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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88089 résultats)
Il y a 3 ans et 47 jours

Plan de transformation stratégique pour la Capeb

Durant sa récente AG, le réseau CAPEB a adopté un Plan de transformation stratégique. Objectifs : être plus performant dans l’accompagnement des entreprises artisanales du bâtiment, et définir clairement ses orientations en matière économique, sociale, technique et de compétences au travers de quatre résolutions. La CAPEB entend adapter et moderniser ses pratiques actuelles pour mieux répondre aux besoins et aux attentes des entreprises artisanales du bâtiment, et dynamiser l’ensemble de son réseau en s’appuyant notamment sur ses compétences. Les quatre résolutions résument les priorités dans les domaines de l’économie de l’artisanat du bâtiment, des techniques et des professions, des compétences et de la formation professionnelle et de la protection sociale et de l’emploi.
Il y a 3 ans et 47 jours

Géocomposites plus performants

DÖRKEN rénove sa gamme DELTA-TERRAXX, désormais composée des trois géocomposites de drainage DELTA-TERRAXX, DELTA-TERRAXX ULTRA et DELTA-TERRAXX LIGHT, solutions à toutes les problématiques liées aux venues d’eau sur, sous et autour des bâtiments : toitures- terrasses étanchées accessibles aux véhicules (lourds ou légers), aux piétons, toitures-terrasses végétalisées, drainage sous dallage (tapis drainants), parois verticales enterrées (soubassements), retrait- gonflement des sols argileux… La structure alvéolaire des géocomposites de la nouvelle gamme DELTA-TERRAXX, de même que leurs géotextiles filtrants, ont été repensés et améliorés pour offrir plus de résistance à la compression à court terme et à long terme lors de passages répétés de véhicules. La nouvelle gamme DELTA-TERRAXX accueille un nouveau type de géotextile filtrant anti-colmatage : des essais de colmatage faits au laboratoire ANTEA d’Orléans (rapport N° Lab20199 du 02/06/2021) démontrent que ceux-ci conservent une perméabilité à l’eau optimale dans le temps, dans tous les cas de figure, là où les géotextiles « classiques » présentent rapidement des signes de colmatage.
Il y a 3 ans et 47 jours

Nouveau ragréage correcteur d’irrégularités

Sol abîmé, défauts de mise en œuvre sur un mur, le PRB PLANILIS permet de retoucher les supports rapidement de manière à pouvoir poser un nouveau revêtement dans les meilleures conditions possibles. Ce nouveau ragréage corrige les irrégularités de surfaces, les flaches éventuels. Le PRB PLANILIS permet les remises à niveau et rebouchages localisés, avant pose d’un revêtement de sol. Il rebouche et planifie également les supports muraux à base de ciment ou de plâtre. Son séchage rapide lui permet une ouverture rapide à la marche dès 1 h. Conditionnement en sacs de 5 et 25 kg.
Il y a 3 ans et 49 jours

Ciel couvert pour une usine allemande de verre solaire dépendante du gaz russe

A l'intérieur du hangar coiffé d'une cheminée blanche, des bras mécaniques s'activent pour mettre en forme des plaques de verre destinées aux producteurs de panneaux solaires."Nous fournissons tous les grands fabricants en Europe", explique Torsten Schroeter, directeur général de la société GMB Glasmanufaktur Brandenburg. Chaque année, 10 millions de m2 de plaques sortent des fours de l'usine qui dégagent une vive lumière rouge et une chaleur intense.Or pour produire ce verre essentiel à l'énergie solaire , il faut ... du gaz, beaucoup de gaz.Grâce aux pipelines reliant la Russie à l'Allemagne, la ressource est disponible en abondance.Mais pour combien de temps ?Après la décision de Gazprom de suspendre, dès mercredi, les livraisons de gaz russe vers la Bulgarie et la Pologne, arguant de leur refus de payer en roubles comme exigé par Moscou, l'Allemagne craint d'être le prochain pays sur la liste."La sécurité de l'approvisionnement est actuellement garantie", a réagi le ministère de l'Economie et du Climat, tout en exprimant son "inquiétude" après l'annonce de Gazprom.D'autant que Berlin est par ailleurs sous pression croissante de ses alliés pour approuver un embargo sur le gaz russe.Or, le gouvernement du social-démocrate Olaf Scholz, allié aux écologistes et aux libéraux, soutient qu'un arrêt brutal des livraisons serait dévastateur pour l'économie du pays.Et pour cause: la Russie fournissait avant la guerre 55% des importations allemandes de gaz naturel, une part ramenée ces derniers mois à 40%."Pas d'alternative"Ce refus fait débat au sein de la classe politique allemande et parmi les experts dont certains jugent que la première puissance européenne serait en mesure d'encaisser le choc.Dans le camp de ceux pour qui la vie sans gaz russe est inimaginable à court terme, les industriels sont en première ligne."Un arrêt de l'approvisionnement en gaz russe signifierait pour nous un arrêt de la production", résume le patron de GMB, qui emploie 300 salariés.L'arrêt des flux de gaz impliquerait de stopper les fours, causant des dommages irréversibles.Cela obligera l'entreprise à "tout reconstruire", ce qui pourrait prendre plusieurs mois, voire des années, selon M. Schroeter.Car "il n'y a pas d'alternative" au gaz russe, déplore-t-il.L'utilisation de charbon ou pétrole, n'est pas adapté. Quant à l'électricité, l'entreprise a déjà investi dans un système hybride, permettant un chauffage électrique partiel dans ses fours, mais cela ne répond qu'à "10%" de ses besoins.L'hydrogène pourrait remplacer le gaz naturel, mais son développement n'est pas encore suffisamment avancé en Allemagne. Le gouvernement allemand frappe à toutes les portes pour diversifier ses sources d'approvisionnement mais estime ne pouvoir se passer du fournisseur russe avant mi-2024."Le moins cher""Les dernières décennies, marquées par la dérégulation du marché de l'énergie, nous ont conduits à choisir le gaz le moins cher, celui fourni par le gazoduc russe", a reconnu début février l'ancien vice-chancelier social-démocrate Sigmar Gabriel.Une fin des livraisons entraînerait des "interruptions de production", "des pertes d'emploi" et "des dommages massifs aux installations", a plaidé de son côté le BDI, puissant lobby industriel.Le géant de la chimie BASF a par exemple prévenu qu'une division par deux de l'approvisionnement en gaz russe suffirait pour "arrêter" son emblématique site de Ludwighsafen (Ouest), où travaillent près de 30.000 personnes.Parmi les secteurs les plus vulnérables à la consommation de gaz figurent l'industrie du papier, la sidérurgie et la chimie, selon un rapport de la banque LBBW.Même sans embargo, l'industrie allemande est déjà fragilisée par la flambée des prix de l'énergie, qui ont bondi sur un an de 39,5% en mars, après des augmentations de 22,5% en février et de 20,5% en janvier.Résultat: la verrerie de Tschernitz est à la peine pour rester compétitive face à la concurrence chinoise.Près de 170 gigawatt/heure de gaz sont consommés chaque année dans les fours de l'usine pour chauffer, à plus de 1.600 degrés, la matière première - du quartz ou du dolomite-, et la transformer en verre pour panneaux solaires.
Il y a 3 ans et 50 jours

Gel des avoirs russes : une villa de Biarritz appartenant à l'ex-gendre de Poutine sur la liste

Mi-mars trois hommes qui s'étaient introduits par effraction dans la villa Alta Mira appartenant à Kirill Chamalov, et y avaient déployé le drapeau ukrainien, avaient fait l'objet d'un rappel à l'ordre à l'issue de leur garde à vue, en raison de cette "violation de domicile".Cette villa figure désormais sur la liste, régulièrement actualisée par le ministère de l'Economie et des Finances, des biens immobiliers appartenant aux plus de 500 personnes et entités sous le coup des sanctions prises par l'Union européenne après l'invasion de l'Ukraine par la Russie et faisant l'objet d'un gel pour empêcher leur vente.Son propriétaire Kirill Chamalov est présenté par les médias internationaux comme l'ancien gendre du président russe après son mariage avec Katerina Tikhonova, cadette de M. Poutine.Selon une source proche du dossier, parmi les trois hommes qui avaient pénétré dans cette villa figurent l'activiste local russophile Pierre Haffner, aussi connu comme "gilet jaune", et un homme se présentant comme opposant au régime de Vladimir Poutine.Dans une vidéo que le militant local avait postée sur YouTube, on voyait l'un des deux hommes déambuler dans l'immense demeure construite à flanc de falaise sous Napoléon III et disposant d'une vue imprenable sur l'océan. "Cette maison a été achetée avec de l'argent volé par Poutine, par sa mafia, au peuple russe et aux peuples opprimés par la Russie de Poutine", disait-il en commentaire.Sur une autre vidéo, également postée sur YouTube, le deuxième homme mis en cause brandissait le drapeau ukrainien sur l'une des deux terrasses de la villa, le film portant des sous-titres tels que "victoire à Biarritz. Prise du palais de Poutine".Fin février, l'extérieur de la Villa Suzanna, une demeure de style Art Déco également bâtie face à l'océan à Anglet près de Biarritz, appartenant à une société civile immobilière aux noms de l'ex-épouse du président russe Lioudmila et de son mari l'homme d'affaires russe Arthur Ocheretny, avait été dégradé.
Il y a 3 ans et 50 jours

Deux recours déposés contre le plan de financement de la LGV Sud-Ouest

Ce projet ferroviaire prévoit la construction de deux tronçons à grande vitesse au sud de Bordeaux devant faire gagner une heure de trajet vers Toulouse et 20 minutes vers Dax, pour un coût estimé à 14,3 milliards d'euros - financé à 40% par l'État, 40% par des collectivités locales d'Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine et 20% par l'Union européenne.Ce projet est "une pure folie financière" pris en charge par "des collectivités irresponsables qui s'engagent sur un coût à la hausse inconnue", a dénoncé jeudi en conférence de presse à Bordeaux Denis Tesseire, membre de TransCub, une association locale à la tête d'un groupe de 100 associations opposées au projet.Ce collectif, qui comprend principalement des associations environnementales de Nouvelle-Aquitaine, a déposé un recours le 14 avril devant le tribunal administratif de Toulouse, siège administratif du projet, pour réclamer "l'annulation du plan de financement", selon M. Teisseire.Cette annulation a été également demandée devant la même juridiction dans un recours distinct par un groupe de 81 élus de Nouvelle-Aquitaine et d'Occitanie, ont annoncé les élus dans un communiqué jeudi."Le plan de financement est sévèrement faussé par des approximations qui confinent à l'insincérité et (...) son élaboration s'est accompagnée de procédures abusives qui ont empêché les élus de délibérer sereinement", dénoncent les élus signataires, parmi lesquels le maire EELV de Bordeaux Pierre Hurmic.Après plusieurs refus et critiques en Nouvelle-Aquitaine, le plan de financement avait été bouclé en février, permettant la création début mars d'un établissement public chargé de financer et concrétiser le projet.Plusieurs collectivités ont refusé d'y contribuer (départements du Lot-et-Garonne et de Gironde et communauté d'agglomération Pays basque), tandis que d'autres, comme le département des Pyrénées-Atlantiques et l'agglomération de Dax, ont engagé une participation plus faible qu'attendue.
Il y a 3 ans et 50 jours

Pour peser dans la transition énergétique, l'hydrogène va avoir besoin de bras

INDUSTRIE. À l'occasion d'un salon consacré à cette énergie qui aura lieu en mai à Paris, la filière hydrogène met en avant la dynamique dont elle bénéficie en France comme à l'étranger. Les enjeux sont encore nombreux, notamment sur le plan de la main-d'oeuvre, mais les investissements et la production sont déjà là.
Il y a 3 ans et 50 jours

Création d’une prime au rétrofit électrique pour les véhicules lourds

Alors que les transports représentent aujourd’hui le premier poste d’émissions de gaz à effet de serre en France, 23% des émissions du secteur sont dues aux poids lourds, autobus et autocars. Une transformation en profondeur est indispensable pour atteindre l’objectif fixé de neutralité carbone à l’horizon 2050.Afin de soutenir cette transition, le Gouvernement crée une incitation à la transformation d’un poids lourd, d’un autobus ou d’un autocar à motorisation thermique en véhicule à motorisation électrique grâce à une prime au rétrofit électrique. Cette aide était jusqu’à présent réservée au rétrofit électrique d’une voiture particulière, d’un véhicule utilitaire léger, d’un deux-trois roues ou d’un quadricycle motorisé.Le montant de la prime s’élève à 40% du coût de la transformation du véhicule, dans la limite de 50.000 euros pour un poids lourd et de 30.000 euros pour un autobus ou un autocar.Retrouvez en ligne :Les modalités d’accès à la prime iciLe décret ici
Il y a 3 ans et 50 jours

100 millions d’euros débloqués face au risque de sécheresse

Face au risque de sécheresse, le gouvernement a nommé le préfet Frédéric Veau en qualité de délégué interministériel, le 28 avril. Avec une enveloppe de 100 millions d’euros, il accélérera la mise en œuvre des mesures inscrites au Varenne de l’eau conclu le 1er février dernier par le ministère de l’Agriculture.
Il y a 3 ans et 50 jours

En 2021, le marché des Pac aérothermiques a dépassé le million d'unités

ÉCONOMIE. Le marché de la pompe à chaleur aérothermique a confirmé sa bonne dynamique en 2021, avec une percée, notamment, des équipements air/eau.
Il y a 3 ans et 50 jours

Au premier trimestre 2022, Saint-Gobain toujours en hausse grâce à la rénovation

RÉSULTATS. Le géant des matériaux de construction, Saint-Gobain, est en hausse de plus de 16,4% au premier trimestre 2022. Une performance fruit notamment de la bonne dynamique du marché de la rénovation en Europe.
Il y a 3 ans et 50 jours

RE2020 : le Conseil d'État rejette le recours pour inconstitutionnalité déposé par les filières du béton et de la terre cuite

Fin décembre 2021, plusieurs fédérations industrielles de la construction ont déposé une Question Prioritaire de Constitutionnalité auprès du Conseil d'État pour demander l'annulation « pour excès de pouvoir » des premiers décrets et arrêtés publiés en 2021 concernant les exigences et les méthodes de calcul de la RE2020. Ces organisations estimaient qu'une forme de favoritisme du recours au bois pour la construction de bâtiment était contraire à « la liberté d'entreprendre » et au « principe d'égalité ».« S'il est soutenu que les dispositions contestées établissent une différence de traitement entre la filière bois, qui présenterait de bons résultats en matière de stockage de carbone pendant la durée de vie des bâtiments, et les autres filières et matériaux, il résulte des termes des articles L. 171-1 et L. 171-2 du code de la construction et de l'habitation que les dispositions contestées s'appliquent indifféremment à tous les constructeurs et se bornent à introduire une exigence de résultats minimaux, sans identifier aucun matériau donné. Par suite, et en tout état de cause, il ne peut être sérieusement soutenu que ces dispositions porteraient atteinte au principe constitutionnel d'égalité devant la loi. »Avec la RE2020, « le législateur a entendu favoriser la réduction des émissions de gaz à effet de serre, dans un but de protection de l'environnement » en imposant une attente de résultats en termes de limitation de l'impact sur le changement climatique et calculée sur l'ensemble de la vie du bâtiment et en prenant compte du stockage de carbone durant le cycle de vie du bâtiment. Mais le Conseil d'État précise que « cette obligation n'impose toutefois pas aux acteurs de la construction un choix particulier de matériau, et ne fixe aucune prescription quantitative imposant directement une proportion de matériaux identifiés dans le bâti. L'atteinte ainsi portée à la liberté d'entreprendre des acteurs de la construction par le législateur n'est donc pas manifestement disproportionnée au regard de l'objectif d'intérêt général de protection de l'environnement ».Le Conseil d'État a donc déclaré dans sa décision du 29 mars « que la question de la conformité aux droits et libertés garantis par la Constitution des dispositions contestées ne présente pas un caractère sérieux. Il n'y a, dès lors, pas lieu de la renvoyer au Conseil Constitutionnel ».
Il y a 3 ans et 50 jours

L’UFC-Que Choisir défend devant le Conseil d’État le droit à un prix raisonnable de l'électricité

Alors que cette mesure salutaire est attaquée par plusieurs organisations syndicales d’EDF devant le Conseil d’État, l’UFC-Que Choisir intervient ce jour dans la procédure en soutien du gouvernement compte tenu des effets inflationnistes qui résulteraient de son annulation. L’association demande parallèlement au président de République de prendre toutes les mesures permettant d’écarter une potentielle explosion de 47% des factures d’électricité des consommateurs en 2023.Une mesure gouvernementale limitant la hausse des factures d’électricité contestée par les syndicats de salariés d’EDFAlors que la hausse du tarif réglementé de vente aux particuliers (TRV) aurait pu atteindre 35% TTC en 2022, le gouvernement – sous l’impulsion de la société civile et de la Commission européenne – a pris plusieurs mesures pour la limiter. Parmi elles, outre la baisse de la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité (passée de 22,5 €/MWh à 1 €/MWh), le gouvernement a décidé d’agir sur l’ARENH, un dispositif permettant aux concurrents d’EDF d’acheter à un prix régulé une partie de sa production nucléaire. En relevant le plafond de l’ARENH de 100 à 120 TWh, EDF doit ainsi davantage rendre accessible à ses concurrents – et par capillarité faire bénéficier à leurs clients – l’avantage compétitif du parc nucléaire par rapport aux prix sur les marchés de gros.Les syndicats de salariés d’EDF attaquent actuellement devant le Conseil d’État les textes réglementaires précisant les modalités de ce relèvement du plafond de l’ARENH, en arguant notamment qu’il affaiblirait la situation financière d’EDF. S’il est vrai qu’EDF tirerait davantage profit de la vente de 20 TWh de sa production nucléaire sur les marchés à des cours en pleine ébullition autour de 200 €/MWh plutôt que d’en faire bénéficier les consommateurs français au prix régulé de 46,2 €/MWh, le véritable scandale réside dans le fait que les consommateurs sont privés depuis 2019 de la pleine jouissance de la rente nucléaire (1) alors qu’ils ont financé la construction des centrales, et sont ainsi artificiellement surexposés aux prix de l’électricité sur les marchés internationaux.Une annulation de la hausse du plafond de l’ARENH pourrait entraîner un rattrapage tarifaire de 16%Si la faible sensibilité de ces syndicats au montant de la facture d’électricité peut s’expliquer (puisque les salariés d’EDF bénéficient de « l’avantage énergie » : gratuité de l’abonnement, fourniture d’électricité à un prix équivalent à 4% du prix de base et exonération des taxes) (2), pour l’immense majorité des consommateurs, le prix de l’électricité constitue une préoccupation aussi forte que légitime. Et les conséquences qu’aurait pour les consommateurs une annulation du plafond de l’ARENH seraient concrètes et désastreuses. En effet, en se focalisant sur les seuls intérêts pécuniaires d’EDF, le recours de ses syndicats de salariés passe sous silence le fait qu’une telle annulation contraindrait vraisemblablement les concurrents d’EDF à augmenter leurs prix, mais que surtout les 65% de ménages au TRV seraient également affectés, puisque le TRV est calculé de telle sorte que plus la quantité d’électricité vendue au tarif de l’ARENH est limitée, plus son prix est élevé (3).Concrètement, si la hausse du TRV en 2022 n’avait pas été plafonnée à 4% par le gouvernement, elle aurait atteint 20% avec un plafond d’ARENH à 100 TWh. D’après les calculs de l’UFC-Que Choisir cette hausse aurait été réduite à 10% avec un plafond à 120 TWh. Dès lors, annuler les textes administratifs permettant aux fournisseurs alternatifs d’avoir accès à 20 TWh supplémentaires pourrait aboutir à ce qu’un rattrapage tarifaire de 16% soit effectué sur les factures des consommateurs en 2023 au titre du plafonnement à 4% effectué en 2022. En effet, bien que le gouvernement se soit engagé à ne pas procéder à un tel rattrapage, le flou demeure sur l’effectivité de cette promesse (4).Attention au scénario catastrophe en 2023 : + 47 % de hausse des factures !Limiter le risque d’un rattrapage massif sur les factures en 2023 est d’autant plus indispensable qu’un tel rattrapage viendrait s’ajouter à une hausse des factures qui pourrait déjà être phénoménale hors rattrapage. En effet, compte tenu de la cherté actuelle de l’électricité sur les marchés de gros et de l’absence d’arguments plaidant pour une baisse tangible au cours des prochains mois, l’UFC-Que Choisir estime (5) que la hausse du tarif réglementé en 2023 pourrait faire flamber les factures des consommateurs de 32%. Ainsi, un ménage moyen chauffé à l’électricité verrait sa facture bondir de 1 615 euros à 2132 euros. Si en plus un rattrapage tarifaire intégral en 2023 lié au plafonnement en 2022 du TRV devait avoir lieu, c’est une facture annuelle d’électricité de 2 380 euros (+765 euros, soit +47,3%, par rapport à 2022) qui viendrait peser lourdement et indûment sur le pouvoir d’achat des consommateurs. Soucieuse de préserver le pouvoir d’achat des consommateurs en assurant qu’ils puissent pleinement bénéficier de la compétitivité du parc nucléaire qu’ils ont financé, l’UFC-Que Choisir a donc décidé d’intervenir devant le Conseil d’État pour soutenir le bien-fondé de la décision du gouvernement d’augmenter le plafond de l’ARENH à 120 TWh en 2022. De plus, compte tenu de l’inquiétante perspective inflationniste des factures d’électricité en 2023, l’association presse le Président de la République : D’assurer que l’engagement pris par le ministre de l’Économie de ne pas faire supporter en 2023 aux consommateurs un rattrapage de factures au titre du plafonnement du TRV en 2022 soit traduit dans les faits ; De prendre au plus vite l’ensemble des dispositions permettant de limiter la hausse du TRV en 2023 (augmentation du plafond de l’ARENH à 150 TWh comme le permet la loi, fin de la TVA sur les taxes…). Notes (1) En raison du mécanisme d’écrêtement des demandes ARENH, précédemment décrit dans le détail par l’UFC-Que Choisir. Notons que l’UFC-Que Choisir déplore l’organisation actuelle du marché de l’électricité et formule des propositions de réformes (cf. Ibid.). (2) https://www.ccomptes.fr/system/files/2019-02/06-politique-salariale-EDF-SA-Tome-2.pdf (3) Cf. Ibid. (4) https://www.quechoisir.org/billet-du-president-plafonnement-du-prix-de-l-electricite-la-fausse-promesse-du-gouvernement-n98264/ (5) En se basant sur la formule officielle de calcul du TRV, et en prenant pour hypothèse un prix moyen du produit calendaire base 2023 de 200 €/MWh d’ici à la fin de l’année (un chiffre inférieur à celui actuellement constaté), un prix de 300 €/MWh pour le produit de pointe, et un maintien des autres paramètres ayant dicté l’élaboration du TRV en 2022 (frais de réseaux, prix sur le marché de capacité, coûts commerciaux et marge d’EDF).
Il y a 3 ans et 50 jours

Les Assises de la forêt et du bois s'achèvent sur "une vision ambitieuse"

INDUSTRIE. Conciliabule organisé à l'initiative du Gouvernement, les Assises de la forêt et du bois se sont achevées en proposant "quatre piliers" censés garantir le développement d'une filière en manque de structuration à l'aube d'une probable explosion de la demande en bois pour la construction et pour l'économie bas-carbone. Détails.
Il y a 3 ans et 50 jours

Le Gouvernement veut accélérer le développement de la production de biométhane

Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, annonce ce jour le lancement d’un nouveau dispositif de soutien par appel d’offres pour la production de gaz renouvelable en France. Le premier appel d’offres vise à soutenir la réalisation et l’exploitation d’installations de production de biométhane injecté dans les réseaux de gaz naturel correspondant à une production de 1,6 TWh PCS/an. Ces projets bénéficieront d’un soutien public sous la forme d’un contrat d’achat du biométhane produit.Grâce au soutien significatif apporté par l’Etat, le développement de la filière de production de biométhane s’est accéléré au cours des derniers mois : au 31 décembre 2021, 365 installations injectent du biométhane dans les réseaux de gaz naturel. Leur capacité de production s’élève à 6,4 TWh/an, soit une progression de 56 % en un an. Afin d’atteindre les objectifs fixés par la Programmation pluriannuelle de l’énergie à l’horizon 2028, le développement de la production de biométhane doit s’accélérer pour attendre une production de 14 à 22 TWh par an.L’appel d’offres se divise en 3 périodes. Une première période, avec une date limite de remise des offres en décembre 2022, permettra la contractualisation d’une capacité de production cumulée de 500 GWh PCS/an. Deux autres périodes, avec des dates limites de remise des offres respectivement fixées en juin et décembre 2023, porteront chacune sur la contractualisation d’une capacité de production cumulée de 550 GWh PCS/an. L’appel d’offres porte au total sur une capacité de production de 1,6 TWh PCS/an.Les lauréats bénéficieront d’un contrat d’obligation d’achat du biométhane produit sur une durée de 15 ans. Le lancement de cet appel d’offres permet de mettre en œuvre l'objectif de développement des capacités de production de biogaz mentionné dans le Plan de résilience présenté par le Premier ministre le 16 mars dernier.Par ailleurs, afin d’accélérer le développement de la production de biométhane, le Gouvernement a publié le décret relatif au dispositif de certificat de production de biogaz. Ce nouveau dispositif permettra à l’avenir de compléter les dispositifs de soutien public, en faisant participer les fournisseurs de gaz naturel au développement de la production de biométhane.Ainsi, les fournisseurs de gaz naturel auront désormais l’obligation de contribuer à la production de biogaz, en restituant à l’Etat des certificats de production de biogaz. Les fournisseurs de gaz naturel pourront s’acquitter de cette obligation, soit en produisant directement du biogaz injecté dans un réseau de gaz naturel, soit en acquérant des certificats auprès de producteurs de biogaz.Ce dispositif permet ainsi aux producteurs de biogaz de disposer d’un revenu associé à la commercialisation des certificats de production de biogaz, venant s’ajouter au revenu de la vente physique du biogaz.Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, déclare : « La crise actuelle de l’énergie nous le rappelle : nous devons sortir au plus vite des énergies fossiles en développant rapidement des alternatives décarbonées. Développer nos capacités de production de biogaz est un des leviers pour accélérer et assurer notre indépendance énergétique. Ce nouveau dispositif de soutien par appels d’offre et demain les certificats de production de biogaz, attendus par la filière, nous mettent sur la bonne voie pour atteindre cet objectif. »l’AFG, le Club Biogaz de l’ATEE et le SER saluent les signaux positifs envoyés par le Gouvernement pour l’essor de la filière L’Association Française du Gaz (AFG), le Club Biogaz de l’Association Technique Energie Environnement (ATEE), et le Syndicat des Energies Renouvelables (SER) saluent le lancement de l’appel d’offres « biométhane injecté » et la publication du décret sur les certificats de production de biogaz (CPB), des signaux encourageants qui témoignent d’une volonté d’accélérer le développement des gaz renouvelables en France. Le lancement, mercredi 27 avril, d’un appel d’offres « biométhane injecté » par le Ministère de la Transition écologique et la publication du décret sur les certificats de production de biogaz constituent un vrai signal positif adressé à la filière. Ils témoignent de la volonté du Gouvernement d’accélérer le développement des gaz renouvelables en France pour réussir la transition énergétique, dans un contexte de tensions internationales et de flambée des prix de l’énergie.Ces deux textes tiennent compte des principales observations formulées par nos associations. Ces dernières seront force de propositions pour finaliser ces deux dispositifs afin de maximiser le nombre de projets susceptibles de candidater aux périodes suivantes de l’appel d’offres et de déterminer la trajectoire d’incorporation de biométhane dans le portefeuille des fournisseurs de gaz. Enfin, les signataires réaffirment le haut potentiel des gaz renouvelables. Nos organisations resteront mobilisées aux côtés du Gouvernement pour compléter le cadre économique et réglementaire de l’ensemble des filières de production de gaz renouvelables, retrouver une dynamique de développement qui est aujourd'hui ralentie, et ainsi atteindre 20 % de la consommation de gaz dès 2030.
Il y a 3 ans et 50 jours

Podcast #12 – Arcosanti : Et au milieu du désert, une cité utopique

Raconté par Muriel Carbonnet – Production & réalisation : Sivagami Casimir Article original paru en juillet 2021 dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine C’est une ville en béton compacte et éco-responsable, conçue dans les années 1970 et édifiée depuis par plus de 8 000 personnes. Elle émerge du désert de la Sonora, à 110 km, au Nord de Phoenix, en Arizona, aux Etats-Unis. Ici l’architecture est travaillée. Les formes sont cubiques, angulaires ou absidiales. Les infrastructures unissent le béton brut et le bois. Les fenêtres sont plus volontiers rondes que rectangulaires. Les toits sont construits en escaliers. Et les bâtiments individuels se fondent les uns dans les autres à travers un réseau de couloirs donnant sur le désert environnant. Vous êtes à Arcosanti, une cité écologique créée de toutes pièces par l’Italo-Américain Paolo Soleri (1919-2013). ACPresse · Podcast ACPresse Arcosanti Ecolos avant l’heure Adepte de l’Arcologie (contraction d’architecture et d’écologie), l’architecte voulait montrer qu’il était possible de développer un projet urbain unique. Tout en respectant l’environnement. Thème peu en vogue il y a 50 ans – en dehors peut-être du mouvement hippie -, mais qui trouve tout son sens à notre époque. Ses idées semblent aussi logiques qu’attrayantes… Il s’agit bien d’un “laboratoire urbain”, comme l’annonce le panneau de bienvenue aux portes d’Arcosanti. Dans cette ville idéale auto-suffisante, les habitants n’ont plus besoin de voitures, la notion même de route n’a plus aucun sens. Les espaces de vie et de travail sont indistincts. Fini aussi les ampoules le jour, l’air conditionné l’été, même au beau milieu du désert ! L’ensemble forme un drôle de hameau ramassé, couvert d’oliviers et de cyprès, comme un peu d’Italie que l’architecte aurait semé çà et là. Un zeste loufoque.  Les espaces de vie et de travail sont indistincts. Ici, le Café, moments conviviaux en perspective. [©Elitemedia.network] Les principes de l’Arcologie Le projet s’appuie sur une structure communautaire dirigée par Paolo Soleri. Les réalisations d’Arcosanti ont toutes été construites avant 1990. Le “Crafts III” sert de centre d’accueil pour les visiteurs. Il comprend des magasins et des logements. Sa climatisation est passive organisée autour de systèmes de ventilation et de grandes baies. Le “Ceramics Apse” est une abside en béton coulé en place, en utilisant un moule en terre. Sa forme permet de capter le maximum de lumière en hiver et le minimum en été. On y fabrique des carillons éoliens (“Wind Bell”), l’une des sources de revenus de la communauté. Les formes sont cubiques, angulaires ou absidiales. Les infrastructures unissent le béton brut et le bois. Les fenêtres sont plus volontiers rondes que rectangulaires. [©Rosa Menkman]L’ensemble forme un drôle de hameau ramassé, couvert d’oliviers et de cyprès, comme un peu d’Italie que l’architecte Paolo Soleri aurait semé çà et là. [©Jan Pauw]Les toits sont construits en escaliers. Et les bâtiments individuels se fondent les uns dans les autres à travers un réseau de couloirs donnant sur le désert environnant. [©Ted Major] Le béton à l’honneur Le “East & West Housing” est un bâtiment d’habitation en béton coulé en place ou préfabriqué. Les “Vaults” sont constitués de deux voûtes en berceau non jointives et ouvertes à leurs extrémités, utilisées pour l’organisation d’ateliers, de réunions… Leur partie inférieure est réalisée en béton aussi, tandis que leur partie supérieure est formée de panneaux de béton préfabriqués. Des espaces sont accolées de part et d’autre sur le côté Est pour le stockage et l’atelier paysagiste. Et sur le côté Ouest pour les activités commerciales. Le sommet de la voûte sert de belvédère… Une vie communautaire et assez drastique somme toute pour les quelque 80 personnes qui vivent encore là au quotidien. [©Cody from Phoenix]Les “Vaults” sont constitués de deux voûtes en berceau, utilisées pour l’organisation d’ateliers, de réunions… [©Graeme Maclean] Piscine au milieu du désert environnant. [©heather vescent] Une vie communautaire et assez drastique somme toute pour les quelque 80 personnes qui vivent encore là au quotidien. Défendant toujours les principes de Paolo Soleri, même après sa disparition… Et qui fera peut-être de nouveaux adeptes, l’écologie étant dans l’air du temps ! En savoir plus sur la cité d’Arcosanti Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 50 jours

Un projet Bercy-Charenton à Paris plus vert et moins dense

Les travaux de ce serpent de mer parisien, dont les premières études remontent au milieu des années 2000 sous le précédent maire Bertrand Delanoë, doivent désormais débuter "au mieux" en 2025 pour livraisons entre 2028 et 2030, a indiqué M. Grégoire lors d'une conférence de presse à l'Hôtel de Ville.Il n'y a aura aucun bâtiment de plus de 50 m de haut et la surface totale construite diminuera de moitié, passant de 500.000 m2 à 230.000 m2, notamment en raison de la création d'un parc d'au moins 3 hectares au cœur du futur quartier, a annoncé le bras droit de la maire PS Anne Hidalgo.Des immeubles devaient à l'origine être construits à l'emplacement de ce parc, sur un triangle de pleine terre situé au milieu de faisceaux ferroviaires.Juste à côté, une ancienne gare de marchandises aujourd'hui désaffectée sera elle finalement conservée dans un esprit de "préservation totale de l'héritage ferroviaire", a souligné M. Grégoire.Résultat, le projet ne prévoit plus que d'accueillir 3.500 habitants au lieu des 9.000 prévus en 2018, a indiqué M. Grégoire, même si 2.200 de plus pourraient être à terme logés dans des bureaux réversibles.Le projet vise à désenclaver non seulement la zone coincée entre les rails menant aux gares de Lyon et Bercy, la petite ceinture désaffectée, le périphérique et la Seine, mais aussi la commune voisine de Charenton-le-Pont (Val-de-Marne), via le prolongement de la rue Baron Le Roy qui sera surélevée pour franchir les boulevards des Maréchaux.Avec cette refonte, Bercy-Charenton "devrait coûter moins cher" à la Ville, avec 150 millions de déficit au lieu de 200 millions dans le projet d'origine, qui "imposait trop de lourdes contraintes", a souligné M. Grégoire, rappelant que l'aménageur de la Ville, la Semapa, doit racheter les terrains à la SNCF pour ensuite les revendre.Le compromis trouvé entre socialistes, Verts et communistes, les trois composantes de la majorité d'Anne Hidalgo, est très favorable aux écologistes. Présente lors de la conférence, Emmanuelle Pierre-Marie, la maire EELV du XIIe arrondissement, s'est félicitée de "l'absence d'immeuble de très grande hauteur" qui a "permis de trouver des consensus"."C'est une concession du groupe communiste, sinon il n'y avait rien", a réagi auprès de l'AFP Nicolas Bonnet-Oulaldj, chef des élus communistes parisiens et élu du XIIe."Si le projet ne sort pas, on n'aura rien fait du mandat", a ajouté l'élu communiste en insistant sur le respect de "l'équilibre" trouvé pour les "logements et équipements publics", dont une future piscine "très attendue" dans un arrondissement qui n'en compte que deux pour 140.000 habitants."L'abandon des immeubles de grandes hauteurs de 180 mètres de haut est une avancée indéniable" mais "les immeubles prévus atteignent tout de même 50 mètres et sont très concentrés, ce qui préfigure de véritables îlots de chaleur urbain", a réagi de son côté Valérie Montandon, opposante LR de l'arrondissement.
Il y a 3 ans et 50 jours

Autodesk rachète Spacemaker spécialiste de l'IA pour l'aménagement urbain

A l'occasion d'Autodesk University, Autodesk annonce avoir signé un accord définitif pour acquérir Spacemaker pour un montant de 240 millions de dollars nets (environ 203 millions d'euros). Basé à Oslo en Norvège, Spacemaker utilise l'intelligence artificielle et la conception générative pour aider les architectes, les urbanistes et les promoteurs immobiliers à prendre plus rapidement et de façon mieux avisée, des décisions dans les premières phases d'une opération (en particulier lors des études d'avant-projet). Cela permet également d'intégrer les perspectives de durabilité dès le départ. En évaluant très rapidement, les meilleures options de conception, Spacemaker aide les architectes à optimiser les investissements immobiliers de leurs clients sur le long terme. L'acquisition de Spacemaker dote Autodesk d'une plateforme puissante capable d'apporter, grâce à l'intelligence artificielle, des fonctions modernes et accessibles d'automatisation, et d'accélérer la productivité des architectes en matière de design.Grâce à Spacemaker, les architectes peuvent rapidement créer et évaluer des options de conception relatives à un bâtiment ou à un aménagement urbain. Avec l'intelligence artificielle comme partenaire de l'architecte, la plateforme Spacemaker permet aux utilisateurs de générer, d'itérer et d'optimiser très tôt diverses options de conception, tout en tenant compte des critères de conception et des données comme le terrain, les cartes, le vent, l'ensoleillement, le trafic... Spacemaker génère rapidement des options de conception optimisées pour exploiter au mieux le site. De meilleurs résultats sont ainsi obtenus dès le départ. Les concepteurs peuvent alors se concentrer sur la partie créative de leur métier.« Spacemaker dispose d'une connaissance approfondie de l'automatisation et donne aux concepteurs la possibilité de créer et de tester des idées d'aménagement urbain en quelques minutes », explique Andrew Anagnost, PDG et Président d'Autodesk. « Avec deux milliards d'habitants en plus sur notre planète d'ici 2050, concevoir rapidement et durablement des plans d'aménagement urbain doivent être une priorité. La technologie de Spacemaker apporte un changement fondamental dans la façon dont nous imaginons et construisons les villes, tout en préservant la santé de la population et celle de la planète. »« Chaque décision que nous prenons reflète nos valeurs. L'acquisition de Spacemaker souligne notre engagement à accompagner les architectes et les designers à changer le monde pour le meilleur », déclare Amy Bunszel, vice-présidente principale pour les solutions de conception AEC (architecture, ingénierie, construction) chez Autodesk. « Associée à nos technologies et à nos équipes, la solution révolutionnaire de Spacemaker permettra aux designers de prendre des décisions de conception plus avisées et de contribuer à résoudre certains des plus grands défis qui nous attendent tous. »« Il y a quatre ans, nous nous sommes donnés pour mission d'aider les équipes de conception, d'ingénierie et de projet à réinventer le développement des villes et des quartiers dans le monde entier, pour qu'ils soient plus durables tout en maximisant l'investissement », a déclaré Havard Haukeland, PDG et cofondateur de Spacemaker. « Autodesk partage notre vision : celle de concevoir une planète plus saine pour tous. De plus, Autodesk dispose d'un réseau international unique qui permettra de rendre disponible notre solution plus rapidement auprès des équipes de planification. C'est une étape importante pour notre équipe et pour ceux qui nous ont soutenus depuis le début. »« En Norvège, les promoteurs immobiliers sont à l'avant-garde de la transformation numérique dans le secteur du bâtiment. Cela se traduit à la fois par une rentabilité accrue des projets mais surtout par une meilleure capacité à lutter contre le changement climatique grâce à des développements immobiliers plus durables », a déclaré Daniel Kjørberg Siraj, PDG d'OBOS. « Les entreprises qui rebattent les cartes telles que Spacemaker font partie de la solution. Aussi, il est primordial de leur ouvrir la voie dont ils ont besoin pour avoir cet impact. En tant qu'investisseur et utilisateur de la première heure, je suis très heureux de voir Spacemaker rejoindre Autodesk. J'attends avec impatience de voir cette technologie d'origine norvégienne transformer l'industrie à l'échelle mondiale. »
Il y a 3 ans et 50 jours

Jeudi Webinaire : comment construire un projet d’habitat participatif ? avec Audrey Gicquel

Habiter dans un logement collectif ne fait pas forcément rêver les français. Pourtant, il est une solution d’habitat, qui, si il est co-construit ou rénover et mieux dans une démarche écologique, peut donner toute satisfaction à ses habitants. Cela s’appelle l’habitat participatif.  Nous avons détaillé, il y a quelque temps, les particularités des différents types […]
Il y a 3 ans et 50 jours

Un climat favorable pour les affaires mais des difficultés d'approvisionnement croissantes

Selon le rapport mensuel de l'Insee pour avril 2022, dans l'industrie du bâtiment, les chefs d'entreprise sont légèrement plus positifs sur leur activité passée mais bien moins sur leur activité prévue.
Il y a 3 ans et 50 jours

Aide aux maires bâtisseurs, politique de la ville... Vos textes officiels du vendredi 29 avril 2022

La rédaction du "Moniteur" vous propose une sélection quotidienne des textes officiels intéressant le secteur. Au menu : droit de la construction, urbanisme, commande publique et privée, réglementation technique, logement, social…
Il y a 3 ans et 50 jours

Baisse du CA de Nexity au 1er trimestre, impacté par le ralentissement de l'immobilier commercial

Nexity, qui se présente comme un "opérateur intégré" couvrant tous les métiers de l'immobilier, de la promotion à la gestion de syndic en passant par l'exploitation de résidences, a dégagé 895 millions d'euros de chiffre d'affaires.C'est 21% de moins qu'un an auparavant, 13% sans tenir compte des cessions l'année dernière du réseau d'agences Century 21 et du gestionnaire de résidences seniors Aegide-Domitys.Un chiffre "bien en ligne avec les prévisions", selon le groupe qui maintient ses objectifs financiers pour 2022. "Nexity traverse la période d'instabilité actuelle avec confiance et n'observe pas à court terme d'impact significatif du contexte géopolitique global sur son activité commerciale ou sur l'avancement de ses chantiers. (...) Nous sommes déjà en action pour anticiper et absorber une potentielle dégradation des conditions économiques dans les prochains mois", assure la directrice générale, Véronique Bédague.Le groupe estime être en mesure de faire face à une augmentation "plus prononcée" des coûts des matériaux de construction et à une hausse des taux d'intérêt.La baisse de chiffre d'affaires vient de sa branche Promotion, qui représente près de 80% de son activité. Dans le résidentiel, les réservations de logements neufs restent stables, mais elles rapportent moins car elles ont davantage été le fait de bailleurs sociaux et d'investisseurs institutionnels, dont les commandes sont moins rentables."La poursuite du redressement du nombre de permis de construire obtenus depuis le début de l'année (+17% par rapport au T1 2021) alimentera l'offre commerciale dans les prochains mois", promet néanmoins Nexity.Dans l'immobilier commercial, en revanche, l'activité dégringole. Le groupe, qui avait réalisé en 2021 une importante vente, une tour de bureaux à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), assure que ce repli était attendu dans "un marché en bas de cycle et toujours attentiste."Sa branche Services voit, elle, son activité progresser, après avoir souffert des mesures sanitaires liées à l'épidémie de Covid-19 en 2020 et 2021, notamment dans ses espaces de coworking.
Il y a 3 ans et 50 jours

Soclova et Tri’n’Collect renouvellent leur partenariat

Soclova et Tri’n’Collect renouvellent leur partenariat pour deux années supplémentaires. [©Tri’n’Collect] En septembre 2021, l’acteur du logement social angevin Soclova faisait appel à la start-up Tri’n’Collect, spécialisée dans le recyclage. Cela, afin de valoriser ses déchets issus des chantiers et de limiter les extractions de ressources naturelles. Mais aussi, pour apporter une sécurité et une propreté sur ses chantiers. Depuis, les deux entreprises ont travaillé sur sept projets. Quelques mois plus tard, ils ont ainsi économisé 15 899 kg de CO2, soit 16 allers-retours Paris/New York. Et 67 616 kWh, l’équivalent de 196 mois de consommation électrique d’un foyer moyen en France. Forts de cette amélioration, Soclova et Tri’n’Collect ont renouvelé leur engagement pour deux années supplémentaires. Ainsi, d’ici fin 2022, neuf nouveaux chantiers verront les déchets valorisés du bailleur social. Parmi eux figurent le chantier de la résidence Jean de Beauvau et les mairies de Soucelles (49) et Villevêque (49). Un engagement environnemental mutuel « Dans un contexte de transition écologique et à l’heure de pénurie des matériaux, il devient urgent de s’engager ensemble dans une économie plus locale et durable, déclare Quentin Charoy, dirigeant et co-fondateur de Tri’n’Collect. Plus respectueuse de l’environnement, cette économie circulaire permet aussi la création d’emplois non délocalisables dans nos territoires. » Lire aussi : Dossier : Recyclage et valorisation Et Thierry Lignier, directeur général de la Soclova, d’ajouter : « La Soclova inscrit ses projets de constructions dans une démarche de chantiers éco-responsables. Et c’est dans ce cadre qu’elle souhaite atteindre des niveaux élevés de recyclage de déchets issus de ses chantiers. Et réduire ainsi son impact carbone. Avec l’appui et le support de Tri’n’Collect, ces six premiers mois nous confortent dans notre orientation. Nous souhaitons passer à la vitesse supérieure ».
Il y a 3 ans et 50 jours

Les granulés de bois pour remplacer le gaz russe et le fioul

Les chaudières à granulés de bois sont des générateurs à chargement automatique et peuvent équiper aussi bien une maison individuelle qu’une chaufferie tertiaire ou en pied d’immeuble collectif.
Il y a 3 ans et 50 jours

Ubiwan lance Ubispot*2, son nouveau capteur LTE-M

Aujourd’hui l’entreprise s’appuie sur une équipe de 20 collaborateurs qui accompagnent au quotidien 400 clients dans les secteurs du BTP, de l’industrie et de la maintenance. C’est pour maintenir cette relation privilégiée et pérenne avec eux et répondre à l’évolution de leurs besoins qu’Ubiwan a su faire preuve de réactivité en plaçant la gestion des données géographiques et l’innovation au cœur de sa stratégie de développement, avec le lancement d’ Ubispot*2, son premier capteur LTE-M. Dans ce contexte porteur, Ubiwan adresse un marché de 100 millions d'équipements et vise les 10M€ de CA d’ici 5 ans (vs 1,7M en 2020).La gestion de la mobilité au service des entreprisesSalariés nomades, matériels qui se déplacent et tâches déportées hors de l’entreprise : aujourd’hui, plus de 450.000 entreprises et administrations voient tout ou partie de leur activité s’exercer en dehors de bureaux ou de sites de production.Techniciens, réparateurs, livreurs, artisans, professionnels du TP et bien sûr transport : la gestion de la mobilité est aujourd’hui un enjeu clé pour ces professionnels… et leurs managers. Une solution de géolocalisation et de gestion de flotte répond avant tout aux besoins d’une entreprise qui vise à optimiser le pilotage de son activité hors de ses murs et à en dégager des bénéfices économiques et sociaux profitables à tous au sein de l’entreprise, de la TPE au grand groupe. Ubiwan s’appuie sur la géolocalisation en temps réel pour permettre à ses clients d’obtenir des données fiables sur les localisations et usages de leurs biens et ainsi optimiser l’activité globale de l’entreprise. Le déploiement d’un suivi de flotte se traduit par la présence d’un capteur GPS (Ubispot) branché ou apposé sur les équipements nomades (véhicules, matériels, engins) que l’on souhaite analyser pour, in fine, améliorer leurs performances.Paramétrés pour connecter l’ensemble d’une flotte (voitures, utilitaires, camions, poids-lourds, engins, matériels, containers, bennes etc.) à la plateforme Ubiwan Connect, les capteurs permettent l’accès à une profondeur d’analyse très élaborée. Jusqu’à 250 types de données différentes sont remontées par capteurs : localisation sur une carte interactive, vitesse moyenne du véhicule, déplacements, activités du moteur (arrêt, fonctionnement), comportement du véhicule (freinages, accélérations), inclinaison, etc. Outre la géolocalisation, le déploiement d’une solution de gestion de flotte influe sur la productivité (optimisation des plannings, dématérialisation des feuilles de route, affectation des missions via smartphone), la réduction des coûts d’entretiens des véhicules (utilisation raisonnée, baisse du taux de panne) ou encore la réduction de son empreinte carbone (optimisation des parcours).Mettre en place une solution de géolocalisation de flotte de véhicules implique d’obtenir et manipuler des données qui peuvent être sensibles. Raison pour laquelle cette démarche est soumise à la Réglementation européenne de protection des données personnelles (RGPD). D’un point de vue légal, celle-ci doit être justifiée par les impératifs de l’entreprise, et être acceptée par les collaborateurs. Ubiwan propose à cet effet un manuel destiné aux conducteurs pour encadrer l’utilisation des capteurs (mode privé, géolocalisation désactivée, temps personnel, etc.) afin d’assurer une utilisation respectueuse de l’outil.Ubispot*2, le nouveau capteur LTE-MChez Ubiwan, 50% des effectifs sont dédiés à la R&D. Une stratégie gagnante qui avait déjà permis à l’équipe de concevoir le premier capteur IOT bi-mode autonome 5 ans, primé au Salon Intermat de 2018. L’entreprise signe sa singularité par sa capacité à innover et à proposer des solutions adaptées aux mutations du marché, en témoigne le développement d’Ubispot*2, son nouveau capteur LTE-M.Tout terrain, ce nouveau capteur vient renforcer la gamme de capteurs autonomes et ne nécessite pas de branchement externe. Cette balise GPS permet de géolocaliser les équipements en étant simplement posée, accrochée ou vissée à son support en toute autonomie pendant 3 ans. 1 fois par jour, Ubispot*2 remonte les informations clés pour visualiser en un clic la situation de ses équipements.Extension de la technologie 4G, le LTE-M (Long-Term Evolution for Machines) combine une faible consommation énergétique et une couverture cellulaire étendue. En intégrant le réseau LTE-M, Ubiwan fait le choix d’un réseau fiable et pérenne. Le LTE-M ouvre également la voie à de nouveaux usages, en offrant une connexion performante, même à 100 km/h. Contrairement aux technologies LPWAN (Low-Power Wide Area Network), LTE-M assure la garantie d’acheminement des données et assure continuellement une capacité bidirectionnelle des données.De plus, cette technologie présente l’intérêt d’être accessible au niveau international, avec les mêmes exigences de qualité et de sécurité que tous les réseaux cellulaires et de parfaitement s’adapter au marché des objets connectés (IoT).Fiable et adaptée, tant sur le plan économique que technique, la technologie LTE-M utilisée pour Ubispot*2 offre la synergie d’une solution de géolocalisation optimale et d’une consommation énergétique réduite, idéale pour répondre aux enjeux des acteurs de l’Industrie, du BTP ou de la location.Pour David Babin, CEO Ubiwan : “Notre expertise IOT et notre maîtrise combinée des capteurs et des réseaux nous a permis d'intégrer le réseau LTE-M dans un contexte où le marché des réseaux connaît des évolutions majeures. En 2016, alors que nous étions ambassadeurs de la LORA Lalliance nous prévoyions l’avènement des réseaux LTEM et Narrowband IOT comme vecteurs d’adoption massifs de l’IOT. Notre politique R&D et notre cycle de qualification nous permettent aujourd'hui de considérer LTE-M comme mature et de proposer une solution à la fois innovante, pertinente et robuste pour nos clients. Notre vocation sera toujours d’intégrer les technologies qui représentent l’équilibre technique et économique.”
Il y a 3 ans et 50 jours

Place aux femmes, grâce à la clause sociale

Emploi - Dans le Grand Paris, l'EPT Est Ensemble utilise ce levier pour féminiser le secteur du BTP et répondre à la pénurie de main-d'œuvre : du deux en un !
Il y a 3 ans et 51 jours

Nouvelle méthode de gouvernement : Roux de Bézieux méfiant sur un retour des "grands-messes"

"Oui, le président de la République a été très vertical (...) dans la manière dont il a exercé le pouvoir" et "on voit bien que ça ne peut pas marcher dans le contexte politique actuel. Par contre, moi je ne crois pas qu'il faille retomber dans les grands-messes, où on met tout le monde autour de la table pour parler de tous les sujets en même temps, avec des gens qui sont plus ou moins concernés, tout ça n'aboutissant à rien", a-t-il déclaré lors du "Club de l'économie", organisé par le journal Le Monde.Durant la campagne et après sa réélection, Emmanuel Macron a promis de mettre en place "une nouvelle méthode" de gouvernement, basée sur "une plus large concertation", en particulier pour ses chantiers prioritaires que sont l'école ou la santé, mais aussi sur la future réforme des retraites.Pour le président de la première organisation patronale, "il y a une autre méthode à inventer", qui soit "très segmentée autour de certains sujets", le logement par exemple, et ne réunissant que les acteurs "concernés". Ce n'est "pas la peine de faire ça à grand renfort de Grenelle, de trucs et de machins, qu'on adore en France mais qui ne fonctionnent pas", a-t-il insisté.
Il y a 3 ans et 51 jours

URW proche d'un retour à la normale d'avant-Covid 19

Début 2022, le groupe, propriétaire du Forum des Halles à Paris et du centre commercial de la Part-Dieu à Lyon a dégagé 897,1 millions d'euros de loyers nets.C'est 34% de plus qu'au premier trimestre 2021, quand la lutte contre la pandémie avait largement ralenti l'activité des centres commerciaux, et à peine 5% de moins qu'en 2019.URW se félicite dans un communiqué d'une "forte reprise post-Covid-19".Le chiffre d'affaires des commerçants hébergés par URW est remonté à 93% de son niveau d'avant-Covid 19, et l'a même dépassé aux États-Unis, dont le groupe veut se désengager courant 2022-2023.Au cours du trimestre, il s'est d'ailleurs débarrassé d'un centre commercial à Los Angeles, ainsi que d'un centre à Solna (Suède) et d'une part dans le Carré Sénart en banlieue parisienne. Reflet de sa stratégie de désendettement et de concentration sur les emplacements au coeur des grandes métropoles européennes.La fréquentation de ses centres est cependant restée en retrait au cours du trimestre, à 82% du niveau de 2019. Les visites sont donc "plus productives", explique le groupe.URW, qui a annoncé en mars une nouvelle stratégie publicitaire basée sur la publicité ciblée et l'exploitation des données des visiteurs, a signé un partenariat de 8 ans avec Clear Channel France portant sur 600 écrans installés dans 20 centres commerciaux français.Sa branche expositions, comprenant notamment les parcs des expositions de Villepinte et de la Porte de Versailles, a logiquement bien profité de la fin des mesures sanitaires et de la reprise des évènements en présentiel.
Il y a 3 ans et 51 jours

Déchets du bâtiment : Valdelia salue la consultation publique du projet d’arrêté portant cahier des charges des éco-organismes de la filière

Valdelia, candidat à l’agrément pour élargir ses activités d’éco-organisme à la gestion des déchets de produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment, accueille cette nouvelle avec enthousiasme. L’éco-organisme considère ce texte comme ambitieux, plus équilibré et plus réaliste, qui inscrira progressivement la filière dans une perspective résolument tournée vers l’économie circulaire. Il appelle également les acteurs du bâtiment à se mobiliser autour de lui, et annonce la tenue d’un nouveau colloque intitulé « Bâtir ensemble une filière performante, édition #02 », le 22 septembre 2022, à La Maison de la Chimie, à Paris.Un pas de plus vers l’agrément des éco-organismesLa mise en œuvre de la filière relative à la gestion des déchets issus des produits et matériaux du secteur du bâtiment est bien en ordre de marche. Avec le lancement ce lundi 25 avril 2022 de la consultation publique de l’arrêté encadrant les objectifs qui devront être atteints par les éco-organismes agréés, le cadre réglementaire se précise encore un peu plus. Pour Arnaud Humbert-Droz, Président Exécutif de Valdelia : « Ultime étape avant la constitution de notre dossier de demande d’agrément, nous invitons l’ensemble des professionnels du bâtiment à être acteur de la filière en participant à nos expérimentations, et espérons convaincre les metteurs sur le marché encore indécis d’adhérer à notre modèle d’éco-organisme. »Cette étape fondamentale pour organiser la filière de demain vient conforter Valdelia et ses partenaires dans la nécessité d’accélérer leurs efforts dans le déploiement des expérimentations en cours. Quatre typologies d’expérimentations, déployées actuellement sur tout le territoire national, s’attachent à tester la chaîne opérationnelle complète de la gestion des déchets du bâtiment, et préfigurent d’ores-et-déjà les dispositifs qui seront déployés progressivement au lancement de la filière :La collecte en point d’apport volontaire chez les distributeurs et négoces.La collecte en point d’apport volontaire sur déchetteries professionnelles.La collecte en chantier de construction neuve.La collecte en chantier de rénovation et curage.En parallèle de cette approche pragmatique sur le terrain, Valdelia multiplie les rencontres avec les prestataires de collecte et de traitement pour affiner sa connaissance des savoir-faire actuels et imaginer les solutions qui contribueront non seulement à la seconde vie des produits, mais aussi à la préservation de la qualité des matières recyclées.L’éco-organisme : la réponse à la mise en place de la filièreLa filière REP PMCB et ses exigences réglementaires représentent une nouvelle donne pour tous les acteurs du bâtiment, et sa mise en place entraînera des changements culturels, juridiques et organisationnels dans le monde du bâtiment.Rejoindre le système collectif porté par Valdelia permettra aux professionnels du secteur de disposer d’un outil clé en main à leur service. Malgré un contexte difficile (nouvelles réglementations, problèmes d’approvisionnement matières, etc.), le projet d’arrêté signe un retour optimiste quant à l’entrée en vigueur de la REP PMCB. Il traduit une vision d’avenir et une opportunité de bâtir ensemble une filière industrielle innovante et performante.Pour Arnaud Humbert-Droz, Président Exécutif Valdelia : « Depuis l’arrivée de la nouvelle réglementation découlant de la loi AGEC, l’envie de construire ensemble, d’apporter des réponses opérationnelles, adaptées, respectueuses des intérêts de chaque partie prenante, ne nous a jamais quittés. Plus que jamais, nos équipes sont au travail pour faire en sorte que son application soit facilitée, et que l’ensemble des acteurs du bâtiment, mais aussi du réemploi, de la réutilisation et du recyclage, puissent développer et ancrer leur activité dans l’économie circulaire. »Un nouveau colloque annoncé : "100% opérationnel", dédié aux retours d’expérienceÀ l’occasion du nouveau colloque « Bâtir ensemble une filière performante - édition #02 », qui se tiendra le jeudi 22 septembre 2022 à la Maison de la Chimie à Paris, Valdelia et ses partenaires animeront des tables rondes, pour partager avec les différents acteurs du bâtiment leur vision et leurs retours d’expérience sur les sujets stratégiques de la filière des déchets issus du bâtiment : collecte et diversité des acteurs, traitement et complexité des déchets, réemploi et réutilisation des produits et matériaux, outils prêts à déployés et traçabilité des flux, R&D et innovation, ou encore progressivité et mise en place de la filière.
Il y a 3 ans et 51 jours

Le chiffre d'affaires de Nexity chute au premier trimestre 2022

CONJONCTURE. Le promoteur immobilier français a fait un point d'étape sur son activité commerciale. Il assure pouvoir garantir ses prévisions de chiffre d'affaires pour l'année.
Il y a 3 ans et 51 jours

Un appel d'offres lancé pour soutenir le développement de la production de biométhane

RENOUVELABLES. Le ministère de la Transition écologique annonce lancer un nouveau dispositif de soutien par appel d'offres pour faire passer la production de gaz renouvelable à la vitesse supérieure. Les installations de biométhane correspondant à une production annuelle de 1,6 térawatt-heure PCS sont les premières concernées.
Il y a 3 ans et 51 jours

Humidistop : Concepteur fabricant d'appareils contre l'humidité des murs, le calcaire et les ondes

Tous les produits Humidistop sont fabriqués en France et à prix direct usine. Outre les problèmes de santé qu’elle provoque, l’humidité incarne le plus sûr moyen de dévaloriser son patrimoine. De nombreuses solutions cohabitent sur le marché Français. Mais l’importance est de supprimer la cause du mal, pas seulement ses effets. D’autant que la cause de l’humidité n’est jamais là où le mal est visible, en effet elle se cache derrière vos placos, dans vos sols, entre les pierres, derrière le ciment…L’humidité ne tient pas lieu de fatalité et il est possible de la supprimer. Humidistop propose à tous les particuliers et les professionnels, ses inverseurs de polarité IPE STOP ONE et IPG GEOSTOP à prix usine pour supprimer l’humidité dans les murs (remontées capillaires). L'entreprise a développé depuis de nombreuses années ses propres appareils pour éliminer l’humidité dans les murs et plus particulièrement les remontées capillaires. L’inverseur de polarité électromagnétique IPE STOP ONE et l’inverseur de polarité géomagnétique IPG GEOSTOP sont des solutions qui s’adressent à tous les types d’habitation et s’adaptent à tous les budgets. Ces produits sont appréciés pour leur faible coût, leur rapidité d’installation et leur efficacité. En ce sens elles représentent une forte valeur ajoutée pour la valorisation de votre logement.
Il y a 3 ans et 51 jours

Nouvelle baisse des aides CEE pour les travaux d'isolation dans le résidentiel à partir du 1er mai 2022

En effet, une évolution de la réglementation entre en vigueur et engendre une baisse de 20% à 30% en moyenne du montant des “primes énergie”, l'aide financière du dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie, dédiées à l'isolation thermique des murs, combles, tuyaux d'eau chaude sanitaire et toitures terrasses des bâtiments résidentiels. Décryptage du groupe Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie.Pour Marina Offel, responsable des affaires publiques et juridiques du groupe Hellio : “C'est un des dossiers qui sera sur la table du prochain ministère en charge du logement. L'État a en effet choisi de réduire drastiquement les aides à l'isolation thermique des logements pour contrer les arnaques à 1 euro. Cela est dommageable pour les ménages qui financeront moins bien les projets de rénovation de leur logement, mais aussi pour la filière professionnelle qui s'est structurée pour répondre à la demande, aujourd'hui en pleine crise.Une baisse paradoxale qui intervient au moment où la maîtrise de l'énergie n'a jamais été aussi cruciale pour lutter contre la précarité, le réchauffement climatique et la hausse des prix de l'énergie ! Attention, cette baisse ne concerne pas l'isolation dans le secteur tertiaire, par exemple, qui reste bien subventionnée aujourd'hui.”Baisse des primes financières pour les travaux d'isolation les plus effectués par les ménagesLe 39e arrêté du dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie paru le 10 décembre 2021 vient modifier la réglementation applicable aux aides financières des opérations d'isolation thermique dans le logement.En effet, sont modifiés les montants des primes issues du dispositif des CEE pour les opérations suivantes (1) :Isolation des planchers bas : la nouvelle prime au m2 est en moyenne de 4,73 euros, soit une baisse moyenne de 32%Exemple : en Charente-Maritime (zone climatique H2 des CEE), pour l'isolation des planchers bas d'une maison individuelle de 80m², l'aide CEE passe de 572 euros à 391 euros.Isolation des murs : la nouvelle prime au m2 est en moyenne 6,93 euros, soit une baisse moyenne de 33% pour les logements chauffés à l'électricité, et de 58% pour les logements chauffés au combustible.Exemple : en Charente-Maritime, pour l'isolation des murs d'une maison individuelle de 80 m² avec une surface de murs de 140m² à isoler, chauffée à l'électricité, la prime passe de 1.540 euros à 1.001 euros d'aides CEE.Isolation des toitures terrasses : la nouvelle prime au m2 est en moyenne de 5,26 euros, soit une baisse moyenne de 26%.Isolation des réseaux d'eau chaude sanitaire, ou “calorifugeage” : la nouvelle prime par mètre linéaire est en moyenne de 24,77 euros, soit une baisse moyenne de 21%. (1) La nouvelle prime au m² indiquée correspond à la moyenne des nouveaux forfaits sur la France à 5 500 euros du GWhc. Modifications techniques des dossiers d'obtention des primes financièresLe même arrêté publié en décembre, complété par l'arrêté du 18 février 2022, précisent d'autres modifications concernant :La visite préalable obligatoire avant la pose de l'isolation des murs et des planchers bas,Le respect d'un délai de réflexion de 7 jours entre la signature du devis et la pose de l'isolant des murs,Le respect des définitions précisées des différents procédés d'isolation,La résistance thermique nécessaire de l'isolant.
Il y a 3 ans et 51 jours

La CAPEB adopte un Plan de transformation stratégique et une feuille de route

La CAPEB accueille avec impatience les Assises du bâtiment annoncées par Bruno Le Maire lors de la séance officielle. Enfin, elle entend nourrir ses réflexions pour l’avenir des petites entreprises du bâtiment, comme elle a commencé à le faire ce 22 avril dans le cadre de son Congrès.A l’occasion de son Assemblée générale qui s’est tenue à Paris les 21 et 22 avril 2022, la CAPEB a adopté un plan de transformation stratégique, le plan CAP CAPEB, nourri des réflexions et des propositions de l’ensemble de son réseau pendant plus d’une année. Au travers de ce plan, la CAPEB entend adapter et moderniser ses pratiques actuelles pour mieux répondre aux besoins et aux attentes des entreprises artisanales du bâtiment, et dynamiser l’ensemble de son réseau en s’appuyant notamment sur ses compétences.Réunis en Assemblée générale, les présidents et délégués des CAPEB départementales ont adopté par ailleurs quatre résolutions résumant leurs priorités dans les domaines de l’économie de l’artisanat du bâtiment, des techniques et des professions, des compétences et de la formation professionnelle et enfin, de la protection sociale et de l’emploi.Validé par les délégués à l’unanimité lors de cette Assemblée générale, la CAPEB publiera dans les prochains jours son rapport d’activité pour l’année 2021 qui sera également mis en ligne sur son site capeb.fr.Enfin, au cours de la séance officielle qu’elle a organisée le 22 avril, la CAPEB a accueilli les représentants des deux candidats à l’élection présidentielle. Au vu des résultats de dimanche, la CAPEB prend donc acte et retient la proposition annoncée en primeur par Bruno Le Maire, en tant que représentant du candidat Emmanuel Macron, qui a invité la CAPEB à participer, après les élections législatives, à des Assises du bâtiment. La CAPEB se félicite de cette initiative qui s’impose en effet, compte tenu de la crise que connaît le secteur de la construction en termes de prix et d’approvisionnements.La CAPEB se félicite également de l’avis positif de Bruno Le Maire, exprimé en réponse à une question posée par la CAPEB, quant à la modification des règles de la mesure de la représentativité proposée par la CAPEB et l’U2P, pour que les TPE puissent occuper leur juste place.D’ici là, la CAPEB continue de porter ses revendications et ses priorités auprès des candidats aux élections législatives, résumées dans son Livre blanc.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « La CAPEB peut se réjouir d’avoir un réseau mature et décidé à se moderniser pour être encore plus efficace dans l’accompagnement des entreprises du bâtiment au quotidien. Le Plan de transformation, CAP CAPEB, permettra à la CAPEB de renforcer ses atouts au bénéfice de tous. Comme l’ont montré les débats du Congrès que nous avons organisés ce 22 avril, les entreprises artisanales du bâtiment peuvent renforcer leur place de leader dans les années qui viennent et ont de belles perspectives devant elles en termes d’activité. Elles savent s’adapter mais devront se réinventer, malgré l’environnement et les fortes concurrences auxquels elles doivent faire face. »
Il y a 3 ans et 51 jours

Plus de 7.200 sites de friches répertoriés avec l'outil Cartofriches

URBANISME. Des milliers de sites viennent d'être ajoutés à cette cartographie lancée en 2020. Les collectivités et porteurs de projets peuvent trouver via cette application une friche dans le secteur qui leur convient.
Il y a 3 ans et 51 jours

RealWear améliore ses casques à réalité augmentée pour l'industrie et la construction

RealWear, un leader mondial des systèmes mains libres intelligents portés sur la tête, lance la version 12 de son firmware qui apporte une expérience utilisateur améliorée pour l’ensemble de ses devices. Cela comprend de nouvelles fonctionnalités allant d’une stabilisation vidéo améliorée à une dictée dans le cloud renforcée, en passant par la prise en charge d’Android 10.Les nouvelles mises à jour du firmware de RealWear apportent à la caméra du modèle phare de casques HMT-1 une stabilisation vidéo en temps réel. Celle-ci contribue à éliminer les micromouvements indésirables liés aux actions naturelles de l’utilisateur, ce qui permettra une collaboration plus fluide entre les équipes sur le terrain et les collaborateurs à distance. Le logiciel assure la détection des mouvements, un haut degré de précision, la capture dynamique du flou, l’EVS (stabilisation électronique de la vidéo) et des performances en mode basse consommation.« La version 12 promet d’apporter aux travailleurs de première ligne encore plus de clarté lorsqu’ils sont sur le terrain », commente Jon Arnold, vice-président des ventes EMEA de RealWear. « Avec un grand nombre de nos clients qui dépendent désormais de la technologie portable, il est essentiel que les travailleurs de première ligne puissent fournir la meilleure clarté et visibilité possible d’un site à leurs équipes et collègues qui peuvent être basés à distance. La version 12 répond à cette exigence en proposant une prise en charge linguistique supplémentaire, une dictée vocale améliorée et une stabilisation vidéo. »Outre la stabilisation vidéo, la version 12 apportera les mises à jour suivantes pour le HMT-1­:RealWear HMT-1 mis à niveau vers Android 10 - La version 12 mettra à niveau le firmware et les applications natives du casque RealWear HMT-1 vers Android 10. Cela améliore la fonctionnalité, la convivialité et la sécurité du dispositif. Tout nouveau RealWear Explorer - RealWear Explorer est un outil d’aide RealWear gratuit, très populaire et utile, qui fonctionne sur Mac ou Windows PC et qui reflète l’écran d’un HMT-1 sur l’écran d’un ordinateur. RealWear Explorer a été conçu à l’origine pour les développeurs, mais il est également très populaire auprès des utilisateurs finaux. En plus de tester l’interface utilisateur, il est idéal pour faire des démonstrations à un groupe plus important sur un grand écran afin de montrer le point de vue du travailleur de première ligne, pour tester les applications en cours de développement et pour faciliter la saisie des mots de passe. RealWear Explorer est compatible avec le HMT-1 et le HMT-1Z1. La société a ouvert ces derniers mois de nouveaux bureaux sur des marchés importants et a récemment annoncé qu’elle avait franchi une étape importante en livrant des dispositifs portables à plus de 3 000 entreprises clientes uniques dans le monde entier, dans divers secteurs.En raison de la pandémie et des restrictions de voyage qui en ont résulté, les ingénieurs n’ont plus été en mesure de se rendre dans les usines et les installations pour aider, en personne, les techniciens sur place. Par conséquent, RealWear est rapidement devenu le dispositif portable de choix pour la collaboration virtuelle à distance afin de dépanner les équipements et d’effectuer des contrôles de qualité, des audits, des inspections, des visites d’usines et des tests d’acceptation de produits et d’usines (FAT). Encouragées par ce succès, des sociétés de collaboration de premier plan dont Microsoft, Cisco et Zoom ont adapté leurs logiciels pour tirer pleinement parti de la solution de réalité augmentée de RealWear, qui est le choix des travailleurs de terrain de certaines des plus grandes marques industrielles du monde.RealWear développe des casques portables mains libres à commande vocale, conçus dès le départ pour répondre aux besoins uniques des secteurs du pétrole et du gaz, de la logistique et du transport, de la fabrication, de la santé et de l’automobile. Le produit phare de la société, le HMT-1, est le premier ordinateur tablette de classe Android, robuste et porté sur la tête, qui libère les mains des travailleurs pour les tâches dangereuses. Contrairement aux autres appareils disponibles sur le marché, le HMT-1 sert de dispositif de travail collaboratif toute la journée. Il offre aux travailleurs de terrain une autonomie de 9 à 10 heures à travers des utilisations variées. Les batteries sont également remplaçables à chaud pour éviter les temps d’arrêt ou la perte de progrès pendant le travail.
Il y a 3 ans et 51 jours

RealWear améliore ses casques à réalité augmenté pour l'industrie et la construction

RealWear, un leader mondial des systèmes mains libres intelligents portés sur la tête, lance la version 12 de son firmware qui apporte une expérience utilisateur améliorée pour l’ensemble de ses devices. Cela comprend de nouvelles fonctionnalités allant d’une stabilisation vidéo améliorée à une dictée dans le cloud renforcée, en passant par la prise en charge d’Android 10.Les nouvelles mises à jour du firmware de RealWear apportent à la caméra du modèle phare de casques HMT-1 une stabilisation vidéo en temps réel. Celle-ci contribue à éliminer les micromouvements indésirables liés aux actions naturelles de l’utilisateur, ce qui permettra une collaboration plus fluide entre les équipes sur le terrain et les collaborateurs à distance. Le logiciel assure la détection des mouvements, un haut degré de précision, la capture dynamique du flou, l’EVS (stabilisation électronique de la vidéo) et des performances en mode basse consommation.« La version 12 promet d’apporter aux travailleurs de première ligne encore plus de clarté lorsqu’ils sont sur le terrain », commente Jon Arnold, vice-président des ventes EMEA de RealWear. « Avec un grand nombre de nos clients qui dépendent désormais de la technologie portable, il est essentiel que les travailleurs de première ligne puissent fournir la meilleure clarté et visibilité possible d’un site à leurs équipes et collègues qui peuvent être basés à distance. La version 12 répond à cette exigence en proposant une prise en charge linguistique supplémentaire, une dictée vocale améliorée et une stabilisation vidéo. »Outre la stabilisation vidéo, la version 12 apportera les mises à jour suivantes pour le HMT-1­:RealWear HMT-1 mis à niveau vers Android 10 - La version 12 mettra à niveau le firmware et les applications natives du casque RealWear HMT-1 vers Android 10. Cela améliore la fonctionnalité, la convivialité et la sécurité du dispositif. Tout nouveau RealWear Explorer - RealWear Explorer est un outil d’aide RealWear gratuit, très populaire et utile, qui fonctionne sur Mac ou Windows PC et qui reflète l’écran d’un HMT-1 sur l’écran d’un ordinateur. RealWear Explorer a été conçu à l’origine pour les développeurs, mais il est également très populaire auprès des utilisateurs finaux. En plus de tester l’interface utilisateur, il est idéal pour faire des démonstrations à un groupe plus important sur un grand écran afin de montrer le point de vue du travailleur de première ligne, pour tester les applications en cours de développement et pour faciliter la saisie des mots de passe. RealWear Explorer est compatible avec le HMT-1 et le HMT-1Z1. La société a ouvert ces derniers mois de nouveaux bureaux sur des marchés importants et a récemment annoncé qu’elle avait franchi une étape importante en livrant des dispositifs portables à plus de 3 000 entreprises clientes uniques dans le monde entier, dans divers secteurs.En raison de la pandémie et des restrictions de voyage qui en ont résulté, les ingénieurs n’ont plus été en mesure de se rendre dans les usines et les installations pour aider, en personne, les techniciens sur place. Par conséquent, RealWear est rapidement devenu le dispositif portable de choix pour la collaboration virtuelle à distance afin de dépanner les équipements et d’effectuer des contrôles de qualité, des audits, des inspections, des visites d’usines et des tests d’acceptation de produits et d’usines (FAT). Encouragées par ce succès, des sociétés de collaboration de premier plan dont Microsoft, Cisco et Zoom ont adapté leurs logiciels pour tirer pleinement parti de la solution de réalité augmentée de RealWear, qui est le choix des travailleurs de terrain de certaines des plus grandes marques industrielles du monde.RealWear développe des casques portables mains libres à commande vocale, conçus dès le départ pour répondre aux besoins uniques des secteurs du pétrole et du gaz, de la logistique et du transport, de la fabrication, de la santé et de l’automobile. Le produit phare de la société, le HMT-1, est le premier ordinateur tablette de classe Android, robuste et porté sur la tête, qui libère les mains des travailleurs pour les tâches dangereuses. Contrairement aux autres appareils disponibles sur le marché, le HMT-1 sert de dispositif de travail collaboratif toute la journée. Il offre aux travailleurs de terrain une autonomie de 9 à 10 heures à travers des utilisations variées. Les batteries sont également remplaçables à chaud pour éviter les temps d’arrêt ou la perte de progrès pendant le travail.
Il y a 3 ans et 51 jours

Guide technique pour l’ITE sous enduit des façades

Knauf vient d’éditer un tout nouveau guide technique pour l’ITE sous enduit des façades. Il s’appuie notamment sur un ouvrage de référence, validé par Efectis France et le CSTB, le « Guide de Préconisations – Protection contre l’incendie des façades béton ou maçonneries revêtues de systèmes d’ITE par enduit sur PSE V2 », publié en septembre 2020 par l’AFIPEB, le SIPEV et le SNMI. Le document de 60 pages facilite la compréhension des récentes évolutions règlementaires pour la protection des personnes contre les risques d’incendie dans les établissements recevant du public et immeubles de logements collectifs. Knauf va encore plus loin que le guide syndical dans la simplification de la compréhension de la réglementation et sa mise en application. Le guide en traite les principes pratiques, en fonction des types de bâtiments (IMH jusqu’à 28 mètres de hauteur), et de leurs spéci cités (balcon, garage…), qu’il s’agisse de construction neuve ou de rénovation. Il décrit de manière très concrète les dispositions relatives à chaque type et à chaque point singulier, avec de nombreux exemples de bonnes pratiques. Ce sont plus de 100 vues de détail qui sont présentées pour la mise en œuvre. Knauf illustre également dans ce guide les différentes alternatives possibles de protection incendie, avec des guides de choix et un lien direct vers les solutions produits Knauf. https://www.knauf.fr/focus-produit-isolant/nouveau-guide-knauf-ite-sous-enduit   Cet article Guide technique pour l’ITE sous enduit des façades est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 51 jours

Un "pack résistance" proposé gratuitement par la Capeb Grand Paris

La Capeb Grand Paris a mis à jour un document PDF téléchargeable gratuitement, résumant les outils à la disposition des artisans du bâtiment pour surmonter les difficultés de la crise actuelle.
Il y a 3 ans et 51 jours

La gamme Usystem Roof s’élargit avec deux nouveaux panneaux de toiture en fibre de bois pour une isolation éco-responsable

Pour qu’isolation thermique, confort d’été et construction durable ne fassent qu’un, Unilin Insulation étoffe sa gamme de panneaux de toiture Usystem Roof avec de la fibre de bois. Deux nouveaux produits voient ainsi le jour : Usystem Roof OS Comfort Natural et Usystem Roof DS Natural Wool.Des matériaux durables au service de l’efficacitéLes nouveaux panneaux Usystem Roof d’Unilin Insulation conviennent particulièrement à l’isolation par l’extérieur des rampants de toiture en bio-construction, en neuf comme en rénovation.Ils offrent tous les avantages de deux matériaux durables (fibre de bois et polyuréthane pour Usystem Roof OS Comfort Natural et fibre de bois pour Usystem Roof DS Natural Wool) caractérisés par des cycles de vie étendus et une réduction des émissions de gaz à effet de serre des bâtiments.USYSTEM Roof OS Comfort NaturalUsystem Roof OS Comfort Natural est un panneau de toiture bi-matière 3 en 1 assurant à la fois le support de couverture, l’isolation thermique et la finition intérieure du plafond.Il permet de traiter toutes les configurations de manière traditionnelle : découpes noues et arêtiers, débords de toiture, fenêtres de toit, passage de cheminées, ...Composé de mousse de polyuréthane, de fibre de bois (60 mm) et d’un écran de sous-toiture HPV intégré, Usystem Roof OS Comfort Natural offre une isolation thermique performante, tout en préservant le toit des risques d’humidité, pour un confort en toute saison : gain de chaleur en hiver et maintien de la fraîcheur en été !L’écran de sous-toiture permet un jointement parfait sans bande ni manipulation complémentaire grâce aux recouvrements adhésifs intégrés pour un temps de pose réduit et une sécurité optimale des couvreurs.USYSTEM Roof DS Natural WoolPanneau sandwich chevronné à base de fibre de bois (densité de 50 kg/m3) et pare-vapeur intégré, Usystem Roof DS Natural Wool est une solution constructive bio-sourcée assurant l’isolation thermique et acoustique, le confort d’été et la ventilation du bâtiment.Autorisant de grands entraxes entre pannes, il convient à toutes les formes de toiture en pente et il est aussi facile à mettre en œuvre que le caisson chevronné Usystem Roof OS Comfort Natural. Il existe en version non lattée pour la pose parallèle à l’égout.Des finitions intérieures pour tous les goûtsPour répondre à toutes les envies en matière de décoration intérieure, les solutions Usystem Roof avec fibre de bois d’Unilin Insulation sont proposées dans une large gamme de finitions pour les plafonds, de la finition semi-finie à la finition complète :jusqu’à 12 finitions semi-finies personnalisables,2 décors synthétiques texturés pour une esthétique contemporaine (Deco White etDeco Beige),4 finitions bois véritable, brut, flotté, cérusé pour un intérieur authentique.Moins carbonés, les nouveaux panneaux de toiture avec fibre de bois Usystem Roof répondent aux exigences de la réglementation RE2020, contribuant à la réduction des émissions sur le cycle de vie du bâtiment. Ils sont par ailleurs éligibles à MaPrimeRénov'. Enfin, ils sont certifiés ACERMI, gage de qualité.
Il y a 3 ans et 51 jours

Pompe à chaleur 3 en 1 Qlima – Un choix essentiel au confort de la maison

Les pompes à chaleur (PAC) air/air connaissent un fort engouement en France. Ces systèmes, au mode de fonctionnement simple mais ingénieux, permettent d’allier confort et éco-nomies d’énergie, avec un impact moindre sur l’environnement. Assurant à la fois le chauffage de l’habitation et son rafraîchissement, les pompes à chaleur réversibles offrent un confort thermique idéal dans […]
Il y a 3 ans et 51 jours

TUBESCA-COMABI lance sa dernière échelle d’accès dalle complétant ainsi son offre pour le BTP et le transport

Tubesca-Comabi, leader français dans la fabrication et la commercialisation de solutions d’accès et de travail en hauteur, complète son offre de produits à destination du BTP grâce à une nouvelle échelle d’accès dalle et des évolutions produits notamment sur l’échelle de fouille. Cette gamme performante permet désormais de répondre à l’ensemble des besoins du gros oeuvre […]
Il y a 3 ans et 51 jours

Nanoleaf dévoile ses nouveaux accessoires les Lines Skins

Paris, le 22 avril 2022 – Nanoleaf, pionnier de l’éclairage connecté lance de nouveaux accessoires pour les Nanoleaf Lines, la toute nouvelle génération d’éclairage d’ambiance pour l’intérieur de la maison, ses loisirs et ses espaces de travail hybrides avec les Nanoleaf Lines Skins.  Les Nanoleaf Lines sont des barres lumineuses LED rétroéclairées à couleurs changeantes. […]
Il y a 3 ans et 51 jours

JO2024 : lancement des travaux du Centre aquatique de Marville en Seine-Saint-Denis

Ce jeudi 21 avril ont officiellement été lancés les travaux de construction du futur Centre aquatique de Marville, en présence de Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-Denis, Yasmine CAMARA, Conseillère régionale d'Île-de-France déléguée spéciale aux Jeux olympiques et paralympiques, Pierre RABADAN, Adjoint à la Maire de Paris en charge du sport, des Jeux olympiques et paralympiques et de la Seine, Emmanuel CONSTANT, Vice-président du Département de la Seine-Saint-Denis chargé de l'Education et des Jeux olympiques et paralympiques, Zaïnaba SAÏD-ANZUM, Conseillère départementale déléguée au Sport, Mathieu HANOTIN, Président de Plaine Commune, Maire de Saint-Denis, et Gilles POUX, Maire de La Courneuve. Après une phase de conception, d'études et d'obtention du permis de construire, les travaux, débutés, en janvier 2022 sous la direction d'un groupement d'entreprises mené par GCC, s'achèveront en octobre 2023. Le site sera livré pour les Jeux en janvier 2024, avant une ouverture au grand public en septembre 2024. Cet équipement est financé à hauteur de 30,5 millions d'euros (valeur 2016) par la SOLIDEO, grâce notamment aux importantes contributions de la Ville de Paris et du Conseil Départemental de la Seine-Saint-Denis à son budget, et avec le soutien également de la Région Île-de-France. Un héritage sportif majeur pour la Seine-Saint-Denis Ce nouveau centre aquatique remplacera l'actuelle piscine ouverte en 1975 au sein du Parc départemental des sports de Marville situé entre les communes de Saint-Denis et de La Courneuve. Il offrira un espace totalement neuf de 4 600m2 dont près de 1 600m2 de plan d'eau, avec des bassins intérieurs et extérieurs, un espace bien-être et balnéothérapie, deux solariums, une plage aqualudique ou encore une lagune de jeux. Pendant les Jeux Olympiques, le Centre aquatique accueillera les entraînements de water-polo. Après 2024, ce nouvel équipement public renforcera considérablement l'offre aquatique du parc des sports de Marville, que ce soit pour une pratique sportive ou de loisirs, des clubs, des groupes scolaires et des habitant.e.s de la Seine-Saint-Denis. Le futur Centre aquatique s'inscrit ainsi pleinement dans le « Plan piscines » de 40 millions d'euros voté par le Département fin 2015 et visant à la rénovation de la moitié des piscines et à la construction de 5 nouvelles piscines en Seine-Saint-Denis. Un effort essentiel pour un territoire qui compte moins de 60 m2 de bassin de natation pour 10 000 habitants, contre plus de 160 m2 en moyenne en Île-de-France, et où plus de 50% des élèves entrant en 6ème ne savent pas nager.Un projet au cœur de la transformation du Parc des sports de MarvilleLe Centre aquatique s'inscrit dans le cadre du projet d'aménagement du Parc des sports de Marville. Ce site de 33 hectares, dont le Département est gestionnaire depuis 2019, bénéficiera de 30 millions d'euros d'investissement (hors Centre aquatique) afin de réhabiliter ses équipements sportifs pour en faire un site sportif structurant à l'échelle de la Seine-Saint-Denis tant en matière de pratiques sportives conventionnées que de pratiques sportives libres pour toutes et tous.« Le futur Centre aquatique de Marville constitue l'un des principaux héritages sportifs des Jeux de 2024 pour la Seine-Saint-Denis. Dans un territoire où nous manquons fortement d'infrastructures en matière de natation, ce futur Centre aquatique démontre à quel point les Jeux peuvent être un accélérateur des politiques publiques et de la pratique sportive pour toutes et tous, qu'elle soit de loisirs ou tournée vers la compétition. »Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-Denis« Dès la rentrée 2024, les habitants de Seine-Saint-Denis et de Paris, et en particulier les plus jeunes d'entre eux, pourront bénéficier de ces nouveaux bassins qui auront accueilli les meilleures équipes du monde de water-polo pour leur préparation aux Jeux de 2024. Ce nouvel équipement concrétise les retombées positives et durables des Jeux sur nos territoires, notamment pour l'amélioration nécessaire de l'offre sportive nautique. »Pierre RABADAN, Adjoint à la Maire de Paris en charge du sport, des Jeux olympiques et paralympiques et de la Seine