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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87517 résultats)
Il y a 4 ans et 340 jours

Wes Architecture : House of Layers

Dans le quartier d’Islington, à Londres, l’agence d’architecture britannique Wes Architecture a entièrement rénové une maison datant du début de l’époque victorienne. Les architectes de Wes Architecture ont relevé le défi de réhabiliter une maison classée du XIXe siècle, rénovée à plusieurs reprises jusque dans les années 1990, mais sans goût ni cohérence. Souhaitant repenser l’esprit du lieu, ils ont conservé des éléments architecturaux du passé et imaginé un intérieur chaleureux et contemporain facile à vivre. Les architectes ont réaménagé l’espace avec de beaux matériaux et réinterprété chaque pièce, si bien que la maison se caractérise désormais par une grande créativité dans les choix des agencements, des matières et des couleurs. Dans la maison, un escalier en pierre calcaire vient remplacer un escalier en bois vétuste, qui avait été ajouté dans les années 1980. Cet escalier principal, fabriqué avec trois pierres calcaires monolithiques, structure l’espace. Au rez-de-chaussée, une nouvelle extension en acier et en verre ouvre la salle de séjour sur l’extérieur. Au premier étage, les pièces retrouvent leur lustre d’antan grâce à la restauration des moulures et au nivèlement des sols, mais sont colorées selon une palette des plus créative. La salle de bain est intégralement peinte rose et la chambre est habillée de panneaux bleu nuit. Aux deuxième et troisième niveaux, la simplicité domine. À l’étage réservé aux propriétaires, un dressing en noyer relie la chambre parentale à la salle de bains. Sous les toits, les architectes ont aménagé un petit bureau privé ouvert sur la ville. Une rénovation audacieuse qui fait dialoguer les différentes histoires du bâtiment. Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence Wes Architecture. Photographies : © Ben BlossomLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 340 jours

Reprise de 95% des chantiers en Ile-de-France soit plus de 60.000 logements en construction

« Notre fédération est fière d'annoncer qu'au moins 95 % des chantiers ont repris à la fin du mois de mai. Depuis la publication du guide de l'OPPBTP, nous avons tout mis en œuvre pour appliquer les préconisations sanitaires et, chantier par chantier, avec les maîtres d'œuvre, les coordonnateurs sécurité et prévention de la santé, et avec les entreprises du bâtiment, nous avons construit ensemble les conditions de la reprise des chantiers » témoigne Marc VILLAND, président de la Fédération des promoteurs immobiliers d'Île-de-France.En effet, les promoteurs immobiliers franciliens, qui représentent environ 30% du chiffre d'affaire des entreprises du bâtiment à l'échelle nationale, se sont très vite adaptées aux exigences sanitaires afin de protéger la santé des compagnons. Les bases vie doublées, les points d'eau placés à chaque étage du chantier, des sens uniques de circulation instaurés pour éviter les croisements et les équipements (masques, gants) rendus indispensables.Marc VILLAND l'indique clairement : « Oui, c'est différent ! Inévitablement ! Mais il y a une différence entre ce que l'on entend dans certaines opérations de communication et la réalité des chantiers. Sur le terrain, nous nous sommes tous mis d'accord et l'activité a repris. Certes, plus lentement, avec des surcoûts pour tout le monde, mais c'est reparti ! »Selon un sondage réalisé par la FPI-IDF* :97% des chantiers ont été arrêtés à partir du 17 mars afin de mettre en place les conditions sanitaires requises pour assurer la sécurité de l'ensemble des parties prenantes sur site, notamment l'application des mesures préconisées par le guide de l'OPPBTP ; Pour 80% d'entres eux, ce sont les entreprises qui ont arrêté le chantier.Fin mai 2020, les adhérents sondés déclarent que plus de 95% des chantiers sont d'ores et déjà repartis...« Derrière ces pourcentages, ce sont plus de 800 chantiers concernés en Île-de-France et plus de 60 000 logements dont la construction a repris » souligne Marc VILLAND, président de la FPI-IDF.La clé de la reprise : laissons notre secteur travailler !Le secteur de l'immobilier et de la construction, qui représente 10 % du PIB est habituellement un des amortisseurs des crises et un accélérateur des reprises. C'est pourquoi, il est essentiel de mettre dès à présent en place des solutions nouvelles permettant une reprise d'activité à court, moyen et long terme.En effet, si les chantiers de promotion privé reprennent massivement en Île-de-France, des inquiétudes demeurent quant à la capacité de répondre à la demande, très forte dans cette région en tête des métropoles les plus attractives en Europe. Selon une étude du Centre d'Analyse et de Précisions Immobilières (CAPEM), avant même les impacts de la crise sanitaire, au 1er trimestre 2020, seulement 2 100 logements, tous types d'habitats confondus, avaient été mis en vente, soit une chute de 67% par rapport à la même période l'an passé.Une chute vertigineuse des mises en vente qui s'explique notamment par les difficultés de délivrance des autorisations d'urbanisme.« Les municipales ont gelé la délivrance des permis de construire, avant même que la crise sanitaire n'apparaisse. Les permis de construire qui ne sont pas délivrés depuis des mois et encore aujourd'hui, c'est autant de nouveaux chantiers qui ne pourront pas débuter fin 2020 ou début 2021, avec de fait des impacts inévitables sur l'emplois et les entreprises du bâtiment. Les mises en vente sur le deuxième trimestre 2020 risquent d'être quasiment inexistantes. » alerte Marc VILLAND, président de la FPI-IDF.Les propositions de la FPI-IDF pour une relance efficiente En cette période de sortie de crise, la profession redoute l'engorgement des services instructeurs et donc un ralentissement qui ne ferait qu'enliser cette chute de l'offre.Pour y remédier, la Fédération des Promoteurs Immobiliers d'Île-de-France appelle formellement à une accélération de la dématérialisation de l'instruction des demandes. Si la loi ELAN prévoit à compter du 1er janvier 2022 l'obligation pour les communes de plus de 3 500 habitants d'utiliser la télé-procédure afin de recevoir et instruire sous forme dématérialisée les demandes d'autorisation d'urbanisme déposées, la FPI-IDF demande une mise en place dès la fin d'année 2020.Dans cet objectif de « dé-paralyser » le secteur, la FPI-IDF propose la création d'un « PC Covid » qui appellerait un traitement exceptionnel et temporaire des permis de construire (PC) déposés entre le 12 mars et le 31 décembre 2020. Possibilité pour les maîtres d'ouvrage de transmettre le pré-dossier ou des pièces complémentaires par voie dématérialisée, suppression de toute demandes de pièces non formellement requises légalement, prorogations des délais de validité des permis de construire devenus caducs ... des mesures visant à alléger les procédures administratives parfois inadaptées à ce contexte inédit de crise sanitaire.« Les promoteurs immobiliers franciliens ont tout mis en œuvre pour que le reprise se déroule rapidement et efficacement. Il nous a fallu nous adapter et les résultats sont là. Nous demandons à L'Etat et aux collectivités locales de nous aider à travailler et à produire pour la relance de l'activité. » conclut Marc VILLAND, président de la FPI-IDF.*sondage réalisé par la Fédération des promoteurs immobiliers d'Île-de-France auprès de 46 adhérents sur 87, actualisé quotidiennement.
Il y a 4 ans et 340 jours

La région Ile-de-France met près d'1 Md € sur la table pour relancer la construction

Valérie Pécresse, a présenté jeudi 28 mai l'acte I du plan de relance économique, écologique et solidaire de la Région Île-de-France. Ce plan, d'un montant global d'1,3 Md € sera débattu dans le cadre d'un budget supplémentaire le 11 juin prochain.
Il y a 4 ans et 340 jours

Fonds de solidarité : plus de 3,2 milliards débloqués pour les indépendants

CONJONCTURE. Interrogé par le sénateur LR de l'Oise, Edouard Courtial, sur la situation des indépendants à la fin mai, le secrétaire d'Etat aux Comptes publics, Olivier Dussopt, a indiqué que le second volet du fonds de solidarité avait été élargi sous conditions. Plus de 2,4 millions de demandes d'aides ont été déposées par des chefs d'entreprises non-salariés.
Il y a 4 ans et 340 jours

Kineprotect Glass, cloisons vitrées pour la lutte contre la propagation du Covid-19

Commerces, bureaux, open spaces, banques, pharmacies, restaurants, hôtels ou encore espaces publics (écoles, administrations...) et industries, le champ des possibles s'avère large. D'autant que les réponses KINEPROTECT GLASS allient design discret et élégant, facilité et sûreté d'installation, sécurité et durée de vie élevées, le tout conjugué à une grande facilité d'entretien.Gage de sécurité élevée, Kinedo revendique 40 ans de savoir-faire dans l'usage du verre soumis aux normes les plus strictes. Épais de 6 mm et d'entretien ultra-facile, ces verres trempés ne craignent ni les rayures ni les risques de colorisation ou d'opacification dues à la lumière ou aux agents chimiques des produits nettoyants. Les parois vitrées KINEPROTECT GLASS disposent de profilés en aluminium chromés afin de former un ensemble discret, élégant et parfaitement stable grâce à un piètement double ou un système de pince à visser selon le modèle choisi. Et comme Kinedo pense à tout, l'industriel a également conçu différents modèles afin de répondre aux divers besoins rencontrés : versions haute à poser au sol ou versions basses à poser sur un bureau, par exemple, ou à visser sur des surfaces plus réduites. Sont proposés aussi en complément des panneaux latéraux pour sécuriser la promiscuité dans les espaces de travail ou dans les restaurants. Pour chaque situation et lieu de vie, Kinedo apporte une solution sécurisée et adapté avec KINEPROTECT GLASS.KINEPROTECT GLASS côté bureaux, openspace, espace de co-workingAvec de larges pieds de chaque côté de la paroi, la version auto-portante de bureaux (80/100/120/140/160 cm de long pour 75 ou 100 cm de hauteur) se veut particulièrement stable et sera parfaite pour cloisonner les surfaces de travail partagé. Mentionnons aussi que Kinedo décline cette réponse en version avec fixation simple par vissage, une solution qui libère l'espace de travail ou facilite l'intégration sur des surfaces réduites d'une paroi même aves des retours latéraux. Précisons de plus que Kinedo complète son offre par des panneaux latéraux autoportants ou vissables (60 cm de large en 2 hauteurs possibles 75 et 100 cm). Idéal pour une séparation efficace de bureaux côté à côté.KINEPROTECT côté banques de réceptions, commerces, espaces publics...Clients et collaborateurs pourront aussi bénéficier de l'efficace barrière KINEPROTECT GLASS en comptoirs, banques d'accueil ou caisses.... Un modèle qui intègre un passe documents ou terminal de paiement (15 cm de hauteur) et peut également se compléter de panneaux latéraux. Cette version est disponible en 80/100/120/140/160 cm de long pour 75/100 cm de haut et dispose aussi de l'astucieux système de fixation par simples pinces à visser qui préserve de l'espace. Des références qui peuvent aussi se compléter d'un ou plusieurs panneaux latéraux afin par exemple d'équiper les comptoirs en angle.KINEPROTECT GLASS côté restaurants, salons de coiffure…Pour des besoins de protection des espaces partagés ou les passages sont fréquents comme ceux des restaurants, des salons de coiffure, etc, Kinedo propose ses solutions KINEPROTECT GLASS en panneaux hauts et autoportants (80/100/120 cm de large) dans des hauteurs de 140/160/180/200 cm.Fidèle à ses valeurs et son engagement caritatif, KINEDO a décidé de reverser 3 % des bénéfices des ventes de KINEPROTECT à la Fondation pour la Recherche de l'Assistance Publiques Hôpitaux de Paris.KINEPROTECT GLASS fait partie de la liste des équipements éligibles à la subvention de la Sécurité Sociale (conditions d'attribution pour TPE/PME de moins de 50 salariés - 2 plafonds maxi 5.000 € voir site AMELI).
Il y a 4 ans et 340 jours

SimonsVoss choisi par la Mairie de Gennevilliers pour contrôler l'accès des bâtiments de la commune

Gennevilliers, une ville ancrée dans l'économie sociale et solidaireSituée au nord-ouest de Paris, la ville de Gennevilliers se caractérise par une forte dynamique économique et industrielle. Son port fluvio-maritime, premier en France et deuxième en Europe, contribue au rayonnement du territoire. Avec un passé industriel omniprésent, aujourd'hui 70% de la ville repose sur des activités industrielles. Avec la densité de diverses entreprises de secteurs variés, qui offrent plus 45 000 emplois, Gennevilliers dispose de véritables atouts économiques.Sur le plan de l'économie sociale et solidaire, la ville encourage activement, à travers son panel d'actions, le développement d'emplois auprès de nombreuses entreprises d'insertion, associations, mutuelles et fondations.Rendre son territoire encore plus attractif auprès des acteurs économiques, citoyens et futurs habitants fait partie de ses priorités. Celle-ci passe par la mise en place des mesures de sécurité plus efficace pour les établissements recevant du public (ERP) : bâtiments administratifs et associatifs, scolaires et résidentiels.La sécurité des établissements scolaires avant toutPour protéger ses concitoyens, ainsi que son personnel et ses biens, la ville a décidé de renforcer la sécurité de ses bâtiments en y installant une solution de contrôle d'accès. La Mairie avait ainsi choisi d'équiper en premier lieu les établissements scolaires, en commençant par le site Anatole France composé de deux écoles élémentaires et d'une école maternelle avec un centre de loisirs, d'un gymnase et d'une crèche. Il y a environ 6 ans, les produits SimonsVoss ont pu être testés pour la première fois. Convaincue par la qualité et la fiabilité des fermetures, la Mairie, sous la direction de Monsieur Philippe Robert, a décidé d'intégrer les produits SimonsVoss dans le cahier des charges pour de futures installations.A ce jour, le site Anatole France est presque entièrement équipé de SmartRelais2 pour les accès extérieurs et de SmartHandle numériques, soit environ 40 portes et issues. Parallèlement, la même solution était posée dans le conservatoire et l'espace Grésillons, un important complexe communal à vocation éducative et culturelle. Après les établissements scolaires et culturels, la Mairie, où travaillent 1500 fonctionnaires, a décidé de s'équiper à son tour. Le service informatique, social et le service pour les missions locales sont les premiers bénéficiaires.Au total, la Mairie a équipé plus de 600 portes et une vingtaine de bâtiments, les parcs et jardins compris, soit au total près de 1500 identifiants attribués. Le lecteur mural SmartRelais installé dans les bâtiments fonctionne avec les SmartCards qui font partie des supports de fermeture passifs. Quant aux parcs et jardins qui requièrent des fermetures avec plus d'autonomie, l'ouverture de portail se fait grâce au transpondeur fonctionnant avec piles et qui dispose d'une autonomie d'environ 400 000 manœuvres.« Le système de contrôle d'accès numérique SimonsVoss offre sécurité, confort et rentabilité. La distribution et la gestion complexe des clés, avec notamment le coût de reproduction en cas de perte, font désormais partie du passé. La gestion centralisée par logiciel a des atouts importants pour une institution comme la mairie. En cas de perte ou de vol d'un badge, il suffit de désactiver le droit d'accès à distance, ceci en quelques clics », précise Philippe Robert, Responsable Services bâtiments, Mairie de Gennevilliers. « Nous avons également été séduits par la qualité des produits et par la simplicité de leur installation : sans câblage ni perçage », ajoute M. Robert.Partenaire de confiancePour mener à bien le projet avec la Mairie de Gennevilliers, SimonsVoss a pu compter sur l'expertise de son partenaire de longue date, M4S. Entreprise spécialisée dans le milieu de la serrurerie, M4S possède une expertise sur les produits SimonsVoss et est capable de gérer des projets de bout en bout : poser les systèmes et les antennes, programmer le logiciel, assurer les mises à jour... Son objectif est d'atteindre rapidement la certification « Network » du KeylessWorld Partner Program de SimonsVoss Technologies (lancée en janvier 2020) afin d'avoir une complète autonomie sur les solutions installées.« M4S est fier de partager cette aventure avec SimonsVoss en mettant en service ses systèmes de contrôle d'accès. Nous allons prochainement accompagner la Mairie dans l'installation de la gamme SmartHandle AX sur ses futures constructions : agrandissements de certaines écoles, une nouvelle crèche, construction du groupe scolaire Joliot Curie et d'une maison de culture », déclare Ilan Malet, Directeur général de M4S.
Il y a 4 ans et 340 jours

Plainte en Slovénie concernant une centrale livrée par Alstom

Un acte d'accusation portant sur des abus de pouvoir et du blanchiment d'argent concernant une centrale à charbon réalisée par le géant français Alstom a été déposé en Slovénie.
Il y a 4 ans et 340 jours

Copropriétés: vers une généralisation des AG virtuelles

Toutes les copropriétés pourront organiser leurs assemblées générales à distance, notamment par visioconférence, jusqu'à début 2021, a annoncé le gouvernement.
Il y a 4 ans et 340 jours

Les avantages d'un logiciel de gestion dans le cloud

L'intérêt d'un logiciel de gestion des devis et factures pour le bâtimentLes artisans et professionnels du BTP trouvent un intérêt certain aux logiciels de gestion dédiés au secteur du bâtiment. En effet, ces solutions leur permettent de dématérialiser les factures et de faciliter la gestion quotidienne des situations de chantiers. De fait, les logiciels de facturation intègrent les taux de TVA et réglementations diverses liées au secteur du bâtiment et réalisent instantanément et sans erreur les opérations les plus fastidieuses. Le temps gagné par l'artisan ou le professionnel du BTP grâce au logiciel de gestion lui permet ainsi de se consacrer à d'autres tâches concrètes pour le développement de son activité : relation client, stratégie de communication, ou encore prestations. Afin de rendre l'expérience du logiciel de facturation pour le bâtiment encore plus profitable aux professionnels du secteur et aux artisans, il est intéressant d'investir dans un logiciel de gestion en ligne. Ces solutions apportent en effet de nombreuses fonctionnalités qui sont autant de bénéfices pour l'utilisateur.Les avantages du logiciel de gestion pour le bâtiment en ligneLes logiciels de gestion pour le bâtiment qui sont intégrés au cloud représentent une version améliorée des classiques solutions de facturation et gestion des devis. De la sauvegarde à la sécurisation de vos données en ligne en passant par une accessibilité en tout lieu et à tout moment, une large compatibilité avec les autres services en ligne existant pour le bâtiment et leur coût satisfaisant, zoom sur les critères de choix en faveur du logiciel de gestion pour le bâtiment en ligne.Sauvegarde et synchronisation automatique des donnéesEn utilisant un logiciel dans le cloud spécialisé dans le bâtiment, comme Obat, pour votre gestion de documents, la sauvegarde de toutes vos entrées se fait instantanément. Création ou édition de devis, envoi de factures, organisation de vos situations de chantiers, enrichissement de votre portefeuille client : toutes ces données sont automatiquement stockées dans le cloud à chaque modification de votre part. Par ailleurs, l'intérêt d'un logiciel de gestion en ligne pour le bâtiment réside, en plus de la sauvegarde, dans la synchronisation de ses données. Si vous utilisez un logiciel de facturation dédié au BTP sur plusieurs appareils, vous êtes ainsi assuré de retrouver vos mises à jour les plus récentes immédiatement, quel que soit le support que vous consultez.Accessibilité sur tous les appareils et systèmes d'exploitationAinsi, un logiciel de gestion dans le cloud se veut accessible sur tous les appareils et tous les systèmes d'exploitation. Vous pouvez accéder à votre interface de facturation pour le bâtiment depuis l'ordinateur fixe ou portable de vos locaux, mais également dans votre voiture ou sur un chantier, depuis votre téléphone portable ou une tablette tactile. Un logiciel de facturation en ligne dédié au secteur du bâtiment vous suit partout, quel que soit la marque, le modèle ou le système d'exploitation. Obat par exemple, vous propose une interface identique et intuitive sur tous vos appareils et vos entrées les plus récentes sont synchronisées automatiquement et instantanément entre vos différents supports d'utilisation grâce au stockage dans le cloud, proposé par votre logiciel de gestion pour le bâtiment. Sécurisation des données en ligneAvec la sécurisation de vos données en ligne proposée par un logiciel de facturation et gestion de document à destination des artisans et professionnels du BTP, ne craignez plus la perte ou du vol de votre ordinateur ou appareil mobile ! En plus d'une protection classique de votre logiciel de gestion en ligne par mot de passe, vos données sont transférées et sauvegardées sur les serveurs sécurisés de la solution logicielle. Le logiciel de gestion pour le bâtiment Obat, par exemple, qui se destine à simplifier la gestion des devis et de la facturation des professionnels du BTP et des artisans, a ses propres serveurs en France. Les informations que vous entrez dans le logiciel en ligne y sont donc en sûreté, protégées par toutes les infrastructures et technologies de pointe, ainsi que par les lois françaises en vigueur de protection des données.Compatibilité avec d'autres logiciels en ligneUn autre des multiples avantages du logiciel en ligne est sa compatibilité avec d'autres services présents sur le cloud. Ainsi, une solution de facturation à destination des professionnels du bâtiment comme Obat peut être complétée par un second logiciel dans le cloud, aux fonctions différents. La compatibilité des logiciels cloud entre eux permet aux artisans de bénéficier d'une solution complète pour la gestion qualitative de leur activité, sur l'intégralité des projets clients. De la demande de ce dernier à l'envoi de la facture finale en passant par d'éventuelles modélisations, le pointage des heures sur les chantiers, ou des commandes de fournitures, passer par un logiciel en ligne pour le bâtiment offre un réel gain de temps pour la réalisation de tâches à valeur ajoutée !Partagez vos données avec vos partenairesAvec un logiciel de gestion en ligne pour le bâtiment, il est simple de donner l'accès de votre interface à vos partenaires pour leur partager les données dont ils ont besoin. Ainsi, le logiciel cloud Obat permet aux artisans et professionnels du BTP de partager leurs devis et factures ainsi que le statut de ceux-ci avec leur comptable. De cette manière, plus besoin de lui transmettre les documents : le comptable y a lui-même accès selon ses besoins pour la réalisation des opérations et études de comptabilité courantes liées à l'activité de l'entreprise spécialiste du bâtiment. Un service de qualité à petit prixEnfin, les logiciels de gestion pour le bâtiment dans le cloud proposent les multiples avantages énumérés pour un coût défiant toute concurrence. Généralement proposées sous forme d'abonnement, ces solutions logicielles en ligne se révèlent bien moins coûteuse qu'un logiciel en dur qui, pour sa part, sera limité en matière de flexibilité d'utilisation par rapport à une interface de devis et facturation dans le cloud. Ainsi le logiciel Obat propose deux offres d'abonnement à son service en ligne pour les professionnels du BTP et les artisans, à 19 € ou 25 € par mois avec un engagement annuel ou mensuel. Vous disposez ainsi d'une totale liberté de choix et d'un large panel de services de qualité ainsi qu'une assistance joignable en continu pour un prix imbattable !
Il y a 4 ans et 340 jours

Le centre commercial Beaugrenelle à Paris autorisé par la justice à rouvrir

Le centre commercial de Beaugrenelle peut rouvrir ses portes, par décision de justice, malgré l'interdiction gouvernementale frappant les centres commerciaux de plus de 40.000 m2 de rouvrir.
Il y a 4 ans et 340 jours

Le point sur les aides financières à la rénovation des logements

Le Crédit d'impôt à la transition énergétique a vécu, les opérations à 1€ ont disparu, alors vive MaPrimeRenov’ ! Les aides financières à la rénovation des logements ne sont pas simples à suivre. Petit récapitulatif.
Il y a 4 ans et 340 jours

Traxxeo ouvre ses premiers bureaux en France

Le nouveau bureau en France accueillera dans un premier temps une équipe commerciale ainsi qu'une équipe Customer Success dont la mission sera d'accompagner localement les clients dans leur transformation digitale. En tant que Country Manager, Charbel Azzam, fraîchement arrivé, aura pour objectif de développer le marché et les équipes. Avant d'intégrer TRAXXEO, Charbel a travaillé pendant quatre ans chez Finalcad après cinq ans d'expérience dans des sociétés d'ingénierie.« Les outils proposés par TRAXXEO sont uniques et s'intégreront parfaitement dans l'écosystème digital des sociétés du BTP françaises. Ils apportent des solutions durables à des problèmes profonds de contrôle des coûts et de maîtrise des délais et c'est précisément ce challenge qui m'a convaincu de rejoindre l'équipe. »- Charbel AzzamL'ouverture de ce bureau à Paris n'est pas une première pour TRAXXEO, qui depuis sa création en 2008 en Belgique a pu établir des relations avec son voisin. Pour Charles le Hodey, VP Sales & Marketing, cette nouvelle filiale vient renforcer la présence de l'éditeur en France, marché très stratégique dont la filière de la construction contribue pour près de 8% au PIB et la positionne au 2ème rang européen derrière l'Allemagne (source : INSEE).Le contexte actuel du COVID 19 et la reprise progressive de l'économie ne sont pas une contrainte selon Charles le Hodey ; bien au contraire, ils sont à ses yeux une opportunité pour TRAXXEO de prendre de l'avance dans son établissement en France et d'être aux premiers rangs quand le marché retrouvera sa vitesse de croisière. L'ambition de cette « Tech Company » est de devenir un des leaders de la transformation digitale du secteur du BTP dans l'Hexagone et en Europe.Très axé sur la numérisation des processus métiers complexes et chronophages, l'éditeur propose une plateforme mobile et Web qui permet d'optimiser la collecte et le traitement des heures travaillées, le planning des ressources matérielles et humaines et le contrôle des documents administratifs liés à la présence des travailleurs sur site. TRAXXEO propose également des solutions technologiques telles que la géolocalisation et le Bluetooth Low Energy (BLE) qui permettent de mieux contrôler les flottes de véhicules, les parcs matériels et les inventaires d'outils. Vous souhaitez en savoir plus sur TRAXXEO ? Charles et Charbel organisent le mardi 2 juin prochain à 13h30 un webinar durant lequel ils présenteront la société ainsi que la gamme de produits proposés.
Il y a 4 ans et 340 jours

Sol et solaire : un couple franco-allemand fécond

La compétitivité de l’énergie photovoltaïque passe par les centrales au sol. Cette leçon se dégage de la conférence donnée le 27 mai par l’Office franco-allemand pour la transition énergétique (Ofate), avec 250 participants. Malgré ses progrès technologiques, la filière reste handicapée par sa gourmandise foncière.
Il y a 4 ans et 340 jours

Equerre d'argent 2020: les candidatures sont ouvertes

Décernée depuis 1983, le prix de l'Equerre d’argent a pour objectif de faire connaître le meilleur de la production architecturale réalisée sur le territoire français. Participez à la 38e édition en proposant votre réalisation avant le 11 septembre 2020 à minuit.   Qui succèdera à la […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 341 jours

Le nouveau diplôme d'architecte-paysagiste

L’École d’architecture de la ville & des territoires Paris-Est et l’École de la nature et du paysage de Blois lancent un double-diplôme d’architecte-paysagiste, à partir de la rentrée 2020-2021. La formation, d’une durée de sept ans, est ponctuée par des stages en milieu professionnel (de 12 à 14 mois) et permettra d’obtenir une double compétence de concepteur en paysage et en architecture. Actuellement, la formation conduisant au diplôme d’État de paysagiste conférant...
Il y a 4 ans et 341 jours

Covid-19 : le Medef demande une aide de 10.000 euros par apprenti

Une position qui rejoint celle de l'U2P (artisans), dont le président Alain Griset a demandé sur RTL mardi "une rémunération pour les jeunes, mais prise en charge par l'État, de façon à ce qu'il y ait zéro coût pour une entreprise qui prend un apprenti".L'apprentissage avait connu en 2019 un succès record auprès des jeunes, avec 368.000 contrats signés, grâce à une bonne conjoncture et à la réforme de 2018 qui "a supprimé les freins" à l'essor de cette formation en alternance, selon la ministre du Travail Muriel Pénicaud.L'aide demandée mercredi par le Medef serait "versée de manière échelonnée sur la première année du contrat, à partir du deuxième mois après l'embauche, quels que soient la taille de l'entreprise et le niveau du diplôme préparé par l'apprenti".Elle s'appliquerait également aux contrats de professionnalisation, d'une durée de deux ans."Dans la situation actuelle d'extrême tension sur la trésorerie, d'incertitude sur les carnets de commandes, de forte dégradation de la rentabilité d'exploitation, la seule façon de décider les entreprises, toutes tailles confondues, de recruter des apprentis est d'en réduire massivement le coût" pour les entreprises, selon la première organisation patronale française."Pour l'État, une rentrée avec 300.000 potentiels apprentis +sur le carreau+ serait un drame de plus dont il est difficile d'évaluer le coût social", met en garde le Medef.Il calcule qu'avec un objectif de 400.000 nouveaux apprentis en 2020, le coût pour l'État d'une telle aide serait compris entre 3 et 4 milliards d'euros, mais qu'en soustrayant "les coûts sociaux évités" ne subsisterait plus qu'un "coût net entre 1 et 2 milliards d'euros".L'organisation patronale veut aussi "assouplir les modalités d'apprentissage", notamment en permettant "aux futurs apprentis de rester en formation dans leur CFA pendant au minimum neuf mois dans l'attente de conclure un contrat d'apprentissage avec une entreprise" et en permettant "aux entreprises de moduler la répartition du temps de travail entre le CFA et l'entreprise".
Il y a 4 ans et 341 jours

Enquête sur une possible arnaque immobilière entre France et Etats-Unis

Plus de dix plaintes ont été déposées et davantage pourraient l'être prochainement, a précisé à l'AFP la procureure de Grasse Fabienne Atzori, qui a ouvert une enquête préliminaire pour "escroquerie, abus de confiance".Dans cette affaire, révélée plus tôt par le site d'information Mediapart, les clients ont investi ces dernières années des sommes pouvant tourner autour de 50 à 70.000 dollars (46.000 à 64.000 euros) l'unité dans ce qu'ils pensaient être des biens immobiliers mis en location à Detroit (Michigan).Les investissements leur étaient proposés par une société de Sophia Antipolis (Alpes-Maritimes), qui les "mettait en relation avec un tiers", a précisé la procureure. Les clients se voyaient promettre des biens "pas très chers, rentables, avec une solution de financement très avantageuse et très peu se déplaçaient pour voir" sur place les immeubles.Des difficultés financières seraient toutefois apparues début janvier, faisant douter certains clients de la réalité de leur investissement."Certains ont tenté d'obtenir des explications", et ont fini, au printemps, par déposer plainte.L'enquête s'annonce complexe: elle recouvre des faits commis en partie à l'étranger, devra déterminer le caractère organisé ou non d'une éventuelle escroquerie et "l'existence ou non de plaintes antérieures", a précisé la procureure.Parmi les hypothèses que devront examiner les enquêteurs, celles d'une pyramide de Ponzi, l'une des escroqueries d'ampleur les plus classiques: une victime achète un bien et reçoit des loyers qui sont en fait financés par le recrutement d'une deuxième victime, la fraude pouvant prospérer ainsi jusqu'à prendre des proportions considérables.
Il y a 4 ans et 341 jours

Feu vert du Sénat à une modulation du dispositif de chômage partiel à partir du 1er juin

Le ministère du Travail avait annoncé lundi que la prise en charge de l'activité partielle par l'État et l'Unédic passerait de 100 à 85% de l'indemnité versée au salarié, dans la limite inchangée de 4,5 Smic, certains secteurs, qui seront définis par décret, comme le tourisme, la culture ou la restauration, pouvant toutefois continuer à bénéficier d'une prise en charge à 100%.L'amendement voté par le Sénat, dans le cadre de l'examen en première lecture d'un projet de loi portant des "dispositions urgentes face à l'épidémie de Covid-19", vise à permettre cette différenciation sectorielle dans une "phase d'accompagnement de la reprise", a indiqué la ministre du Travail Muriel Pénicaud."On ne coupe pas le chômage partiel, on est juste en train de l'accompagner par une dégressivité de la prise en charge de l'État vis-à-vis de l'entreprise", a précisé la ministre, assurant que "cela ne change rien pour les salariés"."On ne va pas mettre pour toujours sous perfusion l'économie française", a encore déclaré Mme Pénicaud, rappelant que le gouvernement avait voulu au début de la crise "agir de façon massive, immédiate"."C'est beaucoup d'argent, il faut le mobiliser là où on en a besoin", a-t-elle indiqué. Outre le maintien d'un "accompagnement massif" pour des secteurs qui sont toujours à l'arrêt, la ministre a cité le maintien des dispositions relatives au chômage partiel pour les parents d'enfants qui ne pourraient pas être accueillis à l'école, évoqué un peu plus tôt par le Premier ministre Édouard Philippe.La ministre a encore souhaité "pouvoir avoir une adaptation pour certains secteurs, dont l'automobile", afin d'"éviter des vagues de licenciements".Le Sénat a rejeté un autre amendement du gouvernement sur la création d'un "dispositif alternatif" au chômage partiel, dont la rédaction a été jugée "trop vague".Il a en revanche adopté, avec un avis favorable du gouvernement, un amendement de sénateurs LR permettant, par accord collectif, la mise en œuvre de deux mécanismes visant à compléter les revenus des salariés dans le cadre d'un placement en activité partielle.Le premier permet à l'employeur d'organiser une solidarité entre les salariés de l'entreprise, de façon à monétiser des jours de repos ou de congés payés de ceux qui n'ont pas subi de perte de rémunération vers ceux qui ont vu leur rémunération diminuer.Le second vise à permettre aux salariés qui ont subi une baisse de leur rémunération de compléter leurs revenus par la monétisation de jours de repos ou de congés payés.Le Sénat poursuivra en soirée l'examen des articles du projet de loi.
Il y a 4 ans et 341 jours

Energie : Teksial change de logo et confirme son positionnement

IDENTITE VISUELLE. Filiale du groupe Engie, Teksial, acteur de la transition énergétique, fait évoluer son logo de manière à renforcer son statut d'acteur d'économie d'énergie.
Il y a 4 ans et 341 jours

La Fedene formule ses propositions de relance post-Covid

TRANSITION. A l'heure où la machine économique se remet doucement en route, des acteurs privés du bâtiment et des services énergétiques font part de leurs contributions pour les plans de relance post-coronavirus. Rénovation énergétique, gestion des installations, réseaux de chaleur et de froid... autant de propositions "portées" par la filière mais qui ont besoin d'un soutien accru des pouvoirs publics.
Il y a 4 ans et 341 jours

Covid-19 : les prix de l'immobilier neuf ne subissent pas la crise, bien au contraire

Pour les prix de l'immobilier neuf, la tendance est toujours largement haussière dans les grandes villes, selon le spécialiste de l'immobilier neuf sur Internet, Trouver-un-logement-neuf.com. Pour l'heure, la baisse des prix ne semble pas être d'actualité…Avec le télétravail testé à très grande échelle pendant le confinement, en marge de la fin de la métropolisation, d'un retour à la campagne de citadins des très grandes villes de France... certains tablent sur une diminution des prix de l'immobilier. Et pourtant, pour l'heure, aucune tendance à la baisse des prix de l'immobilier neuf n'est visible, bien au contraire. D'après le baromètre des prix de l'immobilier neuf du site de référence, Trouver-un-logement-neuf.com, on observe plutôt une nouvelle forte hausse sur le prix du trois-pièces, surface de référence, dans la quasi-totalité des 10 plus grandes villes de France, lors des six derniers mois. Tendance presque identique avec un mois de recul.Hausse dans 8 grandes villes sur 10Le prix de l'immobilier neuf a progressé dans 8 grandes villes sur 10 lors des six derniers mois, selon les derniers chiffres du baromètre de Trouver-un-logement-neuf.com. Une hausse quasi généralisée qui va jusqu'à +8,7% à Lille en comparaison des prix moyens pratiqués pour un trois-pièces en novembre 2019. Lille qui devient ainsi la 6ème grande ville la plus chère devant Montpellier : +5,6% et Strasbourg : +3,3%. Toulouse, malgré une hausse de 4,2% en un semestre, reste la grande ville la plus abordable à 250.000 € pour un trois-pièces.Parmi les fortes hausses observées, on note également Lyon : +3,4%, au-delà des 366.000 € pour acheter un T3 neuf, ainsi que Bordeaux : +4,6% où les prix repartent franchement à la hausse pour atteindre un prix moyen de 332.300 € pour un trois-pièces.Des hausses limitées ailleurs, comme à ParisDans certaines localités, la hausse reste plus limitée : stabilité parfaite lors des six derniers mois à Marseille où il faut compter 261.000 € pour acheter un T3. Légère hausse à Nice : +0,6% à 354.600 €. La capitale de la Côte d'Azur est ainsi sur le podium des trois grandes villes les plus chères, quand Paris, avec un prix en progression de 0,7% depuis novembre 2019, reste la ville la plus chère de l'hexagone dans l'immobilier neuf avec un prix moyen de 818.000 € pour un trois-pièces.L'exception nantaiseSeule exception parmi les grandes villes : Nantes où le prix moyen d'un trois-pièces diminue de 2,6% en six mois. Il est donc de nouveau possible d'acquérir un appartement neuf à moins de 300.000 € dans la cité des ducs de Bretagne.Fin du confinement : quelles conséquences ?En parallèle, en un mois, c'est-à-dire à cheval avant et après le déconfinement, on note également peu de reculs des prix. Seules trois grandes villes affichent des prix des logements neufs en baisse en un mois : Nantes encore : -0,7% ; mais également Toulouse : -0,8% et surtout, Strasbourg qui enregistre une baisse de 2,4% en 30 jours.A l'inverse, cela augmente fort dans certaines localités en un mois : +2,3% à Lyon, +2,6% à Montpellier, +6,5% à Paris.Conclusion :Pour l'heure et comme l'ont dit déjà plusieurs grands promoteurs, face à la pénurie de logements neufs disponibles avant l'épidémie de coronavirus, face au ralentissement de la délivrance des permis de construire pendant le confinement, en attendant le verdict du second tour des élections municipales, les prix de l'immobilier neuf ne devraient pas diminuer, à plus forte raison dans les grandes villes. D'autant que la demande y est restée bien présente durant le confinement. Les logements neufs avec de larges terrasses, voire jardins privatifs, déjà réputés pour être plus chers, y ayant d'ailleurs tirés leur épingle du jeu.Consulter ici le prix de l'immobilier neuf ville par villeMéthodologie : une méthode de calcul en temps réelLe prix moyen actuel de l'immobilier neuf dans les 10 plus grandes villes françaises a été calculé le lundi 25 mai 2020 par type de surface, selon les prix indiqués chaque jour par les annonceurs du site Trouver-un-logement-neuf.com : sur une base minimale de 5 programmes immobiliers neufs différents pour chaque localité, soit plusieurs dizaines de prix de logements neufs comparés.
Il y a 4 ans et 341 jours

Grand Paris Express : Vinci remporte un marché de 120 millions d'euros

Un groupement mené par Vinci a remporté un nouveau marché d'un des tronçons du Grand Paris Express. Le contrat s'élève à 120 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 341 jours

Les ventes de bois menacées avec l'infestation de coléoptères

Les ventes de bois ont enregistré un recul de 15% en France en 2019, affectées par un ralentissement de la croissance chez de gros importateurs et une infestation de coléoptères "catastrophique".
Il y a 4 ans et 341 jours

L'économie française repart mais la récession sera pire que prévu

Sur le seul deuxième trimestre, la chute du PIB pourrait atteindre "environ 20%", après -5,8% au premier, a estimé mercredi l'Insee dans son dernier point de conjoncture, ajoutant que sur l'ensemble de 2020, une récession de 8%, comme envisagé par le gouvernement, représente un scénario "peu réaliste".Il reposerait en effet sur un retour intégral à la normale dès juillet.Or "après près de deux mois au ralenti, comme en apnée, l'économie française s'efforce (...) de reprendre son souffle. Mais elle refait surface dans un monde qui n'est plus exactement le même qu'avant la crise sanitaire", explique l'Institut national de la statistique.La reprise sera "au mieux progressive au second semestre", estime l'Insee.Lundi, le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, avait aussi affirmé que la période de déconfinement coûterait au moins trois points de PIB cette année."J'ai toujours indiqué que les 8% de chute de croissance étaient un chiffre provisoire (...) Il faut nous attendre à des chiffres de récession très dégradés pour 2020 en France", a commenté mercredi le ministre de l'Économie Bruno Le Maire sur Radio Classique.Il a jugé que les chiffres de l'Insee "confirment qu'il y a une reprise réelle mais progressive".Depuis le début du déconfinement, entamé le 11 mai, l'activité est en effet repartie "prudemment mais nettement" en France, selon l'Insee. L'économie française tournerait "à environ quatre cinquièmes de son niveau d'avant crise", contre deux tiers pendant le confinement.Avec la réouverture de la plupart des commerces et le retour au travail de nombreux Français, tous les secteurs ont vu leurs niveaux d'activité se redresser par rapport à la période du confinement.Dans les branches marchandes, les plus touchées par le confinement, la perte d'activité est de 25% contre 39% avant le déconfinement. Elle est de 38% dans la construction (contre 75% avant le 11 mai), et de 24% dans l'industrie (contre 38%).Les contraintes sanitaires et les perturbations persistantes des chaînes de production et d'approvisionnement freinent encore la reprise.Surtout, certains secteurs importants restent à l'arrêt ou presque, comme l'hôtellerie-restauration, l'événementiel ou la culture, même si cafés et restaurants vont pouvoir rouvrir dans les zones "vertes" dès le 2 juin selon des modalités attendues jeudi.Consommation repartieEn attendant, les ménages ont déjà profité de la réouverture des commerces, avec un rebond de la consommation durant la première semaine du déconfinement, avec un niveau seulement inférieur de 6% à son niveau d'avant-crise (contre -32% début mai).Mais, prévient l'Insee, "une partie de ce rebond est ponctuelle, correspondant à des achats qui avaient dû être reportés", ce qui ne "permet pas à ce stade de déduire ce que sera le +régime permanent+ de la consommation pendant les prochaines semaines".D'autant qu'avec les incertitudes sur l'avenir et les inquiétudes sur une hausse du chômage - Bruno Le Maire a déjà prévenu qu'il y aurait des faillites et des licenciements "dans les mois qui viennent" -, les ménages pourraient s'avérer prudents.En mai, le moral des ménages est ainsi resté en berne. L'indice de confiance publié par l'Insee a encore perdu 2 points par rapport à avril où il avait déjà chuté de 8 points.Or la reprise de la consommation, tout comme de l'investissement des entreprises, sera essentielle pour soutenir l'économie dans les prochains mois. Le Medef a d'ailleurs demandé des mesures "coup de fouet" avant l'été pour soutenir la demande.Après des plans de soutien dédiés aux secteurs les plus touchés, comme le tourisme, l'automobile et l'aéronautique, le gouvernement prépare un plan de relance global pour la rentrée.Alors que l'État va réduire à partir du 1er juin sa prise en charge du chômage partiel, l'organisation patronale demande un allègement très progressif de ce dispositif, et propose un système "temporaire" d'indemnisation des salariés pour les heures non travaillées.
Il y a 4 ans et 341 jours

Téléchargez gratuitement LE guide pour créer des devis Menuiserie, Store et Fermeture vendeurs

Proposer un devis clair et précis à vos clients particuliers, c’est doubler vos chances de signer la vente ! En plus d’être l’un des éléments principaux de vos ventes et du développement de votre chiffre d’affaires, votre devis est un document officiel (comprenant des mentions obligatoires) qui représente l’image de marque de votre entreprise. Il est donc capital de ne pas sous-estimer son importance ! Pour éditer des devis qui séduisent vos clients et se convertissent en ventes, téléchargez gratuitement LE guide complet pour créer des devis Menuiserie, Store et Fermeture vendeurs ! Profitez de 20 pages de conseils et d’astuces pour mettre toutes les chances de votre côté !
Il y a 4 ans et 341 jours

Surcoûts sur les chantiers : des mesures seront annoncées le 10 juin

ÉCONOMIE. Le ministère de l'Économie, contacté par Batiactu, a précisé un élément de calendrier quant aux mesures qui seront prises pour établir des règles encadrant les surcoûts dans le secteur du bâtiment, en marchés public et privé.
Il y a 4 ans et 341 jours

Nouvelle subvention pour les TPE à l'achat d'équipements anti-covid

AIDE FINANCIÈRE. L'assurance-maladie vient de lancer une subvention destinée aux indépendants et entreprises de moins de 50 salariés pour aider à acquérir des équipements de protection contre le nouveau coronavirus.
Il y a 4 ans et 341 jours

Action coeur de ville : Clésence (Action Logement) prend sa part

REVITALISATION. Le bailleur social Clésence, filiale du groupe Action Logement, participe au programme Action coeur de ville de huit des 15 villes concernées dans les Hauts-de-France, son territoire d'implantation. Ce programme permet, selon Eric Efraim Balci, directeur général, le lancement d'opérations qui n'auraient pas pu voir le jour autrement.
Il y a 4 ans et 341 jours

L'U2P lance un site d'achat de matériel de protection et une cellule d’accompagnement psychologique

Un site pour s’approvisionner en équipement de protection individuelleDepuis le 20 mai 2020, l’ensemble du matériel sanitaire nécessaire à la protection individuelle des artisans, des commerçants et des professionnels libéraux, de leurs salariés et de leurs clients ou patients, sera proposé à la vente sur le site proxiprotection.fr.Les chefs d’entreprise de proximité disposeront ainsi de leur propre réseau indépendant pour s’équiper rapidement et durablement, dans des conditions tarifaires avantageuses, en masques, gants, gel hydroalcoolique, visières antiprojections, blouses…La plateforme ProxiProtection, initiée par l’U2P et soutenue par la Direction Générale des Entreprises du Ministère de l’Économie et des Finances, est le fruit d’un partenariat avec la société Paris Fashion Shops, chargée de l’approvisionnement, de la vente et de la livraison du matériel, dans le respect des normes sanitaires en vigueur.Une cellule d’accompagnement psychologiqueEn parallèle, l’U2P et ses organisations membres mettent en place le 20 mai une plateforme d’écoute et d’accompagnement psychologique des chefs d’entreprise de proximité grâce à un numéro national d’appel gratuit : le 09.85.607.727, ouvert 7 jours sur 7 de 8h à 20h.Pour répondre à l’inquiétude et parfois la grande détresse causées par la crise actuelle, l’U2P a cherché les moyens de rompre l’isolement des chefs d’entreprise, en leur permettant de libérer leur parole et d’évoquer leurs difficultés avec des professionnels de confiance.Ce numéro d’appel gratuit permet d’entrer en dialogue avec l’un(e) des trente psychologues mis à disposition. Sa mise en place est rendue possible par l’UNAPL et ses deux fédérations membres représentant les psychologues, le Groupement syndical des praticiens de la psychologie, psychothérapie, psychanalyse en libéral (PSY’G) et le Syndicat national des psychologues (SNP), ainsi que par le cabinet de psychologues en ligne BeMyPsy.« Protéger les artisans, les commerçants et les professionnels libéraux est une priorité, affirme le président de l’U2P Alain Griset. La proximité et au cœur de leur métier et les Français en auront plus que jamais besoin. Il faut leur donner les moyens de reprendre leur activité sans compromis pour leur santé, celle de leurs salariés ou celle de leurs clients et patients. Au-delà, il faut également prêter une attention toute particulière à leur santé psychologique, car les difficultés de ces dernières semaines font peser un risque d’isolement croissant sur les chefs d’entreprise, qui voient leurs responsabilités s’alourdir et leur visibilité sur l’avenir se réduire. »
Il y a 4 ans et 341 jours

Bâtiment : un léger optimisme sur l'activité future mais des doutes persistants

CONJONCTURE. L'enquête mensuelle de l'Insee pour le mois de mai 2020 montre que les entrepreneurs du bâtiment ont encaissé de rudes coups sur ces trois derniers mois, mais leur opinion sur l'activité future semble moins négative.
Il y a 4 ans et 341 jours

Naours : Graffitis et bas-reliefs de la Grande Guerre

Salle des anciennes carrières de Naours, rebaptisée “Salle des fêtes” par l’abbé Danicourt. [©Dominique Bossut] Le scénario : dans les Hauts-de-France, des labyrinthes de calcaire, des graffitis, des bas-reliefs, un archéologue et un photographe. Mis à jour pour la première fois en 2013 à Naours, dans la Somme, puis dans plusieurs carrières ou cavités de la région, des graffitis et des bas-reliefs réalisés par des soldats, photographiés ici par Dominique Bossut, constituent des témoignages uniques de combattants français, britanniques, australiens, allemands, canadiens ou américains. Après plusieurs années d’enquête et de recherche, l’archéologue Gilles Prilaux nous présente dans l’ouvrage “Graffitis & bas-reliefs de la Grande Guerre. Archives souterraines de combattants” ces écrits fragiles et intimes, ces brèves esquisses patriotiques, réjouissantes caricatures ou monumentales sculptures. Il nous restitue leur histoire et, à travers elle, le parcours de soldats livrés à eux-mêmes dans la solitude et le silence de la terre. Un fantastique voyage dans les souterrains de la Grande Guerre, sur les traces d’un patrimoine exceptionnel. Tout au fond de la carrière de Dreslincourt (60), un boyau de craie est le témoin d’inscriptions de soldats allemands sur le plafond du couloir.  « Sous les forêts, les champs et les maisons se cachent les témoignages d’une histoire tue, des vies secrètes volées à leur destin, de voix longtemps silencieuses, des signes qui bientôt pourraient s’effacer : des rictus de la Grande Guerre. » L’humus les protège, près de entrées les lichens tentent de les recouvrir. Plus à l’écart, seule l’ombre portée ou l’éclairage rasant permettent de déchiffrer les lettres et les signes, de lire ces messages. Des souvenirs précieux Des tonnes de matériaux de construction, de remblais, de rejets pierreux ont été retirées du substratum. On les retrouve encore aujourd’hui dans le paysage : murs d’enclos, surfaces de cheminement… Près d’un hameau, après une longue marche sous terre, là où les galeries se font tour à tour ouvertures de géants, tour à tour chatières, les parois se font signes. C’est pour eux que l’archéologue, Gilles Prilaux, est venu, suivi ou précédé du photographe, Dominique Bossut. A Naours, ici des espaces d’expression très réduits, mais qui contiennent beaucoup de données : noms, initiales, dates, villes, pays d’origine. Les mots et les chiffres sont dessinés ou gravés, les images et les bas-reliefs sont plus rares. Ils restituent une histoire, des histoires, d’hommes qui déclinent une identité, qui expriment leur foi, qui reflètent la guerre, la nostalgie ou l’attachement à une nation. « Il fallait, dans ce dédale de galeries calcaires, connues ou inaccessibles, retendre un fil, celui qui relie les générations entre elles et les histoires à l’Histoire. » Ce livre est un programme visuel, mais aussi scientifique, qui vise à préserver ces témoignages venus d’un autre temps par l’étude. Gilles Prilaux s’est longtemps interrogé sur les raisons, qui avaient poussé les soldats à vouloir laisser tant de traces écrites, dessinées ou sculptées sur les parois sombres de souterrains du Nord de la France. Il est apparu que, selon les origines géographiques et sociales de combattants, le traitement, le mode d’expression et le contenu de ces témoignages révélaient des messages bien différents. Muriel Carbonnet “Graffitis & bas-reliefs de la Grande Guerre. Archives souterraines de combattants” Co-édition : Inrap-MichalonPrix : 21 € TTC
Il y a 4 ans et 341 jours

RE2020 : une occasion "historique" pour la construction bois, assure le ministre

CONSTRUCTION. Le ministre du Logement, Julien Denormandie, a souhaité rassurer les filières biosourcées en assurant que la future réglementation environnementale 2020 (RE2020) serait une occasion historique pour augmenter leur part de marché dans la construction.
Il y a 4 ans et 341 jours

Atelier Vens Vanbelle : Alex Guesthouse

Créée pour un producteur de cinéma belge, la « Guesthouse » imaginée par l’Atelier Vens Vanbelle est une extension à l’architecture remarquable, contrastant avec la maison principale de style français du propriétaire. Comprenant une chambre, une pièce à vivre et une salle de projection, l’ensemble atypique semble tout droit sorti d’un film steampunk. Alex voulait agrémenter son jardin situé à proximité de la Schelde d’une extension à son image : cinématographique et atypique. Accueillant de nombreux invités en sa demeure, ce propriétaire tenait à marquer l’esprit de ses convives en leur proposant un espace de vie agrémenté de quelques surprises. Avec sa forme inédite et son revêtement en acier corten, le bâti jouit d’un caractère abstrait, semblable à un sous-marin ou à une habitation tout droit sortie d’un ouvrage steampunk. Sur une surface de 150 mètres carrés, le projet de l’Atelier Vens Vanbelle est articulé autour d’un escalier en colimaçon desservant trois niveaux : : un rez-de-chaussée abritant la chambre et la pièce de vie surmonté par un belvédère agrémenté d’une douche extérieure et un sous-sol dissimulant une salle de projection. A chaque étage son ambiance. L’espace habitation est conçu comme une grotte de bois entièrement composée de bois lamellé et percée de deux fenêtres rondes, l’une donnant sur le jardin et l’autre sur la maison principale. Construite comme une expérience cinématographique, la maison d’hôte accueille une petite salle de projection aux rideaux rouges, enrichi d’un petit bar intimiste.De quoi s’échapper quelques instants de la réalité. Pour en savoir plus, visitez le site de l’Atelier Vens VanbellePhotographies : Tim Van de VeldeZoé Térouinard
Il y a 4 ans et 341 jours

Webinaire "Durabilité et Recyclage des Solutions Rockwool" les 4 & 10 juin 2020

Un meilleur traitement des déchets issus des activités du secteur du bâtiment est aujourd’hui primordial. Engagé dans cette lutte, ROCKWOOL, leader de la production d’isolants en laine de roche, souhaite partager ses solutions en invitant les acteurs du bâtiment à découvrir comment mener à bien un chantier d’isolation de manière productive, durable et écologique. Rendez-vous les 4 et 10 juin prochains pour un webinaire special “Durabilité et Recyclage des Solutions Rockwool” !Dans le souci de répondre constamment aux besoins de la rénovation et de la construction neuve, le secteur du bâtiment consomme une quantité de ressources considérable. Résultat : une production annuelle de plus de 40 millions de tonnes de déchets. Pour autant, ce secteur constitue bien l’un des piliers des enjeux du développement durable et de la lutte contre le réchauffement climatique. Dès lors, quelles solutions sont mises à la disposition de ses acteurs pour assurer une meilleure gestion des déchets sur les chantiers ? Déjà sensible à ces enjeux, notamment à travers son programme de recyclage des déchets de chantiers ROCKCYCLE et animé par une volonté de transfert des connaissances, ROCKWOOL invite l’ensemble des acteurs du bâtiment souhaitant faire rimer leurs chantiers avec durabilité et écologie à participer à deux webinaires autour du thème « Durabilité et Recyclage des Solutions Rockwool », animé par Colas Lévêque, Responsable Prescription Nationale chez ROCKWOOL. Au programme, 2 sessions de 45 minutes vous attendent :Jeudi 4 juin à 11hMercredi 10 juin à 11hLors de ce webinaire vous découvrirez : Comment les isolants ROCKWOOL en laine de roche assurent une plus grande pérennité de l’ouvrage Comment les solutions ROCKWOOL contribuent à lutter contre le changement climatique, développer l’économie circulaire et assurer le bien-être des occupants Les services de recyclage de déchets proposés par ROCKWOOLPour s’inscrire, rien de plus facile, cliquez ici
Il y a 4 ans et 341 jours

A quoi pourraient ressembler les événements post-covid ?

REPRISE. La crise du coronavirus n'aura épargné personne. Tous les secteurs sont impactés, mais celui de l'événementiel fait partie des plus touchés. Entre annulations et reports, les organisateurs travaillent néanmoins à la reprise. Viparis et Bureau veritas nous expliquent comment.
Il y a 4 ans et 341 jours

EOL Retail requalifie une friche commerciale au Mans

Après le départ il y a 2 ans de la jardinerie TRUFFAUT implantée à proximité du centre commercial Carrefour Centre Sud, la présence d'une friche au cœur de ce secteur économique du sud du Mans était redoutée.L'enseigne nationale, assistée de l'équipe montage et développement d'EOL RETAIL a donc étudié différentes hypothèses de requalification de cet ensemble immobilier situé à un emplacement stratégique sur un foncier de 7 000 m². Des pistes ont été travaillées avec des enseignes spécialisées et différents opérateurs immobiliers.Un bâtiment durableLe choix s'est porté sur la candidature du groupe L.A FOIR'FOUILLE. Présente depuis 2004 dans la ZAC de Vauguyon, avec un magasin de 1 500 m², l'enseigne nationale spécialiste de l'équipement de la maison à petits prix, souhaitait agrandir sa surface de vente. Actuellement locataire, l'enseigne deviendra propriétaire d'un futur bâtiment répondant à tous les critères environnementaux. Une fois rasée, l'ancienne jardinerie fera place à un local commercial entièrement neuf d'une surface de 2 800 m². Le futur site répondra à tous les critères environnementaux avec notamment l'installation de panneaux solaires.Emmanuel CLOËREC, Directeur associé d'EOL souligne : « Chez EOL, nous sommes convaincus que l'obsolescence n'est pas une fatalité mais un gisement de valeurs ».Le groupe AXTOM, société spécialisée dans le développement, la conception et la promotion d'opérations immobilières a été sélectionnée afin de mener à bien cette opération. La livraison du nouveau magasin est envisagée pour le dernier trimestre 2020.Cette réalisation vient compléter la revalorisation actuellement en cours du centre commercial mitoyen “Centre Sud” par Constructa Asset Management filiale du Groupe Constructa spécialisée dans la valorisation & la gestion d'actifs immobiliers. L'acquisition en 2018 des 13 500 m² du centre commercial « Centre Sud » dédié au commerce de proximité a pour objectif de repositionner l'espace commercial dans sa zone de chalandise.
Il y a 4 ans et 341 jours

JO 2024 : Bouygues Bâtiment Île-de-France construira l’Arena Porte de la Chapelle

La Commission d’appel d’offres de la Ville de Paris a attribué le marché global de conception, réalisation et exploitation technique de ce futur équipement de près de 8000 places, au groupement mené par Bouygues Bâtiment Île-de-France et les agences d’architecture SCAU et NP2F.
Il y a 4 ans et 341 jours

Saint-Gobain cède ses parts de Sika pour 2,40 Mds €

Le géant des matériaux a annoncé qu'il avait cédé les parts qu'il détenait du groupe de chimie suisse pour 2,56 Mds de francs suisses, marquant la fin d'une relation contrariée dès l'origine.
Il y a 4 ans et 341 jours

Vinci gagne un contrat à 120 millions d'euros pour le Grand Paris Express

"Les travaux, d'un montant total de 120 millions d'euros, consistent à fournir et poser la voie ferrée", ainsi que mettre en place plusieurs équipements comme des passerelles sur "un tronçon de 16,5 km en tunnel", détaille Vinci dans un communiqué."Ce tronçon est situé entre la future station Pont de Sèvres et la future gare Les Ardoines à l'est de Vitry-sur-Seine", précise le groupe, ajoutant que les travaux dureront plus de cinq ans à partir de la mi-2021.
Il y a 4 ans et 341 jours

Voix Dé(s)confiné.e.s, les webconférences de la Maison de l’architecture d’Ile-de-France

Voix Dé(s)confiné.e.s, organisées par la Maison d’architecture d’Ile-de-France, donnent la parole à différents acteurs pour se questionner sur les nouveaux modes de vie. [©Maison d’architecture d’Ile-de-France] Tous les lundis, jusqu’à la fin du mois de juin, la Maison de l’architecture d’Ile-de-France propose une série de webconférences. Voix Dé(s)confiné.e.s donnent la parole aux acteurs de la filière constructive, urbaine, paysagère, agricole. Ou encore, du monde de la recherche et de l’enseignement. Ce premier cycle s’interroge sur les conséquences de la crise et les adaptations à mettre en œuvre pour pallier les nouveaux modes de vie qu’elle a engendrés. Les webconférences sont à retrouver sur la page Facebook de la Maison de l‘architecture d’Ile-de-France à partir de 19h ou en replay sur Youtube. Les invités des Voix Dé(s)confiné.e.s : Lundi 1er juin – Nadine Roudil, sociologue et professeur à l’Ecole nationale supérieure d’architecture de Paris Val-de-Seine. Lundi 8 juin – Eric Chauvier, anthropologue, romancier et professeur à l’Ecole nationale supérieure d’architecture de Versailles. Lundi 15 juin – Ingrid Taillandier, architecte et professeur à l’Ecole nationale supérieure de Versailles. Lundi 22 juin – Matthieu Poitevin, architecte et professeur à l’Ecole nationale supérieure de Marseille. Lundi 29 juin – Olivier Launay, directeur général d’Habitat et Humanisme Ile-de-France.
Il y a 4 ans et 341 jours

Une pompe alimentée par l'énergie solaire pour l'approvisionnement en eau des régions éloignées

Vers les grandes tendances d'avenirLa demande en eau augmente dans le monde entier et le changement climatique impacte principalement les réserves d'eau douce. Pour faire face à la croissance démographique continue, l'urbanisation galopante, les besoins croissants de l'agriculture et l'augmentation de la pollution de l'eau nécessitent des solutions rapides et fiables. Dans de nombreux pays, les sécheresses et les pénuries d'eau font souffrir les populations touchées et constituent une menace pour l'agriculture.« L'eau souterraine est une importante source d'approvisionnement en eau. Elle peut être pompée dans des puits à l'aide de pompes immergées », déclare Roman Zielinski, chef de produits chez Wilo. « Toutefois, dans les zones éloignées, une alimentation électrique stable est habituellement rare car il n'y a souvent pas de réseau électrique ou alors très instable. Nous avons adapté une méthode alternative nous permettant de produire l'énergie localement de manière fiable et de l'utiliser pour l'approvisionnement en eau. ». La Wilo-Actun OPTI-MS est une pompe alimentée en électricité à partir de l'énergie solaire, gratuitement et facilement accessible sans nécessité d'infrastructures telles que des câbles électriques ou de routes pour le transport de combustibles.L'approvisionnement en eau autonome dans les régions éloignéesLa Wilo-Actun OPTI-MS est conçue pour être utilisée en combinaison avec des installations photovoltaïques afin de former un système d'approvisionnement en eau autonome. Elle convient pour l'irrigation agricole et l'élevage. Le convertisseur de fréquence intégré rend possible à la fois l'utilisation de l'énergie solaire et le raccordement à une alimentation secteur en courant alternatif. Cette dernière peut être considérée comme une « solution de secours » lorsqu'il n'y a pas d'énergie solaire mais que l'eau doit continuer à être pompée pendant une durée limitée en cas de besoin exceptionnel. L'Actun OPTI-MS garantit un débit d'eau optimal grâce à ses rendements moteur et hydraulique élevés et à un algorithme MPPT (Maximum Power Point Tracking) dynamique : « La quantité d'énergie que le panneau solaire peut fournir dépend du soleil - le potentiel de performance respectif dépend de l'emplacement, de l'heure et de la météo », explique Roman Zielinski. « Le microprocesseur intégré calcule le rapport optimal entre le courant électrique et la tension en utilisant l'algorithme MPPT, afin de demander la plus grande quantité d'énergie. Le résultat obtenu offre une vitesse plus élevée et donc une plus grande quantité d'eau pompée. »Fonctionnement de la pompe par commande à distanceLe système de pompe requis, y compris la configuration du panneau solaire, peut être déterminé à l'aide d'un logiciel de configuration en ligne sophistiqué. Le logiciel peut fournir des prévisions précises concernant le débit d'eau moyen attendu en fonction des informations relatives à l'emplacement, la durée de fonctionnement et l'installation. Cela permet d'éviter le surdimensionnement et de réduire les coûts associés. L'Actun OPTI-MS peut être surveillée et commandée à distance par une application. « Ainsi, le fonctionnement de la pompe peut même être contrôlé sur de grandes distances à l'aide d'un smartphone. Si, par exemple, je décide que mon champ de céréales ne doit pas être irrigué aujourd'hui, je n'ai pas besoin de me rendre à la station de pompage pour modifier les réglages », déclare le chef de produit. « Si quelque chose change dans l'état de fonctionnement de la pompe, un message est envoyé sur le smartphone de l'opérateur afin que les contre-mesures correspondantes puissent être déclenchées. »L'utilisation de matériaux de grande qualité garantit une longue durée de vie de la pompe immergée. Tous les composants essentiels, tels que le carter moteur, les roues et les aubes directrices des pompes sont entièrement fabriqués en acier inoxydable. Le moteur encapsulé et le convertisseur de fréquence scellé avec de la résine soulignent le fait que Wilo a également mis l'accent sur la durabilité lors de la conception. Les fonctions de protection intégrées à la pompe lui évitent tous dommages dus au fonctionnement à sec, aux températures excessives et aux variations irrégulières des paramètres électriques. Le convertisseur de fréquence intégré étant déjà parfaitement adapté au système, aucun paramétrage complexe n'est nécessaire. L'installation électrique se limite donc au raccordement de la pompe et du système solaire.
Il y a 4 ans et 341 jours

Le nouveau pont de Gênes signé Piano, mis en service cet été

Décernée depuis 1983, le prix de l'Equerre d’argent a pour objectif de faire connaître le meilleur de la production architecturale réalisée sur le territoire français. Participez à la 38e édition en proposant votre réalisation avant le 11 septembre 2020 à minuit.   Qui succèdera à la […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 342 jours

Les entreprises vont payer 15% du chômage partiel à partir de juin

Dans un communiqué lundi soir, le ministère du Travail a annoncé que la prise en charge de l'activité partielle par l'État et l'Unédic passerait de 100 à 85% de l'indemnité versée au salarié, dans la limite inchangée de 4,5 Smic.Si les organisations d'employeurs avaient réclamé le maintien à 100% pendant l'été, elles pourraient cependant se satisfaire de cette évolution présentée comme "raisonnable" lundi matin par le ministre de l'Économie Bruno Le Maire, d'autant que le communiqué ne parle pas de réductions ultérieures.Cette modification ne change rien pour le salarié qui continuera lui à percevoir 70% de sa rémunération brute (soit 84% du net et davantage si l'entreprise complète) et au minimum le Smic net.La mesure sera mise en œuvre par décret, après l'adoption d'un projet de loi en cours d'examen au Parlement qui permettra notamment une modulation du dispositif selon les secteurs d'activité.Les secteurs "faisant l'objet de restrictions législatives ou réglementaires particulières en raison de la crise sanitaire", comme le tourisme, la culture ou la restauration, continueront à bénéficier d'une prise en charge à 100%.Cela permet "d'encourager la reprise d'activité dans les secteurs qui ne subissent plus de contraintes à la reprise, tout en préservant les secteurs qui demeurent fermés ou très impactés", juge le ministère."Nous avions plaidé pour un chômage partiel au moins jusqu'à la rentrée car les entreprises n'auront pas retrouvé une activité normale d'ici là", a rappelé le Medef lundi soir dans réaction écrite adressée à l'AFP.Pour le mouvement patronal, "l'important, c'est que le chômage partiel ne se transforme pas en chômage tout court, donc il faut sortir du champ de la dégressivité les secteurs connexes aux secteurs fermés. Nous attendons les propositions du gouvernement sur ce point".La nouvelle d'une moindre prise en charge du chômage partiel par la puissance publique était guettée depuis plusieurs jours, car le gouvernement a fait du recours massif à ce dispositif la clé de voûte de sa politique pour éviter les licenciements dans la foulée du confinement.Dans ce but, il avait adopté "le régime le plus protecteur d'Europe" selon la ministre du Travail Muriel Pénicaud, avec cette prise en charge intégrale et élargie à quasiment toutes les catégories de salariés, ce qui avait été salué par patronat et syndicats.Un dispositif massivement utiliséSelon une estimation du ministère, environ 8,6 millions de salariés auraient été ainsi effectivement placés en avril en activité partielle.Conséquence de ce choix, la France a pour l'instant connu peu de licenciements, les réductions d'effectifs passant essentiellement par le non-renouvellement de CDD et de missions d'intérim.Mais, avec le déconfinement, le gouvernement jugeait que ce remboursement intégral aux employeurs pouvait freiner la reprise en incitant les employeurs à ne pas reprendre leur activité tant que celle-ci ne serait pas jugée assez rentable.En outre, le coût du dispositif, réparti entre deux tiers pour l'État et un tiers pour l'Unédic, devenait colossal: il a été évalué à 24 milliards d'euros sur trois mois, de mars à mai.Avec aussi une fraude semble-t-il plus importante que prévu, poussant le gouvernement à annoncer un renforcement des contrôles. Selon une enquête réalisée auprès de représentants de salariés par le cabinet Technologia, "24% des employés en chômage partiel total auraient été amenés à poursuivre leur activité à la demande de l'employeur".En face, le patronat jugeait une modification du dispositif prématurée au vu de la fragilité des entreprises."Commencer à diminuer le niveau de prise en charge le 1er juin serait une erreur majeure parce que les entreprises tourneront encore à un rythme faible", avait averti le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux.En cas de réduction de la prise en charge, "il faudra s'attendre, c'est inévitable, à ce que les entreprises commencent à licencier économiquement", avait mis en garde de son côté François Asselin, président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME).
Il y a 4 ans et 342 jours

Guerre ouverte entre notaires et agents immobiliers

Le Conseil supérieur du notariat (CSN), l'instance qui représente les notaires au niveau national, a annoncé lundi qu'il attaquait en justice la Fnaim, première organisation d'agents immobiliers en France.En cause? Une question d'image. La Fnaim propose aux agents d'afficher dans leur boutique un logo qui doit témoigner de leur statut officiel. Le notariat l'accuse d'avoir copié la plaque affichée par les notaires à l'entrée de leur office.Les images sont proches en effet, et mettent chacune en scène une figure féminine, même s'il s'agit d'une personnification de la République dans le cas des notaires et d'une déesse romaine, Vesta, du côté des agents.C'est la voie vers des "pratiques commerciales trompeuses", selon le notariat qui met en garde, dans un communiqué, contre un risque de "confusion" entre deux professions au coeur de l'immobilier.Les agents servent d'intermédiaires entre vendeurs et acheteurs, tandis que les notaires jouent un rôle crucial en authentifiant les transactions.Le client risque-t-il de confondre un agent, activité à but purement lucratif, et un notaire, en partie garant d'un service public?"Il n'en est rien", assure à l'AFP Jean-Marc Torrollion, président de la Fnaim, revendiquant un logo "très clairement différent".Cette action en justice témoigne "d'une très grande fébrilité" du notariat, contre-attaque-t-il. "Quand on en est réduit à ça, on a quand même un petit problème existentiel. Que craignent-ils? Leur légitimité ne vient pas de leur logo.""C'est une profession qui est aujourd'hui sur la défensive", avance-t-il, accusant le notariat de ne pas avoir "su gérer correctement la période du confinement"."Indigne"Car le conflit est plus profond qu'une querelle de logo: les deux organisations sont en guerre plus ou moins ouverte depuis le début du confinement décrété mi-mars en France contre la propagation du coronavirus.Dès les premiers jours, la Fnaim a reproché aux notaires d'être nombreux à fermer leurs études et à ne plus authentifier les opérations immobilières, étape essentielle pour les mener à bien et permettre aux professionnels d'être payés.Le gouvernement a tenté de résoudre le conflit en servant d'intermédiaire. Rapidement, il a pris un décret pour faciliter la signature virtuelle de documents auprès de notaires.Mais la mesure, difficile à généraliser techniquement, n'a guère débloqué la situation.Elle n'a pas non plus empêché le notariat de s'attaquer à son tour publiquement à la Fnaim début avril, reprochant à celle-ci des "chiffres fantaisistes et trompeurs" sur le nombre de projets immobiliers bloqués.Le président du CSN, Jean-François Humbert, accusait au passage la Fnaim de ne représenter qu'une "petite partie des agences". Le monde des agents n'a, certes, pas présenté un front uni: une autre organisation, la SNPI, s'est désolidarisée de la Fnaim qui revendique quelque 12.000 adhérents.Depuis, les deux professions n'ont guère donné de signe de rapprochement malgré certaines initiatives locales, comme en Île-de-France où agents et notaires, ainsi qu'architectes et promoteurs immobiliers, se sont réunis début mai pour proposer des solutions communes à la crise économique.Alors même que le confinement est levé depuis deux semaines et que les acteurs du marché immobilier font état d'une reprise de l'activité, l'action en justice du notariat laisse difficilement entrevoir une accalmie.M. Torrollion a une attitude "indigne", passant du "dénigrement pendant la crise" à la "copie trompeuse", accusait encore lundi sur Twitter M. Humbert, en appelant au ministre du Logement, Julien Denormandie.Interrogé par l'AFP sur le conflit, le ministère n'a pas répondu dans l'immédiat.