Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Muuuz

Imaginé par le designer Italien Stefano Gaggero, "Iles" est un projet de mobilier hybride, à la fois table, banc ou chaise longue. Composé d'une structure de bois peint en gris mat, "Iles" s'associe à un petit coussin. Ce projet tire son nom des créations qu'il permet de composer, en associant plusieurs éléments, l'utilisateur façonnera ses propres ilots en fonction des usages et des besoins.   "Iles" est un projet développé pour Arcade et actuellement disponible sur demande auprès du designer.  Pour en savoir plus, visitez le site de Stefano Gaggero. 

Dans le parc portugais du Pedras Salgadas, les architectes Luis Rebelo de Andrade et Tiago Rebelo de Andrade ont créé de petites maison modulaires, sortes de cabanes perdues dans les bois, les "Tree Snake House". Tout en longueur et s'affranchissant des contraintes de la colline sur laquelle elles se trouvent, ces structures de bois et d'ardoise semblent glisser entre les arbres telles des serpents. Chaque cabane est pensée comme un petit studio comprenant une chambre, une salle de bains et une cuisine. Les ardoises et la base de bois permettent au projet de s'intégrer parfaitement dans l'espace, les matériaux sont en connexion avec la nature et assure une discrétion tenant presque de l'invisibilité à ces structures. Pensées dans un esprit de développement durable et écologique, elles disposent d'une isolation renforcée, réutilisent l'eau, sont dotés de panneaux solaires et d'un système d'éclairage basse consommation utilisant la technologie LED. Enfin, la conception aérienne de ces cabanes perchées sur de fins poteaux limite l'emprise au sol et participe à limiter l'impact de ces constructions sur le site.   Photographies : Ricardo Oliveira Alves  Pour en savoir plus, visitez le site de Rebelodeandrade architects et celui du parc Pedras Salgadas.  

La designer Allemande Elisa Strozyk a créé cette série de 3 tapis de colorés. Sur une base de tissu, la designer a collé des rangés de fins triangles de bois colorés, pour donner naissance à un puzzle de textile. Les bandes de triangles teintés forment des motifs géométriques. Le mélange des matériaux donne à cette création souplesse et rigueur, permettant à l'utilisateur s'imaginer ses propres compositions et sculptures, de façonner le tapis en le froissant ou de le laisser à plat sur le sol. Trois modèles sont disponibles, "Limeted Red", "Grey Black Birch" et "Mostly Red".   Dimensions (L x l) : 240 x 70 cm (Limeted Red), 210 x 150 cm (Grey Black Birch), 210 x 150 cm (Mostly Red). Photographies : Sebastian Neeb Pour en savoir plus, visitez le site d'Elisa Strozyk. 

Découvert dans les allées du salon Maison&Objet, le "Miroir Mono" est une des dernières créations de l'architecte et designer Grégoire de Lafforest. Il se compose d'un miroir de laiton brossé niché dans une coupe de bois en noyer d'Amérique. L'enveloppe de bois semble s'étirer en une forme distendue qui suggère que le poids du miroir a déformé son enveloppe au fil du temps. Cette idée de gravité et de pesanteur laisse apparaître le point de fixation de "Mono", le transformant en élement décoratif à part entière dans cette démarche singulière.   Dimensions (h x l x p) : 85 x 54 x 13 cm Sur ce projet, Grégoire de Lafforest précise : "C'est comme si le poids du miroir avait déformé son cadre et laissé apparaître son point d'accroche au mur? Recherche d'une forme pure dont le point d'accroche au mur devient un élément décoratif. Cette forme de cône étiré prend toute sa force dans la matière, un noyer d'Amérique sculpté par la main de l'ébéniste." Photographies : Jérome Galland Pour en savoir plus, visitez le site de Grégoire de Lafforest. 

Pour le festival de Lucerne en Suisse, les designers et artistes Arata Isozaki et Anish Kapoor viennent de créer Ark Nova, une impressionnante salle de concert nichée dans une structure gonflable et entièrement démontable. Longue de 36 mètres pour une largeur de 30 mètres, cette bulle s'élève à une hauteur de 18 mètres. Conçue pour accueillir 500 personnes, cet espace unique et pluridisciplinaire s'adapte en fonction de la disposition de ses équipements. Equipé d'un système acoustique et d'une scène, le lieu peut, une fois dégonflé se plier et être simplement chargé par camion.   Photographies : Lucerne Festival Pour en savoir plus, visitez le site du Festival de musique classique de Lucerne. 

Le designer lyonnais Paul Venaille a dessiné la chaise "Ch'air", un projet hybride à mi-chemin entre la chaise et le fauteuil. Fabriquée dans un alliage de fibre de carbone et de fibre de kevlar, "Ch'air" est une création légère aux lignes organiques. Ruban plié, comme en lévitation, elle semble flotter dans l'espace, élégante et voluptueuse.   Sur ce projet, le designer Paul Venaille précise : "La base du projet a été de créer un objet à mi"chemin entre le fauteuil et la chaise. Créer un objet qui respecte l'encombrement d'une chaise tout en apportant le confort du fauteuil sans en adopter ses travers. La Ch'air est une solution légère, peu volumineuse, utilisant des matériaux modernes à la fois résistants et souples. Ses lignes esthétiques et épurées et son assise confortable apportent une sensation de bien-être et proche de l'apesanteur. Aussi, afin de combiner robustesse, finesse et flexibilité, ce fauteuil est un alliage de fibre de carbone et de fibre de kevlar. L'harmonie des courbes et le confort du fauteuil sont les priorités de ce travail. Le souhait a été de créer une ligne voluptueuse avec une empreinte de sensualité." Pour en savoir plus, visitez le site de Paul Venaille. 

Les "Bio Mass Lights" sont de petites suspensions à Led imaginées par le designer anglais Jay Watson. Insérées dans de petites tiges de bois laissées naturelles, les Led transpercent la matière et se l'approprient. Fabriqués à partir de branches de frêne ramassées sur le sol dans une démarche d'éco-conception, les luminaires "Bio Mass Lights" se présentent sur leur forme la plus pure et essentielle, à l'écorce texturée et imparfaite. Ces formes organiques se suspendent à de fin fils électriques rouges, une alliance surprenante et audacieuse.   Pour en savoir plus, visitez le site de Jay Watson. 

L'agence angevine Édifices Architectes a restauré et réhabilité le site cultuel des Filles de la Sagesse à Saint-Laurent-sur-Sèvre en Vendée. Ce domaine religieux de 10 hectares, édifié à partir de 1721 s'est vu reconfiguré pour répondre aux souhaits de la congrégation, une ouverture sur la ville et l'extérieur tout en conservant des espaces privatifs et spirituels. Pour mener ce projet à bien, les architectes ont démolis 4000 m² d'édifices vieillissants pour les remplacer par de nouveaux éléments sur une surface de 1500 m². Cette reconfiguration a apporté de nouveaux espaces paysagers et s'est appuyée sur l'utilisation de matériaux nobles comme le verre, la pierre naturelle, le cuivre et le bois au travers de trois essences, le chêne, le frêne et le wengé. Cette réhabilitation contemporaine et sobre s'articule autour d'une recherche de lumière permanente. Les différents espaces sont reliés par l'élément central du projet, une galerie transversale qui sert à la fois de grand salon intérieur et d'axe de liaison. Lévitant à 5 mètres de sol, cette galerie de verre habillée de lames de bois fait résonner la rythmique des fenêtres du cloître et souligne la géométrie des espaces paysagers.   Sur ce projet, l'architecte Roland Korenbaum : "Réservé au départ, le dialogue avec les soeurs s'est nourri des divers scénarios que j'ai dessinés, puis la confiance s'est peu à peu établie parce qu'elles ont senti que je ne voulais pas sacrifier leurs souhaits au profit d'un geste architectural qui les aurait violentées." Pour en savoir plus, visitez le site d'Edifices Architectes. 

Sur l'espace Belgium is design du salon Maison&Objet de septembre, le designer belge Frédéric Richard présentait le bureau "B011", une surface de travail qui dissimule des rangements aux lignes brisées. En chêne naturel huilé, avec l'intérieur des casiers laqués blanc et en métal blanc, la création du designer surprend par sa structure asymétrique et élégante. Dimensions (L x l x h) : 115 x 60 x 75 cm Photographies : Nathalie Noël Pour en savoir plus, visitez le site de Frédéric Richard. 

Le trio de designers Gérard Wantz, Claire Desbois et Rodrigo Bertotto, nous présentent la petite lampe à poser "Poppy", la dernière création de l'éditeur Wa De Be. Enfantine et ludique, elle se compose d'une petite structure de hêtre tourné en forme de trépieds et est coiffée d'un double abat-jour de polypropylène coloré pour une  diffusion de la lumière douce et chaleureuse. Dimensions (L x p x h) : 20 x 30 x 35 cm Pour en savoir plus, visitez le site de Wa De Be. 

Situé à 200 km de Budapest en Hongrie, le "Kemenes Volcanopark Visitor Center" a été imaginé par l'agence Földes Architects. Cet espace de loisirs dédié aux volcans s'étend sur près de 1000 m² dans un enchevêtrement de formes simples et massives. S'élevant sur cinq étages, ce bâtiment s'inspire du passé volcanique du lieu. Pour retranscrire toute la puissance de la nature, les architectes se sont orientés vers de matériaux industriels et bruts et ont privilégié les lignes directes pou un aspect massif. A l?intérieur, des murs nus de béton dialogues avec des escaliers d'acier et de cubes d'acier Corten. Visibles de l'extérieur et semblant traverser l'enveloppe de l'édifice, ces boîtes rougeoyantes créent des alcôves permettant d'accueillir des salles de projections et des installations interactives. Les architectes et les scénographes ont décidé de se passer des traditionnels cartels, et de présenter les textes de l'exposition directement inscrits sur les murs. Un lieu à l'architecture brutale et torturée qui fait écho aux forces de la nature, et qui renvoie le visiteur à la fugacité de l'existence.   Sur ce projet, László Földes précise : "Instead of the straight translation of the brief, such as creating a volcano shaped museum building, we wanted to capture the true substance of the location. According to our concept, the raw materials, the homogeneous grey of the concrete, the lava inspired colour of the corten steel, and the flue-like arrangement of the space, deliver the spirit and essence of a volcano." Photographies : Tamas Bujnovszky  Pour en savoir plus, visitez le site de Földes Architects.  Source: Yatzer 

Le Russe Maxim Soherbakov est un Street artiste et étudiant en design à Saint-Pétersbourg, il a imaginé la Chaise "P " 11", une assise composé d'une structure de métal fine sur laquelle sont collés de petite triangles de bois. Sans attache, cette structure de métal blanc aux lignes nettes, accueille une assise et un dossier composé de nombreuses petites pièces de bois. Cette assise aux lignes brisées dévoile ses volumes complexes, aux formes polygonales et graphiques.   Sur ce projet, le designer Maxim Soherbakov précise : "The main goal was - to create a chair with complex polygonal shapes simple to manufacture without using any fasteners. The chair consists of a white metal frame and plywood triangles that form the seat and the back. The plywood elements are glued together between frame and thus creating a very reliable and simple joint of the two materials." Pour en savoir plus, visitez le site de Maxim Soherbakov. 

Découverte dans les allées du salon Maison&Objet, l'artiste Flamande Klaar Prims présentait ses réalisations et notamment "8ung !", un petit contenant de verre moulé et coloré. 'uvre d'art, "8ung !" est une pièce de verre multicolore et imparfaite. Façonné à la main par l'artiste, ce moulage léger et énigmatique s'envisage comme des fils de verre tressés dans une composition fragile et inspirée.   Pour en savoir plus, visitez le site de Klaar Prims. 

Eriksen Skajaa Architects, l'agence d'architecture créée par les norvégiens Arild Eriksen et Joakim Skajaa, a récemment réalisé l'aménagement intérieur des bureaux du Festival International de musique et de théâtre de Bergen en Norvège. Imaginé comme un backstage, l'espace mise sur une palette simple de matériau et de coloris, le noir, le bouleau et le béton ciré comme support de réflexion. Sur 450m², les architectes ont cherché à favoriser l'émulation créative des équipes en proposant un environnement de travail souple et épuré. Les bureaux sont ouverts ou encaissés dans de petites salles vitrées et bardées de bouleau. Comprenant bureaux pour les travaux d'équipe, salle à manger, salles de réunion, salles de repos, loge pour les artistes, cet espace à la charpente de bois volontairement laissée très apparente vise à stimuler la création. Modulable, la salle à manger peut se transformer en salle de concert en jouant avec la modularité des murs et des espaces. Sobre et fonctionnel, le lieu use de béton ciré pour les sols, de bois de bouleau et d'une alternance de noir et de blanc pour les murs, tandis qu'un soin particulier a été apporté à la présence de lumière naturelle. La cage d'escalier est masquée par une imposante structure de bouleau, comprenant rangements, casiers et petits bancs, elle participe à l'ambiance générale du lieu et sert de lien entre les espaces et les personnes.   Sur ce projet le studio Eriksen Skajaa Architects précise : "The workshop behind the scenes Background Bergen International Festival is a music and cultural festival to be held in Bergen in late May and early June each year. The festival is the largest of its kind and contains a wide range of events in music, theater, dance and visual arts at the national and international level. Concerts are held in the Grieg Hall and Haakon's Hall, in the four composer homes on Siljustøl, Trolhaugen, Lysøen and Valestrandsfossen as well as in a number of city churches, streets and squares. The first festival was held in 1953. Concept: workshop / behind the scenes. The festival's former premises were in an older bank building with large individual offices and for their new offices wanted open plan offices for increasingly project based work. We have therefore prepared a project with a high degree of flexibility. The use of the premises changes during the year with a shift from planning period to the festival period in which both the activity and number of employees increases. It requires flexibility both in the workforce and in the use of the premises. We also proposed to facilitate the ability to organize small concerts and exhibitions in the new premises and that way linking the festival as an organization closer to the events they hold. We established early some basic ideas for the premises: the festival offices imagined as workshops where the festival is made, but also the activity behind the scenes of what's happening in front of the curtain. We have focused on a production logic where it must be clear that this is a place where you make something. Hence the element of wooden framework which can give the feeling that the project is not fully completed, and glass walls with frames and profiles hidden from the outside so that the boxes rather look like open spaces. We have otherwise had a clear Scandinavian focus on the materiality and furniture selection, while the festival wanted to stand clear in context with the Grieg Hall, Bergen Art Museums and theater. Layout. We have drawn the plans so that the rooms have some organizing elements such as meeting rooms and the shelf-box around the stairwell. We have had a focus on keeping the lines and let the walls align with each other to create a neat and orderly plan. On the 5th floor are two flexible rooms for different uses: offices for project jobs and dining room. On the same floor there are also two meeting rooms, rest rooms, toilets, storage, wardrobe for guests and a printer room. The dining room can both be divided with loose walls and used as a concert hall with a stage toward the stair core, or as used today with a grand piano placed at one end wall. On the 6th floor open plan offices are roganized around another shelf-box around the stairwell. We also made two closed offices. On the floor there is also a copy rooms and a meeting room that can also serve as a place for temporary employees. Design. Material palette is kept very simple and consists of a polished concrete floor, black and white walls with recessed plinth and either fixed plaster ceiling or acoustic hiling with concealed edges and large formats. Many of the rooms in the premises has walls of vertical wooden frameworks of birch with glass system wall behind mounted with concealed fixing. Rooms with wooden frame work have ceiling of birch and birch flooring. The boxes around the previous round stairwell is in birch veneer with shelves, cabinets and benches and is used as a place to make a phone call or to small meetings. The bronze bust of the festival's founder, singer Fanny Elster, also got a niche with lighting behind." Photographies : Rasmus Norlander  Pour en savoir plus, visitez le site d'Eriksen Skajaa Architects et celui du Festival International de Bergen.  

Eriksen Skajaa Architects, l'agence d'architecture créée par les norvégiens Arild Eriksen et Joakim Skajaa, a récemment réalisé l'aménagement intérieur des bureaux du Festival International de musique et de théâtre de Bergen en Norvège. Imaginé comme un backstage, l'espace mise sur une palette simple de matériaux et de coloris, le noir, le bouleau et le béton ciré comme support de réflexion. Sur 450m², les architectes ont cherché à favoriser l'émulation créative des équipes en proposant un environnement de travail souple et épuré. Les bureaux sont ouverts ou encaissés dans de petites salles vitrées et bardées de bouleau. Comprenant bureaux pour les travaux d'équipe, salle à manger, salles de réunion, salles de repos, loge pour les artistes, cet espace à la charpente de bois volontairement laissée très apparente vise à stimuler la création. Modulable, la salle à manger peut se transformer en salle de concert en jouant avec la modularité des murs et des espaces. Sobre et fonctionnel, le lieu use de béton ciré pour les sols, de bois de bouleau et d'une alternance de noir et de blanc pour les murs, tandis qu'un soin particulier a été apporté à la présence de lumière naturelle. La cage d'escalier est masquée par une imposante structure de bouleau, comprenant rangements, casiers et petits bancs, elle participe à l'ambiance générale du lieu et sert de lien entre les espaces et les personnes.   Sur ce projet le studio Eriksen Skajaa Architects précise : "The workshop behind the scenes Background Bergen International Festival is a music and cultural festival to be held in Bergen in late May and early June each year. The festival is the largest of its kind and contains a wide range of events in music, theater, dance and visual arts at the national and international level. Concerts are held in the Grieg Hall and Haakon's Hall, in the four composer homes on Siljustøl, Trolhaugen, Lysøen and Valestrandsfossen as well as in a number of city churches, streets and squares. The first festival was held in 1953. Concept: workshop / behind the scenes. The festival's former premises were in an older bank building with large individual offices and for their new offices wanted open plan offices for increasingly project based work. We have therefore prepared a project with a high degree of flexibility. The use of the premises changes during the year with a shift from planning period to the festival period in which both the activity and number of employees increases. It requires flexibility both in the workforce and in the use of the premises. We also proposed to facilitate the ability to organize small concerts and exhibitions in the new premises and that way linking the festival as an organization closer to the events they hold. We established early some basic ideas for the premises: the festival offices imagined as workshops where the festival is made, but also the activity behind the scenes of what's happening in front of the curtain. We have focused on a production logic where it must be clear that this is a place where you make something. Hence the element of wooden framework which can give the feeling that the project is not fully completed, and glass walls with frames and profiles hidden from the outside so that the boxes rather look like open spaces. We have otherwise had a clear Scandinavian focus on the materiality and furniture selection, while the festival wanted to stand clear in context with the Grieg Hall, Bergen Art Museums and theater. Layout. We have drawn the plans so that the rooms have some organizing elements such as meeting rooms and the shelf-box around the stairwell. We have had a focus on keeping the lines and let the walls align with each other to create a neat and orderly plan. On the 5th floor are two flexible rooms for different uses: offices for project jobs and dining room. On the same floor there are also two meeting rooms, rest rooms, toilets, storage, wardrobe for guests and a printer room. The dining room can both be divided with loose walls and used as a concert hall with a stage toward the stair core, or as used today with a grand piano placed at one end wall. On the 6th floor open plan offices are roganized around another shelf-box around the stairwell. We also made two closed offices. On the floor there is also a copy rooms and a meeting room that can also serve as a place for temporary employees. Design. Material palette is kept very simple and consists of a polished concrete floor, black and white walls with recessed plinth and either fixed plaster ceiling or acoustic hiling with concealed edges and large formats. Many of the rooms in the premises has walls of vertical wooden frameworks of birch with glass system wall behind mounted with concealed fixing. Rooms with wooden frame work have ceiling of birch and birch flooring. The boxes around the previous round stairwell is in birch veneer with shelves, cabinets and benches and is used as a place to make a phone call or to small meetings. The bronze bust of the festival's founder, singer Fanny Elster, also got a niche with lighting behind." Photographies : Rasmus Norlander  Pour en savoir plus, visitez le site d'Eriksen Skajaa Architects et celui du Festival International de Bergen.  

Pour l'éditeur Matière grise, le designer du studio lyonnais "Avant Première" Luc Jozancy a dessiné la table basse et le guéridon "Kuban". Cette série en aluminium joue sur l'illusion d'optique et les formes géométriques. Disponibles dans 26 coloris qu'il est possible de mélanger pour créer ses propres effets, les pièces de la collection "Kuban" surprennent par leur légèreté et les créations qu'ils rendent possible. Le guéridon se perche sur des pieds d'une grande finesse et feint l'instabilité, tandis que la table basse créée des effets d'optique lorsqu'elle se multiplie, jouant avec notre perception de la 3 dimensions. Dimensions (L x l x h) : 60 x 69 x 25 cm (table basse), 60 X 69 x 60 cm (guéridon). Pour en savoir plus, visitez le site de Luc Jozancy et celui de Matière Grise.  

Pour l'éditeur Matière grise, le designer du studio lyonnais "Avant Première" Luc Jozancy a dessiné la table basse et le guéridon "Kuban". Cette série en aluminium joue sur l'illusion d'optique et les formes géométriques. Disponibles dans 26 coloris qu'il est possible de mélanger pour créer ses propres effets, les pièces de la collection "Kuban" surprennent par leur légèreté et les créations qu'ils rendent possible. Le guéridon se perche sur des pieds d'une grande finesse et feint l'instabilité, tandis que la table basse créée des effets d'optique lorsqu'elle se multiplie, jouant avec notre perception de la 3 dimensions. Dimensions (L x l x h) : 60 x 69 x 25 cm (table basse), 60 X 69 x 60 cm (guéridon). Pour en savoir plus, visitez le site de Luc Jozancy et celui de Matière Grise.  

Le designer suédois Jonas Wagell a dessiné pour l'éditeur scandinave Normann Copenhagen le nouveau canapé "Swell", un sofa aux formes généreuses et confortables. Tout en rondeurs, "Swell" est un canapé trois places niché sur de petits pieds discrets. Disponible dans 21 coloris, ce sofa s'intègrera à de nombreux types d'intérieurs.   Sur ce projet, le designer Jonas Wagell précise : "I've always been fascinated by minimalism but I like to add a warm and personal touch to the products. I have taken the aesthetic and practical qualities that I prefer in a sofa as a reference point and in this way Swell very much reflects my own personal taste and style." Pour en savoir plus, visitez le site de Jonas Wagell et celui de Normann Copenhagen. 

Le designer suédois Jonas Wagell a dessiné pour l'éditeur scandinave Normann Copenhagen le nouveau canapé "Swell", un sofa aux formes généreuses et confortables. Tout en rondeurs, "Swell" est un canapé trois places niché sur de petits pieds discrets. Disponible dans 21 coloris, ce sofa s'intègrera à de nombreux types d'intérieurs.   Sur ce projet, le designer Jonas Wagell précise : "I've always been fascinated by minimalism but I like to add a warm and personal touch to the products. I have taken the aesthetic and practical qualities that I prefer in a sofa as a reference point and in this way Swell very much reflects my own personal taste and style." Pour en savoir plus, visitez le site de Jonas Wagell et celui de Normann Copenhagen. 

Dans la zone d'aménagements partagés du Courtil Brécard, à Saint-Marc Sur Mer, l'agence Garo Boixel architectes vient de livrer ces 23 logements basse consommation, un programme composé de 12 maisons individuelles et de 2 petits bâtiments collectifs. Ce projet entre l'architecture et l'urbanisme, mise sur des réalisations rurales et l'absence de régularité dans le schéma du lotissement. Intégralement bardés de bois, les logements s'inspirent de la volumétrie et de codes plus propres à la campagne qu'aux zones urbaines. Uniques, ces habitations se déclinent sur une base commune, rompant la monotonie habituelle des lotissements traditionnels, une identité que l'on retrouve dans l'organisation du programme en contacte immédiat avec la nature, sans trottoirs ni balises.   Sur ce projet, les architectes Nicole Garo et Marc Boixel précisent : "La structure est-ouest et la densité de la trame paysagère existante de l'îlot A, ont directement déterminé l'idée du lotissement et l'implantation des maisons. L'idée d'une ambiance plus "campagnarde " qu'" urbaine " a présidé à l'abandon de toute notion de régularité, de mitoyenneté, de rue même. Ici un cheminement irrégulier, sans trottoir mais venant au contact direct avec la nature, sans bordure, distribue les 12 maisons et les 2 petits collectifs regroupant 11 logements. Le stationnement extérieur trouve place aussi dans des interstices naturelles et aléatoires. Le parcellaire créé s'appuie sur les haies et massifs existants. Les maisons, elles-mêmes allongées, développant leur longue façade ouverte au sud, et leur façade fermée au nord, participent à la clôture et à l'intimité des jardins, comme également les quelques garages boxés. Sur la base d'un plan type de 4,6m de large, les différentes typologies évolutives se déclinent en fonction des profils des habitants, de plus compactes aux plus spacieuses. Les variations des volumes sur une base commune offrent une individualisation relative, appropriée au caractère paysager de l'îlot. Nous proposons une forte identité " graphique " au lotissement au regard de l'ensemble de la ZAC : la ponctuation rouge vif des stores bannes résonnent fortement avec le vert des arbres. L'aspect rustique de la " cabane dans les bois " trouve là un contrepoint domestique nécessaire et une évocation balnéaire. L'ambiance nocturne par un éclairage des arbres (par en dessous) et des cheminements (suspensions, guirlandes dans les arbres) participe également fortement à l'identité de l'îlot." Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Garo Boixel Architectes. 

Dans la zone d'aménagements partagés du Courtil Brécard, à Saint-Marc Sur Mer, l'agence Garo Boixel architectes vient de livrer ces 23 logements basse consommation, un programme composé de 12 maisons individuelles et de 2 petits bâtiments collectifs. Ce projet entre l'architecture et l'urbanisme, mise sur des réalisations rurales et l'absence de régularité dans le schéma du lotissement. Intégralement bardés de bois, les logements s'inspirent de la volumétrie et de codes plus propres à la campagne qu'aux zones urbaines. Uniques, ces habitations se déclinent sur une base commune, rompant la monotonie habituelle des lotissements traditionnels, une identité que l'on retrouve dans l'organisation du programme en contacte immédiat avec la nature, sans trottoirs ni balises.   Sur ce projet, les architectes Nicole Garo et Marc Boixel précisent : "La structure est-ouest et la densité de la trame paysagère existante de l'îlot A, ont directement déterminé l'idée du lotissement et l'implantation des maisons. L'idée d'une ambiance plus "campagnarde " qu'" urbaine " a présidé à l'abandon de toute notion de régularité, de mitoyenneté, de rue même. Ici un cheminement irrégulier, sans trottoir mais venant au contact direct avec la nature, sans bordure, distribue les 12 maisons et les 2 petits collectifs regroupant 11 logements. Le stationnement extérieur trouve place aussi dans des interstices naturelles et aléatoires. Le parcellaire créé s'appuie sur les haies et massifs existants. Les maisons, elles-mêmes allongées, développant leur longue façade ouverte au sud, et leur façade fermée au nord, participent à la clôture et à l'intimité des jardins, comme également les quelques garages boxés. Sur la base d'un plan type de 4,6m de large, les différentes typologies évolutives se déclinent en fonction des profils des habitants, de plus compactes aux plus spacieuses. Les variations des volumes sur une base commune offrent une individualisation relative, appropriée au caractère paysager de l'îlot. Nous proposons une forte identité " graphique " au lotissement au regard de l'ensemble de la ZAC : la ponctuation rouge vif des stores bannes résonnent fortement avec le vert des arbres. L'aspect rustique de la " cabane dans les bois " trouve là un contrepoint domestique nécessaire et une évocation balnéaire. L'ambiance nocturne par un éclairage des arbres (par en dessous) et des cheminements (suspensions, guirlandes dans les arbres) participe également fortement à l'identité de l'îlot." Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Garo Boixel Architectes. 

Le jeune designer Simon Naouri poursuit ses recherches autour de l'artisanat numérique et imagine pour l'éditeur de porcelaine " Non sans raison" la collection "Vases Evolution". Une série composée de 4 vases, 3 vases sphériques et un vase ovale, qui mêle l'intervention de la main de l'homme aux nouvelles techniques numériques. Les deux parties distinctes de ces pièces sont façonnées en deux temps pour donner naissance à deux effets de matière. L'effet blanc et lisse du col émaillé contraste avec l'aspect brut du biscuit utilisé pour l'épaulement. Fraisée numériquement, cette partie basse est en relief et présente des formes contemporaines et minimales. La collection "Vases Evolution" mélange subtilement les savoir-faire traditionnels avec les dernières techniques numérique, pour donner naissance à des pièces contrastées et atypiques.   Pour en savoir plus, visitez le site de Simon Naouri et celui de l'éditeur Non sans raison.  

Le jeune designer Simon Naouri poursuit ses recherches autour de l'artisanat numérique et imagine pour l'éditeur de porcelaine " Non sans raison" la collection "Vases Evolution". Une série composée de 4 vases, 3 vases sphériques et un vase ovale, qui mêle l'intervention de la main de l'homme aux nouvelles techniques numériques. Les deux parties distinctes de ces pièces sont façonnées en deux temps pour donner naissance à deux effets de matière. L'effet blanc et lisse du col émaillé contraste avec l'aspect brut du biscuit utilisé pour l'épaulement. Fraisée numériquement, cette partie basse est en relief et présente des formes contemporaines et minimales. La collection "Vases Evolution" mélange subtilement les savoir-faire traditionnels avec les dernières techniques numérique, pour donner naissance à des pièces contrastées et atypiques.   Pour en savoir plus, visitez le site de Simon Naouri et celui de l'éditeur Non sans raison.  

Pour Runtal, les designers King & Miranda ont imaginé le radiateur "Cosmopolitan". Une pièce au design minimaliste, striée, et qui a été pensée pour accueillir toute une gamme de petits accessoires astucieux. En position horizontale ou verticale, "Cosmopolitan" étire son cadre triangulaire en relief dans de nombreuses configurations. Sa surface striée permet d'y associer crochets, étagères, grands et petits porte-serviettes pour rendre l'objet encore plus fonctionnel.   Le radiateur "Cosmopolitan" est disponible dans de nombreuses teintes et notamment dans la palette empruntée à Le Corbusier par Runtal. Pour en savoir plus, visitez le site de King & Miranda et celui de Runtal.  

Pour Runtal, les designers King & Miranda ont imaginé le radiateur "Cosmopolitan". Une pièce au design minimaliste, striée, et qui a été pensée pour accueillir toute une gamme de petits accessoires astucieux. En position horizontale ou verticale, "Cosmopolitan" étire son cadre triangulaire en relief dans de nombreuses configurations. Sa surface striée permet d'y associer crochets, étagères, grands et petits porte-serviettes pour rendre l'objet encore plus fonctionnel.   Le radiateur "Cosmopolitan" est disponible dans de nombreuses teintes et notamment dans la palette empruntée à Le Corbusier par Runtal. Pour en savoir plus, visitez le site de King & Miranda et celui de Runtal.  

Pour rendre hommage à Claude Nobs, le fondateur du festival de Jazz de Montreux, "le chalet d'en bas" présentait l'ensemble des vinyls de ce collectionneur. Pour accueillir les quelques 40.000 pièces de cette collection, les architectes suisses du bureau A ont imaginé "The collection" une bibliothèque en bois de 25 mètres de long. La structure se base une section de poutres de bois assemblé de manière répétitive et entêtante, vissée avec des écrous à oreilles, cette composition est entièrement démontable et facilement modulable. Composée de deux bibliothèques et d'un passage central, cette création devient un espace habitable, dans laquelle le visiteur est invité à pénétrer pour découvrir les richesses de cette collection hors du commun. Ce projet de bibliothèque est une micro-architecture, un lieu à vivre, à regarder et à écouter.   Sur ce projet, les architectes du Bureau A précisent : "Everything remembered, everything thought, all awareness becomes base, frame, pedestal, lock and key of his ownership. Period, region, craft, previous owners - all, for the true collector, merge in each one of his possessions into a magical encyclopaedia whose quintessence is the fate of his object." Walter Benjamin, The Arcades Project What sort of primal impulse makes one become a collector? At what point the urge to keep becomes obsessive and occupies largely one's life? Going through the strange, eclectic and fascinating collection of Claude Nobs, founder and past director of the Montreux Jazz Festival, the question of the fate of the objects and of the relative value of them arises vividly. One can see this "encyclopaedical" collection as an ethnographical radiography of the man. Through time he collected everything and anything obsessively. From 5 dollars objects bought on a street to paintings of recognised artist like Keith Haring. In his mountain chalet where this odd collection can be found, all these objects juxtapose chaotically, without a precise order or hierarchy. Rather, the objects seem to live at the rhythm of Claude Nob's life, without a thoughtful agenda or plan, being removed or moved around continuously. Being curatorial is a very complicated task when it comes to propose to bring a collection out of a private space and expose it to the public. The collection of objects has to be uprooted from its natural environment and inevitably becomes museum-oriented. The objects acquire a new status. However, this status has to contain the essence of their companionship and contribution to the life of Claude Nobs. Claude Nobs had a country-ski accident on the 24th of December 2012. He passed away after days in coma, on the 10th of January leaving behind an incredible legacy: a worldwide known jazz and music festival and a fabulous collection of all kind of things related to music history. For the 2013 Montreux Jazz Festival the idea of creating a new space to expose publically part of this collection was matured and seemed a necessity in order to pay an immediate tribute to the defunct director. A team of designers (BUREAU A) and curators (Veronica Tracchia and Mauricio Estrada Munoz) was commissioned the urgent task to develop an exhibition project and to bring it to realisation in a rather short period of time. THE COLLECTION concept emerges from the idea of a dynamic exhibition, one that can be looked at and listened to, but also on that can be manipulated continuously, accepting change with a sort of non-sacral relation to the exhibited objects. Accepting the paradox of an inhabited and playful Sol Lewitt sculpture THE COLLECTION is a modern "wunderkammer" of the life of Claude Nobs and the history of the festival. The central piece of the space is an inhabited library, specially conceived to host the 40'000 LP collection of Nobs (the audio visual archives of Nobs have been granted with the Unesco certification). This 25 meters long structure is decomposed into two libraries and a central passageway. Disc jockeys and specialised staff can enter the library and use it as an active archive, playing LP sets to the public. The structure is thus the support that can enable the professionals to bring life to the exhibited collection. As a rather subtle reference, the library is conceived completely in wood to recall the warm and intimate atmosphere of Nobs chalet where many parties with incredible artist were held throughout the years. The structure is as obsessive as the collector's mind. Based on a unique wood beam section and assembled in a very repetitive manner, with the rigour of a minimal sculpture. Pieces are bolted with brass wing nuts, easily dismountable and completely modular. The space surrounding the library is a quiet but slightly decadent livingroom. As in The Party, Blake Edward's masterpiece, the domestic space where Hollywood serious film-business is discussed might evolves into a Russian fiesta with white elephants... THE COLLECTION is that same sort of space, a potential room for activation of life and music, in the décor of a fascinating collector." Photographies : Dylan Perrenoud  Pour en savoir plus, visitez le site du Bureau A. 

Pour rendre hommage à Claude Nobs, le fondateur du festival de Jazz de Montreux, "le chalet d'en bas" présentait l'ensemble des vinyles de ce collectionneur. Pour accueillir les quelques 40.000 pièces de cette collection, les architectes suisses du bureau A ont imaginé "The collection" une bibliothèque en bois de 25 mètres de long. La structure se base autour d'une section de poutres de bois assemblée de manière répétitive et entêtante, vissée avec des écrous à oreilles. Cette composition est entièrement démontable et facilement modulable. Composée de deux bibliothèques et d'un passage central, cette création devient un espace habitable, dans laquelle le visiteur est invité à pénétrer pour découvrir les richesses de cette collection hors du commun. Ce projet de bibliothèque est une micro-architecture, un lieu à vivre, à regarder et à écouter.   Sur ce projet, les architectes du Bureau A précisent : "Everything remembered, everything thought, all awareness becomes base, frame, pedestal, lock and key of his ownership. Period, region, craft, previous owners - all, for the true collector, merge in each one of his possessions into a magical encyclopaedia whose quintessence is the fate of his object." Walter Benjamin, The Arcades Project What sort of primal impulse makes one become a collector? At what point the urge to keep becomes obsessive and occupies largely one's life? Going through the strange, eclectic and fascinating collection of Claude Nobs, founder and past director of the Montreux Jazz Festival, the question of the fate of the objects and of the relative value of them arises vividly. One can see this "encyclopaedical" collection as an ethnographical radiography of the man. Through time he collected everything and anything obsessively. From 5 dollars objects bought on a street to paintings of recognised artist like Keith Haring. In his mountain chalet where this odd collection can be found, all these objects juxtapose chaotically, without a precise order or hierarchy. Rather, the objects seem to live at the rhythm of Claude Nob's life, without a thoughtful agenda or plan, being removed or moved around continuously. Being curatorial is a very complicated task when it comes to propose to bring a collection out of a private space and expose it to the public. The collection of objects has to be uprooted from its natural environment and inevitably becomes museum-oriented. The objects acquire a new status. However, this status has to contain the essence of their companionship and contribution to the life of Claude Nobs. Claude Nobs had a country-ski accident on the 24th of December 2012. He passed away after days in coma, on the 10th of January leaving behind an incredible legacy: a worldwide known jazz and music festival and a fabulous collection of all kind of things related to music history. For the 2013 Montreux Jazz Festival the idea of creating a new space to expose publically part of this collection was matured and seemed a necessity in order to pay an immediate tribute to the defunct director. A team of designers (BUREAU A) and curators (Veronica Tracchia and Mauricio Estrada Munoz) was commissioned the urgent task to develop an exhibition project and to bring it to realisation in a rather short period of time. THE COLLECTION concept emerges from the idea of a dynamic exhibition, one that can be looked at and listened to, but also on that can be manipulated continuously, accepting change with a sort of non-sacral relation to the exhibited objects. Accepting the paradox of an inhabited and playful Sol Lewitt sculpture THE COLLECTION is a modern "wunderkammer" of the life of Claude Nobs and the history of the festival. The central piece of the space is an inhabited library, specially conceived to host the 40'000 LP collection of Nobs (the audio visual archives of Nobs have been granted with the Unesco certification). This 25 meters long structure is decomposed into two libraries and a central passageway. Disc jockeys and specialised staff can enter the library and use it as an active archive, playing LP sets to the public. The structure is thus the support that can enable the professionals to bring life to the exhibited collection. As a rather subtle reference, the library is conceived completely in wood to recall the warm and intimate atmosphere of Nobs chalet where many parties with incredible artist were held throughout the years. The structure is as obsessive as the collector's mind. Based on a unique wood beam section and assembled in a very repetitive manner, with the rigour of a minimal sculpture. Pieces are bolted with brass wing nuts, easily dismountable and completely modular. The space surrounding the library is a quiet but slightly decadent livingroom. As in The Party, Blake Edward's masterpiece, the domestic space where Hollywood serious film-business is discussed might evolves into a Russian fiesta with white elephants... THE COLLECTION is that same sort of space, a potential room for activation of life and music, in the décor of a fascinating collector." Photographies : Dylan Perrenoud  Pour en savoir plus, visitez le site du Bureau A. 

Composé d'Eric Van de Walle, Jules Cairon et Gérald Perrin, le collectif de designers "bien des choses" nous présente le banc "Inside Pedestal", la recomposition d'un banc en forme de tronc d'arbre réalisé avec de l'aggloméré. Souvent méprisé pour ses qualités esthétiques, les designers ont décidé de rendre le matériau plus suave et de le ramener à sa nature première : le bois. Un retour aux sources de l'essence de la matière matérialisée par ce banc anguleux en forme de tronc d'arbre, un projet massif et brut, adouci avec son c"ur évidé.   Le banc Inside Pedestal est disponible à l'édition. Pour en savoir plus, visitez le site de Bien des choses.

Composé d'Eric Van de Walle, Jules Cairon et Gérald Perrin, le collectif de designers "bien des choses" nous présente le banc "Inside Pedestal", la recomposition d'un banc en forme de tronc d'arbre réalisé avec de l'aggloméré. Souvent méprisé pour ses qualités esthétiques, les designers ont décidé de rendre le matériau plus suave et de le ramener à sa nature première : le bois. Un retour aux sources de l'essence de la matière matérialisée par ce banc anguleux en forme de tronc d'arbre, un projet massif et brut, adouci avec son c"ur évidé.   Le banc Inside Pedestal est disponible à l'édition. Pour en savoir plus, visitez le site de Bien des choses.

Durant la Paris Design Week 2013, les équipes de Muuuz.com ont parcouru l'espace NOW ! le off caméra au poing. L'occasion d'échanger avec de jeunes designers talentueux et d'en savoir plus sur leur travail... Au programme : Célia Persouyre, Clément Brazille, Elsa Randé, Florent Degourc, Paul Venaille et Frédéric Remaud (Fred&Fred).  Pour suivre toutes nos vidéos, abonnez-vous à notre chaîne youtube Muuuz TV. 

Les travaux de restructuration du Lycée Albert Einstein de Bagnols sur Cèze dans le Gard se terminent et les architectes en charges du projet, l'agence NBJ architectes composée d'Elodie Nourrigat, Jacques Brion et Romain Jamot associé sur ce projet à François Privat, dévoilent le dernier bâtiment du programme. Une enveloppe de béton brut rehaussée par une alternance colorée entre des panneaux d'aluminium laqués et des brises soleils. Ce nouvel édifice accueille un restaurant d'application ainsi que des salles d'enseignement. Massif et presque brutal, le bâtiment s'adoucie en proposant de vastes ouvertures sur l'extérieur. Sa peau se décline dans une alternance de panneaux d'aluminium laqués et de brises soleils colorés, brisant la monotonie et contrastant avec l'enveloppe de béton.   Photographies : Paul Kozlowski  Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence NBJ Architectes. 

Le designer Cyril de Moulins a imaginé pour l'éditeur Polit le secrétaire "7 Bis Repetita". Présenté lors du salon Maison&Objet, ce petit bureau en acier plié et laqué est surmonté de deux plateaux de hêtre massif blanchi. Symétrique, il est constitué de deux tréteaux en acier plié et laqué bleu acier, il accueille deux petits plateaux. La symétrie de ses formes se retrouve jusque dans les accessoires qu'il est possible d'y associer, de petits casiers et rangements d'acier et teinté d'un subtil dégradé de bleus en accord avec sa structure.   Dimensions (L x l x h): 120 x 60 x 86 cm Pour en savoir plus, visitez le site de Cyril de Moulins et celui de l'éditeur Polit.  

Le designer Benjamin Rousse présentait durant la Paris Design Week son projet d'étagère modulable "Etag'Aire". Une structure de bois crantée avec laquelle il est possible d'interagir et d'imaginer ses propres combinaisons en fonction des usages. "Etag'Aire" laisse l'utilisateur interagir avec elle grâce aux différents éléments qui s'encastrent et accueillent des modules de différentes tailles. Proposant une structure minimaliste et linéaire cette création joue sur la géométrie de l'espace tout en étant fonctionnelle. Fabriquée en bois d'hévéa, elle s'assemble sans clou ni vis, et peut être fixée au mur ou se dresser sur piétement. Pour en savoir plus, visitez le site de Benjamin Rousse. 

A Plan d'Orgon, dans les Bouches-du-Rhône, l'architecte Christophe Gulizzi vient de livrer un complexe sportif en béton blanc qui rappelle les façades traditionnellement blanchies à la chaux du sud de la France. Le programme se compose d'un gymnase, d'une salle de danse, d'un dojo et d'une salle de musculation. Sur 2 350 mètres carrés, le bâtiment est constitué de deux entités imbriquées, la première partie, d'une hauteur de 4,5 mètres, reste dans les standards des habitats individuels et assure une transition douce entre la commune et ce nouvel équipement. Le second volume s'élève au dessus de ce premier bandeau et culmine à 8,3 mètres pour accueillir le gymnase. De prime abord, monolithe minéral et froid, l'édifice se dévoile à mesure que le visiteur s'en approche. Le bloc se fissure dans des brèches semblant être le fruit de l'érosion, sa peau ciselée s'entre-ouvre et invite le visiteur à l'intérieur.   Photographies : Lisa Ricciotti Pour en savoir plus, visitez le site de Christophe Gulizzi. 

Découverte durant le salon Maison&Objet et éditée par les tchèques de Brokis, la suspension Capsula de la designer Lucie Koldova est un luminaire composé de deux capsules ovoïdes de verre qui se chevauchent et se pénètrent. Illuminée par une petite source de lumière tubulaire nichée dans cet enchevêtrement de verre, la suspension capsula s'inspire de la nature, des formes cellulaires ou encore des graines végétales. Le verre coloré de la capsule interne est adouci par la seconde enveloppe cristalline, jouant avec les effets de 3 dimensions et créant une ambiance futuriste.   Pour en savoir plus, visitez le site de Lucie Koldova et celui de l'éditeur Brokis.  

Pour fêter les 10 ans d'existence de leur studio, Claire Renard, Anthony Lebossé, Vincent Barranger et Jean-Sébastien Blanc, les quatre membres de 5.5 Designers deviennent le 5.5 designstudio et organisent l'évènement "5.6 la mise à jour", l'occasion de découvrir ou de redécouvrir leur parcours ainsi que leurs nouvelles collaborations. Cette exposition est l'opportunité de rencontrer les designers directement dans leur studio et de pénétrer dans leur univers, du luxe à la grande consommation, des petits éditeurs aux grandes marques. Scénographiée autour de 10 dates clés, reflet de leurs dix ans d'existence, l'exposition retrace le parcours de ce collectif, de leur premier projet "Réanim" où ils se positionnaient comme des médecins pour mobilier, réhabilitant des pièces usées et détériorées de manière décalée et créative, à leur premier best seller, la clé usb dessinée pour LaCie. Pour terminer ce parcours, le 5.5 designstudio dévoile 10 nouvelles collaborations, signe que les 4 designers nous réservent encore de belles années de création.   Ouverte au public, l'exposition 5.6 la mise à jour est à découvrir les 20 et 21 septembre 2013 de 10h00 à 17h00 au 8, rue Popincourt, 75011 " Paris. Pour en savoir plus, visitez le site du 5.5 designstudio. 

Les architectes d'a+ Architecture vienne de livrer le "Théâtre Jean-Claude Carrière" de Montpellier. Une salle de plus de 600 places assises dans un projet "éco-responsable" qui, hormis la dalle qui le supporte est entièrement démontable et déplaçable. La structure du bâtiment est faite de murs et d'un toit en bois. A l'extérieur d'une résille en losanges qui lui donne son style et sa spécificité, mêlant les couleurs et les jeux graphiques avec les ouvertures vitrées. Intégré à l'espace naturel du domaine d'O, cette construction démontable de bois, se dégage avec légèreté et créativité de son environnement. L'espace configuré de plain pied mise sur la modularité, tous les équipements de la salle sont solidaires et se déplacent sur des rails de translation au gré des demandes. Les 600 places assises du lieu se rétractent et permettent un accueil de 1200 spectateurs debout.   Pour en savoir plus, visitez le site d'a+ Architecture. 

La jeune designer Marion Steinmetz participait cette année à l'exposition "Meet My Project" à l'Espace Commines dans le troisième arrondissement de Paris. L'occasion de découvrir ses créations et de s'attarder sur le "Repose pied 135°", un petit meuble hybride, tant bout de canapé que repose pied. Fabriqué en chêne massif, cette petite d'appoint se transforme en repose pied par une simple rotation du coussin de mousse et Kvadrat qui se suspend sur l'une de ses tranches. Une imbrication qui permet au "Repose pied 135°" de se transformer pour se plier aux usages du moment. Sur ce projet, Marion Steinmetz précise : "Combiner l'utile et l'agréable à côté de son canapé?. Cette idée a prit le jour quand l'objet 135° est né : dans son utilité, ce petit meuble sert de table d'appoint dans le salon et, soudainement peut se transformer en un repose-pieds. Avec une simple rotation du coussin, il est possible soit d'y poser des affaires (ordinateur, verres, livres,?), soit de l'utiliser pour s'allonger et y poser les pieds. Deux fonctions bien distinctes pour un seul et même objet." Pour en savoir plus visitez le site de Marion Steinmetz et celui de 10 sur Dix.  

Poursuivant la collaboration initiée en 2012 avec "Peak", "Wave" et "Constellation", Normandy Ceramics et le designer Adrien De Melo nous présente leur nouvelle ligne de carrelages décoratifs en 3 dimensions, "Oblongue". Sensuel et élégant, ce nouveau modèle de carrelages à la géométrie généreuse était présenté durant la Paris Design Week 2013. Leur surface en 3 dimensions se caractérise pour "Oblongue" par un motif géométrique. Utilisable verticalement comme horizontalement, il permet des compositions qui alternent monts et vallées, dans des courbes douces et délicates.   Dimensions (L x l x h): 240 x 240 x 20 mm Les carrelages "Oblongue" sont déclinés en une large gamme de coloris.  Pour en savoir plus, visitez le site d'Adrien De Melo et de Normandy Ceramics.  

Imaginé par le designer Alexandre Moronnoz et réalisé en collaboration avec Clément Willemin de Base Paysagistes, le projet de "Caverne Mobile" est une expérimentation produite pour les berges de Seine du port des Invalides à Paris. Cette cabane produite pour l'évènement "Les berges" vise à offrir aux parisiens et plus globalement aux citadins, un espace de clame et de verdure, un exutoire au tumulte et au stress, matérialisé ici par un jardin intérieur. Le visiteur pénètre dans ce caisson de bois et d'acier par le dessous pour y découvrir fontaines, mousses, brumisateurs, et végétaux en tous genres dans une atmosphère tamisée et teintée de vert. Une bouffée d'oxygène au c"ur de la ville, un projet vu par son concepteur comme "un lieu singulier de représentation d'une nature idéalisée ". Dimensions (L x l x h) : 6 x 2,5 x 4 m Le projet de Caverne Mobile est à découvrir jusqu'au 15 octobre 2013 sur les berges de Seine, au Port des Invalides, à Paris. Pour en savoir plus, visitez le site d'Alexandre Muronnoz et celui des Berges.  

Imaginé par le designer Alexandre Moronnoz et réalisé en collaboration avec Clément Willemin de Base Paysagistes, le projet de "Caverne Mobile" est une expérimentation produite pour les berges de Seine du port des Invalides à Paris. Cette cabane produite pour l'évènement "Les berges" vise à offrir aux parisiens et plus globalement aux citadins, un espace de clame et de verdure, un exutoire au tumulte et au stress, matérialisé ici par un jardin intérieur. Le visiteur pénètre dans ce caisson de bois et d'acier par le dessous pour y découvrir fontaines, mousses, brumisateurs, et végétaux en tous genres dans une atmosphère tamisée et teintée de vert. Une bouffée d'oxygène au c"ur de la ville, un projet vu par son concepteur comme "un lieu singulier de représentation d'une nature idéalisée ". Dimensions (L x l x h) : 6 x 2,5 x 4 m Le projet de Caverne Mobile est à découvrir jusqu'au 15 octobre 2013 sur les berges de Seine, au Port des Invalides, à Paris. Pour en savoir plus, visitez le site d'Alexandre Muronnoz et celui des Berges.  

Fruit des recherches du designer du designer anglais Benjamin Hubert, la table "Ripple" se veut l'une des tables de bois les plus légères au monde. Longue de deux mètres cinquante pour une largeur d'un mètre, cet étonnant plateau de bouleau ne pèse que neuf kilos. Un nouveau procédé de fabrication mit au point par Benjamin Hubert et le fabricant canadien CoreLam permet d'utiliser environ 75% moins de matière qu'une table en bois classique. S'inspirant de l'aéronautique, et notamment du "Spruce Goose", le plus grand avion de bois jamais construit, la table "Ripple" se compose de contre-plaqué de bouleau ondulé. La finesse de cette lame de bois n'excède pas les 3,5 mm, ce qui explique sa grande légèreté.   La table "Ripple" est présentée dans la boutique Aram pendant le London Design Festival. Dimensions (L x l x h): 250 x 100 x 74 cm Sur ce projet, Benjamin Hubert précise : "Benjamin Hubert has designed the world's lightest timber table as part of an internal studio research project into lightweight constructions. The table, titled Ripple, is 2.5 metres long, 1 metre wide, and weighs just 9 kilograms. Made using 70-80% less material than a standard timber table, Ripple can be assembled and manoeuvred by a single person. The table's impressive strength to weight ratio is enabled by an innovative production process of corrugating plywood for furniture through pressure lamination, which was developed by Benjamin Hubert with Canadian manufacturer Corelam. Ripple is made entirely from 3 ply 0.8mm birch aircraft plywood, a timber sourced only in Canada, where the table is manufactured. The material is the same as that used in construction of the Hughes H-4 Hercules " popularly known as the "Spruce Goose" " the world's largest all timber airplane. The strength of the material in combination with the unique lamination process means the edge of Ripple measures just 3.5mm. Ripple is minimal in its design language, employing a simple knockdown construction. The top surface is corrugated plywood overlaid by a flat sheet, and the A-frame legs are a sandwich construction of two corrugated plywood layers. Ripple will be launched at Aram Store during London Design Festival in September as part of Benjamin Hubert's inaugural UK solo exhibition, Antecedents. It will be available to buy from September on commission through Benjamin Hubert." Pour en savoir plus, visitez le site de Benjamin Hubert et celui du fabricant CoreLam.  

Fruit des recherches du designer du designer anglais Benjamin Hubert, la table "Ripple" se veut l'une des tables de bois les plus légères au monde. Longue de deux mètres cinquante pour une largeur d'un mètre, cet étonnant plateau de bouleau ne pèse que neuf kilos. Un nouveau procédé de fabrication mit au point par Benjamin Hubert et le fabricant canadien CoreLam permet d'utiliser environ 75% moins de matière qu'une table en bois classique. S'inspirant de l'aéronautique, et notamment du "Spruce Goose", le plus grand avion de bois jamais construit, la table "Ripple" se compose de contre-plaqué de bouleau ondulé. La finesse de cette lame de bois n'excède pas les 3,5 mm, ce qui explique sa grande légèreté.   La table "Ripple" est présentée dans la boutique Aram pendant le London Design Festival. Dimensions (L x l x h): 250 x 100 x 74 cm Sur ce projet, Benjamin Hubert précise : "Benjamin Hubert has designed the world's lightest timber table as part of an internal studio research project into lightweight constructions. The table, titled Ripple, is 2.5 metres long, 1 metre wide, and weighs just 9 kilograms. Made using 70-80% less material than a standard timber table, Ripple can be assembled and manoeuvred by a single person. The table's impressive strength to weight ratio is enabled by an innovative production process of corrugating plywood for furniture through pressure lamination, which was developed by Benjamin Hubert with Canadian manufacturer Corelam. Ripple is made entirely from 3 ply 0.8mm birch aircraft plywood, a timber sourced only in Canada, where the table is manufactured. The material is the same as that used in construction of the Hughes H-4 Hercules " popularly known as the "Spruce Goose" " the world's largest all timber airplane. The strength of the material in combination with the unique lamination process means the edge of Ripple measures just 3.5mm. Ripple is minimal in its design language, employing a simple knockdown construction. The top surface is corrugated plywood overlaid by a flat sheet, and the A-frame legs are a sandwich construction of two corrugated plywood layers. Ripple will be launched at Aram Store during London Design Festival in September as part of Benjamin Hubert's inaugural UK solo exhibition, Antecedents. It will be available to buy from September on commission through Benjamin Hubert." Pour en savoir plus, visitez le site de Benjamin Hubert et celui du fabricant CoreLam.  

Invité au salon Maison&Objet de septembre 2013 dans le cadre des Talents à la carte, l'architecte d'intérieur et designer Grégoire de Lafforest présentait ses étagères "Vola", un astucieux système qui réinvente la cimaise en suspendant à l'aide de lanières de cuir étagères, panneaux, miroirs? Cette solution de rangements suspendus, évolutifs et modulable se met en place simplement et s'ajuste selon les usages et les besoins. Elégante, "Vola" mêle les matériaux nobles, le cuir se lace sobrement dans le bois de chêne pour créer de nouveaux espaces.   Pour en savoir plus, visitez le site de Grégoire de Lafforest.