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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88147 résultats)
Il y a 4 ans et 266 jours

Le site web bimandco.com fait peau-neuve pour la rentrée !

L’éditeur de logiciels SaaS spécialisé dans les solutions de gestion et partage d’objets BIM dédiées aux acteurs de la construction et aux fabricants annonce le lancement de son nouveau site web. C’est en adoptant un design plus clair que BIM&CO a réussi à mettre en avant la proposition de valeur de ses deux solutions de manière plus précise et plus concrète. L’offre BIM&CO for Manufacturers qui aide les fabricants à digitaliser, structurer et diffuser les produits et données de leurs catalogues pour le marché du BIM via la plateforme bimandco.com se voit désormais promue par une page dédiée. Il en va de même pour la solution de BIM Content & Revit Family Manager « Onfly », s’adressant aux grandes entreprises de construction, ingénieries, promoteurs et cabinets d’architectes pour la gestion de leurs données et objets BIM au sein d’une bibliothèque privée. Cette dernière respectant leurs classifications internes propres, permettant l’enrichissement de paramètres d’objets spécifiques et favorisant la collaboration avec les équipes des partenaires extérieurs grâce à plusieurs niveaux de droits sur les objets. Ces deux nouvelles sections inédites s’accompagnent de testimoniaux clients visant à démontrer le savoir-faire made in France de l’entreprise innovante et s’enrichiront au fil des mois de livres blancs thématiques. Le lancement de ce nouveau site web est également l’occasion pour BIM&CO de tisser une plus grande proximité avec ses utilisateurs et ses clients : le site permet de réaliser une demande de rappel directement en ligne et engage la prise de contact par un chargé de projets sous 24h ouvrées. Parce que travailler ensemble permet d’aller plus loin, ce nouveau site met en outre en valeur les partenaires techniques avec lesquels BIM&CO travaille à l’échelle locale et internationale. BIM&CO se voue en effet à la mission de connecter toute technologie ou outil métier à la puissance de ses données pour maximiser les bonnes pratiques en matière de BIM, que ce soit en phase de conception, construction, livraison, maintenance ou déconstruction des bâtiments. Très prochainement, un espace dédié permettra aux utilisateurs de retrouver en toute facilité des centres de formation partenaires de BIM&CO ainsi que des références bibliographiques pour maitriser le BIM. Les webinars et événements seront également publiés de manière centralisée, pour toujours plus de pédagogie et d’interactivité. On dit que les hommes et les femmes font l’entreprise d’aujourd’hui et de demain – ceci s’applique naturellement à BIM&CO qui met en avant fièrement l’ensemble de ses collaborateurs ! Découvrez dès à présent le nouveau portail de BIM&CO à l’adresse suivante : https://www.bimandco.com/bim/fr
Il y a 4 ans et 266 jours

L'éventuelle remise en cause des aides au photovoltaïque crée "une ambiance délétère"

POLÉMIQUE. Suite à l'annonce d'une éventuelle remise en cause des aides publiques au développement des panneaux photovoltaïques, le syndicat Enerplan a dénoncé "une ambiance délétère" dans un contexte de présentation du PLF 2021 et du plan de relance. D'autant que le Gouvernement prétend justement avoir mis l'accent sur la transition écologique.
Il y a 4 ans et 266 jours

Capremib utilisera le ciment décarboné d’HGCT

De gauche à droite, Julien Blanchard, co-fondateur d’HGCT, David Guglielmetti, directeur du développement d’HGCT, et Clément Blanc, directeur général de Capremib. [©HGCT] Ciments et bétons décarbonés. Toute la filière “construction” se focalise sur ce sujet. Le préfabricant rémois Capremib n’y déroge pas. Et vient de signer un contrat exclusif de fourniture de ciments à faible empreinte carbone avec l’industriel Hoffmann Green Cement Technologies (HGCT). L’emploi de ce ciment décarboné devrait permettre à Capremib de diviser par quatre ses émissions de CO2. Ceci, dans le cadre particulier de la production d’écrans acoustiques en béton de bois. En effet, Capremib propose depuis de nombreuses années une large gamme d’écrans anti-bruits. Sur mesure et répondant aux bétons des architectes. Et dans ces dimensions pouvant atteindre 6 m x 4 m pour les éléments les plus grands.  Extension de l’utilisation du ciment bas carbone « Ce partenariat intervient après plusieurs mois d’essais techniques. Il permet, d’ores et déjà, à Capremib de produire des panneaux acoustiques bois-béton. Tout en réduisant leur impact carbone », résume Julien Blanchard et Davis Hoffamnn, co-fondateurs d’HGCT.  Peu à peu, et selon le rythme des chantiers, Capremib envisage d’étendre l’utilisation du ciment bas carbone à la fabrication de gradins, de poutres et de dalles. Cette fois-ci dans le cadre de bétons plus classiques, mais reformulés pour l’occasion. 
Il y a 4 ans et 266 jours

Corinne Vezzoni, médaille d’or de l’Académie d’architecture

Dans le cadre de la cérémonie des Prix et Récompenses 2020 qui s’est tenue le 29 septembre en fin de journée, Place des Vosges, à Paris, l’Académie française d’Architecture a remis la médaille d’Or 2020 à Corinne Vezzoni, architecte. [©Agence Corinne Vezzoni et Associés architectes] Depuis 1965, l’Académie de l’architecture récompense les professionnels des milieux de l’architecture, de la recherche et de la jeune génération d’architectes. Cette année, la cérémonie des prix et récompenses de l’architecture aura lieu mardi 29 septembre 2020. L’évènement se déroulera dans l’intimité, place des Vosges, à Paris. En effet, le contexte sanitaire actuel a contraint l’Académie à revoir l’organisation des festivités. Ainsi, le nombre d’invités a été réduit. Mais n’ayez crainte, la célébration aura bien lieu. Et pour cette édition, c’est une architecte française qui est mise à l’honneur. Au terme de la soirée, Corinne Vezzoni sera couronnée médaille d’or 2020. Succédant ainsi au duo d’architectes mexicains Mauricio Rocha et Gabriela Carrillo. A cette occasion, Corinne Vezzoni deviendra la huitième Française distinguée par cette récompense. Portrait d’une architecte en vogue Nommée Chevalier de la légion d’honneur en 2017, lauréate du prix Born Awards France en 2018 et du prix Femmes architectes en 2015, Corinne Vezzoni n’est plus à présenter dans le milieu très prisée de l’architecture. Après avoir passé la grande majorité de son enfance au Maroc, elle s’installe à Marseille afin d’étudier l’architecture, sa passion. En 2000, elle fonde, toujours à Marseille, avec Pascal Laporte, l’agence Corinne Vezzoni et Associés. Au cours de l’année, Maxime Claude rejoint l’aventure, mais ce n’est qu’en 2007, qu’il en devient associé. En 2018, Corinne Vezzoni développe une structure parisienne avec ses deux fidèles associés ainsi que Michelle Lenne-Haziza (présidente de l’Atelier MLH). Ces deux sites (Marseille et Paris) réunissent une trentaine de collaborateurs permanents. L’agence développe des projets d’architecture, d’urbanisme, de design urbain et d’infrastructures. Elle favorise la diversification plutôt que la spécialisation et la répétition. Outre son travail d’architecte de renommée, Corinne Vezzoni est aussi enseignante à l’université de Provence (master aménagement & urbanisme). Réalisations iconiques L’oeuvre ”Le Thémis” réalisé en 2018. [©Corinne Vezzoni et Associés]L’oeuvre ”Le Thémis” réalisé en 2018. [©Corinne Vezzoni et Associés] L’Académie d’architecture explique que l’œuvre de Corinne Vezzoni « se distingue par une approche liée aux contextes. Construire avec le génie du lieu et lutter contre la surconsommation du territoire font partie intégrante de sa démarche ». Au fil du temps, l’agence a réalisé de nombreux projets. Livré en 2018, “Le Thémis” a été le premier bâtiment tertiaire de France à recevoir le label E+C–. Cette œuvre, à l’architecture incontestable, figure parmi les plus grands ouvrages de l’agence. Du tramway de Marseille aux Beaux-Arts de Toulon, en passant par le pôle judiciaire de Martigues et la Gare de Versailles Satory (78), nombreux sont les travaux réalisés par l’agence. Mais Corinne Vezzoni et ses associés ne s’arrêtent pas là. Le Grand Paris Express s’offre à eux à travers le chantier de la gare de Rosny Bois Perrier (93). De plus, l’agence s’est vue attribuer le projet ”Réinventer le Havre”  (voir notre article, ici). La Gare de Satory, inaugurée en 2016 par l’agence. [©Corinne Vezzoni et Associés]La Gare de Satory, inaugurée en 2016 par l’agence. [©Corinne Vezzoni et Associés]
Il y a 4 ans et 266 jours

Le budget 2021 sera dédié à la relance, les déficits attendront

Après les plus de 460 milliards d'euros mis sur la table cette année pour faire face à la crise sanitaire, le projet de loi de finances pour 2021 que présente lundi le gouvernement en Conseil des ministres sera centré sur le plan de relance de 100 milliards annoncé début septembre.L'objectif est de retrouver en 2022 le "niveau de richesse d'avant la crise", a assuré le Premier ministre Jean Castex, un objectif qu'il jugeait "ambitieux mais à notre portée".Sur les 100 milliards prévus sur deux ans, 10 milliards devraient avoir déjà été dépensés cette année, notamment pour le soutien à l'emploi des jeunes, et 30 milliards injectés dans l'économie l'an prochain.Au total, un gros tiers du plan servira à améliorer la compétitivité des entreprises et à favoriser la réindustrialisation du pays, notamment via une baisse de 10 milliards d'euros des impôts de production pesant sur les entreprises.Ce sera la principale mesure fiscale de ce budget, qui illustre l'axe stratégique choisi par le gouvernement: soutenir les entreprises afin qu'elles passent le cap de la crise et recommencent à embaucher après 800.000 suppressions d'emplois attendues cette année.Environ 30 milliards doivent permettre d'accélérer la transition écologique, via des aides à la rénovation des logements ou aux transports propres. Et enfin 35 milliards d'euros serviront à financer des mesures de solidarité et de soutien à l'emploi (formation, etc.).Grâce à ce plan, le gouvernement table sur un rebond du produit intérieur brut (PIB) de 8% l'année prochaine, après une contraction historique attendue à 10% cette année.Cette prévision pour l'an prochain a été qualifiée de "volontariste" par le Haut conseil des finances publiques (HCFP), dans un avis rendu lundi. Il a aussi souligné les "très fortes incertitudes" que fait peser l'épidémie de Covid-19 et appelle à la vigilance sur l'endettement du pays.La reprise de l'épidémie de Covid-19 depuis plusieurs semaines risque en effet de menacer l'ambition du gouvernement si aucun vaccin ne vient rassurer entreprises et ménages, dont la confiance pour investir et consommer est cruciale pour sortir de la crise économique.Peu d'économiesA côté de ce volet exceptionnel de dépenses, dont plus de 37 milliards d'euros seront toutefois financés par l'Union européenne, le gouvernement a décidé de maintenir plusieurs engagements pris avant la crise.Après un début de polémique, la baisse de la taxe d'habitation débutera bien l'an prochain pour les ménages les plus aisés. La réduction de l'impôt sur les sociétés est aussi maintenue.Les crédits promis aux ministères de la Défense, de l'Intérieur ou de l'Education sont également confirmés. Celui de la Justice va connaître une hausse importante de 8%, a annoncé M. Castex.Car si les finances publiques sont déjà mises à rude épreuve cette année, en particulier celles de la Sécurité sociale, avec un déficit public attendu à 10,2% du PIB, la priorité va à la reprise économique. Avec le blanc-seing de Bruxelles qui a suspendu les règles budgétaires européennes.Ainsi, avec l'objectif de ramener le déficit à 6,7%, peu d'économies sont à attendre: les effectifs de la fonction publique devraient ainsi être stabilisés, ou diminuer mais légèrement, a prévenu Bercy, après un amaigrissement déjà remis en cause après le mouvement des "gilets jaunes".Le gouvernement a assuré qu'il n'y aurait pas de hausse d'impôts, mais pour dégager quelques recettes supplémentaires, il a prévu de ponctionner l'organisme de financement du logement social Action logement à hauteur d'1,3 milliard d'euros, et les complémentaires santé vont payer une surtaxe Covid d'un milliard d'euros l'an prochain (puis 500 millions en 2022).Qu'en pense le bâtiment ? La FFB dans l'expectativeLe projet de loi de finances pour 2021 présenté ce matin confirme, dans les grandes lignes, les intentions contenues dans « France relance » pour ce qui concerne le bâtiment. Toutefois, de nombreux compléments et détails doivent encore intervenir par voie d'amendements gouvernementaux pendant les débats parlementaires ou sous forme de textes règlementaires à venir. La FFB restera vigilante à toutes tentatives d'amendements pénalisant notre secteur.Alors que l'impact de la Covid-19 commence à se transformer en repli durable sur les marchés du bâtiment et que la situation financière des entreprises du secteur se dégrade, la FFB regrette ce nouveau délai.« Il faut accélérer ! Les professionnels attendent depuis la fin du printemps des dispositifs de soutien au secteur et à l'emploi, qui font par ailleurs écho à un besoin réel sur les territoires. C'est notamment le cas pour le logement neuf, qui ne bénéficie d'aucune mesure puissante et d'impact immédiat dans le texte présenté, alors que la chute des permis et des ventes prend un tournant vertigineux. »-Olivier Salleron, Président de la FFB
Il y a 4 ans et 266 jours

RE2020 : "Il faut arrêter d'opposer toutes les énergies, toutes les solutions"

ÉNERGIE. Réunis pour l'édition 2020 de leur congrès, les professionnels de l'Association française du gaz ont appelé les pouvoirs publics à redonner sa juste place à l'énergie qu'ils représentent, tant dans le plan de relance que dans la politique de transition énergétique. Si la stratégie de développement de l'hydrogène est jugée prometteuse, les inquiétudes demeurent sur le rôle important joué par l'électricité dans la RE2020.
Il y a 4 ans et 266 jours

Le rapport Cattelot propose une réforme de la forêt saluée par la profession

Missionnée il y a un an, la députée du Nord Anne-Laure Cattelot a remis un rapport « salué par la filière bois », sur la forêt française. Elle a au préalable auditionné 6 ONG.
Il y a 4 ans et 266 jours

Le projet initial de restauration du Grand Palais abandonné

PATRIMOINE. Les impératifs budgétaires et de calendrier ont eu raison du projet initial de restauration du Grand Palais, qui prévoyait notamment de creuser sous la nef et de rendre accessible les toits du bâtiment parisien.
Il y a 4 ans et 266 jours

Pour 2021, le Gouvernement dévoile les crédits pour le logement et la rénovation

BUDGET 2021. L'exécutif présente ce 28 septembre le projet de loi de finances pour l'année prochaine, fortement marqué par le plan de relance.
Il y a 4 ans et 266 jours

Les mesures gouvernementales pour la rénovation énergétique des logements sont-elles efficaces ?

Un Français sur cinq se trouvant actuellement en situation de précarité énergétique, c'est à dire que plus de 10% du budget de son foyer est consacré à l'énergie, Emmanuelle Wargon, la ministre du logement a notamment détaillé une enveloppe de 20.000 euros par foyer pour une rénovation globale du logement (isolation des murs, des combles et planchers et installation d'une pompe à chaleur).Objectif : rénover 500.000 logements par an jusqu'en 2050 en commençant par supprimer les passoires thermiques occupées par des personnes aux revenus modestes à horizon 2025.En parallèle de ces annonces, une étude du ministère de la transition écologique fait état de 4,8 millions de « passoires thermiques » sur les 29 millions de résidences principales que compte l'Hexagone. Des chiffres préoccupants puisque 17 % des logements sont considérés comme très énergivores et seuls 6,6 % des logements sont classés A et B, c'est-à-dire le niveau bâtiment basse consommation (BBC) à atteindre pour tous les biens d'ici à 2050, tel qu'exigé par la loi de transition énergétique pour la croissance verte de 2015.Côté bâtiments publics, malgré les 4 milliards d'euros prévus, beaucoup de chemin reste aussi à parcourir. Une étude réalisée en 2018 par TEKSIAL-CODA Stratégies rapportait que la moyenne des objectifs de rénovation thermique pour les collectivités ne représentait que 0,3% de leur parc de logements.L'avis de professionnels concernés par ces mesuresRockwool fabricant de solutions d'isolation en laine de roche« De manière globale, ce plan de relance est une bonne chose qui va donner un élan positif à la rénovation énergétique des bâtiments à laquelle Rockwool participe activement. Nous observons qu’il reste un flou sur la période de validité de certaines aides proposées par l’Etat, mais ce plan présente toutefois des avancées importantes, notamment la revalorisation de MaPrimeRénov’ cumulable avec les certificats d’économies d’énergie et un focus sur les opérations très efficaces du point de vue rénovation énergétique.Attention toutefois au reste à charge pour les foyers modestes, si nous saluons l’effort sur le cumul des aides et l’enveloppe de 20.000 euros par foyer pour une rénovation globale du logement, cette somme pourrait s’avérer insuffisante au regard des travaux à réaliser.Avec 500.000 logements à rénover par an jusqu’en 2050 et les passoires thermiques à éradiquer à horizon 2025, le gouvernement s’est fixé un objectif compliqué mais atteignable et c’est là que la lisibilité des aides et des offres aura toute son importance. Aujourd’hui, les systèmes d’aides sont encore trop nombreux et trop complexes.Quelques conseils dans cette optique, pour les logements des particuliers, nous recommandons de privilégier d’abord la toiture ; la déperdition de chaleur se faisant essentiellement par les combles, aménagés ou perdus. Il est possible de réaliser ces travaux spécifiques de façon très rapide. Et côté grands bâtiments, l’isolation par l’extérieur reste la plus efficace pour supprimer les ponts thermiques. Mais pour des travaux durables et efficaces, il ne faudra pas raisonner uniquement « thermique » mais étudier l’impact acoustique, le confort d’été et surtout la sécurité incendie ! Il faut alors choisir des matériaux aux performances prouvées et certifiées par des organisme tiers. »-Matthieu Biens, directeur marketing et développement produits pour la France et l’Europe du Sud RockwoolTeksial solutions clefs en main pour la maîtrise de la consommation énergétique« Nous nous réjouissons de l’effort massif consenti en faveur de la rénovation thermique par l’Etat dans le cadre du Plan de relance. Le plan et les modalités d’exécution pour le mettre en œuvre seront déterminants. Il faudra veiller notamment à ce que le traitement administratif des dossiers des particuliers éligibles à MaPrimRénov’ puisse suivre le rythme des demandes. L’ensemble des acteurs devront également prendre les mesures nécessaires pour garantir une qualité et un suivi des travaux irréprochables, comme nous nous y engageons chez Teksial.Pour parvenir à cet effort collectif, il faut plus que jamais sensibiliser et accompagner les Français et notamment les foyers les plus modestes, dans la réalisation de leurs travaux de rénovation énergétique, c’est l’engagement de Teksial. A travers un accompagnement sur mesure comprenant la budgétisation du chantier, la constitution du dossier, le choix des artisans agréés via un réseau de professionnels de confiance, ainsi que la vérification de la conformité des travaux et ce à moindre coût, nous permettons aux Français une meilleure maîtrise de leur facture d’énergie et une meilleure lisibilité des aides.Nous considérons également que la réussite du plan de relance dépendra de la capacité de l’ensemble des acteurs à garantir la fiabilité des travaux réalisés et. Sans quoi l’accélération de la rénovation thermique des logements ne pourra progresser, alors qu’elle est une activité essentielle pour diminuer la consommation d’énergie et développer l’activité économique.En ce sens, nous saluons la décision des organismes de qualification d’augmenter dès à présent les audits de contrôles pour les travaux d’isolation ou de changement des chaudières réalisés par les professionnels du bâtiment qualifiés RGE. Le contrôle est primordial pour veiller à la fiabilité des travaux et nous croyons fermement que ces contrôles constituent un outil efficace.Chez Teksial, nous développons un partenariat renforcé avec nos artisans afin de les informer sur les dispositifs d’aide et de les former aux meilleures pratiques et nous nous engageons à des contrôles qualité systématiques des chantiers à travers des enquêtes de satisfaction auprès des clients. »-Jean-Baptiste Devalland, Directeur Général de TeksialSFCB : Syndicat Français des Chaudiéristes Biomasse« Comme toute la profession, je me félicite que les 9e et 10e déciles soient réintégrés dans le dispositif Ma Prime Renov'. Cependant, des interrogations demeurent sur les modalités d'attribution de ces aides. Une des possibilités, et celle que nous redoutons le plus, soit que ces ménages aient à réaliser un bouquet de travaux pour pouvoir en bénéficier. Cette condition rendrait les montages de dossier ingérables pour les consommateurs, qui pourraient se décourager face aux multiples parties prenantes qu'un tel dispositif implique.En parallèle, je continue d'alerter sur la gestion des dossiers par l'ANAH. Nous comprenons leur difficulté à traiter de multiples demandes en même temps. Nous savons que l'afflux constant de dossiers les oblige à recourir à des sous-traitants, parfois pas assez qualifiés, pour mener à bien les demandes de subventions. Face à cette situation, nous nous sentons démunis et frustrés, nous aimerions les aider si nous le pouvions. Malheureusement, la communication avec l'ANAH reste impossible aujourd'hui, malgré de multiples tentatives. Le discours du Gouvernement lui-même est en contradiction avec la situation que nous vivons. Emmanuelle Wargon ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique, chargée du Logement, nous indique qu'il n'y a pas de problèmes de traitement alors qu'au quotidien, nos clients installateurs font face à de nombreux dossiers bloqués ; qu'en est-il des 61.000 dossiers validés. De plus, la Ministre se félicite de voir 100.000 dossiers traités d'ici la fin de l'année mais l'objectif initial annoncé n'était-il pas deux fois plus élevé... ?Par ailleurs, notre filière reste ralentie par la délivrance de la certification Qualit'ENR qui doit être renouvelée par les professionnels chaque année. Nous constatons de plus en plus de retard parmi ces demandes. L'impact sur l'activité de nos installateurs est majeur, l'éligibilité des travaux aux dispositifs d'aide étant conditionnée à la qualification des professionnels.Nous sommes dans une situation à deux vitesses où notre filière est en pleine expansion et se porte bien mais où nous devons faire face à de multiples freins. »-Eric Trendel, Président du SFCB
Il y a 4 ans et 266 jours

Jusqu'à 90% des travaux de rénovation thermique des logements pourront être pris en charge selon Wargon

"Pour les foyers les plus modestes, l'aide peut aller jusqu'à 90% du devis, puis elle descend à 75%, 60% et à 40% pour les ménages les plus aisés", a précisé la ministre dans une interview au Journal du Dimanche.Mme Wargon a détaillé le fonctionnement de cette aide, estimée à deux milliards d'euros, qui pourra être demandée à partir du 1er janvier 2021 et qui concernera les devis signés après le 1er octobre 2020."La prime sera calculée en fonction des revenus, de la localisation du logement et du type de travaux", a-t-elle expliqué, indiquant qu'un simulateur pour connaître son montant sera présenté le 5 octobre. Elle sera versée "dès la phase des travaux".Un bonus jusqu'à 1.500 euros bénéficiera aux travaux qui permettent aux maisons individuelles de sortir du statut de "passoire thermique".Les travaux éligibles vont "du remplacement d'une vieille chaudière" aux "rénovations globales". En Île-de-France, passer à une chaudière à granulés pourra être soutenu à hauteur de 10.000 euros, a assuré la ministre.Les bailleurs et les copropriétés sont également éligibles à cette aide, qui selon Mme Wargon, créera "22.000 emplois sur deux ans".Le dispositif de certificats d'économie d'énergie (CEE), qui oblige les fournisseurs d'énergie à financer des actions d'économies d'énergie sous peine de pénalités, est maintenu mais les contrôles seront renforcés pour "éviter les dérives", selon la ministre.
Il y a 4 ans et 266 jours

En 2021, un budget de 1,7 milliard d'euros sera affecté à MaPrimeRénov

RÉNOVATION ENERGETIQUE. Le dispositif MaPrimeRénov sera accessible, à partir du 1er octobre, à tous les ménages. Le Gouvernement vient d'en dire plus sur la manière avec laquelle il affectera les crédits du plan de relance sur 2021 et 2022.
Il y a 4 ans et 266 jours

L’addition, s’il vous plaît !

Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine Pour apporter une nouvelle propriété, donner une nouvelle couleur, les additions sont nombreuses. [©Surchistes] Cendres volantes, fillers calcaires ou siliceux, fumées de silice, laitiers de hauts fourneaux, métakaolins, pigments et pouzzolanes… Autant de matériaux qui entrent dans la famille des additions pour béton et lui confèrent des propriétés particulières, en suivant la norme NF EN 206/CN. Point sur l’offre actuelle des industriels. Argéco : Pour tous types de matériaux cimentaires Le métakaolin flash d’Argéco participe à l’amélioration des performances mécaniques des bétons.[©Argéco] Argéco est une filiale du groupe Colas. Implanté à Fumel (47), l’industriel est spécialisé dans la calcination flash d’argiles, et dans la conception et la commercialisation de liants prêts à l’emploi. Le métakaolin flash d’Argéco participe à l’améliorer des performances mécaniques des bétons. Il peut ainsi s’utiliser pour la formulation de béton de types BHP, BTHP, Bfup.« Il permet aussi d’augmenter la longévité des bétons, de les rendre plus durables face aux agressions extérieures etde réduire leur bilan carbone, explique Pierre Drelon, responsable technico-commercial. En effet, nos métakaolins flash génèrent un bilan CO26 à 7 fois inférieur à celui du clinker. C’est-à-dire, 139 kg éqCO2/t produite, contre 870 kg éqCO2pour le CEM I, selon l’Ademe. C’est la seule addition réactive du marché à ne pas être un co-produit dépendant d’une industrie “mère”. » Le métakaolin s’utilise dans tous types de matériaux cimentaires. « Il est activé par la portlandite – chaux - libérée par l’hydratation du clinker. Donc, dès qu’il y a du ciment ou de la chaux, le métakaolin est efficace et renforce la structure via la création d’hydrates supplémentaires. » Si elle s’adapte à tous les domaines, aujourd’hui, cette addition est davantage mise en œuvre dans le domaine du BPE et du génie civil. Condensil : De la formulation à la pratique Chantier de Nouvelle Route du Littoral à La Réunion.[©ACPresse] Condensil commercialise de la fumée de silice sous différentes formes, qui est produite en France dans les usines de Ferropem. « Nous accompagnons nos clients sur les aspects techniques d’utilisation de la fumée de silice, explique Franck Besse, directeur de Condensil. De la formulation théorique à l’étude pratique, en partenariat avec le laboratoire Sigma Béton et sur les aspects logistiques avec SATM Transport. » Sur béton frais, ce matériau optimise la maniabilité, la consistance dans le temps. Ou encore la pompabilité sur de grandes distances. « Il permet aussi la réduction de la ségrégation, de la chaleur d’hydratation et de l’exsudation. Sur le béton à l’état durci, la fumée de silice améliore les résistances mécaniques. Mais aussi, la résistance aux attaques chimiques, aux sulfates et aux chlorures, à la corrosion des armatures, aux cycles gel-dégel, aux chocs et à l’abrasion. »Les additions de Condensil peuvent s’utiliser dans différents cas de figure. « Elles sont couramment utilisées dans les Bfup, BTHP et BHP. » La fumée de silice s’adapte aussi à la formulation des bétons projetés, aux bétons d’ouvrages d’art ou exposés à des agressions chimiques. « Son incorporation pour la valorisation de sédiments marins contaminés, comme vu récemment dans le cadre de l’aménagement de la plate-forme de Bessain-Huppain, offre des solutions innovantes et de nouveaux débouchés à cette addition. » GCP Applied Technologies : Toujours dans la tendance Chantier de logements situés à Massy (91).[©GCP Applied Technologies] L’esthétique des bétons est une thématique importante dans l’activité de GCP Applied Technologies. C’est tout naturellement que l’industriel propose des pigments. Si le choix de teintes est vaste, « La gamme standard évolue en fonction des demandes, explique Benoît Baulande, directeur commercial et technique. Elle est le reflet d’un nouvel état d’esprit général. »En effet, les pigments aussi se mettent au vert. Non en termes de couleur, mais dans la démarche écologique, environnementale et de bien-être dans la ville. « Les teintes claires, beige à l’image du Kaolor PF1930 ou ocre/jaune comme le Kaolor PP100 et PP121 font partie de nos best-sellers, alors qu’il y a 10 ans, nous étions sur des bases noires, grises et rouges. Il y a une vraie attente des architectes et des maîtres d’ouvrage autour de la minéralité, du local avec des couleurs de roches régionales. Et la volonté de créer des îlots de fraîcheur à base de Kaolor, contenant des pigments blancs comme le PP 900. »GCP Applied Technologies propose aussi des prémix composés de pigments purs et de métakaolins (gammes PF et PM).« Nous n’utilisons que des métakaolins très clairs, les plus blancs possible. Ils apportent durabilité et réduction des risques d’efflorescence du béton. La part peut aller de 25 à 90 %, selon la demande. »Enfin, il y a un an, GCP a mis à disposition des architectes l’application Pieri. Elle permet non seulement de choisir et de découvrir le nuancier de teintes de l’industriel, mais aussi, de photographier des pierres ou roches et de trouver la couleur disponible la plus proche. Mapei : Des teintes sur mesure Réalisation des zones de parking et de circulation des voiturettes et vélos au Center Parks du Bois aux daims, à Morton (86).[©ATB-Mapei] La spécialisation de Mapei oscille entre les matériaux de construction et la chimie. L’industriel propose une large gamme de produits pour le monde du béton. Optimisation de formules, adjuvantation… Autant de solutions accompagnant les producteurs de matériaux. Parmi ses différents produits, Mapei bénéficie d’une ligne de colorants pour le béton et son esthétique. Sous la marque Mapecolor Pigment, l’industriel propose près de dix teintes standards et une infinité de couleurs sur mesure. En effet, Mapei fournit à ses clients BPE ou préfabricants privilégiés un appui marketing personnalisé. Comme les nuanciers réalisés à partir de leurs matériaux (ciment, additions, granulats).Le conditionnement peut aussi se faire à la demande : big bag, sac papier ou sachet hydrosoluble. Les solutions Mapecolor Pigment peuvent être livrées, en conditionnement standard, entre 48 h et 72 h. D’ailleurs, dans le cadre de sa démarche de développement durable, Mapei s’est engagé dans le programme Fret 21, afin de réduire les émissions de CO2de ses activités de transport. Omya : 136 ans dans le calcaire Omya est spécialisé dans la production de charges calcaires micronisées.[©Omya] Depuis près de 136 ans, Omya est spécialisé dans la production de charges calcaires micronisées. Dans le domaine du béton, l’industriel a développé des additions calcaires sous les marques Betocarb et Betoflow D. « Ces matériaux permettent d’optimiser la compacité des bétons et mortiers. Et d’améliorer la résistance à la ségrégation des compositions, explique Pascal Gonnon, responsable des applications ciment, mortier et béton. Mais aussi, de formuler des liants équivalents, de participer au développement de la résistance mécanique des bétons et de réaliser des mélanges ternaires à faible empreinte carbone. » Les solutions d’Omya peuvent être utilisées pour faire plusieurs types de bétons. « L’évolution des calcaires micronisés industriels et de leurs applications est à corréler avec le développement des bétons innovants, tels que les bétons auto-plaçants depuis les années 2000. »Ces matériaux sont aussi adaptés aux bétons à hautes et à très hautes performances, ainsi qu’à l’impression 3D. « Ces innovations se réalisent dans l’industrie de la préfabrication, des bétons de chantier et prêts à l’emploi. »En ce moment, Omya planche avec l’Afnor sur la mise à jour de la norme NF 18-508 addition calcaire, datant de 1995. « Nous travaillons aussi sur un projet de norme européenne », conclut Pascal Gonnon. Pouzzolanes des Dômes : Léger et isolant Les caractéristiques intrinsèques de la pouzzolane (poreuse et légère) sont des atouts pour les bétons.[©Pouzzolanes des Dômes] La société Pouzzolanes des Dômes exploite et gère une carrière de pouzzolane, située au cœur du Parc régional des volcans d'Auvergne. L’industriel produit près de 120 000 t/an de matériaux utilisés dans de nombreuses applications dont les bétons spéciaux et techniques. Les caractéristiques intrinsèques de la roche (poreuse et légère) sont des atouts pour les bétons. « La pouzzolane apporte de la légèreté et des propriétés isolantes », explique Sébastien Masclet, directeur. La granulométrie choisie est importante dans la confection des bétons réalisés. « Il faut veiller à conserver les bulles d’air naturelles de la roche si l’on veut garantir le caractère isolant. » Ici, les marchés touchés sont à la fois la rénovation et la réhabilitation de bâtiments anciens, pour le côté “béton léger”. Mais aussi, la construction neuve et la maison individuelle pour les “blocs isolants”. L’addition de pouzzolane dans la formulation permet aussi une bonne résistance au gel et aux acides faibles. Côté environnement, la société s’est engagée dans différentes démarches (charte environnement de l’Unicem, “Marque Parc”, relation privilégiée avec le Comité environnemental de l’Impluvium des eaux de Volvic et intervention d’un botaniste sur le site), afin de s’inscrire dans une politique de développement durable en lien avec les enjeux du territoire. Sibelco : Une gamme de plus en plus éco-responsable Le site de Sibelco, en Belgique, dispose désormais d’éoliennes pour ses besoins énergétiques.[©Sibelco] Avec ses 130 sites et ses 5 500 collaborateurs partout dans le monde, le Belge Sibelco est un acteur majeur du traitement des minéraux. Dans la catégorie “additions pour béton”, l’industriel propose différentes formes de sable de silice. « Pour le béton prêt à l’emploi sur chantier ou préfabriqué, nous nous adaptons à la demande, explique Quentin Schotte, responsable marketing construction et fonderie. La granulométrie diffère. Nous avons plusieurs qualités et teintes de sables, qui permettent de jouer sur l’esthétique et de diminuer la part de ciment dans le béton. Et ainsi, de réduire son impact environnemental. »Cette dernière notion est importante pour Sibelco, qui compte bien l’incorporer dans son offre et sa production. « La question de la préservation des matières premières et celle touchant aux émissions de carbone concernent tous les domaines de la construction. Nous travaillons de plus en plus sur des gammes de fillers, de produits pouzzolaniques ou de granulats issus du recyclage. Mais aussi, sur notre façon de produire. Sur notre site en Belgique, nous avons fait implanter des éoliennes pour nos besoins énergétiques et nous mettons en place des parcs de panneaux photovoltaïques flottants sur des lacs de carrières en fin de vie en France et en Belgique. » Sika : Le règne des pigments Sika propose plusieurs gammes et teintes de pigments pour béton.[©Sika] Sika dispose de plusieurs gammes de pigments pour béton. La ligne Sika ColorCrete se présente sous la forme de granulés. Et ce, pour un écoulement fluide, sans dégagement de poussière. Elle est particulièrement adaptée aux bétons architectoniques, à la préfabrication légère, à l’image des pavés, tuiles ou encore bordures… et à la préfabrication lourde. Si Sika propose un large choix de teintes, la version Sika Colocrete Mix permet un service sur mesure.De son côté, le SikaCem Color est un colorant en poudre constitué d’oxydes minéraux. Il convient aux matériaux à base de ciment, de chaux ou de plâtre. La solution de l’industriel suisse se met en œuvre pour la coloration dans la masse des bétons et des mortiers à base de ciment : chapes, jointements, dalles béton ou bétons esthétiques. Le SikaCem Color bénéficie d’une bonne tenue aux UV et n’impacte pas le temps de prise. Il existe en différentes couleurs, telles que le jaune, l’ocre, le bleu, le noir, le rouge ou encore le vert. Et d’autres… Ce “tableau” du marché des additions n’est pas exhaustif. Il existe de nombreux acteurs dans le domaine, à l’image d’Additives, Chryso, Ecocem, Eurotex, Huntsman, Lanxess ou encore Surschiste… Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 266 jours

Budget 2021 : les mesures du projet de loi de finances pour le BTP

Le projet de budget du gouvernement pour 2021, centré sur le plan de relance de 100 milliards d'euros, et qui prévoit une croissance de 8% l'an prochain, après une récession de 10% attendue cette année, fait la part belle à la rénovation énergétique.
Il y a 4 ans et 266 jours

En quoi le nouveau Diagnostic de Performance Énergétique est-il inédit ?

Fruit des accords de Kyoto et de la retranscription dans les lois françaises des engagements européens, le Diagnostic de Performance Énergétique (D.P.E.) existe depuis 2007. Au-delà des défaillances très médiatisées qui ont jalonné son existence, le D.P.E. demeure l'un des diagnostics les plus réalisés dans l'immobilier. Aujourd'hui près de 10 millions de D.P.E. ont été enregistrés auprès de l'Ademe en 7 ans. Ce diagnostic joue aujourd'hui un rôle informatif auprès des locataires et des acquéreurs, mais très bientôt, cela va changer en allant vers un durcissement très significatif du D.P.E.Premier serrage de vis : à compter du 1er juillet 2021 (et non comme c’était prévu initialement le 1er janvier 2020, Covid oblige !), le D.P.E. deviendra juridiquement opposable en application de la loi dite ELAN du 23 novembre 2018 portant sur l’évolution du logement, de l'aménagement et du numérique, visant à réformer en profondeur le droit immobilier. Concrètement, à partir de cette date, le locataire ou le nouvel acquéreur d’un bien pourra se retourner contre le diagnostiqueur en cas d’écart significatif entre les performances constatées à l’usage et les évaluations du D.P.E. fourni lors de l'achat ou de la location d'un bien.Autre tour de vis, le gel d’augmentation du loyer d'un logement qui serait une « passoire énergétique » étiquetée F ou G ; déjà initié dans les zones tendues avec le décret n° 2019-802 du 26 juillet 2019 relatif à l'évolution de certains loyers dans le cadre d'une nouvelle location ou d'un renouvellement de bail.Principaux resserrages conséquents à venir, enfin, ceux instaurés par la Loi énergie-climat du 8 novembre 2019, qui renforceront progressivement les contraintes auprès des propriétaires, des bailleurs ou des acquéreurs de biens étiquetés F ou G. Ces exigences renforcées iront crescendo jusqu'en 2028, avec l'obligation de travaux consécutifs à l'achat d'un bien consommant plus de 331 kWh EP/m².an : un article contraignant de juri les acquéreurs ou propriétaires à rénover les biens les plus énergivores.Une étape nécessaire mais encore très éloignée de la généralisation voulue des Bâtiments Basse Consommation (BBC) à l'horizon 2050(80kWh/m².an en rénovation) pour les bâtiment neufs comme pour les bâtiments anciens. Pour rappel, les logements neufs contribuent à un renouvellement moyen du parc immobilier de 1%/an…Au départ incitatif mais peu écouté, le D.P.E devient un dispositif au centre d'obligations conséquentesRendue nécessaire par le poids pris par ce diagnostic, la réforme du D.P.E permettra de le crédibiliser encore plus. Sa méthode de calcul sera désormais unique et transposable pour tous les types de bâtiments de logement, quel que soit leur âge ; plus question notamment de calcul à partir des factures d'énergie qui permettaient pour un même bien d'aboutir à deux classes énergétiques éloignées selon que ce bien était habité par une personne seule ou par une famille de 6 personnes.La prise en compte des matériaux du bâti, de l'exposition de l'immeuble, des ponts thermiques, etc. font partie des éléments majeurs du D.P.E. depuis sa principale évolution de 2013. Demain, la détermination des parois anciennes exigera des connaissances et une attention plus poussées du diagnostiqueur. L'ajout des consommations d'auxiliaires et d'éclairage, transparent quant à lui, améliorera la compréhension et la qualité de l'information sur le bien, avec une prise en compte des mêmes usages que ceux de la réglementation thermique des constructions neuves ou existantes. Enfin, quelques simplifications vont concerner les masques solaires ainsi que les locaux non chauffés. Pouvant sembler anecdotique, une clarification bienvenue voit le jour quant aux vérandas. Ainsi une véranda chauffée sera désormais incluse dans la surface habitable prise en compte pour le calcul de l'étiquette énergie du D.P.E. et les apports solaires d'une véranda, même non chauffée, seront valorisés.Permettant de recueillir des données plus précises sur le bien, notamment ancien, le nouveau D.P.E. au propriétaire du bien de gagner en lisibilité, en clarté et en utilité. La présentation et l'organisation des informations les rendent plus transparentes : outre une fourchette tarifaire de la consommation rigoureuse, d'autres critères qualitatifs globaux font leur apparition tels que le niveau d'isolation générale, la qualité de la ventilation et le confort d'été… Il y a d'ailleurs fort à parier que la prochaine canicule valorisera encore plus ce dernier critère. Ces éléments permettant une connaissance plus approfondie d'un bien doivent nourrir les échanges sur la consommation énergétique et le confort entre les acteurs de l'immobilier (propriétaires, bailleurs, locataires, acquéreurs, agents immobiliers, notaires…). Elles doivent ainsi encourager la prise en considération des enjeux énergétiques et climatiques dans la valorisation du bien.Une dernière intention louable et souhaitable du point de vue de la transition énergétique. Mais dans bien des métropoles où pourtant les défis climatiques et environnementaux sont plus que jamais d'actualité, rien n'est moins sûr. La flambée continue des prix de l'immobilier et la rareté des biens disponibles rendent les négociations de prix impossibles ou seulement à la marge. Loin d'apaiser le marché immobilier, la crise sanitaire actuelle pourrait au contraire renforcer le rôle de valeur-refuge qu'est la pierre. Toutefois, et dans l'hypothèse d'un exode urbain vers le péri-urbain, l'étiquette énergétique jouera un critère d'attraction prévalent sur un marché soumis à moins de pression.
Il y a 4 ans et 266 jours

StoArmat Classic HD, sous-enduit d'ITE bi-composant innovant pour augmenter la productivité en hiver

C'est chose faite avec l'arrivée du nouveau StoArmat Classic HD dans la famille des sous-enduits organiques StoArmat Classic. Unique sur le marché, ce produit bi-composant permet de raccourcir le temps de séchage à cœur pour pouvoir appliquer plus vite la finition et ainsi réduire le temps d'exécution des travaux.La technologie HybridDrying (HD) pour un temps de séchage le plus court du marchéInnovation signée Sto, unique sur le marché, le nouveau sous-enduit organique StoArmat Classic HD intègre la technologie HybridDrying (HD) qui accélère le temps de prise et de séchage à coeur, même par temps humide et froid. La finition peut ensuite être appliquée après environ 2 jours (contre 5 jours en temps normal).StoArmat Classic HD est une solution constituée de 2 composants : un seau contenant le sous-enduit StoArmat Classic HD et un berlingot d'additif StoAdditiv HD dans le couvercle. Pour lancer le procédé chimique qui active le processus de séchage, il suffit d'incorporer l'additif au seau. Et le tour est joué !StoArmat Classic HD s'utilise de manière optimale lorsque les températures sont situées entre +1 et +10° C et résiste aux gelées nocturnes jusqu'à -5° C.Une saison hivernale plus productiveAvec StoArmat Classic HD, Sto minimise les obstacles de l'automne et de l'hiver et pose un nouveau jalon dans la mise en œuvre de systèmes ITE durant les périodes froides et humides.Cette indépendance vis à vis des conditions météorologiques facilite l'établissement des plannings de chantier et prolonge le temps consacré aux projets. La possibilité de commencer la saison plus tôt dans l'année et de la finir plus tard permet aux applicateurs de maximiser le nombre de chantiers à traiter dans l'année et de minimiser la perte de chiffre d'affaires en période hivernale.« Le principal frein pendant la période hivernale, c'est la productivité. Les produits hiver de Sto nous permettent de continuer à travailler même dans des conditions météo plus extrêmes et d'augmenter notre nombre de chantiers annuel […]. Avec StoArmat Classic HD, nous sommes rassurés car on voit que le produit sèche vraiment à cœur par tout temps », témoigne Xavier Deschamps, conducteur de travaux chez Moyse 3D, qui a pu tester en avant-première le nouveau produit.Après la colle pour polystyrène Sto-TurboFix Mini, la peinture de façade StoColor Dryonic applicable à l'Airless et la cheville StoFix Iso-Dart pour fixer sur ITE les colliers de gouttières, StoArmat Classic HD est le 4ème produit lancé par Sto dans le cadre de sa campagne de productivité pour soutenir et accompagner les professionnels de la façade dans la reprise de leur activité après la crise sanitaire du Covid-19.
Il y a 4 ans et 266 jours

Livraison des travaux pilotés sur l'aéroport de Toulouse Francazal

Avec le chantier de rénovation de la chaussée aéronautique de l'aéroport de Tarbes actuellement mené, Spie batignolles malet signe ici sa deuxième collaboration avec Edéis, et complète son expertise en chaussées aéronautiques.Mutation profonde d'un site originellement bâti pour l'arméeLes équipes de deux agences de Spie batignolles malet sont intervenues sur la transformation d'un site historique, s'agissant de la première plateforme aérienne de l'armée en France. A sa création en 1934, les activités militaires étaient alors seules autorisées sur l'aéroport Francazal-Toulouse.Au fil du temps, en complément de sa vocation initiale, l'aéroport voit son périmètre évoluer pour étendre son offre d'exploitation, ouvrant notamment son accès à l'aviation d'affaires, à l'accueil d'autres formes de transport en développement, et aux entreprises aéro-industrielles,C'est dans cette perspective qu'Edéis a lancé un vaste programme de réfection des voies existantes et de développement de nouvelles infrastructures, pour un montant de 7 millions d'euros.Edéis a confié ce nouveau marché de travaux à Spie batignolles malet, témoignant de sa confiance renouvelée.Le chantier de l'aéroport de Toulouse-Francazal a été mené sur 5 zones distinctes, incluant les réfections suivantes :la piste principale, nécessitant deux semaines pleines de travaux menés au cours de l'été dernier. Pour ce faire, les équipes de Spie batignolles malet ont employé 4 finishers de front (30 m de large) dont 2 grandes tables.le taxiwayles zones de circulation proches des hangarsles 40 000 m linéaires de joints et dalles béton avec la création d'ancragesl'ancienne zone ravitaillementAu total, les équipes ont mis en œuvre 40 000 tonnes d'enrobés de différentes compositions (BBA[1], BBME[2], BBSG[3] et Grave Bitume), en intervenant sur un périmètre de 161 000 m². Excepté pour les travaux réalisés sur la piste principale, Toutes les tâches ont été menées dans un site resté en activité.Ces travaux, démarrés le 20 janvier 2020, devaient durer 7 mois. Après la fermeture du chantier au cours de la période de confinement, la livraison a été décalée à septembre 2020.[1] Béton Bitumineux pour chaussées Aéronautiques[2] Béton Bitumineux à Module Elevé[3] Béton Bitumineux Semi Grenu
Il y a 4 ans et 266 jours

Neoen annonce un bénéfice net en hausse de 32% malgré le Covid-19

Le chiffre d'affaires de l'entreprise, qui a rejoint au printemps l'indice boursier SBF 120 moins de deux après sa première cotation, a atteint 157 millions d'euros (+33%) grâce à de nouveaux parcs et à une forte progression de l'activité de stockage."Cette performance témoigne du profil de croissance de notre groupe alimenté par le développement continu de notre portefeuille de projets. Au premier semestre, le nombre d'actifs en opération ou en construction a encore progressé de 600 mégawatts (MW) pour atteindre 3,6 gigawatts (GW). Nous avons aussi sécurisé au cours de cette période de nouveaux projets éoliens, solaires et de stockage en France, en Australie ainsi qu'en Finlande", a commenté le PDG de Neoen Xavier Barbaro, cité dans le communiqué.Depuis le 30 juin le groupe indique par ailleurs avoir remporté des appels d'offres gouvernementaux pour trois projets solaires en Irlande d'une puissance totale de 55 mégawatts et un projet éolien de 100 mégawatts en Australie.L'entreprise affine pour 2020 son objectif d'Ebitda (excédent brut d'exploitation) qui sera compris entre 270 et 285 millions d'euros, avec une marge supérieure à 85%. Elle tablait jusqu'ici sur une fourchette comprise entre 270 et 300 millions d'euros pour une marge supérieure à 80%.
Il y a 4 ans et 266 jours

Energies renouvelables: soutien accru de 25% dans le projet de loi de finances 2021

Le soutien aux énergies renouvelables sera accru de près de 25% dans le projet de loi de finances pour 2021, et dépassera les 6 milliards d'euros, a annoncé jeudi le ministère de la Transition écologique.
Il y a 4 ans et 266 jours

Carburants alternatifs : Les toupies jouent la carte du futur

Retrouvez l’article dans le Béton[s] le Magazine n° 90. Pour connaître l’ensemble des surcoûts liés à l’exploitation des toupies à carburants alternatifs, Unibéton et Tratel testent des toupies à gaz Scania/Liebherr, à Bordeaux (33). [©Alban-Gilbert/HeidelbergCement] Les dernières élections municipales ont porté au pouvoir des maires issus des rangs d’Europe Ecologie Les Verts ou de formations politiques associées. A Bordeaux, Grenoble, Lyon, Marseille ou dans de nombreuses villes plus petites, les idées écologiques font de plus en plus leur apparition. Et même si le gouvernement garde la main sur la direction générale du pays, au niveau local, les maires peuvent influer sur des secteurs spécifiques. En premier lieu, les transports. L’idée générale, validée par le vote des citoyens, est de viser à l’établissement de villes plus vertes, avec notamment des centres urbains sans circulation ou avec des accès sélectionnés. Sur le modèle des zones à faible émission (ZFE) [lire encadré], déjà établies à Paris, Grenoble, Lyon ou Strasbourg. Si, pour le moment, aucune de ces municipalités n’a annoncé de nouvelles restrictions de circulation, ce choix des citoyens est un rappel au secteur des transports : le futur sera vert ou ne sera pas ! Ce constat touche entre autres les toupies, spécialistes des transports urbains. Si les industriels travaillent depuis de nombreuses années sur le sujet des toupies à carburants alternatifs, les élections sont venues remémorer à tous qu’il est temps d’accélérer le mouvement. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 266 jours

Louis Natter devient le nouveau Président de l'association UNICEM entreprises engagées

Géographe de formation, Louis Natter débute sa carrière au sein de la fédération UNICEM en 2003, où il exerce plusieurs missions dans les domaines de l'environnement et du développement durable. En 2013, il rejoint le Groupe CEMEX. Il participe à différents projets de l'entreprise en matière de développement, d'innovation, de marketing, de RSE et d'affaires publiques, avant d'être nommé début 2020 directeur du développement durable et des affaires publiques pour les activités de CEMEX en France.Une association pour piloter l'environnement et la RSE« UNICEM entreprises engagées » est l'association créée en 2017 par l'UNICEM (Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction) pour piloter les démarches Charte environnement et Charte RSE. Ses objectifs principaux : encourager les entreprises à intégrer le développement durable au sein de leurs activités grâce à des référentiels pragmatiques et solides et les accompagner dans cette démarche.Les moyens mis en œuvre par l'association pour atteindre ces objectifs, sous la présidence dynamique de Sylvie Lebreton, lui ont valu d'être sélectionnée pour participer à l'expérimentation nationale sur les labels RSE sectoriels, en 2018. On compte aujourd'hui 273 entreprises et 682 sites industriels engagés à la Charte Environnement. 85 entreprises et 810 sites industriels sont engagés à la Charte RSE, créée en 2017, qui entend faciliter et favoriser l'intégration de la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) dans la stratégie et les pratiques des acteurs de la filière. Une évolution progressive et constante, depuis 2017, à l'origine de progrès considérables au sein de la profession.Louis Natter souhaite poursuivre la dynamique impulsée sous la présidence de Sylvie Lebreton et continuer à faire grandir l'association, en y intégrant davantage de TPE / PME. La reconnaissance des démarches de l'association, auprès de tous les acteurs, lui tient particulièrement à cœur :« Il est indispensable de faire rayonner les actions de l'association auprès de ces différents interlocuteurs : les salariés des entreprises, les clients qui demandent et demanderont de plus en plus de preuves des engagements responsables, les pouvoirs publics qui devront compter sur les actions des entreprises du secteur pour atteindre leurs objectifs en matière environnemental et sociétal et les associations de protection de la nature qui évalueront les adhérents et qui auront besoin de preuves de leurs engagements ».« De nombreux outils se développent dans le monde de l'évaluation RSE (clients, banques, assurances…) car chacun a besoin de solidifier son organisation et de réduire les risques en maîtrisant parfaitement sa performance environnementale et/ou RSE. Avec notre démarche sectorielle RSE, nous disposons déjà des moyens nécessaires pour maîtriser nos risques. Il est désormais nécessaire d'établir des passerelles entre les démarches d'évaluation des uns et des autres, pour plus de lisibilité et de reconnaissance. Le label sectoriel RSE et la gestion de ce label est un chantier important qui répondra à ce besoin »-Louis Natter, nouveau Président de l'association UNICEM entreprises engagées
Il y a 4 ans et 266 jours

Les Coulisses du Bâtiment… en duplex

Les Coulisses du Bâtiment permettent aux jeunes de découvrir la face cachée d’un chantier ou d’un atelier et tous les secrets de fabrication – ou de rénovation – d’un bâtiment. Chantiers de toutes tailles, maison individuelle, immeubles de bureaux, monuments historiques… La 18è édition se déroulera les 8 et 9 octobre. Face aux risques liés à la situation sanitaire, une solution alternative et innovante est proposée aux établissements scolaires : une visite de chantiers en direct sur Youtube (https://youtu.be/lJphOO3B0po). Un direct en duplex aura lieu le jeudi 8 octobre de 9h à 10h et sera ensuite en replay jusqu’au 16 octobre. Ainsi, si les jeunes ne peuvent pas venir aux Coulisses du Bâtiment, les Coulisses du Bâtiment iront à eux. Quelques chantiers seront toutefois ouverts sur le territoire. Les visites se feront dans le respect des prescriptions sanitaires.
Il y a 4 ans et 266 jours

Les fabricants de peintures adhèrent à l’Association Chimie Du Végétal

Le recours à des matières premières d’origine végétale est aujourd’hui devenu une thématique de développement stratégique pour nombre d’industriels, au premier rang desquels les fabricants de peintures et revêtements. L’Association Chimie Du Végétal (ACDV) qui soutient les industriels qui conçoivent, fabriquent ou utilisent des matériaux et produits biosourcés accueille en cette rentrée un nouvel adhérent : l’UNIFAP (Union de fabricants de peintures et de vernis). Cette Union d’industriels indépendants propose à ses membres, tous PME familiales, une mutualisation de moyens et la mise à disposition d’expertises pour accélérer leurs innovations et gagner des parts de marché. « Le biosourcé est un axe de recherche et de développement très important pour les fabricants de peinture de notre groupement. Et l’UNIFAP est à la fois un support de veille technique et réglementaire et un support à l’innovation pour ses fabricants associés. C’est pour cela qu’il nous parait évident et essentiel d’adhérer à l’Association Chimie du Végétal, association référente de la filière du biosourcé », explique Pauline Chauvin, présidente de l’UNIFAP.
Il y a 4 ans et 266 jours

Une écocrèche dans le Nord, par l'architecte Amélie Fontaine

De tous les programmes, la maison demeure le plus essentiel et le plus personnel. En présentant un kaléidoscope de 400 réalisations d’exception de l’ère moderne, du début du XXe siècle à nos jours, cet ouvrage révèle la diversité et la richesse de la création architecturale en matière d’habitat. P […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 267 jours

Vienne : Du “sur mesure” pour un centre aquatique

Retrouvez l’article dans le Béton[s] le Magazine n° 90. ABP est un spécialiste de la préfabrication sur mesure. [©ABP] En 2003, ABP (Art du béton préfabriqué) s’est installé sur la technopole du Futuroscope pour produire des éléments préfabriqués sur mesure. « Notre usine compte quinze salariés répartis entre l’atelier de production béton et l’atelier de menuiserie, qui réalise les coffrages, indique Audrey Rousselle, technico-commerciale de la marque. Sur demande, nous réalisons des éléments pour les entreprises de gros œuvre, comme les longrines, poutres, poteaux, voiles, balcons et corniches… Nous réalisons aussi des éléments spécifiques pour les entreprises de TP et de génie civil, dalles et corniches de pont par exemple. Et de plus, nous fournissons les entreprises paysagistes pour du mobilier urbain sur mesure. Nous proposons de nombreuses finitions : béton gris, blanc, sablé ou balayé. Nous fabriquons des éléments en béton déco-gravé ou matricé. Pas de standard, pas de produits catalogue, du sur mesure uniquement ! Nous livrons sur les zones de Poitiers, Tours et tout le Grand Ouest. Mais aussi en région parisienne, parfois au-delà… » Ce savoir-faire a été mis à contribution sur le chantier “Balsanéo”, un centre aquatique en construction à Châteauroux. C’est un complexe qui proposera une halle sportive, une halle ludique et un espace de balnéothérapie. Le tout dans un cadre architectural tout en courbes. « Nous avons d’abord fourni les longrines, qui constituent la base du bâtiment. Sont venues ensuite des poutres rampantes et cintrées à diamètres variables. Par ailleurs, nous avons produit bancs, gradins et marches. Ainsi que des voiles “Œil de bœuf” courbes, destinés à laisser passer la lumière entre les bassins, tout en allongeant les perspectives », conclut Audrey Rousselle. Retrouvez l’article dans le Béton[s] le Magazine n° 90.
Il y a 4 ans et 267 jours

Drôme : Le groupe Cheval poursuit sa croissance externe

Retrouvez l’article dans le Béton[s] le Magazine n° 90. Les équipes de direction du groupe Cheval, de Sodetec et de Migma. [©Groupe Cheval] Le groupe Cheval poursuit sa stratégie débutée il y a 20 ans, en diversifiant ses activités par de la croissance externe. Ainsi, le 1er juillet dernier, le groupe a fait l’acquisition de Migma, puis le 30 du même mois, celle de Sodetec. Les fondateurs de ces deux entreprises – Fabienne Airal et Eric Blanchard pour Migma, et Jean-François Merlier pour Sodetec – continueront d’en assurer la direction. Pour Jean-Pierre Cheval, président du groupe éponyme, « les valeurs que nous partageons, l’esprit familial de nos entreprises, nos engagements communs pour l’environnement et notre détermination à proposer des aménagements et solutions durables à nos clients sont autant de raisons qui nous ont conduits à vouloir travailler ensemble ». Ainsi, Migma est une entreprise experte dans la mise en œuvre de bétons décoratifs et d’environnement. La société compte 100 collaborateurs et affiche un chiffre d’affaires 2019 de 15 M€. S’appuyant sur trois agences à Loriol (26), à Lunel (34) et à Saint-Priest (69), ainsi que sur l’entité Mineral System au Pertuis (84). Depuis 2000, Migma a développé ses solutions pour des clients privés et les collectivités, notamment en multipliant les différentes finitions de béton. Pour sa part, Sodetec est une entreprise spécialisée dans la déconstruction et la démolition, créée en 2001. Les 33 collaborateurs interviennent surtout en Rhône-Alpes, dans la requalification de friche industrielle, dans la déconstruction d’intérieur, ou la démolition en site occupé.  Retrouvez l’article dans le Béton[s] le Magazine n° 90.
Il y a 4 ans et 267 jours

Seine-Maritime : Réussite pour une première centrale

Retrouvez l’article dans le Béton[s] le Magazine n° 90. Mallet TP a fait le choix d’Imer pour sa première centrale à béton. [©Mallet TP] Déjà bien implantée dans le domaine des travaux publics, l’entreprise Mallet TP, installée à Bellencombre, s’est lancée dans la production de béton prêt à l’emploi (BPE). Pour cela, elle a fait l’acquisition, auprès d’Imer, d’une centrale à rayon de type Multis. « D’un point de vue capacité et budget, c’est l’outil qui nous paraissait le mieux dimensionné, explique Sébastien Mallet, gérant de Mallet TP. Comme c’est une première incursion pour nous sur ce secteur, nous avons aussi vérifié qu’il s’agissait d’un outil ayant une bonne valeur sur le marché de l’occasion. »En complément, deux toupies ont rejoint le parc d’engins : une Imer et un achat d’occasion.  Et pour un premier essai, la transformation semble déjà réussie. « Au départ, l’idée était surtout de remplir les besoins de l’entreprise en béton. Cela nous permettait de sécuriser et de faciliter notre accès au BPE. Je voulais faire quelques ventes aux particuliers en complément. Installée en juin, nous avons dépassé la barre des 1 000 m3 de production durant l’été. Ce qui est bien au-delà de mes espérances. »Sans objectifs chiffrés définis, le gérant ne se privera pas, malgré tout et si besoin, de réadapter ses infrastructures en fonction de la demande. En plus de cette nouvelle activité béton, Mallet TP produit des blocs de séparation empilables, sous la forme de Legos. « Nous avons investi dans des moules, qui nous permettent de produire ces blocs pour des zones de stockage ou des retenues. Nous testons aussi la possibilité de faire du béton désactivé sur une face, pour en faire des murs de soutènement », conclut Sébastien Mallet.  Retrouvez l’article dans le Béton[s] le Magazine n° 90.
Il y a 4 ans et 268 jours

Dominique Perrault lauréat du masterplan de « Hangang District » en Chine

Dominique Perrault est désigné lauréat du concours international sur invitation pour la conception du plan directeur de « Hangang District » dans la ville de Handan en Chine. Lancé en janvier 2020, le concours « The third Hebei International Urban Planning and Design Competition » avait été confié à six équipes d’architectes de renom : Dominique Perrault Architecte, Coop Himmelb(l)au, UNStudio, CHENG Taining Studio (CCTN Architectural Design), WANG Jianguo Studio et ZHUANG Weimin...
Il y a 4 ans et 268 jours

Aspect légal des travaux de ravalement de façade

Le ravalement de façade consiste à nettoyer, à traiter et à entretenir les murs extérieurs de la maison. Il s’agit d’une obligation légale qui s’impose à tout propriétaire d’une maison ou d’un immeuble. En effet, le code de la construction et de l’habitation prévoit que les façades de maison doivent être maintenues en bon état de propreté. Les travaux peuvent être assez vastes et complexes. Vous pouvez alors faire appel à un ravaleur professionnel pour plus de sécurité. D’ailleurs, cette activité est très règlementée par la loi. Le professionnel agira dans le respect des normes en vigueur. La définition légale des façades Les façades sont définies comme les murs extérieurs de la maison, c’est-à-dire, ceux qui sont visibles depuis la rue ou la cour. Mais elles concernent aussi les murs aveugles et les pignons. Mais, la définition plus large de la façade permet d’englober les différents ouvrages de protection dans la notion. On peut citer les volets, les menuiseries, les corniches, les zingueries et les garde-corps. Ainsi, les façades ainsi que ses accessoires doivent être bien entretenus pour assurer la sécurité des habitants de la maison et des passants. La période idéale pour ravaler la façade de la maison Étant donné qu’il s’agit d’une tâche très technique et qui nécessite beaucoup de temps, il est conseillé d’entretenir régulièrement la façade. De cette manière, les travaux ne s’accumulent pas trop et vous économisez à la fois de temps et d’argent. Ainsi, dès que vous détectez des moindres problèmes, traitez-les dans les meilleurs délais avant que leur état ne s’empire. En tout cas, le ravalement de façades anciennes est obligatoire tous les dix ans. Pour effectuer ces travaux dans les normes, il est préférable de faire appel à un professionnel expérimenté comme ce ravaleur qui se trouve sur https://www.ravalement-maconnerie-33.fr/. Cette obligation s’applique dans toutes les communes visées par un arrêté préfectoral et à Paris. Néanmoins, la règle peut varier suivant la localité et certaines communes peuvent imposer d’autres règlementations spécifiques. C’est pourquoi il serait plus judicieux de vous rendre auprès de votre mairie afin de demander plus de renseignements. L’initiative du ravalement de façade Il est de principe que la décision de procéder au ravalement de façade appartient librement au propriétaire de la maison. Si vous êtes locataire, vous pouvez demander à votre bailleur d’entreprendre les travaux. Pour le cas d’un immeuble en copropriété, les travaux sont à l’initiative du syndic après une assemblée générale de tous les copropriétaires. Cependant, lorsque les façades de la maison présentent un danger public (risque de chute de matériaux ou d’effondrement du bâtiment à cause des fissures), ou portent atteinte au cadre de vie et à l’environnement urbain (façades en très mauvais état, tâches de pollution …), la mairie peut imposer au propriétaire de la maison de procéder au ravalement de façades. Pour ce faire, le maire lui envoie une injonction par lettre recommandée avec accusé de réception. En cas de copropriété, la lettre est adressée au Syndic à charge pour lui d’informer les copropriétaires. Les travaux de ravalement de façade doivent être effectués dans les six mois de la notification de la lettre d’injonction. Si le propriétaire ne les exécute pas, le maire prend un arrêté avec une sommation à réaliser les travaux tout en fixant un nouveau délai. En cas d’inexécution, l’exécution d’office des travaux sur autorisation du Président du Tribunal peut être ordonnée par le maire. Dans ce cas, la mairie prendra en charge les frais puis se retournera vers le propriétaire pour obtenir le remboursement.
Il y a 4 ans et 268 jours

Jura : Le béton décoratif comme une évidence

Retrouvez l’article dans le Béton[s] le Magazine n° 90. Evidence Béton est un spécialiste des bétons décoratifs, en intérieur comme en extérieur. [©Evidence Béton] Basé à Nozeroy, Evidence Béton est un spécialiste des bétons décoratifs. En intérieur, comme en extérieur. Sur les murs comme sur les sols. « Nous sommes capables de faire des bétons curés, polis, imprimés, drainants, drainants végétaux. Ainsi que des parements. Le tout sur mesure, souligne Laurent Lestienne, gérant d’Evidence Béton. Nous proposons nos solutions dans le neuf, comme en rénovation, alors que nos chantiers sont pour près de 95 % à destination des particuliers. » L’entreprise et ses six salariés interviennent pour l’essentiel en Franche-Comté. « Grâce aux réseaux sociaux et au bouche-à-oreille, nous avons su construire une réputation. Permettant ainsi à nos carnets de commandes d’être remplis sur 8 mois. Pour maintenir cette réputation, nous nous fournissons toujours auprès de la centrale à béton la plus proche de notre chantier. Tout en imposant notre propre formulation. Afin de toujours garantir la qualité de notre intervention. » Evidence Béton passe aujourd’hui un nouveau cap dans son histoire, puisque pour cet automne, elle va s’installer dans de nouveaux locaux à Mignovillard. Où l’entreprise proposera la vente et la distribution de produits Chryso. Et surtout des formations sur les produits de la marque. « Nous avons déjà une activité de conseil sur toute la France, conclut Laurent Lestienne. Nous envoyons nos équipes avec notre matériel pour accompagner les entreprises sur leurs premiers chantiers. Le nouveau centre de formation va venir en complément. »  Retrouvez l’article dans le Béton[s] le Magazine n° 90.
Il y a 4 ans et 268 jours

Seine-Maritime : Des caméras pour mieux voir

Retrouvez l’article dans le Béton[s] le Magazine n° 90. Le dispositif de caméras 360° devrait permettre de réduire les accidents avec les piétons et les cyclistes. [©Cemex] Les angles morts des toupies représentent le risque le plus important d’accidents sur la route. Afin d’apporter une sécurité supplémentaire aux piétons et aux cyclistes. Des caméras 360° sont aujourd’hui testées sur plusieurs camions du secteur Haute-Normandie . A savoir, quatre toupies Cemex et deux de son prestataire Transports Rivière. Chaque véhicule est pourvu de quatre caméras. Une à l’avant, une sur chaque porte latérale et une à l’arrière. Permettant d’obtenir une vue à 360° tout autour du véhicule. Une véritable aide à la conduite C’est une véritable aide à la conduite. De plus, les caméras latérales s’enclenchent à chaque utilisation du clignotant, afin de visualiser toute présence externe au moment de tourner. Les premiers retours d’expérience des chauffeurs sont positifs. Un bilan sera fait dans six mois. Ceci, pour s’assurer de la fiabilité du matériel et analyser cette technologie, qui évolue de manière rapide. « Ce nouveau système permet de supprimer tous les angles morts, avec une vue périmétrique en temps réel et sur un seul écran, précise Dimitri Trépaut, gérant de Transports Rivière. En effet, il apporte une vraie valeur ajoutée pour les conducteurs en matière de sécurité. » De son côté, Nicolas Delsinne, directeur de secteur Cemex Matériaux Haute-Normandie, souligne que « Les caméras 360° sur nos toupies, c’est la possibilité de mettre l’innovation technologique au profit de la sécurité routière.Les règles et modes de circulation en ville se complexifient. Et cet instrument permet aux chauffeurs de mieux appréhender leur environnement ». Retrouvez l’article dans le Béton[s] le Magazine n° 90.
Il y a 4 ans et 269 jours

Assureurs LPS : "Un problème très complexe et sensible", V. Faure-Muntian (députée)

ENTRETIEN. La députée Valéria Faure-Muntian, présidente du groupe d'études assurance à l'Assemblée nationale, suit le dossier de la crise des assureurs en libre prestation de services (LPS). Elle détaille à Batiactu le contenu de la proposition de loi qu'elle a déposée en janvier 2020 pour éviter que ce phénomène ne se reproduise à l'avenir.
Il y a 4 ans et 269 jours

Apprentissage : pas plus de ruptures de contrats en cette rentrée 2020

FORMATION PROFESSIONNELLE. L'impact du confinement sur les embauches d'apprentis est indéniable, mais la situation de cette rentrée 2020 est tout de même plus encourageante qu'attendu, avec même une hausse des effectifs. Des disparités régionales persistent toutefois.
Il y a 4 ans et 269 jours

Thierry Dauger, premier directeur commercial et marketing de Vracs de l’estuaire

Le nouveau cimentier en phase de pénétration du marché enrichit son organigramme d’un nouveau poste et recrute l’ancien directeur grands projets France de Ciments Calcia HeidelbergCement.
Il y a 4 ans et 269 jours

Savoir pérenniser l’existant

Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine Tel un doudou multi-raccommodé, le bâti existant peut être pérennisé via un entretien régulier et les réparations nécessaires. [©ACPresse] Le doudou – ours, couverture et autres peluches au doux pelage – est un indispensable du quotidien de beaucoup d’enfants… Et parfois même de certains adultes ! Son odeur, sa forme, chaque petite partie de cet “être” détiennent une valeur inestimable. S’il lui arrive malheur, impossible de le remplacer. Et bien souvent, de multiples raccommodages sont indispensables pour lui permettre de traverser les âges. Il n’y a pas que les doudous qui marquent nos esprits. Des lieux, des ouvrages ou les bâtiments qui nous hébergent, que l’on visite ou se rencontre, façonnent nos souvenirs. Comme nos fidèles peluches, nous aimerions qu’ils soient éternels. D’une part, pour continuer à nous donner toutes sortes d’émotions. D’autre part, pour les léguer aux futures générations. Cette dernière condition est plus que jamais d’actualité. Surtout avec l’urgence climatique et les nouvelles tendances de consommation. Qu’allons-nous transmettre ? Lorsque le doudou est abîmé, faut-il le réparer ou le remplacer ? Lorsqu’un bâtiment s’essouffle, faut-il le détruire ou le restaurer ? Nous n’allons pas faire le match “rénovation versus construction neuve”, car les deux sont indispensables de nos jours…  Dans les pages qui suivent, nous mettons simplement en avant ceux qui œuvrent pour la pérennité des ouvrages d’art, des maisons ou de toutes autres réalisations. Tous les corps de métiers s’intéressent à la question. Qu’ils soient spécialisés dans l’ingénierie, dans les travaux, la recherche ou la maîtrise d’œuvre… Ils ont le même objectif. Comme les parents qui recousent, toujours avec amour, les doudous fatigués, ces professionnels s’assurent de figer dans le temps des savoir-faire, mais aussi, par la force des choses, des émotions…  Mini-sommaire Strres/IMGC : Un inventaire des ponts à la Prévert Freyssinet renforce une buse par Bfup projetéLhotellier 2D : « Nous ne voulons pas être des démolisseurs lambda »Résidence des Pierres Levées : Le règne minéral Bouyges Travaux Publics adopte les lames orphelines Lerm/Diades : Des savoir-faire complémentaires Sigma Béton : Analyser les caractéristiques du béton a posteriori Cemex : Et le btonnier se fait rénovateur Groupe RGD : Au-delà du produit MC-Chimie : « Nous proposons tous types de systèmes de réparation »Cermix : Le challenger Saretec : Les experts Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 269 jours

La richesse et la diversité de l’architecture marocaine avec les YMAA

YMAA (Young Moroccan Architecture Awards) est une compétition qui vise à mettre en valeur les réalisations architecturales ...En savoir plus Cet article La richesse et la diversité de l’architecture marocaine avec les YMAA est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 269 jours

Saretec : Les experts

Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine Joël Kuborne, expert responsabilité civile et construction chez Saretec. [©Saretec] Quel est le rôle d’un expert construction ? L’expert construction intervient de façon générale à la demande des compagnies d’assurance suite à la déclaration de sinistre d’un assuré. Il lui incombe de déterminer l’origine des désordres, de qualifier leur gravité. Mais aussi, de proposer des principes “réparatoires” et de définir un partage de responsabilité. Il doit aussi donner son avis sur la mobilisation des garanties obligatoires – décennale ou dommages-ouvrage – ou facultatives – responsabilité civile, bon fonctionnement, dommages intermédiaires… – du contrat d’assurance. Nos principaux clients sont les assureurs. Mais nous pouvons intervenir pour les entreprises, afin de gérer leurs sinistres sous franchise.  Quels sont les champs d’action de l’expert et sur quels types de projets êtes-vous appelé ?  Nous participons aux expertises amiables et judiciaires – civiles ou administratives – et à des réunions de médiation : protection juridique ou défense-recours. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 269 jours

Les énergéticiens doivent faire face à un marché toujours plus contraint

BAROMÈTRE. Devant composer avec une baisse de la consommation d'électricité, une concurrence toujours plus forte et des prix de marché en chute, les énergéticiens sont tout de même parvenus à stabiliser leur chiffre d'affaires et même à engranger des profits satisfaisants en 2019. Mais tous leurs indicateurs financiers ne sont pas au vert et le marché toujours plus exigeant appelle à la prudence.
Il y a 4 ans et 269 jours

Cermix : Le challenger

Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine Vanessa Crenn, directrice du marché mortiers spéciaux chez Cermix. [©DR] A la base, Cermix est issu de la scission des activités de Desvres (groupe Koramic), un groupe historique spécialisé dans le monde du carrelage. La nouvelle entité voit le jour en 2015, avec deux familles de produits : des solutions de pose de carrelage et des mortiers spéciaux. Cette dernière gamme est plutôt orientée vers le gros œuvre et les travaux publics. « Ce n’est pas le même public – marché, typologie client… – que notre activité historique, mais c’est le même savoir-faire », explique Vanessa Crenn, nouvellement arrivée à la direction du marché mortiers spéciaux. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 269 jours

Le ministère de la Transition écologique et l'Ademe lancent une nouvelle campagne sur les économies d'énergie

Les enjeux de la maîtrise de l’énergie dans les logements En France, le secteur du bâtiment est le plus fort consommateur d’énergie : les bâtiments sont responsables d’environ 45% de nos consommations d’énergie et de plus du quart de nos émissions de gaz à effet de serre, dont environ 2/3 sont issus du secteur résidentiel.Indissociable de la rénovation énergétique des bâtiments, la maîtrise des consommations d’énergie au sein des foyers est un des principaux leviers pour réduire l’impact du secteur résidentiel.Se préoccuper de sa consommation d’énergie, que ce soit pour le chauffage, l’eau-chaude ou l’électricité, est le premier pas vers la maîtrise de ses consommations. Piloter plus généralement ses consommations d’énergie chez soi, via des outils et des applications par exemple, permet de faire baisser sa facture d’énergie tout en conservant le confort du logement. La nouvelle campagne de sensibilisation FAIRE TOUT POUR MA RENOV’, accompagnée par l’ensemble des acteurs de la filière (gestionnaires de réseaux, fournisseurs d’énergie, etc…), met ainsi l’accent sur deux pratiques à adopter par les ménages afin de mieux maîtriser leurs consommations d’énergie : Installer et utiliser des équipements de programmation par intermittence des systèmes de chauffage (thermostats performants).Suivre et Analyser ses dépenses d’énergie grâce aux outils proposés par les fournisseurs d’énergie ou autres solutions de pilotage Enfin, il s’agira également de sensibiliser les ménages à leur consommation d’électricité et aux éco-gestes.Le thermostat, une solution pour mieux gérer ses dépenses de chauffageLe chauffage est le premier poste de consommation d'énergie. Il représente 66% des consommations énergétiques d'un foyer. Une utilisation maitrisée de son système de chauffage est un premier pas pour réduire ses factures.Une des solutions pour mieux maîtriser sa consommation de chauffage est l'installation et l'utilisation d'un thermostat. Cet appareil, facile à installer et à utiliser, offre la possibilité de contrôler son chauffage et ainsi de faire jusqu'à 15 % d'économie sur sa facture, tout en maintenant son logement à une température agréable. Et en plus, on peut bénéficier du « Coup de pouce thermostat avec régulation performante », une nouvelle prime entrée en vigueur depuis le 25 juin 2020 (Cf. fiche ci-jointe).En effet, un thermostat programmable avec une régulation performante permet de choisir la température dans le logement, par exemple en fonction de l'absence ou de la présence des occupants : baisser la température quand personne n'est dans le logement et la faire remonter avant son retour pour un confort optimal, ce qui est plus économique que si le logement est chauffé en permanence à la même température. Analyser ses dépenses énergétiques pour devenir acteur de sa consommationEn regardant de plus près ses factures ou en utilisant les outils mis à disposition par les fournisseurs d'énergie, les gestionnaires de réseaux publics d'énergie et les fabricants d'équipements de pilotage énergétique des logements, on peut visualiser la quantité d'énergie consommée mais surtout les économies qui peuvent être réalisées.La plupart des fournisseurs d'énergie (électricité, gaz) et les gestionnaires de réseaux proposent des applications de suivi de la consommation. Il est également possible de suivre ses consommations via ses comptes client, sa facture ou son thermostat.Ce suivi permet de repérer les pics de consommation, les jours où la consommation est plus basse ou plutôt haute. En comprenant quels sont les postes qui consomment le plus (chauffage, électroménager, etc.) et en mesurant les effets des gestes adoptés d'un jour ou d'un mois sur l'autre, chaque foyer peut identifier des pistes d'actions.Pour en savoir plus :Guide « Le nouveau compteur d'électricité »Guide « Le nouveau compteur de gaz »Infographie « Dépenses d'énergie : comment garder le contrôle ? » Le réseau des conseillers FAIRE, pour un accompagnement sur-mesurePour aller plus loin en matière d'économies d'énergie, les particuliers peuvent prendre contact avec un conseiller du réseau FAIRE, dans l'un des 350 espaces conseil présents sur l'ensemble du territoire.Leur rôle auprès des particuliers est :D'apporter des informations concrètes et pratiques sur la réalisation de travaux de rénovation énergétique et plus généralement sur la consommation d'énergie d'un logement ;De conseiller les particuliers dans leurs démarches afin de déterminer les travaux à réaliser en priorité́ et d'identifier les meilleures solutions pour faire baisser la consommation énergétique du logement ;De faire connaitre les aides financières auxquelles ils ont droit.Les conseillers FAIRE délivrent des conseils gratuits, neutres et adaptés à chaque situation pour guider les ménagés dans leurs travaux de rénovation.Les Français peuvent également se tourner vers le site FAIRE.gouv.fr, où ils trouveront des informations sur les travaux à privilégier, un simulateur des aides financières dont il est possible de bénéficier pour la rénovation énergétique de son logement, ainsi qu'un annuaire recensant les professionnels RGE à proximité.« Avec cette nouvelle prime « Coup de pouce Thermostat » de 150 €, nous offrons la possibilité à tous les ménages de mieux maîtriser leurs consommations d'énergie, et ainsi de faire baisser leur facture. Cette prime vient compléter le dispositif d'aides financières déjà en place, que nous renforçons encore aujourd'hui grâce aux mesures prises dans le cadre du plan France Relance. L'ensemble de ces mesures doit nous permettre d'atteindre les objectifs ambitieux que nous nous sommes fixés en matière de rénovation énergétique des bâtiments ».-Emmanuelle Wargon, ministre du logement « Cette nouvelle campagne FAIRE doit permettre de prendre conscience que chacun de nous peut, à son échelle et avec des gestes simples, devenir acteur de ses consommations d'énergie. C'est grâce à la mobilisation de tous, et accompagnés par les conseillers FAIRE présents sur l'ensemble du territoire, que nous pourrons diminuer notre facture d'énergie tout en améliorant le confort de nos logements ».-Arnaud Leroy, président directeur général de l'ADEME
Il y a 4 ans et 269 jours

Les artisans et entreprises de proximité peuvent compter sur la confiance des Français pour la relance

Cette année, l'U2P, qui représente 3,2 millions d'entreprises françaises, ouvre les portes de ses Rencontres annuelles dans un contexte inédit : alors que la crise sanitaire a frappé de plein fouet les secteurs de proximité, et avec, l'économie du pays, les Français affichent leur soutien et leur attachement sans faille aux artisans, commerces et services de proximité. Ces derniers, temporairement soulagés par les mesures d'aide d'urgence, joueront un rôle déterminant dans la relance économique du pays… A la condition du bon déploiement du Plan de relance sur le territoire.Des secteurs clés durement touchés par la criseLa crise sanitaire a lourdement pesé sur l'activité des entreprises de proximité représentées par l'U2P. Entre mars et août 2020, près d'une entreprise sur deux a dû stopper son activité, de quelques jours à plusieurs semaines, dont 594.000 entreprises fermées par décision administrative, selon la nouvelle étude U2P/ISM(1).Ainsi, le chiffre d'affaires de l'ensemble des entreprises de proximité est en recul de 28% au second trimestre 2020 par rapport à 2019. Un choc sans précédent quand on sait que la crise financière fin 2008 avait été suivie d'une baisse de chiffre d'affaires de 4 à 6% dans ces secteurs.Cet affaissement touche presque tous les secteurs. Les traiteurs et les HCR (hôtels, cafés et restaurants) sont les plus durement touchés : on observe un recul du chiffre d'affaires de 88% dans ce secteur au second trimestre 2020 par rapport à 2019. Les artisans du TP et du bâtiment s'en sortent mieux mais accusent tout de même une baisse respectivement de 28% et 23%.Dans ce contexte singulier, les Français renouvellent leur confiance et leur attachement aux entreprises de proximité. Selon une étude Yougov commandée par l'U2P(2), 1 Français sur 3 déclare se rendre plus fréquemment dans les entreprises de proximité de son quartier depuis le printemps, en particulier les CSP+ avec enfants, habitant dans les grandes villes. Les raisons les plus souvent évoquées sont, pour près de la moitié d'entre eux, la volonté de soutenir ces entreprises en période de crise, et pour l'autre moitié les nouvelles habitudes prises pendant le confinement.Les entreprises de proximité sont plus que jamais au cœur du quotidien des Français : 58% déclarent les fréquenter une à plusieurs fois par semaine, 17% plusieurs fois par mois et 7% les fréquentent tous les jours. Seuls 13% des Français s'y rendent moins d'une fois par mois.Cette relation quotidienne resserre les liens : 81% des Français se déclarent attachés aux entreprises de proximité qu'ils fréquentent.Parmi les principaux avantages à consommer près de chez soi, les Français citent avant tout le soutien à l'emploi et aux entreprises locales (60%), le maintien de l'activité en centre-ville et de la vie de quartier (54%), et la commodité d'avoir accès à ces commerces, services et professions libérales près de chez soi (50%). A noter également que pour 35% des personnes interrogées, l'argument environnemental prime. Par nature, les entreprises de proximité contribuent au développement des productions et des marchés locaux, et réduisent tous les impacts liés aux transports des personnes et des marchandises.« Cette étude souligne l'attachement et la confiance que les Français portent aux entreprises de proximité. Cœur battant de l'économie du pays, nos entreprises sont résilientes, et seront un point d'appui indispensable pour relancer la croissance. Si nous en sommes convaincus, les Français ne s'y trompent pas non plus : ils sont 83% à estimer que les entreprises de proximité devront jouer un rôle clé dans la relance de l'économie française. »-Laurent Munerot, Président de l'U2PDes aides d'urgence plébiscitées par des entreprises en première lignePour tenter d'endiguer des pertes considérables, 55% des entreprises de proximité ont sollicité au moins une mesure d'aide entre mars et août 2020. Ces dispositifs ont fait l'objet d'un travail quotidien de l'U2P auprès des pouvoirs publics, pour que les mesures gouvernementales soutiennent le plus efficacement et le plus concrètement possible toutes les entreprises de proximité, en prenant en compte les spécificités des métiers.Si le taux de mobilisation des aides d'urgence a varié selon les secteurs, l'hôtellerie-restauration a été le plus en demande de soutien : 92% des entreprises du secteur ont sollicité un dispositif d'aide, contre seulement 19% des entreprises artisanales de l'alimentation.Destiné exclusivement aux TPE, le Fonds de solidarité (volet 1) a été le principal dispositif mobilisé (47%), suivi par le report des charges (43%) et le Prêt garanti par l'État (18%). 335.000 prêts garantis par l'État ont en effet été accordés aux entreprises de proximité entre mars et août 2020, représentant 58% du total des dossiers et 25% du montant attribué.« Pour palier la baisse d'activité inédite de ces derniers mois, les mesures de soutien sollicitées par l'U2P, ont permis de limiter et parfois même d'éviter le tsunami économique et social qui se profilait à l'horizon. C'est pourquoi j'invite le gouvernement à maintenir ces dispositifs pour les entreprises les plus fragilisées. »-Laurent Munerot, Président de l'U2PEnfin, les entreprises de proximité ont massivement eu recours à l'activité partielle : 65 % des établissements employeurs y ont fait appel au plus fort de la crise (soit 572.000 entreprises), permettant ainsi l'indemnisation de plus d'un salarié sur deux travaillant dans les entreprises de proximité (soit 2 millions de salariés au total).En juin 2020, seules 147.500 entreprises y avaient encore recours, représentant 609.000 salariés, principalement issus du secteur de l'hôtellerie-restauration (47%). Cette baisse significative montre qu'un rebond de l'activité s'est amorcé au début de l'été.France Relance : attention au déploiement territorial !« Si nous avons certains signes annonciateurs d'une reprise de l'activité, à l'inverse on peut craindre que les 15% d'entreprises déjà en situation financière critique avant la crise sanitaire ne surmontent pas la crise sur le long terme. En ce sens, le plan de relance en faveur du commerce de proximité, de l'artisanat et des professions libérales, sera déterminant. Nous veillerons à ce qu'il soit déployé jusqu'aux plus petites entreprises et au plus profond des territoires »-Laurent Munerot, Président de l'U2P(1) Etude ISM / U2P 2020(2) Sondage réalisé en ligne en septembre 2020 par l'institut YouGov pour l'U2P auprès d'un échantillon de 1.000 personnes représentatif de la population française.
Il y a 4 ans et 269 jours

Résidence des Pierres Levées : Le règne minéral

Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine La résidence des Pierres Levées a été rénovée de façon à conserver l’esprit minéral des bâtiments originels. [©Novbéton] Dans les Hauts-de-Seine, Meudon (92) est un ancien domaine royal. Le territoire a depuis évolué au sein de nombreux espaces arborés et surplombés d’une forêt qui a gardé ses tracés d’origine. En plus de son patrimoine historique, la ville a aussi été un lieu propice à la culture. Ainsi, l’écrivain François Rabelais en fut le curé, presque 20 ans après avoir écrit “Gargantua”.Auguste Rodin y a habité et sculpté dans sa Villa des Brillants. Et installé avenue du Château, Richard Wagner, du haut de ses 27 ans, a composé “Le Vaisseau fantôme”. C’est dans ces mêmes lieux, qu’en 1968, les architectes de l’Atelier 12 imaginent la résidence des Pierres Levées. Posés sur pilotis, ces trois bâtiments ont été conçus de façon à cohabiter avec la nature environnante. Et leurs lignes géométriques sont un vestige de l’architecture des années 1960/70. Laissant, d’une certaine façon, eux-aussi, leurs traces dans l’histoire de la ville. Cette dimension a d’ailleurs été importante pour l’agence Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 269 jours

Un nouveau directeur commercial et marketing pour Vracs de l'Estuaire

CARNET-NOMINATION. Filiale du groupe cimentier familial Cimat-Cimaf, Vracs de l'Estuaire, a nommé Thierry Dauger, comme directeur commercial et marketing.
Il y a 4 ans et 269 jours

Strres & IMGC : Un inventaire des ponts à la Prévert

Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine Un rapport du Sénat met en lumière le mauvais état structurel de 25 000 ponts. [©IMGC] Il y a deux ans, en août 2018, le pont Morandi à Gênes, en Italie s’est effondré. Après l’émotion suscitée par cet accident, les interrogations sur l’état de ce type d’ouvrages ont aussi dépassé les frontières italiennes. Ainsi, quelques mois plus tard, la Commission de l’aménagement du territoire et du développement durable du Sénat français a créé une mission d’information sur la sécurité des ponts. Et après 10 mois d’enquête, elle appelait à un “Plan Marshall” pour éviter tout drame. En effet, d’après les différents retours, le rapport met en lumière le mauvais état structurel de 25 000 ponts. Tous posent des problèmes de sécurité et de disponibilité pour les usagers. La Commission avait alors formulé plusieurs propositions qui sont toujours à l’étude. Pour les professionnels du secteur, la problématique doit être prise au sérieux. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne