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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Energie

(18127 résultats)
Il y a 2 ans et 193 jours

Une étude dévoile l'impact de l’éolien terrestre en France

En se substituant au nucléaire et aux énergies fossiles, l’éolien terrestre a créé 1,1 Md€ de valeur ajoutée nette en 2021 et plus de 17.900 emplois nets sur dix ans. La valeur ajoutée directe et indirecte nette créée par le développement de la filière s’élève à 570 M€ en 2021, à laquelle s’ajoutent 568 M€ de valeur ajoutée créée par les effets d’entraînement sur le reste de l’économie. Le développement de la filière éolienne a également permis la création de presque 10.700 emplois directs et indirects entre 2012 et 2021. Les effets en chaîne ont permis de créer 7.200 emplois supplémentaires sur la période. Ces emplois et cette valeur ajoutée sont présents dans l’économie en 2021 et se sont déployés depuis dix ans.L’évaluation de l’impact économique net du développement de la filière éolienne sur les dix dernières années nécessite de prendre en compte les effets de substitution. La hausse de la production éolienne s’est réalisée au détriment d’autres sources d’électricité et l’impact économique de l’éolien doit intégrer ces effets de substitution. En outre, la perte de valeur dans les énergies substituées est différente lorsque la baisse repose sur des fermetures de centrales ou sur une baisse du facteur de charge de centrales toujours en activité. Asterès estime que depuis dix ans, 63% de la production éolienne supplémentaire s’est substituée à du nucléaire, dont 23% à la fermeture de Fessenheim, 27% s’est substituée au charbon, dont 27% à des fermetures de centrales, et 10% s’est substituée au fioul, dont 9% à des fermetures de centrales.Le développement de la filière éolienne a créé 889 M€ de valeur ajoutée directe et indirecte en France et plus de 16.000 emplois. En parallèle, 318 M€ de valeur ajoutée et 5.500 emplois ont été perdus dans les autres filières par effet de substitution. L’estimation de la valeur ajoutée directe et indirecte logée en France distingue trois cas de figure : l’installation d’éoliennes, la fermeture de centrales existantes et la baisse de charge des centrales qui restent ouvertes. Pour chaque source d’énergie électrique concernée (éolienne, nucléaire, charbon, fioul), des études et des données publiques permettent d’évaluer la part de valeur ajoutée directe et indirecte en France rapportée à l’investissement, au coût total d’exploitation ou aux coûts variables. Pour l’éolien, le taux de valeur ajoutée directe et indirecte en France s’élève à 36% de l’investissement et 66% des coûts pour la phase exploitation. Pour le nucléaire, la valeur ajoutée directe et indirecte représente 84% des coûts d’exploitation, utilisés comme référence pour les fermetures de centrales, et 67% des coûts variables, utilisés comme référence pour les baisses de facteur de charge. Ces mêmes indicateurs sont à 60% et 14% pour le charbon et à 60% et 9% pour le fioul. Ces taux de valeur ajoutée permettent d’évaluer un montant de valeur créée ou détruite en France et un nombre d’emplois créés ou perdus en France pour chaque énergie.Les effets d’entraînement nets du déploiement de l’éolien en France se chiffrent à 568 M€ en 2021 et plus de 7.200 emplois sur dix ans. La valeur ajoutée directe et indirecte nette logée en France implique des commandes auprès de fournisseurs et des consommations par les salariés. Ces deux stimuli créent des effets d’entraînement dans l’économie chiffrés grâce au Modèle d’Impact d’Asterès (MIA) qui permet de suivre l’ensemble des flux économiques générés par une entreprise ou un secteur.À horizon 2030, l’impact économique du développement de la filière éolienne devrait être à nouveau positif, à hauteur de 1,1 Md€ de valeur ajoutée nette et de 17.500 emplois. La méthode suivie pour évaluer l’impact économique du déploiement de l’éolien depuis dix ans peut être utilisée pour se projeter à 2030. La principale différence repose sur le coût futur de l’éolien, en baisse, et sur le type de substitution. En effet, d’ici 2030, une partie non-négligeable de l’électricité produite en plus sera de la création nette quand une partie se substituera au gaz et une autre à la consommation directe d’essence et de fioul (en plus des classiques nucléaire et électricité à base de fioul et de charbon comme pour la période 2012 – 2021). Dans le détail, le développement futur de la filière éolienne devrait créer 472 M€ de valeur ajoutée directe et indirecte nette pour l’économie française en 2030. Ces effets directs et indirects devraient eux-mêmes entraîner la création de 599 M€ de valeur ajoutée supplémentaire via les effets d’entraînement. La croissance de la filière éolienne devrait ainsi permettre de créer presque 9.900 emplois directs et indirects et plus de 7.500 emplois supplémentaires par effet d’entraînement entre 2021 et 2030, soit approximativement 17.500 emplois au total.Le cabinet ASTERES a été mandaté par CGN Europe Energy pour travailler sur l’impact économique de l’éolien en France. Les économistes d’ASTERES ont bénéficié d’une totale indépendance dans la conduite de cette étude. Les sources de l’ensemble des données utilisées sont disponibles dans l’étude.
Il y a 2 ans et 193 jours

Energie solaire : Saint-Gobain signe un contrat avec TotalEnergies en Amérique du Nord

ENERGIE. Le géant de matériaux de construction, Saint-Gobain, a annoncé avoir signé un contrat avec TotalEnergies pour lui acheter de l'énergie solaire visant à approvisionner ses usines en Amérique du Nord.
Il y a 2 ans et 193 jours

Accord des 27 membres de l'UE pour doper la rénovation énergétique alors que Paris et Berlin souhaitent un texte plus ambitieux

Alors que la position des Etats membres, adoptée à la majorité qualifiée au Luxembourg par les ministres de l'Energie, fera désormais l'objet de négociations avec le Parlement européen, les pays déçus misent sur ces futures discussions pour muscler les exigences du projet.Basé sur une proposition législative de la Commission européenne, le texte adopté mardi vise à ce qu'à partir de 2030, tous les bâtiments neufs soient neutres en carbone (dès 2028 pour les bâtiments publics), grâce à une consommation modérée et en étant alimentés et chauffés par des énergies décarbonées.Les bâtiments existants, eux, devraient être transformés pour devenir à zéro émission d'ici 2050. Des normes minimales de performance énergétique (avec un seuil maximal de consommation annuelle d'énergie primaire par m2) seraient introduites afin d'encourager les rénovations.Des exceptions sont ménagées pour les bâtiments historiques, religieux ou militaires.Selon le texte, chaque pays devrait se fixer des objectifs intermédiaires entre 2025 et 2050 pour la réduction de la consommation moyenne d'énergie primaire dans l'ensemble de son parc immobilier résidentiel, avec l'idée que celle-ci "soit au moins équivalente au niveau de la classe de performance énergétique D d'ici 2033".Les États devraient publier des plans nationaux détaillant leurs objectifs aux horizons 2030, 2040 et 2050 concernant le taux annuel de rénovation énergétique et la consommation d'énergie totale du parc immobilier.Et d'ici 2029, tous les bâtiments neufs devraient être conçus "de manière à optimiser leur potentiel de production d'énergie solaire" sur leurs toits et façades.Ce texte est un élément-clé du plan climat européen: les bâtiments représentent dans l'UE 40% de la consommation d'énergie et 36% des émissions de gaz à effet de serre directes et indirectes liées à l'énergie.Dans une déclaration commune, six pays (France, Belgique, Allemagne, Irlande, Luxembourg, Pays-Bas) ont jugé que "les ambitions pour les standards minimaux de performance énergétique devaient être relevés substantiellement" et réclamé des objectifs intermédiaires constituant une "trajectoire linéaire" vers 2050.Faute d'avoir convaincu les autres Etats, ils comptent sur les négociations, courant 2023, avec les eurodéputés pour "renforcer l'ambition" du projet."Compte tenu de normes minimales de performance différentes dans chaque pays, le texte est amené à repousser les premières étapes contraignantes à 2040: c'est dangereux, ça nous met en risque par rapport à nos objectifs climatiques", a plaidé la ministre française de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher.
Il y a 2 ans et 193 jours

Accord des 27 états membres de l'UE pour doper la rénovation énergétique malgré des réticences de Paris et Berlin

Alors que la position des Etats membres, adoptée à la majorité qualifiée au Luxembourg par les ministres de l'Energie, fera désormais l'objet de négociations avec le Parlement européen, les pays déçus misent sur ces futures discussions pour muscler les exigences du projet.Basé sur une proposition législative de la Commission européenne, le texte adopté mardi vise à ce qu'à partir de 2030, tous les bâtiments neufs soient neutres en carbone (dès 2028 pour les bâtiments publics), grâce à une consommation modérée et en étant alimentés et chauffés par des énergies décarbonées.Les bâtiments existants, eux, devraient être transformés pour devenir à zéro émission d'ici 2050. Des normes minimales de performance énergétique (avec un seuil maximal de consommation annuelle d'énergie primaire par m2) seraient introduites afin d'encourager les rénovations.Des exceptions sont ménagées pour les bâtiments historiques, religieux ou militaires.Selon le texte, chaque pays devrait se fixer des objectifs intermédiaires entre 2025 et 2050 pour la réduction de la consommation moyenne d'énergie primaire dans l'ensemble de son parc immobilier résidentiel --avec l'idée que celle-ci "soit au moins équivalente au niveau de la classe de performance énergétique D d'ici 2033".Les Etats devraient publier des plans nationaux détaillant leurs objectifs aux horizons 2030, 2040 et 2050 concernant le taux annuel de rénovation énergétique et la consommation d'énergie totale du parc immobilier.Et d'ici 2029, tous les bâtiments neufs devraient être conçus "de manière à optimiser leur potentiel de production d'énergie solaire" sur leurs toits et façades.Ce texte est un élément-clé du plan climat européen: les bâtiments représentent dans l'UE 40% de la consommation d'énergie et 36% des émissions de gaz à effet de serre directes et indirectes liées à l'énergie.Dans une déclaration commune, six pays (France, Belgique, Allemagne, Irlande, Luxembourg, Pays-Bas) ont jugé que "les ambitions pour les standards minimaux de performance énergétique devaient être relevés substantiellement" et réclamé des objectifs intermédiaires constituant une "trajectoire linéaire" vers 2050.Faute d'avoir convaincu les autres Etats, ils comptent sur les négociations, courant 2023, avec les eurodéputés pour "renforcer l'ambition" du projet."Compte tenu de normes minimales de performance différentes dans chaque pays, le texte est amené à repousser les premières étapes contraignantes à 2040: c'est dangereux, ça nous met en risque par rapport à nos objectifs climatiques", a plaidé la ministre française de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher.
Il y a 2 ans et 193 jours

EDILIANS dévoile son Simulateur Solaire

Dans un contexte d’envolée des prix de l’énergie, le recours aux solutions solaires va s’imposer de plus en plus comme la meilleure alternative auprès des particuliers pour réduire leur facture d’électricité. Aussi, EDILIANS a souhaité accompagner ses artisans couvreurs pour les aider à proposer cette prestation dans le cadre d’une rénovation de toiture. C’est la raison […]
Il y a 2 ans et 193 jours

CLAREO lance SENSOR : la solution de Smart Lighting qui permet de faire plus de 45 % d’économies d’énergie simplement !

Aujourd’hui, les économies d’énergie deviennent un élément essentiel dans la rénovation et la construction de nouveaux bâtiments. Le Smart Lighting est la solution optimale pour répondre à ces enjeux.CLAREO a développé la solution SENSOR, une gamme complète de luminaires dotés d’une technologie innovante, simple à installer et à utiliser. « La solution SENSOR permet de faire rapidement […]
Il y a 2 ans et 193 jours

Construction d’un parc photovoltaïque sur une ancienne carrière

 VSB énergies nouvelles lance la construction de la centrale « Soleil de Balsac »  Nîmes le 17 octobre 2022  A l’occasion de sa participation au salon SIM, à Marseille du 19 au 21 octobre, VSB énergies nouvelles, producteur indépendant d’électricité à partir d’énergies renouvelables, a annoncé le lancement de la construction d’une nouvelle centrale photovoltaïque […]
Il y a 2 ans et 193 jours

ECONOMIES D’ÉNERGIE : JUSQU’À 43% D’ISOLATION THERMIQUE SUPPLÉMENTAIRE AVEC LES FILMS GLASTINT

Les fenêtres provoquent d’importantes déperditions thermiques dans les habitations et les bâtiments. Des vitrages bien isolés par des films Glastint permettent de conserver 43% de la chaleur à l’intérieur de la pièce et de réaliser d’importantes économies de chauffage (environ 15%). Zoom sur les solutions films de Glastint, leader français de la pose de films […]
Il y a 2 ans et 193 jours

Brico Dépôt propose de financer l’audit énergétique de ses clients

Première enseigne de bricolage à financer l’audit énergétiqueOutil de diagnostic indispensable, réalisé par un professionnel qualifié, l’audit énergétique établit des préconisations de travaux afin d’améliorer significativement l’efficacité énergétique d’un logement. A partir du 1er avril 2023, cet audit devient obligatoire en cas de vente d’un logement dont le diagnostic de performance énergétique (DPE) est de classe F ou G. Et pour que le coût de cet audit ne soit pas un frein pour les Français [1], Brico Dépôt finance à 100% celui-ci pour ses clients encartés [2] dès lors qu’ils réalisent des travaux de rénovation énergétique avec Ynergie, partenaire de l’enseigne et délégataire CEE [3].C’est une grande nouveauté dans le secteur puisque l’enseigne est la première à proposer cette offre qui débute le 24 octobre prochain sur tout le territoire national et se prolongera jusqu’à fin janvier 2023. Dans le cadre des travaux réalisés avec Ynergie, le client bénéficie d’un accompagnement, tout au long de son projet, de la phase de conseils jusqu’à la réception des travaux, en passant par le financement, le calcul des aides (l’audit étant éligible à Ma Prime Rénov’), le pilotage ou encore la maitrise des dépenses.Pour Peggy Sadier, Directrice E-Commerce et Expérience Clients de Brico Dépôt : « Avec les équipes, nous avons constaté que de nombreux clients n’osaient pas se lancer dans leur projet, faute de connaissance, d’assistance et de conseil. Avec Ynergie, nous avons pensé ce service comme un véritable facilitateur de travaux. Notre ADN repose sur la simplicité, la qualité et l’accessibilité de nos produits, et c’est ce que nous avons voulu retranscrire avec le financement de l’audit énergétique : faire de la rénovation énergétique de son logement une expérience à la fois simple, humaine et performante. »Le financement intégral de l’audit énergétique s’inscrit dans le cadre d’un dispositif plus global d’actions déjà déployées par Brico Dépôt en faveur de la rénovation énergétique. L’enseigne propose depuis toujours des produits d’isolation, de chauffage, de menuiserie, d’outillage, etc. qui permettent de réaliser des économies d’énergie. Afin de continuer à proposer les prix les plus compétitifs du marché, l’enseigne a anticipé, avant l’été, des arrivages spéciaux liés à la rénovation énergétique (Chauffages, isolants en laine de verre, poêle à bois/granulés, fenêtres...). Ces opérations promotionnelles permettent aux Français d’anticiper leurs achats et de réaliser une double économie :À la caisse : avec des prix bas ;À l’investissement : avec des produits qui permettent de faire des économies d’énergie.[1] En fonction des revenus, l’audit énergétique peut coûter jusqu’à 600 €[2] La carte de fidélité de Brico Dépôt est gratuite[3] Certificats d'économies d'énergieBrico Dépôt, l’atout anti-crise pour le pouvoir d’achat des FrançaisLe contexte actuel de tensions sur le pouvoir d’achat rend l’accompagnement de Brico Dépôt encore plus pertinent reposant sur la force d’un modèle éprouvé : des produits essentiels à des prix bas et en quantité « chantier » sans compromis sur la qualité, des marques propres exclusives et une dynamique commerciale avec notamment des arrivages. Aujourd’hui, l’enseigne accélère sa modernisation au service de l’expérience client, en capitalisant sur des équipes expertes et engagées, au siège comme en dépôt.Pour Laurent Vittoz, Directeur d’enseigne de Brico Dépôt : « J’ai la conviction que c’est dans les situations de tension économique, comme celle que nous traversons actuellement, que notre positionnement de discounter peut encore plus faire la différence pour nos clients. Pour Brico Dépôt, garantir des prix compétitifs, ce n’est pas seulement un slogan, c’est avant tout un contrat de confiance entre l’enseigne et ses clients. Et nous sommes déterminés à tenir nos promesses en proposant des actions concrètes comme le financement de l’audit énergétique ou bien le remboursement de deux fois la différence si nos clients trouvent moins cher ailleurs. »
Il y a 2 ans et 193 jours

Regards croisés : les réseaux de chaleur, une solution vertueuse à adopter de toute urgence !

Tribune de Thomas Menuet, chef de projet chez CertiNergy & Solutions et Nicolas Bessagnet, directeur commercial de la CPCU (Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain) Les réseaux de chaleur urbains sont aujourd’hui des solutions de chauffage particulièrement efficaces. Grâce à une production centralisée, ils desservent plusieurs usagers (bâtiments publics, logements collectifs, locaux tertiaires…) en énergie. Aujourd’hui, […]
Il y a 2 ans et 193 jours

ENQUÊTE – Crises climatique, démographique et énergétique : Comment chaque pays redéfinit ses priorités pour construire la ville de demain ?

Le 26 septembre 2022 – Selon l’ONU, près de 70 % de la population mondiale vivra en ville d’ici 2050 contre 55 % aujourd’hui. Un défi à la fois architectural, économique et social qui, combiné à la crise énergétique, nécessite, dans de nombreux pays, de repenser la manière d’envisager la construction et de concevoir l’habitat […]
Il y a 2 ans et 193 jours

Le groupe Legendre s’implante en Suisse

Clement Jacob va diriger l’agence du groupe Legendre en Suisse. [@Legendre] Le groupe Legendre continue son internationalisation. Après la Grande-Bretagne, l’île de Jersey et le Portugal, c’est en Suisse que le groupe s’implante. Cette extension de ses activités s’inscrit dans l’objectif principal de l’entreprise. A savoir réaliser d’ici 2030 un quart de son chiffre d’affaires à l’étranger. « La Suisse est un pays qui dispose de vrais atouts tels que sa compétitivité, son esprit d’entrepreneuriat ou son multiculturalisme. Ajoutés au fait que ce pays est géographiquement proche de nos terres, c’est tout cela qui nous a convaincu de nous y implanter », explique Olivier Roualec, directeur général du groupe Legendre. Clément Jacob prend la direction de cette nouvelle agence. Une internationalisation pour une croissance plus rapide  C’est à Londres que Legendre a commencé son internationalisation. En 2015, le groupe a réhabilité la Parker Tower pour BNP Parias Real Estate. EN 2022, l’agence londonienne, qui compte 32 collaborateurs, a effectué la réhabilitation de la Shelley House, un bâtiment de 11 étages.  En 2017, Legendre a étendu ses activités à l’île de Jersey. L’entreprise y construit actuellement un complexe immobilier de 280 appartements. En 2023, le groupe devrait également livrer des espaces de bureaux et d’autres commerciaux. En 2019, Legendre s’est installé au Portugal. Le groupe a mis en place des missions avec ses trois secteurs d’activités. Un programme de logements et services a déjà été livré et une résidence de 43 appartements est en cours de construction à Lisbonne. Legendre Energie a aussi mis en service une centrale solaire près de Porto. 
Il y a 2 ans et 193 jours

Face à la crise énergétique, France Chaleur Urbaine présente une solution économique et écologique pour tous les ménages français

Pour Elisabeth Borne, Première Ministre : « Nous vivons une période de bascules. La guerre en Ukraine bouscule l’ordre international et nous n’avons pas fini d’en mesurer les conséquences. La crise énergétique nous pousse à revoir nos habitudes et à accélérer pour sortir, plus vite, de la dépendance aux énergies carbonées. »France Chaleur Urbaine contribue à cet objectif en facilitant le raccordement des bâtiments aux réseaux de chaleur. Alimentés par des sources d’énergies renouvelables ou de récupération comme la géothermie, la biomasse ou la chaleur issue de l’incinération des déchets, les réseaux de chaleur offrent un mode de chauffage à la fois écologique et économique. Le raccordement aux réseaux de chaleur est particulièrement adapté pour des bâtiments actuellement chauffés au gaz ou au fioul collectif, et représente une excellente option pour sortir des énergies fossiles.La plupart des métropoles françaises disposent de cette possibilité de raccordement. Entièrement financé par l’Etat, France Chaleur Urbaine se porte en tiers de confiance entre les copropriétaires ou les acteurs du secteur tertiaire souhaitant adopter ce mode de chauffage, et les gestionnaires de réseaux de chaleur pouvant offrir ce raccordement.Aujourd'hui, 2,4 millions d’équivalent-logements sont déjà raccordés et environ 5,6 millions de tonnes de CO2 sont évitées chaque année grâce à l’utilisation de ces réseaux de chaleur.Le raccordement aux réseaux de chaleur, mis en avant dans le plan de sobriété énergétique du gouvernement, est soutenu par des aides financières importantes, au titre du nouveau Coup de pouce chauffage des bâtiments résidentiels collectifs et tertiaires. Le reste à charge moyen pour le raccordement d’une copropriété est estimé à 250 € par logement seulement ! Le coût de la chaleur est également compétitif, avec un taux de TVA réduit à 5,5% (le plus bas du marché), et des prix plus stables que ceux des énergies fossiles.Se raccorder à un réseau de chaleur, c’est ainsi diminuer ses émissions de gaz à effet de serre et maîtriser son budget de chauffage, qui aujourd’hui explose tous les records.
Il y a 2 ans et 193 jours

Oise : Les travaux dans le parc automobile d’Avrigny ont pris fin.

La ville d’Avrigny (Oise) dispose d’une nouvelle centrale...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 193 jours

Kiloutou teste Ellectramobilys, un camion-benne 100% électrique

À l’occasion du Mondial de l’Automobile 2022, Ellectramobilys présente sa solution Muses dans sa version camion-benne, actuellement testée par Kiloutou.Au sein du parc de matériel de location actuel de Kiloutou, les camion-bennes sont les engins les plus émetteurs de CO2. Kiloutou explore ainsi des solutions qui pourraient réduire leur impact. Muses d’Ellectramobilys est un véhicule utilitaire à motorisation électrique qui pourrait répondre à cette problématique, notamment rencontrée par les majors du BTP, les artisans, collectivités ou même particuliers opérant déplacements et chargements de matériels et matériaux légers en zones urbaines.Muses, un véhicule électrique agile et performant qui ouvre un champ prometteur de co-développement avec KiloutouLe véhicule Muses dispose d’une autonomie allant de 138 à 260 km selon la puissance de batterie utilisée et d’une charge utile de 670 kg. Son format compact et son faible niveau d’émissions sonores (75 dB) en font un véhicule performant et agile.Le modèle testé par Kiloutou possède, à ce stade, de nombreux atouts dont :une benne triverse (un service complet, autorisant indifféremment les déchargements par l’arrière, par la droite ou la gauche),un seuil de chargement très bas ainsi qu’un poste de conduite central qui en fait aussi un allié de prévention et de sécurité pour ses utilisateurs.Sa très grande modularité ouvre aussi un terrain de co-développement en matière de carrosserie ou de solution de recharge, des perfectionnements aussi intéressants qu’indispensables pour Kiloutou dont l’objectif est d’accélérer le développement d’une solution particulièrement adaptée aux besoins de ses clients.Ellectramobilys, un fournisseur qui va au-delà de la charte fournisseur responsable définie par KiloutouKiloutou a fait le choix de se rapprocher d’Ellectramobilys pour la qualité de sa solution, notamment sur le plan environnemental : sa conception innovante avec 40% de matière en moins nécessaire à sa fabrication, dont deux fois moins de matière (lithium, cobalt et manganèse) dans sa batterie, réduit considérablement son impact sur les ressources naturelles en comparaison avec un véhicule électrique concurrent. Il en va de même de sa consommation d’énergie en utilisation, divisée par deux par rapport aux autres véhicules utilitaires électriques. Le véhicule Muses est un levier de réduction de l’impact environnemental des chantiers et interventions urbaines.Enfin, Muses est actuellement assemblé en France et sera intégralement produit à partir de 2023 en France.Pour Audrey Miclard, Directrice Développement Durable de Kiloutou : « Notre accélération en R&D s’appuie notamment sur le développement de collaborations étroites avec de nouveaux acteurs engagés comme Ellectramobilys, dont les solutions prometteuses peuvent être testées au sein de notre Centre d’Essai. Parmi les nombreux atouts de Muses, il y a la possibilité de remplacer une batterie vide par une batterie chargée en moins de 3 minutes. Cela favorise la recharge longue, moins gourmande en énergie et protectrice des batteries, sans interrompre l’utilisation du matériel. Ces simplifications d’utilisation sont des points-clés de nos ambitions en matière de R&D. Nous innovons au service de nos clients et pour une filière des matériels durables. »Pour Damien Biro, Président de Muses Europe : « Aujourd’hui, nous présentons un véhicule dédié à un usage utilitaire bien spécifique, qui maîtrise à la fois la masse, l’équation économique et l’équation environnementale. Nous sommes ravis de pouvoir co-développer cette solution avec un acteur comme Kiloutou, aussi engagé pour l'environnement et au réseau solide. »
Il y a 2 ans et 194 jours

Le gouvernement veut interdire la location des "passoires thermiques" sur Airbnb

"Il est hors de question que les propriétaires de +passoires thermiques+ se réfugient [sur Airbnb]", a martelé le ministre sur BFM Business.En vertu de la loi Climat et résilience de 2021, les biens notés F et G en diagnostic de performance énergétique (DPE) seront progressivement interdits à la location à partir de janvier 2023. Cette interdiction ne devait toutefois pas s'appliquer aux biens destinés à la location touristique."Il faut qu'on travaille pour que ce soit les mêmes règles", a indiqué M. Klein, assurant que le gouvernement "se donnera les moyens pour mettre les garde-fous nécessaires".Ce décalage était dénoncé par les professionnels de l'immobilier, qui craignaient de voir des propriétaires transformer leurs logements en locations touristiques de courte durée dans un contexte où les biens à louer se font de plus en plus rares.Selon un sondage auprès de professionnels commandé en septembre dernier par la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim), 6% des propriétaires de passoires thermiques envisageaient ainsi cette solution."Depuis des mois, nous alertons sur ce scandale (...) Message entendu par le Ministre. Tant mieux ! ", a réagi le maire adjoint de Paris en charge du logement, Ian Brossat (PCF), sur Twitter.
Il y a 2 ans et 194 jours

Les châteaux de la Loire face à l'augmentation du coût de l'énergie

A l'approche de l'hiver, le propriétaire du château de Meung-sur-Loire (Loiret) Xavier Lelevé s'inquiète pour sa facture de chauffage, gaz et électricité, qui tourne d'habitude autour de 15.000 à 20.000 euros. Mais pas cette année..."Ca va être multiplié entre cinq et dix. Ce n'est pas envisageable d'exploser le budget énergétique de cette manière", se désole-t-il.Des hausses qui, comme dans beaucoup d'entreprises, "impactent immédiatement le fonctionnement" et freinent les investissements dans la conservation. Tout comme le dialogue parfois compliqué avec les services publics du patrimoine, comme la Direction régionale des affaires culturelles (Drac).Dans une partie interdite au public de ce château classé aux Monuments historiques, Xavier Lelevé détaille les fenêtres. Certaines sont en très mauvais état et le ruban adhésif sur les boiseries n'offre qu'un rempart très limité face aux assauts du froid. Mais d'autres sont neuves. Fruits d'intenses tractations avec la Drac, elles ont été fabriquées avec un cahier des charges ultra précis pour respecter l'esthétique du bâtiment."Une fenêtre coûte à peu près 10.000 euros, on en a 148, donc vous voyez ce que le budget fenêtres peut représenter", explique-t-il.Loin des obstacles administratifs, Charles-Antoine de Vibraye a choisi de ne rien faire. Et tant pis si la facture grimpe, le succès du château de Cheverny (Loir-et-Cher), inspiration du Moulinsart d'Hergé, lui permet d'absorber l'augmentation du fioul, dont il consomme 30.000 à 40.000 litres par an.Le châtelain n'envisage pas non plus d'isolation: "Si vous emprisonnez la chaleur, vous faites du bien aux champignons potentiels et aux insectes qui vont vous bouffer votre bois. Je crois qu'il faut limiter le chauffage au strict minimum pour ne pas contrarier ce cycle sain d'échanges thermiques à l'intérieur d'un monument."Reste que les meubles d'époque se conservent mieux dans une atmosphère contrôlée: "C'est un peu la limite de mon raisonnement. Il faut faire en sorte d'avoir une chaleur minimale. Le château est chauffé sur les deux tiers de sa superficie, mais en particulier dans les pièces visitées, avec mobilier historique.""Chauffage la nuit à 8°C"Non loin de là, Chambord allume ses cheminées. Au pied de l'escalier de Léonard de Vinci, quatre grosses bûches alimentent doucement l'âtre, seule source de chaleur pour le visiteur.Mais les bureaux, boutiques, la quarantaine de maisons du domaine, ainsi que les pavillons forestiers sont chauffés."La facture a doublé en deux ans. On est passé de 260.000 euros à plus de 600.000 dans le budget prévisionnel 2023", regrette le directeur du Domaine national Jean d'Haussonville. Sur un budget de 30 millions d'euros par an, cette somme représente l'équivalent de deux expositions temporaires et d'un festival.Pour le directeur, la montée des prix ne fait qu'accélérer "la réflexion sur les sources vertueuses d'énergie". Chambord a donc rapidement lancé deux études pour se verdir: une sur l'installation de panneaux photovoltaïques sur les toits des hangars techniques, l'autre sur la géothermie et le chauffage par biomasse, histoire de profiter de la forêt.Dès les prochains mois, le domaine entend investir dans sa forêt de 50 km2 en installant une scierie, ouvrant la possibilité à plus long terme d'utiliser son bois pour se chauffer.En attendant, le château appartenant à l'Etat tente dès aujourd'hui de réduire la facture grâce à un système informatique de gestion technique des bâtiments."C'est un logiciel qui permet par exemple d'éteindre les lumières s'il n'y a plus d'occupant dans une pièce et de réduire le chauffage la nuit à 8°C", apprécie le directeur."Nous n'avons aucun doute sur notre capacité à faire 10% de réduction d'énergie dès 2023", assure-t-il.
Il y a 2 ans et 194 jours

L’appel à contributions "programme" de la 24ème édition des Assises européennes de la transition énergétique, est lancé

Afin de coconstruire le programme général de l’édition avec les parties prenantes et d’être au plus près des enjeux actuels, les co-organisateurs de l’événement – Bordeaux Métropole, la Communauté Urbaine de Dunkerque, le Grand Genève et l’ADEME, lancent comme chaque année, un appel à contributions pour l’élaboration du programme d’ateliers. Ainsi, collectivités, scientifiques et experts de la transition écologique, acteurs économiques et associatifs sont invités à soumettre leurs projets d’ateliers avant le 18 novembre 2022 à 23 heures.Les Assises européennes de la transition énergétique: le temps fort annuel des acteurs engagées dans la transition énergétique depuis 1999Lancées en 1999 par la Communauté urbaine de Dunkerque, en partenariat avec l’ADEME, puis co-organisées par Bordeaux Métropole et le Grand Genève, les Assises européennes de la transition énergétique sont devenues au fil du temps le rendez-vous annuel des acteurs territoriaux européens engagés dans la transition énergétique. Organisées dans la continuité des temps forts gouvernementaux, notamment des sommets de l’ONU sur le Climat (COP), les Assises sont l’occasion pour les gouvernements et acteurs locaux ainsi que leurs partenaires de s’approprier de manière collective les nouveaux enjeux nationaux et internationaux et, surtout, de partager des expériences réussies et des solutions concrètes pour mettre en œuvre la transition énergétique dans les territoires. Chaque année, l’événement réunit pendant 3 jours plus de 3500 congressistes autour d’un programme de plus de 150 événements : plénières, ateliers, visites de sites, village de la transition ou encore carrefour des métiers. L’édition 2022 a réuni en mai dernier, plus de 4500 participants dans le Grand Genève sur le thème crucial de la sobriété énergétique.Comment contribuer au programme 2023 ?Les co-organisateurs appellent les acteurs engagés dans la transition énergétique des territoires à témoigner de leurs actions, de leurs expériences en matière de politique air-climat, mobilité, urbanisme, ruralité, économie circulaire, emploi, formation, nouvelles technologies, gestion des systèmes d’information, innovations sociales, coopération ou encore planification…L’objectif ? Faire des Assises européennes de la transition énergétique un véritable laboratoire de partage d’expériences, d’idées et de recherche de solutions concrètes pour réussir collectivement la transition énergétique des territoires.Ainsi, élu, chercheur, technicien, financeur, citoyen, universitaire, membre d’une association, d’une ONG ou d’une agence locale de l’énergie, entrepreneur, ingénieur, sont invités à devenir acteur de la transition énergétique et à venir jouer un rôle privilégié en mettant en valeur leurs actions, en partageant leurs projets ou en mettant en débat leurs idées.Encore plus d’ateliers, et un nouveau format proposé aux contributeurs !Le jury composé des co-organisateurs reçoit chaque année, près de 300 contributions et ne peut en choisir que 100. Pour l’édition 2023, 140 dossiers seront sélectionnés avec notamment un nouveau format d’atelier qui fait son entrée !Les ateliers CHALLENGE : Des espaces de cocréationOu comment faire travailler les autres pour résoudre son problème ! Les contributeurs invitent les congressistes à coconstruire des pistes de solutions à une question, à un problème qui est probablement partagé dans les territoires. Durée : 2 heures / Public : 30 à 35 personnes.Les ateliers SPEED DATING : la grande foire des initiatives Le format d’atelier qui a le meilleur rapport efficacité temps/passé. Le contributeur qui est porteur d’un projet déjà opérationnel et qui affiche des résultats intéressants à partager, accueille à sa table une dizaine de participants pour présenter et échanger sur son projet. Durée : 1h30 / Public : 10 personnes. Les ateliers INSPIRATION : des moments de partage d’expérience En format mini plénière et accompagné d’un animateur, le contributeur rassemble plusieurs pilotes de projets qui ont fait leur preuve et qui s’inscrivent dans la même thématique. Durée: 1h15 / Public : de 20 à 70 personnes Nouveau format 2023 : Les ateliers LUDIQUES & SERIOUS GAME : des sessions pour apprendre et se détendreLe contributeur sensibilise, informe les participants ou crée du débat sur un sujet dans un format ludique qui dynamisera son assemblée. Jeu de plateaux, jeu de rôle, quizz, one man show, l’idée est de surprendre les congressistes sur un sujet sérieux ! Durée : 1h / Public : 15 à 20 personnes Les étapes clés pour participer à la programmation des ateliers de la prochaine édition : Prendre connaissance du guide disponible sur ce lien.Construire le dossier de contributionDéposer la contribution avant le 18 novembre 2022 23h.Lien vers le dépôt des contributions.Les critères de sélections du jury : Le respect du format choisi et l’originalité de l’animation envisagéeL’originalité de la contribution (contenu)Le lien avec l’actualitéL’implication de collectivités territorialesLe potentiel de reproductibilité dans d’autres territoiresLa diversité et le profil des intervenants, notamment la présence d'élus dans les intervenants choisisLa dimension européenne
Il y a 2 ans et 194 jours

Bauma : Command Alkon pour vous servir !

Grâce à son logiciel Conactive Process, Command Alkon produit des cocktails au salon Bauma. [©ACPresse] Des glaçons, quelques bulles et voilà un soda bien frais servi sur un plateau ! Le temps de Bauma, Command Alkon se transforme en barmaid. Pour s’en convaincre, il suffit de passer sur son stand dans le hall C1 et de commander un cocktail. Sur la tablette, toutes les recettes sont enregistrées. On appuie sur l’onglet et la préparation débute instantanément… un peu comme dans une centrale à béton. Normal ! Le programme utilisé n’est autre que le logiciel de pilotage Conactive Process (ou CP) de la marque. Une solution qui marche très bien, en temps normal, pour produire des bétons !
Il y a 2 ans et 194 jours

L'exécutif envisage d'interdire la location des passoires thermiques sur Airbnb

RÉGLEMENTATION. Jusqu'ici exemptés de l'interdiction à la location qui doit s'appliquer à compter de janvier 2023 aux passoires thermiques, les biens immobiliers destinés à la location touristique et au diagnostic de performance énergétique noté F et G pourraient bien finalement connaître le même sort. Le ministre du Logement Olivier Klein s'est dit favorable à empêcher leurs propriétaires de les louer.
Il y a 2 ans et 194 jours

Cochebat dévoile les premiers chiffres 2022 pour les marchés de l'hydrodistribution et du PCRBT

Pour Remi Bertsch, Président de la commission communication de Cochebat : « Nous restons prudents quant à nos projections pour l’année 2022, dans un contexte où le marché du neuf reste tendu et où de plus en plus de promoteurs immobiliers stoppent certaines opérations pour des raisons économiques (pénuries, inflation, ...). Le contexte cumulé de 2020 et 2021 a pu entraîner une déstabilisation des marchés avec des effets de stockage et déstockage en fonction des fluctuations d’approvisionnement. »HYDRODISTRIBUTION : un marché stable pour le multicouche et baissier pour le PERLe marché du multicouche est stable. La croissance conséquente de +17,5% pour les diamètres supérieurs à 32 confirme l’utilisation croissante du multicouche en colonne montante, aussi bien dans le résidentiel collectif que dans le tertiaire.Les tubes polyoléfines enregistrent une baisse de -11% au premier semestre 2022. Pour Rémi Bertsch : « L’inflexion des indicateurs de construction et de la mise en chantier de logements individuels en décembre 2021 et janvier 2022 se ressent sur les ventes de PER, qui suivent généralement cette évolution, avec le décalage des marchés sur le second œuvre. »PLANCHER CHAUFFANT RAFRAÎCHISSANT BASSE TEMPÉRATURE : Cochebat s’inquiète de la qualité des systèmes installésLe marché du plancher chauffant rafraîchissant basse température connaît une baisse de -8,6%.Cochebat s’inquiète de la tension exercée sur les prix et la pénurie croissante des produits, qui amènent les installateurs à privilégier les achats séparés de composants des surfaces rayonnantes, au détriment du système. Or, la performance des systèmes est l’un des éléments essentiels pour satisfaire les exigences de la RE 2020 en matière de consommation d’énergie. Pour répondre à ces exigences, la marque CERTITHERM de COCHEBAT valide des systèmes complets et performants.
Il y a 2 ans et 195 jours

Dynaco augmente l'efficacité des entrepôts frigorifiques avec la porte M2 Freezer

Octobre 2022 - Dans l'industrie agro-alimentaire, le stockage réfrigéré est souvent une nécessité. Dynaco propose une solution adaptée avec la porte rapide M2 Freezer. Elle permet un accès rapide à la chambre froide et minimise les fluctuations de température. De plus, l'étanchéité supérieure réduit le transfert d'air froid. Avec un temps de cycle le plus rapide du marché, la M2 Freezer permet de réaliser des économies substantielles sur les factures d'énergie
Il y a 2 ans et 195 jours

HDF Energy annonce un projet d'électricité solaire et hydrogène en Afrique du Sud

Ce projet, dont l'investissement total porte sur 3 milliards de dollars, est l'un des fers de lance de la transition énergétique du pays voué à abandonner à terme les centrales au charbon.Il a été attribué dans le cadre d'un appel d'offres public qui a également sélectionné les sociétés sud-africaines d'énergies renouvelables Red Rocket, Sola Group et Mainstream Renewable Power Developments.HDF Energy (Hydrogène de France) compte développer sur le site des centrales photovoltaïques capables de produire quelque 1.500 Megawatts d'électricité, avec plus de 3.500 MWh de stockage (pour la nuit lorsqu'il n'y a pas de soleil, NDLR) principalement sous forme d'hydrogène et de pile à combustible.Les centrales alimenteront ainsi en électricité stable et propre, de jour comme de nuit, toute l'année, plus de 1,4 million d'habitants, précise HDF Energy dans un communiqué.Eskom avait émis un appel à propositions en avril 2022, suivi d'un processus de sélection. Les sociétés retenues loueront au total plus de 6.000 hectares pour une période comprise entre 25 et 30 ans pour produire des énergies renouvelables."Les terrains appartiennent à Eskom et lui reviendront au bout de 30 ans, les projets recevront des financement des banques de développement qui portent des exigences sociétales et environnementales très poussées", a indiqué à l'AFP le patron de HDF Energy, Damien Havard.La province de Mpumalanga abrite 12 des 15 centrales à charbon de l'Afrique du Sud, qui fournissent plus de 80% de son électricité. Elle sont vouées au démantèlement dans le cadre d'un vaste plan de décarbonation du pays permis notamment par l'attribution de quelque 8,5 milliards de dollars de prêts et subventions reçus de pays riches via leurs banques de développement."En termes de puissance, notre projet remplacera une partie d'une des centrales à charbon", a commenté M. Havard.HDF Energy a également un projet en Namibie pour produire de l'électricité solaire, puis de l'hydrogène à partir de l'électrolyse de l'eau dessalinisée. Le groupe, qui s'est introduit en Bourse en 2021 à Paris, mène aussi avec des investisseurs, comme le groupe Ruby ou le fonds Meridiam, des projets similaires en Guyane, à la Barbade, à Trinidad. Mercredi soir, il a annoncé la signature d'un protocole d'accord avec le ministère de l'Energie indonésien.
Il y a 2 ans et 195 jours

ONDULINE renforce sa présence à l’international et élargit son offre pour protéger les bâtiments et leurs occupants par tous les temps

Depuis sa création en 1944, Onduline n’a cessé d’évoluer et d’étoffer ses gammes de produits. Son expertise et ses nombreuses innovations lui ont permis de devenir le leader mondial des solutions de toitures légères avec un éventail de produits performants : éléments de toiture, bardages, sous-toitures, écrans de sous-toitures, panneaux en polycarbonate… Qu’il s’agisse de maisons individuelles, de petits immeubles collectifs, de bâtiments publics ou privés, industriels ou agricoles, partout dans le monde, Onduline offre aux professionnels du bâtiment et aux bricoleurs un résultat de haute qualité avec des produits innovants, robustes et fiables très simples à mettre en œuvre. Autour d’Onduline, Ondura accélère sa croissance et son développement international Onduline France appartient au groupe international Ondura crée en 2021. Propriétaire d’alwitra, spécialisé dans les membranes hautes performances pour les toits plats et de l’entreprise polonaise CB, l’un des leaders européens des écrans de sous-toiture et d’accessoires de couverture pour toits en pente, Ondura dispose d’une grande expertise dans l’étanchéité à l’eau et à l’air des bâtiments et développe ses activités sur les cinq continents. Dirigé par Patrick Destang, Ondura est présent dans plus de 100 pays et emploie 1 600 personnes.S’appuyant sur la puissance d’Onduline sur les cinq continents, l’objectif du groupe est de renforcer sa présence à l’international. Ces 3 entités opèrent de manière indépendante tout en profitant des synergies commerciales et de l’accès aux gammes de leurs sociétés sœurs. En France, Flatline, la société française nouvellement créée par le groupe Ondura assure la distribution des solutions alwitra. Avec les solutions de toitures légères Onduline, les écrans de sous-toitures COROTOP® et ONDUTISS®, les membranes d’étanchéité alwitra, et les solutions d’éclairement en polycarbonate d’ONDUCLAIR®, Ondura maîtrise les technologies nécessaires aux toits en pente ou plats et elle apporte aux distributeurs une réponse unique à destination d’une clientèle de particuliers et de professionnels. Son offre de produits permet de toucher des applications en DIY et des applications professionnelles avec une plus forte composante technique, où elle s’appuie sur des couvreurs et des étancheurs via le réseau des négociants en matériaux et distributeurs spécialisés couverture.Ondura aborde aujourd’hui une nouvelle étape en rejoignant le groupe Kingspan, leader mondial de solutions hautes performances pour l’isolation et l’enveloppe du bâtiment. Le rapprochement, annoncé en février 2022 , vient en effet de recevoir la validation des autorités réglementaires. Le groupe entend accélérer les plans de croissance et d’investissement dans les pays à fort potentiel, et renforcer l’innovation des produits et services. Onduline : Une approche environnementale forte et visibleLes produits Onduline contiennent environ 50 % de matières premières recyclées et leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l’environnement. Certaines usines de production Onduline, dont ONDUCLAIR® à Comines, sont certifiées ISO 14001, avec une gestion environnementale claire et un système de production propre : matières premières recyclées, circuit d’eau fermé, faible consommation d’énergie, pas de déchets dangereux, système de traitement des émissions gazeuses… De plus, les émissions de CO2 sont considérablement réduites grâce au poids allégé des matériaux, qui limite l’impact lors du transport.Pour limiter son bilan carbone et développer une production respectueuse de l’environnement, Onduline a mis en place un processus de recyclage de haute technologie qui permet de récupérer 80 000 tonnes de fibres de cellulose chaque année.La cellulose est une ressource naturelle végétale et non fossile. La transformation de cette fibre est connue pour sa faible empreinte carbone, produisant ainsi 4 à 6 fois moins d’émissions de CO2 que le métal ou le plastique. C’est pourquoi Onduline a fait le choix de cette matière première pour la base de ses tôles et tuiles. Toutes ces initiatives ont permis à l’entreprise de réduire l’empreinte carbone à 4 066 g de CO2/m2, soit bien moins que tout autre fournisseur de solutions de toiture selon Pure Projet, une entreprise française spécialisée dans les questions environnementales, en particulier dans la lutte contre la déforestation.Onduline a également développé des Déclarations Environnementales de Produit (EPD) – ISO14025 & EN15804. L’EPD fournit des données quantifiées et requises pour réaliser l’ACV (analyse du cycle de vie) des produits et ainsi quantifier l’impact du produit sur l’environnement depuis l’approvisionnement en matières premières jusqu’à la sortie des usines.
Il y a 2 ans et 195 jours

Les Français à la recherche de leur logement : entre priorités, compromis et mauvaises surprises

L’Association QUALITEL a ainsi décidé de consacrer la 6ème édition* de son baromètre annuel au parcours de recherche et de sélection du logement, avant, pendant et après : quels critères indispensables au départ, quels compromis finalement concédés, quelles [mauvaises] surprises à l’arrivée...Focus sur les principaux retours exprimés par les acquéreurs ayant changé de logement depuis moins de 5 ans (étude complète disponible ici).Maison ou appartement, ville ou campagne... : le logement idéal, au départAu tout début de leur parcours de recherche, les futurs acquéreurs envisageaient plutôt :Une maison, pour 58% des répondants, vs 38% préférant un appartement ;En zone urbaine, pour 61%, vs 30% préférant la campagne ;Dans l’ancien, pour 48%, vs 26% préférant acheter dans le neuf.Mais au-delà de cet idéal, certains critères indispensables n’auraient selon eux pu faire l’objet d’aucun compromis, à commencer par le prix et la présence d’un espace extérieur, cités par 59% des personnes interrogées, suivis par le type de logement, maison ou appartement, cité par 56%.Des priorités qui varient selon le bien acheté :Qui dit logement... dit voiture :Pour 47% des Français, propriétaires ayant acheté au cours des 5 dernières années, le parking était un critère indispensable pour la recherche de leur logement.En revanche, pour une maison comme pour un appartement, la superficie n’est citée comme critère indispensable que par 35% des répondants. Et en appartement, le nombre de pièces prime même sur l’espace.L’adaptabilité du logement aux personnes âgées ou à mobilité réduite n’est citée quant à elle comme critère indispensable que par 12% des répondants (18% des 60 ans et +). Pourtant, 59% des acquéreurs sondés déclarent avoir « acheté [leur] logement pour y rester toute [leur] vie ».* Enquête réalisée en avril 2022, auprès de 3.056 personnes, dont 1.664 ayant changé de logement au cours des 5 dernières années. Les chiffres présentés dans ce communiqué de presse portent uniquement sur les propriétaires ayant changé de logement il y a moins de 5 ans.Après le rêve... : la réalité de la rechercheUne fois le logement idéal défini, il s’agit de le trouver. C’est à ce moment que les choses se compliquent.Le parcours de recherche se fait souvent sous pression, les acquéreurs devant faire face à une concurrence forte. La prise de décision peut s’avérer stressante, en particulier pour les jeunes de moins de 35 ans, souvent primo-accédants.La prise de décision est également très rapide :84% des acquéreurs ont visité 1 à 2 fois le bien avant de faire une offre ;Pourtant, 25% auraient voulu pouvoir le visiter à nouveau avant de prendre leur décision ;89% des acquéreurs ont fait leur offre en moins d’une semaine.Et les visites ne sont pas forcément suffisamment poussées. Ainsi par exemple, de nombreux critères, dont dépend la qualité de vie dans le logement, n’ont pas été systématiquement regardés : date de construction, niveau de sécurité, classe du DPE, ventilation… Toutefois, les acquéreurs ont été particulièrement attentifs à certains critères, à commencer par les vitrages et l’état général des fenêtres, cités par 88% des répondants, la superficie des pièces (87%), leur organisation et agencement, l’état des murs (présence de fissures ou de moisissures), le type de chauffage (individuel ou collectif)..., tous cités par 86% des répondants.Enfin, à l’heure des choix, 78% des acquéreurs ont dû faire des compromis. Et dans ce cas, même les critères les plus indispensables ou importants au début de la recherche, peuvent être concernés. En tête :Le prix, pour 18% des acquéreurs, avec un prix d’achat de 12% en moyenne plus élevé que le budget initial envisagé ;La superficie de certaines pièces, pour 17% des acquéreurs, avec une perte sur la superficie globale de 16% en moyenne du nombre de m² envisagés au départ.À l'arrivée : des mauvaises surprises pour une majorité de propriétaires interrogésPlus des 2/3 des propriétaires déclarent avoir eu au moins une mauvaise surprise une fois installés : 68% se disent ainsi gênés par des aspects qu’ils n’avaient pas remarqués lors des visites. En top 5 :Le froid l’hiver, pour 17% ;Le bruit des voisins, pour 16% ;La chaleur l’été, pour 13% ;Le bruit de la rue, pour 12% ;Les charges, les dépenses, pour 11%.Des mauvaises surprises qui peuvent entraîner des travaux imprévus : sila majorité des propriétaires avait bien identifié des travaux indispensables avant l’achat (56%), plus de la moitié (52%) en ont aussi découverts après l’achat.Globalement, 66% des répondants ont réalisé des travaux d’embellissement (peintures, revêtements, etc.), 45% la réfection complète d’une ou de plusieurs pièces, 34%, la réfection ou le remplacement d’un équipement, etc.Ces mauvaises surprises ne sont pas sans conséquence :La qualité perçue : alors que le Qualiscore** est de 6,8 /10 au global, pour toutes les personnes ayant acheté leur logement il y a moins de 5 ans, il n’est que de 6 pour celles ayant eu 3 mauvaises surprises ou plus ;Le temps resté dans le logement : 44% des propriétaires souhaitent en changer, dont 28% à court ou moyen terme. Un chiffre qui monte à 61% pour ceux qui ont eu de nombreuses mauvaises surprises.Et pourtant, certaines de ces mauvaises surprises auraient pu être évitées avec davantage d’attention lors des visites. Ainsi par exemple :45% des propriétaires qui ont eu des mauvaises surprises sur les charges n’avaient pas été attentifs à la classe du DPE ;32% des propriétaires qui ont eu des mauvaises surprises sur l’isolation acoustique n’avaient pas été attentifs aux nuisances sonores.Enfin si c’était à refaire, pour un futur achat, près de la moitié des propriétaires (47%) aimeraient être accompagnés par un professionnel du bâtiment lors des visites pour évaluer l'état du bien. Une tendance qui se vérifie encore plus pour les propriétaires ayant eu plusieurs mauvaises surprises et pour ceux ayant dû réaliser des travaux imprévus (55%).Tous les résultats de l’étude ici.
Il y a 2 ans et 195 jours

Estimation de la part des énergies renouvelables dans la consommation brute d'énergie finale en 2021

Après avoir atteint 22,09% en 2020, et remplissant ainsi l'objectif commun de 20%, les premières estimations situent à 22,45% la part pour 2021. Le rythme doit grandement s'accélérer pour atteindre l'objectif de 45% proposé par le programme REPowerEU à 2030.Selon les premières estimations d'EurObserv'ER, la part des énergies renouvelables a atteint 22,45% de la consommation brute d'énergie finale de l'Union européenne en 2021. Ce chiffre affiche une très légère progression de 0,36 point par rapport au niveau officiellement enregistré un an plus tôt (22,09%). Globalement, la consommation brute d'énergie finale renouvelable de l'Union européenne a augmenté de 15,2 Mtep entre 2020 et 2021 passant de 209,6 à 224,8 Mtep, soit une croissance de 7,3% en valeur absolue. Cette progression s'explique en premier lieu par une augmentation de la contribution de l'électricité renouvelable qui est passée de 87,3 à 94,5 Mtep (soit 8,2% de mieux). 2021 a été une année particulièrement bonne pour le solaire photovoltaïque : l'accroissement des capacités installées, associé à un très bon ensoleillement dans les principaux pays producteurs, a permis de générer 13,6 Mtep d'énergie au cours de l'année (+ 13,5% par rapport à 2020). Pour l'hydroélectricité et l'éolien, le calcul de la production normalisée du point de vue des conditions climatiques indique que 3,1 Mtep supplémentaires ont été produits par rapport à 2020 (+ 5%). Pour ce qui est de la chaleur renouvelable, la contribution à l'augmentation a été moins importante. Selon EurObserv'ER, le gain en 2021 a été de 7,1% pour une production évaluée à 112,02 Mtep (contre 104,6 Mtep en 2020). La biomasse solide compte à elle seule pour 80% de la contribution supplémentaire de la chaleur renouvelable (+6 Mtep). Le deuxième contributeur est la chaleur renouvelable produite à partir de pompes à chaleur avec 1,3 Mtep supplémentaire, confirmant un mouvement de plus en plus important d'une électrification des besoins de chaleur en Europe.Concernant le dénominateur, la consommation totale brute d'énergie finale (renouvelable ou non) de l'Union européenne a nettement progressé en 2021 passant de 948,9 à 1001,6 Mtep (+ 5,6%). Cette forte progression a notamment été due à un effet de rattrapage de l'activité économique par rapport à 2020 qui avait été marquée par des périodes de confinement très strict dans l'ensemble des pays de l'Union. Ce fort rebond de la consommation totale brute d'énergie finale a grandement contribué à gommer l'impact des 15,2 Mtep supplémentaires produits à partir de sources renouvelables sur leur part relative des EnR dans la consommation européenne.Les indicateurs calculés pour 2021 et présentés ici sont des résultats préliminaires. Ces données seront amenées à être révisées en décembre prochain lorsque les premières données officielles d'Eurostat seront publiées.Indicateurs préliminaires calculés 2021 de la part des sources d'énergies renouvelables dans la consommation brute d'énergie finale dans UE27.
Il y a 2 ans et 195 jours

Inflation : "Les agences d'architecture subissent un effet ciseaux" (J-M. Woulkoff, Unsfa)

INTERVIEW. A l'occasion du Congrès des architectes, le président de l'Unsfa a fait le point sur les difficultés qui impactent les agences. En cause : la crise des matériaux et de l'énergie, mais aussi la baisse – structurelle, selon lui – de la commande publique.
Il y a 2 ans et 195 jours

Comment augmenter la valeur de son bien immobilier ?

Vous souhaitez augmenter la valeur de votre bien immobilier dans le but de le vendre dans l’avenir ? Pour cela, nous vous donnons des conseils de rénovation afin d’accroître la valeur de votre bien. Rénovation extérieure L’extérieur de votre bien immobilier est la première image qu’ont les autres de votre maison. En effet, il va représenter et former les premiers avis sur votre bien. Réparations Ce point peut sembler surestimé, cependant, rien ne sert d’ajouter de nouveaux aménagements ou de changer des installations fonctionnelles si vous laissez des choses en mauvais état, voire cassées. Dans un premier temps, assurez-vous que votre bâtiment est stable. Des fondations à la toiture en passant par la façade, ce sont les premières réparations à effectuer. Agrandissements Bien que cela représente des travaux longs et coûteux, ajouter de la surface à votre bien ne peut que faire augmenter sa valeur. En effet, certaines personnes évaluent le prix d’une propriété seulement en sa surface. Cet agrandissement peut être un ajout ou un élargissement d’une pièce intérieure, l’ajout d’un garage ou d’un appentis ou encore la construction d’une véranda. Changements Il ne faut pas hésiter à réaliser des changements, même sur les installations encore viables. Vous pouvez changer les fenêtres en augmentant le vitrage, mais aussi le cadre, que cela soit pour des questions esthétiques ou d’isolation. Il est également possible de remplacer vos volets manuels par des volets motorisés qui sont très appréciés par les acheteurs. Il en va de même pour les portes d’entrée et de garage, le portail, etc. Modernisation Vous avez réparé les fissures sur vos façades et sur vos murets, mais cela ne fait pas un rendu esthétique. Pour cela, vous pouvez faire appel à des professionnels ou installer des panneaux muraux décoratifs qui représentent un plus lors de la vente. En effet, en plus d’être esthétiques, ils sont durables et faciles d’entretien. Enfin, si votre allée est abîmée ou que vous ne la trouvez plus assez jolie, il existe de nombreuses solutions pour la repenser. Effectivement, vous pouvez la refaire avec des dalles, des pavés, des graviers, du béton, etc. Personnalisation de couleurs, de formes, de tailles, de joints, etc. seule votre imagination vous arrête. Rénovation intérieure L’intérieur de votre bien va permettre aux personnes de s’imaginer vivre au sein de votre logement. Ainsi, un intérieur propre et moderne n’est pas négligeable. Décoration Une fois les travaux de réparation réalisés, il faut maintenant décorer. Si la décoration doit avant tout vous plaire à vous, il est important de réfléchir à ce que les visiteurs vont en penser. La rendre plus attrayante ne veut pas forcément dire changer tout le mobilier. Si cela peut parfois être nécessaire, vous pouvez aussi simplement nettoyer, rénover ou personnaliser vos meubles. Vous pouvez aussi changer l’agencement de votre pièce afin de créer une ambiance différente. Enfin, il est également possible de rajouter de petites décorations comme des bougies, des plantes, des lumières, des statues, etc. Isolation Il est important pour votre bien d’être isolé aussi bien phoniquement que thermiquement. Cela va, dans un premier temps, permettre un meilleur confort, mais à long terme, cela représente des économies d’énergie et donc budgétaires. Ajouts Tout comme à l’extérieur, vous pouvez rajouter des installations qui représenteront forcément un plus lors de la vente. Parmi elles, nous pouvons retrouver : Domotique et robotique d’intérieur ;Climatisation ;Jacuzzi ;Espace de sport ;Etc.
Il y a 2 ans et 195 jours

Comment transformer un local commercial en bâtiment résidentiel ?

Jusqu’en 2015, le gouvernement avait posé des restrictions à la transformation de locaux commerciaux en bâtiments résidentiels. S’il est désormais plus facile de réaliser de tels travaux, il reste des points auxquels prêter attention en amont. Identifier les exceptions du PLU Si depuis 2015 les locaux commerciaux peuvent être transformés en logements, il existe toutefois des exceptions. Parmi elles, nous trouvons notamment : Les bâtiments classés « monument historique » ;Les bâtiments situés dans des zones de conservation ou des parcs nationaux ;Les bâtiments situés dans des zones désignées de beauté naturelle ou d’intérêt scientifique ;Les bâtiments situés dans des zones de sécurité ou des zones militaires explosives ;Les bâtiments servant à protéger les commerces de proximité. Il est primordial de vérifier cette information avant de s’engager. Demander les autorisations nécessaires Si le local commercial est situé dans une copropriété, il faudra s’assurer qu’aucun règlement n’interdit le changement. Ensuite, il faudra obtenir l’accord de la totalité des copropriétaires lors d’un vote à l’assemblée générale. Si le vote est favorable à l’unanimité, il sera alors possible de déposer une demande de déclaration préalable de travaux pour un logement. Repérer le besoin d’un permis de construire Parmi les exceptions vues ci-dessus, certaines conversions sont possibles avec un permis de construire strict comprenant de nombreuses règles et obligations. Pour d’autres transformations, seule une autorisation préalable du conseil municipal peut suffire. Pour cela, le bâtiment devra faire moins de 150m². Enfin, s’il est prévu des travaux d’agrandissement ou de modifications de l’apparence extérieure, tels que la modification, l’ajout ou le déplacement de fenêtres et de portes, un permis de construire sera nécessaire. Établir le budget prévisionnel Ce type de travaux demande une somme d’argent importante qu’elle soit prévue ou non. En effet, toutes sortes de travaux inattendus viendront s’ajouter après l’achat du bâtiment. En plus de l’achat du local et du financement des travaux, il faut prendre en compte : La demande du permis de construire ;Le droit de timbre ;Les frais d’autorisation préalable ;Les frais d’avocat ;Les frais de géomètre ;Etc. Parmi les travaux à réaliser, on peut retrouver : Les travaux d’isolation phonique et thermique ;La création d’une cuisine et d’une salle de bain ;Changement du sol et du plafond ;Remplacement des vitrines ;La rénovation de la façade extérieure ;Etc. Si ces travaux représentent un coût élevé, il est possible de faire des économies, notamment grâce à : L’installation d’un bardage ondulé sur l’une ou la totalité des façades extérieures va permettre de rénover la façade de façon moderne et à moindre coût ;L’utilisation de panneaux décoratifs pour son intérieur va favoriser des travaux plus faciles et moins coûteux ;La pose d’un chauffage adapté à la superficie des pièces ;Etc.
Il y a 2 ans et 195 jours

Les solutions chauffage de Cheminées Poujoulat pour toutes les énergies et tous les bâtiments, en neuf comme en rénovation

Elle visent à donner la priorité à la sobriété énergétique et à la décarbonation de l’énergie, tout en diminuant l’impact carbone de la construction des bâtiments, avec en ligne de mire la disparition progressive des énergies fossiles.Innovation, performance, personnalisation, c’est sur ce triptyque que Cheminées Poujoulat s’appuie pour développer ses produits afin d’offrir des solutions de qualité en adéquation avec les besoins du marché.Le leader européen des conduits de cheminées et sorties de toit métalliques place la mixité énergétique au cœur de sa stratégie et propose un éventail complet de solutions de chauffage pour toutes les énergies – bois, gaz, électricité - et tous les bâtiments - maisons individuelles, habitat collectif - en neuf comme en rénovation.L’ensemble des produits mis au point par Cheminées Poujoulat bénéfi cient du CÉRIC Label délivré par le Laboratoire CÉRIC, référent en Europe dans les domaines de la cheminée et des énergies durables.Preuve de la reconnaissance de son expertise, Cheminées Poujoulat vient d’être récompensée par un Award de l’Innovation du Mondial du Bâtiment 2022 pour sa toute dernière solution unique sur le marché RÉNO VMC-GAZ.Au-delà de la performance énergétique, Cheminées Poujoulat a également à cœur de proposer des équipements personnalisables qui s’intègrent parfaitement à l’architecture des bâtiments.À chaque projet de fumisterie ou problématique de chauffage correspond une solution de chauffage Poujoulat ! Tour d’horizon.Des solutions bas carbone pour la maison individuelleLa récupération et la distribution d’air chaud avec AIRWOODLa dernière version d’AIRWOOD avec un nouveau système d’appoint électrique breveté, BOOSTY, offre, pour la première fois, la possibilité de faire de l’énergie bois la seule source de chauffage principal. Le système AIRWOOD récupère l’air ambiant de la pièce de vie, puis réchauffe cet air dans le conduit échangeur et le redistribue dans toute la maison de façon homogène et efficace, par des bouches de soufflage. Lorsque l’appareil de chauffage au bois n’est plus alimenté, BOOSTY prend le relais.La gamme AIRWOOD permet de réaliser jusqu’à 25% d’économies sur la facture selon l’énergie de chauffage, comparée aux énergies fossiles (fi oul, gaz, électricité) et se décline en 2 solutions pour répondre à toutes les configurations : AIRWOOD Confort+ compatible avec tous les appareils de chauffage au bois en neuf et en rénovation : foyer fermé, poêle à bois bûches ou poêle à granulés, AIRWOOD Alliance en neuf pour les poêles à granulés et la VMC double-fl ux. La gamme est valorisable dans les calculs réglementaires grâce au TITRE V Système-Conduit échangeur.EFFICIENCE, le conduit de cheminée nouvelle générationPour répondre aux exigences thermiques actuelles et à venir, et accompagner les performances des appareils labellisés Flamme Verte, Cheminées Poujoulat a innové en développant EFFICIENCE, un conduit de cheminée triple paroi « nouvelle génération » isolé en laine de roche.Solution inédite sur le marché, EFFICIENCE optimise la circulation des flux en assurant l’amenée d’air nécessaire à la combustion et l’évacuation des fumées sur un même conduit.À l’intérieur de son conduit, EFFICIENCE possède une isolation de 20 mm en laine de roche haute densité et haute température. Grâce à cette isolation, EFFICIENCE peut réchauffer l’air prélevé à l’extérieur, nécessaire pour la combustion, et optimise ainsi le rendement de l’appareil de chauffage bois. L’isolant en laine de roche favorise également l’évacuation des fumées par tirage naturel.De plus, en prélevant l’air comburant dans la partie supérieure du conduit, EFFICIENCE évite de percer le mur où est installé le poêle pour aller chercher l’air. Grâce à cette propriété, EFFICIENCE est la solution idoine pour participer à l’étanchéité à l’air de la maison neuve mais également en rénovation lorsque l’installation ne permet pas de percement ou de dépassement de faîtage.EFFICIENCE offre ainsi une grande souplesse d’installation pour tout appareil de chauffage à bois, poêle à bois bûches, poêle à granulés, insert ou foyer fermé. Il peut être installé à l’intérieur comme à l’extérieur de la maison et s’adapte à toutes les configurationsEFFICIENCE permet ainsi un positionnement sur le toit en fonction de l’emplacement de l’appareil sans avoir nécessairement à dépasser le faîtage (en principe, la loi prévoit un dépassement de 40 cm au-dessus de la ligne la plus haute de la toiture).PGI, un conduit spécifiquement développé pour les poêles à granulésLe système PGI a spécialement été développé par Cheminées Poujoulat pour l’installation des poêles à granulés. Le marché des poêles à granulés ne cessant de progresser, PGI rencontre un vif succès.Le système PGI est un conduit de fumée double paroi inox. Ce conduit haute technologie optimise la performance de l’appareil de chauffage et s’intègre parfaitement dans un habitat neuf ou existant.Sa technologie concentrique (deux tubes l’un dans l’autre) crée une lame d’air qui permet l’arrivée de l’air comburant et l’évacuation des fumées dans un même conduit.La gamme PGI offre une solution pour toutes les situations de raccordement du poêle. Le système peut être installé en conduit vertical ou horizontal, à l’intérieur ou à l’extérieur de la maison.Ce système a été conçu avec les plus grands fabricants de poêles européens pour s’adapter à tous les appareils à granulés et assurer un fonctionnement simple en toute sécurité.Opter pour ce système unique permet de réaliser jusqu’à 10% d’économies d’énergie, soit 200 à 400 kg de granulés de bois par an (selon les régions).Le plein d’accessoires pour la personnalisation des conduitsAutre marque de fabrique de Cheminées Poujoulat, l’esthétique et la personnalisation avec des conduits de cheminée et sorties de toit qui s’intègrent parfaitement à l’architecture des maisons et à la décoration intérieure des pièces de vie.Pour répondre aux attentes des consommateurs en quête de personnalisation, Cheminées Poujoulat a déjà franchi une étape en permettant aux particuliers de personnaliser leur conduit de cheminée avec des couleurs (tous les RAL), des finitions (mate ou satinée), des colliers de raccordement colorés, un régulateur de tirage design (RÉGUL’ART), une pièce de départ pour une jonction parfaite et esthétique entre le conduit THERMINOX et la buse du poêle à bois (DÉCO’START).Dernière innovation en date, la collection d’habillages ventilés DESIGN’UP combine sécurité, récupération de calories, esthétique et facilité d’installation. DESIGN’UP a été spécialement conçu pour permettre au consommateur de monter lui-même l’habillage sur son conduit de raccordement existant sans démontage préalable par simple emboîtement, au gré de ses envies et des aménagements décoratifs de son intérieur.La gamme se décline en 9 couleurs avec DESIGN’UP COLOR et en 3 décors avec DESIGN’UP DÉCO, pour satisfaire toutes les envies. Et pour un effet encore plus prononcé, ces nouveaux habillages ventilés se combinent avec des plaques de finition murales.La qualité de l’air avec VENTÉLIAAvec l’entrée en vigueur de la RE2020 depuis le 1er janvier 2022, la ventilation est devenue un élément-clé pour assurer le confort thermique été comme hiver ainsi qu’une bonne qualité de l’air intérieur.La sortie de toit spéciale ventilation VENTÉLIA se distingue par ses performances aérauliques exceptionnelles de 4 Pa qui favorisent la qualité de l’air intérieur Solution universelle, elle peut être raccordée à une VMC, une hotte de cuisine, un chauffe-eau thermodynamique, un sèche-linge...Disponible dans plusieurs fi nitions pour s’adapter à tous les types de toits et de pentes (tuiles, ardoises, toit terrasse, bac acier et toitures ondulées), VENTÉLIA s’intègre aisément dans son décor et s’installe avec la plus grande simplicité.Design d’extérieur : l’intégration parfaite des pompes à chaleur et climatisationOUTSTEEL : la solution de personnalisation des unités extérieures de pompes à chaleur et climatisationAvec sa nouvelle marque OUTSTEEL, lancée en mai 2021, Cheminées Poujoulat a étendu son terrain de jeu au marché de la pompe à chaleur et de la climatisation, plus précisément à son habillage et à sa protection.Reconnue depuis 70 ans pour son savoir-faire dans les conduits de fumée et sorties de toit métalliques, l’entreprise a mis à profit ses compétences pour proposer des solutions innovantes avec une nouvelle gamme complète de caches pompe à chaleur et climatisation en acier galvanisé, afin de protéger et dissimuler de manière esthétique ces unités techniques extérieures.Cache intégral, partiel ou simple « casquette », le produit s’ajuste à chaque modèle de pompe à chaleur ou climatisation, quel que soit le fabricant.Déjà composée de 5 modèles (Brousse, Bubbles, Colors, Cap et Cover), la gamme s’enrichit d’un tout nouveau design « Vénitian » lancé en septembre 2022.Des systèmes de raccordement pour la chaudière biomasse en maison individuelle et logement collectifDUALIS EI : une solution adaptée à tous types de chaudières à granulés étanchesParticulièrement adapté pour le remplacement de chaudière fioul, DUALIS EI est un conduit concentrique en inox polyvalent associant l’amenée d’air comburant et l’évacuation de fumée des chaudières à granulés étanches.Équipé de joints, l’assemblage se fait par emboîtement sécurisé par un collier de jonction entre chaque élément. Simple à mettre en œuvre, il s’intègre dans l’habitat neuf comme dans l’existant.Sous avis technique, le système a fait l’objet d’une série d’essais fonctionnels pour valider toute la connectique en fonction des différentes marques de chaudières étanches sous avis technique proposées sur le marché. Il optimise le rendement des chaudières basse température ou à condensation.THERMINOX pour les chaudières à bois bûches et granulés de boisTHERMINOX est un conduit double paroi isolé polycombustible adapté à tous les appareils de chauffage bois bûches ou granulés.À la fois performant et esthétique, le conduit de fumée THERMINOX convient aussi bien pour l’intérieur que pour l’extérieur des bâtiments, en maison individuelle et logements collectifs, en création comme en rénovation.Côté performance énergétique, THERMINOX garantit un fonctionnement optimal en toute sécurité, optimise le rendement de l’appareil de chauffage et réduit ainsi la consommation d’énergie. Conçu pour la traversée des murs et des planchers, il permet tous les types de montages.Les équipements pour le raccordement en habitat collectif3CE THERMO-D pour le raccordement des chauffe-eaux thermodynamiques dans le logement collectifParfaitement adaptés à la RE2020, les chauffe-eaux thermodynamiques sont en plein essor. Cet équipement destiné à produire de l’eau chaude sanitaire grâce à une pompe à chaleur complétée par une résistance électrique d’appoint permet de réduire jusqu’à 3 fois la consommation électrique en comparaison d’un chauffe-eau électrique classique.Pour permettre leur raccordement, Cheminées Poujoulat a développé le système concentrique étanche 3CE THERMO-D sous ATEx spécialement adapté aux immeubles de logements.Cette solution, rapide et facile à installer, assure l’amenée et l’évacuation d’air et optimise les performances de 1 à 6 appareils.3CE P Multi + Intérieur, le conduit collectif pour le raccordement des chaudières gaz individuelles étanchesLe 3CE P MULTI+ INTÉRIEUR est un conduit concentrique collectif permettant l’amenée d’air et l’évacuation des produits de combustion de 2 à 20 chaudières gaz individuelles étanches. Ce système allie performance, sécurité (étanchéité du système, résistance au feu et aux condensations) et installation rapide (simple emboîtement).L’étanchéité du système, assurée par des joints à lèvres, permet l’évacuation des fumées en légère pression, ce qui réduit considérablement l’encombrement du conduit (plus de 50%).Le conduit collectif est installé à l’intérieur des bâtiments, dans une gaine technique générale, regroupant également les autres réseaux.Le 3CE P MULTI+ INTÉRIEUR peut être équipé de deux terminaux verticaux différents : un terminal circulaire ou une sortie de toit, assurant ainsi une finition soignée et personnalisée en toiture.Les chaudières compatibles sont de type C4p, équipées d’un clapet antiretour sur le circuit air-fumée.RÉNO VMC-GAZ : pour le remplacement d’un appareil VMC-Gaz par une chaudière THPE à condensation dans les logements collectifsLauréat bronze d’un Award de l’Innovation du Mondial du Bâtiment 2022 dans la catégorie « Génie climatique » et récompensé par une mention spéciale dans la catégorie transversale « Bien Vivre dans la Ville en 2050 », RÉNO VMC-GAZ est la dernière innovation signée Cheminées Poujoulat.Ce système, unique en son genre à ce jour, permet de remplacer un appareil VMCGaz peu performant par une chaudière THPE à condensation dans les logements collectifs, en vue de réaliser des économies d’énergie.Il est constitué de conduits de fumée individuels en acier inoxydable et d’un terminal monté en toiture sur chaque colonne d’évacuation pour évacuer les produits de combustion et fournir l’extraction d’air nécessaire à la ventilation des logements. RÉNO VMC-GAZ est une solution brevetée (validation d’ATEx en cours). Elle sera disponible à partir de fi n 2022.Cette innovation vient compléter l’éventail de solutions permettant la rénovation et l’adaptation des conduits collectifs et individuels, qu’il s’agisse de l’évacuation des produits de combustion ou de la ventilation (AIRFLUE RÉNOVATION, RÉNOSHUNT, 3CE P MULTI+).RÉNOSHUNT pour la rénovation des conduits Shunt ou AlsaceLa solution RÉNOSHUNT présente de nombreux avantages pour la rénovation du système de chauffage dans le bâti ancien en permettant d’installer facilement, rapidement et en toute sécurité, des chaudières à condensation sur les conduits de fumée existants.Ce conduit collectif concentrique, réalisé grâce à la mise en œuvre d’un tubage dans le conduit de fumée existant, permet la rénovation et la réutilisation de conduits Shunt, lorsque ceux-ci n’assurent que l’évacuation des fumées. Jusqu’à 6 chaudières gaz à condensation peuvent être raccordées. L’air comburant circule, depuis l’extérieur, dans l’espace annulaire résiduel.Le tubage permet de canaliser les fumées vers l’extérieur, en préservant le conduit existant des condensats auxquels il ne résisterait pas. Fabriqué en acier inoxydable, RÉNOSHUNT répond à la réglementation incendie dans les immeubles de logements collectifs.Le système RÉNOSHUNT est facile à mettre en œuvre et, de ce fait, particulièrement adapté à une rénovation aux délais serrés. Le système mis au point par Cheminées Poujoulat limite les travaux par la réutilisation du conduit existant.L’action se fait par un simple tubage, réalisé essentiellement depuis la toiture, limitant de manière considérable l’intervention dans les logements.DUALIS RENODENS : une solution de rénovation pour individualiser l’évacuation des fumées en logements collectifsPour un meilleur confort thermique, des économies et un moindre impact environnemental, de plus en plus de chaudières gaz, souvent vieillissantes, doivent être remplacées par des chaudières gaz à condensation.Offre alternative à sa solution collective RENOSHUNT, le dernier né de la famille DUALIS, RENODENS est une nouvelle solution de rénovation individuelle des conduits collectifs maçonnés existants de type Shunt ou Alsace.Ce système, qui permet une évacuation individualisée des fumées pour chaque chaudière gaz à condensation, est performant et simple à mettre en œuvre grâce au « plus » Cheminées Poujoulat : le petit diamètre de son flexible en polypropylène (Ø 50 cm). Conscient que la place disponible dans un conduit maçonné de type SHUNT ou ALSACE est assez limitée, Cheminées Poujoulat a privilégié un diamètre étroit. Une différence notable en comparaison des autres flexibles disponibles sur le marché, plus gros.Ainsi, grâce à ses tubages individuels qui canalisent les fumées vers l’extérieur, DUALIS RENODENS permet à chaque chaudière gaz à condensation de fonctionner de façon indépendante. L’air comburant circule alors, depuis l’extérieur, dans l’espace résiduel. Une solution de plus en plus plébiscitée par les bailleurs sociaux notamment, pour supprimer toute interaction entre les chaudières grâce au circuit de combustions séparé.Le conduit de fumée flexible DUALIS RENODENS offre la possibilité de raccorder jusqu’à 6 chaudières individuelles gaz à condensation.Côté pratique, l’installation de DUALIS RENODENS se fait par un simple tubage réalisé essentiellement depuis la toiture. Très rapide, elle limite fortement l’intervention dans les logements et donc la gêne occasionnée auprès des occupants.Les conduits d’évacuation des produits de combustion éligibles à l’aide financière des Certificats d’Économies d’Énergie (CEE)Les Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) est un dispositif mis en place par l’État. Il oblige les fournisseurs d’énergie (Engie, EDF, Total, etc.) à inciter leurs clients à réaliser des travaux de rénovation énergétique de manière à réduire leurs dépenses énergétiques.Plus concrètement, les CEE se traduisent sous forme de primes qui permettent de réduire le montant des travaux.Cette prime est notamment octroyée pour remplacer, dans un bâtiment résidentiel collectif, un conduit d’évacuation des produits de combustion « incompatible avec des chaudières individuelles au gaz à condensation ». Il est en effet difficile de remplacer une chaudière ancienne par une à condensation si le conduit de fumée n’est pas adapté.Elle relève de la fiche d’opération standardisée CEE « BAR-TH-163 » (Conduit d’évacuation des produits de combustion). Plusieurs familles de conduits peuvent bénéficier de l’aide des CEE, selon certains critères :Dans le cas de la mise en place d’un conduit individuel, sa longueur doit être supérieure ou égale à 10 mètres ;Dans le cas de la mise en place d’un conduit collectif, ce dernier remplace un ou plusieurs conduits de fumée collectifs de type Shunt, Alsace, alvéole technique gaz pour chaudières non étanches, ou remplace des conduits collectifs pour chaudières étanches à tirage naturel (type 3CE).
Il y a 2 ans et 195 jours

Bouclier tarifaire : bientôt une extension du dispositif à l'ensemble des entreprises

CRISE ÉNERGÉTIQUE. Emmanuel Macron a annoncé que le Gouvernement va "finaliser" dans les "prochains jours" un mécanisme complémentaire au bouclier tarifaire contre la flambée des prix énergétiques. L'objectif est de protéger l'ensemble des entreprises, et non plus seulement les plus petites.
Il y a 2 ans et 195 jours

À Chillventa, des solutions thermodynamiques disponibles avec les cinq fluides naturels

Ammoniac (R717), CO2 (R744), propane (R290), eau (R718) et air (R279) sont les cinq principaux fluides naturels utilisables pour produire de la chaleur et du froid avec des machines thermodynamiques.
Il y a 2 ans et 195 jours

Guardian Glass relève le défi de la Tour Hekla

Jouer avec les reflets de la lumière et de son environnement, présenter une esthétique unique et moderne, mais aussi contribuer à la création d’espaces alliant haute performance environnementale du bâtiment et bien-être des occupants : tels étaient les enjeux qu’ont dû relever les équipes Guardian.Allier prouesse technique et exigence environnementale du bâtimentLorsque Guardian se voit confier la réalisation de plus de 20.000 m2 de verre qui composeront la façade du futur emblème de la Défense, le cahier des charges est particulièrement ambitieux. La signature de l’architecte impose l’utilisation de produits réfléchissants avec de hautes performances techniques. Les matériaux devront aussi répondre à des objectifs précis en termes d’efficacité environnementale du bâtiment, les constructeurs visant une quadruple certification HQE Exceptionnel, BREEAM Excellent, LEED Platinum et EFFINERGIE+. L’ambition de la Tour HEKLA est aussi de se voir décerner les labels WELL (bien-être des occupants) et WiredScore Platinium.Guardian : un accompagnement sur-mesure avec des verres de haute technologiePour créer des façades « vivantes » qui changent d’apparence au cours de la journée, les équipes de Guardian décident de miser sur un mix de plusieurs verres à contrôle solaire issus de la gamme SunGuard High Performance (Neutral 60/40 et 50/32) et SunGuard HD Silver 70, en fonction des orientations de la façade et des performances esthétiques et techniques attendues. Elles proposent les premiers échantillonnages et organisent des visites dans leurs unités de production. Un prototype est monté en partenariat avec le façadier Permasteelisa avant validation.Les verres à contrôle solaire retenus pour ce projet sont fabriqués à partir de verres Guardian ExtraClear et UltraClear à faible teneur en fer, de couleur neutre et de clarté éclatante, sur lesquels sont déposées des couches pour des performances techniques et esthétiques variant selon les façades de la tour. Protection solaire, réflexion lumineuse, isolation thermique et acoustique… les verres sont conçus pour intégrer toutes les attentes du client.Pour David Tachon, Architectural Design Manager, Projets internationaux chez Guardian Glass : « Du bureau d’études à la supply chain, nous avons atteint les objectifs fixés et dans les temps impartis grâce à un partenariat étroit de nos équipes techniques et commerciales avec les architectes des Ateliers Jean Nouvel, Permasteelisa et les constructeurs. »
Il y a 2 ans et 195 jours

Pour la CAPEB Rhône et Grand Lyon, la prévention de la santé du chef d’entreprise s’impose comme une nécessité

En cette rentrée 2022 et face au contexte économique de plus en plus stressant, la CAPEB Rhône et Grand Lyon alerte sur le nombre croissant de chefs d’entreprise en situation proche du burn out et son incidence sur le plan économique et social.Un contexte de plus en plus stressantRelations de travail, relations avec les clients, pression des délais... les artisans du bâtiment ont toujours été confrontés à des situations de stress.Mais, directe conséquence de la récente pandémie, elles se révèlent de plus en plus nombreuses avec :la pénurie des matériaux : bois, acier, aluminium mais aussi colle, plâtre, matériel électrique, de plomberie... tous les corps d’état sont désormais touchés par des stocks qui diminuent ,l’allongement des délais d’approvisionnement et de livraison jamais atteints.Avec pour résultats une augmentation des coûts qui peuvent atteindre jusqu’à + 30%, les entreprises du bâtiment se retrouvent pris en étau entre :des prix démesurés et incontrôlables qui, étant injustifiables aux clients et difficilement reportables, imposent souvent au professionnels d’absorber ces hausses et d’impacter ainsi leurs margesdes chantiers qui, dans l’incapacité d’être finis dans les temps impartis, génèrent des indemnités de retard et rencontrent de grande difficultés pour rembourser les PGE émis pendant les différents confinements.Lié :aux grands sujets de société induits par la prise de conscience de l’environnement : qualité de l’air, rénovation énergétique, problèmes de stationnement et plus récemment l’arrivée des Zones à Faibles Emissions dans les grands centres urbains...à la pénurie de main d’œuvre :Déjà sensible dès 2019, ce phénomène est encore amplifié par :un ralentissement de la formation, ce qui a fortement réduit le mécanisme de renouvellement de main d’œuvre,le blocage de la main d’œuvre venant de l’étranger,les mouvements de main d’œuvre liés aux chantages à la rémunérations,au poids des démarches administratives : outre les 142 jours de travail en moyenne consacrés chaque année dans les PME, l’annonce de nouveaux dispositifs tels Prime Rénov s’avère conçus plus pour les grands groupes que pour les artisans, le phénomène va croissant et d’autant que l’on s’approche d’une situation de quasi plein emploi avec les 6,5% de chômage déclarés dans le Rhône en août.Les solutions propres au bâtimentAujourd’hui, la CAPEB Rhône et Grand Lyon se retrouve de plus en plus confrontée à des adhérents en souffrance et constate une forte augmentation des appels de chefs d’entreprises demandant des informations en vue d’arrêter leur activité.Depuis septembre 2022, ces appels ont même été multipliés par deux.Outre les moyens existant tels :les travaux de l’Observatoire Amarok qui, au travers d’un numéro vert gratuit (0800 501 201), permet une pris en charge rapide des Travailleurs Non Salariés avec son réseau de psychologues cliniciens et prévient le risque de développer un Etat de Stress Post-TraumatiqueIris, l’Institut de Rechercher et d’Innovation sur la Santé et la Sécurité au Travail, dédié aux artisans du BTP-Paysage, qui développe des solutions et des outils adaptés et innovants pour la prévention des risques professionnelsPro BTP et ses sessions de formation ainsi que sa cellule psychologiqueLa CAPEB Rhône et Grand Lyon met ainsi en place une succession d’outils et d’accompagnement :au travers de l’ensemble de tous ses services service d’aide juridique et sociale, service emploi, service formation, service économique, service qualificationavec la présence d’administrateurs au sein de toutes les caisses sociales et autres organismes paritaires.En termes de prévention, se faire accompagner sur le plan personnel s’avère incontournable: c’est là que la plus grande force de l’organisation du bâtiment, la plus puissante du département, demeure avec l’entraide entre tous les adhérents du réseau. Les artisans et petites entreprises du bâtiment ont toujours su faire preuve d’adaptation, et encore plus ces deux dernières années. Toutefois, outre le rappel de ses revendications portées, depuis le printemps 2022, par la CAPEB Rhône et Grand Lyon rappelle que le besoin de trésorerie pour les artisans et les TPE CAPEB s’élève désormais en moyenne à 20.000 € pour le 2ème trimestre consécutif, ce qui, hors confinement n’était pas arrivé depuis 7 ans.Les revendications de la CAPEBFace aux difficultés d'approvisionnement et aux hausses de prix qui en résultent et face à la flambée des prix de l'énergie et des carburants, le Réseau CAPEB se mobilise.Rembourser, comme pour le secteur agricole et le secteur des Travaux Publics, une partie de la TICPE pour les carburants utilisés pour des véhicules professionnels ;Imposer aux banques et aux assureurs crédits qu’ils ne dégradent pas la cotation des entreprises dès lors qu’elles décident de reporter le remboursement de leur PGE ;Veiller à ce que les industriels et les négoces ou distributeurs :participent activement au Comité de crise du BTP mis en place parle gouvernement (initiative qui a permis d’inciter les acheteurs publics à faire preuve de compréhension et de souplesse dans l’application des règles des marchés publics) ;intègrent dans leurs prix le juste coût de la décarbonation ;assument les risques d’augmentation des prix avec la filière(solidarité et intérêts mutuels des acteurs : industriels, négoces, entreprises et clients) dans le cadre d’une charte de solidarité ;Exiger des fournisseurs qu’ils préviennent au moins 3 mois à l’avance les entreprises du bâtiment de toute augmentation des prix et qu’ils maintiennent une stabilité des prix également durant au minimum trois mois (en effet, les tendances pratiquées actuellement imposent parfois un paiement au comptant et des validités des prix de 24h ou 48h alors que le délai de rétractation des clients est de 14 jours) ;Accélérer la refonte du calcul des différents index BT et leurs publications dans des délais rapides au regard de la crise actuelle ;Appliquer une TVA à taux réduit de 5,5% pour l’ensemble des travaux de rénovation ;Rendre enfin automatique, en marchés publics, l’application des pénalités de retard en cas de retard de paiement aux entreprises ;Mettre en place un mécanisme de bouclier tarifaire du coût de l’énergie aux niveaux européen et français pour disposer d’une production industrielle à prix maîtrisé et permettre la continuité des politiques publiques de rénovation énergétique et environnementale, directement menacées par la flambée des coûts des matériaux.
Il y a 2 ans et 197 jours

Le Qatar, géant du gaz, annonce deux nouveaux grands projets de centrales solaires

Ces nouvelles centrales, à Mesaieed Industrial City (Sud) et Ras Laffan Industrial City (Nord), porteront la production photovoltaïque de l'émirat à 1,675 gigawatts (GW) d'ici fin 2024, a précisé la compagnie nationale Qatar Energy.Leur construction sera supervisée par le conglomérat sud-coréen Samsung, pour un investissement initial de plus de 600 millions de dollars (600 millions d'euros).Mesaieed et Ras Laffan sont des lieux clés pour la production de gaz naturel au Qatar, en pleine expansion.La première centrale solaire de très grande envergure du pays (800 mégawatts), Al Kharsaa, à l'ouest de Doha, a commencé à alimenter le réseau national en juillet, selon des sources du secteur. Elle devrait être pleinement opérationnelle avant le début de la Coupe du monde de football le 20 novembre.D'après les organisateurs du tournoi, qui promettent qu'il s'agira du premier Mondial à atteindre la neutralité carbone, cette centrale alimentera les huit stades en électricité.Sur les deux millions de cellules photovoltaïques d'Al Kharsaa, le sable et la poussière du désert sont nettoyés chaque jour par des robots. Qatar Energy a fait savoir que le même système serait utilisé dans les deux nouvelles fermes.Le ministre de l'Energie Saad Sherida al-Kaabi a salué une étape majeure dans les efforts de l'Etat du Golfe pour "accroître le recours aux énergies renouvelables à haut rendement".Le Qatar, qui entend produire 5 GW d'énergie solaire d'ici 2035, est en retard sur ses voisins du Golfe. L'Arabie saoudite a annoncé cette année son intention d'augmenter sa production à plus de 5 GW d'ici 2030 et des centrales solaires existent aux Émirats arabes unis depuis près d'une décennie.
Il y a 2 ans et 198 jours

Energies renouvelables : le Sénat lance le débat sur l'agrivoltaïsme

Le vote a été acquis par 251 voix contre 3.Examiné dans le cadre d'une "niche" réservée au groupe Les Indépendants, ce texte a donné un avant-goût des débats qui s'ouvriront dans moins de deux semaines dans l'hémicycle sur le projet de loi d'accélération des énergies renouvelables (EnR).Une soixantaine d'amendements ont été âprement défendus."Le but de la proposition de la loi est bien d'ajouter un outil contre la catastrophe climatique", a indiqué son auteur, Jean-Pierre Decool. "Nos agriculteurs souffrent, l'agrivoltaïsme pourrait apporter un revenu complémentaire permettant de sauver des exploitations et d'améliorer les conditions de vie", a-t-il ajouté.Le texte comporte une dizaine de dispositions "visant à encourager les projets alliant véritablement production agricole principale et production électrique secondaire tout en prévenant (...) l'essor incontrôlé de projets alibis", a précisé le rapporteur Franck Menonville (Indépendants).Parmi les garde-fous, il prévoit un avis systématique de la Commission de préservation des espaces naturels, agricoles et forestiers (CDPENAF) et la "réversibilité" des installations.Ce texte "prépare utilement les débats" sur le projet de loi EnR, a déclaré le ministre de l'Agriculture, Marc Fesneau. Un amendement gouvernemental à ce projet de loi devrait d'ailleurs favoriser l'agrivoltaïsme."Le gouvernement soutient déjà l'agrivoltaïsme", a-t-il souligné, "cependant il est nécessaire d'aller plus loin"."L'agrivoltaïsme suscite autant d'engouement qu'il ne divise puisque ce sujet se situe au coeur de deux enjeux majeurs, celui de la souveraineté alimentaire et celui de la souveraineté énergétique", a observé Guillaume Chevrollier (LR).Sans s'y montrer opposés, plusieurs orateurs ont insisté sur la nécessité d'entourer son développement de précautions. La proposition de loi "manque encore de quelques garde-fous", a estimé l'écologiste Daniel Salmon, dont le groupe s'est abstenu, de même que les groupes PS et CRCE à majorité communiste."Légiférer sur l'agrivoltaïsme c'est mettre un pied dans la porte (…) pour crédibiliser la compétition entre l'agriculture nourricière et la production énergétique", a mis en garde le socialiste Jean-Claude Tissot qui a voté contre."L'objectif principal doit rester l'alimentation", a insisté Fabien Gay (CRCE).L'agrivoltaïsme "ne doit pas être une artificialisation déguisée des sols", a affirmé le centriste Jean-Pierre Moga, tandis qu'Henri Cabanel (RDSE à majorité radicale) soulignait avec un jeu de mots qu'il "ne doit pas faire de l'ombre au photovoltaïque sur les toits et sur les friches".
Il y a 2 ans et 198 jours

Transition énergétique : les consommateurs européens pourraient économiser 71 milliards d’euros en 2030

L'étude "Flexibilité de la demande dans l'UE : quantification des avantages en 2030" vise à combler une lacune importante car aucune autre projection de cette envergure n'a été réalisée jusqu'à présent dans l’UE. Elle constitue une analyse puissante de l'ampleur des réductions d'émissions et des économies de coûts réalisables si les ménages et les entreprises sont autorisés et encouragés à jouer un rôle plus actif sur la flexibilité de la demande en énergie.Parmi les résultats présentés, il est notamment expliqué que dans l’hypothèse de la pleine activation de la flexibilité des bâtiments, des véhicules électriques et de l'industrie, la situation en 2030 serait la suivante :37,5 millions de tonnes d'émissions de gaz à effet de serre économisées ;11,1 à 29,1 milliards d'euros économisés en investissements dans le réseau de distribution ;71 milliards d'euros seraient directement économisés par les consommateurs ;15,5 TWh (61%) correspondraient à la réduction des énergies renouvelables évitée.2,7 milliards d'euros supplémentaires pourraient être injectés sur la capacité de production de pointe.Pour Michael Villa, Executive Director de smartEn : « Nous sommes très heureux que, parmi les interventions de conception du marché d'urgence, un objectif de réduction de la demande d'électricité de pointe ait été introduit pour stimuler la consommation flexible en fonction du temps. Comme le souligne l'étude de DNV, le rôle des consommateurs est extrêmement judicieux à la fois maintenant, pour cette situation d'urgence, et en 2030, pour aider à intégrer l'électricité renouvelable et atteindre notre objectif de réduction de 55GHG de manière rentable. »Pour Daniele Andreoli, Head of Demand Response, Enel X Global Retail : « L'étude représente une étape cruciale pour le développement futur des solutions de flexibilité de la demande, car elle révèle et quantifie clairement le rôle déterminant de la consommation flexible pour réussir de manière durable et rentable la transition énergétique. »Pour Seydou Kane, Vice President, Public Affairs, Corporate, EMEA, Eaton : « Cette étude montre comment les ménages et les entreprises - ceux qui ont traditionnellement payé pour l'énergie - peuvent économiser de l'argent, en gagner et réduire la pression sur le réseau si on les encourage à investir dans des technologies qui leur permettent d'accéder aux avantages de la flexibilité. »Pour Carmen Munoz, Head of downstream activities, EDF R&D : « La flexibilité de la demande représente d'énormes opportunités de réduction des émissions et de gestion de crises. Nous serons ambitieux et prudents dans la promotion et le déblocage des investissements nécessaires uniquement pour les ressources qui peuvent effectivement atteindre la neutralité climatique. »L'étude DNV est une source précieuse d'informations pour soutenir les prochaines négociations Fit for 55 afin de stimuler le déploiement de ressources énergétiques plus numériques et décentralisées, et l'activation complète de la flexibilité de la demande au profit des consommateurs et de l'ensemble du système énergétique.Vous pouvez accéder au rapport complet ici.
Il y a 2 ans et 198 jours

Nouveau mois record pour le Livret A en septembre

La collecte nette, c'est-à-dire la différence entre les dépôts des épargnants et les retraits, s'est établie à près de 2,7 milliards d'euros, plus de dix fois le montant de septembre 2021.Si c'est un niveau historique pour septembre, il s'agit cependant d'un ralentissement après les 4,49 milliards du mois précédent, eux aussi historiques, pour un mois d'août. Juillet ayant également été historique, c'est donc le troisième mois d'affilée que le Livret A enregistre une collecte record pour la période.Pour comparaison, la collecte nette du Livret A en septembre 2021 était de 240 millions d'euros.Celle du Livret de développement durable et solidaire (LDDS) a, pour sa part, atteint 470 millions d'euros en septembre 2022, contre une collecte nette négative de 260 millions en septembre 2021, les retraits ayant alors été supérieurs aux dépôts.Les deux livrets ont collecté ensemble plus de 3,1 milliards d'euros en septembre, et 30,60 milliards d'euros depuis le début de l'année.Si le relèvement du taux du Livret A et du LDDS à 2% à partir du 1er août, contre 1% précédemment, a pu encourager les Français à y déposer leur épargne, il est toutefois important de noter que leur rendement reste négatif en tenant compte de l'inflation. Cette dernière a atteint 5,6% sur un an en septembre selon l'Insee.Géré conjointement par la Caisse des dépôts et les réseaux bancaires, le Livret A sert essentiellement à financer le logement social, tandis que le LDDS est dédié à l'économie sociale et solidaire ainsi qu'aux économies d'énergie dans les logements.L'encours des deux livrets a par ailleurs dépassé la barre symbolique de 500 milliards d'euros, à 500,3 milliards d'euros très précisément (+5,9% sur un an).
Il y a 2 ans et 198 jours

La filière électrique adresse une lettre ouverte aux parlementaires pour un Plan de sobriété moins frileux

« C’est la première fois qu’une campagne de si grande ampleur les incite, grâce à des messages percutants sur les gestes simples du quotidien, à mieux maîtriser leur consommation de chauffage, à éteindre les lumières et appareils non utilisés ou encore à décaler l’utilisation de certains appareils hors des périodes de pointe électrique, afin de réaliser des économies d’énergie.Pour répondre aux enjeux de baisse des consommations, mais aussi pour limiter la hausse de la facture énergétique, les dispositifs de pilotage sont indispensables. Déployables très rapidement, avec un retour sur investissement allant de 1 à 2 ans considérant la hausse des prix de l’énergie, ils peuvent jouer un rôle majeur dans l’objectif de réduction de 10% de la consommation d’énergie d’ici 2024. Ces dispositifs s’utilisent quelle que soit l’énergie de chauffage (gaz, électricité, fioul, bois...) et sont le meilleur investissement pour appréhender plus sereinement les hivers prochains. En effet, selon l’ADEME, un thermostat programmable permet jusqu’à 15% d’économies ; ces économies peuvent même atteindre au moins 20% avec un système de pilotage qui peut s’utiliser sur smartphone, en un clic.Tout comme le Président de la République [1], la filière électrique s’étonne toutefois du décalage existant entre le message principal de la campagne incitant vivement le pilotage des consommations, tout en laissant ces solutions hors du principal levier d’accompagnement des ménages à savoir MaPrimeRénov’. Nous restons en effet inquiets sur la capacité des Français à endosser, d’une part, l’augmentation de 15% en moyenne de leur facture d’énergie dès le 1er janvier 2023 et d’autre part, la quasi-totalité du coût d’installation d’un système de pilotage. Le recours au seul dispositif des certificats d’économies d’énergie, financé par les factures des ménages, et l’accent mis uniquement sur les programmateurs de chaudière ne sauraient répondre à l’urgence du déploiement de solutions de pilotage global des consommations énergétiques.Il est indispensable de structurer dès à présent le marché résidentiel à horizon 2030, avec une politique publique claire et stable au risque de recréer l’échec connu en 2020 sur le coup de pouce CEE. Seule une vision à long terme permettra d’équiper à horizon 2030 les 37 millions de logements en système de pilotage afin que les Français réalisent réellement ces écogestes en un clic, sans y penser ou à distance, via leur smartphone.Mesdames, Messieurs les parlementaires, nous comptons sur votre appétence à protéger les Français pour faire de la prochaine Loi de Finances, un outil réel pour allier fin du mois et fin du monde. »[1] Le Parisien « Macron bien décidé à rester au centre du jeu » – Jeudi 13 octobre
Il y a 2 ans et 198 jours

Dijon lance un vaste projet d'énergie "positive"

STRATÉGIES LOCALES. "Produire plus d'énergie que ce qu'on consomme" : la Métropole de Dijon a lancé un vaste chantier d'énergie positive, le "plus grand projet d'autoconsommation collective" en France.
Il y a 2 ans et 198 jours

Lancement d'Ecogaz, un "baromètre" pour économiser le gaz cet hiver

Lorsque le signal sera orange ou rouge, la plateforme Ecogaz enverra une alerte par courriel ou SMS aux consommateurs qui se sont inscrits sur laplateforme myecogaz.com pour les prévenir et les encourager à réduire immédiatement leur consommation.Le dispositif est proche de celui déjà lancé pour économiser l'électricité, Ecowatt, sorte de météo de l'électricité déclinée en trois codes couleurs, vert, orange, et rouge.Ecogaz, lui, donne la tendance du réseau gazier sur cinq jours en suivant un code en quatre couleurs: vert (consommation normale), jaune (légèrement supérieure à la normale), orange (très supérieure et/ou tension) et rouge (risques de coupures).L'activation du signal rouge ouvre la voie à des interruptions volontaires rémunérées ou à des délestages (coupures) pour les grands clients industriels. Elle épargne en revanche les particuliers, les coupures étant techniquement difficilement réalisables chez ces clients.Le signal est actualisé quotidiennement en tenant compte d'une part des prévisions de consommation des prochains jours et d'autre part de l'équilibre entre les entrées (via les gazoducs, les terminaux méthaniers, les stockages et la production de biométhane) et les sorties de gaz sur le réseau.Avec la guerre en Ukraine, le tarissement du gaz russe a amené l'Europe à repenser tout son approvisionnement en gaz pour remplir ses stocks d'hiver. Ces stockages sont désormais pleins en France, mais il faut économiser "dès maintenant" pour faire face à un éventuel hiver très froid, estime GRTgaz."Si on a un hiver moyen, on est capable de satisfaire la demande, mais s'il fait très froid on peut avoir à gérer des situations tendues" en deuxième partie d'hiver, quand les stocks baissent, explique à l'AFP Thierry Trouvé, directeur général de GRTgaz.Ecogaz viendra en soutien du plan de sobriété annoncé par le gouvernement pour inciter les particuliers, collectivités et entreprises à économiser l'énergie, selon GRTgaz. Il a été conçu avec l'Ademe, l'Agence de la transition écologique, et Terega, gestionnaire de transport du réseau gazier dans le sud-ouest.Plus d'une soixantaine de partenaires (entreprises, acteurs du logement, collectivités, médias et fournisseurs d'énergie) ont signé la charte Ecogaz, s'engageant à relayer les signaux d'alertes et à réduire leurs propres consommations.
Il y a 2 ans et 198 jours

KSB lance Calio Pro, circulateur à haute efficacité énergétique pour les grands bâtiments

La technologie au service de l’efficacité énergétiqueAvec leurs rendements élevés, les nouveaux groupes motopompes répondent déjà aux futurs standards d’efficacité énergétique. Grâce au programme intelligent DynamicControl intégré à la pompe, il est possible d’économiser environ 40% d’énergie en plus par rapport à la régulation de pression proportionnelle conventionnelle. Entièrement basée sur le logiciel, cette fonction ne nécessite aucune installation de nouveaux capteurs ou actionneurs et n’entraîne donc aucun coût supplémentaire. Toutes les informations nécessaires sont fournies automatiquement aux pompes par les signaux internes. L’utilisation de ce programme exclut toute sous-alimentation en cas de modification des conditions de l’installation.La nouvelle gamme se décline en 25 tailles. Elle est capable de fournir un débit maximum de 24 m3/h et sa hauteur manométrique totale peut atteindre 12 mCE. La gamme Calio Pro est équipée de série d’un report centralisé de défaut libre de potentiel pour une transmission simple à la Gestion Technique du Bâtiment.Une installation facile et une utilisation simplifiéeSans module logiciel ou matériel supplémentaire, il est possible de permuter deux pompes - l’une étant utilisée comme pompe principale et l’autre comme pompe de secours - de manière automatique en cas de défaut de fonctionnement ou selon un programme horaire. Ainsi, les coûts d’investissement et de mise en service peuvent être minimisés.Le montage et la mise en service sont très simples, car tous les modes de fonctionnement, fonctions et valeurs de consigne peuvent être réglés à l’aide des touches sur l’écran du clavier afficheur. L’utilisateur voit s’afficher la hauteur manométrique réglée ou, en fonctionnement boucle ouverte, le niveau de vitesse. Il est possible d’empêcher toute modification non autorisée des paramètres de fonctionnement en verrouillant le clavier.Conçus pour une plage de température de -10°C à +110°C, ces nouveaux groupes couvrent un grand nombre d’applications, du transport d’eau de chauffage et de réfrigérants aux systèmes de circulation industriels. La gamme comprend aussi une version double Calio Pro Z.
Il y a 2 ans et 198 jours

Une gamme solaire complète qui répond à toutes les demandes du marché.

Pour répondre aux besoins en production d’énergie, EDILIANS a développé des solutions selon votre consommation, l’architecture de votre projet et votre budget.  EASY ROOF ACCESS Une solution fiable : résistante aux UV, à la rouille, à la grêle, à la neige et au vent. Un produit accessible : un excellent rapport qualité/prix ainsi qu’un montage rapide !   LA TUILE SOLAIRE MAX Une durabilité optimale : imputrescible, anti-corrosion et résistante, c’est la tuile en intégration la + sûre du marché ! Un modèle universel : la tuile solaire max s’adapte à tous les modèles de tuiles de couverture.   LA TUILE EN TERRE CUITE SOLAIREUne solution discrète : la tuile en terre cuite solaire s’intègre parfaitement à votre toiture et ne dénigre pas l’architecture de votre édifice.  Une pose familière : sa forme et ses caractéristiques de mise en œuvre sont identiques à leurs équivalents traditionnels en terre cuite. Pour les professionnels, c’est un réel gain de temps et de rentabilité.  
Il y a 2 ans et 198 jours

Les solutions solaires de demain : EDILIANS s’engage dès aujourd’hui !

EDILIANS a développé des solutions solaires pérennes pour toutes typologies de projets et surtout pour tous les budgets : la Tuile Solaire Max, sa tuile en terre cuite solaire ainsi que ses panneaux PV EASY ROOF ACCESS. L’EASY ROOF ACCESS est peu couteux, facile à installer et parfaitement étanche. Résistant aux UV, à la rouille et aux intempéries et dans une logique éco-responsable, il est 100 % recyclable ! La tuile terre cuite solaire est la solution idéale qui englobe le savoir-faire d’EDILIANS et la technologie solaire. Son esthétisme offre une parfaite intégration à l’architecture de votre édifice.   Ses caractéristiques et sa forme sont identiques à leurs équivalents en terre cuite traditionnels ; un gain de temps et de rentabilité pour les pros. Quant à la tuile solaire max, elle se distingue par sa performance énergétique et sa facilité de pose. Garantie imputrescible, anti-corrosion et résistante aux intempéries ! Bonus : pose simplifiée en plein carré ou à l’égout.