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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Energie

(18128 résultats)
Il y a 2 ans et 213 jours

Batimat : Les produits que vous avez (peut-être) manqués

Si Batimat a quitté le gigantisme du Parc des Expositions de Paris Nord Villepinte pour retrouver le parc des expositions de Portes de Versailles, mondial du bâtiment oblige, difficile d’en faire le tour. Pour vous, Batijournal revient sur quelques produits qui vous ont peut-être échappés. Style Inov : Styl’Inov Evolution Style Inov développe un nouveau profil de couverture à joints debout en acier galvanisé laqué pour la couverture/bardage. Le profil est façonné en usine remis directement au couvreur. Par sa conception, le temps de pose est divisé par deux estime l’entreprise. Stylinov Evolution est proposé en 6 coloris. Il affiche des dimensions de 0,5 mm d’épaisseur, de 29 mm de hauteur de joint, de 469 mm d’entraxe des joints. Sa longueur maximale est de 13m. Style Inov a engagé une démarche auprès du CSTB afin d’obtenir une fiche FDES. Le produit a été récompensé par le label SAGERET « ELU INNOVATION du BTP par les professionnels 2022 lors des élections des Produits du BTP 2022. Héméa : Le Club pro Hemea développe Club Pro hemea, une gamme de service pour les professionnels du bâtiment. Objectif : libérer du temps avec un logiciel de devis. L’entreprise assure que l’outil peut libérer entre 5 et 10 heures de temps par mois sur la réalisation des devis. Une base de prix est associée au logiciel qui permet aux professionnels de se positionner par rapport aux prix du marché. La base de données a été nourrie grâce à des audits réalisés auprès de centaines de professionnels. A côté de cela, ont été associés d’autres outils digitaux comme la signature électronique, des notifications d’ouverture qui permettent de voir quand et combien de fois un client a ouvert un devis. Une messagerie a été intégrée directement dans la plateforme afin de faciliter les échanges entre clients et professionnels. Héméa développe également une centrale d’achat de matériaux en ligne. Riou Glass : Store Vision  Riou Glass a développé un vitrage avec store intégré. Le produit est proposé en deux versions, avec lames ou Blackout (store plissé). Le store vision lame peut embarquer au choix, une commande manuelle slide ou à moteur solaire. Il est proposé en blanc, gris métallisé, ou beige. Le store Vision Blackout permet d’occulter complètement la lumière en journée. Il est disponible en commande manuelle par cordon, ou à moteur solaire. Les deux produits apportent également un bénéfice d’un point de vue thermique, solaire, sonore et sécuritaire promet l’entreprise. Alucobond ® Easy fiX  Alucobond a présenté son nouveau système de fixation invisible pour façade ventilée Easy fiX. Afin de garantir une plus grande liberté architecturale, le calepinage des cassettes peut être au choix, horizontal et/ou vertical. Le pliage lui, est réalisé par fraisage directement sur chantier. Cette petite particularité permet également d’assurer un meilleur taux de remplissage des camions à la livraison, et ainsi de réduire les émissions liées au transport indique l’entreprise. Les fixations par pincements sont invisibles et ne nécessitent pas l’ajout de rivets. Ce qui réduit l’épaisseur des cassettes de 31 mm. Edilteco : Politerm® R Produit de la gamme green d’Edilteco, Ploliterm®R est conçu à partir de polystyrène expansé 100% recyclé. Sa matière première est issue des chutes de découpe de bloc de panneaux sur les chaînes de fabrication. Les déchets sont récupérés, broyés et regranulés dans des diamètres de 2 à 5 mm, puis ensachés. Cet agrégat d’isolant est destiné aux mortiers et béton légers thermo-acoustiques pour la réalisation de chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes et remplissage. Il isole et traite thermiquement et acoustiquement les supports.
Il y a 2 ans et 213 jours

La parole à Idealtherm – Bati Journal TV sur Batimat 2022

Un nouveau chauffage par le plafond, efficient, très basse température… avec François Higel, Directeur – Idealtherm     Cet article La parole à Idealtherm – Bati Journal TV sur Batimat 2022 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 213 jours

Plan de sobriété énergétique : des travaux à la clé

Centré sur les usages, le plan national de sobriété énergétique doit générer des travaux au sein des bâtiments existants, des logements...-Immobilier
Il y a 2 ans et 214 jours

Pour son prochain budget, le gouvernement français table sur une croissance mondiale de 3,1% en 2023

Pour la zone euro, le Rapport économique, social et financier prévoit 1,5%, contre un maigre 0,3% dans les dernières prévisions de l'OCDE datant de fin septembre.Pour la France, le projet de budget 2023 du gouvernement est bâti sur un scénario de 1% de croissance."Les aléas autour de ce scénario économique sont particulièrement élevés", notamment en raison du conflit en Ukraine, souligne le gouvernement dans ce rapport transmis au Parlement dans le cadre de l'examen du projet de loi de finances 2023.Dans un contexte international difficile, "la contribution du commerce extérieur à la croissance du PIB serait nulle en 2022 et 2023", prédit le gouvernement, alors que le déficit commercial devrait se creuser à 156 milliards d'euros cette année, avant de se stabiliser à 154 milliards l'an prochain, en raison de l'envolée de la facture énergétique de la France.Le solde négatif des biens et services se dégraderait moins, passant de 73 milliards d'euros en 2022 à 68 milliards en 2023, grâce à un excédent des services qui augmenterait de 62 à 65 milliards.Le salaire moyen par tête accélérerait de 3,6% cette année, puis de 4,1% en 2023, rattrapant presque le niveau de la hausse des prix à la consommation projeté pour l'an prochain (4,2%)."Taux d'épargne toujours élevé"La consommation des ménages continuerait à progresser, mais moins vite, passant de 2,5% à 1,4% en 2023."Les comportements de précaution resteraient toutefois importants, ce que traduirait le maintien d'un taux d'épargne toujours élevé", à 16,3%, nettement au-dessus de la moyenne de la période de 2010 à 2019 (14,8%).Le rapport met en avant que, sans bouclier tarifaire ni remise carburants, la hausse des prix en France serait plus élevée de deux points de pourcentage cette année et de plus de 3,5 points en 2023.L'ensemble des mesures de soutien ont permis de stabiliser le pouvoir d'achat des ménages cette année, qui aurait sinon baissé de 3,5 points de pourcentage. Pour 2023, le pouvoir d'achat devrait augmenter de 0,9% contre une baisse supérieure à 3,5 points en l'absence de mesures.Parmi les soutiens au pouvoir d'achat figure aussi la suppression progressive de la taxe d'habitation, qui sera achevée l'an prochain.Le ratio de dépense publique devrait diminuer d'un point, passant de 57,6% du PIB cette année à 56,6% l'an prochain, la dépense publique reculant de 1,5% en volume (une fois retranchée l'inflation) "avec la quasi-extinction des dépenses de soutien d'urgence et la réduction des dépenses de relance".Le taux de prélèvements obligatoires diminuerait lui d'une demi-point de pourcentage pour s'établir à 44,7% du PIB en 2023.Sur le front de l'emploi, 2022 se terminerait avec 320.000 créations nettes. Le rythme ralentirait l'an prochain, avec seulement 115.000 créations nettes.Côté entreprises, le taux de marge progresserait légèrement l'an prochain, passant de 31,9% à 32,1%, soutenu par la suppression de la première partie d'un impôt de production, la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE).L'investissement devrait continuer à augmenter, mais sa progression ralentirait de 1,4% cette année à 0,9% l'an prochain.
Il y a 2 ans et 214 jours

Plan de sobriété : le chauffage des bâtiments, première source d'économies

ANNONCES. Le plan de sobriété a été présenté dans son intégralité. Pour baisser la consommation globale de 10% en deux ans, le gouvernement demande à l'ensemble des secteurs de l'économie de participer. Le chauffage des bâtiments, tertiaires ou d'habitation, est ciblé en priorité. L'individualisation des frais de chauffage, mal appliquée, fait l'objet de propositions.
Il y a 2 ans et 214 jours

Les réserves françaises de gaz sont remplies à 100% selon la Commission de régulation de l'énergie

"La campagne de remplissage des stockages pour l'hiver 2022/2023 se termine avec des stockages remplis à plus de 99%", a indiqué dans un communiqué la CRE, la France devenant ainsi le troisième pays européen après la Belgique et le Portugal à remplir au maximum ses capacités de stockage de gaz naturel.Avec 130 TWh, ces réserves, qui ont atteint un "niveau supérieur à la moyenne des dernières années", représentent "environ 2/3 de la consommation hivernale des PME et des particuliers" en France, détaille-t-elle.La Commission met en garde contre "des situations de tension néanmoins possibles en fonction des conditions du passage de l'hiver". "Un effort collectif massif visant à réduire nos consommations d'énergie, associant entreprises, administrations, collectivités et particuliers, est donc indispensable", assène-t-elle.Une vision partagée par les deux sociétés chargées du stockage, Storengy, filiale d'Engie, et Teréga: "Afin d'anticiper d'éventuelles situations de tension dans les mois à venir, une utilisation raisonnée des stockages ainsi qu'un effort de sobriété sur les consommations de gaz et d'électricité apparaissent nécessaires dès maintenant", ont-elles affirmé dans un communiqué commun."Ce taux de remplissage des stockages confirme la fiabilité du système et des infrastructures gazières françaises", a salué le PDG de Teréga, Dominique Mockly, dont l'entreprise stocke un quart du gaz en France, principalement sur des sites situés dans le sud-ouest du pays.Les trois quarts restant sont répartis sur 14 sites de stockage éparpillés sur tout le territoire et opérés par Storengy, dans des sites souterrains naturels tels que des nappes aquifères.L'objectif du gouvernement de remplir les capacités de stockage du pays en gaz naturel d'ici novembre est donc atteint alors que les exportations de gaz russe vers la France sont totalement taries depuis le 1er septembre.Il doit présenter jeudi son "plan de sobriété énergétique", visant à mobiliser tous les secteurs de la vie économique et sociale pour réduire de 10% la consommation française d'énergie en deux ans et aider le pays à affronter un hiver tendu.Storengy et Teréga ont insisté sur les deux scénarios envisagés pour cet hiver. "Un hiver moyen sans pointe de froid marquée, montre un système globalement équilibré", écrivent-ils même s'il y a "peu de marge de manoeuvre".Mais en cas de vague de froid sévère ou durable, "le déficit hivernal peut atteindre 16 TWh, ce qui représente 5% de la consommation hivernale", préviennent les deux entreprises. Des mesures de sobriété seront alors essentielles pour éviter les coupures et malgré cela, "toutes les sources devront alors être mobilisées" pour satisfaire la consommation.Outre la France, la Belgique et le Portugal, la Pologne a aussi ses réserves presque pleines, avec un taux de remplissage de 98,34% selon la base de données de Gas Infrastructure Europe. En moyenne, les pays de l'Union européenne ont rempli leur capacité de stockage à 89%, en anticipation d'un hiver inédit sans gaz russe.Le pays le moins bien loti est la Lettonie, avec 52,75%.
Il y a 2 ans et 214 jours

Annonces du plan de sobriété : ce que l'Etat attend des industriels

CONSOMMATION D'ÉNERGIE. Les pouvoirs publics attendent des efforts de la part des industriels dans le cadre de l'objectif de diminuer de 10% la consommation d'énergie nationale dans les deux ans.
Il y a 2 ans et 214 jours

L'acquisition géante d'Equans par Bouygues finalisée

Le géant du BTP aura payé 6,5 milliards d'euros pour cette acquisition, soit 6,1 milliards de titres d'Equans, plus la reprise de la dette de la société à Engie (800 millions d'euros), moins 400 milions d'euros de trésorerie positive, explique-t-il.Engie indique pour sa part que "cette opération (lui) permet de réduire sa dette nette d'environ 7,1 milliards d'euros".L'accord était intervenu entre les deux groupes en novembre 2021.Ce rachat, le plus important par son montant jamais réalisé par la société Bouygues depuis sa création en 1952 par Francis Bouygues, lui permet "de devenir un leader mondial sur le marché porteur des services multi-techniques dont les activités sont au coeur des transitions environnementale, industrielle et numérique", souligne-t-il mardi dans un communiqué.Le nouvel ensemble, qui garde le nom Equans et intègre aussi le pôle Energies & Services de Bouygues, représentera environ 17 milliards d'euros de chiffre d'affaires.Il regroupera environ la moitié des collaborateurs du groupe Bouygues, soit 97.000 personnes (dont 75.000 venus d'Equans) dans plus de 20 pays, sur des services incluant le génie électrique, climatique, mécanique, les systèmes d'information et de télécommunication, la gestion des installations ainsi que la "ville intelligente"."L'acquisition d'Equans constitue une étape majeure dans l'histoire de Bouygues. Nous devenons un leader mondial des services multitechniques, et renforçons la résilience du groupe", a commenté Martin Bouygues, le président du conseil d'administration, cité dans le communiqué.Le groupe Bouygues voit ainsi son chiffre d'affaires total porté de 38 milliards d'euros à près de 51 milliards d'euros. Ses effectifs atteindront environ 200.000 collaborateurs dans plus de 80 pays.Historiquement connu pour la construction, Bouygues s'était déjà diversifié dans les télécoms (avec Bouygues Telecom) et les médias (avec TF1). Mais son quatrième pôle "Energies & Services" restait relativement modeste avec un chiffre d'affaires de 4 milliards d'euros.Du côté du géant français de l'énergie Engie, "la finalisation de cette cession est une étape majeure dans le recentrage d'Engie, et permet au groupe d'investir dans la croissance de ses métiers clés pour continuer d'accélérer la transition énergétique", a commenté sa directrice générale, Catherine MacGregor, dans un communiqué distinct.Face à Bouygues, d'autres candidats au rachat s'étaient présentés, dont l'entreprise de BTP Eiffage et le fonds américain Bain Capital allié au financier Marc Ladreit de Lacharrière via sa holding Fimalac, ainsi que Spie."L'offre de Bouygues était la mieux-disante au regard de l'ensemble des critères retenus par Engie, y compris sur le plan financier", avait expliqué en novembre l'énergéticien, détenu à 23,64% par l'Etat français et qui souhaite se concentrer notamment sur les énergies renouvelables et les réseaux.
Il y a 2 ans et 214 jours

Ondura rejoint Kingspan et intègre sa nouvelle division « Roofing and Waterproofing »

Ondura, créé autour de l’entreprise française Onduline, est spécialiste des solutions de toitures légères. Propriétaire d’alwitra, spécialisé dans les membranes hautes performances pour les toits plats et de l’entreprise polonaise CB, l’un des leaders européens des écrans de sous toiture et d’accessoires de couverture pour toits en pente, Ondura dispose d’une grande expertise dans l’étanchéité à l’eau et à l’air des bâtiments et développe ses activités sur les cinq continents. Dirigé par Patrick Destang, Ondura est présent dans plus de 100 pays et emploie 1.600 personnes.Ondura aborde une nouvelle étape en rejoignant le groupe Kingspan, leader mondial de solutions hautes performances pour l’isolation et l’enveloppe du bâtiment. Le rapprochement, annoncé en février 2022*, vient en effet de recevoir la validation des autorités réglementaires.A l’issue de cette intégration, Kingspan, présent dans plus de 70 pays et disposant de plus de 200 sites de production dans le monde, opérera dans six pôles majeurs :Insulated Panels : Panneaux sandwichs isolants, division principale et historique de Kingspan,Insulation : Panneaux isolants, isolation des tuyauteries et gaines,Light + Air : Solutions d’éclairage naturel et de ventilation, système d’évacuation des fumées,Water & Energy : Systèmes innovants de collecte des eaux de pluie et de contrôle des inondations, stockage des combustibles, des eaux chaudes, gestion intelligente des bâtiments,Data & Flooring Technology : Systèmes de planchers surélevés.Roofing & Waterproof - Solutions de toitures autour des savoir-faire d’Ondura.*Cf communiqué du 18 février 2022 : « Kingspan, le leader mondial des solutions d'isolation et d'enveloppe du bâtiment de haute performance, est entré en négociations exclusives avec Naxicap Partners et autres pour l'acquisition du groupe Ondura»Alors que le secteur du bâtiment est en pleine transition énergétique et écologique, cette nouvelle étape est particulièrement prometteuse pour le développement d’Ondura, qui bénéficiera de tout le support d’un groupe leader.Pour Patrick Destang, CEO d’Ondura : « L’intégration d’Ondura dans Kingspan est une excellente nouvelle pour l’ensemble des salariés du groupe. Kingspan est un groupe profondément international, résolument tourné, avec son programme « Planet Passionate », vers une ambition de réduction des consommations d’énergie et de développement durable conforme au scénario de 1,5°C du GIEC. Le réchauffement climatique et les incertitudes économiques démontrent l’importance de profiter de toitures et de systèmes d’étanchéité thermiquement performants et peu énergivores. Ondura, qui dispose de positions uniques sur ce segment, bénéficiera de toute l’expérience et du savoir-faire de Kingspan dans ce domaine pour proposer des solutions toujours plus respectueuses de la planète et de ses ressources. Je voudrais remercier Eric Aveillan et l’équipe Naxicap qui ont été des partenaires essentiels dans le développement d’Ondura, qui nous ont soutenu dans nos projets de croissance interne et externe, permettant au groupe de doubler son CA entre 2018 et 2021, incluant les acquisitions d’alwitra et de CB. »Pour Donal Curtin, Directeur général de la division Roofing & Waterproofing de Kingspan : « Le management, l’ensemble des équipes et les marques premium d'Ondura représentent des avantages de poids pour Kingspan, complétant nos capacités, produits et solutions existants. Impatients de poursuivre notre expansion sur les marchés de la toiture et de l'étanchéité, nous nous réjouissons de grandir ensemble et de partager nos expertises. Nous sommes enthousiastes à l'idée d'accueillir l'équipe élargie d'Ondura dans la famille Kingspan et de soutenir le succès continu de l'entreprise. »
Il y a 2 ans et 214 jours

Précarité énergétique : ENGIE lance un service gratuit pour suivre ses consommations d’électricité.

ENGIE renforce le soutien à ses clients en électricité bénéficiaires du chèque énergie en mettant gratuitement à leur disposition Mon Elec en Direct. Ce service permet de suivre sa consommation d’électricité en temps réel et en euros, à tout moment depuis un smartphone ou une tablette, partout en France. Concrétisation de la règlementation sur la […]
Il y a 2 ans et 214 jours

La parole à Hellio : comment les artisans réagissent au contexte actuel ? – Bati Journal TV sur Batimat 2022

Covid-19, crise russo-ukrainienne, hausse des coûts de l’énergie, pénurie de matériaux… Les artisans doivent composer avec une conjoncture mouvementée. Pour pérenniser et développer leur activité, plusieurs options s’offrent à eux. Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l’énergie et helloArtisan, plateforme de mise en relation entre particuliers et professionnels du bâtiment, ont souhaité prendre le pouls de l’activité des professionnels avec Arthur Bernagaud, Directeur des opérations BtoC – Hellio    
Il y a 2 ans et 215 jours

"Diminuer drastiquement l'usage du béton" dans la construction pour sauver le climat

La construction est responsable de près de 40% des émissions de gaz à effet de serre mondiales selon l'Onu, dont 28% liées à l'utilisation de l'énergie (lumière, chauffage, climatisation), et 11% aux matériaux.Pour Lina Ghotmeh, qui a accordé un entretien à l'AFP avant la conférence des Nations unies sur le climat COP27 de Charm-El-Cheikh en Egypte, la "première étape" pour réduire l'empreinte carbone de la construction est de "conserver l'existant, ne pas démolir" et "travailler sur la rénovation énergétique pour réduire la consommation des bâtiments et les rendre plus bioclimatiques".Mais difficile selon elle d'"arrêter de construire" du neuf vu les besoins en logements: "ce serait comme dire d'arrêter de se nourrir"."Ce qu'il faut, c'est changer notre système de valeur", ajoute Mme Ghotmeh, qui a enseigné à l'université de Yale aux Etats-Unis, copréside une association pour l'architecture en milieu extrême, et vient d'être nommée au conseil d'administration du géant des matériaux Saint Gobain en tant que directrice indépendante.Pour la manufacture de maroquinerie et sellerie d'un grand groupe de luxe qu'elle construit en France, l'architecte a choisi de construire avec de la brique, fabriquée à partir de la terre d'excavation du site, renforçant ainsi l'inertie du bâtiment - sa capacité à stabiliser sa température et réduire ses besoins en énergie-. Pas de matériaux venant du bout du monde. Retour à des techniques ancestrales, associées à de la production d'électricité propre. Et au final un bâtiment "passif" qui produit plus d'énergie qu'il n'en consomme. L'inauguration est prévue début 2023.Matériaux bio ou géosourcésPour elle, le défi des constructeurs face au réchauffement est double: réduire les émissions de CO2 et réduire les consommations. "Comment choisir des matériaux produits avec le moins d'impact carbone possible et dessiner une architecture bioclimatique, c'est-à-dire qui a besoin de moins d'énergie?" résume-t-elle. Auquel s'ajoute un troisième: Comment bâtir plus léger avec moins de matière?L'architecte doit très en amont "réfléchir de manière circulaire, se dire que le matériau choisi sera capable un jour de revenir à la terre ou être réutilisé", et privilégier des origines bio ou géosourcées: bois, chanvre, lin ou pierre, et locales."Au Canada, on construit des tours en bois, au Japon aussi, c'est un matériau qui est tout à fait capable d'être utilisé pour des constructions hautes" même en s'adaptant à des réglementations qui "changent constamment" (hauteur, règlements anti-incendies..), dit l'architecte, qui s'apprête à construire une tour en bois à Paris en 2023."Dans ma démarche de projet, je regarde de façon scrupuleuse les étiquettes des matériaux", ajoute-t-elle, en "bannissant" par exemple ceux qui ont "trop de plastique, ou trop de colle", ou des étiquettes "pas assez transparentes" sur les composantes.Beyrouth, terrain "précurseur"Par ailleurs, "il faut diminuer drastiquement l'usage du béton", dit-elle, et réserver son utilisation aux chantiers pour lesquels il restera irremplaçable, par exemple pour les fondations et constructions en zone sismique.Exactement ce qu'elle a fait à Beyrouth, la ville "éventrée", défigurée par la guerre où elle a grandi, et qui a suscité sa vocation de "construire". Sa tour de logements baptisée "stone garden" (jardin de pierre) en béton couvert d'un enduit peigné issu d'un savoir-faire artisanal local, a résisté à l'explosion du port le 4 août 2020.Sans dramatiser, elle envisage Beyrouth, ville "du collapse" (effondrement) comme un possible terrain "précurseur", un "avant-goût" de ce qui pourrait attendre nos sociétés pas encore sevrées de pétrole si elles s'effondraient à leur tour sous l'effet des canicules, sécheresses ou inondations liées au changement climatique. "Est-ce que nos systèmes sont résilients, est ce qu'ils sont capables de se transformer, de changer de systèmes de valeur ?" face aux bouleversements amenés par le réchauffement de la planète, s'inquiète-t-elle.Beyrouth peut aussi être un laboratoire avancé de la transition: "puisqu'il n'y a quasiment plus qu'une heure d'électricité par jour, j'ai vu que tous les bâtiments ont des panneaux solaires maintenant. Il y a une sorte d'indépendance énergétique qui commence à se mettre en place, par force. Est-ce-qu'il faut une catastrophe comme celle du Liban pour faire la transition?"
Il y a 2 ans et 215 jours

Crises climatique, démographique et énergétique : comment chaque pays redéfinit ses priorités pour construire la ville de demain ?

Si en France, le secteur de la construction a déjà entamé sa propre transformation, qu’en est-il des autres pays européens et outre-Atlantique ? Comment envisagent-ils ces défis ? Quelles sont leurs priorités et leurs bonnes pratiques en matière de construction et d’habitat pour façonner la ville de demain ?Pour répondre à ces questions, PlanRadar, plateforme européenne de digitalisation des projets de construction et d’immobilier dans le Cloud, a étudié les principales tendances de construction de 12 pays* en Europe, Amérique du Nord et au Moyen-Orient. L’entreprise livre aujourd’hui les résultats du premier volet de son enquête en trois parties, intitulée l’« Architecture du futur », et révèle les principales similitudes et divergences observées entre les pays dans le secteur de la construction. Les deux autres chapitres concerneront l’habitat et les bureaux de demain.Les 12 pays étudiés : Allemagne, Autriche, Emirats Arabes Unis, Espagne, Etats-Unis, France, Hongrie, Italie, Pologne, République tchèque, Royaume-Uni et SlovaquieRendre la construction plus durable et résiliente : un objectif partagé par une majorité de paysDans le monde, près de 2/5 des émissions de CO2 sont émis par le secteur du bâtiment (construction, usage et démolition). D’après l’enquête de PlanRadar, la plupart des pays étudiés considèrent la question environnementale comme une tendance moteur pour l’avenir du secteur. Ainsi tous les pays à l’exception des Etats-Unis et de la Hongrie, estiment qu’atteindre la neutralité carbone dans le secteur de l’habitat est un levier prioritaire. Pour y parvenir, ils misent majoritairement sur la réduction des émissions de CO2 lors du processus de construction et croient, dans une plus faible mesure, à l’accélération de l’intégration des énergies renouvelables dans les bâtiments par le biais de l’installation de panneaux solaires ou encore de pompes à chaleur géothermiques.Du côté de l’urbanisation, dans 10 pays sur 12, les architectes considèrent le développement de la piétonnisation au cœur des villes comme une tendance forte et voient en l’installation des infrastructures de proximité, une mesure efficace pour réduire l’utilisation de la voiture, à l’instar du concept de la ville « du quart d’heure » étudié par de nombreuses capitales.Seuls la Pologne et les Etats-Unis ne semblent pas considérer le potentiel piétonnier comme une bonne pratique pour rendre l’urbanisation plus durable. Aux États-Unis, cela pourrait être une simple question de faisabilité : la plupart des villes du pays ont été historiquement conçues pour l’utilisation de la voiture. Ainsi, la facilité d’accès à pied n’est souvent pas une option réaliste compte tenu de leur disposition préexistante.Si la plupart des pays ont pris conscience de l’urgence d’œuvrer en faveur de la réduction de l’impact carbone du secteur, les solutions identifiées par chaque pays en vue de sa réalisation, différent.…mais des moyens différents pour y parvenirFace au changement climatique, 5 pays sur 12 (États-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, France et Italie) considèrent la résilience du secteur de la construction comme une tendance à prioriser. Un choix qui s’explique notamment par la position géographique de ces pays qui les rend davantage vulnérables aux catastrophes naturelles. Ces pays préconisent ainsi d’intégrer davantage les nouveaux bâtiments dans leur environnement (optimisation de l’orientation de l’habitat, utilisation de la lumière naturelle) tout en considérant ses potentiels risques.Cette résilience passe également, pour 6 d’entre eux (Etats-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Autriche, France, Espagne, République tchèque), par la réhabilitation ou la réutilisation de l’existant. Cette pratique reconnue pour diminuer le bilan carbone du secteur est donc loin d’être généralisée sur le globe. En cause, la rénovation nécessite des compétences complémentaires à celles nécessaires à la construction neuve, qui ne sont pas acquises de manière uniforme selon les pays.Seuls les États-Unis encouragent les architectes à se concentrer majoritairement sur la durabilité des chaînes d’approvisionnement. Les Émirats Arabes Unis sont quant à eux les seuls à considérer que des bâtiments plus petits et de moindre hauteur contribueront à rendre l’urbanisation plus durable ; un constat issu d’une expérience éprouvée dans la construction et la gestion d’immeubles de grande hauteur.L’utilisation de nouveaux matériaux : une tendance clé pour réduire l’impact carbone de la constructionÀ elle seule, la production de béton neuf représente aujourd’hui environ 7% des émissions mondiales de CO2. L’enquête de PlanRadar met en évidence un engouement pour 7 pays autour de l’utilisation de matériaux recyclés (Royaume-Uni, Allemagne, Espagne, Emirats arabes unis, Autriche, Pologne, République tchèque). Une tendance qui s’accélère et qui permet d’éviter les émissions liées à leur extraction et leur fabrication initiales.Alors que 8 pays manifestent leur intérêt pour les matériaux tels que le bois, le chanvre, ou encore la paille, 3 autres pays (Espagne, Italie et Pologne) estiment que l’utilisation du mycélium (champignons) est une tendance d’avenir.L’Italie est d’ailleurs le pays le plus en avance de phase, puisque c’est l’endroit où les experts envisagent le plus grand nombre de nouveaux matériaux à utiliser par les architectes dans la construction du futur. Il s’agit, entre autres, d’éléments tels que le graphène, les peintures photocatalytiques écologiques, le nylon régénéré, les matériaux composites et le béton renforcé de fibres de carbone. De son côté, la France est l’unique pays des 12 à citer le lin comme matériau d’avenir pour la construction.De son côté, le Royaume-Uni est le seul pays à manifester un intérêt pour le béton biosourcé et la France est la seule à s’intéresser au béton translucide.D’autres pays sont, à l’inverse, plutôt réticents en matière d’expérimentation de nouveaux matériaux. Par exemple, selon la Hongrie, le bois et le bois lamellé-croisé sont les seuls « nouveaux » matériaux qui seront utilisés au cours des prochaines années. A contrario, les Émirats arabes unis ne manifestent leur intérêt que pour les « matériaux intelligents ».Retrouvez l’étude complète de ce premier volet à ce lien.*Etude menée par PlanRadar en juin 2022 sur les tendances et priorités des architectes concernant la construction, l’habitat et les bureaux du futur dans 12 pays Etats-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Autriche, France, Espagne, République tchèque, Slovaquie, Hongrie, Italie, Emirats arabes unis et Pologne. Les sources proviennent principalement des données publiques d’experts, d’instituts indépendants et d’organismes professionnels et gouvernementaux. En France, il s’agit principalement du Conseil national des architectes, du Ministère de la Transition écologique et de l’UNSFA.
Il y a 2 ans et 215 jours

L'artisanat du bâtiment résiste mais s'inquiète pour fin 2022-début 2023

ANALYSE. Comment les artisans du bâtiment résistent-ils aux contextes économique et énergétique actuels ? Explications avec Jean-Christophe Repon, président de la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb).
Il y a 2 ans et 215 jours

Seine Maritime : La commune d’Illois se dote d’un parc éolien.

Le parc éolien dans la commune d’Illois en Seine-Maritime entre dans sa phase d’exploitation...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 215 jours

Le retard de l'éolien en France s'accentue

Deuxième source d'électricité renouvelable en France après l'hydraulique, l'éolien a fourni 36,8 térawattheures (TWh) en 2021, soit 7,7% de la consommation française, indique l'Observatoire de l'éolien, produit chaque année par France énergie éolienne (FEE) avec CapGemini.En 2021, 1.200 mégawatts (MW), soit 418 éoliennes, ont été installés, et en 2022 ce sera environ 1.350 MW: loin des 1.900 MW annuels qu'il faudrait en moyenne pour tenir l'objectif, voté par le Parlement, de 34 gigawatts (GW) en 2028. A ce jour, la France affiche une capacité d'un peu plus de 20 GW (environ 9.000 éoliennes).L'année 2022 aura pourtant été marquée par l'ouverture du premier parc éolien en mer, face à Saint-Nazaire, soit 480 MW pour alimenter environ 700.000 personnes, l'équivalent d'un peu moins de la moitié d'un des réacteurs nucléaires les plus récents. Deux autres parcs marins devraient entrer en production, en 2023 et fin 2023-début 2024."A un moment où la France manque d'électricité et doit en importer, il est impératif d'accélérer", souligne Michel Gioria, délégué général de FEE, relevant que seuls l'éolien terrestre, le photovoltaïque et le biogaz seront à même de produire plus d'énergie à très court terme, avant 2025.En 2022 et 2023, le secteur éolien devrait en outre, par contrat, reverser quelque 7,6 milliards d'euros sur les deux années à l'Etat, du fait des prix élevés du marché. Si la tendance se poursuit, il aura ainsi remboursé toutes les aides reçues depuis 2001, note FEE.Sur fond de crise énergétique inédite, le gouvernement a publié fin septembre une circulaire aux préfets leur demandant d'accélérer le traitement des dossiers d'énergies renouvelables, et un projet de loi visant à soutenir le déploiement de ces infrastructures.Pour l'instant, l'effet de la circulaire ne se mesure pas encore pour les 4,5 GW de projets en fin d'instruction et en attente d'autorisation, note FEE. Le secteur souligne aussi le "déficit structurel de moyens humains dans les services de l'Etat pour instruire des projets", qui souvent font plus de 2.000 pages.A ce stade, le projet de budget 2023 prévoit le financement de 15 agents, quand il en faudrait une centaine, souligne M. Gioria, pour qui "ce n'est pas anecdotique: la France est forte pour définir des objectifs, mais la mise en oeuvre souffre d'un manque de moyens".
Il y a 2 ans et 215 jours

Solution « dépose totale » Louineau pour la rénovation de menuiseries

La dépose totale est la technique qui possède le plus d’avantages pour les particuliers. Se rapprochant d’une pose en neuf, elle consiste à démonter entièrement l’ancien cadre de la fenêtre, porte, porte-fenêtre ou baie coulissante y compris les systèmes de fixation, pour retrouver le support initial.Apporteur de solutions avant-gardistes et certifiées, LOUINEAU a développé des systèmes de fixation uniques pour ce procédé : Patte de Rénovation, Patte Renforcée de Rénovation et Cornière Filante de Rénovation en Dépose Totale. Conformes au DTU 36.5, ils maintiennent les dormants des menuiseries Aluminium, Bois et PVC dans l’isolant en applique intérieure. Ils peuvent être fixés sur tous les types de supports constructifs (parpaing, brique...) et dans des épaisseurs d’isolation de 60 à 200 mm. Les travaux sont concentrés uniquement sur les ouvertures sans avoir besoin de reprendre les finitions et la décoration des murs. Conçue pour répondre aux dimensions toujours plus importantes et aux vitrages toujours plus lourds, l’offre « Dépose Totale » LOUINEAU contribue au gain de lumière naturelle et au confort intérieur des occupants. Les nouvelles menuiseries fixées avec les solutions LOUINEAU sont sous garantie décennale.Des travaux réduits, des coûts maîtrisésLes systèmes de fixation LOUINEAU, conformes au DTU 36.5, assurent un perçage de biais directement dans le doublage isolant. Plus besoin de réaliser des saignées dans la plaque de plâtre synonyme par la suite d’enduit de finition, de peinture ou de papier peint. Coûts maîtrisés et aucun dommage intérieur !Des pièces inondées de lumière naturelleÀ l’inverse d’une rénovation partielle ou sur cadre existant, pour laquelle le vitrage sera nécessairement plus petit pour s’adapter à l’ancien cadre, la dépose totale permet, elle, de conserver des dimensions identiques voire supérieures. Par exemple, pour une fenêtre aluminium L. 1,6 x h. 2 m, le clair de vitrage sera de 2,08 m2 en rénovation partielle ou sur cadre existant alors qu’il atteindra 2,53 m2 en dépose totale. L’offre « Dépose Totale » de LOUINEAU renforce cet apport de lumière dans les pièces de vie en garantissant l’intégration de menuiseries aux dimensions XXL. Les propriétaires ne sont plus contraints par des tailles prédéfinies et peuvent profiter pleinement d’une source lumineuse naturelle et généreuse.Le bien-être intérieur en toute saisonLes solutions « Dépose Totale » LOUINEAU assurent une mise en œuvre fiable et durable. Conçues pour maintenir des ouvertures possédant des vitrages de plus en plus lourds et performants, elles participent au confort thermique et acoustique de l’habitat. En hiver, les factures énergétiques sont réduites, en été petits et grands peuvent dormir paisiblement sans être ennuyés par la chaleur de la journée. Toute l’année ils profitent d’un intérieur où la quiétude est de mise...À l’instar d’une pose en neuf, la dépose totale permet de reprendre totalement l’étanchéité. L’isolation à l’air et à l’eau est maximisée, les risques d’infiltration ou de pont thermique sont supprimés. Les menuiseries conservent leur finesse esthétique en s’affranchissant d’un large couvre-joint grâce au vissage en biais et non de face des fixations LOUINEAU.Les + LouineauDans le respect des normes de construction pour l'accessibilité des Personnes à Mobilité Réduite (PMR), LOUINEAU a développé une patte à clipper permettant de fixer la traverse basse d'une porte d'entrée ou d'une baie coulissante adaptée au passage d'un fauteuil roulant (respect du DTU 36.5).
Il y a 2 ans et 215 jours

Le statut d'énergie renouvelable de la biomasse forestière remis en question

Les acteurs de la filière forêt-bois s'insurgent contre un vote du Parlement européen qui exclut des énergies renouvelables une "très large majorité du bois-énergie issu de la forêt" et son accès aux aides publiques.
Il y a 2 ans et 215 jours

Retours d’expériences : Patrimoine – Bati Journal TV sur Batimat 2022

avec Elodie Heberlé, Responsable d’études énergie et environnement – Cerema    
Il y a 2 ans et 215 jours

Une propriétaire condamnée à restituer des années de loyer pour logement indigne

La propriétaire devra verser à son locataire, âgé de 66 ans toujours occupant du logement, la somme de 19.463 euros correspondant à quatre années de loyers "indûment payés", a décidé le tribunal judiciaire de Paris dans un jugement rendu le 15 septembre consulté par l'AFP vendredi.La propriétaire devra également payer à son locataire, qui bénéficie d'une pension d'invalidité, 2.000 euros pour préjudice moral en raison des "constatations relatées dans l'arrêté préfectoral faisant état de risques pour la santé", a estimé le juge.Ce "local mansardé" situé dans le XIe arrondissement possède une surface au sol de 9 m2, mais seulement 5 m2 avec une hauteur sous plafond supérieur à 1,80m, détaille un arrêté préfectoral du 18 janvier après une enquête des services de la Ville de Paris.Le minimum légal est de 9 m2, avec une hauteur minimale de 2,2 m."Outre l'exiguïté des lieux rendant le local impropre à l'habitation, l'arrêté préfectoral relève également les éléments d'insalubrité suivants: absence de système de ventilation permanent, absence de moyen de chauffage, refoulement des eaux usées dans la douche lors de l'utilisation du lavabo, sol dégradé", souligne le tribunal.Fin 2021, une fois le bail résilié, la propriétaire avait assigné le sexagénaire en justice pour obtenir son expulsion du bien qu'elle voulait vendre, ainsi que 4.800 euros de loyers impayés.Mais le locataire s'est tourné vers la Fondation Abbé-Pierre, qui a envoyé aux services de la mairie le signalement qui a abouti à l'arrêté préfectoral."C'est une victoire", s'est réjouie Samia Ayed, chargée de mission habitat indigne à la Fondation. Mais elle n'est "pas totale car le monsieur vit encore dans le logement, rien n'oblige la bailleresse à le reloger". "Aucune proposition ne lui a été faite à ce jour", a ajouté la juriste."Quand le logement est indigne, c'est au propriétaire de reloger la personne en question, sinon tous les marchands de sommeil pourraient s'appuyer sur la bonne volonté de la collectivité et continuer leurs activités", a pour sa part commenté l'adjoint au logement de la mairie, Ian Brossat.Le service technique de l'habitat (STH) de la ville reçoit 5.000 signalements par an pour habitat présumé indigne, selon l'élu communiste, pour qui la décision rendue "n'est que justice".
Il y a 2 ans et 215 jours

Hellio : une nouvelle offre pour le photovoltaïque tertiaire

Hervé Duclos est responsable de l’activité photovoltaïque d’Hellio. Lors du salon Batimat, il est revenu pour nous sur la nouvelle branche dédiée au secteur tertiaire.  Dans un contexte d’explosion du coût des énergies, le photovoltaïque a peut-être une carte à jouer dans le tertiaire. C’est du moins ce que défend Hervé Duclos, responsable de l’activité photovoltaïque d’Hellio.   Batijournal : depuis combien de temps existe votre activité photovoltaïque pour le tertiaire ?  Notre activité photovoltaïque existait déjà pour le résidentiel et au début de 2022, nous avons décidé de déployer une offre destinée au tertiaire.  Batijournal : Quels sont les contours de la nouvelle activité photovoltaïque tertiaire d’Hellio ?  La méthode consiste à analyser le profil d’un client, sa consommation, et ses capacités d’optimisation. En fonction des résultats, nous proposons une centrale photovoltaïque adaptée à son dimensionnement et à ses usages. Ce sont aussi des solutions visant à réduire les consommations de notre client en heure de pointe par exemple. Bref, tous les mécanismes pour optimiser le coût du kw/h.   Batijournal : Quelles perspectives pour le photovoltaïque dans le tertiaire au vu du contexte actuelle d’explosion du coût des énergies ?  Hervé Duclos : Il y a très clairement des perspectives pour le photovoltaïque dans l’industrie. Et ce, pour deux raisons. Le coût d’approvisionnement de l’énergie photovoltaïque est moindre et le retour sur investissement s’est accéléré.  Le coût du Kw/h pour du photovoltaïque est d’environ 6 centimes. Soit 10 centimes de moins que le prix moyen au Kw/h. Depuis 2020, c’est aussi le prix des installations qui a fortement diminué. Le retour sur investissement désormais d’environ 5 à 7 ans, contre 10 à 15 ans avant la crise de la Covid. Le photovoltaïque, représente également un intérêt sur le long terme pour les industriels, puisqu’il permet de sécuriser 20 à 30% des approvisionnements. En fonction du profil de l’industriel bien sûr.  Cet article Hellio : une nouvelle offre pour le photovoltaïque tertiaire est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 215 jours

"Pas grand chose à attendre" de la COP27, selon l'ancien président français François Hollande

"Il n'y a pas grand chose à attendre de la COP qui va se tenir en Egypte" du 6 au 18 novembre à Charm-El-Cheik, "sauf sans doute des financements qui devront être apportés" aux pays émergents et en développement, a déclaré l'ancien président lundi devant des professionnels du bâtiment réunis au salon Batimat à Paris.Ces financement, a-t-il rappelé, devrait être apportés "au nom des pertes et dommages" et de la "compensation des excès de consommation énergétique des pays développés dans le passé"."Est-ce que nous pouvons être optimistes quant à la COP qui va se tenir dans quelques jours? Je ne le crois pas, compte tenu du contexte géopolitique", a-t-il cependant ajouté."La Chine a d'autres préoccupations aujourd'hui que simplement réduire ses émissions de CO2, (...) la Russie, vous imaginez qu'elle ne va pas être un acteur primordial de la négociation, d'autant qu'elle veut vendre du gaz à toute la terre sauf à l'Europe, les Etats-Unis sont beaucoup plus impliqués, notamment l'administration de Joe Biden, mais jusqu'à quand? Il y a des élections qui vont avoir lieu au mois de novembre; si les Républicains obtiennent une majorité au Congrès, il est à craindre qu'il n'y ait pas la même ambition", a jugé M. Hollande."L'Europe est le seul continent qui, pour l'instant, tient bon mais avec des entorses assez graves par rapport aux engagements" pris à Paris, en raison des conséquences de la guerre en Ukraine sur le climat, a-t-il ajouté, citant notamment les centrales au charbon rallumées et les importations massives de gaz GNL.Outre la motivation "très forte" des "opinions publiques" et des jeunes en faveur du climat, M. Hollande a salué celle des "acteurs économiques", notamment du secteur du bâtiment."Ils ne sont pas du tout dans une espèce de frein à l'égard de la décarbonation. Au contraire, ils ont compris que c'était un élément de compétitivité, d'innovation et d'investissement" a-t-il dit, en citant l'utilisation de "modes de construction différents" et de "matériaux sobres".Selon lui, l'industrie du bâtiment "peut à la fois subir un certain nombre de conséquences avec des pertes d'activité si la construction neuve devait fléchir, mais aussi connaître un regain d'activité" avec la rénovation énergétique.
Il y a 2 ans et 215 jours

Les Toitures Terrasses durables Sika

Et si on parlait de la Loi Climat et Résilience : les nouveaux bâtiments industriels et commerciaux doivent renforcer leur caractère environnemental par la mise en place, en toiture, de systèmes de production d’énergie renouvelable et/ou de végétalisation. La ville de demain mérite des solutions de toitures fiables, durables et respectueuses de notre environnement.
Il y a 2 ans et 215 jours

"Il faut arrêter de subventionner les rénovations par gestes" (T. Rieser, Enertech)

RÉNOVATION ÉNERGÉTIQUE. Pour atteindre les objectifs de performance du parc de logements, il faut multiplier par 20 les rénovations globales. Pour l'association Négawatt, cela impose de les encourager fortement, et de cesser de subventionner les rénovations par gestes dans MaPrimeRénov'. Le cas des pompes à chaleur installées dans des logements non rénovés pose particulièrement problème, selon un expert.
Il y a 2 ans et 216 jours

Rénovation énergétique : accélérer le chantier des copropriétés

Chaudière au gaz dernière génération, nouvelle isolation, renouvellement de la ventilation: les lourds travaux de rénovation ont déjà apporté leurs premiers résultats, un an après la fin du chantier."Nous souhaitions refaire le ravalement, mais nous en avons profité pour opérer une rénovation thermique", déclare Jean-Jacques Lauriaux, le président du conseil syndical de la résidence. "Résultat, nous consommons 60% d'énergie en moins et la performance énergétique de l'immeuble est passée de E à B".Ambition gouvernementale, avec un financement qui a légèrement augmenté dans le projet de budget 2023, la rénovation énergétique est aussi une priorité de la mairie de Paris, qui compte 47.000 copropriétés.Objectif de la ville: rénover 25.000 logements supplémentaires d'ici la fin de la mandature, en multipliant par trois, à hauteur de 58 millions d'euros, les budgets alloués par rapport à la première édition en 2016.Entre un été caniculaire et un contexte de flambée des prix de l'énergie causé par la guerre en Ukraine, "on a été rattrapés par une réalité que certains pensaient réservée à d'autres pays lointains", juge Fatoumata Koné, présidente de l'Agence parisienne du climat (APC) et élue écologiste au Conseil de Paris.Fin août 2022, l'APC avait reçu déjà reçu plus de demandes de nouvelles copropriétés que sur toute l'année 2021.SensibilisationDans sa copropriété, M. Robichez parle d'une concertation "de plusieurs mois" entre membres du conseil syndical, mais des débats "plutôt simples"."On a beaucoup expliqué lors de nos réunions la nécessité de rénover en profondeur les 80 appartements de la résidence", décrit le copropriétaire, la cinquantaine, devant la façade rénovée de sa tour d'habitation."On ne regrette rien: avec cette nouvelle isolation, l'hiver dernier, on a eu moins froid, et cet été, on n'a pas été écrasés par la chaleur".Côté financement, la copropriété a pu bénéficier du dispositif Eco-rénovons Paris, qui encourage les copropriétés privées parisiennes à la rénovation énergétique de leur immeuble."50% du coût total de 1,6 million d'euros pour la copropriété a été financé par cette aide et nos biens ont pris 10 à 15% de valeur immobilière", se réjouit Jean-Gérard Robichez, estimant le reste à charge par propriétaire à 20.000 euros en moyenne.Mais dans certaines copropriétés, les débats sont souvent plus longs, avec des propriétaires plus récalcitrants à l'idée d'engager des sommes importantes, ou moins au fait des aides existantes."Entre le retour sur investissement, de plusieurs dizaines d'années et la crainte de nuisances liées aux travaux, des copropriétaires trouvent encore des raisons de bloquer des projets", analyse Florence Lievyn, responsable des affaires publiques de Sonergia, spécialiste de la rénovation énergétique.La ville de Paris annonce des réunions publiques dans tous les arrondissements à l'automne pour convaincre des copropriétaires de se lancer.Dispositifs pas assez ambitieuxA l'échelle de tout le territoire, les copropriétés représentent 28% des bâtiments et l'État multiplie les initiatives pour accélérer leur rénovation, indispensable pour respecter les objectifs climatiques de la France.Les propriétaires de logements sont désormais obligés d'effectuer un diagnostic de performance énergétique (DPE) s'ils souhaitent les mettre en vente ou en location.Pour les plus énergivores (étiquetés F et G), il est déjà interdit, depuis le 24 août, d'augmenter les loyers. A partir de 2023, ce sont des interdictions pures et simples de louer qui frapperont, progressivement, les "passoires thermiques".Le dispositif-phare de l'Anah, MaPrimeRénov' Copropriétés, a été lancé en juillet 2021 et permet de subventionner 25% du montant des travaux, à condition que les gains de performance énergétique soient conséquents (35% au moins).Des mesures insuffisantes selon certains spécialistes du secteur."Les aides pour les copropriétés sont trop faibles", regrette Manuel Domergue auprès de l'AFP, directeur des études à la Fondation Abbé Pierre. "L'État devrait être bien plus ambitieux pour donner de vraies perspectives à long terme, à l'aube d'un hiver critique".Seulement 12.000 logements ont pu bénéficier du mécanisme en 2021, pour un coût d'environ 70 millions d'euros.
Il y a 2 ans et 216 jours

La Fabrique de la cité jette un nouveau regard sur la réindustrialisation

La réindustrialisation des bassins de vie des villes moyennes reste à l’ordre du jour, malgré la flambée des prix de l’énergie. Une...-Industrie
Il y a 2 ans et 216 jours

Leçons d’architecture tirées des canicules de l’été 2022

Les problèmes urbains liés aux canicules ont des causes multiples qui sont surdéterminées par l’action humaine, ce qui les rend hétérogènes dans l’espace et imprévisibles dans le temps. Face aux vagues de chaleur, l’aménagement urbain, un enjeu de société vital ? La canicule de cet été est dans toutes les mémoires. Ses effets et les conditions […] L’article Leçons d’architecture tirées des canicules de l’été 2022 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 216 jours

L'éolien terrestre est devenu un "gros mot" en France, regrette la patronne d'Engie

"Ce sentiment anti-éolien n'a plus lieu d'être dans un monde où on est en urgence énergie tous les jours", a déclaré à des journalistes la directrice générale d'Engie, en marge d'une visite sur un site des parcs éoliens terrestres de la Bretelle et d'Echalot, en Côte-d'Or."On a l'impression que l'éolien terrestre, c'est devenu un gros mot, ou un mot tabou", a-t-elle commenté, alors que les projets éoliens, surtout terrestres, font l'objet dans certains territoires d'une vive contestation depuis quelques années.Pour la dirigeante d'Engie, l'existence d'un "sentiment anti-éolien a du prendre racine avec des projets qui ont été mal réalisés et qui ont tiré la filière par le bas".A l'occasion du 10e anniversaire de ces parcs éoliens en Côte-d'Or, un projet initié en 2003 mais dont l'exploitation n'a commencé qu'en 2012 en raison de divers recours, la directrice générale s'est félicitée au contraire de "l'appropriation" de ces installations, fruit d'un travail de "concertation" et d'une méthode qui se veut "exemplaire". "Sur le démantèlement (des éoliennes en fin d'exploitation), il faut être exemplaire, nous, on enlève tout", a-t-elle expliqué.La production annuelle de ces parcs d'environ 80.000 MWh/an permet d'alimenter 37.000 personnes en électricité, "soit l'équivalent de près d'1/4 de la population de la ville de Dijon", selon Engie.Alors que la "demande en électricité va exploser", "on va avoir besoin de nucléaire mais cela ne suffira pas, il faudra beaucoup d'énergies renouvelables, du solaire, de l'éolien, en mer et terrestre. C'est important de dire que l'éolien terrestre va contribuer à ce mix énergétique équilibré", a encore souligné Mme MacGregor.Le gouvernement a présenté lundi un projet de loi pour accélérer le développement des énergies renouvelables afin de rattraper le retard de la France, un texte concentré sur le solaire et l'éolien en mer.Emmanuel Macron, qui lui-même prône de diviser par deux le rythme de déploiement de l'éolien terrestre prévu jusqu'à présent, a reconnu qu'il en faudrait.
Il y a 2 ans et 216 jours

Réseau de chaleur et de froid géothermique à Nice

Une véritable technopole en développement à l’ouest de la ville, pensée dès sa conception dans une dimension environnementale avec le raccordement de l’ensemble des bâtiments à un réseau de chaleur et de froid géothermique. L’éco quartier Nice Méridia s’inscrit ainsi dans la politique de transition écologique de la métropole qui continue de gagner en autonomie énergétique grâce à la chaleur renouvelable.
Il y a 2 ans et 216 jours

Soubassements et murs enterrés : Knauf présente 2 nouveautés bas carbone et 100% validées

Qu’il s’agisse d’isolation semi-enterrée ou enterrée, cette nouvelle offre Knauf bas carbone (FDES à l’appui), s’avère 100% validée puisque disposant de tous les justificatifs techniques nécessaires pour son emploi en pied de façade notamment dans les ERP et les bâtiments résidentiels et industriels (classement Euroclasse du panneau selon la réglementation incendie des systèmes d’isolation par l’extérieur).Une offre aux 4 références et 2 innovations L’industriel propose ainsi aux professionnels une gamme complète, afin de répondre à chaque besoin de chantier. Cette gamme est constituée de quatre références dont deux innovations : Knauf Périboard ULTRA+, Knauf Perimaxx ULTRA, Knauf Perimaxx Resist et Knauf Therm Soubassement SE. La première nouveauté, destinée à l’isolation semi-enterrée des soubassements, Knauf Périboard ULTRA+, qui remplace Knauf Périboard ULTRA 30 SE, est parfaitement en phase avec les exigences bas carbone et revendique une nette réduction de son impact CO2 grâce à l’utilisation de PSE recyclé lors de la fabrication du panneau isolant et à la certification PEFC du bois contenu dans le parement en bois-ciment. Knauf Périboard ULTRA+ affiche ainsi seulement 9 kg CO2/m2 sur tout son cycle de vie (ép. 90 + 10 mm R = 2,90 m2.K/W), soit la valeur la plus basse observée sur le marché pour une solution de ce type ! Panneau composite (1000 x 600 mm – soit 990 x 590 mm utiles) à bords feuillurés doté d’un parement lisse à bords biseautés, Knauf Périboard ULTRA+ se destine à l’isolation par l’extérieur des pieds de façade. Il s’applique sur les murs de soubassements (des catégories 1, 2 et 3 définies selon le DTU 20.1) sur maçonnerie de petits éléments, béton banché, béton préfabriqué et prémurs béton. Autre atout du Knauf Périboard ULTRA+, le complexe, qui revendique une réaction au feu Euroclasse B-s1, d0 (jusqu’à l’épaisseur 110 + 10 mm) est un tout en 1 comprenant une plaque de parement, et ne nécessitant pas de finition complémentaire, pour un appréciable gain de temps lors de la pose. Disponible en 8 épaisseurs (40/60/70/70/90/110/130/150/175 et 195 + 10 mm), Knauf Périboard ULTRA+ affiche des performances thermiques de 1,25 à 6,25 m2.K/W. La seconde innovation de la nouvelle offre Knauf, Knauf Perimaxx ULTRA, constitue une réponse idéale et optimisée pour l’isolation et le drainage des murs enterrés sur les profondeurs d’enfouissement les plus courantes (inférieures à 4 mètres), complétant ainsi judicieusement la solution Knauf Perimaxx Resist qui, elle, peut être mise en œuvre jusqu’à 8 m de profondeur. Knauf Perimaxx ULTRA est un panneau rigide (1265 x 615 mm hors tout, soit 1 250 x 600 mm utiles) en PSE moulé de couleur grise à quatre bords feuillurés comprenant un parement filtrant en géotextile, avec des plots de drainage en forme de losange pour assurer l’écoulement des eaux de ruissellement. Mentionnons que ce drainage intégré au panneau (capacité de débit de 1,26 litres/(s.m) sous pression de 20 kPa), se substitue totalement à l’ajout d’une nappe à excroissance indépendante pour parois enterrées, ce qui réduit le temps de mise en œuvre et les coûts. De plus, Knauf indique que Knauf Perimaxx ULTRA affiche une très faible capacité d’absorption d’eau et de vapeur d’eau, une garantie pour la durabilité des performances d’isolation dans le temps de la solution (Seulement 3% d’absorption en immersion totale ou par diffusion de vapeur d’eau à long terme). Si Knauf Perimaxx ULTRA dispose également d’une réaction feu Euroclasse E (isolant seul) selon le rapport de classement CSTB n°RA21-0102, il affiche une conductivité thermique de 0,0307 W/m.K et une résistance à la compression à 10% de déformation selon EN826 de CS (10) 100, soit 100 kPa minimum. Knauf Perimaxx ULTRA justifie d’une mise en œuvre validée par une Enquête de Technique Nouvelle et ses caractéristiques sont conformes aux Recommandations Professionnelles n°2 de la CFSE et certifiées par l’ACERMI. Knauf Perimaxx ULTRA se destine à l’isolation thermique par l’extérieur, le drainage et la filtration des eaux de remblais des parois enterrées des murs de catégories 1, 2 et 3 des ERP, bâtiments d’habitation, tertiaires industriels et agricoles. Il s’applique sur murs maçonnés de petits éléments, béton banché, béton préfabriqué, prémur béton et procédé de mur en éléments de coffrage isolant en PSE disposant d’une évaluation technique.Enfin, Knauf Perimaxx ULTRA se décline en 8 épaisseurs (68/88/108/128/148/168/188/ 208 mm) pour des performances de résistance thermique allant de 1,95 à 6,50 m2.K/W.Knauf Perimaxx Resist et Knauf Therm Soubassement SE, les autres solutions Knauf Pour répondre à un maximum de configurations de chantier, Knauf Perimaxx Resist et Knauf Therm Soubassement SE restent à la gamme. Le premier s’impose pour ses qualités de drainage intégré des eaux de ruissellement et se substitue aussi à l’ajout d’une nappe à excroissance indépendante pour parois enterrées , il revendique une profondeur d’enfouissement jusqu’à 3 niveaux de sous-sols soit 8 mètres maximum, pour des résistances thermiques allant de 1,85 m2.K/W (ép. 68 mm) à 6,15 m².K/W en épaisseur 208 mm.Pour les finition enduites ou enterrées, sans besoin de drainage, Knauf Therm Soubassement SE (panneau de 1200 x 600 mm), en plus de réduire les ponts thermiques, assure aussi une protection efficace du soubassement pendant la mise en place des remblais à faible profondeur. De forte résistance mécanique, il se décline en des épaisseurs optimisées pour répondre aux exigences réglementaires, avec une profondeur d’enfouissement maximale jusqu’à 2,40 m, pour des performances thermiques allant de 0,55 à 11,25 m2.K/W (pour des épaisseurs respectives de 20 et 400 mm).Guide de choix, cctp... : les ressources knauf disponibles Comme de tradition désormais, Knauf accompagne cette offre d’un guide de choix disponible en ligne. Un outil simple et interactif qui permet de s’assurer du choix de la meilleure solution pour l’isolation des soubassements et murs enterrés selon le type de bâtiment, la catégorie de mur et la valeur de résistance thermique recherchée.Ce guide se complète aussi d’une base de descriptifs types dans une bibliothèque technique riche de plus de 2500 références à intégrer dans les CCTP et de Knauf BatiChiffrage qui estime le fourni-posé, chiffre le coût du chantier, calcule les temps d’exécution indicatifs, …Le mot du Chef de Marché, Gérard PersuyCette nouvelle offre répond aux enjeux actuels de la conception des bâtiments neufs et de leur rénovation : réduction des impacts carbone des produits de construction, réduction des consommations d’énergie des bâtiments pour les chauffer ou les rafraîchir et durabilité des performances.
Il y a 2 ans et 216 jours

Lancement du Plan piscines 2 en Seine-Saint-Denis

Ce lancement s’est fait en présence de Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-Denis, Jacques WITKOWSKI, Préfet de la Seine-Saint-Denis, Zaïnaba SAÏD-ANZUM, Conseillère départementale déléguée au Sport, et Stéphane BLANCHET, Maire de Sevran.Ce second plan fait suite au Plan piscines 1, de 2016 à 2022, ayant contribué à la construction de 3 nouvelles piscines (dont deux sous maîtrise d'ouvrage départemental) et d’en rénover 9, pour un investissement total de 40 millions d’euros.Accélérer la création de lignes d’eauSi le premier plan a permis d’éviter la fermeture de certains équipements et d’accentuer leur fréquentation, la remise à niveau des infrastructures et la réduction des carences en matière d’offre reste un enjeu majeur, nécessitant notamment une accélération dans la création de nouvelles lignes d’eau. Avec 37 piscines actuellement (39 à l’horizon 2024), la Seine-Saint-Denis compte moins de 60m2 de bassin de natation pour 10.000 habitants, contre 160m2 en moyenne régionale et plus de 260m2 en moyenne nationale. 7 communes sur 40 n’ont aucun équipement aquatique.Doté de 35 millions d’euros, dont 15 millions d’euros financés par la SOLIDEO (Etat et Région), ce second Plan piscines permettra non seulement de financer des projets liés à l’héritage olympique, mais aussi de poursuivre l’effort de rattrapage en matière d’équipements aquatiques dans tout le département. Il pourra s’agir à la fois de projets de construction et reconstruction, de réhabilitation lourde et d’extension, ou de rénovations et d’aménagements visant le développement des usages.Les villes et EPT qui le souhaitent pourront candidater tout au long du plan, qui durera jusqu’en 2028.Une attention particulière aux territoires carencés, à la sobriété énergétique et l’accessibilité des équipements Afin d’encourager les porteurs de projets à prendre en compte les priorités de politiques publiques que porte le Département de la Seine-Saint-Denis, des financements supplémentaires seront attribués sous forme de bonus dans plusieurs cas.Les projets situés dans de szones très carencées (aucune piscine ou carence supérieure à 2 bassins) ou carencées (carence d’1 à 2 bassins).Les projets intégrant l’ensemble des enjeux environnementaux : budget carbone maîtrisé, qualité de vie garantie, valorisation et renforcement des écosystèmes.Les projets allant plus loin que les normes réglementaires en matière d’accessibilité, mais aussi pour ceux qui favorisant l’accès bassins à tout.e.s avec la création d’équipements aqua ludiques.Pour Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-Denis : «A deux ans des Jeux, l’écart entre les besoins en matière d’équipements nautiques et la réalité des infrastructures dont nous disposons en Seine-Saint-Denis reste un sujet de préoccupation majeure. Si notre premier Plan piscines a permis d’éviter la fermeture de certains équipements, d’en rénover et d’en construire, cet effort se poursuit et s’amplifie aujourd’hui dans la dynamique des JOP. C’est tout le sens de ce second Plan piscines que nous lançons avec Zaïnaba Saïd-Anzum, Conseillère départementale déléguée au Sport, et Emmanuel Constant, Vice-président en charge des JOP, avec le soutien de l’Etat, de la Région et de la SOLIDEO. Il n’y a pas de miracle : c’est avec des moyens et des actes que nous pourrons développer l’apprentissage et la pratique de la nage, si importants en matière de santé publique, de sécurité individuelle et de vie sociale.»
Il y a 2 ans et 216 jours

Schöck lance une série de vidéos grand public pour insuffler une prise de conscience collective

Mais aujourd’hui, Schöck fait le choix de les rendre "visibles" auprès du "consommateur final" d’un logement afin qu’il se rende compte des valeurs ajoutées d’un bâti bénéficiant d’une enveloppe homogène, et ce, via une saga vidéo découpée en 4 saisons et 16 épisodes, diffusée de septembre à décembre sur sa chaîne YouTube. Au cœur du pitch, une prise de conscience nécessaire afin que l’acheteur, le locataire, l’occupant de tout logement exige que celui-ci soit parfaitement isolé, y compris avec le traitement de l’ensemble des ponts thermiques. À la clé : économies d’énergie, augmentation du pouvoir d’achat des ménages, confort accru pour les occupants et patrimoine valorisé ! Une sensibilisation qui fait aussi écho aux objectifs gouvernementaux liés à la sobriété énergétique et au plan de décarbonation (0 carbone en 2050). Pour un choix de logements économes, sains et durables Reconnu pour l’attention qu’il porte à l’accompagnement des professionnels de la construction, Schöck décide aujourd’hui de s’adresser aussi à un plus large public, qu’il s’agisse de particuliers désireux d’acquérir un logement, d’associations de consommateurs, d’organismes en conseil immobilier, de fédérations, d’institutionnels comme de politiques…En mettant en lumière une réglementation environnementale RE2020 peu ambitieuse, des constructions de logements conformes mais souvent insuffisamment adaptés aux occupants soucieux de réaliser de plus larges économies d’énergie que celles habituellement proposées, Schöck, à travers des vidéos ludiques et didactiques, explique en quoi une enveloppe de bâtiment homogène constitue la garantie d’un choix gagnant pour toute la vie du logement, tant pour le propriétaire que pour l’occupant.La première saison de cette série, diffusée sur les réseaux sociaux et la chaîne YouTube de Schöck, s’échelonne sur le mois de septembre à raison d’un épisode par semaine.Elle se consacre à la construction des logements en France, notamment ses "limites". S’inspirant du Livre Blanc1 sorti en novembre 2018, Schöck fait un état des lieux, simple et accessible à tous, de la construction neuve de logements collectifs, tant en abordant les modes constructifs qu’en rappelant certains chiffres liés, entre autres, aux gaz à effet de serre et aux "passoires thermiques".L’accent est mis sur "une exception à la française" en matière d’isolation puisque la France s’avère un des rares, très rares pays en Europe privilégiant 9 fois sur 10 une isolation par l’intérieur (ITI) versus une isolation par l’extérieur (ITE) qui, à condition de traiter le peu de ponts thermiques restants, comme les balcons, est pourtant celle qui permet de réaliser, entre autres, de véritables économies d’énergie sur la durée de vie du bâtiment.La saison 2, à suivre en octobre, détaillera les impacts économiques d’une enveloppe non homogène tandis que la saison 3, programmée en novembre, en dévoilera les conséquences sanitaires. Enfin, la saison 4, en décembre, décrira en quoi la précédente réglementation thermique, RT2012, comme l’actuelle réglementation environnementale, RE2020, affichent si peu d’ambition.Schöck considère que le secteur du bâtiment commence à peine sa métamorphose et pour que le résultat soit à la hauteur à la fois des acteurs de la construction mais aussi et surtout des occupants, locataires ou propriétaires, il faut que ces derniers puissent insuffler une véritable dynamique.Celle-ci doit faire évoluer les priorités en vue d’obtenir un logement sain, durable, générant de véritables économies à moyen et long termes, augmentant ainsi leur pouvoir d’achat comme la valeur des biens immobiliers tout en gagnant en confort.Les vidéos conçues par Schöck invitent à se poser la question : ne construit-on pas aujourd’hui les rénovations de demain ? Découvrez les premiers épisodes de la saison 1 sur la chaîne YouTube Schöck France :
Il y a 2 ans et 216 jours

François Hollande en ouverture du salon Batimat 2022

La cérémonie d’ouverture du salon Batimat, lundi 3 octobre, a été marquée par l’intervention de l’ancien président de la République, François Hollande. L’occasion pour l’ex-chef de l’État de dresser un bilan de l’Accord de Paris et de revenir sur le rôle de la filière du bâtiment en matière de transition écologique.   L’ancien président de la République François Hollande était plutôt morose lors de la cérémonie d’ouverture du salon Batimat. « Le contexte a bouleversé l’ordonnancement de l’Accord de Paris », a-t-il reconnu. La réduction à marche forcée des émissions des GES a été ralenti par le retrait des Etats-Unis de l’Accord de Paris sous la mandature de Donald Trump. Puis par la pandémie mondiale, « qui a mis le monde en suspension », par l’inflation, et la guerre en Ukraine, qui ont « entraîné une hausse du coût des énergies », a t-il constaté.   Le secteur du bâtiment : moteur du changement  En conséquence de quoi, les économies mondiales, devant l’urgence de préserver le pouvoir d’achat et les marges des entreprises, ont pris des décisions à contre sens des engagements pris lors de l’Accord de Paris. « Comment respecter nos ambitions, alors qu’il va y avoir des importations d’énergies (fossiles ndlr) et que des pays redémarrent leurs centrales à charbon ? » a questionné François Hollande. « Des logiques courts termes nous ramènent à l’économie d’hier, alors que nous devons penser l’économie de demain », déplore-t-il. Cet environnement particulier doit au contraire conduire à amplifier notre décarbonation selon l’ancien président.   Cette économie de demain, dans le secteur du bâtiment, se traduit (sans grande surprise) par l’utilisation de matériaux, de procédés, et de technologies plus sobres en carbone, certes. Mais selon François Hollande, le bâtiment, comme l’État, doivent aussi se faire les ambassadeurs d’un « vivre différemment ». Selon lui, il ne s’agit pas seulement de remplir les objectifs quantitatifs en termes de logements construits ou rénovés. « C’est aussi, comment va-t-on vivre dans ces nouveaux logements ? C’est une nouvelle organisation de la vie, que l’industrie du bâtiment doit promouvoir ». 
Il y a 2 ans et 216 jours

Batimat : un pavillon recyclable pour Technal

A Batimat, le pavillon Technal conçu à partir de matériaux recyclés, présente les « sobres » innovations du fabricant.   Présenté en grande pompe avant l’été, l’étonnant pavillon recyclable de Technal est enfin visible dans les allées du salon Batimat. Un stand de 99m2 sur deux étages réalisés en carton recyclé et en aluminium par l’agence toulousaine OECO Architectes et qui sera réutilisé au salon VETECO, à Madrid du 15 au 18 novembre.  Des nouveautés moins carbonées  Dans cet espace sont présentées les innovations Technal. Citons la gamme de fenêtres et de portes Soleal Next, la façade Tental, le coulissant Tigal, la porte Titane 65 ainsi qu’un nouveau concept de rupture de pont thermique en composite de liège recyclé baptisé Corkal. Sans surprise, l’aluminium Hydro Circal® est omniprésent. Pour rappel, ce produit est composé de 75% de contenu recyclé post-consommation et présente un des taux d’émissions le plus bas du marché avec 2,3 kg de CO2 par kg d’aluminium d’après sa fiche EPD.  Concernant Corkal, l’entreprise veut réduire l’impact environnemental de ses menuiseries de 15 à 25% et proposer une alternative aux barrettes en polyamide et autres matières synthétiques issue de la pétrochimie. 
Il y a 2 ans et 216 jours

Batimat : un pavillon recyclable pour Technal

A Batimat, le pavillon Technal conçu à partir de matériaux recyclés, présente les « sobres » innovations du fabricant.   Présenté en grande pompe avant l’été, l’étonnant pavillon recyclable de Technal est enfin visible dans les allées du salon Batimat. Un stand de 99m2 sur deux étages réalisés en carton recyclé et en aluminium par l’agence toulousaine OECO Architectes et qui sera réutilisé au salon VETECO, à Madrid du 15 au 18 novembre.  Des nouveautés moins carbonées  Dans cet espace sont présentées les innovations Technal. Citons la gamme de fenêtres et de portes Soleal Next, la façade Tental, le coulissant Tigal, la porte Titane 65 ainsi qu’un nouveau concept de rupture de pont thermique en composite de liège recyclé baptisé Corkal. Sans surprise, l’aluminium Hydro Circal® est omniprésent. Pour rappel, ce produit est composé de 75% de contenu recyclé post-consommation et présente un des taux d’émissions le plus bas du marché avec 2,3 kg de CO2 par kg d’aluminium d’après sa fiche EPD.  Concernant Corkal, l’entreprise veut réduire l’impact environnemental de ses menuiseries de 15 à 25% et proposer une alternative aux barrettes en polyamide et autres matières synthétiques issue de la pétrochimie.  Cet article Batimat : un pavillon recyclable pour Technal est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 216 jours

Low Carbone avec Construction 21 – Bati Journal TV sur Batimat 2022

avec Pierre-Yves Legrand, Directeur – Novabuild Christophe Rodriguez, Directeur Général Adjoint – Institut pour la Performance du Bâtiment Laetitia Belaube, Responsable de Missions Energie-Carbone – Artelia    
Il y a 2 ans et 216 jours

Low Carbone avec Construction 21 – Bati Journal TV sur Batimat 2022

avec Pierre-Yves Legrand, Directeur – Novabuild Christophe Rodriguez, Directeur Général Adjoint – Institut pour la Performance du Bâtiment Laetitia Belaube, Responsable de Missions Energie-Carbone – Artelia     Cet article Low Carbone avec Construction 21 – Bati Journal TV sur Batimat 2022 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 216 jours

Batimat : Elm.Leblanc présente une chaudière hydrogène ready

Elm.leblanc présente un prototype de chaudière hydrogène ready sur Batimat. Objectif, sensibiliser les pouvoirs publics sur un éventuel usage futur dans le résidentiel.  Elm.leblanc (Bosch) présente une petite curiosité sur son stand de Batimat. Une chaudière hydrogène ready dont « l’objectif est de fournir un produit de série, toujours compatible à 100% en gaz naturel, mais ayant la possibilité de fonctionner à 100% hydrogène vert », indique un animateur.  L’objectif de Bosch n’est pas de présenter une chaudière pouvant être installée sur un marché existant. Mais plutôt de proposer une offre qui s’inscrit dans une tendance long terme qui consiste à développer massivement les énergies renouvelables en France.  L’hydrogène au Royaume-Uni  Problème, dans l’hexagone, les pouvoirs publics ne poussent l’hydrogène que pour des usages industriels et le transport poids lourd. « A contrario, au Royaume-Uni, si ces deux usages sont bien prévus, il est également question de recourir à l’hydrogène pour un usage chauffage/eau chaude sanitaire », indique l’animateur. Grâce à cet attrait marché généré dans le résidentiel outre-manche, Elm.leblanc entend démontrer qu’un usage sur le marché français est possible.  Quid de l’hydrogène utilisé ? A l’heure actuelle, l’hydrogène est majoritairement produit à l’aide d’hydrocarbures, et est donc source d’émissions de gaz à effet de serre. De nouvelles techniques de production plus vertueuses, comme l’électrolyse, existent, mais n’ont pas encore atteint l’échelle industrielle.  
Il y a 2 ans et 216 jours

Batimat : Elm.Leblanc présente une chaudière hydrogène ready

Elm.leblanc présente un prototype de chaudière hydrogène ready sur Batimat. Objectif, sensibiliser les pouvoirs publics sur un éventuel usage futur dans le résidentiel.  Elm.leblanc (Bosch) présente une petite curiosité sur son stand de Batimat. Une chaudière hydrogène ready dont « l’objectif est de fournir un produit de série, toujours compatible à 100% en gaz naturel, mais ayant la possibilité de fonctionner à 100% hydrogène vert », indique un animateur.  L’objectif de Bosch n’est pas de présenter une chaudière pouvant être installée sur un marché existant. Mais plutôt de proposer une offre qui s’inscrit dans une tendance long terme qui consiste à développer massivement les énergies renouvelables en France.  L’hydrogène au Royaume-Uni  Problème, dans l’hexagone, les pouvoirs publics ne poussent l’hydrogène que pour des usages industriels et le transport poids lourd. « A contrario, au Royaume-Uni, si ces deux usages sont bien prévus, il est également question de recourir à l’hydrogène pour un usage chauffage/eau chaude sanitaire », indique l’animateur. Grâce à cet attrait marché généré dans le résidentiel outre-manche, Elm.leblanc entend démontrer qu’un usage sur le marché français est possible.  Quid de l’hydrogène utilisé ? A l’heure actuelle, l’hydrogène est majoritairement produit à l’aide d’hydrocarbures, et est donc source d’émissions de gaz à effet de serre. De nouvelles techniques de production plus vertueuses, comme l’électrolyse, existent, mais n’ont pas encore atteint l’échelle industrielle.   Cet article Batimat : Elm.Leblanc présente une chaudière hydrogène ready est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 216 jours

Edition Spéciale : Les industriels face à la crise de l'énergie - Un plombier à vélo

MONDIAL DU BÂTIMENT. Pour ce premier jour du salon, la rédaction de Batiactu a consacré une Édition Spéciale aux sujets qui font l'actualité des professionnels de la construction : une table ronde sur l'inflation et la crise énergétique, mais également un zoom artisan sur un plombier pas comme les autres. Regardez la vidéo.
Il y a 2 ans et 217 jours

La demande en granulés de bois explose entrainant la flambée des prix

"C'est une denrée rare", plaisante cet homme de 47 ans qui a équipé sa maison d'un poêle à granulés il y a plusieurs années, en complément du chauffage électrique.Chez Bois Rosa, une entreprise distribuant bois de chauffage et granulés située à une vingtaine de kilomètres de Lyon, le ballet incessant de voitures, coffre ouvert pour collecter les précieux granulés combustibles, a poussé le gérant à limiter les ventes directes."Quand les clients viennent de loin, on va jusqu'à 15 sacs", précise le patron, Stéphane Rosa, qui réalise "99% de (ses) ventes" auprès de particuliers. Son carnet de commandes est plein, avec trois mois de délai de livraison, contre deux à trois semaines d'habitude.La tendance est générale, certains fournisseurs ne répondent plus au téléphone. Un message pré-enregistré demande(d')adresser (une) demande par écrit" via un formulaire accessible en ligne.L'Auvergne-Rhône-Alpes est pourtant la première région productrice de billes de bois en France, un mode de chauffage en plein essor."C'est la panique engendrée par la guerre en Ukraine qui a fait peur sur toutes les énergies", explique Eric Vial, délégué général de Propellet, l'association nationale du chauffage au granulé de bois - "pellet" en anglais.La demande actuelle, deux à six fois supérieure à 2021, est selon lui "en inadéquation avec le besoin", alors que la consommation n'aurait dû augmenter que de 12 à 13% cette année selon les projections de Propellet."C'est irrationnel: il faut que les gens réfléchissent et ne paniquent pas" poursuit le délégué général en dénonçant un "sur-achat" motivé par "la peur de manquer".En même temps, avec la hausse conjuguée du carburant, de l'électricité et du plastique utilisé pour emballer les palettes de granulés, les prix ont doublé. Un sac de 15 kilos se vend désormais autour de dix euros.Malgré la "surchauffe du marché", le délégué général de Propellet se veut rassurant: "si les consommateurs arrêtent de de se ruer sur les granulés et achètent uniquement le strict minimum, ils font baisser la demande et naturellement le prix va baisser."En attendant, il faut composer avec les restrictions.Stéphane Chicot utilise "une à deux tonnes" de granulés pour se chauffer chaque hiver. Et pour lui, se contenter de "10 sacs, c'est un peu une blague". Pierre Liotard, 66 ans, lui, est venu chez Bois Rosa chercher quelques sacs pour sa fille habitant en Bourgogne, où selon lui, les pellets sont "introuvables" alors que "le froid arrive.""Prix exorbitants"Selon Propellet, en 2021, 1,5 million de foyers français étaient équipés de poêles ou de chaudières à granulés.Longs de quelques centimètres, ces petits cylindres de sciure de résineux compressée sont considérés comme une énergie renouvelable par l'Union Européenne, malgré l'opposition des défenseurs de l'environnement.Les ventes d'appareils à granulés, poêles et chaudières, ont respectivement augmenté de 43,2% et 119,6% en France l'année dernière selon l'Observatoire des énergies renouvelables - une hausse dopée par diverses subventions à l'achat pouvant aller jusqu'à plusieurs milliers d'euros.Les poêles, destinés principalement au chauffage d'appoint, représentent plus de 90% des appareils à granulés, les chaudières, plus volumineuses et reliées au réseau d'eau chaude, sont plus rares.Si la production domestique permet de couvrir "environ 85% des besoins" avec du bois français, la hausse de la demande force la branche à importer "à des prix exorbitants", principalement de Belgique, selon le représentant de Propellet.Comme d'autres distributeurs, M. Rosa rechigne à importer ses granulés."C'est plus logique d'être à côté, ne serait-ce que pour un coût (écologique) ou de transport", selon lui.La demande actuelle aiguise les appétits et "les arnaques en ligne se multiplient" pour les ventes de bois et de chauffage, selon une alerte de la banque CIC à ses clients. De faux sites marchands affichent ainsi des prix attractifs mais ne livrent pas les commandes payées d'avance.
Il y a 2 ans et 217 jours

Le nombre d'emplois liés aux énergies renouvelables s'élève à 12,7 millions dans le monde

Selon un nouveau rapport, le nombre d'emplois dans le secteur mondial des énergies renouvelables a atteint 12,7 millions l'an dernier, soit un bond de 700.000 de plus en un an, malgré les effets persistants du COVID-19 et la montée de la crise énergétique.Énergies renouvelables et emploi : Revue annuelle 2022 souligne que la taille du marché national est l'un des facteurs majeurs de la création d'emplois dans les énergies renouvelables, au même titre, entre autres, que le coût de la main-d'œuvre. L'énergie solaire s'avère être le secteur qui connaît la croissance la plus rapide. En 2021, il fournissait 4,3 millions d'emplois, soit plus d'un tiers de la main-d'œuvre mondiale actuelle dans les énergies renouvelables.Le nouveau rapport a été publié par l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) en collaboration avec l'Organisation internationale du travail (OIT), à l'occasion du Forum mondial d'action pour l'énergie propre de Pittsburgh, aux États-Unis.Face aux préoccupations croissantes que suscitent le changement climatique, la relance après la pandémie du COVID-19 et les perturbations des chaînes d'approvisionnement, les pays manifestent un intérêt de plus en plus marqué pour la décentralisation de ces chaînes d'approvisionnement et la création d'emplois au niveau national. Le rapport décrit à quel point il est essentiel de compter sur des marchés nationaux solides pour ancrer une dynamique d'industrialisation des énergies propres. Le développement des capacités d'exportation de technologies renouvelables en dépend également, ajoute-t-il.Pour Francesco La Camera, Directeur général de l'IRENA : « En dépit des nombreuses difficultés, les emplois dans les énergies renouvelables restent résilients, et il a été prouvé qu'ils constituent un moteur fiable de création d'emplois. Je conseille aux gouvernements du monde entier de mener des politiques industrielles qui encouragent la création d'emplois décents dans le secteur des énergies renouvelables au sein de leurs propres pays. Le fait de stimuler une chaîne de valeur nationale ne permet pas seulement de créer des opportunités commerciales et de nouveaux emplois pour les personnes et les communautés locales. Cela renforce également la fiabilité de la chaîne d'approvisionnement et contribue à une plus grande sécurité énergétique globale. »Le rapport montre qu'un nombre croissant de pays crée des emplois dans les énergies renouvelables, et que près des deux tiers de tous ces emplois se trouvent en Asie. À elle seule, la Chine représente 42% du total mondial, suivie par l'UE et le Brésil (10% chacun), puis les États-Unis d'Amérique et l'Inde (7% chacun).Pour le Directeur général de l'OIT, Guy Ryder : « Au-delà des chiffres, une attention croissante est portée à la qualité des emplois et aux conditions de travail dans les énergies renouvelables, en vue d'assurer un emploi décent et productif. La part croissante de l'emploi des femmes suggère que des politiques et des formations dédiées peuvent considérablement améliorer la participation des femmes dans les professions liées aux énergies renouvelables ainsi que l'inclusion et, en définitive, la réalisation d'une transition juste pour tous. J'encourage gouvernements, organisations de travailleurs et employeurs à rester fermement engagés en faveur d'une transition énergétique durable, indispensable pour l'avenir du travail. »Le rapport met en lumière un certain nombre d'évolutions majeures au niveau régional et national. Ainsi, les pays d'Asie du Sud-Est sont en train de devenir d'importants centres de fabrication photovoltaïque et de gros producteurs de biocarburants. La Chine est le principal fabricant et installateur de panneaux solaires photovoltaïques, et crée un nombre croissant d'emplois dans l'éolien offshore. L'Inde a quant à elle ajouté plus de 10 gigawatts d'énergie solaire photovoltaïque, ce qui a généré de nombreux emplois dans le domaine de l'installation, mais le pays reste fortement dépendant des panneaux importés.L'Europe, qui représente aujourd'hui environ 40% de la production éolienne mondiale et est le plus gros exportateur d'équipements éoliens, tente de reconstituer son industrie de fabrication de panneaux solaires photovoltaïques. Le rôle de l'Afrique est encore limité, mais le rapport souligne qu'il existe des possibilités d'emploi croissantes dans le domaine des énergies renouvelables décentralisées, en particulier pour soutenir le commerce local et l'agriculture, entre autres activités économiques. Sur le continent américain, le Mexique est le premier fournisseur de pales d'éoliennes. Le Brésil, qui reste quant à lui le premier employeur dans le domaine des biocarburants, crée également de nombreux emplois dans les installations éoliennes et solaires photovoltaïques. Les États-Unis d'Amérique commencent à mettre en place une infrastructure industrielle à l'échelle nationale pour leur secteur naissant de l'éolien offshore.Dans le cadre d'une transition juste, le rapport insiste sur le fait que l'expansion des énergies renouvelables doit être soutenue par des mesures politiques globales, dont la formation des travailleurs, afin de garantir des emplois décents, de qualité, bien rémunérés et diversifiés.
Il y a 2 ans et 217 jours

Le groupe Legendre part à la conquête de la métropole marseillaise

STRATÉGIE. Le groupe rennais, qui intervient dans les secteurs de la construction, la promotion et l'énergie, s'intéresse à l'arc méditerranéen, porteur d'opportunités au regard de l'état des constructions.
Il y a 2 ans et 217 jours

Conjuguer construction et rénovation : le double défi des HLM

"Comment conjuguer qualité et quantité" ? En congrès à Lyon, les bailleurs sociaux n'ont pas caché mercredi la difficulté qu'ils auront pour construire massivement du logement tout en faisant en sorte que les quelque 5 millions de logements HLM répondent aux objectifs d'un parc entièrement rénové aux normes BBC (bâtiment basse consommation) en 2050.Avec moins de 180.000 nouveaux logements sociaux sortis de terre en 2021 et 2022, contre un objectif gouvernemental de 250.000, les bailleurs sociaux ratent déjà leurs objectifs actuels de construction.En cause notamment, selon eux, un désengagement de l'Etat qui réalise des économies au détriment du logement social depuis 2017, mais aussi la remontée du taux du Livret A, principal outil de financement du logement social, qui leur ferait perdre 2 milliards d'euros par an.A cela s'ajoutent des difficultés croissantes pour obtenir des permis de construire, l'envolée des prix du foncier dans les zones tendues et le renchérissement des prix des matériaux de construction."Le logement sera certainement la prochaine bombe sociale, l'Etat s'en désintéresse complètement alors qu'il faut un plan Marshall pour faire repartir la machine", avertit Hervé Legros, président d'Alila, promoteur de logements sociaux.Pour Emmanuelle Cosse, présidente de l'Union sociale pour l'habitat, qui représente les bailleurs sociaux, "il faudrait aujourd'hui faire environ 150.000 logements sociaux par an, qu'ils soient neufs ou repris sur des bâtis anciens, pour vraiment améliorer l'offre de logements abordables".Si l'Etat a perdu en ambition sur la production, selon les bailleurs, la demande n'a jamais été aussi haute."Elle a augmenté de plus de 20% en dix ans du fait de l'envolée des prix du privé, de la décohabitation des ménages ou du vieillissement", constate Marianne Louis, directrice générale de l'USH."Faire mieux et plus"Pour elle, il n'y a pas pour autant d'arbitrage à faire entre qualité et quantité "puisqu'il faut arriver à tenir les deux bouts de la chaîne", faute de quoi "on devrait choisir entre les demandeurs et les locataires".De fait, la loi oblige les bailleurs à améliorer la qualité énergétique des HLM pour éviter que les plus énergivores (classes E, F et G) ne soient interdits à la location entre 2025 et 2034.Si tous sont globalement optimistes sur la perspective d'atteindre l'objectif de 2034, ils sont plus sceptiques sur le "zéro émission nette" en 2050 voulu par la stratégie nationale bas carbone."Nous serons au rendez-vous de 2034 parce que nous n'avons qu'un million d'étiquettes E, F et G mais on aura plus de trois millions de logements D en 2034 et ce ne sera pas possible de les transformer en C en 2050 car les capacités de la filière de rénovation et les dispositifs de prêts ne sont pas là", prévient Marianne Louis.Côté financier, les bailleurs trouvent aussi la marche trop haute. "C'est un mur d'investissement qui est infranchissable aujourd'hui", assure Marcel Rogemont, président de la Fédération des offices publics de l'habitat (FOPH), qui représente la moitié des bailleurs sociaux.Selon lui, la FOPH devrait dépenser 3 milliards d'euros par an aujourd'hui pour la rénovation, alors qu'elle n'y consacre qu'un milliard.Depuis la pandémie, qualité rime aussi avec nouvelles attentes, dont la prise en compte du bien-être des occupants, avec des bâtiments plus agréables à vivre, un environnement plus vert, ou plus d'espace pour pouvoir travailler chez soi."On est dans l'obligation de faire plus et mieux. Aujourd'hui, on a une demande de mettre des terrasses sur des immeubles qui n'en ont pas, ça coûte une blinde. On a besoin d'îlots de fraîcheur, ça coûte une blinde et pourtant il faut le faire", souligne Bruno Arcadipane, président d'Action Logement, principal bailleur social.Pour lui, la solution réside dans "plus d'argent pour le logement et plus d'ingénierie".