Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Muuuz

A Gournay-en-Bray, l'agence Vincent Parreira Atelier d'architecture a requalifié un site occupé par l'ancienne usine de confection Damau. Nommé "l'Atelier", ce nouveau projet accueille un espace culturel comprenant une médiathèque et une maison des associations culturelles. Les deux enjeux de cette opération étaient d'imaginer un nouveau bâtiment contemporain et d'assurer la lisibilité entre le projet et le bâti existant. Pour conserver l'authenticité du lieu et son histoire, les architectes ont préservé les murs d'enceinte en pierre, et construit un bâtiment relié à l'existant par un hall. Le choix minutieux des matériaux comme l'ardoise violine, la résille de cuivre et le mélèze s'accordent avec le patrimoine local et provoquent des points de vue et des perspectives inattendues.   Sur ce projet, l'agence Vincent Parreira Atelier d'architecture précise : "Au centre-ville, proche de la Place d'Armes, la ville de Gournay-en-Bray lance une opération pour la construction d'un espace culturel comprenant une médiathèque et une maison des associations culturelles. Ce nouvel équipement sera implanté sur le site occupé par l'ancienne usine de confection Damau. Cette opération devra à moyen terme se compléter d'une salle de spectacle, sur une parcelle mitoyenne. L' atelier, nommé ainsi en mémoire des ateliers de l'usine Damau, répond à deux enjeux majeurs : " ériger un bâtiment contemporain en fond de parcelle en redéfinissant la relation avec son environnement naturel (jardins, venelles, murs mitoyens en pierre) et bâti (bâtiments nobles, abris traditionnels, héberges de caractères, etc.), " assurer la lisibilité entre le projet et le bâti existant en cadrant les vues depuis les entrées principales et secondaires. Le projet se structure selon différents objectifs : " la conservation de l'ensemble des murs d'enceinte en pierre et du verger ; " la construction d'un bâtiment " scindé " en deux entités rattachées par un hall commun comprenant la maison des associations culturelles qui elle-même rassemble les écoles de musique, d'art, de danse, de peinture et une médiathèque. " l'alchimie entre une architecture contemporaine et les usagers, soit une pratique adaptée aux volumes généreux. La parcelle forme un écrin, habitée par le décor des héberges, elle permet ainsi à l'espace culturel une mise en scène exceptionnelle. Chaque façade des nouveaux bâtiments offre à la déambulation un regard différent, des surprises. Entre l'existant et le projeté, les cadrages et les perspectives deviennent inattendus, plissés par le découpage en plan qu'offre la limite de propriété. Des éléments fédérateurs mettent en valeur le patrimoine local et s'accordent à respecter l'environnement offert. Les murs d'enceintes, comme les pignons donnant sur la parcelle, proposent des silhouettes et des tableaux urbains qui dessinent le paysage. Bâtiment signal Reprenant en pignon le gabarit du logement existant, le bâtiment appelé " Signal ", se caractérise par son habillage en résille métallique de cuivre. Pour marquer l'identité du lieu nommé L'atelier, en mémoire des ateliers de l'usine Damau aujourd'hui démolis, une enseigne verticale composée de 8 lettres (4 mètres de haut) en PMMA (thermoplastique transparent) a été installée à 4 mètres 50 du sol. Afin de la rendre lisible au contact de la " semi-transparence " de la résille, la signalisation est rétro-éclairée, émettant une lumière douce et diffuse, non éblouissante. Ce bâtiment " non étanche " a pour fonction principale la signalisation sur la rue du centre culturel. En effet, celui-ci n'ayant pas de vocation commerciale, l'enseigne devient l'outil de communication culturel de la ville de Gournay-en-Bray. La signalétique repose sur une relecture contemporaine des signes, en clin d'oeil aux graphismes publicitaires remarquables des enseignes qui ont façonné par le passé le paysage des communes françaises. L'usage de ce bâtiment est essentiellement donné au gestionnaire. Aucun public ne peut y entrer. A l'intérieur du bâtiment, on trouve le nouveau poste de transformation EDF, des plateformes techniques permettant l'affichage ponctuel. Espaces culturels Point d'ancrage du projet et signal fort de l'équipement, le nouveau bâtiment s'inscrit en parfaite corrélation avec l'urbanisme du coeur de ville. Hier, des corps bâtis longilignes à deux pentes, aujourd'hui un archétype contemporain habillé d'ardoise violine, où s'ancrent ponctuellement et, suivant la nécessité du programme, des volumes cadrant le paysage. Cette forme en plan très caractéristique de la ville de Gournay-en-Bray, devient la filiation entre l'ancien et le nouveau, une réinterprétation libre, un langage contre la vulgarité et le clinquant. Le bâtiment se compose d'un rez-de-chaussée (médiathèque et école de danse), d'un premier étage partiel (école de musique) et d'un sous-sol partiel (locaux techniques) accessible par l'extérieur. Le hall commun Lien visuel avec le jardin, il est l'unique accès public. Volontairement implanté en H au centre de la parcelle, il relie les deux corps principaux du programme. Le corps de la Maison des associations se pose et s'inscrit dans le prolongement de la bâtisse existante qui offre son pignon comme attache. Le hall est vitré et dégage un espace généreux pour l'accueil d'expositions. Il sert également de filtre permettant de contrôler l'accès aux diverses activités. La médiathèque Elle s'organise autour d'un parcours à travers les âges. A l'entrée se trouve l'espace de consultation adulte et plus l'on pénètre dans la profondeur du bâtiment, plus l'on se rapproche des espaces dédiés à l'enfance. Le travail sur la charpente offre des volumes presque " cathédrale ", laissant la lumière abonder dans les salles, apaisante. Le jardin Accentués par la pente du terrain, les plantations autour des bâtiments se développent simplement par un engazonnement " sauvage " de type prairie : trame basse de vivaces, plantes à fleurs en masse linéaire ou prairie sèche " d'amérique du sud ". Le jardin " patio " au coeur de la Maison des associations culturelles et de la médiathèque est proposé comme un territoire de plantations, " un jardin de fleurs à couper ". Librement composé par les associations ou par des prestataires extérieurs, cet espace recueillera un patchwork de plantes grasses, de plantes de hautes tiges, de plantes fleuries, de massifs, de plantes médicinales et sera traité comme une prairie, gérée en entretien doux par des fauches occasionnelles. L'ancien verger a été conservé. A côté des cerisiers existants, des bouleaux viennent rythmer le paysage. Les salles de musique Le premier étage est entièrement voué à l'enseignement musical. Les salles d'enseignement sont conçues autour d'une rue intérieure, à caractère urbain. L'école de danse Elle est située à l'extrémité de l'aile gauche, dans son pli. Elle s'enchâsse dans le bâtiment principal, avec légèreté et élégance. Elle conserve le même langage architectural que le bâtiment principal ou le bâtiment signal, à savoir une couverture et un bardage en ardoise violine, des volets de résille métallique, et de larges ouvertures vitrées, en référence aux proues du bâtiment. Par l'implantation de ces grandes ouvertures en façades et en toiture, les salles de danse conservent une grande luminosité tout en se protégeant des regards extérieurs. L'ardoise violine De forme homogène, le matériau proposé pour l'enveloppe des archétypes est une pierre naturelle : l'ardoise violine, en provenance du Canada. Celle-ci est mise en oeuvre de façon très traditionnelle par des compagnons du devoir. Elle est souvent réservée aux bâtiments prestigieux mais employée ici dans une architecture aux formes pures et franches, masquant les chéneaux, sans débords de toiture. L'ensemble (façades et toitures) provoque une continuité visuelle forte. L'enveloppe d'écailles créée par l'ardoise, le jeu des reflets du schiste, permettent à la teinte naturelle violine de se rapprocher davantage de l'aspect végétal que minéral. On retrouve ainsi la dimension poétique qui subsistait dans les jardins / cours de l'ancienne usine Damau. La résille de cuivre Les amples façades vitrées se revêtent parfois d'une résille métallique en cuivre afin d'habiller les grands volumes et baies transparents afin de créer l'intimité ou un effet de brise-soleil. Cette résille présente ponctuellement en rez-de-chaussée, s'érige sur toute la hauteur du pignon sud protégeant la grande salle de réunion des regards. De plus, elle dialogue avec le bâtiment-enseigne de l'entrée. Les pointes de diamant des cassettes de cuivre rigidifient celles-ci et les rendent vivantes. Les portails extérieurs d'accès sont en cuivre plein. Le MélèzeLes " boîtes saillantes ", dédiées aux salles de lecture, à la salle de consultation pour les enfants et à l'espace du conte, sont composées d'une vêture en bois de mélèze d'épaisseur variable. Les larges percements sont agrémentés de stores textiles extérieurs pour leur protection solaire." Photographies : Luc Boegly Pour en savoir plus, visitez le site d'AAVP. 

A l'occasion de l'exposition HomeWork à la Cité du Design de Saint-Etienne, la designer Pascaline De Glo De Besses présentait un aperçu de ses créations. Le projet "Zebra" est un revêtement de mur et de sol en céramique laminée, des dalles carrées de 20 cm qui proposent un graphisme simple et épuré. De fines bandes noires viennent traverser le la céramique de part en part et permettent de créer une infinité de motifs graphiques et dessins. En modifiant le sens des dalles par rapports aux autres et la composition s'anime dans des réseaux de lignes qui se croisent, s'entrecroisent et se répètent.   "Zebra" et d'autres projets de Pascaline De Glo De Besses sont à découvrir jusqu'au 11 mai 2014 à la Cité du design de Saint-Etienne pour l'exposition Homework, Une École Stéphanoise. Photographies : Pascaline De Glo De Besses Pour en savoir plus, visitez le site de Pascaline De Glo De Besses. 

Imaginée par le designer Ferréol Babin, "Roll" est une petite lampe de table composée de deux éléments indépendants et complémentaires. Une petite base accueille un tube lumineux qui, d'un simple mouvement de rotation permet d'orienter le flux lumineux. Sobre et élégante, la lampe "Roll" étonne par son ingéniosité et sa simplicité. Réduit à l'essentiel, le mécanisme de cette lampe s'articule autour de la complémentarité des formes. L'utilisateur peut alors moduler l'apport lumineux en fonction des usages, directe pour la lecture, ou indirecte et douce pour un éclairage d'ambiance. La base de cette lampe d'aluminium moulé et peint est creusée pour dissimuler l'appareillage électrique.   Pour en savoir plus, visitez le site de Ferréol Babin. 

Kyunglan Yoon, le fondateur de l'agence Yoonseux Architectes nous présente le "Centre Sportif Atlas", un projet de restructuration dans le 19ème arrondissement de Paris. Dans cet espace, les architectes ont creusé un bassin dans le volume existant et ont essentiellement travaillé la résine acrylique pour obtenir une piscine graphique et poétique. A l'extérieur, le "Bassin Ecole Atlas" a conservé ses façades, simplement remaniées. A l'intérieur, c'est le principe de parcours qui a focalisé l'attention des architectes, les différentes zones se succèdent de manière douce et avec le moins d'entraves possibles, favorisant l'accès du public. Le bassin et ses abords sont réalisés en résine acrylique, un matériau qui offre de nombreuses possibilités de finitions, rugueux et antidérapant. Une approche sensible et tactile où le baigneur retrouve le blanc poudreux de la résine acrylique décliné sur les parois, les sols, les plafonds, la façade extérieure, le cloisonnement et le mobilier. L'espace s'article de manière douce pour que rien n'entrave la circulation vers le bassin et l'apport de lumière naturelle dans cette architecture aux couleurs pastel.   Pour en savoir plus, visitez le site de Yoonseux architectes. 

Designer diplômé de la Royal Danish Academy of Fine Arts, Frederik Alexander Werner nous présente le bureau "OakLin", son projet de fin d'étude. Un mobilier de chêne qui cache de nombreux espaces de rangement. Cette table de travail renferme de nombreux rangements dissimulées qui offrent un environnement de travail pratique et adaptable. Dans ses recherches, le designer s'est penché sur différents types de revêtements pour le plateau, le cuir pour l'écriture, du caoutchouc pour une surface de découpe, de nombreuses solutions pour se plier aux différents usages. Ses lignes tendues et le choix des matériaux donnent à ce bureau des notes chaleureuses et intimistes propices à la création.   Sur ce projet, le designer précise : "OakLin is the final product of my Bachelor project at the Royal Danish Academy of Fine Arts " Design School, summer 2012. OakLin is a worktable that offers storage possibilities and a primary working area that can be changed according to the type of work. You could change the area to a leather surface for writing, rubber for cutting, a light table or a surface for wireless charging. What it means, is that the table always can be reshaped, so that it offers the best working conditions for the user." Pour en savoir plus, visitez le site de Frederik Alexander Werner. 

Jeune diplômé de l'Esad de Reims, le designer Jules Levasseur a imaginé "Miss Mousse", une série d'assises composée d'un volume de mousse contraint dans un cadre de bois. La compression bombe le volume de mousse, lui donnant des formes rondes et généreuses. Ce principe de déformation à la base du projet résulte de la rencontre entre une densité appropriée à la force de compression. Le bloc de mousse rectangulaire se courbe dans des lignes douces et naturelles, un projet qui interroge les spécificités des matériaux et leurs propriétés.   Sur ce projet, le designer précise : " Un volume de mousse est contraint dans un cadre en bois. Ce dernier comprime la matière et la déforme, de ce fait une certaine tension apparaît. Ainsi, un assemblage traditionnel se maintient par compression, et forme des assises. La mousse se justifie comme élément d'assemblage et apporte un confort reconnu comme assise. L'objet se monte et se démonte aisément, sans aucune visserie, et donc apporte une simplicité de stockage et de transport." Pour en savoir plus, visitez le site de Jules Levasseur. 

Au 14, rue dessous des berges, dans la ZAC Paris Rive Gauche, au sud du 13e arrondissement, les architectes Fannie Orihuela, Frédéric Nakache de NOA architectes viennent de livrer un projet de logements collectifs. Prenant place à l'emplacement d'anciennes habitations aux typologies et hauteurs variées, le nouveau bâtiment se déploie en L et s'intègre de façon harmonieuse à son nouvel environnement. Ce programme se compose de 9 logements sociaux et d'un local d'activité au rez-de-chaussée. Une réflexion particulière a été apportée par les architectes aux façades de ce nouvel ensemble collectif. La façade principale joue sur les contrastes et la dualité des matériaux, le blanc lisse et brillant répond aux briques noires mat et rugueuses dans une partition élégante et rythmée. L'arrière du programme est quand à lui blanc et immaculé, laissant les reflets du soleil l'animer au fil des heures et des saisons. La végétalisation du projet a aussi été une composante essentielle du programme, accueillant de nombreuses terrasses et jardins suspendus, cet immeuble se veut un espace verdoyant pour ses occupants et les parcelles voisines. Pour en savoir plus visitez le site de NOA architectes. 

A l'occasion du Design Tour de Bordeaux, le magazine Muuuz a remis le prix coup de c"ur Orange au designer Emmanuel Gallina pour sa collection pour AM.PM. exposée chez Arc en Rêve. Exposée dans un lieu atypique, la marque de mobilier de la Redoute bénéficiait d'une scénographie inspirée et colorée. Le choix de ce lauréat s'est fait au regard de la démarche proposée ici, des créations qui intègrent une sensibilité créative et artisanale tout en étant distribuées à grande échelle. Pour mettre au point ces pièces, le designer Emmanuel Gallina a su imposer ses choix pour donner naissance à cette série aux finitions soignées comprenant luminaires, fauteuils, chaises, tables, secrétaires, lit pour enfants... Une collaboration exemplaire qui vise à rendre le mobilier design accessible au plus grand nombre que la rédaction salue et a tenu à récompenser. Le Design Tour se poursuit jusqu'au 28 novembre et traversera Nantes, Lyon, Montpellier et Marseille. Pour en savoir plus, visitez le site d'Emmanuel Gallina, d'AM.PM., d'Arc en Rêve et enfin celui du Design Tour.    

Lors du Design Tour Bordeaux, le jeune designer autodidacte Sam Well présentait sa collection "Veeno" dans l'espace du Label VIA 2013. Une collection toute bordelaise car elle se compose de douelles, ces pièces de bois qui forment le corps d'un tonneau. Le designer a imaginé trois pièces qui donnent une seconde vie aux fûts de chêne, le lampadaire "Solea", la lampe "Bacchus Luminis" et la table basse "Abbachus". Maniant la forme singulière de ces pièces, Sam Well livre des luminaires alternant les vides et les pleins ce qui a pour effet de créer un jeu d'ombre et de lumière. Les douelles teintées par le processus de vinification offrent d'élégantes teintes pourpres qui rappellent l'histoire d ce matériau noble.   Sur ce projet, le designer précise : "Je souhaite aller plus loin que l'idée du simple tonneau jardinière. C'est ce contraste entre la matière brute et usée que j'ai voulu intégrer comme concept. Je souhaite conférer à mes travaux un aspect recyclage et surtout "historique" à cet élément qu'est le bois." Pour en savoir plus, visitez le site de Sam Well et celui du Label VIA.  

En collaboration avec Huesler Architekten, l'agence suisse Oppenheim Architecture a réalisé la rénovation d'une ancienne ferme au c"ur du centre historique de la ville de Muttenz en Suisse. Ce programme a donné naissance à des bureaux pour une agence d'architecture et à une résidence privée. Dans cette réinterprétation, les caractéristiques de l'existant ont été conservées, tout en y ajoutant de nombreuses ouvertures afin de baigner l'ensemble de lumière naturelle. L'intérieur d'un blanc immaculé s'appose sur le bois texturé du corps de ferme, conservant le typologie du lieu et créant un enchevêtrement d'espaces et de volumes qui s'ouvrent, se chevauchent et se confondent. Adjacente à la ferme, les architectes ont conçu une maison individuelle à l'architecture contemporaine qui se juxtapose avec la ferme. L'unité est trouvée en employant des matières et des couleurs identiques sur ce nouveau volume de trois étages. Comprenant une chambre de maître et une chambre d'hôte à l'étage supérieur, le rez-de-chaussée accueille les pièces à vivre avec la cuisine, la salle à manger et des espaces de vie alors que les chambres des enfants se trouvent dans un sous-sol ouvert avec une terrasse de jardin extérieure situé sur rampe menant au niveau du sol.   Photographies : Borje Müller Pour en savoir plus, visitez le site d'Oppenheim Architecture. 

Pour l'éditeur français La Chance, le designer Charles Kalpakian a imaginé le buffet Rocky. Une pièce de métal plié anguleuse qui réinterprète les classiques de la marqueterie pour jouer avec notre perception. Sculpturale, cette pièce se dévoile selon l'angle sous lequel elle est observée. Ses volumes généreux faits de lignes tendues et brisées d'angle tantôt droit, tantôt plus doux. Rocky laisse une curieuse impression d'instabilité, de désordre organisé, qui parvient sans peine à surprendre et briser les codes établis. Rocky est disponible en laqué noir mat, bleu ou gris aluminium.   Dimensions : (L x l x h) : 140 x 36 x 95 cm Pour en savoir plus, visitez le site de Charles Kalpakian et celui de l'éditeur La Chance.  

Pour l'éditeur Miloma, le designer Germain Bourré signe Petites Rocailles, trois petits éléments rocheux réalisés en tôle électro-zinguée recouverte de peinture epoxy. Inspirées de l'univers minéral, ces trois petites pièces trouveront leur place dans un jardin, sur une terrasse, au bord d'une piscine ou même à l'intérieur. Colorées et aériennes, elles se multiplient pour créer de petites surfaces de pose, sobres et essentielles.   Pour en savoir plus, visitez le site de Germain Bourré et celui de Miloma.  

Pour l'éditeur Miloma, le designer Germain Bourré signe Petites Rocailles, trois petits éléments rocheux réalisés en tôle électro-zinguée recouverte de peinture epoxy. Inspirées de l'univers minéral, ces trois petites pièces trouveront leur place dans un jardin, sur une terrasse, au bord d'une piscine ou même à l'intérieur. Colorées et aériennes, elles se multiplient pour créer de petites surfaces de pose, sobres et essentielles.   Pour en savoir plus, visitez le site de Germain Bourré et celui de Miloma.  

Dessinée par la jeune entreprise française Vaskeo, la vasque Ring® fait une entrée lumineuse dans les salles de bain. Avec sa ligne en forme d'anneau, sa silhouette élégante, et ses leds intégrées, la vasque Ring® est idéale pour les salles de bain au look contemporain et épuré. Lauréat 2013 du Palmarès des Produits de l'Architecture et du Design (1er prix décerné par ArchiDesignClub), dans la catégorie vasques-lavabos, la vasque Ring® est une véritable innovation. Equipée d'un éclairage leds intégré, variant en fonction de la température de l'eau, elle combine le beau à la sécurité : l'eau s'habille de bleu quand elle est froide, tend au violet quand elle est tempérée, se pare de rouge lorsqu'elle est chaude. Entre chaud et froid, une palette de 150 couleurs (mélange de bleu et rouge) éclaire la vasque. Une vasque de salle de bain design et originale Modèle très contemporain, réalisé dans un matériau d'exception : solid surface*, Ring® se compose d'une plaque centrale qui pivote ou s'enlève, l'eau s'écoule par les rebords. Ses dimensions 400x400x190mm lui permettent de s'intégrer à toute taille de salle de bain. Vaskeo : des créations fonctionnelles et innovantes Qualité du design, choix des partenaires industriels, Vaskeo ne laisse rien au hasard pour chacune de ses vasques. Que ce soit le modèle Volkéo, Cocoon, Ballas ou Diamond, toutes affichent des courbes et des formes, à la fois fluides et élégantes. Un avant-gardisme qui mélange simplicité et pureté, sans en oublier le fonctionnel avec un système de trop plein invisible (pour certains modèles) ou des vasques de taille réduite. Vaskeo s'entoure des meilleurs partenaires industriels pour offrir une qualité irréprochable. La vasque à poser Ring® est disponible en blanc mat, satiné ou brillant. Pour en savoir plus, visitez le site de Vaskeo et retrouvez la sur le salon IDEOBAIN à Villepinte sur le stand de o'design dans l'espace modesdebains, allée C.  *Le solid surface est un mélange de minéraux et de pigments naturels, enrobés d'une résine polyester ISO NPG. Il en résulte une pierre acrylique à l'effet naturel, d'une grande durabilité. Non poreux, résistant à l'usure, à la chaleur normale et aux tâches courantes, il est coulé tel du plastic sans aucune trace.

La designer Slovaque Lenka Czereova a imaginé "The Illusions", une série de luminaires d'intérieur qui se fondent dans l'environnement et disparaissent. Composée d'une structure en nylon et d'un écran OLED économe en énergie, elle créé l'illusion. Coin de table ou encore papier peint corné, la lampe se confond dans son environnement pour s'illuminer et surprendre. Un projet créatif et innovant qui apporte une nouvelle lecture du luminaire d'ambiance. Sur ce projet, la designer Lenka Czereova précise : "It shows that sometimes the things are different then they appear. The installed lamp will show wall and whole room space in different positions. The lamp will remind you of the illusion of acquired space. Putting the lamp anywhere on the wall will always achieve the illusion of uncertain space. There are several shapes for interior lighting you can choose your own dimensions.The corner type of lamp are available as well. Its made of nylon plastic material and OLED display which is energy efficient and environmentali friendly. It doesn't contain any toxic materials." Photographies: Symon Kliman Pour en savoir plus, visitez le site de Lenka Czereova. 

Finaliste des Wood Awards, le fauteuil "Creek" du designer Italien Sandro Lopez est une assise organique et singulière composée d'entrelacs de bois. Créé en collaboration avec Sergio Studer, ce fauteuil au langage contemporain joue avec les courbes et mélange les savoir faire traditionnels et les techniques plus modernes du numérique.   Sur ce projet, Sandro Lopez précise : "The concept behind Creek armchair is to fabricate a wooden design with a contemporary language. The continuous presence of wood in our living environments throughout history is a result of its interesting characteristics and qualities, its aesthetic beauty, its warm feel, its mechanical features and its environmental advantages but most of all what has really permitted wood to be the material of choice for designers and inventors, is its ability to adapt to each era's zeitgeist and aesthetics. Today, with the advent of information technology, once again designers and creators are using techniques in order to cross over the gap between the traditional world of woodworking and the contemporary reality of the digital. The Creek armchair is born in this context." Pour en savoir plus, visitez le site du designer Sandro Lopez. 

Composé de deux designers et d'un architecte, le trio du collectif N°111 a récemment repensé l'office de tourisme de Saint-Etienne. "La plateforme" fait peau neuve et s'adapte aux nouveaux usages des lieux d'accueil des municipalités. Dans cette relecture du lieu, les espaces s'ouvrent dans un jeu de contrastes marqué, noir et blanc, lignes tendues qui dialoguent avec des lignes brisées. Le collectif N°111 a cherché au maximum à décloisonner l'espace, pour favoriser l'apport lumineux de la verrière et des grandes fenêtres qui ceinturent "la plateforme". Repensé autour d'un îlot central, point de rencontre et d'accueil fabriqué par un artisan local, l'office du tourisme se modernise et s'épure. Imaginé comme un showroom, il permet désormais d'accueillir des expositions, des mini-concerts ou des performances. Ce projet donne naissance à un espace humain que le visiteur est invité à s'approprier, en s'installant par exemple sur une sélection de pièces de mobilier design, notamment le fauteuil "grillage" de François Azambourg.  Pour en savoir plus, visitez le site du collectif N°111 et celui de la Plateforme.  

Fondé à Londres par Hanhsi Chen et Shikai Tseng, le studio de design Poetic Lab a récemment présenté la Lampe "Ripple". Un projet articulé autour de deux lignes directrices, la réfraction de la lumière en fonction des surfaces et le travail artisanal du verre. Le projet ondulation se présente comme une base en laiton poli qui accueille une coupole de verre fabriquée à la main et volontairement imparfaite. Les irrégularités de la surface viennent fausser la lumière, apportant de la texture et créant des motifs. Ce travail précis, poétique et dynamique est né de la collaboration des designers avec la célèbre cristallerie Lobmeyr de Vienne.   Pour en savoir plus, visitez le site de Poetic Lab et celui de la cristallerie Lobmeyr.  

Pour sa deuxième édition, le Design Tour, parcours de design itinérant débute aujourd'hui à Bordeaux. Jusqu'au 28 novembre 2013, le Design Tour parcourra toute la France au travers de 5 villes, Bordeaux, Nantes, Lyon, Montpellier et enfin Marseille. L'évènement s'organise autour d'un socle commun de 4 expositions, le "Carré Orange" qui présente une sélection de la nouvelle génération du design français, "Homework, Une École Stéphanoise" que nous avons eu l'occasion de visiter dernièrement, les "Labels VIA 2013", qui sont des prix décernés à des produits ou des lignes de produits commercialisés dans l'année, traduisant une collaboration jugée exemplaire entre un producteur français et un créateur, et enfin "Intérieurs Cuir" qui est une vaste opération de promotion collective des cuirs français. Autour de ces expositions communes, s'ajouteront des évènements propres aux 5 villes. L'exposition "l'Âge du Faire" du collectif Particule 14 sera présentée uniquement à Bordeaux, où nos journalistes seront présents. Parallèlement, le parcours se composera de plus de 25 lieux d'expositions à retrouver ici.  Pour en savoir plus, visitez le site du Design Tour. 

A Singapour l'agence Wallflower Architecture + Design a dessiné la "Centennial Tree House" une maison individuelle organisée autour d'un frangipanier centenaire. Pour répondre au souhait de tranquillité des habitants, les architectes ont créé ce bloc totalement fermé sur l'extérieur et puisant sa lumière via une cour centrale. Les façades internes bardées de bois ne s'ouvrent que sur la chambre de maîtres. L'enceinte de l'habitation s'articule autour d'un arbre centenaire dans une grande cour gazonnée et entourée d'eau. Cette ouverture permet de baigner de lumière l'intérieur tout en assurant une bonne diffusion de l'air dans cet espace coupé du monde extérieur et propice à l'introspection. Sur ce projet, les Wallflower Architecture + Design précise : "The owner wanted external blank walls. Then talk continued to fixed screens. Centre courtyard for light and air. These summed up for them, the tangible facets of an ideal home, a protective enclosure of solitude. Introversion has a negative connotation in a culture where being social and outgoing are prized above all else. But what is withdrawal to some is energizing for those who thrive on self-reflection and contemplation; life is found within. That fortitude and strength is visually given expression by a hundred year old frangipani tree literally found within, centred in a large grassed courtyard surrounded with water. The tree was given a new lease of life having been rescued from a Holland Road site slated for new development. True to the owners' requirements, the facade is entirely sealed off in most areas, and veiled by fixed timber screening in others. The purity of intention to internalise results in a purity of architectural elevation on three sides; there is no yard, opening, back of house, but a pebbled path between a rhythmic timber screen and a lush wall of polyalthias. Visually, the aesthetics exclude both physically and psychologically, but the timber screens along the periphery of the 1st storey allow breezes to comb through, refreshing the sheltered corridors and living spaces. The central court encourages this, acting as both a light and air well. Throughout the day as the environment changes, the breezes shift, the house breathes. The only area where the timber screens can be opened is between the second storey master bedroom and the court. Motors silently fold the screens away, linking the court to the bedroom. The central air and light well is key to the experience and enjoyment of the house through the day as the light shifts, different walls, passages, are literally seen in a different light, or shade or shadow. The centennial tree awakes, basks, and rests; and the surrounding spaces share that experience. The aesthetic encounter is intensified perhaps because there are no distractions from the world outside; Even the world outside is acquired as the sky above is framed by the court and forms part of the spatial composition. The elemental reduction of sky above, water surrounding an island of grass below, all axially centred by the stolid tree distils for the owners what life can and should be; a re-focus on the basics being pure, simple, and celebrated." Photographies : Albert Lim Pour en savoir plus, visitez le site de Wallflower Architecture + Design. 

Il y a quelques temps, Elsa Randé présentait ses dernières créations durant Now ! le off, "Shining" une lampe à poser, mais aussi "L'écume des jours" et "Let's dance", deux petits meubles de rangement créés autour d'une structure de chêne et partitionnés à l'aide de fils de scoubidous. Surprenante et attachante, l'alliance du bois brut et de ces fils colorés et enfantins donne naissance à ces petits casiers de rangement. "L'écume des jours" et sa forme cubique pourra s'utiliser comme table d'appoint ou de chevet, composer des bibliothèques lorsque multiplié, et offre la particularité de présenter les ouvrages non pas par leur tranche mais par leur couverture. "Let's dance" est une petite console reprenant les caractéristiques de "L'écume des jours" mais avec une forme plus allongée. Elle sera idéale pour présenter des livres plus volumineux ou encore des vinyles.   Dimensions (L x h x p) : 38,5 x 38,5 x 38,5 cm (L'écume des jours) et 85 x 53 x 40 cm (Let's dance) En fonction des usages, ces deux pièces peuvent se percher sur de petits pieds de 18 cm de haut. Pour en savoir plus, visitez le site d'Elsa Randé. 

Durant le London Design Festival, la jeune garde des designers polonais était à l'honneur avec l'exposition Young Creative Poland. L'occasion de découvrir le projet "Stratifications" de Krzysztof J. Lukasik, une réflexion autour du travail du marbre. La collection "Stratifications" se compose de 5 objets, un marque-pages, un miroir, un accessoire pour le bureau, deux coupes. Le matériau brut et massif est ici travaillé finement afin de lui apporter de la douceur et de la légèreté. Sur ce projet, le designer précise :  "STRATIFICATIONS est une collection de cinq accessoires pour la maison fondée sur la complémentarité qui existe entre la simplicité des formes et la complexification et l'intensité qu'engendre la texture du marbre lamellé. Ce projet s'inscrit dans une réflexion plus générale sur le travail du marbre entrepris il y a plusieurs années. Un de mes objectifs principaux est de débarrasser le marbre de sa lourdeur monumentale, voire funéraire afin de le faire rentrer dans nos maisons et notre quotidien. Stratification est aussi le fruit de la rencontre avec un artisan marbrier. La technique du marbre lamellé permet de casser le coté massif du marbre en le fractionnant et permet surtout d'utiliser les chutes qui sont rassemblé comme dans une planche de contreplaqué. Elle permet également de mettre en valeur le coté graphique du marbre en cassant la linéarité du veinage naturel. Stratifications rappelle d'avantage le marbre qui apparait à l'état naturel dans une carrière, sous forme de strates, avant d'être travaillé." Photographies : Wojtek Spychalski Pour en savoir plus, visitez le site de Krzysztof J. Lukasik. 

Les designers anglais de Duffy London dévoilent "the Swing Bar", une structure métallique sur laquelle sont suspendues des assises. Une utilisation ludique en balançoire qui limite l'emprise au sol. Cette structure s'adresse aux bars et aux restaurants et apportera une touche enfantine et ludique au lieu. 23 chaises sont suspendues à cette création disponible dans un large choix de coloris, elle est fabriquée à la main.   Dimensions (L x l x h) : 630 x 330 x 220 cm Pour en savoir plus, visitez le site de Duffy London. 

Jeune designer autodidacte, Guillaume Ji Delugré nous présente sa première création, le bahut/enfilade "B U K". Une première intervention qui puise son inspiration dans les contrastes et les antagonismes. Réalisé par l'atelier Estampille52 au viaduc des Arts à Paris, B U K est fabriqué en chêne massif et simplement ciré.   Sur ce projet, Guillaume Ji Delugré précise : "L'essence de mon travail gravite autour de la relation entre l'ombre et la lumière. Métaphore émotionnelle, incandescente, cette relation réveille les souvenirs comme elle provoque des songes. Immatérielles, ces deux entités indispensable à l'appréhension de toute chose nous offre plus qu'un monde à vivre et à ressentir. Dépassant la simple notion esthétique, elles nous offrent une renaissance perpétuelle. C'est avec ces faisceaux d'intention que j'ai pensé, imaginé B U K. Au détour d'une relecture de WOMEN (de Bukwoski justement) qui concentre si bien cette furieuse "folie ordinaire" qui régit nos vies, cette complexe relation entre l'ombre et la lumière, la joie et la misère. J'ose croire qu'il offre une réflexion abstraite et subjective aux regards de chacune et chacun d'entre nous. Réalisé par l'atelier ESTAMPILLE52 (au Viaduc des Arts à Paris), en chêne massif de France simplement ciré, il est le fruit d'une méthode de production élaborée qui valorise l'héritage et les traditions d'un savoir faire artisanal tout en faisant appel à des techniques innovantes." Pour en savoir plus, visitez le site de Guillaume Ji Delugré. 

"Rozmowa" est une série de 5 objets imaginés par le designer Amaury Poudray. Mélange de verre et de cuivre, ces pièces manipulent les contrastes, le verre soufflé sans moule est imparfait et dialogue avec des formes de cuivre simples et pures. Ces volumes élémentaires tirent leur nom du polonais, "Rozmowa" signifiant conversation, le designer a nommé chaque pièce par un prénom, Katarzyna, Piotr, Ola, Agnieszka et Maciej autant d'objets qui communiquent entre eux et avec notre imaginaire. Sur projet, le designer Amaury Poudray précise : "ROZMOWA est un projet qui me tient à c"ur, lié directement avec mon expérience en Pologne. J'ai appris à connaitre cette culture qui est, au fond, assez différente de la mienne. Cela m'a fait prendre conscience de la diversité culturelle Européenne et de la complexité de son Histoire. La Pologne est marquée par son histoire récente, qui s'étend de la seconde guerre mondiale jusqu'à la période communiste en passant par l'activité minière et industrielle. Ces évènements historiques ont façonné des générations et persistent subtilement dans la vie quotidienne polonaise d'aujourd'hui. Cette subtilité m'a inspiré. Elle m'a fait ressentir la marque indélébile mais discrète de notre passé commun. ROZMOWA (" conversation " en Polonais) représente des citoyens en perpétuel dialogue avec leur histoire et ses racines vivaces. Ces vases, boites et coupes à fruits matérialisent un ressenti personnel sur la culture polonaise par le biais d'associations de formes et de matières. Chaque pièce associe un minimalisme et une complexité, entre formes géométriques et imprécisions manuelles. L'apparence plutôt froide et précise de la collection s'oppose à la chaleur brute de la flamme qui a permis sa mise en forme (soufflage de verre et soudures au chalumeau). La flamme joue ici le rôle de l'Histoire et l'objet le rôle de l'individu. De manière générale, mes projets ont pour but principal de montrer le processus et les associations nécessaires à l'existence de l'objet. Sa finalité n'est intéressante en soi que grâce au processus qui l'a amené à exister. Du concept au résultat, il se joue une histoire complexe, issue des dialogues et des rencontres, faisant apparaitre la signification profonde de la collection. Je souhaite ouvrir le dialogue sur l'incroyable diversité des cultures mondiales, sur la multitude d'interprétations possibles et sur l'ouverture d'esprit nécessaire à obtenir pour s'imprégner des autres et vouloir les comprendre." La série "Rozmowa" sera présentée lors de l'exposition Homework, une école stéphanoise, 11 octobre au 11 mai, 2014 à la Cité du Design de Saint-Étienne. Photographies : Tiphaine Vasse Pour en savoir plus, visitez le site d'Amaury Poudray. 

Pour le centre culturel du quartier de Strombeek à Grimbergen en Belgique, le designer Polonais Pawel Grobelny a imaginé Out-door-Cinema, une installation à mi chemin entre l'art et l'architecture. Appendice de la galerie d'art, ce module simple de bois permet au visiteur d'accéder aux vidéos de l'espace culturel 24 heures sur 24. Ce petit projet d'extension vient s'encastrer sur la tranche du centre culturel, face à une baie vitrée qui donne sur l'écran situé dans la salle d'exposition. En légère sur suspension sur son armature d'acier, une structure de bois équipé d'un système audio accueille le public. Visible de l'intérieur comme de l'extérieur, le film est projeté dans l'espace culturel sans le son, pour ne pas gêner les visiteurs de la galerie et invitant ceux qui le souhaitent à prendre place dans cet étonnant cocon. Ce projet a été développé dans le cadre de l'exposition "Air de Pologne" organisée par le Centre Culturel de Strombeek.   Photographies : Michiel de Cleene Pour en savoir plus, visitez le site du Centre Culturel Strombeek. 

Yael Mer et Shay Alkalay, les fondateurs du studio de design Raw Edges ont imaginé la bibliothèque "Booken". Une bibliothèque qui transgresse les codes du genre en présentant les ouvrages la tête en bas pour leur donner une seconde fonction. Cette bibliothèque ne se présente pas verticalement comme c'est le cas habituellement, mais horizontalement. Les livres ainsi suspendus sur la tranche se transforment en plateau et la bibliothèque devient console, offrant aux ouvrages une seconde vie. Le postulat des designers est qu'à l'époque des tablettes numériques, les livres que nous possédons ne sont pas voués à être relus, "Booken" cherche donc à les réhabiliter dans nos intérieurs. Dimensions (L x h x p) : 130 x 65 x 32 cm Pour en savoir plus visitez le site de Raw Edges et celui de l'éditeur Lema.  

Communiqué : Satin Road® est un coulissant aluminium à très hautes performances énergétiques (conforme à la RT 2012 et répondant aux labels HPE, TPHE et BEPOS) pour le neuf ou la rénovation, qui optimise l'apport solaire et favorise la transmission lumineuse. Satin Road® permet de très grandes ouvertures jusqu'à 8 vantaux, 4 rails ! Formes galbées ou lignes droites pour un style plus contemporain (design Factory Spirit®), format standard, grande hauteur (jusqu'à 3m) ou galandage, chacun y trouve son bonheur. De plus, vous pouvez harmoniser vos fenêtres avec le style de votre façade et de votre intérieur grâce à la bicoloration, une couleur pour l'intérieur de votre habitation, une couleur pour l'extérieur ! Points forts ? Hautes performances énergétiques, Lauréat au trophée de la Performance Equip Baie / Métal Expo ? Médaillée Design Factory Spirit® Bâtimat 2009 ? Eligible aux crédits d'impôts ? Hauteur jusqu'à 3 m ? Vitrage jusqu'à 32 mm ? Poids maxi / vantail : 250 kg ? Apports solaires optimisés ? Excellente transmission lumineuse ? Réduction des dépenses de chauffage & d'éclairage ? Accessibilité aux personnes à mobilité réduite ? Motorisation possible ? Émissions COV : Classement A+ Gamme ? Grande hauteur ? Galandage ? Monobloc Performances Thermiques ? Coef. Uw=1.1 Wm2K et Sw=0.50 pour un châssis de L 1850 x H 2700 mm en triple vitrage ? Coef. Uw=1.5 Wm2K et Sw=0.55 pour un châssis de L 1850 x H 2700 mm en double vitrage   Pour en savoir plus sur les baies coulissantes alu Satin Road, visitez le site Profils Systèmes. 

Créés par l'Archidesignclub et le magazine Muuuz, les Archidesignclub Awards ont vocation à récompenser chaque année les réalisations d'architecture et d'architecture d'intérieur les plus remarquables. Pour cette première édition des ArchidesignClub Awards, tous les intervenants qui ont été associés au projet peuvent présenter un dossier, qu'ils soient architectes, entreprises ou fabricants. Les candidatures sont à déposer sur le site awards.archidesignclub.com avant le 30 novembre 2013 et les projets sélectionnés seront présentés sur le site du 1er février au 8 mars 2013. Cette sélection vise à constituer par types de projets et par matériaux une base des meilleurs projets, valorisant la dynamique de la création architecturale. Destinés à mettre en lumière le travail des équipes qui ont donné vie à ces projets et à favoriser les échanges et les retours d'expérience, les Archidesignclub Awards sont ouverts à l'ensemble des acteurs du projet - maîtres d'ouvrage, architectes, entreprises, fabricants? Les Archidesignclub Awards, représentent pour les professionnels l'opportunité de faire connaître et reconnaître leur savoir-faire par l'intermédiaire de leurs projets les plus emblématiques autour de 35 catégories : ARCHITECTURE & CONSTRUCTION ? Habitat individuel < 100m2 ? Habitat individuel > 100m2 ? Résidentiel collectif ? Tertiaire ? Commerce ? Programme mixte ? Industrie ? Administration ? Culture ? Enseignement ? Petite enfance ? Santé ? Sports-Loisirs ? Infrastructures-Transports ? Urbanisme-Aménagement urbain ? Aménagement extérieur-Paysage ? Matériau innovant ? Bâtiment à énergie positive ? Eclairage architectural ? Prix spécial du Jury ARCHITECTURE & INTERIEUR ? Pièces à vivre ? Salle de Bain / Particulier ? Salle de bain / Contract ? Cuisine ? Chambre ? Chambre d'enfant ? Café-Restaurant ? Hôtel ? Spa, bien-être ? Magasin-Boutique ? Bureau ? Espace d'accueil-détente ? Stand-Scénographie ? Matériau innovant ? Prix spécial du Jury Pour être éligible, votre projet doit avoir été livré entre le 1er janvier 2011 et le 30 novembre 2013. L'inscription est libre et gratuite. Pour en savoir plus et pour déposer vos dossiers de candidatures, rendez-vous sur le site des Archidesignclub Awards. 

La Cité du design du Saint-Etienne accueille du 11 octobre 2013 au 11 mai 2014 l'exposition "Homework, une école Stéphanoise". Cet évènement présentera les travaux de 10 jeunes designers qui ont en commun d'être en activité sur le territoire Stéphanois et, pour la majorité, d'être diplômés de l'École supérieure d'art et design de Saint-Étienne. Eric Jourdan, le commissaire de cette exposition s'est interrogé : "Comment de jeunes designers décident de rester sur leur territoire d'origine tout en travaillant partout en France ? Cette situation inédite est un challenge rendu possible grâce à la synergie particulièrement réussie avec la Cité du design et la Biennale internationale design Saint-Étienne." A cette occasion, les visiteurs pour découvrir les travaux de l'Atelier Tourette / Goux, de l'Atelier BL 119, de Rémi Bouhaniche, de Julien de Sousa, de Pascaline De Glo de Besse, de Philippine Lemaire, de François Mangeol, du studio Numéro 111, de Jean-Sébastien Poncet / Amaury Poudray et de So Far So Good. Des créateurs bien connus des lecteurs du magazine Muuuz, qui se sont illustrés par leur travail et les collaborations réalisées avec des éditeurs et des Galeries prestigieuses. L'exposition Homework, Une École Stéphanoise est à découvrir du 11 octobre 2013 au 11 mai 2014 à la Cité du design de Saint-Etienne. Pour en savoir plus, visitez le site de la Cité du design du Saint-Etienne. 

L'agence Nomade Architectes vient de livrer le centre d'accueil et de loisirs d'Ablon-sur-Seine, dans le Val-de-Marne. Situé dans une zone dense, entre le bâtiment de l'école primaire et le bâtiment de logements de fonction, ce projet met en lumière la volonté des architectes de créer une partition architecturale autour de ces deux volumes compacts. Dans un jeu de boîtes et de décalages, Nomade apporte des respirations au site en créant un édifice fait de pleins et de vides, de patios, de zones en porte-à-faux et de doubles hauteurs. Abritant un espace d'accueil, un pôle maternel, un pôle primaire et une salle de restauration, cet espace bardé d'une ossature bois s'anime par de nombreuses ouvertures vitrées. Adapté à l'accueil de jeunes enfants, le rez-de-chaussée est travaillé pour faciliter la circulation avec des espaces interconnectés qui permettent tous d'accéder à une salle de repos et de propreté. Dans salles à l'étage, la recherche d'ensoleillement et de luminosité est au centre du projet et se matérialise par de nombreuses coursives, des puits de lumière et différents agencements. Labélisé BCC, le bâtiment se coiffe d'un toit végétalisé semi-extensif, composé de différentes essences végétales et qui vient clore la cinquième façade.   Photographies : Luc Boegly Pour en savoir plus, visitez le site de Nomade architectes. 

Créé par le designer Nir Chehanowski, le studio Cheha nous présente son dernier projet, le bougeoir "Flatlight". Réalisée en fils de laiton, cette création accueille une bougie chauffe-plat à son sommet et créé une illusion tridimensionnelle. De prime abord classique, le bougeoir "Flatlight" se révèle réellement lorsqu'il s'envisage sous un angle différent. Créant une illusion d'optique parfaite, il se dévoile être totalement plat et d'une épaisseur de 0.4 mm. Cet objet brouille notre perception et invite à repenser les objets du quotidien.   Ce projet, encore en conception a lancé une opération sur kickstarter.  Pour en savoir plus visitez le site du studio Cheha. 

Le designer Polonais Mateus Zwojcicki a créé pour l'aménagement intérieur du café "Zmianatematu" à Lodz une série de 3 tables basses graphiques et aériennes en contreplaqué de pin et en verre. La structure de ces tables se compose d'une base de lattes de bois entrecroisées et aux tailles variables qui créent un effet cinétique. Organique, les courbes du bois confèrent à l'ensemble dynamisme et personnalité. Le plateau de verre qui surmonte l'ensemble rend le tout fonctionnel et assure la stabilité de cet étonnant enchevêtrement de bois, uniquement maintenu par emboitage.   Photographies : Paulina Sasinowska Pour en savoir plus, visitez le site du designer Mateus Zwojcicki. 

A Cherbourg les architectes d'Arte Charpentier Architectes et ceux de Calq Architecture se sont vu confier le projet de restructuration du centre commercial "les Eléis". Datant des années 70, ce bâtiment n'a pas subit une simple réhabilitation, il a fait l'objet d'un projet de requalification urbaine et paysagère. Les architectes ont transformé le lieu en un espace propice aux échanges et aux déplacements, créant une connexion entre l'est et l'ouest de la ville. Le bâtiment existant ne répondant plus aux contraintes techniques et esthétiques, une nouvelle peau émerge de l'existant pour l'englober et le dérober aux regards. Jeu sur la lumière, de plis, de mailles et de reflets, cette seconde enveloppe en tubes d'aluminium et en métal dialogue avec le soleil et le ciel. Sur 40.000 m², la nouvelle silhouette asymétrique tantôt transparente, tantôt réfléchissante, tantôt lumineuse, émerge et dialogue avec le paysage environnant.   Pour en savoir plus, visitez le site d'Arte Charpentier Architectes et celui de Calq Architecture.  

Imaginée par l'architecte Olivier Chabaud pour Edition Compagnie, l'étagère "Max" se présente comme une petite sculpture de pixels à poser sur un mur. Composée de boîtes colorées de MDF peints dans une gamme chromatique de vert et de fins plateaux de hêtre laqués qui viennent traverser les contenants pour s'installer en équilibre et donner naissance à d'étonnantes structures graphiques et enfantines. Déclinée dans une version double, "Max" est disponible dans une version composée de deux boîtes et de deux étagères.   Pour en savoir plus, visitez le site d'Olivier Chabaud et celui d'Edition Compagnie.  

Le designer originaire de Saint-Etienne Julien de Sousa a créé pour l'éditeur Souvignet design la chaise "Taylor". Une assise aux accents industriels qui laisse volontairement apparaître ses visseries. Son dossier de tôle est perché sur un piétement en hêtre massif et une assise en multiplis de hêtre laqué. Une chaise aux lignes légères qui sont adoucies par des coloris sobres et élégants. Dimensions (L x l x h): 45 x 42 x 82 cm La chaise Taylor sera présentée lors de l'exposition Homework, une école stéphanoise, 11 octobre au 11 mai, 2014 à la Cité du Design de Saint-Étienne. Pour en savoir plus, visitez le site de Julien de Sousa et celui de Souvignet design.  

Au Portugal, à Miranda do Corvo, l'agence d'architecture Future Architecture Thinking vient de livrer la Maison des Arts. Point de rencontre entre deux idéntités, rurale et urbaine, ce projet à la volumétrie contemporaine dialogue avec les montagnes alentours. Les lignes tendues du bâtiment renvoient à la géométrie du paysage, tout en s'en affranchissant avec sa façade dynamique d'un rouge éclatant. Une architecture qui sonne comme un appel à la création et au lien entretenu entre la culture et les habitants de la ville. Sur ce projet, les architectes de FAT précisent : "House of the Arts in Miranda do Corvo expresses the meeting between two identities, rural and urban, in a landscape marked by the Lousã Mountains. The building features a contemporary and volumetrically expressive language. The sloping roofs establish a dialogue with the geometry of the mountain landscape, in an analogy to the village rooftops. The dynamism achieved through the continuity between façades and roof is accented by a strong red colour, emphasizing its design and highlighting the building through the surrounding landscaped area vegetation. More than a building, the Casa das Artes pretends to be an iconic landmark, celebrating the place where people meet, where culture and art happens, a space capable of promoting and stimulating creative activity, increasing the population quality of life." Photographies : João Morgado - Architecture Photography  Pour en savoir plus, visitez le site de FAT.  

Créé par Alex Mustonen et Daniel Arsham, le studio américain Snarkitecture nous présente "Float", une table immaculée et surprenante fabriquée à partir d'un moulage de marbre. Parfaitement lisse et pleine sur une face, "Float" se révèle brisée et poreuse sur l'autre. Un interrogation des designers sur la matière et son usure, l'érosion et le temps.   Sur ce projet, Snarkitecture précise : "The underside of an otherwise smooth, rectilinear volume is excavated so that one end cantilevers impossibly far. From one side Float appears continuous and solid, while from the opposite its form appears decayed and broken." Photographies : Volume Gallery Pour en savoir plus, visitez le site de Snarkitecture. 

"Mini" est une gamme de baignoires au style organique et minimal créée par le fabriquant Italien Glass Design. Comme son nom le suggère, elle propose des dimensions réduites pour s'adapter à de petits espaces. Réalisée en fibre de verre, "Mini" et son intérieur blanc brillant est disponible en 5 coloris pour sa paroi extérieur : blanc brillant, noir mat, rouge Ferrari, feuille d'or et feuille d'argent.   Dimensions (L x h x p) : 95 x 76 x 114 cm Pour en savoir plus, visitez le site de Glass Design. 

Fondée par Vincent Gillot et Éléonore Givry, la jeune agence d'architecture parisienne Gillot + Givry nous présente "un pavillon d'été". Un projet de microarchitecture léger et à la fonction laissée à l'appréciation du visiteur. Cette installation propose une architecture aux lignes simples et épurées, composée de bois et de panneaux agglomérés peints et complétée par de fins voiles. Un projet onirique et expérimental qui questionne sur les notions de simplicité, de transparence et d'abstrait.   Sur ce projet, les architectes Gillot + Givry précisent : "Ce dispositif architectural est une citation du projet de la médiathèque numérique de Daegu, un projet de concours de l'agence, il en constitue un prototype, une exploration à petite échelle. C'est une expérience qui vient prolonger la démarche initiée par la Galerie Ephémère dans les champs de l'auto-construction et de la microarchitecture. C'est une architecture poétique de bois et de panneaux agglomérés peints, qui joue avec les thèmes de paysage, de légèreté, de simplicité, de transparence et d'éphémère. L'indétermination fonctionnelle est ici revendiquée pour illustrer la notion d'espace abstrait. Cette absence de programme est à rapprocher à l'abandon de la figuration dans l'évolution des pratiques artistiques. La qualité architecturale ne doit pas être prise ici comme un espace auto-suffisant comme on parlerait de l'art pour l'art. C'est une volonté d'abstraction. Cette ellipse programmatique, stimule l'imaginaire et met le doigt sur la capacité du mental à investir un lieu." Pour en savoir plus, visitez le site des architectes Gillot + Givry. 

Présentés lors de NOW ! le off durant la Paris Design Week, les tabourets "Alfiere", "Regina" et "Pedone" sont des creations du designer Italien Giorgio Bonaguro. Editées par Icons furniture, ces pièces s'inspirent de l'univers des échecs pour proposer des lignes inspirées et singulières. "Alfiere" dispose d'une forme géométrique sobre, interrompu par une coupe diagonale qui fait office de porte revue, "Regina" affiche une coupe plus complexe, tandis que "Pedone" développe des lignes simples et pures. Le designer nous livre ici son interprétation ludique du tabouret au travers de ces pièces fabriquées en bois de cèdre.   Photographies : Andrea Basile  Pour en savoir plus, visitez le site de Giorgio Bonaguro et celui de l'éditeur Icons.  

Fabriquée par l'Atelier Liard, "Esprit flexible" est une création du designer Didier Muller, à la fois console, table basse et une étagère. 7 strates superposées et souples composent ce meuble singulier qui s'adapte et se façonne en fonction des objets qu'il accueille. Vivant, le projet "Esprit Flexible" place l'objet et l'utilisateur au centre de réflexion du designer, l'étagère devient dépendante des objets et ne prend sont sens que lorsqu'elle est utilisée. Elle s'envisagera différemment selon les besoins et les usages, au fil du temps et des envies. Les 7 lames de stratifié flexible sont maintenues par deux sangles à placer soi-même, offrant la possibilité de personnaliser cette création.   Photographies : Claire Lacout Pour en savoir plus, visitez le site de Didier Muller. 

Communiqué : Découvrez le système de façade ventilée Rockwool, concept intégral, pack total. En support traditionnel béton, maçonné ou bois, cette technique est idéale pour la rénovation en maison individuelle. REDAir est disponible sous la forme d'un système complet, combinant matériaux, accessoires, parements et services, livré clé en main. Vous personnalisez la finition, en choisissant parmi 36 coloris de panneaux ou de clins, en laine de roche compressée Rockpanel ou en bois Silverwood. La logistique REDAir? System, c'est : L'assurance d'avoir tous les éléments du système en une seule fois : du début à la fin de la mise en "uvre. La logistique est optimisée : vous recevez une seule livraison avec l'ensemble des composants du système* pour une commande unique. La maîtrise des coûts tout en faisant réaliser des économies à vos clients sur leurs factures d'énergie, grâce aux performances thermiques de l'isolation en laine de roche REDAir? System, concept complet unique et sans équivalent sur le marché.mple - rapide - pratique 1 CHANTIER = 1 commande = 1 livraison** Ou deux livraisons si la surface de votre chantier dépasse 350 m². Vous avez le choix entre plusieurs packs, du plus simple " isolant et parement " au plus complet, fixations et services inclus : du sur-mesure, clé en main ! Vous personnalisez la finition, en choisissant parmi 60 coloris de panneaux ou de bardages, en laine de roche compressée Rockpanel ou en bois Silverwood. Vous disposez d'un large panel d'accessoires (profilés et fixations), de formats et de services activables selon vos besoins. Vous isolez les retours de tableaux grâce au panneau Finishboad, spécifiquement conçu pour cette application. Des services "spécial ITE" Accédez à la Hotline façade, un support dédié, aux poseurs comme aux distributeurs, pour répondre, par téléphone ou par internet, à toutes les questions techniques. Pour vous, du lundi au vendredi de 9 h 00 à 17 h 00 : ou à l'adresse mail suivante : redsystem@rockwool.com Bénéficiez d'une assistance au démarrage de chantier. Ce service vous permet d'avoir un accompagnement terrain pour démarrer en toute sérénité. Disposez d'un diagnostic du mur support avec un test d'arrachement afin de vous aider à déterminer la fixation la mieux adaptée. Profitez de l'outil d'aide au dimensionnement de votre chantier pour déterminer les quantitatifs de composants nécessaires. Ces services sont activables à la demande, pour accompagner vos équipes. Pour en savoir plus, visitez le site de Rockwool. 

Basé entre Barcelone et Singapour, le collectif de designers Outofstock a créé l'étagère "Bridge Shelves". Inspirée par les ponts en suspension, cette pièce feignant le déséquilibre est éditée par les Danois Bolia. Le système s'articule autour d'une tringle de bois fixée au mur et sur laquelle viennent se suspendre trois plateaux de chênes massifs. Maintenus par des tiges de métal plié et laqué de vert ou de blanc, ces étagères permettent à l'utilisateur d'adapter les configurations selon ses envies.   Sur ce projet, les designers précisent : "We have always been fascinated by the beauty and engineering marvel of the Golden Gate Bridge and the Akashi Kaiky? Bridge. Strong and functional, at the same time awe-inspiring." Pour en savoir plus, visitez le site des designers Outofstock et celui de l'éditeur Bolia.