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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 3 ans et 136 jours

Frédéric Plasseraud élu nouveau directeur commercial et marketing de Wienerberger France

Frédéric PLASSERAUD, 50 ans, est diplômé d’un Master marketing de l’IFAG de Toulouse.Il débute sa carrière, en 2000, comme responsable marketing du Groupe V33, fabricant de peinture et de produits d'entretien et de traitement du bois. En 2015, il intègre le Groupe Siniat comme Directeur Marketing. Pendant six ans, il est chargé, pour la France, de la stratégie marketing produits et innovation, de la communication, de l'assistance technique et de la prescription. Fort de son expérience marketing dans l'aménagement intérieur et l'enveloppe du bâtiment, et de sa forte orientation clients, du prescripteur au poseur, Frédéric PLASSERAUD a la volonté de poursuivre la stratégie de croissance de Wienerberger France en réponse aux enjeux du monde de la construction : RE2020, REP, transformations digitales ...Pour Frédéric PLASSERAUD, nouveau Directeur Commercial et Marketing : " Mettre le client au cœur de notre stratégie pour gagner en proximité et préférence, innover pour proposer un habitat sain et durable, sont des enjeux essentiels pour l'entreprise que continueront à porter l'ensemble des équipes commerciales et marketing de Wienerberger France."Wienerberger commercialise aujourd’hui des marques à forte notoriété : Koramic pour la tuile terre cuite, Aléonard pour les tuiles pour bâtiments historiques, Terca pour la brique apparente et Porotherm pour la brique de structure.
Il y a 3 ans et 136 jours

Partenariat pour l’économie circulaire dans la construction de logements sociaux

Agyre, hub d’accélération national pour une économie circulaire dans la construction, et Valor Promotion, spécialiste de la vente en bloc d’immeubles entiers à bailleurs et investisseurs, associent leurs expertises pour inscrire la démarche de l’économie circulaire le plus en amont des projets de construction de logements conventionnés. La construction de 28 logements sociaux (un bâtiment collectif en R+2 et 5 maisons individuelles) en hyper centre ville de Saran est une première opération commune estampillée économie circulaire. Elle est conduite comme un démonstrateur transposable à d’autres communes après exploitation des retours d’expérience. Agyre accompagne le projet pour répondre à l’objectif d’exemplarité environnementale de Valor Promotion, notamment en termes de ressources en matière, énergie et eaux, de suivi et de tri de déchets et pour satisfaire à ses ambitions environnementales et énergétiques : Certification Prestaterre Mention Label BEE+ (Bâtiment Énergie Environnement +), option Économie de charges et démarche de chantier propre.  Pour palier aux diverses contraintes du site, en particulier en termes de logistique, délais, budget, pollutions, Agyre réalisera un accompagnement méthodologique du chantier, dès son démarrage en janvier 2022 avec le désamiantage et la déconstruction des pavillons résidentiels du site datant des années 1970. Pour ce faire, Agyre attachera une attention particulière à la logistique, avec l’identification des filières locales et structurées et la prise en compte du transport, du stockage, du tri et de la traçabilité des ressources du site, dans l’objectif de réduire la production des déchets, d’optimiser la consommation des ressources et d’éviter les externalités carbone. Agyre assurera également la sensibilisation et la formation des différents acteurs du projet pour favoriser leur montée en compétences sur les questions d’économie circulaire et veillera au respect du planning des travaux et du budget pour une meilleure viabilité économique de l’offre.  Promoteur : Valor Promotion Maître d’ouvrage : SCCV La FontaineAssistance à maîtrise d’ouvrage économie circulaire : Agyre Maître d’œuvre de conception : CYM Architecture   Cet article Partenariat pour l’économie circulaire dans la construction de logements sociaux est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 136 jours

Knauf sort un nouveau panneau biosourcé et recyclé

Knauf enrichit son Offre Globale avec Knauf ThermaSoft®natura, une isolation biosourcée destinée à l’isolation intérieure des bâtiments. Elle est fabriquée en France à partir de chutes de coton issues d’ateliers de confection textile, de fibres de jute recyclées à partir des sacs de denrées et de fibres de lin extraites de matière non valorisée de la production française. L’aspect doux et semi-flexible des panneaux permet une mise en œuvre facile et agréable, il ne se délite pas et dégage peu de fibres textiles pendant sa découpe et sa manipulation. Le format 1250 x 600 mm permet d’accompagner les entraxes habituels de 600 mm en aménagement intérieur, ainsi que de réaliser une hauteur d’isolation de 2,5 m avec simplement 2 panneaux, sans découpe ou ajout. La compressibilité et l’effet ressort de l’isolant assurent une adaptation aux défauts du support ou l’incorporation de gaines. Knauf ThermaSoft® natura affiche un Lambda (λ), de 0,038 W/m.K et une densité de 40 kg/m3 pour une bonne isolation du froid mais aussi le confort d’été. Cet article Knauf sort un nouveau panneau biosourcé et recyclé est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 137 jours

L'enquête sur les liens entre Bernard Laporte et Mohed Altrad touche à sa fin et devrait déboucher sur un procès

Dans une série d'articles diffusés depuis mardi 18 janvier, le quotidien L'Équipe a révélé des éléments de l'enquête ouverte en 2017, dont le contenu d'un rapport de la Brigade de répression de la délinquance économique (BRDE) remis au parquet en juillet.En 76 pages, les policiers y détaillent les conditions d'attribution au groupe Altrad du sponsoring du maillot du XV de France, le contrat d'image signé entre les deux hommes et les appels de Bernard Laporte à Jean-Daniel Simonet, le président de la commission d'appel de la Fédération française de rugby (FFR).Ce rapport est "une construction intellectuelle essentiellement à charge", contredite par les éléments du dossier judiciaire, s'agace Me Jean-Pierre Versini-Campinchi, l'avocat de Bernard Laporte, à la tête de la FFR depuis 2016.D'autres avocats de la défense ont également dénoncé un rapport "très à charge" et souligné que le PNF n'aurait pas suivi les enquêteurs sur l'intégralité des accusations.Dans une note datée du 21 décembre citée par ces conseils, le parquet anticorruption a détaillé les infractions qu'il entendait retenir parmi celles visées par l'enquête (favoritisme, prise illégale d'intérêt, trafic d'influence, corruption...) et les personnes qui pourraient être citées devant le tribunal correctionnel.Le PNF s'orienterait vers des poursuites pour Bernard Laporte, Mohed Altrad et Claude Atcher, directeur général du comité d'organisation du Mondial 2023, ont indiqué à l'AFP des sources proches du dossier, confirmant les informations de L'Équipe. "Infractions hypothétiques"Cette note "ne reprend pas à son compte toutes les hypothétiques infractions pénales énumérées par les policiers", a prévenu M. Laporte dans l'un de ses trois droits de réponse au quotidien.Selon plusieurs conseils, les échanges entre le parquet et les avocats se poursuivent, ces derniers ayant la possibilité d'adresser aux magistrats financiers des éléments pour étayer leur défense."Aucune citation directe n'a été délivrée dans ce dossier à ce jour", a confirmé à l'AFP le PNF.Une décision devrait être prise dans les prochaines semaines et un procès pourrait se tenir d'ici à la fin de l'année, selon les avocats.Le PNF avait ouvert une enquête préliminaire en 2017 pour examiner entre autres les liens entre Bernard Laporte et Mohed Altrad, à la tête du groupe de BTP Altrad et du club Montpellier Hérault Rugby (MHR).La justice soupçonne l'ancien sélectionneur des Bleus (2000-2007) d'avoir usé de son influence pour que l'entreprise de Mohed Altrad, un ami proche et grand argentier du rugby, devienne le sponsor maillot du XV de France à un prix préférentiel.Dans leur rapport cité par L'Équipe, les policiers évoquent ce contrat accordé en 2018 pour 6,8 millions d'euros.Une première estimation avait évalué le sponsor à 9,9 millions d'euros, selon le quotidien sportif.Cette attribution "est exempte de tout reproche", s'est défendu M. Laporte dans un droit de réponse au quotidien: "il n'y a eu ni remise ni cadeau au bénéfice du groupe Altrad". "Du mécénat !""Comment peut-on reprocher à Mohed Altrad de faire une affaire ? Qu'a-t-il obtenu en contrepartie ? Son nom sur un maillot ? Vous mettez 6,8 millions pour avoir votre nom sur le maillot ? C'est du mécénat !", a rétorqué Me Versini-Campinchi."La proposition à neuf millions n'a été acceptée par personne. Tous les sponsors importants et toutes les agences de communication ont été interrogés et tous ont dit que 6,8 millions d'euros, c'est un prix exceptionnel !", a-t-il développé.Mohed Altrad a rejeté les accusations mercredi 19 janvier sur Sud Radio. Contacté par l'AFP, son avocat n'a pas souhaité s'exprimer.Les enquêteurs soupçonnaient aussi Bernard Laporte d'être intervenu auprès du président Simonet pour faire diminuer des sanctions contre Montpellier, le club de M. Altrad, sur la base de nombreux appels entre les deux hommes fin juin 2017.Pendant quatre ans, "on a passé au scanner Bernard Laporte et son entourage. Le supposé coup de téléphone à M. Simonet est passé aujourd'hui au deuxième plan, il n'est même plus question qu'il fasse l'objet de poursuites", croit savoir Me Versini-Campinchi.Bernard Laporte, ancien secrétaire d'État chargé des Sports de Nicolas Sarkozy (2007-2009), avait été placé en garde à vue en septembre 2020, quelques jours avant sa réélection à la tête de la FFR.Mohed Altrad, Claude Atcher et deux hauts responsables de la Fédération, son vice-président Serge Simon et son responsable des relations internationales Nicolas Hourquet, avaient aussi été entendus.
Il y a 3 ans et 137 jours

La consultation sur le périphérique parisien a coûté 350.000 euros

Dans un courrier daté du 5 janvier, la candidate LR à l'élection présidentielle indique que le budget de cette consultation est constitué de "crédits de fonctionnement de la transformation numérique", pour la plateforme en ligne, et de ceux de la "communication institutionnelle" pour ce qui concerne "l'information des usagers".Selon la région, près de 80.000 personnes ont participé à cette consultation et se sont opposés à 90% à la "suppression d'une voie de circulation pour tous" sur le périphérique, objet d'une bataille politique avec la mairie de Paris qui en a la gestion.La mairie, dirigée par la socialiste Anne Hidalgo, elle aussi candidate à la présidentielle, envisage de réserver cette voie au covoiturage, aux transports en commun voire aux véhicules électriques à l'issue des Jeux olympiques 2024, pendant lesquels elle sera réservée aux participants.L'adjoint (EELV) aux transports de la mairie David Belliard considère donc que cette voie ne sera pas "supprimée" mais "transformée", et avait accusé Mme Pécresse de "mensonge".L'analyse des quelque 46.000 explications de vote est en cours, indique Mme Pécresse, même si des "grandes lignes apparaissent avec force", notamment sur "le risque d'augmentation de la congestion et de la pollution" et "les difficultés pratiques" liés au projet de la mairie.Mme Pécresse, qui avait promis un référendum sur le sujet lors de sa campagne de réélection, début 2021, a aussi réclamé via le syndicat régional des transports qu'elle préside, Ile-de-France Mobilités, de récupérer la gestion du boulevard périphérique.Utilisé chaque jour par un million de véhicules, ce dernier "compte moins de 20% d'usagers parisiens et 40% des trajets se font de banlieue à banlieue", souligne-t-elle dans son courrier, en réponse au conseiller régional PS Jean-Marc Germain, mari d'Anne Hidalgo, et au président du groupe socialistes et apparentés, Maxime des Gayets.Contacté par l'AFP, ce dernier a déploré la "gestion Pécresse" : "après avoir dépensé 130.000 euros pour tenter de bloquer la piétonnisation des voies sur berges portée par la Ville de Paris, Valérie Pécresse aura donc gaspillé 350.000 euros pour une opération de communication insincère et sans objet d'intérêt général", estime-t-il.
Il y a 3 ans et 137 jours

Efficacité énergétique, hydrogène, stockage du gaz : l'Europe accorde ses violons

TRANSITION ÉNERGÉTIQUE. Dans le cadre de la présidence française du Conseil de l'Union européenne, les ministres de l'Énergie du Vieux Continent se sont réunis pour aborder plusieurs dossiers : prix du marché, efficacité énergétique, hydrogène, stockage du gaz... Peu de décisions concrètes en sont sorties, mais une trajectoire commune a été définie et les gouvernants attendent maintenant un rapport coordonné des régulateurs européens.
Il y a 3 ans et 137 jours

Méthanor soutient financièrement Evergaz

INVESTISSEMENT. Société spécialisée dans le financement et l'exploitation de projets d'énergies renouvelables, Methanor, vient de débloquer une enveloppe en OCA (Obligations Convertibles en Actions) afin d'apporter son soutien à Evergaz, un spécialiste de la méthanisation.
Il y a 3 ans et 137 jours

Un partenariat pour encourager l'économie circulaire dans le monde HLM

CONSTRUCTION. L'organisme Agyre et Valor promotion viennent de passer un partenariat visant à dynamiser le recours à l'économie circulaire dans la construction de logements sociaux.
Il y a 3 ans et 137 jours

PFUE : bilan des discussions entre les ministres européens de l'énergie

Cette réunion informelle a permis des avancées dans les négociations sur les thématiques des prix de l’énergie, de l’efficacité énergétique et de l’hydrogène.1ère session de travail : les prix de l’énergie pour les consommateurs européensDepuis septembre dernier, les marchés européens de l'énergie font face à une crise historique, causée principalement par l'envolée des cours des énergies fossiles. Si des mesures d'urgence ont été prises aux niveaux européen et national pour protéger les consommateurs, l’Union et les États membres doivent désormais renforcer des stratégies de moyen et long terme pour se prémunir de telles situations à l’avenir.Les 27 ministres européens de l'Énergie, Christian Busoi, président de la commission de l’Énergie du Parlement européen, Kadri Simson, commissaire à l’énergie, et Christian Zinglersen, directeur de l'Agence de coopération des régulateurs de l’énergie (ACER), ont échangé sur des révisions ciblées de la réglementation, dans le cadre des objectifs de l’Union européenne que sont notamment la transition vers une économie bas-carbone, la sécurité des approvisionnements et la maitrise des prix de l’énergie pour les consommateurs. Plusieurs axes de travail ont émergé de cette première session d’échanges :Donner les moyens à chaque consommateur de choisir l'offre de fourniture et l'exposition au risque qui lui convient le mieux, tout en assurant son information sur les risques et opportunités associés ;Favoriser le partage des dividendes de la décarbonation avec les consommateurs particuliers et les entreprises. Plus concrètement, en cas de forte croissance des prix et, dès lors, des bénéfices de certains producteurs, il conviendrait de permettre aux États membres d’en récupérer une partie pour pouvoir les redistribuer à tous les consommateurs.Perfectionner l'optimisation conjointe des moyens de production au sein de l'Union, grâce à des marchés de court terme plus efficaces ;Approfondir la solidarité mutuelle en termes de sécurité d'approvisionnement et réfléchir aux meilleurs moyens de consolider, au moindre coût, les investissements de demain dans la transition énergétique, notamment les énergies renouvelables, mais aussi assurer l'approvisionnement en gaz et rechercher un usage optimisé des capacités européennes de stockage.La Commission européenne et l'ACER vont intégrer ces différents axes de réforme dans leurs réflexions. La remise du rapport commandé à l'ACER est prévue pour avril prochain, avant que les ministres de l'Énergie ne se retrouvent lors du Conseil énergie en juin.2ème session de travail : l’efficacité énergétique Avec la proposition de révision de la directive efficacité énergétique publiée par la Commission le 14 juillet dernier, l'Union européenne doit fournir des efforts supplémentaires significatifs en termes de réduction de sa consommation énergétique d'ici 2030, pour s'inscrire durablement sur la trajectoire de l'Accord de Paris et l'atteinte de la neutralité carbone en 2050. La matinée de travail s’est donc poursuivie avec un échange sur le principe de primauté de l'efficacité énergétique. Une grande majorité des États membres considère dorénavant que l’application de ce principe doit être effective dans toutes les politiques publiques de l’Union et de ses États membres, tout en laissant à ces derniers la flexibilité minimale pour s'adapter à la diversité des situations nationales. Autre point de convergence souligné par les ministres : l’obligation annuelle d’économies d‘énergie tient un rôle central au sein de la directive, puisqu’elle représente un levier majeur pour la décarbonation et pour la réduction de la part des ménages en situation de précarité énergétique.3ème session de travail : l’hydrogène en EuropeLe 11 décembre 2020, le Conseil des ministres a adopté des conclusions sur l’hydrogène, confirmant l’objectif d’accélérer le développement de l’hydrogène décarboné.La Commission a donc entamé dès 2020 un important travail d’évolutions réglementaires avec la publication de sa stratégie hydrogène, la révision du règlement sur les infrastructures énergétiques transeuropéennes, celle de la directive sur les énergies renouvelables publiée en juillet dernier, puis celle du « paquet gaz » en décembre. Ultime étape des réunions informelles d’Amiens, ce déjeuner de travail a ainsi permis aux ministres de l’Énergie de rappeler leur volonté de créer en Europe une chaîne de valeur de l’hydrogène souveraine, associée à une filière industrielle. De nombreux ministres ont souligné les risques associés à des flux d’importation massive, mais aussi la nécessité d’un cadre réglementaire flexible pour ce marché émergent.Les États membres se rejoignent tous sur l’opportunité que représente l’hydrogène dans la décarbonation des activités industrielles et des mobilités lourdes, ainsi que sur la nécessité d’accélérer le développement de solutions techniques européennes, notamment celle de l'électrolyse.
Il y a 3 ans et 137 jours

Numérique : le Gouvernement poursuit son accompagnement, le Bâtiment n'est pas oublié

TRANSITION NUMÉRIQUE. Le gouvernement a lancé un vaste plan pour soutenir les TPE et PME dans leur mutation numérique. Avec ce troisième appel à projets, plus de 93 000 entreprises pourront être accompagnées via des formations dans leur transformation. Le Bâtiment n'est pas oublié.
Il y a 3 ans et 137 jours

L'architecte Dominique Perrault signe le renouveau de la Poste du Louvre

PATRIMOINE. Le plus célèbre bureau de poste de France a rouvert ses portes au public, après des années de travaux. Au coeur de Paris, cet édifice aux façades en pierre marqué par le mouvement du classicisme a été modernisé. Visite en images de ce bâtiment industriel de la fin du XIXème siècle...
Il y a 3 ans et 137 jours

Le Sénat s'empare du débat sur l'assurance emprunteur

Soutenue par le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, la proposition de loi "pour un accès plus juste, plus simple et plus transparent au marché de l'assurance emprunteur", portée par la députée Patricia Lemoine (groupe Agir), a été adoptée à la quasi-unanimité par l'Assemblée nationale en première lecture.Le marché de l'assurance emprunteur est évalué à près de 10 milliards d'euros de cotisations par an, et concerne près de sept millions de propriétaires ayant un crédit en cours.L'objectif de la proposition de loi est d'introduire davantage de concurrence dans le secteur bancaire, en position de force dans ce domaine (88% de part de marché), et celui des assurances, afin de faire baisser le coût de ces assurances.Depuis 2010, la loi Lagarde permet aux emprunteurs d'opter pour une autre assurance que celle proposée par leur banque. Et plusieurs autres lois ont ensuite déjà œuvré pour plus de concurrence, permettant notamment aux clients de changer d'assurance tous les ans, mais les assureurs alternatifs accusent les banques, qui détiennent la majorité du marché, de faire obstruction.Cette possibilité "fonctionne" et a conduit "à une baisse effective des coûts" pour les assurés, assure pour sa part le rapporteur du texte au Sénat Daniel Gremillet (LR).Les sénateurs ont supprimé en commission la possibilité de résiliation à tout moment, estimant que ce dispositif ne créerait pas de nouvelles économies, mais risquerait de pénaliser les publics âgés et fragiles. Ils ont à la place proposé de renforcer l'information des assurés sur le droit actuel.L'assureur aurait en particulier l'obligation d'informer chaque année son client de son droit de résiliation ainsi que des modalités de mise en œuvre de ladite résiliation et des différents délais qu'il doit respecter. La notion de "date d'échéance", à partir de laquelle est calculée aujourd'hui la période durant laquelle l'assuré est autorisé à résilier, serait clarifiée. Fin du questionnaire de santé ?Interrogé par l'AFP, Eric Maumy, directeur général du courtier grossiste en assurance April et membre de l'Association pour la promotion de la concurrence en assurance des emprunteurs (Apcade), a dit "avoir beaucoup de mal à comprendre que le Sénat puisse devenir le porte-parole de banquiers contre les consommateurs".Le cabinet de courtages Wedou assurances a lui adressé une lettre ouverte à la candidate LR à la présidentielle Valérie Pécresse pour lui demander sa "position officielle" sur le sujet, jugeant "surprenant à plus d'un titre" le rejet par la majorité sénatoriale de la possibilité de changer d'assurance emprunteur à tout moment.L'association de consommateurs UFC-Que Choisir a calculé que la réforme permettrait de libérer 550 millions d'euros de pouvoir d'achat par an.Autre modification majeure introduite en commission par les sénateurs : la suppression du questionnaire médical pour les prêts immobiliers de moins de 200.000 euros qui arrivent à leur terme avant le 65e anniversaire de l'emprunteur.Le gouvernement a d'ores et déjà déposé des amendements pour tenter de revenir sur ces deux points dans l'hémicycle.D'autres points devraient également être âprement discutés, dont la réduction du délai du "droit à l'oubli" pour les pathologies cancéreuses et l'ouverture à de nouvelles maladies de la convention dite AERAS (s'Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé).L'assurance emprunteur couvre divers risques comme le décès, la maladie ou l'invalidité, protégeant à la fois les emprunteurs et les banques contre un éventuel défaut de remboursement.Si les sénateurs restent en séance sur leur version, et qu'ensuite députés et sénateurs ne parviennent pas à un compromis en commission mixte paritaire, c'est l'Assemblée nationale qui aura le dernier mot.
Il y a 3 ans et 137 jours

Quels changements pour les français qui se chauffent au fioul ?

À partir du 1er juillet 2022, il sera donc interdit de faire installer une nouvelle chaudière fioul. Effy fait le point sur les changements qui attendent les Français qui se chauffent au fioul et présente sa radiographie de la France du fioul.VRAI / FAUX sur l’interdiction de changement de chaudière fioul au 1er juillet 2022 [Faux] Au 1er juillet 2022 je n’aurai plus le droit de me chauffer avec une chaudière au fioul.L’utilisation de sa chaudière fioul reste autorisé. En revanche il ne sera plus possible d’en faire installer une neuve. [Faux] Au 1er juillet 2022, je ne pourrai plus acheter de fioul pour remplir ma cuve. Les familles pourront continuer à remplir leur cuve au besoin pour leur chaudière existante en 2022 et après. [Faux] Au 1er juillet 2022, si ma chaudière fioul tombe en panne, je devrai m’en débarrasser. L’interdiction ne concerne pas la réparation des appareils déjà installés. Les interventions techniques éventuelles, tel le changement du brûleur sont possibles, sans contrainte ou obligation de changer sa chaudière. [Faux] Je n’ai pas le gaz, je vais devoir passer à l’électricité. Ma facture va exploser !D’autres alternatives à l’électricité existent comme le granulé de bois. Par ailleurs avec l’installation d’une pompe à chaleur, la facture de chauffage sera en réalité divisée par deux en moyenne. [Faux] Installer un nouveau système de chauffage va me coûter des milliers d’euros. Les aides à la rénovation énergétique (MaPrimeRénov’, Prime Effy) peuvent couvrir jusqu’à 90 % du coût du chantier pour les familles très modestes. Radiographie de la France du fioul Cette radiographie de la France du fioul s’appuie sur la compilation de données publiques, adossée à une vaste enquête d’opinion menée par Effy auprès de 1500 familles qui se chauffent au fioul. Un travail nécessaire pour poser en chiffres et en données concrètes la réalité de ces familles.
Il y a 3 ans et 137 jours

Collectivités : l'investissement à la relance

Les planètes de l’investissement public local paraissent s’aligner, sous l’effet conjoint du cycle électoral, du rattrapage post-Covid et de France Relance. Mais les situations varient selon la taille des collectivités et les stratégies diffèrent. LeMoniteur.fr vous propose un tour d'horizon.
Il y a 3 ans et 137 jours

Délais de paiement : Bercy élargit le champ d'action du comité aux pénuries de matériaux

CRISE. Le ministère de l'Économie, le Médiateur des entreprises et la Banque de France ont décidé d'élargir les missions du comité sur les délais de paiement aux tensions d'approvisionnement en matières premières. En assurant une "transversalité" du dispositif, ce sont toutes les filières et toutes les tailles d'entreprises qui sont désormais concernées.
Il y a 3 ans et 137 jours

France Matériaux : orientations stratégiques 2022 dévoilées au Carrefour des Partenaires

A l’occasion de la 11ème édition du Carrefour des Partenaires, organisée les 12 et 13 janvier 2022 à Chambéry, FRANCE MATÉRIAUX, groupement national de négoces en matériaux indépendants, a accueilli ses 147 adhérents et 180 partenaires industriels fabricants. Ponctuées par une plénière, des ateliers pratiques, des rencontres d’affaires et la remise des Trophées 2022, ces deux journées d’échanges ont permis à Eric Petitdemange, Directeur Général, de dévoiler les orientations stratégiques du groupement pour gagner en performance, dynamiser et développer le réseau. 2022, UN PLAN STRATÉGIQUE POUR RELEVER LES DÉFIS D’AUJOURD’HUI ET CONSTRUIRE DEMAIN, ENSEMBLE Face à l’accélération des changements, à la concentration du secteur et aux différentes mutations, FRANCE MATÉRIAUX a redéfini ses orientations pour relever les défis d’aujourd’hui et construire demain, ensemble. Lors de la 11ème édition du Carrefour des Partenaires, FRANCE MATÉRIAUX a ainsi présenté les grands axes que le groupement va déployer pour accompagner ses adhérents et les faire gagner en efficacité grâce à une stratégie qui capitalise à la fois sur des outils digitaux et une palette de services physiques. Le premier objectif vise à améliorer leur performance grâce au lancement de deux nouvelles offres de qualité professionnelle : • SIGNÉ PRO, du mortier et béton en sac de 25 kg, à un tarif défiant toute concurrence, négocié par la centrale CMEM à la demande de ses membres dont FRANCE MATÉRIAUX. • LES ÉLÉMENTAIRES, une collection spécialement développée par la commission sol de FRANCE MATÉRIAUX pour ses adhérents spécialistes et généralistes. Elle se compose de produits normés (carrelage, revêtements de sol stratifiés et sols souples). De plus, FRANCE MATÉRIAUX renforce son pôle Services avec la création d’une première base logistique commune située en Occitanie et de nouveaux outils parmi lesquels : • le déploiement du Programme de fidélisation HORIZON pour les adhérents grâce à un site internet dédié ; • la mise en ligne de la plateforme MAESTRO réservée aux professionnels clients des points de vente, leur offrant des avantages et remises sur leur consommation de frais généraux (location de voitures, d’engins, …) ; • les nouveaux catalogues sur les isolants bio-sourcés et la gamme sol LES ÉLÉMENTAIRES ; • le Bureau de la Performance Energétique destiné à renforcer l’expertise et la capacité de conseil de ses adhérents et de leurs clients installateurs RGE dans le montage des dossiers d’aide à la rénovation énergétique (dispositif CEE et MaPrime Rénov’). Véritable accompagnement clé en main, celui-ci doit leur permettre de mieux capter ce type de chantiers. Seconde priorité de FRANCE MATÉRIAUX, dynamiser et développer son réseau de partenaires en commençant par une nouvelle charte graphique qui reflète l’ambition du groupement de renforcer son positionnement d’enseigne nationale et référente du négoce matériaux multi-spécialiste indépendant. Le logo modernisé avec pour signature « Construire demain, ensemble » exprime le positionnement de la marque FRANCE MATÉRIAUX et installe son discours. Une formule impactante, facile à mémoriser qui fait la part belle à ses fondamentaux : à visage humain, libre et indépendante, fière de son histoire, engagée, connectée, pragmatique et experte. Ainsi dynamisée, la marque s’adresse directement à son écosystème (industriels, adhérents, clients professionnels et particuliers). Inédite, cette identité visuelle sera déclinée sur tous les supports ainsi que sur le nouveau site internet de France Matériaux. FRANCE MATÉRIAUX met également à disposition de ces adhérents « monfrancematériaux », un extranet pour encore mieux communiquer entre-eux et répondre aux enjeux de la transformation digitale. En effet, comme le souligne Philippe DESSERTINE, intervenant au Carrefour des Partenaires, « le digital prend une place de plus en plus forte et sa valeur augmente dans tous les secteurs. Les entreprises qui réussissent seront celles qui auront intégré cette nouvelle façon de fonctionner. Au sein de FRANCE MATÉRIAUX, il convient d’y penser tous ensemble pour tous profiter des avancées des uns et des autres et les répandre pour que le secteur continue à vivre ». Tel est l’objectif de ce nouvel outil. Enfin, conscient que 60% de ses adhérents ont plus de 50 ans, le groupement lance LA FINANCIERE FRANCE MATÉRIAUX. Les missions de cette structure juridique reposent sur : • l’aide dans les processus de création d’entreprise, de transmission et de développement par croissance externe, • le conseil en droit des affaires et ressources humaines. LES TROPHÉES FRANCE MATÉRIAUX 2022 : LES PARTENAIRES INDUSTRIELS FABRICANTS RÉCOMPENSÉS Suite aux réponses au questionnaire adressé par FRANCE MATÉRIAUX à ses adhérents pour évaluer leurs fournisseurs sur trois critères essentiels : relation commerciale, dynamique de l’offre et qualité de service, les Trophées FRANCE MATÉRIAUX 2022 ont été attribués à : • ROCKWOOL pour la Relation Commerciale Ce trophée est l’expression des adhérents sur différents critères portant sur la présence et la dynamique commerciale, mais aussi sur l’accompagnement pour gagner ensemble. • NICOLL pour la Dynamique de l’Offre Ce prix récompense la largeur de l’offre et la capacité d’innovation de l’industriel. • CPG ILLBRUCK TREMCO pour la Qualité de Service Ce trophée le distingue non seulement pour sa qualité mais aussi pour son taux de service, de la commande à la facturation. FRANCE MATÉRIAUX, LA FORCE D’UN RÉSEAU NATIONAL ASSOCIÉ À L’EXPERTISE DE PARTENAIRES INDÉPENDANTS DE PROXIMITÉ Né en 2001, de la volonté de plusieurs adhérents de s’unir, FRANCE MATÉRIAUX est un groupement national de négoces en matériaux indépendants généralistes ou spécialistes en gros-œuvre, second-œuvre, bois et panneaux, menuiserie, aménagement intérieur et extérieur, travaux publics et environnement. Ensemble, ils partagent l’ambition commune d’offrir le meilleur à leurs clients tout en conservant leur liberté et leur indépendance. Présidé par M. Guillaume Dumas depuis juin 2021 et dirigé par M. Eric Petitdemange, FRANCE MATÉRIAUX regroupe 147 adhérents, 1800 collaborateurs, 237 points de vente répartis sur 67 départements du territoire français. Le réseau a réalisé un chiffre d’affaires de 850 M€ HT en 2021. https://www.france-materiaux.fr/
Il y a 3 ans et 137 jours

L'immobilier de luxe en France a battu des records en 2021

"C'est vraiment l'année qui a battu tous les records", se félicite auprès de l'AFP Alexander Kraft, PDG de l'agence Sotheby's International Realty France. "2020 était déjà une très bonne année, ce développement continue en pleine force en 2021, et ça continue même jusqu'à aujourd'hui".Comme ses concurrents dans l'immobilier "de prestige" Barnes et Daniel Féau, l'agence a largement battu son record de transactions en France l'an dernier : +42% en un an.Pour la seule région parisienne, par rapport à 2019, la meilleure année jusque-là, le nombre des ventes a bondi de 39% pour Daniel Féau. Barnes, de son côté, a fait 30% de transactions en plus qu'avant la pandémie."Résidences semi-principales"Des chiffres portés par l'envie de vert et d'espace : chez Daniel Féau, le nombre des ventes de maisons et d'hôtels particuliers avec jardin a presque triplé en deux ans."Les clients sont à la recherche d'espaces verts, de terrasses, de jardins, et lorsqu'ils sont dans les grandes villes, ils vont dans la périphérie. C'est pour cela que les Hauts-de-Seine et les Yvelines ont clairement explosé au niveau des ventes de maisons et des ventes d'appartements avec terrasse", témoigne pour l'AFP Thibault de Saint-Vincent, président de Barnes."Les gens, avec les confinements, se sont rendus compte que le lieu de vie était peut-être le facteur décisif pour la qualité de vie, et pourquoi rester dans un appartement si on peut avoir plus de verdure et plus d'espace ailleurs ?", explique Alexander Kraft.D'où l'engouement pour les biens situés loin de Paris, tandis que les prix stagnent dans la capitale.Barnes observe que les ventes et les prix ont "explosé" sur la côte atlantique, la côte basque ou à Deauville, avec des propriétés parties pour 3, 5 ou même 10 millions d'euros.Le département "Propriétés et châteaux" de l'agence, plutôt centré sur la campagne, a aussi "clairement repris des couleurs", explique Thibault de Saint-Vincent.Au point de déceler un phénomène de "résidences semi-principales" : avec l'essor du télétravail, des propriétaires achètent un bien en région en conservant un pied-à-terre en région parisienne."C'est une tendance qu'on a vu apparaître après le premier confinement, et elle se voit au niveau mondial : on a des New-Yorkais qui vont s'installer en Floride ou dans les Hamptons (littoral à l'est de New York, NDLR), des Parisiens qui vont s'installer sur la côte basque...", observe Thibault de Saint-Vincent.Les Français portent le marchéBarnes comme Sotheby's observent que le fossé se creuse entre les biens impeccables, sans défaut majeur, et ceux, même de luxe, sans terrasse ni jardin, ou situés à un étage bas, ou avec des travaux à faire."Les acheteurs sont devenus plus gourmands. Ils n'ont pas nécessairement envie de faire des gros travaux, de restaurer, de rénover... ils veulent acheter des biens qui sont déjà en bon état, qui ont déjà des atouts comme des piscines, des grandes cuisines bien équipées, des chambres avec des salles de bain en suite... et ils sont prêts à payer un prix pour ça", relève Alexander Kraft.En France, ce sont encore les Français qui portent le marché, assure-t-il. Les étrangers "sont prêts à acheter, mais évidemment il n'y a pas beaucoup de gens prêts à acheter sans avoir visité le bien", explique-t-il, estimant entre 90 et 95% la part de Français parmi ses clients l'an dernier, contre environ 50% en temps normal."La clientèle française d'entrepreneurs, de jeunes travaillant dans les nouvelles technologies, de jeunes ayant fait des investissements très profitables dans les cryptos, commence à apparaître", note Thibault de Saint-Vincent, qui voit cependant la clientèle étrangère revenir progressivement depuis le printemps 2021.De quoi lui faire pronostiquer une "très belle année" 2022, quoiqu'un peu en deçà de 2021.
Il y a 3 ans et 137 jours

Toulon Provence Méditerranée investit avec raison

En 2022, la métropole Toulon Provence Méditerranée maintient ses efforts d’investissements. Lors de l’adoption, le 16 décembre, de son budget primitif 2022 établi à 675,8 millions d’euros, elle a voté 287 millions d’euros de dépenses d’équipements. Ses ambitions s’inscrivent dans une stratégie de la sincérité qui repose sur deux impératifs : arriver à un taux d’exécution des crédits entre 60-70% et maintenir un autofinancement de 50 millions d’euros.
Il y a 3 ans et 137 jours

Le Sfic, Cimbéton, et l’Atilh fusionnent sous la bannière Sfic

Le Sfic, Cimbéton et l’Athilh se sont regroupés sous la bannière Sfic. [©DR] Le Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic), le Centre d’information sur le ciment et ses applications (Cimbéton) et l’Association technique de l’industrie des liants hydrauliques (Atilh) se sont tous les trois regroupés sous la bannière Sfic. Cette fusion des 3 organismes de l’industrie cimentière ne remet en cause aucune des actions conduites. Tant au service de la décarbonation de l’industrie que de la construction durable. Dans le cadre de cette fusion, les actions de Cimbéton et de l’Atilh continuent d’être menées par le Sfic. La mission de Cimbéton, de faire connaître les progrès techniques des ciments et des bétons. Ceci, dans tous les secteurs de la construction, bâtiment, travaux publics et génie civil, sera poursuivie. Les travaux relevant du domaine technique de l’Atilh continueront aussi d’être assurés à travers le Sfic. Comme la tenue du Bureau de normalisation des liants hydrauliques (BNHL). Pleins feux sur le Sfic Le Sfic regroupe les fabricants de liants hydrauliques : ciments, chaux hydrauliques, liants routiers et liants géotechniques. Le syndicat est le représentant des intérêts de la profession auprès des pouvoirs publics et des partenaires sociaux de la branche de l’industrie cimentière. Il accompagne ses adhérents dans les actions prises collectivement en faveur de l’économie circulaire. Mettant en valeur la valorisation énergétique et matière des déchets dans son process, ainsi que le recyclage du béton. Il mène des actions de promotion de la construction décarbonée. En contribuant à l’innovation collaborative, le Sfic encourage les initiatives qui permettront de répondre aux enjeux de la transition numérique, énergétique et du développement durable.
Il y a 3 ans et 137 jours

Rector lance sa nouvelle offre Rsoft Bas Carbone de prémurs et prédalles

Dès la phase de construction, tous les composants voient leur empreinte carbone quantifiée et additionnée pour constituer l’impact environnemental global du bâtiment. Cet indicateur réglementaire, soumis à un seuil maximal dans le cadre de la RE2020, sera par ailleurs revu à la baisse tous les trois ans. C’est dans cette optique de sobriété carbone, initiée il y a tout juste un an avec ses premiers Prémurs béton bas carbone, et pour marquer son propre engagement dans la lutte contre le réchauffement climatique que RECTOR crée aujourd’hui Rsoft, une offre de prémurs et prédalles bas carbone.Une large gamme de produits et systèmes préfabriqués bas carbone pour répondre à tous les projets de construction Fruit d’un travail de recherche et développement sur l’impact carbone de ses produits, l’offre Rsoft Bas Carbone de RECTOR se compose de systèmes constructifs qui garantissent un bilan carbone nettement réduit tout en améliorant la productivité, la sécurité et l’efficacité des chantiers : Prédalles BA Rsoft, pour un bilan carbone allégé à tous les étagesPrémurs Rsoft en infrastructure ou superstructure les verticaux profitent d’une meilleure empreinte environnementaleThermoprédalles BA 0,45 Rsoft la solution de plancher préfabriqué à rupteurs thermiques intégrés qui contribue à la réduction des consommations d’énergie et lutte contre les émissions de gaz à effet de serrePrédalle SPD Rsoft en association avec le plancher-dalle Caméléo pour une structure à l’empreinte environnementale optimisée.Rsoft, des matériaux sobres aux performances garanties Pour alléger l’empreinte environnementale des constructions neuves, l’offre Rsoft Bas Carbone de RECTOR est basée sur l’économie circulaire. Elle intègre, en effet, des formulations béton à faible intensité carbone, des armatures issues d’aciers recyclés et profite d’un processus de fabrication et d’étuvage optimisé afin de garantir la qualité et la performance de ses produits.Ses performances sont certifiées par des FDES, disponibles sur la base INIES.Rsoft, tous les atouts de la préfabrication béton L’offre de prédalles et prémurs Rsoft Bas Carbone offre tous les avantages de la préfabrication : une mise en œuvre rapide, des délais d’exécution maîtrisés, une qualité de parement optimale, des performances structurelles de l’ouvrage inchangé et identique à des produits en béton classique. A ceux-ci s’ajoutent : la garantie sur les gains carbone annoncés grâce à un process de qualité industrielle, une résistance à jeune âge du béton maîtrisée en usine et garantie à la livraison sur chantier.L’ensemble de l’offre Rsoft Bas Carbone de RECTOR est disponible sur l’ensemble du territoire grâce au maillage industriel national du fabricant. Cette proximité participe également à la réduction de l’empreinte environnementale liée au transport.
Il y a 3 ans et 137 jours

Rail et littoral en Occitanie: Jean Castex sort le chéquier

En déplacement dans l’Aude ce 22 janvier, le Premier ministre a acté le soutien financier de l’Etat aux premiers travaux de la ligne à grande vitesse Montpellier-Perpignan ainsi qu’à la remise sur les rails des petites lignes ferroviaires. Il a par ailleurs annoncé la poursuite des investissements du Plan littoral 21.
Il y a 3 ans et 137 jours

Le taux du Livret A passera à 1% dès le 1er février

Le ministre de l'Economie a confirmé le 14 janvier l'augmentation du taux du Livret A de 0,5% à 1% à partir du 1er février, une première en plus de dix ans. (Photo © Nattanan23)
Il y a 3 ans et 137 jours

Faire évoluer la démarche EcoQuartier

A l’occasion de l’annonce des 42 lauréats de la 9e campagne de labellisation EcoQuartier, Florian Bercault, maire de Laval a remis à Emmanuelle Wargon, ministre déléguée chargée du logement un livre blanc qui contient 9 mesures articulées autour de trois axes – accompagner les territoires pour faire émerger de nouveaux écoquartiers, valoriser (démonstrateurs de la ville durable), populariser et communiquer sur la démarche : – Production d’un guide «universel» de l’aménagement durable, et utile à tous les porteurs de projets d’aménagement, qu’ils se lancent ou non dans la labellisation. Ce guide sera le fruit de la convergence des référentiels d’aménagement et de management ÉcoQuartier, HQE aménagement et ISO 37101, mis à jour des dernières réformes (dont la RE2020 et le zéro artificialisation nette), et du manifeste présenté dans la démarche « Habiter la France de Demain ». – Accompagnement stratégique et opérationnel par le CEREMA d’une quinzaine de quartiers sur 3 ans (soit 45 quartiers par an accompagnés en routine), pour l’émergence d’ÉcoQuartiers « en projet » et le confortement d’ÉcoQuartiers « en chantier ». – Offre de service ÉcoQuartiers constituée d’aides à l’ingénierie, d’aides financières et de formations gratuites, lisible et accessible grâce à un portail dédié « Aides-Territoires », qui en assure l’actualisation et le géoréférencement. – Ciblage de la labellisation sur les quartiers livrés et vécus, selon une logique de millésime, et en l’associant à des objectifs de performance qualitatifs, quantitatifs et contextualisés. – Lancement de programmes annuels sur des thématiques ou territoires prioritaires, avec, dès 2022, un programme relatif à la requalification des « entrées de ville ». – Valorisation des porteurs de projets labellisés et de leurs partenaires par un évènement annuel et sur le portail « France Ville Durable ». – Mise en place d’une nouvelle comitologie, plus représentative des parties prenantes, des moyens et des ambitions, avec une Commission Nationale intégrant les citoyens, la réintroduction d’un comité scientifique, et la création d’un comité des financeurs. – Poursuite du club ÉcoQuartier, avec une double fonction d’animation de réseau de proximité et de capitalisation-diffusion des meilleures pratiques, par la connexion de relais territoriaux parmi les services déconcentrés, les établissements publics et les partenaires porteurs de démarches ou programmes de développement urbain (Petites Villes de Demain, Action Cœur de Ville…). – Déploiement d’une nouvelle stratégie de communication, avec une plateforme de marque rénovée, orientée vers les élus qui portent les projets et les habitants qui participent à leur réalisation et qui les vivent. Cet article Faire évoluer la démarche EcoQuartier est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 137 jours

Approvisionnements : mise en place d'un comité d'action

Extension du comité de crise sur les délais de paiement, ce comité d'action doit permettre de "détecter les comportements anormaux d’acteurs économiques structurants, privés ou publics, susceptibles d’accroître significativement les tensions du marché, par remontées d’informations, notamment des organisations professionnelles."
Il y a 3 ans et 138 jours

Au Québec, la bibliothèque de Pierrefonds est signée Chevalier Morales

La nouvelle Bibliothèque de Pierrefonds, à Montréal (Canada) incarne à travers son architecture les grands changements en cours dans le monde de la bibliothéconomie. Réalisé par les architectes Stephan Chevalier, Sergio Morales and François Lemoine, l’ouvrage de 4 550 m² (coût de construction : 17,5 M$ CA) se veut un croisement entre un parc idéal et […] L’article Au Québec, la bibliothèque de Pierrefonds est signée Chevalier Morales est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 139 jours

Les députés indonésiens approuvent la construction d'une nouvelle capitale : "Nusantara"

La nouvelle capitale politique de l'archipel d'Asie du Sud-Est, baptisée "Nusantara", doit être construite à quelque 2.000 kilomètres de la capitale actuelle, qui devrait rester la capitale économique.La chambre basse du Parlement indonésien a approuvé le cadre législatif du projet qui avait été annoncé par le président Joko Widodo en 2019.Jakarta, une conurbation géante de plus de 30 millions d'habitants manque d'infrastructures, est affectée des embouteillages géants, un haut niveau de pollution et voit sa zone côtière s'enfoncer sous le niveau de la mer provoquant de fréquentes inondations.La nouvelle capitale occupera plus de 56.000 hectares dans la province de Kalimantan Est, sur l'île de Bornéo, partagée entre l'Indonésie, la Malaisie et Brunei.Au total, plus de 256.000 hectares ont été réservés en vue d'une expansion du projet.Les premières maquettes de la nouvelle capitale montrent un projet utopiste de ville intelligente construite au milieu des arbres, mais peu de détails ont été confirmés à ce stade.La construction du projet qui devait débuter dès 2020 a été ralentie par la pandémie. Elle devrait s'étaler en plusieurs étapes jusqu'en 2045.Le président Joko Widodo a indiqué lundi que dans la nouvelle capitale "zéro émission", "les gens seront proches de toute destination, et pourront s'y rendre en vélo ou à pied"."Cette capitale aura des bureaux gouvernementaux" mais sera aussi "une nouvelle métropole intelligente qui pourra attirer des talents internationaux et sera un centre pour l'innovation"."Nusantara", qui signifie "archipel" en indonésien, a été choisi parmi une liste de 80 noms car il est reconnaissable facilement par les citoyens et facile à mémoriser, a expliqué lundi 17 janvier le ministre au Développement Suharso Monoarfa.La future capitale sera gouvernée par l'Autorité gouvernementale pour la capitale, une nouvelle entité dirigée par un responsable nommé par le président pour un mandat de cinq ans, selon la loi adoptée par le parlement.Un futur décret présidentiel détaillera le budget du projet évalué précédemment à quelque 33 milliards de dollars.En Asie, la Malaisie a également déménagé sa capitale administrative à Putrajaya en 2003 tandis que la Birmanie a établi une nouvelle capitale en 2006 à Naypyidaw.
Il y a 3 ans et 139 jours

Aux Pays-Bas, le Centre de formation de l’Université de Groningen signé KAAN

L’agence néerlandaise KAAN Architecten a conçu le nouveau Centre de formation de l’Université de Groningen (Pays-Bas), un bâtiment invitant à l’étude et à l’interaction. Les travaux sont lancés en janvier 2022. Communiqué. KAAN Architecten, en collaboration avec abtWassenaar, Sweegers en De Bruijn, Peutz, est en phase de conception du nouveau centre de formation de la […] L’article Aux Pays-Bas, le Centre de formation de l’Université de Groningen signé KAAN est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 139 jours

Rénover sa charpente : comment cela se passe?

La rénovation d’une charpente est un projet qui doit être confié à un spécialiste dans le domaine. En effet, il ne faut pas vous aventurer à réaliser les travaux tout seul au risque d’avoir des problèmes. En tout cas, vous devez prendre quelques points en compte avant de valider la réalisation des opérations. Pourquoi rénover la charpente ? Vous êtes surement au courant du fait que la durée de vie d’une charpente peut varier entre 10 et 30 ans. Vous devez alors vous préparer à la rénover quand ce délai est dépassé. En tout cas, une intervention peut s’avérer incontournable si vous constatez que votre toit se déforme. La présence de termites ou d’insectes xylophages peut aussi vous mettre la puce à l’oreille. Il ne faut pas non plus négliger la formation de moisissures au niveau des combles. Il faut contacter un spécialiste en charpente au plus vite quand vous verrez l’un de ces signes. Comment se passe la rénovation d’une charpente ? La rénovation d’une charpente peut se présenter sous différentes manières. Cela concerne en premier lieu la réalisation d’un traitement hydrofuge au niveau des poutres. Il y a aussi les traitements insecticide et fongicide selon la situation. Le remplacement de quelques pièces peut aussi se faire ainsi que le cerclage des poutres. Il se peut en outre que vous soyez emmené à poser des contreventements et des entretoisements. Une opération de renforcement peut être conseillée dans certains cas. Il ne faut pas non plus négliger le blanchissement ainsi que le sablage des poutres. L’isolation est une intervention à part entière L’isolation reste une rénovation à ne pas négliger sur une charpente. Il faut hésiter de faire les choses tout seul si vous n’êtes pas sûr d’y arriver. Il ne faut pas oublier que ce type d’intervention nécessite une parfaite maitrise de la situation. La réussite des travaux permettra d’améliorer la performance thermique de votre habitation. Cela est valable que ce soit en été ou en hiver. S’informer sur les normes concernant ce type d’intervention Rénover une charpente ne doit pas se faire n’importe comment. C’est pour cela que vous devez vous fier à un spécialiste pour réaliser les travaux. Vous éviterez ainsi de causer d’autres problèmes. Un spécialiste interviendra tout en respectant les règles locales d’urbanisme, mais aussi le DTU (Documents Techniques Unifiés). Il est plus judicieux de s’informer sur l’utilité d’un permis de construire ou d’une déclaration des travaux. L’intervention d’un architecte peut même s’avérer incontournable dans certains cas. Demandez des aides financières pour vos travaux Le fait de solliciter l’intervention d’un artisan couvreur charpentier vous donnera l’opportunité de demander des aides financiers. Cela vous sera bénéfique au cas où vous ne disposerez pas de la somme essentielle pour réaliser les travaux. Vous pouvez par exemple demander une éco-PTZ (Eco-prêt à taux zéro). Il y a aussi la réduction de la TVA avec un taux de 5,5 % sans oublier les aides départemental ou régional. En tout cas, il faut engager un spécialiste qualifié pour réaliser les travaux. Cela concerne principalement le RGE (Reconnu Garant de l’Environnement).
Il y a 3 ans et 140 jours

Les Français ont continué de remplir leur Livret A en 2021, mais moins qu'en 2020

Au total, ce sont donc 19,2 milliards d'euros que les deux livrets ont engrangés en 2021, contre plus de 35 milliards en 2020, un niveau qui reste toutefois historiquement élevé. A titre de comparaison, l'excédent de dépôts avait atteint 16,55 milliards en 2019 avant l'irruption du Covid-19. Cette tendance s'explique surtout par la forte épargne engrangée au début de l'année, en pleines deuxième et troisième vagues et alors que la vaccination n'en était qu'à ses balbutiements. Mais depuis cet été, on observe un retour progressif à la normale avec même en fin d'année une tendance à la décollecte, c'est-à-dire des retraits dépassant les dépôts. Décembre est à cet égard un bon exemple, avec un surplus de retraits de 1,7 milliard d'euros pour le Livret A, tandis que le LDDS a engrangé 630 millions d'euros, et ce alors que le dernier mois de l'année est traditionnellement un mois de collecte. En effet, les dépenses de Noël sont souvent étalées sur les mois précédents et les Français ont tendance à reconstituer leur épargne en décembre, notamment pour ceux touchant un 13e mois ou des primes de fin d'année. Pour Philippe Crevel, directeur du Cercle de l'épargne, ce résultat pour décembre peut s'expliquer par deux facteurs: d'une part "les Français se sont fait plaisir" pour les fêtes de fin d'année, après presque deux années marquées par la pandémie, et d'autre part la hausse des prix, notamment de l'énergie, a limité les capacités d'épargne. Selon M. Crevel, il est cependant encore trop tôt pour savoir dans quelle proportion ces deux facteurs ont pu jouer.Effet Omicron ? Au début de la pandémie, ces deux livrets, qui garantissent pourtant un taux d'intérêt historiquement faible de 0,5% par an, ont connu un époustouflant succès, contrastant avec le désamour constaté sur les contrats d'assurance-vie. Le rendement des livrets est d'autant plus faible qu'en 2021 l'inflation a fortement progressé, atteignant 1,6% en moyenne sur l'ensemble de l'année, et un pic de 2,8% sur un an en novembre et décembre. Cette hausse des prix a d'ailleurs poussé la Banque de France et le gouvernement à annoncer la semaine dernière une hausse du taux du Livret A et du LDDS de 0,5% à 1% à partir du 1er février. Une première depuis dix ans. De quoi redonner l'envie aux Français d'épargner ? La question devrait se poser, d'autant plus que la pandémie n'a pas dit son dernier mot avec la déferlante du variant Omicron fin 2021 et début 2022. Si les conséquences sanitaires demeurent mesurées, notamment comparé au nombre de contaminations, "nous voyons beaucoup moins de sorties dans les restaurants", signale par exemple M. Crevel. En cumulé, le Livret A et le LDDS représentaient à fin décembre un encours total de 469,8 milliards d'euros, soit une hausse de 4,8% sur un an. Gérés conjointement par la Caisse des dépôts et les réseaux bancaires, le Livret A sert essentiellement à financer le logement social, tandis que le LDDS est dédié à l'économie sociale et solidaire ainsi qu'aux économies d'énergie dans les logements.
Il y a 3 ans et 140 jours

Peinture : qui a racheté Cromology ?

CESSION. Le fabricant de peinture, Cromology (Zolpan, Tollens...), change de main. Son ancien actionnaire Wendel vient de céder l'expert à un acteur important du secteur.
Il y a 3 ans et 140 jours

Loire-Atlantique : Jean Castex pose la première pierre du nouveau CHU de Nantes

CHANTIER. Le Premier ministre a posé aujourd'hui la première pierre du nouveau centre hospitalier universitaire de Nantes. Le futur site, attendu pour 2027, devrait voir sa facture finale s'élever à 1,24 milliard d'euros.
Il y a 3 ans et 140 jours

La CLCV demande des mesures pour le chauffage collectif

"Le tarif réglementé de vente du gaz ne s'applique plus depuis 2016 pour les contrats professionnels ou chauffage collectif" et "les mesures prises par le gouvernement en octobre de geler provisoirement le prix du gaz ne concernent donc pas le chauffage collectif des immeubles", souligne l'association dans un communiqué.Le Premier ministre Jean Castex avait annoncé fin septembre "un bouclier tarifaire" avec notamment un blocage du tarif réglementé du gaz, dont les cours se sont envolés sur les marchés.La CLCV met en avant les "oubliés" des mesures gouvernementales, citant le cas des locataires d'un bailleur social du Puy-de-Dôme alimentés par une chaudière collective à gaz. Leurs provisions de chauffage ont bondi de 65% sur un an, représentant "près de 800 euros par an à débourser pour un locataire d'un F4, pour une famille de quatre personnes".La CLCV "demande en urgence l'élargissement du chèque énergie à toutes les personnes concernées par la prime inflation et sa revalorisation".Le chèque énergie ne vise actuellement que quelque 6 millions de ménages modestes, tandis que l'indemnité inflation de 100 euros est beaucoup plus large, puisqu'elle concerne 38 millions de personnes."Il est indispensable de revoir le forfait charges ridicule inclus dans le calcul de l'APL (aide personnalisée au logement) qui est totalement déconnecté de la réalité", plaide l'association.
Il y a 3 ans et 140 jours

Knauf accélère sur les isolants biosourcés

NOUVEAUTÉ. Spécialiste de la plaque de plâtre, du polystyrène expansé et de la laine de bois, Knauf, accélère son déploiement sur le marché des isolants biosourcés avec un nouveau panneau.
Il y a 3 ans et 140 jours

Trois maisons R&D en construction à Saint-Nazaire pour expérimenter la maison du futur

En 2022, l’entreprise ira plus loin, avec la mise en application de son approche holistique du logement, lui permettant de tester ses recherches à travers un village R&D, pour cela, 3 maisons R&D seront construites à Saint-Nazaire en 2022.3 maisons R&D pour matérialiser l’innovation au plus près des habitantsPour Nicolas Descombes, PDG de la société : « Notre métier nous oblige à avoir une longueur d’avance et à nous projeter, sans jamais improviser. Cette longueur d’avance, nous l’avons toujours eue, par exemple en intégrant l’aluminium dans nos menuiseries dès 1985. En créant notre cellule R&D en 2019, constituée d’un bureau d’études regroupant différents métiers et d’une équipe travaux, (composée de binômes secrétaires techniques / conducteurs de travaux), l’objectif était de maintenir cette avance. »Aujourd’hui, Berthelot Constructions souhaite mettre en application les concepts innovants issus de sa cellule R&D, en les ancrant dans le quotidien des habitants pour analyser leurs utilisations. L’entreprise ligérienne annonce la construction, en 2022, de 3 maisons R&D, qui intégreront de nouvelles technologies et permettront à l’entreprise d’analyser la maîtrise des coûts de celles-ci, afin de pouvoir ensuite les dupliquer et les déployer à plus grande échelle. « Pour cela, le dialogue avec les habitants sera primordial. Nous prévoyons de mener une étude, pour comprendre et étudier l’acquisition de ces technologies pour leurs utilisateurs. » souligne le PDG.Apporter une réponse concrète aux crises du logement et écologiquePour Nicolas Descombes, PDG de la société : « Historiquement, nous développions des maisons témoins, afin de montrer aux futurs habitants à quoi pourrait ressembler leur future maison. Cela leur permettait de se projeter et de découvrir nos dernières innovations. Ce concept n’a plus de sens et n’est plus cohérent aujourd’hui, car dès la construction de cet “habitat vitrine”, il n’est plus à jour et la technologie est déjà dépassée. »L’entreprise est donc dans une autre logique, celle d’utiliser le foncier dont elle dispose, de construire des logements avec l’ensemble des innovations développées par sa cellule de R&D, pour ensuite mettre ces habitats en location. Ces maisons sont construites sur des terrains à la surface réduite, dans le but de répondre aux problématiques d’urbanisation de demain, entre autres, la densification urbaine. « Notre objectif est de répondre à deux crises majeures : la crise du logement, en permettant de construire plus et de manière plus responsable et durable, ainsi que la crise écologique, en préservant les terrains naturels et agricoles. » conclut Nicolas Descombes. L’entreprise fait un pas de plus vers le logement de demain, plus éthique, personnalisé et évolutif.3 « maisons R&D » à Saint-NazaireLa construction des 3 maisons commencera au premier trimestre 2022. Celles-ci auront une superficie comprise entre 84 et 109 m². Chaque Maison R&D est construite pour tester des éléments spécifiques.Maison Evolutia : optimiser durablement l’isolation et le chauffage des murs au plafondSurface habitable : 109.81 m².Plénum, descente de plafond au centre de la maison qui sert à desservir toutes les pièces en chauffage. Système par insufflation performant. Réversible clim/chauffage.Brique en matière première géosourcée et renouvelable exploitée uniquement en France permettant une meilleure qualité de l’air intérieur du logement.ECS (eau chaude thermo dynamique) : la PAC de cette maison ne produit pas d’eau chaude, 1 ballon d’eau chaude est donc suffisant.Isolation Knauff RT+ en accord avec la RE2020 permettant la perméabilité de l’air du bâtiment. La laine de verre utilisée est composée de liants issus de la culture de betterave.Maison Decoria : repenser la gestion des énergiesSurface habitable : 84.54 m².Laine de bois biosourcée offrant une meilleure résistance thermique à l’ensemble de la maison.VMC à simple flux Renson hygro réglable avec auto gérance du traitement de l’air et information sur la qualité de l’air intérieur via une commande tactile Touch Display.Plafond chauffant PLAFINO évitant la surconsommation et la surchauffe couplé à un puits rafraîchissant composé d’un circuit d’eau dans les fondations de la maison.Verre Planistar qui récupère les calories du soleil pour les restituer en journée dans la maison.Béton Hoffman dans les poutres, poteaux et le dallage de la maison. Ce béton est le plus neutre en carbone sur le marché.Maison Natura : lier innovation et qualité de vie en s’inspirant de la natureSurface habitable : 89.58 m².Laine de lin biosourcée.Pack Delta Dore : système de chauffage intégré avec volets roulants et modulation par pièces.VMI (Ventilation Mécanique Inversée) Ventilairsec : système avec boucles d’insufflations sur le toit de la maison et retraitement de l’air (élimine les excès polluants, filtre la pollution extérieure, ré-aspiration dans les pièces humides). Commande smartphone.Multi Splits : chauffage/clim au mur thermo dynamique.Peintures non polluantes aux algues.
Il y a 3 ans et 140 jours

Baromètre Drimki de l’immobilier dans les stations de ski

Une baisse des transactions sur l’ensemble des stations de skiEntre l’année 2019 et 2020, on observe une baisse significative sur la totalité des transactions dans les 9 principales stations de ski. En effet, toutes tailles et tous types de biens (maisons et appartements) confondus, elles sont passées de 2257 transactions en 2019 à 1601 transactions immobilières en 2020, soit une baisse de 29%. Les stations qui ont la cote, à savoir Courchevel (248 transactions en 2019 vs 192 en 2020), Avoriaz (527 en 2019 vs 303 en 2020) et Alpes d’Huez (266 en 2019 vs 213 en 2020) sont les premières à avoir pâti de cette baisse.Les appartements 2 pièces ont été les plus prisés en 2020 avec 536 transactions immobilières, puis les T1 avec 449 transactions et 299 T3. Un appartement de 10 pièces a été vendu à Alpes d’Huez. Concernant les maisons, les plus convoitées sont les 5 pièces avec 78 transactions, on retrouve ensuite les trois pièces avec 63 maisons achetées puis des 4 pièces avec 60 transactions. Une maison de 16 pièces a été achetée à Megève en 2020.La Mongie, Avoriaz et Megève sur le podiumAvoriaz et Megève, les deux stations de ski connues à travers le globe sont devancées dans le top 3 par La Mongie. Les trois stations font à elles seules un peu plus de la moitié des transactions (885) sur l’année 2020. La Mongie arrive en première position avec 309 transactions réalisées sur 2020. Avoriaz et Megève comptabilisent respectivement 303 et 273 transactions immobilières. Viennent ensuite l’Alpe d’Huez (213), Courchevel (192), Font-Romeu (174) et La Bresse-Hohneck (148) Les deux dernières du classement sont Métabief Mont d’or et Serre-Chevalier avec respectivement 88 et 76 achats immobiliers.Courchevel et Megève, les stations de ski les plus chèresAussi appelée, la capitale mondiale du ski, Courchevel est la station de ski au mètre carré le plus élevé avec une moyenne de 10.600€/m2 (appartements et maisons confondus) suivie de Megève avec un prix moyen au mètre carré de 9800€. L’Alpe d’Huez arrive en troisième position avec un prix de 7900€/m2.Avoriaz, Serre-Chevalier et Métabief Mont d’Or ont respectivement un prix moyen de 6800€/m2, 3940€/m2 et 3210€/m2 (maisons et appartements confondus). Le prix moyen au mètre carré est de 2800€ à Font-Romeu, 1920€ à La Bresse- Hohneck et 1460€ à Bagnères-de-Bigorre où se situe en partie la station La Mongie.Pour aller plus loin, la valeur foncière pour un bien à Courchevel sur l’année 2020 est de 96.020.105 € au total pour une surface habitable de 11.748 m2 contre 778.495 € en termes de valeur foncière pour 13.683m2 de surface habitable en 2019.Comme Courchevel, Megève a connu une forte hausse de la valeur foncière de ses biens car elle est passée d’une valeur foncière de 615.514€ pour 19.826 m2 de surface habitable en 2019 à une valeur foncière de 65.814.713 € pour 20.836 m2 de surface habitable en 2020.Une première ébauche de bilan pour 2021 : Courchevel revient sur le devant la scèneBien que sur l’année 2020 Courchevel était sortie du podium, la station de ski comptabilise 162 transactions immobilières sur le premier semestre 2021 et arrive ainsi à la première place. Une hausse de 153% par rapport à la même période en 2020, avec 64 transactions réalisées. L’ensemble des autres stations de ski a connu une baisse significative du nombre de transactions immobilières. Megève, en tête au premier semestre 2020 avec 156 ventes conclues, connaît une forte baisse au premier semestre 2021 avec 57 transactions immobilières.De manière globale, une baisse des transactions se dessine sur l’ensemble des stations de ski au 1er semestre 2021 avec 585 transactions immobilières au total, contre 760 en 2020, appartements et maisons confondus. Cette baisse s’explique principalement par la crise sanitaire qui a impacté ces évolutions du nombre de transactions, et a pu avoir un effet relativement négatif sur l’attractivité des stations de sports d’hiver. Les stations de ski avaient en effet vécu une année blanche liée aux restrictions sanitaires sur la saison 2020/2021.
Il y a 3 ans et 140 jours

Le gouvernement veut prolonger pour deux semaines, la règle des trois jours minimum de télétravail

La ministre a indiqué aux organisations patronales et syndicales que "la situation sanitaire, même si elle semble s'acheminer vers un plateau, ne paraît pas, à date, permettre une levée ou un relâchement immédiat des mesures en matière de télétravail", a-t-on ajouté de même source.Ces mesures doivent encore être confirmées jeudi, à l'issue d'un conseil de défense sanitaire.Depuis le 3 janvier, le protocole sanitaire en entreprise prévoit que les employeurs fixent "un nombre minimal de trois jours de télétravail par semaine, pour les postes qui le permettent". Cette règle avait initialement été mise en place pour trois semaines.Lors de la réunion avec les partenaires sociaux, la ministre a dit espérer qu'il s'agirait d'un "dernier coup de collier" et que les indicateurs sanitaires permettraient ensuite de "rebasculer sur une recommandation (et non plus une obligation), avec une cible de deux à trois jours de télétravail par semaine", a encore indiqué le ministère.Le patronat aurait souhaité que le gouvernement renonce à l'obligation sans attendre deux semaines supplémentaires."On regrette cette décision qui va peser sur certains secteurs de l'économie et sur le moral des collaborateurs. On aurait préféré une incitation à une contrainte", a réagi auprès de l'AFP un porte-parole du Medef.Même son de cloche du côté de la Confédération des PME. "Les entreprises, franchement, jouent le jeu, et aussi bien salariés qu'employeurs sont usés par cette situation (de télétravail obligatoire, NDLR). Nous aurions aimé passer de l'obligation à l'incitation", a souligné auprès de l'AFP le président de la CPME, François Asselin.Avant les mesures renforcées début janvier, le protocole prévoyait une simple "cible" de deux à trois jours par semaine. Aménagé à plusieurs reprises, ce document de référence avait imposé pendant plusieurs mois le télétravail comme une règle à compter d'octobre 2020. Pendant plusieurs mois, il avait été "porté à 100% pour les salariés qui peuvent effectuer l'ensemble de leurs tâches à distance".Malgré les consignes gouvernementales renforcées, le télétravail n'a pas progressé de façon notable début janvier, selon un sondage Harris interactive pour le ministère du Travail publié la semaine dernière.Au cours de la semaine du 3 au 9 janvier, parmi les actifs pouvant télétravailler facilement, 60% avaient ainsi télétravaillé au moins partiellement (58% mi-décembre), les chiffres progressant davantage en Île-de-France (passant de 62% à 69%).Le gouvernement a depuis prévu des sanctions pour les entreprises qui ne jouent pas le jeu, avec le projet de loi transformant le pass sanitaire en pass vaccinal adopté dimanche par le Parlement. Le texte prévoit la possibilité d'amendes administratives pour les entreprises ne respectant pas les consignes sanitaires, notamment en matière de télétravail. Ces amendes pourront aller jusqu'à 500 euros par salarié, dans la limite de 50.000 euros.
Il y a 3 ans et 140 jours

La Banque Mondiale sanctionne ADP et Bouygues

La Banque Mondiale a sanctionné des entités des groupes français ADP et Bouygues pour pratiques irrégulières lors de la négociation de marchés, notamment ceux d'aéroports de Madagascar, selon l'AFP le 14 janvier.
Il y a 3 ans et 140 jours

Immobilier : les prêts ont augmenté en 2021

IMMOBILIER. Le secteur a enregistré une progression des prêts immobiliers l'an dernier. Une récente étude de l'observatoire CSA/Crédit Logement montre que la demande s'est accrue et que les taux sont restés bas.
Il y a 3 ans et 140 jours

BTP : finales nationales des WorldSkills

Le CCCA-BTP, partenaire de WorldSkills France, était présent à Lyon, du 13 au 15 janvier 2022, aux finales nationales de la 46e édition de la Compétition WorldSkills, sous la bannière de la campagne de communication « La Construction. Demain s’invente avec nous », organisée par le CCCA-BTP, mobilisé avec les professionnels de la construction, pour promouvoir l’innovation, la diversité et la richesse des métiers du secteur du BTP, valoriser l’apprentissage comme voie de formation professionnelle initiale d’excellence et de réussite et donner envie aux jeunes visiteurs l’envie de rejoindre une filière d’avenir. Sur le pôle BTP, le plus important en compétition avec 17 métiers représentés, 160 candidats, âgés de moins de 23 ans, se sont affrontés pendant trois jours intenses de compétition, donnant à voir le meilleur d’eux-mêmes par la maîtrise de leur savoir-faire, leur talent, leur détermination et la passion qu’ils portent à leur métier respectif. La construction digitale a fait son apparition dans la compétition avec un sujet inspiré d’un projet en cours de construction en région Auvergne-Rhône-Alpes. Durant cette épreuve de 17 heures 30, les cinq candidats ont du faire appel à toutes les compétences nécessaires pour mener un projet BIM : modélisation et création des maquettes numériques de la structure gros œuvre et des aménagements intérieurs (plafonds, cloisons, portes, sol). Le palmarès a été proclamé le 15 janvier lors de la cérémonie de clôture à Eurexpo Lyon. Ce sont 58 jeunes, dont deux binômes métiers (aménagement urbain et réseaux de canalisations / Construction béton armé) qui ont été récompensés dans les 16 métiers du BTP en compétition et pour l’épreuve Construction digitale. Ces vainqueurs auront l’honneur de concourir au niveau mondial à Shanghai en 2022 et au niveau européen à Saint-Pétersbourg en 2023. AMÉNAGEMENT URBAIN ET RÉSEAUX DE CANALISATIONS Médaille d’or : Ugo HUMBERT et Nicolas RENARD, région Grand Est Médaille d’argent : Léo BESANCON et Baptiste CAILLOT, région Bourgogne Franche-Comté Médaille de bronze : Baptiste CAPEL et Gaëtan CHARBONNEL, région Nouvelle-Aquitaine CARRELAGE Médaille d’or : Goulven LECOQ, région Pays de la Loire Médaille d’argent : Karim DOLEDEC, région Bretagne Médaille de bronze : Marius CONNAN, région Centre Val-de-Loire CHARPENTE Médaille d’or : Charles NAVELOT, région Hauts-de-France Médaille d’argent : Romain SIMON, région Normandie Médaille de bronze : Colin LAINÉ, région Pays de La Loire ONSTRUCTION BÉTON ARMÉ Médaille d’or : Manuel GAUDIN et Anthony BOSCH, région Bourgogne Franche-Comté Médaille d’argent : William ROMANO et Gabriel PIMENTA MEIRELES, région Nouvelle-Aquitaine Médaille de bronze : Florian SCHMIT / Nathan DEL-SAVIO, région Grand Est CONSTRUCTION DIGITALE Médaille d’or : Pierre LOIR, région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur Médaille d’Argent : Rémy EGEA, région Île-de-France Médaille de bronze : Sofiane IKRAM, région Île-de-France Médaille de bronze : Théo PRINCE, région Île-de-France COUVERTURE MÉTALLIQUE Médaille d’or : Pierre TAISNE, région Pays de La Loire Médaille d’argent : Jordan PETIT, région Auvergne Rhône-Alpes
Médaille de bronze : Quentin BESANÇON, région Bourgogne-Franche-Comté ÉBÉNISTERIE Médaille d’or : Florentin LANCELEUR, région Île de la Réunion Médaille d’argent : Dorian GROITIER, région Pays de La Loire Médaille de bronze : Alexandre SARRAZIN, région Bourgogne Franche-Comté INSTALLATION ÉLECTRIQUE Médaille d’Or : Quentin GALAIS, région Pays de la Loire Médaille d’argent : Yann QUOEURNAT, région Centre Val-de-Loire
Médaille de bronze : Erwan NOEPPEL, région Bretagne MAÇONNERIE Médaille d’or : Thomas DEGRENDELE, région Normandie Médaille d’argent : Valentin COUTANT, région Centre Val-de-Loire Médaille de bronze : Guillaume DUBOURG, région Nouvelle-Aquitaine MENUISERIE (en photo) Médaille d’or : Maxime BLOQUE, région Grand Est Médaille d’argent : Tim TARBAGAYRE, région Sud Provence-Alpes-Côte d’azur
Médaille de bronze : Pierre TYMEN, région Normandie MÉTALLERIE Médaille d’or : Guillaume OSWALD, région Pays de La Loire Médaille d’argent : William LASSALZEDE, région Sud Provence-Alpes-Côte d’azur Médaille de bronze : Vincent GAUTHIER, région Île-de-France MIROITERIE Médaille d’or : Lilian VALLET, région Auvergne Rhône-Alpes Médaille d’argent : Remy BELLUCCI, région Sud Provence-Alpes-Côte d’azur
Médaille de bronze : Téo BROHAN, région Pays de la Loire PEINTURE ET DÉCORATION Médaille d’or : Nancy MAURILLE (médaille d’excellence aux EuroSkills), région Pays de La Loire Médaille d’argent : Etienne BLANCHARD, région Pays de La Loire Médaille de bronze : Mathieu LECÂBLE, région Normandie PLÂTERIE ET CONSTRUCTION SÈCHE Médaille d’or : Baptiste LAMY, région Pays de La Loire Médaille d’argent : Alexis BOURGET, région Bretagne Médaille de bronze : Steven GILLET, région Hauts-de-France PLOMBERIE ET CHAUFFAGE Médaille d’or : Tom PEAN, région Bourgogne Franche-Comté Médaille d’argent : Aymeric JAEGY, région Grand Est Médaille de bronze : Blaise TAUZIN, région Pays de La Loire SOLIER Médaille d’or : Florian CURUTCHET, région Nouvelle-Aquitaine Médaille d’argent : Kelyan N’KOLOBISE, région Auvergne Rhône-Alpes Médaille de bronze : Benjamin HENNEBELLE, région Auvergne Rhône-Alpes TAILLE DE PIERRE Médaille d’or : Nino DELGADO, région Île-de-France Médaille d’argent : Adrien NICOLAS BUON, région Normandie Médaille de bronze : Mikael REBELO PEREIRA, région Hauts-de-France
Il y a 3 ans et 140 jours

Le futur siège de GRDF sera en CLT

GRDF a choisi WO2, promoteur immobilier bas carbone pour réaliser son futur siège social. Au titre d’un bail de 9 ans signé avec l’investisseur ICAWOOD, l’entreprise occupera les 25 000 m2 d’un immeuble de bureaux bas carbone au coeur du quartier tertiaire de la Plaine Saint-Denis (93) et à proximité immédiate du RER B La Plaine-Stade de France. Le choix de GRDF s’est porté sur les technologies constructives en CLT, ainsi, l’empreinte carbone du bâtiment sera réduite par l’utilisation du bois qui stockera plus de 6 000 t de CO2. Le gaz vert sera utilisé pour les besoins de chauffage et de refroidissement. Ces efforts combinés permettront au siège social de GRDF d’être une référence en matière de réduction d’empreinte carbone à la fois sur la phase de construction et sur la phase d’exploitation. Conçu par l’agence Valode & Pistre, le bâtiment vise l’obtention des labels et certifications environnementales les plus exigeants (notamment les labels Bâtiment Bas Carbone – « BBCA » – et E+C). Ce futur siège, exemplaire en termes d’impact environnemental, sera un vecteur d’innovation et d’attractivité pour le principal distributeur de gaz en France, servi par les atouts que porte la deuxième zone d’affaires d’Île-de-France en plein développement. Les travaux ont débuté à l’été 2021 pour une livraison prévue mi-2024.   Visuel : Vue de l’immeuble pris à bail par GRDF – Architecte Valode & Pistre  
Il y a 3 ans et 140 jours

Le futur siège de GRDF sera en CLT

GRDF a choisi WO2, promoteur immobilier bas carbone pour réaliser son futur siège social. Au titre d’un bail de 9 ans signé avec l’investisseur ICAWOOD, l’entreprise occupera les 25 000 m2 d’un immeuble de bureaux bas carbone au coeur du quartier tertiaire de la Plaine Saint-Denis (93) et à proximité immédiate du RER B La Plaine-Stade de France. Le choix de GRDF s’est porté sur les technologies constructives en CLT, ainsi, l’empreinte carbone du bâtiment sera réduite par l’utilisation du bois qui stockera plus de 6 000 t de CO2. Le gaz vert sera utilisé pour les besoins de chauffage et de refroidissement. Ces efforts combinés permettront au siège social de GRDF d’être une référence en matière de réduction d’empreinte carbone à la fois sur la phase de construction et sur la phase d’exploitation. Conçu par l’agence Valode & Pistre, le bâtiment vise l’obtention des labels et certifications environnementales les plus exigeants (notamment les labels Bâtiment Bas Carbone – « BBCA » – et E+C). Ce futur siège, exemplaire en termes d’impact environnemental, sera un vecteur d’innovation et d’attractivité pour le principal distributeur de gaz en France, servi par les atouts que porte la deuxième zone d’affaires d’Île-de-France en plein développement. Les travaux ont débuté à l’été 2021 pour une livraison prévue mi-2024.   Visuel : Vue de l’immeuble pris à bail par GRDF – Architecte Valode & Pistre   Cet article Le futur siège de GRDF sera en CLT est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 140 jours

Les vainqueurs du BTP des 46e WorldSkills France dévoilés

Pour le pôle BTP, 58 jeunes, dont deux binômes ont été récompensés. [©CCCA-BTP] La 46e édition des WorldSkills France s’est achevée le 15 janvier dernier. Pour l’occasion, le CCCA-BTP, partenaire de l’évènement, était présent à Lyon, tout au long de la compétition, sous la bannière “La construction – Demain s’invente avec nous”. Cela, afin de promouvoir l’innovation, la diversité du secteur, ou encore de valoriser l’apprentissage… Par ailleurs, le Premier ministre, Jean Castex est venu le 14 janvier à la rencontre des jeunes compétiteurs. Il a échangé avec Eric Routier, président du CCCA-BTP, sur la formation des jeunes aux métiers de la construction. Sur le pôle BTP, les finales du Worldskills regroupaient près de 160 jeunes de moins de 23 ans en lice dans 17 métiers de la filière. Pour cette édition, la construction digitale a fait son apparition dans la compétition. Durant cette épreuve de 17 h 30, les candidats ont mené un projet BIM. C’est-à-dire, la modélisation et la création des maquettes numériques de la structure gros œuvre et des aménagements intérieurs. Les vainqueurs du pôle BTP A l’issue de toutes les épreuves, le palmarès des finales nationales de la 46e édition des WorldSkills a été dévoilé lors d’une cérémonie à Eurexpo Lyon. Ce sont donc 58 jeunes, dont deux binômes qui ont été récompensés. Ces vainqueurs pourront concourir au niveau mondial à Lire aussi : L’Equipe de France du BTP débarque pour les WorldSkills 2024 Shanghai en 2022 et au niveau européen à Saint-Pétersbourg en 2023. « Les jeunes champions médaillés lors de ces finales nationales ont une nouvelle fois démontré leur talent et leur professionnalisme, déclare Eric Routier. Ainsi que leur parfaite maîtrise dans la pratique de leur métier respectif. » Parmi les vainqueurs William Romano et Gabriel Pimenta Meireles ont remporté l’argent dans la catégorie construction béton armé. [©CCCA-BTP] – Médaille d’or : Manuel Gaudin et Anthony Bosch (Bourgogne Franche-Comté). Argent : William Romano et Gabriel Pimenta Meireles (Nouvelle-Aquitaine). Et bronze : Florian Schmit et Nathan Del-Savio (Grand Est) dans la section construction béton armé. – Or : Thomas Degrendele (Normandie), Argent : Valentin Coutant (Centre Val de Loire) et Bronze : Guillaume Dubourg (Nouvelle-Aquitaine) dans la section maçonnerie. – Médaille d’or : Charles Navelot (Hauts-de-France). Argent : Romain Simon (Normandie) et Bronze : Colin Lainé (Pays de la Loire) dans la section charpente – Or : Baptiste Lamy (Pays de la Loire). Argent : Alexis Bourget (Bretagne), Bronze : Steven Gillet (Hauts-de-France) dans la section plâtrerie et construction sèche.
Il y a 3 ans et 140 jours

Soprema Entreprises signe l'enveloppe forte hygrométrie du nouveau centre aqualudique l'Odyssée d'Aulnay-sous-Bois

Il s’étend sur 7 000 m2 et possède une surface de plan d’eau atteignant 2 600 m2, avec neuf bassins dont un olympique couvert, un espace balnéothérapie, une salle de fitness... 460.000 clients par an en moyenne y sont attendus. L’équipement sportif sera également l’un des centres d’entraînement des JO Paris 2024. Il a été construit, en lieu et place de l’ancien complexe de Coursaille devenu obsolète, par Spie batignolles Ile-de-France, mandataire d’un groupement de conception/réalisation aux côtés de l’agence Chabanne Archi/Ingé. Il est géré par Espacéo (Groupe Spie batignolles) dans le cadre d’une délégation de service public (financement, conception, construction et exploitation) signée avec la mairie d’Aulnay-sous-Bois.Entre mi-juillet et fin novembre 2020, les équipes SOPREMA Entreprises Paris Acier ont entrepris la mise en œuvre d’une enveloppe répondant à la problématique de forte hygrométrie du bâtiment avec 4.500 m2 de couverture acier, dont une membrane PVC blanche collée pour supprimer les ponts thermiques, et 2.200 m2 de bardage triple et simple peau.4 500 m2 de couverture acierElle se compose de bacs acier (74SPA 150 microns laqués sur les deux faces) visibles depuis l’intérieur ; de laine de roche dans les ondes pour optimiser l’acoustique ; de bandes de pontages aluminium ; d’une isolation thermique en verre cellulaire de 180 mm d’épaisseur caractéristique de ce type de bâtiment en milieu humide ; et d’un pare-vapeur soudé en plein (Elastovap) destiné à recevoir la membrane PVC (FLAGON SFC 12). Les étancheurs, entre 6 et 8 en moyenne sur le chantier, ont réalisé la mise en œuvre du complexe en moins de trois mois, de mi-juillet à début octobre 2020.Au niveau de la toiture, le point spécifique résidait dans le système de pose de cette membrane. Afin de supprimer les phénomènes de condensation liés aux ponts thermiques, il était en effet impossible de la fixer mécaniquement. SOPREMA Entreprises a effectué une pose par collage, rare pour ce type de membrane en PVC. La prise étant rapide, elle a requis un travail de précision pour garantir une exécution en une seule fois. De couleur blanche, la membrane PVC se fond dans l’esthétique globale du bâtiment habillé d’un bardage blanc irisé. Cool roof, elle joue également un rôle dans le rafraîchissement du Centre Aqualudique, essentiel pour le confort des occupants et l’empreinte environnementale. La toiture est pliée avec des pentes d’environ 30 %. Lorsque l’équipe SOPREMA Entreprises intervenait sur ces pentes, elle devait faire preuve d’encore plus de minutie.Une centaine de plots auto-adhésifs, type SOPRASOLAR FIX EVO, sans percement, ont également été mis en œuvre sur une membrane bitume pour accueillir une moquette solaire qui produit l’eau chaude sanitaire de l’établissement. La liaison entre la membrane PVC et la bitume a été réalisée à l’aide d’un joint SIKA BR500.2 200 m2 de bardageLes plateaux de bardage (150 microns laqué sur les deux faces) ont été installés à la verticale, comme exigé par l’Avis Technique pour les ouvrages en milieux à très forte hygrométrie.Ils atteignaient 10 m de hauteur. Ils étaient ensuite recouverts d’un isolant thermique en verre cellulaire de 180 mm d’épaisseur, d’une deuxième peau métallique pour l’étanchéité, puis de lames pliées décoratives en acier (ST 300 - l. 300 x h. 4 000/5 000 mm) pour les 700 m2 de bardages triple peau. 1 500 m2 de lames pliées décoratives étaient posées en simple peau sur support béton. Une équipe de 2 à 4 bardeurs a travaillé entre mi-juillet et fin février 2021 au fur et à mesure des zones libérées par les lots menuiserie extérieures, VRD...
Il y a 3 ans et 140 jours

Peri France fait l’état des lieux de ses activités

Peri France contribue à la tour Mirabeau en cours de construction, à Marseille (13). [©Peri France] Spécialiste du coffrage de l’étaiement et de l’échafaudage, Peri France a dressé le bilan de 2021 et ses perspectives pour l’année 2022. Depuis la pandémie, les activités de tout le secteur de la construction ont été chamboulées. Cependant la filiale française a su remonter la pente. « L’année 2021 s’est bien terminée, au-dessus des prévisions, en termes de chiffre d’affaires et de résultats », déclare Jean-Michel Gueguen, Dg de Peri France. Une année forte en réalisations En 2021, Peri France a participé à plus de 2 450 réalisations. Leurs systèmes de coffrages et d’échafaudages sont ainsi utilisés dans tous les secteurs de la construction. Parmi ces projets, il contribue à la tour Mirabeau en cours de construction, à Marseille (13). Cette réalisation utilise les coffrages de dalle Skymax, les protections de façade LPS et les étais Multiprop. Cette tour devrait comporter 21 étages. En parallèle, Peri France a participé à de nombreuses opérations du Grand Paris Express. En témoignent celles de Cuchets, à Villejuif (94) et de 10003P, à Saint-Maur (94) ou celles de la Porte-Maillot et de Eole/Pereire. « Le Grand Paris représente environ 10 % de notre activité », souligne Jean-Michel Gueguen. Les nouveautés de Peri France Par ailleurs, de nouveaux produits ou services ont été lancés en 2021. Parmi ceux-ci figure le Peri Panel, un panneau de coffrage de 15 mm en polypropylène. Ses propriétés recyclables proposent une bonne alternative au contreplaqué, touché par les pénuries de matières premières. Lire aussi : Peri : « Nous sommes impactés par la pénuries de matières premières » De plus, son poids réduit la maniabilité et évite les risques de blessures, tout en assurant une bonne résistance. Peri France propose aussi un nouveau service, tout d’abord dédié aux panneaux manuportables Duo. Puis, étendu aux Peri Panel. Ces derniers permettent la récupération et le recyclage des produits endommagés. Ces solutions peuvent ainsi être rapportées à Meaux (77) ou Rognac (13), les lieux de collecte. Peri France a aussi contribué à la gare de la Porte-Maillot. [©Peri France] Les perspectives et avenir « Pour ce qui est de nos perspectives, elles restent dans la lignée de 2021. En 2022, l’entreprise va, en plus de son activité dans le génie civil et le résidentiel, mettre l’accent sur le secteur tertiaire, avec le coffrage Skymax en particulier. L’année 2022 va aussi être la période du retour aux salons professionnels, que nous attendons avec impatience. Et sur lesquels nous serons présents, à commencer par Batimat et Bauma. »