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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 3 ans et 46 jours

En Scandinavie, les immeubles en bois poussent de plus en plus haut

"Les piliers avec la charpente, dans leur interaction avec l'acier et le bois, c'est ce qui porte les 20 étages de l'hôtel", explique à l'AFP Therese Kreisel, responsable de la planification urbaine de Skellefteå.Regroupant un centre municipal et un hôtel, le gratte-ciel a ouvert en fin d'année dernière dans cette ville d'environ 35.000 habitants du nord de la Suède."Même les cages d'ascenseur sont entièrement en bois. Il n'y a pas de plâtre, pas de joints ou d'isolation sur le bois. Ce qui est unique pour un bâtiment en bois de 20 étages", dit Mme Kreisel en faisant visiter les lieux.Dans cette moitié septentrionale du pays, la forêt est partout, et construire les maisons en bois est une tradition bien ancrée. Mais ici, comme ailleurs dans les pays nordiques, ce sont des chantiers d'immeubles et de tours qui se multiplient, à la faveur des progrès techniques.Grâce à des ressources forestières majeures et une expertise traditionnelle dans le domaine, les architectes suédois veulent être les pionniers et faire évoluer le secteur vers des méthodes plus responsables.La réalisation de la Sara Kulturhus "prouve qu'il est possible de construire en bois quelque chose d'aussi grand et de complexe", estime Robert Schmitz, un des deux architectes de la tour."Et quand vous avez ça comme référence dans vos discussions, vous pouvez toujours dire: +on a fait cela, comment pouvez-vous dire que ce n'est pas possible?+".Le centre culturel Sara dispute à une tour de 85 mètres construite récemment à Brummundal dans le sud-est de la Norvège et à une autre de 84 mètres à Vienne en Autriche, le titre de plus haut immeuble en bois du monde - certains comptent les mètres, d'autres avancent les étages. Une tour en construction à Milwaukee aux États-Unis, avec un peu plus de 86 mètres, devrait venir leur chiper le trophée d'ici quelques mois."Lego empilés""Il y a eu beaucoup plus de défis à relever parce que c'était du bois, mais cela nous a aussi permis d'ouvrir des portes et de réfléchir d'une nouvelle façon", assure l'autre architecte des lieux, Oscar Norelius.Les chambres de l'hôtel ont ainsi été préfabriquées, puis "empilées comme des pièces de Lego", explique-t-il.Pour Anders Berensson, un autre architecte basé à Stockholm qui place le bois au cœur de ses projets, il y a aussi des avantages à utiliser ce matériau."Si quelque chose a été manqué au moment de la découpe, il suffit de prendre le couteau et la scie et d'ajuster ça directement sur site. C'est high-tech et artisanal à la fois", dit-il.Mais le principal avantage du bois de construction, plaident ses promoteurs, est climatique.Le ciment - et donc le béton - et l'acier, deux matériaux parmi les plus courants du BTP, sont très émetteurs en CO2.Le bois, lui, en émet peu lors de sa fabrication et séquestre encore une grande partie du CO2 absorbé par l'arbre, même dans le bâtiment. Plus léger, le matériau nécessite aussi moins de fondations.Selon le dernier rapport des experts du Giec, le bois comme matériau de construction peut être jusqu'à 30 fois moins intensif en CO2 que le béton, et des centaines à milliers de fois moins que l'acier.Les efforts mondiaux pour réduire les émissions font que les immeubles de bois suscitent désormais un intérêt accru, selon Jessica Becker, coordinatrice de Trästad ("ville de bois"), une organisation qui fait la promotion du bois de construction.A Stockholm, un complexe d'immeubles en bois en fin de chantier, Cederhusen, a remporté le titre de construction de l'année décerné par le magazine spécialisé Byggindustrin."Je crois qu'on a vraiment vu les choses virer de bord ces quelques dernières années... On voit un énorme changement à présent, c'est un peu le moment clé. Et j'espère que d'autres pays vont s'engager sur ce chemin, on voit par exemple l'Angleterre, le Canada et d'autres endroits dans le monde", explique-t-elle.
Il y a 3 ans et 46 jours

Pourquoi et comment réaliser des travaux d’assainissement ?

L’assainissement désigne toutes les méthodes d’évacuation et d’épuration des eaux usées. Non seulement les travaux d’assainissement participent activement à la protection de la santé publique, mais ils contribuent également à la protection de la nature notamment sur l’eau grâce à une épuration avant rejet. En effet, les activités quotidiennes comme le bain, la lessive, la vaisselle produisent des eaux dites « usées ». À défaut d’un traitement adéquat, ces eaux usées nuisent à l’homme et à l’environnement. Il est donc important d’avoir un réseau d’assainissement fonctionnel pour évacuer et traiter les eaux usées. Notez que l’assainissement prend en compte aussi bien les eaux usées que les eaux pluviales. Quels sont les avantages de réaliser des travaux d’assainissement ? Si de nos jours, il est obligatoire de faire des travaux d’assainissement chez soi c’est en raison des nombreux avantages que ces travaux offrent. On vous les détaille rapidement. Éviter les odeurs et les bactéries nocives Vous produisez des eaux usées ou eaux résiduaires à chaque fois que vous tirez la chasse d’eau ou que vous faites un nettoyage dans le siphon de l’évier. Beaucoup pourront se demander pourquoi ne pas évacuer les eaux usées à l’extérieur du bâtiment ou dans un cours d’eau à proximité. S’il n’est pas recommandé d’agir de la sorte, c’est d’abord en raison de l’hygiène. En fait, une fois que vous déversez les eaux usées dans l’environnement, elles vont devenir très vite odorantes. Étant composées de bactéries nocives, ces eaux usées peuvent être source de maladies graves et causer même des pertes en vies humaines. Pour éviter ces désagréments, il devient alors indispensable de contacter Poupart MTP, le spécialiste de l’assainissement dans le Pays d’Ancenis. Cette entreprise compétente saura vous conseiller et vous installer le système de collecte et d’épuration qui convient à votre logement. Comment réaliser les travaux d’assainissement ? Empêcher la dégradation de l’environnement En plus des bactéries nocives, les eaux usées contiennent également des résidus solides et des substances chimiques. Ces dernières sont nuisibles à l’environnement. Pour ceux qui l’ignorent, les eaux usées sont composées d’azotes et de phosphates qui sont des engrais. Ces derniers stimulent une forte croissance des algues. Les algues en retour peuvent empêcher la lumière du soleil et consommer l’oxygène contenu dans l’eau. Autrement dit, l’on assiste à une décomposition des matières organiques des eaux usées sous l’action des bactéries présentes dans la nature. En conséquence, les cours d’eau et les lacs ne pourront plus assurer la subsistance de la faune. Une situation qui peut engendrer la disparition des poissons et autres formes d’espèces qui vivent dans l’eau. Comment réaliser les travaux d’assainissement ? Certaines étapes doivent être respectées si vous voulez réaliser des travaux d’assainissement. Pour commencer, vous devez vous rendre à votre mairie afin de faire une demande. Ensuite, vous devez faire appel à un spécialiste pour réaliser une étude du sol. C’est une démarche importante pour savoir l’assainissement le plus adapté. Auprès du SPANC, vous trouverez une liste d’organismes qualifiés qui peuvent vous aider. Plusieurs points sont à vérifier au cours de cette analyse à savoir : la capacité d’accueil de terrain ; la présence d’eau et de végétation ; la configuration de l’espace. C’est avec cette étude de sol que vous pouvez établir le dossier de demande d’installation. Ensuite, effectuez le dépôt à la mairie concernée en vous assurant que le dossier est complet. D’autres documents ainsi que certaines informations peuvent être demandées. Par ailleurs, le propriétaire doit informer le SPANC deux jours avant le début des travaux. Cet organisme viendra pour constater l’exécution des travaux. Il doit effectuer son contrôle avant le remblaiement et délivrer par la suite un avis technique. En cas d’avis favorable, vous devez payer une redevance de 50 euros.
Il y a 3 ans et 46 jours

Référence : La cité-jardin de la Butte-Rouge, un héritage moderne

Organisé par l’association Avenir Radieux, le septième séminaire d’architecture de Pesmes aura lieu du 18 au 30 juillet 2022. Il sera encadré par l’architecte Bernard Quirot, avec Stefano Moor et Emilien Robin, lauréat avec PNG, Julien Boidot et l’atelier des Cairns de l’Équerre d’argent 2021. Les candidatures sont […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 46 jours

Le Groupe IDEC officialise son entrée au capital de Steelhy

Cette association s’inscrit dans la volonté du Groupe IDEC de soutenir les entreprises innovantes et donner vie à un écosystème complet dans la décarbonation et les énergies vertes au service de ses clients.Une transition vers la neutralité carbone et les énergies vertes Le Groupe IDEC, acteur majeur qui intervient sur tous les segments de l’immobilier a pris depuis quelques années un virage vers un développement plus respectueux de l’environnement des projets qu’il réalise aux côtés de ses clients.Pour Patrice LAFARGUE, Président et Fondateur du Groupe IDEC : « Limitation de l’étalement urbain, compensation foncière ou bâtiments visant les meilleures certifications environnementales, le groupe se concentre également dans le soutien et l’accompagnement de startups innovantes dans les domaines des énergies vertes et de la décarbonation. »SteelHy : un acteur de la décarbonationSteelHy est intégrée au sein du Groupe ACS Steel, une entreprise familiale cinquantenaire qui accompagne les énergéticiens dans la réalisation de leurs projets.Pour Sophie CATUOGNO, CEO de SteelHy : « Le Groupe ACS Steel s’illustre dans la chaudronnerie industrielle très technique liée à l’hydroélectricité ou le nucléaire. SteelHy, lancé en 2020 capitalise sur ce savoir-faire reconnu pour proposer aux acteurs des énergies vertes des solutions innovantes pour leurs stations de distribution ou de recharge, le prototypage d’équipements ou l’industrialisation de pièces très techniques. »Une nouvelle association de choix avec le Groupe IDECL’association entre le Groupe IDEC et SteelHy offre des développements prometteurs à court et moyen terme.Pour Patrice LAFARGUE : « Plus qu’une simple prise de participation, cette opération capitalistique acte une véritable collaboration entre nos deux entreprises. Nous imaginons déjà des développements conjoints passionnants pour proposer à nos clients les leviers pour viser la neutralité carbone de leur activité. Sans pouvoir en dire plus pour l’instant, nous travaillons également activement avec d’autres startups liées à l’énergie verte qui devraient porter un intérêt particulier à l’offre de SteelHy pour industrialiser leurs solutions innovantes. »Groupe IDEC INVEST Innovation, un vivier d’entreprises innovantesRassemblées au sein de Groupe IDEC INVEST Innovation, les startups et entreprises soutenues par le Groupe IDEC se distinguent par leur approche unique pour accompagner une croissance vertueuse.Pour Patrice LAFARGUE : « VERKOR, ALEDIA, IMMERSION 4, ces trois pépites dont nous sommes investisseurs, pour ne citer qu’elles, proposent une offre de rupture, mettant en avant le savoir-faire français. Nous sommes fiers de travailler à leurs côtés. Le prise de capital dans INNOENERGY en début d’année s’inscrit également dans notre volonté de contribuer à l’émergence de nouvelles offres et services à destination de nos partenaires et clients et devrait, elle aussi, apporter de beaux développements. »
Il y a 3 ans et 46 jours

Un nouveau service "origine et made in France" à Clermont-Ferrand à partir du 2 mai

Ce nouveau service de la Douane doit mieux accompagner les entreprises et consolider la présence des services douaniers sur le territoire. (Image © Ministère de l’Économie, des Finances et de la Relance)
Il y a 3 ans et 46 jours

Une journée pédagogique pour découvrir la filière béton

Le Syndicat national du béton prêt à l'emploi poursuit ses actions de découverte des métiers de la filière béton : le 21 avril, les étudiants de Polytech Marseille ont visité un site de production à Saint-Tronc.
Il y a 3 ans et 46 jours

JDM Expert présente Hydroway®, le premier revêtement perméable

Soucieux des enjeux environnementaux, Denis Joandel, fondateur de JDM Expert a développé la solution HYDROWAY®, un revêtement d’extérieur 100% perméable et facile d’entretien. Grâce à ce procédé novateur, l’eau n’est donc plus en stagnation sur le sol mais elle rejoint directement les nappes phréatiques, une réponse écologique permettant d’être plus respectueuse de l’environnement et du cycle naturel de l’eau.En 2008, JDM Expert a déposé un brevet pour sa solution HYDROWAY® et celle-ci répond fièrement à la Loi Climat et Résilience de 2021 qui prévoit la division par deux du rythme de la bétonisation d’ici 2030.Un revêtement de sols extérieur respectueux de l’environnement, c’est possibleDans une logique environnementale et pour le bien commun, il n’est plus question de favoriser l’imperméabilisation des sols, les collectivités et particuliers sont à la recherche d’une réponse au plus près des enjeux environnementaux. Depuis plusieurs années, nous assistons à une multiplication des revêtements imperméables, les eaux de pluie ne pénètrent donc pas dans le sol et reste en surface. Une quantité d’eau considérable doit être ainsi évacuée, nécessitant l’installation de réseaux d’égouttage et provoquant bien souvent l’inondation des rivières, des rues et des habitations mais aussi la pollution des eaux par le ruissellement.HYDROWAY® répond aux enjeux environnementaux par sa réduction de son empreinte carbone réduite, 5 fois moins élevée qu’un béton. Mais aussi, grâce à sa perméabilité qui laisse presque instantanément passer l’eau évitant ainsi la pollution des eaux par ruissellement et l’alimentation des nappes phréatiques. Enfin, ses coloris clairs évite l’accumulation de chaleur en journée limitant ainsi les îlots de chaleur.HYDROWAY® : une innovation responsable et simplePour la pose de l’HYDROWAY®, JDM Expert fait appel à un réseau d’applicateurs formés et agréés dans toute la France métropolitaine, les DOPM TOM, la suisse et la Belgique. Les professionnels du bâtiment s’occupent étape par étape de la pose du revêtement. HYDROWAY® se présente sous forme d’une structure perméable et offre une excellente résistance aux intempéries et aux charges comme les engins motorisés.Cette solution répond parfaitement aux cahiers des charges de la Loi Climat et Résilience de 2021 en réalimentant directement les réserves des nappes phréatiques. HYDROWAY® évite les flaques stagnantes et la prolifération des plantes aquatiques comme les algues et les mousses. La conception perméable de l’HYDROWAY® est basée sur le calcul du débit d’eau pouvant être infiltré, lors d’une forte pluie ou d’averses faibles, mais continues. HYDROWAY® en bref :Un sol esthétique et responsable : fabriqué en France et composé de plus de 90% d’éléments naturels, le revêtement unique est créé par un alliage de granulats et d'un liant adapté permettant un rendu naturel.Un sol perméable : sa structure innovante permet une infiltration de l'eau jusqu'à 1 litre par m2 et par secondes. Grâce à cela le revêtement ne nécessite aucune pente pour être posé en plus d'éviter ruissellements et flaques. Cela permet de faire une véritable une économie sur les VRD (grille, réseaux d’égouts…)Une solution résistante : idéal pour les cours d’écoles, allées et chemins, plages de piscines, voire aires de stationnement, la portabilité du revêtement supporte des poids lourds jusqu’à 26 tonnes.Un sol antidérapant et carrossable : le rendu reste confortable tout évitant les dérapages et en permettant aux véhicules de rouler dessus.Facilité d’entretien : possibilité de le nettoyer très facilement avec un balai, un souffleur à feuilles, un nettoyeur à haute pression.
Il y a 3 ans et 46 jours

La bible des bétons de fibres par Pierre Rossi

Expert dans le domaine des bétons de fibres métalliques (BFM), Pierre Rossi revient avec un ouvrage de référence : “Les bétons de fibres”. [©DR] Responsable de division à l’université Gustave Eiffel, Pierre Rossi a plus d’une corde à son arc. Cet expert mondial des bétons de fibres métalliques (BFM) a créé, il y a deux ans, sa propre maison d’édition. A savoir, les éditions Martialis, spécialisées dans les titres scientifiques et les romans : « Mes deux casquettes ! » Ainsi, il vient de publier l’ouvrage “Les bétons de fibres” après un premier livre édité en 1998 par les Presses de l’Ecole nationale de ponts et chaussées. « Il fait suite, mais n’en est pas une suite. En effet, les objectifs et l’esprit, pour ne pas dire le style, qui sous-tendent ce deuxième opus sont très différents. Il est aussi beaucoup plus synthétique », explique Pierre Rossi. Et de poursuivre : « Il est le fruit de la connaissance, de l’analyse et de choix subjectifs d’un expert, qui a consacré plus de 30 ans de sa carrière professionnelle à vivre en toute intimité avec un matériau au doux nom de béton de fibres ». Une synthèse sur les BFM Ce guide se veut militant, « au sens où il milite avec conviction pour l’utilisation de ce matériau, plus que cinquantenaire, dans le domaine de la construction. Mais militant ne veut pas dire aveugle. J’ai toujours essayé de l’appliquer avec le maximum de rigueur, en traquant et en dénonçant les erreurs et les incompétences qui ont fait et font encore ce matériau plus beau qu’il ne l’est ». Ainsi, pour Pierre Rossi, « les bétons de fibres constituent la 3e révolution technique, après le béton armé et le béton précontraint, dans l’art de renforcer les constructions réalisées en matériaux composites à matrice cimentaire ». “Les bétons de fibres” comprend 3 grandes parties. La première est relative aux connaissances scientifiques actuelles sur le matériau. La deuxième explique les applications industrielles existantes et potentielles. C’est une partie essentielle du livre qui découle de la première. Enfin, la dernière partie traite des outils d’analyse et de dimensionnement, dont on dispose, aujourd’hui, pour concevoir et construire, en utilisant les bétons de fibres. Pierre Rossi énonce ici toute sa philosophie concernant ce matériau. Et de conclure : « Il est temps que le monde de la construction change de siècle ! » Cet ouvrage s’adresse aux professionnels (bureaux d’études, ingénieurs…) et aux chercheurs. Editeur : Editions Martialis Auteur : Pierre Rossi Prix : 60 €TTC Retrouvez l’ouvrage ici 
Il y a 3 ans et 46 jours

DUARIB annonce l’arrivée de la nouvelle génération de plates forme individuelle roulantes sur le marché du travail en hauteur

POUR CONJUGUER LA FACILITÉ D’UTILISATION ET LA SÉCURITÉ DES PROFESSIONNELS DANS LE TRAVAIL EN HAUTEUR LEADER SUR LE MARCHÉ DES PLATES-FORMES INDIVIDUELLES ROULANTES EN FRANCE, DUARIB PRÉSENTE UNE GAMME ENTIÈREMENT REPENSÉE POUR RÉPONDRE À TOUTES LES EXIGENCES TERRAIN. FORT DE 27 ANS D’EXPÉRIENCE DEPUIS LA CRÉATION DE LA PREMIÈRE PIRL EN 1995, LE FABRICANT NANTAIS […]
Il y a 3 ans et 46 jours

Transition numérique des artisans du BTP , la nouvelle formation qui va faire gagner 1/2 journée de travail par semaine

Porté par 3 experts du secteur 1, le nouveau programme de formation Smartisan vient d’être sélectionné dans le cadre de l’appel à projets lancé par le Gouvernement et financé par France Relance, pour former gratuitement 1 500 entreprises.   L’objectif de cette nouvelle formation ? Faire progresser les artisans, TPE et PME du secteur en […]
Il y a 3 ans et 46 jours

Qualité du bâti et de l’habitat le groupe Polylogis embarque ses partenaires fabricants dans une démarche RSE toujours plus vertueuse

Paris le 12 avril 2022 : Engagé pour l’amélioration de la qualité de l’habitat et la décarbonation de la filière construction, le Groupe Polylogis, acteur majeur du logement social, a signé aujourd’hui avec 40 de ses partenaires fabricants *, une convention « Ambitions RSE ». Destinée aux fabricants de matériaux et matériels, cette convention engage […]
Il y a 3 ans et 46 jours

Les anciens, à l'avant-garde - Exposition au Pavillon de l'arsenal

Organisé par l’association Avenir Radieux, le septième séminaire d’architecture de Pesmes aura lieu du 18 au 30 juillet 2022. Il sera encadré par l’architecte Bernard Quirot, avec Stefano Moor et Emilien Robin, lauréat avec PNG, Julien Boidot et l’atelier des Cairns de l’Équerre d’argent 2021. Les candidatures sont […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 47 jours

Marseille lauréate du label européen « 100 villes neutres en carbone d'ici 2030 »

Pour Benoît Payan, Maire de Marseille : « C’est une grande victoire pour Marseille. Cette victoire, nous sommes allés la chercher directement à Bruxelles. C’est la victoire d’un projet, la victoire d’une volonté, d’une ambition pour une ville qui répond aux défis du XXIe siècle. C’est aussi la victoire d’une ville qui réussit quand elle se rassemble. Aujourd'hui Marseille fait un pas de plus vers une ville plus verte, une ville qui répond aux enjeux climatiques, environnementaux et sociaux, une ville où on respire mieux. »Cette victoire collective est l’acte fondateur d’une nouvelle ère de transformation écologique qui s’ouvre pour Marseille. Ce projet commun est un moyen historique pour rattraper un retard accumulé depuis de trop longues années, pour lutter contre les inégalités et rétablir un cadre de vie à la hauteur des attentes et des besoins formulés par les Marseillaises et les Marseillais. Cette labellisation, c’est la récompense d’un projet porté par la municipalité avec le soutien d’une centaine de partenaires institutionnels, associatifs ou privés qui se sont investis pour proposer une programmation à la hauteur des enjeux. Elle permettra à la ville de mener, par le biais d’ingénierie et de subventions européennes, les projets de transformation environnementale qui s’imposent pour faire de la Ville un territoire modèle de la transition écologique. Cette labellisation offrira à la Ville, en étroite collaboration avec l’ensemble de ses partenaires, l’opportunité de travailler sur des projets concrets dans les prochains mois sur la question du retour de la nature en ville, des transports, sur la réhabilitation thermique du parc immobilier et des équipements publics de la Ville, sur la production d’énergies renouvelables et durables, en passant par l’inclusion citoyenne et l’innovation. Cela s’inscrit dans la continuité de l’action municipale sur la végétalisation des parcs, jardins et écoles, la rénovation des bâtiments et équipements publics de la Ville, la lutte contre la pollution de l’air, la promotion des mobilités douces et du tri des déchets ou encore la protection de la biodiversité terrestre et marine.Cette première victoire honore la Ville et l’engage. Dans les semaines qui viennent, un groupe de travail sera mis en place, incluant les partenaires du projet, pour travailler à la rédaction du contrat « Ville climatique » que Marseille s'apprête à signer avec la Commission Européenne.La Ville de Marseille remercie tous ses partenaires, mobilisés depuis plus d’un an pour construire cette candidature et désormais mettre en œuvre son projet de transition. C’est grâce au soutien et à l’action de la Préfecture, de la Région et de la Métropole, mais aussi de partenaires institutionnels comme l’Université d’Aix-Marseille, le Grand Port Maritime ou la Chambre du Commerce et de l’Industrie, et privés comme la CMA-CGM, l’Olympique de Marseille, Cap au Nord Entreprendre ou encore associatifs comme le Geres, FNE Paca, Massilia Sun System... que cette candidature a convaincu le jury de la Commission Européenne.Marseille sera à la hauteur de la tâche confiée, et s’engage dès aujourd’hui à devenir une ville qui convainc par la solidité de ses projets et sa capacité à agir durablement pour la préservation du climat, de l’environnement et du cadre de vie de tous ses habitants. La programmation marseillaise sera résolument écologique et sociale, pour une ville plus verte et plus juste.Prochaines étapes : Mai : Mise en place d’un groupe de travail pour l'écriture du Contrat Ville climatiqueDe Juin à décembre : Co-construction du Contrat Ville Climatique, un Plan d’actions et d’investissements Signature du Contrat Ville Climat 2023-2030 : Mise en œuvre du contrat Ville Climat
Il y a 3 ans et 47 jours

La justice annule une carte qui "sanctuarise" plus de 100.000 hectares de terres agricoles en Corse

La justice avait été saisie par une vingtaine de requérants, parmi lesquels plusieurs communes de l'île (Lecci, Bonifacio, Albitreccia, Pietrosella, Calenzana) mais aussi des particuliers et des SCI (sociétés civiles immobilières). Dans leur viseur, une délibération du 5 novembre 2020 de l'assemblée de Corse modifiant le Plan d'aménagement et de développement durable de la Corse (Padduc), qui comprenait cette cartographie.Le vote des élus avait eu lieu alors que la justice administrative avait déjà annulé à plusieurs reprises la cartographie des ESA en 2018, laissant le Padduc sans cartographie pendant deux ans. Une porte ouverte à l'urbanisation, selon les nationalistes.Cette annulation de la cartographie ne remet toutefois pas en cause le principe des espaces stratégiques agricoles, qui restent sous la surveillance des services de l'Etat.La justice administrative a estimé "que la collectivité de Corse aurait dû engager une procédure de révision, plutôt qu'une procédure de modification, que le public a été privé d'informations sur le projet et que la commission permanente de l'assemblée de Corse aurait dû être consultée préalablement".Ces trois motifs "entraînent l'annulation totale de la délibération", détaille le communiqué de presse du tribunal administratif.Le Padduc, document aux accents politiques voté pour la première fois en 2015, avait été présenté par la majorité nationaliste à la tête de la région comme un projet de société censé assurer l'équilibre entre la préservation de l'environnement et le développement économique et social de l'île. Mais il ne fait pas l'unanimité.Selon ses défenseurs, le Padduc doit permettre d'enrayer la spéculation foncière et immobilière tout en permettant un développement économique équilibré non axé sur le tout tourisme et le BTP."Cette cartographie gèle des terrains à l'urbanisation et cela pose problème dans la propre définition par les communes des terres agricoles," a estimé pour sa part, lors de l'audience, Me Claire Giorsetti, avocate de Pietrosella (Corse-du-Sud), l'une des communes requérantes.Julien Paolini, président de l'agence de l'urbanisme de la Corse, a annoncé que la collectivité de Corse allait entreprendre un recours devant la cour administrative d'appel de Marseille.
Il y a 3 ans et 47 jours

Chiffre d'affaires en hausse au premier trimestre 2022 pour Tarkett

RÉSULTATS. Le spécialiste des revêtements de sols, Tarkett, annonce des résultats en hausse au premier trimestre 2022. Toutefois, la prudence est de mise en raison de l'inflation et du contexte géopolitique.
Il y a 3 ans et 47 jours

Pompes à chaleur en collectif : la filière va devoir mener sa "révolution"

ANALYSE. Dans un objectif de décarbonation du parc, les pompes à chaleur devraient être amenées à progresser en logement collectif, en neuf comme en rénovation. Un défi de taille pour l'ensemble de la filière qui a commencé à se pencher sérieusement sur le sujet.
Il y a 3 ans et 47 jours

Les prix des maisons anciennes continuent d'augmenter en France

IMMOBILIER. Sans surprise, les prix de l'immobilier ont cru durant l'année 2021. Les Notaires de France établissent un constat dans leur dernière note de conjoncture et disent s'attendre à une augmentation en mai.
Il y a 3 ans et 47 jours

Pour le patron du Medef, l'inflation va durer

En avril, l'inflation a atteint 4,8% sur un an, un niveau inégalé depuis novembre 1985, selon une première estimation de l'Insee. Dans la zone euro, le chiffre atteint même 7,5% pour le même mois."C'est un environnement que la plupart des chefs d'entreprise n'avaient jamais connu", s'inquiète le patron du Medef, qui a réitéré sa demande d'un allègement des impôts de production. "Pas plus que l'ensemble de la population, qui sera confrontée - à travers la hausse inévitable des taux d'intérêt - à la hausse des prix dans le secteur crucial du logement", a-t-il ajouté."Cette inflation est essentiellement due à l'augmentation des prix de l'énergie", a rappelé samedi le commissaire européen au Marché intérieur, Thierry Breton, lors d'une interview à la radio France Inter. Il note de plus "une dynamique inflationniste" dans la zone euro.Selon lui, beaucoup d'incertitudes pèsent sur l'économie européenne du fait du conflit entre l'Ukraine et la Russie et aussi en lien avec "les ruptures des chaînes d'approvisionnement", notamment en Chine, a-t-il souligné. "Beaucoup de nos usines et chaînes de valeur sont à l'arrêt compte tenu de la gestion un peu radicale des autorités chinoises qui ferment des pans entiers de l'économie", à Shanghai par exemple, pour lutter contre l'épidémie de Covid-19.Les perturbations des chaînes d'approvisionnement sont un des principaux moteurs de la hausse des prix au niveau mondial depuis la pandémie de Covid-19, où les confinements décrétés dans différentes zones et à divers moments ont créé des goulets d'étranglements.
Il y a 3 ans et 47 jours

Action coeur de ville : Action Logement a investit 27,5 millions d'euros en Ile-de-France

HABITAT. L'organisme partiaire tire le bilan de son engagement dans les 23 villes franciliennes du programme national d'amélioration des centres-villes des villes moyennes en difficulté.
Il y a 3 ans et 47 jours

Solution de chauffage ,rafraîchissement de bas carbone

PREMIER PROGRAMME IMMOBILIER NEUF DE FRANCE À S’ÊTRE ÉQUIPÉ DE LA SOLUTION VRV 5-S AU R-32 DE DAIKIN  C’est dans la technopôle Inovallée implantée sur la commune de Meylan (38), en agglomération grenobloise, que le Groupe ARTEA, acteur majeur sur le marché de l’immobilier en France et en Europe, a choisi d’implanter un ensemble tertiaire […]
Il y a 3 ans et 47 jours

Riou Glass : transmission d'entreprise et nouvel actionnaire

PASSAGE DE RELAIS. Le fabricant de produits verriers, Riou Glass, annonce un changement de gouvernance puisque les fondateurs du groupe Christiane et Pierre Riou viennent transmettre l'entreprise à leurs enfants. En parallèle, le groupe accueille un nouvel actionnaire.
Il y a 3 ans et 47 jours

Icade se félicite d'une année "bien engagée"

RÉSULTATS. Icade voit son chiffre d'affaires augmenter au premier trimestre. Sur ses trois métiers, la foncière de promotion estime l'année "bien engagée" et entend accélérer son "ambition bas-carbone".
Il y a 3 ans et 47 jours

Croissance molle et flambée des prix : bientôt la stagflation en zone euro ?

Qu'est-ce que la stagflation ?Quand la croissance stagne et s'ajoute à l'inflation sur une longue période, on parle de "stagflation".Celle-ci intervient généralement après un choc qui affecte l'économie et entraîne des répercussions sur toute la chaîne de production, les prix et l'emploi.Dans les années 1970, les chocs pétroliers, causés par la baisse de l'offre et l'augmentation du prix du pétrole, ont été à l'origine d'une période de stagflation, à laquelle les banques centrales ont immédiatement répondu par une politique monétaire restrictive en relevant les taux d'intérêt pour limiter l'inflation, faisant peser la facture sur les ménages.Est-on actuellement dans une période de stagflation ?L'inflation a été d'abord alimentée par la levée des restrictions sanitaires, avec un fort rebond de la consommation et des problèmes d'approvisionnement des entreprises.La guerre en Ukraine a entraîné par la suite un nouveau choc sur les prix, tant sur les carburants que sur les cours des matières premières, notamment alimentaires.S'ajoute à cela des ménages prudents face à cette incertitude et qui craignent pour leur pouvoir d'achat, et préfèrent épargner.En France, les derniers indicateurs économiques publiés vendredi par l'Insee font craindre un début de stagflation.La croissance française est à l'arrêt au premier trimestre, conjuguée à une inflation de 4,8% sur un an, un record en France depuis 1985.Le ministre de l'économie, Bruno Le Maire, déclarait d'ailleurs début mars que la crise énergétique actuelle, marquée par une flambée des prix était "comparable en intensité, en brutalité, au choc pétrolier de 1973".Mais il faut attendre que cette situation perdure "sur au moins plusieurs trimestres", pour pouvoir parler de stagflation, assure Pierre Jaillet, chercheur à l'Institut européen Jacques-Delors. Il souligne aussi que toutes les conditions ne sont pas réunies puisque l'investissement reste fort et que le gouvernement a contribué à l'effort pour soutenir la demande avec, par exemple, l'octroi des chèques énergie.Quelles sont les réponses possibles ?Au niveau européen, chaque pays peut intervenir avec sa propre politique budgétaire, comme cela a été le cas au plus fort de la crise sanitaire."L'une des questions qui se pose maintenant c'est de savoir dans quelle mesure le futur gouvernement va peser sur la perte du pouvoir d'achat", après les énormes moyens déployés par les pouvoirs publics pour aider les ménages et entreprises depuis la pandémie, explique-t-il.La situation française fait écho à la croissance de la zone euro, qui a ralenti à 0,2% ce premier trimestre par rapport au trimestre précédent, tandis que l'inflation reste à 7,5% sur un an, a annoncé Eurostat ce vendredi.Cette situation complique la tâche de la Banque centrale européenne (BCE). Le risque est de paralyser la reprise économique après la pandémie de Covid-19 si elle redresse brusquement ses taux directeurs.Un tour de vis monétaire renchérit le coût des emprunts pour les entreprises et les ménages, ce qui peut peser in fine sur la consommation et les investissements.Pour l'instant, l'inflation est bien supérieure au niveau de taux d'intérêt de la BCE, et par contrecoup à celui des taux d'emprunt proposés par les banques. "D'un point de vue historique, c'est complètement inédit", remarque Pierre Jaillet.Mais la présidente de la BCE, Christine Lagarde, a ouvert mercredi la possibilité d'une première hausse des taux directeurs cet été, si l'inflation persiste à un niveau élevé.Dans le même élan, la BCE a déjà arrêté en mars le programme d'urgence destiné à soutenir l'économie pendant la crise provoquée par le Covid-19 et déclaré arrêter les achats nets d'actifs dès l'été.
Il y a 3 ans et 47 jours

L’entreprise Molénat fête ses 100 ans !

Entre tradition et modernité, l’enseigne ne manque pas d’ambitions et se donne les moyens de performer. Tout a commencé il y a 100 ans, en 1922 ; Louis Molénat fonde son entreprise de fabrication de menuiserie généraliste et devient rapidement le menuisier incontournable de la région. En 1945, Robert Molénat reprend la suite jusqu’en 1965, où il laisse la direction de Molénat à son fils Pierre qui au fil du temps cessera les activités de chantier au bénéfice de la menuiserie extérieure en bois sur laquelle l’entreprise va se concentrer pour développer une gamme d’excellence. Dans les années 1990, Molénat prend un tournant capital et se diversifie sous l’impulsion de Philippe Molénat, fils de Pierre, qui va étendre le développement industriel de l’enseigne vers d’autres matériaux que le bois. Il intègre le PVC en 1991, puis l’aluminium en 1997 et déploie 4 autres sites de production autour de Decazeville. Les années qui suivent sont prospères. L’entreprise devient un pôle d’emploi régional éminent qui compte plus de 200 salariés et se forge une notoriété notable et grandissante de la Gironde à la Savoie jusqu’à la région PACA. A gauche, Pierre Molénat, à droite, Robert Molénat © Molenat-Groupe Lorillard Equipe Molénat Bois en 2000 © Molenat-Groupe Lorillard Un esprit visionnaire. Esprit agile, innovant ou créatif, les qualificatifs sont multiples mais le plus approprié pour traduire le caractère intrinsèque de la famille Molénat serait visionnaire. En effet, les dirigeants ont toujours su anticiper l’avenir et, très tôt, ont pensé une industrialisation et une conception spécifiques des menuiseries. Principalement destinées aux négoces, les menuiseries Molénat tirent parti d’un assemblage mécanique spécifique et d’un ouvrant en portefeuille pour une conception plus rapide. Toujours visionnaire, en 2005, l’entreprise se dote d’une ligne d’industrialisation Celaschi, entièrement automatisée. Cette ligne de plus de 100 mètres intègre 7 machines qui usinent toutes les pièces de bois pour l’assemblage des menuiseries. L’enseigne franchit un seuil d’industrialisation et est en capacité de produire plus de 2 000 menuiseries par semaine (bois, aluminium et PVC confondus). Durant près de 85 ans, l’entreprise Molénat n’a cessé de prospérer, bénéficiant d’un ancrage régional fort et de solides relations commerciales. C’était sans compter la crise de 2008 qui a lentement érodé la santé économique du marché durant près de 7 ans. Molénat n’a pas été épargnée. L’opportunité Lorillard En 2015, le Groupe Lorillard fait une offre de rachat, une opportunité unique pour l’enseigne de rejoindre un grand groupe auquel s’adosser pour mieux rebondir. Une réorganisation est menée et Molénat s’oriente essentiellement sur la production bois dans la cohérence de son savoir-faire originel et de l’ambition stratégique du Groupe. Cependant, forte de sa notoriété sur la région, notamment auprès des particuliers, l’enseigne continue de commercialiser sous sa marque les menuiseries pvc et aluminium que le Groupe conçoit. Ainsi, en 2018, le site de production aluminium ferme, puis en 2020 celui du PVC, au profit d’une industrialisation efficiente des outils et process de fabrication bois. Les salariés des sites aluminium et PVC qui le souhaitent, sont réintégrés à Decazeville. Le Groupe Lorillard introduit des nouvelles essences de bois, le laquage (garanties 10 ans sur les peintures laquées et 5 ans sur les lasures laquées), des évolutions dans les gammes et dans la typologie des menuiseries qui deviennent plus complexes pour répondre aux besoins des négoces mais également des chantiers. Lorillard intègre également le LEAN et revoit les méthodes de production. Les 15 000 m² d’atelier, du parc à bois jusqu’à l’expédition, sont réorganisés de manière linéaire afin d’assurer un cheminement logique – sans contrainte et perte de temps inutile – et une production efficiente. Depuis le rachat, des investissements réguliers configurent l’outil industriel de manière à ce qu’il soit optimal. En 2015, une chaîne de finition complète est installée pouvant assurer une cadence de 100 menuiserie/jour ; en 2020, un centre d’usinage 5 axes est intégré pour le développement des menuiseries cintrées ; en 2021, une ponceuse automatique est ajoutée à la sortie de la ligne Celaschi. Et tout récemment, la signature d’un accord d’automatisation d’une ligne d’assemblage (investissement de plus d’un million d’euros) vient soutenir l’amélioration des conditions de travail. Effective en 2023, cette ligne vise à automatiser la pénibilité de certaines tâches. En effet, Molénat conçoit aujourd’hui des menuiseries plus complexes, notamment plus grandes et plus lourdes. Egreneuse automatique © Molenat-Groupe Lorillard 4 faces moulurière © Molenat-Groupe Lorillard Tunnel de séchage par infrarouge pour un séchage à cœur. © Molenat-Groupe Lorillard Centre usinage numérisé 5 axes © Molenat-Groupe Lorillard En 3 ans, l’atelier a quasiment doublé sa capacité de fabrication, passant de 50 à 90 menuiseries/jour. Molénat vise les 100 menuiseries/jour sur le second semestre 2022 et ambitionne 110 à 120 menuiseries/jour à l’horizon 2023. L’enseigne qui a su saisir les opportunités de développement, affirme clairement aujourd’hui ses capacités de performance, en témoigne le chantier du Carlton de Cannes pour lequel 1 000 menuiseries dont 300 cintrées ont été conçues en seulement 4 mois. Menuiseries de l’Hôtel Carlton à Cannes – 1 000 menuiseries bois dont 300 cintrées, conçues en seulement 4 mois © Molenat-Groupe Lorillard Un avenir ambitieux L’ambition n’a jamais fait défaut à Molénat et tel un sillon, elle sème l’espoir de performer toujours plus. L’entreprise ne cesse d’œuvrer pour développer des atouts commerciaux, techniques et industriels. Entre autres : en 2021, l’enseigne a développé sur son site un magasin « Molénat by Lorenove » avec la création d’un showroom pour la vente aux particuliers de la région (CA de 500 000 € en 18 mois) ; courant 2022, la prochaine validation des procès-verbaux pour la certification pare-flamme EI30 des menuiseries bois de la gamme LENA 68 ou encore la mise en place d’une gamme bois spécifiquement dédiée aux chantiers du Groupe. Le showroom du magasin « Molénat by Lorenove » pour la vente aux particuliers de la région © Molenat-Groupe Lorillard En 2021, Molénat a réalisé un chiffre d’affaires de 13,7 millions d’euros dont 1,7 millions concernent les ventes PVC et Aluminium conçues par le Groupe et 12 millions celles du bois, dont le ratio s’équilibre entre le négoce et le chantier. L’enseigne projette un chiffre d’affaires de 15,5 millions d’euros pour 2022 et entre 18 et 19 millions d’euros pour 2023 ; des prévisions boostées notamment par le lancement d’une gamme mixte en cours de développement. Aujourd’hui, l’entreprise livre entre 450 et 500 menuiseries par semaine et affiche des délais de conception de 10 semaines, là où d’autres en nécessitent 5 de plus. De prochains investissements, à hauteur de 2 à 3 millions d’euros, sont évoqués par le Groupe Lorillard pour ces deux prochaines années afin de développer encore un peu plus l’industrialisation du bois chez Molénat mais également d’attribuer plus de capacité à la production dédiée aux chantiers. L’enseigne qui a l’ambition d’aller toujours plus loin, commence en effet à développer davantage son savoir-faire sur des chantiers exceptionnels et atypiques comme la Résidence Hôtelière « Vacanciel » de Menton ou encore l’hôtel « Diamond Rock » à Tignes. L’entreprise centenaire entame une renaissance ! Hôtel «Diamond Rock» à Tignes © Menuiserie Anzalone.
Il y a 3 ans et 47 jours

Nouvelles tensions sur le marché des isolants en Polystyrène Expansé (PSE)

2ème isolant le plus utilisé en France, grâce à ses qualités économiques et techniques reconnues, le PSE n’échappe pas à cette réalité. D’autant plus que le PSE s’inscrit dans un contexte de forte demande en Europe. Celle-ci est notamment liée aux récentes politiques volontaristes d’amélioration de l’efficacité énergétique des bâtiments mises en place dans la plupart des pays Européens. Sur le marché français, la grande quantité de mises en chantier de maisons individuelles en fin d’année 2021 a entrainé une demande importante pour l’isolation des planchers et l’isolation des façades en PSE est en forte accélération grâce à MaPrim’Rénov. À ces allocations de volumes et phénomènes de saturation de production, le conflit entre l’Ukraine et la Russie a ajouté, ces dernières semaines, deux facteurs importants :l’envolée des prix du pétrole, dont est issue la matière première indispensable à la fabrication du polystyrène, aggravée par des cas de maintenance industrielle déclarés chez certains producteurs ;la flambée des coûts énergétiques nécessaires à la production et au transport des billes de styrène et des isolants en polystyrène.Ces tensions conjoncturelles ont généré depuis plusieurs mois une hausse du coût du PSE. Après avoir atteint un niveau historiquement haut en mai 2021, il enregistre, selon les indices européens de référence, une nouvelle augmentation de près de +30% un an après (avril 2022) et a plus que doublé en 18 mois.La dégradation de la disponibilité de la matière première, associée à la vague Covid actuelle, entraine une perturbation des plannings de fabrication et impacte la productivité des usines de transformation du polystyrène en panneaux isolants. Résultat : depuis quelques semaines, les délais de livraison se sont fortement allongés. Pour Amaury Omnès, Président de l’AFIPEB : "Après une première inflation enregistrée dans le contexte sanitaire exceptionnel que le monde a connu en 2020 et qui reste encore aujourd’hui une réalité, les membres de l’AFIPEB ont pleinement conscience des impacts économiques et organisationnels que cette nouvelle crise impose aux artisans, entreprises du bâtiment et distributeurs. Au nom des adhérents, je tiens à assurer tous les professionnels du bâtiment que des actions sont d’ores et déjà mises en place pour accélérer une plus grande disponibilité de solutions isolantes en PSE."
Il y a 3 ans et 47 jours

Le label bâtiment bas carbonne pan-européen de BBCA soutenu par Bureau Véritas

Créé en 2015, le label "Bâtiment BBCA Bas Carbone", le premier label bas carbone pan-européen dans ce secteur, est rejoint par Bureau Véritas, leader mondial des essais, de l'inspection et de la certification.
Il y a 3 ans et 47 jours

"Les matériaux composites ont leur place dans une stratégie bas carbone"

Alors que s'ouvre le salon JEC World (3-5 mai Paris-Nord Villepinte), événement mondial autour des matériaux composites, Eric Pierrejean, président de JEC Group et Franck Glowacz, son "Innovation content leader" dressent pour LeMoniteur.fr l'état des lieux de la filière.
Il y a 3 ans et 47 jours

Le groupe Zehnder acquiert le fabricant européen de filtres à air Filtech

Le groupe Zehnder, l’un des principaux fournisseurs internationaux de solutions complètes pour un climat intérieur sain, acquiert Filtech. La société, dont le siège social est implanté aux Pays-Bas, développe, fabrique et distribue des filtres à air de haute qualité – un composant essentiel qui participe à la qualité de l’air intérieur. Avec Filtech, le groupe Zehnder acquiert un fournisseur de filtres à air de haute qualité avec lequel il collabore depuis longtemps. En plus de son siège social et d’un site de production dans la commune néerlandaise d’Udenhout, l’entreprise possède également deux autres sites de production dont un à Modane en France (Savoie), qui emploie 25 personnes, et à Rancate- Mendrisio, en Suisse. A partir de ses unités de production hautement automatisées, elle fournit de nombreux marchés, dont des clients clés dans les secteurs du chauffage, de la ventilation et de la climatisation. Filtech compte environ 70 employés et a réalisé un chiffre d’affaires d’environ 15 millions d’euros en 2021. Avec l’acquisition de Filtech, le groupe Zehnder franchit une nouvelle étape stratégique pour accroître sa présence dans le domaine de la ventilation et renforcer son expertise technologique. Les filtres à air sont un élément essentiel pour un air intérieur sain. La demande de filtres de haute qualité, tels que ceux utilisés pour les poussières et les particules fines, augmente régulièrement grâce à une prise de conscience croissante de l’importance d’une bonne qualité de l’air, et du parc existant d’unités de ventilation. Filtech dispose de l’expertise et d’un très bon positionnement sur le marché. Les ventes via la distribution – notamment aux professionnels et aux particuliers du groupe Zehnder – devraient créer des synergies. Le groupe Zehnder conservera la marque Filtech et les trois sites et accueille chaleureusement le personnel, y compris la direction, au sein du groupe. Le contrat a été signé le 31 mars 2022. L’acquisition sera effective dans les prochaines semaines, elle est soumise aux conditions contractuelles habituelles. Les parties ont convenu de ne pas divulguer le prix d’achat. http://www.zehnder.fr/
Il y a 3 ans et 47 jours

Le 1er mai 2022, la règlementation thermique évolue : Les isolants réflecteurs ACTIS sont conformes au nouvel arrêté et restent éligibles aux dispositifs des CEE et à MaPrimeRénov

Établi par le Ministère de la Transition Ecologique, l’arrêté du 10 décembre 2021, qui entre en application le 1er mai 2022, modifie les fiches d’opérations standardisées d’économies d’énergie. Il exige des fabricants d’isolants réflecteurs ne disposant pas d’une certification ACERMI ou QB23 que les valeurs de résistance thermique définies selon la norme NF EN 16012+A1 de leurs produits soient confirmées par des séries de minimum 4 tests réalisés sur des échantillons correspondant à des lots de production distincts. Afin d’être en conformité avec ces nouvelles exigences réglementaires, la société ACTIS a d’ores et déjà fait tester l’ensemble de ses isolants réflecteurs selon les exigences de l’annexe 7 de l’arrêté du 10 décembre 2021. Résultat : Tous ses isolants sont conformes et continuent d’être éligibles aux dispositifs des CEE et à MaPrimeRénov. ACTIS a fait tester l’ensemble de ses isolants réflecteurs (Triso-Toiture, Triso Hybrid’ et Boost’R Hybrid’) selon la norme NF EN 16012+A1 par le laboratoire accrédité KTU. Ce dernier a effectué une série de 6 essais par produits réalisés sur 6 échantillons correspondant chacun à un lot de production distinct. Au terme de ceux-ci, le laboratoire KTU a procédé au mode de calcul figurant dans l’annexe 7 de l’arrêté pour définir la valeur de la résistance thermique des matériaux. Pour chacun des isolants réflecteurs testés, les résultats des calculs figurant dans l’annexe 7 de l’arrêté sont supérieurs aux valeurs de résistance affichées dans les rapports d’essai et fiches techniques du fabricant attestant ainsi de leur éligibilité aux dispositifs des CEE et à MaPrimeRénov. Le 1er mai 2022, les professionnels utilisant les produits ACTIS auront ainsi l’assurance d’utiliser des isolants réflecteurs conformes à cette nouvelle réglementation. http://www.actis-isolation.com/
Il y a 3 ans et 47 jours

L’hydrogène se développe rapidement, mais pas assez vite pour remplacer le gaz russe

Plusieurs PME françaises spécialisées dans l’hydrogène sont entrées en bourse. Il existe au moins cinq emplois différents de l’hydrogène dans le bâtiment, de l’autarcie énergétique au poste de soudure.
Il y a 3 ans et 47 jours

MaPrimeRénov' : le top 3 des travaux les plus financés début 2022

CHIFFRES. La dynamique du dispositif MaPrimeRénov' est restée forte en ce début d'année 2022, d'après de premiers chiffres divulgués par l'Agence nationale de l'habitat (Anah).
Il y a 3 ans et 47 jours

R600 PERGOKLIMA : équilibre parfait entre légèreté et flexibilité

R600 PERGOKLIMA: équilibre parfait entre légèreté et flexibilité Le confort thermique et la possibilité d’exploiter les éléments naturels pour le bien-être, sont les caractéristiques des pergolas bioclimatiques BT Group. R600 Pergklima est une pergola bioclimatique auto-portante en aluminium au design recherché et innovant. Gouttière périmétrale 20 x 21,5 cm, avec récolte de l’eau intégrée dans les montants. Couverture à lames en aluminium de L 22 cm x H 4 cm que l’on peut orienter de 0° à 140°, avec joints et gouttières de déchargement latéral de l’eau. En fonction de l’orientation des lamelles, la structure offre une protection totale ou partielle du soleil, une climatisation parfaite, et abri sur contre la pluie, en devenant un espace à vivre toujours. Dimensions maximales réalisables en module unique L 5,00 x S 8,00 m avec quatre / six montants périmétraux de 20 x 20 cm. Fonctionnement exclusivement à par moteur linéaire à basse tension. La structure offre des options supplémentaires, telles que les lumières à LED, capable de créer des synergies entre le nouvel espace et l’environnement, qui génèrent solutions originales et personnalisées. Les profils portants permettent l’application de brise-soleil et de baies vitrées qui s’intègrent bien aux fermetures typiques en rouleau. Chaque pergola est disponible dans de nombreuses variantes, avec la possibilité de développer des formes exclusives, sur mesure. Le Custom made fait est une partie intégrante de l’ADN de l’entreprise, le fleuron d’une capacité de conception et de production, l’indice d’une inépuisable vitalité et le progrès. Le choix des matériaux utilisés, les contrôles des étapes de production, font de BT Group non seulement un choix de qualité, mais un symbole de statut qui sublime le produit “100% Made in Italy”. > Site web : btgroup.fr > Découvrez le Catalogue Prestige Collection       
Il y a 3 ans et 47 jours

Retour sur le BIM World 2022 : rencontre avec Mathieu Walckenaer, dirigeant de PlanRadar France

Batinfo : pouvez-vous nous présenter PlanRadar ?Mathieu Walckenaer : PlanRadar a été créé en Autriche en 2013 suite à un constat simple : le manque d'outils permettant de communiquer et de partager l'information sur les chantiers. De cette observation est née l'application numérique PlanRadar permettant aux équipes du BTP de partager, modifier, et visualiser toutes les données d'un chantier en temps réel. Fin 2014, nous avons atteint le cap des 100 clients, prouvant ainsi l'efficacité de notre application. En 2015, PlanRadar a vendu sa première licence sur le continent asiatique.Deux ans plus tard, la société a raflé 9 trophées en 1 an pour son application, démontrant son énorme potentiel. En 2020, PlanRadar a levé 30 millions d'euros pour partir à la conquête de l'Europe puis en 2022, 69 millions d'euros pour s'implanter durablement sur les marchés asiatiques et sur le continent américain. Aujourd'hui, PlanRadar c'est : 10 bureaux en Europe, des employés parlant 18 langues différentes et plus de 15.000 clients répartis dans 60 pays.Batinfo : quelles sont les spécificités de votre application ?Mathieu Walckenaer : PlanRadar est une solution digitale disponible sur navigateur, iOS, Android et Windows, pour la gestion des tâches, la communication et les rapports. Concrètement l'application permet de saisir directement les tâches à effectuer à partir d'appareils mobiles et d'y ajouter des photos, du texte ou un mémo vocal. PlanRadar est accessible partout tant pour les équipes sur le terrain que celles travaillant depuis le bureau.L’application facilite l’attribution de tâches à la personne concernée. Celle-ci recevra automatiquement une notification. Via la plateforme, les équipes peuvent aussi envoyer des comptes-rendus aux gestionnaires et maîtres d’ouvrage, ce qui leur permet d’être à jour sur l’état d’avancement du projet.La génération de statistiques et de documents utiles à votre activité est très facile. Dans le cas de conflits juridiques nécessitant des documents particuliers, PlanRadar peut aussi être utile grâce aux rapports structurés et automatisés pour faciliter la transmission de preuves pour les procédures contentieuses. Grâce à une personnalisation et une configuration vantées par les utilisateurs, PlanRadar a su trouver son public. De plus, PlanRadar est un outil tout-en-un, qui ne requiert aucune autre plateforme. On peut y suivre toutes les étapes d'un projet, de la conception, à la phase de démolition en passant par la construction et la maintenance. Pouvoir utiliser un seul outil dans toutes ces tâches facilite ainsi la communication entre les équipes et permet un gain de temps et de productivité. En plus de ces fonctionnalités, vous pouvez consulter vos plans en version numérique, les délais et les contacts via l'application PlanRadar, même en étant hors-ligne, afin que chaque membre de l'équipe comprenne ses missions et participe au bon déroulement du projet.Enfin, l’équipe derrière PlanRadar est, constamment, au plus près du terrain pour prendre en compte les avis de ses utilisateurs. Dans l’optique d’une amélioration continue de la plateforme et en prenant en compte les retours d’expérience, nous avons lancé : PlanRadar Connect. C’est une API connectant PlanRadar à des outils tels que Microsoft Dynamics, Google Drive, Adobe Analytics… de manière intuitive et sans code requis. Avec cette API, toutes les données et documents sont centralisés dans un seul outil. Gain de temps assuré !Batinfo : Comment voyez-vous l'avenir de PlanRadar ?Mathieu Walckenaer : Grâce aux 69 millions d’euros que nous venons de lever, nous allons renforcer notre présence dans les pays que nous couvrons et nous allons nous implanter sur tous les continents.Nous concentrons aussi nos efforts sur nos investissements en R&D afin d’accélérer l’ajout de fonctionnalités telle qu’un accès au BIM directement sur les chantiers. Toujours dans cette optique de prendre en compte les retours clients et de faciliter leur quotidien, nous travaillons sur trois aspects stratégiques qui sont la gestion de document, de planning et de projet.Nous poursuivrons également le développement de PlanRadar Connect, qui vient d’être lancé. Cela simplifiera l’interopérabilité et l’intégration automatique des logiciels à PlanRadar, sans nécessité de codage.
Il y a 3 ans et 47 jours

Lafarge lance Rolac, des liants routiers bas carbone

Lafarge lance Rolac, une gamme de liants hydrauliques routiers. [©Lafarge] Estampillée EcoLabel et disponible partout en France, l’offre Rolac caractérise les liants hydrauliques Lafarge (filiale d’Holcim) présentant une empreinte carbone réduite d’au moins 30 %. Ceci, par rapport à un liant de référence évalué à 765 kg CO2/t. Rolac est une gamme de liants hydrauliques routiers performants pour le traitement des sols, le retraitement des chaussées en place et le traitement des graves et des sables en centrale de malaxage. Nouvelle codification pour chaque liant En agissant sur la composition et les caractéristiques physico-chimiques de ses liants, cette gamme s’inscrit tout à fait dans la stratégie du groupe Holcim. Cette dernière visant la réduction des émissions de CO2, en accord avec ses engagements Net Zero. De plus, l’ensemble de la gamme Rolac gagne en lisibilité, en proposant une nouvelle codification pour chaque liant. Reflétant la composition (additions) et les spécificités propres à chaque chantier (délai de maniabilité et cinétique de durcissement). Cette codification identifie de manière rapide le produit le mieux adapté aux besoins spécifiques de chaque projet. Y compris en termes de performance environnementale. A noter que l’offre bas carbone Rolac s’enrichira progressivement de nouveaux produits.
Il y a 3 ans et 47 jours

Gamme Bioalkyd : un système complet à base de résine biosourcée by Zolpan

Un système complet à base de résine biosourcéeBioalkyd Prim prépare le support à l’application de la peinture. Elle régule l’absorption des fonds et amène une première couche opacifiante pour offrir une très belle finition et un résultat final uniforme. Cette impression de qualité professionnelle offre un bon pouvoir couvrant, une belle blancheur et permet une polyvalence des usages en neuf ou en rénovation, sur les murs, plafonds et boiseries.Disponibles en aspect mat ou velours, les peintures Bioalkyd offrent un bel aspect décoratif, tendance et durable pour vos murs et plafonds.Une démarche environnementaleLes peintures de finition Bioalkyd Mat et Velours ainsi que le primaire Bioalkyd Prim sont formulés à partir d’une résine alkyde biosourcée à 97%, d’origine végétale. Cette résine issue de ressources renouvelables présente une empreinte carbone réduite par rapport à une résine conventionnelle.La marque BIOALKYD fait référence au caractère biosourcée de la résine utilisée comme ingrédient et en aucun cas à l’agriculture biologique. Le taux de carbone biosourcée mesuré selon la norme EN NF 16640 dans les produits BIOALKYD est supérieur à 52%.Impression Bioalkyd Prim - Blanc - Prix public TTC à partir de : 15,50 €/LFinitions Bioalkyd - Disponible en finition mate et velours. Blanc et plus de 500 teintes pastel - Prix public TTC conseillé à partir de : 17,56 €/L en blanc aspect matDes normes de qualité exigeantesLe système Bioalkyd est labelisé Ecolabel. Ce label garantie une réduction des impacts environnementaux, ainsi qu’un seuil de performance des produits. Ce sont des organismes indépendants qui vérifient la conformité des produits au référentiel Ecolabel.L’ensemble des produits de la gamme Bioalkyd sont classés A+ et émettent très peu de Composés Organiques Volatiles avec une teneur en COV
Il y a 3 ans et 47 jours

L’UNICEM adhère à France Industrie

La filière de l’industrie de l’extraction et de transformation des matériaux de la filière minérale a rejoint au 1er janvier 2022 les 76 adhérents de France Industrie dont l’objectif est de valoriser le rôle fondamental des entreprises industrielles en France, en engageant des actions sur les enjeux prioritaires communs à toute l’industrie : la compétitivité, l’emploi et la formation, la sécurité d’approvisionnement, le développement durable et la transition écologique, l’innovation et le numérique, le soutien aux savoir-faire français, l’attractivité des territoires et la politique industrielle européenne.Carrières et matériaux : une filière industrielle locale indispensableLa filière des carrières et matériaux de construction est une filière industrielle importante en France, qui regroupe de nombreux industriels en charge de l’extraction de produits bruts, de leurs transformations, du recyclage et de la valorisation des déchets issus de la déconstruction. La filière rassemble des entreprises de toutes tailles (TPE, ETI patrimoniales et groupes d’envergure internationale) qui font fonctionner 7.100 sites répartis sur l’ensemble du territoire. La filière représente 40.000 emplois et un chiffre d’affaires de 8,2 Mds€.Les matériaux minéraux de la construction sont à l’origine de produits dont la destination finale est majoritairement dédiée au secteur de la construction et des travaux publics (habitat, équipements publics, génie civil et infrastructures).Une filière ancrée dans les régionsL’UNICEM couvre l’ensemble du territoire pour assurer à ses adhérents un service de proximité et un accompagnement quotidien. Les UNICEM régionales se chargent de décliner la politique fédérale en fonction des spécificités locales et d’assurer les relations avec les élus, les associations et les organismes publics ou privés locaux. Elles organisent et animent des réunions d’information à destination des entreprises et initient des études spécifiques au contexte local : dossiers économiques, recherches scientifiques ou techniques. Elles mettent également en œuvre la promotion des métiers de l’industrie de carrières et de matériaux de construction : visites de sites, participation à des salons, intervention dans les écoles, présence dans des forums d’emplois ou encore participation à la semaine de l’industrie, en collaboration avec France Industrie, durant laquelle chaque année la filière promeut le secteur.Une filière pleinement engagée dans la préservation de l’environnement et le développement de l’économie circulaireL’UNICEM est l’une des premières organisations professionnelles à s’être dotée, dès 1992, d’une démarche sectorielle environnementale, avec la Charte environnement des industries de carrières. Depuis 2017, l’association UNICEM Entreprises Engagées propose également un référentiel de labellisation RSE sectoriel, évalué par des organismes tiers indépendants, facilitant l’engagement de nos entreprises dans la RSE. A ce jour, environ 1.600 sites sont engagés dans ces démarches. Les adhérents de l’UNICEM participent également à la recherche d’économies de matières premières par le développement du tri, de la valorisation et du recyclage. Les déchets inertes du bâtiment issus des matériaux minéraux bénéficient ainsi, depuis plus de 25 ans, d’une filière de reprise et traitement associant 1.500 sites et permettant une valorisation matière à hauteur de 76%. La création, début 2022, de l’éco-organisme ECOMINERO, permettra de porter ce taux à 90% à l’horizon 2028. L’UNICEM est enfin pleinement engagée dans la stratégie nationale de la biodiversité et participe activement aux objectifs du gouvernement visant à optimiser la gestion de la ressource en eau. Pour Alain Boisselon, Président de l’UNICEM : "L’adhésion de l’UNICEM à France Industrie vient appuyer la volonté de la fédération de valoriser le rôle fondamental du tissu industriel dans les territoires. Avec leurs nombreux sites de production, nos entreprises contribuent à maintenir une activité industrielle et l’emploi au cœur des territoires et elles participent pleinement au dynamisme et à l’attractivité des territoires."
Il y a 3 ans et 47 jours

La relève de la construction biosourcée "s’enstibe" à Epinal

L’école d’ingénieurs, pari fou de Philippe Séguin, permet aujourd’hui à la filière bois du Grand Est de rebondir. L'ENSTIB inaugure cette semaine sa nouvelle Grande Halle et lance dans la foulée les Défis du Bois 3.0.
Il y a 3 ans et 47 jours

A Paris, le projet Bercy-Charenton devient plus vert et moins dense

Le projet de nouveau quartier de Bercy-Charenton, une des dernières friches à aménager de Paris, sera deux fois moins dense qu'initialement prévu, sans immeuble de grande hauteur contrairement au projet initial (photo).
Il y a 3 ans et 47 jours

Klépierre annonce un chiffre d'affaires en hausse et maintient ses objectifs

Le groupe, propriétaire des centres commerciaux Val d'Europe et Créteil Soleil à l'est de Paris, maintient ses objectifs financiers pour 2022, tout en estimant qu'"une inflation persistante pourrait potentiellement impacter la consommation des ménages pour certains produits et services commercialisés par les locataires". Klépierre, qui focalise son activité sur les métropoles européennes, a vu ses revenus locatifs nets grimper en flèche par rapport au premier trimestre 2021 (+71%), quand beaucoup de pays imposaient des restrictions ou des fermetures aux commerces.Présent dans 13 pays, le groupe a tout de même vu son activité perturbée par le Covid-19 notamment aux Pays-Bas, qui avaient imposé d'importantes restrictions en janvier, ainsi qu'en Allemagne, où un pass sanitaire était exigé dans les commerces."Le segment de la mode a été perturbé en janvier par le variant Omicron", explique Klépierre, tout comme celui de la restauration où subsistaient des règles sanitaires.
Il y a 3 ans et 47 jours

Solutions pour la pose et la fixation de terrasse en bois TERRADEC

 Une gamme d’accessoires et de vis pour réussir la pose des terrasses en bois   Le marché de la terrasse bois et ses dérivés est un marché dynamique, avec une progression de 34 % entre 2019 et 2021*. Il a bénéficié d’un contexte favorable ces 2 dernières années avec l’envie de s’approprier son extérieur ou de réaliser […]
Il y a 3 ans et 47 jours

Réhabilitation d’un bâtiment de logement IMH : La Tour Pajot – Angoulême (16)

Réhabilitation d’un IMH et sécurité incendie :le Bardage Avec Ossature (BAO) CAREA. Depuis le drame de la tour Grenfell en Angleterre, les mesures pour lutter contre le feu ont évolué : désormais, la réglementation incendie pour les IMH et IGH d’habitation est aussi stricte que pour les ERP (Établissements Recevant du Public) : les façades ventilées doivent […]
Il y a 3 ans et 47 jours

Renouvellement du parc des équipements de chauffage dans les logements : une nécessité face à la hausse du prix des énergies aux enjeux environnementaux

Depuis décembre 2021, les tarifs du fioul domestique ont augmenté de près de 50%, les prix de marché du gaz de 70% et de l’électricité, de 35%. Ces hausses massives, qui semblent amenées à se poursuivre, impactent fortement le pouvoir d’achat des ménages français. Un pouvoir d’achat pris en étau entre les investissements nécessaires pour […]
Il y a 3 ans et 47 jours

Finir la ligne 14 pour les JO, priorité de la Société du Grand Paris

Jean-François Monteils, arrivé en mars 2021 à la tête de l'organisme public chargé de construire l'ouvrage, avait entériné plusieurs retards en juillet, pour cause de pandémie et de difficultés techniques. Notamment le premier tronçon de la ligne 16 en Seine-Saint-Denis, qui était présentée comme une liaison majeure pour les JO et n'ouvrira pas avant la mi-2026.Il reste dans le programme des JO les prolongements de la ligne 14, construits avec la RATP au nord jusqu'à Saint-Denis Pleyel --où doit être construit le village olympique-- et au sud jusqu'à l'aéroport d'Orly. "Aujourd'hui, je dors quasiment sur une oreille et demie, ce qui est beaucoup", affirme le patron de la SGP dans un entretien à l'AFP.La "sécurisation" de l'ouverture de "la 14" en mars-avril 2024 est un "objectif stratégique" qui occupe "des équipes dédiées", explique-t-il.Les choses avancent bien sur les autres lignes en travaux, remarque-t-il. Y compris sur des sections contestées, comme du côté du Triangle de Gonesse (Seine-Saint-Denis) ou sur le plateau de Saclay (Yvelines) où des opposants craignent que l'arrivée du métro n'entraîne une urbanisation à outrance.La SGP est chargée de construire, d'ici 2030, 200 km de métro automatique, avec quatre lignes nouvelles --numérotées de 15 à 18-- et les prolongements de la ligne 14. S'articulant autour d'une ligne circulaire, plusieurs branches doivent relier les aéroports d'Orly et Roissy, le pôle scientifique de Saclay et des quartiers sensibles de Seine-Saint-Denis."Ça serait très étonnant qu'il y ait zéro conséquence" sur les chantiers, du fait des actuels problèmes d'approvisionnement en matériaux et composants et de la poussée inflationniste. "Mais aujourd'hui, je suis strictement incapable de les chiffrer", précise M. Monteils."On est supervigilants !"Projets immobiliersQuelles hausses des prix peut-on attendre ? Sont-elles déjà couvertes dans les contrats ? Et si oui, la SGP, société publique, a-t-elle intérêt à mettre en difficulté des entreprises dont les marges sont faibles ?"Ça vaut le coup qu'on en reparle dans six mois", lance-t-il. Pour l'instant, il s'en tient au budget, réactualisé en octobre de 35,6 à 36,1 milliards d'euros.Même réponse quand on l'interroge sur d'éventuels retards supplémentaires : M. Monteils n'a pour le moment "pas d'éléments objectifs" qui iraient en ce sens.Reste qu'il faut encore lancer une bonne partie de la ligne 15 (circulaire) à l'ouest, au nord et à l'est de Paris. La SGP a décidé de passer pour ces 45 km quatre gros marchés de "conception-réalisation" pour en sous-traiter la construction. Les appels d'offres sont en cours, et les contrats doivent être signés en 2023 et 2024, l'objectif étant d'achever les travaux à l'horizon 2030."Il va falloir se battre pour rester dans les délais", reconnaît M. Monteils.Quant au financement du Grand Paris Express, il est assuré "à 76%", se réjouit-il. La SGP a emprunté des milliards d'euros quand les taux d'intérêt étaient bas. "On sait payer (les chantiers) jusqu'en 2027/28, aujourd'hui."En attendant, la SGP s'intéresse de plus en plus à l'aménagement des quartiers des futures stations. Elle veut mettre "un peu de planification" dans ces nouveaux morceaux de ville, parler interconnexion des moyens de transport et s'investir dans la construction de logements."On a créé une filiale, SGP Immobilier, qui va prendre des participations dans des sociétés civiles de construction-vente que l'on créera avec des promoteurs immobiliers, après consultation", explique son président."Une centaine" de projets ont été identifiés, représentant "un million de mètres carrés de planchers constructibles" dans des quartiers de gares totalisant 32 millions de mètres carrés potentiels, précise-t-il. Il compte choisir ses premiers partenaires dès cette année.Maintenant que le chantier est bien engagé, la SGP s'interroge aussi sur son avenir, et sur la valorisation qu'elle pourrait faire de son expertise, ailleurs, une fois que le supermétro francilien sera achevé. "C'est évidemment une question qu'on doit se poser", lance M. Monteils.
Il y a 3 ans et 47 jours

Ciment : une piste bas carbone avec le biochar et le carbonate de calcium

Des scientifiques du département d’ingénierie des systèmes de l’Université de l’État du Colorado ont étudié une nouvelle voie vers la réalisation d’un bâtiment neutre en carbone. La recherche s’est concentrée sur les effets de l’interaction du biochar et du carbonate de calcium dans du béton dit durable, pour leurs capacités de capture du carbone. Stockage du carbone à l’aide […]