Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Muuuz

L'appel à candidature est ouvert jusqu'au 2 décembre 2016 pour la prochaine édition du Festival des Architectures Vives à Montpellier et à la Grande-Motte. Le festival sera en 2017 placé sous le thème de l'émotion : parce qu'émouvoir est le rôle majeur de l'architecture disait Le Corbusier. Pour sa douzième édition le festival se déroulera du 13 juin au 18 juin 2017 à Montpellier et du 17 juin au 25 juin 2017 à La Grande Motte. "L'ARCHITECTURE est un fait d'art, un phénomène d'émotion, en dehors des questions de construction, au-delà. La Construction, C'EST POUR FAIRE TENIR, l'Architecture, C'EST POUR EMOUVOIR." Le CORBUSIER, Entretien avec les étudiants des écoles d'architecture, édition de Minuit, Paris 1957 Le Festival des Architectures Vives, organisé chaque année, sensibilise le grand public à l'architecture au travers de deux parcours : l'un au c"ur des cours des hôtels particuliers de l'écusson de Montpellier, le centre ancien de la ville, et le second au milieu des immeubles conçus par Jean Balladur à La Grande-Motte. Le festival offre un véritable territoire d'expression à une jeune génération d'architectes mettant en scène des rencontres entre une nouvelle intervention, placée cette année sous le thème de l'émotion, et des lieux inattendus. L'appel à candidature est ouvert jusqu'au vendredi 2 décembre 2016 et est ouvert aux jeunes architectes et architectes-paysagistes, l'objectif du festival étant de promouvoir la jeune création architecturale. Cette année 10 cours sont ouvertes au festival à Montpellier et 8 lieux à La Grande-Motte. Retrouvez l'appel à candidature en cliquant ici. Emotion n. f. II Réaction affective brusque et momentanée, agréable ou pénible, souvent accompagnée de manifestations physiques.Extrait de la définition de la 9ème Edition du Dictionnaire de l'Académie Française Pour en savoir plus, visitez le site du Festival des Architectures Vives

A l'occasion de l'édition 2016 de la Biennale de Bristol, l'artiste britannique Liz West dessine un arc-en-ciel de lumière qu'elle nous invite à arpenter à la découverte de la relation entre couleurs et émotions. " Does colour change the way you feel? What does it feel like to be inside a rainbow ? " Liz West   Habituée des installations hautes en couleurs, Liz West investit une architecture incurvées dont les fenêtres ont été aveuglées. Le tunnel se transforme en arc-en-ciel grâce à des projecteurs équipés de filtres gélifiés dont la lumière teintée se reflète sur le sol, le plafond et les murs neutres des lieux. Du rouge au bleu, les visiteurs se trouvent immergés au sein d'un arc-en-ciel artificiel de près de 1000 m². Baptisée " Our Color ", l'installation participe à l'étude de Liz West sur la perception des couleurs d'un point de vue émotionnel, psychologique ou physique. Ainsi l'artiste a-t-elle observé qu'après avoir traversé et expérimenté l'ensemble du spectre lumineux, les visiteurs reviennent bien souvent se placer dans leurs couleurs préférés où ils profitent d'un instant pour se poser, discuter ou rêver. Pour en savoir plus, consultez le site de Liz West.

Le studio du designer Guillaume Delvigne a imaginé un nouveau fauteuil pour l'éditeur Hartô. Le bois brut de son piètement porte une assise en tissu complété par un coussin à deux capitons. Pour en savoir plus, visitez le site de Guillaume Delvigne et de l'éditeur Hartô  

Une société de production polonaise a installé ses locaux à Varsovie. Souhaitant créer des bureaux à l'image de son équipe, elle a confié la conception et la réalisation du nouveau lieu à la jeune agence mfrmgr. Le projet se loge dans une maison des années 1980, il s'affranchit des cloisons opaques pour laisser place à un grand espace libre et lumineux formé de montants de bois et d'encadrement en polycarbonate. "In our design we put forward a new, logical and functional division of space dedicated either for work and casual meetings. Our primary design task was to create an arranged, representative entrance - a spacious common area." mfrmgr L'espace est traversant, les deux accès donnant sur l'extérieur se font face et entre eux les architectes ont laissé l'espace de circulation. Décentré, il sépare le lieu en deux de manière longitudinale. Le grand côté accueille les espaces de travail. En face, l'architecte a imaginé des petites niches ou alcôves destinées à répondre aux besoins d'isolement improvisés ou aux réunions informelles. Les seules ouvertures présentes sur le bâtiment existant se situent sur les petits côtés du plan, il fallait donc trouver une solution pour apporter de la lumière naturelle au c"ur de ce dernier. Les cloisons opaques disparaissent et laissent place à un système conçu avec des plaques de polycarbonates et des montants de bois brut. Ainsi l'esthétique du lieu se compose avec ces deux matériaux et offre aux collaborateurs une lumière diffuse dans tous les espaces. Photographies : Grzegorz Sztybel Pour en savoir plus, visitez le site de mfrmgr  

Crew, jeune entreprise en haute technologie, investit l'ancienne Banque Royale de Montréal, érigée en 1926. Relevant le défi de l'insertion contemporaine en milieu classé, l'architecte Henri Cleinge dessine des bureaux et un nouveau café offrant un espace de travail fonctionnel à l'identité affirmé. La complexité du programme se manifeste par un mélange d'espaces de bureaux variés. Aux bureaux des employés permanents s'ajoute une aire de bureaux loués au mois, à la semaine ou à la journée. De multiples salles de conférences sont également requises. Ainsi, le projet se présente comme un espace de partage favorisant les rencontres, les échanges et les collaborations. Cette volonté de l'entreprise s'est inscrite dans la pierre grâce à différents types de cloisonnements entre les espaces, de parois de verre, à des frontières visuelles comme les anciens guichets de la Banque Royale qui ne pouvaient être déplacées et établissent désormais une division entre le café et les salles de conférence.   Les architectes ont ainsi dû composer avec l'architecture du bâtiment et ses différents vestiges retraçant l'histoire du lieu. Le bâtiment de 1926 présente de riches détails, dont un plancher en marbre aux motifs géométriques, un plafond décoratif en plâtre peint ainsi que des éléments en laiton coulé parmi lesquels une importante collection de luminaires. L'ensemble est baigné de lumière grâce à des vastes fenêtres cintrées. "Il s'agit d'intervenir avec discrétion, de ressusciter ce lieu avec un nouvel usage, une nouvelle vie, qui prend forme par des gestes simples et dépouillés." Henri Cleinge Les nouveaux murs sont habillés d'acier plaqué avec du laiton en harmonie avec les différents éléments en laiton d'origine. Les cloisons qui divisent les salles de conférence évoquent quant à elles les anciens présentoirs de la banque où se situaient des casiers pour les feuilles de dépôts. Minimaliste, le mobilier s'intègre également au lieu dont il reprend les codes couleur. Ainsi, le nouveau projet se lit comme un geste secondaire, dans le plus grand respect du bâtiment tout en répondant aux besoins de ses nouveaux occupants. Photographies : Adrien Williams Pour en savoir plus, consultez le site de Henri Cleinge.

La jeune maison française Gueule de Bois marie son matériau de prédilection à la tôle pliée pour un siège cubique à l'esthétique brutte et épurée.   " L'habit ne fait pas le meuble " Gueule de Bois Gueule de Bois est un projet mené par deux amis d'enfance " autour d'une (ou deux) bouteilles de vin ".  Pris de passion pour le bois, Ludovic Austry et Emmanuel Berson entendent mettre l'artisanat français au service d'un design intuitif dont ils présentent chaque année un nouveau cépage. Premier cru de l'année, la collection Houblon se complète de Riesling, un rocking-chair anguleux, et d'Ugny,  une lampe sur pied formée d'un simple tasseau rainuré. Photographies : Ludovic Desmons Studio Pour en savoir plus, consultez le site de Gueule de Bois.

Du 30 septembre au 2 octobre 2016, la Bellevilloise présente la 19ème édition du Grand Salon d'Art Abordable et entend offrir un moment d'échanges et de convivialité entre artistes, amateurs d'art ou simples curieux, loin des a priori du marché. 3 jours, 50 artistes, 400 "uvres   Créé en Juin 2009 en réponse à la crise financière qui a touché les artistes et les galeries de plein fouet, le Grand Salon d'Art Abordable accueille une quarantaine d'artistes, sculpteurs, photographes, peintres ou encore graphistes, qui exposeront plus de 400 "uvres originales signées et certifiées. Ces "uvres seront mises en vente à prix d'atelier, soit entre 50 et 5000¤, au profit exclusif des artistes. " Nous avons relevé le pari de relancer l'achat d'"uvres d'art en se basant sur un constat : une importante partie du public potentiellement intéressé par l'art n'ose pas toujours pousser les portes des galeries ou des lieux consacrés. Le Grand Salon d'Art Abordable s'est donc forgé autour de deux concepts : accessibilité et convivialité. " La Bellevilloise Illustrations : 1. 19ème édition du Grand Salon d'Art Abordable 2. Catherine Jubert 3. Olivier Daz de Zarate4. Angelina Guez5. Fabienne Fol6. François Bodet 19ème Grand Salon de l'Art Abordable, La Bellevilloise, 19-21 rue Boyer, 75020 PARIS, du 30 septembre au 2 octobre 2016,  5¤. Pour en savoir plus, consultez le site du Grand Salon d'Art Abordable.

Pulsión est la nouvelle installation textile de l'artiste et designer espagnole Sara Coleman. Elle est installée à la Casa das Artes à Vigo dans le nord de l'Espagne. Sara Coleman, artiste multidisciplinaire ayant reçu une éducation hybride, a commencé ses études en arts plastiques et a continué avec en créant des costumes pour le cinéma, le théâtre et la télévision. Aujourd'hui, elle développe ses créations autour des matières textiles et installe des "uvres in situ. Pour en savoir plus, visitez le site de Sara Coleman

Le Centre Pompidou de Paris accueille une exposition consacrée à l'une des figures emblématiques de l'art moderne, René Magritte. Rassemblant des "uvres caractéristiques aux côtés d'autres plus méconnues, " Magritte - La trahison des images " aborde l'"uvre du peintre belge sous l'angle inédit de sa passion pour la philosophie.   Une certaine tradition française résume l'"uvre de Magritte du label de peintre surréaliste. Pourtant, s'il s'est un temps rapproché du mouvement parisien, il en fut également rejeté, par André Breton lui-même. En 1932, René Magritte rêve d'un "uf prisonnier d'une cage. Il en fera un tableau, Les Affinités électives, qui marque alors son renoncement à l'esthétique surréaliste, maruqée par l'automatisme, l'arbitraire et le hasard. En 1938, Magritte donne une conférence intitulée La ligne de vie au Musée royal des Beaux-arts d'Anvers et présente alors une méthode raisonnée, une solution apportée aux "problèmes" de la chaise, du verre d'eau ou de la pluie. Une démarche presque scientifique qui le rapproche finalement du surréalisme belge, théorisé par Paul Nougé. L'exposition s'ouvre sur ce tournant " raisonnant " de l'"uvre de Magritte. "Et bien, pouvez-vous bourrer ma pipe ? Non, n'est-ce pas. Elle n'est qu'une représentation. Donc si j'avais écrit sous mon tableau ceci est une pipe, j'aurai menti" René Magritte A partir des années 1950, René Magritte correspond avec plusieurs philosophes, parmi lesquels Chaïm Perelman et Alphonse de Waelhens qui deviendra un véritable "conseiller philosophique" pour le peintre. En 1966, Magritte découvre Les Mots et les choses de Michel Foucault et engage alors une correspondance avec son auteur dont est issue Ceci n'est pas une pipe, publié en 1973 par le philosophe français. Des écrits de Magritte transparait sa volonté d'ériger la peinture au rang de la philosophie, comme une forme accomplie d'expression de l'Esprit. Il se heurte alors à certaine tradition philosophique qui stigmatise la relation problématique des images avec le réel et la vérité. L'exposition se poursuit en quatre chapitres introduits par des oeuvres classiques illustrant quatre anathèmes dont la philosophie a pu accabler la peinture, systématiquement combattus par l'"uvre de René Magritte. Ainsi retrouve-t-on l'invention de la peinture par Pline L'Ancien, dont le texte fondateur marque l'"uvre de Magritte de trois éléments iconographiques, la bougie, l'ombre et la silhouette, et de cette profonde interrogation quant à la capacité de l'art à restituer le réel. Un thème qu'aborde également le geste de Parrhasios dont les rideaux restent un attribut récurent des peintures de Magritte. Son "uvre raisonne aussi face à l'allégorie de la caverne de Platon, qui symbolise à elle seule le rejet philosophique des images, et dont le peinte belge a souvent illustré le feu et la question de la perception depuis des espaces clos, grotte ou chambres ou maisons. Illustrations : 1. René Magritte, Les vacances de Hegel, 1958, Huile sur toile, 60 x 50 cm, Collection particulière © Adagp, Paris 2016 © Photothèque R. Magritte / Banque d'Images, Adagp, Paris, 2016 2. René Magritte, La Trahison des images (Ceci n'est pas une pipe), 1929 Huile sur toile, 60,33 x 81,12 x 2,54 cm Los Angeles County Museum of Art. Purchased with funds provided by the Mr. and Mrs. William Preston Harrison Collection © Adagp, Paris 2016 © Photothèque R. Magritte / Banque d'Images, Adagp, Paris, 2016 3. René Magritte, La Décalcomanie, 1966 Huile sur toile, 81 - 100 cm, Dr Noémi Perelman Mattis et Dr Daniel C. Mattis © Adagp, Paris 2016 © Photothèque R. Magritte / Banque d'Images, Adagp, Paris, 2016 4. René Magritte, Variante de la tristesse, 1957, Huile sur toile, 50,2 x 60,3 cm, Kerry Stokes Collection, Perth © Kerry Stokes Collection, Perth / Photo : Acorn, Photo, Perth © Adagp, Paris 2016 © Photothèque R. Magritte / BI, Adagp, Paris, 2016 5. René Magritte, La Lampe philosophique, 1936 Huile sur toile, 46 x 55 cm Collection particulière © Adagp, Paris 2016 © Photothèque R. Magritte / BI, Adagp, Paris, 2016 6. René Magritte, Les Marches de l'été, 1938 Huile sur toile, 60 - 73 cm Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris Achat, 1991 © Coll. Centre Pompidou, Musée national d'art moderne / Photo : Philippe Migeat © ADAGP, Paris 2016 7. René Magritte, La Condition humaine, 1935 Huile sur toile, 54 x 73 cm Norfolk Museums Service © Adagp, Paris 2016 Magritte, La trahison des images, au Centre Pompidou, 75003 Paris, du 21 septembre 2016 au 23 janvier 2017, tous les jours sauf le mardi de 11h à 21h. Pour en savoir plus, consultez le site du Centre Pompidou.

  Les magasins généraux abritaient à Pantin les anciens greniers de la capitale. BETC, agence de publicité à la paternité de nombreuses campagnes devenues célèbres, s'y installe après que le bâtiment fut un des temples du street art parisien. Paris déborde sur sa banlieue proche et cherche de nouvelles polarités. Les codes changent également : l'agence s'essaye aux bureaux libres et fabrique au sein d'un nouveau lieu une nouvelle atmosphère dédiée à la créativité de ses équipes. "Dans le monde du travail, on se soucie de moins en moins de l'influence des lieux sur les gens. Alors, pourquoi choisissons-nous de prendre le temps d'y penser ? Parce que ce soin et ce temps consacrés à la localisation, la conception et la construction de notre lieu de travail sont des investissements. Qui, selon notre expérience, donnent de bons résultats." Mercedes Erra et Rémi Babinet Depuis les années 1930 les Magasins Généraux ont connu plusieurs vies. Au départ transitaient grains, céréales, farines, papiers et tissus... Puis le bâtiment a été occupé par les douanes avant d'être abandonné et investi par les maitres du street art. Le bâtiment recouvert de fresques et de graffitis multiples exposait encore il y a quelques mois sa peau artistique le long du canal. Il a récemment subi une reconversion lourde l'offrant ainsi sous un nouveau jour aux publicitaires de BETC. Le lieu atypique jouit d'un emplacement devenu ou qui deviendra exceptionnel. Premier emblème accompli du renouveau de ce quartier de Pantin il bénéficie d'un large espace public et d'une façade entière tournés sur le canal. La reconversion menée par Frédéric Jung ne néglige en rien cet atout : il ouvre généreusement le lieu et de grandes baies contemplent l'eau et les quartiers alentour, encore marqués par de nombreuses manufactures. Des coursives filantes, déjà présentes dans le bâtiment original, sont également restées accessibles et des bancs permettront bientôt de travailler et d'utiliser l'extérieur. Le mot du projet semble être la liberté, en tout cas il est à la base du concept de ce nouveau lieu. Outre la réhabilitation offrant de grands plateaux libres placés sous les codes graphiques de vocables industriels (vestiges de bétons, poutres et métaux apparents, passerelles,..) l'intérêt du projet réside dans sa nouvelle organisation obligeant l'architecture à se tourner vers la fluidité et l'appropriation éphémère. Les grands plateaux libres sont occupés par de grands bureaux libres eux aussi. Personne n'a de bureau à soi, seuls des casiers à taille réduite peuvent être appropriés et chacun occupe l'endroit qu'il souhaite. Différentes bulles sont néanmoins installées, pour certaines elles offrent des dispositions techniques particulières (acoustiques, colorimétriques...), d'autres sont des lieux calmes ou isolés. L'organisation se veut horizontale, les cadres et les responsables des différentes sections ont droit au même traitement : le lieu oublie la théâtralisation du bureau du chef et mise sur la création d'une communauté. Architecturalement, les magasins généraux sont un grand vaisseau de béton séparé par une faille tranchant le bâtiment en deux. Le bâtiment, trop épais pour éviter la question, se dote de deux patios devenant de véritables atriums traversés de passerelles. Ils offrent un extérieur en plus apportant de l'air et de la lumière au c"ur du bâtiment. Seuls les deux premiers niveaux sont continus et abritent des fonctions nécessitant de plus larges espaces continus. Pour redonner de la chaleur au projet, l'architecte a recouvert les nouvelles façades des patios avec un parement de bois contrastant avec le minimalisme colorimétrique, certes élégant mais monotone, de l'architecture originelle. Le bâtiment n'est cependant pas seulement habité de plateaux offerts aux bureaux. Différents pôles ponctuent le bâtiment et complètent le programme. Ainsi une cantine, aux accents novateurs, est prévue au premier étage ; un lieu accueillera différentes expositions ; et des salles de sport sont ouvertes... La pièce maitresse est le toit où un café prévu pour les réceptions avec un accès direct sur un jardin en attique... Photographies : Hervé Abbadie, Meffre&Marchand et Philippe Garcia Pour en savoir plus, visitez le site de Frédéric Jung et de BETC  

Sur les hauteurs escarpées de l'ile de Majorque, Oliver Hernaiz Architecture Lab livre une résidence contemporaine déclinée en quatre volumes blancs précisément orientés pour profiter au mieux des différentes vues. Les architectes divisent la maison en 4 polyèdres irréguliers, pointant vers 4 directions. Selon la tâche qui lui est dévolue, chaque volume dispose d'une fenêtre en bandeau ou d'une large baie et profite ainsi d'une vue exceptionnelle sur les environs. Ainsi le volume comprenant le séjour regarde vers la mer, tandis que la cuisine fait face au potager. Enfin, les différentes chambres s'ouvrent sur le jardin, protégé des regards indiscrets. "The project optimises the programme, grouping it in four boxes " kitchen, living-dining, main bedroom and guest bedrooms " which can be used together or independently " OHLAB Les différentes orientations des volumes ont également été calculées en fonction de la course du soleil afin de profiter d'une luminosité constante au fil des saisons. Le plus spacieux des volumes accueille s'élève sur deux niveaux et accueille les espaces de vie commune et un bureau en mezzanine. Ses vastes baies s'ouvrent sur une terrasse et, à l'étage, sur un balcon plus intime formé par un triangle découpé dans les pans de toiture. L'intérieur de 200 m² s'habille de murs blancs avec lesquels contrastent les huisseries en bois ainsi que différentes déclinaisons d'une céramique aux teintes crèmes et vertes produite localement.  La résidence se distingue également par ses vertus écologiques. Trois des toitures récoltent l'eau de pluie pour l'arrosage et les usages domestiques, le quatrième est quant à lui équipée d'un système d'épuration et assure l'approvisionnement en eau potable. Des citernes sont également placée sous la maison et reliées à des panneaux solaires. Photographies : Jose? Hevia Pour en savoir plus, consulter le site de l'agence OHLAB OHLAB : MM House   Sur un terrain escarpé de l'ile de Majorque, Oliver Hernaiz Architecture Lab livre une résidence contemporaine en quatres volumes blancs précisément orientés pour profiter au mieux des différentes vues.   Les architectes divisent la maison en 4 polyèdres irréguliers, pointant vers 4 directions. Selon la tâche qui lui est dévolue, chaque volume dispose d'une fenêtre en bandeau ou d'une large baie et profite ainsi d'une vue exceptionnelle sur les environs.   Ainsi le volume comprenant le séjour regarde vers la mer, tandis que la cuisine fait face au potager. Enfin, les différentes chambres s'ouvrent sur le jardin, protégé des regards indiscrets.   "The project optimises the programme, grouping it in four boxes " kitchen, living-dining, main bedroom and guest bedrooms " which can be used together or independently," said OHLAB.   Les différentes orientations des volumes ont également été calculées en fonction de la course du soleil afin de profiter d'une luminosité constante au fil des saisons.   Le plus spacieux des volumes accueille s'élève sur deux niveaux et accueille les espaces de vie commune et un bureau en mezzanine. Ses vastes baies s'ouvrent sur une terrasse et, à l'étage, sur un balcon plus intime formé par un triangle découpé dans les différents pans de toiture.   L'intérieur de 200 m² s'habille de murs blancs et de différentes déclinaisons d'une céramique aux teintes crèmes et vertes produite localement.   La résidence se distingue également par ses vertues écologiques. Trois des toitures récoltent l'eau de pluie pour l'arrosage et les usages domestiques, le quatrième est quant à lui équipée d'un système d'épuration et assure l'approvisionement en eau potable. Des citernes sont également placée sous la maison et reliées à des panneaux solaires.   Photographies : Jose? Hevia   Pour en savoir plus, consulter le site de l'agence OHLAB

Recouvert de pierre de Richemont, l'hôtel La Pérouse s'est installé en 1993 en proue face à la place des petits murs à Nantes. Dès sa livraison, l'édifice imaginé par Clotilde et Bernard Barto, a suscité les interrogations mais à l'époque déjà sa conception offrait un lieu unique presque avant-gardiste. Des années plus tard un récent changement de propriétaire a entrainé une nouvelle rénovation de l'hôtel qui vient de s'achever. Dès 1993 Barto+Barto avaient imaginé un lieu qui à la fois mariait les lignes historiques du quartier, et conjuguait les règles urbanistiques à un édifice profondément contemporain. Le résultat architectural a fait date et offre sous un parement de pierre : un hôtel de 47 chambres où la tradition des savoir-faire locaux (les artisans et leurs arts considérés comme de véritables héritiers et praticiens du patrimoine) est mariée à une esthétique et à une rationalité contemporaines. Niché en secteur sauvegardé de la ville de Nantes le bâtiment s'est très vite retrouvé face à de nombreuses contraintes, le talent des architectes a été de les transformer en de véritables atouts. La pierre et le dessin de la façade se dressent et assurent la continuité avec son voisin direct. Le jeu de la coupe ménage sept niveaux mais donne en façade une lecture de quatre étages imitant l'immeuble limitrophe sur lequel le projet s'aligne. Le dernier niveau est celui situé sous les pans inclinés imposés par les règles de prospect, le geste architectural donne l'impression d'un plissement de façade. Le chéneau intégré en bas de pente règle l'écoulement des eaux de pluie avec élégance et discrétion. La maitrise du projet architectural réside dans ces détails murement réfléchis et garantissant la cohérence du projet reconnue encore aujourd'hui. Référence contemporaine, le bâtiment a été classé en 2011 en tant que Patrimoine du XXe siècle. L'entrée au rez-de-chaussée fait passer les visiteurs par une passerelle, enjambant l'accès au sous-sol, et dont le revêtement et l'inclinaison évoquent clairement un vocabulaire portuaire. Le bois recouvre le sol et fabrique un mobilier conçu pour le lieu. Les chambres, où l'on accède par un ascenseur faisant office de pallier à chaque étage, sont ouvertes à l'horizontale : transcriptions littérales des ouvertures souhaitées pour la façade. Les parois sont recouvertes de stuc, et là aussi transparaît le souhait de faire parler les savoir-faire. L'hôtel La Pérouse, suggérant un monolithe sculpté dans un seul bloc, s'inscrit comme un chef-d'"uvre moderne et intemporel, prodigieux dialogue architectural entre les époques, dicté par une écriture résolument contemporaine.   Photographies : Guillaume Grasset Pour en savoir plus, visitez le site des architectes Barto+Barto et de l'hôtel de La Pérouse  

Maximum est une manufacture de mobilier qui puise toute sa matière première dans les pertes de matière générées par les industries de sa région. Fabriquée à partir des déchets de la plasturgie et d'anciens parquets, la collection de sièges Gravêne célèbre les erreurs de teinte issues de productions industrielles. Avant de l'envoyer à ses clients, l'entreprise A. Schulman réduit en poudre le plastique coloré. Pendant le broyage, il arrive que des résidus de plastique se mêlent à la production en cours qu'ils polluent de leurs couleurs. La poudre obtenue, dont la couleur est impure, devient déchet, tout comme les premiers sacs de poudre systématiquement écartés de la production. " Chez notre partenaire, leader de la plasturgie, le mélange de teintes inopiné est un défaut intolérable. C'est le point de départ du gravêne, qui célèbre ces dégradés accidentels. " Maximum Maximum récupère cette poudre aux milles couleurs et la transforme en " spaghettis de plastique liquide ". Un moule recueille alors la matière en fusion et fait s'opposer une face intérieure maîtrisée à une surface extérieure irrégulière, contant le récit du procédé de fabrication. La coque, évoquant les iconiques sièges DAW de Charles Eames, est alors montée sur un piètement composé de bois issus d'anciens parquets. " Tout en préservant la terre des ressources nécessaires à leur production, nos meubles vident les poubelles des industriels. " Maximum Les meubles de Maximum sont dessinés en fonction de la forme des déchets, qui devient alors vecteur de créativité, au service d'une certaine esthétique valorisant le travail réalisés en amont sur la matière. Leurs productions, à l'impact carbone négatif, se distinguent également par leurs qualités écologiques, génératrices d'une dynamique vertueuse d'économie circulaire. Photographies : Maximum Pour en savoir plus, consultez le site de Maximum.

Originaire de Bierut, le designer Richard Yasmine imagine une collection de tables sculpturales inspirée par le plus simple et le plus petit des objets : un clou. " The visual reflects double symbolism; sadism and alliance, in a dramatic but esthetic appearance together creating one body. " Richard Yasmine Déclinée en marbre, métal et autres matériaux, la table Clou se compose d'un plateau circulaire et d'un pied pyramidal destiné à pénétrer une base cubique dont elle tire sa stabilité. Une fine rainure traverse le plateau et évoque une tête de vis. Entre design et "uvre d'art, Clou peut être posée à même le sol et se muer en une étonnante sculpture. Photographies : Bizarre Beirut Pour en savoir plus, consultez le site de Richard Yasmine.

Editée par Matière Grise, la collection WIND de Victoria Wilmotte se présente comme un hommage au pouvoir de la matière, si précieuse aux yeux de la designer, qui imagine un trio de tables au métal délicatement plissé. Passionnée par le métal qu'elle sculpte ici comme une "uvre d'art, Victoria WIlmotte réalise, avec ce trio de tables gigognes une véritable prouesse technique. Délicatement plissés, les plateaux dessinent des formes géométriques parfaites, résultant de savants calculs quant à l'angle de pliage ou l'épaisseur de métal.  Une performance rendue possible par l'étendue des connaissances de la designer, qui a fait du métal sa matière de prédilection et dispose de son propre atelier, mais aussi par une étroite collaboration entre son studio et l'éditeur Matière Grise, qui maîtrise la fabrication de ses propres collections. En complément de la collection de tables WIND, Victoria Wilmotte présente WAVE, un miroir tout en rondeur. Réalisé en inox poli, il reprend le même travail de matière plissée en un savant effet d'optique et de reflet. Photographies : Matière Grise Pour en savoir plus, consultez les sites de Matière Grise et Victoria Wilmotte.

Récemment diplômée de l'école Boulle en menuiserie, sculpture sur bois et design produit, Pauline Avrillon interroge l'informe dans le champ du design. Ses objets en devenir appellent au lâcher prise à travers l'explosion, un geste radicalement libre et créatif. " Qu'est-ce qu'un objet informe ? Hors de toute volonté restrictive de mise en forme, c'est un objet indéfini, ni clos ni docile " un objet qui s'ouvre à l'imaginaire d'autres devenirs possibles. Mais quelle est alors la place du créateur face à cet objet informe, s'il n'a plus à définir ni forme ni fonction ? " Pauline Avrillon   SGH01 se présente sous la forme d'un cube de terre dans lequel est introduite une charge explosive. Libre à l'usager de l'allumer, de " prendre le risque " de le déformer et, finalement, de créer. Incertaines, aléatoires et irrévocables, l'explosion et ses stigmates se font source de création. " L'objet obtenu n'est finalement que le résultat d'un informe qui "uvre dans notre rapport aux choses comme expérience plus que comme aboutissement. " Pauline Avrillon Pour en savoir plus, consultez le Linkedin de Pauline Avrillon.

Au coeur des montagnes norvégiennes, l'agence KOKO architects offre un refuge aux randonneurs de l'association Stavenger Turistforening. Les architectes estoniens imaginent un ensemble de bâtiments vêtus de zinc, comprenant un espace commun, plusieurs cabines de couchage, une salle de stockage, des commodités et un sauna. Montés sur pilotis, les pavillons présentent des volumes simples et des toitures à pente unique. Ils s'habillent de zinc laminé, un matériau résistant au vent, à la neige et au temps. L'intérieur est vêtu de bois clair, offrant une atmosphère chaleureuse à ses occupants qui profite par ailleurs de vues exceptionnelles sur les sommets grâce à de larges baies. En harmonie avec la nature, les cabines n'ont ni eau courante ni électricité, mais des poêles à bois et un lac non loin de là. Seule la salle commune dispose de gaz et de panneaux solaires. Chaque visiteur dispose librement des lieux et participe à leur entretien, selon les règles de la Stavenger Turistforening privilégiant la confiance entre ses membres. Pour en savoir plus, consultez le site de KOKO Architects Photographies : Tonu Tunnel, Marius Dalseg

L'agence polyvalente +tongtong rénove une maison victorienne d'un quartier résidentiel de Toronto. Habillée de différentes teintes de zinc, la résidence gagne en volume, luminosité et modernité sans que son architecture vernaculaire n'en soit dénaturée. L'intervention consistait à moderniser et étendre la surface habitable de la maison afin d'accueillir une famille nombreuse tout en respectent l'architecture traditionnelle du quartier. Les architectes se sont inspirés des formes caractéristiques de l'architecture victorienne associées à des matériaux plus industriels, dont le zinc.   " Grey and black zinc used throughout both the exterior and interior of the home is a material that blends traditional aspects with the new contemporary scheme. " +tongtong Habillée de briques sombres, la façade de la maison est percée de larges ouvertures. La baie du rez-de-chaussée profite d'un auvent en zinc, clin d'"il aux anciennes boutiques du quartier. Au troisième étage, l'emblématique gâble est percé d'une baie triangulaire offrant une large vue sur le quartier et une évidente modernité à la façade. A l'arrière de la maison, de nouveaux volumes octogonaux émergent de l'architecture originelle. Habillés de zinc noir, ils contrastent harmonieusement avec le zinc clair de la toiture. L'utilisation de zinc se poursuit à l'intérieur de la maison, où un puits de lumière est percé au-dessus de la cuisine et dessine un volume habillé de zinc clair dont l'ensemble du mobilier reprend la teinte. Traversant les étages, la faille apporte une importante luminosité aux pièces de vie commune et transforme le couloir du 2nd étage en un pont suspendu. Photographies : Lisa Petrole Pour en savoir plus, consultez le site de l'agence +tongtong.

Le studio Omar Gandhi Architect a conçu pour le golf de la ville d'Inverness au Canada une série de pavillons destinés au tourisme et au logement des joueurs souhaitant rester sur place. A l'instar du sport le projet tente de marier les raffinements du luxe à l'élégance d'un territoire et d'un paysage. Perchés sur le haut des reliefs bas et arrondis de la région le projet offre une série de logements juxtaposés. Tous sont basés sur le même plan : au centre d'un large parallélépipède une pièce à vivre, où l'on accède par une entrée arrière, distribue quatre chambres. À l'autre extrémité de cette pièce le séjour s'ouvre sur le grand paysage et bénéficie d'une large baie vitrée accompagnée d'un balcon couvert. Chacune des chambres possède sa propre salle d'eau au sein d'un plan ménageant les accès et les politesses nécessaires à l'intimité de ses occupants. Photographies : doublespace photography Pour en savoir plus, visitez le site de Omar Gandhi Architect

En rénovation ou en construction neuve, sur un immeuble haussmannien ou sur un projet contemporain, les tuiles préfabriquées elZinc® habillent les façades et les toitures en pente (de 25º à 45º minimum, selon le type de tuile). Disponibles en 4 modèles, les tuiles en zinc-titane elZinc® composent avec tous les styles architecturaux. ? La tuile carrée : son renfort en polystyrène lui confère une rigidité optimale et un jeu de reliefs saisissant.? La tuile losange : son aspect fuselé convient à tous les styles architecturaux.? La tuile écaille : sa forme originale en écusson, héritage esthétique traditionnel, met en valeur l'histoire du bâtiment.? La tuile écaille ronde : son bord arrondi et sa silhouette galbée révèlent ses formes tout en douceur. Ces 4 modèles sont proposés dans toute la gamme d?aspects de surface elZinc® : elZinc natural, elZinc Slate®, elZinc Graphite®, elZinc Rainbow® (rouge, bleu, vert, marron, noir et or).Fabriquées selon la norme EN988 et les critères de qualité définis par elZinc®, elles ont une bonne résistance à la corrosion. Faciles à poser et d'une grande malléabilité, elles peuvent être coupées, pliées et alignées afin de s?ajuster aux contours de votre projet.Concevoir l'enveloppe d'un projet avec les solutions elZinc®, c'est associer la fiabilité d'un système à l'élégance d'un matériau de qualité. Fabricant : Asturiana de Laminados, SA, qui opère sous la marque commerciale elZinc®, est l?un des 3 principaux producteurs de zinc laminé au monde.Distribué en France depuis 2009, l'alliage de zinc-titane elZinc® répond rigoureusement à la norme EN988, référence en matière de spécification pour les produits laminés plats pour le bâtiment. Disposant des dernières technologies, elZinc® a rapidement développé une large gamme de produits (tuiles, panneaux composite et nid d?abeille...) et d?aspects de surface pour la couverture et l'habillage de façades. On les retrouve actuellement dans plus de 35 pays.elZinc®, c'est aujourd'hui une équipe de plus de 100 personnes qui mettent leur expertise à votre disposition et vous offrent une assistance commerciale et technique personnalisée tout au long de vos projets, partout dans le monde. Pour plus d'informations sur le fabricant, cliquez sur www.elzinc.fr

Depuis 1984, les journées du Patrimoine entendent rendre accessible à tous un bien commun, une histoire commune. La 33e édition des Journées européennes du patrimoine se tiendra les 17 et 18 septembre 2016 sur le thème "patrimoine et citoyenneté".    " Le patrimoine et la citoyenneté sont deux notions dont la jonction raconte notre histoire, notre passé, mais dessine aussi note présente et notre avenir " Audrey Azoulay, Ministre de la Culture et de la Communication Musées, fondations ou institutions, découvrez la richesse du patrimoine français au travers d'une sélection de lieux et d'"uvres architecturales sélectionnés parmi les 17 000 monuments ouverts au public pour la 33ème édition des Journées européennes du patrimoine. Villa La Roche Construite entre 1923 et 1925 par les architectes Le Corbusier et Pierre Jeanneret, la Villa Laroche illustre à elle seule le mouvement moderne et les cinq points de l'architecture nouvelle, publié en 1927 par les deux architectes. A Paris, Marseille ou Nantes, de la Cité Radieuse à la Villa Savoye, découvrez l'héritage architectural de ce " génie créateur humain " dont l'"uvre est récemment entrée au Patrimoine mondial de l'UNESCO. La Villa La Roche, 10 square du Docteur Blanche 75016 Paris 16e, samedi 17 et dimanche 18 septembre ; La Maison radieuse, Boulevard le Corbusier, 44400 Rezé, dimanche 18 septembre ; La Cité radieuse, 280 boulevard Michelet, 13008 Marseille ; Villa Savoye 82, rue de Villiers 78300 Poissy, samedi 17 et dimanche 18 septembre, 10h à 18h. Le palais de Justice Cité de l'Architecture et du Patrimoine La Cité de l'Architecture et du Patrimoine propose des visites guidées sur les thèmes du patrimoine et de la citoyenneté. Arpentez les allées de la Cité Chaillot, vestige de l'époque Art Déco, et découvrez son histoire mouvementée, de 1878 à nos jours. Découvrez la grande collection de maquettes et de plans du patrimoine architectural français et visitez une unité d'habitation de la Cité radieuse de Le Corbusier aux côtés d'un agent immobilier ! Cité Chaillot, 1 Place du Trocadéro et du 11 Novembre, 75116 Paris, samedi et dimanche de 11h à 19h. Visite Les mystères du palais de Chaillot, samedi et dimanche à 12h, 15h, 16h, visite de la galerie des peintures murales et des vitraux, samedi et dimanche à 14h, 15h30 et 17h, visite de la galerie des moulages du musée des monuments français, samedi à 14h30, 16h et 17h30. Les Docks - Cité de la Mode et du Design Ovni architectural en bord de Seine, la Cité de la Mode et du Design ouvre ses portes. Découvrez au travers de visites guidées l'histoire des Docks, premier bâtiment à structure en béton armé de la capitale, et les coulisses de ce bâtiment à l'enveloppe organique imaginée par les architectes Jakob et Macfarlane. Entre Design Week et Fashion Week, les Docks accueillent également diverses installations mêlant street art et "uvre végétale. Cité de la Mode et du Design, 34 quai d'Austerlitz, 75013 Paris, samedi et dimanche, visites guidées de 10h30 à 18h30. Fondation Seydoux-Pathé Derrière la façade sculptée par Auguste Rodin vers 1869 se love cinq étages d'une coque en verre protégée par 5000 volets. La Fondation Jérôme Seydoux-Pathé vous invite à découvrir ce bâtiment unique imaginé par l'architecte Renzo Piano. La visite s'accompagne de séances de films muets en ciné-concert et des visites guidées de la galerie des appareils cinématographiques. De nombreuses affiches et photographies retraçant l'histoire du 7ème art seront également visibles dans la galerie des collections. Fondation Jérôme Seydoux-Pathé, 73 Avenue des Gobelins 75013 Paris, samedi et dimanche, séances de projection à 11h30, 14h et 16h, visites guidées à 11h, 13h30, 15h et 17h. Fondation Louis Vuitton La Fondation Louis Vuitton ouvre grand les portes du "vaisseau du Parc de Boulogne", imaginé par Franck Gehry. Une exposition décrit le processus de conception de l'édifice au travers de plans, maquettes et dessins de l'architecte. Admirez également l'ouvre in situ de Daniel Buren qui habille de 13 couleurs les voiles de verre de la Fondation, transformée en "Observatoire de la lumière". Fondation Louis Vuitton, 8 avenue du Mahatma Gandhi, 75116 Paris, samedi et dimanche, de 11h à 20h, navettes à 1¤ depuis l'Etoile. Château de Versailles Le Château de Versailles célèbre le 240e anniversaire de l'Indépendance Américaine et ouvre l'Aile du Nord, haut lieux de la démocratie parlementaire où furent négociés les traités de Paris et de Versailles pour mettre fin à la guerre d'Indépendance. Modèles réduits de navires d'époque, tableaux et documents sur le thème "les français et l'Indépendance américaine " : Versailles vit son quart d'heure américain. A la croisée des époques, découvrez également l'univers d'Olafur Eliasson qui parsème les murs et les jardins du château d'"uvres oniriques où se mêlent art et histoire. Château de Versailles, Place d'Armes, 78000 Versailles, samedi et dimanche, de 9h à 18h. Maison de la Radio Imaginée il y a plus de 50 ans par l'architecte Henry Bernard, la Maison de la Radio et son anneau de verre fait figure d'architecture emblématique des rives parisiennes. Revêtue d'une fresque géante par artistes d'Art Azoï, l'institution propose aux visiteurs de découvrir ses 110 000 m², du mythique studio 104 au 22ème étage de la tour centrale. Divers évènements sont organisés dont les Pauses Vinyles, le cinéma sonore et une série de concerts. Maison de la Radio, 116 Avenue du Président Kennedy, 75016 Paris, samedi et dimanche, de 09h30 à 21h. La Philharmonie de Paris Pénétrez la Philharmonie, hôte de l'Orchestre de Paris. Récemment inaugurée, ce complexe musical monumental, présenté par l'architecte Jean Nouvel comme un bâtiment d'avenir, illumine la périphérie de Paris de ses reflets chromés. Profitez également d'une sélection de concerts gratuits et de l'acoustique inédite du grand auditorium. Philharmonie de Paris, 221 Avenue Jean Jaurès, 75019 Paris, samedi 17 et dimanche 18 septembre 2016, de 11h00 à 17h30. RATP Les Journées du Patrimoine sont l'occasion de poser un "il nouveau sur un patrimoine emblématique de la capitale et quotidiennement emprunté par des milliers d'usagers : les transports communs de la RATP. Rencontrez les ingénieurs et les agents de ce patrimoine roulant, arpentez la ville à bord d'un bus des années 1930, visitez des centrales de commandes ou découvrez le Paris de demain et le chantier de la ligne 14. Pour de plus amples informations visitez la Maison de RATP ou accédez au programme sur le site de la RATP. Deux points d'informations seront ouverts en Ile de France, au Ministrère de la Culture et de la Communication, 182 rue Saint-Honoré, Paris et sur les berges de Seine, rive gauche, Paris.Pour de plus amples informations, consultez le site des journées du Patrimoine.

Au c"ur de Melbourne, le studio australien BoardGrove aménage un appartement sur le modèle d'une galerie d'art. Décoratif ou utilitaire, chaque élément s'expose au sein d'un environnement minimaliste à la douceur affirmée."As the living, dining and cooking spaces were open plan, we wanted to avoid creating a stereotype functional kitchen as the backdrop to the living space. Instead we aimed to create a more ambiguous cooking area that appeared as a collection of sculptural, art-like objects." BoardGrove Architects Les architectes dessinent un appartement tout en longueur au plan ouvert afin d'assurer un maximum de luminosité. Ainsi, la cuisine se place en évidence entre le salon et l'espace nuit et s'articule autour d'un ilot central en Corian dissimulant de nombreux rangements. Le sol et l'un des murs sont habillés de béton ciré auxquels leurs répondent le mur opposé et le plafond, d'un blanc immaculé. Surélevé, une partie du sol de la cuisine est revêtu de céramique rose poudrée. La même teinte rosée ponctue la pièce à travers trois éléments : une alcôve accueille l'électroménager aux côtés d'une porte en métal voutée. Enfin, une longue étagère parcourent le mur en béton ciré et expose livres, impressions et petits objets. "Too often the beauty of book covers are concealed in a typical bookcase. The shelf provided a way of enjoying their book collection and artwork in a changing manner." BoardGrove Architects Photographies : Haydn Cattach Pour en savoir plus, consultez le site de BoardGrove Architects.

L'architecte Pierre-Louis Faloci livre à Dunkerque la transformation de la Halle-aux-Sucres. Cet immeuble, anciennement dédié à des besoins logistiques du port de la ville, abrite désormais un nouveau centre de gestion, d'information, et de recherche au sujet de la ville durable. Une problématique ancrée dans les nouvelles destinées et des nouveaux territoires du redéploiement urbain dunkerquois. Le projet architectural s'organise autour d'une faille traversant, dans la longueur, les murs du bâtiment original. Construite à la fin du XIXe siècle sur le môle 1 du port industriel de Dunkerque et abandonnée dans les années 1990, l'ancienne Halle-aux-Sucres loge désormais la réunion de plusieurs entités institutionnelles portant les sujets urbanistiques régionaux. L'ensemble veut promouvoir, orienter, et informer le public au sujet la ville durable, une large partie du programme est ainsi ouverte aux expositions et aux déambulations du public l'autre abrite les bureaux des différentes institutions. Le projet imposait de construire dans le construit. Pierre-Louis Faloci assume cette prise de parti franche qui se théâtralise par une faille centrale révélant l'ancienne et la nouvelle histoire constructive du lieu. Les murs de l'édifice ont été entièrement évidés pour laisser place au nouveau programme. Le projet ne conserve que l'enveloppe et génère quatre planchers au lieu de trois initialement. La faille centrale au projet permet d'apporter de la lumière et de l'air nécessaire à la nouvelle destination du lieu. L'architecte y crée également une rue montante devenant un accès d'apparat où piéton l'on redécouvre peu à peu le paysage singulier du port. Divisé en deux le programme est réparti ainsi : d'un coté les professionnels de la ville disposent de quatre niveaux de travail, bureaux et salles de cours ; de l'autre, les archives du territoire, utilisent quatre plateaux d'exposition et un centre de ressources accueillant tous les publics. Le Forum, situé en bout de rampe au R+1 réunit les deux ailes, comme une place publique, pour inviter aux échanges entre publics et professionnels. Photographies : ANTEALE Pour en savoir plus, visitez le site de Pierre-Louis Faloci et celui de la Halle-aux-Sucres

Contraction de Made et Do, le studio MADÖ se définit comme créateur et éditeur de mobilier, objets et curiosités. Imaginé par Gregory Jolly, le tabouret Soat est une assise en laine et bois pliable et dépliable par un simple jeu de tringles en métal.   "Les idées naissent chaque jour grâce à des expériences, à des découvertes ou des rêveries... La créativité est intarissable et elle se nourrit de tout ce qui nous entoure. Dans plein de domaines et en particulier celui du mobilier et de l'habitat, ce sont les designers qui "?transforment l'essai?" avec l'aide de techniciens et d'artisans au précieux savoir-faire." MADÖ MADÖ édite des designers du monde entier tout en proposant des produits exclusivement fabriqués en France, entre la région Pays-de-la-Loire et le Grand Ouest. Dimensions : 370 x 350 x 430 mm Photographies : David Batardière - UN DES SENS Pour en savoir plus, consultez le site de MADÖ

Tous deux diplômés de la Yale School of Architecture, Christopher Beardsley et Russel Greenberg, fondateur du studio RUX, s'associent pour créer Stickbulb, une gamme de luminaires modulables et recyclables,se jouant des frontières entre design et architecture.   La collection Stickbulb se compose d'une barrette de bois habillée d'un ruban de LED et de divers modules en métal brossé, permettant d'infinies combinaisons. Les modules s'assemblent les uns aux autres pour former d'infinies possibilités, lampe de table, chandelier, mobilier ou véritable architecture lumineuse. "Architectural forms as big as rooms or as small as side tables can be created from the same basic parts. There is magic in the system's simplicity and its ability to scale in size." Chris Beardsley Particulièrement soucieux de l'environnement, Christopher Beardsley et Russel Greenberg précisent que chaque élément en bois provient de forêts gérées durablement ou bien de bâtiment voués à la démolition. Photographies : RUX Pour en savoir plus, visitez le site dédié au système Stickbulb.

Vers 300 avant J.-C., Euclide d'Alexandrie rédige les treize volumes de ses " Eléments " au sein desquels il théorise la construction d'un solide dénommé polyèdre. Inspirée par les travaux du mathématicien grec, la designer Siba Sahabi imagine un trio de tables d'appoint aux géométriques.   "Through this geometric construction, the visual aspects of mathematics are translated into contemporary design." Siba Sahabi Conçues selon la définition euclidienne du polyèdre, les tables de Siba Sahabi présentent des faces planes polygonales jointes deux à deux par une arête. Ainsi, chaque table se compose de quatre éléments triangulaires formant le plateau et les pieds en un ensemble abstrait habillé d'un revêtement en papier noir. Pour en savoir plus, consultez le site de Siba Sahabi.

Vers 300 avant J.-C., Euclide d'Alexandrie rédige les treize volumes de ses " Eléments " au sein desquels il théorise la construction d'un solide dénommé polyèdre. Inspirée par les travaux du mathématicien grec, la designer Siba Sahabi imagine un trio de tables d'appoint aux géométriques.   "Through this geometric construction, the visual aspects of mathematics are translated into contemporary design." Siba Sahabi Conçues selon la définition euclidienne du polyèdre, les tables de Siba Sahabi présentent des faces planes polygonales jointes deux à deux par une arête. Ainsi, chaque table se compose de quatre éléments triangulaires formant le plateau et les pieds en un ensemble abstrait habillé d'un revêtement en papier noir. Pour en savoir plus, consultez le site de Siba Sahabi.

Face à l'envolée des prix de l'immobilier londonien, les architectes Tomaso Boano & Jonas Pri¨montas imaginent un studio pop-up modulable ouvert à tous les créatifs, pour que chacun ait l'opportunité de créer, d'expérimenter, de jouer ou de rêver.   " London has always represented a hub for creative minds, but recently these financial pressures have turned 'creativity' into an industry that can only be joined by people who are able to afford an education and pay the rent without a fixed work income." Tomaso Boano & Jonas Pri¨montas Minima Moralia est une unité de vie destiné à investir les toits, les arrière-cours ou tout espace interstitiel, public ou privé, qui jalonne la ville et ne demande qu'à être occupé. Facteur d'échanges et de rencontres, Minima Moralia est présentée par ses architectes comme une installation au service d'un " espoir social ". Minimaliste, Minima Moralia se compose d'un squelette et d'un toit en métal, habillés d'une peau translucide afin de ne pas ériger de barrière entre l'architecture et son environnement. La structure dispose ainsi d'une large fenêtre et de parois amovibles. L'aménagement intérieur peut adopter de multiples configurations pour répondre aux besoins de ses occupants. Des étagères, tablettes, et bureaux en OSB, ainsi que des luminaires et rideaux peuvent être posés. Pour en savoir plus, consultez le site dédié à Mina Moralia.

Le projet de la OJI House tourne, à première vue, le dos à ses voisins. Discrète sur ses intérieurs, afin de protéger l'intimité de ses occupants, la maison dévoile le c"ur de son architecture à l'aide de l'angle tronqué à l'oblique des murs de son patio intérieur. Elle y trouve un dialogue avec la rue, puis confort, vues et lumière pour le logement qu'elle abrite. La parcelle du projet est située dans la banlieue de la ville d'Oita sur l'île de Ky?sh? au Japon. Imaginée comme un bloc presque opaque, elle ménage dans son plan un patio vers lequel les ouvertures de la maison se tournent. Fonctionnant comme un filtre, il est complété par un arbre au feuillage délicat apportant une touche de végétation à l'ensemble monolithique. La maison fonctionne sur deux niveaux, les trois chambres de la maison sont au rez-de-chaussée. Une pièce d'entrée est centrale à ce premier niveau et distribue l'étage, où se trouvent les pièces à vivre. Il se présente comme un grand plateau orienté vers le patio. Les architectes ont ensuite fait le choix de concentrer les pièces d'eau sur l'un des côté du plan. Photographies : Toshiyuki Yano Pour en savoir plus, visitez le site de Kenta Eto Atelier Architects

Le projet de la OJI House tourne, à première vue, le dos à ses voisins. Discrète sur ses intérieurs, afin de protéger l'intimité de ses occupants, la maison dévoile le c"ur de son architecture à l'aide de l'angle tronqué à l'oblique des murs de son patio intérieur. Elle y trouve un dialogue avec la rue, puis confort, vues et lumière pour le logement qu'elle abrite. La parcelle du projet est située dans la banlieue de la ville d'Oita sur l'île de Ky?sh? au Japon. Imaginée comme un bloc presque opaque, elle ménage dans son plan un patio vers lequel les ouvertures de la maison se tournent. Fonctionnant comme un filtre, il est complété par un arbre au feuillage délicat apportant une touche de végétation à l'ensemble monolithique. La maison fonctionne sur deux niveaux, les trois chambres de la maison sont au rez-de-chaussée. Une pièce d'entrée est centrale à ce premier niveau et distribue l'étage, où se trouvent les pièces à vivre. Il se présente comme un grand plateau orienté vers le patio. Les architectes ont ensuite fait le choix de concentrer les pièces d'eau sur l'un des côté du plan. Photographies : Toshiyuki Yano Pour en savoir plus, visitez le site de Kenta Eto Atelier Architects

Face à l'envolée des prix de l'immobilier londonien, les architectes Tomaso Boano & Jonas Pri¨montas imaginent un studio pop-up modulable ouvert à tous les créatifs, pour que chacun ait l'opportunité de créer, d'expérimenter, de jouer ou de rêver.   " London has always represented a hub for creative minds, but recently these financial pressures have turned 'creativity' into an industry that can only be joined by people who are able to afford an education and pay the rent without a fixed work income." Tomaso Boano & Jonas Pri¨montas Minima Moralia est une unité de vie destiné à investir les toits, les arrière-cours ou tout espace interstitiel, public ou privé, qui jalonne la ville et ne demande qu'à être occupé. Facteur d'échanges et de rencontres, Minima Moralia est présentée par ses architectes comme une installation au service d'un " espoir social ". Minimaliste, Minima Moralia se compose d'un squelette et d'un toit en métal, habillés d'une peau translucide afin de ne pas ériger de barrière entre l'architecture et son environnement. La structure dispose ainsi d'une large fenêtre et de parois amovibles. L'aménagement intérieur peut adopter de multiples configurations pour répondre aux besoins de ses occupants. Des étagères, tablettes, et bureaux en OSB, ainsi que des luminaires et rideaux peuvent être posés. Pour en savoir plus, consultez le site dédié à Mina Moralia.

Aérienne, la suspension Montain View, du designer russe Dima Loginoff, figure une chaîne de montagnes sous une cloche en verre et évoque une délicate boule à neige aux lignes épurées.   "I was thinking, "How can I bring home a piece of nature and the mountains, but at the same time still keep the interior minimal and modern ?" Dima Loginoff Réalisée par des artisans de Murano, la suspension Mountain View prend la forme d'un hémisphère en verre abritant une chaîne de montagne éclairée. Ses finitions claire, chrome ou ambrée, offre une lumière plus ou moins chaude au travers des sommets. Pour en savoir plus, consultez le site de Dima Loginoff.

Aérienne, la suspension Montain View, du designer russe Dima Loginoff, figure une chaîne de montagnes sous une cloche en verre et évoque une délicate boule à neige aux lignes épurées.   "I was thinking, "How can I bring home a piece of nature and the mountains, but at the same time still keep the interior minimal and modern ?" Dima Loginoff Réalisée par des artisans de Murano, la suspension Mountain View prend la forme d'un hémisphère en verre abritant une chaîne de montagne éclairée. Ses finitions claire, chrome ou ambrée, offre une lumière plus ou moins chaude au travers des sommets. Pour en savoir plus, consultez le site de Dima Loginoff.

Ideas Laboratory convie les designers du monde entier à participer aux Ideas Awards dont l'édition 2016, consacrée au coworking, entend mettre en lumière les solutions créatives qui transformeront notre façon de vivre et d'interagir avec notre environnement.   L'économie du 21e siècle est façonnée par deux grands mouvements : la technologie et la mondialisation. Partout dans le monde, ces mouvements sont responsables de changements importants au sein de notre environnement de travail. Cette économie impacte également notre façon de travailler, en constante évolution : start-ups, sous-traitance... Pour s'adapter, les sociétés doivent à présent s'ouvrir à des réseaux d'experts dans un processus de co-innovation et d'innovation ouverte, comme le coworking, un phénomène en pleine expansion auxquels les Ideas Awards 2016 entendent soumettre de nouvelles solutions. Ideas Laboratory souligne un certain nombre de paradoxes auxquels les participants des Ideas Awards sont appelés à répondre : ouverture/intimité, physique/virtuel, bruit/silence, fixe/modulaire, intérieur/extérieur, improvisé/planifié, spécialisé/polyvalent, public/privé... Chaque participant aux Ideas Awards 2016 est invité à soumettre des idées et/ou des concepts : mobilier, luminaire, matériel électronique, cuisine, volumes, sols, partitions.... Les projets seront évalués sur les critères de créativité, d'originalité, de faisabilité, de fonction et d'esthétique. Les inscriptions osut ouvertes jusqu'au 30 septembre 2016. Les projets devront quant à eux être soumis avant le 16 octobre 2016. Composé des designers Matali Crasset, Olivier Peyricot, David Boisdevesys, Chistophe Chedal Anglay, mais aussi de Mathilde Berchon, Isabelle Le Gall, Emmanuel Thouan et Olivier Ménard, le jury final se réunira le 27 octobre 2016 pour une annonce officielle prévue au mois de novembre. Pour en savoir plus, consultez le site de IdeasLaboratory. " Ideas Laboratory est le premier OpenLab créé en France. L'idée initiale était d'innover en partant de l'humain et des usages et de créer un lien entre les technologies et les futures pratiques des utilisateurs. " Michel IDA " Directeur Général d'Ideas Laboratory

Ideas Laboratory convie les designers du monde entier à participer aux Ideas Awards dont l'édition 2016, consacrée au coworking, entend mettre en lumière les solutions créatives qui transformeront notre façon de vivre et d'interagir avec notre environnement.   L'économie du 21e siècle est façonnée par deux grands mouvements : la technologie et la mondialisation. Partout dans le monde, ces mouvements sont responsables de changements importants au sein de notre environnement de travail. Cette économie impacte également notre façon de travailler, en constante évolution : start-ups, sous-traitance... Pour s'adapter, les sociétés doivent à présent s'ouvrir à des réseaux d'experts dans un processus de co-innovation et d'innovation ouverte, comme le coworking, un phénomène en pleine expansion auxquels les Ideas Awards 2016 entendent soumettre de nouvelles solutions. Ideas Laboratory souligne un certain nombre de paradoxes auxquels les participants des Ideas Awards sont appelés à répondre : ouverture/intimité, physique/virtuel, bruit/silence, fixe/modulaire, intérieur/extérieur, improvisé/planifié, spécialisé/polyvalent, public/privé... Chaque participant aux Ideas Awards 2016 est invité à soumettre des idées et/ou des concepts : mobilier, luminaire, matériel électronique, cuisine, volumes, sols, partitions.... Les projets seront évalués sur les critères de créativité, d'originalité, de faisabilité, de fonction et d'esthétique. Les inscriptions osut ouvertes jusqu'au 30 septembre 2016. Les projets devront quant à eux être soumis avant le 16 octobre 2016. Composé des designers Matali Crasset, Olivier Peyricot, David Boisdevesys, Chistophe Chedal Anglay, mais aussi de Mathilde Berchon, Isabelle Le Gall, Emmanuel Thouan et Olivier Ménard, le jury final se réunira le 27 octobre 2016 pour une annonce officielle prévue au mois de novembre. Pour en savoir plus, consultez le site de IdeasLaboratory. " Ideas Laboratory est le premier OpenLab créé en France. L'idée initiale était d'innover en partant de l'humain et des usages et de créer un lien entre les technologies et les futures pratiques des utilisateurs. " Michel IDA " Directeur Général d'Ideas Laboratory

La signalétique du RER, le train Corail, le funiculaire de Montmartre, la maquette de la revue Art Press, le bidon d'huile Elf... L'héritage de Roger Tallon façonne encore notre quotidien. Le Musée des Arts Décoratifs rend hommage à ce pionnier du design industriel français en etraçant 60 ans d'innovation et d'avant-gardisme.     Persuadé que le design revêt une dimension culturelle, Roger Tallon en a imposé une approche radicalement nouvelle, à la fois ancrée dans l'univers de l'industrie et très ouverte à tous les domaines de la création contemporaine. On lui doit ainsi des objets restés emblématiques tel l'escalier hélicoïdal Module M400, le service de table 3T, le téléviseur Téléavia P111 ou encore les Sièges Portraits, conçus avec le sculpteur César pour l'aéroport d'Orly. " Roger Tallon a initié, impulsé, accompagné et anticipé l'histoire du design français. Il a compris intuitivement, dès les années 1950, le rôle essentiel que jouerait le design dans la construction de la société issue de la guerre. Il a senti que le design industriel, lancé dans le train fou de l'industrie de l'après-guerre, devait sauter en marche pour assurer sa pérennité et s'ouvrir à toutes les opportunités. Y compris celle de redéfinir les paramètres de la production et des nouveaux modes de vie. " Françoise Jollant-Kneebone, comissaire de l'exposition et co-auteur de Roger Tallon, le design en mouvement, édition Les Arts Décoratifs, 2016. L'exposition " Roger Tallon, le design en mouvement " aborde les nombreuses facettes de sa personnalité et de son travail, dévoilés aujourd'hui grâce aux foisonnantes archives (dessins, maquettes, photographies, notes, descriptifs, contrats, objets réalisés...) dont il a fait don au musée des Arts décoratifs, avant sa disparition en 2011. Photographies : 1. Tabouret Cryptogamme, 1969, Archives Roger Tallon © Les Arts Décoratifs, Paris / A.D.A.G.P. 2016 3. Livrée extérieure du " TGV Duplex ", 1994, Archives Roger Tallon © ADAGP, Paris / photo : Les Arts Décoratifs, Paris 4. Roger Tallon et les maquettes du " TGV001 ", " TGV Duplex ", " TGV Atlantique " Archives Roger Tallon © ADAGP, Paris / photo : Les Arts Décoratifs, Paris 5. Service de table " 3T ", 1967 Archives Roger Tallon © ADAGP, Paris / photo : Les Arts Décoratifs, Paris 6. Projet de lunettes Bergasol, 1975 © Les Arts Décoratifs, Paris / ADAGP, 201 7. Téléviseur portatif " P 111 ", Téléavia, 1963, Archives Roger Tallon © ADAGP, Paris / photo : Les Arts Décoratifs, Paris 8. Chaise " Wimpy ", 1960 © Les Arts Décoratifs, Paris / ADAGP, 2016 / Jean Tholance 9. " Siège-portrait de César ", crèche pour l'aéroport d'Orly, 1967, Archives Roger Tallon © ADAGP, Paris / photo : Les Arts Décoratifs, Paris 10. Bidons d'huile pour voiture, Elf, 1973 © Les Arts Décoratifs, Paris / ADAGP, 2016 / Jean Tholanc 11. Artpress n°43, 1980 © Les Arts Décoratifs, Paris / ADAGP, 2016 Roger Tallon, le design en mouvement, Musée des Arts décoratifs, 107 rue de Rivoli, 75001 Paris, du 8 septembre 2016 au 8 janvier 2017, du mardi au dimanche de 11h à 18h, le jeudi jusqu'à 21h, 11/8,50 ¤. Pour en savoir plus consultez le site du Musée des Arts décoratifs.

Les collectifs densifieront et transformeront progressivement le visage de certaines banlieues pavillonnaires. Des projets commencent à émerger et doivent composer avec les paysages, les contextes et les paramètres urbains existants. Les agences soul et tazk ont imaginé, à Maisons-Alfort un petit collectif compilant 5 logements conjuguant son allure à celles de ses pavillons voisins. L'essence du projet réside dans son intelligence à traduire dans une volumétrie non agressive une nouvelle approche urbaine et architecturale plus dense. Les architectes ont dû au travers de ce projet composer avec les règles d'urbanisme déjà en place et toujours orientées en faveur de pavillons individuels : hauteurs des constructions, reculs... La parcelle étroite imposait un projet au plan profond avec la seule possibilité d'ouvrir sur deux façades pour les apports en lumière naturelle. Le résultat offre une architecture empilant 3 niveaux habités disposés en terrasse face à la rue afin de limiter une impression de volume trop frontale. Divisée et jouant avec différents niveaux, la façade s'intègre sans brutalité dans le paysage existant. Afin de conserver une lecture unitaire le projet se pare d'une vêture en brique émaillée. Claire, la façade est animée par des volets aux reflets cuivrés. Les teintes des matériaux choisis assurent une continuité du champ colorimétrique utilisé dans le quartier, les volets évoquent par exemple les tuiles des toitures voisines. "La conception d'un petit collectif dans un quartier à dominante pavillonnaire doit ménager les politesses nécessaires envers les constructions individuelles attenantes et offrir un confort et une qualité d'usages aux résidents de même nature qu'une maison." soul + tazk architecture À l'intérieur le projet abrite, sur 3 niveaux, un agencement complexe de 4 duplex familiaux et d'un studio. Au c"ur du plan se situent les escaliers nécessaires à l'articulation des duplex et aux accès communs des logements situés à l'étage. Le projet compte 5 escaliers accolés au centre de la construction, la question de la lumière a été résolue par une ouverture zénithale et une peinture aux reflets dorés sur les cloisons les bordant. L'agencement du plan permet à chacun des logements de développer un plan unique et singulier ; et tous possèdent leurs séjours orientés au sud. Les logements offrent ainsi une belle qualité d'espace, notamment par un éclairage naturel généreux et des circulations réduites. Lieu : Maisons-Alfort, Val de MarneMaîtrise d'ouvrage : Maisons-Alfort HabitatMaîtrise d'oeuvre : soul architecture + tazkBet technique: id+Entreprise générale: Dumez Ile de FranceBudget : 1.1 M ¤ HTSurface : 306 m² SDPCalendrier : livraison février 2016 Pour en savoir plus, visitez le site de soul architecture et de tazk architecture

Les collectifs densifieront et transformeront progressivement le visage de certaines banlieues pavillonnaires. Des projets commencent à émerger et doivent composer avec les paysages, les contextes et les paramètres urbains existants. Les agences soul et tazk ont imaginé, à Maisons-Alfort un petit collectif compilant 5 logements conjuguant son allure à celles de ses pavillons voisins. L'essence du projet réside dans son intelligence à traduire dans une volumétrie non agressive une nouvelle approche urbaine et architecturale plus dense. Les architectes ont dû au travers de ce projet composer avec les règles d'urbanisme déjà en place et toujours orientées en faveur de pavillons individuels : hauteurs des constructions, reculs... La parcelle étroite imposait un projet au plan profond avec la seule possibilité d'ouvrir sur deux façades pour les apports en lumière naturelle. Le résultat offre une architecture empilant 3 niveaux habités disposés en terrasse face à la rue afin de limiter une impression de volume trop frontale. Divisée et jouant avec différents niveaux, la façade s'intègre sans brutalité dans le paysage existant. Afin de conserver une lecture unitaire le projet se pare d'une vêture en brique émaillée. Claire, la façade est animée par des volets aux reflets cuivrés. Les teintes des matériaux choisis assurent une continuité du champ colorimétrique utilisé dans le quartier, les volets évoquent par exemple les tuiles des toitures voisines. "La conception d'un petit collectif dans un quartier à dominante pavillonnaire doit ménager les politesses nécessaires envers les constructions individuelles attenantes et offrir un confort et une qualité d'usages aux résidents de même nature qu'une maison." soul + tazk architecture À l'intérieur le projet abrite, sur 3 niveaux, un agencement complexe de 4 duplex familiaux et d'un studio. Au c"ur du plan se situent les escaliers nécessaires à l'articulation des duplex et aux accès communs des logements situés à l'étage. Le projet compte 5 escaliers accolés au centre de la construction, la question de la lumière a été résolue par une ouverture zénithale et une peinture aux reflets dorés sur les cloisons les bordant. L'agencement du plan permet à chacun des logements de développer un plan unique et singulier ; et tous possèdent leurs séjours orientés au sud. Les logements offrent ainsi une belle qualité d'espace, notamment par un éclairage naturel généreux et des circulations réduites. Lieu : Maisons-Alfort, Val de MarneMaîtrise d'ouvrage : Maisons-Alfort HabitatMaîtrise d'oeuvre : soul architecture + tazkBet technique: id+Entreprise générale: Dumez Ile de FranceBudget : 1.1 M ¤ HTSurface : 306 m² SDPCalendrier : livraison février 2016 Pour en savoir plus, visitez le site de soul architecture et de tazk architecture

La signalétique du RER, le train Corail, le funiculaire de Montmartre, la maquette de la revue Art Press, le bidon d'huile Elf... L'héritage de Roger Tallon façonne encore notre quotidien. Le Musée des Arts Décoratifs rend hommage à ce pionnier du design industriel français en etraçant 60 ans d'innovation et d'avant-gardisme.     Persuadé que le design revêt une dimension culturelle, Roger Tallon en a imposé une approche radicalement nouvelle, à la fois ancrée dans l'univers de l'industrie et très ouverte à tous les domaines de la création contemporaine. On lui doit ainsi des objets restés emblématiques tel l'escalier hélicoïdal Module M400, le service de table 3T, le téléviseur Téléavia P111 ou encore les Sièges Portraits, conçus avec le sculpteur César pour l'aéroport d'Orly. " Roger Tallon a initié, impulsé, accompagné et anticipé l'histoire du design français. Il a compris intuitivement, dès les années 1950, le rôle essentiel que jouerait le design dans la construction de la société issue de la guerre. Il a senti que le design industriel, lancé dans le train fou de l'industrie de l'après-guerre, devait sauter en marche pour assurer sa pérennité et s'ouvrir à toutes les opportunités. Y compris celle de redéfinir les paramètres de la production et des nouveaux modes de vie. " Françoise Jollant-Kneebone, comissaire de l'exposition et co-auteur de Roger Tallon, le design en mouvement, édition Les Arts Décoratifs, 2016. L'exposition " Roger Tallon, le design en mouvement " aborde les nombreuses facettes de sa personnalité et de son travail, dévoilés aujourd'hui grâce aux foisonnantes archives (dessins, maquettes, photographies, notes, descriptifs, contrats, objets réalisés...) dont il a fait don au musée des Arts décoratifs, avant sa disparition en 2011. Photographies : 1. Tabouret Cryptogamme, 1969, Archives Roger Tallon © Les Arts Décoratifs, Paris / A.D.A.G.P. 2016 3. Livrée extérieure du " TGV Duplex ", 1994, Archives Roger Tallon © ADAGP, Paris / photo : Les Arts Décoratifs, Paris 4. Roger Tallon et les maquettes du " TGV001 ", " TGV Duplex ", " TGV Atlantique " Archives Roger Tallon © ADAGP, Paris / photo : Les Arts Décoratifs, Paris 5. Service de table " 3T ", 1967 Archives Roger Tallon © ADAGP, Paris / photo : Les Arts Décoratifs, Paris 6. Projet de lunettes Bergasol, 1975 © Les Arts Décoratifs, Paris / ADAGP, 201 7. Téléviseur portatif " P 111 ", Téléavia, 1963, Archives Roger Tallon © ADAGP, Paris / photo : Les Arts Décoratifs, Paris 8. Chaise " Wimpy ", 1960 © Les Arts Décoratifs, Paris / ADAGP, 2016 / Jean Tholance 9. " Siège-portrait de César ", crèche pour l'aéroport d'Orly, 1967, Archives Roger Tallon © ADAGP, Paris / photo : Les Arts Décoratifs, Paris 10. Bidons d'huile pour voiture, Elf, 1973 © Les Arts Décoratifs, Paris / ADAGP, 2016 / Jean Tholanc 11. Artpress n°43, 1980 © Les Arts Décoratifs, Paris / ADAGP, 2016 Roger Tallon, le design en mouvement, Musée des Arts décoratifs, 107 rue de Rivoli, 75001 Paris, du 8 septembre 2016 au 8 janvier 2017, du mardi au dimanche de 11h à 18h, le jeudi jusqu'à 21h, 11/8,50 ¤. Pour en savoir plus consultez le site du Musée des Arts décoratifs.

A l'occasion du salon Maison&Objet qui se déroule à Paris du 3 au 10 septembre 2016, le studio teamLab plante une forêt de lampes suspendues. Signalant toute présence par un écho lumineux, l'installation offre aux visiteurs une expérience interactive et poétique.   Le visiteur pénètre dans une salle aux murs habillés de miroirs, bercé par la scénographie sonore de Hideaki Takashi. Des dizaines de lampes, suspendues selon un calepinage précis, composent une forêt de bulbes en verres de Murano. Sensitives et interconnectées, elles s'allument et s'éteignent au fil des déplacements du visiteur. " Une personne se tient immobile à proximité d'une lampe, celle-ci brille alors d'une lumière vive et émet une tonalité colorée qui résonne dans l'espace. Cette lumière devient le point de départ qui se propage vers les deux lampes les plus proches, puis vers les autres lampes qui se colorent à leur tour dans un mouvement continu. [...] Si une lumière provient de l'autre côté de la pièce, c'est le signe qu'une autre personne se tient debout dans le même espace. C'est cette lumière rayonnante qui révèle au visiteur la présence d'un autre. " teamLab   La Forêt aux Lampes Résonnantes - Un tracé, Maison&Objet 2016, du 02 au 06 septembre 2016 à Villepinte (93).

A l'occasion du salon Maison&Objet qui se déroule à Paris du 2 au 6 septembre 2016, le studio teamLab plante une forêt de lampes suspendues. Signalant toute présence par un écho lumineux, l'installation offre aux visiteurs une expérience interactive et poétique.   Le visiteur pénètre dans une salle aux murs habillés de miroirs, bercé par la scénographie sonore de Hideaki Takashi. Des dizaines de lampes, suspendues selon un calepinage précis, composent une forêt de bulbes en verres de Murano. Sensitives et interconnectées, elles s'allument et s'éteignent au fil des déplacements du visiteur. " Une personne se tient immobile à proximité d'une lampe, celle-ci brille alors d'une lumière vive et émet une tonalité colorée qui résonne dans l'espace. Cette lumière devient le point de départ qui se propage vers les deux lampes les plus proches, puis vers les autres lampes qui se colorent à leur tour dans un mouvement continu. [...] Si une lumière provient de l'autre côté de la pièce, c'est le signe qu'une autre personne se tient debout dans le même espace. C'est cette lumière rayonnante qui révèle au visiteur la présence d'un autre. " teamLab   La Forêt aux Lampes Résonnantes - Un tracé, Maison&Objet 2016, du 02 au 06 septembre 2016 à Villepinte (93).

Le duo de designer suédois du Studio vit a imaginé un couple de lampes en béton : l'une est suspendue la seconde est à offrir au plan d'une table. Le béton choisi pour donner corps aux lampes offre une texture singulière où les bulles du matériau rendent ses surfaces uniques. C'est ensuite une sphère en verre soufflé qui vient habiller l'ampoule. Cast joue sur la rencontre des formes et des matières traitées sans artifices.  Cast est édité par petite friture. Pour en savoir plus, visitez le site de Studio vit et de l'éditeur petite friture

Le créateur et designer français José Lévy imagine une collection de mobilier réalisée en tatami traditionnel. La collection Moving tatami élève ce revêtement du sol au mobilier en une gamme complète éditée par Daiken, leader de l'ameublement au Japon.   Au japon, le tatami est un revêtement traditionnel doté d'une importante charge symbolique. Passionné par la culture nippone, José Lévy intègre l'imaginaire du tatami aux différentes pièces de sa collection dont il revêt certaines surfaces, des dossiers de canapés aux portes d'armoire. " Très tôt [...] j'ai rencontré le Japon, ma première expérience de l'exotisme, de l'ailleurs, du " beau-bizarre ". Tous ces objets me fascinaient. Ils ont été très importants dans mon rapport à l'étrange, au beau, au rêve et à la différence. Dans les années 70, les gens voyageaient moins, le Japon semblait très très loin " José Lévy Contrairement au tatami originel, tissé en paille de riz, le revêtement de José Lévy se compose de washi, un papier traditionnel et particulièrement résistant. Ses teintes crémeuses, blondes et rosées, apportent chaleur et douceur au mobilier en bois laqué dont les lignes épurées évoquent les idéogrammes japonais, notamment les bancs et leurs extrémités courbées. La collection Moving Tatami est présentée à Maison & Objet, Hall 7 Stand H79. Pour en savoir plus, consultez le site de José Lévy et celui de Daiken.

Le duo de designer suédois du Studio vit a imaginé un couple de lampes en béton : l'une est suspendue la seconde est à offrir au plan d'une table. Le béton choisi pour donner corps aux lampes offre une texture singulière où les bulles du matériau rendent ses surfaces uniques. C'est ensuite une sphère en verre soufflé qui vient habiller l'ampoule. Cast est édité par petite friture. Pour en savoir plus, visitez le site de Studio vit et de l'éditeur petite friture