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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87519 résultats)
Il y a 4 ans et 335 jours

"Nous insistons pour que les appels d’offres mettent en avant les productions locales", Nicolas Vuillier, président de l'Unicem

Le président de l'Union nationale des industries de carrières et des matériaux de construction fait le point pour LeMoniteur.fr sur la situation de la filière après deux mois de confinement. S'attendant à un "trou d'air" de l'activité à la fin de l'année, il explique les mesures qui permettraient de l'atténuer.
Il y a 4 ans et 335 jours

Cinq leaders de l'industrie lancent l'édition 2020 du "Construction Startup Competition"

Sous le slogan « You are the missing piece » (Vous êtes la pièce manquante), les cinq acteurs clés de l'industrie invitent tous les entrepreneurs du monde entier ayant des solutions de construction innovantes à participer à l'édition de cette année en soumettant leurs projets du 19 mai au 26 juillet 2020. Les gagnants seront évalués dans cinq domaines d'opportunité au sein du secteur, allant des villes et bâtiments intelligents à l'optimisation de la gestion de la chaîne d'approvisionnement, la construction avec des matériaux ou méthodes innovants, l'optimisation de la productivité, l'efficacité et la qualité dans la gestion quotidienne des projets, entre autres.CEMEX Ventures, Ferrovial, Hilti, Leonard du groupe VINCI et NOVA de Saint-Gobain se sont réunis autour de l'édition 2020 du « Construction Startup Competition » afin d'apporter leur soutien à des start-up qui brisent les paradigmes de l'un des secteurs les moins digitalisés et les plus fragmentés. Ils uniront leur expertise et leurs ressources pour stimuler les start-up grâce à leur connaissance des infrastructures, des matériaux et des équipements, entre autres disciplines.Les personnes qui souhaitent participer peuvent s'inscrire sur la page web de CEMEX Ventures (https://www.cemexventures.com/startup-competition-2020/). Une fois que les cinq entreprises organisatrices auront évalué toutes les propositions, elles offriront aux start-up les plus prometteuses une série d'opportunités supplémentaires, allant d'ateliers à des projets pilotes ou des investissements. Pour cette quatrième édition du « Construction Startup Competition », les entreprises gagnantes seront invitées à Chicago, aux États-Unis, pour présenter leurs solutions à un public composé de leaders mondiaux de l'innovation, de l'investissement et de la construction, cet évènement devant en principe se tenir les 2 et 3 décembre 2020.L'implantation mondiale des cinq sociétés organisatrices permet aux start-up établies n'importe où dans le monde de participer au concours, leur donnant ainsi la possibilité d'étendre leurs activités à de nouveaux marchés géographiques. La position qu'occupent ces cinq leaders dans la chaîne de valeur de la construction offre aux participants une grande visibilité des défis auxquels l'industrie est confrontée, ainsi qu'un accès à un portefeuille actif de contacts importants. Ces éléments leur permettent de nouer des liens avec de nouveaux investisseurs et entreprises axés sur l'innovation. En outre, le concours offre aux participants la possibilité de tester et de mettre en œuvre leurs solutions avec l'un des cinq organisateurs.La forte montée en puissance des éditions précédentes - au sein desquelles le nombre de candidats a augmenté d'année en année - a permis de développer un écosystème de plus d'un millier de start-up, issues de plus de 80 pays, axées sur l'industrie de la construction. Le concours 2020 « Construction Startup Competition » vise à compléter une vision des nouvelles solutions émergentes dans l'industrie, à faciliter un examen efficace des opportunités d'investissement et à créer une communauté d'acteurs engagés à résoudre les défis de l'industrie d'un point de vue innovant, technologique et durable.Pour plus d'informations sur l'édition 2020 du « Construction Startup Competition », rendez-vous sur le site https://www.cemexventures.com/startup-competition-2020/.
Il y a 4 ans et 335 jours

Lippi présente Évolution : une pile élégante et compacte pour sécuriser les portails en collectif

Cette année, LIPPI® enrichit son offre avec la pile Évolution, un coffre technique prêt à poser pour équiper les portails coulissants et autoportants LIPPI®.Conçue pour les entreprises et les collectivités, cette pile au design épuré permet d'assurer la sécurité des usagers et de protéger les équipements tout en répondant aux normes les plus strictes et en offrant une installation simplifiée.Évolution : une solution fonctionnelle pour accroître la sécurité des portailsLIPPI® enrichit son offre de portails avec une solution spécialement dédiée au collectif, résidences, hôtellerie, bureaux, commerces et autres zones recevant du public soumis à un passage intensif : la pile Évolution, conçue pour sécuriser les portails coulissants et autoportants. Destinée à recevoir la motorisation et l'électronique des portails LIPPI®, cette solution technique permet en effet de préserver les équipements grâce à un boîtier étanche assurant une protection efficace contre les intempéries. Anti-choc et verrouillé par clé, le coffre permet en outre de se prémunir contre le vandalisme.Répondant aux normes de sécurité les plus strictes (normes Eurocodes - 4 zones France et Corse), la pile Évolution intègre une motorisation CARDIN et est dotée d'équipements de série permettant de garantir la sécurité des usagers : un feu clignotant, un éclairage de zone LED pour une parfaite visibilité du débattement du portail, de jour comme de nuit, un jeu de cellules et 5 barres palpeuses ou tranches de sécurité (1 sur le vantail et 4 sur la pile) offrant une protection renforcée contre les risques de cisaillement et d'écrasement. Ainsi le portail s'arrête automatiquement lorsqu'un obstacle est détecté lors de l'ouverture ou de la fermeture.Diverses solutions de contrôle d'accès sont également proposées en option permettant ainsi d'accroître la sécurité des biens et des personnes en fonction des besoins : interphone, visiophone, lecteur de badge ou clavier à code.Un produit design et simple à mettre en œuvreÉvolution, c'est une pile unique pour de multiples possibilités esthétiques : compatible avec les portails coulissants et autoportants Z®, STEM®, STEM Wall®, et AQUILON® (sauf Tivano, Aquilon Max et Practis), son design compact et ses lignes épurées offrent une alliance parfaite avec les différents univers LIPPI® et s'intègre donc harmonieusement à tous les projets architecturaux, des plus classiques aux plus audacieux. Elle se décline dans les 30 coloris standards des Univers Z et STEM et les 12 coloris de la gamme AQUILON. La pile Évolution permet également d'intégrer un logo pour des installations personnalisées.Sa compatibilité avec la majorité des modèles LIPPI® abolit par ailleurs les contraintes techniques, la pile étant adaptée aux dimensions (hauteurs et passages) des différents portails autoportants et coulissants.Câblée et testée en usine, elle constitue une solution prête à poser, offrant un réel gain de temps à la pose pour les installateurs. Son ergonomie facilite de plus l'accès aux équipements électroniques tant pour l'installation que pour la maintenance.Connectée, Évolution embarque la technologie Cardin permettant un diagnostic et un contrôle à distance via l'application CRD TWO. Très à l'écoute des besoins de ses clients, LIPPI® propose de plus avec la pile Évolution une offre complète de services dédiés aux professionnels : assistance à la pose, forfait de mise en route et contrat d'entretien. Enfin, Évolution est intégrée à la bibliothèque d'objets BIM de BimObject® afin de simplifier le travail des architectes.Une fabrication française de qualitéDistribuée via le réseau de concessionnaires LIPPI® et les revendeurs professionnels (voir liste sur le site), la pile Évolution bénéficie d'une fabrication de qualité réalisée en Charente dans les usines LIPPI® et d'une garantie de 10 ans contre la corrosion.Symbole du savoir-faire français depuis plus de 50 ans, la marque a su développer un niveau d'excellence dans la fabrication de portails et clôtures, du choix des matières premières aux traitements de protection et produits de finition. La triple certification Qualité Sécurité Environnement attribuée à la marque témoigne de la volonté de garantir des produits et services de qualité, dans le respect des valeurs managériales et environnementales de l'entreprise.Caractéristiques techniquesmatériau : acier galvaniséencombrement au sol : 570 mm x 480 mméquipements de série : motorisation CARDIN réf Sli1024Feu clignotant - 1 Récepteur radio avec antenne1 Transmetteur pour barre palpeuse5 Barres palpeuses (1 sur le vantail et 4 sur la pile)1 Jeu de cellules filaires - Borne de connexionÉclairage de zone à led - Carte électroniquePorte accès moteur avec serrure à clé2 TélécommandesHorloge hebdomadaireBatterie de secours NIMHéquipements en option : Contrôle d’accès (interphone/visiophone/lecteur de badge/clavier codé)Télécommandes supplémentaireshorloge annuelle avec jours fériés1 jeu de cellules poids lourdDisponibilité : 25 mai 2020
Il y a 4 ans et 335 jours

Rockwool lance une solution pour calibrer soi-même son projet d'isolation

Lors de la construction d’un bâtiment ou à l’occasion d’une opération de rénovation énergétique d’un logement, il est primordial de déterminer en amont le produit le plus efficace et le plus adapté au projet. C’est pourquoi ROCKWOOL lance une calculette qui permet de choisir les produits pour les combles aménagés, combles perdus et toitures inclinées les plus adaptés à son projet, notamment en mesurant les quantités nécessaires. Cette calculette est destinée aux professionnels, artisans et particuliers. L’intérêt est de pouvoir trouver le bon produit grâce à un système de notation, de connaitre les avantages produits (gain de temps comparé à une solution standard, gain de surface pour les combles aménagés), pour enfin calculer les quantités nécessaires. Grâce au code EAN, les produits sont facilement trouvables ensuite chez les distributeurs.Pour tester la calculette : cliquez ici
Il y a 4 ans et 335 jours

EAS SOLUTIONS PRÉSENTE BAKU, UN PLAFONNIER ENCASTRÉ LED À FAIBLE LUMINANCE POUR UN ÉCLAIRAGE SUR-MESURE TRЀS ÉCONOME EN ÉNERGIE

EAS SOLUTIONS, spécialiste français de l’éclairage LED professionnel, présente BAKU un encastré LED conçu pour un éclairage sur-mesure, sans éblouissement et très économe en énergie. Le plafonnier encastré LED BAKU offre un éclairage performant à faible luminance (UGR< 19) pour un meilleur confort visuel. Son efficacité lumineuse est de 103 lm/W avec un flux lumineux de 3100 lm en 4000K (blanc neutre). Disponible en plusieurs puissances (20W et 30W) et températures de couleur (blanc chaud et blanc neutre), il possède un corps en polycarbonate et un réflecteur en métal poli avec Darklight. Son angle de faisceau est de 55° et sa durée de vie de 50 000 heures. Il fonctionne à des températures allant de -10° à +40° en on/off ou sur variateur, protocole DALI inclus et est garanti 5 ans. Equipé en option de luxmètre et de détecteur de présence, le plafonnier BAKU permet d’obtenir un éclairage LED à la carte très économe en énergie qui autorise dans un même espace différents niveaux d’éclairement. Il adapte ainsi la puissance du flux lumineux en fonction de la luminosité extérieure, du taux d’occupation des lieux et des besoins des utilisateurs, prenant en compte aussi bien la proximité d’une source de lumière naturelle que les préférences en éclairage de chacun. Compatible avec le système intelligent de gestion Digital Lumens (division du groupe Osram), le plafonnier LED BAKU peut-être également connecté. Il communique alors via le maillage radio des luminaires et constitue un réseau indépendant et parallèle qui ne perturbe pas les réseaux en place. Contrôlé le plus souvent par zone d’activité, l’éclairage passe ainsi automatiquement du niveau d’éclairement le plus bas en l’absence d’occupation au niveau d’éclairement maximum en pleine activité. En plus d’apporter un grand confort visuel aux utilisateurs, cette installation tertiaire intelligente réduit considérablement la consommation d’énergie, mesurable en temps réel. Le luminaire LED BAKU ainsi connecté économise 90 % d’énergie sur l’éclairage. Il est particulièrement adapté à l’éclairage des bureaux, espaces communs, locaux commerciaux, zones de transit des gares et aéroports … A propos d’EAS SOLUTIONS EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels, innove avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligent. EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 4 ans et 335 jours

Covid-19 : la Fondation du BTP crée un fonds de solidarité

En effet, dans le respect des mesures de confinement, la plupart des entreprises ont dû arrêter leurs chantiers et ont été contraintes de mettre leurs salariés en chômage partiel. Dans ce contexte, 65% des entreprises du Bâtiment ont fait remonter des difficultés liées au COVID-19, quant aux entreprises des Travaux Publics, elles ont de leur côté, subi une baisse de 55% de leur activité au cours du 1er trimestre 2020 (source : point de conjoncture du 23 avril 2020, INSEE).Face à cette situation alarmante et dans ce contexte inédit, la Fondation du BTP, acteur engagé de la profession, dont les valeurs de solidarité et d'entraide sont au cœur de l'action, a décidé d'apporter son soutien au secteur. « À situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles, la Fondation du BTP se doit d'être présente au côté des entreprises et des salariés du BTP », pour reprendre les mots du Président de la Fondation du BTP, Didier Charbonnel, lors du conseil exceptionnel du 4 mai 2020.Une aide financière pour les salariés du btp ayant été au chômage partielPour cela, la Fondation du BTP a proposé la création d'un fonds de solidarité COVID-19 et y participe à hauteur de 500 000 euros renouvelable une fois. L'objectif est de permettre aux salariés mis au chômage partiel de bénéficier des garanties de leur contrat collectif en santé et en prévoyance sans contrepartie de cotisation. Cette aide tournée vers les salariés de la profession, leur permettra de continuer à bénéficier de leur protection sociale dans ce contexte économique, sanitaire et social difficile.De plus, le conseil d'administration de la Fondation a souhaité aller plus loin et a décidé d'allouer un budget supplémentaire à l'aide sociale individuelle. Les salariés en grandes difficultés pourront ainsi se tourner vers la Fondation pour obtenir un soutien financier.Distribution de matériel auprès des professionnels du BTPLa Fondation a souhaité que l'aide apportée aux acteurs du BTP soit aussi constituée d'équipements de protection aujourd'hui nécessaires comme des masques, gants etc. Ces fournitures sont redistribuées aux professionnels n'ayant pas pu se fournir en matériel et permettent la reprise des chantiers aux salariés dans des conditions optimales de sécurité.
Il y a 4 ans et 335 jours

Nouveaux "coups de pouce" pour les chaufferies en habitat collectif et du tertiaire

Le dispositif des CEE a &eacute;t&eacute; am&eacute;nag&eacute; : un nouveau &laquo;&nbsp;Coup de Pouce&nbsp;&raquo; chaufferie fioul est apparu pour l&#39;habitat collectif ainsi qu&rsquo;un nouveau &laquo;&nbsp;Coup de Pouce Chauffage des B&acirc;timents Tertiaires&nbsp;&raquo;.
Il y a 4 ans et 335 jours

Isolation : les biosourcés gagnent du terrain

Champions de l&rsquo;&eacute;conomie circulaire, les isolants biosourc&eacute;s se d&eacute;veloppent rapidement. Les pros sont s&eacute;duits par leur pertinence environnementale, leurs performances et garanties.
Il y a 4 ans et 335 jours

Nucléaire : Hinkley Point C franchit une nouvelle étape

EDF a annoncé le 1er juin que la pose de la dalle qui accueillera le deuxième réacteur EPR de la centrale britannique était achevée. Un ouvrage réalisé dans les délais impartis malgré la pandémie.
Il y a 4 ans et 335 jours

La construction de l'Arena 2 pour les JO Paris-2024 est confiée à Bouygues

Le coût de construction de cet équipement, qui accueillera les épreuves de badminton lors des jeux olympiques (26 juillet-11 août 2024), puis de para taekwondo et de para badminton pendant les jeux paralympiques (28 août-8 septembre), s'élève à ce stade à 98 millions d'euros HT en valeur 2020, financé à 50% par l'État, la ville de Paris et la région Ile de France à travers la Solideo, la société publique qui supervise les chantiers des JO, et à 50% par la ville de Paris sur son budget propre.La ville de Paris précise qu'elle ajoutera 20 millions d'euros HT pour "la conception-réalisation" de deux gymnases intégrés à l'arena, pour le sport amateur, ainsi que 7,2 millions d'euros HT pour financer un programme d'activités de proximité, de loisirs et de commerces.Au-delà des JO, l'arena, d'une capacité de 8.000 places assises, située entre les portes de la Chapelle et d'Aubervilliers, sera le lieu de résidence du Paris Basketball, le club de la capitale qui évolue en ProB et a l'ambition de devenir une équipe de premier plan sous la houlette de son président américain, David Kahn, ancien patron d'une franchise NBA (Minnesota Timberwolves).La salle pourra aussi accueillir des concerts, des spectacles ou des congrès.Selon la mairie de Paris, la commission d'appel d'offre "a attribué le 25 mai le marché global de conception, réalisation et exploitation technique (...) au groupement mené par Bouygues Bâtiment Île-de-France et les agences d'architecture SCAU et NP2F".Terrasse verteBouygues, en concurrence pour l'arena avec un duo Vinci-Eiffage, a déjà remporté fin avril le marché de construction et d'exploitation du centre aquatique olympique à Saint-Denis, dont la facture totale s'élève à 174,7 millions d'euros. Le groupe continue donc de prendre sa revanche, après avoir perdu la bataille du marché de construction du village olympique, toujours à Saint-Denis.Pour l'arena, la mairie met en avant les "qualités architecturale, paysagère, fonctionnelle et environnementale" du projet, qui se distingue notamment par un socle vitré et une terrasse végétalisée."L'exploitation commerciale se fera via une délégation de service public actuellement en cours d'instruction", précise la mairie. Les travaux doivent démarrer en juin 2021.La pandémie de Covid-19 créé des inquiétudes sur le coût des chantiers et l'organisation des JO de Paris-2024. La ministre des Sports, Roxana Maracineanu, avait averti début mai qu'il y aurait "sans doute" des "dépassements" de coûts.Le budget des JO de Paris-2024 se décompose en deux parties: d'une part, le volet des équipements pérennes (centre aquatique olympique, village des athlètes) s'élève pour l'heure à 3 milliards d'euros, dont environ 1,6 milliards d'euros d'investissements publics (Etat et collectivités) en valeur 2016 et hors taxes; d'autre part, le volet de l'organisation, géré par le Comité d'organisation des JO (Cojo), s'élève à ce stade à 3,8 milliards d'euros, financés par des recettes privées (sponsors, billetterie, contribution du CIO). Pour le Cojo, une révision budgétaire est attendue fin 2020-début 2021.
Il y a 4 ans et 336 jours

Réhabilitation énergétique de l'habitat social : quelles solutions efficaces en chauffage électrique ?

PRÉPARER 2050, projet partenarial, piloté par EDF R&D et le CSTB, en lien avec les acteurs du logement socialDévelopper et mettre l'innovation au service de la rénovation énergétique, sur l'ensemble du parc bâti existant, c'est tout l'enjeu de la filière construction pour accompagner et accélérer la rénovation énergétique des bâtiments. Cette priorité, soutenue par le gouvernement, s'inscrit dans la Stratégie nationale bas-carbone (SNBC) et contribue à lutter contre la précarité énergétique. EDF R&D et le CSTB, en association avec les acteurs du logement social, sont engagés dans ce défi au travers du projet PRÉPARER 2050. Découvrez en vidéo ce partenariat de recherche dédié à la rénovation énergétique du parc de logements sociaux, chauffé à l'électricité. Il développe une vision partagée des solutions adaptées à ce patrimoine et aux besoins de leurs occupants, avec une approche globale et pérenne de la réhabilitation. Vous avez une question, vous souhaitez participer à ce projet&nbsp;? Contactez-nous à preparer2020@cstb.fr En savoir plus&nbsp;: PREPARER2050.fr : le site Web du projet Plan rénovation énergétique des bâtiments
Il y a 4 ans et 336 jours

LIPPI fait confiance à BIMobject et à Polantis pour le développement et la publication de ses objets BIM

Pierre-Yves Laurent, Responsable de Marque chez LIPPI, fabricant français de portails et clôtures, revient sur les innovations produits et la démarche BIM de LIPPI. Du choix des matériaux à une proximité clients Créateur français d’Univers d’aménagements extérieurs innovants et inspirants à destination des professionnels, des particuliers et des collectivités, LIPPI conçoit et fabrique, depuis 1963, des portails, clôtures, mobiliers et accessoires colorés et modulables pour profiter des espaces en toute liberté . LIPPI a une politique de commercialisation omnicanale : Prescripteurs (architectes, bureaux d’études…), donneurs d’ordres Professionnels de la pose Paysagistes Clients sous enseignes (marchands de matériaux, grandes surfaces spécialisées) Réseaux de concessionnaire sous enseigne Lippi UniversZ Lippi LIPPI propose à la fois des gammes classiques de portails et clôtures, mais a su se démarquer avec des gammes plus sélectives et innovantes. LIPPI a défini une véritable stratégie de différenciation à forte valeur ajoutée pour ses clients suivant plusieurs axes : Être précurseur dans le BIM. LIPPI a été l’un des premiers fabricants de portails et clôtures à modéliser une partie de son portefeuille produits en BIM Avoir une véritable conscience environnementale, nous sommes un partenaire « éco-responsable » disposant de la triple certification ISO Qualité, Sécurité, Environnement, RSE (label Lucie). 17 gammes de nos produits sont labellisées « Origine France Garantie », label qui s&rsquo;obtient difficilement auprès d’un organisme indépendant pour certifier l’origine française d’un produit. Cette responsabilité est pensée à chaque instant : la fabrication des produits est propre, le choix des matériaux, les emplois sont locaux, moins de rejets, moins de chutes, réduction des emballages… Proposer une forte personnalisation des produits les clôtures et portails sont fabriqués à la demande avec une palette de couleurs élargie de 30 couleurs. Les couleurs proposées par son partenaire AkzoNobel sont choisies par une designer interne et suivent les tendances pour illuminer les espaces. Lippi colors Proposer des services de qualité autour des produits, services clients, services après-vente BIM, un levier de performance et de mise en relation S’intéresser au BIM fut une évidence pour LIPPI. Il y a quelques années, les autres fabricants de clôtures ne disposaient pas de fichiers BIM, nous avons su être précurseur, nous démarquer en développant nos fichiers BIM. En effet, les clôtures et les portails font partie intégrante d’un bâtiment et de son environnement. L’objectif de LIPPI est d’embellir les extérieurs et créer un écrin pour les bâtiments.  Nous avons créé deux gammes de produits spécifiques, plus innovantes et adaptées aux besoins des prescripteurs.  Ces derniers sont attentifs à nos produits et nos solutions leur plaisent beaucoup. La volonté de LIPPI est à la fois d’embellir un bâtiment mais également la ville. Nous souhaitons développer la visibilité de nos produits, qu’ils soient connus, achetés et posés. Nous offrons des produits complémentaires, plus innovants à la clôture classique. En effet, les villes demandent des produits modernes, esthétiques, colorés tout en gardant des fonctionnalités techniques, sécuritaires et modulables de l’unicité visuelle et stylistique. Cela fait écho à notre raison d’être « Vivre heureux ensemble » C’est une fierté pour l’entreprise de voir les produits LIPPI dans des réalisations car les portails s’intègrent parfaitement au design, à l’esthétique du bâtiment. Le BIM renvoie une image moderne de nos produits. Nous avons choisi de développer une partie de notre gamme en BIM, les produits à forte valeur ajoutée esthétique et technique et notamment ceux qui intéressent le plus les architectes. Une fois nos produits en BIM, nous les avons publiés sur la plateforme Polantis et aujourd’hui sur BIMobject (Polantis appartient à BIMobject). Nous avons été très vite surpris par l’adoption de nos produits par les architectes, par le nombre de téléchargements et de vues de nos produits.  Nous avons gagné des marchés, des chantiers grâce au BIM : du fait de proposer des obejets BIM et d’être présent sur la plateforme Polantis et BIMobject. Les architectes nous contactent pour des demandes de prix. Polantis a su relayer une demande d’un architecte et nous avons conclu un important marché. En effet, proposer une bibliothèque d’objets BIM sur ces plateformes, permet à nos produits d’être au bon endroit, au bon moment. Tous les prescripteurs qui consultent BIMobject et Polantis peuvent nous contacter pour avoir des informations complémentaires sur nos produits. Nos produits gagnent en visibilité sur ces plateformes. Les plateformes de contenu BIM sont des vitrines de nos produits. Cette présence réduit l&rsquo;action de prescription fastidieuse et souvent appliquée au mauvais moment avec les bureaux d&rsquo;architectes. Maintenant, ils ont accès à notre bibliothèque quand ils en ont besoin. Cela est beaucoup plus efficient.  LIPPI sur le salon BIM World les 7 et 8 octobre ! Cette année, LIPPI participe au salon BIM World aux côtés de BIMobject et Polantis pour échanger directement avec les prescripteurs, donneurs d’ordre, collectivités et mieux comprendre leurs besoins. Une démonstration des produits BIM LIPPI aura lieu sur le stand BIMobject, stand G21/H20. BIMobject et LIPPI vous offrent l&rsquo;entrée sur le salon avec le code : EXH-VIS-585275. Nouvelles dates pour le salon BIM World Paris cette année ! Découvrez les produits LIPPI disponibles pour  ARCHICAD, Revit, SketchUp et en IFC sur BIMobject; En savoir plus sur les produits LIPPI en visitant leur site internet.
Il y a 4 ans et 336 jours

Tout savoir sur le ciment bas carbone

Le ciment est un produit pulvérulent obtenu à partir de la cuisson du calcaire et de l’argile. Mélangée avec de l’eau, cette poudre permet d’agglomérer des sables et des granulats pour donner du mortier. En fonction de l&rsquo;utilisation du ciment, l’incorporation de nombreux autres éléments permet de constituer des véritables roches artificielles, dont le béton. La fabrication du ciment Les étapes suivantes sont nécessaires pour la fabrication du ciment. La première consiste à extraire les matières premières et les homogénéiser. Ensuite, il va falloir les sécher et les broyer. La cuisson constitue l’avant-dernière étape et le refroidissement marque la fin du processus. La cuisson du clinker et la décarbonatation du calcaire sont les deux importantes tâches de la production. Des combustibles fossiles ou de substitution sont utilisés pour la cuisson à 1450°C du clinker. Environ 40% des émissions de gaz à effet de serre sont imputées à cette étape, et les 60%  restants, à la décarbonatation du calcaire. Il est à rappeler que le béton est caractérisé par sa résistance mécanique, surtout à la pression, ainsi que sa très grande adaptabilité. Il est généralement composé d’eau, de ciment, de gravier et/ou d’adjuvants. Malgré sa faible masse, seulement 11,74 % par rapport à celle du béton, le ciment contient plus de 98% du carbone émis. Ciment et réchauffement climatique Actuellement, le monde fait face au réchauffement climatique, qui est dû principalement aux émissions de gaz à effet de serre. Il est prouvé que l’utilisation excessive du ciment dans la construction a un impact non négligeable dans la production de ces gaz. En effet, le monde produit chaque année 4 gigatonnes de ciment. Des études ont révélé que 10% des émissions de gaz à effet de serre à l’échelle mondiale proviennent du secteur de la construction, dont 52%  sont produites par le ciment. Le ciment bas carbone c’est quoi ?  La diminution des émissions de gaz à effet de serre dans la fabrication du ciment permet d’obtenir du ciment « bas carbone ». Le lien suivant permet d’obtenir de plus amples informations sur le béton bas carbone de Ciments Hoffmann Green. L’obtention du ciment bas carbone est basée sur la cuisson du clinker et la décarbonatation du calcaire. Pour la cuisson du clinker, la valorisation énergétique des déchets non recyclables et leur utilisation en tant que combustible de substitution permettent une réduction notable des émissions de gaz à effet de serre. Le meilleur moyen de les réduire est de diminuer la quantité du calcaire à décarbonater, par  utilisation des matériaux de substitution de cet élément. Ce sont notamment les cendres volantes émanant des centrales thermiques et des laitiers de haut fourneau.
Il y a 4 ans et 336 jours

Les avantages d’acheter ses engins de chantier d’occasion

Les entreprises préfèrent souvent les équipements neufs surtout s’il est question de chantier important. Plus qu’un budget conséquent, les nouveaux engins sont aussi des investissements à ne pas négliger, d’autant plus qu’ils sont très onéreux. La nouveauté est aussi une assurance d’une bonne qualité. Pour autant les occasions ne sont pas à exclure  pour des achats à de bons prix. Les occasions peuvent être aussi rentables que les neuves à condition de bien les sélectionner. Une économie non négligeable Parce que l’achat d’engins de chantier c’est de grosses sommes en jeu, il est mieux de faire un bon choix. Et pour effectuer des économies, les engins d’occasion représentent une alternative à ne pas mettre de côté, que ce soit pour l’achat de petits équipements ou l’achat de camion de chantier d’occasion. Ils ont un coût relativement bas jusqu’à représenter la moitié d’un engin équivalent mais vendu neuf dans un magasin. Même avec une utilisation de plusieurs dizaines d&rsquo;heures au compteur, une machine reste utilisable pour différents projets. A prohiber aussi l’idée que les engins d’occasion signifient qualité réduite. Cela dépend de plusieurs facteurs non négligeables. De la qualité Comme il a été spécifié, les machines d’occasion ne sont pas forcément de mauvaise qualité. Toutefois, avant d’effectuer n’importe quel achat, il est conseillé de vérifier l’état de l’engin. Lors de cette vérification demandez des informations supplémentaires au vendeur : la machine est-elle déjà tombée en panne ? Des pièces ont-elles été remplacées ? Combien d’heure sur le compteur ?, etc. L’idéal est toujours d’être accompagné par un expert pour une bonne assurance. Notez que les machines de BTP ont la réputation d’être solides. Avec une fabrication répondant à toutes les normes, ces machines sont conçues pour résister à toute épreuve. Demandez les papiers des engins pour vérifier s’ils sont en règle. Profiter des engins de dernière génération Étant donné les prix affichés pour les nouveaux produits, les entreprises se ruent pour les occasions. Contrairement aux idées reçues, on retrouve des modèles de dernière génération dans les ventes d’occasion. Certains propriétaires voudraient s’en décharger après avoir fini leur chantier. Ils mettent ainsi en vente les engins qui ne sont plus susceptibles d’être utiles pour eux. C’est une bonne occasion de faire de nouvelles acquisitions dernier cri. Il est connu que le matériel récent présente l’avantage d’être équipé de nouvelles technologies, ce qui permet aussi de réduire les risques d’accident.
Il y a 4 ans et 336 jours

La numérisation des ateliers des Industriels Menuiserie, Store, Fermeture

Roland, qu'entend-t-on par « numérisation des ateliers » ?La numérisation des ateliers consiste à supprimer toutes les feuilles papiers que l'on peut retrouver dans un atelier, à l'instar des ordres de fabrication ou des fiches de montage. L'objectif de la numérisation est de remplacer toutes ces feuilles par des écrans, des tablettes ou tous autres supports numériques adaptés aux contraintes du poste atelier.Quels sont les enjeux liés à la numérisation des ateliers ?Les menuiseries sur-mesure étant des produits complexes à fabriquer, le premier enjeu est d'obtenir l'information la plus sûre et la plus claire possible pour l'opérateur.Le second objectif est double :Proposer des indicateurs opérationnels pour le poste, pour l'îlot ou la chaine de fabricationMettre à disposition des actions de déclaration « simple » pour la gestion des aléas, le contrôle qualité et les échanges d'information entre les postes‘' L'enjeu pour CAIB : obtenir un flux de production sans aucun support papier pour l'ordonnancement des séries et le montage des menuiseries en atelier ‘' David REVERSEAU (Responsable SI) et Christophe AUGEREAU (Responsable ERP) – CAIBOù en sont les Industriels de la Menuiserie dans la transformation numérique de leurs ateliers ?La numérisation des ateliers est un processus qui a démarré il y a quelques années chez les Industriels visionnaires. Aujourd'hui, quelle que soit la taille de l'atelier, tout le monde va dans ce sens. Certaines régions proposent même des aides aux Industriels pour cette démarche.Nous nous dirigeons de plus en plus vers l'usine 4.0 ! Le principe est de connecter et de lier chaque machine de l'atelier pour avoir des informations disponibles en temps réel et être en mesure de gérer et d'anticiper les aléas rapidement.Quels seraient vos conseils pour les Industriels souhaitant se lancer dans la numérisation de leurs ateliers ?Le principe de la numérisation est d'aller progressivement vers un atelier « 0 papier ». Il faut toujours garder en tête que l'objectif numéro 1 est de fabriquer des menuiseries. La numérisation doit simplifier l'accès et l'affichage des informations et permettre ainsi d'améliorer la productivité et la qualité de fabrication. Un autre facteur très important est l'implication des opérateurs très en amont de la démarche de numérisation. Ils doivent être présents dans les phases d'analyse, de validation et de formation.‘' Notre numérisation est passée par plusieurs facteurs clés :Une approche « AGILE » avec un déploiement poste par poste pour les lignes de production existantesUn investissement matériel important pour équiper l'atelier d'écran de déclarationDes ressources SI nécessaires pour l'adaptation des gammes de production et le paramétrage des différents écransDes développements SI en autonomie avec l'expertise ponctuelle d'ISIA sur certaines problématiques techniques ‘'David REVERSEAU (Responsable SI) et Christophe AUGEREAU (Responsable ERP) – CAIBEn quoi l'ERP et configurateur technique Diapason contribue-t-il à la numérisation des ateliers ?Diapason permet aux Industriels de répondre aux exigences clients, tout en maîtrisant leur production, leurs délais de fabrication et de livraison, leurs marges etc...L'un des points forts de la solution est de gérer les informations relatives aux clients ou à la production et de les diffuser dans toute l'entreprise en direct. Chaque opérateur est ainsi guidé par écran dans l'atelier. Ce dernier flashe le code barre placé sur chaque menuiserie pour que toutes les informations apparaissent à l'écran. Les points complexes ressortent en rouge. Chaque étape du process peut être déclarée afin d'obtenir une vision claire de l'avancement des lots dans l'atelier et de déclencher des actions immédiates pour traiter les aléas. Diapason fournit également des indicateurs de performance permettant à chacun de savoir où il en est par rapport à la cadence à respecter et à obtenir un retour en direct sur la productivité. Avec la numérisation des ateliers, les opérateurs bénéficient d'informations plus fiables. Ils sont alertés et guidés pas à pas par des modes opératoires numérisés ce qui leur fait gagner un temps précieux. Ils sont responsabilisés dans toutes leurs tâches, leur poste s'en retrouve donc valorisé. La numérisation des ateliers est au cœur de notre mission depuis plus de 20 ans. Nos équipes ont une expérience significative, couplée à leur expertise des métiers de la Menuiserie, du Store et de la Fermeture. Ces connaissances nous permettent d'accompagner nos clients dans la réussite du déploiement de leurs projets.Quels sont les retours d'expérience de la part de vos clients Industriels ?Leurs retours d'expérience montrent que la numérisation apporte de la fluidité dans l'atelier (optimisation des actions à réaliser, des déplacements, des recherches…) et augmente la satisfaction client. Les bénéfices de la numérisation des ateliers vus par CAIB :Gains de productivitéDiminution des déperditions de temps liées à la gestion du papierRigueur dans les process et flux de production (file d'attente)Informations et contrôles précis à chaque poste de productionFacilité d'utilisation des écransTraçabilité renforcée des menuiseries dans le process de productionGains financiers et environnementauxFin des impressionsDavantage de temps pour des tâches à valeurs ajoutéeGains en Management La supervision du pilotage en temps réelApproche « lean manufacturing » : maximiser la valeur client en minimisant le gaspillageTémoignage : Marc CAREY – DSI, EURADIF :« Avec Diapason, nous avons mis à disposition des opérateurs des écrans tactiles à chaque étape de fabrication »« Nous sommes un acteur majeur dans le domaine de la porte d'entrée. Notre effectif est de 160 personnes repartis sur 2 sites. Notre histoire avec ISIA a commencé en 2012. Il y a 105 utilisateurs Diapason aujourd'hui. Nous utilisons tous les modules : production, configuration, achats, stocks, CRM, ventes, QSE, coûts revient.Les équipes ISIA nous ont aidé à répondre à deux objectifs :Supprimer les ordres de fabrication papiers et mettre à disposition des écrans tactiles à chaque étape de gamme physique pour permettre une déclaration d'étape rapide et fluideTravailler par rapport aux dates de début et de fin d'étape, et proposer des listes de vitrage classées par date de prioritéNos ordres de fabrication vitrage sont désormais traités par priorité et les résultats d'ordonnancement se sont vite faits sentir. En parallèle, nous avons mis en place un outil de restitution Web pour accompagner le Service ordonnancement et le Responsable atelier afin de détecter très en amont les retards d'étape.Plusieurs éléments ont permis la réussite du projet :La structuration de l'analyse des besoins par rapport à un objectif défini au départLa mise en place d'une équipe dédiée au projetL'implication des opérateurs dès le début du projetLe travail en mode projet avec beaucoup de points de coordination »
Il y a 4 ans et 336 jours

La baisse des effectifs de contrôle de l'inspection du travail pointée par la Cour des Comptes

Dans un rapport dont l'instruction a été bouclée avant la crise du coronavirus, la Cour des comptes fait le point sur les réformes de l'inspection du travail conduites depuis une quinzaine d'années, notamment le plan "ministère fort" à compter de 2015.Si la réorganisation en faveur d'un fonctionnement plus collectif et d'une spécialisation plus grande des équipes est "en bonne voie", l'accompagnement de la réforme au plan des ressources humaines "apparaît comme son point faible", souligne la Cour.Certains secteurs, comme l'agriculture est les transports, ont vu les taux de contrôle baisser fortement. "Une attention particulière doit aussi être accordée au contrôle du risque lié à l'amiante, une moitié des agents de contrôle n'effectuant aucune mission dans ce domaine complexe", estime le rapport.Globalement, "le nombre annuel de contrôles, certes en progrès, peine à retrouver son niveau d'il y a dix ans", pointe la Cour.En cause, une baisse des effectifs "de 9% au global entre 2014 et 2018 (...), peu corrélée à une véritable définition des besoins, la norme d'un agent de contrôle pour 10.000 salariés connaissant de réelles limites dans son application".Les effectifs affectés au contrôle ont "diminué de plus de 6% depuis 2014", avec 1.898 équivalents temps plein en 2018 (pour un total de 3.675 ETP)."Il importe plus que jamais de dégager des moyens humains pour le contrôle des entreprises" souligne la Cour, qui avait déjà alerté sur le manque de moyens de contrôle en février 2016.La Cour préconise de "bâtir une véritable gestion des ressources humaines et de construire des parcours de carrière afin de remobiliser les acteurs face à la perte d'attractivité du métier".Les syndicats CGT, SUD, FSU et CNT de l'inspection du travail ont dénoncé le mois dernier des "entraves" mises à leurs missions de la part du ministère du Travail. Selon eux, la direction du travail interdit les contrôles inopinés dans les entreprises et les subordonne à l'autorisation de la hiérarchie, officiellement pour protéger les agents du coronavirus.De son côté, le ministère a demandé le 22 avril à ses inspecteurs "d'accroître les contrôles sur site" pour vérifier la bonne application des règles de sécurité sanitaire contre le coronavirus, faisant état de 42 mises en demeure et de plusieurs procédure de référés devant les tribunaux.
Il y a 4 ans et 336 jours

Effondrement mortel d'une maison vétuste à Lille : le propriétaire condamné

Une maison d'un étage, avec un ancien café-restaurant au rez-de-chaussée, située à un angle de rue dans le quartier populaire de Fives, à la périphérie de Lille, s'était effondrée le 1er septembre 2014.Les locataires, une Marocaine d'une trentaine d'années et son enfant de trois ans, avaient été retrouvés morts dans les décombres.Le tribunal correctionnel de Lille a reconnu coupable d'homicide involontaire la SCI en tant que personne morale et l'a condamnée à 70.000 euros d'amende et plus de 90.000 euros de dommages et intérêts."On n'a que des amendes", regrette Me Stéphane Bulteau, avocat de l'époux et père de l'enfant, disant que "derrière une personne morale, il y a des personnes physiques"."Il y a eu tellement de négligences de cette SCI. Ils savaient que l'immeuble était fragile", assure-t-il. "C'est pas tout d'être propriétaire, d'encaisser les loyers, on a des responsabilités."La ville de Lille et la métropole européenne de Lille (MEL), assignées par la SCI, ont été relaxées.La défense de la SCI estimait que la mairie était responsable de la fragilisation de l'édifice en ayant fait détruire l'immeuble attenant dans les années 1990 après qu'un véhicule l'avait percuté; et que la MEL, qui faisait des travaux de voirie au moment du drame, avait aussi affaibli la maison."Comment voulez-vous entretenir un immeuble où les gens sont dans les lieux, quand les gens ne paient pas les loyers et surtout quand on vous détruit l'immeuble voisin alors qu'on ne vous a rien demandé ?", souligne Me Gilles Maton, se demandant si, pour les juges, "il n'est pas plus facile de condamner une SCI d'une veuve de 85 ans plutôt que de mettre en cause la ville de Lille"."Au minimum, il y aurait dû avoir un partage de responsabilités", estime-t-il, assurant que la mairie n'a pas fait les travaux de soutènement nécessaires après la destruction de l'immeuble voisin, qui faisait jusqu'alors l'angle.Il compte faire appel du jugement.En 2014, la SCI familiale n'avait plus de gérant depuis le décès du père, jamais remplacé.
Il y a 4 ans et 338 jours

Amaala – the island, un ‘resort’ dédié à l’art et au ‘soft power’

L’Arabie Saoudite préfère montrer la beauté de ses paysages plutôt que la noirceur de son âme et, plutôt que promouvoir institutions arriérées et décapitations publiques, vendre le luxe clinquant d&#8217;Amaala et ses installations pour nouveaux riches. Communiqué. Amaala, la destination ultra-luxe située le long de la côte nord-ouest de l&#8217;Arabie Saoudite, a annoncé en avril [&#8230;] L’article Amaala &#8211; the island, un ‘resort’ dédié à l’art et au ‘soft power’ est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 339 jours

Le Sénat vote la création d'un "dispositif spécifique" de chômage partiel

L'amendement voté lors de l'examen en première lecture d'un projet de loi portant des "dispositions urgentes face à l'épidémie de Covid-19", prévoit la possibilité d'un "régime d'activité partielle spécifique sous réserve de la conclusion d'un accord collectif ou de l'élaboration d'un plan d'activité réduite pour le maintien en emploi"."À défaut d'accord (...), un document élaboré par l'employeur après consultation du comité social et économique, lorsqu'il existe, fixe le contenu du plan d'activité réduite pour le maintien en emploi", précise l'amendement.Mardi, le gouvernement avait présenté un amendement qui entendait l'habiliter par ordonnance à créer un "dispositif alternatif" au chômage partiel avec contrepartie sur l'emploi. Mais il n'avait pas été adopté, les sénateurs jugeant sa rédaction "trop vague".En défendant le nouvel amendement, la ministre du Travail Muriel Pénicaud a indiqué que le gouvernement avait "entendu" les craintes des sénateurs sur le renvoi à une ordonnance et avait donc décidé de présenter "un article en dur, précisant clairement le dispositif".Rappelant que 12 millions de salariés avaient bénéficié du chômage partiel, elle a souligné que "l'Etat ne peut pas durablement payer les salaires de millions de personnes du secteur privé".Des secteurs comme l'automobile ou l'aéronautique "vont être très impactés" et "il nous paraît nécessaire de mettre très rapidement de nouveaux dispositifs de préservation de l'emploi et des compétences qui vont permettre à ces entreprises d'ajuster la capacité de production à la baisse en fonction de la demande, de limiter les coûts économiques et sociaux tout en préservant l'emploi", a-t-elle poursuivi."Très concrètement, les entreprises pourront diminuer par accord avec les organisations syndicales le temps de travail, faire de la modération salariale, à condition de maintenir totalement l'emploi, avec une aide de l'Etat qui viendra en complément pour rattraper une partie de la perte du pouvoir d'achat", a-t-elle expliqué, jugeant le dispositif "gagnant pour tout le monde"."L'alternative, c'est de licencier une partie du personnel", a-t-elle insisté. Il vaut mieux "une réduction du temps de travail compensée en partie par un système d'activité partielle financé en partie par l'Etat".Elle a ajouté que via un décret le gouvernement souhaite "encourager" les entreprises à conclure des accords. Pour les entreprises qui auront "un accord majoritaire, le taux de prise en charge de l'Etat sera plus important", a-t-elle indiqué.Un autre amendement gouvernemental adopté vise à prolonger les droits à allocation de certains demandeurs d'emploi, notamment "jusqu'au 31 août 2021" pour les intermittents du spectacle.
Il y a 4 ans et 339 jours

Crise sanitaire : l'État donnera 4,5 Mds € aux collectivités pour compenser leurs pertes

Le gouvernement a présenté vendredi 29 mai un plan global d'urgence pour les collectivités de 4,5 milliards d'euros, dont 2,7 milliards d'euros pour les départements et 1,75 Md pour les communes et les intercommunalités.
Il y a 4 ans et 339 jours

Après le confinement, ces citadins qui veulent changer de vie

Avant le Covid-19, Olivier et sa compagne pensaient déjà à quitter le centre de Paris "pour s'agrandir". Après deux mois de confinement, ils ne cherchent plus un appartement: ce sera "une maison avec jardin"."On cherche vraiment avec un espace extérieur, quitte à aller un peu plus loin": la proximité d'un métro "n'est plus une obsession", dit-il.Pierre, 40 ans, avait "depuis cinq ans" le projet de "se rapprocher de la nature" et la crise va "précipiter un peu les choses"."Sans tomber dans la collapsologie pure et dure, il nous arrive quelque chose que je pressentais. Je voudrais y être préparé: avoir au moins un lopin de terre pour pouvoir faire un peu d'agriculture et faire en sorte que nous soyons autonomes avec mon épouse", explique-t-il.Cadre dans l'informatique, il faisait déjà "pas mal de télétravail" et l'activité de sa femme, couturière, ne lui semble "pas incompatible" avec ce nouveau mode de vie.Pour Anaïs*, journaliste de 29 ans et son compagnon, "le confinement a été un vrai déclic". A deux, ils vont "changer de mode de vie" d'ici la fin de l'année pour gérer un gîte en Drôme-Ardèche."A Paris, on n'a pas le temps de vivre. On court à droite à gauche et surtout, on sur-consomme", estime-t-elle. "Ça nous a fait nous rendre compte qu'on avait plus du tout envie de cette vie-là. Qu'on avait envie d'espace, d'air, de nature et de changer vraiment de rythme"."Vivre différemment""La pollution", "le manque de nature" sont aussi évoqués par Jana, qui s'installe avec sa famille près de Lorient (Morbihan). "Le confinement a permis d'en faire un projet familial, d'en discuter avec les enfants, ce dont ils rêvaient et ce qu'on pouvait réellement se permettre", raconte cette intermittente du spectacle.Paris ? "On n'y reviendra pas", assure-t-elle.Ces aspirations sont sensibles dans les recherches immobilières. Pendant le confinement, le site Leboncoin a noté une hausse de 30% des recherches en zones rurales et de 20% dans les zones urbaines moins denses, par rapport à la même période de 2019.Sur Seloger.com, "plus de recherches ont été effectuées en province qu'avant le confinement", avec "une appétence accentuée pour les maisons", indique le site.Dans son agence des Herbiers, commune de 16.000 habitants en Vendée, Fabrice Abraham a constaté depuis le déconfinement une augmentation des demandes venant de "grandes villes", notamment d'Ile-de-France."Ce sont des personnes qui sont en télétravail et qui peuvent profiter d'une surface de 100, 120 mètres carrés, pour un prix de vente moyen de 200.000 euros", décrit-il. "C'est ce qui a vraiment changé: ça sent l'envie d'avoir plus grand, d'avoir un bout de jardin et de vivre différemment"."Feu de paille ?"Le phénomène n'est pas nouveau: depuis les années 1980, de plus en plus d'actifs quittent les grandes agglomérations, indique Pascal Chevalier, géographe à l'université de Montpellier. "Ce sont en général des cadres qui étaient dans le tertiaire" et partent pour "retrouver une qualité de vie".S'il y a 10-15 ans, ces départs s'effectuaient vers les espaces ruraux plutôt isolés, "aujourd'hui, les gagnants de cette mobilité sont les petites villes, les bourgs", qui "associent qualité de vie et services", souligne M. Chevalier."Il y a un critère presque paradoxal qui est la proximité du rural avec des axes de circulation", confirme Cédric Szabo, directeur de l'Association des maires ruraux de France. "L'autre paramètre devenu incontournable, c'est la qualité du débit internet" - ce qui exclut certains territoires.De façon générale, il est "beaucoup trop tôt" pour savoir si ces envies entraineront un réel "exode", souligne Thomas Lefebvre, de la plateforme immobilière MeilleursAgents. "Est-ce un feu de paille ou une vraie volonté ?" Ces projets sont "conditionnés à beaucoup de choses", ajoute-t-il, notamment "l'emploi" et le "crédit".*prénom modifié
Il y a 4 ans et 339 jours

BIM&CO adopté par VM Building Solutions pour la gestion de ses objets et données BIM

Spécialiste du zinc en France et à l’international et principal fournisseur des membranes d’étanchéité EPDM, le fabricant VM Building Solutions propose ses solutions pour toitures et façades en BIM. Leader mondial de la fabrication du zinc laminé sous la marque VMZINC, VM Building Solutions fournit et commercialise également des solutions de membranes d’étanchéité EPDM pour les toitures. Le fabricant, qui avait d’ores et déjà modélisé une partie de sa gamme de produits pour les maquettes BIM, a choisi la plateforme bimandco.com pour la diffusion et la gestion de ses catalogues. « Étant lancés dans le monde du BIM depuis plus que quatre ans, nous sommes toujours à la recherche de valeur ajoutée pour le groupe, et pour nos clients. Notre objectif principal consistait à la mise à disposition d’objets BIM en téléchargement libre. C’est bien, mais c’est insuffisant pour faire du BIM collaboratif. Le niveau de maturité BIM évolue, les besoins aussi, d’où la nécessité d’aller plus loin dans la réflexion » explique Arwa BOUSSAA, Responsable BIM et support aux projets architecturaux chez VM Building Solutions. Tournées vers cette approche approfondie du BIM, les équipes de VM Building Solutions ont donc travaillé en collaboration avec l’équipe technique de BIM&CO pour offrir une version plus poussée de leurs objets. « Les objets dont disposait VM Building Solutions constituaient une bonne base de travail. Nous avons enrichi ces objets avec les paramètres nécessaires pour chaque produit, puis nous les avons diffusés sur bimandco.com », explique Baptise FERET, Modeleur chez BIM&CO. La technologie OPMS développée par BIM&CO permet en effet d’offrir un service personnalisé de mise à disposition des objets en gérant la donnée et de la géométrie de manière distincte, répondant ainsi précisément aux attentes des utilisateurs et aux besoins liés à un projet.  « Nous avons été séduits par l’OPMS qui permet de gérer plusieurs langues et les mises à jour de données à la volée, mais qui permet aussi de nous conformer aux futures normes, ainsi qu’aux classifications internationales. Toutes les informations techniques sont gérées à partir d’un seul et même endroit : BIM&CO se place comme un réel PIM ouvert pour partager efficacement sa donnée », complète Arwa BOUSSAA. Outre l’offre BIM&CO For Manufacturers, VM Building Solutions a souhaité bénéficier du service « site marque blanche », qui permet au fabricant d’intégrer rapidement ses catalogues d’objets aux couleurs de son site web. « Grâce à cette option, nous pouvons suivre plus précisément les téléchargements de nos leads dans l’outil Analytics de BIM&CO, et savoir s’ils proviennent du site dédié ou du site public », ajoute Arwa BOUSSAA. Au total, ce sont trois systèmes de toiture et six systèmes de revêtement de façades qui ont été intégrés, quatre autres systèmes de solutions d’étanchéité supplémentaires sont par ailleurs en cours de modélisation. « Nous souhaitons nous inscrire pleinement dans les enjeux de la transition numérique, et contribuer en tant qu’industriel à l’amélioration des échanges de données entre les intervenants de nos projets. Informer nos clients de manière efficace dans le domaine du BIM, c’est pour nous un enjeu essentiel pour identifier de nouvelles opportunités de projets, et y répondre avec des produits adaptés et des services à forte valeur ajoutée.  C’est aussi pour VM Building Solutions un moyen déterminant de sécuriser le bon déroulement des travaux et de préserver la satisfaction de nos clients », conclut Charles Derreumaux, Responsable Marketing Groupe VM ZINC. Les premiers objets BIM de la marque VM Building Solutions sont disponibles sous ce lien.   À propos de VM BUILDING SOLUTIONS VM Building Solutions offre des solutions de construction aux professionnels des toitures et des façades. VM Building Solutions est spécialisée dans les matériaux haut de gamme de l&rsquo;enveloppe du bâtiment, tels que le zinc laminé et les membranes EPDM. La société fabrique et commercialise des solutions en zinc laminé pour l&rsquo;enveloppe du bâtiment en Europe et dans le monde, sous la marque internationale VMZINC : &#8211; Systèmes de couverture &#8211; Système de Bardage &#8211; Accessoires pour façade et toiture &#8211; Systèmes d&rsquo;évacuation d&rsquo;eau pluviale &#8211; Ornements&#8230; Elle est également le principal fournisseur européen de membranes d’étanchéité EPDM, et assure la promotion et la commercialisation d’une gamme complète de produits pour la toiture. VM Building Solutions est présent dans 52 pays et 4 continents.   Contact Presse VM BUILDING SOLUTIONS : arwa.boussaa@vmbuildingsolutions.com
Il y a 4 ans et 339 jours

2e édition du Baromètre Covid-19 Ingénierie : une reprise à la peine malgré le déconfinement

Un trou d'air qui se double d'une accentuation des difficultés de trésorerie : la 2e édition du baromètre Covid-19 réalisée par Syntec-Ingénierie auprès de ses membres révèle qu'1 entreprise sur 2 est désormais confrontée à des délais de paiement plus importants.Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie : « Les appels d'offres publics et privés repartent à la hausse un peu partout en France. Néanmoins, l'investissement est très loin d'avoir retrouvé un niveau d'avant-crise. De nombreux points de blocages subsistent, notamment au niveau local où les décisions restent conditionnées à la tenue du 2nd tour des élections municipales. Cela crée un trou d'air et impacte durement les entreprises d'ingénierie qui sont à l'avant-poste de la relance de l'activité économique. » Un ralentissement économique qui se poursuit malgré le déconfinementL'ingénierie accompagne maîtres d'ouvrages et industriels dans la conception et réalisation de leurs projets industriels et de construction (aéronautique, automobile, environnement, construction, infrastructures, industrie, énergie, chimie, numérique, etc.).Alors que le confinement a pris fin le 11 mai et que l'investissement repart légèrement à la hausse, les entreprises d'ingénierie sont toujours plus nombreuses à enregistrer une baisse de leur prise de commandes par rapport à l'année dernière : 86% des répondants contre 70% il y a deux semaines. Logiquement, elles sont également plus nombreuses (95%, vs. 90%) à anticiper une baisse de leur activité au second semestre 2020. Enfin, elles sont 36% (vs. 28% précédemment), à estimer que le redémarrage économique n'aura pas lieu avant au moins un an. La trésorerie des entreprises mise à malCe phénomène de trou d'air pèse sur la trésorerie des ingénieristes. Ceux-ci sont pris dans un double mouvement contradictoire : d'une part la diminution de la part de leurs collaborateurs en activité partielle (de 30% la semaine du 27 avril à 19% celle du 12 mai) ; et d'autre part, l'apparition de nouvelles difficultés financières. Dorénavant, plus d'une entreprise sur 2 est confrontée à un allongement des délais de paiement (en 2 semaines : + 15 jours en moyenne pour 30% d'entre elles).Elles doivent également prendre à leur charge les frais des mesures de sécurité sanitaire qui permettent le retour au bureau de leurs collaborateurs qui sont de moins en moins nombreux à télétravailler (de 54% à 45%). Adaptation des postes, fourniture de kits sanitaires, désinfection des locaux… les entreprises devront en moyenne débourser 800 euros par salarié en 2020 et pour 78% d'entre elles, ces frais seront à leur charge uniquement.Focus télétravail : du working office au meeting office ?Les entreprises d'ingénierie, qui ont fait preuve de responsabilité, ont massivement eu recours au télétravail dès le début de la crise. Si plus d'1 entreprise sur 2 pense que cette nouvelle modalité de travail peut faire gagner en performance, elles sont 60% à estimer que le télétravail en période de confinement a engendré une perte de productivité. A cela s'ajoutent des difficultés liées à l'isolement, au manque de communication entre collaborateurs et au management quotidien.Un constat en demi-teinte qui s'accompagne néanmoins de bénéfices, avec en top 3 : la fin du temps de trajet domicile-travail, un meilleur équilibre vie professionnelle/personnelle et une meilleure concentration.« La crise liée au Covid-19 a changé la donne concernant le télétravail. S'il est clair qu'il sera amené à se généraliser, il conviendra de trouver un nouveau point d'équilibre. Le passage brutal du tout bureau au 100% télétravail ne s'est pas fait sans heurt – absence de préparation, situations personnelles complexes, etc. -. Les semaines à venir seront déterminantes pour inventer les nouvelles modalités du travail de demain et opérer une transition sereine du working office au meeting office. »- Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie.*Baromètre réalisé par Syntec-Ingénierie auprès de ses adhérents au cours de la semaine du 11 mai. Les répondants sont des entreprises de toutes tailles, qui interviennent dans l'industrie et la construction et dans tous les secteurs d'activité d'ingénierie.
Il y a 4 ans et 339 jours

Le PIB français a chuté de 5,3% au premier trimestre, un record

L'Insee, qui avait fin avril estimé à -5,8% la baisse du produit intérieur brut au premier trimestre, a revu vendredi l'ampleur du recul de l'économie française, finalement un peu moins dramatique que calculé au départ.A -5,3%, la chute du PIB égale néanmoins celle enregistrée lors du deuxième trimestre de l'année 1968, marqué par les grèves massives de la seconde quinzaine de mai. Et elle confirme l'entrée de la France en récession, après le recul de -0,1% de l'activité au dernier trimestre 2019.Dans le détail, au premier trimestre, selon les nouvelles estimations de l'Insee, toutes les composantes de l'économie ont finalement un peu moins dégringolé qu'évalué lors de sa première estimation.Les dépenses de consommation des ménages ont bien connu une "baisse inédite" de -5,6%, quand l'Institut les avait d'abord évalué en recul de -6,1%. Même chose pour l'investissement des entreprises (-10,5%) ou pour l'évaluation des exportations (-6,1%) et des importations (-5,7%). Le solde du commerce extérieur a finalement un impact nul sur le PIB au premier trimestre.Mais la situation devrait s'aggraver considérablement au deuxième trimestre, avec un mois et demi de confinement et un début de déconfinement progressif depuis le 11 mai.L'Insee a déjà prévenu mercredi qu'elle tablait sur un plongeon de l'économie française d'environ -20% au deuxième trimestre. Et la récession dépassera largement cette année les -8% envisagé par le gouvernement pour l'instant.Ce dernier devrait d'ailleurs dévoiler sa nouvelle prévision lors d'un troisième budget rectificatif, qui sera présenté le 10 juin en conseil des ministres."J'ai toujours indiqué que les 8% de chute de croissance étaient un chiffre provisoire (...) Il faut nous attendre à des chiffres de récession très dégradés pour 2020 en France", a prévenu mercredi le ministre de l'Économie Bruno Le Maire.Premier signe avant-coureur: la consommation des ménages a fondu d'un tiers au mois d'avril par rapport à celle de février, juste avant la crise sanitaire, et de plus de 20% par rapport au mois de mars, a indiqué vendredi l'Insee.Et le moral des ménages s'est encore dégradé en mai après sa chute record d'avril.Reprise "progressive"Seule petite éclaircie: le climat des affaires a enrayé sa chute en mai, encouragé par le début du déconfinement qui a permis à la plupart des entreprises de reprendre leur activité et aux commerces d'accueillir de nouveau des clients en magasin.Jeudi, le Premier ministre Édouard Philippe a aussi annoncé une accélération du déconfinement, avec notamment la réouverture à partir du 2 juin des cafés et restaurants dans les départements "verts", la levée de l'interdiction de se déplacer à plus de 100 km de son domicile, ou encore la réouverture des piscines, salles de sports, gymnases, salles de spectacles et cinémas à partir du 22 juin.Mais l'Insee a déjà prévenu que si l'économie française "s'efforce (...) de reprendre son souffle", elle "refait surface dans un monde qui n'est plus exactement le même qu'avant la crise sanitaire".La reprise sera "au mieux progressive au second semestre", a-t-elle estimé mercredi.
Il y a 4 ans et 339 jours

EDMATILE – Une gamme de coupe-carreaux monorail en différentes dimensions

EDMA, qui a récemment élargi son offre d’outils pour les professionnels du second oeuvre du bâtiment au métier du Carreleur, vient de lancer EDMATILE, une gamme de coupe-carreaux monorail en différentes dimensions. Disponible en 600 mm, 925 mm et 1350 mm, EDMATILE est un coupe-carreaux destiné au carreleur professionnel, permettant de réaliser des coupes droites et en angle jusqu’à 45°, de façon rapide et précise. Fluidité et précision de coupe ont été particulièrement recherchées dès la conception de ces nouveaux coupe-carreaux d’EDMA qui se voient munis d’une roulette de coupe haute performance en carbure de tungstène et d’un chariot de coupe sur 6 roulements à billes. Deux séparateurs différents sont également fournis afin de permettre à l’artisan carreleur de s’adapter, sur ses chantiers, à différentes épaisseurs de carreaux. Sa poignée ergonomique et une base en aluminium font, en outre, d’EDMATILE un coupe-carreaux particulièrement léger et facile à manipuler pour le professionnel qui appréciera également sa facilité de transport à l’aide d’une sacoche en nylon fournie. Le coupe-carreaux EDMATILE est disponible en trois versions : EDMATILE 600 mm (Réf. 251055) pour carreaux max. 650 x 650 mm en coupe droite et 455 x 455 mm en coupe diagonale (épaisseur de coupe max. 20 mm) Poids : 13,20 kg Prix de vente maximum conseillé : 280 euros HT &#8211; sac de transport inclus EDMATILE 925 mm (Réf. 251155) pour carreaux max. 950 x 950 mm en coupe droite et 670 x 670 mm en coupe diagonale (épaisseur de coupe max. 20 mm) Poids : 14,60 kg Prix de vente maximum conseillé : 350 euros HT &#8211; sac de transport inclus EDMATILE 1350 mm (Réf. 251255) pour carreaux max. 1350 x 1350 mm en coupe droite et 950 x 950 mm en coupe diagonale (épaisseur de coupe max. 20 mm) Poids : 17,40 kg Prix de vente maximum conseillé : 420 euros HT &#8211; sac de transport inclus EDMATILE est en vente chez tous les spécialistes du métier du Carreleur. Depuis plus de 80 ans, EDMA fabrique et commercialise des outils destinés aux professionnels du second oeuvre du bâtiment et aux bricoleurs avertis. Des gammes complètes de produits innovants et très qualitatifs sont ainsi proposées aux plaquistes, maçons, couvreurs, façadiers, soliers et paysagistes pour leur apporter de vraies solutions de gain de temps et d’efforts dans leur métier au quotidien. EDMA exporte ses produits dans 66 pays et est présent sur les 5 continents.
Il y a 4 ans et 339 jours

Surcoûts liés au Covid-19 : en Haute-Garonne, collectivités et FBTP partageront la note

Qu’elles soient directes ou indirectes et grâce, notamment, à un comité de conciliation en cas de désaccord, les conséquences financières de la crise sanitaire sur les chantiers seront partagées par les maîtres d’ouvrage publics et la fédération départementale du bâtiment et des travaux publics haut-garonnais.
Il y a 4 ans et 339 jours

Une subvention de la région IDF à un projet photovoltaique porté par Total fait débat

Le projet prévoit "d'installer sur une résidence étudiante de 487 places sur le campus de l'École Polytechnique une installation expérimentale de production photovoltaïque en autoconsommation collective. La centrale photovoltaïque de 200 KWc est associée à un système de stockage de l'énergie", précise l'exposé des motifs de la délibération, présentée en commission permanente du conseil régional, réunie en visioconférence mardi.La subvention était initialement accordée directement à Total, mais l'exécutif régional a finalement produit un amendement afin que la subvention soit accordée à l'École Polytechnique."C'est le fond du projet qui compte", a argumenté le vice-président du conseil régional, Jean-Philippe Dugoin Clément. "Ce projet est vertueux sur le plan écologique car il permet une expérimentation de stockage d'énergie et d'autoconsommation collective de l'énergie solaire. C'est un projet pour l'École Polytechnique, pas pour Total qui est concepteur de l'outil. Je demande qu'on ne fasse pas de faux procès à ce projet", a-t-il dit.Mais pour Céline Malaisé, du Front de gauche, cette subvention s'apparente à "une opération de greenwashing". "Tout semble ici fait pour préserver discrètement les intérêts de Total, d'autant que cette multinationale a signé ces derniers mois un partenariat avec la direction de Polytechnique pour l'installation d'un centre de recherche de ce géant pétrolier en plein cœur du campus de l'École", dénoncé par des associations d'élèves."Non seulement la région envisage de verser plus de 130.000 euros à Total, mais elle cherche à le dissimuler honteusement par un amendement de dernière minute", a dénoncé Ghislaine Senée, présidente du groupe Alternative Écologiste et Sociale, pour qui "l'action publique a vocation à faire œuvre de transformation écologique et sociale, pas à soutenir le greenwashing des sociétés les plus polluantes du CAC 40"."Comment les Franciliens pourraient-ils comprendre que Valérie Pécresse propose de verser 132.000 euros à Total et dans le même temps, 50.000 euros seulement à la banque alimentaire ?", a déploré François Kalfon, au nom du groupe socialiste, écologiste progressiste, soulignant que la Région Occitanie a "débloqué 1,2 million d'euros d'aide d'urgence pour la précarité alimentaire".La Région IDF a accordé dans cette délibération plus de 12.317.000 euros pour des projets environnementaux et énergétiques, allant de projets géothermiques à des projets photovoltaïques sur le toit d'écoles. Elle a adopté en juillet 2018 une stratégie énergie-climat visant à "doubler la production d'énergies renouvelables sur le territoire d'ici 2030".
Il y a 4 ans et 339 jours

L’EPA Paris-Saclay lance une mission d’activation de l’urbanisme transitoire

Lancé dans le cadre de Paris-Saclay Version Bêta, démarche globale d’urbanisme transitoire à l’échelle de l’OIN (Opération d’intérêt national) Paris-Saclay, ce premier marché d’activation désignera un collectif pour la mise en œuvre d’animations et d’installations transitoires sur le Campus urbain. Jusqu’au 30 septembre 2020. Depuis plusieurs années, l’EPA Paris-Saclay encourage le déploiement de lieux de [&#8230;] L’article L’EPA Paris-Saclay lance une mission d’activation de l’urbanisme transitoire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 339 jours

FAAB Architektura tente sa chance avec son Vertical Oasis Building

L’agence FAAB Architektura (Adam Białobrzeski, Adam Figurski, Maria Messina), fondée à Varsovie (Pologne) en 2003, propose pour l’Arabie Saoudite une tour de 53 étages et 220 m de haut, intitulée Vertical Oasis Building, censée prendre soin d’elle-même et de son environnement. Intelligence artificielle&#160;? Communiqué. Capter l&#8217;électricité du soleil, réduire la demande énergétique du bâtiment, créer [&#8230;] L’article FAAB Architektura tente sa chance avec son Vertical Oasis Building est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 339 jours

Nouveau – Poly Max High Tack Express Griffon – La première colle pour profilés métalliques à recevoir la certification TÜV SÜD

&nbsp; Griffon, le spécialiste des systèmes d’assemblage, de collage, d’étanchéité et de protection dédiés aux professionnels, vient de recevoir une certification TÜV SÜD* pour sa colle Poly Max® High Tack Express ; un gage en matière de qualité et de sécurité. Cela signifie que le produit répond à des exigences strictes, notamment en termes de résistance du collage, dans le cadre d’une installation sans vis de profilés métalliques UW. Avec la colle Poly Max® High Tack Express Griffon, le montage des cloisons sèches ne requiert désormais aucun perçage. L’opération est simplifiée, précise, rapide et parfaitement sûre (pas de risque de percer des conduites, des câbles ou d’endommager du carrelage, un plancher chauffant…). L’assurance d’un gain de temps appréciable sur les chantiers. &nbsp; Un collage rapide et puissant   Certifiée pour le collage des rails métalliques pour cloisons sèches, la colle ultra-puissante Poly Max® High Tack Express Griffon offre de multiples avantages : une prise initiale (« Tack ») très rapide permettant un maintien immédiat des éléments à fixer, un séchage express en 4 heures, et une facilité d’extrusion pour une application plus aisée. Sans solvant et sans isocyanate (classée A+), la colle Poly Max® High Tack Express Griffon permet également de coller des matériaux lourds sur la plupart des supports tels que le bois, le plâtre, la pierre naturelle, le béton cellulaire, le métal, le verre, l’aluminium, le zinc, l’acier, la mousse rigide et diverses matières synthétiques, en intérieur comme en extérieur. Une manipulation plus sûre et sans nuisances   La colle Poly Max® High Tack Express Griffon apporte une grande sécurité en évitant d’avoir à percer dans un matériau qui risque d’être abîmé, comme des conduites, des câbles, du carrelage, un plancher chauffant… De plus, le bruit et la poussière dus à la perceuse et à l’aspirateur, désormais inutiles, ne gênent plus les artisans sur le chantier. Avec cette colle unique sur le marché, le montage des profilés s’effectue intégralement sans outils électriques. Autre avantage : tous les travaux peuvent être exécutés par une personne seule, même l’installation de profilés de plafond, qui n’ont plus besoin d’être chevillés et vissés. &nbsp; Un travail précis, rapide et résistant Avec la colle Poly Max® High Tack Express Griffon, fini le risque d’écarts mineurs se produisant lors du perçage, qui peuvent légèrement déformer les profilés et rendre impossible la pose à plat des panneaux à certains endroits. La précision est maximale ! De plus, comme la colle remplace la bande d’isolation phonique, la pose fastidieuse de cette bande sur la face inférieure des profilés n’est plus nécessaire. Cela signifie également qu’aucun pont acoustique ne peut être créé par les vis. Enfin, la résistance de l’ouvrage est renforcée car la colle Poly Max® High Tack Express Griffon fait adhérer toute la surface des profilés au support. Il n’y a donc plus de pointes de charge désavantageuses pouvant survenir au niveau des points de vissage, comme par exemple aux jonctions murales. &nbsp; Poly Max® High Tack Express Cartouche de 435 g Prix tarif : 13,03 euros HT Existe également en Éco poche de 600 ml &#8211; Prix tarif : 23,02 euros HT Points de vente : distribution professionnelle uniquement * Le produit répond aux exigences du programme d’essai TÜV SÜD mode opératoire assurance qualité (QS-Arbeitsanweisung) N° MUC-KSP-A 1044.
Il y a 4 ans et 339 jours

Qui est la nouvelle directrice de l'activité BtoB de Mano Mano ?

NOMINATION-CARNET. La plateforme en ligne d'achat spécialisée dans le bricolage, Mano Mano, nomme une directrice de l'activité BtoB. Découvrez son profil.
Il y a 4 ans et 339 jours

Le bien-être au travail, modèles et pandémies

À l’heure de la première crise mondiale susceptible de forcer une remise en question de nos ...En savoir plus Cet article Le bien-être au travail, modèles et pandémies est apparu en premier sur L&#039;Architecture d&#039;Aujourd&#039;hui.
Il y a 4 ans et 339 jours

Valode&amp;Pistre et Spacemaker signent un partenariat de R&amp;D pour accroitre l'usage de l'IA dans l'immobilier

Spacemaker développe un logiciel qui permet à partir de l’analyse des données physiques d’un site, de la réglementation, et des facteurs environnementaux, d’optimiser le potentiel constructible d’un terrain et de faciliter les interactions entre promoteurs, architectes, bureaux d’études et collectivités lors des premières phases d’une opération (en particulier lors des études d’avant-projet).Connue pour ses réalisations spectaculaires et de grands chantiers tels que l'extension de la ville de Monaco, la tour Saint-Gobain, les fermes urbaines de Paris (sur le toit du Parc des expositions – Porte de Versailles), ou encore la rénovation de la Gare du Nord, l’agence Valode&Pistre utilise désormais la plateforme Saas de Spacemaker pour concevoir plus rapidement et plus efficacement plusieurs de ses projets résidentiels actuels. Pionnière dans l’utilisation d’outils numériques, ce partenariat est un nouvel atout pour le développement de l’agence et la réalisation de projets transformant.« Nous avons conscience chez Valode&Pistre que les nouvelles technologies créent de nouvelles opportunités et qu’elles ne sont pas un obstacle à la créativité architecturale et à la maitrise d’un projet, au contraire. L'intégration de l'IA aux études d'avant-projet est une étape logique dans l’évolution de notre activité. Nous sommes donc ravis de pouvoir contribuer au perfectionnement de la technologie Spacemaker qui va nous aider dans des contextes différents. Nous collaborons étroitement pour que les méthodes et outils nécessaires aux études d'avant-projet puissent gagner en efficacité. L’utilisation de l'IA et de la plateforme va nous permettre d'analyser pour chaque site plus de concepts en moins de temps, tout en nous permettant de disposer de nombreuses données pour renforcer nos prises de décision. » - Jean Pistre, co-dirigeant du Groupe Valode&PistreLes équipes de Valode&Pistre bénéficient d’une formation et d’un accompagnement dédié des équipes de Spacemaker, et collaborent pour adapter le logiciel aux spécificités culturelles et réglementaires françaises, perfectionner ses fonctions existantes et co-construire ses futures fonctionnalités. La valeur ajoutée de la connaissance des métiers de conception et BIM de Valode&Pistre permet à Spacemaker d’avoir une vue complète sur les besoins des concepteurs français dans ce contexte d’évolution des métiers et d’intégration des technologies.« Notre plateforme d'IA est la toute première du genre dédiée aux études d’avant-projet, il est donc important pour nous de poursuivre nos investissements dans la recherche et le développement. En tant que partenaire officiel en France, Valode&Pistre va nous faire profiter de leurs expériences et nous fournir des enseignements précieux pour continuer à adapter la solution aux besoins spécifiques des architectes français. Un partenariat avec une agence aussi connue et réputée est un atout pour continuer à être pertinent dans notre approche, développer efficacement notre produit et délivrer une véritable valeur-ajoutée à nos clients dans le monde entier » - Havard Haukeland, PDG de SpacemakerAvec ses solutions utilisant l’intelligence artificielle, Spacemaker entend répondre aux besoins de conception durable et plus rapide puisque certaines analyses nécessaires aux études d'avant projet qui nécessitaient auparavant plusieurs semaines, sont désormais délivrées en quelques minutes. En associant l’automatisation de données et la conception basée sur l'IA, Spacemaker ouvre la voie à une planification plus collaborative et transparente.
Il y a 4 ans et 339 jours

Blocs isolants bas carbone Fabemi

Une réponse au label E+C- et à la RE 2020 Lancé en novembre 2016, le label Bâtiments à Énergie Positive et Réduction Carbone E+C- a pour objectif de produire des bâtiments à énergie positive et à faible empreinte carbone. Il s’agit d’anticiper, avec tous les acteurs de la construction (maîtrise d’ouvrage, maîtrise d’œuvre, entreprises), la Réglementation Environnementale (RE) 2020 dans la construction neuve. Sachant que le grand changement, par rapport à la Réglementation Thermique (RT) 2012, porte sur la prise en compte des émissions carbone du bâtiment durant tout son cycle de vie. Pour la filière béton, comme pour les autres matériaux, l’enjeu est donc d’intégrer une nouvelle exigence réglementaire liée à l’empreinte carbone des bâtiments, tout en veillant à l’application des autres réglementations auxquelles un projet doit répondre. Les blocs isolants FABTHERM® du Groupe Fabemi, acteur majeur du marché des produits béton, sont 100 % naturels et recyclables. Ils contribuent à réduire l’empreinte carbone des bâtiments (de 4 à 8 % par rapport aux autres solutions constructives), permettant ainsi de réaliser des ouvrages E+C-, et anticipent les exigences de la prochaine RE 2020. L’objectif étant également de combiner  béton bas carbone et économie circulaire, les 450 mises en chantiers effectuées depuis le lancement des blocs isolants FABTHERM® (résidentiel, ERP et bâtiments industriels), soit environ 250 000 m2 de blocs, ont été réalisées dans le Grand Sud-Est, à proximité des usines de production du Groupe Fabemi. &nbsp; Construire E+C- avec du béton bas carbone Les trois principaux axes de recherche Fabemi – réduire l’impact environnemental de ses blocs, apporter une réponse à une réglementation thermique de plus en plus exigeante et assurer une meilleure isolation des parois – ont débouché sur le développement des blocs béton FABTHERM®. Traditionnellement fabriqués sans cuisson et produits localement, ce qui permet de réduire leur impact environnemental, les blocs FABTHERM® AIR 0.6, 1.1 et 1.8 et FABTHERM® ÉCO sont 100 % naturels et recyclables. Ils revendiquent de hautes performances thermiques, tout en affichant un impact environnemental des plus faibles dans leur catégorie. En lançant ces produits, Fabemi démontre sa capacité d’innovation et son engagement dans une démarche d’éco-conception et d’écologie industrielle. De la fabrication à la fin de vie, l’empreinte carbone des blocs Fabemi est réduite grâce à une production locale (impact du transport très faible) et à un procédé de fabrication sans cuisson. Les blocs sont produits avec des agrégats provenant de carrières situées à proximité des usines Fabemi, séchés naturellement, et utilisés sur des chantiers proches des unités de production. De plus, les blocs isolants FABTHERM® Fabemi, 100 % recyclables, n’ont pas besoin d’être triés à l’issue de la déconstruction, les déchets gravats n’appelant aucune manipulation particulière. Après la démolition des bâtiments, ils deviennent ainsi des déchets « inertes ». Enfin, les blocs isolants FABTHERM® disposent de Fiches de Déclarations Environnementales et Sanitaires (FDES). Des données vérifiées et disponibles sur INIES, qui permettent de calculer la contribution des produits à l’impact environnemental du bâtiment à construire. &nbsp; Blocs isolants bas carbone FABTHERM® AIR Fabemi Deux à huit fois plus isolants que des blocs traditionnels, les blocs de 20 cm de large FABTHERM® AIR 0.6, 1.1 et 1.8, à base d’agrégats légers ou courants, intègrent une âme en mousse 100 % minérale AIRiumTM qui renforce leurs capacités isolantes. Ils affichent ainsi des résistances thermiques exceptionnelles pour cette largeur de bloc qui permettent de répondre à tous les besoins (logements collectifs, maisons individuelles et bâtiments tertiaires) et au cahier des charges des murs isolants hautement performants. Cette mousse minérale isolante permet de construire et d’isoler en même temps sans impacter le poids carbone de la façade, ce qui procure un gain de temps sur le chantier et un gain de surface habitable. Les blocs FABTHERM® AIR Fabemi profitent de nombreuses qualités (performances acoustiques, essais feu et sismique), de fiches FDES vérifiées (base INIES) et d’un Avis technique (FABTHERM® AIR 1.1 et 1.8) pour répondre à toutes les exigeances techniques des opérations de construction. &nbsp; • Sous Avis Technique (N° 16/19-773_V1), le bloc isolant à coller FABTHERM® AIR 1.1 Fabemi affiche une résistance thermique de R = 1,12 m2.K/W. Cinq fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 1.1 conjugue résistance mécanique, au feu, et performances acoustiques et environnementales. Il est idéal pour les logements collectifs jusqu’à R+4. Les + • FDES vérifiée (base INIES) : 15,6 kg eq. CO2/m2 • 100 % naturel et recyclable • Conforme Eurocode 8 – toutes zones sismiques • Résistance au feu REI : 120 min avec un doublage collé traditionnel • Jusqu’à R+4 • Fabrication française &nbsp; • Sous Avis technique (N° 16/19-772_V1), le bloc isolant à coller FABTHERM® AIR 1.8 Fabemi présente une résistance thermique de R = 1,77 m2.K/W. Huit fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 1.8 permet de réduire l’épaisseur des doublages intérieurs et de maîtriser l’impact environnemental de la façade. Il est idéal pour le petit collectif jusqu’à R+3. Les + • FDES vérifiée (base INIES) : 23,6 kg eq. CO2/m2 • 100 % naturel et recyclable • Conforme Eurocode 8 – toutes zones sismiques • Résistance au feu REI : 90 min avec un doublage collé traditionnel • Jusqu’à R+3 • Fabrication française &nbsp; • Innovation brevetée Fabemi, le bloc isolant à maçonner FABTHERM® AIR 0.6 présente une résistance thermique de R = 0,58 m2.K/W. Deux fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 0.6 est le seul bloc isolant 100 % minéral à poser maçonné. Il est idéal pour le petit collectif jusqu’à R+2. Les + • Mode de pose mortier / maçonner • FDES vérifiée (base INIES) : 15,6 kg eq. CO2/m2 • 100 % naturel et recyclable • Conforme Eurocode 8 – toutes zones sismiques • Résistance au feu REI : 120 min • Jusqu’à R+2 • Fabrication française &nbsp; Bloc isolant bas carbone FABTHERM® ÉCO Fabemi Le bloc creux isolant à coller FABTHERM® ÉCO Fabemi présente une résistance thermique de R = 0,51 m2.K/W. Deux fois plus isolant qu’un bloc traditionnel grâce à sa géométrie, le FABTHERM® ÉCO répond aux besoins architecturaux, thermiques et économiques du marché de la construction. Idéal pour les maisons individuelles groupées ou le petit collectif jusqu’à R+2, ses performances thermiques permettent de conserver un mode constructif traditionnel béton. Les + • FDES vérifiée (base INIES) : 11,7 kg eq. CO2/m2 • 100 % naturel et recyclable • Conforme Eurocode 8 – toutes zones sismiques • Résistance au feu REI : 120 min • Jusqu’à R+2 • Fabrication française
Il y a 4 ans et 339 jours

Il faudra des "mesures fortes" pour soutenir l'emploi des jeunes selon Pannier-Runacher

"Il faut faire quelque chose pour la jeunesse française" et notamment pour "soutenir l'apprentissage et je sais que (la ministre du Travail) Muriel Pénicaud y travaille pour éviter d'avoir une génération sacrifiée", a affirmé la secrétaire d'Etat sur BFM Business."Il faut faciliter l'embauche des jeunes et donc il va falloir prendre des mesures fortes dans cette direction", a-t-elle ajouté."On travaille sur l'apprentissage, on travaille sur l'alternance, et on travaille de manière générale soit à ouvrir des possibilités de formations additionnelles, soit à faciliter l'embauche des jeunes dans les entreprises", a-t-elle encore indiqué.Interrogée également sur d'éventuelles exonérations de charges pour l'embauche de jeunes, Mme Pannier-Runacher a simplement répondu "nous verrons".Le futur plan de relance, qui sera présenté à l'automne "aura un volet compétences et un volet emploi très importants, notamment par rapport aux jeunes", a déjà indiqué la ministre du Travail.Alors que l'apprentissage a connu un succès record l'an dernier, ses promoteurs craignent que la crise ne vienne briser cette dynamique.Le Medef a notamment demandé une aide de 10.000 euros pour le recrutement d'un apprenti avant le 31 décembre, tandis que l'U2P (artisans) a estimé qu'il fallait une mesure pour permettre qu'"il y ait zéro coût pour une entreprise qui prend un apprenti".Parmi les propositions qui ont émergées ces dernières semaines, le patron de La République en Marche Stanislas Guérini a évoqué la création d'une "prime à l'embauche" des jeunes, tandis que le député européenn EELV Yannick Jadot a préconisé de recréer 300.000 emplois aidés cette année.
Il y a 4 ans et 339 jours

Earthship près de Colorado Springs, une joie pour leurs propriétaires

Jim Gagnepain et sa femme, Stéphanie ont construit leur maison de retraite dans l&#8217;est du comté d&#8217;El Paso (Usa). Jim, qui a une formation en génie électrique a agi en tant qu&#8217;entrepreneur général, réalisant ainsi une grande partie du travail avec sa femme Stéphanie . Jim Gagnepain l&#8217;appelle « la petite maison sur berge dans la [&#8230;]
Il y a 4 ans et 340 jours

Fermé depuis mi-mars, le grand magasin Printemps Haussmann à Paris a rouvert

Une file d'attente s'était formée avant l'ouverture des portes, programmée à 11H00, et les clients sont venus en nombre dans ce lieu phare du 9e arrondissement de Paris, après plus de deux mois de fermeture.Les jours précédents, les employés du Printemps avaient préparé le grand magasin à accueillir du public dans le respect des règles de précaution sanitaire, via la mise en place de parcours fléchés, la distribution de gel hydroalcoolique, des messages de sensibilisation.Il était temps, indiquait mercredi à l'AFP son directeur Pierre Pelarrey: "on a besoin de faire du chiffre d'affaires", car "depuis le confinement c'est-à-dire le 15 mars, il était à zéro", mais "avec les frais fixes qui continuent à courir".Il est toutefois "presque certain que l'on n'aura pas la fréquentation que l'on a habituellement", notamment en raison de l'absence de la clientèle étrangère, expliquait-il. Fleuron du groupe, le Printemps Haussmann accueille en temps normal plus de 20 millions de visiteurs annuels.Le préfet de police de Paris avait interdit au centre commercial, comme à de nombreux autres à Paris, de rouvrir en application d'une décision gouvernementale empêchant la réouverture des sites de plus de 40.000 m² en région parisienne, en raison de risques sanitaires persistants.Mais le tribunal administratif de la capitale a suspendu cette décision, l'enseigne ayant plaidé accueillir du public sur plusieurs sites distincts, dont aucun n'excède 40.000 m².Cela pourrait faire boule de neige car les Galeries Lafayette voisines, autre haut lieu du shopping parisien, ont confirmé à l'AFP avoir aussi déposé un recours judiciaire pour pouvoir rouvrir leurs portes.
Il y a 4 ans et 340 jours

Le CESE demande à l'UE de nouvelles mesures pour lutter contre la déforestation

"La déforestation menace inexorablement l'avenir de l'humanité", a sévèrement déclaré Martine Vignau, membre du bureau du CESE lors du débat en séance plénière sur l'avis portant sur le rôle de l'Union européenne dans la lutte contre la déforestation importée, voté mercredi par 121 voix contre 13 contre et 7 abstentions.Alors que l'UE est jugée responsable de 36% de la déforestation importée liée au commerce mondial (via l'importation d'huile de palme, de pâte à papier, maïs, soja, cacao, bois, caoutchouc et viandes), le CESE souhaite que l'UE améliore d'abord "la cohérence des politiques européennes qui contribuent à la lutte contre la déforestation importée".Le conseil relève le lien entre déforestation et développement d'épidémies humaines issues d'animaux sauvages via les rapprochements entre faune sauvage, animaux domestiques d'élevage et l'homme, et souligne le besoin d'une réforme des filières économiques liées à la déforestation.Dans ce cadre, deux filières sont particulièrement ciblées, celle du soja et celle des agrocarburants.Le conseil souhaite notamment que dans le cadre de la révision en cours de la Politique agricole commune (PAC), un Plan protéine européen soit mis en place pour réduire les importations de soja afin de "concrétiser la souveraineté agricole de l'UE", notamment "en soutenant fortement les cultures de légumineuses", en "versant aux agriculteurs et agricultrices des paiements pour services environnementaux" pour les surfaces en prairies ou légumineuses fourragères et en "conditionnant les aides aux investissements des filières animales à la non-utilisation de soja importé".Le conseil est aussi favorable à une "sortie progressive des agro-carburants conventionnels" et "leur suppression totale au plus tard en 2030 dans le cadre d'une révision de la directive européenne RED II en mettant fin au plus tard en 2022 aux mécanismes de défiscalisation existants sur ces carburants de première génération", et en réaffectant les subventions de la PAC destinées aux surfaces servant à les produire à la recherche sur les biocarburants avancés.Une recommandation qui n'a pas manqué de faire réagir les producteurs français d'oléoprotéagineux et de biodiesel, qui ont manifesté leur étonnement quant à cette prise de position du Cese, par la voix du président de leur fédération (Fop), Arnaud Rousseau."La filière tient à rappeler que les biocarburants sont un levier essentiel de la souveraineté alimentaire, grâce à la production de protéines, en ligne avec les engagements du président de la République en faveur d'un plan protéines", a déclaré M. Rousseau."La filière est engagée au quotidien dans la lutte contre la déforestation importée et la préservation de la planète, à travers l'évolution des pratiques culturales et la priorité donnée aux graines françaises", a-t-il conclu.
Il y a 4 ans et 340 jours

Comment le covid impacte-t-il les stratégies marketing ?

ETUDE. La crise du coronavirus a bousculé tous les secteurs d'activité, dans leur approche et leur process. Le marketing n'est pas épargné et semble se tourner encore un peu plus vers des stratégies digitales. Téléchargez l'étude Sortlist pour en savoir plus.
Il y a 4 ans et 340 jours

La région Île-de-France dévoile "l'acte 1" de son plan de relance post-Covid

COLLECTIVITÉS. La présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, a présenté ce 28 mai "l'acte 1" du plan de relance de son exécutif. Dotée d'un budget d'1,3 milliard d'euros, cette batterie de mesures concerne de nombreux domaines, du soutien des TPE-PME à la relance du logement en passant par la rénovation thermique des lycées et le développement des parcs photovoltaïques.
Il y a 4 ans et 340 jours

Baisse de 22% des transactions dans l'ancien en île-de-France

CONJONCTURE. Les notaires du Grand Paris estiment à 22% la baisse des centes au premier trimestre 2020 en Ile-de-France. Un chiffre qui ne prend donc en compte que le début du confinement. Pour Michel Platero, président de la Fnaim du Grand Paris, il se pourrait que la reprise se fasse très rapidement.
Il y a 4 ans et 340 jours

Le portail Batipédia du CSTB s'enrichit

Rassemblant les contenus scientifiques et technico-réglementaires nécessaires à la filière construction, BATIPÉDIA, le portail d’informations et de services du CSTB s’enrichit : de nouveaux services sont proposés aux professionnels, complétant ainsi l’offre déjà à leur disposition sur le site pour mener à bien leurs projets de construction ou d’aménagement.
Il y a 4 ans et 340 jours

Travailler

Le numéro de mai 2020 de L’Architecture d’Aujourd’hui propose de passer en revue les récentes évolutions ...En savoir plus Cet article Travailler est apparu en premier sur L&#039;Architecture d&#039;Aujourd&#039;hui.
Il y a 4 ans et 340 jours

Le confinement fait chuter les ventes de logements anciens mais pas les prix

"Il ne s'est rien passé pendant deux mois, (...) on ne pourra pas rattraper ces deux mois", a résumé jeudi le notaire parisien Thierry Delesalle, à l'occasion des chiffres trimestriels sur le marché, établis de concert par la profession avec l'Insee.Pour 2020, "on peut s'attendre à une baisse de 150.000 transactions sur l'ensemble de la France", a-t-il avancé, ce qui représenterait une chute de 15%.Comme tous les secteurs économiques, l'immobilier français s'est heurté à la crise sanitaire et économique du coronavirus, en particulier le strict confinement mis en place entre mi-mars et début mai pour éviter la propagation de la maladie.Il a été impossible de visiter un logement et très difficile d'achever une transaction, même si le gouvernement a facilité les signatures virtuelles auprès des notaires.Les chiffres nationaux de l'Insee ne donnent pas encore la pleine mesure de ce coup d'arrêt. Non seulement ils s'arrêtent seulement à fin mars, mais ils courent sur l'ensemble des douze mois écoulés à cette date, ce qui atténue considérablement les variations.Les ventes demeurent donc pour l'heure au-dessus de la barre du million annuel. Sur la période de douze mois achevée fin mars, 1,04 million de transactions avaient été effectuées, un léger ralentissement par rapport au niveau observé sur l'ensemble de l'année 2019 à 1,07 million.Chute de 22% en Ile-de-FrancePour réellement mesurer l'ampleur de la chute du marché, il faut regarder les chiffres établis par les seuls notaires d'Île-de-France qui se concentrent sur le premier trimestre. Là, c'est un recul de 22% en région parisienne et ce n'est qu'un début."On peut penser qu'il y a une baisse de 90% (...) des actes de vente" pendant le confinement, a rapporté M. Delesalle.Avant ce brusque coup d'arrêt, le marché était florissant. Les prix, notamment, ne cessaient d'augmenter chaque année, passant même les 10.000 euros le mètre carré à Paris.Si la chute des ventes est une certitude, l'évolution des prix reste justement une inconnue majeure. Ils ont, pour l'heure, poursuivi leur hausse et l'ont même accélérée.Entre janvier et mars, leur niveau moyen a progressé de 5% par rapport à un an plus tôt, une progression générale entre maisons et appartements, comme entre Île-de-France et province.Mais ces variations ne disent rien des effets potentiels du confinement et, au-delà, de la crise. Ils traduisent des négociations effectuées bien en amont entre acheteurs et vendeurs.Même actuellement, "les promesses que nous signons en ce moment, c'est encore le rattrapage de (négociations) qui étaient faites en mars", a prévenu M. Delesalle. "On est encore un peu sur les anciens prix. Les nouveaux prix, ça sera plus sur le troisième trimestre."Les banques surveilléesLe secteur peut donc s'attendre à plusieurs mois de spéculations et de chiffres parcellaires selon les acteurs, dont les opinions gravitent entre deux grandes tendances.Pour certains, la crise ne changera rien à la demande de logements, en particulier dans de grandes villes comme Paris où l'offre est insuffisante. Il est donc illusoire de craindre, ou d'espérer, un recul des prix.Pour d'autres, l'immobilier, malgré sa réputation de valeur refuge, ne pourra échapper aux conséquences d'une crise économique majeure."Si vous avez deux millions de chômeurs en plus, il y aura un impact sur le marché immobilier, c'est évident", a appuyé M. Delesalle.L'attitude des banques en particulier s'annonce cruciale. A quel point limiteront-elles les prêts immobiliers alors que ces derniers étaient en plein essor depuis des années, contribuant à soutenir la demande et faire monter les prix?"Les banques aujourd'hui resserrent le robinet", a rapporté M. Delesalle, craignant que cela pâtisse d'abord aux particuliers, souvent jeunes et peu fortunés, qui achètent leur premier logement."La sélection des dossiers commence à être un peu inquiétante", a-t-il noté, s'abstenant pour le reste de jouer la "boule de cristal" sur l'évolution des prix.