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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88152 résultats)
Il y a 4 ans et 264 jours

Edilteco se réorganise à la suite du rachat de Deltisol

Edilteco France vient de racheter l’avignonnais Deltisol, fabricant de poutrelles de béton et d’isolants en polystyrène. La filiale du groupe italien va investir 2 M€ et prévoit de développer son catalogue.
Il y a 4 ans et 264 jours

Le siphon de sol à faible hauteur, un équipement adapté aux personnes à mobilité réduite (PMR)

La conception des douches, à fortiori des baignoires, est rarement adaptée à une utilisation par des personnes à mobilité réduite, comme les personnes âgées, ou celles évoluant en fauteuil roulant. En effet, la présence d'un seuil important en complique l'accès. Lorsqu'elle est techniquement et économiquement possible, l'installation d'un siphon de sol à faible hauteur contribue à la résolution de cette difficulté puisque sa conception limitant la hauteur d'encastrement facilite l'installation d'une douche de plain-pied dite « à l'italienne ». Son utilisation se généralise peu à peu, car de plus en plus de fabricants proposent ce type de produits dans leur gamme. Depuis 2020, le CSTB a finalisé la mise en place d'une certification pour les siphons de sol à partir d'un référentiel qu'il a construit avec la profession. Il réalise à ce titre des essais d'efficacité et de performances dans son laboratoire hydraulique accrédité Cofrac. Le CSTB a par ailleurs rédigé le Guide de « mise en œuvre d'une douche de plain-pied dans les salles d'eau à usage individuel en travaux neufs ». La technologie des siphons de sol à faible hauteur se décline sur les dispositifs de vidage des receveurs de douche extraplats offrant une solution alternative à la douche à l'italienne pour faciliter l'accès aux PMR. Le CSTB prépare la mise en place d'une certification pour ces dispositifs de vidage. La certification est le meilleur moyen de prouver au marché la qualité de nos produits, grâce aux audits réguliers du CSTB et aux essais associés. [LIRE LA SUITE] Fabien Perez, EMEA Building Certification Manager, Aliaxis Dès publication du référentiel dédié, nous ne manquerons pas de présenter notre produit au CSTB pour obtenir la certification NF. [LIRE LA SUITE] Patrick Hallé, chef de projet Qualité et conception, Wirquin Solutions & Performances - Numéro 2 : « Plomberie » PDF 3.01 Mo
Il y a 4 ans et 264 jours

Plomberie et sinistralité

Les installations de plomberie sont à l'origine des désordres les plus fréquemment observés dans les bâtiments, en particulier les maisons individuelles et les logements collectifs. Leurs conséquences peuvent être extrêmement lourdes sur les plans matériel et humain, et très onéreuses. Les principales causes de désordres constatées sont des fuites qui entraînent des dégâts des eaux. En dehors de toute situation à caractère exceptionnel ou accidentel, elles ont généralement pour origine un défaut d'étanchéité des raccords et joints dû à l'utilisation de produits non conformes ou défaillants, à l'association de produits non compatibles ou à une mauvaise mise en œuvre des installations. Afin de prévenir les sinistres et les pathologies du bâtiment qu'ils peuvent entraîner, choisir un produit évalué et certifié constitue une première garantie, tout comme s'assurer de la compatibilité des produits associés. Le CSTB, au travers de ses certifications QB08 « Canalisations de distribution et d'évacuation d'eau » et QB10 « Flexibles de raccordement », garantit la qualité et les performances des produits et s'assure de leur compatibilité en menant des essais spécifiques dans son laboratoire dédié accrédité Cofrac. Il dispense par ailleurs des formations et propose des guides de bonnes pratiques afin d'éviter les sinistres et pathologies liés aux installations de plomberie. Solutions & Performances - Numéro 2 : « Plomberie » PDF 3.01 Mo
Il y a 4 ans et 264 jours

Iboco, expert en cheminements, lance Sevvo, sa gamme de gaines ICTA 3422 et ICA 3321

Marque incontournable du cheminement de câbles en saillie avec une large gamme de goulottes et moulures pour le résidentiel et le tertiaire, Iboco élargit son offre avec le lancement de sa gamme de gaines ICTA 3422 et ICA 3321, baptisée Sevvo. Sur ce marché, Iboco mise sur un atout majeur pour les installateurs électriciens : l’identification facilitée des circuits sur les chantiers. Conforme aux normes produit NF EN 61 3861* et d’installation NF C15-1002**, la gamme de gaines ICTA 3422 et ICA 3321 Sevvo se décline en deux versions, Sevvo expert et Sevvo classic. Fidèles à l’exigence de qualité de la marque, toutes deux offrent un déroulage sur chantier facilité grâce à une grande souplesse et une mémoire de forme limitée, une super glisse pour le passage des fils et une grande résistance à l’écrasement. Chaque version est disponible avec ou sans tire-fil et adaptée aussi bien à une installation encastrée dans les murs, les planchers ou les dalles béton qu’à une pose en saillie en intérieur et en extérieur avec les offres TIIB et TINB. Enfin, l’ensemble des gaines ICTA 3422 est garantie sans halogène, selon la norme NF EN 50642. *La norme produit NF EN 61 386 spécifie les règles et les essais applicables aux conduits. **La norme d’installation NF C15-100 définit les règles de protection de l’installation et des personnes, de confort et d’évolutivité du système électrique.   Sevvo expert, une gamme premium pensée pour les installateurs Pour les bâtiments résidentiels ou tertiaires, la version Sevvo expert assure une performance supérieure avec des diamètres disponibles de 16 à 63 mm et une palette de quatre couleurs (blanc, vert, ivoire et noir). Son excellent niveau de lubrification « super-glisse » facilite le passage de câbles, garantissant un gain de temps important sur chantier en neuf comme en rénovation. De plus, pour optimiser l’utilisation des couronnes et minimiser les déchets, un marquage métrique décroissant sur gaine a été réalisé. L’offre Sevvo expert intègre également de nombreux composants pour s’adapter à chaque situation de cheminements. Ces composants assurent notamment l’inter-compatibilité avec la gamme de tubes IRL3321 Hk Tubitech.   Identifier facilement les circuits, une solution attendue par les électriciens Les études réalisées sur le terrain ont convaincu les équipes Iboco d’un réel besoin pour repérer clairement les différents circuits dans un logement. Ceci est utile, à la fois pour l’installateur, pour raccorder rapidement son coffret électrique, comme pour l’utilisateur pour toute intervention ultérieure. Chacun a ainsi besoin d’identifier et de différencier facilement les pièces d’un logement et tous ses circuits (éclairage, spécialisés, courants faibles, etc). La gamme Sevvo et ses composants offrent ainsi quatre modes d’identification différents : Bagues de repérage : innovantes et brevetées, ces bagues s’installent par simple clipsage sur les gaines. Également déclinée en quatre couleurs pour les diamètres 16, 20 et 25 mm, elles peuvent être marquées au feutre ou étiquetées pour identifier rapidement et de manière pérenne chaque départ de gaine. Sécables, ces bagues peuvent aussi se transformer en étiquettes rigides pour marquer des fils en particulier. Enfin, la bague aide à bloquer la gaine dans la boîte dérivation. Un accessoire triplement novateur ! En prime, le travail de l’électricien est ainsi facilité et valorisé. Bouchons RT 2012 : déclinés en quatre coloris, les bouchons sont disponibles pour les gaines diamètres 16, 20 et 25 mm. Ils permettent une identification couleur et numérique des pièces et circuits à l’aide des encoches présentes sur leur pourtour. Ces bouchons à collerette permettent également de maintenir les gaines dans les boîtes. Une autre fonction très utile ! Marquage de la gaine annelée blanche : astucieux, le coloris blanc permet un repérage à l’aide de feutres indélébiles directement sur la gaine. Ce marquage très simple, sur les anneaux, permet à l’installateur d’identifier les pièces et circuits par le code de son choix : nombre d’anneaux marqués, couleurs utilisées.   Une géométrie parfaite et un repérage aisé en point de vente Respectant une géométrie stricte des couronnes, Sevvo bénéficie d’un soin particulier apporté à son packaging pour assurer la meilleure stabilité de transport et de stockage. En réponse aux besoins des installateurs et des distributeurs, un marquage spécifique a été réalisé sur les packagings pour faciliter l’identification des diamètres de gaines dans les points de vente. 3 sites de production, une même exigence de qualité Sur les trois sites italiens de la marque, toutes les solutions sont conçues, testées et produites dans le respect de normes de qualité les plus strictes. Elles sont donc soumises à des contrôles rigoureux qui ont fait la réputation d’Iboco depuis plus de 40 ans. Depuis 2005, ses usines disposent d’un système de management de l’environnement conformément à la norme ISO 14001, visant à réduire leur consommation d’énergie, d’eau et de matières premières. Pensée avec et pour les professionnels de la filière électrique, la nouvelle gamme de gaines ICTA 3422 Sevvo est le nouveau partenaire des installateurs électriciens sur les chantiers neufs et rénovation.
Il y a 4 ans et 264 jours

Les derniers Avis Techniques - Plomberie

Pour les canalisations en plastique, on note l'émergence d'innovations faisant l'objet d'Avis Techniques portant sur des tubes multicouche polymères à base de PP-R renforcés de fibre de verre. Comme les canalisations en PPR, ils sont adaptés aux applications sanitaire et chauffage, à basse ou haute température et pour les circuits de refroidissement. Ils se distinguent par leur dilatation linéaire réduite et une épaisseur des parois plus minces, qui permet de faire transiter des débits plus importants et d'avoir des canalisations plus légères(1). Les systèmes d'évacuation des eaux usées à caractéristiques acoustiques voient leur nombre d'Avis Techniques augmenter ces dernières années. Ils sont composés de tubes, raccords et accessoires qui permettent l'évacuation des eaux usées tout en réduisant le bruit généré par les écoulements à l'intérieur du bâtiment. Pour pouvoir évaluer ces procédés innovants, le CSTB a développé une méthode et un banc d'essai qui permettent de caractériser les performances acoustiques de ces systèmes dans des configurations au plus proche de celles que l'on trouve dans les bâtiments. De nouveaux systèmes d'évacuation des eaux usées pour immeubles de grande hauteur (IGH) sont développés par les industriels afin de répondre aux problématiques de plus en plus fréquentes de fort débit dans les chutes d'évacuation des eaux. Les systèmes sont composés de dispositifs constructifs qui permettent d'atteindre des débits records – jusqu'à 13 litres par seconde – évalués dans le cadre de la procédure d'Avis Technique qui garantit le bon fonctionnement de ces systèmes avec des niveaux de débit déclarés par le fabricant. Le CSTB est le premier laboratoire à l'échelle internationale à certifier les performances des canalisations à base de PP-R renforcé en fibre de verre selon la norme NF EN 21003, dans le cadre de la certification QB « Canalisations de distribution et d'évacuation des eaux - QB08 ». Solutions & Performances - Numéro 2 : « Plomberie » PDF 3.01 Mo
Il y a 4 ans et 264 jours

Le gouvernement augmente de 300 millions d'euros la ponction sur Action Logement

Le gouvernement a décidé de mettre encore un peu plus à contribution l'organisme Action Logement en annulant le versement d'une compensation prévue de près de 300 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 264 jours

Le Groupe Léon Grosse prend des participations dans Kyotec, acteur de la façade architecturale

2019, une année synonyme de retour à l'équilibre financier pour Léon GrosseAprès deux années difficiles, le Groupe Léon Grosse qui soufflera l'an prochain ses 140 ans d'existence, a su redresser la situation. Avec un carnet de commande de qualité proche du milliard d'euros, l'année 2019 a marqué le retour à un résultat d'exploitation positif. Cette performance est le fruit de la mobilisation des 2.100 collaborateurs du groupe.En 2020, la crise du Covid-19 est venue impacter cette dynamique. Face à cette situation totalement inédite, le Groupe Léon Grosse s'adapte et trouve des solutions pour en diminuer les impacts, et ce malgré l'annulation inattendue de certains contrats signés en 2019. Les perspectives économiques pour 2020 restent encourageantes et permettent au Groupe de poursuivre sa stratégie de développement.Un accord stratégique conclu avec Kyotec, reflet d'une vision partagéeCréé en 2008 par Thierry Foucart et basé au Luxembourg, Kyotec est également implanté en France, en Belgique, au Royaume-Uni, au Portugal et en Pologne. Le Groupe de 175 collaborateurs a réalisé un chiffre d'affaires de 35 M€ en 2019.Spécialisé dans la conception, l'ingénierie et la gestion de projets de façades architecturales complexes dans les secteurs résidentiel et tertiaire, le Groupe dispose d'un savoir-faire reconnu à l'international. Avec plus de 50 réalisations à son actif depuis 2008, Kyotec se concentre sur des projets alliant innovation technologique, prestige et performance énergétique. Parmi les dernières réalisations : la rénovation de la Tour Aurore à Paris, l'installation du mur rideau sur les tours Mobius à Bruxelles ainsi que de la façade “exosquelette” en acier et verre sur le complexe hôtelier City of Dreams à Macau. De la conception à la réalisation, les équipes assurent le pilotage de l'ensemble de la chaîne de valeur.Ce rapprochement s'inscrit dans la stratégie de développement de Léon Grosse et illustre la volonté du Groupe de diversifier son activité. Cet accord permet à Léon Grosse d'accompagner la croissance de Kyotec et de se renforcer sur un métier du secteur de la construction à haute valeur ajoutée et porteur d'une image forte. Ce rapprochement permettra également à moyen terme de développer des synergies créatrices de valeur pour les 2 entreprises, notamment en proposant de nouvelles offres autour de structures architecturales complexes basées sur les expertises techniques complémentaires de Léon Grosse et Kyotec, en France et à l'International.Le Groupe Léon Grosse accompagnera également la mise sur le marché de la technologie brevetée ModulAir, un système de traitement de l'air intégré dans les façades pour le neuf ou la rénovation et développé dans l'atelier de test et de prototypage de Kyotec (Le LuxLab). Ce système permet à la fois de maximiser les hauteurs libres disponibles en assurant une qualité d'air ambiant dans les constructions.« Nous sommes ravis de ce rapprochement. Les compétences éprouvées de Kyotec en matière de façades techniques se veulent le prolongement naturel de l'expertise de Léon Grosse. De plus, notre culture d'entreprise fondée sur les hommes, l'esprit d'entreprenariat et l'agilité est parfaitement compatible avec celle de Kyotec. La création de synergies et le partage des meilleures pratiques permettront à Léon Grosse d'élargir significativement et qualitativement son offre auprès de ses clients, en France et à l'International. »-Lionel Christolomme – Président du Directoire de Léon Grosse« Ce rapprochement stratégique va nous permettre de conserver notre position forte dans le domaine des façades techniques ainsi que notre autonomie tout en ayant l'assurance de pouvoir nous appuyer à tout moment sur les ressources et l'expertise de Léon Grosse. De notre point de vue, Léon Grosse et Kyotec se complètent parfaitement : nous nourrissons un engagement commun en faveur de l'excellence technique et de l'innovation au service du client. »-Thierry Foucart – Président de Kyotec* Une façade architecturale complexe (panneaux en verre et profilé alu) se définit par une géométrie spécifique pouvant nécessiter le développement d'un profil structurel spécifique non référencé par des fournisseurs traditionnels
Il y a 4 ans et 264 jours

Louis Aliot instaure un permis de louer à Perpignan

Le maire RN de Perpignan, Louis Aliot, annonce la mise en place d'un "permis de louer" pour lutter contre l'habitat indigne et les marchands de sommeil dans des quartiers du centre ancien de Perpignan.
Il y a 4 ans et 264 jours

La Brique part en campagne

Une campagne pour rappeler les atouts de la Terre Cuite dans la transition écologique du bâtiment« La brique est présente dans plus d'un logement neuf sur 3. Elle est ainsi devenue incontournable dans la construction. »C'est une grande satisfaction, mais c'est aussi une vraie responsabilité, d'autant que 95% des produits terre cuite utilisés en France sont fabriqués en France. »« Les fabricants ont engagé dès les années 90 des actions qui inscrivent la filière terre cuite dans une trajectoire pour une industrie locale, compétitive et décarbonée. »Au-delà des performances techniques qui leur sont familières, les utilisateurs de nos produits sont demandeurs d'informations leur permettant de comprendre comment la terre cuite s'inscrit dans la transition écologique du bâtiment. »Notre objectif est donc de donner des informations précises et concrètes aux professionnels qu'ils soient bureaux d'études, maîtres d'ouvrage, négoces, maçons ou constructeurs de maison individuelles. »-Céline Ducroquetz, Déléguée Générale du Groupement des briquetiers de la Fédération Française des Tuiles et Briques (FFTB)« Avec la brique c'est simple de faire durable »L'argumentation est articulée autour de 4 piliers qui illustrent cette affirmation :Préservation des ressources naturellesPerformance et confort du bâtimentÉconomie circulaireÉnergie / carbonePour chaque pilier : des chiffres clef, des exemples d'actions concrètes, les résultats obtenus et les perspectives en R&D.La campagne présente ainsi plusieurs programmes comme les travaux sur l'argile renouvelable démarrés en 2015 avec une thèse de doctorat ou le Programme usine bas carbone 2050, initié par la France et devenu un projet à dimension européenne qui est piloté par le Centre Technique de Matériaux Naturels de Construction (CTMNC), le centre technique industriel de la filière.Un traitement ludique de l'information pour s'approprier des sujets techniques« Nous avons combiné les codes du mind mapping (carte mentale) et du sketchnoting (note visuelle) pour être le plus didactique et ludique possible. »« Les informations données sont très riches, parfois assez techniques pour des non familiers de notre process de production. Le dispositif est conçu pour que chacun, selon le niveau de détail souhaité, puisse trouver l'information qui lui convient. Pour chaque pilier, un visuel clef synthétique, une vidéo qui propose ensuite des éléments de preuve et enfin un article sur le site www.briques.org qui explicite les informations et met à disposition les études »-Nelly Monteil, responsable de la communication de la FFTBLa campagne pluri-annuelle démarre en septembre 2020 et sera déclinée sur le web, les réseaux sociaux autour de bannières, de vidéos et d'insertions pour la presse professionnelle.
Il y a 4 ans et 265 jours

Le patrimoine industriel mis à l’honneur dans le Concours Lumières

En récompensant un parc urbain, le chevalement d’un ancien puits de mine et un passage souterrain, le Jury du Concours Lumières a mis à l’honneur le patrimoine industriel cette année. Le premier prix est remporté par CAP Métopole, SPL de Saint-Etienne Métropole (42) pour la mise en lumière du site Novaciéries. Le second prix est attribué au SIEG 63 – Territoire d’Énergie du Puy-de-Dôme pour la mise en valeur des vestiges d’un ancien puits de mine à charbon dans la commune de Youx. Le troisième prix est décerné à la ville de Lyon (69) pour l’éclairage d’un tunnel de circulation, situé sous la voie ferrée de la gare de Perrache. Le Jury du Concours Lumières, présidé par Guy Geoffroy, Maire de Combs-la-Ville (77) et Président de l’association des Éco Maires, a décerné le 3 septembre dernier les trois prix du concours 2020. Cette année 25 dossiers étaient en compétition. Depuis sa création en 1987, le concours a récompensé plus de 150 réalisations. Chaque année, de nombreux maîtres d’ouvrage publics et privés, des concepteurs lumière et des installateurs accordent leur savoir-faire pour sublimer des éléments du patrimoine, historique ou contemporain, des espaces réhabilités, voire des sites industriels, comme en atteste le palmarès de cette 32ème édition. Le jury a fondé son appréciation sur différents critères tels que la cohérence du projet par rapport à son environnement, sa fonction ou le passé historique du site mis en lumière. Très sensibilisé à l’impact environnemental de l’éclairage, il a également pris en compte la performance énergétique de l’installation, l’intégration des équipements afin de réduire leurs impacts visuels et la réduction des nuisances lumineuses. Pour les membres du Jury, “l’éclairage de mise en valeur doit avant tout servir le site ou les bâtiments et non l’inverse. Point n’est besoin de surdimensionner l’installation, en puissance comme en effets, pour éblouir le public”. L’alliance d’une réflexion préalable à la maîtrise des techniques est indispensable pour donner du sens à la mise en scène et révéler avec élégance la richesse du patrimoine. Photo : CAP Métropole, SPL de Saint-Étienne Métropole (42) – Mise en lumière du site Novaciéries © SO Dupont Renoux.
Il y a 4 ans et 265 jours

Nouveau Directeur Général chez Wienerberger France

Frédéric Didier, 43 ans, est le nouveau Directeur Général de Wienerberger France. Revendiquant une solide expertise du secteur des matériaux de construction et du bâtiment, il débute sa carrière dans les années 2000 comme responsable commercial régional chez Ciments d’Origny. Une société au sein de laquelle il évoluera dans diverses fonctions (Support technique, Export, Responsable commercial), avant d’être nommé, en 2009, Directeur National des ventes liants hydrauliques routiers et produits spéciaux d’Holcim France. En 2013, il intègre Eqiom France – groupe CRH pour occuper la fonction de Directeur Régional Granulats Est de la France. En 2016, il rejoint le groupe Wienerberger comme Directeur Général Adjoint de la filiale française. Il a, entre autre, développé l’activité Tuiles avec beaucoup de réussite, grâce à une approche dynamique et collaborative, basée sur une stratégie pragmatique à l’écoute du marché. Frédéric Didier a la volonté de développer la stratégie d’innovation et de performance du Groupe Wienerberger en France. Il précise : « Véritable précurseur, Wienerberger s’est doté aujourd’hui d’importants moyens permettant d’appréhender les attentes du marché autour des défis environnementaux ou de la transformation digitale par exemple. Je compte capitaliser sur cette richesse et notre expertise industrielle, pour renforcer davantage notre offre et le développement de nos compétences et services. » Photo : Vincent Muller
Il y a 4 ans et 265 jours

Palmarès 2020 du concours « les rubans du Patrimoine »

Le jury de la 26ème édition du concours « les rubans du Patrimoine » a désigné les lauréats 2020. Le jury national, présidé par Frédéric LÉTOFFÉ, Président de la Commission Technique et Normalisation de la FFB, a étudié 18 dossiers proposés par les jurys régionaux, parmi les 96 dossiers éligibles reçus cette année. Cinq prix nationaux ont été attribués : – Prix national au titre des communes et structures intercommunales de moins de 3500 habitants, Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire) pour la restauration du Grand Clocher de l’église abbatiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul, – Prix national au titre des communes et structures intercommunales entre 3500 et 20000 habitants, Mortagne-sur-Sèvre (Vendée) pour la réhabilitation de l’église Saint-Hilaire et création d’un centre d’interprétation du vitrail – Prix national au titre des communes et structures intercommunales de plus de 20000 habitants, Communauté d’agglomération du Val de Fensch (Moselle) pour la restauration du colombier, des grilles d’enceinte et du portail monumental du Domaine de Wendel à Hayange – Prix spécial du jury, La Ferrière-sur-Risle (Eure) pour la restauration de la halle – Prix spéciaux « dynamisme territorial » (ex æquo), Joinville (Haute-Marne) pour la réhabilitation d’un immeuble du XVIe siècle en logements sociaux et Vieille-Chapelle (Pas-de-Calais) pour la restauration de la ferme Sénéchal en vue d’ouvrir une plate-forme expérimentale pour autistes adultes et autistes déficients visuels La cérémonie officielle de remise des prix nationaux aura lieu le 7 décembre prochain dans les locaux de la FFB à Paris. Ce concours, est organisé en partenariat avec l’Association des maires de France et des présidents d’intercommunalité, la Fédération Française du Bâtiment, la Fondation du patrimoine, la Fédération nationale des Caisses d’Epargne et le Groupement français des entreprises de restauration de Monuments Historiques. Il récompense des communes et des intercommunalités ayant réalisé des opérations de restauration ou de mise en valeur de leur patrimoine bâti. Les jurys régionaux et le jury national ont pris en compte les critères suivants : intérêt et valeur du patrimoine considéré, cohérence esthétique et architecturale, matériaux et organisation du chantier, qualité de la mise en œuvre, retombées de ces opérations d’un point de vue social, économique, culturel, environnemental et touristique, audace de l’opération et mobilisation populaire. 12 prix régionaux ont également été attribués aux communes dont les dossiers ont été sélectionnés par les jurys régionaux pour concourir au niveau national. Cette année, 36 prix départementaux ont été décernés par les jurys régionaux. Les prix régionaux et départementaux seront remis localement, lors de manifestations organisées dans les communes par les représentants des cinq partenaires, au cours du dernier trimestre 2020. www.rubansdupatrimoine.ffbatiment.fr Photo : Beaulieu-lès-Loches – CPCL Mairie
Il y a 4 ans et 265 jours

Patrick Hallé, chef de projet Qualité et conception, Wirquin

Patrick Hallé - Photo : Wirquin« Dès publication du référentiel dédié, nous ne manquerons pas de présenter notre produit au CSTB pour obtenir la certification NF. » « Le siphon à faible hauteur de garde d'eau a été développé pour répondre au besoin du marché sur lequel la demande de receveurs de douche extraplats était grandissante. Il permet notamment de faciliter les accès aux personnes à mobilité réduite. Nos bondes de douches "Slim" ont ainsi été lancées en 2010, nous avons donc déjà un solide recul de dix ans sur ce type de produit. Les bondes "Slim" ont comme premier avantage de présenter un très faible encombrement vertical, ce qui permet de les installer sous les receveurs extra-plats. Le second avantage de cette bonde de douche est d'être sans garde d'eau : il s'agit d'un siphon sec. L'étanchéité aux odeurs est assurée par une membrane en silicone. Cette technologie présente l'intérêt de se soustraire aux phénomènes de "désiphonages" et à l'évaporation de la garde d'eau, deux processus entraînant d'incommodantes remontées d'odeurs dans les salles de bains. Une version avec garde d'eau réduite a été développée pour répondre aux installateurs et utilisateurs réticents à cette technologie innovante d'obturation mécanique. Troisième atout de ce produit : avoir été conçu en ABS, ce qui le rend très polyvalent en termes d'installation : à coller au tuyau d'évacuation ou à étancher par joint de compression. Si les siphons à obturation mécanique n'ont pour l'instant pas de référentiel dédié leur permettant d'être certifié NF, celui-ci est en cours de rédaction par le CSTB. Ainsi, Wirquin participe aux groupes de travail pilotés par le CSTB. Dès la publication de ce nouveau référentiel, nous ne manquerons pas de présenter notre produit au CSTB pour obtenir la certification NF. » En savoir plus : Le siphon de sol à faible hauteur, un équipement destiné aux personnes à mobilité réduite (PMR) Solutions & Performances - Numéro 2 : « Plomberie » PDF 3.01 Mo
Il y a 4 ans et 265 jours

Fabien Perez, EMEA Building Certification Manager, Aliaxis

Fabien Perez - Photo : Aliaxis« La certification est le meilleur moyen de prouver au marché la qualité de nos produits, grâce aux audits réguliers du CSTB et aux essais associés. » « Nous avons décidé de proposer des siphons à faible hauteur de garde d'eau pour différentes raisons. La première est la nécessité de "gagner de la hauteur" lorsqu'une douche de plain-pied est réalisée. En effet, plus la hauteur du siphon sera faible, moins il y aura de contraintes liées au positionnement dans le complexe dalle + chape. Ceci est d'autant plus important lors des réhabilitations, où il est impossible de toucher au gros œuvre. La seconde problématique est l'évolution réglementaire : en vue de l'adaptation des salles de bains aux personnes à mobilité réduite, la "bascule" baignoire / douche de plain-pied doit rester possible, quelle que soit la solution initiale livrée. Cela fait bientôt trois ans que nous proposons sur le marché nos solutions "Docia XS, siphons pour douches à l'italienne" et "Turboflow XS pour receveurs". Ces solutions sont plutôt bien perçues et reconnues sur les chantiers réalisés. Mais l'absence actuelle de certification se fait cruellement ressentir sur le marché de la prescription où les preuves de l'aptitude à l'emploi du produit sont systématiquement demandées : les produits doivent avoir prouvé leur efficacité et leur fiabilité, avec un recul suffisant, variable en fonction du référentiel des prescripteurs. Sur le plan technique, dans l'idéal, la hauteur minimale requise pour un siphon correspond au diamètre de la canalisation augmenté du recouvrement par la chape/dalle de cette canalisation. Pour remplir ce cahier des charges, la solution développée par Nicoll est un système à clapet magnétique : la technologie Magnetech. Par un jeu d'attraction/répulsion, les aimants intégrés au système vont jouer le rôle de ressorts virtuels, assurant l'ouverture et la fermeture du clapet. L'absence de toute pièce de rappel mécanique, évite l'encrassement ou la perte d'efficacité pendant la vie du produit. La certification étant l'un des gênes de l'ADN Nicoll, nous souhaitons bien sûr faire certifier ce siphon au CSTB. C'est le meilleur moyen de prouver au marché la qualité de nos produits, tant en fabrication qu'en efficacité de fonctionnement, grâce aux audits réguliers du CSTB et aux essais associés. Le travail du CSTB pour la certification des siphons "faible hauteur" pour douches à l'italienne est une initiative très appréciée. Mais il n'est pas fini ! Aujourd'hui, il existe une très forte demande marché pour les bondes à fixer aux receveurs de douche, et la certification de ces solutions permettra de finaliser une offre de produits NF pour toutes les solutions de douche dans la salle de bain. » En savoir plus : Le siphon de sol à faible hauteur, un équipement destiné aux personnes à mobilité réduite (PMR) Solutions & Performances - Numéro 2 : « Plomberie » PDF 3.01 Mo
Il y a 4 ans et 265 jours

Zoom sur : TIPTOE

Fondée en 2015 par Matthieu Bourgeaux et Vincent Quesada grâce à un financement participatif, la marque TIPTOE promeut une démarche écoresponsable et produit, en collaboration avec des designers, des meubles modulables et durables. Issu d’une famille d’artisans métalliers de la vallée de Chamonix (74), Matthieu Bourgeaux est passionné de design et d’architecture d’intérieur depuis toujours. Il a fait une école de commerce où il a rencontré Vincent Quesada. En 2015, après leurs études et des expériences professionnelles diverses, Matthieu Bourgeaux et Vincent Quesada décident de s’associer pour lancer leur marque écoresponsable de meubles. TIPTOE est née. « Nous rêvions de meubles durables, qui auraient plusieurs vies aux côtés de leurs propriétaires », Matthieu Bourgeaux et Vincent Quesada, fondateurs de TIPTOE. TIPTOE défend une approche écoresponsable du design et se revendique du Slow Design, une tendance qui consiste à faire moins mais mieux. « C’est encore peu connu, mais le secteur du mobilier est en retard sur la prise de conscience environnementale. Nous sommes donc très fiers d’être 100% made in Europe et d’essayer à notre échelle de faire bouger les choses, en proposant des objets mieux pensés, mieux produits, et faits pour durer toute la vie », explique Matthieu Bourgeaux. Les meubles TIPTOE – des tabourets, des chaises, des tables, des consoles et des étagères – sont donc produits en Europe avec des matériaux durables selon un mode de production responsable. L’entreprise familiale Bourgeaux et fils fabrique les pièces métalliques, comme les pieds et les équerres, en Haute-Savoie, tandis que les éléments en bois ou en plastique recyclé, comme les assises et les plateaux de table, sont produits en Europe. Matthieu Bourgeaux et Vincent Quesada ont toujours eu pour objectif de concevoir des meubles soignés, fonctionnels et simples, en minimisant au mieux leur impact environnemental. Présentée à l’ocassion de la Paris Design Week 2020 (3-12 septembre) dans leur pop-up store parisien, la chaise SSDr – Simple, Solide, Durable, recyclée – est emblématique de la démarche de la marque. L’assise et le dossier en plastique polypropylène recyclé sont produits en Europe par des entreprises qui s’engagent pour l’environnement. Les cinq éléments qui la composent sont tous remplaçables et recyclables, et s’assemblent en deux minutes avec une seule vis. Enthousiastes et engagés, les fondateurs de TIPTOE font bouger les lignes du monde du design en s’engageant dans la fabrication de meubles écologiques et durables. Jusqu’au 28 octobre, les meubles TIPTOE sont exposés dans le magasin éphémère de la marque. Pour en savoir plus, visitez le site de TIPTOE. Visuels : © TIPTOE.La Rédaction Pop-up store TIPTOE, 11 rue Debelleyme 75003 Paris
Il y a 4 ans et 265 jours

L'annulation du permis de construire de 12 villas en Corse confirmée en appel

La cour a rejeté lundi le recours de la société PCPG contre la décision du tribunal administratif de Bastia qui avait déjà donné raison en décembre 2018 à l'association de défense de l'environnement U Levante.L'association avait saisi le tribunal pour lui demander "d'annuler pour excès de pouvoir" l'arrêté pris par le maire de Sartène pour délivrer ce permis de construire sur le hameau de Serragia.La cour a rejeté les arguments de la société PCPG qui assurait se fonder sur des prescriptions du plan d'aménagement et de développement durable pour la Corse (Padduc) et qui lui permettait, selon elle, de prévoir le renforcement urbain de certains espaces urbanisés qui ne constituent ni une agglomération ni un village."Dès lors que le plan d'occupation des sols de Sartène n'identifie pas le lieu-dit Serragia comme un espace pouvant ainsi faire l'objet d'un renforcement urbain ni n'apporte de justification à une telle identification, la société pétitionnaire n'est, en tout état de cause, pas fondée à se prévaloir de ces prescriptions", écrit la cour dans sa décision consultée par l'AFP.Ce projet immobilier baptisé "Les collines de Murtoli" est porté par la société PCPG des noms de Paul Canarelli, propriétaire du domaine de Murtoli et Pascal Grizot, vice-président de la fédération du golf de France.La cour confirme donc l'annulation de cet arrêté du 22 mars 2017 et condamne la société PCPG à verser à l'association U Levante 2.000 euros pour les frais de justice.L'avocat de l'association Benoist Busson s'est félicité de cette décision, estimant qu'elle n'était que "l'application classique et sans surprise" de la loi littoral précisée par le Padduc.Le domaine de Murtoli, 2.500 hectares en bord de mer, est un lieu de villégiature prisé de personnalités de la politique, des affaires et du spectacle.
Il y a 4 ans et 265 jours

Nadia Hai se targue d'un budget de la Ville en augmentation

LOI DE FINANCES. Le projet de budget pour 2021 présente une augmentation de 10% des crédits du ministère de la Ville. Celle-ci doit permettre une "amplification" des actions sur trois politiques clés, dont le renouvellement urbain.
Il y a 4 ans et 265 jours

L'aluminium gagne des parts de marché sur les ventes de fenêtres

L'aluminium poursuit sa croissance en 2019 dans un contexte pourtant austèreAfin de mieux comprendre la légère progression du marché de la fenêtre de +1.6% entre 2017 et 2019, correspondant à 10.026.000 fenêtres vendues en France métropolitaine en 2019, il est important de rappeler les évènements qui ont marqué cette période.La principale explication vient notamment du fait que la rénovation dans le logement, qui représente 60.7% de parts de marché, a vu le Crédit d'Impôt Transition Énergétique (CITE) passer de 30% en 2017 à 15% plafonnés à 100€ par équipement en 2019. Par ailleurs, le mouvement des gilets jaunes, apparu en octobre 2018, a également joué un rôle dissuasif sur le 1er trimestre 2019.En revanche, les transactions immobilières de logements anciens enregistrées par les Notaires de France sur l'année 2019 ont cru de +9,4% par rapport à 2017. Ces acquisitions, qui ont connu un niveau de volume record sont régulièrement suivies de travaux de rénovation et donc, ont soutenu le marché de la fenêtre. Quant au marché du neuf, il ne s'est pas remis de sa forte chute de 2018 et a connu en 2019 une baisse de -7,3% par rapport à 2017.Bien que le marché évolue timidement, la fenêtre aluminium progresse de 7,1% en 2019 par rapport à 2017 et capte un tiers des parts de marché en volume. Par ailleurs, avec une croissance en valeur de +12,8% entre 2017 et 2019, l'aluminium porte le marché de la fenêtre en valeur qu'il domine désormais avec 43,9% des parts de marchés.Sans oublier que cette croissance est aussi portée par sa force de production qui recense en France métropolitaine 2 651 fabricants de fenêtres en aluminium sur son territoire.Côté importation, seuls 7,1% des 1 101 000 châssis importés en 2019 sont en aluminium, même s'ils ont représenté la plus forte progression avec +33% par rapport à 2017.Le marché de la fenêtre au 1er semestre 2020Après un 1er trimestre 2020 (du 1er janvier au 16 mars 2020) très positif avec une progression de +8,5% par rapport à 2019, 79,5 % des sociétés de pose et la quasi-totalité des usines ont dû fermer leur porte pour une durée indéterminée, le 16 mars 2020 au soir, veille du confinement.Les fabricants, sous l'impulsion d'une poignée de majors et avec l'accompagnement de leurs organisations professionnelles représentatives comme le SNFA, puis les poseurs, ont su s'adapter à ce nouveau quotidien aux nombreuses contraintes sanitaires et organiser la reprise. La semaine du 6 avril 2020, la lumière revenait dans les premières usines de production de fenêtres et la reprise s'est opérée par paliers. Par ailleurs, grâce à une bonne communication des poseurs sur les gestes barrières à respecter chez les clients, des rendez-vous ont pu être planifiés quasi-normalement chez les particuliers dès le premier jour du déconfinement, le 11 mai 2020.En revanche, la reprise fut plus complexe pour le marché de la fenêtre dans le neuf et pour les chantiers, du fait de l'ambiguïté de l'État sur la responsabilité des Maîtres d'Ouvrages dans les décisions d'arrêt des chantiers. En effet, même si les chantiers ont réouvert pour 96% d'entre eux, seuls 78% d'entre eux étaient en pleine activité afin de respecter les gestes barrières et les mesures sanitaires, engendrant ainsi des répercussions sur la productivité et les délais.Résultat, au premier semestre 2020, la production cumulée de fenêtres a chuté de -22.9% par rapport à 2019 en volume, tous chantiers confondus et tous matériaux confondus.L'aluminium, des qualités qui séduisent de plus en plusAvec une année 2020 marquée par deux mois de confinement, la fenêtre aluminium est pourvue de qualités à faire valoir sur le bien-être et l'amélioration du confort de vie.Tout d'abord, sur le plan de la robustesse, l'aluminium permet de réaliser des ouvertures de grandes dimensions et des coulissants offrant un grand clair de jour. Au point, que grâce à leurs montants fins, les fenêtres aluminium sont les plus lumineuses avec 15 à 20% de lumière en plus. Ces qualités bénéficient au confort de l'habitat et à la qualité de vie des occupants grâce aux apports de lumière et de chaleur naturelles. Ces apports gratuits peuvent générer jusqu'à 30% d'économie de chauffage.D'autre part, les fenêtres aluminium offrent une excellente isolation grâce à la rupture de pont thermique.Esthétiquement, les menuiseries aluminium s'adaptent à toutes les projets que ce soit en neuf ou en rénovation, et les possibilités de personnalisation sont infinies avec, par exemple, la bicoloration, à savoir l'application d'une couleur différente sur les montants intérieurs et extérieurs.La filière de la menuiserie aluminium est, par ailleurs, engagée dans une démarche de qualité globale sur la fabrication des fenêtres : le LABEL fenêtrealu et la certification NF Fenêtres Aluminium.Étude commandée par les organisations professionnelles représentatives de la profession - SNFA, UFME et UMB-FFB-Codifab et réalisée par l'équipe du cabinet P&P qui s'est entretenue avec 147 dirigeants de majors industriels du secteur et 911 dirigeants de sociétés de pose, entre mars 2020 et juillet 2020, afin de disposer de chiffres précis sur le marché et les caractéristiques techniques des fenêtres vendues en 2019 et établir des prévisions pour 2020 (intégrant l'impact de l'épidémie de Covid-19).
Il y a 4 ans et 265 jours

Economie circulaire : "Il manque un acteur national référent pour accélérer les choses"

ECOLOGIE INDUSTRIELLE. En lançant un "hub d'accélération national pour une économie circulaire dans la construction" baptisé Agyre, Stéphane Le Guirriec, directeur général de la structure et président de l'Institut MECD (Matériaux et équipements pour la construction durable), cherche à inscrire le BTP dans un cercle vertueux qui ne se limiterait pas à la seule valorisation des déchets. Entretien.
Il y a 4 ans et 265 jours

L'immobilier et les Français, une relation privilégiée même en période difficile

ETUDE. Comment les Français ont-ils perçu l'immobilier en pleine crise du coronavirus et à la sortie du confinement ? Ont-ils confiance dans les professionnels du secteur ? Téléchargez l'intégralité de l'étude Ifop/ Optimhome 2020 pour obtenir les réponses.
Il y a 4 ans et 265 jours

Le BIM d’Or, le leurre et l’argent du leurre

Puisqu’il semble que ce soit la saison des récompenses, ce prix décerné le 21 septembre 2020 par le Moniteur, le BIM d’Or, récompense cette année l’Ecole Germaine Tillion à Toulouse. Pour construire une petite école, le ‘Building Information Modeling’, dit BIM, est-il donc désormais indispensable ? Et pour une maison de famille ? L’ouvrage lauréat (6,7 M€, […] L’article Le BIM d’Or, le leurre et l’argent du leurre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 265 jours

Les sociétés d'ingénierie de plus en plus inquiètes attendent toujours le redémarrage de leur activité

Plus d'1 entreprise sur 2 estime que le redémarrage n'a pas encore eu lieu et craint pour la pérennité de son activité. Pour les plus fragilisées, les premières difficultés de trésorerie apparaissent. Dans ce climat d'inquiétudes, en particulier pour les ingénieristes du conseil en technologies, la mise en œuvre rapide, simple et efficace du plan de relance sera clé. Partenaire des industriels et des collectivités, la profession génère 47,5 milliards d'euros de chiffre d'affaires et emploie 312.000 collaborateurs partout en France.« Le gouvernement a présenté le 3 septembre dernier un plan de relance massif et ambitieux. L'urgence est désormais de le mettre en œuvre. Les entreprises d'ingénierie continuent de souffrir du ralentissement économique et pour certaines les premières difficultés de trésorerie apparaissent. Au-delà de notre profession, c'est bien tout l'écosystème économique qui risque d'être atteint d'ici 6 mois ; car l'ingénierie – qui intervient sur les études et la conception – est à la racine de tout projet industriel et de construction ! Les entreprises d'ingénierie sont en ordre de bataille pour enclencher la relance ; il faut lancer les projets dès que possible ! »-Pierre Verzat, président de Syntec-IngénierieUne relance à matérialiserSi l'heure est à la relance, les entreprises d'ingénierie n'en voient pas encore les effets. 2/3 d'entre elles souffrent toujours d'une baisse de leurs prises de commandes par rapport à la même période en 2019 et pour près d'une entreprise sur 2, elle atteint 11 à 30%. Pour 2/3 des sondés, l'activité sera toujours à la baisse aux 3e et 4e trimestre 2020.Une chute durable de l'activité qui a des répercussions directes sur l'emploi des techniciens et ingénieurs. Les équipes restent sous-occupées pour plus de la moitié des entreprises interrogées (47% seulement travaillent à 100%) et 7% des effectifs sont toujours soumis à l'activité partielle (vs. 9% en juillet).Les ingénieristes inquiets et confrontés à des difficultés de trésorerieMalgré l'efficacité des différentes mesures de soutien aux entreprises, les ingénieristes voient leur trésorerie mise à mal. Un tiers d'entre eux est confronté à l'allongement des délais de paiement et pour 15%, ils ont dépassé les 30 jours. Notons que ce délai ne cesse d'augmenter depuis le début de la crise : 7% la semaine du 11 mai, puis 11% la semaine du 1er juin. Pour 72%, ces difficultés s'expliquent en grande partie par le refus de la part du client de prendre en charge les surcoûts liés à la Covid-19.Réouverture des chantiers et des sites industriels, reprise de la publication des appels d'offres, annonces du plan de relance… Alors que la situation semble se normaliser, plus d'1 entreprise d'ingénierie sur 2 estime que le redémarrage économique n'a pas encore eu lieu. Un ralentissement durable de l'économie qui inquiète la profession. Si une petite partie des sondés fait déjà part de difficultés de trésorerie, le risque se situe dans les 6 mois à venir pour 20% d'entre eux. Quoi qu'il arrive, les 12 mois à venir seront décisifs pour la moitié des répondants.*Baromètre réalisé par Syntec-Ingénierie auprès de ses adhérents entre le 1er et 4 septembre 2020. Les répondants sont des entreprises de toutes tailles, qui interviennent dans l'industrie et la construction et dans tous les secteurs d'activité d'ingénierie.
Il y a 4 ans et 265 jours

Rénovateurs énergétiques : Roselyne et Jean sont dans un vaisseau

Le label RGE (Reconnus Garant de l’Environnement) a été instauré en 2011 pour permettre aux particuliers, désireux d’effectuer des travaux d’économie d’énergie, de faire appel à des professionnels compétents et qualifiés. En réalité, comme souvent dans ce pays, un vœu pieux se révèle être un cauchemar réglementaire, inefficace de surcroît. Mais Roselyne Bachelot, la ministre […] L’article Rénovateurs énergétiques : Roselyne et Jean sont dans un vaisseau est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 265 jours

Nouveau directeur commercial et marketing chez Vracs de l’Estuaire

Comme nouveau directeur commercial et marketing chez Vracs de l’Estuaire, Thierry Dauger s’attachera à développer l’image professionnelle du cimentier, en tant que cimentier responsable. [©Vracs de l’Estuaire] Vracs de l’Estuaire a nommé Thierry Dauger au poste de directeur commercial et marketing. Première filiale européenne du groupe cimentier marocain Cimat-Cimaf, implantée au Havre (76). Par cette nomination, le cimentier souhaite impulser une nouvelle dynamique. Et « incarner une véritable alternative pour les acteurs du BTP en quête d’agilité et de compétitivité », peut-on lire dans le communiqué de presse. « L’arrivée de Thierry Dauger constitue une excellente opportunité pour Vracs de l’Estuaire. Ses 30 ans d’expertise dans notre secteur d’activité nous seront précieuses pour nous aider à nous développer de façon significative », déclare Youssef Alaoui, directeur général de Vracs de l’Estuaire. Son parcours Thierry Dauger aura pour mission d’asseoir la démarche commerciale par segment de marché. Et d’adapter une offre produits conforme à l’évolution normative. Puis, il s’attachera à développer l’image professionnelle de Vracs de l’Estuaire, en tant que cimentier responsable. Et surtout comme un challenger reconnu par la profession du BTP et des acteurs de la filière des matériaux de construction. A 53 ans, Thierry Dauger est titulaire de deux DUT en génie civil et techniques de commercialisation de l’université de Bordeaux. Il est diplômé de l’Ecole universitaire de management (IAE) de Bordeaux. Il débute sa carrière en 1990 au sein du groupe Ciments Français. Puis, Italcementi comme responsable de secteur. Enfin, comme directeur d’agence Sud-Ouest à partir de 2000. En 2007, il prend la direction des ventes et grands comptes pour la zone Atlantique.
Il y a 4 ans et 265 jours

Castex et les régions scellent un accord sur le "co-pilotage" du plan de relance

"Il s'agit d'un accord pour renouveler le dialogue avec les régions et les associer étroitement à la mise en œuvre de la relance", a indiqué Matignon à la presse, à l'occasion de la venue à Paris des présidents de région pour signer un "accord de partenariat", qui donne suite à celui signé fin juillet par Renaud Muselier, le président de Régions de France."Le texte reprend les grandes lignes de l'accord de méthode de juillet, mais il est désormais tourné vers le plan de relance de manière très volontariste", a assuré l'entourage du chef du gouvernement.A l'exception du président du conseil exécutif de Corse, Gilles Simeoni, qui n'a pu se déplacer "pour des raisons logistiques", les 12 autres présidents de région, ainsi que celui de la Guyane, Rodolphe Alexandre, ont fait le déplacement pour signer ce texte qui consacre les régions comme "co-pilotes du plan de relance", a souligné Matignon."Dans chaque région, d'ici la fin de l'année, il y aura la signature d'un accord de relance", a expliqué le cabinet du Premier ministre, précisant que les départements qui le souhaitent pourront aussi signer des textes du même type.Dans cet "accord de partenariat", l'État et les régions s'engagent à investir chacun 5 milliards d'euros supplémentaires dans le cadre du plan de relance, soit 10 milliards de plus pour un total de 40, comme convenu en juillet.Cela s'effectuera dans le cadre des contrats de plan État-Région 2021-2027, dont les axes forts tourneront autour de la transition écologique, la recherche, la cohésion sociale, la santé, la formation professionnelle ou encore la modernisation des infrastructures de transport."A court terme, pour amorcer la pompe, il est prévu dès la fin 2020 de soutenir les investissements régionaux qui s'inscrivent dans le plan de relance à hauteur de 600 millions d'euros", a expliqué Matignon. Autre signe d'apaisement, la compensation totale de la baisse des impôts de production, décidée par l'exécutif pour stimuler la compétitivité des entreprises. Cette coupe de 20 milliards d'euros vient directement toucher les régions, qui en percevaient 7 à 10 milliards, notamment via la cotisation sur la valeur ajoutée (CVAE).
Il y a 4 ans et 265 jours

Une étude sur les conditions de travail des serruriers métalliers en atelier

La profession publie les premiers résultats d’une étude métier portant sur les conditions de travail des serruriers-métalliers en atelier. Les risques existent et il faudra améliorer certains points.
Il y a 4 ans et 265 jours

MaPrimeRenov’ : une aide attractive pour la rénovation énergétique

Emmanuelle Wargon, ministre du Logement, a annoncé dans les colonnes du Journal du Dimanche que le plan de relance pourra permettre à l’aide « MaPrimeRenov’ » de financer jusqu’à 90% du devis des ménages modestes. Cette aide pourra être demandée à partir du 1er janvier 2021 et elle concernera les devis signés après le 1er octobre 2020. Un simulateur pour estimer son montant sera mis en ligne le 5 octobre. Lancée en janvier 2020, MaPrimeRenov’ est maintenant la principale aide de l’État pour la rénovation énergétique des logements. Plus simple, plus juste et plus efficace, elle rencontre un franc succès avec plus de 100 000 demandes à ce jour. Son budget a été augmenté en cours d’année, de 390 M€ à 575 M€. En 2021, MaPrimeRenov’ remplacera définitivement le crédit d’impôts transition énergétique (CITE) et sera étendue à tous les ménages, quels que soient leurs revenus, qu’ils soient bailleurs ou occupants, en prévoyant aussi une aide simplifiée pour les copropriétés. Son budget sera alors de 740 M€. MaPrimeRenov’ pourra être cumulée avec les certificats d’économies d’énergie (CEE).
Il y a 4 ans et 265 jours

Une journée en ligne autour de la massification de la rénovation

Alors que le salon ARTIBAT est repoussé d’un an, Jeudi 22 octobre 2020, les organisateurs et NOVABUILD proposent une journée en ligne dédiée aux solutions terrain pour faciliter la massification de la rénovation. Ainsi, alterneront des séquences de présentation des solutions innovantes portées par les 10 lauréats du concours CIRQ 2020 avec des séquences thématiques d‘experts de terrains et des retours d’expériences autour de : l’innovation pour massifier, la rénovation du patrimoine bâti, la massification dans le logement individuel et collectif, l’économie circulaire en rénovation. Marjolaine MEYNIER MILLEFERT, Députée et co-Présidente du PREB (Programme de Rénovation Énergétique du Bâtiment) et Sabine BASILI, Présidente du Programme national pour la qualité de la construction et de la transition énergétique, ouvriront cette journée. Elles nous présenteront le plan rénovation, les moyens alloués par le gouvernement grâce au plan de relance et les solutions proposées par les entreprises. Laurent ROSSEZ, Président de NOVABUILD, et Michel BROCHU, Président de la CAPEB Pays de la Loire, récompenseront en clôture, les 3 premiers lauréats. Les 10 lauréats CIRQ 2020 1er Prix du jury : Isol’En Paille : ISOL’en Paille produit sur mesure une gamme d’isolants de qualité adaptée aux besoins de la construction comme de la rénovation. La botte de paille est l’isolant low-tech open-source le plus abouti ! La Botte de 22, de dimensions innovantes, est une solution de bottes en paille de 22 cm d’épaisseur. Elle est produite dans une usine dédiée et respecte le cahier des charges des règles professionnelles de la construction paille. 2ème Prix du jury : AIR : Signée YLE Architectures, cette solution de végétalisation destinée aux cours d’immeubles haussmanniens garantit l’apport d’air frais dépollué dans les appartements grâce à un système de cheminées solaires basé sur le principe de tirage thermique. La création d’écosystèmes rafraîchissants avec des cours végétalisées selon un principe de strates végétales dépolluantes, couplée au réinvestissement des cheminées raccordées, assure une qualité de l’air optimale des différents lots habitat de la copropriété. 3ème Prix du jury : MAXEEM : Maxeem, plateforme de services numérique, agrège un ensemble de données permettant d’accéder à distance à des informations relatives au bâtiment (surface, nombre d’étage, année de construction…), d’évaluer son potentiel de rénovation, de structurer un préchiffrage travaux ainsi que le montage du plan de financement. Elle identifie les professionnels RGE à proximité pour faciliter la mise en œuvre des projets de rénovation énergétique. Les professionnels sont plus performants grâce à ces outils, développant la confiance avec les donneurs d’ordres. Ces trois lauréats se verront récompensés d’une journée de coaching par OmniGibus (agence spécialisée dans la « Formation Média Training et Prise de parole ») ainsi que d’une dotation de 2 000 € (pour le 1er prix) et 1 000 € (pour les 2ème et 3ème prix). ARTICONNEX : Articonnex apporte aux artisans du bâtiment des solutions pour améliorer leur gestion des matériaux et leurs investissements en machine tout en plaçant l’économie du circulaire au cœur du projet. Articonnex propose un triptique de solutions : une marketplace (revente de matériaux neufs et de réemploi – location d’atelier et matériels de chantiers), un premier entrepôt physique dédié au réemploi et un web magazine pédagogique. BATIRESO : Plateforme de digitalisation et de dématérialisation permettant de contextualiser les échanges entre donneurs d’ordre et entreprises de la construction. Cet outil en ligne est destiné à moderniser les process administratifs de lancement d’appels d’offre et de suivi de chantiers entre professionnels du bâtiment. BATIRESO permet de gagner en productivité en diminuant les tâches administratives liées aux échanges sur un projet de construction. BIModeler : Modélisation BIM semi-automatique des lots architecturaux sur REVIT en LOD 200 / 300 à partir du plug-in BIModeler. Cette solution se caractérise par le suivi de la prestation via une plateforme collaborative full web ainsi que le suivi et le contrôle du process par un expert en modélisation BIM. BIModeler permet une diminution des coûts et délais de modélisation ainsi que des erreurs humaines. BIModeler facilite l’accès au processus BIM. FEELBAT : Les capteurs DELTA Feel permettent de suivre l’évolution des fissures et mouvements d’un bâtiment ou ouvrage d’art via une application dédiée. Le système permet de démocratiser la solution, d’anticiper les désastres sur les balcons et bâtiments. Par leur taille et leur prix ils peuvent couvrir plus de zones que les capteurs actuels. L’ASSECHEUR : Ce procédé assèche tous types de murs : plein/creux, quel que soit le matériau à la suite d’un dégât des eaux : inondation, infiltration, remontées capillaires. Il s’agit d’un traitement naturel de l’humidité du mur : pas de produit chimique, pas d’onde magnétique. L’évolution technologique du syphon atmosphérique par l’utilisation de composants électroniques miniaturisés garantit un volume d’air circulant dans le mur est constant et suffisant pour l’assécher. MON Artiz : Cette initiative structure un réseau d’artisans sélectionnés sous une marque commune pour promouvoir la rénovation énergétique. Elle met à disposition une application numérique pour les accompagner dans leur quotidien et disposer d’une offre élargie par de nouveaux services innovants (possibilité d’intégrer une maquette BIM simplifiée, proposition de variantes pour une rénovation énergétique performante). We Love Réno : Plateforme web collaborative de gestion de travaux, de la gestion commerciale, jusqu’à la réception du chantier. Tous les intervenants du projet peuvent s’organiser, interagir et suivre en temps réel l’évolution du chantier. La plateforme intègre à la fois un CRM, les notices de travaux avec estimatif, un espace d’échange de documents, une planification du suivi de chantier ou encore l’organisation de rendez-vous BtoB. Rendez-vous sur ARTIBAT les 13, 14 et 15 octobre 2021 pour rencontrer « physiquement » les lauréats CIRQ 2020.
Il y a 4 ans et 265 jours

Construction bois : "Ce n'est pas le matériau qui coûte cher, c'est la mise en oeuvre"

FILIÈRE BOIS. Profitant d'une exposition médiatique accrue et d'un intérêt renouvelé dans un contexte de transition écologique et d'économie circulaire, le bois présente effectivement des atouts indéniables. Mais son utilisation reste soumise à de nombreux enjeux.
Il y a 4 ans et 265 jours

Yvelines : livraison du Training Center du Paris Saint-Germain maintenue pour 2022

D’ici 2022, le PSG disposera d’un nouveau centre d’entraînement et de formation dans les Yvelines.
Il y a 4 ans et 265 jours

Isère : lancement des travaux de revalorisation des Caves de la Chartreuse à Voiron

Travaux de requalification des Caves de la Chartreuse à Voiron en marche.
Il y a 4 ans et 265 jours

Après la remise en cause des aides au photovoltaïque, la filière évoque une "ambiance délétère"

Le gouvernement cherche à renégocier certains dispositifs d'aides accordés au solaire avant 2011, croient savoir les Echos.Bercy n'a pas démenti cette information et alors que le débat sur le prochain projet de loi de finances approche, le syndicat Enerplan souligne que cette fuite dans la presse a déjà "créé une onde de choc"."La méfiance est là et le silence actuel n'est pas bon", déplore Daniel Bour, le président d'Enerplan. "Cela crée une ambiance délétère, alors qu'une force de la France tient dans le respect de la parole de l'Etat.""Au moment où le gouvernement présente un plan de relance, veut soutenir l'hydrogène, la transition écologique... les gens ne vont pas se précipiter", assure-t-il.Les pouvoirs publics avaient mis en place dans les années 2000 un mécanisme d'obligation d'achat d'électricité par EDF au bénéfice de personnes installant des panneaux photovoltaïques, via des contrats pouvant aller jusqu'à 20 ans. Ces contrats ont été assortis de tarifs élevés, jusqu'à ce qu'un moratoire instaure un nouveau régime fin 2010, mais certains sont toujours en vigueur.La renégociation, si elle était menée, pourrait permettre d'économiser jusqu'à 600 millions d'euros. Les particuliers ne seraient pas concernés par cette mesure.
Il y a 4 ans et 265 jours

MIAW 2020 : Appel à candidatures

Organisés par le magazine Muuuz en partenariat avec le magazine d’a, les Muuuz International Awards récompensent chaque année les produits les plus remarquables de l'architecture, de l'agencement et de la décoration. L'appel à candidatures de l'édition 2020 est ouvert jusqu'au 15 novembre 2020. Pour la huitième année consécutive, les MIAW récompensent les produits les plus innovants de l'architecture et du design, et met en avant les fabricants les plus créatifs en assurant la promotion des nouveautés sélectionnées. Ils bénéficient d’un plan de communication de grande ampleur destiné à présenter les produits. Les lauréats disposent également du label « MIAW Winner 2020 » qu'ils peuvent utiliser dans leurs communications.Pour concourir, les produits doivent avoir été commercialisés sur le marché français après le 1er janvier 2019. Les lauréats pourront par la suite bénéficier d'une grande visibilité sur Muuuz et d'a, et ainsi assurer à leur produit le gage d'une belle reconnaissance.Pour participer, il vous suffit d’inscrire votre produit sur le site des Muuuz International Awards. Visuel : © Maxime BuotLa Rédaction
Il y a 4 ans et 265 jours

Budget 2021: mode d'emploi du budget vert

Un "scanner" des dépensesIl s'agit de "passer au scanner les dépenses actées dans le budget de l'Etat pour évaluer si elles ont un impact favorable, défavorable ou neutre sur l'environnement", explique la députée Bénédicte Peyrol, qui a beaucoup travaillé sur ce projet.Le gouvernement a décidé de retenir six critères: la lutte contre le changement climatique; l'adaptation et la prévention à ce changement; la préservation de la ressource en eau; l'économie circulaire et la gestion des déchets; celle de la pollution de l'air, des sols et du bruit; et enfin la préservation de la biodiversité.Chaque dépense recevra six notes, entre -1 et +3, en fonction de son impact sur chacun de ces critères, le zéro traduisant un impact neutre.Pour plus de lisibilité cette note sera traduite en couleur, avec notamment plusieurs nuances de vert.Toutes les dépenses, y compris les "dépenses fiscales", c'est-à-dire les niches fiscales et autres exonérations accordées à certains ménages ou entreprises, seront ainsi passées au crible.Une méthode complexeLa concrétisation de ce budget vert a demandé un "travail colossal", souligne Bénédicte Peyrol, à la fois de la direction du budget à Bercy, mais aussi des autres ministères, qui ont oeuvré pour définir les notes à accorder à chaque dépense.La notation a résulté d'une méthodologie précise, en utilisant comme référence les différents traités ou directives européennes que la France a ratifiés, par exemple l'accord de Paris sur le climat ou une directive sur la biodiversité.Cette méthodologie découle notamment d'un rapport rendu l'an dernier par l'Inspection générale des finances (IGF) qui avait travaillé sur plusieurs missions du budget 2019: Agriculture, Ecologie, Recherche et Cohésion des territoires.Elle avait ainsi recensé 25 milliards d'euros de dépenses défavorables à au moins un des six objectifs environnementaux et à l'inverse 35 milliards de dépenses favorables à au moins un de ces objectifs.Un guide pour les politiques publiquesPour la députée Bénédicte Peyrol, ce travail va révéler que "les enjeux environnementaux sont complexes", avec des dépenses qui spontanément paraissent positives au regard de certains objectifs environnementaux, mais négatives si on considère d'autres objectifs.Les aides à l'éolien par exemple seront en +vert+ pour leur impact sur le climat car cette énergie n'émet pas beaucoup de CO2, mais elles sont moins positives en matière de recyclage des matériaux utilisés ou d'impact sur la biodiversité du fait de son emprise au sol.Même chose pour les soutiens au nucléaire, au transport ferroviaire ou les niches fiscales en faveur des biocarburants."Ce budget vert entre dans cette complexité pour qu'on ait les débats. C'est un exercice de transparence vis-à-vis des Français et d'accompagnement de la décision politique", notamment lorsqu'une dépense défavorable à l'environnement permet de financer une politique légitime, comme celle du logement social, ou la solidarité, ajoute Mme Peyrol.Un des objectifs sera ainsi de voir "comment le législateur va s'empêcher à l'avenir de prendre des mesures néfastes ou pas" pour l'environnement, avait estimé l'an dernier lors de l'annonce de la création de ce budget vert, la directrice du Budget, Amélie Verdier.
Il y a 4 ans et 265 jours

Frédéric Didier, nommé directeur général chez Wienerberger France

Frédéric Didier est nommé directeur général chez Wienerberger France, filiale du groupe mondial de terre cuite.
Il y a 4 ans et 265 jours

Versailles : Réenchanter la ville grâce à Quai 36

Fresque des frères Sckaro et Ratur. [©ACPresse] Qui dit ”Versailles”, pense “Château”, “Résidence des rois de France : Louis XIV, Louis XV et Louis XVI”… Mais c’était sans compter sur les actions de son maire François de Mazières, qui est un très grand défenseur de l’art urbain. « Je voudrais que cette ville d’histoire reste au XXIe siècle une ville de création. […] La rencontre avec l’équipe de Quai 36 fut pour moi déterminante. […] Je leur ai proposé de travailler sur le thème de la nature en ville qui est, avec l’esthétique, un axe majeur de notre politique urbaine. » En effet, depuis plus de 10 ans, la Ville embellit par petites touches son espace urbain. Petites touches… petites touches… Mais touches certaines d’appropriation de l’espace urbain par l’art. Comme en témoigne l’exposition, sise à l’ancienne poste centrale. Où une quinzaine d’artistes représentatifs de l’art urbain actuel, issus de la Maison de production Quai 36, ont investi les lieux. Et ce, jusqu’au 18 octobre prochain. Fresque mi-végétale mi-humaine des frères Sckaro et Ratur. [©Ville de Versailles]Fresques de Saddo et LX One. [©Ville de Versailles]Fresque de Levalet : un cri contre l’oppression du système. [©Ville de Versailles]Equipe de Quai 36. [ACPresse]Les équipes de Quai 36 s’activent avant le vernissage de l’expo. [©ACPresse]Fresques de Julien Colombier et Levante. [©Ville de Versailles]Fresques de Ratur et Saddo. [©Ville de Versailles]A gauche, François de Mazières, maire de Versailles, qui œuvre pour la création urbaine avec Quai 36 et son président-fondateur Jonas Ramuz. [©ACPresse] Mais pas que… Depuis 2019, un programme de réhabilitation, mené par un groupement orchestré par Eiffage Construction, via le bailleur social Versailles Habitat, vise à améliorer le quotidien des habitants du quartier Bernard de Jussieu. Cette réhabilitation développe ainsi une dimension culturelle, toujours avec Quai 36. Le projet se nomme #1096, en référence aux 1 096 logements réhabilités. Une exposition, des espaces immersifs « Pour cette occasion, Quai 36 a imaginé un lieu d’expériences artistiques urbaines à mi-chemin entre galerie et exposition. Ponctuées d’interventions artistiques immersives sur place. Ce déploiement pluriel se veut le miroir du paysage de l’art urbain aujourd’hui », explique Jonas Ramuz, président et fondateur de Quai 36. [©ACPresse] Sur la thématique “La nature reprend ses droits”, l’exposition sur 800 m2 prend donc place sur un lieu atypique : le site en friche de l’ancienne poste centrale de Versailles (rénovation à venir). A 200 m du château ! Offrant une grande liberté d’action et de possibilités d’aménagement. Quai 36 a capitalisé sur l’aspect insolite du lieu devenu inoccupé pour l’investir d’interventions artistiques in situ. En jouant des textures et des matériaux existants. « Pour cette occasion, Quai 36 a imaginé un lieu d’expériences artistiques urbaines à mi-chemin entre galerie et exposition. Ponctuées d’interventions artistiques immersives sur place. Ce déploiement pluriel se veut le miroir du paysage de l’art urbain aujourd’hui », explique Jonas Ramuz, président et fondateur de Quai 36. A savoir, un courant artistique qui prend naissance dans l’espace public. Des techniques artistiques qui évoluent au fil des années. Et enfin, une reconnaissance internationale pour un genre désormais représenté en galeries et dans certains musées. A la découverte des artistes et des œuvres Vous découvrirez une fresque murale dans les tons roses et rouges signée des frères Sckaro et Ratur. Un visage bouleversant mi-humain, mi-végétal. Un perroquet rougeoyant embrase une toile. Un lapin par ici au milieu des tulipes ou encore un être emprisonné, enchaîné et emboîté dans les murs bas de la poste (Levalet). Un tableau végétal par là en béton de Lx One. Deux sculptures à moitié humaines et végétales en bois de Levalet… Des expériences inédites dans un lieu brut…  1 an, 10 murs Fresque murale de l’artiste Waone. [©Cédric Pierre]Fresque murale de Telmo & Miel. [©Cédric Pierre]Fresque murale de l’artiste Seth. [©Cédric Pierre]Fresque murale de l’artiste Eron. [©ACPresse] « La beauté de la ville est pour moi une préoccupation constante. Elle fait partie de la responsabilité des élus… », estime François de Mazières. C’est ainsi que le quartier Bernard de Jussieu, célèbre botaniste français du XVIIesiècle, a subi une réhabilitation “artistique”. En plus d’être thermique par l’extérieur. Le thème de la nature et de l’animalité était donc parfait pour ce haut lieu social de Versailles, datant des années 1950-1960. « Ces dix fresques peintes sont complémentaires avec les travaux de rénovation thermique des 1 096 logements sociaux », insiste Eric Le Coz, directeur général de Versailles Habitat. Et Tarik Fadili, conducteur de travaux Eiffage Construction, de rajouter : « En plus d’apporter davantage de confort énergétique aux locataires, la collaboration mise en œuvre avec Quai 36 permet une revalorisation esthétique de leur quotidien. En important l’art au cœur du quartier, voire juste sous leurs fenêtres… » 10 créateurs internationaux Ainsi, chaque artiste – ils sont dix créateurs internationaux -, a été invité à interpréter le thème de la relation entre l’humain et la nature. Ils ont investi chacun une façade de 150 m2.« Cette action s’inscrit pleinement dans la politique de la Ville de promouvoir une culture populaire de qualité », reprend François de Mazières. Découvrez “Le monument” d’Eron, artiste romain, qui représente une fresque où se mêle la nature sauvage, libre. Mais aussi apprivoisée avec un vol de colombes. Ou encore, “The curious botanist” de l’Ukrainien Waone, qui fait référence à Bernard de Jussieu. Enfin, “Respire” de Seth : reposée sur une étoffe beige, une enfant découvre une flore printanière abondante. Un vrai musée à ciel ouvert. « Avec le projet #1096, Quai 36 éveille la curiosité des habitants sur leur propre lieu de vie. Et interpelle leur sensibilité artistique. La médiation opérée par notre Maison de production permet d’ouvrir le dialogue avec les riverains. Ceux-ci ont l’opportunité d’échanger directement avec les artistes. Ceci, afin de mieux comprendre leur interprétation de l’identité du quartier », conclut Jonas Ramuz. Muriel Carbonnet Retrouvez le parcours de l’art urbain à Versailles sur l’appli Versailles : www.versailles.fr/outils/appliversailles/Informations et programmation ici.Ancienne poste centrale – 3 avenue de Paris – 78000 Versailles 
Il y a 4 ans et 265 jours

La maison-mère de Leroy Merlin cède les murs de 42 magasins pour 500 millions d'euros

Selon le journal qui cite un cabinet d'avocats, les actifs vendus pour "plus de 500 millions d'euros" se situent en France, en Italie, en Espagne et au Portugal et sont "intégralement loués aux enseignes Leroy Merlin, Bricoman et Bricomart".Les acquéreurs sont la foncière Batipart et la société de groupe d'assurance mutuelle Covéa qui acquièrent respectivement 41% et 39% de la structure créée pour l'acquisition des murs, Adeo en gardant 20%."Il s'agit d'un rééquilibrage entre actifs détenus en propre et actifs exploités en location qui porte sur une part très réduite de notre parc. Nous restons majoritairement propriétaires en détenant 72% des mètres carrés que nous opérons", a écrit aux Echos l'Association familiale Mulliez (AFM), une galaxie à la tête d'autres enseignes dont notamment Auchan (qui a annoncé la suppression de près de 1.500 postes début septembre), Boulanger ou Decathlon."Nous continuons par ailleurs à investir plus de 800 millions (d'euros) chaque année dans de nouveaux magasins ou des agrandissements", précise l'AFM, qui affirme par ailleurs que l'"opération n'a pas de lien avec la politique de rémunération des actionnaires de notre entreprise."
Il y a 4 ans et 265 jours

Léon Grosse et Kyotec : les raisons d’un rapprochement

L'entreprise générale de construction a annoncé vendredi 25 septembre une prise de participation à hauteur de 68% des actions du façadier Kyotec. Le point sur les bénéfices attendus de cette opération.
Il y a 4 ans et 265 jours

Expérimentations en résidences - Livre

De tous les programmes, la maison demeure le plus essentiel et le plus personnel. En présentant un kaléidoscope de 400 réalisations d’exception de l’ère moderne, du début du XXe siècle à nos jours, cet ouvrage révèle la diversité et la richesse de la création architecturale en matière d’habitat. P […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 265 jours

Quel avenir pour la construction et la digitalisation ?

La majorité des sociétés de construction reconnaissent avoir des difficultés pour travailler de façon collaborative et près de la moitié des estiment que le secteur de la construction ne dispose pas des capacités numériques suffisantes pour répondre aux exigences de la ville intelligente. Voici les résultats d'une étude réalisée par Finalcad.
Il y a 4 ans et 265 jours

Le Groupe Ramery engage une nouvelle étape de son développement

En 2019, il affichait un chiffre d'affaires de 532 M€, comparable à celui de 2018. Solide et résilient, le groupe familial entame une nouvelle étape de son histoire. Depuis le 17 septembre dernier, Matthieu Ramery en assure la présidence, entouré d'un comité de direction renouvelé.Nouvelle gouvernance, nouvelle organisationEn 2007, Michel Ramery, fondateur du groupe éponyme, confiait à Philippe Beauchamps une double mission : impulser à l'entreprise une nouvelle dynamique et accompagner sa transmission à son fils, Matthieu. 13 années plus tard, la mission est accomplie. Matthieu Ramery a ainsi pris la Présidence du Groupe, le 17 septembre 2020, réaffirmant sa volonté de le maintenir dans le giron familial.Philippe Beauchamps demeure à ses côtés en qualité de Directeur Général, en charge des relations extérieures.Pour poursuivre le développement du groupe, Matthieu Ramery s'entoure d'une nouvelle équipe dirigeante composée de 7 membres aux profils complémentaires :Jérôme Boudier EnergieXavier Deltour Travaux publics – Enveloppe Bâtiment Hauts de FrancePascal Foulon Métiers fonctionnelsLaurent Gibello Contractant & CommerceJean-Louis Robart Bâtiment Normandie & Aquitaine QSSE & Développement Durable MatérielOlivier RomainEnvironnement & MatériauxChristophe ThiébautImmobilierUn groupe solide et résilientPour conforter sa structure financière, le Groupe Ramery a engagé ces dernières années, notamment en 2019, une démarche volontariste visant à retrouver l'équilibre de ses entités les plus fragiles et à accroître sa rentabilité. Les résultats sont au rendez-vous. En 2019, avec un chiffre d'affaires de 532 M€, comparable à celui de 2018, le groupe a affiché un résultat d'exploitation en hausse de 40% passant de 12,8 M€ à 18 M€.Solide, il a pu affronter la crise sanitaire avec le soutien de ses partenaires bancaires et de l'Etat. Dès mai 2020, les premiers chantiers ont repris, participant ainsi à la relance du secteur avec une attention particulière apportée aux délais de règlement des fournisseurs, tout comme les collectivités ont veillé à réduire les leurs. A ce stade, et sous réserve d'aléas climatiques et de recrudescence de la Covid-19, l'année en cours devrait se clôturer avec un chiffre d'affaires en recul de 15% environ, avec une prévision de résultat à l'équilibre.Quelques chantiers emblématiques décrochés en 2020Le court Suzanne Lenglen de Roland Garros (6M€ - conception réalisation - couverture du stade existant)La Chambre des métiers d'Arras (11,7 M€ - construction d'un nouveau bâtiment)L'EHPAD de Saint Amand les Eaux (31 M€ - marché global de performance - 287 lits).Le centre aquatique de Lens (31M€ - marché global de performance).TOTAL Établissement des Flandres à Mardyck (500 K€/an pendant 5 ans - contrat de nettoyage industriel et Gestion Déléguée des Déchets).ECO-MOBILIER (2M€/ an pendant 6 ans - renouvellement du contrat dépt 59/62 de collecte et transformation de déchets d'ameublement - 40 à 50 KT par an)Villa Cofféa - construction ensemble immobilier de 97 logements, parkings, commerces à Mérignac (7,8M€ - gros œuvre étendu).ORANO Cycle LA HAGUE – Projet DFG RESINES bâtiment nucléaire (11,6 M€ travaux de génie civil )Le carrefour du Fer à Cheval à Croix (1,3M€ lot voirie, assainissement, aménagement)Usine Blédina à Steenvoorde (830k€ Voierie Réseaux Divers de la nouvelle unité de filtration)Oncolille Nouveau Centre de recherche en cancérologie à Lille (4, 7M€ CREM – ventilation, gestion des fluides, exploitation et maintenance)Rive Gauche à Haubourdin (15 M€ Programme immobilier 79 logements)
Il y a 4 ans et 265 jours

Certificats d’économie d’énergie : les délégataires visent l’industrie

Place aux industriels ! Le groupement des professionnels des certificats d’économie d’énergie (GPCEE) se mobilise pour rééquilibrer le dispositif de financement au profit des plus gros consommateurs, dans la perspective de la cinquième période programmée entre le 1er janvier 2022 et le 31 janvier 2025.
Il y a 4 ans et 265 jours

Léon Grosse prend le contrôle de Kyotec

Léon Grosse vient de reprendre Kytoec. City of Dreams, Macao, en Chine. [©Ivan Dupont] Le groupe de BTP Léon Grosse a annoncé avoir pris une participation majoritaire dans l’entreprise luxembourgeoise Kyotec. Créée en 2008, cette dernière est spécialisée dans la conception, l’ingénierie et la gestion de projets de façades architecturales complexes. Ceci, dans les secteurs résidentiels et tertiaires. Basée au Luxembourg, elle est aussi implantée en Belgique, en France, en Pologne, au Portugal et au Royaume-Uni. Enfin en 2019, Kyotec comptait 175 collaborateurs et réalisait un chiffre d’affaires de 35 M€.  Ce rapprochement illustre la volonté du groupe Léon Grosse de diversifier son activité. En même temps, cet accord lui permet d’accompagner la croissance de Kyotec. Et de se renforcer sur le secteur de la construction à haute valeur ajoutée. A moyen terme, ce rapprochement aboutira au développement de synergies créatrices de valeur pour les deux entreprises. Développer les compétences en façades techniques En parallèle, le groupe Léon Grosse accompagnera la mise sur le marché de la technologie brevetée ModulAir. Il s’agit d’un système de traitement de l’air intégré dans les façades. Celui-ci est aussi bien destiné aux travaux neufs qu’à la rénovation. LuxLab, l’atelier de test et de prototypage de Kyotec, l’a développé.  « Les compétences éprouvées de Kyotec en matière de façades techniques se veulent le prolongement naturel de l’expertise de Léon Grosse. En effet, ce rapprochement permettra à Léon Grosse d’élargir de manière significative et qualitative son offre auprès de ses clients, en France et à l’international », résume Lionel Christolomme, président du directoire de Léon Grosse. Et Thierry Foucart, président de Kyotec, de conclure : « Ce rapprochement stratégique va nous permettre de conserver notre position forte dans le domaine des façades techniques. De notre point de vue, Léon Grosse et Kyotec se complètent. Nous nourrissons un engagement commun en faveur de l’excellence technique et de l’innovation au service du client ».
Il y a 4 ans et 265 jours

L’inclassable Hubert Duprat, comme autant de fictions

La rétrospective du musée d’Art moderne de Paris présente l’œuvre protéiforme de l’artiste français Hubert Duprat (né en 1957). Le créateur n’appartient à aucun mouvement artistique. Le fil conducteur de l’exposition réside dans le mode opératoire fondé sur l’exploration et la collecte. Mais aussi sur un principe d’agrégation de matières à la fois précieuses et industrielles, de techniques et de références historiques. Le tout oscillant entre architecture, peinture, arts décoratifs et sculpture. Vue de l’exposition Hubert Duprat au musée d’Art moderne de Paris. [©ACPresse] “L’Atelier en béton” remis à l’honneur L’exposition est la synthèse de quarante années de travail. Certaines réalisations en béton n’ont pas été montrées depuis les années 1990. Cette rétrospective permet aussi de réactiver plusieurs œuvres in situ, dont “l’Atelier en béton”, qui figure parmi les plus spectaculaires. Mais aussi “Chagrin” (polystyrène et galuchat1)… “L’Atelier en béton” est une  structure, qui est emboîtée dans l’un des espaces du musée. Semblant défier les lois de l’apesanteur. On se croirait sur chantier, avec la dalle béton et les étais. Peu montrés depuis leur création, ces travaux occupent une place centrale dans l’exposition. Dans l’œuvre d’Hubert Duprat, on trouve une abondance de surfaces sensuelles, texturées. Ou, au contraire, polies, brillantes, opaques, organiques et translucides. Sa création allie le monumental et la miniature, les lignes épurées et une virtuosité maniériste. L’artiste mêle des formes et de matières, créant ainsi des hybrides inattendus. L’oeuvre “l’Atelier en béton” de Hubert Duprat. [©ACPresse]L’oeuvre “Chagrin” de Hubert Duprat. [©ACPresse] Il puise indifféremment dans la nature ou dans la manufacture des étrangetés minérales (pyrite, calcite, ulexite…), végétales (ambre), animales (corail). Ou des matériaux industriels (polystyrène, béton, paraffine, pâte à modeler…). Hubert Duprat utilise aussi bien des procédés, qui proviennent en grande partie de l’artisanat comme la marqueterie, l’orfèvrerie, la sculpture… La matière artistique, dont s’empare l’artiste est, semblable à un iceberg, constitué d’une partie immergée, dérobée au regard. Il faut savoir qu’Hubert Duprat délègue la réalisation de ses œuvres à de multiples collaborateurs spécialisés. Il revendique une absence d’atelier. Voire se considère lui-même comme « quelqu’un de très peu méticuleux ». « L’artiste ne dessine pas. Tout au plus trace-t-il parfois un vague schéma s’il a besoin de préciser ses intentions, auprès d’un assistant, par exemple », peut-on lire dans le catalogue de l’exposition. Mais il agence ses matériaux comme autant de fictions. A découvrir. M. C. 1Le galuchat est un cuir de poisson cartilagineux de raie ou de requin.