiter cette prise de chauffe le plus possible, étant exempt de toute reprise de bétonnage.Spie batignolles génie civil a fait le choix d'un béton standard constitué de ciment de haut-fourneau (CEM III) affichant de lentes réactions. Avant d'être appliqué, les équipes ont procédé à un test sur un autre massif situé à proximité, pour s'assurer de la maîtrise d'élévation de la température du béton.Pour ce faire, le béton, provenant de la centrale à béton, a été coulé en une fois sur une seule journée dans un délai conforme aux mesures de rhéologie du béton. Les équipes disposaient d'un délai de 90 minutes pour la mise en place du béton et son compactage, incluant le temps de trajet. Il a été appliqué à l'aide de deux pompes à béton d'une capacité minimale de 60m3/h avec un coulage par couches de 40 cm d'épaisseur.La technique de coffrage de ce radier a également fait l'objet d'un essai préalable. Il s'agit de la solution FRAMAX de Doka. Tous les coffrages ont été habillés avec deux types d'isolants : avec des panneaux de 10 cm de polystyrène en périphérie et avec, simplement de la paille pour la partie supérieure. L'isolation permet d'éviter la déperdition de chaleur, la fuite de laitance et le maintien des températures lors des phases de réaction du béton.Cette technique, régulièrement usitée par Siemens sur d'autres centrales, était imposée dans le cahier des charges ; Spie batignolles restant décisionnaire du choix d'isolants à privilégier.La pose des coffrages a été réalisée avec une grue à tour encore jamais utilisée en France.Composée de câble en fibre, en lieu et place de l'acier, elle offre de vrais atouts comme celui de maximiser la sécurité des équipes sur place, de permettre une plus grande productivité, d'être peu énergivore et de nécessiter peu d'entretien.3 sondes de température ont été mises en place à différents niveaux de l'ouvrage, comportant respectivement 3 capteurs placés à 30 cm du haut, 30 cm du bas et au milieu.Un relevé de température a été effectué juste avant le confinement, dès que le radier a été coulé, puis jusqu'à 3 semaines après le coulage, signifiant une température maximale de 50 à 52°C.Les coffrages ont été laissés en place tout au long du confinement, avec un massif complètement isolé. Une surveillance a été nécessaire pendant toute la période du confinement pour s'assurer que la partie supérieure soit toujours humidifiée. Pour ce faire, les équipes ont installé 1 couche de géotextile entre chaque isolant puis ont réalisé une cure à l'eau de façon régulière pour y déposer une fine pellicule d'eau.Ces travaux ont nécessité l'intervention d'un chef de chantier, d'un géomètre, de conducteurs d'engins qualifiés, de coffreurs et manœuvres qualifiés.La géologie du site et les délais de réalisation mentionnés au cahier des charges du client ont constitué les autres enjeux de cette opération.Le terrain étant constitué de granits, les équipes ont employé des engins particuliers pour les travaux de terrassement.Réalisation du triptyque« Le triptyque » est le nom qui a été attribué par Siemens au bâtiment à réaliser dans le cadre du marché de conception/construction confié à Spie batignolles grand-ouest, pour un montant de près de 9 millions d'euros TTC. Spie batignolles, intervient sur les travaux de gros œuvre et de corps d'état.Le bâtiment accueille 3 espaces distincts : le bureau usine intégrant une salle de contrôle, un atelier ainsi qu'une zone technique avec notamment un laboratoire et une salle de traitement des eaux.Spie batignolles grand-ouest a dépêché une organisation spécifique sur ce projet, avec un responsable design et un responsable production, intégrés au sein d'une équipe dédiée de Siemens. Le principal enjeu de cette réalisation concerne la bonne intégration de la règlementation en vigueur en France dans la conception et la réalisation des bâtiments, ceux-ci ayant été initialement conçus selon des standards anglo-saxons internationaux.
Il y a 4 ans et 312 jours

Le CSTB lance sa nouvelle newsletters d'information gratuite : « Solutions & Performances »

Enjeux du marché, actualité sectorielle, tendances et innovations, éclairage technico-règlementaire, témoignages d'acteurs, etc., chaque mois, cette lettre proposera une information pédagogique sur un secteur en particulier. Pour le 1er numéro, à paraître le 2 juillet, c'est le très dynamique secteur des Menuiseries extérieures, et plus particulièrement des fenêtres, qui sera à l'honneur.La lettre « Solutions & Performances », nouvelle lettre d'information du CSTBRépondant toujours plus aux enjeux des transitions environnementale, énergétique et aux exigences en hausse des usagers, les produits et systèmes constructifs sont de plus en plus complexes et innovants. De nouvelles et nombreuses solutions sont ainsi développées et proposées sur le marché.Avec la lettre mensuelle « Solutions & Performances », pensée pour permettre à tous les corps de métiers de trouver le niveau d'information qui correspond à leurs attentes, le CSTB mettra en lumière ces tendances et nouveautés.Établissement public au service de l'innovation dans le bâtiment, fort de son expertise transversale et pluridisciplinaire, le CSTB souhaite, avec cette nouvelle lettre d'information, partager ses connaissances du marché, de la règlementation et valoriser la reconnaissance de la qualité des produits et des systèmes constructifs.Chaque mois, une partie d'ouvrage mise à l'honneurPour une lecture facilitée, chaque édition de la lettre « Solutions & Performances » sera dédiée à une partie d'ouvrage - avec un code couleur associé -, explorée à travers différentes rubriques :« Enjeux » dresse un état des lieux du marché pour les professionnels, mais aussi en termes d'attentes et de besoins des usagers ;« Actualités » fait un focus sur les nouveautés technico-règlementaires ;« Tendances » met en lumière une performance spécifique, avec une mise en avant des acteurs engagés sur ce sujet ;« Malfaçons », les malfaçons et écueils les plus souvent rencontrés et les solutions et méthodes pour les éviter ;À découvrir également, les rubriques « Parole d'expert », « Innovations », « Certificats », « Formations », etc.,Maîtrise d'ouvrage, maîtrise d'œuvre (entreprises, artisans, installateurs...), économistes, négoce, GSB, etc. : tous les acteurs de la construction pourront ainsi s'immerger dans l'univers de la partie d'ouvrage traitée, s'informer sur les tendances et nouveautés de ces marchés et approfondir leurs connaissances du secteur sur les plans technique, règlementaire et prospectif.Un 1er numéro dédié aux Menuiseries extérieuresDe plus en plus techniques, performantes et innovantes, maillon essentiel des performances demandées au bâtiment, notamment dans le domaine de la rénovation, les Menuiseries extérieures seront à l'honneur dans le 1er numéro de la lettre « Solutions & Performances », à paraître le 2 juillet.Au sommaire notamment :« Enjeux » : le marché des Fenêtres, les tendances, les innovations et les attentes des usagers ;« Actualités » : que va changer la règlementation environnementale pour le secteur des menuiseries extérieures ? ;« Malfaçons » : défauts de mise en œuvre des fenêtres ;« Tendances » : focus sur le recyclage des fenêtres PVC et témoignages d'acteurs du recyclage ;- Etc.Programmation à venir :Septembre : PlomberieOctobre : Revêtements de surfacesAvec « Solutions & Performances », newsletter mensuelle, le CSTB enrichit les informations qu'il partage avec les acteurs sur les tendances et les innovations des produits et systèmes constructifs, et complète ainsi sa communication éditoriale. Le CSTB diffuse également CONTACT, newsletter trimestrielle dédiée aux grands enjeux du secteur de la construction et de l'aménagement, dans une approche globale et pluridisciplinaire. Pour vous abonner à « Solutions & Performances », cliquez ici
Il y a 4 ans et 312 jours

Le cimentier Vicat va transférer son siège social pour réduire ses coûts

Les équipes "corporate" seront installées au mois de septembre à L'Isle-d'Abeau, berceau de l'entreprise où se trouvait déjà son centre opérationnel, a précisé Vicat dans un communiqué.Selon la région Auvergne-Rhône-Alpes, qui soutient le projet, 35 personnes sont concernées.Cette mesure s'inscrit dans le cadre d'un plan "d'adaptation des structures de coûts du groupe", mis en place en fonction de la crise liée au Covid-19, et qui comprend une réduction des coûts opérationnels et le report d'investissements industriels non stratégiques.Le président de la région Laurent Wauquiez (LR), qui a dégagé une enveloppe de 10 millions d'euros pour faciliter la relocalisation d'entreprises en Auvergne-Rhône-Alpes, s'est félicité de la décision du groupe cimentier."Nous sommes le premier territoire industriel de France mais les sièges de grands groupes se concentrent essentiellement à Paris. C'est un paradoxe alors que nous habitons une région attractive et dotée d'une réelle qualité de vie", a noté M. Wauquiez dans un communiqué, en qualifiant de "fondatrice" la volonté de relocalisation de Vicat.Vicat présente également un point de situation dans le contexte de l'épidémie de Covid-19, qui indique que "l'activité du mois de mai 2020 est en très nette amélioration par rapport aux mois de mars et d'avril 2020" et que "l'ensemble des cimenteries du groupe sont ouvertes".Parmi les douze pays où opère le groupe, la France enregistre une activité "dynamique, avec une progression constante depuis le point bas de la mi-mars".Aux États-Unis, "depuis le début de la crise sanitaire, l'activité est restée bien orientée tant en terme de volumes que de prix de vente".Au Brésil, l'activité est aussi jugée "dynamique, tant en volumes qu'en prix de vente".
Il y a 4 ans et 312 jours

Covid-19 : environ 2 milliards d'euros de manque à gagner pour les sociétés autoroutières

"L'impact pour le groupe Sanef, c'est environ 400 millions d'euros", à comparer à un chiffre d'affaires de 1,8 milliard l'an dernier, a indiqué M. Quemard devant la commission d'enquête du Sénat sur les concessions autoroutières."Si on fait (un calcul) homothétique vis-à-vis du secteur, c'est de l'ordre de 2 milliards de chiffre d'affaires qui ne se réalisera pas au niveau du secteur sur l'année 2020", a-t-il ajouté.Les 18 sociétés d'autoroutes avaient réalisé en 2018 un chiffre d'affaires de 10,4 milliards d'euros, selon les derniers chiffres de l'Autorité de régulation des transports (ART).S'ajoute pour la crise actuelle "le risque de surcoût des travaux, qu'on ne sait encore chiffrer", a noté M. Quemard."Ca fait partie aussi du risque du concessionnaire", a noté le responsable, rappelant que le trafic poids lourds avait mis dix ans à se remettre de la crise financière de 2008.A la fin mai, le trafic des véhicules légers sur les autoroutes Sanef (de Paris vers le Nord, l'Est et la Normandie) était en recul de 36,5% sur les cinq premiers mois de l'année, a-t-il observé."Je suis extrêmement surpris par la lenteur de la reprise du trafic", a remarqué M. Quemard, avec par exemple un trafic de 16% inférieur à la normale le week-end dernier, alors qu'on aurait pu penser que les Français profiteraient du déconfinement."Le télétravail s'installe et a l'air de s'installer durablement", le trafic domicile-travail restant à 60% de la moyenne. "Nos prévisions c'est peut-être qu'on arrivera à 90% en fin d'année", a-t-il dit, tenant toutefois à rester prudent."Les étrangers ne vont probablement pas revenir massivement en France cet été pour les vacances", mais on devrait voir "un peu plus de Français sur les routes", a-t-il dit."On prévoit encore -5% l'an prochain de trafic par rapport à 2019", a ajouté M. Quemard, rappelant que le trafic poids lourds suivait de son côté les courbes de l'économie."Est-ce qu'en 2022 on retrouvera les trafics de 2019? Peut-être", a-t-il conclu.
Il y a 4 ans et 312 jours

Appel à candidature pour la 8ème édition du concours international des Intermat Innovation Awards

Cette 8ème édition s'inscrit pleinement dans la vision prospective du millésime 2021 d'INTERMAT, qui ambitionne de révéler, d'accélérer l'innovation et d'en combiner toutes les composantes qui feront l'efficience et le succès des projets de demain.Pour la première fois, l'annonce des nominés aura lieu lors des INTERMAT Press Day le 21 janvier 2021 pour mettre en lumière les innovations sélectionnées lors de la première réunion du jury. Et les lauréats seront annoncés le 19 avril 2021 sur le salon lors de la cérémonie de remise des trophées qui sera suivie d'une soirée de networking.L'appel à candidatures est aujourd'hui lancé pour tous les exposants d'INTERMAT 2021 qui développent un produit, un service, un équipement, un matériel, une technique ou une solution répondant aux thématiques en termes d'innovation de l'un des 5 pôles d'expertise du salon :Terrassement, Démolition & TransportRoutes, Industries des Matériaux & FondationsLevage & ManutentionBâtiment & Filière du BétonNouvelles TechnologiesChacune de ces 5 catégories récompensera deux innovations : Équipements & Matériels et Composants & Accessoires, soit 10 lauréats pour cette édition, revisitée en fonction de la nouvelle sectorisation du salon et enrichie par la catégorie Nouvelles Technologies.4 prix spéciaux récompenseront également les initiatives des entreprises proposant une innovation spécifique dans ces secteurs et domaines :Prix World of Concrete EuropePrix « Transition Énergétique »Prix Start-UpPrix SécuritéAu total, 14 lauréats seront récompensés.Le jury et les critères de sélectionSous la présidence de Bruno Cavagné, président de la FNTP, un jury, rassemblant des experts issus d'entreprises européennes de la recherche et de l'industrie de la construction, étudiera les dossiers de candidatures pour sélectionner les nominés, qui seront pour la première fois mis en lumière, puis les 14 lauréats.5 critères de sélection sont à prendre en compte par chacun des jurés pour choisir les dossiers parmi les domaines de progrès suivants :Économie : diminution des coûts d'investissement et d'entretien, simplification de la maintenance, amélioration du système de production et valorisation des produits ou techniques,…Conception technique et technologies utilisées : amélioration de la performance et de la productivité, facilité d'entretien,…Fonctionnement : qualité du travail, gain de productivité, facilité d'entretien et efficacité énergétique,…Utilisation : facilité d'emploi, ergonomie, confort, sécurité, amélioration des conditions de travail et prévention des risques,…Respect de l'environnement : préservation du climat et de la biodiversité, économie circulaire,…Le calendrier du concours5 octobre 2020 : clôture des inscriptions16 octobre : clôture des dépôts de dossiers.25 novembre : 1ère réunion du jury pour évaluer chaque dossier puis sélectionner les nominés.21 janvier 2021 : annonce des nominés lors des INTERMAT Press Days.10 février : 2ème réunion du jury pour la sélection finale des lauréats.19 avril : annonce des lauréats lors de la cérémonie de remise des Awards sur le salon.
Il y a 4 ans et 312 jours

CEE : fournisseurs d'énergies et de carburants vont devoir mettre les bouchées doubles

Dans leur dernière publication, les consultants des Échos Études dressent un tour d'horizon complet des enjeux économiques, réglementaires et financiers des CEE et des conséquences que peuvent avoir la crise actuelle sur le marché. Ils comparent les stratégies de production de CEE des obligés et des délégataires et leurs possibles ajustements face à la situation.Bilan incertain Le mécanisme des certificats d'économie d'énergie (CEE) n'est pas nouveau. Mais sur cette 4e période, qui s'achèvera au 31 décembre 2021, EDF, Total, Engie et tous les autres doivent collecter en tout 2 133 TWh cumac en 4 ans, soit 40 fois plus que leurs obligations de la 1ère période. Pour l'instant, le bilan ressort mitigé. Du côté des CEE précarité, nouveauté réglementaire introduite au 1er janvier 2016, les obligés et délégataires sont nettement en avance et leurs efforts devraient sans doute être moins intenses dans les mois à venir. En revanche, pour les CEE classiques, le compte n'y est pas et l'écart sera dur à rattraper. Le retard pourra, toutefois, être comblé par les surplus de CEE précarité. Mais cela suffira t-il ? D'autant que le confinement a porté un coup d'arrêt brutal aux travaux de rénovation énergétique, et donc un effondrement de la capacité à produire des CEE. Dans le résidentiel diffus et le petit tertiaire, la production de CEE a été famélique sur cette période. De plus, la crise a fragilisé nombre d'entreprises artisanales avec un risque de cessation d'activité pesant sur la capacité à produire des CEE à l'avenir.Coup de pouce de l'ÉtatÀ l'approche de la fin de la P4, les obligés et les délégataires n'auront d'autres choix que d'accélérer leurs efforts de production de certificats. Ce phénomène observé à chaque fin de période ne manquera pas de se reproduire. Pour remplir leurs objectifs, ils pourront aussi compter sur un soutien de l'État qui souhaitera probablement s'éviter le risque de voir l'objectif non atteint. Plusieurs mesures ont d'ores et déjà été adoptées pendant le confinement, comme la prolongation des deux opérations Coups de pouce (chauffage et isolation) jusqu'au 31 décembre 2021, alors qu'elles devaient initialement s'arrêter le 31 décembre 2020, ou l'allongement de 6 mois du délai de dépôt des demandes de CEE pour les opérations d'économies d'énergie achevées entre le 1er mars 2019 et le 31 août 2019.Opportunités en vueEntre production en propre (via des versements de primes aux consommateurs ou le financement de programmes par exemple), recours à des délégataires, appui sur des réseaux d'installateurs, appel à des mandataires, ou encore, intégration de la chaîne de valeur de l'efficacité énergétique pour développer une offre globale, les options qui s'offrent aux obligés sont nombreuses. Le mix est largement orienté par la taille de l'obligation. Mais la crise sanitaire, et maintenant économique, a aussi rebattu les cartes et nécessite des ajustements. Avec un seul enjeu en tête : contenir l'inflation des coûts du mécanisme.D'autant que la course à la collecte de CEE ne se fera pas sans heurts. Il y aura obligatoirement des perdants. A l'inverse, des opportunités se dessinent pour d'autres. Chez les délégataires, les tours de tables pourraient évoluer, face aux pressions sur la trésorerie, le nerf de la guerre. 2019 a déjà été une année riche en mouvements, avec 3 d'entre eux qui ont changé de main, un score inégalé jusqu'à présent. L'arrivée de Bureau Veritas qui a repris Capital Energy ou du groupe La Poste qui a accéléré sa diversification en reprenant Économie d'Énergie est un signal clair que le marché est attractif…
Il y a 4 ans et 312 jours

Chômage partiel : les changements en cours et à venir

Avant le Covid-19En cas de réduction d'activité, une entreprise pouvait actionner un dispositif d'activité partielle, validé par l'administration. L'entreprise demandait un volume d'heures pour six mois. Ce régime, unifié depuis 2013 (avant coexistait un régime classique et un de longue durée), était compensé à hauteur de 7,74 euros par heure (7,23 euros pour les entreprises d'au moins 250 salariés) auprès de l'entreprise.Le salarié touchait 70% de son salaire brut (ou 84% du net). Rien n'interdisait à l'entreprise de compenser le reste.Pendant le confinementPour pallier l'arrêt brutal de l'activité et "éviter des licenciements", le gouvernement, se calquant sur ce qu'avait fait l'Allemagne pendant la crise de 2008, a incité les entreprises à y recourir largement et a porté à un an la durée autorisée.Le salarié touchait toujours 84% de son salaire net, mais l'entreprise était compensée à 100% de l'indemnité versée au salarié, jusque 4,5 fois le Smic (au lieu du niveau du Smic auparavant).Plusieurs catégories de salariés (salariés à temps partiel, intérimaires, salariés au forfait jour, VRP, employés à domicile, apprentis, saisonniers, etc), ont intégré le dispositif, des élargissements salués tant par le patronat que par les syndicats.A aussi été instituée la possibilité d'individualiser le chômage partiel au sein d'une même équipe, interdite auparavant.Parallèlement, le dispositif a été utilisé à compter du 1er mai pour indemniser les salariés dans l'impossibilité de travailler parce qu'ils gardaient des enfants et qui, depuis le début du confinement, avaient pu se mettre en arrêt maladie.En revanche, CDD et intérimaires de courte durée ne pouvaient bénéficier de ce filet de sécurité, ni les indépendants qui ont, eux, bénéficié d'un fonds.Selon une estimation du ministère du Travail, 7,2 millions de Français ont été en chômage partiel un ou plusieurs jours par semaine en mars, 8,7 millions en avril et 7,8 millions en mai.L'État a budgété 31 milliards sur l'année pour payer la facture.Après le confinementPour "accompagner la reprise", le gouvernement a réduit la voilure depuis le 1er juin: les entreprises sont désormais compensées non plus à 100% mais à 85% par l'État et l'Unédic, toujours dans la limite de 4,5 Smic.Hôtellerie, restauration, tourisme, événementiel, culture, transport aérien... tous les secteurs très touchés ne sont pas concernés par la baisse et continuent d'être pris en charge à 100%.Un nouveau régime pour la rentréeA compter du 1er octobre, le chômage partiel sera pris en charge par l'État à hauteur de 72% du salaire net (60% du brut) pour le salarié, avec une compensation à hauteur de 60% pour les entreprises. Il sera valable pour trois mois renouvelables trois mois, soit six mois maximum.Les syndicats étaient ces derniers jours vent debout à l'idée d'une baisse de l'indemnisation des salariés.Un dispositif alternatif: activité réduite de maintien dans l'emploiParallèlement est instaurée "l'activité réduite de maintien dans l'emploi", qui entrera en vigueur dès le 1er juillet.Ce chômage partiel de longue durée a été acté dans son principe par le projet de loi urgence sanitaire. En jeu: aider les entreprises "confrontées à une réduction d'activité durable qui n'est pas de nature à compromettre leur pérennité", en contrepartie d'engagements sur l'emploi.Il autorise une réduction du temps de travail maximale de 40%.Inspiré d'un texte signé dans la métallurgie, il pourrait être utilisé dans l'aéronautique par exemple.Condition: il doit obligatoirement faire l'objet d'un accord majoritaire collectif dans l'entreprise ou dans la branche et inclure "les engagements spécifiquement souscrits en contrepartie, notamment pour le maintien de l'emploi". deux ans.Le salarié touchera 84% de son salaire net. L'entreprise sera compensée à 85% de l'indemnité versée au salarié, (soit 15% de reste à charge) pour un accord conclu avant le 1er octobre, et 80% pour un accord conclu après.Les frais de formation pourront être pris en charge à hauteur de 80%.Dans un petite entreprise (moins de 11 salariés), en l'absence de délégué syndical, l'accord peut passer par référendum, comme le prévoit les ordonnances travail de septembre 2017.
Il y a 4 ans et 312 jours

La France devrait connaître en 2020 l'une des pires récessions au monde, selon le FMI

Le PIB français devrait chuter en 2020 de 12,5%, au lieu de 7,2%, a estimé mercredi le FMI, qui a actualisé ses prévisions mondiales. La France, qui a enregistré près de 30.000 décès liés au Covid-19 et où le confinement a été particulièrement strict jusqu'au 11 mai, devrait connaître ainsi cette année l'une des pires récessions de la planète, aux côtés de l'Italie (-12,8%) et de l'Espagne (-12,8%).Dans l'Hexagone comme ailleurs, "la reprise devrait être plus progressive que prévu", explique le FMI, tout en soulignant l'incertitude qui entoure ses nouvelles prévisions. En cause: les mesures de distanciation physique qui persisteront au second semestre et l'impact négatif des mesures de précaution sanitaire sur la productivité dans les entreprises.Avec ce chiffre de -12,5%, l'institution se montre plus pessimiste que le gouvernement, qui table sur un recul du PIB de 11%, soit la plus forte récession de la France depuis 1945. Cette prévision, qui repose sur une hypothèse de réouverture des frontières en Europe le 15 juin et à la fin de l'été avec le reste du monde, tient compte du redémarrage seulement progressif de l'économie, avait précisé Bercy plus tôt dans le mois. Le Haut Conseil des finances publiques l'avait jugé "prudente"."Je maintiens notre prévision de croissance pour 2020 à -11%", a indiqué le ministre de l'Économie Bruno Le Maire dans une réaction transmise à l'AFP. Les mesures de soutien à l'économie (dispositif de chômage partiel, reports de charges, fonds de solidarité, plans sectoriels, etc.) et "le plan de relance en préparation soutiendront nos entreprises pendant la crise et permettront un rebond en 2021", a-t-il ajouté, soulignant que la France possédait "tous les atouts pour sortir plus forte de la crise".L'estimation du FMI est également plus sombre que celle de la Banque de France, qui anticipe un plongeon du PIB d'environ 10% cette année, malgré la reprise "progressive" de l'activité à partir du troisième trimestre.Dégringolade en 2020 puis rebond en 2021A l'heure actuelle, la situation s'est déjà nettement améliorée dans l'industrie où les fermetures d'usines sont désormais rares, et dans le bâtiment, où les chantiers ont repris. Elle reste toutefois plus contrastée dans les services, où certains secteurs viennent tout juste de reprendre leur activité, comme la restauration, les cinémas ou les salles de sport.L'avenir de la reprise dépendra notamment de l'impact et de la durée des protocoles sanitaires dans les entreprises, des comportements de consommation et d'investissement des ménages et des entreprises, ainsi que du contexte international, selon l'Insee, qui n'a pas publié de prévision annuelle sur l'ampleur de la récession.La reprise de la consommation des ménages sera particulièrement déterminante puisque la crise sanitaire a surtout provoqué un arrêt de la demande. Pendant le confinement, en France, comme ailleurs, les ménages ont effectué principalement des achats de produits de première nécessité (alimentaire et hygiène), délaissant vêtements, meubles ou encore véhicules.De façon générale, à travers le monde, "la consommation devrait se renforcer progressivement l'an prochain", tout comme l'investissement qui devrait cependant "rester modéré", prédit le FMI dans son rapport.Dans ces conditions, après une récession très forte attendue en 2020, l'institution anticipe pour la France un rebond de la croissance de 7,3% en 2021, un chiffre en amélioration de 2,8 points par rapport à sa précédente estimation datée d'avril et proche de celui attendu par la Banque de France (7%).Il s'agirait de l'une des plus fortes croissances parmi les pays développés. La France se place ainsi devant les États-Unis (+4,5%), l'Allemagne (+5,4%) ou encore l'Italie (+6,3%) et l'Espagne (+6,3%), selon les prévisions du FMI.Toutefois, "ce fort rebond apparent ne permettrait pas de retrouver le niveau d'activité de fin 2019 avant mi-2022", a déjà prévenu la banque centrale française.
Il y a 4 ans et 312 jours

Deltamod a livré 5.000 m² de bâtiments modulaires reconditionnés à Clichy (92)

C'est le long de la Seine, aux portes de Paris, Quai de Clichy (92) que se situe une réalisation unique en France : 5.000 m² de logements à 100% en bâtiment modulaire reconditionné dédiés à l'hébergement d'urgence.Cet ouvrage charté « économie circulaire » est l'œuvre de la société Deltamod, spécialiste du modulaire de réemploi depuis 2013. Ce projet public, porté par son maitre d'ouvrage ALTERALIA - Association dédiée à l'accompagnement et l'insertion par le logement – avait pour objectif de mettre en place une structure d'accueil d'urgence respectant des contraintes économiques et de temps de mise en œuvre.Habitué à des structures traditionnelles pour ce type d'ouvrage, la proposition du bâtiment modulaire et encore plus celle du bâtiment modulaire reconditionné apparaissait comme un défi de taille pour les 2 parties et leurs commanditaires. 6 mois après son démarrage, le résultat parle de lui-même : Fonctionnel, opérant et réussi.Une réalisation unique en France12.000 m² de surface, 5.000 m² de bâtiment modulaire, 160 chambres, 400 personnes hébergées, un projet unique en France réalisé en 6 mois seulement.Ce centre d'hébergement d'urgence est destiné à l'hébergement de demandeurs d'asile et de personnes sans domicile fixe. Il offre un espace de vie collectif fonctionnel et agréable où chaque construction modulaire est dédiée à une fonction précise.Au-delà des 160 chambres, plusieurs espaces modulaires ont été aménagés pour garantir un accueil et une qualité de vie à chaque personne hébergée. Poste de sécurité, bureaux réfectoires, sanitaires et vestiaires, salles de détente, ce projet regroupe différentes typologies de bâtiments modulaires dont certains à étage en R+1.2 mois et ½ ont été nécessaires pour définir et préparer le projet. Après 1 mois d'étude pour la phase de conception, c'est 1 mois et ½ qui ont été consacré au terrassement et réseaux des 12.000 m² de terrain.Au niveau des bâtiments, ce sont plus de 300 modules préfabriqués qui ont été nécessaires pour réaliser les 5.000 m² de logements. Une action rendue possible par le stock de plus de 10.000 m² disponible en permanence au siège de la société Deltamod (44) et son partenariat avec un des leaders de la construction modulaire en France, l'entreprise Cougnaud (85), fournisseur des infrastructures complémentaires.Une fois la matière première disponible, les bâtiments préfabriqués ont été reconditionnés en usine avant d'être transférés directement sur site. Une rénovation totale des anciennes structures pour les remettre à neuf. Isolation, sols, plafonds, électricité, plomberie, sanitaires, décoration intérieure, équipements extérieurs, tout a été repensé pour redonner vie à ces bâtiments. Un travail de 3 mois et ½ de reconditionnement et d'installation qui au-delà de leur nouvelle vocation dédiée à l'hébergement, aura évité la destruction de ces bâtiments et par conséquent la génération de nouveaux déchets.Le bâtiment modulaire de réemploi au service de l'économie circulaireC'est aussi le cœur de ce projet de centre d'hébergement. Contrairement à des structures traditionnelles, le fait d'opter pour une solution de réemploi permet de générer des avantages tels que :EnvironnementalRedonner vie à d'anciens bâtiments permet d'éviter la destruction et la génération de plusieurs tonnes de déchets.SocialDémonter, transférer, installer, reconditionner permet de maintenir l'emploi et créer du lien social.RéglementaireContribuer au prolongement de la durée de vie des modules participe à limiter la consommation et les gaspillages de ressources (matières premières, eau, énergie) conformément au projet de loi anti-gaspillage des Régions.ÉconomiqueConstruire en bâtiment modulaire offre la possibilité de déplacer les structures sur un autre site et de les reconditionner en fonction du futur usage (écoles, bureaux, stockage, vestiaires, …).Un GRAND projet qui fera des petitsSi cet ouvrage est une première pour les acteurs, une première en France, il doit ouvrir de nouvelles perspectives à la société Deltamod et toutes les sociétés et associations en charge de créer des solutions rapides de logement ou d'hébergement.Rapidité, souplesse, économie, environnement, tous les facteurs sont réunis pour donner naissance à d'autres réalisations de ce type.L'association Alteralia, par la voix de son président Olivier DUBAUT, réfléchit déjà à d'autres projets en tirant l'expérience de celui de Clichy. Ensuite, c'est le savoir-faire de la société Deltamod qui fera le reste en accompagnant ses futurs clients au niveau du reconditionnement mais surtout au niveau des services de transfert et recyclage du bâtiment modulaire, une prestation professionnelle et complète pour répondre aux enjeux de nouvelles réponses en termes de logement et d'hébergement du XXIème siècle.3 questions à : Olivier DUBAUT Président ALTERALIAQuel est la mission d'Alteralia ?Alteralia est une association visant à aider et accompagner l'État et les collectivités locales dans les projets d'hébergement d'urgence et de logement à destination des personnes en difficulté. Nous sommes issus de l'association ALJ93 située à Aubervilliers qui a modifié ses statuts il y a 3 ans maintenant pour répondre à des projets régionaux et nationaux. Nous travaillons notamment avec les préfectures d'Ile de France pour organiser les espaces qui vont accueillir les jeunes travailleurs, demandeurs d'asile ou encore de mineurs isolés avec les départements.Pouvez-vous nous décrire les contours et enjeux de ce projet modulaire ?Tout d'abord, ce projet de construction modulaire est double. Une première partie, mandatée par l'État, porte sur un centre d'hébergement d'urgence accueillant des demandeurs d'asile pour une capacité de 250 places. La seconde, d'une capacité de 120 places, est destinée au logement de personnes sans-domicile fixe à la demande du Conseil Régional d'Ile de France et de la Croix-Rouge Française.L'enjeu principal pour ce type de logement d'accueil est le délai de mise en fonction. Le temps passe vite et l'hiver n'attend pas pour sévir. Il est important de trouver des solutions rapides à mettre en œuvre malgré les contraintes météorologiques liées à la construction. Le choix du bâtiment modulaire s'est imposé tout naturellement.Nous avons donc travaillé en étroite collaboration pendant 4 à 5 mois avec la préfecture des Hauts de Seine et notre fournisseur Deltamod pour réaliser et réussir cette réalisation d'envergure de 5 000 m² dans les délais impartis.Pourquoi avoir choisi la société Deltamod ?Déjà, construire en bâtiment modulaire était pour nous une première. Il nous fallait trouver une entreprise réactive, agile et je suis sincèrement admiratif du travail de cette PME.Ensuite, c'est l'approche unique de Deltamod qui nous a séduits en nous proposant des bâtiments modulaires de réemploi. Les bâtiments sont des préfabriqués d'occasion qui sont complètement reconditionnés sur site ou en usine pour leur donner une nouvelle vie. De plus, ces structures sont démontables et réutilisables dans le futur pour nos nouveaux projets.C'est pour nous une solution innovante, moins chère et plus rapide qui ouvre la voie à de nouveaux dossiers d'hébergement d'urgence.3 questions à : Pierre VISONNEAU Co-dirigeant société DELTAMODPourquoi avoir accepté ce projet d'envergure ?Je ne sais pas si je peux qualifier ce projet d'envergure mais plutôt de défi. 12.000 m² de terrassement, 5.000 m² de bâtiment modulaire à transférer, reconditionner et installer en 6 mois, l'enjeu était de taille pour tous les salariés de l'entreprise. Maintenant, une bataille ne se mène pas seul. Nous avons pu compter sur le soutien d'Alteralia par l'intermédiaire de Mr Olivier DUBAUT, Président, de Mr Christophe AUGER, Directeur général, pour toute la gestion de projet, sans oublier la société Cougnaud pour le complément des bâtiments modulaires. C'est un travail d'équipe et une collaboration permanente qui nous ont permis de proposer des logements de qualité dans les délais impartis.C'est aussi ce type de projet qui fait grandir les équipes et une entreprise car nous devons tous nous mobiliser en même temps et avec la même énergie pour répondre à l'exigence de ces chantiers. C'est pour cela que j'adresse toutes mes félicitations à toutes les personnes (collaborateurs, sous-traitants, partenaires, …) qui ont œuvré pour donner vie à cette infrastructure de logement social d'urgence.Comment avez-vous convaincu la société Alteralia d'opter pour le modulaire reconditionné ?Il est vrai que notre proposition était loin d'être gagnante sachant qu'Alteralia n'avait jamais réalisé d'ouvrage en bâtiment modulaire.Le choix de notre entreprise repose sur notre approche unique et innovante en lien avec l'économie circulaire. Si la construction modulaire permet une mise en œuvre rapide et économique demandées sur ce type de projet, notre offre de bâtiment modulaire de réemploi apporte cette différenciation environnementale. Nous militons depuis notre création sur la réduction des déchets en prônant la réutilisation des anciens préfabriqués. Ainsi, nous redonnons vie à d'anciens bâtiments en les reconditionnant directement sur site en fonction de la demande de notre client. Enfin, nous associons un service de transfert et de recyclage du modulaire qui permettra à notre client de déplacer et reconditionner ses bâtiments préfabriqués pour un autre usage dans un autre lieu.Les dirigeants d'Alteralia ont été particulièrement sensible à notre approche environnementale mais également à nos équipes et nos partenaires lors de leur visite de nos locaux avec les représentants de l'État.Avez-vous d'autres projets de ce type pour Deltamod ?Cette réalisation est unique en France. C'est une première pour tous les acteurs et nous devons prendre un peu de recul pour analyser tous les facteurs.Cependant, le maître d'ouvrage Alteralia est très satisfait du résultat et envisage de renouveler l'expérience sur d'autres projets similaires. Ensuite, mes prestataires et mes équipes ont eux aussi été à la hauteur du défi qui nous attendait. Je serais donc tenté de vous répondre « OUI » sans hésitation même si la durée et la taille de ce projet se doivent d'être réfléchies et mesurées dans une organisation.Enfin, il faut convaincre les autres organisations de changer leurs habitudes en matière de construction et je pense sincèrement que le centre d'hébergement de Clichy (92) sera une référence dans la construction modulaire et notamment dans celui du bâtiment modulaire de réemploi en France.Deltamod en quelques lignesCrée en 2013, la société Deltamod développe son business model autour d'une démarche écoresponsable volontariste. Acteur de l'économie circulaire, elle décide de reconditionner les anciens bâtiments modulaires pour leur donner une seconde vie. Basée à Nort-sur-Erdre (Pays de Loire), l'entreprise compte aujourd'hui 28 salariés experts pour devenir le spécialiste du modulaire de réemploi autour de 3 métiers principaux :La vente de constructions modulaires reconditionnées et d'occasionLa prestation de services tels que le transfert modulaire et la mise en serviceLe rachat, reconditionnement et recyclage de bâtiments modulaires.A ce jour, cette nouvelle approche a sauvé plus de 25.000 m² de bâtiment modulaire de la destruction. Un petit geste qui s'ajoute à toutes les actions en faveur de l'économie circulaire et de notre environnement.
Il y a 4 ans et 312 jours

Nouvelle réglementation Qualité de l'Air Intérieur : l'expertise globale AC Environnement et Transitia pour les collectivités

Dans ce contexte, AC Environnement, leader du diagnostic immobilier en France et Transitia, cabinet de conseil à la surveillance de la qualité de l'air intérieur, ont noué un partenariat exclusif et ont associé leur savoir-faire pour proposer une offre globale de surveillance et de contrôle de la QAI visée par le Bureau Santé Environnement (B.S.E) de la Direction Générale de la Prévention des Risques au sein du Ministère de la Transition Écologique et Solidaire.La qualité de l'air intérieur : un enjeu majeur de santé publiqueC'est un fait, chacun passe aujourd'hui 80% de son temps dans des milieux clos (logements, entreprises, crèches, écoles, transports…) où l'air intérieur peut révéler un taux de pollution deux à cinq fois plus élevé que l'air que l'on respire à l'extérieur. Les enfants sont parmi les populations les plus vulnérables aux effets néfastes de la pollution intérieure, avec un risque immédiat ou à terme pour leur santé. Dans les bâtiments scolaires, les sources possibles d'émissions de substances polluantes sont multiples : matériaux de construction, peinture, feutres, meubles, appareils de chauffage, produits d'entretien… une mauvaise qualité de l'air intérieur peut favoriser l'émergence de divers symptômes : maux de tête, fatigue, irritation des yeux, du nez, de la gorge, de la peau, vertiges, manifestations allergiques, asthme. À contrario, une bonne qualité de l'air intérieur, et en particulier une aération suffisante des salles de classe, a des effets positifs : diminution de l'absentéisme, bien-être des occupants, meilleur apprentissage des enfants.C'est pourquoi, depuis le 1er janvier 2018, les établissements recevant des enfants de moins de 12 ans - crèches, haltes-garderies, écoles maternelles et élémentaires -, sont soumis à une obligation réglementaire de surveillance de la qualité de l'air intérieur (QAI) qui, depuis le 1er janvier 2020, concerne également les centres de loisirs et les établissements d'enseignement ou de formation professionnelle du second degré (collèges, lycées, etc.). Avant le 1er janvier 2023, cette surveillance de la QAI sera obligatoire pour tous les ERP de l'enfance, de la santé et de la justice.Surveiller la qualité de l'air intérieur (QAI) : les crèches et les écoles en retard sur cette obligation légaleLes collectivités sont en retard sur le respect de leurs obligations en QAI, seules 30% des communes sur tout l'hexagone sont en conformité avec la réglementation. Ce retard sur la mise en œuvre de la réglementation en vigueur dans les ERP inscrit la QAI comme un enjeu sanitaire et environnemental majeur et plus que jamais d'actualité.Les enjeux sanitaires et économiques liés à la qualité de l'air intérieur sont importants. En France on estime à 19 milliards d'euros le coût en dépenses de santé annuelles dû à la mauvaise qualité de l'air intérieur. Il est donc important de mettre en œuvre des actions pour améliorer la qualité de l'air intérieur, que ce soit dans les logements ou dans les établissements recevant du public comme les écoles.Qualité d'air intérieur : une offre complète et rapide pour se mettre en conformitéDans ce contexte, AC Environnement et Transitia ont travaillé de concert à une offre dédiée de surveillance des établissements recevant du public pour aider les collectivités à se mettre en conformité mais aussi à améliorer de manière continue les conditions sanitaires d'accueil.AC Environnement et Transitia ont conçu une méthode facile, rapide, avec la volonté d'accompagner, de sensibiliser et d'impliquer toutes les parties prenantes. Cette méthode comprend systématiquement, conformément au décret de 2015 :Une première phase d'évaluation de l'état des ouvrants et des systèmes d'aération par un technicien spécialisé ;Une phase d'autodiagnostic avec le concours des enseignants et personnels des établissements qui doivent renseigner des grilles de pratique réglementaires, couramment au format papier mais que Transitia et AC Environnement mettent à disposition dans le cadre d'une application digitale métier. Ce qui permet de mieux collecter les données (80% de résultats vs moins de 20% avec le papier), de mieux les analyser et de mieux les restituer ;Une phase de conseil stratégique et mesures correctives. Les résultats des investigations sur les ouvrants, les systèmes d'aération et la synthèse des questionnaires donnent lieu à la rédaction et la remise d'un rapport réglementaire sur la qualité de l'air intérieur dans l'établissement. Ce rapport est complété par un plan d'actions d'amélioration continue de la QAI dans l'établissement ;Le cas échéant, une phase de mesures de contrôle dans les pièces où des anomalies ont été constatées en QAI. Cette phase nécessite l'intervention d'un professionnel de la qualité de l'air intérieur qui établit une stratégie d'échantillonnages, réalise des prélèvements ou des mesures en continu, établit des conclusions de conformité aux seuils. Ces mesures d'air sont réalisées par AC Environnement accrédité COFRAC[1].Aujourd'hui, AC Environnement et Transitia interviennent déjà dans plus de 1 800 crèches, écoles, collèges et lycées à la demande respectivement des villes, des conseils départementaux et régionaux qui ont la responsabilité du patrimoine bâti de ces établissements.Ce choix valide la proposition unique sur le marché que constitue la digitalisation du process, gage d'une plus grande efficacité, productivité, pertinence et capacité d'exploitation des résultats associée à l'expertise globale du leader du diagnostic immobilier et des polluants du bâti.Cette digitalisation peut même franchir un cap supplémentaire en intégrant ces données sur la QAI dans une maquette numérique BIM de l'établissement scolaire concerné. De sorte que ces données sur la QAI puissent être plus lisibles et même, au moyen d'objets connectés, suivies au fil du temps pour constater l'efficacité des mesures correctives dans le cadre d'une gestion-exploitation-maintenance du bâti scolaire.C'est une démarche encore inédite et émergente. Elle s'inscrit toutefois dans un mouvement plus général vers une meilleure gestion exploitation maintenance du bâti scolaire pour de meilleures conditions sanitaires, de sécurité, de préservation et d'optimisation des dépenses inhérentes à un parc immobilier scolaire immense et coûteux dans un contexte de défis climatique, énergétique, environnemental.« Fort de notre expérience de terrain, nous pouvons constater qu'il y a un chantier énorme en matière de QAI dans les établissements d'enseignement, en raison de déficiences quant aux stratégies d'aération et de ventilation et du fait de pratiques perfectibles en matière de maintenance, d'agencement et d'entretien des établissements ».- Daniel BOTELLA, Président fondateur de Transitia[1] *AC Environnement accrédité « essai » LAB REF 30 (numéro d'accréditation 1-6001). Liste des sites et portées disponibles sur www.cofrac.fr
Il y a 4 ans et 313 jours

Une enveloppe rénovée pour l'immeuble de bureaux Metroscop à Créteil (94)

Pour cette réhabilitation, l'agence QUADRI FIORE ARCHITECTURE a reçu le « PRIX 4114 » au PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL 2019. Elle a soumis une proposition au maître d'ouvrage sans modifier la structure en béton préfabriqué afin de mener les travaux rapidement et dans le budget alloué. Elle s'est appuyée sur le savoir-faire de l'ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL STIM TECHNIBAT, qui a réalisé des relevés précis en amont pour faciliter la mise en œuvre des menuiseries aluminium TECHNAL. Au total, près de 2 000 châssis ouvrant à la française SOLEAL 65 ont été installés sur des précadres, en lieu et place des anciennes fenêtres bois et PVC. Leur performance, conjuguée à une pose au nu extérieur, optimise l'isolation thermique de cet immeuble R+10, d'une superficie de 14 000 m².Pour susciter une nouvelle attractivité au bâtiment, QUADRI FIORE ARCHITECTURE a créé une rupture avec la partition unique et sobre des façades d'origine. Une teinte « ocre », chaude et intemporelle, se décline ainsi sur les menuiseries TECHNAL et le bardage métallique. Elle contraste avec le revêtement minéral blanc de l'enveloppe. Elle joue également avec les variations de la lumière, passant d'un jaune intense lorsqu'elle prend le soleil à une nuance plus sombre dès que la nuit tombe. Cette couleur, signature du bâtiment, se marie à d'autres subtilités graphiques : jeux de rythmes et de ruptures d'échelles, réunification d'étages… Autant d'éléments qui animent les façades, sollicitent l'intérêt du regard et révèlent les espaces paysagers à proximité immédiate.Tout pour le confortCes ensembles menuisés SOLEAL 65 se distinguent par leur ouvrant caché MINIMAL, qui permet de conserver un maximum de clair de vue (luminosité naturelle Sw = 0,50 et TLw = 0,61). Leur performance thermique offre un Uw de 0,9 W/m².K. Des atouts qui permettent aux occupants de travailler sur des plateaux de bureaux confortables et sereins. Depuis la cafétéria au rez-de-chaussée ou les deux halls d'entrée traversants, les salariés bénéficient également d'espaces accueillants.Les menuiseries possèdent des dimensions similaires, L. 1 x h. 1,50 m, sur 90% de la façade. Seules celles du rez-de-chaussée et du 3ème étage sont agrémentées en supplément d'allèges vitrées. Les profilés ont été créés sur-mesure pour intégrer directement les stores à l'ensemble.Le projet METROSCOP a reçu le « PRIX 4114 » au dernier PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL. Cette distinction fait référence au Club TECHNAL qui porte le même nom. Elle a récompensé l'ouvrage ayant recueilli le plus de votes auprès de sa communauté. Une reconnaissance pour l'agence QUADRI FIORE ARCHITECTURE primée par ses pairs.Lancé fin 2018, le Club « 4114 » vient de souffler sa première bougie ! Rétrospective de l'année écoulée :regroupe près de 500 membresune multitude d'articles sur les actualités et dernières tendances autour de l'architecture sur le blog 4114deux évènements d'envergure organisés (présentation en avant-première du nouveau système hybride TIGAL et conférence de STEFANO BOERI autour du « Seuil et de la végétalisation en architecture »)premier numéro du « Mag 4114 », dédié au développement durable, à l'occasion du Mondial du Bâtiment
Il y a 4 ans et 313 jours

Fin des tarifs du Gaz, place aux offres de marché !

Cerner les contours des tarifs réglementés du GazSi pour les copropriétés et les particuliers, les Tarifs réglementés de vente (TRV) seront annulés en juillet 2023, la date est plutôt fixée au 1er décembre 2020 pour les professionnels. C’est du moins ce qui ressort de la loi énergie-climat qui date du 8 novembre 2019. Il convient de préciser que la décision remonte au Conseil d’État de 2017 dont l’une des résolutions phares est la fin tarif réglementé gaz afin de conformer le droit français au droit européen.Pour rappel, c’est depuis 2007 que le marché de l’énergie a été ouvert à la concurrence. Un tel contexte a favorisé et même amplifié la compétition entre les fournisseurs historiques du gaz et de l’électricité (Engie et EDF) et les fournisseurs alternatifs.Comment opter pour les offres de marché ?Vous faites partie des professionnels ayant souscrit au tarif réglementé du gaz naturel. Eh bien, vous n’aurez pas besoin de résilier votre ancien contrat. La fin des TRV a justement prévu ce détail qui sera exécuté de manière automatique. Aussi, n’aurez-vous ni besoin de couper votre gaz ni de changer de compteur.Il vous suffit de souscrire à un nouveau contrat pour une offre de marché avec un fournisseur alternatif qui peut être actuel ou changé. Le processus ne requiert ni frais particuliers ni préavis.Toutefois, il vous est recommandé de passer à l’action avant le 1er décembre 2020 afin de ne pas être basculé vers un fournisseur historique alors que ce n’était pas votre souhait. C’est pour cela qu’il faut déjà vous renseigner sur les différentes offres de marché des fournisseurs qui existent afin de choisir celle qui convient le mieux à votre activité professionnelle.Retenez donc que la fin des tarifs réglementés du gaz naturel vous ouvre la porte à des offres de marché plus flexibles et adaptées à vos besoins.
Il y a 4 ans et 313 jours

Pour chaque étape de chantier, Rheinzink propose un outil ou un service adapté

Six outils et services indispensables pour le démarrage d'un chantier1. La co-créationRHEINZINK est à côté des professionnels face à une problématique et/ou pour s'impliquer dans la recherche d'une solution esthétique sur-mesure. Des conseils personnalisés sont prodigués pour intégrer les aspects normatifs sans nuire à l'esthétique globale du projet. Il est mis à disposition un dossier technique complet adapté au projet reprenant les caractéristiques du matériau, une proposition de système comprenant les justifications techniques, un carnet de détails sur-mesure et, en fonction du parti pris architectural, des exemples de réalisations de solutions similaires. Et pour valider l'adéquation de la proposition RHEINZINK avec le projet créatif, les équipes techniques réalisent un prototype pour le professionnel.2. Le CCTP personnalisé et sur mesure en quelques clicsSimple, rapide, interactif et entièrement gratuit, l'outil de configuration CCTP (bardage, couverture et eaux pluviales) est disponible en ligne et en téléchargement sur www.cctp.rheinzink.fr. Les bureaux d'études et économistes bénéficient d'un véritable gain de temps pour la rédaction de leurs CCTP.3. Le carnet de détailsAccompagnant le CCTP, il représente des exemples de détails les plus souvent utilisés lors de projet.4. Les objets BIMUne bibliothèque numérique d'objets BIM, disponible sur le site www.rheinzink.fr, a été développée pour les professionnels afin de leur permettre de travailler sur des solutions de couverture et de bardage de différents formats.5. L'étude chantierLe bureau d'études RHEINZINK accompagne les entreprises de couverture dans leurs études chantiers. De la quantification des besoins en zinc nécessaires à la bonne exécution du chantier à une étude complète, plusieurs niveaux d'études sont proposés à partir de plans d'un chantier. Lorsqu'une entreprise couverture fait appel à une prestation de façonnage sur-mesure RHEINZINK, l'étude inclut la fourniture d'un carnet d'étude permettant la validation des choix techniques, un calepinage, un débours du chantier ainsi qu'un carnet de pose avec repérage des composants sur une visualisation 3D.6. Des formations mobilesElles permettent aux professionnels du bâtiment de se perfectionner dans les techniques de zinguerie. Les formateurs issus du milieu de la couverture se déplacent chez le professionnel pour proposer un module de formation à la couverture à joint debout en zinc RHEINZINK mêlant ainsi théorie et pratique (exercice d'assemblage sur maquette et mise à disposition d'outils).Des services utiles pendant le chantierL'assistance technique personnaliséeLors du démarrage du chantier, un formateur RHEINZINK peut se déplacer pour une journée d'accompagnement personnalisé. Cette formation permet aux professionnels de s'approprier la mise en œuvre d'un nouveau système, acquérir les bons réflexes dans la réalisation de raccords complexes, et de valider certains gestes techniques afin de permettre une meilleure exécution du chantier.Des services adaptés au chantier :Grâce au service de façonnage sur mesure RHEINZINK, le professionnel gagne du temps et réduit ses besoins en équipement pour son chantier, ainsi les bacs et profilés sont personnalisés au chantier.Pour aider les artisans à la mise en œuvre du zinc sur chantier, le service bobineaux propose des fabrications personnalisées de bobines calibrées en termes de dimensions (largeurs courantes, toutes longueur, différentes épaisseurs...).Qu'elles soient classiques ou complexes, les différentes formes de construction nécessitent une multitude de profilés. Pour optimiser le déroulement et le coût de la construction, RHEINZINK propose la fabrication de profilés sur-mesure pour toutes les formes souhaitées. Les profilés standards tels que les noues, bandes d'égout, bandes à rabattre, etc. sont également disponibles.Un service de location à la journée ou à la semaine donne accès à un large choix de matériels pour la mise en œuvre du zinc sur chantier (profileuses, sertisseuses à joint debout etc.)
Il y a 4 ans et 313 jours

Action logement présente Enéal, une foncière dédiée aux EHPAD

À travers cette démarche, l'objectif du Groupe est de répondre à une urgence sociale que la récente crise sanitaire a accentuée. Cette initiative s'inscrit dans le cadre du Plan d'Investissement Volontaire, conçu par les Partenaires sociaux au printemps 2019.Enéal, filiale immobilière d'Action Logement, est une société foncière dont l'objectif est de racheter des établissements médico-sociaux à but non lucratif et d'en assurer le portage afin de mener à bien des opérations de restructuration et de rénovation du bâti. L'ambition d'Enéal est de proposer une nouvelle offre d'hébergement de qualité aux retraités à revenus modestes.Cette initiative s'inscrit dans le cadre du Plan d'Investissement Volontaire, proposé par les Partenaires sociaux et signé avec l'État le 25 avril 2019. Elle a pour objectif :De soutenir les établissements médico-sociaux publics et privés non-lucratifs et de proposer des solutions innovantes d'habitat, en particulier pour les salariés retraités et les parents de salariés ;D'accompagner l'État et l'ensemble des collectivités territoriales dans l'accompagnement du vieillissement de la population, de l'allongement de la durée de la vie, du développement de la dépendance et des solutions de maintien à domicile ;D'apporter les moyens financiers, l'ingénierie et les savoir-faire nécessaire à un plan de patrimoine ambitieux, pour améliorer les conditions d'accueil des séniors tout en proposant des loyers maîtrisés ;De s'inscrire résolument dans le champ de l'économie sociale et solidaire en élargissant les domaines d'intervention d'Action Logement, au titre de l'engagement d'utilité sociale.Dotée de 350 millions d'euros de fonds propres, Enéal s'appuie sur l'expertise et le transfert de compétences de Logévie, filiale d'Action Logement Immobilier, implantée en NouvelleAquitaine, spécialisée dans le secteur médico-social et qui possède actuellement près de 5 000 logements dans des résidences intergénérationnelles, des résidences autonomie et des EHPAD.Le développement d'Enéal est un accélérateur de la stratégie du Groupe Action Logement sur le secteur médico-social. A travers 42 de ses filiales, le Groupe est déjà très fortement présent avec 533 établissements hébergeant des séniors, répartis sur l'ensemble des territoires, ce qui représente près de 20 000 logements.Enéal a pour ambition d'impulser et de coordonner une dynamique volontariste en se portant acquéreur dans les 3 années à venir de 150 établissements médico-sociaux pour y mener rapidement les interventions de remise à niveau nécessaires, en lien étroit avec les élus, les agences régionales de santé ainsi que les gestionnaires de ces structures. Enéal sera également partie prenante au développement de nouveaux établissements.Pour en savoir plus, consultez le dossier de presse sur www.actionlogement.frBruno ARCADIPANE, Président d’Action Logement Groupe, déclare : « Prendre en compte les évolutions liées à l’allongement de la durée de la vie et proposer des solutions d’hébergement dignes à nos aînés, s’inscrit pleinement dans nos missions d’utilité sociale et est désormais un défi urgent. Avec le Plan d’Investissement Volontaire, nous avons voulu marquer cet engagement. C’est pourquoi nous finançons la rénovation des EHPAD et résidences autonomie, pour renouveler une offre de logements à prix abordables ».Jean-Jacques PEROT, Vice-président d’Action Logement Groupe, souligne : « Accompagner le salarié à toutes les étapes de la vie, c’est notre vision de la solidarité. La Foncière Enéal, par les moyens qu’elle mobilise, va pouvoir rénover et réhabiliter des établissements médicosociaux à but non-lucratif et ainsi apporter des réponses concrètes aux retraités à revenus modestes ».
Il y a 4 ans et 313 jours

Aménagement d'un hôpital de campagne dédié au coronavirus sur le parc d'exposition d'Hanovre

Cet hôpital de campagne est conçu pour accueillir 500 patientes et patients ne nécessitant pas de soins médicaux intensifs. Plus de 80 médecins et une centaine de membres du personnel médical seront en mesure de soigner ces patients. L'exploitation de ce centre de soins sera prise en charge par l'École Supérieure de Médecine de Hanovre. Il devra être mis en service dès lors que tous les hôpitaux régionaux auront atteint leur capacité maximale. La transformation de halls d'un parc d'exposition en un hôpital de campagne nécessite de nombreuses installations techniques.Un équipement à la pointe C'est une équipe SPIE de Hanovre qui réalise l'installation des infrastructures de cet hôpital de campagne. Une telle opération présente un niveau d'exigences élevé, particulièrement en ce qui concerne l'équipement technique et la logistique qui l'entourent. « Le plus grand défi dans cette opération, c'est de transformer un hall de parc d'exposition vide en un centre médical de pointe - à commencer par l'installation et la mise en réseau du système de télécommunication », déclare Wolfram Ermlich, chef de projet au sein de la division Information & Communication Services de SPIE. À côté du hall destiné au traitement des patientes et des patients, il a fallu transformer d'autres halls - par exemple, pour la gestion des lits, pour les vestiaires du personnel, pour la cafétéria, pour la zone logistique et de stockage et pour le stationnement des véhicules.« En coopération avec Deutsche Telekom, nous avons installé dans la zone de soins aux patients environ 250 téléphones et 16 antennes DECT, et posé 15 kilomètres de câblages en cuivre ainsi qu'un kilomètre de câbles pour la fibre optique. De plus, ce sont cinq réseaux WLAN individuels qui sont à la disposition de cet hôpital de campagne », indique le chef de projet. De cette façon, une communication rapide, sûre et sans interruption peut être garantie à l'intérieur du centre de soins.En ce qui concerne l'installation électrique, d'innombrables prises et connexions ont été prévues pour alimenter les espaces individuels et collectifs, ainsi que les services administratifs situés dans les salles annexes et les halls adjacents.Un excellent partenariat Une bonne collaboration entre les différents responsables de l'opération - l'École Supérieure de Médecine de Hanovre en sa qualité d'exploitant, la Deutsche Messe AG en tant que maître d'ouvrage des halls ainsi que le Technische Hilfswerk en tant que directeur technique général du projet - a contribué à sa réussite.« Le client se félicite de la bonne coopération entre toutes les parties prenantes et se montre très satisfait de la façon dont une opération aussi exigeante a été jusqu'à présent menée à bien. », commente Wolfram Ermlich.
Il y a 4 ans et 313 jours

La métropole de Saint-Étienne annonce un plan de relance de 150 millions d'euros

À l'intérieur de cette enveloppe budgétaire, 70 millions d'euros serviront à "subventionner des projets communaux gelés ou suspendus, pour accélérer leur réalisation afin d'atténuer les conséquences économiques et sociales de la crise sanitaire", a déclaré lors d'une conférence de presse Gaël Perdriau, également candidat pour un nouveau mandat de maire de Saint-Étienne.80 millions d'euros seront aussi affectés à des projets relevant de la transition énergétique, de la rénovation urbaine, du développement de l'enseignement supérieur, et de l'accompagnement de jeunes entreprises en matière de recherche et d'innovation.L'élu a aussi annoncé "un doublement des moyens de la métropole en matière de lutte contre la précarité" et confirmé son engagement en faveur d'une stabilité de la fiscalité de cette collectivité au cours du prochain mandat.Saint-Étienne Métropole "négociera, au bénéfice des 53 communes qui la composent, un fonds d'emprunt de 150 millions d'euros auprès de grands opérateurs tels que la Caisse des dépôts et la Banque des territoires pour financer des projets à fort enjeux économique et social", a-t-il indiqué.Interrogé sur ce qui devait être un projet phare du prochain mandat, remis en cause par Élisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire, Gaël Perdriau a répondu être "toujours dans l'attente d'une réponse officielle du gouvernement concernant l'abandon de l'A45".Ce projet d'autoroute entre Saint-Étienne et Lyon représente un investissement de 1,2 milliard d'euros, pour lequel l'offre de Vinci avait été retenue et dont la Déclaration d'utilité publique prise voici 12 ans deviendra caduque le 16 juillet prochain.
Il y a 4 ans et 313 jours

Orly sortira vendredi de trois mois de sommeil forcé

A partir de vendredi, quelque 25 destinations seront desservies au départ d'Orly avec environ 70 décollages et atterrissages par jour -contre 600 en moyenne en temps normal- vers les Antilles, La Réunion, l'Italie, l'Espagne, le Portugal, l'Islande, la Croatie, la Guyane ou encore la Corse ou Rodez, des lignes d'obligations de service public (OSP).Environ 8.000 passagers y sont attendus vendredi -soit moins de 10% du trafic habituel de 90.000 passagers en moyenne par jour- sur l'aéroport centenaire, fermé aux vols commerciaux le 1er avril en raison de l'effondrement du trafic aérien sous l'effet des fermetures de frontières pour limiter la propagation du virus.Le trafic évoluera à partir du début juillet en fonction notamment de l'ouverture ou non des frontières par le Maroc, la Tunisie et l'Algérie.En mai, il s'est écroulé de 97,8% à Paris-Charles -de-Gaulle (CDG), au nord de Paris, où a été concentré tout le trafic pendant le pic de la crise, avec seulement 200.000 passagers accueillis.Pour s'adapter à un ciel encore très incertain -en raison de l'attentisme des voyageurs pour leur réservation, la levée des restrictions de voyages en ordre dispersé et de possibles recrudescences épidémiques-, la réouverture sera partielle avec d'abord le redémarrage d'Orly 3, puis progressivement d'Orly 4, 1 et 2."On a une crise qui est extrêmement brutale et qui est longue et surtout on se prépare à un redémarrage qui va être un peu lent, pour ne pas dire extrêmement lent", a prévenu mardi Alain Battisti, le président de la Fédération nationale de l'aviation marchande (Fnam).Un "uppercut" pour les compagniesSur le plan de la sécurité sanitaire, plus de 7.000 affiches et autocollants pour marquer la distanciation physique ont été apposés dans l'aéroport par son gestionnaire ADP ainsi que 150 distributeurs de gel et 137 plexiglas installés sur tous les comptoirs d'accueil, banques d'enregistrement et d'embarquement.Une caméra thermique a été installée à l'arrivée pour prendre la température des voyageurs et détecter d'éventuels cas de contamination par le coronavirus.En 2019, Orly a accueilli 31,9 millions de passagers essentiellement sur des vols dits de "point à point", de Paris vers la province, la Corse, l'Outre-mer ou encore l'Europe du Sud et le bassin méditerranéen.Les principales compagnies présentes à l'aéroport étaient Air France (29,6% du trafic), Transavia (17,5%), easyJet (9,2 %), Vueling (8,8%) et Air Caraïbes (4,1%) et 40% de son trafic était porté par des compagnies low-cost. L'Association internationale du transport aérien (Iata) table sur un retour du trafic au niveau de 2019 pas avant 2023. De nombreuses incertitudes pèsent en fonction de la situation sanitaire, mais aussi du comportement des voyageurs, en particulier ceux à haute valeur ajoutée des classes affaires qui ont pu prendre goût à la visioconférence pendant le confinement.Comme partout dans le monde, à Paris le trafic reprendra d'abord pour les vols intérieurs puis le moyen-courrier et enfin en dernier lieu le long-courrier et les liaisons intercontinentales.Si la période de quasi-arrêt du trafic a représenté un "uppercut" pour les compagnies aériennes, la période "de redécollage" restera "difficile", a commenté mardi Marc Rochet, président d'Air Caraïbes Atlantique."Le redécollage, il peut tuer. Parce que personne ne sait dire sa longueur, quand les clients vont revenir, comment ils vont remplir les avions..."
Il y a 4 ans et 313 jours

Joël Fourny élu président des Chambres des métiers et de l'artisanat

M. Fourny, dirigeant d'une entreprise de modelage mécanique, était opposé à deux autres candidats, Yvon Setze et Christian Vabret, au cours de l'assemblée générale de CMA France, précise l'organisation dans un communiqué.Joël Fourny était vice-président de CMA France depuis 2016 et auparavant à la tête du CMA régional des Pays-De-La-Loire.Le nouveau président a manifesté "sa volonté de poursuivre les combats de Bernard Stalter pour refonder complètement le réseau des chambres de métiers", selon le communiqué."Dans un contexte de crise sanitaire et économique liée au Covid-19, il axera ses actions pour une relance durable de l'économie de proximité et l'avenir de l'apprentissage", poursuit le texte alors que la montée en puissance de l'apprentissage en France risque d'être freinée à la rentrée par la crise économique consécutive à la pandémie.