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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87520 résultats)
Il y a 4 ans et 330 jours

Saint-Gobain lance son premier CFA en France

L’ambition de Saint-Gobain est de porter à 250 le nombre d’apprentis formés par son CFA chaque année, d’ici 3 à 5 ans. [©Epoka/Saint-Gobain] Saint-Gobain, qui accueille chaque année 1 750 alternants en France, a décidé de créer son propre Centre de formation d’apprentis (CFA). Ceci, afin de former des jeunes aux métiers du groupe. Ainsi que de répondre à ses besoins de recrutement. En particulier sur les métiers à forte volumétrie ou, au contraire, en tension ou émergents. Dès octobre 2020, ce CFA recevra 70 candidats répartis dans deux promotions. La première, “Commerce et marketing”. Et fonctionnera en partenariat avec l’Ecole de commerce IGS, regroupera 50 jeunes à Paris et Toulouse. Tandis que la seconde dédiée à la “Maintenance industrielle” rassemblera 20 élèves à Lyon. Et cette fois-ci, en partenariat avec le CFAI de Lyon. A l’issue de leur formation, les apprentis obtiendront un Titre professionnel, certifié par le ministère du Travail, de “Responsable commercial et marketing”, équivalent à un Bac+3. Ou de “Technicien supérieur en maintenance industrielle”, équivalent à un Bac+2. 250 apprentis formés par son CFA L’ambition de Saint-Gobain est de porter à 250 le nombre d’apprentis formés par son CFA chaque année, d’ici 3 à 5 ans. Et d’ouvrir de nouvelles filières d’apprentissage industrielles, logistiques ou commerciales.  En ouvrant ce CFA, Saint-Gobain souhaite faire mieux connaître la diversité et la richesse de ses métiers en conditions réelles. Mais aussi offrir des opportunités professionnelles aux apprentis à l’issue de leur diplôme « et être un acteur incontournable de l’emploi des jeunes ». Saint-Gobain s’inscrit ainsi dans la dynamique de la loi du 5 septembre 2018 sur la “Liberté de choisir son avenir professionnel”. En agissant de manière concrète en faveur de l’emploi des jeunes en France. Informations sur le CFA et candidatures ouvertes sur le site de Saint-Gobain.
Il y a 4 ans et 330 jours

Un troisième stade achevé pour le Mondial-2022 au Qatar

Cette annonce intervient alors que le petit pays du Golfe marque vendredi le troisième anniversaire de l'embargo terrestre, maritime, aérien imposé par l'Arabie saoudite, Bahreïn, les Émirats arabes unis et l'Égypte. Ces pays accusent Doha d'être trop proche de l'Iran, rival régional de Ryad, et de soutenir des islamistes radicaux, ce que le Qatar dément.Situé dans la ville d'Al Rayyan, à l'ouest de Doha, le stade devait initialement être inauguré le 18 décembre 2019 à l'occasion de la seconde demi-finale du Mondial des clubs.Mais le stade, intitulé "Education City" en raison de sa proximité avec une université et ses campus, n'a pas été homologué à temps par les autorités.Après la tenue du Mondial-2022, la moitié des 40.000 sièges du stade seront donnés à des pays en voie de développement afin de les aider à construire des infrastructures sportives.Cinq stades sont encore en construction au Qatar, qui accueillera en novembre et décembre 2022 le plus grand rendez-vous du monde du football.
Il y a 4 ans et 330 jours

Vinci remporte pour 117 millions d'euros de contrats sur des autoroutes australiennes

"Seymour Whyte, filiale australienne de Vinci Construction, a remporté deux contrats dans le Queensland, en Australie", a annoncé le groupe dans un communiqué.Le premier représente 114 millions d'euros, mais sera partagé à égalité avec un groupe local, John Holland. Il prévoit des travaux sur la Bruce Highway, au nord de la ville de Brisbane.Le second représente 60 millions d'euros et prévoit de rénover une portion de l'autoroute M1, dite "du Pacifique", vers la frontière entre les États du Queensland et de Nouvelle-Galles du Sud.
Il y a 4 ans et 330 jours

Le marché du logement ancien déjà impacté par la crise du Covid-19

La hausse des prix des logements anciens s'est accélérée au premier trimestre, mais l'activité du marché a donné des signes de forte baisse en raison du confinement face au coronavirus.
Il y a 4 ans et 330 jours

Reprise d’activité post Covid-19 : le réseau Initial 100% opérationnel

Né à l’initiative de Kawneer en 1994, le réseau INITIAL regroupe des fabricants indépendants experts de la menuiserie en aluminium prête à poser. Grâce à leur mobilisation et au soutien de Kawneer, gammiste reconnu, les membres du réseau INITIAL n’ont cessé de travailler durant la période de confinement et abordent la reprise d’activité en étant 100% opérationnel avec des commandes fabriquées, prêtes à livrer ! Le réseau INITIAL, les experts de la menuiserie aluminium prête à poser, 100% opérationnel Créé par Kawneer il y a près de 30 ans, le réseau INITIAL constitue une véritable communauté de fabricants indépendants experts de l’aluminium, bien implantés localement, qui représente la marque INITIAL avec l’offre 100% alu la plus large du marché. Au fil des années, le réseau INITIAL, à taille humaine, a su s’adapter à l’évolution du marché de la menuiserie aluminium. Il s’est professionnalisé à la fois par des investissements (surface de production, équipements, outils industriels…) mais également dans son approche du commerce et du service. 10 sites industriels de fabricants de menuiseries aluminium prêtes à la pose, répartis sur le territoire français, réalisent plus de 2500 menuiseries prêtes à poser par mois sans compter les productions spéciales telles que vérandas, extensions d’habitat, châssis grandes dimensions, portes-repliables, gardes corps, murs- rideaux… pour les professionnels poseurs et les distributeurs spécialisés. Aujourd’hui mature, ce réseau d’entrepreneurs nés a démontré toute son agilité dans sa capacité à maintenir l’activité et apporter le savoir-faire, le service et la qualité attendus par ses clients en portant haut et fort les couleurs d’Initial. Toutes ces entreprises et leurs équipes se sont mobilisées pour surmonter la période de crise de ces deux derniers mois en réussissant à fabriquer et à livrer leurs clients poseurs dès la reprise de leur activité. « Avant le confinement, notre carnet de commande était bien rempli. Nous avons fermé le 18 mars au soir mais dès le 23 mars, j’ai repris contact avec mes fournisseurs pour savoir s’ils étaient en mesure de me livrer la matière première pour continuer mon activité et servir les clients restés ouverts. Après avoir mis en place les protocoles sanitaires afin d’assurer la sécurité de tout le personnel, nous avons ainsi repris à mi-temps dès le 31 mars. Dès l’annonce de la date du déconfinement, toute l’entreprise a repris le 27 avril à 100%. Grâce à notre faculté d’anticipation et d’adaptation, nous avons aujourd’hui rattrapé tout le retard pris lors de cette période et nous sommes revenus dans des délais habituels de livraison de 3 à 5 semaines », témoigne M. Jaap Van Linschoten, gérant de la société MBR basée à Alès, membre du réseau depuis 1996, employant 16 salariés. INITIAL, un réseau profitable aux valeurs fortes, prêt à relever tous les défis Les membres du réseau INITIAL véhiculent l’ADN de la marque basé sur des valeurs fortes et respectées par tous telles que : • le service, avec des offres sur-mesure, adaptées ; • la qualité, avec une charte qualité étudiée et revendiquée ; • la proximité, avec une identité locale, une notoriété et une reconnaissance sur leurs terres ; • le respect des délais et des engagements ; • l’expertise technique. Initial, dans le top 3 des réseaux de fabricants de menuiseries prêtes à poser 100% aluminium, est aujourd’hui un réseau profitable, prêt à relever tous les défis. C’est pour cela que Kawneer souhaite dynamiser davantage le réseau avec pour objectif d’atteindre 15 à 20 membres d’ici 2021. La course n’étant pas au nombre mais au respect des valeurs fondamentales qui constituent l’ADN de ce réseau et de la marque INITIAL. http://www.initial-fenetres.com
Il y a 4 ans et 330 jours

"Le prêt garanti par l'Etat nous permet d'assurer la sécurité de notre trésorerie", Jean-Charle Robin, président de Spie batignolles

Le groupe de BTP vient de bénéficier d’un prêt garanti par l’Etat de 105 millions d’euros. Son dirigeant revient pour LeMoniteur.fr sur les raisons qui ont motivé cette opération.
Il y a 4 ans et 330 jours

Saint-Gobain poursuit la recherche de "partenariats" pour PAM et Lapeyre

Interrogé sur l'évolution de l'activité canalisation, M. Bazin a déclaré lors de l'assemblée générale du groupe que "la pertinence stratégique de la recherche de partenariats demeure"."Le processus est un peu en pause compte tenu de la crise du Covid au cours des derniers mois", mais le groupe le reprendra "dès que les circonstances le permettront (...) avec la volonté de garantir la pérennité de l'activité de Saint-Gobain Pont-à-Mousson dans le long terme", a-t-il ajouté.M. Bazin a précisé que la crise avait pesé "fortement (sur) la rentabilité à court terme", avec notamment la fermeture pendant six semaines du haut-fourneau principal de Pont-à-Mousson.Mais il a souligné que le travail de redressement de l'activité canalisation en cours depuis 2017 "porte ses fruits", avec une réduction des coûts, des investissements de productivité et une réduction des surcapacités en Europe.Concernant les magasins Lapeyre (aménagement de la maison), le directeur général délégué a également dit que "le projet de recherche de partenariats reste toujours valide au plan stratégique" et que "les démarches pourraient reprendre progressivement autour de l'été"."Les efforts stratégiques d'amélioration progressent bien", a affirmé M. Bazin, en citant la logistique, la refonte de la gamme et l'informatique.De son côté, le PDG de Saint-Gobain, Pierre-André de Chalendar a souligné que les niveaux d'activité du groupe "progressent chaque semaine"."Depuis le point bas touché début avril, cette progression n'a cessé de se poursuivre avec un mois de mai qui enregistrait un niveau d'activité d'environ 80% par rapport à 2019, en jours ouvrés comparables, en nette hausse par rapport au mois d'avril qui était d'environ 60%", a détaillé M. de Chalendar, tout en précisant que les processus de reprise sont "très disparates (...) selon les pays".Le PDG a d'autre part estimé que pour les salariés du groupe en France, le chômage partiel pourrait se terminer à la fin juin, après avoir concerné plus de la moitié des effectifs durant le premier mois de confinement, de mi-mars à mi-avril, avant de diminuer régulièrement.
Il y a 4 ans et 330 jours

Une subvention à un projet photovoltaique porté par Total fait débat

Une subvention accordée par l'Ile-de-France à un projet photovoltaïque de Total pour l'Ecole Polytechnique a suscité un vif débat en région, l'opposition y voyant une "opération de greenwashing".
Il y a 4 ans et 331 jours

L’ISMO de Paris-Saclay, par KAAN et FRES : deux âmes, une façade

KAAN Architecten, en collaboration avec FRES architectes, a livré au printemps 2018 l’Institut des Sciences Moléculaires d’Orsay (ISMO). Implanté sur le campus de la future Université Paris-Saclay, ce bâtiment de 10.000 m², pour un budget de 20M€, se distingue par une apparence « puissante et élégante ». Communiqué. L’Institut des Sciences Moléculaires d’Orsay (ISMO), né en 2010 […] L’article L’ISMO de Paris-Saclay, par KAAN et FRES : deux âmes, une façade est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 332 jours

Le siège social de Linedata, à Neuilly, rénové par DL2A

Au printemps 2019, au terme de 18 mois de travaux, l’agence DL2A (Didier Lefort) a livré à Neuilly (Hauts-de-Seine) un bâtiment totalement réhabilité de 1 300 m² destiné au siège social de Linedata, une société éditrice de logiciels. Pas le moins exotique des projets de l’agence. Communiqué. Les commanditaires souhaitaient que la triple vocation du […] L’article Le siège social de Linedata, à Neuilly, rénové par DL2A est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 332 jours

Le député européen Yannick Jadot attaque Bruno Le Maire sur Renault et la rénovation des bâtiments

"Les Français ne comprennent pas que l'État, une nouvelle fois mettent des milliards et des milliards dans l'automobile et que ça conduise à 5.000 suppressions de postes" chez Renault, s'est emporté M. Jadot au cours de l'émission politique "Vous avez la parole"."On a eu le scandale du diesel, l'explosion des SUV et là vous nous refaites le même plan de relance sans penser la relocalisation autour du recyclage de l'automobile et des services de l'automobile", a poursuivi le leader écologiste."Il faut savoir ce qu'on veut, si Renault ferme ou pas, Renault joue sa survie, et la responsabilité du ministre de l'Économie, c'est de lui apporter son soutien pour qu'elle puisse vivre", lui a rétorqué le ministre de l'Économie, qui a signé cette semaine une garantie de l'État pour un prêt de cinq milliards d'euros au constructeur automobile en difficulté."Nous avons demandé à Renault de faire des relocalisations, le moteur 100 kilowatts qui devait être produit en Chine sera produit à Cléon. Renault multipliera par 4 ou 5 le nombre de véhicules électriques produits en France", a assuré Bruno Le Maire."Dans votre parti, j'entends certains qui disent que les véhicules électriques ne sont pas l'avenir, alors c'est quoi, la trottinette?", a-t-il lancé à son détracteur.L'eurodéputé vert a ensuite déploré que sur la rénovation thermique du bâtiment, le gouvernement ait "réduit le budget, alors que c'est un sujet éminemment consensuel", selon lui."Il y a 12 % de notre population qui vit dans la précarité énergétique, on a six millions de passoires énergétiques. On a des bâtiments publics, des écoles notamment, qui ne sont pas rénovés", a dénoncé M. Jadot."On a là un potentiel extraordinaire de créations d'emplois, d'amélioration du pouvoir d'achat, d'aménagement du territoire", a-t-il répété.Bruno Le Maire a indiqué qu'il y aurait des mesures pour le bâtiment au sein des 40 milliards de dépenses supplémentaires destinées à soutenir les secteurs les plus touchés par la crise du coronavirus. Elles seront présentées le 10 juin dans le projet de budget rectificatif, a-t-il précisé."La rénovation thermique des bâtiments, ça peut être le projet phare de la relance verte de la France", a estimé le ministre.
Il y a 4 ans et 332 jours

JO Paris-2024 : Bouygues remporte la construction de l'Arena 2 à Paris

Moins d'un mois après avoir remporté le marché du centre aquatique olympique, le groupe Bouygues a été choisi par la ville de Paris pour la conception et la construction de l'"Arena 2".
Il y a 4 ans et 332 jours

Les groupes de travaux publics s'attendent à perdre 20% de leurs revenus cette année

"Seulement la moitié des entreprises considèrent qu'elles pourront retrouver leur niveau d'activité dans les prochains mois", selon un communiqué de la Fédération nationale des travaux publics (FNTP) qui a réalisé une enquête auprès de ses adhérents.Comme les autres entreprises du bâtiment, les groupes de travaux publics ont été confrontés à l'arrêt de nombreux chantiers après l'entrée en vigueur mi-mars d'un strict confinement face au coronavirus.Désormais, avec la levée début mai de ce confinement, presque toutes les entreprises du secteur ont repris leur activité, selon cette enquête, mais à des niveaux encore loin de la normale."Le chiffre d'affaires global enregistré pour le mois de mai ne représente que 68% de celui du mois de mai 2019", note la fédération. "Autrement dit, il manque quasiment un tiers d'activité par rapport à mai 2019."Même d'ici à la fin août, les entreprises du secteur ne tablent en moyenne que sur une activité inférieure à 90% de son niveau normal."Au total, les entreprises anticipent une baisse de leur chiffre d'affaires de 20% sur l'ensemble de 2020 par rapport à l'an dernier", conclut la FNTP, selon laquelle les groupes s'inquiètent d'abord d'une chute durable des appels d'offres par les acteurs publics.
Il y a 4 ans et 332 jours

Quelles solutions pour concevoir des bâtiments répondant aux nouveaux enjeux sanitaires ?

Patrick Nossent, président de Certivéa : « Alors que le pays entame un long processus de déconfinement, un retour possible au bureau, à l'école, dans les magasins impose des réaménagements et changements d'usages en urgence au sein des bâtis. Mais pour répondre à ces enjeux sanitaires sur le long terme, nous devons aller plus loin et concevoir des bâtiments sains et performants, qui assurent une fonction de refuge, en temps de crise mais pas seulement. »Qualité sanitaire, flexibilité, connectivité, services : l'avènement du bâtiment refugePatrick Nossent : « L'Organisation Mondiale de la Santé définit la santé comme un état de bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie. La santé passe donc par le confort, la qualité des services, mais également la protection contre les évènements climatiques extrêmes. Qualité du bâtiment, flexibilité des espaces, connectivité et bonnes pratiques vont jouer un rôle central pour la qualité de vie des occupants. »1. Les qualités intrinsèques du bâtiment : qualité de l'air intérieur, de l'eau et de l'entretien des espacesVentilation, filtres, mesure de la qualité de l'air intérieur ;Mesure de la qualité de l'eau, traitements d'entretien et décontamination des réseaux intérieurs pour éviter l'altération des propriétés organoleptiques (odeur, couleur, goût, etc.), la modification des caractéristiques physico-chimiques (température, dureté, concentrations en métaux et composés organiques et contamination microbiologique ;Mesure des polluants ; mesure des seuils d'ondes électromagnétiques ;Matériaux antibactériens et faciles à entretenir ; espace de stockage des déchets, etc.2. Accessibilité et flexibilité du bâtiment pour s'adapter aux besoins des usagerAménagements intérieurs modulables pour la gestion des flux de personnes, l'espacement des postes de travail ;Modularité des usages d'un bâtiment, en particulier bâtiment public : de salle communale à lieu d'accueil pour sans-abris, de centre de congrès à hôpital de campagne, de village vacance à centre de quarantaine, etc.3. La connectivité et le numérique pour garantir le maintien de toutes les interactions, en toutes circonstancesPour organiser le télétravail, nécessité de pouvoir compter sur des réseaux sécurisés, fiables avec des outils de partage et de collaboration en ligne ;Services d'informations pour favoriser l'application des consignes sanitaires : nombre de personnes dans une salle, un étage, le nombre de voiture dans un parking ; montres connectées pour signaler la distance de sécurité ; état du trafic des réseaux de transports en commun pour éviter la cohue, etc.Ouverture des portes sans contact ;Nettoyage automatique des espaces sanitaires, etc.4. Les services associés et bonnes pratiques pour préserver la santé et favoriser le mieux-êtreDémarches d'amélioration de la Qualité de Vie au Travail en entreprise avec politiques de sensibilisation aux enjeux sanitaires ; cellule d'écoute psychologique ;Cabine médicale connectée pour bénéficier d'une téléconsultation ou check up santé ;Salles de sport, salles de sieste, espace de restauration collective de qualité ;Ergonomie des postes de travail, etc.Chocs sanitaires et climatiques : comment se prémunir durablement ?Le bâtiment doit permettre aux usagers de gérer les chocs climatiques comme sanitaires dans les meilleures conditions possibles. Les innovations en construction / rénovation et les règlementations incluent progressivement ces réalités.Mais le secteur doit surtout participer à l'amélioration durable des cadres de vie. Cela suppose un engagement multi thématiques : sobriété énergétique et installations bas carbones, préservation de la biodiversité, santé et confort des usagers, performance économique des territoires, sont autant d'enjeux interconnectés.Pour accompagner les professionnels dans la prise en compte de l'ensemble de ces problématiques, la règlementation ne suffit pas à elle seule. Les certifications volontaires en développement durable (HQE, R2S, OsmoZ) offrent des cadres méthodologiques, des solutions de gestion de projet, des grilles d'évaluation, des référentiels de bonnes pratiques exemplaires et des outils pour valoriser les efforts entrepris par les professionnels.Patrick Nossent : « Construire et préserver un cadre de vie durable et résilient suppose qu'on agisse de manière globale sur la qualité de vie, la préservation de l'environnement et la performance économique. La certification des bâtiments privés ou publics et des infrastructures sur les enjeux de développement durable permet aux professionnels d'apporter une réponse holistique à ces enjeux. »
Il y a 4 ans et 333 jours

Covid-19 : syndicats et patronat reçus à l'Élysée pour "sauver l'emploi"

"L'enjeu", a souligné la ministre du Travail Muriel Pénicaud à l'issue de la réunion, c'est de "sauver l'emploi", de "bâtir une nouvelle donne" pour préserver les compétences des salariés.Parmi les annonces faites à l'issue de cette rencontre de près de trois heures avec les partenaires sociaux: les entreprises qui recruteront un apprenti du 1er juillet au 28 février bénéficieront d'une aide élargie à l'embauche de 8.000 euros pour les majeurs et 5.000 euros pour les mineurs.Alors que cette aide est aujourd'hui réservée aux entreprises de moins de 250 salariés et pour des diplômes au niveau inférieur ou égal au bac, le dispositif sera élargi jusqu'au niveau de la licence et à toutes les entreprises, ce qui représentera "un coût supplémentaire supérieur à un milliard d'euros", selon l'entourage de la ministre.Autre point sur lequel l'exécutif était très attendu: la réforme contestée de l'assurance-chômage. Des discussions sur ce sujet vont s'ouvrir "dans les semaines qui viennent" avec les organisations syndicales et patronales en vue de parvenir à des décisions "d'ici l'été", a annoncé la ministre du Travail dans la cour de l'Elysée.Alors que toutes les organisations syndicales réclament l'annulation de cette réforme, "les choses sont très, très ouvertes sur l'assurance-chômage", a précisé le ministère.D'autres chantiers se poursuivront dans les prochaines semaines, sur le chômage partiel qui va être aménagé, sur l'emploi des jeunes, dont "près de 800.000 vont sortir du système scolaire ou universitaire cet été", a rappelé Mme Pénicaud, ou encore sur la formation.A la sortie de la réunion, les syndicats ont accueilli avec prudence les annonces concernant l'apprentissage, et ont insisté sur la question des salaires. Philippe Martinez (CGT) a exhorté le président de la République à "convertir en actes ses propos sur les salaires, la prise en compte des deuxièmes lignes". Laurent Berger (CFDT) a appelé à "ne pas oublier la reconnaissance des travailleurs exposés pendant la période de confinement", tandis qu'Yves Veyrier (FO) a dit être "resté complètement sur (sa) faim" car "il n'y a pas eu d'annonce du tout" sur le sujet.Plus de huit millions de personnes sont au chômage partiel et plus de six millions de demandeurs d'emploi ont été comptabilisés par Pôle emploi en avril, du jamais vu en France. Et la situation devrait s'aggraver: mardi, Mme Pénicaud a anticipé que la France "repasserait les 10%" pour le taux de chômage, contre 8,1% avant l'épidémie.Le gouvernement anticipe une chute du PIB de 11% cette année et un creusement du déficit public à 11,4% du PIB contre 3% en 2019. Pour répondre à cette crise historique, "nous avons mis 450 milliards d'euros sur la table de mesures de trésorerie et budgétaire, 20% de notre richesse nationale", a souligné le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, à l'issue de la réunion à l'Elysée.Déconfinement accéléréDepuis mardi, le déconfinement a connu un coup d'accélérateur, avec la levée de l'interdiction de se déplacer à plus de 100 km de son domicile, ou encore l'ouverture partielle des cafés, restaurants et petites salles de spectacle. Le ministre de l'Education, Jean-Michel Blanquer, a par ailleurs dit jeudi espérer que le protocole sanitaire puisse être assoupli "bientôt" dans les écoles.Sur le front de l'épidémie, 44 nouveaux décès ont été recensés dans les hôpitaux en France, portant le bilan total à 29.065 morts depuis le début de l'épidémie, selon le bilan quotidien communiqué jeudi soir par le ministère de la Santé, (qui ne comprend pas les morts dans les établissements sociaux et médico-sociaux au cours des dernières 24 heures). Et la baisse se poursuit en réanimation.Durement éprouvés, les soignants ne désarment pas et plusieurs syndicats (CGT, FO, SUD, Unsa) et collectifs (Inter-Urgences, Inter-Hôpitaux) ont appelé jeudi à une journée d'action nationale le 16 juin pour réclamer notamment des moyens supplémentaires et une revalorisation générale des salaires. Ils se sont de nouveau rassemblés par centaines jeudi devant des hôpitaux.Le président Macron avait souhaité que le 14 juillet soit l'occasion de rendre hommage aux soignants. L'Elysée a confirmé jeudi que ce serait le cas, au cours d'une cérémonie militaire place de la Concorde, qui remplacera, pour des raisons sanitaires, le traditionnel défilé sur les Champs-Elysées.
Il y a 4 ans et 333 jours

Bâtiments tertiaires : détails sur le coup de pouce chauffage

Le Gouvernement a précisé les modalités d'application du coup de pouce chauffage pour les bâtiments tertiaires, financé par les certificats d'économie d'énergie (CEE).
Il y a 4 ans et 333 jours

Prix Femmes Architecte 2020 – 8ème édition

ARVHA, Association pour la Recherche sur la Ville et l’HAbitat, a lancé la huitième édition du Prix des femmes architectes. Jusqu’au 31 juillet 2020. Ce prix a pour but de mettre en valeur les œuvres et les carrières de femmes architectes, afin que les jeunes femmes architectes puissent s’inspirer des modèles féminins existants, et d’encourager […] L’article Prix Femmes Architecte 2020 – 8ème édition est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 333 jours

Pour le parc éolien en mer de Saint-Brieuc, Ailes Marines choisit Prysmian comme fournisseur des câbles sous-marins inter-éoliennes

Ce contrat d’un montant de 80 millions d’euros renforce la position du Groupe Prysmian comme acteur majeur de la transition énergétique en France Ailes Marines, en charge du développement, de la construction, de l’installation et de l’exploitation du parc éolien en mer de la Baie de Saint-Brieuc, vient de signer avec le Groupe Prysmian, leader mondial dans l’industrie des systèmes de câbles de puissance et de télécommunication, un contrat de 80 millions d’euros pour fournir les câbles inter-éoliennes du parc de Saint-Brieuc. Prysmian fournira une offre complète clé en main comprenant la conception, la fourniture, l’installation ainsi que de l’ensemble des tests pour la mise en service des 90 km de câbles tripolaires sous-marins  de 66 kV haute tension à courant alternatif (HVAC) avec une isolation XLPE. Les phases des câbles (âmes et isolation) seront fabriquées dans les usines du groupe Prysmian situées à Montereau-Fault-Yonne et à Gron (France), puis l’assemblage final des câbles tripolaires sera effectué à Nordenham (Allemagne). La livraison et la mise en service sont prévues pour fin 2022. « Ce contrat confirme une fois de plus notre avance technologique, que nous mettons au service de la transition énergétique en France, ainsi que notre capacité à fournir à nos clients des solutions performantes fabriquées localement » affirme Laurent Tardif, PDG Europe du Sud au sein du Groupe Prysmian. « Ce contrat marque un jalon important pour Prysmian, cela prouve que notre ambition de devenir un fournisseur d’une solution clé en main, couvrant l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement, est crédible et durable à long terme. Notre système de câbles inter-éoliennes de 66 kV permet de transporter deux fois plus d’énergie par rapport à des câbles de 33 kV » a ajouté Olivier Angoulevant, Directeur de la division Énergie Éolienne Offshore. Ce contrat renforce aussi la longue et fructueuse collaboration entre le Groupe Prysmian et Iberdrola Renovables, actionnaire unique de la société de projet Ailes Marines. Iberdrola Renovables a déjà confié à Prysmian plusieurs projets ces dernières années, comme le parc éolien offshore de Wikinger en mer Baltique, ainsi que le parc éolien offshore de Vineyard, situé dans l’état du Massachusetts, aux Etats-Unis. Selon Javier Garcia Perez, Président d’Ailes Marines et Directeur Offshore International d’Iberdrola : « Le contrat avec Prysmian concernant les câbles inter-éoliennes pour le parc éolien en mer de Saint-Brieuc est une nouvelle étape importante qui prouve une fois de plus qu’Ailes Marines est déterminée à investir dans la relance “verte” de l’économie et de l’industrie en France tout en contribuant à l’objectif d’atteindre zéro émission nette grâce aux énergies renouvelables » Le parc éolien en mar de Saint-Brieuc  Le parc éolien en mer de Saint-Brieuc se situera dans la Baie de Saint-Brieuc en Bretagne, à 16,3 kilomètres au large des côtes françaises. Une fois terminé, le parc éolien, d’une capacité totale de 496 MW, produira 1 820 GWh par an, l’équivalent de la consommation électrique annuelle de 835 000 habitants. Les travaux d’installation dureront plusieurs mois et se poursuivront jusqu’en 2022. Le parc éolien sera totalement opérationnel en 2023.
Il y a 4 ans et 333 jours

Relance : le Gouvernement annonce des mesures pour soutenir l'apprentissage

FORMATION. En réponse à l'inquiétude des professionnels sur le devenir de l'apprentissage, le Gouvernement a annoncé ce 4 juin des mesures visant à relancer la formation professionnelle, à l'issue d'une réunion entre l'exécutif, les syndicats et le patronat consacrée à l'emploi.
Il y a 4 ans et 333 jours

"Ville productive" : un nouvel appel à projets de recherche du PUCA

RECHERCHE. Le Plan d'urbanisme construction architecture (PUCA) a lancé ce 28 mai, un nouvel appel à projets de recherche sur la "Ville productive" : comment sont repenser les rapports du travail à "la ville" ? Quels lieux, quelle place pour les travailleurs en ville ?
Il y a 4 ans et 333 jours

Energie : les collectivités concédantes et les régies changent de braquet

Pour accélérer la transition énergétique des bâtiments des collectivités, les collectivités concédantes et les régies changent de braquet. Leur programme Actee 2 mobilisera 100 millions d’euros dans le cadre des certificats d’économie d’énergie, au lieu de 12,5 pour Actee 1, en voie d’achèvement.
Il y a 4 ans et 333 jours

Des VRV à condensation à eau pour climatiser les nouveaux locaux de Multiburo à Montparnasse

Une installation peu courante : des VRV à eauC'est dans le cadre d'un vaste projet de transformation du quartier de la gare Montparnasse que la SNCF Gares et Connexion a proposé la location de nouveaux espaces commerciaux en lieu et place de ses anciens bureaux.Multiburo, spécialiste de la location de salles de réunions et d'espaces de coworking, s'est installé dans la plus grande surface commerciale de la gare Montparnasse. Sur 1 600 m², des 19.000 m² de superficie totale de la galerie commerçante, Multiburo propose :11 salles de réunion35 bureaux locatifsune zone de coworking pouvant accueillir jusqu'à 30 personnes.Il s'agit de la 27e surface Multiburo ouverte en France, et la 3e en gare parisienne.Dans son cahier des charges concernant l'installation de confort climatique au sein de ses locaux, équipement prégnant au vu de son activité de loueurs d'espaces conviviaux, Multiburo avait pour exigences :Confort acoustique essentiel pour offrir un service de location de bureaux calmesConfort thermique individualisé avec thermostat déportéL'ensemble de la zone commerciale de la Gare Montparnasse est connecté sur boucle d'eau, donc de fait, imposée aux commerçants preneurs. Les installations extérieures sont interdites par manque de place, et en raison du caractère patrimonial de la bâtisse qui est classée.La recommandation d'Erwan Mener, EMD Conseil (AMO) intervenant pour Multiburo, a porté sur l'installation d'un VRV à condensation eau Daikin raccordé sur boucle d'eau, une installation peu courante et différente de celle privilégiée par les autres commerçants de la gare préférant un système PAC classique sur boucle d'eau.Bien que ne l'ayant jamais préconisé jusqu'à présent, Erwan Mener a été séduit par une installation similaire visitée à Séville, avec des avantages pluriels comparativement à un système plus classique, notamment celui d'afficher un excellent ratio confort / récupération d'énergie.Le VRV à condensation eau Daikin allie performance et économie d'énergie grâce à la pluralité de nombreuses technologies telles que l'Inverter. De plus, les groupes des VRV eau ne nécessitent qu'un réseau hydraulique direct et court, alors qu'un groupe traditionnel aurait demandé d'opérer un raccordement derrière chaque terminal intérieur. L'installation VRV s'avère plus simple à réaliser, avec moins de contraintes, et moins coûteuse en termes de mise en œuvre pour la maîtrise d'ouvrage.L'installateur, Spie Industrie Tertiaire, a donc procédé à la mise en place de 5 VRV à eau 3 tubes RWEYQ10T9Y1B dont les groupes, très compacts, sont contenus dans un local technique.Chacun reste maître de son confort thermiquePour que ses clients puissent travailler dans l'ambiance qui leur convient le mieux, Multiburo a souhaité qu'ils puissent choisir eux-mêmes la température de leur espace de travail.L'air est distribué dans les différentes pièces grâce à 59 unités cassettes (600 x 600) réparties sur l'ensemble de la zone. Ces cassettes permettent une diffusion de l'air individualisée, pour un confort optimal et adapté à chacun des clients.42 télécommandes MADOKA ont été installées, apportant une touche design aux espaces de travail. Très instinctives, elles sont laissées à la disposition des clients qui peuvent réguler la température selon leurs besoins.Un niveau sonore extrêmement réduitDésireux d'offrir à ses clients une ambiance de travail calme et propice à la concentration, Multiburo s'est tourné vers la marque Daikin pour installer des solutions très silencieuses. La technologie à détente directe du système VRV mis en place assure un niveau sonore beaucoup plus faible qu'un système de PAC air/eau.La solution VRV à eau de Daikin est donc apparue comme la solution idéale, au vu de ses performances acoustiques, pour un espace de coworking.Daikin et Multiburo n'en sont pas à leur première collaboration : les espaces de la Gare de Lyon et de Saint Lazare ont également été équipés de solution Daikin.
Il y a 4 ans et 333 jours

Saint-Gobain : Lapeyre et Pam toujours en quête de "partenariats"

POINT SUR LA SITUATION. A l'occasion d'une assemblée générale, le groupe Saint-Gobain a évoqué l'avenir de l'enseigne Lapeyre et de la division canalisation Pont-à-Mousson (PAM). Où en est le groupe ? Elements de réponse.
Il y a 4 ans et 333 jours

L'UFME élit son Président Bruno Cadudal et constitue son nouveau Bureau

Après des années d'aides fiscales dédiées à la fenêtre, la profession est entrée depuis deux ans dans une nouvelle ère. Souhaitant que l'UFME prenne une nouvelle dimension dans les débats de demain, Bruno Cadudal se fixe pour missions de :développer le réseau d'adhérents afin de renforcer sa représentativité et notamment sur les sujets liés à l'environnement,consolider sa position auprès des instances du secteur (Pôle Fenêtre, CSTB, DHUP, FCBA, AIMCC, EPPA…),permettre à chacun de participer aux travaux et échanges, quelle que soit la taille de l'entreprise, et de poursuivre son ouverture vers les extrudeurs gammistes et professions associées.« L'optimisation thermique des bâtiments reste le fer de lance de la fenêtre. Mais d'autres sujets émergent et nous occuperont dans les prochaines années. Tel est le cas de la question environnementale et du recyclage des menuiseries, sans oublier le confort que le ménage français est en droit d'attendre pour son logement.L'UFME aura de nombreux enjeux dont la revalorisation de la fenêtre PVC par exemple. Depuis 2019, la section concepteurs gammistes, rassemblant l'ensemble des acteurs de la profession, s'est mobilisée pour favoriser la revalorisation du matériau PVC. Le volet social et formation assuré depuis 2007 par l'UFME prend depuis ces derniers mois une nouvelle orientation. Même si cette mission reste plus méconnue, la gestion de la Convention Collective Menuiserie Charpente est une autre facette de nos compétences, très importante et nous offre toute légitimité pour porter haut et fort la fenêtre bois française de qualité auprès de l'ensemble des instances nationales (FCBA, Ministère …). », déclare Bruno Cadudal.Bruno Cadudal est Président d'Atlantem, activité menuiserie du Groupe HERIGE depuis dix-huit ans. Issu d'une formation d'ingénieur agro-alimentaire (ENSAIA - 1987), complétée d'un master de management (ICG - 1995), il a débuté sa carrière dans l'industrie agro-alimentaire à l'étranger pendant quatorze ans (Nouvelle-Zélande et Etats-Unis) puis en France (Lactalis et United Biscuits). Il s'est investi depuis plus de dix ans dans les actions de l'UFME et est notamment à l'initiative du baromètre d'activité, indicateur d'activité permettant chaque mois aux adhérents de se positionner par rapport au marché français. Il participe au développement et renouveau du salon Equip'baie et est impliqué dans les relations avec les partenaires de l'UFME tels que le SNFA. Ses nombreuses années en tant qu'administrateur et membre du Bureau lui ont permises d'acquérir une profonde connaissance du fonctionnement de l'UFME.La constitution d'un nouveau bureauBruno Cadudal a nommé les Présidents des Commissions :Hugues de Forges à la Commission technique (nouveau nommé),Jean-Marc Combes à la Commission sociale et formation,Patrick Sage à la Commission communication.Le Conseil d'Administration a également validé la composition du Bureau de l'UFME :Patrick Bouvet, Vice-PrésidentVincent Pasquet, TrésorierFrançois Guérin, Secrétaire Général (nouveau nommé)Jos Lenferink, Représentant de la Section extrudeurs gammistesFrançois de Labarthe, Représentant de la Section professions associées.
Il y a 4 ans et 333 jours

Vinci remporte 174 M€ de contrats autoroutiers en Australie

Seymour Whyte, filiale australienne de Vinci Construction, a remporté deux contrats dans le Queensland.
Il y a 4 ans et 333 jours

Image de marque : quelles enseignes de bricolage ont bénéficié du confinement ?

IMPRESSION. Les deux mois de confinement ont fait de la maison un lieu de repli et de réconfort. Les enseignes et magasins ont dû fermer leur portes. Néanmoins, le business en ligne s'est poursuivi. Quelles enseignes du secteur du bricolage ont su tirer leur épingle du jeu en matière d'image ? Eléments de réponse dans une étude Yougov.
Il y a 4 ans et 333 jours

Dossier : 5 intérieurs minimalistes qui nous inspirent

Avec leurs intérieurs épurés, plusieurs agences privilégient la sobriété poussée à l’extrême et annoncent ainsi le grand retour du minimalisme dans nos foyer. Cette semaine, la rédaction de Muuuz vous dévoile cinq intérieurs minimalistes inspirants qui nous prouvent qu'en matière d'intérieur, less is more. Moulin d’Ubalt ArchitectesL’agence d’architecture d’intérieur parisienne Ubalt Architectes, fondée en 2015 par Mylène Vasse et Nastasia Potel, métamorphose un appartement de Montreuil (93) en un loft minimaliste blanc, noir et gris rehaussé par des touches de couleurs subtiles. C’est l’une des réalisations les plus représentatives de la palette surprenante du duo, mêlant ici lignes graphiques, couleurs délicates et matières travaillées. . Appartement Saint-Denis de JCPCDRParis regorge de surprises ! La preuve avec cet appartement étonnant de 75 mètres carrés situé rue Saint-Denis. Entre ouvrage haussmannien et inspiration scandinave, le projet signé JCPCDR est un ensemble contemporain, lumineux et fait la part belle aux volumes atypiques, caractéristiques de la capitale. Une source d’inspiration pour tous les citadins qui souhaiterait rafraichir leur décoration ! . Maison à Beaune d’Atelier OrdinaireConnu pour son travail du bois, l’Atelier Ordinaire signe un nouvel ouvrage familial en Bourgogne. C’est plus précisément à Beaune que l’agence alsacienne conçoit une maison préfabriquée dialoguant avec le paysage sylvestre et destinée à un couple de viticulteurs. Une cabane des plus contemporaines construite hors site qui laisse entrer la lumière grâce à de larges ouvertures savamment placées. . Appartement L de PseudonymeCréée en juillet 2017, la jeune agence parisienne Pseudonyme prouve que la valeur n'attend pas le nombre des années. Après avoir revalorisé la façade du célèbre Circus Hotel de Berlin (Allemagne), le duo d'architectes affiche son goût pour les textures métalliques et signe un lieu unique au cœur du 6e arrondissement de la capitale, entre espace privé, appartement de collectionneur et galerie d'art. Focus sur un studio dont on n'a pas fini d'entendre parler... . MA d’Extra MediumLe projet « MA », c’est tout d’abord une histoire de famille. Le terrain, acheté par les proches de l’architecte au début des années 2000, était jadis une ferme typique du Vaucluse se confondant avec le paysage. Repris en mains par les équipes d’Extra Medium il y a 4 ans, la demeure se transforme ainsi en un havre de paix où paysage, charme et design cohabitent en harmonie.La Rédaction
Il y a 4 ans et 333 jours

En 2019, l'hydrodistribution a fait deux fois mieux que la plomberie

TENDANCES. Impactée elle aussi par la crise du coronavirus, la filière de l'hydrodistribution a tout de même enregistré des chiffres encourageants pour l'exercice 2019 : le système multicouche a progressé d'environ 8% et les tubes PER se sont stabilisés en dépit d'une baisse de 9% des volumes. Détails.
Il y a 4 ans et 333 jours

Climatisation urbaine : Salbris compte sur "le milliard vert"

Le "milliard vert" ne prend pas Olivier Pavy au dépourvu. Avec une démonstration d’urbanisme adapté aux changements climatiques, le maire de Salbris (Loir-et-Cher) entend se saisir de la cagnotte annoncée le 29 mai par le Premier ministre, pour accompagner les investissements écologiques du bloc local, dans le cadre du plan de soutien aux collectivités.
Il y a 4 ans et 333 jours

LafargeHolcim renouvelle avec Solidia Technologies

LafargeHolcim et Solidia Technologies développent des ciments bas carbone. [©LafargeHolcim] LafargeHolcim annonce avoir accéléré son partenariat avec Solidia Technologies pour réduire les émissions de CO2 tout au long de sa chaîne de production. Avec cette annonce, l’association des deux industriels, débutée en 2013, est étendue de manière formelle jusqu’en 2025, avec une option de poursuite. Ensemble, LafargeHolcim et Solidia Technologies ont été capables non seulement de réduire de 30 % les émissions de CO2 durant la production de ciment. Mais aussi de capturer du C02. Ce qui leur permet de proposer un ciment, dont les émissions de carbone sont réduites de 70 %. Ainsi, les deux industriels vont continuer le développement de leurs technologies pour la production de bétons non renforcé (non armé) et routier. Tout en travaillant à étendre son application à ceux structurels. « Guider la voie vers une construction bas carbone passe par la facilitation et l’accélération de l’utilisation des solutions innovantes de Solidia à travers nos opérations mondiales, explique Marcel Cobuz, directeur Europe pour LafargeHolcim. Avec les solutions de Solidia Technologies, nous pouvons encore accélérer notre vision des neutres en carbone. » Pour Tom Schuler, président de Solidia Technologies, ce partenariat permet « d’avoir accès aux marchés, à l’expertise technique, à l’intelligence de marché de LafargeHolcim. Et nous aide à développer un meilleur ciment et un meilleur béton ».
Il y a 4 ans et 333 jours

Tout beau tout chaud, le nouveau site HerculePro

Un nouveau site internet HerculePro est en ligne. Une nouvelle charte graphique, un nouveau logo et un site repensé pour mettre au premier plan nos clients industriels, installateurs, réseaux et négoces. Notre préoccupation est votre besoin et la réponse que vous attendez d’un éditeur de logiciel métier, leader dans l’innovation sur son marché et sur les applications web. Découvrez le sur www.herculepro.com
Il y a 4 ans et 333 jours

Depuis le début de la crise sanitaire, le CSTB poursuit et adapte son activité de formation au service des professionnels

Le CSTB, comme toutes les entreprises, organismes de recherche et centres de formation, est directement impacté par la crise sanitaire majeure que nous traversons. Dans ce contexte exceptionnel, notre priorité est de prévenir le risque pour toutes les personnes que nous côtoyons et avec lesquelles nous travaillons, nos clients et partenaires, parmi lesquels une centaine de formateurs et près de 2 000 professionnels formés chaque année, nos fournisseurs et prestataires. Depuis le début de la crise sanitaire, l'activité de formation du CSTB au service des professionnels a été poursuivie et adaptée : une sélection des formations en présentiel a été aménagée sous forme de classes virtuelles, complétant ainsi l'offre de formation e-learning. Ces formations à distance se poursuivront dans les mois à venir, y compris quand les formations en présentiel reprendront. Le MOOC E+C- a été à nouveau mis à disposition des professionnels, pour les aider à mieux comprendre les enjeux de l'expérimentation et les exigences des niveaux Carbone et Énergie, en lien avec la future réglementation RE2020. Fin juin nous proposerons à nouveau des formations en présentiel. Les premières formations programmées au début de l'été privilégieront les thématiques de la qualité de vie au travail, ainsi que l'analyse du cycle de vie. Un protocole sanitaire spécifique permettant de garantir la sécurité sanitaire des formateurs et des stagiaires sera prochainement disponible sur notre site Internet. Les équipes Formations du CSTB restent à votre écoute pour programmer avec vous les formations qui répondront le mieux à vos besoins, en Inter-entreprises comme en Intra-entreprise ou sur-mesure. > Pour nous contacter
Il y a 4 ans et 333 jours

Covid-19 : les bailleurs acceptent le report de 3 mois des loyers commerciaux

Fin avril, Bercy avait annoncé la nomination d'une médiatrice, Jeanne-Marie Prost, afin de définir "des accords-cadres" et des règles de bonne conduite entre les commerçants en difficulté et leurs bailleurs.Mercredi, dans un communiqué, le ministère annonce la finalisation de ces travaux sous la forme d'"une charte encadrant les reports et annulations de loyers pour la période de confinement et la période de reprise jusqu'au 30 septembre 2020"."Dans cette charte, les bailleurs acceptent de reporter trois mois de loyers (deux au titre du confinement et un correspondant à un prorata des quatre mois de reprise jusqu'à septembre) pour les commerçants qui en ont besoin, quelle que soit leur taille", est-il précisé.Bercy rappelle que les grandes fédérations de bailleurs (CNCC, SFIF, CDC, AFG, ASPIM, FFA) "s'étaient déjà engagées à annuler trois mois de loyers pour les TPE fermées administrativement"."Le bailleur et son commerçant devront s'accorder avant le 30 juin sur le règlement des sommes reportées et l'échéancier de remboursement, qui pourra s'étendre au-delà du 30 septembre si la situation du commerçant le justifie", précise le communiqué.Le ministère précise que la charte a reçu l'adhésion des fédérations de bailleurs CNCC, SFIF, UNPI, AFG, ASPIM, FFA d'une part, de plusieurs fédérations de commerçants d'autre part (Confédération des commerçants de France, Commerçants et artisans des métropoles de France, fédérations de l'habillement, de l'équipement du foyer, des détaillants de la chaussure, de la photographie, etc.)D'autres fédérations associées à la médiation "n'ont pas souhaité adhérer à la charte, préférant poursuivre la négociation avec leurs bailleurs sans se référer à ce cadre", selon le communiqué.Pour ces 15 fédérations opposées au projet de charte sur les loyers, parmi lesquelles la FFF, l'alliance du commerce, la Fnaem, les propositions sont "limitées, non contraignantes, déséquilibrées et excluantes", indiquent-elles dans un communiqué où elles pointent du doigt "l'échec de cette médiation".Le report d'un trimestre d'un loyers est "déjà largement [appliqué]", développent ces non-signataires, et les contraintes appliquées aux bailleurs ne leur semblent pas suffisantes.L'accord ne prend pas en compte "tous les lieux encore fermés, comme les cinémas, les bars et restaurants dans les zones orange, et les commerces implantés dans les centres commerciaux de plus de 70.000m³, que l'État n'a pas autorisés à rouvrir le 2 juin", ajoutent-ils.Interrogé par l'AFP, le président de la Confédération des commerçants de France Francis Palombi s'est félicité de la conclusion de cette charte "qui était nécessaire. Cela a été laborieux, mais nous avons une base de travail: nous devons à présent nous retrouver autour d'une table pour discuter des clauses et des détails".Ces mesures sont "particulièrement satisfaisantes pour les toutes petites entreprises que nous représentons, de moins de 11 salariés", a souligné M. Palombi.
Il y a 4 ans et 333 jours

Covid-19 : ultime feu vert de l'Assemblée à un nouveau texte d'urgence

Objet d'un accord mardi entre députés et sénateurs, le texte approuvé à main levée par les élus LREM, MoDem et la grande majorité des UDI devra encore obtenir l'aval du Sénat le 10 juin pour être adopté définitivement par le Parlement.Les trois groupes de gauche - PS, LFI et PCF - ont voté contre, dénonçant notamment des "brèches dans le droit du travail" et un code du travail "désossé", l'ex-LREM Emilie Cariou (Écologie Démocratie Solidarité) formulant aussi des critiques en ce sens.Au nom de LR, Antoine Savignat a déploré un projet "illisible, sans cohérence" et rappelé, comme d'autres élus, le qualificatif de "gloubi-boulga" qui lui a été affublé par des parlementaires.Le texte prévoit notamment de nouvelles adaptations en matière de chômage partiel, des mesures relatives à la justice, ainsi que des dispositions liées au Brexit.Il prévoyait initialement 40 habilitations à légiférer par ordonnances, un nombre ramené à six par les parlementaires, a indiqué le ministre des Relations avec le Parlement Marc Fesneau, défendant un texte qui "vise à répondre à une crise qui touche de nombreux domaines".Au chapitre du droit du travail, le texte permet notamment une modulation du dispositif de chômage partiel à partir du 1er juin. Il créé un dispositif spécifique d'activité partielle dénommé "activité réduite pour le maintien en emploi" qui doit permettre, sous réserve de négociations d'entreprise ou de branche, "une réduction du temps de travail" compensée "en partie" par l'État.Le texte prévoit également que les salariés en activité partielle bénéficieront de droits à la retraite à titre exceptionnel jusqu'au 31 décembre. Il permet en outre la poursuite du recours à des contrats courts ou encore facilite le prêt de main d’œuvre.Sur le volet justice, le projet de loi permet notamment une extension de l'expérimentation des cours criminelles dans 18 départements. Le gouvernement avait proposé de la porter à 30 départements pour faire face à l'engorgement des tribunaux lié à l'épidémie mais les sénateurs avaient initialement rejeté toute extension.Toujours au chapitre judiciaire, le projet de loi acte également plusieurs reports dont celui de la réforme du divorce à 2021.Parmi ses diverses mesures, le texte habilite en outre le gouvernement à prendre par ordonnances des dispositions liées au Brexit à l'issue de la période de transition, qui doit en principe s'achever au 31 décembre. Là aussi un compromis a été trouvé: initialement fixée à 30 mois, l'habilitation a été réduite à douze mois.
Il y a 4 ans et 333 jours

"Il faut amplifier le tournant environnemental" (François de Mazières)

POINT DE VUE. Le maire (DVD) de Versailles, ancien président de la Cité de l'architecture et du patrimoine, plaide, auprès de Batiactu, pour un autre aménagement du territoire, l'"amplification du tournant environnemental", et une plus grande place accordée aux élus locaux dans la politique d'attribution des logements sociaux.
Il y a 4 ans et 333 jours

Qui est le nouveau directeur de marché Bâtiment de Wilo France ?

CARNET-NOMINATION. Le fabricant de pompes et de systèmes de pompage, Wilo, vient de se doter d'un nouveau directeur de marché Bâtiment pour la France. Dé qui s'agit-il ? Découvrez son profil.
Il y a 4 ans et 333 jours

Un protocole pionnier pour les surcoûts du Covid-19 en Alsace-Moselle

Le Syndicat des eaux et de l’assainissement Alsace-Moselle a signé le 3 juin un accord avec les fédérations locales de travaux publics sur sa prise en charge des dépenses induites par les mesures sanitaires. Elle repose sur un plafonnement par rapport au montant du marché et au coût journalier par salarié.
Il y a 4 ans et 333 jours

Les conséquences du "choc covid" sur la stratégie de SNCF Réseau

L'ESSENTIEL EN 3 POINTS. P-DG du gestionnaire d'infrastructure ferroviaire depuis le 1er mars 2020, Luc Lallemand était auditionné au Sénat le 3 juin. L'occasion d'aborder la situation financière du groupe, les besoins en investissement, et la vision stratégique à dessiner. Le tout en prenant en compte l'impact de la crise sanitaire.
Il y a 4 ans et 333 jours

Auvergne-Rhône-Alpes: avec un milliard d'euros, le plan de relance régional passera par la construction

Préférence régionale, préservation ou création de 50.000 à 100.000 emplois, démarrage de chantiers...: le président d'Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez, a présenté jeudi 4 juin un plan de relance chiffré à un milliard d'euros pour faire face à la crise économique liée au Covid-19.
Il y a 4 ans et 333 jours

Trois acteurs du Bâtiment nous parlent de "leur" télétravail

TEMOIGNAGES. Avec la crise sanitaire, le télétravail s'est étendu à une large frange de l'entreprise. Comment cette pratique a-t-elle été vécue ? Un attaché commercial, un directeur marketing et une directrice d'agence de relations presse du Bâtiment nous livrent leur expérience.
Il y a 4 ans et 333 jours

Le confinement, révélateur des inégalités en matière de qualité du logement

École, travail, loisirs... c'est tout leur quotidien que les Français confinés ont dû revisiter pendant 2 mois. Au cœur de ces nouveaux modes de vie improvisés, un élément charnière : le logement. Perçu et vécu comme un « cocon », celui-ci a pu aider à vivre cette période inédite et complexe. À l'inverse, moins bien supporté, il a aussi pu contribuer à générer des tensions supplémentaires.Dans tous les cas, alors que la vie commence à reprendre un cours « plus normal », l'étude QUALITEL - IPSOS le montre : le confinement a révélé et confirmé l'importance de la qualité du logement dans la vie des Français. L'importance de la qualité du logement plus que jamais confirmée, mais des inégalités observéesCette période de confinement a été un révélateur de l'importance de la qualité du logement pour les Français, pour le meilleur et parfois pour le pire.Un grand nombre de Français ont plutôt, voire beaucoup, apprécié leur logement pendant ces deux mois. Une part non-négligeable (34%) affirmait même, au bout de 6 semaines, « qu'ils pourraient vivre en confinement très longtemps sans problème ».Mais qui étaient ces confinés « heureux à la maison » ? Des personnes plutôt âgées de 60 ans et plus, vivant en couple et propriétaires d'une maison en commune rurale. Ce sont ceux qui donnent la meilleure note à la qualité de leur logement, 7,2/10 [1] contre 6,7/10 pour ceux qui avouaient « commencer à en avoir marre ». Certains ressortent même de cette période avec un attachement renforcé à leur domicile : 37% affirment avoir « adoré » leur logement pendant le confinement.A contrario, 20% de Français, soit près de 8 millions de foyers, ont déclaré avoir « mal supporté » leur logement pendant le confinement.Parmi eux, on trouve une sur-proportion de jeunes (28% des moins de 35 ans), de personnes seules (26%), en appartement (29%) avec des revenus modestes (32% des personnes gagnant moins de 1 250€).Plusieurs facteurs liés au logement ont contribué à vivre plus ou moins bien le « mode confiné »La catégorie d'agglomération...Sans surprise, la France des campagnes qui juge en temps normal plus favorablement la qualité de son logement (cf. baromètre Qualitel 2019) a globalement mieux vécu le confinement. 65% des personnes vivant en zone rurale ont estimé que leur logement était tout à fait adapté pour vivre confiné, 47% pour les personnes vivant dans une grande métropole (35% pour l'Île-de-France)....Le fait d'habiter en appartement ou en maison...Un des éléments particulièrement discriminant pour avoir bien vécu le confinement est le fait d'habiter en maison plutôt qu'en appartement. Les habitants d'appartement qui évaluent la qualité de leur logement à 6,2/10, n'ont été que 28% à juger que leur logement était tout à fait adapté à une vie confinée, contre 65% de ceux vivant en maison avec une note de 7,1/10....D'être propriétaire ou locataire...Les propriétaires ont également noté plus généreusement leur logement en cette période de confinement (7,3/10), par rapport aux locataires (6 en moyenne et 5,7 pour les locataires de logements sociaux). Et ce sont ces mêmes propriétaires, qui, à 61%, ont trouvé que leur logement était tout à fait adapté au confinement (33% pour les locataires)....De bénéficier du vrai luxe, l'espaceSans surprise, la surface du logement a constitué l'un des critères les plus décisifs pour bien vivre le confinement : seul 1 Français sur 4 habitant dans moins de 75 m² (hors studio) a jugé son logement tout à fait adapté au confinement, une proportion passant à près de 8 Français sur 10 pour ceux habitant dans plus de 120 m².Dans le détail, ceux qui ont jugé leur logement inadapté l'ont principalement expliqué par le manque d'un espace extérieur (52%), une surface globale trop petite (49%) ou l'absence d'une pièce pour s'isoler (33%).Le grand confinement de 2020 pourrait ainsi marquer un tournant dans cette « conquête de l'espace ».Vers de nouveaux horizons38% des habitants d'appartements affirment que cette période leur a donné envie de déménager, soit un chiffre 3 fois plus élevé que les habitants de maison. C'est le cas aussi de 31% des habitants de l'agglomération parisienne, bien plus nombreux que les résidents des villes moyennes (21%) à émettre le souhait de déménager.Même constat chez les parents : 41% des personnes ayant des enfants en bas âge souhaitaient déménager à l'issu de ce confinement. Ils ont davantage souffert de la promiscuité et du manque d'espace. Des difficultés qui ont été anticipées par certains : ainsi les familles avec enfants en bas âge ont été deux fois plus nombreuses que la moyenne des Français à quitter leur logement pour passer le confinement ailleurs (11% contre 6%).
Il y a 4 ans et 333 jours

Un nouveau président pour Perl

CARNET. Perl, filiale du groupe Nexity basée sur le modèle de l'investissement en nue-propriété adossé à de l'usufruit locatif social, a un nouveau président en la personne de Julien Drouot-l'Hermine. Celui-ci conserve la présidence d'une autre filiale du promoteur : iSelection, spécialisée dans l'immobilier de placement.
Il y a 4 ans et 333 jours

Le monde d'après : l'architecte japonais Shigeru Ban appelle à repenser les habitats d'urgence

En cas de séisme, tsunami, violente tempête ou inondation dans un contexte pandémique, "les centres d'évacuation représenteraient des lieux à haut risque" d'infections en raison des attroupements de gens, avertit l'architecte de 62 ans interrogé par l'AFP."Gérer la situation avec quelques jours de retard serait rédhibitoire", ajoute-t-il, recommandant par conséquent d'anticiper des infrastructures adaptées.Lui et ses équipes ont conçu des espaces individuels, cloisonnés par des tentures suspendues à de longs tubes en papier: un système spartiate mais souple, récemment testé dans un gymnase de la ville de Yokohama (sud-ouest de Tokyo) pour héberger des personnes démunies lors de la crise du Covid-19.Les autorités japonaises par exemple ont été tellement accaparées par la crise sanitaire qu'elles n'ont pas anticipé le scénario d'une catastrophe naturelle en période de pandémie, selon l'architecte: "C'est seulement récemment que les gens ont commencé à se demander ce qu'il faudrait faire en cas de séisme"."Je sais que ce n'est pas facile mais je pense que nous devons y réfléchir", insiste-t-il.Lauréat du prix Pritzker en 2014, la plus prestigieuse récompense en architecture, Shigeru Ban propose des solutions innovantes d'habitat d'urgence depuis plus d'un quart de siècle et aux quatre coins de la planète, du Japon à la Turquie en passant par Haïti et le Rwanda.Ému par le printempsIl est notamment connu pour sa "cathédrale de carton" de Christchurch, structure semi-temporaire construite après le séisme dévastateur de 2011 en Nouvelle-Zélande.Mais il a aussi conçu des bâtiments permanents, comme en France le musée d'art contemporain Centre Pompidou-Metz ou la salle de spectacle La Seine Musicale à Boulogne-Billancourt, avec son associé Jean de Gastines.En mars, Shigeru Ban devait justement s'envoler pour Paris, où son bureau européen est installé, mais a renoncé en dernière minute à son déplacement devant le confinement imminent de la France.Depuis, il n'a pas cessé de travailler, sept jours sur sept: son bureau à Tokyo n'est qu'à cinq minutes à pied de son domicile."Je ne fais rien d'autre que travailler. Je n'ai pas de loisirs et je ne fais rien de spécial à cause de la situation dans laquelle nous sommes".Ce temps suspendu est toutefois aussi l'occasion pour lui de poser son regard sur la nature environnante et le rythme des saisons au Japon, pour la première fois depuis une éternité."C'est probablement la première fois depuis 16 ans que je reste au Japon pendant plus d'un mois d'affilée. J'ai été très ému par la beauté de l'arrivée du printemps", confie-t-il.Mirages de la technologieMais le travail sur le terrain lui manque. "Il est dangereux d'essayer de tout résoudre avec la technologie. Il est faux de croire que l'on n'a pas besoin de se rencontrer en personne parce qu'on a la vidéoconférence", prévient-il."Faire des modèles 3D sur ordinateur n'a rien à voir avec le fait de créer une véritable maquette ou de fabriquer un objet avec les matériaux en main", ajoute-t-il. "Il faut pouvoir être capable de créer en ressentant les matières et leur poids".Il déplore aussi le manque d'ouverture sur le monde des étudiants japonais, une attitude risquant de se renforcer encore avec la pandémie selon lui."Ce serait vraiment grave si les étudiants japonais se repliaient sur eux-mêmes et n'allaient plus à l'étranger sous prétexte qu'ils sont bien au Japon. C'est ce qui me préoccupe le plus"."Il faut plus que jamais se tourner vers l'extérieur, se mélanger et échanger avec des personnes différentes", insiste celui qui a étudié l'architecture aux Etats-Unis.Le Japon a été relativement épargné par la pandémie, avec environ 17.000 cas de contamination recensés et 900 morts depuis le début de la crise sanitaire.L'état d'urgence avait été déclaré par le gouvernement en avril, et a été levé par étapes à partir de la seconde quinzaine de mai.
Il y a 4 ans et 333 jours

Photovoltaïque: Dracula Technologies se lance dans un projet d'impression innovant

La jeune société Dracula Technologies vient de lever 2,2 millions d'euros pour lancer la pré-industrialisation de sa technologie d'impression de cellules photovoltaïques.