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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 4 ans et 333 jours

Auvergne-Rhône-Alpes: avec un milliard d'euros, le plan de relance régional passera par la construction

Préférence régionale, préservation ou création de 50.000 à 100.000 emplois, démarrage de chantiers...: le président d'Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez, a présenté jeudi 4 juin un plan de relance chiffré à un milliard d'euros pour faire face à la crise économique liée au Covid-19.
Il y a 4 ans et 333 jours

Trois acteurs du Bâtiment nous parlent de "leur" télétravail

TEMOIGNAGES. Avec la crise sanitaire, le télétravail s'est étendu à une large frange de l'entreprise. Comment cette pratique a-t-elle été vécue ? Un attaché commercial, un directeur marketing et une directrice d'agence de relations presse du Bâtiment nous livrent leur expérience.
Il y a 4 ans et 333 jours

Le confinement, révélateur des inégalités en matière de qualité du logement

École, travail, loisirs... c'est tout leur quotidien que les Français confinés ont dû revisiter pendant 2 mois. Au cœur de ces nouveaux modes de vie improvisés, un élément charnière : le logement. Perçu et vécu comme un « cocon », celui-ci a pu aider à vivre cette période inédite et complexe. À l'inverse, moins bien supporté, il a aussi pu contribuer à générer des tensions supplémentaires.Dans tous les cas, alors que la vie commence à reprendre un cours « plus normal », l'étude QUALITEL - IPSOS le montre : le confinement a révélé et confirmé l'importance de la qualité du logement dans la vie des Français. L'importance de la qualité du logement plus que jamais confirmée, mais des inégalités observéesCette période de confinement a été un révélateur de l'importance de la qualité du logement pour les Français, pour le meilleur et parfois pour le pire.Un grand nombre de Français ont plutôt, voire beaucoup, apprécié leur logement pendant ces deux mois. Une part non-négligeable (34%) affirmait même, au bout de 6 semaines, « qu'ils pourraient vivre en confinement très longtemps sans problème ».Mais qui étaient ces confinés « heureux à la maison » ? Des personnes plutôt âgées de 60 ans et plus, vivant en couple et propriétaires d'une maison en commune rurale. Ce sont ceux qui donnent la meilleure note à la qualité de leur logement, 7,2/10 [1] contre 6,7/10 pour ceux qui avouaient « commencer à en avoir marre ». Certains ressortent même de cette période avec un attachement renforcé à leur domicile : 37% affirment avoir « adoré » leur logement pendant le confinement.A contrario, 20% de Français, soit près de 8 millions de foyers, ont déclaré avoir « mal supporté » leur logement pendant le confinement.Parmi eux, on trouve une sur-proportion de jeunes (28% des moins de 35 ans), de personnes seules (26%), en appartement (29%) avec des revenus modestes (32% des personnes gagnant moins de 1 250€).Plusieurs facteurs liés au logement ont contribué à vivre plus ou moins bien le « mode confiné »La catégorie d'agglomération...Sans surprise, la France des campagnes qui juge en temps normal plus favorablement la qualité de son logement (cf. baromètre Qualitel 2019) a globalement mieux vécu le confinement. 65% des personnes vivant en zone rurale ont estimé que leur logement était tout à fait adapté pour vivre confiné, 47% pour les personnes vivant dans une grande métropole (35% pour l'Île-de-France)....Le fait d'habiter en appartement ou en maison...Un des éléments particulièrement discriminant pour avoir bien vécu le confinement est le fait d'habiter en maison plutôt qu'en appartement. Les habitants d'appartement qui évaluent la qualité de leur logement à 6,2/10, n'ont été que 28% à juger que leur logement était tout à fait adapté à une vie confinée, contre 65% de ceux vivant en maison avec une note de 7,1/10....D'être propriétaire ou locataire...Les propriétaires ont également noté plus généreusement leur logement en cette période de confinement (7,3/10), par rapport aux locataires (6 en moyenne et 5,7 pour les locataires de logements sociaux). Et ce sont ces mêmes propriétaires, qui, à 61%, ont trouvé que leur logement était tout à fait adapté au confinement (33% pour les locataires)....De bénéficier du vrai luxe, l'espaceSans surprise, la surface du logement a constitué l'un des critères les plus décisifs pour bien vivre le confinement : seul 1 Français sur 4 habitant dans moins de 75 m² (hors studio) a jugé son logement tout à fait adapté au confinement, une proportion passant à près de 8 Français sur 10 pour ceux habitant dans plus de 120 m².Dans le détail, ceux qui ont jugé leur logement inadapté l'ont principalement expliqué par le manque d'un espace extérieur (52%), une surface globale trop petite (49%) ou l'absence d'une pièce pour s'isoler (33%).Le grand confinement de 2020 pourrait ainsi marquer un tournant dans cette « conquête de l'espace ».Vers de nouveaux horizons38% des habitants d'appartements affirment que cette période leur a donné envie de déménager, soit un chiffre 3 fois plus élevé que les habitants de maison. C'est le cas aussi de 31% des habitants de l'agglomération parisienne, bien plus nombreux que les résidents des villes moyennes (21%) à émettre le souhait de déménager.Même constat chez les parents : 41% des personnes ayant des enfants en bas âge souhaitaient déménager à l'issu de ce confinement. Ils ont davantage souffert de la promiscuité et du manque d'espace. Des difficultés qui ont été anticipées par certains : ainsi les familles avec enfants en bas âge ont été deux fois plus nombreuses que la moyenne des Français à quitter leur logement pour passer le confinement ailleurs (11% contre 6%).
Il y a 4 ans et 333 jours

Un nouveau président pour Perl

CARNET. Perl, filiale du groupe Nexity basée sur le modèle de l'investissement en nue-propriété adossé à de l'usufruit locatif social, a un nouveau président en la personne de Julien Drouot-l'Hermine. Celui-ci conserve la présidence d'une autre filiale du promoteur : iSelection, spécialisée dans l'immobilier de placement.
Il y a 4 ans et 333 jours

Le monde d'après : l'architecte japonais Shigeru Ban appelle à repenser les habitats d'urgence

En cas de séisme, tsunami, violente tempête ou inondation dans un contexte pandémique, "les centres d'évacuation représenteraient des lieux à haut risque" d'infections en raison des attroupements de gens, avertit l'architecte de 62 ans interrogé par l'AFP."Gérer la situation avec quelques jours de retard serait rédhibitoire", ajoute-t-il, recommandant par conséquent d'anticiper des infrastructures adaptées.Lui et ses équipes ont conçu des espaces individuels, cloisonnés par des tentures suspendues à de longs tubes en papier: un système spartiate mais souple, récemment testé dans un gymnase de la ville de Yokohama (sud-ouest de Tokyo) pour héberger des personnes démunies lors de la crise du Covid-19.Les autorités japonaises par exemple ont été tellement accaparées par la crise sanitaire qu'elles n'ont pas anticipé le scénario d'une catastrophe naturelle en période de pandémie, selon l'architecte: "C'est seulement récemment que les gens ont commencé à se demander ce qu'il faudrait faire en cas de séisme"."Je sais que ce n'est pas facile mais je pense que nous devons y réfléchir", insiste-t-il.Lauréat du prix Pritzker en 2014, la plus prestigieuse récompense en architecture, Shigeru Ban propose des solutions innovantes d'habitat d'urgence depuis plus d'un quart de siècle et aux quatre coins de la planète, du Japon à la Turquie en passant par Haïti et le Rwanda.Ému par le printempsIl est notamment connu pour sa "cathédrale de carton" de Christchurch, structure semi-temporaire construite après le séisme dévastateur de 2011 en Nouvelle-Zélande.Mais il a aussi conçu des bâtiments permanents, comme en France le musée d'art contemporain Centre Pompidou-Metz ou la salle de spectacle La Seine Musicale à Boulogne-Billancourt, avec son associé Jean de Gastines.En mars, Shigeru Ban devait justement s'envoler pour Paris, où son bureau européen est installé, mais a renoncé en dernière minute à son déplacement devant le confinement imminent de la France.Depuis, il n'a pas cessé de travailler, sept jours sur sept: son bureau à Tokyo n'est qu'à cinq minutes à pied de son domicile."Je ne fais rien d'autre que travailler. Je n'ai pas de loisirs et je ne fais rien de spécial à cause de la situation dans laquelle nous sommes".Ce temps suspendu est toutefois aussi l'occasion pour lui de poser son regard sur la nature environnante et le rythme des saisons au Japon, pour la première fois depuis une éternité."C'est probablement la première fois depuis 16 ans que je reste au Japon pendant plus d'un mois d'affilée. J'ai été très ému par la beauté de l'arrivée du printemps", confie-t-il.Mirages de la technologieMais le travail sur le terrain lui manque. "Il est dangereux d'essayer de tout résoudre avec la technologie. Il est faux de croire que l'on n'a pas besoin de se rencontrer en personne parce qu'on a la vidéoconférence", prévient-il."Faire des modèles 3D sur ordinateur n'a rien à voir avec le fait de créer une véritable maquette ou de fabriquer un objet avec les matériaux en main", ajoute-t-il. "Il faut pouvoir être capable de créer en ressentant les matières et leur poids".Il déplore aussi le manque d'ouverture sur le monde des étudiants japonais, une attitude risquant de se renforcer encore avec la pandémie selon lui."Ce serait vraiment grave si les étudiants japonais se repliaient sur eux-mêmes et n'allaient plus à l'étranger sous prétexte qu'ils sont bien au Japon. C'est ce qui me préoccupe le plus"."Il faut plus que jamais se tourner vers l'extérieur, se mélanger et échanger avec des personnes différentes", insiste celui qui a étudié l'architecture aux Etats-Unis.Le Japon a été relativement épargné par la pandémie, avec environ 17.000 cas de contamination recensés et 900 morts depuis le début de la crise sanitaire.L'état d'urgence avait été déclaré par le gouvernement en avril, et a été levé par étapes à partir de la seconde quinzaine de mai.
Il y a 4 ans et 333 jours

Photovoltaïque: Dracula Technologies se lance dans un projet d'impression innovant

La jeune société Dracula Technologies vient de lever 2,2 millions d'euros pour lancer la pré-industrialisation de sa technologie d'impression de cellules photovoltaïques.
Il y a 4 ans et 333 jours

Bernard Aulagne réélu à la tête de l'association Coénove

CARNET-NOMINATION. Lors de l'assemblée générale de l'association Coénove, qui s'est tenue le 25 mai 2020, Bernard Aulagne a été réélu président pour un mandat de trois ans.
Il y a 4 ans et 333 jours

Travailler moins pour gagner moins et éviter le licenciement

Depuis mi-mai, la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, vante les "accords de performance collective" rendus possibles par les ordonnances réformant le Code du travail de 2017, au tout début de quinquennat.Ce dispositif a remplacé les "accords de maintien de l'emploi"; "de préservation ou de développement de l'emploi" et les "accords de mobilité". Visant à "préserver" ou de "développer" l'emploi, il peut: aménager la durée du travail; aménager la rémunération; déterminer les conditions de la mobilité professionnelle ou géographique interne à l'entreprise. A défaut de précisions, l'accord est valable cinq ans. En cas de refus, le salarié est licencié."Je pense qu'il faut se serrer les coudes dans cette période. Pour se serrer les coudes on peut aussi négocier des accords de performance collective", a suggéré Mme Pénicaud dimanche sur LCI. Cette mesure permet "de se dire +plutôt qu'il y en ait 20% qui perdent leur emploi, on va pendant quelque temps baisser le temps de travail, donc la rémunération+".Mais pas à n'importe quel prix pour les salariés.Le cas de Ryanair ne passe pas, par exemple. La direction de Malta Air, qui opère pour la compagnie irlandaise low cost en France, a proposé de baisser de 10% la rémunération de son personnel navigant commercial pendant cinq ans, un "chantage au licenciement", selon le syndicat majoritaire de Ryanair France."Si les personnels de Ryanair étaient payés 30% de plus que le marché (…) je pourrais entendre +On a un problème structurel et ça suppose de revoir notre modèle pour être à peu près comme les autres+. Je ne suis pas sûre que ce soit la situation", a réagi mercredi sur France Inter la secrétaire d'État auprès du ministre de l'Économie Agnès Pannier-Runacher, qui a repris le terme "chantage", tout comme Bruno Le Maire la veille, ou Muriel Pénicaud.Mais les accords de performance sont "de bonnes pistes" car "à terme, ces négociations sont plus créatrices d'emploi", a relevé la secrétaire d'Etat, proposant que les "gros salaires baissent aussi"."Aucune garantie aux salariés""Plus de 300" accords de ce type ont été signés cette année, selon Muriel Pénicaud."C'est l'outil idéal, le plus flexible, le plus simple et le plus complet pour adapter l'entreprise à la situation de crise actuelle, voire sur le long terme. Il permet de moduler tous les aspects essentiels de la relation au travail", s'enthousiasme Déborah David, avocate associée au cabinet De Gaulle Fleurance & Associés (côté employeurs), évoquant notamment le télétravail. "L'avantage principal" de ce genre d'accord: "transformer l'entreprise complètement sans procéder à des licenciements".Pour Pascal Lokiec, professeur de droit social à la Sorbonne, ce dispositif "doit être manié avec extrême prudence car le cadre légal, tel que défini par le Code du travail, est extrêmement léger et n'offre quasiment aucune garantie aux salariés"."Ce type d'accord n'est viable que dans une entreprise où le dialogue social est très équilibré, y compris en temps de crise, à moins que le gouvernement fasse le choix de renforcer, dans l'urgence, le cadre légal pour offrir plus de garanties aux salariés", ajoute-t-il.Yves Veyrier, le numéro un de FO, partage cette inquiétude, évoquant "des exemples passés où on a contraint les salariés par le biais d'une forme de chantage à l'emploi à accepter des baisses de salaires (…) pour au final que des emplois soient malgré tout supprimés".Parmi les garanties nécessaires pour que de tels cas ne se produisent pas, M. Lokiec cite "un engagement de l'entreprise de ne pas licencier pour une certaine durée; une clause de retour à meilleure fortune qui signifie que si l'entreprise va mieux, l'accord devient caduc; et l'engagement des actionnaires et dirigeants de faire des efforts proportionnés à ceux des salariés".Et de rappeler que ces clauses étaient obligatoires dans les premières générations d'accords sur l'emploi, créées en 2013, avant de devenir progressivement facultatives.
Il y a 4 ans et 333 jours

Ces acteurs qui appellent à imaginer un BTP nouveau à l'occcasion de la crise

RÉACTION. Plusieurs acteurs ont pris la parole afin de convaincre les pouvoirs publics de renforcer la qualité des logements à l'occasion du plan de relance à venir.
Il y a 4 ans et 334 jours

Les travaux publics anticipent une forte chute de leur activité en 2020

ETUDE. A fin mai, la quasi-totalité des entreprises de TP ont retrouvé le chemin des chantiers selon la dernière enquête publiée par la FNTP, dont les résultats complets sont à télécharger. Mais les conséquences de la crise sanitaire sur le chiffre d'affaires de l'année et sur l'emploi seront très lourdes.
Il y a 4 ans et 334 jours

Transformation "à minima" de la maison d'Hitler pour en faire un poste de police

C'est par son approche sciemment "minimaliste en apparence" que le cabinet d'architecte autrichien Marte.Marte a remporté l'appel d'offre européen lancé pour transformer la bâtisse, a expliqué le président du jury, Robert Wimmer, en conférence de presse.Le gouvernement autrichien a mené une longue bataille judiciaire pour s'assurer la propriété de cette maison située dans le nord du pays, dans le but d'empêcher que l'endroit où est né Adolf Hitler le 20 avril 1889 ne devienne un lieu de pèlerinage néonazi.La bâtisse de 800 mètres carrés située dans le centre de Braunau-am-Inn, à la frontière allemande, va notamment être rehaussée par une nouvelle toiture, et subir un agrandissement."Confier ce bâtiment à la police est la meilleure des choses à faire pour le neutraliser", a estimé le responsable du projet au gouvernement, Hermann Feiner.Plusieurs hypothèses avaient été envisagées pour l'avenir du bâtiment, y compris sa démolition ou une transformation radicale de son architecture.Les travaux vont coûter cinq millions d'euros financés par l'État. Ils s'achèveront au début de l'année 2023."Un nouveau chapitre, tourné vers l'avenir, va être ouvert concernant la maison natale d'un dictateur et d'un meurtrier de masse", a déclaré le ministre autrichien de l'Intérieur Karl Nehammer.Au terme d'une longue procédure, l'Autriche était définitivement devenue en 2019 propriétaire de cette maison, après en avoir été locataire pendant plus de 40 ans. Une expropriation avait dû être engagée contre la propriétaire.L'Autriche, annexée par l'Allemagne en 1938, a longtemps entretenu une relation complexe avec son passé. Après la Seconde guerre mondiale, ses gouvernements successifs l'ont présentée comme "la première victime du nazisme", niant la complicité de nombreux Autrichiens dans les crimes du IIIe Reich. Un regard critique a commencé à s'exercer au milieu des années 1980.
Il y a 4 ans et 334 jours

Les seules scies sur table avec aspirateur intégré pour une coupe à sec et sans poussière

Depuis la fin d’année 2019, ATDV a repris une nouvelle carte très prometteuse sur le marché. Déjà beaucoup plébiscitée dans l’Europe et l’Amérique, la société est maintenant en mesure de proposer des scies sur table iQ pour couper tous types de carrelages, de la brique, des pierres du béton et des pavés etc.. Trois modèles sont disponibles suivant le besoin de l’utilisateur. La grande innovation de ses produits ? Ce sont les seules scies sur table au monde avec un système d’aspiration cyclonique intégré. Elles permettent une coupe à sec et sans poussière et donc de travailler en intérieur et en extérieur. Grâce à ce nouveau système l’utilisateur sécurise ses voies respiratoires, garde son champ de vision dégagé et travaille plus rapidement. De plus, les scies sont simples à transporter et l’utilisateur n’aura plus de nettoyage à effectuer en fin de chantier. De quoi changer la vie de beaucoup d’entreprises. Les 3 types de scies sur table sont compactes, simples d’utilisation et facilement transportables. Les avantages : Un aspirateur intégré captant 99.5 % des poussières Montage simple, pas d’eau ni de poussière. Plus d’installation de protection de chantier et de nettoyage dus à l’utilisation de l’eau Transport simple Coupe précise, nette et rapide Pas de laitance et d’eau contaminée dans la nature et les canalisations L’utilisateur ne respirera plus de la silice Le disque reste froid ce qui permet d’avoir une plus grande durée de vie du matériel et consommable.   Informations supplémentaires : iQTS244 Coupe tout type de carrelage, pierre naturelle etc.. Capacité de coupe standard : 25 mm d’épaisseur et 610 mm en longueur Dimensions (en mm) : 685 x 711 x 864 Tension : 230 V Puissance : 2000 W Poids : 42 kg Diamètre du disque : 255 mm Aspirateur : 47 dm3/s Capacité bac à poussière : 5 kg Accessoires : Support X – Guide d’onglets – Kit de tuyau d’aspiration iQ360XR Coupe la pierre, la brique, des pavés etc.. Capacité de coupe : 95 mm d’épaisseur et 305 mm en longueur Dimensions (en mm) : 432 x 762 x 508 Tension : 230 V Puissance : 2300 W Poids : 30 kg Diamètre du disque : 355 mm Aspirateur : 47 dm3/s Capacité bac à poussière : 22 kg Accessoires : SmartCart iQMS362 Coupe du béton, pierre, maçonnerie etc.. Capacité de coupe : 140 mm d’épaisseur et 610 mm en longueur Dimensions (en mm) : 432 x 762 x 508 Tension : 230 V Puissance : 2300 W Poids : 68 kg Diamètre du disque : Q-drive 420 mm Aspirateur : 47 dm3/s Capacité bac à poussière : 18 kg Poids maxi sur la table : 25 kg
Il y a 4 ans et 334 jours

"La rénovation énergétique, excellent candidat pour le plan de relance" E.Wargon

ENTRETIEN EXCLUSIF. Rénovation énergétique, label RGE, coups de pouce CEE, diagnostic de performance énergétique, réglementation environnementale, relance... La secrétaire d'État à la Transition écologique et solidaire, Emmanuelle Wargon, a reçu Batiactu au ministère pour effectuer un tour d'horizon de l'actualité.
Il y a 4 ans et 334 jours

Riou Glass invente le premier verre sanitaire auto-désinfectant pour faire barrière au Coronavirus

Même pendant la période de confinement, le verrier RIOU Glass n’a jamais cessé d’innover. Pour faire face à la crise sanitaire du COVID-19, et la nécessité de protéger les populations, l’ETI normande annonce avoir mis au point le premier verre auto-désinfectant.Chauffé à intervalle régulier, à une température de 70°C, ce vitrage, qui ne présente aucun risque de brûlure pour l’homme, a la particularité de s’auto-désinfecter. Il permet ainsi de faire barrière à la propagation du COVID-19.« Des études scientifiques montrent que le COVID-19 perd de son potentiel infectieux quand il est soumis à une température de 65°C pendant 5 à 10 minutes. Une technique qui est utilisée dans des CHU pour désinfecter le matériel médical » explique Christine Riou, Vice-Présidente de RIOU Glass.Une technologie déjà éprouvéePour concevoir ce nouveau verre sanitaire, l’ETI RIOU Glass s’est appuyée sur une technologie déjà éprouvée, celle de son autre innovation : le vitrage chauffant par rayonnement CalorGlass®.Grâce à une fine couche de microparticules métalliques déposée à l’intérieur du vitrage, la paroi reliée à une alimentation électrique monte progressivement en température jusqu’à 70°C dans le cadre de son application sanitaire (20 à 45°C pour une fonction chauffage). Le tout étant totalement invisible à l’œil nu et automatisable.« Les produits d’hier ne seront plus ceux d’aujourd’hui. Pour protéger la population des virus ou bactéries, les architectes et designers devront nécessairement intégrer dans leurs créations cette notion de protection sanitaire. Imaginez le nombre de personnes que des surfaces vitrées auto-désinfectantes pourraient protéger à l’avenir. Les applications et perspectives sont nombreuses : dans les hôpitaux, hôtels, restaurants, bureaux, transports publics (aéroports, gares, trains, métros, bus…), magasins… » poursuit Christine Riou.HygiaGlass® : une gamme complète d’écrans de protection sanitaireCette nouvelle utilisation du verre est d’ores et déjà applicable dans la nouvelle gamme d’écrans de protection sanitaire lancée par RIOU Glass. Destinée à protéger les personnes travaillant en contact direct avec le public (accueils, guichets ou caisses des commerces, entreprises, administrations, cabinets médicaux, établissements de santé…), la gamme HygiaGlass® offre, en plus de solutions verrières sur-mesure, 3 modèles standardisés en verre extra-clair trempé de sécurité, faciles à poser et amovibles : SOLO LUNA, des écrans de protection design tout en verre, SOLO PURA, avec supports métalliques, et TRIO, équipés de protections d’angle vitrées.RIOU Glass propose également sur ses solutions de protection parfaitement transparentes, qu’elles soient standardisées ou sur-mesure, plusieurs options de personnalisation possibles (encoches passe-documents, parloirs, coins arrondis). Ces écrans vitrés peuvent aussi être marqués (logos, textes, images…) ou encore opacifiés pour offrir plus d’intimité entre deux espaces.« Le verre est un matériau noble, qualitatif, recyclable à l’infini. Il offre de nombreux avantages par rapport au plexiglas que ce soit en termes d’esthétique, d’hygiène, de facilité d’entretien ou de durabilité dans le temps. Des écrans qui de surcroît participent à la reprise de notre économie car de production 100% française » conclut la Vice-Présidente.
Il y a 4 ans et 334 jours

Concession de 30 ans à Voltalia pour une centrale photovoltaïque

Le Ministère de l'Infrastructure et de l'Énergie albanais avait attribué mercredi à Voltalia un contrat de concession de 30 ans, suite à un appel d'offre lancé en janvier mais retardé à deux reprises en raison de l'épidémie du coronavirus et de l'interdiction des déplacements qui s'en est suivie, a indiqué le président de la Chambre de commerce, Julien Roche."Avec une capacité de 140 mégawatts, le projet de Karavasta représente pour Voltalia la deuxième plus importante centrale photovoltaïque au monde", selon lui.Les autorités albanaises de l'Énergie ont annoncé que Voltalia va investir 100 millions d'euros à Karavasta, qui bénificie en moyenne de 2.700 heures de soleil par ans.Sur les 140 mégawatts, la moitié sera vendue à 24,89 euros le mégawattheure via un contrat de vente d'énergie de 15 ans conclu avec l'État albanais, a-t-il précisé.Le reste de l'énergie sera vendu selon les termes d'un autre contrat à long terme négocié sur le marché.Voltalia est présent en Albanie depuis 2018 à travers des contrats de construction clés en main pour des clients tiers portant sur trois centrales photovoltaïques (7,5 mégawatts) situées à 10 kilomètres de la future centrale de Karavasta.L'Albanie continue à diversifier ses énergies renouvelables en se tournant essentiellement vers le solaire et l'éolien, selon les autorités albanaises.
Il y a 4 ans et 334 jours

Saint-Gobain cède sa participation dans Sika pour 2,41 Md€

Pierre-André de Chalendar est le Pdg de Saint-Gobain. [©Saint-Gobain] Saint-Gobain a annoncé avoir finalisé la cession d’environ 15,2 millions d’actions Sika détenues par sa filiale Schenker-Winkler Holding AG. Ceci représentant l’intégralité de sa participation de 10,75 % du capital de l’industriel suisse Sika. Et ce, pour un montant total de 2,41 Md€. La transaction s’est effectuée par placement privé auprès d’investisseurs institutionnels qualifiés par voie de construction accélérée d’un livre d’ordres. Cette cession permet à Saint-Gobain de générer un gain brut s’élevant à 1,44 Md€ depuis mai 2018. Cette vente de la participation dans Sika lui permet ainsi de renforcer encore son bilan. Retour sur la vente par Saint-Gobain Rappelons que Saint-Gobain avait acquis une participation de 10,75 % dans Sika dans le cadre d’un accord global conclu avec le Suisse et la famille Burkard en mai 2018, lors du rachat de Schenker-Winkler Holding AG. Les titres Sika étaient détenus en tant que titres de participation. « La participation dans Sika a constitué un investissement exceptionnel pour Saint-Gobain durant les deux dernières années, explique Pierre-André de Chalendar, Pdg de Saint-Gobain. Nous avons finalisé la vente pour un montant de 2,56 Md de CHF, soit environ 2,41 Md€, à comparer avec un prix d’achat de 933 M€ en mai 2018. La réalisation d’un tel retour sur investissement est un développement très positif pour le groupe. Les gains de cette cession renforceront le bilan, la flexibilité financière et la position de liquidité de Saint-Gobain dans un environnement qui demeure incertain. »
Il y a 4 ans et 334 jours

Lancement du chantier du parc éolien de Fécamp

EDF Renouvelables, Enbridge et wdp ont annoncé le début du chantier du parc éolien en mer de Fécamp. D’une capacité de 500 MW, le parc éolien en mer de Fécamp sera composé de 71 éoliennes localisées entre 13 et 22 km au large des côtes. Sa mise en service est prévue à l’horizon 2023.
Il y a 4 ans et 334 jours

Incendie sur le chantier de la Poste du Louvre à Paris

Un incendie spectaculaire est survenu rue Étienne Marcel ce mardi 2 juin, devant le chantier de restructuration de la Poste du Louvre conduit par Dominique Perrault Architecture depuis 2016. Une fuite de gaz provenant d’une canalisation « sous-trottoir » s’est rompue et des flammes de dix mètres de haut se sont propagées le long de la façade en pierre du bâtiment historique, conservée et restaurée dans l’esprit du bâtiment transformable de Julien Guadet, son concepteur. L’intervention...
Il y a 4 ans et 334 jours

L'Autorité de la concurrence promet de tenir compte de la crise pour la suite de la libéralisation du notariat

Les recommandations de l'Autorité "tiendront compte de l'impact, à court, moyen et long terme, de la pandémie de Covid-19 sur l'activité notariale", a annoncé l'institution dans un communiqué.Depuis 2016, depuis la loi Macron, le notariat connaît une relative libéralisation alors que l'ouverture de nouveaux offices étaient jusqu'alors extrêmement encadrée.Cette ouverture suscite l'opposition, vive au début puis plus contenue par la suite, des instances de la profession qui craignent les conséquences économiques d'une ouverture à la concurrence jugée trop brusque.C'est dans ce contexte, auquel s'ajoute désormais la crise du coronavirus, que l'Autorité de la concurrence doit formuler cet été, comme tous les deux ans, ses recommandations sur la suite de la libéralisation. C'est ensuite au gouvernement de se prononcer, mais il a jusqu'à maintenant suivi les avis de l'Autorité."Comme un grand nombre d'autres professions, les notaires ne sont pas épargnés par cette crise, certains offices ayant subi un ralentissement très important de leur activité pendant la période de confinement", a admis l'institution, annonçant une consultation auprès des notaires d'ici à la mi-juillet.L'Autorité a aussi annoncé qu'elle allait réviser les dernières mesures d'ouverture en date, remontant à la fin 2018. Celles-ci prévoyaient l'installation d'un peu plus de 700 notaires supplémentaires en France.Pour l'heure, environ la moitié de cet objectif a été concrétisé, selon l'Autorité, qui fait état de 330 nouveaux offices créés, les autorisations ayant été données par tirage au sort du fait de l'afflux massif de demandes.
Il y a 4 ans et 334 jours

Les taux des crédits immobiliers augmentent fortement en mai

Le mois dernier, les taux des crédits immobiliers accordés par le secteur concurrentiel se sont en moyenne établis à 1,25%, détaille dans un communiqué l'observatoire Crédit Logement/CSA, qui associe les principales banques françaises à un institut d'études de marché.C'est une franche hausse par rapport à mai (1,18%) et, plus largement, après des mois d'évolution à un plancher historique, touché en fin d'année dernière à 1,12%.Ce bond est une "réponse à la montée des risques et de l'incertitude sur les évolutions macroéconomiques et financières à venir", souligne l'observatoire dans un communiqué.Autrement dit, les banques prennent moins de risques au moment où s'installe une crise économique probablement historique, le gouvernement tablant désormais sur une récession de 11% cette année.Plusieurs courtiers en crédit, ainsi que les notaires, se sont déjà inquiétés ces dernières semaines de voir l'attitude des banques se durcir. Ils y voient un risque pour l'activité du marché immobilier et les capacités d'achat des ménages les moins fortunés, d'autant que les prix n'interrompent pas leur hausse.Certes, "la remontée des taux de crédits et la poursuite des hausses des prix des logements ont (...) été partiellement compensées par l'allongement des durées", note l'observatoire.La durée moyenne des prêts immobiliers s'est établi à 230 mois en mai, soit un peu plus de 19 ans, et continue à s'inscrire à des niveaux historiques.L'ensemble de ces chiffres doit être relativisé par le fait qu'ils proviennent d'un niveau d'activité très réduit à la suite de la crise et des mesures de confinement décrétées face au coronavirus.Même si le confinement a été levé le 11 mai, le nombre de nouveaux prêts immobiliers a chuté de quelque 40% sur tout le mois par rapport à un an plus tôt.
Il y a 4 ans et 334 jours

Surcoûts, impôts, collectivités : le soutien de l'Etat au BTP se précise

CONJONCTURE. Interrogé par le député LR Thibault Bazin (Meurthe-et-Moselle) sur la situation financière difficile des entreprises du bâtiment, qui doivent notamment faire face aux surcoûts des mesures sanitaires sur les chantiers, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a indiqué que l'Etat réfléchissait à une éventuelle prise en charge.
Il y a 4 ans et 334 jours

Bim : Arkance se renforce dans la digitalisation de la construction

Arkance, filiale du groupe Monnoyeur, vient de racheter un acteur de la digitalisation des secteurs de l'industrie et de la construction. Une opération qui lui permet d'étendre son maillage européen. Découvrez cette acquisition.
Il y a 4 ans et 334 jours

Mikael Stöhr, nouveau directeur général de Consolis

Mikael Stöhr a été nommé directeur général de Consolis. [©Peter Knutsson] Mikael Stöhr a été nommé directeur général de Consolis, maison-mère de Bonna Sabla. Et ce, à compter du 3e trimestre 2020. A propos de sa nouvelle mission, Mikael Stöhr a déclaré : « Consolis a développé une expertise inégalée en matière de solutions de construction préfabriquées, renforçant ainsi sa position de n° 1 en Europe et au-delà. Je suis très heureux de rejoindre et de diriger les équipes qualifiées de Consolis et ses différentes activités dans un environnement en pleine mutation, à l’issue de Covid-19. Ceci, afin que chaque activité puisse fournir des solutions de construction à haute valeur ajoutée, techniques et durables ». La carrière de Mikael Stöhr Né en 1970, Mikael Stöhr est diplômé en droit et en administration des entreprises de l’Université de Lund, en Suède. Il est actuellement Pdg de Coor Service Management, un des principaux fournisseurs de services aux entreprises et aux collectivités dans les pays nordiques. Ainsi, il possède une solide expérience internationale dans la gestion et la transformation d’entreprises dans divers secteurs. Il restera membre du conseil d’administration d’Ambea, un fournisseur de soins, leader sur le marché nordique. 
Il y a 4 ans et 334 jours

Patrick Norguet x Postforming : SEE U

Le designer Patrick Norguet s’associe à l’entreprise française spécialisée dans l’agencement Postforming pour produire une collection inédite de paravents et d’écrans. Baptisée « SEE U », la série répond élégamment aux nouvelles demandes d’organisation spatiale liées à la situation sanitaire actuelle. Conscient des logiques actuelles d’agencement, le créateur français Patrick Norguet a imaginé une collection d’objets made in France qui permettent d’organiser des espaces des lieux publics ou privés. Ces paravents et écrans transparents en métal et en polycarbonate se déclinent en diverses teintes et tailles, mais sont aussi personnalisables sur demande. Ils garantissent ainsi la sécurité des salariés sur leur lieu de travail ou des particuliers chez eux tout en habillant des intérieurs ou des espaces extérieurs. Très actuelle, la collection SEE U propose une réinterprétation contemporaine du paravent pour répondre au mieux aux nouveaux besoins des entreprises et des particuliers, et leur permettre de partager des moments de convivialité en toute sécurité. Pour en savoir plus, visitez le site de Patrick Norguet et celui de Postforming. Photographies : Studio Norguet design Léa Pagnier
Il y a 4 ans et 334 jours

Une première série de mesures de soutien aux collectivités territoriales

FINANCES LOCALES. Sur la base des premières conclusions d'une mission sur l'impact financier de l'épidémie de covid-19, le Gouvernement soumettra au Parlement un plan d'environ 4,5 Mds€ pour aider les exécutifs locaux à passer le cap et relancer l'investissement.
Il y a 4 ans et 334 jours

Crédit : les taux bondissent en avril

FINANCEMENT. En "réponse à la montée des risques et de l'incertitude sur les évolutions macroéconomiques et financières à venir", les taux des crédits immobiliers ont connu une franche hausse en mai, d'après les chiffres de l'observatoire Crédit logement/CSA.
Il y a 4 ans et 334 jours

Les artisans du BTP veulent croire à la relance économique du secteur

Fort de son positionnement privilégié avec plus de 2.200 artisans partenaires, PrimesEnergie.fr dévoile les principaux enseignements de son enquête de terrain inédite réalisée à la sortie du confinement.Principaux enseignementsEn dépit de la crainte d'un « trou d'air » post-confinement...Si 91% des artisans estiment avoir pris les mesures sanitaires nécessaires pour assurer la sécurité et la santé des salariés, plus d'un patron sur deux craint d'envoyer ses collaborateurs travailler sur les chantiers. Le coronavirus représente une menace latente sous laquelle il est difficile d'être serein : très partagés, seule la moitié estime que les conditions sont réunies pour que le secteur du BTP poursuive son activité.Alors que 54% des répondants déclarent avoir conservé une activité relativement normale durant la période de confinement, une part significative d'artisans a été contrainte de cesser toute activité (23%) quand d'autres ont pu limiter la casse en recourant au chômage partiel (23%). Moins touchés que dans les secteurs de la restauration, du tourisme ou de l'événementiel, les professionnels du bâtiment s'interrogent sur la capacité du gouvernement à soutenir durablement le secteur (59%).Alors que les particuliers représentent 2/3 de leur activité, le maintien des aides comme le dispositif des certificats d'économie d'énergie ou la TVA à 5,5 % sur certains travaux est pour eux un enjeu majeur. Ainsi, alors que les résultats de l'étude OpinionWay révélaient notamment que près de 7 Français sur 10 s'inquiètent de la capacité de l'État à maintenir les aides à la rénovation énergétique, 63% des artisans du BTP s'inquiètent quant à eux de la capacité des particuliers à financer leurs travaux.Au-delà de la problématique du financement, 46% des professionnels craignent de voir baisser la motivation des Français à réaliser des travaux. Enseignements de nature à les rassurer : 59% des Français se déclarent inquiets de la disponibilité des artisans pour continuer et terminer les travaux de rénovation et 41% craignent de ne pas pouvoir concrétiser leurs projets en la matière.... Le moral des artisans du BTP résiste à la crise.Alors que le marché du bâtiment est l'un des premiers secteurs d'activité économique du pays, les artisans du bâtiment se montrent globalement optimistes sur les perspectives économiques d'une façon générale et le marché du bâtiment en particulier (52%). Indicateur révélateur de leur état d'esprit positif : près de 7 sur 10 témoignent également leur confiance dans la capacité de leur entreprise à surmonter la crise et à maintenir les emplois.Malgré les difficultés occasionnées par la crise actuelle, 26% des artisans interrogés estiment avoir retrouvé leur niveau habituel d'activité à la rentrée et 35% pensent avoir repris ¾ de leur activité.« Cette enquête terrain transmet une vision particulièrement encourageante de la perception des professionnels du bâtiment. Elle permet de relever l'évolution du paysage général et démontre que la transition écologique est synonyme de relance économique vertueuse autant pour les particuliers que les professionnels. L'étude que nous avons réalisée avec OpinionWay démontre avec force que les Français ne veulent plus choisir entre l'économie et l'environnement et que les aides à la rénovation énergétiques et les certificats d'économie d'énergie en particulier seront une des pierres angulaires de la reprise » - Nicolas Moulin, Président de PrimesEnergie.fr.Note méthodologique : enquête réalisée en mai 2020 auprès de 370 artisans du bâtiment.
Il y a 4 ans et 334 jours

Collectivités et architectes sont-ils prêts pour le BIM généralisé ?

NUMÉRIQUE. La filière est-elle prête pour l'instruction dématérialisée des demandes de permis de construire au 1er janvier 2022, comme le prévoit la loi ? Fin mai, François Pélegrin, président d'honneur de l'Unsfa, a présenté une expérimentation qui doit aider architectes et services instructeurs à appréhender le permis de construire numérique, dans le cadre du plan BIM 2022.
Il y a 4 ans et 334 jours

Point.P publie son nouveau catalogue

Point.P a publié le catalogue “Matériaux, Outillages & Consommables”. [©Point.P] Point.P lance l’édition 2020 de son catalogue “Matériaux, Outillages & Consommables”. L’outil se veut 2-en-1, en intégrant à la fois une partie matériaux, qu’une partie outillages et consommables, avec plus de 30 000 références. Il s’adresse à l’ensemble des acteurs du BTP. Pour répondre aux besoins de la filière, plus de 365 000 exemplaires sont diffusés. Soit 40 % d’exemplaires en moins que l’année 2019. Et ce, pour répondre aux contraintes environnementales actuelles. Le catalogue se décline en 10 versions régionales. Pour chacune, la partie “matériaux” comprend 11 univers. A savoir : Gros œuvre, Façade ITE, Assainissement, VRD-TP, Bois et Panneaux, Couverture, Systèmes plaque et Plâtre, Isolation, Plafond, Menuiseries intérieures & extérieures et Revêtements sol & mur. Quant à la partie “Outillages”, elle est repartie en 8 univers. Tels que Connectivité-électricité, Electro & Consommables, Matériel de chantier, Protection individuelle, Outillage manuel, Fixation-quincaillerie, Plomberie-sanitaire. Ainsi que Mastic-peinture-droguerie. Ce nouveau catalogue a été pensé, afin de faire gagner du temps aux professionnels. Afin de pousser cette volonté encore plus loin, Point.P a même intégré un nouveau service de contact par SMS. En effet, en fin de page, une liste d’agences Point.P ayant adopté ce service est proposée.
Il y a 4 ans et 334 jours

Mesures d'urgences pour les finances des communes et des intercommunalités

Suite à la remise du rapport demandé à Jean-René CAZENEUVE, député du Gers et président de la Délégation aux collectivités territoriales de l'Assemblée nationale, visant à mesurer, déterminer, quantifier l'impact de la crise, beaucoup de ses propositions sont reprises par le Gouvernement.Les mesures qui seront contenues dans le projet de loi de finances rectificative qui sera présenté au Conseil des ministres dans la première quinzaine du mois de juin, puis ensuite discuté à l'Assemblée nationale et au Sénat, sont d'une ampleur inédite. Elles doivent permettre au bloc communal, à l'ensemble des communes, aux EPCI de faire face aux difficultés financières qu'elles connaissent.Clause de sauvegarde pour les recettes des collectivités du bloc communal de 750 millions d'eurosPour les communes et intercommunalités, le Gouvernement proposera au Parlement, lors de cette prochaine loi de finances rectificative, un mécanisme de compensation des recettes fiscales et domaniales. Les recettes fiscales et domaniales des communes seront donc garanties, à hauteur de la moyenne des années 2019, 2018 et 2017. Ce mécanisme n'a jamais été employé. Il a été évalué, mais c'est une fourchette haute, à un montant d'environ 750 millions d'euros, et il devrait bénéficier à 12000 à 14000 communes. Cela est donc parfaitement massif et inédit, et c'est pour ces communes, l'assurance d'un montant minimal de recettes qui est évidemment extrêmement précieux pour faire face à la crise.Le Gouvernement a souhaité créer un instrument supplémentaire pour faire face aux dépenses exceptionnelles liées au Covid19 auxquelles les communes doivent faire face. Cela s'est fait en suspendant l'application des contrats de Cahors, et en prenant en charge 50% du coût des masques commandés et payés par les communes. Au-delà de la prise en compte de ces deux éléments, il est apparu nécessaire, de créer un système qui permette de lisser dans le temps la prise en charge des dépenses exclusivement liées au Covid. Le Gouvernement va donc mettre en place un mécanisme qui permettra de lisser sur trois ans le coût des mesures prises pour faire face au Covid19.1 milliard d'euros pour l'investissementIl s'agit enfin de donner dès à présent aux exécutifs communaux et intercommunaux les moyens de relancer la machine économique. C'est la raison pour laquelle, sur la proposition de Jacqueline GOURAULT et de Sébastien LECORNU, le Gouvernement a pris la décision de doter d'un milliard d'euros supplémentaire le fonds de dotation de soutien à l'investissement local (DSIL), qui permettra d'accompagner les investissements verts des communes.
Il y a 4 ans et 334 jours

Emploi : menacé par le coronavirus, l'apprentissage garde espoir

FORMATION. L'apprentissage, qui parvenait enfin à démarrer en France en comptant environ 490.000 alternants à la fin 2019, risque de faire les frais de la crise du Covid-19. Pour le président de WorldSkills France, Armel Le Compagnon, l'enjeu est de faire monter en compétences les étudiants tout en les accompagnant.
Il y a 4 ans et 334 jours

Un salarié de PME sur deux a réintégré son poste de travail à la fin du confinement

Selon ces patrons, le coût moyen des mesures de protection sanitaire liées au coronavirus est évalué à 100 euros par mois et par salarié.Or "une très grande majorité des entreprises (88%) n'a pas la capacité de reporter ce coût sur le prix de vente ou les contrats en cours", souligne la Confédération des petites et moyennes entreprises dans un communiqué.La quasi-totalité (99%) des chefs d'entreprise ont déclaré avoir "pris des mesures de protection sanitaire pour éviter la propagation de l'épidémie", mais "plus de la moitié d'entre elles (57%) ont rencontré des difficultés à se procurer des équipements de protection individuelle (masques, gels, visières...) pour leurs salariés", précise la CPME."Une très large majorité d'entreprises (81%) n'a eu, contrairement à ce que l'on aurait pu légitimement attendre, aucun accompagnement de la médecine du travail", déplore aussi l'organisation.Environ la moitié (51%) des entreprises ont réorganisé les espaces de travail, et 39% de patrons répondants déclarent avoir "assoupli le temps de travail en décalant les temps de pause ou en instaurant une flexibilité des horaires" afin d'aider à respecter les consignes de distanciation sur le lieu de travail.Enfin 93% ont bénéficié d'au moins un "accompagnement de l'État" durant la crise sanitaire.La mesure accueillie la plus favorablement est le chômage partiel avec 94% de satisfaits, suivi par le prêt garanti par l'État (PGE), plébiscité à 88% , et le fonds de solidarité pour les TPE qui compte 82% de bénéficiaires satisfaits, selon l'enquête.La CPME précise que les résultats de l'enquête sont basés sur des "réponses volontaires" des chefs d'entreprise et non "d'un échantillon constitué selon la méthode des quotas".
Il y a 4 ans et 335 jours

Avec Web2vi, Unilin Insulation renforce son offre de services pour les membres du Club Unilin

Aujourd'hui, pour poursuivre son engagement sur les chemins de l'innovation, l'industriel étaye son offre pour les membres du Club en partenariat avec WEB2Vi.com, créateur d'outils numériques pour les professionnels du bâtiment. UNILIN Insulation propose deux packs pour réaliser des devis 2 fois plus vite et optimiser la gestion de l'entreprise, en prenant en charge jusqu'à 50% de l'investissement, en fonction du nombre de chantiers réalisés.WEB2VI.com, un partenaire innovantGrâce à ce partenariat, UNILIN Insulation se met au service des adhérents pour les aider à mieux gérer leur entreprise et maintenir leur savoir-faire dans un monde où le digital offre des solutions innovantes et impactantes qui couvrent toutes les étapes d'un projet.En effet, plus qu'un outil de prise de mesure et de chiffrage, WEB2Vi.com est un logiciel et une bibliothèque d'ouvrages pour couvreurs et charpentiers ainsi qu'une plateforme de gestion en ligne depuis le métré jusqu'à l'export comptable. Des référentiels de poses précis créés par des professionnels pour tous les métiers du bâtiment y sont disponibles. De plus, l'intégration du métré 3D dans le devis grâce au drone ANAFI avec prise de vue 4K (en collaboration avec Parrot) complète l'offre de solutions novatrices.Ces outils numériques permettent aux artisans de renforcer l'efficacité dans leur gestion :réalisation de maquettes 3D métrées à partir des images 4K du drone,des temps de métrés et devis divisés par 10,amélioration des diagnostics terrain et visualisation parfaite de l'état de la toiture,réduction des risques de chute, la sécurité étant une préoccupation majeure chez UNILIN Insulation,gestion des clients et négociation commerciale simplifiées.Deux packs WEB2Vi.com pour répondre aux différents besoinsUNILIN Insulation propose aux membres du Club deux packs avec une participation financière pouvant aller jusqu'à 1145 euros en fonction du nombre de chantiers Trilatte réalisés avec cet outil.Le pack métré 3DUne solution intermédiaire comprenant le logiciel de photogrammétrie, le drone PARROT ANAFI ainsi qu'une tablette, pour réaliser les maquettes 3D et les mesures et diagnostics.Le pack ProLa solution complète comprenant le Pack métré 3D ainsi que le logiciel de gestion avec les bibliothèques d'ouvrages et de matériaux de WEB2Vi.com.A travers ce partenariat, UNILIN Insulation poursuit donc sa mission d'accompagnement auprès de ses partenaires installateurs en les sensibilisant, en les formant et en leur proposant d'accéder de manière privilégiée à des solutions innovantes et simples.Le Club UNILIN est plus que jamais au service des couvreurs, charpentiers et entreprises générales pour les aider, au quotidien, à mettre en œuvre les meilleures solutions d'isolation par l'extérieur des toitures en pente.
Il y a 4 ans et 335 jours

ONDULINE : Une toiture amiantée de 4 200 m2 rénovée avec ONDUCLAIR RENOV FC

Changer l’ensemble d’une toiture en fibrociment amianté prend du temps et exige souvent des investissements élevés. Pour rénover la toiture de leur concession automobile et éviter toute perte d’exploitation durant le chantier, les dirigeants de cette entreprise, située à Caudan dans le Morbihan, ont choisi une rénovation en sur-toiture avec le système ONDUCLAIR RENOV FC proposé par ONDULINE. La législation en termes de rénovation d’une toiture amiantée implique de nombreuses contraintes. Déposer une toiture amiantée peut vite devenir lourd d’un point de vue financier car il convient de faire appel à une société spécialisée et certifée sous section 3 du Code du travail. Celle-ci doit sécuriser l’ensemble du chantier, dans un cadre législatif très strict, ce qui dans le cas de cette concession automobile risquait de rendre inaccessible les locaux, le temps du démontage puis de l’installation d’une nouvelle couverture. Pourtant l’ancienneté de la toiture de ce bâtiment la rendait sujette à des problèmes d’infiltration, ce qui présentait des risques pour la santé des employés. Le bâtiment est composé de 3 halls, chacun recouvert d’une toiture ondulée en fibrociment amianté de 1 400 m2, soit une surface totale de 4 200 m2. Compte tenu de l‘importance de la surface à rénover et des contraintes économiques, il a été choisi de conserver l’ancienne toiture et de la recouvrir sans perçage avec un matériau adapté. Il a fallu opter pour une solution légère, qui puisse être supportée par la charpente existante. Romuald Bigot, responsable commercial de La Maison de l’Étancheur, et Michel Provost, dirigeant de l’entreprise de couverture CCBI agréé Onduline, en charge du chantier, ont proposé le système ONDUCLAIR RENOV FC, dont l’application revêt de nombreux avantages. ONDUCLAIR RENOV FC Solution économique et efficace Le système ONDUCLAIR RENOV FC est une solution de sur-toiture efficace, en termes d’étanchéité et d’isolation, qui permet un strict respect de la législation « amiante ». Le procédé consiste à couvrir, sans aucun perçage, la toiture ondulée en fibrociment des bâtiments. Posés sur les plaques existantes, les éléments ondulés et isolants (ép. 30, 50, 80 mm) en polystyrène expansé (version ONDUCLAIR FC PSE) seront eux-mêmes recouverts de plaques en polyester armé pour assurer une bonne étanchéité. Disponible en différentes couleurs et dans un large choix de profils, ONDUCLAIR RENOV FC s’adapte aux mesures de la couverture d’origine. Les attaches spécifiques viennent « pincer » sur leurs bords les plaques de fibrociment existantes, assurant ainsi leur recouvrement sans les altérer. Autres avantages : la simplicité et la rapidité de la mise en œuvre, qui permettent à un poseur de couvrir à lui seul 10 m2 par heure ; le poids très léger de 3 kg au m2 de la couverture et de son isolant (en ONDUCLAIR FC PSE), qui évite toute surcharge sur la charpente existante. Un système complet, facile à poser Les nombreux atouts d’ONDUCLAIR RENOV FC ont convaincu les intervenants de privilégier cette solution. Romuald Bigot, de La Maison de l’Étancheur, affirme : « Nous avons choisi ONDUCLAIR RENOV FC car, compte tenu de la surface, nous avions une grande contrainte relative à la charge sur la structure existante. Cette solution était largement la plus performante sur ce point. » La réalisation des travaux a pu s’effectuer dans des délais limités, sans suspendre les activités et sans déménager les infrastructures de la concession et de son atelier, ce qui aurait généré une perte financière importante. Par ailleurs, la longueur des plaques (jusqu’à 12 m) a permis de limiter le nombre de recouvrements sur la couverture initiale, pour une pose, une esthétique et une étanchéité optimisées. Michel Provost, de l’entreprise de couverture CCBI, ajoute : « Ce système est d’une grande facilité de pose. Les éléments, très simples à manipuler, permettent une exécution rapide du chantier. » La gamme ONDUCLAIR RENOV FC se compose en effet d’un large choix d’accessoires tels que faitières, raccords de murs, rives, plaques à châssis, entourage de cheminée… En outre, des plaques translucides sont proposées pour réaliser des puits de lumière. Pour Olivier Lafitte, chef d’équipe de l’atelier de la concession, ce type de rénovation rend le travail plus confortable : « Nous avons pu continuer à travailler pendant toute la durée du chantier. Nous profitons à présent d’une toiture complètement étanche, d’une meilleure luminosité grâce aux translucides qui ont été remplacés. Nous profitons aussi d’une meilleure isolation thermique et acoustique, ressentie en cas de forte pluie. » Avantage produits : • Évite le démontage et l’évacuation coûteuse des plaques en fibrociment amianté • 8 à 10 m2 à l’heure par poseur • Permet de restaurer facilement tous les bâtiments : s’adapte aux profils de la couverture initiale • Isolation par l’extérieur sans perçage de la couverture initiale • Pas de perte d’exploitation (commerces, industries, bureaux…) • Système léger : à partir de 3 kg/m2 pas de surcharge de couverture Caractéristiques • Épaisseurs : 30 mm* / 50 mm* / 80 mm • Profils : GO 92 (5 ondes 1⁄2 – 177 x 51) GO 110 (6 ondes 1⁄2 – 177 x 51), existe en PST, super onde ou maxi onde • Coloris : rouge foncé / ardoise / gris • Isolant : E • Résistance thermique : R(m2/°C/w) : 2.50 en PSE graphité, ép. 80 mm)
Il y a 4 ans et 335 jours

SPIE conçoit un nouveau centre de contrôle sur la Potsdamer Platz

Lancé en août 2019, le projet doit s'achever en mai 2021. TELBA GmbH, une filiale de SPIE Deutschland & Zentraleuropa, réalise les travaux portant au total sur 16 bâtiments de la Potsdamer Platz, parmi lesquels des complexes de bureaux, un centre commercial, une salle de spectacle et plusieurs cinémas, ainsi qu'un parking souterrain sous toute la superficie de la place.Une solution système fiable et durableLe contrat prévoit la connexion de tous les dispositifs techniques de sécurité, tels que les systèmes d'alarme incendie et anti-intrusion, les équipements vidéo, les issues de secours et ascenseurs déjà en place, et le système de contrôle d'accès à la totalité des 16 bâtiments de la Potsdamer Platz, à un nouveau système de vidéosurveillance et de gestion des risques basé sur WinGuard et Milestone, deux logiciels indépendants du matériel. Lorsque l'opération sera terminée, le système complet assurera l'administration et la gestion d'environ 40 000 points de données et 700 caméras vidéo.Le contrat prévoit également le renouvellement de la technologie vidéo, avec l'installation de caméras sur IP Axis (sans câble réseau), d'un système de détection vidéo intelligent et de la technologie de centre de contrôle (équipements, mur d'images, salle de crise, etc.), avec notamment un système de communication basé sur la solution UNIFY OpenScape Xpert. Jörg Marks, directeur général de TELBA GmbH, explique : « En plus de ce contrat majeur, nous sommes heureux d'avoir négocié un contrat de maintenance de dix ans pour les nouvelles installations. »De hautes compétences d'une seule et unique sourceLes clients du fournisseur de services multi-techniques bénéficient d'un large éventail de services auprès d'une seule et unique source. D'autres unités SPIE sont impliquées dans l'installation des solutions de communication et la mise en œuvre technique du système de vidéosurveillance et de gestion des risques. « Grâce aux multiples compétences de SPIE, nous étions le seul fournisseur à proposer une solution technique tout-en-un convaincante. Ce projet phare met en lumière nos capacités et illustre parfaitement la force collective des unités opérationnelles de SPIE », explique Michael Hartung, directeur de la division ICS (Information & Communication Services) et membre du comité de direction de SPIE Deutschland & Zentraleuropa. En outre, le projet marque une nouvelle étape importante dans le développement continu de l'activité des systèmes d'alarme.Respect du calendrierLes premières étapes se sont correctement déroulées : Le centre de contrôle, désormais équipé d'un nouveau mobilier et de nouveaux écrans, est d'ores et déjà opérationnel avec les systèmes existants. Dans les prochaines semaines, les nouveaux logiciels de gestion du centre de contrôle seront installés sur des serveurs virtuels et accessibles sur site ; ils seront alimentés en données d'ici fin 2020. Des tests complets ont déjà été menés avec succès. Par ailleurs, au cours des 12 prochains mois, les caméras, au nombre d'environ 700, seront installées sur toute la zone de la Potsdamer Platz et seront progressivement mises en service. Jörg Marks : « Le test final du système est prévu pour début 2021, et nous devrions livrer le projet à notre client, Brookfield Properties, en mai la même année. »Un partenariat de confiance et certifié« Aux dires mêmes de notre client, la solution technique que nous lui avons proposée avec notre partenaire Advancis a été décisive dans l'attribution de ce projet, et nous en sommes très fiers. Notre solution apporte une valeur ajoutée nettement supérieure à celle des solutions concurrentes. Une raison de plus de nous réjouir d'avoir remporté ce contrat ! », se félicite Jörg Marks. Au début du mois de mars 2020, SPIE a été certifiée « partenaire système » d'Advancis Software & Services GmbH. L'éditeur de logiciels est l'un des leaders du marché mondial des logiciels de gestion de la sécurité et de la technique du bâtiment multi-fournisseurs.
Il y a 4 ans et 335 jours

Les géants des centres commerciaux Klépierre et URW rouvrent à travers le monde

URW "annonce aujourd'hui que 65 de ses 90 centres dans le monde sont désormais rouverts après la levée d'une série de restrictions liées au Covid-19", a détaillé dans un communiqué le groupe, qui possède entre autres le Forum des Halles et le centre de la Part-Dieu.De multiples pays ont pris depuis le début de l'année de strictes mesures de confinement pour éviter la propagation du coronavirus, contraignant le plus souvent les centres commerciaux à une fermeture pure et simple.En France, par exemple, le confinement a duré de mi-mars à début mai et, même avec sa levée, les préfets ont gardé la possibilité d'interdire la réouverture des plus grands centres.Mais, désormais, l'essentiel des centres français ont rouvert pour URW et son grand concurrent, Klépierre, qui détient par exemple Créteil-Soleil en banlieue parisienne."Klépierre a rouvert l'intégralité de ses centres commerciaux en France", a annoncé le groupe lors du week-end.Pour les deux groupes, la situation ne se résume néanmoins pas à la France, car ils sont présents à travers l'Europe, ainsi qu'aux États-Unis pour URW.Cette situation est plus favorable à Klépierre que pour URW qui attend encore des mesures de déconfinement dans certains États américains.Alors que le premier promet la réouverture de tous ses centres européens d'ici à la fin de semaine, le second ne compte que sur la réouverture de 87% de l'ensemble de ses sites au 15 juin."Ce chiffre devrait augmenter après la confirmation aux États-Unis de la fin des restrictions dans d'autres États et comtés", assure URW, évoquant par ailleurs un retour plus important que prévu des clients dans ses centres qui ont rouvert à travers le monde.Après ces annonces, les titres de Klépierre et URW, qui s'étaient effondrés pendant la crise, bondissaient en Bourse mardi, prenant chacun plus de 10%.
Il y a 4 ans et 335 jours

La construction en bonne santé... juste avant la crise du Covid-19

Les chiffres publiés de décembre 2019 à février 2020 confirment que le secteur de la construction, notamment de logements, avait bien démarré l'année, avant que la crise du Covid-19 ne rabatte les cartes...
Il y a 4 ans et 335 jours

ACBI gagne son procès pour son produit breveté: Le Modulogard

Cette semaine, le tribunal de grande instance de la ville de Paris a rendu son verdict dans une affaire de violation de brevet. La cour a statué en faveur de la société ACBI. Deux ans de procédure auront été nécessaire pour faire condamner l’entreprise contrefactrice du brevet concernant le Modulogard® . Pour rappel ce procédé de garde-corps rabattable destiné à équiper les modules de chantier a vu son brevet déposé en 2012. La justice reconnait le caractère innovant dans l’association de moyens qui confèrent au brevet toute sa validité. En conclusion : Le verdict condamne le contrefacteur à mettre fin à toute infraction à la législation sur la propriété intellectuelle et à dédommager ACBI du préjudice subi. La jurisprudence est maintenant établie
Il y a 4 ans et 335 jours

Pomme de douche, robinet, filtre... La digitalisation de l'eau pour le bien-être de l'utilisateur

La gestion durable de cette ressource précieuse est devenue essentielle et l'on assiste à une véritable prise de conscience de la part des pouvoirs publics mais également des entreprises : réduction des déchets plastiques, consommation optimisée, retraitement des eaux usées…En tant que leader mondial des fabricants de robinetterie sanitaire, GROHE a pour mission de développer des technologies intelligentes permettant aux personnes d'utiliser l'eau de manière consciente et durable. Grâce aux solutions du fabricant qui œuvre pour une digitalisation de l'eau, les clients GROHE deviennent consomm'acteurs et peuvent agir au quotidien pour préserver cette ressource si précieuse.GROHE Rainshower Smart Connect : des fonctions intelligentes pour une douche incomparableGROHE met au point des innovations qui permettent une expérience durable de l'eau, combinant manipulation intuitive et précision de contrôle sans compromettre le plaisir de l'eau.La pomme de douche Rainshower 310 SmartConnect de GROHE (disponible en version ronde ou carrée) est connectée via Bluetooth à une télécommande ronde alimentée par batterie. Avec la commande sans fil qui peut être placée librement dans la douche, les types de jet de la pomme de douche peuvent être choisis de manière pratique et, grâce à des pictogrammes explicites, il est possible de choisir entre le motif de jet Rain et Jet. Cette connectivité permet de distribuer la juste quantité d'eau, sans avoir à rechercher les jets précédemment utilisés.GROHE Robinet Plus : la précision numérique au bout des doigtsLa digitalisation de l'eau passe également par son contrôle de la température de l'eau et ce, au degré près. Pour simplifier le quotidien et améliorer la qualité de vie de l'utilisateur, GROHE a conçu Plus, un robinet intelligent qui contrôle avec exactitude la température de l'eau grâce à un affichage digital de précision.Ce dispositif permet à l'utilisateur d'adapter exactement la température de l'eau à ses besoins, une fonctionnalité qui garantit une sécurité à la fois maximale et durable. Pour une indication plus claire, la couleur du chiffre affiché sur un écran LED passe du bleu au rouge en fonction de la température, ce qui rend les utilisateurs conscients de la fréquence d'une utilisation excessive de l'eau chaude. GROHE Plus présente également trois autres fonctionnalités avec une démarche développement durable : grâce à la fonction économie d'eau GROHE EcoJoy, les utilisateurs peuvent rapidement passer du jet standard au jet économique, via un capteur infrarouge placé sur le bec.GROHE Blue Home : le plaisir de l'eau filtrée et connectéeGROHE Blue Home offre une eau filtrée, pétillante voire gazeuse selon les envies et toujours à la bonne température. Ce système, situé sous le plan de travail et/ou sous la robinetterie, permet de réduire la consommation parfois excessive de bouteilles d'eau en plastique, limitant ainsi l'empreinte carbone.Cette eau filtrée de qualité est distribuée d'un simple geste via une commande tactile, directement à son consommateur. Avec l'application GROHE ONDUS, les utilisateurs sont avertis dès que le filtre ou la bouteille de CO2 doivent être remplacés. Il est même possible de commander les deux via l'application. En plus de faciliter la vie durable des personnes et de leur apporter du bien-être, le design élégant du système GROHE et leurs finitions de couleurs disponibles en font un atout élégant à toute cuisine.
Il y a 4 ans et 335 jours

Quel poêle à bois pour un habitat léger ou alternatif ?

Si vous vivez ou projetez de vous loger dans un petit habitat de type alternatif telles les yourtes, tiny houses ou chalets bois, du fait de la dimension de l’habitat, vos besoins pour vous chauffer sont ainsi très limités. Avez-vous pensé aux petits poêles à bois de 3 à 6 kw pour faire office de […]
Il y a 4 ans et 335 jours

La Cour des comptes inquiète des prêts accordés à la filière du nickel en Nouvelle-Calédonie

"Le risque pour l'État de ne pas être remboursé de certains de ses prêts n'est pas négligeable et la situation des entreprises aidées est loin d'être redressée", a-t-elle souligné dans son référé consacré à "vingt ans de soutien financier de l'État à la filière du nickel en Nouvelle-Calédonie"."Compte tenu du départ annoncé par Vale de son site calédonien", la Cour des comptes recommande à l'État de "s'assurer du remboursement du prêt accordé en 2016", rappelant qu'il s'élevait à 200 millions d'euros et qu'il avait été accordé à Vale Canada "pour surmonter les difficultés de trésorerie" de Vale Nouvelle-Calédonie.Le groupe brésilien envisageait alors la "mise sous cocon" de son site d'extraction de nickel si l'État français ne soutenait pas sa filiale calédonienne.Malgré ce soutien, Vale a annoncé l'année dernière son retrait de Nouvelle-Calédonie, mais s'est "jusqu'à présent acquitté des intérêts dus. Il convient de s'assurer du remboursement de ce prêt, qui doit, au plus tard, intervenir de façon échelonnée entre 2021 à 2026", souligne-t-elle.Dans ce même référé, la Cour juge aussi sévèrement un "prêt risqué" accordé en 2011 par l'Agence française de développement (AFD), d'un montant initial de 170 millions d'euros, à la société minière du Sud Pacifique (SMSP).Malgré une restructuration l'an dernier qui a maintenu l'encours du prêt à 56 millions, "le risque de non remboursement du prêt de l'AFD demeure, comme en témoigne le provisionnement élevé de la créance par l'AFD", constate le référé.La Cour revient également sur le projet de construction d'une nouvelle centrale électrique, dite "centrale pays", qui dispose d'une garantie de l'État de 320 millions d'euros. "Compte tenu de l'exposition importante de la puissance publique, la Cour recommande de clarifier les conditions du fonctionnement futur et du financement de la centrale avant d'octroyer la garantie de l'État", souligne-t-elle.Elle demande aussi au ministère des Comptes publics de supprimer l'actuel dispositif de défiscalisation en faveur des investissements productifs, jugé "coûteux et complexe", et de le remplacer par des mécanismes de soutien accordés par les collectivités de Nouvelle-Calédonie et, le cas échéant pour les projets les plus importants, par des aides financières de l'État ou de Bpifrance.
Il y a 4 ans et 335 jours

Deux nominations au sein de l'équipe de direction d'Aldes

CARNET-NOMINATION. Le spécialiste de la qualité de l'air intérieur, Aldes, annonce deux nominations au sein de l'équipe de direction. Détails.
Il y a 4 ans et 335 jours

Après les bus Macron, une navette nommée Désir

En France on n’a pas de pétrole mais des énarques rarement capables, par formation, d’avoir une idée originale. Aussi le grand sauvetage du jour d’après ressemble à ce jour à un grand sauve-qui-peut : il faut sauver l’industrie automobile française, il faut sauver l’industrie aéronautique française, il faut sauver l’industrie de l’armement française, il faut […] L’article Après les bus Macron, une navette nommée Désir est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 335 jours

Transition écologique : quelles sont les craintes des Français face à la crise ?

ETUDE. La crise du covid-19 a impacté le quotidien des Français mais aussi l'économie. OpinionWay a réalisé un sondage pour la société Vos Travaux Eco pour en savoir plus sur la perception des Français sur l'avenir économique et la transition écologique. Téléchargez l'étude.