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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 4 ans et 248 jours

26e édition du Salon International du Patrimoine Culturel du 28 au 31 octobre 2020

La 26e édition du Salon International du Patrimoine Culturel aura lieu du 28 au 31 octobre 2020, au Carrousel du Louvre – Paris, où près de 300 exposants et 20 000 visiteurs sont attendus. Pour cette édition 2020, le salon a choisi de traiter d’un enjeu fondamental pour l’ensemble secteur en développant le thème de « Patrimoine et Territoires ». Un choix qui résonne particulièrement dans la période actuelle, alors que la campagne « Cet été je visite la France » pour soutenir la reprise du tourisme et la consommation locale bat son plein. Cette année, le salon qui se tiendra dans des conditions sanitaires renforcées, change aussi exceptionnellement ses jours d’ouverture au public en passant du mercredi au samedi afin de faciliter l’accès au visitorat professionnel et qualifié. Plus de 200 exposants ont d’ores et déjà confirmé leur participation à cette 26e édition très attendue par l’ensemble des acteurs du patrimoine. L’événement devrait compter près de 300 exposants au total. Parmi les nouveaux exposants figurent l’Institut National du Patrimoine, l’Atelier Pierre Maigne, la start-up Timescope ou encore l’atelier de tissage artisanal La Tisserie . Porté par Ateliers d’Art de France depuis 2009, le Salon International du Patrimoine Culturel rassemble et fédère l’ensemble des acteurs des métiers du patrimoine. Moment unique d’échanges et de réflexion, le salon accueille chaque année plus de 300 exposants et 20 000 visiteurs, grand public comme professionnels, pendant 4 jours au Carrousel du Louvre à Paris. Plateforme unique de rendez-vous d’affaires pour le secteur, le salon est l’occasion de nouer des contacts avec un public de prescripteurs pourvoyeurs de commandes : professionnels du secteur et propriétaires de biens mais aussi des visiteurs connaisseurs et passionné
Il y a 4 ans et 248 jours

Travail en extérieur, véhicules, manutention : les précisions du protocole sanitaire

REGLEMENTATION. Comme prévu, le Gouvernement a présenté ce 31 août le protocole sanitaire actualisé visant à maîtriser l'épidémie de coronavirus, notamment dans le milieu de l'entreprise. Quelques mesures concernent plus particulièrement le travail en extérieur, les déplacements en véhicules ainsi que les opérations de manutention.
Il y a 4 ans et 248 jours

Le chiffre d'affaires d'Altarea a progressé au premier semestre

RÉSULTATS. Le géant de l'immobilier est tombé dans le rouge, mais a réussi à faire progresser ses revenus semestriels malgré la crise du nouveau coronavirus, grâce à son efficacité pour encaisser ses ventes de logements, a-t-il annoncé au mois d'août.
Il y a 4 ans et 248 jours

Un éco-hôtel en bois Kebony dans un écrin de nature, sur la côte portugaise

« C’est lors de mes voyages au Portugal que je suis tombé amoureux des paysages et de la nature de ce beau pays. La côte est très préservée, ce qui est rare en Europe. J’y ai découvert une culture et une sensibilité que j’apprécie profondément. C’est pour ces raisons que j’ai choisi la richesse de la région d’Arrábida, un lieu incroyable pour réaliser le projet Etosoto », explique Julien Labrousse.La réserve naturelle est un environnement préservé, véritable écrin de verdure et de tranquillité. C’est pour respecter et se fondre dans cet espace d’exception que le projet Etosoto Cabo Espichel s’est fixé l’objectif d’utiliser des matériaux aussi naturels et locaux que possible. Le bois représente près de 96% des matériaux utilisés. « Le projet explore les principes de l’architecture bioclimatique. Nous visons l’objectif “cradle to cradle”. C’est pour ces raisons que nous avons choisi le bois Kebony, en plus de son aspect visuel très agréable et naturel », poursuit l’architecte.Développée en Norvège, la technologie révolutionnaire Kebony est un procédé respectueux de l’environnement, qui modifie les résineux issus de sources durables en chauffant le bois avec de l’alcool furfurylique ; un sous-produit agricole. En polymérisant la paroi cellulaire du bois, les résineux adoptent en permanence les attributs du bois dur tropical, notamment une durabilité, une dureté et une stabilité dimensionnelle élevées. Ce processus n’améliore pas seulement significativement les propriétés physiques du bois, mais contribue également à l’apparence unique de celui-ci grâce à sa patine gris argent qui se développe au fil du temps.« Nous avons également choisi le bois Kebony dans le but de concevoir des bâtiments dont l’air intérieur serait dépourvu de polluants », explique Julien Labrousse.Les petites cabines présentent une allure épurée et moderne, se parent de toits végétalisés et de grandes baies vitrées qui font entrer la lumière naturelle et reflètent la beauté des environs. Ce sont de véritables bulles paisibles et apaisantes, connectées à la nature, et respectueuses de l’environnement.Technologie KebonyLa technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Il y a 4 ans et 248 jours

Borne veut identifier les activités professionnelles "difficilement compatibles" avec le port du masque

"On va recenser avec les partenaires sociaux" les "activités qui, par nature, sont difficilement compatibles avec le port du masque" et "on regardera les réponses qu'on peut apporter", a déclaré Mme Borne sur BFMTV.Le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) "a défini une série de mesures sur la ventilation, les volumes des espaces", les protections en plexiglas, la distance entre collègues, a-t-elle énuméré. Il y a "beaucoup de critères", qui seront "partagés demain (lundi) avec les partenaires sociaux", a-t-elle indiqué. Le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, a souligné sur LCI que son syndicat avait "fait des propositions" pour enrichir ce protocole sanitaire. "Il faut organiser le travail différemment", par exemple avec "des temps de pause plus réguliers", et "regarder spécifiquement métier par métier", a-t-il estimé. Demandant au ministère "un guide le plus cadré possible" pour "protéger réellement les salariés", M. Martinez souhaite également "des sanctions"contre les entreprises ne respectant pas les consignes sanitaires."Les secteurs qui ont des difficultés particulières" avec le port systématique du masque, "on va les identifier, on va les rencontrer", a promis de son côté la ministre, en rappelant qu'un décret avait déjà été pris pour dispenser "les chanteurs d'opéra" du port du masque."Porter le masque systématiquement en entreprise, c'est très important quand on est à plusieurs", a souligné Mme Borne, en s'appuyant sur les recommandations du HCSP. En fonction de la mise en place dans les entreprises des mesures recommandées par ce Haut Conseil (ventilation/renouvellement de l'air, protection de type plexiglas, densité d'occupation), "on peut avoir des assouplissements au caractère systématique du port du masque", a-t-elle expliqué.Ainsi, dans des locaux avec "une très bonne ventilation" ou "dans des grands volumes" comme "par exemple ici" dans le studio de BFMTV et sur d'autres plateaux de télévision, les personnes pourront retirer le masque.La ministre répondait sans masque à trois journalistes non masqués sur le plateau de la chaîne."Évidemment, si vous êtes tout seul dans votre bureau, vous n'êtes pas obligé de mettre un masque", mais "dans les circulations, les salles de réunion, il faut porter le masque", a-t-elle noté.Le télétravail toujours "recommandé"Parmi "les cas particuliers", il y a "les ateliers", comme "les garages", où "vous êtes amenés à faire des efforts physiques" et où les salariés pourront être "dispensés du port du masque" si "l'atelier est bien ventilé", avec "les collègues (qui) sont loin", a détaillé la ministre.Dans "les bureaux partagés, les open spaces", "si on a toutes les bonnes règles", les salariés pourront "à certains moments retirer le masque", par exemple pour "souffler dix minutes". Ou si "vos collègues sont partis à la cantine, vous êtes quelques-uns à être restés, vous pouvez retirer votre masque".Les modalités d'application de ces règles "feront l'objet d'un dialogue social au sein de chacune des entreprises (...). C'est un thème très concret du dialogue social".La ministre a par ailleurs "confirmé que le télétravail reste une pratique recommandée, a fortiori quand on est dans des zones où le virus circule beaucoup" car "ça permet d'être moins nombreux sur son lieu de travail, ça évite de prendre les transports en commun quand on est dans une grande métropole".
Il y a 4 ans et 248 jours

Arnaud Levy, de Putzmeister à Liebherr

Arnaud Levy rejoint le groupe Liebherr au poste de directeur de Liebherr Malaxage & Techniques. Arnaud Levy vient de rejoindre le groupe Liebherr. Depuis le mois d’août, il y occupe le poste de directeur de Liebherr Malaxage & Techniques. Il travaille en binôme avec Marc Singer, directeur de l’entité depuis 2005. D’ici quelques mois, Arnaud Levy prendra pleinement possession du poste, au moment du départ en retraite de Marc Singer. Arnaud Levy a réalisé l’essentiel de sa carrière professionnelle au sein du groupe Putzmeister. Dernièrement, il a été le gérant de la filiale française, de janvier 2019 à mai 2020. Auparavant, il a occupé différentes fonctions chez Putzmeister Mörtelmaschinen (pompes à mortier). Il y a gagné de nombreuses années d’expérience en tant que responsable du service après-vente. Ceci, avant d’endosser la direction du département technique, basé en Allemagne. 
Il y a 4 ans et 248 jours

Premier palmarès "Architectures habitées", les candidatures sont ouvertes

Le CAUE du Val-de-Marne lance la première édition d'un palmarès valorisant l'habitat individuel dans le département. Architecte ou commanditaire d'un projet réalisé entre le 1er janvier 2013 et le 30 juin 2019 (construction neuve, réhabilitation, extension, surélévation), sont invités à proposer […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 248 jours

Franciaflex lance un nouveau volet roulant à faible encombrement dans sa gamme Rénobloc

Discrétion et esthétisme RENOBLOC faible encombrement s’intègre discrètement à l’esthétique des façades grâce à son coffre d’une hauteur de 125 mm seulement, et permet de garantir une entrée de lumière maximale dans l’habitat. Très design, avec son coffre alu à pan coupé à 45° qui favorise l’entrée de la lumière, l’esthétique du volet est aussi renforcée par la nouvelle lame finale qui rentre parfaitement dans le coffre lorsque celui-ci est en position ouverte, afin de devenir invisible. Il est disponible dans un large choix de coloris. Performances, sécurité et tranquillité ! Le nouveau volet roulant RENOBLOC sur-mesure est certifié NF Fermeture 14 000 cycles. Il est disponible avec la technologie Well’com® qui permet un pilotage soit en local soit à distance. Avec les fonctionnalités de la maison connectée, Well’com® permet de programmer son installation, de créer des scénarii afin d’apporter confort, sécurité et économies d’énergie.
Il y a 4 ans et 248 jours

L'indemnisation du chômage partiel inchangée "au moins jusqu'au 1er novembre" selon Jean Castex

"Dans les entreprises qui sont encore confrontées aujourd'hui à une réduction d'activité durable, l'activité partielle demeurera ouverte dans les conditions actuelles, au moins jusqu'au 1er novembre", a déclaré le Premier ministre.Le gouvernement avait décidé en juillet que l'indemnisation du chômage partiel classique, limitée à six mois, devait passer à partir du 1er octobre, de 84 à 72% du salaire net pour le salarié, et de 85 à 60% du coût pour les entreprises."Quant aux secteurs les plus touchés parmi les plus touchés, la culture, le sport, le tourisme, l'événementiel, ils conserveront jusqu'à la fin de l'année un accès à l'activité partielle" dans les conditions actuelles, a-t-il ajouté.Environ 2,4 millions de salariés du secteur privé étaient en chômage partiel en juillet, soit deux millions de moins qu'en juin, selon une estimation publiée mercredi par la Dares, le service de statistiques du ministère du Travail.M. Castex a également rappelé que les entreprises avaient la possibilité de recourir au nouveau dispositif d'activité partielle de longue durée en vigueur depuis fin juillet.Celui-ci autorise une réduction du temps de travail jusqu'à un maximum de 40% d'heures chômées sous condition d'un accord d'entreprise ou de branche, de 6 à 24 mois, validé par l'administration et comprenant des engagements sur l'emploi et la formation.Sur les heures chômées, le salarié touchera 84% de son salaire net (ou 70% de son brut), calculé à partir d'une rémunération maximale de 4,5 Smic. Comme celles-ci sont au maximum de 40% de son temps de travail, cela lui garantit 93% de son salaire net.De son côté, l'entreprise recevra une compensation de 85% de l'indemnité versée au salarié (soit 15% de reste à charge) pour un accord conclu avant le 1er octobre et 80% pour un accord conclu après.
Il y a 4 ans et 248 jours

Plan de relance et rénovation énergétique : les 8 priorités de la Fondation Nicolas Hulot

Pour la Fondation Nicolas Hulot, la rénovation énergétique des bâtiments doit trouver toute sa place dans le « tournant » écologique que nous vivons. Le gouvernement ne peut pas se contenter de demi-mesures : la seule augmentation des incitations ne sera pas suffisante. Il faudra combiner accompagnement accru et nouvelles obligations de rénover, comme le propose la Convention Citoyenne pour le Climat. La FNH dresse 8 mesures à mettre en place à court et moyen terme dans le domaine de la rénovation énergétique pour soulager la crise que traverse l’économie française, accélérer notre réponse collective au changement climatique et aux inégalités sociales, et accroître notre résilience énergétique : – Instaurer dans la loi une obligation progressive de rénovation et donc reprendre sans réserve dans la loi la proposition d’obligation de rénovation de la Convention Citoyenne pour le Climat. – Publier rapidement un nouveau décret « décence » avec un seuil plus impactant et une trajectoire de réduction de ce seuil permettant d’exclure toutes les passoires énergétiques de la location en 2028 (étiquette F et G). – Financer le reste à charge pour les ménages modestes. – Améliorer l’éco-prêt à taux zéro, pour permettre le financement du reste à charge, en particulier pour les ménages modestes et classes moyennes. – Etablir un guichet unique et investir publiquement dans l’accompagnement des ménages au niveau territorial. – Contrôler les effets d’aubaine, éventuelle conséquence de l’accroissement du soutien public. – Mettre en place un plan de formation des professionnels du BTP. – Accélérer la rénovation énergétique des bâtiments publics des collectivités territoriales, sans oublier de financer l’ingénierie territoriale. La Fondation Nicolas Hulot préconise : – Le maintien de la hausse de la dotation à l’investissement des collectivités (DSIL) sur plusieurs années, au-delà de la hausse de 1 milliard d’euros prévue pour 2020 dans le 3e projet de loi de finances rectificatives, avec une trajectoire permettant de donner de la visibilité aux acteurs. L’utilisation des moyens prévus pour 2020 pourrait être concentrée sur les coûts pré-projets (audits, études) afin de massifier les travaux dès que possible. – L’accroissement de la capacité d’investissement en fonds propres de la CDC (Banque des territoires) – actuellement de 500 M€ sur 2018-2022 – afin d’être en capacité de procéder comme la banque publique allemande : cofinancer directement l’avance de fonds nécessaires pour la rénovation et se rembourser sur les économies d’énergie réalisées après les travaux. Ce dispositif est adapté pour les structures intercommunales. – Créer une dotation pérenne de l’État pour le fonctionnement des collectivités territoriales, dédiée à la transition écologique et sociale, afin de répondre notamment à l’enjeu du manque de moyens humains et d’ingénierie territoriale pour monter les projets. L’utilisation de cette dotation devra être conditionnée à une utilisation dans la transition, par exemple dans la rénovation énergétique des bâtiments.
Il y a 4 ans et 248 jours

Le Village des athlètes des Jeux de Paris 2024 alimenté en énergies locales et renouvelables

Le réseau de chaleur et de froid du SMIREC géré par Plaine Commune Energie, filiale à 100 % d’ENGIE Solutions, va s’étendre au futur Village des athlètes. Il sera alimenté par des énergies locales et renouvelables essentiellement issues de la géothermie superficielle (à une profondeur d’une centaine de mètres). Ce sont 11 puits qui vont être forés au sein du quartier pour utiliser l’énergie de la terre et la convertir en chaleur ou en froid. Les travaux de forage vont démarrer dès la fin de l’année 2020. ENGIE Solutions a conçu cette architecture énergétique sous l’impulsion du SMIREC (Syndicat Mixte des Réseaux d’Energie Calorifique) et de SOLIDEO, la SOciété de Livraison Des ouvrages Olympiques. L’énergie complémentaire à la géothermie proviendr du réseau de chaleur de Plaine Commune Energie est notamment issue de la chaleur du réseau de la Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain (CPCU), situé à proximité et lui-même majoritairement alimenté par des énergies locales et renouvelables. L’installation est conçue pour répondre aux besoins premiers et denses, de la période Paris 2024. Elle sera également dimensionnée pour la phase héritage, c’est-à-dire la période post-JOP avec une projection jusqu’en 2050.
Il y a 4 ans et 248 jours

Velux s'engage pour une « neutralité carbone à vie » avec le WWF

Le groupe danois spécialisé dans la fenêtre de toit s'engage à réduire ses futures émissions de carbone et à capturer l'équivalent de son "empreinte carbone historique" depuis sa création en 1941, représentant un total de 5,6 millions de tonnes de CO2.
Il y a 4 ans et 248 jours

Appel à innovation « béton bas carbone »

Le hub des prescripteurs bas carbone lance un appel à innovation « béton bas carbone », afin de dresser un panorama des solutions innovantes pour diminuer l’impact carbone du béton dans le bâtiment. Cet appel est ouvert jusqu’au 30 septembre. Start-ups, maître d’œuvres, entreprises générales et industriels sont appelés à y participer. « Ce lot est l’un des principaux contributeurs au bilan carbone d’un bâtiment. Diminuer la quantité de béton par des procédés constructifs innovants, diminuer la quantité de clinker (constituant du ciment), mettre en œuvre des solutions de substitution, mettre en œuvre une armature bas carbone…les leviers pour diminuer l’empreinte carbone du béton sont nombreux… à vos innovations ! Dès lors que vos solutions permettent de diminuer l’impact carbone du lot béton, que ce soit au niveau du produits, des services, des modèles de valeur, de l’usage des constructions, cet appel à innovation vous est ouvert ! », indique le hub. Le hub est une plateforme collaborative portée par l’Institut Français pour la Performance du Bâtiment (IFPEB) et Carbone 4, à destination des donneurs d’ordres du secteur de la construction (promoteurs, maîtres d’ouvrages, ingénieurs…). Elle a pour objectif de les former et de les guider dans la prescription de mesures bas carbone. https://fr.surveymonkey.com/r/MDXFD2W  
Il y a 4 ans et 248 jours

Forage géothermique novateur à Vélizy-Villacoublay

Les travaux de forage pour la construction de la future centrale géothermique de Vélizy-Villacoublay ont débuté. La gestion a été confiée aux équipes de VELIGEO, société de production d’énergie renouvelable détenue par ENGIE Solutions et la collectivité. Avec cette centrale, Vélidis, la ville sera alimenté à plus de 60 % en énergie géothermique. Ce projet, accompagné financièrement par la Région Ile-de-France et l’ADEME Ile-de-France à hauteur de près de 9 millions d’euros, est une première nationale permettant d’éviter la production de 22 801 tonnes de CO2 par an. Le forage géothermique est réalisé au moyen d’un appareil de 40 mètres de haut, en zone urbaine, il va forer jusqu’à 1 600 mètres de profondeur. Une opération de haute technicité qui s’étendra jusqu’en début d’année prochaine. L’exploration de la géothermie de Vélizy-Villacoublay sera une première nationale puisqu’elle va appliquer la technologie des forages multi-drains à la géothermie profonde. L’architecture du puits composée de deux drains permettra de traverser deux fois les niveaux producteurs pour maximiser le volume de réservoir drainé, ce qui favorisera la récupération d’une eau géothermale à 64°C et fournira une puissance calorifique de plus de 16 MW.
Il y a 4 ans et 249 jours

Bas-Rhin : un nouveau cachet pour l'Hôtel des Postes de Strasbourg

RECONVERSION. L'Hôtel des Postes de la "neustadt" de Strasbourg a été intégralement rénové et repensé sous l'impulsion de La Poste Immo et de Bouygues Immobilier. Les 20.000 m² du bâtiment au style néo-gothique proposeront désormais commerces, services et logements. Diaporama.
Il y a 4 ans et 249 jours

« La transition écologique est au cœur des plans de relance. Il y a une réelle volonté et nous avons des solutions », Benoît de Ruffray, PDG d'Eiffage

A l'issue de la présentation des résultats d'Eiffage, son PDG, Benoît de Ruffray a confié au Moniteur sa volonté de saisir toutes les opportunités liées à la transition écologique qui doit être au coeur du plan de relance présenté jeudi 3 septembre prochain.
Il y a 4 ans et 249 jours

Garantir le succès de votre société d’isolation : mode d’emploi

Lorsqu’elle est bien faite, l’isolation permet de réduire les factures énergétiques et d’augmenter la valeur immobilière d’un bâtiment. En tant que professionnel de l’isolation, vous devez pouvoir effectuer les travaux dans le respect des normes. Voici les éléments à prendre en compte pour garantir la croissance de vos activités. Proposer des services de qualité Dans une maison non isolée, la chaleur produite par le système de chauffage s’échappe à plus de 30 % à divers endroits. L’isolation apparaît donc comme la meilleure solution pour profiter d’un confort thermique, quelle que soit la saison. Avec la possibilité d’effectuer l’isolation 1 euro, les entreprises d’isolation sont très sollicitées. Les foyers qui vous contactent s’attendent donc à des travaux de qualité. Il est donc important de proposer une offre diversifiée en isolation intérieure/extérieure et de disposer d’un réel savoir-faire. Pour les travaux, les professionnels utilisent généralement : la laine de verre ; la laine de roche ; la laine minérale ; la laine de chanvre ; l’ouate de cellulose ; les fibres de bois ; le polyuréthane… Vous devez savoir utiliser les matières les plus adaptées au type d’isolation à installer. Dans le cadre d’une isolation intérieure par exemple, les endroits à prioriser sont les murs, la toiture et le plancher. L’isolation se fait par pose de plaques d’isolants ou par soufflage d’isolants minéraux ou végétaux. Lorsque vous devez effectuer une isolation extérieure, vous devez veiller à envelopper la maison pour éviter les ponts thermiques. En cas de nouvelle construction ou de travaux de rénovation lourds, vous devrez proposer l’isolation intégrée. Elle consiste à l’isolation des murs dans leur épaisseur et s’effectue uniquement avec des briques monomurs en terre cuite. Le secteur est assez vaste, et il est judicieux de se spécialiser dans un domaine précis afin de proposer une réelle expertise. Le prix de vos services Le coût de l’isolation dépend fortement de la technique utilisée. Toutefois, le budget moyen à prévoir pour les travaux est d’environ 4 000 euros TTC. Il est indéniable que toutes les familles ne pourront pas couvrir ses frais. C’est l’une des raisons pour lesquelles l’État a mis en place des aides telles que l’isolation à 1 euro pour permettre à tous d’en bénéficier. D’autres aides telles que le crédit d’impôt, l’éco-prêt à taux zéro ou les aides de l’Anah sont disponibles pour réduire le coût de l’isolation. Les potentiels clients recherchent en priorité les entreprises permettant de bénéficier de ces diverses aides et subventions. Ce type d’entreprise doit obligatoirement être « Reconnue Garant de l’Environnement » pour donner accès aux aides. Il faudra donc obtenir la qualification RGE accordée par des sociétés comme : Qualibat, Qualit’EnR, Qualifelec, Cequami.. Ces organismes surveillent votre entreprise et s’assurent de l’utilisation des produits énergétiquement performants afin de réduire au maximum la pollution. Votre localisation Proposer un service à forte valeur ajoutée n’est pas suffisant pour garantir le succès de votre entreprise d’isolation. La qualité de votre emplacement est un point clé à travailler. Il est important de choisir un local visible et dont le passé n’entachera pas votre réputation. Il doit être largement accessible et permettre de conserver vos matériaux dans de bonnes conditions. Pensez à un local qui vous permettra d’étendre vos activités sur la durée. De plus, il ne faut pas négliger l’importance de la proximité en matière de travaux immobiliers. Les clients préférèrent toujours un artisan qui peut vite se déplacer en cas d’éventuels problèmes. Couvrez donc une large zone géographique et surtout, vérifiez le niveau de concurrence avant de vous installer. Connaître la réglementation en matière d’isolation En matière d’isolation, la norme de référence est la réglementation thermique RT2012. Elle fixe toutes les exigences obligatoires pour limiter les dépenses énergétiques d’un bâtiment. Par ailleurs, il faut noter qu’un nouveau label RGE est appliqué depuis le 1er janvier 2020. Vous devrez vous y conformer pour bénéficier d’une meilleure distinction qualitative. En dehors de cela, vous devez pouvoir justifier d’une expérience d’au moins 3 ans dans le domaine de l’isolation. Il faudra aussi effectuer des démarches d’assurances pour protéger vos activités et vos clients. L’assurance décennale et l’assurance de responsabilité civile professionnelle sont des indispensables. Sans la première, vous pourrez être tenu responsable de tout dommage empêchant l’utilisation du bâtiment isolé par vos soins. La seconde vous prémunit contre les risques liés aux dommages causés à vos clients ou à autrui. Enfin, plusieurs autres assurances seront utiles pour protéger vos équipements, votre stock ou votre personnel. Il vous suffira d’être innovant, qualitatif et à l’écoute de la clientèle pour mettre toutes les chances de votre côté.
Il y a 4 ans et 249 jours

Travaux publics : la reprise, plus forte qu'anticipée en mai, reste insuffisante

CONJONCTURE. La FNTP a dressé un bilan de l'activité du secteur pour le mois de mai 2020. Même si les signaux de reprise sont plus encourageants que ce qui était attendu, ils ne permettent pas de rattraper le choc encaissé dans les premières semaines de confinement.
Il y a 4 ans et 249 jours

Les administrations appliqueront les mêmes règles sur le port du masque que les entreprises

"Ce seront les mêmes principes que pour les entreprises. Le port du masque sera obligatoire dans les espaces clos et partagés", a-t-elle déclaré à l'AFP.Jusqu'à présent le masque n'était obligatoire que dans les espaces recevant du public.Ces masques seront fournis par les employeurs publics à partir de stocks constitués par les ministères de l'Intérieur et de l’Éducation nationale, a-t-elle précisé.La réunion visait à exposer aux syndicats les grandes lignes de la circulaire sur le protocole sanitaire qui sera applicable pour la fonction publique d’État. Celle-ci sera signée par le Premier ministre dans les prochains jours.Quant au télétravail, "il sera encouragé quand les missions s'y prêtent et quand il y a le niveau d'équipement", a-elle souligné."Il est important pour les administrations de continuer à investir dans les équipements informatiques", a-t-elle ajouté, en rappelant que "le service public a des obligations de continuité"."L’État doit être exemplaire dans la protection de ses agents car ils seront essentiels dans la reconstruction du pays. On ne pourra pas réussir le plan de relance sans eux", a-t-elle insisté.
Il y a 4 ans et 249 jours

Dossier : 3 collections design écoresponsables

À l’aune de la crise écologique, des designers et des marques réfléchissent sur un futur différent et défendent une création écoresponsable. Focus sur trois collections design qui témoignent d’une volonté de produire différemment. La collection « Thirsty » (Zuiver)La célèbre marque néerlandaise Zuiver s’engage en faveur d’un design écoresponsable et mise sur des méthodes de production respectueuses de l’environnement. Avec sa nouvelle collection « Thirsty », elle produit des chaises et des fauteuils en plastique recyclé. La gamme réunit des assises à l’épure formelle minimaliste qui prouvent que pour un rendu esthétique, nul besoin de miser sur des matériaux et des modes de fabrication polluants ! . La collection « Teşekkül » (Dahlia Subasi) L’architecte et créatrice engagée Dahlia Subasi imagine et fabrique des objets en mycélium de champignon et matériaux naturels. Après avoir longuement étudié le mycélium, elle a décidé d’utiliser cette matière organique pour créer des objets design – vases, lampes – à la texture étonnante. La collection « Teşekkül » est née. En travaillant sur un design responsable, Dahlia Subasi amène les amateurs et collectionneurs de design à s’intéresser à l’écoconception. . La collection « Trashformers » (Savvas Laz)Indigné par l’amoncèlement de déchets dans son pays natal, le designer grec Savvas Laz signe la série « Trashformers », une collection de mobilier conçue à partir de matériaux de récupération trouvés dans la rue. Savvas Laz récolte en effet des morceaux de styromousse issus d'appareils électroménagers et les transforme en objets du quotidien. Ainsi, cette gamme dénonce la pollution causée par l'industrie de l'emballage tout en mettant en avant les multiples possibilités du recyclage dans le secteur du design. La Rédaction
Il y a 4 ans et 249 jours

Vicat voit son bénéfice net lourdement chuter sous l'effet du Covid-19

Le cimentier Vicat a vu son bénéfice net part du groupe baisser de 41,4% à 27 millions d'euros au cours d'un premier semestre "fortement perturbé par l'épidémie de la Covid-19".
Il y a 4 ans et 249 jours

Travail illégal : les redressements ont bondi de 10% en 2019

REGLEMENTATION. Le réseau des Urssaf a redressé l'année dernière plus de 708 millions d'euros de cotisations et contributions sociales fraudées. Des résultats en progression obtenus grâce à un meilleur ciblage des contrôles et qui permettent même de dépasser les objectifs fixés par l'Etat. Les redressements liés à la fraude au détachement connaissent pour leur part un recul.
Il y a 4 ans et 249 jours

Parrot s'associe à WISeKey pour définir le futur du drone en matière de sécurité

Parrot, groupe européen leader dans le domaine des drones, annonce aujourd'hui un partenariat avec WISeKey International Holding Ltd («WISeKey», SIX: WIHN / Nasdaq: WKEY), un leader mondial dans les domaines de la cybersécurité et de l'IoT. Ce partenariat a pour objectif d'intégrer des solutions de sécurité avancées dans la gamme de drones ANAFI de Parrot, qui ne cesse de s'agrandir.Les professionnels de la sécurité publique, de la défense et de l'inspection représentent une part de marché croissante des utilisateurs de drones et exigent les plus hauts niveaux de confidentialité, de cryptage et de sécurité lors de leurs vols. Grâce à ce partenariat, l'expertise et les technologies de sécurité éprouvées de WISeKey, associées aux drones ultra-sécurisés de Parrot, leader du secteur, fourniront des solutions conformes aux réglementations de confidentialité les plus strictes du monde. Elles établiront également un nouvel ensemble de normes pour les innovations futures.La gamme de drones ANAFI de Parrot propose des solutions sécurisées, ultra-compactes, robustes et puissantes pour acquérir de nouveaux points de vue, collecter des données précieuses, améliorer la sécurité et accroître l'efficacité pour différents types de vols sensibles. Le dernier drone ANAFI USA de Parrot renforce encore la sécurité de la plate-forme ANAFI grâce à des fonctionnalités telles que la connexion et l'authentification réseau sécurisées, le cryptage de données robuste et des fonctionnalités de confidentialité garantissant aux utilisateurs finaux un contrôle total sur leurs données (où et comment elles sont gérées).L'intégration des technologies de cybersécurité de WISeKey, du vol de l'appareil jusqu'aux infrastructures à terre, permettra à Parrot de garantir davantage la sécurité des vols et des données enregistrées pour les utilisateurs professionnels.La série des modules de sécurité VaultIC4xx de WISeKey offre des solutions fiables pour sécuriser et prouver l'identité numérique du drone, tout en protégeant les données et le firmware lorsqu'ils sont stockés dans le drone ou en transit. Cela permet de garantir une connexion sécurisée entre le contrôleur et le drone. Les modules de sécurité VaultIC4xx de WISeKey sont certifiés par l'organisme américain National Institute of Standards and Technology (NIST) conformément à la norme FIPS140-2 niveau 3, l'un des niveaux de sécurité numérique les plus solides et les plus reconnus au monde. Ceux-ci sont développés sur du matériel certifié Common Criteria EAL5 +, une certification sécuritaire de niveau gouvernemental."Alors que l'utilisation des drones continue de croître de manière exponentielle dans le secteur professionnel, Parrot comprend le besoin impérieux d'avoir des normes et des capacités de cybersécurité de pointe pour assurer la protection continue des données précieuses des utilisateurs " déclare Victor Vuillard, Chief Security Officer/CTO Cybersecurity chez Parrot. "Notre partenariat avec WISeKey permettra de sécuriser davantage l'infrastructure de nos drones ANAFI, de redéfinir la sécurité des drones modernes et d'offrir une précieuse tranquillité d'esprit à nos utilisateurs professionnels. »« Nous sommes ravis de nous associer à Parrot, tandis que nous poursuivons la mission de notre entreprise : sécuriser l'identité numérique, les micrologiciels et les données sensibles, et étendre les applications de nos technologies à de nouveaux marchés et à des industries en croissance à travers le monde » déclare Carlos Moreira, PDG et fondateur de WISeKey. « Les drones sont de plus en plus utilisés pour des opérations sensibles et restent donc une cible de choix pour des personnes mal intentionnées. Grâce à la puissante plate-forme de drones ANAFI, nous sommes impatients de dessiner ensemble les contours d'un avenir plus solide pour la cybersécurité des drones. »
Il y a 4 ans et 249 jours

L'Etat va créer une "aide à la rénovation complète" du logement

ANNONCE. La ministre du Logement, Emmanuelle Wargon, vient d'affirmer que le Gouvernement allait créer une aide à la rénovation complète des logements. Ainsi, un ménage de la classe moyenne pourra prétendre à une aide d'environ 20.000 euros.
Il y a 4 ans et 249 jours

Partenariat renouvelé entre l’EFB et l’ESTP pour 5 ans

L’EFB et l’ESTP Paris viennent de prolonger leur coopération jusqu’en 2024. [©EFB/ESTP Paris] En 2014, la fondation Ecole Française du Béton (EFB) a créé la chaire Ingénierie des bétons (IdB). Ceci, en partenariat avec l’Ecole spéciale des travaux publics, du bâtiment et de l’industrie (ESTP Paris). L’idée est de suivre et d’accompagner les évolutions en lien avec ce matériau. Après cinq années d’une collaboration fructueuse, les deux parties viennent d’acter la prolongation de leur coopération jusqu’en2024. La chaire IdB a pour mission majeure d’impulser une réflexion croisée entre le secteur industriel et le secteur académique de la construction et du génie civil. Pour répondre à cet enjeu, des moyens importants ont été mis en place. Et les premiers résultats concrets ont vu le jour. Malgré la période de confinement, la chaire Ingénierie des bétons a plus que jamais révélé sa valeur. Les projets qui avaient débuté avant le confinement ont pu se poursuivre. Et des travaux très prometteurs ont même vu le jour ou sont encore en cours.   Les effets “positifs” du confinement… L’objet de la chaire IdB est de comprendre et de suivre les évolutions technologiques en lien avec le béton. Ainsi, elle permet à l’ESTP Paris de proposer une formation à jour sur les matériaux cimentaires. Mais aussi les systèmes constructifs innovants et les nouveaux métiers associés.   Plutôt que d’être un frein à son développement, les quelques semaines de confinement ont permis à la chaire Ingénierie des bétons de prendre une nouvelle dimension. Ce nouveau rythme a permis aux étudiants en master et doctorants de redécouvrir le b.a.-ba de la recherche scientifique. C’est-à-dire le temps… basé sur de la recherche et de l’analyse bibliographique. La leçon tirée du confinement ? « Aller encore plus loin ! »De plus, l’EFB a pu tester ses premières conférences en distanciel.  Faits marquants de cette collaboration Les cinq premières années de la collaboration entre les deux parties ont permis la construction d’un laboratoire de 280 m2, situé dans le nouveau bâtiment Louis Vicat sur le site de l’ESTP à Cachan (94). Ainsi que la rénovation de l’unité dédiée aux ciments et mortiers (200 m2). La chaire IdB s’appuie dorénavant sur des laboratoires modernes où élèves, chercheurs et entreprises se côtoient. On retiendra aussi des projets d’innovation pédagogique. Ainsi, près de 300 élèves du campus de l’ESTP Paris ont œuvré en équipe de 6 à 7 étudiants, encadrées par deux coachs (enseignants, architectes, industriels). Ceci, afin de présenter des projets mêlant différents axes de développement. Comme le bâtiment intelligent, l’innovation, le réemploi, l’économie circulaire ou l’image du béton. Les meilleurs d’entre eux défendent les couleurs de l’ESTP Paris au concours “Les Génies de la construction”. Plusieurs thèses ont aussi été menées. Enfin, diverses publications sont issues des travaux de la chaire Ingénierie des bétons. Cette dernière a, par ailleurs, participé à trois projets nationaux d’envergure : Recybéton, Perfdub et FastCarb. La prolongation jusqu’en 2024 de ce partenariat permettra à l’EFB et à l’ESTP Paris augure de belles perspectives.
Il y a 4 ans et 249 jours

Bouygues Bâtiment Grand Ouest réalise une réhabilitation exemplaire zéro déchet à Angers

De la prévention au recyclage, la gestion des déchets, l'un des piliers de l'économie circulaire, est un levier important pour réduire l'impact environnemental de la filière tout en créant de la valeur sur les plans économique, social et environnemental.Bouygues Bâtiment France Europe a initié en ce sens, dès 2019, l'expérimentation “Zéro Déchet Ultime”, faisant écho à la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte qui fixe un objectif de 70% de valorisation matière pour le secteur à l'horizon 2020. Bouygues Bâtiment Grand Ouest vient illustrer concrètement cette démarche à travers un chantier exemplaire à Angers, dans le quartier de la Roseraie : la réhabilitation de la résidence HLM Dumont d'Urville, un chantier réalisé en site occupé pour Angers Loire habitat.Un chantier de réhabilitation en site occupéDémarré en septembre 2019, le chantier Dumont d'Urville consiste en la réhabilitation de 320 logements sociaux répartis en 5 tours, dans le quartier de la Roseraie à Angers (49). Ce chantier réalisé en site occupé sera livré à l'automne 2021. Initié par Angers Loire habitat, le programme de réhabilitation mené par les équipes de Bouygues Bâtiment Grand Ouest porte sur l'enveloppe du bâtiment, les parties communes et les logements : travaux d'isolation extérieure, pose de 15 000 m2 de bardage, extension des balcons, remplacement des cuisines et des salles de bain, réfection des sols et des murs et création d'un jardin d'hiver. Bouygues Bâtiment Grand Ouest mène également sur le site une mission de conseil et d'accompagnement des locataires. Les enjeux sont multiples : accroître le confort des habitants, maîtriser la facture énergétique, réduire les émissions carbone, œuvrer à l'attractivité du quartier… Pour Bouygues Bâtiment Grand Ouest, ce chantier est également l'expérimentation grandeur nature d'une initiative “Zéro Déchet Ultime”, démarche destinée à être répliquée sur l'ensemble du territoire. Un déchet ultime est un déchet qui ne peut être valorisé dans des conditions techniques ou économiques viables et qui sera donc enfoui.La démarche “zéro déchet ultime” en actionÀ l'heure du changement climatique, l'économie circulaire est un levier essentiel pour accélérer la transition vers une construction plus durable, plus sobre et plus efficiente dans l'utilisation des ressources. Au même titre que la performance des matériaux et les modes constructifs innovants, la gestion des déchets est au cœur de cette démarche. L'équipe travaux de Bouygues Bâtiment Grand Ouest a mis en place une démarche globale de tri sélectif et de valorisation des déchets simple et efficace sur le chantier Dumont d'Urville.Cette initiative repose sur 4 temps forts :Recenser les déchets de dépose (baignoire, évier, portes et fenêtres) et de pose (sol, bardage, laine de verre) en détaillant le poids correspondant à chaque matériauIdentifier le meilleur circuit de valorisation à l'échelle locale : pour cela, une cartographie des filières de revalorisation des départements 49 et 44 a été réalisée. Celle-ci constitue un précieux outil d'aide au choix en fonction des multiples critères à évaluer : type de déchets, coût de la démarche, cahier des charges spécifique…Contractualiser : en définissant les modalités pratiques de la revalorisation des déchetsFormer les parties prenantes : prévenir à travers des actions de sensibilisation à la réduction des déchets sur le chantier, et informer à l'aide d'une signalétique claire et précise pour identifier les zones de triCette démarche globale a aussi permis de mettre en place une basevie zéro déchet, impliquant l'ensemble de l'équipe travaux au quotidien à travers des règles simples et efficaces : organisation du tri sélectif, exclusion du plastique et plus globalement du matériel à usage unique, utilisation d'éponges et de torchons lavables, de produits biologiques, affichage dédié...La démarche de tri des déchets sur Dumont d'Urville témoigne de notre engagement collectif, pour réduire l'empreinte carbone de nos chantiers, à la fois pour les équipes de Bouygues Bâtiment Grand Ouest mais également pour les équipes de nos parties prenantes. Ces dernières se sont-elles aussi appropriées la démarche en triant les déchets dans chaque logement.- Anne Bouyé, Chargée de relations résidents qui a coréalisé la cartographie.
Il y a 4 ans et 249 jours

L’Ecole supérieure de conduite de travaux s’étend en France

Créée en 2006 à Vincennes-Montreuil, puis implantée à Marseille il y a deux ans et à Bordeaux-Mérignac l’année dernière, c’est dans de nouveaux locaux que l’ESCT (Ecole supérieure de conduite de travaux) accueillera ce 1er septembre de jeunes apprentis. Les premières promotions de 36 élèves à Rennes et de 36 élèves à Strasbourg pourront ainsi suivre l’une des deux formations suivantes, en alternance : BAC+3 « Chargé-e d’Affaires BTP » et BAC+5 « Directeur-trice de Travaux », avec en dernière année l’option de suivre un Master of Science – MSc Construction & Management, en partenariat avec Abertay University (Dundee, Ecosse). Ces deux nouvelles antennes s’inscrivent dans la continuité du développement de l’école et de répondre aux besoins de recrutements des entreprises, tant au niveau local que régional, dans les secteurs de la construction BTP. L’ESCT permet à des apprentis et à des professionnels (formations continues et VAE) d’obtenir des titres professionnels BAC+2, BAC+3 et BAC+5, inscrits au RNCP – Répertoire National des Certifications Professionnelles, dans le management de travaux.
Il y a 4 ans et 249 jours

Coup d'œil sur Chapelle international #5: une proue de verre et d'acier, par Brigitte Métra

Le CAUE du Val-de-Marne lance la première édition d'un palmarès valorisant l'habitat individuel dans le département. Architecte ou commanditaire d'un projet réalisé entre le 1er janvier 2013 et le 30 juin 2019 (construction neuve, réhabilitation, extension, surélévation), sont invités à proposer […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 250 jours

Les quartiers ou investir sur Nantes

Nantes est une ville de l’ouest de la France connu pour sa convivialité et son cadre exceptionnel. Elle est à seulement 50 km de l’océan atlantique. Elle profite d’un climat agréable toute l’année. Et elle est riche en culture et en divertissement. Ce chef-Lieu de département de Loire-Atlantique séduit de plus en plus de familles. Et le nombre de Nantais et de Nantaises ne cesse d’augmenter chaque année. Il faut dire que déménager à Nantes est aussi une parfaite occasion pour se lancer dans les investissements immobiliers.  Besoin d’un conseil en investissement immobilier sur Nantes ? Voici notamment les quartiers où vous devez investir dans la pierre. Dans le centre Pratique, moderne et très vivant, le centre-ville de Nantes est le premier quartier où un investissement immobilier est conseillé. Il y a ici énormément de possibilités. Cela va de l’immobilier résidentiel : les appartements et les maisons, aux immobiliers d’entreprises : commerce, locaux professionnels, etc. Le centre-ville de Nantes  séduit aussi bien les jeunes que les moins jeunes, les familles comme les couples, etc. C’est un quartier idéal pour ceux qui aiment sortir ; qui apprécie la convivialité et la proximité. Le m2 se négocie ici à 4 000 euros en moyenne. Ce qui est une parfaite affaire si l’on compare au marché proposé par la capitale française. L’ile de Nantes Aussi connue sous son nom « île de Beaulieu », l’île de Nantes se trouve à proximité directe de la Loire. Depuis quelques années, elle séduit pour son calme. Ici, ce sont notamment les familles et les étudiants qui sont les plus nombreux. L’île de Nantes propose non seulement un marché modique et attractif, mais c’est aussi un quartier qui est en plein développement depuis quelque temps. La valeur de l’immobilier dans cette partie de Nantes risque d’augmenter dans les prochaines années si l’on considère les projets d’aménagement qui y sont prévus. Aujourd’hui, le m2 dans cette partie de Nantes commence encore à 2 250 euros et peut atteindre les 4 500 euros. Ce qui est une aubaine justement pour les primo-accédants. Dervallière-Zola Un quartier convivial et calme, Dervallière-Zola est davantage adapté à un investissement locatif. En effet, selon les sondages, plus de la moitié de ceux qui y vivent, et notamment des professionnels ainsi que des familles françaises, sont des locataires. Le quartier est confortable et profite d’une ambiance unique en son genre. Ici, quelques commerces de proximité, un grand marché par semaine et des parcs ainsi que des espaces verts sont à la portée des résidents. À Dervaillière-Zola, pour 2 000 à 4 000 euros par m2, vous pouvez trouver de jolis biens à acheter. Vous pouvez ensuite le mettre en location pour 1 700 à 3 200 euros le m2 par mois. Hauts Pavé- Saint Félix Les Hauts Pavé- Saint Felix sont le quartier résidentiel où vous devez absolument investir à Nantes. C’est un endroit où il fait bon vivre et qui séduit à la fois les professionnels que les simples particuliers. Le prix du m2 y est un peu plus cher que dans les autres quartiers de Nantes, en moyenne, il faudra dans les 5 000 euros par m2 pour acheter à Hauts Pavé- Saint Félix. C’est un quartier à en devenir à Nantes. Ici, le cadre est exceptionnel. Les résidents vivent entre modernité et verdure. Les risques de vacances locatives y sont moindres. Les demandes de location grandissent d’année en année. Actuellement, on compte dans les 58% de locataire dans cette partie de Nantes. C’est un quartier idéal pour les investissements dans l’immobilier résidentiel. Le marché peut vous proposer un large panel de bien et s’adapter à vos goûts. Malakoff- Saint Donatien Enfin, quitte à investir dans l’immobilier nantais, autant ne pas oublier Malakoff Saint Donatien. À côté du centre-ville, c’est une bonne alternative pour ceux et celles qui ne souhaitent pas vivre dans un monde complètement bétonné. Entre la rive qui se trouve à côté et les parcs, ainsi que les verdures, c’est un quartier confortable et idéal justement pour une belle vie de famille. Malakoff-Saint Donation est en outre un quartier pratique. Il est notamment desservi par quelques moyens de transports en commun. Ce qui vous permettra de mieux séduire vos locataires. 65% des personnes qui vivent dans cette partie de la ville sont en effet des locataires. La valeur du marché reste tout de même assez intéressante, et ce, malgré l’emplacement stratégique et presque idyllique de ce quartier. Pour 2 400 à 3 700 euros en moyenne le m2, vous pouvez y accéder à la propriété. Les courtiers peuvent vous proposer aussi bien des appartements que des maisons, de nouvelles constructions que d’anciens biens. Tout dépend de vos goûts.
Il y a 4 ans et 251 jours

Concours d’idées international pour une bibliothèque contemporaine à Madrid

Startfortalents.net, une plateforme de recherche d’architecture, propose #MadridCall, un concours destiné à la conception d’une bibliothèque contemporaine dans le cœur ancien de Madrid. Un bâtiment sachant valoriser l’histoire et la tradition en devenant une union imaginaire entre les époques ? Jusqu’au 18 décembre 2020. Serons sélectionnés les projets qui proposeront une vision contemporaine parfaitement intégrée à […] L’article Concours d’idées international pour une bibliothèque contemporaine à Madrid est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 251 jours

Comment améliorer mon activité en tant qu’artisan RGE ?

Pour encourager les travaux entrant dans le cadre des économies d’énergies, les autorités gouvernementales ont instauré depuis 2013 une certification dénommée label RGE : « Reconnu garant de l’environnement ». Cette qualification est délivrée aux artisans comme gage de reconnaissance et de qualité par rapport au sérieux et à la rigueur qu’ils mettent dans l’exercice de leur fonction. Découvrez comment cette mention peut vous tailler une bonne réputation, élargir votre panel de clientèle et faire prospérer vos activités. Qu’est-ce qu’un artisan certifié RGE ? Le sigle RGE se définit par « Reconnu garant de l’environnement ». Il s’agit d’un label créé par les pouvoirs publics de l’ADEME pour distinguer les artisans intervenant dans le domaine de l’énergie renouvelable et du bâtiment. Il est généralement attribué aux professionnels reconnus pour la qualité, l’expertise et la rigueur qui font l’objet de leurs prestations. Mise en application à partir de l’année 2013, cette certification est un véritable gage de qualité pour le client qui sollicite l’intervention d’un artisan pour réaliser des travaux d’économie d’énergie sur Auchan. D’un autre côté, elle permet ainsi aux professionnels d’être reconnus comme artisan compétent et de bénéficier de nombreux avantages pour ses activités. Améliorer vos activités grâce à la certification RGE La certification RGE a indéniablement un impact positif sur les activités de l’artisan qui en bénéficie. Le particulier qui désire rénover son logement sait éventuellement que la qualité des travaux à effectuer dépend en grande partie des compétences de l’artisan qui s’en occupera. Il est évident qu’il n’hésitera pas à faire appel à un professionnel certifié RGE, ce label étant un indicateur d’expertise qui revient essentiellement au professionnel qualifié. En bref, si vous êtes un travailleur intervenant dans le bâtiment et dans l’installation des équipements faisant référence aux énergies renouvelables, vous avez tout intérêt à exercer votre fonction à titre d’artisan RGE. C’est un élément fondamental qui vous distingue parmi la masse de professionnels intervenant dans votre secteur et atteste de la bonne qualité de votre prestation. Ce qui aura l’avantage de soigner votre image et d’inciter les clients à faire appel à vos services ou prestations sans crainte. Vous élargirez votre clientèle et gagnerez plus de chantiers chaque jour, gage de l’amélioration de votre chiffre d’affaires. Des éco-primes très intéressantes Dans le souci permanent de réaliser des économies d’énergie afin de remédier à la précarité énergétique, l’État français a instauré des réformes qui encouragent tous travaux entrant dans le cadre de l’efficacité énergétique. Pour cela, plusieurs subventions financières ont été établies, notamment des éco-primes très intéressantes. Ainsi, lorsque vous décidez de renforcer l’isolation de votre habitation, vous pouvez solliciter l’apport d’un professionnel pour vous installer des chaudières bois, des chauffe-eau solaires, des chaudières à condensation ou à micro-cogénération gaz, des pompes à chaleur, des échangeurs de chaleur géothermiques… Mais cette prime ne vous sera accordée que si l’artisan ayant effectué les travaux jouit d’une certification RGE, lequel permet à l’état de s’assurer qu’il délivre un travail respectant les normes environnementales et les critères de performances énergétiques. Cette aide peut faire bénéficier plusieurs centaines d’euros au client. Il pourra s’en servir pour financer une bonne partie des travaux. Cela représente indiscutablement un élément important dans le développement de vos activités en tant qu’artisan RGE, d’autant plus que le client sait qu’il a tant de choses à gagner en vous sollicitant en lieu et place d’un professionnel ordinaire. En gros, la mention RGE est non seulement une garantie de sérieux pour le particulier qui désire réaliser des travaux, mais aussi une manière de profiter des avantages économiques. Les démarches à suivre pour devenir artisan RGE Plusieurs démarches sont à mener pour devenir un artisan Reconnu garant de l’environnement. En prime, vous devez choisir la certification qui correspond à votre domaine de prédilection parmi la qualification QualiBat (spécialiste du bâtiment), la qualification Qualifelec (expert en électricité), la qualification Qualisol (spécialiste en installations des solaires thermiques), QualiPV (expert en installation des systèmes solaires photovoltaïques), et la certification QualiPAC (installateur de pompes à chaleur). L’étape suivante consiste à établir un dossier pertinent pour accéder à la formation donnant droit à la qualification RGE. Cette formation vous permettra de vous perfectionner dans la réalisation des travaux de rénovation et d’amélioration énergétique. Cependant, elle doit être administrée par un organisme compétent, et surtout agréé par l’État.
Il y a 4 ans et 252 jours

Le marché de l’immobilier dans le Tarn

Après un coup d’arrêt brutal dû au confinement, le marché de l’immobilier semble reparti d’un bon pied en Occitanie, et plus particulièrement dans le Tarn. C’est ce qu’indique un sondage réalisé auprès des études notariales dans les départements occitans qui dépendent du conseil régional des notaires. Plus de 98 % des notaires interrogés affirment avoir constaté une reprise significative. Et pour près de 30 % d’entre eux, l’activité par rapport à l’an passé à la même période est même supérieure. Cette reprise concerne en premier lieu le cœur du marché de l’immobilier en Occitanie, à savoir les maisons individuelles. La crise sanitaire n’a pas porté un coup fatal aux projets d’acquisition, bien au contraire. Le plus fréquemment, ils portent sur une résidence principale en seconde accession. Autrement dit, les acquéreurs disposent déjà d’un capital et ont un emploi stable. Un besoin d’espace En revanche, les primo-accédants, c’est-à-dire avant tout les jeunes ménages, semblent plus frileux. On peut y voir un effet de la crise sanitaire. Ces primo-accédants manquent de visibilité sur l’avenir. Selon la présidence du conseil régional des notaires, il ne faut pas désespérer de les voir revenir sur le marché. « L’attentisme des primo-accédants pourrait être assez vite balayé », estime l’organisme en relevant que l’agroalimentaire, un secteur économique qui pèse lourd en Occitanie, a plutôt été épargné par la crise sanitaire. Les notaires observent aussi une évolution sensible de la demande sur ce marché post-Covid. Avec, de manière générale, un besoin de davantage d’espace, notamment extérieur. Le confinement a souvent fait ressortir les défauts des logements, comme l’absence de jardin, de bureau ou de terrasse. On constate une hausse des requêtes pour les maisons avec jardin et pour les appartements avec balcon, ce besoin d’espace est désormais le premier critère de choix, devant l’accès aux services de proximité et au transport en commun. » Avec la crise sanitaire, les comportements évoluent. Selon 67% des experts en financement, courtiers et notaires, les candidats à l’achat se décident plus rapidement. Le Covid a été un accélérateur de prise de décision, estime un expert. Corollaire, la demande pour des prêts-relais, qui avait quasiment disparu, émerge à nouveau. Pénurie de l’offre Majoritairement, les agents commerciaux de l’immobilier ne constatent pas pour l’instant une hausse des taux bancaires qui freinerait l’achat. Il reste possible d’emprunter sur vingt ans avec un taux d’intérêt qui ne dépasse pas les 1,5 %, souligne Charles Goncalves Baptista . En revanche, les experts en financement, les courtiers et la plupart des notaires (81 %) estiment que les banques sont plus exigeantes en matière d’apport. Et les prix ? Le marché immobilier souffrait, avant le confinement, d’une pénurie de l’offre qui alimentait la hausse des prix, notamment dans la métropole toulousaine et agglomération. Le prix au mètre carré des appartements neufs apparait en augmentation. Les deux mois d’arrêt d’activité n’ont pas permis de reconstituer les stocks et l’offre demeure faible, indiquent Charles Goncalves Baptista agent commercial en immobilier sur Albi. Autrement dit, les fondamentaux du marché demeurent les mêmes. Rien n’indique que les candidats à l’achat doivent spéculer sur une baisse des prix après l’épisode du Covid.
Il y a 4 ans et 252 jours

Comment choisir une bonne moustiquaire adaptée à sa maison, ses ouvertures, son appartement ?

Les moustiquaires, hélas souvent délaissées, offrent une protection particulièrement efficacement contre les  moustiques mais également envers les autres insectes comme des guêpes, des papillons de nuit, des mouches… Bzzz… Ce bruit si particulier d’un moustique qui se promenant autour de votre tête ? l’installation d’une moustiquaire vous protègera à coup sûr dans votre chambre ou salon. Avec la chaleur écrasante, nous avons tendance à ouvrir ses fenêtres le soir en rentrant à la maison pour faire un courant d’air plus frais. Un peu plus de confort dans la fournaise ambiante à l’exception de l’intrusion des moustiques et autres insectes attirés par les odeurs… Au lieu d’utiliser les produits anti-moustiques pour essayer de s’en débarrasser, pourquoi ne pas plutôt installer une moustiquaire moustistores, fabriquée en France. Idéale dans le salon ou la chambre à coucher, nous oublions souvent les moustiquaires alors qu’elles s’avèrent être très efficaces et économiques, sans compter les moindres désagréments écologique pour notre environnement. Portes, fenêtres, baies vitrées, mais aussi lits peuvent être protégées par une moustiquaire. Afin de vous protéger des moustiques et autres insectes nuisibles, il est nécessaire voire recommandé d’installer une moustiquaire. Si acheter une moustiquaire représente un investissement important, vous verrez qu’il permet de réaliser de belles économies sur le long terme ! Mais quel type de moustiquaire choisir ? MOUSTIQUAIRES ENROULABLES Pour les fenêtres ou les portes, une moustiquaire enroulable est l’option la plus populaire. La store est placée dans une petite boîte qui s’ajuste au-dessus du cache à l’extérieur de la fenêtre, et des guides fourrus sont ajustés des deux côtés du cache pour sceller la moustiquaire contre les insectes. Ce type de moustiquaire ne fait pas partie de la fenêtre et peut être installé après l’installation ou sur des fenêtres existantes qui ne sont pas changées. MOUSTIQUES COULISSANTES Pour une utilisation avec des cadres coulissants en aluminium, nos moustiquaires coulissantes couvrent la moitié de l’ouverture lorsqu’ils sont utilisés avec deux curseurs de feuille ou un tiers (trois curseurs de feuille) ou un quartier avec quatre feuilles sur deux pistes. La moustiquaire est toujours visible sur la partie de l’ouverture qu’il couvre. De construction légère mais solide, la moustiquaire s’enlève facilement, si vous le souhaitez, pendant les mois d’hiver. Les moustiquaires enroulées peuvent également être utilisées sur les portes et fenêtres coulissantes L’usage des répulsifs chez les jeunes enfants L’innocuité des répulsifs chez les enfants de moins de trente mois n’a pas été démontrée de façon formelle. Néanmoins, face au risque de maladies graves transmises par les moustiques et au vu des rares effets indésirables rapportés, le Conseil supérieur d’hygiène publique considère que les produits à base de DEET peuvent être utilisés dès l’âge de deux mois à condition de ne pas dépasser la concentration de 30 % et de respecter les contre-indications et les précautions d’emploi. L’application de répulsif ne doit pas être faite sur les mains. Chez les enfants ayant souffert de convulsions, l’usage des répulsifs est contre-indiqué par précaution. Dans tous les cas, les moustiquaires imprégnées sont considérées comme le moyen prioritaire de protection efficace chez les jeunes enfants. Enfin, n’oubliez pas que tous les répulsifs sont toxiques lorsqu’ils sont ingérés : ne les laissez pas à portée des jeunes enfants et empêchez ces derniers de se sucer les doigts après pulvérisation, que sans ces produits supplémentaires la moustiquaire est La prolifération de ce parasite s’étend constamment, nous avons tendance à l’oublier au vu de la situation actuelle mais elle est très préoccupante : https://solidarites-sante.gouv.fr/sante-et-environnement/risques-microbiologiques-physiques-et-chimiques/especes-nuisibles-et-parasites/article/cartes-de-presence-du-moustique-tigre-aedes-albopictus-en-france-metropolitaine Les diffuseurs électriques sont en effets contre-indiqués à l‘âge de vos enfants, pour des raisons de toxicité. Même chose pour les produits à base d’huiles essentielles, qui n’ont d’ailleurs pas d’efficacité prouvée. Idem pour les appareils à ultrasons. La moustiquaire reste la solution la plus efficace avec le moins de risque pour les enfants, votre entourage. Si une installation sur le lit de votre bébé vous est impossible, en sachant que vous trouvez toutes les tailles, demandez une installation en rideau à sa fenêtre.
Il y a 4 ans et 252 jours

Rénovation énergétique : les "obligations progressives" tracent leur route

TRANSITION ENERGETIQUE. En amont de la présentation du plan de relance gouvernemental, la Fondation Nicolas Hulot apporte sa contribution en proposant 8 "priorités" pour massifier la rénovation énergétique des bâtiments. L'organisation appelle à considérer le long terme et à instaurer "des obligations progressives".
Il y a 4 ans et 252 jours

Spie batignolles descend dans les Arènes d'Evry

Depuis début février, les équipes de Spie batignolles Boyer, entité francilienne du groupe Spie Batignolles, a investi les allées des Arènes, une salle de spectacle de 2 800 places implantée au cœur du centre commercial Agora d'Evry.
Il y a 4 ans et 252 jours

En Finlande, des récompenses pour les éco-citoyens

Baptisée "CitiCap", l'initiative, financée par l'Union européenne, propose aux habitants de tracer leurs émissions de carbone lors de déplacements, grâce à une application qui détecte s'ils circulent en voiture, en transports en commun, à pied ou à vélo.Chaque semaine, les citoyens volontaires se voient crédités d'un "quota de carbone" qui, s'il n'est pas épuisé à échéance, se transforme en "euros virtuels", échangeables contre des entrées à la piscine, des tickets de bus ou, pour les plus gourmands, une part de gâteau dans un établissement de la ville."Lahti est encore une ville très dépendante de la voiture, notre objectif est que d'ici 2030, plus de 50% de tous les déplacements soient effectués via des modes de transport durables", explique à l'AFP la responsable du projet, Anna Huttunen.Actuellement, 44% des déplacements dans la ville sont considérés comme "durables".L'objectif du projet à long terme est de développer une nouvelle méthode pour encourager des comportements plus écologiques, en utilisant notamment un système d'"échange personnel de droits d'émission de carbone" que d'autres villes peuvent reproduire, expliquent ses fondateurs.Le concept s'inspire du système européen d'échange de quotas d'émission de carbone, où les entreprises et les gouvernements se voient attribuer des crédits carbone. S'ils dépassent ce quota, ils payent, mais s'ils émettent moins que convenu, ils peuvent vendre tout excédent."CitiCap a suscité beaucoup d'intérêt dans le monde entier, non seulement en Europe, mais aussi aux États-Unis et au Canada", détaille Mme Huttunen.21 kg d'équivalent CO2 par semaineL'application CitiCap donne à chaque participant un "budget" carbone hebdomadaire basé sur sa situation personnelle.En moyenne, un habitant de Lahti, ville de 120.000 habitants, "émet 21 kilos d'équivalent CO2 par semaine", selon Ville Uusitalo, responsable recherche du projet.L'application met les utilisateurs au défi de réduire leurs émissions d'un quart - soit remplacer en moyenne 20 km de conduite en voiture par l'équivalent en transports publics ou à vélo.Reste à savoir si des récompenses plus importantes inciteraient davantage de citoyens à délaisser leur voiture."C'est possible de gagner jusqu'à deux euros (par semaine) si vos émissions liées aux déplacements sont vraiment faibles", explique M. Uusitalo. "Mais cet automne, nous avons l'intention de décupler le prix", poursuit-il.Capitale verte européenneSi le semi-confinement imposé en Finlande a entraîné une baisse drastique des trajets en voiture, les créateurs du projet ne parviennent pas encore à évaluer les effets de leur application dans la ville.Mais, assurent-ils, ils continueront à recueillir des données l'année prochaine, alors que Lahti deviendra pour un an "Capitale verte européenne".Jusqu'à présent, 2.000 habitants ont téléchargé l'application, avec jusqu'à 200 utilisateurs actifs simultanément."Les gens trouvent très intéressant de voir leurs propres émissions", selon la responsable du projet.Mirkka Ruohonen, employée municipale à Lahti, utilise l'application depuis sept mois maintenant. Ce qui l'a immédiatement surprise, c'est de voir les effets de ses propres déplacements sur l'environnement.Dernièrement, raconte-t-elle, "je suis allée passer un week-end de randonnée, nous avons fait 15 kilomètres de marche, mais j'ai dû faire 100 km en voiture" pour rejoindre le sentier."Après cela, j'ai vérifié l'application et je me suis dit +C'était une bonne chose ?+ Peut-être pour moi, mais pas pour l'environnement !", s'exclame-t-elle.La Finlandaise dit ne pas être dérangée par les conséquences sur la vie privée d'une telle application qui enregistre les moindres déplacements."Je pense que toutes les applications que j'utilise collectent des informations", juge-t-elle.Selon Anna Huttunen, si l'application est conforme à la réglementation européenne sur les données personnelles, les organismes tiers ne pourront pas analyser les données.Les créateurs de CitiCap espèrent à l'avenir pouvoir également aider les gens à gérer leurs émissions liées à la consommation."La mobilité n'est qu'une partie de notre empreinte carbone", rappelle M. Uusitalo.
Il y a 4 ans et 252 jours

Travail détaché : l'appel du Gouvernement aux entreprises du BTP

PLAN DE RELANCE. Le Gouvernement a prévu, dans son plan de relance, de soutenir massivement le secteur de la construction. Mais, en échange, il attend des entreprises d'avoir le moins recours possible au travail détaché.
Il y a 4 ans et 252 jours

La situation s'améliore en juillet pour la construction de logements

Sur les trois mois compris entre mai et juillet, le nombre de logements mis en chantier s'est établi à 92.900, soit un recul de 8,7% par rapport à un an plus tôt, selon le ministère de la Transition écologique, dont dépend le Logement. La baisse est logique puisque la période comprend la fin du strict confinement mis en place jusqu'à début mai contre le Covid-19. De nombreux chantiers ont été contraints à l'arrêt. Mais ce net recul doit être mis en perspective avec les précédents indicateurs, qui sont donnés mensuellement pour une période de trois mois glissants. Au second trimestre, soit la période entre avril et juin, les mises en chantier avaient chuté d'environ un quart par rapport à un an plus tôt. Leur niveau s'est donc nettement amélioré sur le seul mois de juillet. La situation est semblable pour les permis, indicateur plus avancé du niveau à venir de la construction, même si leur effondrement reste bien plus marqué que pour les mises en chantier. Entre mai et juillet, 86.100 permis de construire des logements ont été octroyés, soit un recul de 27,4% par rapport à un an plus tôt. Mais, au second trimestre, la chute dépassait 40%. Au-delà du confinement, qui a gelé pendant plusieurs semaines l'examen par les autorités locales des demandes de construction, d'autres facteurs ont, selon les professionnels, ralenti les procédures. Ils citent notamment la timidité des élus locaux à l'approche des municipales, une situation classique mais prolongée par le report du second tour à fin juin, trois mois après la date initialement prévue. Le gouvernement, qui s'inquiète ouvertement du faible nombre de permis accordés, a évoqué ces derniers jours la mise en place d'une aide financière, notamment auprès des maires, mais ses modalités restent à définir.
Il y a 4 ans et 252 jours

Jean Castex annonce 100 millions d'euros pour inciter à l'embauche des personnes handicapées

"La relance du pays doit être une relance de toute la communauté nationale, et en particulier nous devons faire l'effort spécifique pour ceux qui pourraient rencontrer des difficultés particulières", a expliqué le chef du gouvernement, qui s'exprimait à Paris en clôture des premières universités d'été du Conseil national consultatif des personnes handicapées.L'aide sera de 4.000 euros, accordée pour le recrutement - en CDI ou CDD de plus de 3 mois, et pour un salaire équivalent à deux SMIC maximum - d'un salarié ayant la reconnaissance de travailleur handicapé.Applicable aux contrats de travail signés entre le 1er septembre 2020 et le 28 février 2021, l'aide, qui s'inscrit dans le cadre du plan de relance attendu pour le 3 septembre, sera versée par tranche trimestrielle sur une période d'un an.Au total, quelque 30.000 personnes en situation de handicap pourraient bénéficier de ce dispositif, a souligné auprès de l'AFP la secrétaire d'Etat chargée du dossier, Sophie Cluzel."Baisser le coût du travail, c'est indispensable pour les employeurs", a-t-elle assuré, convaincue que cette mesure serait "très incitative"."Il était important de lever cette barrière d'âge", afin de "mettre le pied à l'étrier" des demandeurs d'emploi en situation de handicap, a-t-elle affirmé.Juste avant la crise épidémique, le gouvernement s'était félicité de chiffres encourageants concernant l'emploi des personnes handicapées: le nombre de salariés handicapés au chômage était descendu sous la barre symbolique des 500.000 fin 2019.Le taux de chômage des personnes handicapées a baissé d'un point en un an, de 17% en 2018 à 16% en 2019, mais reste donc environ deux fois plus élevé que celui de la population active en général.M. Castex, qui s'exprimait muni d'un masque transparent - permettant la lecture labiale par les personnes sourdes et malentendantes -, a par ailleurs annoncé que tous ses discours publics seraient désormais traduits en langue des signes.Le gouvernement doit être d'avantage attentif à ce que sa communication soit accessible aux personnes handicapées, a-t-il convenu, ajoutant: "pour que cela s'accélère, je vais commencer par moi-même".Parmi les types de masques qui pourraient être prochainement recommandés par les pouvoirs publics dans une circulaire officielle, les masques transparents seront mentionnés, car ils sont "très respectueux à l'égard des personnes en situation de handicap", a ajouté le Premier ministre.
Il y a 4 ans et 252 jours

Bruno Le Maire "supplie" les entreprises de BTP d'embaucher des travailleurs français, "pas des détachés"

Lors d'une table ronde à l'université d'été du Medef, le ministre de l'Economie a appelé les entreprises du bâtiment et de la construction à faire travailler le moins possible de travailleurs détachés dans les mois à venir et à privilégier l'embauche de jeunes.
Il y a 4 ans et 252 jours

Bouygues accuse des pertes au premier semestre face au virus, malgré des télécoms solides

"Comme attendu, les résultats du groupe au premier semestre 2020 sont fortement impactés par les conséquences de la crise sanitaire", a résumé jeudi Bouygues dans un communiqué, à l'occasion de ses chiffres semestriels.Lors de la première moitié de l'année, une période marquée par le plus fort de la crise du virus et par de multiples mesures de confinement à travers le monde, la société a subi une perte nette de 244 millions d'euros, contre un bénéfice de 225 millions un an plus tôt.Son chiffre d'affaires a reculé de 15% à 14,8 milliards d'euros, un déclin de presque trois milliards qui correspond en gros au coût de la crise sanitaire pour Bouygues lors de la première moitié de l'année.Mais sa perte serait bien pire sans sa présence dans les télécoms car le secteur est l'un des rares à n'avoir guère pâti de la crise. Enfermés des semaines chez eux, les Français ont bien dû continuer à communiquer et, souvent, travailler à distance.Bouygues Telecom est donc largement resté dans le vert, malgré une petite baisse (-5,3% à 142 millions d'euros) de son bénéfice semestriel. La filiale, qui a causé bien des difficultés au groupe dans les années 2010, confirme à quel point elle est redevenue son joyau, avec une nouvelle progression générale des abonnements dans le fixe comme le mobile.Certes, la crise n'y a pas été indolore. Les performances de l'opérateur ont été freinées par la fermeture de ses boutiques pendant des semaines, et il n'a guère pu profiter des frais d'itinérance face à la restriction drastique des déplacements internationaux.Plans de relanceReste que les conséquences sont sans commune mesure avec l'autre grande activité de Bouygues, ses chantiers. Dans cette branche, le groupe essuie une perte de presque 400 millions d'euros.Les deux grands concurrents de Bouygues, Vinci et Eiffage, sont d'ailleurs aussi tombés dans le rouge au premier semestre, même si le second a largement limité les dégâts avec une perte de seulement quelques millions d'euros.Le secteur a fortement souffert des mesures de confinement mises en place pendant des semaines au printemps dans de multiples pays. Elles ont contraint Bouygues, à l'instar de tout le BTP, à interrompre de nombreux chantiers, le temps d'établir les mesures sanitaires adéquates.Le groupe promet toutefois un avenir meilleur, d'abord parce que ses chantiers ont largement repris en France comme à l'international."A mi-juillet 2020, la quasi-totalité des sites étaient rouverts en France, avec un rythme d'avancement de l'activité proche de celui d'avant crise", détaille le groupe, évoquant aussi un niveau "proche de la normale dans de nombreux autres pays".Surtout, le carnet de commandes de Bouygues, gage de revenus à venir, a encore gonflé au premier semestre pour atteindre un niveau sans précédent, à l'aide notable de très gros marchés comme un contrat ferroviaire à plus d'un milliard d'euros au Royaume-Uni.Pour autant, le groupe se montre prudent pour la suite. Il ne se fixe pas de nouvelle prévision chiffrée de résultat pour 2020, jugeant le contexte sanitaire trop incertain.Il promet certes de redevenir nettement rentable au second semestre, mais sans retrouver ses résultats d'un an plus tôt. A plus long terme, il ne fixe pas d'échéance sur un retour à leur niveau habituel.Au-delà, "le groupe est bien positionné pour répondre aux enjeux des plans de relance annoncés dans les grands pays où il est implanté - Union européenne, France, Royaume-Uni, Canada, USA, etc.,", assure Bouygues, évoquant "les infrastructures durables, la transition énergétique ou la rénovation des bâtiments".
Il y a 4 ans et 252 jours

Action Logement et Axa s'associent pour créer des milliers de logements

L'organisme Action Logement et la filiale immobilière de l'assureur Axa vont s'associer pour créer près de 20.000 nouveaux logements dans Paris et sa région au cours des dix prochaines années.
Il y a 4 ans et 252 jours

TPF Ingénierie vise l'équilibre en 2020

Filiale française du groupe belge d'ingénierie TPF, l'ex-bureau pluridisciplinaire Beterem créé à Marseille en 1960, cédé à la Caisse des Dépôts en 1996, puis repris en 2005, rayonne dans toute la France mais aussi à l’étranger avec ses compétences dans le bâtiment, les infrastructures et l’eau. Parmi les projets marquants figurent l’hôpital de Tours, l’hôpital Ibn Sina CHU à Rabat et le nouveau siège social d’Arcelor Mittal au Luxembourg. Ils illustrent la volonté de William Meynard, président depuis deux ans de la filiale française, d’orienter l’activité notamment vers la santé, l’industrie et les métiers du numérique. Explications.
Il y a 4 ans et 252 jours

Les différentes maisons modulables et leurs avantages

Actuellement, les particuliers se laissent tenter par les constructions en bois. Ce type de structure présente de nombreux avantages tant au niveau de l’esthétique que de la solidité. On sait tous que le bois est un matériau naturel et noble. Il a encore de nombreuses années devant lui. Les logements modulaires séduisent les consommateurs en quête d’un habitat à la fois moderne et écologique. Quid des différentes maisons modulables ? Ce nouveau mode de construction laisse la place à la créativité et à l’imagination. Il repose avant tout sur le fait que les grands éléments de l’habitation sont fabriqués dans des ateliers spécialisés. À noter que la classification des structures de ce genre est quasi la même que les autres modèles de logements. On les classe généralement à partir des matériaux de conception et des styles. Elles peuvent être conçues à partir de diverses matières, telles que le bois, l’aluminium et le PVC. Le bois est certainement le matériau le plus prisé de tous. Il confère aux constructions un caractère écolo et garantit une isolation thermique optimale. On peut aussi classifier une telle maison selon le style, comme on l’a précisé. Ce critère repose généralement sur l’architecture du bien. À noter qu’il existe des logements de styles différents. Par exemple, on peut trouver des constructions de style contemporain, traditionnel ou moderne. La définition du style de l’habitat doit être réalisée durant la conception du plan de construction. Enfin, la classification réside sur le modèle. Les consommateurs peuvent, en effet, choisir entre des maisons en kit, standards et sur-mesure. Quels sont les avantages de ce type de construction ? Opter pour une maison modulable, c’est l’assurance de bénéficier d’un certain nombre d’avantages. Il s’agit avant tout d’une construction moderne. Ce qui convient parfaitement aux Français souhaitant concevoir un habitat qui paraît fraîchement sorti d’un magazine. Les consommateurs peuvent choisir de créer une maison individuelle ou une villa modulaire. Ils sont sûrs de dénicher des styles modernes ou contemporains adaptés à leurs goûts et à leur budget. Ce type de logement est également très plébiscité ces dernières années du fait de sa durabilité et solidité. On peut aussi facilement tomber amoureux de ce genre de maison, car elle est facile à mettre en œuvre. Elle est plus rapide à monter que les logements traditionnels. Étant donné que l’habitat modulaire est construit en usine, la météo sera le cadet des soucis de tous. On n’a plus à se préoccuper des retards des fabricants, tels que les peintres, les carreleurs, etc. Le niveau de finition sera de même plus élevé. À noter qu’il existe un grand nombre d’équipements qui ne peuvent pas être transportés sur le chantier. Cette catégorie de logement est aussi intéressante pour réduire les dépenses énergétiques. Désormais, les propriétaires habiteront dans une maison moins énergivore. Elle a d’ailleurs été construite de façon à ce qu’elle puisse recevoir des agrandissements ou des rénovations plus tard. Les occupants sont libres d’apporter des modifications au logement, sans pour autant endommager les éléments. Ils ne risquent pas de réduire l’esthétique de l’habitat.