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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Energie

(18134 résultats)
Il y a 2 ans et 221 jours

Ne signez pas aujourd'hui des contrats d'énergie aux prix exorbitants, conseille E. Macron

Le Président de la République Emmanuel Macron, interrogé ce matin par BFM TV, a exhorté les entreprises et les collectivités à ne pas signer des contrats d'énergie "à des prix fous".
Il y a 2 ans et 221 jours

Budget 2023 du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires

Dotés de 60 Md€ dans le projet de loi de finances pour 2023, les ministères de la transition écologique, de la cohésion des territoires et de la transition énergétique voient leurs budgets atteindre un niveau inédit. Ce budget 2023 amorce la hausse de nos moyens avant la déclinaison de nos feuilles de route en matière […]
Il y a 2 ans et 221 jours

VYROSA les petits formats collection mi- cheminées mi – poêles 2022 2023

Les petits formats de VYROSA. Collection « mi-cheminées mi-poêles » à adosser à un mur, ce sont des poêles et des cheminées fermées qui permettent une combustion optimale pour une faible émission de CO2, une chaleur diffuse qui se prolonge une fois le feu éteint, l’absence de fumée… et leurs larges parois vitrées permettent de […]
Il y a 2 ans et 221 jours

Profits exceptionnels pour TotalEnergies qui investit dans les renouvelables et gratifie ses actionnaires

Devant "l'évolution des marchés du pétrole, du gaz et de l'électricité", le géant des hydrocarbures se félicite du "bilan très solide" qu'il affichera fin 2022, s'estimant "en position à la fois d'accélérer sa stratégie de transformation et d'offrir une politique attractive de retour à l'actionnaire".C'est pourquoi le conseil d'administration, "souhaitant partager avec ses actionnaires les résultats de la compagnie dans ce contexte de prix hauts", va "verser un acompte sur dividende exceptionnel de 1 euro par action en décembre 2022", sur 2,62 milliards d'actions, a-t-elle précisé dans un communiqué. Ses clients bénéficieront aussi de la manne. Ceux "qui réduiront leur consommation d'électricité cet hiver", toucheront une prime de 30 à 120 euros "en fonction du pourcentage de leurs efforts", a-t-elle annoncé parallèlement. Versé en avril sous forme de réduction de facture, ce "bonus conso" s'adressera aux foyers clients depuis novembre 2021 au moins et disposant d'un compteur Linky, "soit plus de 3 millions de foyers", a-t-elle précisé."Total est une entreprise plus rentable que par le passé, résultat de la discipline et de contrôle des coûts", s'est félicité mercredi son PDG Patrick Pouyanné, lors d'une conférence sur la stratégique de l'entreprise.Grogne socialeCelle-ci prévoit que ses flux de trésorerie augmenteront "de 4 milliards de dollars à horizon de 5 ans, dans des hypothèses modérées de prix de l'énergie" soit 50 dollars/baril pour le pétrole. Et pour chaque dizaine de dollars supplémentaire que prendrait le baril, TotalEnergies compte bénéficier "de plus de 3 milliards de dollars supplémentaires"."35 à 40%" de ces flux de trésorerie aux actionnaires, le reste allant à sa stratégie de transformation, "avec des investissements nets en hausse de 14 à 18 milliards de dollars par an sur 2022-2025".L'annonce de cet acompte sur dividende exceptionnel intervient alors que le débat fait rage en France autour d'une éventuelle taxe spéciale sur les "superprofits" des entreprises qui ont grassement bénéficié de l'inflation ou de la hausse des prix de l'énergie consécutive à la guerre en Ukraine.Une mission parlementaire "flash", qui doit rendre ses conclusions autour du 5 ou 6 octobre, planche sur la question et a entendu la semaine dernière M. Pouyanné.Au deuxième trimestre 2022, TotalEnergies a engrangé d'énormes bénéfices: le groupe français a plus que doublé son bénéfice net, à 5,7 milliards de dollars, contre 2,2 milliards lors du même trimestre en 2021.Les annonces de mercredi interviennent toutefois alors que le climat social est électrique au sein de l'entreprise: depuis mardi, TotalEnergies fait face à une grève pour le pouvoir d'achat au sein de ses raffineries françaises, devant même mettre à l'arrêt celle de Normandie, la plus importante de France.Les salariés, répondant à un appel de la CGT, réclament une revalorisation salariale à hauteur de 10% pour l'année 2022, le "dégel des embauches" en France et "un plan massif d'investissements" dans l'Hexagone, des revendications déjà à l'origine de mouvements le 24 juin et le 28 juillet derniers.Renforcer les renouvelablesUne partie des employés touchent des salaires "extrêmement faibles et il y a besoin de les revaloriser à hauteur de ce que le groupe dégage comme bénéfices", a souligné auprès de l'AFP Benjamin Tange, responsable syndical.Lors de la conférence donnée mercredi, M. Pouyanné a promis de "ne pas oublier" ses employés lors du partage de l'excédent de trésorerie, même s'il "n'y aura pas d'annonce aujourd'hui" car les discussions suivent leur cours, selon lui.Avec son "bilan solide", le géant des hydrocarbures a par ailleurs pris la décision de renforcer ses investissements dans les énergies renouvelables: ceux dans le solaire et l'éolien "dépasseront 4 milliards de dollars dès 2022", au lieu de 3 milliards de dollars en 2021.Mardi, Patrick Pouyanné avait déjà annoncé que son groupe allait investir 1 milliard d'euros pour améliorer la performance énergétique de ses entreprises, au moment où un effort de sobriété est demandé au monde économique et aux consommateurs.L'entreprise dit viser à terme la neutralité carbone au milieu du siècle et s'est engagée à réduire de plus de 30% par rapport à 2015 les émissions dégagées par ses produits pétroliers.
Il y a 2 ans et 221 jours

Les bétons prêts à l’emploi de CCB France, certifiés Cradle to Cradle™️ Silver, une première dans l’hexagone.

Gaurain-Ramecroix, le 23 septembre 2022 Depuis le 17 juin 2022, la gamme de produits de la centrale à béton CCBF (Compagnie des Ciments Belges France) de Noyelles-Les-Seclin a été certifiée Cradle to Cradle™️ Silver. Une certification qui démontre la volonté de CCBF à réduire son empreinte carbone et à mettre l’environnement au centre de ses préoccupations.  La […]
Il y a 2 ans et 221 jours

Edilians : Une gamme solaire complète pour répondre à tous les chantiers

Pour la production d’énergie solaire par la toiture, EDILIANS a développé un ensemble de solutions pouvant répondre à tous les types de projets et de budgets grâce à sa Tuile Solaire Max, ses tuiles en terre cuite solaire ainsi que ses panneaux photovoltaïques EASY ROOF ACCESS.  Les + du EASY ROOF ACCESS : La solution est reconnue pour sa fiabilité et sa facilité d’installation résistante aux UV, à la rouille, à la grêle, à la neige et au vent. Un excellent rapport qualité/prix Haute fiabilité et parfaite étanchéité du produit Facilité d’entretien et de pose car le montage est rapide et s’effectue en 6 heures pour une installation de 3 kWc (avec 2 personnes). Il est “également 100 % recyclable avec 0 déchet de sa production jusqu’à sa fin de vie. Les + des tuiles en terre cuite solaire : Un esthétisme inégalé : avec une intégration parfaite et discrète, l’identité architecturale est préservée  Une simplicité de pose : forme et caractéristiques de mise en œuvre identiques à leurs équivalents en terre cuite traditionnels  Un véritable gain de temps et de rentabilité pour les professionnels de la toiture Une étanchéité irréprochable héritée des propriétés inhérentes à la terre cuite Une solution évolutive dans le temps : les tuiles en terre cuite solaire s’adaptent à une toiture existante en toute facilité La longévité et la fiabilité d’un matériau durable garanti 30 ans* Les + de la Tuile Solaire Max : Une durabilité optimale. Imputrescible, anti-corrosion et résistante aux intempéries Une imperméabilité sans failles depuis plus de 18 ans. Universelle, grâce à son châssis unique elle s’intègre parfaitement avec tous les modèles de tuiles de couverture. Une pose simplifiée en plein carré ou à l’égout.
Il y a 2 ans et 221 jours

Edilians : Une gamme solaire complète pour répondre à tous les chantiers

Pour la production d’énergie solaire par la toiture, EDILIANS a développé un ensemble de solutions pouvant répondre à tous les types de projets et de budgets grâce à sa Tuile Solaire Max, ses tuiles en terre cuite solaire ainsi que ses panneaux photovoltaïques EASY ROOF ACCESS.  Les + du EASY ROOF ACCESS : La solution est reconnue pour sa fiabilité et sa facilité d’installation résistante aux UV, à la rouille, à la grêle, à la neige et au vent. Un excellent rapport qualité/prix Haute fiabilité et parfaite étanchéité du produit Facilité d’entretien et de pose car le montage est rapide et s’effectue en 6 heures pour une installation de 3 kWc (avec 2 personnes). Il est “également 100 % recyclable avec 0 déchet de sa production jusqu’à sa fin de vie. Les + des tuiles en terre cuite solaire : Un esthétisme inégalé : avec une intégration parfaite et discrète, l’identité architecturale est préservée  Une simplicité de pose : forme et caractéristiques de mise en œuvre identiques à leurs équivalents en terre cuite traditionnels  Un véritable gain de temps et de rentabilité pour les professionnels de la toiture Une étanchéité irréprochable héritée des propriétés inhérentes à la terre cuite Une solution évolutive dans le temps : les tuiles en terre cuite solaire s’adaptent à une toiture existante en toute facilité La longévité et la fiabilité d’un matériau durable garanti 30 ans* Les + de la Tuile Solaire Max : Une durabilité optimale. Imputrescible, anti-corrosion et résistante aux intempéries Une imperméabilité sans failles depuis plus de 18 ans. Universelle, grâce à son châssis unique elle s’intègre parfaitement avec tous les modèles de tuiles de couverture. Une pose simplifiée en plein carré ou à l’égout.
Il y a 2 ans et 222 jours

Somfy ajoute une fonctionnalité à sa commande TaHoma switch pour aider ses utilisateurs à réaliser des économies d'énergie

L’efficacité des protections solaires automatisées est désormais reconnue ; mais Somfy va plus loin en proposant dès aujourd’hui à tous ses utilisateurs de TaHoma de bénéficier d’une nouvelle fonction leur permettant de maximiser les économies d’énergie.Automatiser ses protections solaires pour renforcer l’isolation des fenêtresLes pouvoirs publics ont récemment rappelé l'impact significatif d'écogestes aussi simples que baisser la température de 1 °C. Pour autant, il semble idéaliste de croire que chaque individu puisse manuellement et à plusieurs reprises, adapter la température de chaque pièce. La clé d'une véritable évolution de nos façons de consommer l'énergie réside dans la simplicité des usages et leur automatisation, grâce à des solutions connectées qui interagissent entre elles pour maximiser les économies d’énergie.Automatiser ses protections solaires permet de moduler l’apport de chaleur en fonction des besoins, sans avoir à y penser. En hiver, les volets ou les stores s’ouvrent pour laisser rentrer le rayonnement solaire et ainsi chauffer naturellement l’intérieur du logement : la fenêtre agit ainsi comme un véritable radiateur, apportant une quantité importante d’énergie gratuite et écologique ! Les protections solaires se ferment automatiquement à la tombée de la nuit pour conserver la chaleur. Grâce à cette automatisation, l’utilisateur peut gagner en moyenne 10%* sur sa consommation de chauffage par rapport à des protections solaires manuelles.* Moyenne obtenue selon les résultats de 3 études : TBC/FFB ; Bastide Bondoux et Incidence 8/INCUB.Rendre les économies d’énergie accessibles à tousPour accompagner les particuliers dans leur quête d’économies d’énergie, Somfy lance une nouvelle fonction à sa commande TaHoma switch, pour permettre à tous les utilisateurs de bénéficier d’une gestion automatique de leurs protections solaires.Ceux-ci peuvent désormais bénéficier d’un scénario préconfiguré « Confort thermique », directement intégré à l’interface TaHoma. Ce scénario est accessible à tous les utilisateurs équipés de protections solaires connectées, sans qu’ils n’aient à rajouter de capteur. Ils sont guidés pas à pas pour configurer un scénario qui va leur permettre de réaliser des économies d’énergie toute l’année.En hiver, les protections solaires s’ouvrent en journée pour profiter des calories gratuites du soleil et réchauffer le logement, puis se ferment au crépuscule pour conserver la chaleur.En été, les protections solaires se ferment lorsque le soleil tape pour conserver la fraîcheur ; puis elles s’ouvrent à la tombée de la nuit pour rafraîchir naturellement le logement aux heures les moins chaudes.Ces données peuvent être personnalisées selon les besoins ou les habitudes de vie de chacun.Ainsi, les particuliers peuvent réaliser des économies d’énergie en toute simplicité, sans avoir à y penser, et même lorsqu’ils ne sont pas à leur domicile.Les protections solaires au service de la performance énergétique, quelques chiffres clés :La fenêtre représente 60% des apports calorifiques ou des déperditions de chaleur. (Ademe)En été : - 7°C de diminution de la température intérieure lors des pics de chaleur, avec des solutions automatisées vs (TBC/FFB : analyse de l’apport énergétique du volet roulant – 2010)En hiver : 10% en moyenne sur la consommation de chauffage avec des solutions automatisées vs manuelles (Moyenne obtenue selon les résultats de 3 études : TBC/FFB ; Bastide Bondoux et Incidence 8/INCUB)Un thermostat programmable permet d’économiser en moyenne 15% d’énergie, soit une baisse annuelle de 210 euros (Ademe)Un chauffage automatisé & connecté à des protections solaires automatisées permet de diminuer jusqu’à 32% la consommation de chauffage en hiver
Il y a 2 ans et 222 jours

Dual Sun

A l'occasion du Mondial du Bâtiment (du 3 au 6 octobre à Paris), DualSun présente son nouveau panneau photovoltaïque de dernière génération : le FLASH® 425 Shingle. Plus puissant, plus résistant, générant un impact environnemental réduit, et offrant un look "ultra full black".
Il y a 2 ans et 222 jours

Lancement mi-octobre de formations sur l'environnement pour les députés

La présidente de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet (Renaissance) est à l'origine de ces formations qui ont aussi pour but d'"améliorer la prise en compte des enjeux environnementaux dans le travail parlementaire", selon un communiqué.Une conférence inaugurale, suivie d'ateliers thématiques, se tiendront le 19 octobre, avec la participation de la paléo-climatologue et membre du GIEC Valérie Masson-Delmotte, de l'écologue Philippe Grandcolas et de l'économiste du climat Céline Guivarch.Cette rencontre "ne sera qu'une première étape d'un cycle de formations", de sorte que "la formation des députés, mais aussi des personnels et collaborateurs travaillant dans l'institution, s'inscrive dans la durée", poursuit la présidence de l'Assemblée. Dans l'optique d'une "Assemblée verte et vertueuse", Mme Braun-Pivet a aussi mis sur pied un groupe de travail chargé de proposer "des pratiques environnementales exemplaires" au sein de l'institution.Composé de 14 députés de tous bords et présidé par Mme Braun-Pivet elle-même, il se réunira pour la première fois le 6 octobre. Le groupe de travail doit se pencher sur des "mesures immédiates" pour "éviter des coupures énergétiques cet hiver", ainsi que sur un "plan de transition énergétique à moyen et long terme" d'ici fin février 2023, afin de réduire les consommations de 60% d'ici 2042.Enfin, un "plan de transition écologique" devra être remis d'ici juin 2023, sur la réduction des déchets, le verdissement du transport des députés, personnels et collaborateurs, et encore sur la promotion d'une alimentation saine et durable."Il y a encore beaucoup à faire en termes de réduction de la consommation (énergétique), même si beaucoup a été fait avec une baisse de 30% ces dix dernières années", soulignait la titulaire du perchoir dans Le Parisien lundi, en relevant qu'"une partie des bâtiments (de l'Assemblée) est classée monument historique, ce qui ne facilite pas le travail".
Il y a 2 ans et 222 jours

Un budget 2023 optimiste selon le Syndicat des Indépendants et des TPE

La confirmation d’un bouclier énergétique à destination des petites structures entrepreneuriales sous contrat à tarif réglementé mérite cependant d’être saluée. Pour autant, la hausse des tarifs de 15% annoncée réduira un peu plus la trésorerie de ces entreprises, déjà sous le coup d’une baisse de la consommation des ménages ainsi que des hausses des charges d’exploitation courante, salaires et matières premières notamment. Dans ce contexte, ce sont une nouvelle fois les rémunérations des dirigeants qui seront revues à la baisse alors que plus des deux tiers vivent à ce jour avec moins d’un SMIC par mois, chiffre en augmentation de 18 points comparé à l’année 2019.La baisse des impôts de production, en l’occurrence de la CVAE, ne viendra en aucune manière atténuer ces constats au niveau des TPE puisqu’elles n’en sont pas redevables. A cet égard, l’arbitrage fiscal est à destination exclusive des moyennes et grandes entreprises. L’équité fiscale aurait voulu que la CFE, en sa qualité d’impôt de production acquitté par les TPE, bénéficie du même dispositif de suppression, même étalé sur deux années.Sans évolution des PLF et PLFSS, les TPE resteront les laissées pour compte du Budget 2023 alors qu’une année économique difficile voire très difficile se profile.Le SDI entend tenir compte d’une situation budgétaire d’une France « à l’euro près » et poussera ses propositions neutres pour le Budget mais essentielles pour la trésorerie des TPE, tant auprès du gouvernement que des parlementaires :Un prolongement de deux années du remboursement du PGE.Un renouvellement du dispositif d’étalement de paiement des charges URSSAF sur 12 à 36 mois.L’interdiction de mise à la charge des locataires commerciaux de la taxe foncière due par leurs bailleurs.L’extension du plafonnement à 3,5% de l’indexation des loyers pour l’ensemble des bâtiments commerciaux, artisanaux et libéraux. A ce jour en effet, le plafonnement n’est prévu que pour un seul indice, à savoir l’ILC (Indice des Loyers Commerciaux). Or, deux autres indices ne sont pas couverts à ce stade : l’ICC (Indice du Coût de la Construction) et l’ILAT (Indice des Loyers des Activités Tertiaires).En dernier lieu, le SDI propose à titre transitoire et afin de pallier la pénurie de main d’œuvre de certains secteurs d’activité, une défiscalisation et désocialisation intégrale des heures supplémentaires. »Retrouvez l'étude complète ici.
Il y a 2 ans et 222 jours

La crise de l’énergie accélère-t-elle la transition énergétique des logements des particuliers ?

Pourtant la question du budget ralentit encore la transformation des logements. HomeServe, spécialiste des réparations et des travaux de la maison, a interrogé les ménages sur leur vision quant à l’habitat durable, en collaboration avec Odoxa. L’étude décrypte les habitudes des Français en matière d’écologie à la maison, leurs intentions pour réduire leur facture et révèle les principaux freins pour passer à l’habitat durable.Comment les Français s’adaptent-ils à ce contexte de crise énergétique ?La conscience écologique et les enjeux de sobriété énergétique gagnent du terrain dans les foyers : 88% des Français ont à cœur d’habiter un logement durable plus respectueux de l’environnement et ils sont même près d’un quart (22%) à y être déjà convertis.Parmi les facteurs moteurs en faveur du logement durable, dans un contexte de hausse des prix de l’énergie, la maîtrise des coûts reste centrale : 57% des Français comptent même réaliser des travaux pour optimiser leur budget mensuel, dont 40% pour réduire leur facture d’énergie quand 27% des répondants le font pour des motivations écologiques. Dans le même sens, 53% des répondants se disent prêts à réaliser des travaux d’isolation si ceux-ci ont un impact sur leur consommation d’énergie.À la maison, certains gestes ont d’ailleurs déjà trouvé leur place : 60% des répondants ont déjà réduit leur consommation d’eau et d’électricité et plus de 20% déclarent y être de plus en plus vigilants. La performance énergétique et l’isolation des biens, qui sont les facteurs prédominants dans la détermination d’un logement dit durable, font désormais parties des points de vigilance des Français dans le choix d’un futur logement : encouragés par les récentes mesures, l’étude révèle que 79% des répondants jugent important le DPE dans le choix de leur logement.…Des Français encore frileux à réaliser des travaux en faveur d’un logement plus durableAvec une place prépondérante du logement dans la vie des Français, plus de la moitié des répondants (55%) ont l’intention d’effectuer des travaux ces 12 prochains mois. En moyenne, ils comptent allouer un budget de 3 403 € pour l’entretien et la rénovation de leur habitat.Alors qu’ils pourraient avoir de vrais impacts sur leur confort et leur facture et malgré une prise de conscience des Français, parmi ceux qui ont l’intention de réaliser des travaux : seulement 16% d’entre eux privilégieront des travaux pour optimiser l’isolation de leur logement et 10% des travaux sur leur système de chauffage alors que près de 40% des Français qui ont l’intention de réaliser des travaux comptent privilégier la peinture des murs.Aujourd’hui, les Français sont seulement 1 tiers à avoir déjà réalisé des travaux d’isolation pour optimiser leur consommation d’énergie (33%), 31% à faire le choix d’un fournisseur d’énergies vertes et 28% à installer des appareils pour limiter sa consommation d’eau.Les obstacles qui freinent la conversion des Français au logement durableLe facteur prix ralentit l’enthousiasme des Français en faveur d’un habitat plus vert. En effet, pour plus de 8 Français sur 10 (84%), avoir un logement respectueux de l’environnement coûte cher.L’étude révèle par exemple que si 50% des Français seraient favorables à l’installation d’une pompe à chaleur, pour ses qualités écologiques et économiques, seulement 20% ont déjà sauté le pas, quand les 30% restants hésitent encore, en majorité car ils ne disposent pas du budget suffisant. Par ailleurs, pour 81% des répondants, avoir un logement respectueux de l’environnement demande de faire beaucoup de travaux, impliquant parfois un investissement initial significatif.Parmi les autres freins des Français pour accélérer la performance énergétique de leur habitat : la méconnaissance des démarches. En effet, 6 répondants sur 10 souhaiteraient avoir un logement respectueux de l’environnement mais ne savent pas par où commencer.Un manque de connaissance qui s’applique aussi sur les aides mises en place pour soutenir le logement durable. Parmi les Français qui envisagent des travaux de rénovation, 2 tiers ne savent pas de quelles aides publiques ils peuvent bénéficier.
Il y a 2 ans et 222 jours

L'industrie gazière insiste sur sa "résilience" à l'approche d'un hiver incertain

TRANSITION. Réunis ce 27 septembre en congrès à Paris, les gaziers ont insisté sur les notions de souveraineté, de sobriété et de décarbonation en présentant les atouts de leurs énergies renouvelables. Un discours qui s'est voulu rassurant alors que les craintes sur l'approvisionnement énergétique de la France pour l'hiver qui vient restent prégnantes.
Il y a 2 ans et 222 jours

Le monde HLM appelle à "assumer la sobriété" énergétique

"La température de chauffage, les consignes sur les ascenseurs et les parties communes, l'éclairage: oui, je vous invite à respecter les consignes sur les températures. Personne ne peut se permettre de +cramer+ autant d'énergie cet hiver", a-t-elle déclaré à Lyon, en ouverture du 82e congrès HLM.L'USH a noué un partenariat avec la plate-forme Ecowatt mise en place par RTE, le gestionnaire du réseau de transport d'électricité, pour que les bailleurs puissent être avertis en temps réel des tensions sur le réseau, et participent à la régulation des pics de consommation.Concernant l'envolée des prix de l'énergie, Emmanuelle Cosse a souligné que les charges des locataires avaient augmenté malgré le bouclier tarifaire qui plafonne les coûts pour les particuliers.Sur le projet de budget de l'Etat 2023 présenté lundi, elle a jugé qu'il n'avait "pas aggravé la situation. Ca nous change ! Disons que c'est un budget de transition", a-t-elle observé, tout en regrettant l'amputation "depuis 2018 de plusieurs milliards d'euros" des finances des bailleurs sociaux.Face à l'ampleur de la demande de logements sociaux - 2,3 millions de ménages en attente fin 2021 -, la présidente de l'USH a également salué "tous les maires bâtisseurs" en refusant d'opposer écologie et construction. "Nous savons la difficulté de convaincre ses administrés de produire du logement pour tous. Mais nous savons aussi par expérience que les territoires qui démissionnent de leurs missions d'aménageur finissent par souffrir de l'entre-soi et de l'immobilisme", a-t-elle affirmé."Certes, l'acte de construire a un impact sur notre environnement", mais "plutôt que de s'attaquer aux constructions de logements, qu'on aille interroger le développement délirant et incontrôlé des grandes zones commerciales", a martelé Mme Cosse.L'ancienne ministre du Logement a par ailleurs souligné l'émergence de mouvements citoyens sur la frange ouest, comme au Pays basque ou en Bretagne, qui dénoncent la flambée des prix."Je tire une sonnette d'alarme : les chiffres de la demande en logement social explosent dans des départements restés jusque-là en dessous des radars alors même que nous savons d'ores et déjà que les agréments (les autorisations de nouveaux logements, NDLR) 2022 ne seront pas bons", a-t-elle souligné.
Il y a 2 ans et 222 jours

Le monde HLM appelle à "assumer la sobriété" énergétique

"La température de chauffage, les consignes sur les ascenseurs et les parties communes, l'éclairage: oui, je vous invite à respecter les consignes sur les températures. Personne ne peut se permettre de +cramer+ autant d'énergie cet hiver", a-t-elle déclaré à Lyon, en ouverture du 82e congrès HLM.L'USH a noué un partenariat avec la plate-forme Ecowatt mise en place par RTE, le gestionnaire du réseau de transport d'électricité, pour que les bailleurs puissent être avertis en temps réel des tensions sur le réseau, et participent à la régulation des pics de consommation.Concernant l'envolée des prix de l'énergie, Emmanuelle Cosse a souligné que les charges des locataires avaient augmenté malgré le bouclier tarifaire qui plafonne les coûts pour les particuliers.Sur le projet de budget de l'Etat 2023 présenté lundi, elle a jugé qu'il n'avait "pas aggravé la situation. Ca nous change ! Disons que c'est un budget de transition", a-t-elle observé, tout en regrettant l'amputation "depuis 2018 de plusieurs milliards d'euros" des finances des bailleurs sociaux.Face à l'ampleur de la demande de logements sociaux - 2,3 millions de ménages en attente fin 2021 -, la présidente de l'USH a également salué "tous les maires bâtisseurs" en refusant d'opposer écologie et construction. "Nous savons la difficulté de convaincre ses administrés de produire du logement pour tous. Mais nous savons aussi par expérience que les territoires qui démissionnent de leurs missions d'aménageur finissent par souffrir de l'entre-soi et de l'immobilisme", a-t-elle affirmé."Certes, l'acte de construire a un impact sur notre environnement", mais "plutôt que de s'attaquer aux constructions de logements, qu'on aille interroger le développement délirant et incontrôlé des grandes zones commerciales", a martelé Mme Cosse.L'ancienne ministre du Logement a par ailleurs souligné l'émergence de mouvements citoyens sur la frange ouest, comme au Pays basque ou en Bretagne, qui dénoncent la flambée des prix."Je tire une sonnette d'alarme : les chiffres de la demande en logement social explosent dans des départements restés jusque-là en dessous des radars alors même que nous savons d'ores et déjà que les agréments (les autorisations de nouveaux logements, NDLR) 2022 ne seront pas bons", a-t-elle souligné.
Il y a 2 ans et 222 jours

Crise énergétique : l’isolation des bâtiments doit rester une priorité sociale, énergétique et climatique

PARIS, 27 septembre 2022 – A l’occasion d’une table ronde organisée sur la thématique de la rénovation énergétique, en présence de parlementaires et experts du secteur du bâtiment*, le Syndicat national des Fabricants d’Isolants en Laines Minérales Manufacturées (le FILMM) appelle le Gouvernement à renforcer les mesures pour massifier les travaux de rénovation et lutter plus efficacement contre les passoires thermiques. L’amélioration de la performance énergétique des bâtiments est un levier majeur pour réduire nos consommations et accélérer la transition du secteur. Dans un contexte marqué par l’envolée des prix de l’énergie, l’amélioration de la qualité thermique des logements joue également un rôle social : c’est l’outil le plus efficace pour lutter contre la précarité énergétique qui touche encore 12 millions de personnes en France.Si l’ambition est consensuelle, des débats subsistent sur la nature et le calibrage des dispositifs à mettre en œuvre pour atteindre les objectifs climatiques et sociaux définis par la nouvelle mandature. Le constat : les 700 000 gestes de rénovation par an ne permettront pas d’éradiquer les passoires thermiques L’accélération de la rénovation énergétique des bâtiments est une priorité du Gouvernement, avec une ambition affichée de 500 000 rénovations globales par an jusqu’en 2030 puis 700 000 par an de 2030 à 2050 pour atteindre les objectifs de la SNBC.Malgré la réussite du dispositif MaPrimeRénov’ (MPR), les aides ont été majoritairement mobilisées pour changer le système de chauffage**. Or, pour mener une rénovation énergétique efficace, il est préférable de favoriser une rénovation globale de l’enveloppe comprenant des gestes d’isolation thermique. En effet, l’isolation de toute l’enveloppe d’une passoire thermique permet de réduire sa consommation et donc la facture énergétique de 70 à 80%. « L’isolation des bâtiments conduit non seulement à réduire les émissions de CO2, mais aussi les factures énergétiques des ménages, tout en contribuant directement à réduire la dépendance énergétique de la France », explique Pierre-Emmanuel Thiard, Président du FILMM. « En France, 7,2 millions de logements sont qualifiés de passoires thermiques. Sans travaux d’isolation, ces logements resteront des passoires, indépendamment du système de chauffage installé. L’isolation des bâtiments doit être confortée comme priorité de ce début de mandature », poursuit-il. L’urgence : corriger les dysfonctionnements des dispositifs de financement pour réussir le défi de la rénovation Le marché de la rénovation thermique est largement orienté par les dispositifs publics d’incitation, en particulier les Certificats d’Economie d’Energie (CEE) et MPR. Or, des dysfonctionnements majeurs déstabilisent l’ensemble de la filière depuis le début de l’année. L’effondrement des prix de valorisation des CEE a notamment causé une chute brutale des travaux d’isolation avec -83% sur l’isolation des combles entre le T1 2021 et le T1 2022. Le correctif de +25%*** du niveau de l’obligation annoncé par le Gouvernement pour la 5ème période est jugé insuffisant par la filière pour relancer rapidement et massivement le dispositif. La filière appelle le Gouvernement à prendre les mesures correctives nécessaires, notamment en renforçant les objectifs des CEE précarité. La filière propose de faire porter cette augmentation sur les fournisseurs d’énergie fossile carbonée, notamment ceux ayant réalisé des profits exceptionnels en 2022, et fléchée en priorité sur les ménages précaires.La filière alerte également le Gouvernement sur les limites actuelles du dispositif MPR et la nécessité de rétablir les aides pour l’isolation des combles et des planchers, afin de compenser l’arrêt du Coup de pouce isolation dans le cadre des CEE. En effet, les travaux d’isolation des combles perdus et des planchers sont les seuls gestes d’isolation à ne pas être intégrés aux aides financières, ce qui était initialement justifié par l’existence du Coup de pouce isolation. « Il est impératif que les dispositifs d’aides s’intègrent dans une stratégie cohérente et ambitieuse de rénovation énergétique, en mettant l’accent sur les travaux d’isolation en tant que principal levier de sobriété et de maitrise de consommation d’énergie, pour une indépendance énergétique renforcée. L’urgence est tant écologique que sociale, dans un contexte d’explosion de la précarité énergétique. », constate Pierre-Emmanuel Thiard. *Sont intervenus aux côtés du Président du FILMM à la table ronde du 27 septembre 2022 : Simon HUFFETEAU, coordinateur gouvernemental du plan de rénovation énergétique des bâtiments.Jean-François LONGEOT, sénateur du Doubs.Marjolaine MEYNIER-MILLEFERT, députée de l’Isère.Danyel DUBREUIL, coordinateur de l’Initiative Rénovons.**72% selon le rapport de la Cour des comptes de septembre 2021.*** Correction des objectifs de la 5ème période de 600 TWhc (passage de 2500 à 3100 TWhc d’objectifs sur les 4 ans).
Il y a 2 ans et 222 jours

AGC Glass Europe annonce une nouvelle gamme de verres float à empreinte carbone réduite

Cette amélioration permettra à AGC – l’un des plus grands producteurs de verre plat au monde – de réduire de plus de 40 %[1] les émissions de carbone du processus de production de ce verre float. Pour parvenir à une production de verre carboneutre d’ici 2050, tous les éléments de la chaîne de valeur sont à prendre en considération : la décarbonisation du processus de production du verre proprement dit, mais aussi l’élimination des émissions de CO2 en amont, dans la chaîne d’approvisionnement, ainsi que des autres émissions indirectes. S’attaquant à l’ensemble des émissions dans la chaîne de valeur, AGC est aujourd’hui en mesure d’annoncer une première grande avancée sur son trajet vers la neutralité carbone grâce au lancement, fin 2022, d’une nouvelle gamme de verres float à moindre empreinte carbone. Une approche holistique pour la production de verre bas carboneAGC adopte une approche holistique de la durabilité pour produire du verre bas carbone :Approvisionnement durable en matières premièresUtilisation de fours de fusion à haute efficacitéUsage accru du groisil (verre recyclé)Recours aux énergies vertesOptimisation du transport entre les sites du Groupe pour les traitements de finition Optimisation du transport des produits finisApplication de l’approche holistique pour une première production bas carbone à MoustierL’usine de production d’AGC Glass Europe à Moustier en Belgique sera le premier site AGC à produire du verre bas carbone, après avoir opéré une conversion réussie en vue de répondre aux conditions rigoureuses qui sont nécessaires pour cela. De plus, la localisation de l’usine de Moustier la met en situation idéale pour un approvisionnement en matières premières durables et constitue un atout stratégique pour assurer une livraison aux clients dans des conditions optimales de durabilité. 1. Approvisionnement durable en matières premièresMoustier, l’usine historique de production de verre float d’AGC en Europe continentale, bénéficie notamment de la disponibilité locale d’un sable très pur, ne nécessitant qu’un traitement léger avant de pouvoir être utilisé pour la production de verre float. Depuis plusieurs années, 75 % de ses matières premières – non seulement le sable, mais aussi d’autres matières premières – sont transportées par péniches jusqu’à l’usine située le long de la rivière de la Sambre pour y être déchargées sur le site même. Le carbonate de sodium est une matière première essentielle pour la fabrication du verre en raison de sa capacité à réduire la température de fusion de l’ingrédient principal, le sable. L’empreinte CO2 du carbonate de sodium varie considérablement selon le procédé utilisé pour sa production. Pour la fabrication de verre bas carbone, l’usine de Moustier aura recours à du carbonate de sodium ayant une faible empreinte carbone.2. Utilisation de fours de fusion à haute efficacité L’un des fours de Moustier tire déjà parti d’améliorations apportées lors d’une récente réparation à froid (les fours de fusion font l’objet d’une révision générale tous les 15 à 18 ans), par l’intégration de nouvelles technologies telles que l’électro-boosting, qui recourt à l’énergie électrique pour la fusion du sable et permet ainsi de réduire la dépendance vis-à-vis du gaz naturel importé. Ce processus de production novateur représente un important pas en avant sur la feuille de route vers la neutralité carbone à l’échelle de l’entreprise.3. Usage accru du groisil (verre recyclé)Implantée dans une région comptant un grand nombre de transformateurs, de clients de longue date et de filiales du Groupe, l’usine de Moustier tire parti depuis de nombreuses années de différentes solutions de recyclage pour accroître la quantité de groisil utilisée dans la production de son verre. Pour ce nouveau verre float à moindre empreinte carbone, de nouvelles sources de groisil permettront d’augmenter de plus de 50 %[2] la quantité de verre recyclé en production.4. Recours aux énergies vertesAGC compte accroître au maximum sa propre production d’électricité. En Belgique, le pays d’origine du Groupe, celle-ci a pu réduire considérablement son empreinte carbone grâce à la présence de panneaux photovoltaïques sur tous les toits de ses usines de production, sites administratifs et bureaux. AGC dispose même de sa propre éolienne sur son site de Seneffe, à quelques kilomètres de Moustier.L’usine de Moustier bénéficiera d’un nouvel apport d’électricité renouvelable fourni grâce à des installations sur site et hors site (dont une installation de cogénération (production combinée de chaleur et d’électricité ou PCCE) et des panneaux solaires).5. Optimisation du transport entre les sites du Groupe pour les traitements de finition La logistique fait elle aussi partie intégrante de la stratégie holistique d’AGC. Afin de favoriser autant que possible les synergies entre production et finition de façon à réduire les opérations de transport et les émissions de CO2, l’assemblage en verre feuilleté pour la fabrication du verre de sécurité est réalisé sur le site de Moustier même, l’application des couches étant réalisée dans l’usine spécialisée de Lodelinsart située à 25 km à peine.6. Optimisation du transport des produits finisLa situation stratégique de l’usine de Moustier lui vaut des distances de transport optimales pour la livraison des produits finis. Les régions environnantes – le nord de la France, les pays du Benelux et l’ouest de l’Allemagne constituent des territoires densément peuplés, totalisant des millions de clients se trouvant dans un rayon de moins de 250 km.Le verre bas carbone se prête à de multiples possibilités de transformationD’ici la fin 2022, le Groupe lancera sa nouvelle gamme de produits verriers float bas carbone, basés sur du verre float clair dont l’empreinte carbone a pu être réduite de plus de 40 % (par comparaison avec la valeur de référence d’AGC Glass Europe), à moins de 7 kg de CO2 par m2 pour le verre clair (épaisseur 4 mm). Ce verre float bas carbone sera utilisé dans les principales gammes de vitrages fonctionnels d’AGC :verre de sécurité : gammes Stratobel et Stratophoneverre pour l’isolation thermique : gamme iplusverre de contrôle solaire : gammes Stopray, ipasol et EnergyCes nouveaux verres bas carbone offriront le même aspect, la même qualité et les mêmes performances techniques que les verres float classiques d’AGC. AGC compte généraliser l’expérience acquise à Moustier en étendant progressivement sa stratégie bas carbone à d’autres sites, à commencer par l’usine de Seingbouse en France début 2023. Davide Cappellino, Président de la division Architectural Glass Europe and Americas d’AGC, conclut : « Notre première gamme de verres bas carbone constitue un jalon important sur le trajet de décarbonisation d’AGC. Nous sommes très heureux de proposer à nos clients un verre qui, de l’extraction des matières premières à l’installation finale, génère environ 40 % de CO² en moins que notre verre standard. C’est une réduction significative, et un grand pas en avant vers la neutralité carbone dans le secteur de la construction. »[1] Par comparaison avec la référence AGC Glass Europe : FDES du Planibel dans la base de données INIES[2] La quantité totale de groisil ajoutée dans le four float pour la production de verre clair est généralement d’environ 20 %.
Il y a 2 ans et 222 jours

AGC Glass Europe annonce une nouvelle gamme de verres float à empreinte carbone réduite

Cette amélioration permettra à AGC – l’un des plus grands producteurs de verre plat au monde – de réduire de plus de 40 %[1] les émissions de carbone du processus de production de ce verre float. Pour parvenir à une production de verre carboneutre d’ici 2050, tous les éléments de la chaîne de valeur sont à prendre en considération : la décarbonisation du processus de production du verre proprement dit, mais aussi l’élimination des émissions de CO2 en amont, dans la chaîne d’approvisionnement, ainsi que des autres émissions indirectes. S’attaquant à l’ensemble des émissions dans la chaîne de valeur, AGC est aujourd’hui en mesure d’annoncer une première grande avancée sur son trajet vers la neutralité carbone grâce au lancement, fin 2022, d’une nouvelle gamme de verres float à moindre empreinte carbone. Une approche holistique pour la production de verre bas carboneAGC adopte une approche holistique de la durabilité pour produire du verre bas carbone :Approvisionnement durable en matières premièresUtilisation de fours de fusion à haute efficacitéUsage accru du groisil (verre recyclé)Recours aux énergies vertesOptimisation du transport entre les sites du Groupe pour les traitements de finition Optimisation du transport des produits finisApplication de l’approche holistique pour une première production bas carbone à MoustierL’usine de production d’AGC Glass Europe à Moustier en Belgique sera le premier site AGC à produire du verre bas carbone, après avoir opéré une conversion réussie en vue de répondre aux conditions rigoureuses qui sont nécessaires pour cela. De plus, la localisation de l’usine de Moustier la met en situation idéale pour un approvisionnement en matières premières durables et constitue un atout stratégique pour assurer une livraison aux clients dans des conditions optimales de durabilité. 1. Approvisionnement durable en matières premièresMoustier, l’usine historique de production de verre float d’AGC en Europe continentale, bénéficie notamment de la disponibilité locale d’un sable très pur, ne nécessitant qu’un traitement léger avant de pouvoir être utilisé pour la production de verre float. Depuis plusieurs années, 75 % de ses matières premières – non seulement le sable, mais aussi d’autres matières premières – sont transportées par péniches jusqu’à l’usine située le long de la rivière de la Sambre pour y être déchargées sur le site même. Le carbonate de sodium est une matière première essentielle pour la fabrication du verre en raison de sa capacité à réduire la température de fusion de l’ingrédient principal, le sable. L’empreinte CO2 du carbonate de sodium varie considérablement selon le procédé utilisé pour sa production. Pour la fabrication de verre bas carbone, l’usine de Moustier aura recours à du carbonate de sodium ayant une faible empreinte carbone.2. Utilisation de fours de fusion à haute efficacité L’un des fours de Moustier tire déjà parti d’améliorations apportées lors d’une récente réparation à froid (les fours de fusion font l’objet d’une révision générale tous les 15 à 18 ans), par l’intégration de nouvelles technologies telles que l’électro-boosting, qui recourt à l’énergie électrique pour la fusion du sable et permet ainsi de réduire la dépendance vis-à-vis du gaz naturel importé. Ce processus de production novateur représente un important pas en avant sur la feuille de route vers la neutralité carbone à l’échelle de l’entreprise.3. Usage accru du groisil (verre recyclé)Implantée dans une région comptant un grand nombre de transformateurs, de clients de longue date et de filiales du Groupe, l’usine de Moustier tire parti depuis de nombreuses années de différentes solutions de recyclage pour accroître la quantité de groisil utilisée dans la production de son verre. Pour ce nouveau verre float à moindre empreinte carbone, de nouvelles sources de groisil permettront d’augmenter de plus de 50 %[2] la quantité de verre recyclé en production.4. Recours aux énergies vertesAGC compte accroître au maximum sa propre production d’électricité. En Belgique, le pays d’origine du Groupe, celle-ci a pu réduire considérablement son empreinte carbone grâce à la présence de panneaux photovoltaïques sur tous les toits de ses usines de production, sites administratifs et bureaux. AGC dispose même de sa propre éolienne sur son site de Seneffe, à quelques kilomètres de Moustier.L’usine de Moustier bénéficiera d’un nouvel apport d’électricité renouvelable fourni grâce à des installations sur site et hors site (dont une installation de cogénération (production combinée de chaleur et d’électricité ou PCCE) et des panneaux solaires).5. Optimisation du transport entre les sites du Groupe pour les traitements de finition La logistique fait elle aussi partie intégrante de la stratégie holistique d’AGC. Afin de favoriser autant que possible les synergies entre production et finition de façon à réduire les opérations de transport et les émissions de CO2, l’assemblage en verre feuilleté pour la fabrication du verre de sécurité est réalisé sur le site de Moustier même, l’application des couches étant réalisée dans l’usine spécialisée de Lodelinsart située à 25 km à peine.6. Optimisation du transport des produits finisLa situation stratégique de l’usine de Moustier lui vaut des distances de transport optimales pour la livraison des produits finis. Les régions environnantes – le nord de la France, les pays du Benelux et l’ouest de l’Allemagne constituent des territoires densément peuplés, totalisant des millions de clients se trouvant dans un rayon de moins de 250 km.Le verre bas carbone se prête à de multiples possibilités de transformationD’ici la fin 2022, le Groupe lancera sa nouvelle gamme de produits verriers float bas carbone, basés sur du verre float clair dont l’empreinte carbone a pu être réduite de plus de 40 % (par comparaison avec la valeur de référence d’AGC Glass Europe), à moins de 7 kg de CO2 par m2 pour le verre clair (épaisseur 4 mm). Ce verre float bas carbone sera utilisé dans les principales gammes de vitrages fonctionnels d’AGC :verre de sécurité : gammes Stratobel et Stratophoneverre pour l’isolation thermique : gamme iplusverre de contrôle solaire : gammes Stopray, ipasol et EnergyCes nouveaux verres bas carbone offriront le même aspect, la même qualité et les mêmes performances techniques que les verres float classiques d’AGC. AGC compte généraliser l’expérience acquise à Moustier en étendant progressivement sa stratégie bas carbone à d’autres sites, à commencer par l’usine de Seingbouse en France début 2023. Davide Cappellino, Président de la division Architectural Glass Europe and Americas d’AGC, conclut : « Notre première gamme de verres bas carbone constitue un jalon important sur le trajet de décarbonisation d’AGC. Nous sommes très heureux de proposer à nos clients un verre qui, de l’extraction des matières premières à l’installation finale, génère environ 40 % de CO² en moins que notre verre standard. C’est une réduction significative, et un grand pas en avant vers la neutralité carbone dans le secteur de la construction. »[1] Par comparaison avec la référence AGC Glass Europe : FDES du Planibel dans la base de données INIES[2] La quantité totale de groisil ajoutée dans le four float pour la production de verre clair est généralement d’environ 20 %.
Il y a 2 ans et 222 jours

Mécontentement chez les fabricants d’isolants en laines minérales

L’orientation des aides publiques à la rénovation favorisant les pompes à chaleur, les ventes d’isolant baissent. Les industriels de l’isolation en laines minérales demandent un rééquilibrage rapide.
Il y a 2 ans et 222 jours

Avec le compteur Linky, Enedis estime que la "sobriété est à portée de main"

Le consommateur pourra notamment adapter sa consommation si besoin pendant les pics de demande cet hiver, selon un communiqué diffusé jeudi 22 septembre. Les clients équipés du compteur communicant Linky, soit 35 millions de foyers en France, peuvent en effet suivre leurs données effectives de consommation jusqu'à la demi-heure près en se rendant sur leur compte client particulier à partir de la plateforme internet Enedis, rappelle le gestionnaire."Au moment où le gouvernement s'apprête à lancer une campagne de mobilisation +Chaque geste compte+ (le 10 octobre, ndlr), et où l'ensemble des acteurs concernés appellent à une sobriété énergétique individuelle et collective, Linky est plus que jamais un outil essentiel au service d'une consommation électrique plus responsable", déclare Enedis dans un communiqué transmis à l'AFP.Selon Éric Salomon, directeur clients d'Enedis, le gestionnaire entend "apporter sa pierre à l'édifice de la sobriété" en permettant au consommateur d'avoir grâce à son compteur "une meilleure connaissance de sa consommation", par mois, par semaine et par jour.La plateforme Enedis sur internet, qui recueille les données du compteur, propose plusieurs services : identifier ses pics de consommation dans la journée, comparer sa consommation d'une journée, comparer sa consommation avec celle de foyers possédant le même type de logement et les mêmes caractéristiques de puissance.À la lumière de ces données, le client peut maîtriser sa consommation en identifiant "des surconsommations anormales", ce qui l'amènera à modifier un appareil trop gourmand voire à choisir une offre tarifaire et une puissance plus adaptées à ses besoins.Alors que 90% des énergies renouvelables sont raccordées au réseau électrique public géré par Enedis, le gestionnaire souligne aussi le rôle du compteur dans "l'autoconsommation" photovoltaïque, puisqu'il permet "une vision fine des données de production d'énergie locale et de consommation entre les habitants".Dans un avis rendu en 2018, l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) avait estimé que "l'utilisation par les ménages d'afficheurs dédiés avec des services très complets" permettant de visualiser les historiques de consommation, pourrait engendrer des "'économies d'énergie allant jusqu'à environ 8% en moyenne, et même 10% pour les gros consommateurs". Outre la plateforme d'Enedis, d'autres dispositifs de suivi de consommations existent chez les fournisseurs d'électricité.
Il y a 2 ans et 223 jours

Wieland

Le challenge RE2020 relevé avec un système de détection intelligent ultra-performant pour un temps d'installation réduit de 80% Le projet Osmose à Strasbourg consiste en un ensemble immobilier qui comprend des bureaux conformes aux standards internationaux et aux ambitions environnementales fortes. Il est novateur, à la fois par son architecture et par son aménagement. Conçu d'après les nouveaux modes d'organisation et les usages hybrides des postes de travail, il offre des espaces réversibles qui s'adaptent à tout type de preneurs. Côté RE2020 (Réglementation environnementale 2020), il s'équipe de détecteurs de présence innovants pour réduire sa consommation énergétique. En plus de s'intégrer à tous les scénarios de découpe des bureaux, la capacité Plug and Play de l'infrastructure électrique réduit le coût et la pose de 80% ! C'est le Groupe alsacien Vincentz qui a mené ce tour de force en synergie avec ses partenaires Wieland et Niko.
Il y a 2 ans et 223 jours

Le Medef critique le "manque d'ambition" du budget du gouvernement, Le Maire ironise

"La France continue à vivre au-dessus de ses moyens", affirme la première organisation patronale française, qui dénonce des "dépenses en hausse" alors qu'"aucune des problématiques structurelles de la France n'est réglée".Le Medef a souligné que si la croissance n'atteignait pas 1%, comme le prévoit le gouvernement, "le ratio d'endettement public serait mécaniquement plus élevé qu'anticipé". Il rappelle que l'OCDE anticipe de son côté une croissance limitée à 0,6% en 2023 pour l'économie française.Pour l'organisation patronale, "il ne peut y avoir de bonne politique budgétaire fondée sur l'accoutumance à la dépense publique que reflète ce projet de loi de finances".Le Medef avait auparavant vivement critiqué l'étalement sur deux ans de la suppression de cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), alors que sa suppression dès 2023 avait été annoncée en juillet par la Première ministre Elisabeth Borne.Lundi, le Medef s'est exprimé en des termes plus généraux, considérant que le "contexte économique, marqué par la guerre en Ukraine et la crise énergétique, aurait dû inciter le gouvernement à un plus grand volontarisme en activant les bons leviers de croissance".Le Maire ironise sur les critiques du Medef"Qu'il fasse preuve d'un tout petit peu de cohérence" : le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a dénoncé mardi 27 septembre sur France Inter les critiques du Medef sur le projet de budget de la France pour 2023, présenté la veille.Au lendemain d'un communiqué dans lequel la première organisation patronale regrettait une "accoutumance à la dépense publique", le numéro deux du gouvernement, encore copieusement applaudi fin août lors de l'université d'été du Medef, a jugé la critique "un peu fort de café"."Le Medef trouve qu'on alourdit la dette et le déficit public ? Je leur fais une proposition : il n'y a qu'à renoncer à baisser les impôts de production, ça coûte huit milliards d'euros, on fera une économie", a ironisé Bruno Le Maire.Dans son projet de budget, le gouvernement prévoit en effet de supprimer d'ici 2024 la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), une demande du patronat qui représente une perte de recettes fiscales de huit milliards d'euros."Si le Medef veut véritablement que nous réduisions le déficit et la dette, qu'il arrête de soutenir du bout des lèvres la réforme des retraites, qu'il la soutienne avec enthousiasme et détermination", a fulminé le ministre. "C'est huit à neuf milliards d'euros d'économies au bout du quinquennat". "Si le Medef veut qu'on réduise la dépense publique, la commission Labaronne (un groupe de députés chargé de proposer des pistes de réduction de la dépense publique, NDLR) a identifié tous les crédits d'impôt dont bénéficient les entreprises", a indiqué Bruno Le Maire."Qu'il vienne identifier avec nous les crédits d'impôts que nous pourrions réduire et qu'il fasse preuve d'un tout petit peu de cohérence", a conclu le ministre, sur un ton inhabituellement sec envers le patronat.Dans son communiqué publié lundi, le Medef avait souligné que les dépenses courantes hors crise allaient augmenter de "plus de 62 milliards d'euros en 2023".Sur un ton plus modéré, l'Union des entreprises de proximité (U2P) avait déploré lundi une "limite" dans le projet de budget pour 2023.Selon l'organisation qui représente les artisans et les commerces de proximité, le texte "va contribuer à alourdir la charge de la dette du pays sans qu'il soit possible de garantir le niveau de croissance qui sera atteint en 2023".
Il y a 2 ans et 223 jours

Une loi pour pousser solaire et éolien et permettre à la France de rattraper son retard

Le pays a généré en 2021 le quart de son électricité avec des renouvelables, une part plus faible qu'ailleurs en Europe en raison de la forte proportion du nucléaire. Mais la demande en électricité étant appelée à exploser avec l'électrification des transports et de l'industrie, le gouvernement veut accélérer à la fois les renouvelables et le nucléaire.Très attendu et salué par le secteur énergétique, le projet de loi ne suffira pourtant pas à lui seul, d'autres mesures d'incitation étant attendues, en particulier sur l'éolien terrestre."Raison impérative"Les projets de production d'énergie renouvelable devront répondre à une "raison impérative d'intérêt public majeur", stipule le projet de loi. Ce statut juridique, qui ne les dispense pas de démonstration environnementale, les renforce en cas de contentieux en justice.Plus généralement, pour Daniel Bour, président du syndicat du solaire Enerplan, "cette loi est importante car c'est l'affirmation forte qu'on a une urgence climatique et énergétique", enfin "une vraie reconnaissance".Plus de place pour le solaireTrouver de l'espace pour ces équipements est un enjeu majeur.Le projet de loi stipule que des centrales photovoltaïques "peuvent être autorisées sur des friches" (bords d'autoroutes, sols pollués...)Il impose même l'équipement progressif des parkings extérieurs de plus de 2.500 m2, en commençant par ceux de plus d'un hectare, avec ombrières et végétalisation. Sauf en cas de "contraintes techniques, de sécurité, architecturales" ou économiques.Un amendement gouvernemental ultérieur doit favoriser l'agrivoltaïsme, l'installation de parcs solaires en terrains agricoles. Planifier l'éolien en merLe texte veut organiser débats publics et certaines procédures environnementales en parallèle.Surtout, alors que la France vise le déploiement d'environ 50 parcs marins d'ici 2050 mais n'en a que sept dans les tuyaux à ce jour, il veut mutualiser les débats sur leur localisation, afin de tenir les délais.Chaque document de façade contiendrait les zones potentielles, avant qu'elles soient affinées.Une mesure qui va dans le bon sens, s'est félicité France énergie éolienne (FEE).Ristournes pour les riverainsPour faciliter l'acceptation des infrastructures, l'idée est d'en partager les revenus avec les riverains et les communes.Distance et montant restent à définir, mais le ministère évoque un rayon de cinq kilomètres et 200 euros annuels pour un ménage chauffé à l'électricité.Autre mesure pour les riverains, "les lignes électriques sont réalisées en souterrain, sauf à démontrer" que cela est "dommageable pour l'environnement, techniquement excessivement complexe ou financièrement disproportionné".Acceptation politiqueMais ce texte n'est qu'"une première étape", note Daniel Bour: "il faudra veiller à ce qu'il soit amélioré et non dénaturé" par son passage au Parlement.D'ici la fin octobre, il commencera son parcours au Sénat, où le ministère escompte un "climat constructif".A l'Assemblée, le gouvernement devra faire avec une majorité relative, et une extrême droite et une part de la droite hostiles à l'éolien terrestre.Le texte est "concentré sur le plus consensuel, le solaire et l'éolien en mer", répond-on au ministère.Et les éoliennes terrestres ?Emmanuel Macron, qui lui-même prône de diviser par deux le rythme de déploiement de l'éolien terrestre jusqu'ici prévu, a souligné qu'il allait en falloir malgré tout."On devra faire de l'éolien sur terre", a-t-il dit jeudi depuis le parc marin de Saint-Nazaire, ajoutant qu'il faudrait "ouvrir le jeu" pour moins le concentrer sur certaines régions.Un message de clarification salué par le Syndicat des énergies renouvelables.Plus encore peut-être que le projet de loi, la filière a aussi salué la diffusion aux préfets d'une circulaire leur demandant de "faire leur révolution culturelle", comme on dit au ministère, en accélérant le traitement des dossiers.Selon France énergie éolienne, 120 dossiers éoliens complets sont aujourd'hui en attente d'exécution préfectorale.Enfin, est ardemment demandé un renfort d'effectifs des services de l'Etat instruisant ces sujets. La ministre a confirmé leur renforcement, une première depuis 20 ans selon elle.
Il y a 2 ans et 223 jours

Syvil et la Ville productive : posture méthodologique de recherche

Par ses recherches et réalisations sur la ville productive, l’agence Syvil architectures (Damien Antoni, Achille Bourdon et François Giannesini) ne cantonne pas l’architecture au point final de l’objet construit. En rendant acceptable le triumvirat production de matière et d’énergie, gestion des déchets et organisation logistique, leur réflexion devient un maillon essentiel de l’aménagement  des métropoles […] L’article Syvil et la Ville productive : posture méthodologique de recherche est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 223 jours

L’alliance HQE-GBC fait le show à Batimat

Page d’accueil de l’outil numérique “HQE Pour Tous”. [©HQE] Présente dans le Hall 1 – Stand J73 à Batimat, l’Alliance HQE-GBC propose des démonstrations de son nouvel outil numérique baptisé HQE Pour Tous. Cet outil est destiné aux acteurs de la construction pour leur faire découvrir les 26 thématiques, les engagements et les objectifs que cette norme englobe. Il a pour objectif de faciliter la compréhension des cadres de références réunis autour de quatre engagements. A savoir, la qualité de vie, le respect de l’environnement, la performance économique et le management responsable. En partenariat avec l’école des Ponts Paris Tech, l’association participe aussi au 2e volet du cycle de conférences internationales. En relation avec le mastère spécialisé dans l’immobilier et le bâtiment durables, les transitions carbone et numérique. Ceci, aux côtés d’experts issus des 5 continents. Découvrez l’intégralité du dossier ici : “Batimat : Le plein d’innovations pour l’efficacité énergétique“
Il y a 2 ans et 223 jours

Projet de loi de finances pour 2023 : où est l’ambition ?

De fait, la construction neuve reste la grande absente du projet de budget, malgré la chute des ventes et des agréments HLM, les surcoûts induits par la crise des matériaux et de l’énergie, mais aussi l’entrée en vigueur de RE2020 depuis cette année, puis de la REP au 1er janvier 2023. La seule ponction de 300 millions d’euros sur Action logement pour financer le Fonds national des aides à la pierre (FNAP) ne saurait constituer une réponse à la hauteur de la crise du neuf qui se prépare.Quant au soutien à la rénovation énergétique, le rehaussement de 500 millions d’euros de MaPrimeRénov’ constitue, certes, une bonne nouvelle, sous réserve des détails à venir. Toutefois, ce montant reste très insuffisant pour déclencher massivement des opérations de performance globale. D’autant qu’une refonte de la TVA à 5,5% est annoncée pour 2024. De plus, le projet de loi s’avère muet sur l’incitation des artisans, commerçants et PME à rénover leurs locaux. Et enfin, le projet de budget renvoie MaPrimeAdapt’ à 2024, après avoir suscité de nombreux espoirs depuis le début de l’été.Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « je regrette que les ambitions en matière d’amélioration de la qualité écologique du parc existant ne trouvent pas de réelle traduction dans le projet de loi de finances pour 2023, laissant l’objectif 2050 hors d’atteinte. De plus, ce projet de budget fait clairement l’impasse sur la crise du logement neuf qui se prépare. La FFB demande donc au gouvernement et aux parlementaires d’être plus ambitieux ! »
Il y a 2 ans et 223 jours

Crise énergétique : plusieurs fédérations dénoncent des aides du gouvernement qui oublient des milliers de familles

Si toutes ces associations saluent l’effort des pouvoirs publics pour soutenir le pouvoir d’achat des ménages, elles ne comprennent pas, en effet, l’exclusion de ce dispositif des familles se chauffant au gaz propane en citerne.Les gaz butane, propane et biopropane alimentent 25.000 communes non raccordées au réseau de gaz, soit 600.000 familles vivant en zones rurales. Exclus des annonces gouvernementales, ces foyers ne bénéficient pas non plus du bouclier tarifaire applicable au gaz naturel. Or, à l’approche de l’hiver, il ne faut oublier aucun ménage et tirer parti de toutes les énergies.Les gaz et biogaz liquides permettent déjà à 11 millions de consommateurs de cuisiner, de se chauffer ou de produire. Ne pas soutenir les ménages ayant déjà fait le choix de cette énergie de transition alors qu’ils sont également impactés dans leur pouvoir d’achat serait un choix dommageable pour les familles rurales.Surprenante d’un point de vue social, l’exclusion du GPL l’est tout autant d’un point de vue écologique. Par rapport au fioul, le propane émet -20% de CO2 et le biopropane - 77% de CO2. À l’inverse du bois, la combustion du propane et du biopropane ne génère aucune émission de particules nocives.Dans un contexte climatique et social dégradé, le ciblage des aides doit privilégier les solutions capables de concilier transition énergétique et soutien au pouvoir d’achat des plus modestes. Les parlementaires ayant permis, lors des débats du PLFR pour 2022, l’adoption d’un amendement destiné à aider les ménages utilisant des énergies au tarif non réglementé, il devrait donc être possible pour le gouvernement d’annoncer une aide exceptionnelle aux utilisateurs de toutes les énergies non couvertes par les tarifs réglementés, et non pas seulement le fioul.Les gaz et biogaz liquides en font partie et doivent être immédiatement intégrés au nouveau dispositif d’aide annoncé par le gouvernement.A la veille du Congrès du Gaz qui va accueillir les Ministres XX, le sujet du soutien équitable au pouvoir d’achat des ménages dans la crise énergétique reste au premier plan.Pour Audrey Galland, Directrice Générale de France Gaz Liquides : « Dans la période de crise énergétique que nous connaissons, les gaz liquides représentent une excellente alternative du fait d'un approvisionnement sécurisé et d'une capacité logistique et de distribution dans la France entière, y compris hors métropole ou dans les zones les plus reculées, permettant ainsi de soutenir les stocks d’énergie cet hiver.»Pour Thierry Chapuis, Délégué général de l’Association française du gaz : « La France dispose d’atouts non négligeables pour parvenir à concilier transition énergétique et inclusion sociale. Les gaz et biogaz liquides, qui permettent d’alimenter les ménages éloignés du réseau de gaz naturel, constitue l’un d’eux. La mobilisation des pouvoirs publics pour soutenir le pouvoir d’achat des Français ne saurait les exclure, à l’heure où 22,5 % des habitants des zones rurales sont menacés de pauvreté ou d'exclusion. »Pour Emmanuelle Cosse, Présidente de l’Union sociale pour l’habitat : « Le mouvement HLM a toujours défendu la mixité des solutions et l’équité de traitement de nos concitoyens devant la charge énergétique. En pleine période de crise, la pénalisation économique de certains ménages, notamment en zones rurales, n’est pas une option. »Pour Bernard Aulagne, Président de Coénove : « Dans cette période de dérive des prix de toutes les énergies et de besoin de solidarité nationale, en particulier dans les territoires ruraux, pour Coénove, attachée à la complémentarité de toutes les énergies, l’exclusion des ménages se chauffant aux gaz et biogaz liquides est incompréhensible et envoie un mauvais signal. »Pour Philippe Sueur, Président de l’Association Nationale des Elus des Territoires Touristiques : « En France un certain nombre de ménages se trouvent éloignés du réseau de gaz naturel, notamment dans des zones rurales ou des petites stations touristiques isolées. Ils ont recours aux gaz et biogaz liquides. Dans le contexte actuel de crise énergétique, il est impératif que les Pouvoirs Publics les associent à leur mobilisation pour soutenir le pouvoir d’achat. »
Il y a 2 ans et 223 jours

La station de recharge pour les voitures électriques la plus rapide de France ouvre en Normandie

C'est la première station de recharge ouverte par Kallista Energy, qui exploite 36 parcs éoliens en Europe. Détenue par les fonds français Ardian et néerlandais APG, Kallista compte ouvrir à terme un réseau de 90 stations sous la marque "Yaway", alimentées principalement par le vent.La station de Vernon-Douains, non alimentée par le vent, propose deux bornes de recharge ultrarapide, atteignant jusqu'à 360 kW, une puissance bien supérieure à ce qu'acceptent même les véhicules les mieux équipés, comme la Porsche Taycan ou la Tesla Model 3.Cette borne encore en test permettra aux prochaines générations de voitures de récupérer jusqu'à 100 kilomètres d'autonomie en moins de trois minutes, selon son concepteur, le groupe helvético-suédois ABB.Des exemplaires de ce modèle fabriqué en Italie et appelé "Terra 360" fonctionnent déjà en Allemagne avec le pétrolier Shell et en Norvège avec l'énergéticien Eviny.La borne partage sa puissance entre les voitures qui s'y branchent, jusqu'à quatre en même temps. La charge coûte encore 0,55 euro la minute mais sera bientôt facturée au kWh.En route pour Paris depuis la côte, un SUV Audi s'y est rechargé mercredi, passant de 2 à 80% d'autonomie en 32 minutes, a expliqué son propriétaire Benoist Girard, 43 ans, repassant sur le chemin du retour.Sur un marché de la recharge en pleine explosion, avec la multiplication des voitures électriques sur les routes, Kallista utilise de l'électricité produite par des éoliennes pour "la majorité" de ses bornes.Cette première station de recharge de Kallista Energy n'est pas alimentée par une éolienne, car elle est trop proche d'une base aérienne. Mais il y a "beaucoup de synergies" entre ces métiers, et l'investissement dans les bornes est bien plus léger, a indiqué le directeur général de Kallista, Johann Tardy.En reliant la production et la distribution d'énergie renouvelable, Kallista compte à terme offrir des tarifs de recharge attractifs, a souligné M. Tardy.L'agglomération Seine Normandie a mis à disposition ce terrain au bord de l'autoroute et à deux pas de la future usine Hopium, qui mise sur les voitures à hydrogène.Chaque point de charge a aussi été financé à hauteur de 18.000 euros par le programme public Advenir, qui a mis l'accent depuis 2020 sur la recharge ultrarapide.
Il y a 2 ans et 223 jours

nouveau generateur air e nanoe tm x de panasonic disponible en version autonome

Panasonic solutions chauffage et refroidissement présente l’air-e, son premier générateur nanoe™X autonome de type plafonnier. Unique en son genre, ce nouveau générateur consomme peu d’énergie et convient à une grande variété d’applications pour lesquelles la qualité de l’air intérieur est une priorité comme les établissements hôteliers, les écoles, les maisons de retraite, les hôpitaux, les bureaux, les restaurants, les maisons et plus encore. Premier équipement de ce type pour Panasonic, air-e sera visible sur le salon Interclima et le stand Panasonic (F106, Hall 3), du 3 au 6 octobre 2022.
Il y a 2 ans et 223 jours

nouveau generateur air e nanoe tm x de panasonic disponible en version autonome

Panasonic solutions chauffage et refroidissement présente l’air-e, son premier générateur nanoe™X autonome de type plafonnier. Unique en son genre, ce nouveau générateur consomme peu d’énergie et convient à une grande variété d’applications pour lesquelles la qualité de l’air intérieur est une priorité comme les établissements hôteliers, les écoles, les maisons de retraite, les hôpitaux, les bureaux, les restaurants, les maisons et plus encore. Premier équipement de ce type pour Panasonic, air-e sera visible sur le salon Interclima et le stand Panasonic (F106, Hall 3), du 3 au 6 octobre 2022.
Il y a 2 ans et 223 jours

Des actions pour économiser 10 % de la consommation d’énergie d’ici deux ans

L’association négaWatt publie une cinquantaine de mesures de sobriété facilement applicables, essentiellement dans le secteur du bâtiment résidentiel et tertiaire. Elle montre comment l’objectif de réduction de la consommation d’énergie de 10 % en deux ans fixé par le gouvernement est atteignable en mobilisant efficacement l’ensemble des acteurs (citoyens, collectivités locales, entreprises, etc.) autour de mesures clairement identifiées, explicitées et facilitées par l’État. Le secteur résidentiel représente à lui seul 30 % de la consommation d’énergie en France. Les gains potentiels majeurs de réduction portent sur le chauffage (60 % du gisement total), les gains effectifs dépendront de la capacité d’entraînement et d’adhésion de la population : – Respecter la consigne de chauffage des logements à 19°C – Adapter les vêtements portés en intérieur à la saison – en hiver, porter des vêtements chauds – Réduire la consigne de température de 2°C la nuit pour mieux dormir – Réduire la température de 2°C en cas d’absence / Chauffer uniquement les pièces occupées – Pose de films isolants sur les simples vitrages – Renforcer l’étanchéité à l’air des logements : réduire les infiltrations des fenêtres et portes – Isolation des combles perdus Des gisements extrêmement importants existent sur l’eau chaude (18 TWh mobilisables à horizon 2 ans), qui justifieraient de déployer des programmes de déploiement massif des mesures identifiées : – Pose de limiteurs de débit (“mousseurs”) sur les robinets et douches – Pratiques économes de puisage d’eau chaude – Pose d’une jaquette isolante sur les ballons d’eau chaude sanitaire De nombreux leviers existent sur la réduction des consommations électrodomestiques : des campagnes de communication d’envergure, pédagogiques, humoristiques, permettant l’adhésion, permettraient d’aller mobiliser un gisement très significatif (réduction des consommations d’électricité – près de 20 TWh de gisement – et abaissement de la puissance appelée en période de pointe) : – Extinction des appareils en veille et des appareils allumés inutilement – Extinction des box internet et box TV en dehors des heures d’utilisation – Réglages plus sobres des appareils électrodomestiques – Les bonnes pratiques d’usage des appareils de lavage – Campagne “je dégage mes dernières ampoules inefficaces” – Réglage des pompes chauffage des chaudières murales gaz Source : association négaWatt  
Il y a 2 ans et 223 jours

La lente marche des îles bretonnes vers le 100% renouvelable

"Tout le monde est pour la transition énergétique mais dès qu'il y a une action concrète à mettre en place, c'est jamais le bon endroit ni le bon moment", s'agace Denis Palluel, maire de l'île d'Ouessant (833 habitants), au large du Finistère.Comme ses collègues de Molène et de Sein, M. Palluel a engagé dès 2012 sa commune dans un objectif ambitieux: atteindre 100% d'énergies renouvelables en 2030.Car ces trois îles de la mer d'Iroise partagent la même particularité : elles ne sont pas connectées au réseau électrique national et doivent donc produire leur propre électricité, avec des groupes électrogènes alimentés au fioul. Le tout à un coût financier et environnemental prohibitif.Dix ans après le lancement de la démarche, force est de constater que le chemin vers l'autonomie énergétique est encore long. En 2022, Ouessant n'était ainsi qu'à 4% d'énergie "verte", contre 12% à Sein et seulement 1% à Molène. Les îliens n'ont pourtant pas ménagé leurs efforts, notamment en termes d'économies d'énergie: distribution d'ampoules basse consommation à la population, rénovation de l'habitat, éclairage public à LED, etc..."A Sein, on a toujours été habitué à faire attention avec l'eau et l'électricité et on continue", sourit Marie-Thérèse Spinec, une ilienne de 81 ans qui assure ne pas supporter une maison "chauffée à 24°C".Pourtant, une partie des économies réalisées ont été grignotées par le fameux "effet rebond". "Certains habitants qui ne se chauffaient pas ont découvert le confort après la rénovation de leur habitation" et n'ont donc pas diminué leur consommation, explique Émilie Gauter, chargée de mission énergie et développement durable à l'Association des îles du Ponant (AIP).Pour compléter leurs efforts de sobriété, les trois îles ont également installé une série de panneaux solaires sur les toitures des bâtiments publics. Par beau temps, quand les cellules photovoltaïques produisent à plein régime, l'île de Sein (260 habitants) peut ainsi arrêter ses groupes électrogènes pendant plusieurs heures. Des batteries, elles-mêmes rechargées à l'énergie solaire, font l'appoint en électricité.Selon l'AIP, des installations permettent d'éviter la combustion de 177 m3 de fioul par an sur les trois îles et d'y réduire nettement les émissions de CO2.Le "combat" de l'éolienneLa construction d'une éolienne à Sein, prévue pour entrer en service en 2024, devrait encore améliorer le bilan carbone de l'île. "Ça a été un sacré combat", souligne l'ancien maire Dominique Salvert. "On avait le veto de l'architecte des Bâtiments de France qui ne voulait pas entendre parler d'une éolienne. Ça aurait dû être fait depuis cinq ans", déplore l'ancien élu.A Ouessant, le projet d'éolienne est d'ailleurs au point mort. "C'est une aberration de ne pas en avoir, vu le vent qu'il y a sur les îles", se désole le maire Denis Palluel qui a dû faire face à l'opposition d'une partie de ses administrés ainsi qu'aux services de l'État sur cette île ultra-protégée."On se heurte au millefeuille administratif", abonde Didier Delhalle, maire de Molène (160 habitants). Faute de place pour installer une éolienne, M. Delhalle préfère d'ailleurs miser sur une ferme photovoltaïque qui devrait permettre à l'île d'atteindre 67% d'énergie renouvelable à terme. "Ça sera déjà bien", estime-t-il.Et à Ouessant, l'hydrolienne immergée par 55 mètres de fond pourrait fournir jusqu'à 20% des besoins de l'île, si les tests commencés en 2015 s'avéraient enfin concluants.Malgré ces progrès, l'objectif du 100% renouvelable semble désormais difficile à atteindre. "Peu importe si c'est en 2031 ou en 2035. C'est comme pour tous les grands projets, on ne tient jamais les délais", balaie M. Palluel. "Il faut avoir la modestie de reconnaître qu'on ne maîtrise pas tout."
Il y a 2 ans et 223 jours

Résidence Cosmopoly : révéler la trame du bâtiment

Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102. Les architectes ont travaillé sur une trame très urbaine avec une écriture qui s’intègre dans la liaison entre la Zac et une porosité vers le parc. [©Taillandier Architectes Associés] La Zac Eurêka dans la commune de Castelnau-le-Lez est un projet ambitieux. Porté par la Métropole de Montpellier et piloté par l’architecte Emmanuel Nebout, le nouveau quartier mêle des équipements de type bureaux ou commerces ou encore des logements. Outre la pluralité des réalisations, la Zac s’ancre dans une démarche d’éco-cité, respectueuse de la biodiversité et des personnes qui la composent. Le chantier, toujours en cours, met aussi l’accent sur la transition digitale et énergétique à grand renfort d’innovations et d’énergies Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 223 jours

Grande promotion sur le blanc ! Et pour la Ville Rose ?

Le blanc renvoie la chaleur. Bon Dieu, mais c’est bien sûr ! Pour lutter contre l’îlot de chaleur urbain, peignons tous les toits en blanc. En plus, cette solution réduit la température des toits, et donc celle des étages en dessous. Bon pour lutter contre le réchauffement climatique, et bon pour les occupants, un double dividende […] L’article Grande promotion sur le blanc ! Et pour la Ville Rose ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 223 jours

Le projet Maison Performante en vidéo

Située dans un éco-quartier et affichant des performances optimisées carbone et énergie, la maison reste accessible grâce à des coûts maîtrisés. La réflexion menée par Maisons Demeurance et Lafarge a contribué à réduire l’empreinte carbone du projet dans sa phase de construction, et ainsi à atteindre les seuils de Ia construction de la nouvelle RE2020.Cette performance est devenue possible grâce notamment à l’optimisation carbone du gros œuvre, avec l’utilisation de nos bétons ECOPact A+ : les bétons innovants à faible empreinte carbone (-50%), et pouvant intégrer des granulats recyclés.
Il y a 2 ans et 223 jours

Renouvelables : avec une loi dédiée, l'exécutif veut mettre les bouchées doubles

TRANSITION. Alors que les prix des énergies flambent et que les craintes se cristallisent sur l'approvisionnement énergétique pour cet hiver, le Gouvernement espère renverser la tendance avec une loi d'accélération des énergies renouvelables. Le budget 2023 du ministère de la Transition énergétique, qui vient aussi d'être présenté, soutient à parts égales nucléaires et ENR.
Il y a 2 ans et 223 jours

SBM : La centrale économique

SBM dévoile sa centrale à béton Dynamix 2500. [©SBM] Plus de 600 m2 ont été réservés par SBM, en particulier pour dévoiler sa nouvelle Dynamix 2500. Cette centrale à béton offre une capacité de production élevée, pouvant aller jusqu’à 115 m3/h de béton vibré. Sur site, son installation est simple et ne nécessite pas de travaux préparatoires. La Dynamix 2500 s’inscrit à la fois dans la lignée des unités mobiles Euromix et conteneurs Linemix. Ce qui distingue toutefois cette nouvelle unité, c’est la construction modulaire et standardisée. Complétée par des composants de série issus de la gamme des centrales mobiles SBM (silos, trémies, élévateurs d’alimentation), la Dynamix 2500 devient une solution attractive au niveau économique. Ceci, aussi bien pour des utilisations temporaires que pour une exploitation sur le long terme en tant qu’installation fixe. Par ailleurs, l’utilisateur final a le choix entre trois packs d’équipements : version standard non capotée, version été, avec toits de protection à grandes dimensions au-dessus des plates-formes de travail, et version hiver, avec un nouvel habillage du module de malaxage et de la zone de transferts au niveau des trémies. Bien entendu, tous ces packs d’équipements peuvent être modifiés et échangés. Malgré des dimensions optimisées pour le transport, le module de malaxage est équipé du malaxeur à deux arbres horizontaux DKXS 2,50 S de BHS. De même, tous les raccords d’alimentation sont pré-installés et l’ensemble de la centrale ne nécessite pas plus d’une journée pour sa mise en service.   Bauma – Hall B2 – Stand 249 et zone extérieure entre les halls B2 et B3 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 223 jours

Putzmeister : l’offensive électrique, mais pas que…

Première sortie officielle pour la nouvelle toupie 100 % électrique iOntron eMixer de Putzmeister [©Putzmeister] Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on ne va pas s’ennuyer chez Putzmeister. L’industriel allemand ne vient pas à Munich les mains vides… Déjà, la ligne des pompes iOntron Hybrid profite d’un espace dédié. Pour rappel, ces machines mises sur le marché l’année passée se déclinent en trois tailles : 20 m, 30 m et 40 m. Mais ce qui les caractérise, c’est la présence d’une motorisation électrique de 92 kW, en plus de l’entraînement diesel habituel. Pour autant, il ne faut pas chercher de batteries : il n’y en a pas. L’iOntron Hybrid utilise le réseau électrique du chantier pour fonctionner. Par contre, Bauma constitue la première sortie officielle de la nouvelle toupie 100 % électrique iOntron eMixer. L’équipement est basé sur un châssis 8 x 4 électrique Sany (maison-mère chinoise de Putzmeister). En ordre de marche, l’ensemble porteur + toupie de 9 m3 + charge utile atteint une PTAC de 34 t. L’énergie est fournie par une batterie d’une capacité de 350 kWh, alimentant un moteur électrique de 315 kW, qui permet entre 5 et 6 tours entre deux rechargements.  Qui dit “pompe à béton”, dit “pilotage”. A ce niveau, Putzmeister donne à chacun l’occasion de découvrir la commande Ergonic dans sa version 3. Parmi les nouveautés, deux extensions : Intelligente Boom Control (iBC), qui facilite la commande de la flèche, et Intelligente Setup Control (iSC), qui contrôle la sécurité de la machine, ici 100 % remaniée.  Putzmeister n’oublie pas non plus le monde de la préfabrication. Avec son offre Precast Automation 4.0, l’industriel propose d’adapter toutes ses solutions de pompage aux besoins spécifiques de ce secteur d’activité.  L’univers des mortiers voit l’arrivée de l’EstrichBoy EC 450. Ce transporteur-malaxeur de chapes se décline à présent dans une version 100 %, pourvue d’une motorisation de 37 kW, à 63 A. Cette puissance lui permet de fournir un débit d’air de 4,4 m3/h. L’autre innovation s’appelle Putzmeister SP 20 GHF. Profitant d’un nouveau design, cette pompe à chapes fluides reçoit un moteur thermique de 37 kW et de série, une vis d’alimentation d’un débit de 20 m3/h. Enfin, Putzmeister montre son intérêt pour les chantiers de demain. Et présente sa solution d’impression 3D béton. Son nom : Karlos. A découvrir en fonctionnement sur le stand… Bauma – Hall B6 – Stand 101 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 223 jours

Liebherr : Betomix/Mobilmix revisitée

Liebherr présente la nouvelle génération de centrales à béton Betomix/Mobilmix. [©Liebherr] Constructeur de centrales à béton depuis plus de 60 ans, Liebherr dévoile en avant-première la nouvelle génération Betomix/Mobilmix, disponible seulement à partir de de 2023 ! Cette ligne s’articule autour de modules pré-assemblés et pré-câblés en usine, qui permettent de construire sa centrale idéale. Pour l’utilisateur, cette approche offre une très grande liberté de configuration. Mais aussi des délais de livraison plus courts, un montage ultra rapide et la garantie d’une disponibilité des pièces détachées. Par ailleurs, les dimensions des modules sont optimisées pour assurer leur transport routier et ne dépassent jamais les 3 m.  Liebherr intègre ses propres malaxeurs dans ses centrales. Les Betomix/Mobilmix ne dérogent pas à cette règle. L’utilisateur peut ainsi choisir entre les turbo-malaxeurs de la marque ou les malaxeurs à doubles arbres horizontaux, pour des rendements de 100 à 210 m3/h de béton vibré.  Un des grands avantages de cette nouvelle génération de centrales est la grande précision du pesage de +/- 0,5 %. Ce qui permet une belle préservation des ressources. Sur une formule type à 300 kg de ciment, il devient possible d’économiser jusqu’à 7,50 kg/m3. Un argument écologique comme économique à ne pas négliger…  Outre cette nouvelle génération de centrales, Liebherr devrait aussi présenter d’autres nouveautés “béton”, dévoilées seulement à partir de la fin du mois d’octobre ! Bauma – Zone extérieure FM – Stand 809 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 223 jours

Projet de loi énergies renouvelables : le Collectif pour l’énergie citoyenne publie son Livre blanc à l’occasion du Conseil des ministres

Le Collectif pour l’énergie citoyenne, qui regroupe 13 structures engagées pour la transition énergétique et écologique[1], présente son Livre blanc pour le développement des énergies renouvelables locales et citoyennes à horizon 2030. Il porte cinq mesures axées sur la participation des acteurs locaux dans les projets d’énergies renouvelables, qui permettraient de rehausser l’ambition du projet de loi ; certaines lacunes l’empêchant, selon le Collectif, d’être à la hauteur des enjeux immenses du secteur.Formidable levier d’accélération de la transition énergétique, l’énergie citoyenne doit être soutenue dans les politiques publiques. Il s’agit de redonner aux citoyens et aux collectivités un réel pouvoir d’agir, faciliter l’appropriation et la planification territoriale des énergies renouvelables, et permettre de meilleures retombées économiques dans les territoires.Pour atteindre l'objectif gouvernemental de 1.000 nouveaux projets d'énergie citoyen d'ici 2028, les mesures proposées dans le projet de loi demeurent insuffisantes. D'autres mesures complémentaires, proposées dans le Livre blanc, doivent être intégrées afin de parvenir à cet objectif, et le dépasser.A travers son Livre blanc, le Collectif pour l’énergie citoyenne formule des propositions et identifie des leviers concrets pour soutenir l’essor de l’énergie citoyenne et favoriser la démocratie énergétique au cours des prochaines années en France :Consolider l’objectif national de 1.000 nouveaux projets d'énergie citoyen d'ici 2028 et le rendre opérationnel par une feuille de route interministérielle, associant des moyens territorialisés à la hauteur et un pilotage national.Adapter les dispositifs de soutien aux projets locaux et citoyens, par l’extension du guichet ouvert, la territorialisation des dispositifs de soutien et des incitations croissantes à la gouvernance locale.Accompagner et faciliter les modèles innovants et émergents, qu’il s’agisse des contrats de gré à gré (PPA) ou de l’autoconsommation collective.Accroître le pouvoir d’agir des acteurs locaux, en renforçant les moyens humains et budgétaires alloués à l’ingénierie territoriale et aux réseaux d’accompagnement, et en levant les freins réglementaires à l’investissement des collectivités.Inciter à l’engagement citoyen et encourager la pédagogie autour de la transition énergétique, à travers des campagnes d’information et la simplification réglementaire des levées de l’épargne citoyenne.
Il y a 2 ans et 223 jours

PALAZZETTI Nouvelle plateforme T3

L’évolution de la combustion comme synthèse de performances, d’efficacité et d’économies énergétiques Aujourd’hui, les produits Palazzetti sont de véritables installations de chauffage, intuitives et performantes, en mesure de chauffer des habitations entières de manière efficace, en toute aisance et avec un impact très faible sur l’environnement grâce au contrôle des consommations énergétiques sans, pour cela, […]
Il y a 2 ans et 223 jours

Mondial du Bâtiment : Un programme de conférences bien fourni

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine. Côté conférences, le Mondial du Bâtiment voit les choses en grand. [©Mondial du Bâtiment] Côté conférences, le Mondial du Bâtiment voit les choses en grand. En effet, de nouveaux formats d’échanges font leur apparition, afin d’aborder les grandes thématiques qui portent cette édition : “Préserver le climat et l’environnement”, “Bien vivre dans la ville en 2050”, “Transformer les méthodes”, “Valoriser les métiers”. Un programme ambitieux qui se tiendra sur 14 scènes ouvertes sur les 3 salons, dont Batimat. Près de 1 000 intervenants sont attendus avec plus de 450 conférences et animations… « C’est en quelque sorte un “Davos” du bâtiment que nous préparons », souligne Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. Le programme sera exceptionnel par son ampleur, par la qualité et la diversité des intervenants et le nombre de thématiques abordées qui couvriront l’intégralité du spectre des problématiques du secteur… » Quatre grands thèmes Le programme des conférences est porté par 4 grands thèmes. Voici un aperçu non exhaustif de celles davantage axées sur les bétons : • Préserver l’environnement Lundi 3 octobre 11 h 00 – 12 h 30 : Est-il vraiment urgent d’industrialiser la construction ? 14 h 00 – 15 h 30 : Réhabiliter plutôt que de construire. Quels leviers pour atteindre la neutralité carbone ? 16 h 00 – 16 h 45 : Les territoires, acteurs de la décarbonation Mardi 4 octobre 9 h 00 – 10 h 30 : Economie circulaire, par et pour les acteurs du bâtiment 11 h 00 – 12 h 30 : Economiser les ressources et valoriser les matériaux 16 h 00 – 19 h 00 : Retrouver de la productivité et améliorer le bilan carbone Mercredi 5 octobre 9 h 30 – 10 h 30 : Nouvelles filières des matériaux bio- et géo-sourcés 11 h 00 – 12 h 30 : Accélérer l’efficacité et la sobriété énergétique des bâtiments Jeudi 6 octobre 9 h 30 – 10 h 30 : La formation et les compétences au centre de la transformation du secteur • Bien vivre dans la ville en 2050 Mercredi 5 octobre 9 h 30 – 10 h 30 : Panorama européen des architectes engagés dans la décarbonation 11 h 00 – 12 h 30 : Le futur en cours de construction 14 h 00 – 15 h 30 : Repenser notre habitat pour mieux vivre ensemble 16 h 00 – 17 h 30 : Retour sur l’opération Low Carbon Construction Tour. Décarbonation du secteur de la construction Jeudi 6 octobre 9 h 30 – 10 h 30 : Architecture durable, réhabiliter plus que construire 16 h 00 – 16 h 45 : Le bois et le biosourcé pour atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2030 • Valoriser les métiers Lundi 3 octobre 10 h 00 – 10 h 45 : RE 2020 et études ACV. Enjeux et défis pour engager le bâtiment et les acteurs de la construction dans la démarche bas carbone 11 h 00 – 11h 45 : Renouveau urbain pour la requalification architecturale des cœurs de ville Mardi 4 octobre 9 h 30 – 10 h 15 : Quel coût de construction en RE 2020 ? 11 h 30– 12 h 15 : Les spécificités de la RE 2020 en logements collectifs 14 h 00 – 14 h 45 : Anticiper le changement d’usage d’un bâtiment dans le temps 16 h 00 – 16 h 45 : La construction bas carbone : points cruciaux et recommandations Mercredi 5 octobre 11 h 00 – 12 h 15 : Décarbonation des matériaux de construction • Transformer les méthodes Les interventions seront portées et organisées par l’Ecole des ponts Paris Tech. Lundi 3 octobre A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech autour de l’architecture décarbonée et solidaire Mardi 4 et mercredi 5 octobre A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech, de Marjolaine Meynier-Millefert, présidente Alliance HQE – GBC France, et de Romain Duballet, co-fondateur d’XtreeE, autour de la politique environnementale Jeudi 6 octobre A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech et de Guy Sidos, Pdg de Vicat, autour de l’industrie de la construction. En savoir plus ici Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 223 jours

PALAZZETTI – Gamme foyers Ecopalex GTM

Le nouveau chauffage au bois, un choix vraiment durable Palazzetti présente sa nouvelle gamme de foyers à bois Ecopalex® GTM : une solution technologique et économique pour de grandes performances. Conçus pour rénover rapidement d’anciennes cheminées traditionnelles avec peu de travaux de maçonnerie, les nouveaux inserts Palazzetti constituent une véritable installation de chauffage efficace, écologique, sûre et économique et […]
Il y a 2 ans et 223 jours

Engie entame la construction de son projet hydrogène en Australie

Le groupe Engie a annoncé le 16 septembre le démarrage de la construction d'un électrolyseur en Australie, associé à un parc photovoltaïque destiné à produire de l'hydrogène vert.