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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87544 résultats)
Il y a 4 ans et 252 jours

Deux nouvelles antennes à Rennes et Strasbourg pour l’ESCT

L’ESCT compte désormais 5 antennes en France, avec deux nouvelles antennes à Rennes et Strasbourg. [©ESCT] L’Ecole supérieure de conduite de travaux (ESCT) qui fête l’année prochaine ses 15 ans, ouvre deux nouvelles antennes à Rennes (35) et Strasbourg (67). Le 1erseptembre prochain, quelque 72 nouveaux apprentis intègreront les locaux de ces deux structures. C’est Philippe Horn qui assure la direction de l’ESCT Rennes. Quant à l’ESCT Strasbourg, elle relève d’Edouard Quintard. Ainsi, l’école compte désormais 5 antennes en France. A l’origine, l’ESCT est née à Vincennes en 2006. Puis, a été implantée à Marseille il y a deux ans. Suivie par Bordeaux en 2019. Donnant la possibilité aux étudiants de tout le territoire d’accéder plus facilement aux formations. Les premières promotions de Rennes et de Strasbourg pourront opter pour l’une des deux formations en alternance : Bac+3 “chargé-e d’affaires BTP” et Bac+5 “directeur-trice de travaux”. Ceci, avec en dernière année l’option de suivre un master of science Construction & Management, en partenariat avec Abertay University, à Dundee, en Ecosse. « Ces deux nouvelles antennes s’inscrivent dans la continuité du développement de l’école. Permettant ainsi de renforcer le dynamisme et l’attractivité de chaque région. Mais aussi de répondre aux besoins de recrutements des entreprises. Ceci, tant au niveau local que régional, dans les secteurs de la construction BTP »,peut-on lire dans le communiqué de presse.
Il y a 4 ans et 252 jours

Fast Formation Beissier : l'apprentissage des enduits en 1/2 journée

Parce qu'il est parfois difficile de mobiliser ses forces vives sur une journée face à un calendrier de chantiers chargé ou pour répondre au développement de nouvelles activités, Beissier initie, depuis février 2020, un nouveau concept de formations d'1/2 journée.Cette phase de découverte des enduits assure aux stagiaires d'aborder bien entendu une partie théorique ainsi qu'une connaissance des produits phares des gammes BAGAR ou PRESTONETT, mais leur apporte aussi toutes les clés de la réussite en pratique puisqu'elle fait également la part belle aux types d'applications (mécanique ou manuelle) de chaque gamme.Débutant à 8 h 30 pour se finir à 12 h 30, ces Fast Formations Beissier sont dispensées sur le site de La Chapelle la Reine (77) au sein de l'Académie Beissier, pourvu notamment de 5 cabines d'application spécialement réalisées avec différents matériaux y reproduisant toutes les configurations chantier possibles.Précisons enfin que, plus flexible, le calendrier de ces Fast Formations (coût de 150 euros HT pris en compte par le 1 % formation) permet à Beissier de s'adapter parfaitement aux contraintes de planning d'intervention sur chantier des professionnels.L'entreprise Reux basée à Fontainebleau (77) qui a suivi, avec 5 de ses peintres, une Fast Formation Beissier le 26 février dernier, confirme tout son intérêt et sa satisfaction. Contenus, qualité de la formation, de l'écoute comme des moyens matériels, ces 5 collaborateurs se sont unanimement félicités des précieux apports de cette demi-journée.Un autre témoignage d'une formation suivie le 10 juin confirme également tout l'intérêt de ces nouveaux modules : "Sur une demi journée, j'ai pu profiter d'un apprentissage m'assurant une maîtrise de l'application des enduits airless. Cela m'a permis de réaliser parfaitement et rapidement mon premier chantier en maison individuelle !"Inscription sur : https://www.beissier.fr/demande-dinformations/
Il y a 4 ans et 253 jours

Le bâtiment a retrouvé espoir sur ses carnets de commandes en août 2020

CONJONCTURE. L'opinion des entrepreneurs du bâtiment sur leur activité récente et sur l'état de leurs carnets de commandes s'est améliorée au mois d'août, d'après l'Insee. Ils se montrent également plus confiants sur l'évolution de leurs effectifs et le niveau des prix.
Il y a 4 ans et 253 jours

Les loyers parisiens ont poursuivi leur hausse l'an dernier, malgré le retour du plafonnement

L'an dernier, les loyers privés ont augmenté de 1,8% dans la capitale française, contre 1,7% un an plus tôt, selon l'Observatoire des loyers de l'agglomération parisienne (Olap), organisme chargé d'évaluer les effets de mesures publiques d'encadrement des loyers.Cette très légère accélération est, a priori, contre-intuitive, puisque la ville de Paris a réintroduit en cours d'année 2019 le plafonnement des loyers, qui avait été annulé par la justice un an et demi plus tôt.Mais en réalité, cette mesure est sans grande conséquence pour nombre de locataires parisiens, en gros tous ceux qui renouvellent leur bail dans le même appartement.Dans ce cas-là, l'évolution de leur loyer est déjà très encadrée car elle doit, pour l'essentiel, suivre un indice de référence des loyers (IRL). Or celui-ci a légèrement progressé, suivant l'inflation.Plus parlante, l'évolution des loyers à la "relocation", c'est-à-dire quand un logement accueille un nouveau locataire, témoigne, elle, d'une moindre hausse qu'en 2018. Elle s'est établie en 2019 à 3,4%, contre 4,1% l'année précédente."On peut voir dans ce résultat l'effet modérateur de l'encadrement des loyers de nouveau appliqué depuis le 1er juillet 2019", avance l'Olap, en référence au plafonnement.L'organisme dresse également un tableau de l'évolution des loyers dans toute l'agglomération parisienne, soit aussi notamment les départements limitrophes des Hauts-de-Seine (92), de Seine-Saint-Denis (93) et du Val-de-Marne (94).Sur l'ensemble de l'agglomération, les loyers ont progressé de 1,7% l'an dernier (contre 1,5% en 2018) et de 3,5% pour les seuls logements accueillant de nouveaux locataires - contre 3,6% un an plus tôt.
Il y a 4 ans et 253 jours

Akena se muscle sur le marché des aménagements extérieurs

ACQUISITION. Akena, fabricant de vérandas et de pergolas, annonce avoir fait l'acquisition d'une société afin de se densifier sur le secteur des extensions et des aménagements extérieurs en aluminium.
Il y a 4 ans et 253 jours

Bruno Le Maire appelle les entreprises du bâtiment à embaucher des jeunes plutôt que des travailleurs détachés

"Nous allons vous soutenir massivement (...) mais je vous en supplie, limitez au strict minimum le recours aux travailleurs détachés. Faites travailler les ouvriers français, engagez des jeunes", a demandé Bruno Le Maire lors d'une table ronde à l'université d'été du Medef."De cela, dépend le succès de la relance", a-t-il insisté.Le plan de relance de 100 milliards d'euros que le gouvernement dévoilera en détail jeudi prochain prévoit "plusieurs milliards d'euros" de soutien à la rénovation énergétique des bâtiments privés et publics, a-t-il rappelé.Le gouvernement espère que ces aides permettront d'engager des chantiers immédiatement, afin d'accélérer la reprise de l'activité.Le ministre a toutefois été interpellé par Cécile Mazaud, dirigeante du groupe familial Mazaud spécialisé dans la construction, sur les difficultés à faire venir des jeunes vers les métiers du bâtiment.C'est "un combat culturel que nous devons mener", pour inciter les jeunes à aller vers ces métiers, a-t-il convenu.Plus largement, il a indiqué que le plan de relance instaurerait un dispositif de "gestion prévisionnelle des effectifs au niveau national", et décliné "région par région", pour "adapter" les cursus de formation aux besoins des entreprises.Le ministre a par ailleurs jugé que les délocalisations d'usines de ces dernières décennies avaient permis au Front national de s'installer dans les territoires."Nous avons laissé partir des pans entier de notre industrie par manque de courage, par manque de lucidité, par manque d'investissement et de volonté", a-t-il regretté.Cela s'est fait au prix d'"une flambée du Front national (devenu le Rassemblement national) partout où les entreprises ont fermé". "Quand une entreprise ferme, une permanence du Front national ouvre. Voila la réalité et c'est bien ça que je combats", a affirmé le ministre.Il a toutefois prévenu que les relocalisations qui pourront se faire en France dans les prochaines années porteraient sur "des marchés industriels à haute valeur ajoutée", par exemple les batteries électriques.
Il y a 4 ans et 253 jours

Petits éléments de couverture : la toiture devient multifonctions

Après une année 2019 plutôt stable en termes de ventes, 2020 s’annonce pleine d’interrogations pour les fabricants de tuiles, qui continuent d’innover pour s’adapter aux évolutions du bâtiment.
Il y a 4 ans et 253 jours

Eiffage limite la casse au premier semestre, et compte se redresser au deuxième

RÉSULTATS. Le groupe Eiffage sort d'un premier semestre difficile, mais espère renouer avec la rentabilité au second. Une inconnue importante constitue le niveau des investissements du bloc communal à venir.
Il y a 4 ans et 253 jours

Chez Bouygues, la construction à nouveau bien orientée

Après avoir subi l’impact de la pandémie de Covid-19 au premier semestre, les activités de construction du groupe retrouvent une situation profitable. Fortes d'un niveau de commandes record, elles se projettent désormais vers les futurs plans de relance.
Il y a 4 ans et 253 jours

Fortement impacté par la crise du coronavirus au 1er semestre, Eiffage promet de sauver son année

Au premier semestre, le groupe, numéro 3 français du BTP derrière Bouygues et Vinci, a subi une perte nette de huit millions d'euros, contre un bénéfice de 290 millions un an plus tôt. Ses revenus ont chuté de 18,9% à 6,9 milliards.Cette baisse du chiffre d'affaires "est totalement liée au Covid", a résumé Benoît de Ruffray, PDG d'Eiffage, lors d'une présentation des résultats sur internet.Le groupe est affecté à deux titres. Ses chantiers ont été perturbés par le contexte sanitaire et son autre grande activité, l'exploitation d'autoroutes, a pâti de la réduction drastique des déplacements.Eiffage a également une petite présence dans les aéroports mais celle-ci est bien moindre que celle de son concurrent Vinci. Elle se concentre par ailleurs en France, alors que de nombreuses incertitudes pèsent encore sur les voyages internationaux.Le groupe a observé une chute semblable de son chiffre d'affaires dans ces deux grandes branches, travaux, d'un côté, autoroutes et aéroports, de l'autre, mais des situations contrastées selon les pays."Les mesures de confinement choisies par les gouvernements ont eu des impacts très différenciés", a souligné M. Ruffray.Sur les chantiers, l'activité a, ainsi, peu subi la crise en Allemagne, alors qu'elle s'est effondrée pendant des semaines en France.Pour l'avenir, Eiffage prévient qu'il subira une "baisse marquée" de ses revenus et de ses bénéfices cette année, mais pas une perte. Il promet, en effet, que ses résultats "se redresseront sensiblement" pendant la deuxième moitié de 2020.Le groupe compte surtout sur son activité de chantiers dans laquelle, malgré la crise, il a continué à faire gonfler son carnet de commandes, gage de revenus à venir.En revanche, il juge la situation encore trop incertaine sur ses autoroutes, malgré une nette reprise du trafic, et ses aéroports pour s'y aventurer à des prévisions précises.
Il y a 4 ans et 253 jours

Vivre à Megève : comment trouver l’appartement idéal ?

Vivre à Megève est le rêve de nombreux investisseurs immobiliers. Nichée en plein cœur du massif du Mont-Blanc, cette ville est l’endroit idéal pour bâtir de nouvelles infrastructures et développer des projets entrepreneuriaux. Pour trouver l’appartement de standing adapté à ses besoins, voici les étapes de recherche à suivre. Adopter les bonnes méthodes de recherche Pour trouver un appartement à vendre Megève, de nombreux critères sont à considérer, notamment la zone géographique et la localisation du bien. L’emplacement est, en effet, important dans le choix du logement, car c’est ce qui impacte le prix du bien et qui détermine la réussite de l’investissement. Ainsi, avant de scruter les annonces, il est impératif de choisir le quartier où l’on souhaite vivre. Cela va permettre de faciliter les recherches. Que ce soit dans le centre du village ou dans les secteurs périphériques, Megève propose un large choix d’appartements adaptés aux besoins et aux attentes des acheteurs. Une fois l’emplacement défini, il faut penser à dresser une liste des caractéristiques du logement idéal : le type du bien (neuf ou ancien), le nombre de pièces, la surface du logement, le nombre d’étages, etc. Devenir propriétaire d’un appartement à Megève est une belle résolution. Mais pour savoir si on est en mesure d’investir dans un tel projet, il est important de déterminer les moyens que l’on a en sa possession. Avant de se lancer dans l’achat immobilier, il est donc essentiel de fixer son budget. Ceci comprend tous les frais et dépenses liés à l’acquisition (frais de dossier, déménagement, assurance…). C’est après avoir déterminé le budget et l’emplacement qu’il faut décrypter les annonces. Faire appel à une agence immobilière Pour trouver l’appartement de ses rêves, rien ne vaut l’expertise d’une agence immobilière. Connaissant le marché local, elle accompagne les acheteurs qui désirent rechercher un bien d’exception à vendre. L’agence dispose pour cela d’une base de données mise à jour qui lui permet de fournir les informations dont l’acquéreur a besoin de savoir. Il s’agit notamment du prix du marché immobilier et des différents biens à vendre dans la ville. En tant qu’intermédiaire, l’agence engage également la négociation immobilière afin d’aider l’acquéreur à acheter un bien immobilier au meilleur prix. Selon les critères et les impératifs de confort du client, elle saura proposer un appartement adapté à ses besoins et à son budget. Contacter une agence immobilière, c’est aussi bénéficier d’un service complet et sur-mesure. Principale représentante de l’acquéreur, elle prend en main toutes les démarches juridiques et administratives nécessaires à la transaction immobilière. Dans ce contexte, elle va surveiller la moindre irrégularité du bien immobilier. Elle veille à ce que tous les éléments soient conformes aux normes (constructibilité du terrain, présence de risques naturels…). En plus de définir la valeur réelle du bien, son rôle est de même d’accompagner l’acheteur tout au long des procédures d’achat. De la visite du bien à la signature du contrat de vente, elle va éclairer les choix de son client et l’aider à prendre les meilleures décisions.
Il y a 4 ans et 254 jours

Eiffage compte sur un carnet de commandes record pour surmonter la crise

Le groupe dirigé par Benoît de Ruffray a subi une perte nette de huit millions d'euros au premier semestre. Mais la major espère limiter la casse au deuxième semestre. Surtout un carnet de commandes "historique" d'un montant de 17,1 milliards d’euros, en hausse de 15 % sur un an , assure aux branches travaux du groupe 14,8 mois d’activité.
Il y a 4 ans et 254 jours

Le Medef demande plus de "souplesse" concernant l'obligation du port du masque en entreprise

Le nouveau protocole sanitaire dans les entreprises en cette rentrée devra laisser "un peu de souplesse aux entreprises", a-t-il affirmé en ouverture de l'Université d'été du Medef, baptisée cette année "Renaissance des entreprises de France", à l'hippodrome de Longchamp dans l'ouest de Paris.Il a toutefois convenu que "tout est préférable au reconfinement" du point de vue de la relance de l'économie et de la reprise de l'activité des entreprises.Arrivé sur scène au son du tube "I will survive" de Gloria Gaynor, le patron du Medef a affirmé vouloir transmettre un message "d'optimisme" en cette rentrée marquée par un regain de contaminations sur le front de l'épidémie de Covid-19.Maintenir cet événement annuel, c'est "envoyer un message à nos salariés et à nos concitoyens: oui le Covid-19 est là, mais on peut, mais on doit se réunir, on doit continuer à consommer, à produire, bref à vivre", a-t-il estimé.Devant le Premier ministre Jean Castex qui prenait la parole après lui, il a appelé le gouvernement à poursuivre le soutien aux entreprises et aux salariés.Indiquant qu'il restait encore "2 millions de salariés" au chômage partiel, il a notamment jugé qu"'il faudra être financièrement bienveillant pour eux" dans les mois qui viennent.Devant un public de chefs d'entreprises réduit pour cause d'épidémie, le patron du Medef a aussi réitéré son appel à rouvrir le débat sur le temps de travail, après avoir déjà suscité un tollé en évoquant ce sujet durant le confinement."Je pense qu'il faudra rouvrir le débat" lorsque reprendront les négociations sur la réforme des retraites, c'est-à-dire "pas maintenant", mais "pas non plus en 2022", a-t-il affirmé."La richesse d'un pays c'est la quantité de travail par individu multipliée par le nombre de gens qui travaillent. Tout le reste c'est de l'idéologie", a-t-il martelé, estimant que les pays du nord de l'Europe "nous demanderont des comptes sur les réformes"."On a une priorité, c'est l'emploi", a répondu Elisabeth Borne, la ministre du Travail, interrogée à propos de la demande du patron du Medef sur le temps de travail, lors d'un déplacement sur un site d'Engie, à la Défense (Hauts-de-Seine), où elle a fait le point sur le protocole de déconfinement."On est dans un contexte d'épidémie qui s'accélère ces dernières semaines", a-t-elle encore déclaré pour défendre l'obligation du port du masque en entreprise. "Evidemment, on souhaite aussi appliquer des règles de bon sens et pouvoir, le cas échéant, trouver des exceptions, quand on est très peu nombreux dans un très grand espace, par exemple", a-t-elle ajouté."On a ressaisi le Haut conseil de la santé publique et on attend d'ici vendredi la réponse sur les cas particuliers qui permettront de ne pas avoir un masque, au-delà du bureau individuel. En fonction de son retour, on finalisera le nouveau protocole avec les partenaires sociaux qui sera mis en ligne lundi", pour une application à partir du 1er septembre, a-t-elle précisé.
Il y a 4 ans et 254 jours

Reprise post-confinement : "la confiance est vraiment le maître-mot", P. Asselin (Untec)

ENTRETIEN. Une semaine avant la présentation du plan de relance gouvernemental, le président de l'Union nationale des économistes de la construction (Untec), Pascal Asselin, dresse le bilan du confinement et du déconfinement. S'il estime que tous les éléments d'une reprise économique sont là, il appelle malgré tout à revoir certains comportements et à accepter les contraintes sanitaires pour relancer la machine.
Il y a 4 ans et 254 jours

Masque, relance, baisse d'impôts : le Premier ministre veut rassurer les entreprises

PRECISIONS. Lors de l'université d'été du Medef, le Premier ministre Jean Castex a tenté de rassurer les chefs d'entreprises dans un contexte inédit, en abordant plusieurs sujets d'actualité : port du masque en entreprise, activité partielle, baisse d'impôts en janvier 2021 et plan de relance annoncé la semaine prochaine.
Il y a 4 ans et 254 jours

Découvrez le comité exécutif de Nexity

MOUVEMENT. Le spécialiste de l'immobilier, Nexity, annonce la mise en place de son Comité Exécutif Groupe, qui remplace son comité stratégique.
Il y a 4 ans et 254 jours

Norsilk fusionne avec 3T, le spécialiste de l’étanchéité

La fusion de ces deux entreprises françaises appartenant au groupe Dongès doit permettre au nouvel ensemble de devenir l’un des principaux acteurs dans la rénovation et l’isolation des bâtiments, un secteur en plein développement
Il y a 4 ans et 254 jours

« Nous disposons de l'expertise pour rendre le monde meilleur », Yves Metz, président d'Ingérop

Le président d'Ingérop estime que la relance ne peut être que « verte » et se propose de faire bouger les lignes.
Il y a 4 ans et 254 jours

La Ville et la Métropole de Nice décrochent près de 1,4 M€ de financements européens

Ces fonds aideront à l’installation en 2021 du centre social de la Ville de Nice dans l’ancienne bibliothèque du quartier des Moulins et d’une nouvelle recyclerie au cœur du quartier de l’Ariane, projet porté par la Métropole.
Il y a 4 ans et 254 jours

Cession de Nacarat à Procivis Nord

Ludovic Montaudon, directeur général de Procivis Nord. [©Procivis Nord] Le groupe Procivis Nord et Rabot Dutilleul annoncent la signature d’un protocole d’accord. Ceci, pour une prise de participation majoritaire de Procivis Nord dans Nacarat. Cette dernière étant la filiale de promotion immobilière de Rabot Dutilleul. Pour Procivis Nord, acteur historique de l’immobilier, cette acquisition renforce son offre de produits et son implantation territoriale. Cela correspond au déploiement d’un nouveau plan de développement. « Rabot Dutilleul conserve une participation significative dans Nacarat. A travers cette décision, le groupe entend poursuivre son projet stratégique de développement de la chaîne de valeur sur les métiers de la construction et de la promotion immobilière », peut-on lire dans le communiqué de presse. La cession devrait être effective en septembre 2020. Les équipes de Nacarat restent en place. « Les histoires respectives de Procivis Nord et de Rabot Dutilleul se croisent aujourd’hui pour coopérer. L’acquisition de Nacarat vient renforcer notre groupe sur l’un de nos cœurs de métier : la promotion immobilière. Elle amplifie notre projet d’entreprise par son maillage territorial et sa complémentarité avec nos activités. De son côté, Nacarat pourra bénéficier de nouvelles possibilités de développement, via nos outils coopératifs », déclare Ludovic Montaudon, directeur général de Procivis Nord.
Il y a 4 ans et 254 jours

Les créations d'entreprises ont poursuivi leur hausse en juillet 2020

CONJONCTURE. Après avoir spectaculairement rebondi en juin dernier, les créations d'entreprises ont continué à enregistrer de belles performances au mois de juillet, portées par les immatriculations d'auto-entrepreneurs. Le secteur de la construction profite lui aussi de cette tendance.
Il y a 4 ans et 254 jours

Maintenance des Pac : les textes sont parus, l'obligation est entrée en vigueur

DÉCRYPTAGE. Les pouvoirs publics avaient annoncé, en mars 2020, que la maintenance des pompes à chaleur allait devenir obligatoire tous les deux ans. Les textes instituant cette décision sont parus fin juillet 2020 et sont entrés en vigueur pour le neuf comme pour l'existant. Explications avec Valérie Laplagne, en charge de la chaleur renouvelable chez Uniclima, et Roland Bouquet, vice-président délégué du Synasav.
Il y a 4 ans et 254 jours

Le terrain à bâtir doit être objectivement sans défaut

Un lot de lotissement a ainsi été jugé non-conforme à ce qui avait été promis ou convenu parce qu'il n'a pas été prouvé que le couple d'acquéreurs, non-professionnels, ait bien perçu et apprécié l'ampleur de l'anomalie lorsqu'il s'est engagé.Ce couple avait acquis un terrain et une maison à construire auprès d'un promoteur et se plaignait, au moment d'en prendre possession, de la présence d'un important talus dans le fond du terrain, ce qui obstruait la vue et diminuait la surface utile du jardin.Le talus est dû à des nécessités techniques, expliquait le promoteur qui soulignait surtout que ce rehaussement était prévu depuis toujours, qu'il était mentionné sur les plans et dans l'acte de vente, sans que les clients, auxquels rien n'avait été caché, n'aient jamais élevé d'objection.La justice lui a donné tort. Même si le terrain était conforme à ce qui était prévu, le promoteur a été condamné à verser une forte indemnisation à ses clients pour leur avoir vendu un bien non-conforme à ce qui était vraisemblablement objectivement attendu par eux, a-t-elle dit.Ainsi, il n'est pas établi que les acquéreurs aient pu réaliser que leur terrain serait à ce point encombré, notamment parce que les dimensions du talus n'étaient pas précisées dans l'acte de vente, et parce qu'un plan en perspective n'avait pas été fourni, ou parce que le plan fourni n'était pas suffisamment explicite pour des particuliers.(Cass. Civ 3, 6.12.2018, F 17-27.604).
Il y a 4 ans et 254 jours

Entreprise générale - KS crée une ambiance familiale

Le groupe alsacien multiplie les réaménagements intérieurs dans l'extension de son siège. Son objectif: favoriser le bien-être au travail.
Il y a 4 ans et 254 jours

Maugin annonce un changement de gamme et une nouvelle stratégie industrielle 2020-2025

Cependant, s'affirmer en expert historique sur un marché, c'est aussi prendre des engagements, rechercher l'amélioration constante, s'adapter aux nouvelles attentes qui feront la fenêtre de demain. C'est pourquoi le groupe familial s'est attelé ces 18 derniers mois à la mise au point d'une menuiserie nouvelle génération en composite, dont le profil est doté dans l'ouvrant de fibre de verre, et dans le dormant d'un renfort thermique en PVC cellulaire et fils d'acier (en option). Ce faisant, MAUGIN se hisse aujourd'hui au rang des quelques fabricants français spécialistes des menuiseries PVC et ALU en capacité de proposer un produit aussi technologique et performant.Gamme Eclea Terres de Fenêtre : véritable innovation et montée en gammeLe Groupe Maugin a officiellement lancé sa nouvelle gamme de fenêtres ECLEA COMPOSITE TERRES DE FENETRE, contribuant au renouvellement de son plan stratégique industriel 2020-2025. Élaborés en partenariat avec le gammiste Deceuninck, les profils PVC de cette nouvelle gamme renferment de la fibre de verre ainsi qu'un renfort thermique (en option). Reconnus comme étant de véritables innovations sur le marché, ces atouts donnent à la gamme des avantages significatifs. Intégrant déjà le vitrage Eclaz et la quincaillerie sécurité Q1, la gamme ECLEA COMPOSITE TERRES DE FENETRE devient ainsi un produit très haut-de-gamme, affichant plus d'esthétisme, de luminosité, de légèreté, de performance, de sécurité, de rigidité, avec un meilleur potentiel recyclage.Après un premier lancement réussi en version Plaxée en février dernier, MAUGIN poursuit ce mois de juillet le déploiement de sa nouvelle gamme, en parfaite conformité avec le planning annoncé (cf. Dossier de Presse complet en annexe). La première mise au point s'est faite sur le site pilote de Saint-Gervais (85), spécialisé dans la fabrication des menuiseries plaxées et qui se prête parfaitement au calibrage exact du process. L'opération en mode "laboratoire" a permis d'assurer un lancement performant pour aborder en toute sérénité la deuxième phase, soit le déploiement intégral cet été de toute la gamme blanc et laqué sur le site fleuron de Saint-Brévin (44). Depuis, le site de Saint-Gervais a d'ailleurs basculé à 100% sur la fabrication de la nouvelle gamme en plaxé."Plus technologique, cette nouvelle génération de profils est une belle opportunité pour augmenter la qualité de nos produits PVC, en leur assurant une plus grande longévité, un meilleur pouvoir isolant et plus de résistance. Les atouts de ce nouveau profil composite alliant PVC et fibre de verre représentent une innovation inégalée à ce jour sur le marché du PVC. Avec ce produit au design plus carré qui se rapproche de celui de l'Alu, c'est une réelle montée en gamme pour nos produits, ce qui va nous permettre de nous démarquer sur le marché", témoigne Pascal Vallée, Directeur de Production PVC Groupe MAUGINUne commercialisation conforme à l'échéancier annoncéFormées aux atouts de cette nouvelle gamme dont la technologie fibrée casse les codes de l'industrie traditionnelle du PVC, les équipes commerciales MAUGIN et Terres de Fenêtre sont actuellement déployées sur le territoire pour équiper les showrooms des clients et partenaires, les doter de nouveaux outils d'aide à la vente et leur apporter tous les éclairages utiles." Nous aurions pu subir de plein fouet les impacts de la COVID et devoir reporter notre commercialisation. Pourtant, le projet a continué de se dérouler dans les meilleures conditions. C'est un projet ambitieux qui tient ses promesses, tant sur la qualité finale du produit dont nous sommes fiers, que sur sa mise en marché qui reçoit un très bel accueil de la part de nos clients."- Ludovic Guillou, Directeur Commercial du Groupe Maugin & Directeur du Réseau Terres de FenêtreNouveauté : + de couleursConsidérant la demande des particuliers en très forte croissance pour la couleur, le Groupe MAUGIN profite de ce lancement de nouvelle gamme pour élargir son offre couleur. Désormais, comme les menuiseries ALU thermolaquées, les menuiseries Composite sont disponibles dans toutes les couleurs RAL laquées venant ainsi s'ajouter aux coloris teintés masse et plaxés.Considérant la demande des particuliers en très forte croissance pour la couleur, le Groupe MAUGIN profite de ce lancement de nouvelle gamme pour élargir son offre couleur. Désormais, comme les menuiseries ALU thermolaquées, les menuiseries Composite sont disponibles dans toutes les couleurs RAL laquées venant ainsi s'ajouter aux coloris teintés masse et plaxés.Entretien avec Bertrand Maugin, PDG du Groupe MAUGIN / TERRES DE FENÊTRE" Lancer la commercialisation d'une nouvelle gamme, et plus largement un nouveau plan stratégique industriel pour les 5 prochaines années, alors que se présente une crise sanitaire majeure... C'est loin d'être simple.Nous sommes malgré tout au RDV sur les grandes phases du calendrier programmé initialement. Je rends d'ailleurs hommage à l'ensemble des salariés du groupe Maugin qui n'ont cessé de se mobiliser pour que nous puissions tenir nos engagements. Durant cette période inédite, chacun d'entre nous a du s'adapter pour réagir, ajuster le tir et aller à l'essentiel.La situation de la Covid aura été une expérience sans précédent, au cours de laquelle nous avons démontré qu'au sein de notre groupe familial, nous sommes particulièrement soudés.Pour traverser cet épisode, il nous a fallu pour autant rester exigeants et vigilants à chaque détail. Nous n'avons dérogé à rien, traitant les événements dans l'ordre, sans précipitation et en évitant tout stress. Avec le Comité de Direction qui a été sur le pont au quotidien, nous avons orchestré la gestion de la crise avec pragmatisme.Aujourd'hui, les effectifs sont de retour à 100%. En raison du rattrapage des commandes, l'activité profite d'une embellie avec une prise de commande similaire à l'année dernière, sur la même période. Pour le moment, nous produisons sur nos 3 sites industriels avec un taux de service à la hausse : le niveau de confiance est très bon.Au-delà de la mobilisation de tous les salariés, cette reprise d'activité n'aurait pas été possible sans la solidarité des confrères, syndicats professionnels et fournisseurs avec qui nous avons travaillé à retrouver les meilleures conditions pour rassurer et satisfaire nos clients. Je salue aussi le relai offert par les médias spécialisés qui ont redoublé d'efforts pour maintenir le lien, continuant d'informer la profession régulièrement."
Il y a 4 ans et 254 jours

Le siège de KS Groupe en images

Groupe familial alsacien de construction, KS Groupe a fait coïncider la transformation de son siège à Bischheim (Bas-Rhin), à partir de 2014, avec l’accélération de sa propre diversification et de l’évolution de sa personnalité : sous l’impulsion de Jérôme Sauer et Edouard Sauer représentant la troisième génération, cette institution locale du BTP traditionnellement discrète assume désormais de davantage s’afficher. Elle a fait sienne le postulat selon lequel l’entreprise qui réussit est celle où les collaborateurs se sentent autonomes et épanouis. Dès lors, KS Groupe a procédé à de multiples réaménagements intérieurs de son siège, qui accueille 130 de ses 450 collaborateurs, dans le but de favoriser le bien-être sur le lieu de travail : le sport, les jeux, les apéritifs en terrasse, les moments de détente y trouvent leur place…sans occulter l’impératif de rentrer des affaires.
Il y a 4 ans et 254 jours

A Bruxelles, la RTBF verra son nouveau siège de 100 M€ construit par Eiffage et Besix

Baptisé Media Square, le futur bâtiment conçu par les cabinets d'architecture MDW Architectures et V+ aura une superficie de près de 40 000 m².
Il y a 4 ans et 255 jours

Une filiale de Schneider Electric va racheter un expert des logiciels en temps réel

ACQUISITION. Aveva, filiale de Schneider Electric spécialisée dans les logiciels industriels, a annoncé l'acquisition Osisoft, un expert des logiciels et services de données industrielles en temps réel.
Il y a 4 ans et 255 jours

Toronto se mobilise pour sauver un chêne plus vieux que le Canada

La municipalité veut racheter la maison, la raser et créer un espace public autour de l'arbre, mais la pandémie de coronavirus est venue compliquer ses plans.L'imposant chêne rouge d'Amérique, qui pourrait avoir 300 ans, domine le quartier de North York, dans le nord de la métropole. Il est l'un des plus vieux arbres de la plus grande ville du pays, dont l'agglomération compte quelque six millions d'habitants.Vestige d'une forêt séculaire, l'arbre est aujourd'hui situé en plein lotissement, posé dans le jardin d'une propriété privée. Son tronc, immense, fait 5 mètres de circonférence et frôle la façade arrière d'une maison construite dans les années 1960. L'été, ses longues et lourdes branches la recouvrent presque entièrement.Une cohabitation qui a longtemps fonctionné. Mais ces dernières années, un nouveau propriétaire s'est dit inquiet des coûts liés à l'entretien de l'arbre, et il craint que ses racines soient devenues une menace pour la structure de la maison.Certains voisins redoutent, eux, de voir un jour le spécimen dépérir ou être emporté par une tempête. Pour le protéger et pour qu'il soit accessible à tous, le conseil municipal a voté en 2018 pour racheter la propriété, raser la maison et transformer le terrain en un petit parc public."La Rolls des arbres"De longues négociations ont abouti l'an passé à un accord entre la ville et l'actuel propriétaire pour un rachat de la propriété.Une issue qui réjouit Edith George, une habitante du quartier qui se bat avec passion depuis 14 ans pour préserver ce chêne dont la beauté, dit-elle, est à "couper le souffle"."C'est la Rolls-Royce des arbres", assure la retraitée sexagénaire.On estime que l'arbre est âgé entre 250 et 300 ans - voire plus - et qu'il peut encore vivre, dans de bonnes conditions, au moins deux autres siècles."Un arbre comme ça coûte cher à entretenir. Si c'est un lieu public, la ville pourra mieux s'en occuper que moi", reconnaît Ali Simaga, le propriétaire depuis 2015. "Je ne veux pas non plus être égoïste et le garder pour moi seul."Mais l'affaire n'est pas encore conclue. Car la municipalité a posé une condition à l'achat du terrain: que la moitié du montant soit assurée par la population via des dons privés.En décembre 2019, elle a lancé une levée de fonds et s'est donné jusqu'à fin 2020 pour récolter 430.000 dollars canadiens (environ 270.000 euros).Après un début prometteur, marqué par une promesse de 100.000 dollars par un couple de philanthropes locaux, la levée de fonds a été ralentie par la pandémie de Covid-19.Mi-juillet, environ 125.000 dollars, soit près de 30% de la somme espérée, avaient été récoltés. Si le total ne peut être mobilisé d'ici le 12 décembre et sans extension de la collecte de fonds, l'argent reçu sera utilisé pour appuyer des programmes de plantation d'arbres dans la ville, laissant l'avenir de ce chêne historique au conditionnel.Une plaque en son honneurCelui-ci se trouve près du Portage de Toronto, une ancienne grande route commerciale jadis utilisée par les Amérindiens puis par les colons Européens, explique Madeleine McDowell, une historienne locale.Le sentier reliait les lacs Ontario et Simcoe, connectant la région aux Grands Lacs. Les plus grands arbres étaient utilisés comme des "repères" par les voyageurs.Le chêne de North York est un "vestige" de cette forêt, dit-elle. Et il était sans doute déjà grand lorsque la ville de York, l'ancêtre de Toronto, fut établie par les Britanniques près du lac Ontario en 1793."C'est un arbre extraordinaire qui fait partie du patrimoine de Toronto et du Canada", précise Manjit Jheeta, directrice du Bureau des partenariats de la ville de Toronto. "Et il raconte l'histoire de notre pays", ajoute-t-elle.L'an passé, la ville de Toronto a inauguré une plaque en son honneur, une première pour un arbre de la métropole. Sa valeur écologique n'est pas non plus moindre : le chêne retient à lui seul plus de 11 tonnes de carbone."Quand des choses horribles se produisent, je ne vais pas dans une église, je viens ici. Cet arbre est ma cathédrale", lance Edith George. "C'est un survivant. Il nous donne de l'espoir pour notre planète qui est en péril."
Il y a 4 ans et 255 jours

En juillet 2020, le second-oeuvre s'est mieux porté que le gros-oeuvre

CONJONCTURE. L'activité second-oeuvre a affiché une meilleure forme que l'activité gros-oeuvre au mois de juillet 2020, bien que les deux segments disposent du même niveau de commandes. La Banque de France note également qu'un plus grand nombre de défaillances d'entreprises ont été constatées en mai par rapport à avril, même si les chiffres restent inférieurs à mars.
Il y a 4 ans et 255 jours

Bruno Le Maire vole au secours des PME

Dans un entretien aux Echos, publié ce mardi, le ministre de l’Economie annonce deux mesures... Cet article Bruno Le Maire vole au secours des PME est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 255 jours

Panorama du marché de la colocation 2020

ETUDE. La colocation est une solution adoptée par les étudiants depuis plusieurs années déjà. Mais aujourd'hui la pratique s'élargit. Comment se porte le marché ? Qui sont les colocataires ? Quelles sont les villes plébiscitées ? Réponse en téléchargeant l'étude et l'infographie.
Il y a 4 ans et 255 jours

Le temps du voyage plutôt que celui de la destination…

L’été post-confinement est en train de tirer sa révérence et, malgré la quasi-absence de tourisme étranger, la France a connu des bouchons incroyables sur ses autoroutes, expression s’il en est de l’aménagement du territoire et de notre vie ces dernières décennies. La course effrénée que connait notre civilisation dans cette quête de densité ne nous […] L’article Le temps du voyage plutôt que celui de la destination… est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 255 jours

TenCate Toptex GLS 340 protège les glaciers du réchauffement climatique

La préservation des glaciers fait tout autant partie des préoccupations de l’expert en géosynthétiques, d’un point de vue de leur écosystème bien entendu mais également des économies locales qui vivent du tourisme et des loisirs d’hiver. TenCate Geosynthetics a donc fait le choix d’étendre le champ d’application de sa technologie TenCate Toptex®, qui bénéficie déjà de plusieurs décennies d’expertise reconnue dans le secteur agricole pour la couverture des récoltes. TenCate Toptex® GLS 340 se révèle ainsi des plus efficaces en vue de protéger les glaciers du réchauffement climatique. Les atouts de cette nappe non tissée composé de filaments continus, 100% propylène, s’avèrent nombreux : très simple à mettre en œuvre sur des surfaces immenses, imputrescible, perméable à l’eau et à l’air, stabilisé aux UV et présentant une faible conductivité thermique, TenCate Toptex® GLS 340 lutte contre la fonte de la glace, limite le glissement de la neige et réduit ainsi le risque d’avalanche.Démonstration exemplaire Le glacier Presena, dans le nord de l’Italie Chaque été depuis 2008, le glacier Presena, dans le nord de l’Italie, revêt un insolite manteau blanc : de spectaculaires nappes réfléchissantes TenCate Toptex® GLS 340 habillent ses pentes pour le protéger du soleil ; si 30 000 m² étaient ainsi recouverts la première année, ce sont désormais 100 000 m² de non-tissé qui se déploient à une altitude comprise entre 2700 et 3000 m pour ralentir la fonte du glacier ! Le caractère incroyable de cet "emballage façon Christo" révèle le pendant d’un constat malheureusement tout aussi étonnant : depuis 1993, le glacier Presena avait perdu plus d’un tiers de son volume ! La saison de ski terminée, de longues bandes de TenCate Toptex® GLS 340, mesurant 70 m sur 5 m, sont donc tendues à flanc de montagne, assemblées ensemble (par soudage au moyen d’un chalumeau à gaz) pour ériger une barrière efficace aux courants d’air chaud. Une fois en place, elles présentent également l’avantage de se confondre avec la neige, presque invisibles. Comment ça marche ? TenCate Geosynthetics est parti d’un constat : des mesures effectuées sur les glaciers autrichiens montrent une réduction de leur superficie de 15% entre 1969 et 1998, et cette tendance se poursuit. En effet, les conditions climatiques rencontrées dans les sommets des Alpes présentent des spécificités comparées aux montagnes de basse altitude : températures inférieures à zéro et chutes de neiges possibles tout au long de l’année, vitesse du vent pouvant atteindre 200 km/h et très forte influence des UV. Ainsi les stations de ski voient leurs accès directs aux glaciers s’amenuiser, les pylônes des remontées mécaniques perdent leur stabilité ou se trouvent positionnés dans des zones désormais sans neige, sur des pentes de plus en plus rocheuses, parsemées de crevasses dangereuses...C’est pourquoi TenCate Geosynthetics a développé un tapis de protection spécifique pour les glaciers qui limite considérablement la fonte des glaces : TenCate Toptex® GLS. Et ceci, sans impacter la flore et la faune très sensibles des régions alpines. Dans les faits, il réduit le risque d’avalanche grâce à sa surface rugueuse sur laquelle l’eau de pluie s’écoule. Sa perméabilité à l’air suffisante pour résister aux forces d’aspiration causée par des vents violents se double d’une résistance élevée à la pénétration de l’eau, évitant ainsi qu’une trop grande quantité d’eau "chaude" n’atteigne la neige. Enfin, mentionnons que sa haute réflectivité induite par sa couleur blanche réduit le réchauffement par les rayons du soleil, et ce, à long terme car TenCate Toptex® GLS affiche une grande stabilité aux UV qui se double d’une résistance optimale à la traction. Des performances qui permettent de l’exploiter sur plusieurs saisons hivernales allégeant de facto l’investissement. Caractéristiques techniques Matières premières : polypropylène, stabilisé aux UV Couleur : blanc Épaisseur : 2 mm Réflectivité de la lumière (longueur d’onde 500 nm) : 78 % Résistance aux UV : 75 % Résistance à la traction : 23 kN/m Résistance thermique R (t=10°C) : 0,0593 m²K/W Résistance à la pénétration de l’eau : > 80 mm
Il y a 4 ans et 255 jours

Paris : Une crèche de chêne et de béton

Retrouvez cet article dans le numéro 88 de Béton[s] le Magazine. Un habillage en bois enveloppe le bâtiment sur toute sa hauteur, lui conférant son uniformité et son relief. [©ACPresse] La parcelle est minuscule. Elle est même le fruit d’un assemblage complexe. La réunion de deux espaces mitoyens : l’un appartenant à une opération de logements et l’autre, à un Espace Vert Protégé. Ce dernier “emprunt” est restitué au sein du projet. Conçu par l’architecte Jean Bocabeille, l’équipement n’est autre qu’une crèche familiale et multi-accueils de 139 places. Sise rue de la Justice, à Paris, dans le XXe arrondissement. Il est réalisé dans un contexte métropolitain où le foncier est rare. D’où cette optimisation de surfaces pour permettre la construction.  Maître d’ouvrage, la Ville de Paris a imposé une Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 255 jours

Les bétons se font archi-beaux. Dossier

Retrouvez ce dossier dans le numéro 88 de Béton[s] le Magazine. Sommet de la façade principale de la crèche de la rue de la Justice, à Paris. Jean Bocabeille, architecte. [©ACPresse] Le béton reste le matériau le plus utilisé en construction. Il est avant tout choisi pour ses capacités structurelles. Mais rien n’interdit de mettre en valeur ses qualités esthétiques. L’architecte l’a compris depuis bien longtemps, ne se privant pas de montrer la matière telle qu’elle est ou telle qu’il l’a voulu. Le béton devient lisse ou se texture. Il affiche un gris naturel, vire au blanc ou se teinte. Il imite la pierre, empreinte au bois ses veines. Il s’affirme par sa masse ou se fait oublier en se transformant en dentelles.  L’architecte a le choix et peut compter sur des compétences. Celles des entreprises de BTP qui savent répondre à ses attentes. Celles des fournisseurs, qui savent proposer le bon béton pour le bon usage. Il peut préférer le coulé en place car « cette méthodologie nous fait entrer dans l’univers de la sculpture. […] Le coulé en place est une technique de samouraï, une noblesse absolue1 », comme le résume l’architecte Giovanni Lelli. A contrario, l’architecte peut se tourner vers la préfabrication, apte à offrir des aspects de finition particulière ou à maîtriser la réalisation de pièces complexes et sur mesure.  Il n’y a pas de bonne ou mauvaise école. Il y a seulement une réponse à un besoin spécifique, à un instant donné, à un coût défini et selon une méthodologie choisie.  Les 19 pages qui constituent le présent dossier “En couverture” cherche à montrer l’utilisation du béton dans l’architecture, à travers plusieurs reportages. Le coulé en place qui côtoie le béton industrialisé, pour le plus grand plaisir des yeux. Puis, un panorama des fournisseurs (BPE et préfabricants) détaille une partie de l’offre actuelle de la filière béton. Dossier préparé par Sivagami Casimir et Frédéric Gluzicki Sommaire du dossier Viry-Châtillon : Béton matricé pour quartier enclavé Paris : Une crèche de chêne et de béton Nantes : Un subtil travail autour des bétons Beauvais : Un théâtre de blanc vêtu Le who’s who des beaux bétons 1Citation extraite de l’interview de Giovanni Lelli, parue dans le hors-série n° 23 de Béton[s] le Magazine, paru en début d’année. A lire aussi sur notre en cliquant ici.
Il y a 4 ans et 255 jours

Solliciter un bureau d’études VRD pour un projet de construction urbain

Avant la réalisation de tout projet de construction urbain, différents détails techniques doivent être étudiés avec minutie. Cette analyse est indispensable pour orienter les possibilités d’aménagement et leurs impacts. Le recours à un bureau d’études VRD à Nantes permet donc de bénéficier d’une vue d’ensemble sur tous les envers du projet pour mieux encadrer sa réalisation. Les missions d’un bureau d’études VRD Le rôle majeur d’un bureau d’études (BET) VRD est de prendre en charge la maîtrise d’œuvre d’un chantier à usage public ou privé. Dans ce contexte, il intervient pour analyser un projet de construction dans son ensemble. Cela tient compte des spécificités du terrain, mais aussi des structures existantes. En fonction des données reçues, le BET pourra avancer des solutions techniques adaptées aux besoins des bénéficiaires. Selon la construction envisagée, il détermine les réalisations à prévoir, en adéquation avec les réglementations d’urbanisme. Grâce à l’expertise et la pluralité des acteurs, les choix structurels et techniques seront alignés aux caractéristiques du projet d’aménagement. En plus de la pré-étude des travaux, le BET sera de même chargé du suivi du chantier jusqu’à la réception. Il s’acquitte de la coordination de tous les acteurs dans le but commun de répondre aux directives du cahier des charges. Le bureau d’études VRD Nantes peut également assister une collectivité ou une entreprise en prenant en charge les dossiers de subvention et les formalités réglementaires. Il assure aussi l’obtention de permis d’aménagement, de permis de construire ou de dossier ZAC. Le BET intervient à différentes échelles, comme les communes, les quartiers ou les intercommunalités. Il peut donc être sollicité pour un projet d’aménagement de bourg, de conception d’un réseau d’assainissement collectif ou d’édification d’un pont. Il assure un travail indépendant tout en contribuant de façon notable aux travaux de construction. Les avantages de faire appel à un BET VRD Le bureau d’études VRD est composé de plusieurs spécialistes issus de domaines différents, mais complémentaires. Leurs compétences concernent notamment l’urbanisme, l’ingénierie VR, mais aussi le secteur hydraulique et écologique. Ces ingénieurs accompagnent ainsi leurs clients dans les différentes phases de leur projet d’aménagement urbain ou rural, comme le traçage de rues piétonnes ou la réhabilitation d’un lieu public. Une étude technique élargie permet de soutenir la faisabilité du projet et d’en évaluer le coût de manière objective et pertinente. Cette intervention occasionne un gain de temps et plus d’efficacité pour les organismes bénéficiaires. À partir d’un interlocuteur unique, les organismes demandeurs pourront bénéficier d’un dossier complet concernant la conception d’un ouvrage donné. L’intervention du dessinateur projeteur concrétise chaque donnée à travers des plans réalistes et conformes. Grâce aux services d’un BET compétent, les aménagements paysagers permettent une meilleure valorisation de l’environnement. Les ingénieurs mettent en avant leur expertise pour proposer des solutions d’aménagement cohérentes et axées sur une politique de développement durable. La programmation des équipements publics sera modelée suivant les potentialités d’évolution de la zone concernée. Faire appel à un bureau d’études VRD est d’ailleurs bénéfique pour avoir une idée précise des impacts environnementaux du projet. En misant sur une étude écologique et un diagnostic hydraulique concret, les ingénieurs VRD inscrivent chaque construction dans une démarche écologique.
Il y a 4 ans et 255 jours

Prêts garantis par l'Etat : Bercy négocie un taux "le plus attractif possible"

ENTREPRISES. Face aux inquiétudes croissantes autour du remboursement des Prêts garantis par l'Etat, Bruno Le Maire a indiqué que l'Etat négocie actuellement avec les banques le taux le plus avantageux possible. Le ministre de l'Economie ouvre aussi la porte à d'autres outils de soutien aux entreprises, notamment les plus petites.
Il y a 4 ans et 255 jours

Le gouvernement met "au même niveau" urgence économique et urgence sanitaire assure Le Maire

"Le président de la République et le premier ministre ont estimé, et ils ont raison, qu'il fallait sans doute resserrer un certain nombre de boulons en cette rentrée pour garantir la sécurité sanitaire", a affirmé le ministre sur RTL pour justifier ce report."Nous mettons au même niveau l'urgence économique et l'urgence sanitaire", a-t-il assuré, ajoutant que le report "ne change rien (...) aux mesures qui seront présentées dans le cadre de ce plan de relance"."Les mesures sont prêtes, le plan de relance est prêt et que les mesures soient annoncées la semaine prochaine, dans 10 jours ou dans 15 jours, ou qu'elles soient annoncées maintenant ne change rien au fait qu'elles seront adoptées d'ici la fin de l'année pour être mises en œuvre au début de l'année prochaine", a encore insisté Bruno Le Maire.L'exécutif a annoncé samedi qu'il décalait d'une semaine la présentation de son plan de relance de 100 milliards d'euros pour consacrer toutes ses forces à la mise en place des nouvelles mesures de lutte contre la propagation du Covid-19, au moment où la circulation de l'épidémie s'accélère.Le gouvernement est notamment en train de préparer la mise en place des nouveaux protocoles sanitaires en entreprise et dans les écoles, avec notamment un renforcement de l'obligation du port du masque.Sur le front économique, Bruno Le Maire a confirmé la prévision du gouvernement d'une contraction du produit intérieur brut (PIB) de 11% cette année, alors que l'Insee table sur -9%.Cette prudence s'explique notamment par "beaucoup d'incertitudes internationales", a-t-il justifié, citant le Brexit, l'élection présidentielle américaine et le futur plan quinquennal chinois.
Il y a 4 ans et 255 jours

Transpod et l'Alberta d'accord pour le développement d'un hyperloop

La start-up canadienne a annoncé le 25 août la signature d'un protocole d'entente avec le gouvernement de l'Alberta, au Canada, pour attirer des investissements privés dans la province afin de construire un projet d'infrastructure de transport de plusieurs milliards de dollars.
Il y a 4 ans et 255 jours

Le béton recyclé prend lentement ses marques. Dossier

Retrouvez ce dossier dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. De nos jours, l’essentiel des produits béton issus de la démolition est destiné à l’industrie routière. Moins de 5 % est valorisée pour refaire des bétons neufs. [©ACPresse] Quasi 100 % des bétons issus du secteur de la démolition sont aujourd‘hui recyclés. C’est le constat optimiste que l’on peut faire d’un matériau trop longtemps jugé comme encombrant et qui s’est désormais trouvé une seconde vie grâce à sa valorisation dans le secteur du BTP. Les chiffres parlent d’ailleurs d’eux-mêmes : la consommation de granulats dans le BTP atteint chaque année 115 Mt, avec un potentiel en recyclé de 25 Mt. Potentiel, car la disponibilité de ces matériaux n’est que de 12 à 15 Mt, ce qui rend encore primordiale l’utilisation de granulats naturels. De nos jours, l’essentiel des produits béton issus de la démolition est destiné à l’industrie routière, qui les utilise en sous-couche. Une infime partie du béton – moins de 5 % – est valorisée pour refaire des bétons. A l’échelle de l’Ile-de-France, 7 Mt de matériaux recyclés sont produites chaque année. Mais à peine 1 à 2 % vont en valorisation dans les bétons neufs. Dossier réalisé par Steve Carpentier Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 255 jours

Le nouveau DTU 20.1 des travaux de maçonnerie

Retrouvez cet article dans le numéro 90 de Béton[s] le Magazine. Les murs isolés par l’extérieur (ITE) complètent les nouvelles solutions constructives du NF DTU 20.1. La composition des murs avec ITE et leur destination d’emploi ont été ajoutées au nouveau document. Enfin, homologué en juin 2020, le NF DTU 20.1 apporte aussi une précision quant au nombre minimum d’orifices de ventilation naturelle dans les vides sanitaires. Revue de détail avec le Bureau Veritas Construction. 1 &#8211; Est-ce une nouvelle norme&nbsp;? Non, mais il s’agit d’une révision des plus complètes du NF DTU 20.1 d’octobre 2008. Le nouveau document intègre certains procédés de maçonnerie montés à joints minces, qui relevaient auparavant de la procédure d’Avis technique. Et dont le caractère traditionnel a été décidé par la Commission chargée de formuler les Avis techniques (CCFAT). De façon identique au précédent document, le nouveau NF DTU comporte toujours un Cahier des clauses techniques et un Cahier des clauses administratives spéciales types (parties P1-1 et P2). Mais ils sont maintenant complétés par des Critères généraux de choix des matériaux (P1-2) et des Dispositions constructives minimales (P3). L’ancien guide pour le choix des types de murs de façades en fonction du site a été intégré dans la partie P3. Le présent document ne porte que sur les murs avec ITE, puisque le NF DTU 20.1 traite, comme toujours, des murs, dont l’isolation est prévue par l’intérieur. a &#8211; Qui en sont les destinataires ? Maîtres d’ouvrage, maîtres d’œuvre, bureaux d’études, maçons, entreprises et artisans. b &#8211; Une autre nouveauté ? Le NF DTU 20.1 indique que les vides sanitaires doivent être ventilés naturellement, avec au moins quatre ouvertures débouchant à l’air libre. La surface totale des ouvertures est déterminée de la façon suivante : &#8211; Surface totale (en cm2) ≥ 5 x Surface du plancher (m2)&nbsp;;&#8211; Par exemple, pour une surface de 350 m2, la surface totale des ouvertures sera d’au moins 1 750 cm2. Bien entendu, cette règle de calcul n’intéresse pas les vides sanitaires comportant un équipement technique, qui peuvent relever d’un autre référentiel et donc d’autres règles de calcul. c &#8211; Référence du nouveau référentiel Norme NF DTU 20.1 &#8211; Juillet 2020 &#8211; indice de classement P 10-202 2 &#8211; Quand a-t-elle été homologuée&nbsp;? La norme NF DTU 20.1 a été homologuée en juin 2020. 3 &#8211; Quels sont les nouveaux murs avec ITE&nbsp;? Le nouveau NF DTU 20.1 introduit de nouveaux types de murs, ceux comportant une isolation thermique par l’extérieur (ITE). Si le précédent document classait les murs de type I au type IV, en fonction de leur résistance à la pluie, le nouveau NF DTU répertorie aussi les murs de type XI au type XIV, c’est-à-dire les murs à simple paroi isolés par l’extérieur [Voir partie 4]. Selon qu’il existe ou non un procédé de revêtement extérieur, les murs de type XI, XII et XIII ont cette prescription particulière :&#8211; Avec un procédé de bardage : un corps d’enduit (ou sous enduit) conforme au NF DTU 26.1 est appliqué du côté extérieur.&#8211; Sans un procédé de bardage : un enduit est placé du côté extérieur ou du côté intérieur. Le NF DTU 20.1 précise que cette possibilité, enduit extérieur ou intérieur, est aussi valable pour les murs de type IV et XIV. Le mur de type XI, XII, XIII ou XIV se distingue du mur de type I, II, III ou IV par le fait que l’isolant est placé sur la face extérieure du mur. Le mur de type XIV a une peau extérieure étanche à l’eau, une lame d’air et un isolant non hydrophile [1]. Le mur de type IV comporte un bardage étanche à l’eau, sur liteaux et chevrons [2]. Un enduit plâtre éventuel peut revêtir la face interne de la maçonnerie [3]. 4 &#8211; Pour en savoir plus sur les murs avec ITE a &#8211; Comment sont-ils classés ? La numérotation des murs correspond à une efficacité croissante du système d’isolation et/ou de la paroi support. Le mur de type XI ne possède aucune disposition particulière en vue de s’opposer à la migration de l’eau de pluie jusqu’au parement intérieur. Le système d’isolation et la paroi support sont réputés perméables à l’eau. Celui de type XII comporte :&#8211; Soit, un système d’isolation capable de s’opposer au cheminement de l’eau de pluie vers l’intérieur (XIIa).&#8211; Soit une paroi en maçonnerie pouvant empêcher de faibles quantités d’eau de pénétrer vers l’intérieur (XIIb). Quant au mur de type XIII, il comporte : &nbsp;&nbsp;&nbsp; &#8211; Soit un système d’isolation par l’extérieur dont la peau extérieure n’est pas totalement étanche à l’eau de pluie, mais derrière laquelle est disposée une lame d’air continue permettant la récupération et l’évacuation des eaux d’infiltration (XIIIa). C’est le cas des bardages rapportés et ventilés. &#8211; Soit un système d’isolation par l’extérieur s’opposant au cheminement de l’eau par capillarité et par gravité, mis en œuvre sur une maçonnerie suffisamment imperméable pour s’opposer au cheminement de l’eau qui pourrait l’atteindre accidentellement (XIIIb). Enfin, l’étanchéité du mur de type XIV est assurée par la seule peau du système d’isolation, y compris au droit des baies. Ce sont des systèmes de bardage rapporté à recouvrement avec isolation par l’extérieur, qui relèvent soit, par extrapolation, des DTU de la série 40, soit de la procédure de l’Avis technique. b &#8211; Cas des systèmes Etics L’exposition à la pluie des procédés Etics (External Thermical Insulation Composite System), qui relèvent de la procédure de l’Avis technique, est déterminée à partir de la reprise d’eau par capillarité du système (isolant + système d’enduit) après 24 h : • murs de type XI ou XII, reprise d’eau ≥ 0,5 kg/m2,• murs de type XII ou XIII, reprise d’eau < 0,5 kg/m2. Le Document technique d’application ou l’Avis technique du procédé spécifie les types de mur réalisables. [1] Enduit hydraulique sur isolant ou mortier léger&nbsp; [2] Enduit à base de liant organique armé d’un treillis de verre sur panneaux PSE&nbsp; [3] Enduit hydraulique sur panneaux PSE, complexe fibres-ciment ou mortier léger&nbsp; [4] Peau extérieure à joints ouverts sur lame d’air, isolant non hydrophile&nbsp; [5] Système d’enduit sur isolant&nbsp; [6] Enduit plâtre éventuel [7] Enduit plâtre&nbsp; Le tableau ci-dessous indique le choix du type de murs pour une maçonnerie avec ITE. Façade abritée : façade opposée à la direction des vents de pluie quand ils possèdent une direction bien déterminée, façade sur cour ou courette, façade protégée par un obstacle naturel par exemple.Front de mer : façade en première ligne de construction autorisée la plus proche de la mer. Définitions des situations pour les constructions &nbsp; a &#8211; Situées à l’intérieur des grands centres urbains (commune où 50 % au moins des bâtiments ont plus de quatre niveaux). b &#8211; Situées dans les villes petites ou moyennes ou en périphérie des conurbations.&nbsp; c &#8211; Isolées en rase campagne. Avec l&rsquo;aimable autorisation du Bureau Veritas Construction Textes de références NF DTU 26.1 - Travaux de bâtiment - Travaux d’enduits de mortiers Conditions générales d’emploi des systèmes d’isolation thermique des façades par l’extérieur faisant l’objet d’un avis technique. Cahier du CSTB 1833 - livraison 237 de mars 1983
Il y a 4 ans et 255 jours

L'application mobile ProDevis START simplifie la prospection des Artisans Menuiserie, Store et Fermeture

Le carnet de notes des Artisans dans leur SmartphoneAlors que l'application 100% Web ProDevis START simplifie la création de devis et le passage de commande, son extension mobile intervient elle, en amont du chiffrage. C'est tout l'avant-projet, de la prospection jusqu'à la prise de notes de chantier, que l'application mobile optimise.Équipé de son Smartphone, l'Artisan retrouve les contacts autour de lui et est guidé par GPS chez ses prospects et clients. Une fois arrivé, il renseigne toutes les informations sur son client et sur le chantier directement dans son application mobile (type de produits, dimensions, couleurs, préférences du client…). Il joint également à son dossier les photos prises avec son Smartphone pour se rappeler des détails importants.Son application mobile étant synchronisée avec ProDevis START, l'Artisan retrouve son nouveau projet et toutes ses notes automatiquement à son retour au bureau. Il y finalise ainsi son devis et lance en commande en quelques minutes.De la prospection jusqu'à la commande Fournisseur, en passant par la création du projet et le chiffrage : avec ProDevis START, c'est sur tout son process de vente que l'Artisan gagne en temps et en réactivité pour augmenter son chiffre d'affaires.L'application mobile ProDevis START disponible* :Sur iOS : https://apple.co/2B0kPaUSur Android : https://bit.ly/2XVmffR*L'accès à l'application nécessite d'être abonné à ProDevis STARTL'application mobile ProDevis START pour de nouvelles fonctionnalitésCréation de projets directement lors des rendez-vous chez les clients et prospectsSynchronisation avec l'application de chiffrage ProDevis START pour y retrouver toutes les informations de son dossier et créer son devisGestion du fichier clients avec l'ensemble de l'historique disponible en quelques clicsAjout de médias (photos de chantier par exemple) pour enrichir, compléter et illustrer ses projets. 100Mo de données d'hébergement inclus gratuitementLancement de l'itinéraire vers un contact ou un projet en géolocalisation avec Waze, Google Maps ou Plan pour être diriger vers ses clients et prospectsProDevis START, un concentré d'innovations qui simplifie le chiffrage et l'activité des Artisans Menuiserie, Store, FermetureParce que le client particulier leur demande des réponses toujours plus rapides, les Artisans se doivent de gagner en réactivité pour augmenter leurs chances de remporter plus d'affaires. Une réactivité qui passe notamment par la digitalisation de leur activité, que leur apporte ProDevis START : Une application Métier Menuiserie Store Fermeture, équipée du Configurateur de vente ELCIA pour des devis et passages de commande en un clicPlus de 1 750 tarifs de 600 industriels toujours à jourUne application 100% Web, 0 contrainte informatique, disponible tout le temps et de partout (bureau, chantier, rendez-vous client)Un processus d'abonnement en ligne simple, en 5 minutes sur elcia.com/prodevis-startUn prix attractif de 55€ HT/mois sans engagement pour une liberté totaleUne application mobile synchronisée avec l'application Web, disponible sous iOS et Android pour remplacer ses notes papiers avec prise de photosEn savoir plus : www.elcia.com/prodevis-start
Il y a 4 ans et 255 jours

A Accra, l’ambassade de France au Ghana signée Segond-Guyon Architectes

Entre un lycée à Abu Dhabi et en Mauritanie et une restauration de palais au Togo, Segond-Guyon Architectes (Guillaume Segond, Claude Guyon) a livré fin 2018 à Accra, pour le ministère des Affaires étrangères, l’ambassade de France au Ghana, le quatrième bâtiment diplomatique de l’agence lyonnaise. Communiqué. Pour la reconstruction et relocalisation sur le site [&#8230;] L’article A Accra, l’ambassade de France au Ghana signée Segond-Guyon Architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.