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Il y a 4 ans et 342 jours

Covid-19 : le point sur les dispositifs pour les entreprises en difficulté

Au total, l'exécutif a déployé 450 milliards d'euros d'aides et de garanties de l'État, selon le ministre de l’Économie Bruno Le Maire. Le point sur les principaux dispositifs et les conditions pour en bénéficier. Le fonds de solidaritéPour aider les plus petites entreprises victimes de la crise, l'Etat a mis en place un fonds de solidarité doté de 7 milliards d'euros. Le premier volet de ce dispositif prévoit de compenser jusqu'à 1.500 euros la perte de chiffre d'affaires des très petites entreprises (TPE), des indépendants, micro-entrepreneurs et professions libérales.Pour en bénéficier, ces sociétés doivent notamment avoir fait l'objet de fermetures administratives, réaliser un chiffre d'affaires de moins un million d'euros et employer moins de 10 personnes.Le deuxième volet permet aux entreprises connaissant le plus de difficultés d'obtenir quant à elles jusqu'à 5.000 euros d'aide complémentaire versée par les régions.Plus spécifiquement pour les secteurs à l'arrêt comme l'hôtellerie, la restauration ou l'événementiel, l'aide est portée jusqu'à 10.000 euros et l'accès au fonds prolongé jusqu'à fin 2020.Le prêt garanti par l’État (PGE)Toutes les entreprises, quelle que soit leur taille ou leur forme juridique, ayant des difficultés de trésorerie, peuvent en faire la demande auprès de leur banque. Annoncés fin mars, les prêts garantis par l'Etat pourront atteindre au total 300 milliards d'euros, soit l'équivalent de 15% du produit intérieur brut (PIB) français.Ce qui veut dire qu'en cas de non-remboursement, l'État prendra à sa charge la majeure partie du reste du crédit à rembourser. Seules sont exclues de ce dispositif certaines sociétés civiles immobilières, les établissements de crédit et les sociétés de financement.Depuis le lancement du PGE, les banques françaises ont comptabilisé environ 80 milliards d'euros de demandes, pour un demi-million de prêts, a précisé jeudi Bruno Le Maire au Figaro.L'activité partielleSelon une estimation du ministère du Travail fin mai, le cumul des demandes d'autorisation de chômage partiel a atteint 12,7 millions depuis le 1er mars, tandis que 8,6 millions de salariés auraient bénéficié du dispositif qui a jusqu'ici permis d'éviter une explosion du chômage en France.Les salariés du privé mis au chômage partiel par leur entreprise bénéficient actuellement d'une garantie de 84% du salaire net (100% au niveau du Smic), que l’État et l'assurance chômage remboursent intégralement aux employeurs dans la limite de 4,5 Smic.En raison du déconfinement, le gouvernement a toutefois prévu que les entreprises contribuent dans des "proportions raisonnables" aux salaires des employés maintenus au chômage partiel, après le 1er juin, l'objectif étant d'inciter à la reprise d'activité.En revanche, le recours à l'activité partielle pour les entreprises du tourisme et de la restauration sera possible jusqu'à au moins fin septembre, "dans les mêmes conditions qu'aujourd'hui", a précisé le Premier ministre.Le report des chargesDepuis le 15 mars, les entreprises en difficulté ont la possibilité de décaler de trois mois la date de paiement de leurs cotisations sociales, sans pénalité. Très sollicités, ces reports s'élevaient à 17 milliards d'euros début mai, selon le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin. Ce bilan provisoire concerne les charges sociales des régimes général, agricole et Agirc-Arcco.Côté fiscal, les entreprises ont également la possibilité de demander le report de l'impôt sur les sociétés ou les taxes sur les salaires auprès de la Direction générale des finances publiques (Dgfip).Les charges pour les entreprises de moins de 10 salariés ayant fait l'objet d'une fermeture administrative depuis le 15 mars, sont elles supprimées.
Il y a 4 ans et 342 jours

Les assemblées générales virtuelles des copropriétés pourront être généralisées

"Je vais présenter tout à l'heure en conseil des ministres un bout de texte législatif qui va permettre de rendre possible les AG de copropriétaires, mais de matière dématérialisée: par visioconférence, par téléphone", a déclaré sur Sud Radio le ministre du Logement, Julien Denormandie.Les assemblées générales sont essentielles au bon fonctionnement d'une copropriété, car c'est là que les propriétaires décident des frais à engager, en particulier les travaux. Ils s'y prononcent aussi pour renouveler ou non le mandat du syndic, l'organisme généralement professionnel qui gère la copropriété pour leur compte.Le gouvernement avait déjà accédé à une demande des syndics en prolongeant de plusieurs mois les mandats qui devaient arriver à échéance pendant la crise, les assemblées ne pouvant se tenir alors qu'un strict confinement était imposé aux Français.Mais le secteur voulait aller plus loin en permettant que les AG se tiennent à distance, dans l'idée qu'il sera impossible d'en organiser suffisamment tout en respectant les restrictions sanitaires contre le coronavirus. Les rassemblements publics de plus de dix personnes sont ainsi exclus pour l'heure.La participation à distance est déjà une possibilité si la copropriété le décide, mais une telle mesure nécessite d'être elle-même adoptée lors d'une précédente assemblée générale. Pour éviter une situation inextricable, le gouvernement va donc généraliser temporairement cette possibilité."On va le rendre possible à partir de début juin", a déclaré M. Denormandie. Le ministère a précisé à l'AFP que la mesure courrait jusqu'au 31 janvier 2021.
Il y a 4 ans et 342 jours

Le gouvernement souhaite élargir l'utilisation des fonds du Livret A qui a battu des records en avril

En avril, la collecte nette sur le Livret A a atteint 5,47 milliards d'euros contre 2,71 milliards en mars. Un an plus tôt, elle s'élevait à un peu moins de deux milliards, selon des chiffres publiés mercredi par la Caisse des dépôts.La collecte sur le Livret de développement durable et solidaire (LDDS), qui contribue au financement de l'économie sociale et solidaire, a également atteint un niveau mensuel historique à 1,93 milliard d'euros.Au total, la collecte nette sur le Livret A et le LDDS réunis, placements tous les deux défiscalisés, s'est élevée à 7,39 milliards d'euros en avril. En cumulé sur les quatre premiers mois de l'année depuis janvier, elle a atteint plus de 17 milliards d'euros.Fin avril, l'encours total d'épargne placée sur les deux produits atteignait 428,2 milliards d'euros."Niveau jamais atteint"C'est "un niveau jamais atteint depuis la précédente crise (...) trois fois plus qu'au mois d'avril 2019", a affirmé mercredi matin Éric Lombard, directeur général de la Caisse des dépôts, lors d'une audition devant des commissions sénatoriales.Cet embellie n'est pas le résultat d'une rémunération attractive : le taux de rémunération du Livret A et du LDDS a été abaissé en février de 0,75% à 0,5%, soit son plus bas niveau historique."Les Français ont épargné parce qu'ils ne pouvaient pas dépenser et cette absence de dépenses naturellement pèse sur l'économie", a estimé M. Lombard.En France, les mesures sanitaires mises en place pour lutter contre le Covid-19 ont entraîné la fermeture pendant plusieurs semaines des commerces non-essentiels.À cette épargne forcée s'est ajoutée une autre épargne, volontaire celle-ci, placée en réserve par certains ménages inquiets."Aujourd'hui, nous estimons l'épargne des Français à 40% de leurs revenus", a souligné mercredi M. Lombard, ajoutant "que le plus tôt elle [ressortirait] (...) pour financer la consommation et l'investissement, le mieux ce [serait]"."Mais dans l'intervalle, cette épargne ne dort pas, elle est pleinement utilisée pour le soutien de notre économie: l'activité de financement du logement social se poursuit, l'activité de financement des collectivités locales a augmenté de façon importante et, de plus en plus, nous allons l'utiliser", a détaillé le numéro un de la Caisse des dépôts.Utilisation "élargie" des fonds"Nous sommes très favorables à l'idée (...) que l'utilisation de ces fonds puisse être élargie pour être plus utile et plus efficace en cette période de sortie de crise", a-t-il défendu devant les sénateurs.Le directeur de la Caisse des dépôts rejoint ainsi les propos tenus à la mi-avril par le ministre de l'Économie Bruno Le Maire, qui souhaitait de l'investissement et non de l'épargne pour relancer l'économie."Le mois d'avril restera dans les annales de l'épargne française. (...) Malgré leur faible rendement, le Livret A et le LDDS sont les grands gagnants de cette période très particulière d'épargne subie", a réagi dans une note Philippe Crevel, directeur du Cercle de l'épargne, cabinet de réflexion sur l'épargne et sa réglementation.De façon plus générale, "l'augmentation de l'épargne de précaution a été constatée lors de chaque crise depuis 1973", relève cet analyste."La collecte du mois d'avril 2020 est une collecte d'attente, mais aussi de précaution. Dans un contexte plus qu'incertain, les ménages ont décidé de renforcer leur épargne liquide afin de faire face à d'éventuelles problèmes de court terme. Parmi les sujets d'inquiétudes figurent évidemment la santé mais aussi le risque de perte d'emploi ou de revenus", explique-t-il.Selon lui, "au regard des précédentes crises, le dégonflement de l'épargne de précaution sera progressif et risque de ne pas être totale d'autant plus que le retour à la normale s'annonce long. Les craintes d'une longue crise économique incitent les ménages à maintenir un fort volant de liquidités".
Il y a 4 ans et 342 jours

AMCC décline ses coulissants alu en version à galandage

Une esthétique panoramique 1 pour un confort sans limiteIdéal pour supprimer les frontières entre l'intérieur et l'extérieur de l'habitat, les nouveaux coulissants aluminium à galandage CG70 d'AMCC associent :un dormant de 160 mm à coupe droite, avec ou sans panneau isolant,un ouvrant équipé d'un double vitrage à isolation thermique renforcée 4/20/4 avec intercalaire à bord aluminium pour la ligne Élégance et à bord chaud pour la ligne Excellence.Ces caractéristiques techniques confèrent à l'ensemble d'excellentes performances pour atteindre un coefficient de transmission thermique de 1,7 à 1,4 W/m2.K et une étanchéité à l'air et à l'eau respectivement de A*3-E*6B-V*A2 pour le coulissant aluminium CG70 Élégance, et de A*4-E*6B-V*A2 pour la ligne Excellence.Avec leurs profilés et leur montant central étroits, les coulissants aluminium à galandage d'AMCC autorisent la création de larges baies vitrées, y compris de grande hauteur (jusqu'à 2,60 m), avec un clair de jour optimal.Disponibles sur-mesure en version monorail 1 vantail (avec refoulement sur un côté) ou monorail 2 vantaux (à refoulement sur deux côtés), les coulissants CG70 sont munis d'un rail en polyamide qui, associé à des joints en partie basse, facilite leur manipulation. Les vantaux disparaissent alors entièrement dans l'épaisseur de la cloison pour apporter un maximum de lumière naturelle.Cette ouverture maximale du coulissant permet également de gagner en liberté de circulation grâce à un accès totalement dégagé sur l'extérieur.Des coulissants à la sécurité assurée 2 et au design préservéPermettant de créer de larges ouvertures pour offrir une vue imprenable sur le paysage, les coulissants aluminium à galandage d'AMCC laissent entrer la nature dans le séjour sans négliger la sécurité. Pour cela, ils disposent :d'un profilé de réception de cloison qui garantit une rigidité maximum et une protection renforcée,d'une serrure à 2 ou 3 points de fermeture par crochets et gâches inox au service d'une grande résistance à l'effraction.Pour répondre aux exigences esthétiques et décoratives de chaque habitat, les nouveaux coulissants CG 70 sont proposés dans un large choix de coloris, en finition lisse ou granité mate ainsi qu'en bi-coloration, procédé qui permet d'appliquer une teinte différente sur les profilés intérieurs et extérieurs.Et pour une finition parfaite jusque dans les moindres détails, les coulissants sont manœuvrables à l'aide de différents modèles de poignées (poignée décalée anti-pince doigt, poignée Aktiv ou encastrée).En enrichissant sa gamme de coulissants aluminium avec ces versions à galandage, AMCC propose une offre complète de coulissants, fenêtres et porte-fenêtres à frappe qui s'associent parfaitement, créant ainsi une harmonie entre l'ensemble des menuiseries de la maison.
Il y a 4 ans et 342 jours

« De la Terre au Soleil » : le nouveau rapport RSE de Terreal met en lumière son engagement profond et ses initiatives innovantes

Aussi le titre de son nouveau rapport RSE, « de la Terre au Soleil », n'est pas un hasard. Tout en restant ancré dans les traditions liées à la terre cuite, TERREAL a pris un tournant majeur avec un développement fort du solaire pour affirmer son engagement dans la transition énergétique et la lutte contre le réchauffement climatique. Avec ce rapport RSE riche en infographies, TERREAL explicite la pertinence de ses réalisations et de ses objectifs, de ses succès mais aussi de certaines difficultés, dans un contexte de transformations environnementales, économiques, industrielles et socioculturelles.La RSE est plus qu'un concept pour le secteur de l'habitat qui est en constante mutation : elle constitue un levier de performance puissant que TERREAL a su saisir pour écrire son futur et garantir la pérennité de ses activités. Pour atteindre ses objectifs, le Groupe a en effet définit une stratégie RSE forte, articulée autour de 4 engagements principaux :agir pour l'environnement ;accompagner localement;développer des relations et des conditions de travail responsables ;soutenir l'innovation durable. En visant un horizon à très court terme et en y consacrant des investissements immédiats, TERREAL s'emploie à construire, promouvoir et généraliser une démarche collaborative et opérationnelle d'ici à 2021.Il s'appuie pour cela sur une organisation dédiée, intégrant des comités de pilotage, des groupes de travail et des référents pour chacun des objectifs fixés. TERREAL a également réalisé en 2019 un Code de Conduite qui est aujourd'hui appliqué à l'ensemble du Groupe et a été diffusé à toutes ses parties prenantes.En route vers le bas carbone !Mener une démarche concrète de développement durable est un pilier stratégique de TERREAL qui cherche au quotidien à éviter, réduire et compenser les impacts de ses activités grâce à différentes initiatives, dont l'application d'une feuille de route bas carbone.Conscient de son rôle dans la conservation des ressources et de la biodiversité, TERREAL engage des actions d'économies afin de limiter ses prélèvements d'argile et de sable. L'entreprise se mobilise pour concevoir des projets de carrière les moins impactants possible, pour revitaliser les milieux et enrichir la biodiversité pendant et après exploitation. Ses carrières font aussi l'objet d'initiatives complémentaires visant à approfondir sa connaissance de la biodiversité et à conduire, le cas échéant, des actions de compensations.La culture du mécénat inscrite dans l'ADN de TERREALLa présence de TERREAL à l'échelle des territoires implique une relation de confiance et un dialogue constant avec tous les acteurs locaux : collaborateurs, clients, utilisateurs finaux, associations, collectivités locales et institutions.TERREAL met en place des actions pour la formation et la création d'emplois en zone rurale, le soutien aux initiatives culturelles et sociales, ainsi que la préservation du patrimoine avec pour exemple en 2019 l'opération emblématique de mécénat du château de La Salvetat-Saint-Gilles ou l'annuel Concours des Terroirs de TERREAL.Château de La Salvetat-Saint-GillesGarantir la santé et la sécurité de tous les collaborateurs : une priorité absolue Attachés à la transmission et au partage de valeurs communes, TERREAL place l'humain au cœur de ses préoccupations. Ses collaborateurs constituent en effet sa première richesse et TERREAL agit au quotidien pour leur garantir un environnement de travail adapté et sain.Ainsi, le travail en hauteur, les interventions sur machine et la circulation piéton-engin ont fait l'objet de nombreuses initiatives pour réduire ces risques potentiellement grave.En 2019, TERREAL a même lancé son Challenge Sécurité interusines. Il permet ainsi à ses collaborateurs d'être acteur de leur sécurité et d'identifier toutes les situations dangereuses pour les traiter immédiatement et éviter les accidents. La prévention a franchi un cap supplémentaire avec 4 fois plus de remontées terrain identifiées dont 83% déjà traitées.Une innovation au service de ses clients et au développement de l'habitat durable avec le solaireLe bâtiment représente aujourd'hui environ 40% des consommations totales d'énergie en France et près de 20% des émissions de CO2. Face à ce constat, TERREAL s'est donné pour mission de contribuer au développement d'un habitat sain et durable. Entretenir des relations durables, transparentes et éthiques avec toutes ses parties prenantes, écouter et accompagner ses clients lui permet de continuer à avancer et à anticiper les attentes et les changements de la société. Déjà au cœur de la stratégie d'innovation de TERREAL, l'objectif pour 2021 est que 100% de ses produits soient couverts par une démarche d'éco-conception.L'innovation responsable de TERREAL repose sur 3 grands axes :contribuer à accroître l'efficacité énergétique et à réduire l'impact carbone des maisons,permettre de préserver l'identité et le caractère patrimonial de nos régions,donner la possibilité à ses clients de travailler en sécurité et de préserver leur santé.Lancé en janvier 2020, le programme « Demain, Tous Solaire » de TERREAL s'inscrit pleinement dans cette stratégie d'innovation. Avec ce programme, le Groupe s'inscrit davantage dans les grandes mutations du bâtiment pour construire l'habitat du futur au travers de solutions de toitures solaires intelligentes, permettre la production hyperlocalisée d'énergie verte et accompagne ses clients historiques dans le virage énergétique.
Il y a 4 ans et 342 jours

Un groupement mené par Vinci remporte un contrat de 799 millions d'euros pour le Grand Paris Express

Ce marché comprend la réalisation de 11,8 kilomètres de tunnel qui seront creusés par deux tunneliers, la réalisation des gares d'Antonypôle, Massy-Opéra et Massy-Palaiseau, ainsi que la traversée de la future gare Aéroport d'Orly, déjà en travaux, et de 13 ouvrages de service de l'Est de la ligne.Il s'agit du premier marché de génie civil de la ligne 18, qui a vocation à relier Orly à Versailles via Massy-Palaiseau et le plateau de Saclay à l'horizon 2030, a souligné la SGP dans un communiqué."L'attribution de ce marché (...) concrétise l'engagement de la Société du Grand Paris à réaliser l'intégralité des lignes du Grand Paris Express", a relevé son président Thierry Dallard, cité dans le communiqué.Très attendue par les élus et institutions situées sur son parcours, la ligne 18 est aussi la plus controversée du projet de métro du Grand Paris, car traversant des zones peu denses. Le chantier emploiera "jusqu'à 700 personnes en période de pic d'activité", a relevé Vinci dans un communiqué distinct.Le groupement, dont les différentes filiales de Vinci représentent 75%, est composé pour les 25% restants de deux filiales de Spie batignolles.
Il y a 4 ans et 342 jours

SPIE équipe BMZ Group avec les dernières technologies d'ingénierie du bâtiment

Les travaux initiés par SPIE en août 2019 sur le site du nouveau centre logistique de l'entreprise devraient s'achever prochainement. Ce contrat a été confié à SPIE GfT, une filiale de SPIE Deutschland & Zentraleuropa basée à Essen.À Karlstein am Main, en Bavière, BMZ Group développe et fabrique, entre autres activités, des systèmes de batterie high-tech destinés à équiper un large éventail de produits de fabricants de renommée mondiale, notamment des véhicules électriques. Le maître d'œuvre pour ces deux projets est LIST Bau, avec lequel SPIE a déjà collaboré par le passé.Des exigences élevées pour le système d'alarme incendieBMZ Group a décidé de construire un nouveau hall de production qui vient s'ajouter aux deux halls existants à Karlstein, ainsi qu'un nouveau centre logistique comprenant un entrepôt à hauts rayonnages pour les batteries. Ce centre est unique en Allemagne. SPIE est chargée de l'installation complète de l'infrastructure électrique, des câbles d'alimentation et systèmes de distribution aux raccordements au réseau, non seulement dans le nouveau centre d'assemblage de batteries, mais également dans le nouveau centre logistique.Le fournisseur de services multi-techniques assure également l'installation des câbles du réseau informatique, des systèmes audio et vidéo, et des dispositifs d'alarme incendie complexes. « En cas d'incendie, il est difficile d'éteindre le feu au niveau des batteries ; le système d'alarme incendie requis doit répondre des exigences très strictes. Outre l'installation de dispositifs d'alarme incendie au plafond des halls à 20 mètres de hauteur, nous équipons la totalité des racks grande hauteur d'un système d'évacuation des fumées (EFC) qui contrôle l'air en permanence à la recherche d'éventuelles variations. Cela permet de détecter les particules de fumée en quelques secondes et de déclencher l'alarme immédiatement. Au total, nous posons 3,5 km de conduits d'évacuation des fumées. » explique Baki Aslan, chef de projet chez SPIE GfT, l'entité chargée de l'exécution du contrat.Le concept du système d'alarme incendie a été préalablement approuvé par les pompiers. Baki Aslan : « Nous installons également, entre autres, 4 km de câbles d'alarme incendie, 35 km de câbles de transmission données, 60 km de divers câbles électriques et 150 détecteurs de fumée dans les bureaux et les espaces communs, ainsi que 300 lampes dans l'ensemble du complexe. »Le centre logistique étant situé en bordure d'une réserve ornithologique, son éclairage nocturne répond à des exigences spécifiques : « Sur les 27 mâts d'éclairage que nous installons, seul un tiers fonctionne à partir d'une certaine heure, afin de ne pas perturber la faune locale. L'éclairage doit toutefois être suffisant lors de la rotation des équipes », souligne le chef de projet.Une collaboration efficace et un fonctionnement respectueux de l'environnementSuite à l'évolution des exigences en cours de projet, SPIE a pris en charge des services supplémentaires en cours de déploiement dans le centre logistique. Baki Aslan précise : « Nous introduisons beaucoup de nouvelles solutions pour le client et proposons des améliorations pour un fonctionnement efficace. Nous échangeons régulièrement avec le client afin d'élaborer ensemble des solutions optimales et de réagir rapidement et de manière constructive aux nouvelles situations. » En période de pointe, le chef de projet est présent sur le site avec une équipe de près de 20 collaborateurs. « Après l'achèvement réussi des travaux dans le nouveau centre d'assemblage de batteries, nous nous attachons désormais à boucler les travaux de l'entrepôt à hauts rayonnages, afin que les batteries produites puissent y être stockées de manière optimale », précise Baki Aslan.
Il y a 4 ans et 345 jours

L'OPPBTP accompagne les référents Covid-19 au sein des entreprises grâce à des formations en ligne

Dans le cadre de sa mission d'accompagnement des professionnels du BTP pour la prévention des risques, l'OPPBTP a donc mis en place de nombreux outils pour les soutenir dans la gestion de cette situation exceptionnelle. L'Organisme propose aujourd'hui deux outils de formation en ligne entièrement dédiés aux référents Covid-19. L'objectif est de les aider à s'approprier les nouvelles missions qui leurs sont confiées ainsi que les outils mis à leur disposition pour y parvenir.Référent Covid-19, un rôle inédit au sein des entreprisesLes nouvelles mesures de prévention exigées pour lutter contre la propagation du Covid-19 bouleversent largement les habitudes des personnels sur les chantiers. Or pour adopter de nouvelles façons de travailler et acquérir de nouveaux réflexes, il est indispensable d'accompagner les équipes en mobilisant les moyens humains. C'est la raison pour laquelle le guide de préconisations de l'OPPBTP propose de désigner un ou plusieurs référents Covid-19 entreprise et chantier. Leur rôle est de coordonner les mesures à mettre en œuvre et de les faire respecter tout en les adaptant à la réalité terrain propre à chaque entreprise. Cela nécessite de connaître les gestes barrières et les préconisations de sécurité sanitaire complémentaires de l'OPPBTP, mais aussi d'être capable de les déployer dans toutes les situations.Deux outils de formation dédiés aux référents Covid-19Dans le cadre de cette situation inédite, l'OPPBTP s'engage donc à accompagner les référents Covid-19 pour les aider à endosser leurs nouvelles responsabilités. Pour cela, l'Organisme propose deux outils de formation gratuits :La formation à distance Référent Covid-19 : mise en place sous la forme de classe virtuelle, cette formation de 2h30 est encadrée par un formateur de l'OPPBTP. Son objectif est de permettre à chaque référent de comprendre les enjeux de sa mission, d'utiliser les outils opérationnels à sa disposition et de l'aider à déployer un plan d'action Covid-19 dans son entreprise en mobilisant les équipes sur la gestion de ce risque. Plusieurs sessions nationales regroupant 15 personnes maximum sont organisées à partir du 14 mai et jusqu'à fin juin. Les référents qui le souhaitent peuvent d'ores et déjà s'inscrire en ligne sur la plateforme de formation à distance de l'OPPBTP.Un module elearning Référent Covid-19 : cette formation de 15 minutes seulement permet à chaque référent de comprendre facilement l'essentiel de sa mission et de découvrir les outils opérationnels qui sont à sa disposition pour la mener à bien. Chaque référent peut y accéder en totale autonomie et quand il le souhaite sur le site preventionbtp.fr. Présenté de manière simple, il se compose de trois vidéos interactives suivies d'un quiz pour tester ses connaissances.
Il y a 4 ans et 345 jours

L'IoT au service du Smart Building

Cette évolution ouvre la voie vers de nouvelles perspectives en matière d'efficience, de performance énergétique et d'intelligence du bâtiment. Comme tout pouvoir, cela implique de grandes responsabilités. C'est dans cet esprit que la loi ELAN et de récents décrets ont vu le jour, dont l'objectif est notamment de réduire la consommation énergétique des bâtiments tertiaires de plus de 1000 m² de 60% entre 2010 et 2050.Dans ce contexte, il est possible de se demander quel rôle jouera l'IoT pour atteindre cet objectif et quelles sont les projections envisageables d'un Smart Building en 2050 ?Remontée des données et performance énergétique du bâtimentAfin d'analyser le fonctionnement d'un bâtiment, il est tout d'abord nécessaire de disposer d'un maximum de données. Pour cela, il faut équiper un bâtiment d'une multitude de capteurs et de solutions connectées. Cela passe à la fois par un renouvellement des solutions GTB (Gestion Technique de Bâtiment) déjà en place mais quelque peu obsolètes, et par l'installation de nouveaux équipements connectés afin de réaliser une gestion intelligente centralisée.Première pierre à l'édifice, les compteurs connectés. Grâce à ces équipements, il est possible de remonter les données de consommations électriques, de gaz et d'eau d'un bâtiment. Ils permettent d'identifier les comportements anormaux et d'en apprendre davantage sur les comportements de consommation des utilisateurs. D'autres éléments de type chaudière, HVAC (chauffage, ventilation et climatisation) ou encore éclairage, permettent d'alimenter en données une unité centrale (ou poste de supervision), cerveau du bâtiment intelligent et de l'optimisation énergétique.Non directement impliqués dans les aspects de performance énergétique mais nécessaires pour rendre un bâtiment encore plus performant dans son fonctionnement : tous les éléments de contrôle, dispositifs ou systèmes d'alerte qui permettent de détecter rapidement toute activité anormale afin de réagir le plus vite possible.Un élément essentiel intervient dans un second temps afin de remonter ces données : la connectivité. Pour ces applications, différentes solutions peuvent être choisies. Le réseau filaire offre une option robuste et sécurisée, mais est coûteux et s'approche de l'obsolescence (fin du RTC). Le réseau local (wifi d'un bâtiment) reste envisageable mais limité pour accueillir de multiples fournisseurs de solution car il nécessite des autorisations d'accès au réseau pour chaque nouvel équipement.De son côté, le GSM et les cartes SIM multi-opérateurs auront un avantage certain du fait de leur facilité de déploiement, leur fiabilité, leur pérennité et leur spectre d'utilisation. Intégrées directement au sein d'un équipement, elles permettront de remonter, en temps réel et de façon simultanée, les données d'usage des différents compteurs et capteurs, et de télé-maintenir les solutions. Les nouveaux réseaux LPWAN pourront aussi être utilisés pour des solutions nécessitant que très peu de données et pour améliorer la pénétration des ondes à l'intérieur du bâtiment.Plongeons dans le futur : année 2050, le prochain Smart BuildingDès lors, nous pouvons nous demander à quoi ressemblera le bâtiment de 2050 ? Il est possible d'imaginer que les immeubles seront dotés de parkings connectés qui indiqueront aux conducteurs les places disponibles. Ces places pourront être équipées de bornes de recharge électrique leur permettant de se connecter au réseau du bâtiment pour recharger et mettre à jour le logiciel embarqué dans leur véhicule.Afin d'entrer dans le bâtiment, les collaborateurs pourront ensuite être amenés à s'identifier à l'aide de leur paume de main. Cette solution de contrôle d'accès a pour objectif d'assurer la gestion des droits dans le bâtiment. Grâce à cette identification, l'ascenseur sera également en mesure de les conduire directement à leur étage. Par ailleurs, ces ascenseurs connectés permettront de réaliser de la maintenance prédictive et de gérer les appels d'urgence.A l'intérieur du bâtiment, les collaborateurs pourront croiser des panneaux d'affichage digitaux annonçant les évènements au sein de l'entreprise, les informations du bâtiment ou encore la météo. Des capteurs disposés dans le bâtiment leur permettront également de détecter les salles de réunion utilisées ou non et de les diriger.Il est possible d'imaginer que tous les compteurs (électriques, à gaz, d'eau) seront connectés et remonteront leurs données d'usage pour détecter les comportements anormaux (fuites, consommation excessive) et être télé-maintenus à distance. Le bâtiment autonome apprendra chaque jour les comportements de ses usagers, et sera en capacité de réaliser du « Demand response », c'est-à-dire une gestion des pics et creux de consommation. À la fin de la journée, il sera en mesurer d'activer automatiquement les alarmes, de baisser le niveau de chauffage, d'éteindre toutes les lumières, et d'agir à nouveau automatiquement avant l'arrivée du premier employé le lendemain matin.Tous ces usages cumulés permettront à la fois d'optimiser la consommation énergétique et de réduire les coûts tout en améliorant le bien-être des collaborateurs de l'entreprise. Cependant, pour arriver à ce scénario, les grands enjeux des années à venir seront l'interopérabilité entre les solutions, la sécurité des objets connectés et la combinaison de l'intelligence artificielle avec toutes les données remontées.Le bâtiment intelligent de demain sera à la fois intelligent, autonome et aura une part prépondérante dans la future Smart City. Pour cela, les solutions connectées et les réseaux IoT seront la boussole permettant d'envisager un monde optimisé et autonome en énergie.Par Gweltaz Le Coz, expert Smart Building chez Matooma
Il y a 4 ans et 345 jours

Marché et crédit immobilier : bilan des comportements et perspectives de reprise

Dans ce contexte, Rami Karam, Directeur Général de lesfurets, et Sylvain Lefèvre, co-fondateur et Président de La Centrale de Financement, réalisent un état des lieux de la situation actuelle et dressent les perspectives de reprise progressive, en ces premières semaines de déconfinement.Point de vue de deux experts :Les marqueurs d'une accélération des solutions digitalisées pour faciliter les démarches immobilièresSylvain Lefèvre : Le confinement a eu un impact très fort sur la demande de crédit immobilier. Malgré le maintien des projets en cours, beaucoup de nouvelles affaires ont été annulées ou différées. Le décret du 4 avril permettant aux notaires de proposer des signatures électroniques pour tous les actes notariés a facilité les démarches qui étaient en attente. L'adaptation des acteurs de l'immobilier avec l'augmentation des visites virtuelles a également ouvert la voie à une reprise progressive du marché.De notre côté, nous avons mis au point, comme la plupart de nos banques partenaires, la signature électronique afin de finaliser, dans les meilleurs délais, les demandes de prêts de nos clients. Nous nous sommes également chargés de prolonger la validité des offres de prêt jusqu'à 90 jours, contre 30 jours habituellement. La digitalisation de la chaîne immobilière s'est donc accélérée avec une légère augmentation des taux au mois d'avril sans que celle-ci n'impacte véritablement les conditions d'emprunt. Les conditions de taux généralement constatées augmentent légèrement pour l'ensemble des durées habituelles de prêts avec 0.07% d'augmentation sur 10 et 25 ans, 0,08% sur 7 et 15 ans. Cette légère tendance haussière s'accentue pour les emprunts sur 20 ans, avec 0.09% d'augmentation constatée, ainsi que pour les emprunts effectués sur 12 ans, pour lesquels les taux se sont accrus de 0.1%.À date, les pertes du marché sont difficiles à estimer, elles seront plus visibles en août-septembre en raison du report de certaines signatures sur mai-juin ; l'été étant une période peu propice aux transactions immobilières.Rami Karam : Côté comparaison, après avoir noté une baisse de quasi 50% des visites sur notre site et de 67% des simulations de tarification sur le produit prêt immobilier au mois d'avril versus la première quinzaine de mars alors que nous comptabilisons 300.000 devis annuels sur le produit immobilier en temps normal, les simulations repartent à la hausse avec une forte reprise depuis le début du mois de mai versus le mois d'avril (+58% en trafic naturel uniquement), celles-ci étant encore plus exploratoires qu'intentionnistes.Pour 70% des Français, l'achat immobilier est l'objectif d'une vie et se fait 1,5 fois au cours de celle-ci, un indice qui explique le choix des consommateurs de continuer à se projeter en faisant des estimations de prêts immobiliers, malgré la période. Sachant qu'un tiers de la charge mentale des Français a été liée à la gestion des dépenses contraintes pendant le confinement, nous avons voulu tenir notre promesse d'accompagnement de cette valeur refuge en développant de nombreux contenus sur le site pour donner des éléments de décryptage et de conseils aux utilisateurs notamment sur les reports et suspensions de prêts. Aujourd'hui, de nombreuses visites s'orientent encore prioritairement vers des pages de contenu plutôt que sur les pages amenant l'usager vers le tunnel de comparaison.Report ou suspension de crédit et assurance emprunteur, quelle bonne formule pour maintenir un budget impacté par la crise économique ?R. K. : En France, l'encours de remboursement de prêts immobiliers détenus par 9 millions d'emprunteurs est de 1.300 milliards d'euros. Si les revenus des Français sont en baisse, il existe des solutions à l'instar du marché italien qui a adopté le 11 mars dernier la possibilité de suspendre le remboursement de son prêt immobilier jusqu'à la fin de l'année. S. L. : La modulation des échéances de prêt n'est possible, en France, que si cette clause est prévue au contrat de prêt (mais, ces clauses ne s'appliquent souvent qu'à partir d'une ou deux années de crédit). Au regard de la situation inédite dans laquelle se trouve l'ensemble du pays, le report des échéances de prêt a été rendu possible pour une durée de 6 mois. Sans pénalités ni frais additionnels, cette mesure exceptionnelle est une solution véritablement solidaire et efficace apportée par les banques. Elle permet à un grand nombre d'emprunteurs de se prémunir de fins de mois difficiles.R. K. : Pourtant cette bonne initiative a un coût et un impact fort : l'allongement des intérêts et le coût de l'assurance qui perdure même en cas de suspension ou report. S. L. : En effet, les échéances de l'assurance emprunteur ne sont pas reportables, puisque le contractant au prêt continue d'être exposé aux différents aléas couverts par l'assurance (ex : problèmes de santé, décès etc.). Celui-ci ne peut pas non plus être dispensé du paiement de ses mensualités, malgré une baisse de revenu liée au chômage partiel. Les assurances emprunteurs ne couvrent en général que la baisse de revenu engendrée par la perte d'un emploi, pour motif économique. R. K. : C'est ici que la comparaison est une solution économique importante. Grâce à la loi Bourquin, les emprunteurs peuvent résilier leur contrat d'assurance emprunteur en deux temps trois mouvements et effectuer des économies pouvant s'élever à plusieurs milliers d'euros par an. Dans la majorité des cas, séparer son crédit et son assurance est une démarche très rentable et les économies peuvent dépasser en moyenne jusqu'à 1.000 euros sur la durée totale du prêt.Le rachat de crédits, champion du traitement à distanceR. K. : Même si nous avons noté une baisse de 30% des demandes d'utilisateurs sur notre site sur les trois premières semaines de confinement, le travail à distance de nos partenaires sur les produits financiers comme le rachat de crédits ainsi que la possibilité de ne pas avoir de frein à la finalisation des documents a permis un maintien de l'offre comme de la demande intéressant pour les consommateurs. Nos partenaires bancaires ainsi que les courtiers ont continué à se rendre disponibles avec des outils digitaux simples et éprouvés. Les simulations reprennent de façon certaine depuis deux semaines avec +30 à 40% sur le produit rachat de crédits.S. L. : La crise que nous vivons actuellement risque d'impacter sur une longue durée les revenus des Français ainsi le rachat de crédits peut permettre de réduire le montant dépensé chaque mois en remboursement d'échéances incluant le capital et les intérêts. Le rachat de crédits pourrait être une solution pour abaisser le poids des crédits sur le budget mensuel des Français.R. K. : À noter que la baisse des mensualités peut aller jusqu'à 60% lors d'une opération de rachat de crédits. Le rachat de crédits est une opération particulièrement intéressante pour éviter toute situation de surendettement puisqu'elle permet notamment de dégager un montant de reste à vivre plus important chaque mois. Si elle peut intervenir sur un seul crédit immobilier ou consommation, l'opération de regroupement de crédits peut également en compter plusieurs et de chaque type. Une solution simple et accessible pour tous les Français !
Il y a 4 ans et 345 jours

Visiter un bien immobilier ou déménager à plus de 100 km du domicile autorisé par le gouvernement

"Afin de permettre aux Français de reprendre leurs projets immobiliers et d'encourager la reprise d'activité du secteur, les déménagements et les visites immobilières en dehors de son département et à plus de 100 km de sa résidence sont désormais autorisés", a déclaré Julien Denormandie, ministre chargé de la Ville et du Logement, cité dans le texte.Exception aux règles imposées depuis la levée partielle du confinement pour lutter contre l'épidémie de Covid-19, sont désormais autorisés les déplacements liés à un déménagement ou à une visite immobilière, "qu'il s'agisse d'achat ou de location, quand ils ne peuvent pas être reportés", a précisé le ministère."Un nouveau modèle d'attestation sera prochainement mis en ligne et précisera les pièces justificatives à fournir pour pouvoir effectuer ces déplacements", selon la même source.Pour les personnes déménageant elles-mêmes: "il leur appartient de se munir de l'attestation de déplacement dérogatoire si le déménagement les conduit dans un autre département et au-delà d'une distance de 100 km de leur résidence initiale", souligne le ministère.A noter que dans le cas d'un déménagement ou d'une visite dans son département et à moins de 100 km de la résidence initiale, aucune attestation n'est nécessaire.Les personnes déménageant peuvent aussi faire appel à un professionnel qui pourra effectuer le trajet "dans le cadre de son activité professionnelle", ajoute le ministère.
Il y a 4 ans et 345 jours

Supprimer des jours de repos pour accélérer la reprise serait une "fausse bonne idée" selon les économistes

"Enlever un jour de congé pour booster la croissance, c'est un peu une fausse bonne idée qui réapparaît en France après chaque crise et qui équivaut à une baisse de salaire déguisée", commente auprès de l'AFP Grégory Claeys, économiste à l'institut Bruegel à Bruxelles.Le débat a ressurgi récemment avec une proposition du Medef, toutefois rapidement remballée face à l'hostilité des syndicats.En temps normal, travailler un jour supplémentaire a un effet bénéfique sur la croissance, cependant considéré comme "marginal" par les économistes. Avant la crise, l'Institut national de la statistique avait ainsi estimé à +0,12 point l'effet positif du calendrier en 2020, qui compte deux jours ouvrés supplémentaires par rapport à l'année précédente.Inutile d'espérer accroître cet effet positif en augmentant significativement le nombre de jours ouvrés, préviennent les économistes. Car cela aurait des conséquences négatives - notamment sur la productivité - et pénaliserait certains secteurs d'activités.Raccourcir les vacances d'été de quelques semaines, par exemple, provoquerait un choc supplémentaire chez les professionnels du tourisme et du loisir. "Cela reviendrait à transférer l'activité d'un secteur à un autre, sans véritablement apporter d'avantage à l'économie dans son ensemble", explique à l'AFP Alexandre Delaigue, professeur d'économie à l'université de Lille.Augmenter le nombre de jours travaillés à l'échelle d'un pays permet éventuellement de répondre à un problème d'offre insuffisante ou de compétitivité. Afin d'améliorer cette dernière, le Portugal avait ainsi décidé en 2012 de rayer du calendrier quatre jours fériés. Avant de les rétablir quelques années plus tard.Autre cas de figure: en France, entre 2004 et 2008, le lundi de Pentecôte a été un jour férié non chômé, au cours duquel de nombreux salariés ont travaillé sans être rémunérés afin de financer la prise en charge des personnes dépendantes.Mais à présent "nous avons un problème de demande qui est faible en France et partout dans le monde", en raison des mesures sanitaires pour limiter la propagation de l'épidémie, souligne M. Claeys. Vêtements, meubles ou voitures n'ont guère trouvé preneurs pendant le confinement.Ajustements ciblésPour accompagner la reprise, "nous avons besoin de flexibilité, plutôt que d'une augmentation générale de la durée du travail", indique à l'AFP Agnès Bénassy-Quéré, professeure à l'université de Paris 1 Panthéon Sorbonne."Une journée de travail plus longue pourrait être extrêmement utile aux entreprises des secteurs où la demande est présente, étant donné que nous avons du mal à réallouer la main d’œuvre rapidement", complète-t-elle.Les commerçants, qui retrouvent leur clientèle mais doivent réduire le nombre de personnes accueillies simultanément par précaution sanitaire, pourraient par exemple réaliser un nombre de ventes plus important sur une journée allongée.Dans le secteur du bâtiment, cela permettrait d'opérer une forme de rattrapage sur les chantiers qui ont été interrompus.Lorsque l'activité sera repartie, "aménager d'une manière un peu différente le travail pourrait vraiment améliorer les choses dans certaines entreprises, mais ce type de décision doit être pris au cas par cas et en concertation avec les salariés", précise M. Delaigue.Certaines lois permettent de mettre en place des ajustements, en ayant recours notamment aux heures supplémentaires ou à l'annualisation du temps de travail.Mais "pour l'instant, l'urgence c'est de voir comment les entreprises vont pouvoir fonctionner, nous avons besoin de solutions originales et adaptées aux différents secteurs", estime M. Delaigue.
Il y a 4 ans et 345 jours

Milwaukee® étoffe sa gamme de marteaux démolisseurs filaires avec trois nouveaux outils

MILWAUKEE® K 1528 H et K 1530 H : deux nouveaux marteaux démolisseurs ultra-performants dans la catégorie 15 kgLes marteaux démolisseurs MILWAUKEE® K 1528 H et K 1530 H développent une force de frappe impressionnante de 39 Joules et une cadence de 1560 cps/min, assurant ainsi une progression rapide dans les travaux de démolition de dalles de béton et de fondations.Leur design en ligne est idéal pour les travaux de démolition au sol et les burinages intenses.Le modèle K 1528 H est équipé d'une réception HEX 28 mm et le modèle K 1530 H d'une réception HEX 30 mm.MILWAUKEE® K 1000 S : nouveau démolisseur SDS Max dans la catégorie 10 kgTrès proche des deux précédents modèles du point de vue ergonomique, ce marteau démolisseur MILWAUKEE® K 1000 S est équipé d'un emmanchement SDS Max et d'une mécanique puissante délivrant une force de frappe de 26 Joules et une cadence de 1 950 cps/min pour une vitesse d'exécution du travail très rapide.Sa construction compacte en ligne est idéale pour les travaux de démolition verticale et les burinages intenses.Il est également pourvu d'un variateur de vitesse électronique pour ajuster la cadence de frappe en fonction de la tâche à accomplir. Sa fonction Variolock rend possible l'orientation du burin sur 12 positions différentes pour trouver l'angle d'attaque optimal sur le matériau.
Il y a 4 ans et 345 jours

Isola 3 de KE créé un nouvel espace outdoor pour le restaurant italien “Il Casale da Renatone”

Le revendeur KE STORE Arredamenti Crispino a été contacté par le propriétaire du restaurant pour concevoir un nouvel espace extérieur, à la fois fonctionnel et en parfaite adéquation avec le contexte esthétique d'une ferme typique. Une nouvelle zone protégée, qui peut être utilisé et exploité à tout moment de l'année et où vous pouvez placer librement et espacer vos tables en préservant l'intimité et en assurant la sécurité nécessaires aux clients.Les concepteurs du KE STORE d'Isernia se sont concentrés sur la pergola ISOLA 3 de KE: des lignes pures, un toit légèrement arqué équipé avec une toile d'une élégante nuance de blanc mat de chez Ferrari Blockout et créé par Giovanardi ainsi que des fenêtres coulissantes pour pouvoir profiter pleinement de la nature environnante.Une fois de plus, KE se confirme comme le partenaire par excellence pour tous les restaurateurs qui ont envie ou besoin de moderniser l'espace outdoor de leurs locaux. Les structures ont non seulement un design sophistiqué, mais sont parfaitement adaptées à la création de véritables îlots extérieurs, dans le but de pouvoir accroitre sa capacité d'accueil. Hermétiquement refermables sur les côtés, en effet, ils s'adaptent parfaitement à toutes les conditions climatiques. De cette façon, les restaurateurs sont assurés de travailler avec plus de continuité et profite d'un double avantage: pouvoir offrir aux clients un lieu de prestige avec plus de place disponible, sans les inconvénients liés à la saisonnalité et aux intempéries.Dans ce cas précis, une nouvelle zone de 100 mètres carrés a été construite, elle vient compléter le bâtiment principal et répond parfaitement au besoin éventuel de créer des espaces bien séparés et délimités, sans compromettre le style de la pièce. Le kit de lumières LED RGB sur tout le périmètre externe d'ISOLA 3 crée un effet scénographique au coucher du soleil, tandis que les rideaux drapés installés juste devant les fenêtres coulissantes à l'intérieur ajoutent une touche d'élégance classique faisant rappel à la décoration du restaurant.Caractéristiques techniques :GENNIUS ISOLA 3 – Pergola en structure aluminium, disponible en version autoportante ou adosséeDimensions maximales: 550 cm de largeur x 700 cm d'avancéeHauteur du périmètre: 23 cmSystème autoportant dans les dimensions 550 cm x 700 cm avec 4 colonnesSystème adossé dans les dimensions 550 cm x 700 cm avec 2 colonnesSystème entièrement modulaire en largeur et en avancée avec différentes possibilités de construction.En option: kit d'éclairage LED blanc dimmable sur le périmètre interneEn option: kit d'éclairage LED RGB dimmable sur périmètre externeEn option: store vertical latéral Vertika intégré jusqu'à 6 mètres et entièrement dissimulé dans le périmètreEn option: rideau drapé sur le périmètre interneEn option: fenêtres panoramiques coulissantesVis en acier inoxydable non visiblesFiche d'identité du chantier :Nom du projet: Restaurant “Il Casale da Renatone”- “La Ferme de Renatone”Localisation: S.S., Strada Statale 85 var Variante di Venafro, 86077 Pozzilli (IS) Revendeur: KE Store Arredamenti Crispino - Viale S. Nicandro, 116, 86079 Venafro IS Projet: KE Store Arredamenti Crispino - Viale S. Nicandro, 116, 86079 Venafro IS Client: privéSurface couverte: 100 m² Produit installé: Pergola Gennius ISOLA 3, dans les dimensions 10 x 10 mètres, couleur RAL 9010 blanc avec kit d'éclairage LED et fenêtres panoramiques coulissantes.Toile utilisée pour la couverture: Serge Ferrari 602-50537 BLOCKOUT par Giovanardi.
Il y a 4 ans et 345 jours

Le groupe Hexaom et Nexhome signent un partenariat innovant pour la sécurité du domicile

« Une enquête menée auprès de nos clients en 2019, a révélé que le besoin de sécurité des acquéreurs d'une maison est très fort » nous indique Loïc Vandromme, secrétaire général du groupe HEXAOM, qui précise « dans l'année qui suit l'emménagement, nous avons constaté que près de 60% de nos clients s'étaient équipés d'une solution de sécurité, plus ou moins fiable. »En réponse à ce constat, HEXAOM a décidé, de traiter la sécurité du domicile comme une priorité, dès la construction, et non plus comme un sujet secondaire que le client traiterait seul, ultérieurement.Dans ce but, HEXAOM a établi un partenariat, avec la société NEXHOME, un opérateur de sécurité, spécialiste des maisons neuves, qui a développé une offre de sécurité innovante, haut de gamme, efficace, simple et proposée à un prix enfin accessible à tous.« L'offre de la société NEXHOME nous satisfait à double titre souligne Loïc Vandromme :pour les clients : l'alarme connectée fournie par NEXHOME, donne accès à un vrai service de télésurveillance, à un prix très accessible (moins de 15 € TTC/mois) et flexible (le service est proposé sans obligation et sans engagement de durée) ; nos clients nous disent tout simplement : « c'est bien d'y avoir pensé » ;pour les constructeurs : NEXHOME fournit du matériel de haute sécurité, d'une grande marque, réputée pour sa fiabilité. Le processus de pose très souple ne perturbe pas du tout l'organisation de nos chantiers. Ainsi, la sécurité est un plus commercial, sans contrainte technique. »Pour le Groupe HEXAOM, dans une maison, la sécurité n'est pas une optionEn partenariat avec NEXHOME, HEXAOM est le 1er constructeur national de maisons, qui commence à intégrer l'offre de sécurité, en base, dans des maisons neuves.Les chiffres sur la sécurité du domicile en France80%* des Français se disent souvent inquiets lorsqu'ils quittent leur maison.Cette crainte est fondée :1/2* : un Français sur deux sera victime d'un cambriolage dans sa vie.1/3* : un Français sur trois risque de subir un incendie dans sa vie.Une solution existe :les risques diminuent de 75%*, dans une maison équipée d'une alarme fiable, connectée à un PC de télésurveillance, dont les agents sont habilités à appeler directement les forces de l'ordre en cas d'intrusion, ou à alerter immédiatement les pompiers, en cas de départ de feu. Pourtant, moins de 7%* des foyers français sont équipés d'une alarme connectée, avec un vrai service de télésurveillance (versus 14%* dans de nombreux pays européens et 25%* aux Etats-Unis). Le marché français :D'après l'atlas de la sécurité 2019, fin 2019, il y avait environ 1,45 Millions de foyers bénéficiant d'un service de télésurveillance en France.Pourquoi un si faible taux d'équipement en France ?Le principal frein est le prix des services de télésurveillance : il faut compter généralement de 30 € à 45 € TTC par mois, pour un service de qualité. Un prix qui n'est malheureusement pas accessible à tous !NEXHOME résout ce paradoxe avec une offre de télésurveillance accessible à tous à moins de 15 € TTC / mois.* Source : Argus de l'assurance**L'autorisation d'exercer ne confère aucune prérogative de puissance publique à l'entreprise ou aux personnes qui en bénéficient.
Il y a 4 ans et 345 jours

Malerba signe une trilogie numérique non virtuelle

Affichant aujourd'hui 11 unités de production et un chiffre d'affaires de plus de 190 millions d'euros pour 500 collaborateurs, MALERBA revendique une conception et une fabrication 100 % françaises. L'entreprise développe des solutions spécifiques de blocs-portes pour chaque marché, avec, en fil conducteur, performances et qualité, qu'il s'agisse d'esthétique mais aussi d'isolations thermique et acoustique, de résistance au feu ou à l'effraction ou bien encore de sécurisation des flux.Dans sa démarche d'innovation continue, l'industriel rhône-alpin, qui valide 25 à 30 nouveaux procès-verbaux et rapports d'essais par an, mise tant sur le développement de nouveaux produits que sur l'élaboration d'une palette exhaustive de services. Consolidant cette logique d'accompagnement clients, MALERBA annonce aujourd'hui une trilogie d'innovations numérique.Ainsi, outre l'annonce de la disponibilité de 99% de ses références en objets BIM, MALERBA crée la rupture au travers de véritables expériences immersives de show-rooms virtuels, dédiés aux secteurs de l'Habitat, des ERP/Tertiaire et de l'Industrie, pour concevoir, en quelques clics seulement, son bloc-porte ou sa porte technique, à façon. Autre innovation numérique, les équipes Prescription et agents commerciaux peuvent désormais proposer aux professionnels la possibilité de vivre, en 5 minutes environ, un essai feu en conditions réelles. Munis d'un oculus go, ils pourront, grâce à une vidéo tournée à 360° lors d'un véritable essai feu mené dans le laboratoire d'essais d'orientation MALERBA, mieux appréhender tous les enjeux autour de la sécurité incendie et la technicité des produits conçus par MALERBA.MALERBA : l'innovation BIMSeulement deux ans après s'être emparé du sujet BIM, MALERBA propose aujourd'hui une bibliothèque d'objets BIM complète et aboutie, avec la mise à disposition d'objets paramétriques et d'objets paramétrés, ainsi qu'un service support dédié au sujet du BIM. D'ailleurs MALERBA annonce la disponibilité de 99% de ses références produits dans cette base d'objets ; une information qui prévaut également pour les solutions MONTIBERT, soit quelque 968 objets BIM MALERBA et MONTIBERT disponibles ; les 1 % restant étant créés à la demande, via le service SupportBIM MALERBA qui dispose de toutes les compétences requises pour les réaliser.Intelligents, allégés, riches en données, les objets BIM MALERBA et MONTIBERT permettent à l'industriel de se démarquer commercialement et font la différence chez les bureaux d'études comme sur les chantiers, d'autant plus qu'ils sont complétés, depuis mi 2018, de toute l'expertise du SupportBIM, le service dédié au BIM chez MALERBA.Ce département MALERBA, qui traite 80% des demandes entrantes sous 48 heures, est en charge de développer les objets BIM paramétriques ou spécifiques et met aussi à disposition les données structurées des produits. Que le projet soit en phase amont ou chantier, il apporte des solutions adaptées à chaque profil de professionnel (objets paramétrés pour DOE numérique, paramétriques à la demande, conversion au format spécifique demandé, etc.).Ainsi, les objets BIM MALERBA répondent à tous les besoins, allant du basique LOD 200 (dimensionnement de l'encombrement) au complexe LOD 550 (niveau de détail précis). De même, mentionnons que MALERBA peut répondre aussi, sous REVIT, avec des objets RFA, mais aussi sous ARCHICAD avec des objets chantiers paramétrés au format IFC. Sous les logiciels métiers (Tekla, All Plan, Advent, Sketchup, etc.), MALERBA est capable d'assurer 100 % des demandes avec des objets chantiers paramétrés au format IFC ou en DWG 3D, accompagnés d'un fichier .txt intégrant les données structurées. Enfin, les données structurées des références MALERBA et MONTIBERT sont accessibles sur la base EDIBATEC avec une mise à jour régulière au gré des publications des évolutions.Fort du constat que ce service connait un succès croissant et que les clients et les prescripteurs apprécient d'avoir un interlocuteur expert dédié, David PALMERO, Directeur Commercial de MALERBA, précise : « Nous avons fait le choix de développer nos propres objets et d'apporter du support aux projets BIM, d'abord parce que cela fait partie de la philosophie de MALERBA de toujours apporter des solutions globales et concrètes. Ensuite, parce que nous souhaitons accompagner toutes personnes intéressées par les objets blocs-portes dans leur démarche et simplifier leur quotidien. Si nous passions par des plateformes de téléchargement par exemple, sans contact direct avec les utilisateurs de ces objets, nous ne serions pas en capacité d'apporter le niveau de service que nous proposons aujourd'hui et cela nous priverait d'une dimension « veille marché » importante pour nous. » Et de conclure : « Aujourd'hui, nous constatons que les bureaux d'études sont avant tout demandeurs d'objets REVIT, alors que nos clients réclament des objets REVIT mais aussi des données exploitables pour des logiciels métiers tels que Tekla Structure ou BIM Cloisons. Les demandes qui nous parviennent pour des objets sous ARCHICAD sont plus marginales. Chez MALERBA, aujourd'hui, nous sommes en capacité de répondre à 100 % de ces demandes, quel que soit le logiciel utilisé.»MALERBA : l'innovation show-rooms virtuelsSi MALERBA dispose aujourd'hui de 2 show-rooms physiques reconnus et appréciés des professionnels pour leur grande qualité à Cours-la-Ville, ces derniers présentent néanmoins des limites puisqu'ils ne peuvent exposer qu'une sélection infime des produits disponibles dans les gammes MALERBA et MONTIBERT et un tout petit aperçu des différentes définitions et finitions. Ne pas pouvoir démontrer toute l'étendue de ses gammes de blocs-portes et leurs possibilités de personnalisation n'était pas satisfaisant pour MALERBA. Aussi, en complément de ses show-rooms physiques, l'industriel français a imaginé deux show-rooms virtuels, en réalité augmentée, qui permettent de personnaliser son bloc-porte ou sa porte, à façon.Développé avec un logiciel traditionnellement utilisé pour concevoir des jeux vidéo, ce nouveau service MALERBA transporte en effet le visiteur dans une autre dimension. Il s'y déplace physiquement comme dans un véritable point de vente afin de choisir son produit, son huisserie et sa finition, celle du vantail ou encore ses équipements, etc. C'est le même principe qu'un jeu vidéo, en plus complexe puisqu'il y a une infinité de combinaisons possibles ! D'ailleurs, de l'avis même des développeurs, il y a un nombre bien plus importants de scénarios de configurations pour un bloc-porte (plusieurs millions en fait) que de variantes dans un jeu…Le visiteur, plongé dans cette expérience immersive MALERBA, élabore le produit de son choix et peut le visualiser en quelques clics seulement. Notons aussi que le système permet de prendre une photo et de se faire envoyer par email le visuel et le descriptif complet du produit paramétré… pour alimenter par exemple le dossier d'un projet. Efficacité et services MALERBA obligent.Disponibles au siège social de MALERBA, ces nouveaux show-rooms en réalité augmentée peuvent également, pour les partenaires commerciaux qui le souhaitent, être installés dans les locaux de leur entreprise pour une journée. Une occasion particulière de montrer à leurs équipes ou à leurs clients, toute l'étendue des solutions produits du fabricant au travers d'une expérience particulièrement avant-gardiste et ludique qui les transporte dans un univers totalement numérisé.David PALMERO, Directeur Commercial MALERBA, résume : « L'année dernière, nous avons mené une vraie réflexion sur le futur visage de nos espaces show-rooms. Parce que nous commencions à déployer des objets BIM performants et à disposer de données bien structurées, nous avions dorénavant la possibilité de développer des espaces imaginaires et interactifs, avec l'aide d'un moteur de rendu 3D. C'est ainsi que le développement des objets BIM a conduit au projet de virtualisation des espaces show-rooms. Aujourd'hui, MALERBA présente 2 show-rooms virtuels « Portes habitat/ERP/tertiaire » et « PMT/PMIS », qui dupliquent et complètent idéalement les show-rooms physiques de Cours-la-Ville. Ces nouveaux espaces virtuels disposent de possibilités qu'aucun show-room physique ne pourra jamais présenter, puisqu'ils permettent de personnaliser les blocs-portes à l'envi. »MALERBA : l'innovation Essai Feu immersiveAutre volet des nouveautés numériques MALERBA à découvrir, la vidéo immersive en 360° d'un essai feu conduit dans le laboratoire interne MALERBA, de sa préparation à sa phase finale. Beaucoup de professionnels travaillant dans le domaine de la sécurité feu n'ont jamais eu l'opportunité ni de près, ni de loin, d'assister à un essai feu réel (seul le personnel du laboratoire est habilité généralement à assister à l'essai). C'est pourquoi MALERBA, qui possède son propre four d'essais feu, souhaitait leur transmettre cette expérience.Ce laboratoire est intégré au sein d'un bâtiment de 400 m² spécifiquement dédié pour assurer un fonctionnement en totale sécurité. Equipé de 10 bruleurs pilotés par ordinateur qui font monter la température intérieure très rapidement en suivant une courbe de consigne normalisée, le four d'essais MALERBA dispose d'une ouverture de 4 mètres sur 4. Il a été conçu pour recevoir des éléments constructifs non-porteurs tels que des blocs-portes ou des cloisons et évaluer leur résistance au feu.Les produits MALERBA et MONTIBERT y sont testés (50 à 60 produits par an) suivant les principes généraux précisés dans la norme européenne EN 1363-1, et les méthodes d'essais spécifiques EN 1364-1 et EN 1634-1 avec, pour objectif, de qualifier la résistance au feu pendant 30, 60 ou 120 minutes généralement. Notons que lors d'un essai de résistance au feu EI120 (=2 heures), la température du four monte jusqu'à 1 200° C.Mentionnons aussi qu'en complément des tests dans le four d'essais feu, le laboratoire MALERBA dispose également des compétences et de l'équipement pour réaliser des essais d'orientation acoustiques, à l'A.E.V., d'ensoleillement, de battements, de vérins de poussée et D.A.S.Très pédagogique, la vidéo de cet essai feu permet, en 5 minutes environ, de vivre un essai en conditions réelles, avec des explications claires et concises.Une expérience qui assure une meilleure compréhension des enjeux autour de la sécurité incendie et la technicité des produits mis au point par l'entreprise.En effet, MALERBA a eu l'occasion de présenter récemment cette vidéo à plusieurs reprises et les retours sont unanimes sur le réalisme et l'impression immersive ressentis. Il ressort également que cette expérience permet aux spectateurs, acteurs au quotidien de la sécurité incendie, de mieux prendre conscience de l'importance de leur activité et de leur responsabilité en matière de sécurité feu. De plus, ceux qui avaient déjà pu assister à un essai ont déclaré que c'était la 1ère fois qu'ils assistaient à la préparation et à la fin d'un essai dont ils ne soupçonnaient pas ni la complexité ni la technicité.David PALMERO de conclure : « En fait, nous avions la volonté de faire partager à tous les professionnels l'expérience d'un essai réel au feu, ce qui nous a rapidement conduits au choix technique d'une captation vidéo à 360°. Face à l'accueil enthousiaste, notre équipe Prescription et certains agents commerciaux MALERBA ont été dotés d'un oculus go pour donner l'occasion à tous professionnels intéressés de découvrir cette expérience dans les mois qui viennent ».Nouvelles FDES individuellesMALERBA confirme la finalisation de la première partie de son programme d'élaboration de FDES individuelles (Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire), disponibles sur son site internet, rubrique « Démarche environnementale », et bien entendu, sur le site INIES. Ces FDES, propres aux produits MALERBA et MONTIBERT, sont basées sur l'Analyse du Cycle de Vie (ACV) et ont été vérifiées par une tierce-partie indépendante dans le cadre du programme de vérification INIES des FDES. Elles concernent tous les produits blocs-portes bois MALERBA et tous les produits MONTIBERT (blocs-portes bois vitrés, blocs-gaines bois, trappes de visite bois, châssis et cloisons vitrés bois).Nouveautés pour les gammes de blocs-portes HabitatMALERBA a aussi mené un travail sur ses gammes de décors et de finitions. Ainsi, sa gamme TON BOIS pour blocs-portes métalliques habitat a été totalement renouvelée avec une sélection de revêtements PVC affichant résistance aux UV et à l'air salin. Cette nouvelle gamme de décors TON BOIS pour blocs-portes métalliques remplace ainsi la gamme existante pour blocs-portes paliers. De plus, grâce à leurs caractéristiques techniques autorisant une utilisation en extérieur, ces nouveaux décors ont permis à MALERBA d'élaborer une toute nouvelle gamme pour ses blocs-portes d'entrée de maison individuelle.Par ailleurs, de nouveaux décors avec inserts décoratifs aluminium ont vu le jour pour personnaliser les blocs-portes bois paliers (gamme FIBER STYL') et les blocs-portes métalliques paliers (gamme STYL' ART) avec les modèles ZEN et FILETTI dans 2 versions : inox brossé et noir mat.Paumelles, serrures et cylindresPar ailleurs, MALERBA annonce que ses blocs-portes seront prochainement équipés avec de nouvelles générations de paumelles, fruits de 5 ans de recherche et de développement. Déjà commercialisée depuis quelques semaines, la paumelle PM2D a ainsi été conçue spécifiquement pour ses blocs-portes PMT et PMIS. Elle remplace avantageusement la solution antérieure de pivot avec capot en ABS noir, en améliorant considérablement l'esthétique des blocs-portes. Le fabricant s'apprête également à lancer une paumelle innovante conçue exclusivement pour ses blocs-portes bois. Parmi les caractéristiques distinctives de cette nouvelle référence, citons son esthétique d'une grande sobriété, parfaitement lisse, sans fourreau visible ni bouchon rapporté, ainsi que sa grande résistance mécanique. Enfin, MALERBA continue de diversifier son offre de serrures et cylindres connectés pour une ouverture sans clé. Dernièrement, MALERBA a ainsi validé la serrure connectée SOMFY sur ses blocs-portes bois paliers EI30 pour le neuf et la rénovation, venant compléter l'offre déjà existante avec le cylindre connecté ENT'R d'ASSA ABLOY.L'ensemble de ces nouveautés est à retrouver dans le catalogue HABITAT COLLECTIF 2020 et le document TON BOIS pour blocs-portes d'entrée de maison individuelle qui viennent de paraître.
Il y a 4 ans et 346 jours

Au Caire, l'installation de quatre sphinx antiques en pleine ville fait polémique

Vieux d'environ 3.500 ans, les sphinx à tête de bélier et corps de lion ont longtemps orné le temple de Karnak, dévolu au dieu Amon, l'une des principales divinités du panthéon égyptien.Leur transfert début mai sur la place Tahrir, épicentre de la révolte populaire de 2011, a été un déchirement pour certains Louxoriens."Je suis contre le transfert des statues. Ça m'attriste", a regretté Ahmed Idriss, un député du gouvernorat de Louxor."Louxor est un musée à ciel ouvert qu'il aurait mieux valu développer car la valeur des monuments est liée à leur emplacement historique", a-t-il ajouté.Les quatre pièces de grès ont été installées autour d'un obélisque de granite rose trois fois millénaire portant une représentation du roi Ramsès II, pharaon de la XIXe dynastie (1301-1236 avant J.-C.).Ce dernier avait été déplacé quelques mois plus tôt du site archéologique de Tanis, dans le delta du Nil."Objets inestimables"Ce projet urbanistique, lancé par les autorités en 2019, s'est attiré les foudres d'archéologues, de militants et d'universitaires, en raison notamment de l'exposition des pièces antiques à la pollution et à l'érosion.Fin 2019, une pétition demandant l'arrêt des travaux a été adressée au président Abdel Fattah al-Sissi.Invoquant la Convention de Venise (1964) pour la restauration et la préservation des monuments, les avocats du Centre égyptien pour les droits économiques et sociaux (ECSR), une ONG locale, ont même entamé une procédure judiciaire dénonçant la mise en danger "d'objets inestimables".La Convention de Venise a été adoptée par l'Unesco en 1974 et signée la même année par l'Égypte."L'importante pollution sur la place Tahrir va dégrader les objets (antiques)", qui risquent de perdre leur valeur historique, a mis en garde sur Facebook l'égyptologue Monica Hanna.Au cœur de la capitale égyptienne, la place Tahrir est très souvent embouteillée et enfumée.Tahrir héberge plusieurs bâtiments importants dont le musée égyptien, très prisé des touristes, où se trouvent des milliers d'objets antiques et le "Mogamma", un grand bâtiment de style soviétique qui abrite des services administratifs.C'est devant ce dernier que s'étaient réunis en janvier-février 2011 les manifestants de la révolte qui a balayé Hosni Moubarak, après 30 ans de règne.En décembre, M. Sissi annonçait que le transfert des statues sur la place la doterait d'une "touche de civilisation".Pourtant, "Tahrir", qui signifie "Libération", n'est pas dépourvue d'histoire aux yeux de l'architecte Ayman Badr."La place n'a pas besoin d'être décorée avec des éléments historiques (...) Sa valeur historique réside dans sa mémoire", estime-t-il.Entre autres transformations, les autorités prévoient d'unifier la couleur des façades qui entourent la place, d'ajouter de l'éclairage et de réduire le nombre de panneaux publicitaires.Face aux craintes de voir les statues vandalisées, le ministre du Tourisme Khaled al-Enany a affirmé que des piédestaux avaient été construits "afin que personne ne puisse les toucher" et assure que les nouveaux monuments de la place seront régulièrement entretenus.AttractivitéLa date d'inauguration de cette transformation symbolique reste inconnue --les sphinx et l'obélisque attendent sous emballages.Le patrimoine antique de l'Égypte constitue une source importante d'attractivité et alimente l'économie du tourisme, vitale pour le pays.Comme partout ailleurs dans le monde, ce secteur, qui représente 5% du PIB égyptien, est à l'arrêt depuis le début de la pandémie de nouveau coronavirus.En dépit des arguments officiels, M. Badr demeure perplexe quant au bien-fondé du nouvel agencement de la place.Selon lui, les sphinx et l'obélisque sont "éclipsés" par les imposantes constructions qui entourent la place.Mahmoud Zaki, guide touriste à Louxor, considère, lui, que les adversaires du projet "ne se rendent pas compte" de la gloire que représente la présence de ces œuvres sur "la plus célèbre des places d'Égypte".Un avis que partage l'expert en égyptologie Ali Abu Deshish: "Ça n'a pas de sens que des obélisques égyptiens se trouvent sur des places aux quatre coins du monde et qu'il n'y en ait pas sur Tahrir".
Il y a 4 ans et 346 jours

Près de 300 chantiers inscrits sur « Reprise Chantier » en seulement une semaine

Une semaine seulement après ce lancement, cette initiative solidaire remporte un franc succès. Les professionnels travaillant au sein d'entreprises de toutes tailles (des grandes majors du secteur aux PME locales) ont en effet téléchargé l'application afin d'accélérer la reprise de leurs chantiers en toute sécurité. Ce sont ainsi près de 300 chantiers dans toutes la France qui sont déjà inscrits sur l'application « Reprise Chantier ».Marc Germain, cofondateur de Wizzcad, déclare : « Nous ne nous attendions pas à enregistrer un volume de téléchargement si élevé dès la première semaine. Ces chiffres impressionnants témoignent de la nécessité, pour tous les acteurs du secteur, de relancer rapidement leur activité mais aussi et surtout de leur volonté de protéger les équipes en garantissant un niveau maximum de sécurité aux personnes. Nous sommes ravis d'un tel engouement autour de notre initiative et fiers de contribuer, à notre niveau, à accélérer la reprise du secteur ».
Il y a 4 ans et 346 jours

Isover propose de mieux comprendre les certificats d'économie d'énergie (CEE)

Pour accompagner les particuliers et professionnels à y voir plus clair, ISOVER propose tout un dispositif pour mieux comprendre les CEE, lutter contre la précarité énergétique et réduire la consommation énergétique. Les CEE, un puissant levier de développement du chiffre d’affaires des professionnelsRappel du dispositif des CEEDepuis 2005, l’État incite les particuliers et les collectivités à réaliser des travaux de rénovation énergétique en échange d’une prise en charge d’une partie des coûts de ces travaux sous la forme d’une prime ou de bons d’achat assumés par les fournisseurs d’énergie et les distributeurs de carburants (les obligés).Sont notamment éligibles aux CEE, les travaux d’isolation des combles, murs, sols et plafonds pour les bâtiments existant depuis plus de deux ans à la date d’engagement de l’opération. Le demandeur peut être propriétaire, locataire ou bailleur.Avec les objectifs actuels des CEE (1 600 TWh cumac), ce sont près de 9 milliards d’euros de CEE qui sont à réaliser. Autrement dit, 9 milliards d’euros à saisir sur le marché de la rénovation énergétique, notamment en isolant les logements !L’isolation est au coeur du système des CEE avec le dispositif “coup de pouce”Depuis début 2019, le dispositif des CEE est amplifié grâce à la prime “coup de pouce isolation” qui permet d’aider tous les ménages, partout en France, à réaliser des travaux d’isolation à moindre coût. Les aides bonifiées se font sans conditions de ressources financières et sont cumulables pour une prise en charge maximale du coût des travaux. Ainsi, les CEE se cumulent avec le CITE (Crédit d’Impôt Transition Énergétique), le taux de TVA à 5,5% et l’écoprêt à taux zéro (ECO-PTZ), permettant une économie sur le coût total des travaux allant de 50 à 70%*. Autant de leviers pour les entreprises pour obtenir des chantiers !*Source : Baromètre ISOVER/Futurethinking 2019ISOVER répond aux questions que se posent les professionnelsSi, en moyenne, les artisans connaissent quatre dispositifs d’aide aux travaux de rénovation énergétique, les CEE (35%) et le coup de pouce isolation (21%) demeurent en bas du classement, loin derrière les classiques TVA à 5.5 % (81%), PTZ (61%) et CITE (60%). Reste que les professionnels qui, connaissant les CEE, les jugent “complexes” pour les particuliers, alimentant ainsi pléthore d’idées reçues sur le sujet. (source : Étude Mai 2019 - Institut Future Thinking France pour ISOVER).ISOVER aide les professionnels à utiliser les CEE, via des outils pratiquesPour calculer, en quelques clics, le montant des aides pour des travaux d'isolation thermique en rénovation, ISOVER a mis en place un outil digital, pratique et rapide appeléCALCUL'AIDESUn PACK CEE ISOVER ENTREPRISES est également disponible gratuitement sur notre site pour les professionnels. Il est composé d'une réglette permettant de visualiser d'un coup d'oeil les économies réalisées par les clients sur les travaux d'isolation, et d'un guide pour connaître les correspondances des produits isolants par rapport au niveau de confort souhaité, éligibles aux aides financières.ISOVER accompagne les professionnels via de nombreuses formations, dont une pour obtenir la qualification RGE. Ce label, dit d'éco-conditionnalité, permet aux professionnels de faire bénéficier à leurs clients des aides fiscales de l'État.À partir du 16 septembre, et durant deux mois, ISOVER lance une vaste campagne de communication qui servira d'amplificateur pour recourir à la mise en place des Certificats d'Économies d'Énergie dans le cadre des enjeux de la Transition Énergétique.Cette campagne, qui tranche avec la tonalité d'une campagne classique, a pour vocation de mettre fin aux idées reçues des professionnels comme des particuliers en apportant des solutions concrètes pour favoriser les CEE.
Il y a 4 ans et 346 jours

Nouveau guide pratique « Les toitures et terrasses végétalisées – 2ème édition »

Pour concevoir, réaliser et entretenir une toiture végétalisée, dans les règles de l'art !Ce guide couvre la globalité de la démarche de mise en œuvre d'une toiture végétalisée:conception du projet ;choix des éléments porteurs et du complexe isolation-étanchéité ;choix du complexe de végétalisation ;traitement des ouvrages particuliers ;dispositif d'arrosage et zones de toiture inadaptées ;entretien des toitures et terrasses végétalisées.Le présent guide est basé sur les DTU de la série 43, les Règles professionnelles CSFEADIVET-L'enveloppe du bâtiment, le fascicule 35 du CCTG « Aménagements paysagers » et les normes produits en vigueur.Cette nouvelle édition prend en compte les évolutions des règles de l'art sur la base des nouvelles règles professionnelles et des Avis Techniques de procédés de végétalisation. Deux nouveaux chapitres sur les intervenants de la chaîne et sur les travaux préparatoires de la toiture (délimitation des zones plantées et non plantées, etc.) dans le cadre de la mise en œuvre de la végétalisation sont proposés. Parmi les compléments de cette nouvelle édition, on peut aussi citer, dans le chapitre 3, la distinction faite entre les éléments porteurs à usage structural (terrasses végétalisées multi-usages partiellement accessibles) et à usage non structural (terrasse végétalisée non accessible). La partie sur la végétalisation a également été actualisée.Auteur(s)Cette nouvelle édition a été rédigée par Ismaël Baraud, ingénieur évaluation au Pôle évaluation étanchéité couverture de la Direction Enveloppe Isolation et Sols du CSTB, et Claude Guinaudeau, expert des techniques du paysage et de l'environnement.Sommaire▪ Le domaine d'application du guide ▪ Les intervenants ▪ La conception du projet de végétalisation ▪ Typologie des structures de végétalisation des toits et terrasses ▪ Les plantes ▪ Les prescriptions d'exécution des ouvrages de toitures ▪ La mise en œuvre des structures du bâti support ▪ Les toitures-terrasses végétalisées et le développement durable ▪ La maintenance et l'entretien des toitures végétalisées ▪ Réglementation, normes et autres documents de référenceCollectionGuide Pratique développement durablePublic viséCe guide sera utile à tout professionnel concerné par un projet de toiture végétalisée : maîtres d'ouvrage, architectes, étancheurs, paysagistes, donneurs d'ordre, collectivités locales, services urbanisme...Points fortsGuide basé sur les DTU de la série 43 et sur les Règles professionnelles.Pas d'ouvrage réellement concurrent.Guide complet qui aborde l'ensemble du sujet.
Il y a 4 ans et 346 jours

Les charges d'ascenseur doivent tenir compte de l'étage

Ce critère de répartition des charges en fonction de l'utilité, et non en fonction de l'usage réellement fait par chacun, est rendu obligatoire par la loi du 10 juillet 1965 qui organise la vie en copropriété.Faire payer la même quote-part de charges d'ascenseur à l'occupant du premier étage et à l'occupant du cinquième est évidemment contraire, pour les juges, à ce critère d'utilité.La Cour explique que, devant une telle clause insérée dans un réglement de copropriété, chacun peut, à tout moment, quelle que soit l'ancienneté de cette clause, en réclamer l'annulation et demander une nouvelle répartition qui sera faite au besoin par la justice.Le syndicat des copropriétaires, dans cette affaire, soutenait que le copropriétaire du premier étage, qui contestait la répartition, ne prouvait pas que cette répartition égalitaire serait anormale ou contraire à la réalité, mais la Cour a exclu de tels arguments.(Cass. Civ 3, 9.5.2019, P 18-17.334).
Il y a 4 ans et 347 jours

Covid-19 : "Appel commun" de 70 associations pour une "reconstruction écolo et sociale"

Sur le site https://www.appel-commun-reconstruction.org/ elles appellent à signer ce texte qui demande aux responsables politiques de "revoir nos priorités dans la reconstruction qui s'annonce pour éviter les catastrophes à venir"."La grande erreur serait de reconstruire notre monde en conservant les méthodes d'hier. Notre société s'est révélée fragile, alors que nous sommes face à de nombreux autres périls. En plus des crises sanitaires, les désastres écologiques nous menacent et les inégalités sociales nous rendent toujours plus vulnérables", écrivent-elles."Investissons massivement, formons et créons des emplois dans les activités écologiquement et socialement responsables", poursuit le texte.Les signataires peuvent accéder sur le site à un outil pour interpeller par mail des responsables ministériels et leurs députés.Initié par des organisations de jeunes, le texte a été signé par des ONG environnementales (WWF, France nature environnement, Fondation Nicolas Hulot...) ou sociales (Emmaus, ATD quart-monde...), des associations citoyennes, des collectifs de soignants (étudiants en médecine, infimiers), des syndicats étudiants et des think tanks (Terra Nova, Shift Project...), des syndicats étudiants (FAGE, FIDL...).
Il y a 4 ans et 347 jours

Architectes et urbanistes cherchent à concevoir la ville de rêve post-confinement

Architectes, urbanistes, maires, mouvements citoyens se mobilisaient depuis une dizaine d'années, sans être beaucoup écoutés, pour une ville où vivrait un "homo qualitus" respectueux de l'environnement dans des espaces dilatés.Ils se sentent désormais mieux épaulés par nombre de Français, qui ont pris goût au télétravail dans un environnement silencieux et vert.Le premier chantier qui semble le plus prometteur à engager est celui des périphéries urbaines.Dans les années 60 et 80, "on a massacré les entrées des villes avec des zones commerciales et artisanales aujourd'hui obsolètes. Des centaines de milliers d'hectares avaient été artificialisés, étanchéifiés, asphaltées", explique à l'AFP Denis Dessus, président du Conseil national de l'Ordre des architectes.Parking de supermarché reconverti en parc"Transformer un parking de grande surface rapidement en un parc avec des milliers d'arbres, et densifier autour est assez facile", observe Philippe Goncalves, président de l'Ordre des architectes d'Occitanie, et militant passionné d'écologie."Il faut entre 18 mois et 3 ans pour que des vers de terre reviennent", observe sa femme Leslie, également architecte."Ramener de la ville là-dedans, repaysager, y remettre du logement", c'est possible, confirme Denis Dessus qui remarque qu'"aux Etats-Unis ou en Chine, les centres commerciaux traditionnels sont à l'abandon".Cependant, pour dessiner la ville de demain, avertit-t-il, "il ne suffit pas de tartiner en vert". Il déplore le peu de moyens mis dans la planification urbaine, alors qu'"il faudrait des équipes pluridisciplinaires, d'architectes, paysagistes, écologistes".Un puissant levier économiqueAujourd'hui, les logements doivent être polyvalents et traversants, avec internet à haut débit, où on puisse vivre en famille, travailler et faire du sport.Le couple d'architectes écolos vante les "matériaux bio sourcés" ou "géo-sourcés" pour construire des bâtiments "écolomiques", "durables, "recyclables", voire "biodégradables". Recyclage, ventilation, mise aux normes.. La construction neuve ou la rénovation du bâti ancien, "qui n'est ni inscrit ni classé mais qui a un intérêt" constituent un "vrai levier économique, qui fera travailler le plâtrier et le peintre" dans le contexte de crise, note Denis Dessus. 5 à 6 millions de personnes sont mal logées en France, selon lui.Partout, le "même mouvement de fond" est perceptible, qu'il s'appelle "slow down", "slow cities", circuits courts, analyse la géographe Lise Bourdeau-Lepage, de l'Université Lyon 3. Poumons verts, réduction des émissions polluantes et des voitures, ilôts de fraîcheur... De Lyon à Paris, Lille, Strasbourg, Nantes, Rennes, ces dossiers sont des enjeux municipaux: pistes cyclables, aménagement des berges."Les gens se réapproprient leur espace public", observe la géographe: ainsi "on va enlever le bitume pour permettre aux gens de cultiver des petits carrés végétalisés sur le trottoir à Lyon".De même "on peut cultiver son petit pied d'arbre" par exemple dans le XIIIe arrondissement de Paris. "Cela peut être vu comme une privatisation de l'espace public par les populations plus aisées", mais c'est un phénomène positif.Ce qui se passe, c'est aussi, dit-elle, "une revanche du voisinage" et "du piéton qui avait été violemment éjecté par l'automobiliste": désormais "le quartier est pensé de manière qu'à une distance d'un quart d'heure de marche un ensemble de services et de biens soient disponibles"."Au niveau d'un quartier, illustre Leslie Goncalves, imaginons qu'on ait un petit jardin. La ville le récupère, le met en gouvernance partagée avec des habitants. Les légumes et fruits sont redonnés en partie à une association. On va être plus autonome alimentairement". Et on pourra produire du biogaz à partir des bio-déchets...Seconde vie pour les bourgs ?M. Dessus espère que les petites villes et bourgs, aux centres souvent très dégradés, vont retrouver une deuxième vie avec l'arrivée de citadins et d'entreprises.Pour cela, il faut régler la fracture numérique, cette "diagonale du vide" qui fait que des gens ne peuvent pas avoir le téléphone, et veiller au maintien des dessertes de trains.Pour Leslie Goncalves, l'alternative "ce n'est pas soit tout ville soit tout campagne". "Il faut un rééquilibrage" grâce notamment aux implantations des bureaux des entreprises.Ces "smart cities" du futur seront-elles forcément démocratiques: avec les moyens d'informations, recours aux drones, connaissance spatiale, "elles pourraient être aussi très sécuritaires", s'inquiète Lise Bourdeau-Lepage.
Il y a 4 ans et 347 jours

Reprise économique: le gouvernement à l'heure des choix

Face à l'ampleur du choc, certains estiment que l'économie d'après ne pourra plus ressembler à celle d'avant, avec une occasion inespérée de concilier croissance et environnement, ou de pousser à plus de "made in France".A plus court terme, le chômage et, comme l'a dit le Premier ministre Edouard Philippe, "l'appauvrissement" qui se profile pour une partie de la population remettent en débat l'organisation du temps de travail et les choix fiscaux du quinquennat.(Re)taxer les plus richesEmmanuel Macron avait baissé les impôts pour les plus riches au début de son quinquennat, espérant les voir financer l'économie.Mais la crise et les dépenses engagées par l'Etat relancent le débat sur un rétablissement de l'impôt sur la fortune (ISF), remplacé en 2018 par l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Il est réclamé par la gauche et le Rassemblement national. Une sorte "d'impôt de guerre", pour le numéro un du PCF Fabien Roussel."Le pouvoir politique aura du mal à y échapper d'une manière ou d'une autre", a aussi jugé l'ancien conseiller social de Nicolas Sarkozy, Raymond Soubie, dans Les Echos, évoquant plus largement la taxation du capital.Pour le patron du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, ce serait toutefois "un très mauvais signal".Le gouvernement a martelé qu'il ne voulait pas d'augmentation d'impôts, quitte à laisser filer le déficit et la dette du pays, avec le blanc seing de Bruxelles.Travailler plus ?Comment relancer la production après deux mois de confinement et avec des entreprises dans une situation financière fragile? Comment redonner du travail aux centaines de milliers de personnes que la crise va mettre au chômage?A gauche et au sein des organisations syndicales, on défend un partage du temps de travail, et une réflexion pour "travailler autrement" et "mieux", selon le patron de la CFDT Laurent Berger.A droite, on plaide pour en finir avec "le carcan des 35 heures"."Dans certains secteurs, la demande peut-être soutenue, mais les contraintes sanitaires font que la productivité baisse: c'est là que la question du travailler plus peut se poser", a estimé Geoffroy Roux de Bézieux.Il avait auparavant évoqué une réduction de jours de congés ou de jours fériés pour "faciliter, en travaillant un peu plus, la création de croissance supplémentaire".Dans les entreprises, syndicats et direction peuvent conclure des accords de "performance collective" pour renégocier le temps de travail et la rémunération des salariés en cas de difficultés, a rappelé la ministre du Travail Muriel Penicaud.Une relance vertePour les défenseurs de l'environnement, les plans de relance sont une opportunité pour lancer la transition vers une économie bas carbone que l'on a peiné jusqu'ici à enclencher.Même le ministre de l'Economie Bruno Le Maire estime que la France doit devenir la "première économie décarbonée de la planète", en investissant dans les véhicules électriques, la rénovation des bâtiments... Le plan de relance qu'il présentera à la rentrée et les soutiens spécifiques aux filières automobile et aéronautique pourraient concrétiser cette ambition, avec des contreparties environnementales réclamées aux industriels.Mais certains milieux économiques réclament une pause dans l'application de nouvelles règles environnementales, le temps de surmonter la crise.Relocaliser les usinesPénurie de masques, de médicaments: l'épidémie a conduit l'exécutif à défendre une plus grande indépendance économique dans des secteurs clés, comme la santé. Plus largement, elle fait s'interroger sur l'éclatement mondial des chaînes de production."Le jour d'après ne ressemblera pas au jour d'avant, nous devons rebâtir notre souveraineté nationale et européenne", a affirmé le président Emmanuel Macron.Bruno Le Maire a aussi demandé aux constructeurs automobiles de "relocaliser certaines productions" en contrepartie du soutien public.Mais relocaliser des usines en France pourrait s'avérer difficile, alors que la compétitivité va rester capitale pour les industries fragilisées par la crise."Un mouvement de relocalisation ne pourra s'enclencher sans une réflexion sur notre compétitivité et nos coûts de production", a prévenu sur Twitter le président du Medef.Le gouvernement planchait avant l'épidémie sur une baisse des impôts de production, souvent une charge fixe pour les entreprises. Il ambitionne toujours de mener à bien cette réforme, malgré les faibles marges de manœuvre financières et l'opposition des collectivités qui en tirent une partie de leurs recettes.
Il y a 4 ans et 347 jours

L'apprentissage risque un coup d'arrêt brutal à la rentrée

Il y a trois mois seulement, la ministre du Travail Muriel Pénicaud célébrait "la dynamique exceptionnelle" de l'apprentissage avec 368.000 contrats signés l'année dernière, un bond de 16%, conséquence de la bonne conjoncture et des premiers effets de la réforme de 2018 qui "a supprimé les freins" à l'essor de cette formation en alternance.Si cette hausse restait tirée par l'enseignement supérieur, l'apprentissage avait enfin redémarré, après une décennie difficile, dans le secondaire, du CAP au Bac Pro, signe d'un changement d'image auprès des jeunes et de leurs familles.Cet essor aurait dû se poursuivre en 2020, porté par l'ouverture de nombreux centres de formation d'apprentis (CFA) par les entreprises elles-mêmes, une des nouveautés de la réforme qui a libéralisé le secteur.Mais le confinement a complètement changé la donne.Certes, des mesures ont été prises pour que les apprentis gardent leur formation et leur contrat de travail (cours à distance, examens en contrôle continu, accès au chômage partiel).Mais se profile maintenant la rentrée avec la perspective d'un coup d'arrêt brutal des offres des entreprises."Les processus de recrutement dans les entreprises sont à l'arrêt, ça va être difficile de signer des contrats d'apprentissage en juin-juillet pour septembre", redoute Aurélien Cadiou, président de l'Association nationale des apprentis de France(Anaf).Si les grands groupes continueront à prendre des apprentis, souvent de l'enseignement supérieur, "les TPE vont être davantage frappées par la crise alors qu'elles emploient beaucoup d'apprentis de niveau inférieur au bac, là où l'effet de l'alternance sur l'insertion dans l'emploi est le plus fort", souligne-t-il.Face à l'incertitude, "certains collégiens et lycéens préféreront se replier sur la voie technologique ou générale", craint M. Cadiou alors que "l'apprentissage est déjà rarement le premier choix d'orientation".Les CFA, qui ont dû annuler leurs journées portes ouvertes ou salons de recrutement au printemps, ne notent cependant pas de baisse d'intérêt."On a organisé des journées virtuelles qui ont très bien marché", témoigne Jean-Claude Bellanger, secrétaire général des Compagnons du Devoir.A défaut d'une hausse de 37% de ses effectifs comme en 2019, M. Bellanger table sur "un même niveau de recrutement, ce qui serait déjà très bien. Ce qui va nous pénaliser, c'est l'emploi".Extension de l'aideMême constat préoccupant dans les branches professionnelles, qui ont vu leur rôle renforcé avec la réforme."On est sur le même niveau de candidatures côté jeunes. Notre inquiétude est côté entreprises: si aucune mesure n'est prise, nous projetons une baisse de 20 à 40% des alternants", rapporte David Derré, directeur emploi-formation de l'UIMM (métallurgie), qui comprend les filières particulièrement touchées de l'automobile et l'aéronautique.La branche, qui emploie 50.000 alternants (35.000 apprentis et 15.000 contrats de professionnalisation) avait prévu d'augmenter ce chiffre de 50% d'ici 2023, un objectif "qui n'est plus d'actualité", admet M. Derré.Pour éviter "une situation critique" à la rentrée, l'UIMM demande l'adoption de "mesures choc" d'ici juin.L'une d'elle est l'extension de l'aide unique à l'apprentissage, réservée aux entreprises de moins de 250 salariés et aux niveaux bac et inférieur.Cette aide, de 4.125 euros pour la première année d'un contrat, doit "être doublée et généralisée, quels que soient l'entreprise et le diplôme".De son côté, l'Anaf demande la prolongation de la période, actuellement de trois mois, pendant laquelle un jeune peut intégrer un CFA sans contrat. "Un allongement à un an laisserait à un jeune jusqu'à l'été 2021 pour trouver une entreprise", souligne M. Cadiou.Cela permettrait, selon lui, de résoudre un autre problème, le financement des CFA qui, depuis la réforme, dépend de leur nombre d'apprentis et serait en péril en cas de chute des effectifs.Des revendications auxquelles Muriel Pénicaud, fortement engagée sur l'apprentissage, devrait être sensible."Il faut un grand élan national sur l'apprentissage, ce sera une des priorités du plan de relance", assure la ministre, qui en discute mardi avec les partenaires sociaux.
Il y a 4 ans et 347 jours

Saint-Gobain Plafonds France dévoile son plan d'action pour accompagner ses partenaires dans la reprise

Pour cela, un plan d'action précis a été mis en place :Toutes les forces commerciales de Saint-Gobain Plafonds France sont disponibles et opérationnelles sur l'ensemble du territoire. Munies d'équipements de protection (masques, gel hydroalcoolique, etc…), elles sont prêtes à répondre aux attentes de leurs clients, et à les accompagner sur leurs chantiers.L'ensemble des sites de production français et internationaux, ainsi que les dépôts français (Compiègne et Chalon-sur-Saône) fonctionnent normalement. Les expéditions s'effectuent avec la même exigence de qualité de service, conformément aux chartes logistiques des différentes marques.Afin de permettre à ses clients de rattraper, autant que faire se peut, le retard lié à la période de confinement, Saint-Gobain Plafonds France s'est organisé pour réduire de deux semaines les délais de production de ses principaux produits Ecophon hors standards (gamme Solo™) à compter du 1er mai.Par ailleurs, Saint-Gobain Plafonds France a accru ses stocks de produits standards (pour ses trois marques), notamment pour faire face à l'augmentation de la demande de plafonds nettoyables et désinfectables (bio-nettoyables), en particulier pour Ecophon, qui est le leader mondial de ce segment à travers sa gamme Ecophon Hygiene™.Les services clients restent parfaitement opérationnels, et le bureau d'études techniques est disponible à cette adresse mail bet.plafonds@saint-gobain.com.
Il y a 4 ans et 347 jours

Nouveau receveur de douche RioLigno spécial plancher bois

Parfait sur supports boisL'étanchéité doit être parfaite sur un sol sensible à l'humidité comme un plancher bois. Le receveur Fundo RioLigno étant soumis à des tests drastiques d'étanchéité en usine, il permet une mise en œuvre facile et sûre. Il est également entièrement compatible avec les produits du système wedi.Produits utiliséswedi Fundo barrette de finition : Inox exclusif, longueur 700 mmFundo RioLigno : Receveur de douche de plain-pied avec écoulement linéaire pour planchers boiswedi Fundo kit d'étanchéité : Pour l'étanchéification des jonctionswedi Fundo écoulement linéaire : Écoulement horizontal DN 50wedi Fundo élément de calage pour écoulement linéaire : Intégré dans un plancher boisFundo RioLigno
Il y a 4 ans et 347 jours

Nomination de Laurent Germain au poste de directeur général d'Egis

Au terme de cette démarche, la Caisse des Dépôts, actionnaire majoritaire d'Egis, a décidé de proposer la nomination de Laurent Germain, actuellement directeur général du groupe Segula Technologies, au poste de directeur général du Groupe Egis. Celle-ci sera confirmée lors d'un prochain Conseil d'Administration et Laurent Germain rejoindra le Groupe le 2 juillet.Nicolas Jachiet, Président-directeur général d'Egis, déclare : « Je suis fier du parcours de développement et d'internationalisation accompli par l'ensemble des équipes d'Egis au cours des 15 ans où j'ai dirigé le groupe. Alors que j'ai fait le choix personnel d'un départ en retraite, je me réjouis d'accompagner Laurent Germain au cours des prochains mois, posant ainsi les bases solides d'une succession réussie pour Egis. Notre première priorité sera bien sûr de poursuivre les actions engagées pour faire face à la crise sanitaire et économique actuelle, en assurant la sécurité de nos collaborateurs et la continuité de notre activité pour nos clients. Et le groupe fera tous ses efforts pour reprendre le chemin d'un développement ambitieux au service d'un futur durable pour les populations, conformément à sa vocation »La Caisse des Dépôts proposera également la nomination de Paul-Marie Chavanne, déjà administrateur d'Egis, comme président non exécutif du Conseil d'administration d'Egis. Après une carrière diversifiée dans l'industrie, Paul-Marie Chavanne dirige depuis 20 ans le groupe Geopost, dont il va prochainement quitter la présidence. Laurent Germain, 48 ans, est actuellement Directeur général de Segula Technologies. Diplômé de l'ESSEC ('Ecole Supérieure des Sciences Economiques et Commerciales) et de l'Institut d'Etudes Politiques (IEP) de Paris, il est ancien élève de l'Ecole Nationale d'Administration (promotion 2000). Après avoir exercé différentes fonctions au sein du Ministère de l'Economie et des Finances, il devient en 2004 Conseiller du Ministre délégué à la Recherche, M. François d'Aubert, en charge des affaires budgétaires. Un an après, il est nommé Directeur financier du Centre National d'Etudes Spatiales (CNES), où il a fortement contribué à transformer la gestion des projets. Il a également assuré la présidence du conseil d'administration de CLS, filiale du CNES, qu'il a contribué à développer et où il a piloté l'entrée au capital d'Ardian. En 2014, il rejoint Segula Technologies, groupe mondial d'ingénierie et de conseil en technologies. Directeur général, il y a mené une forte croissance du Groupe (plus du doublement de la taille en 6 ans), notamment internationale, en portant une attention particulière à l'innovation.Paul-Marie Chavanne, 68 ans, est actuellement Président du groupe Geopost. Ingénieur de l'Ecole Centrale de Paris, ancien élève de l'Ecole Nationale d'Administration, il est Inspecteur des Finances et a débuté sa carrière au Ministère de l'Economie et des Finances, où il a passé près de onze ans. Paul-Marie Chavanne a occupé, pendant 31 ans, des fonctions de Direction Générale dans plusieurs groupes industriels (Autodistribution, Strafor Facom ou encore Automobiles Citroën). En 2001, il devient PDG de Geopost, la filiale de colis Express du Groupe La Poste, qui est devenu sous sa présidence le deuxième acteur de l'Express en Europe.
Il y a 4 ans et 347 jours

Un ranch moderne récemment achevé dans une ancienne ferme de noix de pécan, au Texas

Fulshear, Texas. Une vaste résidence moderne composée de quatre bâtiments a récemment été construite sur une ancienne ferme de noix de pécan, à quelques kilomètres de Houston.David Wersebe, qui travaille dans le domaine de la redevance minière à Houston, a conçu lui-même le projet de plus de 550 m², développé sur le ranch familial de 85 hectars. Il a engagé un architecte pour établir les plans de construction.« À l'origine, j'ai construit cette maison pour moi. Si elle ne se vend pas, il est possible que je m'y installe », explique David Wersebe. « Nous aimerions la vendre aux alentours de 3 millions de dollars, ce qui est envisageable au vu de la culture équestre particulièrement importante ici. »La demeure, actuellement sur le marché, mêle des éléments de son site d'origine, un verger de pacaniers, avec des matériaux complémentaires à cet environnement. Du calcaire texan et des poutres provenant d'une grange amish vieille de 200 ans, tous deux taillés à la main, encadrent la vaste entrée, tandis que de grandes fenêtres métalliques sur mesure ouvrent sur un paysage naturel. Le bois durable modifié Kebony Character, spécifié comme revêtement pour les quatre façades, reflète la dimension naturelle mais moderne de la maison.« Le revêtement en bois Kebony fonctionne extrêmement bien sur ce projet », souligne David Wersebe. « Le fait que le bois prenne une patine gris argenté au fil du temps lui permet de se fondre harmonieusement dans son environnement. »La maison est organisée autour de quatre « capsules » distinctes : la capsule centrale accueille le salon, la cuisine et les autres espaces partagés ; les capsules nord et sud comprennent respectivement les chambres d'amis et la suite principale. Un garage climatisé distinct peut accueillir quatre voitures et comprend une porte de hangar qui ouvre sur un auvent, deux espaces de travail surélevés, ainsi qu'une terrasse d'observation sur le toit.Les quatre structures sont couvertes de métal, et comportent des auvents conçus sur mesure avec des treillis irrigués. La capsule centrale abrite un salon en chêne blanc sur deux étages, couronné d'un plafond cathédral ; son porche arrière comprend une terrasse en porte-à-faux surplombant le lac Lucille, avec un patio couvert et une cheminée à bois. Un pont à ossature en acier et à parois vitrées, offrant une vue imprenable, mène à la suite principale. Cette maison unique en son genre est entourée de terrains de polo et d'installations équestres.* La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d'améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l'environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Il y a 4 ans et 348 jours

Covid-19 : moins de 2% du trafic aérien habituel en avril à Paris

Le trafic de Paris Aéroport est en baisse de 98,6% par rapport au mois d'avril 2019 avec 100.000 passagers accueillis, a indiqué le gestionnaire dans un communiqué.À CDG, seuls les terminaux 2A, 2C, 2E et 2F ont été ouverts au mois d'avril afin d'assurer l'ensemble des vols commerciaux dont le nombre s'est effondré avec la fermeture des frontières pour éviter la propagation du virus.Le groupe anticipe un niveau qui restera encore bas au mois de mai avec un redémarrage en juin.A CDG, le trafic est actuellement de 5.000 à 7.000 passagers par jour, selon le groupe."Compte tenu de ce niveau du trafic et des prévisions à venir", le gestionnaire va progressivement "regrouper le trafic du terminal 2A au 2E et au 2F" entre le 20 mai et le 1er juin, a indiqué la direction à l'AFP.Ce regroupement "est une exigence pour améliorer la qualité du service rendu aux passagers tant sur le plan sanitaire que sur celui des autres services", précise-t-elle.Le trafic total du Groupe ADP est en baisse de 99% par rapport au mois d'avril 2019, avec 300.000 passagers accueillis dans l'ensemble du réseau de plus d'une vingtaine d'aéroports gérés par le groupe dans le monde."A l'international, l'ensemble des aéroports sont soit fermés, soit soumis à des fortes contraintes opérationnelles, à l'exception de l'aéroport de Liège" consacré au fret, précise le communiqué.
Il y a 4 ans et 348 jours

Julien Denormandie annonce "72% de reprise d'activité sur les chantiers"

Dans le secteur du bâtiment, "l'activité repart. (...) Ce matin, nous sommes à 72% de reprise d'activité" selon les chiffres des fédérations, a dit Julien Denormandie pendant Le Grand Rendez-vous d'Europe 1/CNews/Les Echos dimanche. Depuis la fin du confinement lundi 11 mai, le gouvernement met l'accent sur ce secteur pour incarner la reprise économique à laquelle il souhaite assister.M. Denormandie avait annoncé mardi sur BFMTV qu'il visait l'objectif d'une "reprise de tous les chantiers avant la fin du mois" alors que cette proportion n'était que d'un gros tiers début avril.Un objectif "illusoire" selon le président de la Fédération française du bâtiment (FFB), interrogé en début de semaine par l'AFP. Pour lui, les freins ne sont "pas du fait des entreprises, mais des clients qui ne peuvent pas ou ne veulent pas" reprendre dans l'immédiat les travaux pour des raisons sanitaires, ou de la nécessité de renégocier les contrats en raison de coûts supplémentaires.
Il y a 4 ans et 348 jours

Covid-19 : les propositions de l'ingénierie pour concevoir dès maintenant le monde d'après

Pour une nouvelle organisation du travail et un investissement dans le capital humain à travers leur fédération professionnelle Syntec-Ingénierie, les ingénieristes – qui interviennent dans tous les domaines d’activité (aéronautique, automobile, environnement, construction, infrastructures, industrie, énergie, chimie, numérique, etc.) - sont sur le pied de guerre pour proposer un nouveau modèle de croissance fondé sur 3 piliers.Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie : « La pandémie de Covid-19 a profondément bouleversé notre société, notre économie, nos modes de vie. Alors que la menace sanitaire persiste, il nous revient de réfléchir dès maintenant à l’après, à ce que nous nous devons de modifier pour mettre sur pied un monde plus vivable, plus résilient. Tout notre environnement est impacté : nos logements (comment les rendre compatibles avec un recours plus fréquent au télétravail ?), les bâtiments de bureaux (comment les rendre modulaires en fonction du niveau de risque ?), nos modes de transports (comment réorganiser et sécuriser les différents flux ?). Les entreprises d’ingénierie, qui interviennent à la racine de tout projet, ont les talents, l’expertise et l’intelligence collective pour concevoir les solutions qui feront advenir demain. »Pour une souveraineté de la France et de l’Europe dans les secteurs clésLa crise du Covid-19 a mis sur le devant de la scène la dépendance de la France à la production étrangère en matière de matériel médical, de protection et de médicaments. Relocaliser les activités industrielles stratégiques. Cette relocalisation doit s’appliquer au médical, mais également aux secteurs stratégiques de la chimie, pétrochimie, sidérurgie, mécanique… pour lesquels la dépendance de la France peut être problématique en cas de crise d’une autre nature. Ce retour à la souveraineté industrielle doit notamment s’appréhender à travers le développement d’un nouveau mix énergétique associant un nucléaire renouvelé avec le développement des énergies vertes et renouvelables, le renforcement de nos capacités industrielles dans le domaine des infrastructures numériques et le retour d'activités dans le secteur pétrochimie et chimie notamment pour les nouveaux matériaux et les bases pharmaceutiques. Les entreprises d’ingénierie sont en capacité de jouer un rôle d’accélérateur par la réalisation d’études filières et la mise en œuvre de plateformes industrielles locales. Accompagner les entreprises industrielles pour les faire gagner en agilité en utilisant la flexibilité de leur outil de production et en investissant davantage dans l’industrie 4.0. L'industrie française a su montrer sa flexibilité pendant la crise. L'ingénierie peut l'aider à capitaliser sur ce succès en l’aidant à déployer les dernières technologies robotique-cobotique dans les usines ; et en développant en France la production de machines et automates, pour réaliser cette révolution industrielle 4.0 sans augmenter notre dépendance. Accélérer les démarches de simplification relatives à l’implantation de nouveaux sites industriels. Les durées trop longues des dossiers administratifs en vue d’installations industrielles sont un frein réel à l’investissement en France. Elles sont le fruit de nombreux facteurs, notamment de la multiplicité des acteurs intervenant dans leurs instructions. Une meilleure organisation et le développement de véritables plateformes industrielles mutualisant toutes les fonctions support et les agréments administratifs sont à notre portée avec le soutien des ingénieristes.Pour un monde plus résilient et plus responsableLa pandémie de Covid-19 a révélé de trop nombreuses fragilités dans l’organisation globale de nos sociétés et notre modèle de croissance.Repenser les territoires pour faire face aux chocs pandémiques. Il est urgent d’adopter une approche systémique qui conjugue sécurité sanitaire, technologie et durabilité. Pour les ingénieristes, cela doit notamment passer par de nouvelles mobilités du quotidien, dans un contexte où le télétravail sera amené à rester à un niveau élevé, le réaménagement des espaces publics pour respecter la distanciation sociale ou encore l’adaptation des infrastructures hospitalières, pour absorber les éventuels pics de pandémie. S’engager vers un modèle plus durable et plus sobre en carbone. Le maintien d’un haut niveau d’ambitions environnementales et climatiques est une condition indispensable à la réussite du plan de relance de l’après-Covid. Les entreprises d’ingénierie préconisent en priorité d’engager un vaste plan de relance en faveur des bâtiments sobres en carbone qui prennent en compte l’évolution des comportements ; et d’investir dans des projets d’infrastructures durables et adaptées au changement climatique, ainsi que de s’appuyer sur une digitalisation des process en vue de faire converger transition écologique et transition numérique avec la dématérialisation des procédures, le BIM et le déploiement accéléré de la technologie 5G.Pour une nouvelle organisation du travail et un investissement dans le capital humainRepenser l’organisation du travail en trouvant un nouveau point d’équilibre entre télétravail et retour au bureau. De même, l’usage de la formation à distance doit être encouragé. Les entreprises d’ingénierie sont volontaires pour repenser aussi bien les bâtiments privés que tertiaires pour prendre en compte l’évolution des modes de vie. Investir dans le capital humain pour mieux anticiper et gérer les transformations de l’économie. Au vu des inquiétudes fortes concernant les secteurs aéronautique ou automobile, il est essentiel d’anticiper et d’organiser les dispositifs de transferts massifs de compétences (formation, reconversion). La construction de passerelles professionnelles permettra non seulement de préserver l’emploi hautement qualifié, mais aussi de mettre les compétences des professionnels au service du redressement de l’activité industrielle du pays.Retrouvez l'intégralité de la contribution de Syntec-Ingénierie au plan de relance économique de l'après Covid-19.
Il y a 4 ans et 348 jours

La Biennale d'architecture de Venise repoussée à 2021

"La décision de repousser à mai 2021 la Biennale d'architecture est due à la constatation de l'impossibilité de réaliser, dans les délais nécessaires, une exposition aussi complexe d'envergure mondiale", expliquent-ils dans un communiqué.Cette biennale, intitulée "Comment allons nous vivre ensemble?" (How will we live together?) se déroulera du 22 mai au 21 novembre 2021."Ces derniers jours ont clarifié la réalité que nous affrontons", a déclaré Roberto Cicutto, président de la Biennale de Venise qui chapeaute plusieurs événements, notamment le plus célèbre, la Mostra du cinéma."Avec le plus grand respect pour le travail fourni par tous, les investissements réalisés par les participants et considérant les difficultés que connaissent tous les pays (...) nous avons décidé d'écouter ceux, et ils sont la majorité, qui ont demandé le report de la Biennale d'architecture", a ajouté M. Cicutto.Venise accueille en alternance une biennale d'art contemporain, les années impaires, et une biennale d'architecture les années paires. Cet ordre sera donc inversé dans les deux prochaines années puisque l'art contemporain sera accueilli par la Cité des Doges en 2022. Créé en 1893, la Biennale d'architecture est considérée comme une des plus prestigieuses manifestations artistiques en Europe et dans le monde.La Mostra a, en revanche, confirmé il y a un mois qu'elle se tiendrait comme prévu du 2 au 12 septembre prochain.
Il y a 4 ans et 348 jours

Covid-19 : le SNPU fait le point sur le secteur de l'isolation

Après un début 2020 confirmant les records de vente 2019 du panneau polyuréthane (sur le marché), l'activité globale a connu à partir du 17 mars une « chute abyssale » (en dessous de 20%). La reprise progressive est lente mais constante, avec un fonctionnement à environ 75%. Les 100% pourraient être atteints d'ici l'été.Le SNPU se félicite de l'engagement de ses adhérents industriels, même aux moments les plus difficiles de la crise sanitaire, pour répondre aux demandes. Tout est réuni pour reprendre une activité complète : usines opérationnelles, stocks de produits, logistique de livraison, commandes enregistrées…Rester vigilant fin 2020 et encore plus en 2021Avant le début de la crise sanitaire, les carnets de commandes des entrepreneurs du bâtiment étaient, pour certains, remplis jusqu'à la fin du troisième trimestre. Depuis plus de deux mois, les projets d'investissements sont, au mieux, reportés, mais pour la plupart suspendus voire même annulés : le marché de la rénovation est en berne, les chantiers de grande envergure ou publics n'ont pas tous pu encore réouvrir faute d'autorisation émanant des préfectures, les réunions de syndics de copropriétés sont annulées, les établissements hôteliers, de loisirs et restaurants fermés, etc.« Au vu de la recrudescence des commandes passées fin 2019, nous restons néanmoins sereins sur les prochains mois. Mais retrouver un niveau d'activité équivalent en fin d'année va être difficile. La France est le pays où l'arrêt a été le plus brutal et intense. Si côté industrie nous nous sommes adaptés plus facilement à la situation, la reprise est beaucoup plus contraignante sur les chantiers où les surcoûts fleurissent en raison de nouvelles contraintes organisationnelles. Les entreprises françaises risquent d'être lourdement affaiblies, face à une concurrence européenne qui a poursuivi ses activités. Nous attirons l'attention des hautes instances publiques sur les conséquences de la crise à échéance fin 2020. Il ne nous faudrait pas connaître une année 2021 pire que la précédente. », affirme Hervé FELLMANN, Président du SNPU.Préparer demainLe SNPU soutient la déclaration de l'AIMCC du 6 avril dernier, qui appelle de ses vœux à une reprise d'activité concertée et dont les modalités sont à définir avec l'ensemble des parties prenantes à l'acte de construire. Il souhaite également ouvrir un dialogue, dès que les circonstances le permettront, pour élaborer un plan de relance de la rénovation.« Il sera essentiel de favoriser le savoir-faire local et de soutenir les usines qui préservent l'emploi en France. Autre enjeu majeur, le maintien des aides fiscales pour les ménages échaudés par cette crise sans précédent que nous traversons. », conclut Hervé FELLMANN.
Il y a 4 ans et 348 jours

Énergie et changement climatique : quel héros de l'efficacité énergétique êtes-vous ?

Une campagne qui va de paire avec les préoccupations gouvernementalesAlors la pandémie du Covid-19 reste au cœur des débats actuels, la question du réchauffement climatique n'en demeure pas moins cruciale. L'efficacité énergétique est une priorité nationale. Le gouvernement et les entreprises poussent les particuliers à prendre conscience de leurs bonnes et mauvaises habitudes. Il s'agit maintenant d'accompagner les ménages en les aidant à adopter les bons réflexes, depuis les petits gestes du quotidien jusqu'aux travaux de rénovation énergétique.La question de la rénovation énergétique a d'ailleurs constitué l'un des grands axes des propositions transmises au Gouvernement le 10 avril dernier par les citoyens qui ont participé à la Convention pour le climat en demandant aux autorités d'aller plus loin dans leurs démarches.Ces objectifs sont partagés par ROCKWOOL, leader mondial de l'isolation en laine de roche, qui est particulièrement investi sur les enjeux liés au changement climatique et à l'efficacité énergétique. Ses produits sont en effet parmi les plus efficaces pour l'isolation thermique. Mais ROCKWOOL a décidé d'aller au-delà en initiant une campagne de sensibilisation auprès du grand public.Approfondir de manière ludique ses connaissances en matière d'efficacité énergétiqueCe module d'e-learning propose d'améliorer les connaissances sur l'efficacité énergétique et de découvrir comment lutter contre le changement climatique tout en s'amusant. Après avoir suivi la partie théorique et avoir répondu au quiz, les utilisateurs se voient assigner un « niveau d'héroïsme » en fonction de leurs connaissances.Comment fonctionne la plateforme ?Destinée à tous, ado et adultes, particuliers et professionnels, le module d'e-learning se divise en 2 quiz d'une durée d'environ 10 minutes, portant l'un sur l'efficacité énergétique et l'autre sur la rénovation énergétique. Une fois les quiz effectués, un score total est attribué, permettant ainsi au participant de connaitre son degré de connaissances sur les thématiques proposées. Autre élément notable : la plateforme offre également la possibilité de se mesurer à ses amis, collègues ou à sa famille.Le participant est d'abord invité à développer ses connaissances sur le concept d'efficacité énergétique : en quoi est-elle essentielle à l'atteinte de nos objectifs climatiques ? Comment l'améliorer ? Quel est le lien avec les énergies renouvelables ? On trouve réponse à ces questions tout en apprenant à maitriser le terme. La seconde étape vient compléter la première en se concentrant davantage sur l'importance de la rénovation énergétique dans la lutte contre le changement climatique.Le saviez-vous ? : la rénovation énergétique est la solution la plus efficace face au changement climatique. Là encore, une série de questions/réponses vient apporter tous les éléments justifiant cette affirmation.Mettre fin aux idées reçues en matière d'efficacité énergétiqueIdée reçue N°1 : Associer carburants « verts » et énergies renouvelables est le moyen le plus économique et efficace pour atteindre les objectifs climatiques. Faux : le moyen le plus efficace pour atteindre ces objectifs reste avant tout la diminution de la consommation d'énergie.Idée reçue N°2 : Les énergies renouvelables sont plus rentables que les énergies fossiles. Faux : selon une étude d'Agora, le coût total d'approvisionnement énergétique avec 95% d'énergies renouvelables est similaire aux systèmes d'approvisionnement basés sur les énergies fossiles. Qu'elle provienne d'énergies renouvelables ou de carburants fossiles, il vaut mieux économiser l'énergie.Idée reçue N°3 : Réduire les transports serait le meilleur moyen de réduire les émissions de CO2. Faux : Selon tous les scénarios à faible émission de carbone, augmenter le rendement énergétique aura le plus gros impact sur la réduction de ces émissions.Idée reçue N°4 : La production énergétique à partir d'énergies renouvelables n'a pas d'empreinte carbone. Faux : elle existe belle et bien. De plus on estime qu'économiser de l'énergie grâce à l'isolation en laine de roche a une empreinte carbone 14 fois inférieure à celle de la production d'énergie éolienne et 25 fois inférieure à celle obtenue à partir des panneaux solaires.Et vous, quel héros de l'efficacité énergétique êtes-vous ?Le module est accessible via ce lien
Il y a 4 ans et 348 jours

KOZ Architectes choisi pour une résidence étudiante résiliente sur le Campus urbain de Paris-Saclay

A travers cette consultation, l'EPA Paris-Saclay portait l'ambition de proposer une résidence innovante afin de répondre aux besoins des établissements d'enseignement supérieur du campus urbain de Paris-Saclay, notamment à travers les enjeux suivants :une diversité dans les typologies de logements étudiants avec notamment, une majorité de logements en colocation ;une exemplarité environnementale avec, entre autre, la réalisation de la résidence en construction bas carbone et dans un objectif de sobriété énergétique pour atteindre le label énergie carbone niveau E3C2 et du label biosourcé niveau 2 ;une offre de service complémentaire avec celle disponible sur le Campus.DEMATHIEU BARD Immobilier, en partenariat avec le gestionnaire COLONIES, a été sélectionné dans un premier temps, en tant que maître d'ouvrage dans le cadre de ces objectifs.Puis, le jury, composé de représentants de l'Établissement public d'aménagement (EPA) Paris-Saclay, de DEMATHIEU BARD Immobilier, de la mairie d'Orsay, de la Communauté d'agglomération Paris-Saclay (CPS), de l'Université Paris Saclay et d'un collège d'experts, a choisi parmi les 4 candidats* au concours, l'agence KOZ Architectes.Le projet a été retenu pour sa capacité à développer une véritable identité, avec un esprit de « fabrique » industrielle et technique, qui trouve sa place au sein du cluster Paris-Saclay.Dense et résilient // Sauvage et urbainSituée au sein du quartier de Moulon à proximité de CentraleSupélec, du Lieu de Vie et du futur pôle de Biologie-Pharmarcie-Chimie, la résidence développée par DEMATHIEU BARD Immobilier sur un terrain de 5.451 m² dont le cœur boisé est conservé, se veut un concept hybride et pensé sur mesure pour répondre aux besoins du Campus urbain de Paris-Saclay. Il alliera co-living (150 chambres) et colocation (160 chambres).La stratégie du projet architectural de KOZ est guidée par deux ambitions fortes :créer un bâtiment résilient, construit en bois sur le système le plus économe en matière et le plus léger : le Poteau-Poutre, capable de s'adapter à des évolutions programmatiques dans le temps court et le temps long, pouvant être démonté en évitant la démolition ;créer un bâtiment dense et compact, dont l'impact au sol soit le plus réduit possible afin de préserver la belle masse végétale existante et maximiser les espaces de terres perméables.Le projet proposé par KOZ compose intelligemment avec le « déjà là » tout en s'insérant dans le projet urbain en cours de formalisation.Afin de mettre en avant la végétation présente en cœur d'îlot, de vastes rez-de-chaussée majoritairement transparents, sont construits sur la plus grande longueur. Cette façade soulevée permet ainsi de dégager de larges vues sur la forêt existante et sur le projet paysager.Des espaces partagés et des « HOMES »En rez-de-chaussée, les cuisines ainsi que la laverie sont équipées et jumelées à une salle de sport. Sont également prévus des salons équipés de bibliothèques ou de dispositifs de projection. Des rooftop seront également accessibles à tous.Les espaces partagés sont libres d'accès avec une grande capacité d'accueil. Sur le long court, ils peuvent être repensés, modifiés en fonction de leurs usages grâce à une conception des espaces qui se veut flexible et mobile.Les logements, dénommés « HOMES » par COLONIES, le gestionnaire de la résidence, sont distribués par 4 escaliers. Chaque palier d'étage distribue 2 « HOMES » et se transforme, côté forêt, en balcon partagé.100% des « HOMES » sont traversants et la majorité sont ouverts sur la forêt en cœur d'îlot. Les espaces partagés sont situés à l'entrée de chaque « HOMES ». Largement ouverts sur l'extérieur, ils sont distribués par de larges plateformes ; ces « plongeoirs » sont en balcon sur la forêt. Chambre et communs sont clairement séparés afin de garantir une vraie intimité. Une résidence à haute qualité environnementaleL'enveloppe du projet révèle sans artifice la rationalité de la trame structurelle et le soin particulier apporté aux baies. Ce systématisme, allié à une structure bois, permet de participer à l'atteinte des objectifs définis par l'EPA Paris-Saclay, notamment le label énergie carbone niveau E3C2 et le label biosourcé niveau 2.La haute qualité environnementale du projet sera garantie par l'obtention de la certification NF Habitat HQE « Excellent ».La résidence sera également rattachée au réseau de chaleur et de froid du Campus urbain.
Il y a 4 ans et 348 jours

Pierre Bressollette nommé Président d'Arkadea

Société de promotion immobilière créée en 2017 et détenue à parts égales par Poste Immo et Icade, ARKADEA favorise les synergies au sein du groupe La Poste et de la Caisse des Dépôts (CDC) et intervient sur l'ensemble des territoires.ARKADEA amorce une nouvelle étape de son développement avec une équipe de huit collaborateurs afin d'accélérer notamment ses recherches foncières sur le marché.Biographie Pierre Bressollette, 45 ans, est titulaire d'un diplôme d'ingénieur Supaéro et d'un Executive MBA de HEC. En 2007, il devient successivement responsable du portfolio management, puis en 2010, directeur délégué à la gestion d'actifs au sein de GE Real Estate. Il rejoint Poste Immo en 2013 en tant que directeur de la valorisation en charge de la politique immobilière sur l'ensemble du parc et de la stratégie de création de valeur sur les 4 millions de m² patrimoniaux.Après avoir participé à la création d'ARKADEA, il en devient le directeur exécutif en juillet 2017. En février 2020, il prend la direction générale de la structure. Il occupe, depuis le 1er mai 2020, le poste de Président d'ARKADEA.
Il y a 4 ans et 348 jours

Mira C Green Link, chaudière à condensation connectée à micro-accumulation

Confort en chauffage toujours assuréMira C Green Link est équipée d'une régulation d'ambiance modulante connectée, l'Expert Control, et d'une sonde extérieure virtuelle permettant une régulation optimale du chauffage. L'échangeur en inox Spin Tech Chaffoteaux garantit un chauffage à hautes performances. Sa composition en inox lui assure une durée de vie prolongée tandis que sa conception limite l'entartrage et l'encrassement, pour un entretien réduit.Pilotage à distance avec la solution chaffolinkMira C Green Link intègre de série la connectivité ChaffoLink : en seulement deux étapes, la chaudière est connectée pour une expérience unique du chauffage, jour après jour.Contrôle de l'allumage, arrêt et température d'ambiance.Programmation personnalisée pour plus de confort et d'économies.Affichage des consommations énergétiques estimées.Notification en cas de dysfonctionnement et intervention à distance par votre professionnel de chauffage.Compatibilité avec les assistants vocaux (Google Home, Alexa et prochainement Apple HomeKit) pour plus d'interopérabilité.Jusqu'à 30% d'économies d'énergieD'une grande efficacité énergétique (A+), Mira C Green Link permet une réduction moyenne de la consommation d'eau chaude sanitaire de 10 % et de celle du chauffage de 18%. Cette réduction moyenne peut atteindre 30% par rapport à une chaudière basse température de plus de 15 ans.
Il y a 4 ans et 349 jours

Trêve hivernale jusqu'en octobre dans les logements sociaux à Paris

La semaine dernière, le ministre du Logement, Julien Denormandie, avait annoncé un nouveau report de la trêve hivernale des expulsions locatives, fixée normalement au 31 mars. Dans la foulée, l'Assemblée nationale l'avait fixée au 10 juillet."C'est bien, mais pas suffisant", a jugé Ian Brossat, dans une interview au Parisien. "La crainte est d'avoir beaucoup de familles qui se retrouveraient sous la menace d'une expulsion ou à la rue au coeur de l'été.""Depuis le 15 mars, 7.500 familles (sur 200.000 logements sociaux de la ville de Paris) se sont retrouvées pour la première fois en situation d'impayé", explique l'adjoint. "C'est une augmentation notable par rapport à une période normale. Et c'est évidemment un bilan provisoire", prévient l'élu, qui redoute les conséquences de la crise économique et sociale.Ainsi, "les trois bailleurs sociaux parisiens (Paris Habitat, la Régie immobilière de la Ville de Paris et Elogie Siemp) ont fait le choix de prolonger cette trêve hivernale jusqu'au mois d'octobre prochain. Ce qui nous permettra de faire le pont avec la trêve suivante et d'avoir une année blanche", ajoute-t-il.Pendant la période, les locataires concernés "pourront payer de toutes petites sommes en attendant que leur situation s'améliore", assure l'adjoint, précisant que la mesure ne concerne pas "ceux qui font l'objet d'un congé pour trouble de jouissance".Pour les locataires du parc privé, M. Brossat se dit favorable, comme la Fondation Abbé Pierre, à "la mise en place d'un fonds national d'aide au paiement des loyers. Un fonds auquel la mairie de Paris pourrait contribuer".La décision des bailleurs sociaux parisiens sera évoquée lors du Conseil de Paris lundi, largement consacré au plan d'aides de la Ville aux acteurs économiques et culturels.