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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Energie

(18135 résultats)
Il y a 2 ans et 228 jours

Quelles énergies de chauffage sont utilisées dans les régions françaises ?

Au coût environnemental s’ajoute aujourd’hui un coût financier, puisque les prix du fioul ont augmenté de plus de 80% ces douze derniers mois.A cette occasion, Butagaz et le Synasav propose un panorama des usages énergétiques en France afin de permettre aux décideurs d’identifier les enjeux et le chemin à parcourir par région pour accélérer la transition énergétique vers des énergies de chauffage moins carbonées.Les 3 grands enseignements de l’étude :Toutes les régions françaises sont engagées dans la voie de la transition énergétiqueGlobalement, l’ensemble des régions progresse vers des énergies de chauffage moins carbonées. Fini le fioul, place aux énergies moins carbonées. Les réponses sont multiple avec de nombreuses solutions existantes comme l’électricité, le gaz naturel, le gaz propane pour certains types de bâtiments, ou encore d’autres énergies comme les pellets de bois. Telles sont les énergies alternatives au fioul et majoritairement en croissance qui séduisent les Français dans les territoires.Les régions les plus avancées avec l’utilisation d’énergies moins carbonées sont l’Île-de-France, la région Sud (PACA) et l’Occitanie. Les trois régions utilisent respectivement 76%, 77%, et 73% d’énergies moins ou peu carbonées (électricité & gaz naturel) pour se chauffer. L’électricité dans ces régions fortement peuplées est l’énergie majoritaire à l’exception de l’Île de France qui se chauffe à 42% au gaz naturel et 34% à l’électricité.A chaque région son mix énergétique pour s’adapter aux besoins des logements, leur typologie, leur situation géographique et au climatMême si on note une évolution favorable dans toutes les régions, on constate des grandes disparités sur le choix des énergies de chauffage et de leur proportion dans le mix énergétique. La Normandie, le Centre-Val de Loire et Pays de la Loire ont un mix énergétique équilibré avec environ 1/3 en électricité, 1/3 au gaz naturel et 1/3 sur les autres énergies de chauffage mais plus de 10% de fioul. A l’inverse, la Corse dispose d’un parc à 68% chauffé à l’électricité et seulement 2% au fioul. Cela s’explique par sa position géographique particulière et son plus faible nombre de logements. Le Nord est la région la plus équipée en proportion en chauffage au gaz naturel. Ceci s’explique par la typologie de logements en fonction de leur catégorie, résidentiels ou tertiaires.Des régions encore dépendantes du fioul prioritaires pour accélérer vers des énergies moins carbonéesAlors que le gouvernement a fixé comme objectif de remplacer l’ensemble des équipements fioul d’ici à 2028, le chemin est encore long. Lors de la dernière mesure INSEE, en 2018, 3,8 millions de logements et bâtiments français utilisaient encore cette énergie de chauffage, soit environ 11% du parc. Certaines régions sont identifiées comme prioritaires à la lecture de cette étude.L’Auvergne-Rhône-Alpes affiche le plus gros gisement de bâtiments chauffés au fioul en nombre avec près de 637.000 logements soit 14% de son parc. En proportion, c’est cependant la région Bourgogne-Franche-Comté en tête avec 17% du parc au fioul, suivi par la région Grand-Est et Bretagne à 15%.Pour Natacha Cambriels, Directrice Générale de Butagaz : « Cette étude nous permet d’identifier le chemin parcouru et surtout le chemin à parcourir pour accélérer la transition énergétique de proximité dans les territoires. Avec plus de 1.000 collaborateurs dédiés à cette mission chez Butagaz, nous sommes fiers de proposer des services et des énergies peu carbonées, adaptées aux habitudes de consommation des Français et aux territoires avec leur spécificité géographique. Nous souhaitons être acteur et moteur pour accompagner les Français, professionnels et particuliers, dans les énergies de demain. »Pour Roland Bouquet, Président du Synasav : « Face à l’urgence climatique et les enjeux d’accélérer notre indépendance aux énergies fossiles étrangères, il est primordial de déployer des politiques incitatives et expertes pour accompagner les Français dans leur transition énergétique. Par cette étude, nous pouvons identifier au mieux les énergies les plus utilisées dans les territoires en fonction de leurs spécificités. Cela nous permet d’adapter nos offres et services de maintenance et de rénovation à chaque situation afin d’aider les Français à concilier leurs enjeux économiques et environnementaux. »Les enjeux pour demain selon Butagaz :Accroître les dispositifs et les services pour accélérer la sortie du fioulAfin de limiter le chauffage par ce combustible énergivore, Butagaz propose depuis 2020 ses services de remplacement de cuve à fioul auprès des particuliers et des professionnels ainsi que des aides financières comme Butaprimes, Artiprimes ou encore le Pack Facilipass. Grâce à ces services, le bilan carbone peut être réduit jusqu’à 70%.Les freins à la transition sont majoritairement identifiés dans les territoires les plus enclavés, par le manque d’accessibilité aux énergies plus propres. C’est là que Butagaz s’engage à agir en priorité, grâce notamment à son implantation dans toutes les régions françaises.Exemples de transition opérées : Le refuge de Beauregard – Mairie de Vert-ToulonAméliorer la relation client, les offres et les services pour aider les Français à faire les bons choix dans la rénovation énergétique de leur logementAujourd’hui circule une multitude d’informations parfois contradictoires. Afin d’accompagner au mieux les Français pour faire des choix éclairés en fonction de leurs besoins énergétiques, de leur budget et de leur situation géographique, il est nécessaire d’avoir des experts pour répondre à leurs questions. C’est le sens donné à la collaboration renforcée entre le Synasav et Butagaz.
Il y a 2 ans et 228 jours

Le Grand Est investit 450 millions d'euros pour améliorer la sobriété énergétique de ses lycées

La région Grand Est a annoncé vendredi 23 septembre investir 450 millions d'euros sur quatre ans pour "accélérer la transition...-Collectivités locales
Il y a 2 ans et 228 jours

Pellets bois : pour le ministère, il n'y a "pas de risque de tension à court terme"

CHAUFFAGE. Le ministère de la Transition énergétique suit avec "vigilance" la situation sur le front de la disponibilité des pellets bois. Et ouvre la porte à une évolution possible du chèque énergie pour alléger les factures des ménages concernés.
Il y a 2 ans et 228 jours

Pellets bois : pour le ministère, il n'y a "pas de risque de tension à court terme"

CHAUFFAGE. Le ministère de la Transition énergétique suit avec "vigilance" la situation sur le front de la disponibilité des pellets bois. Et ouvre la porte à une évolution possible du chèque énergie pour alléger les factures des ménages concernés.
Il y a 2 ans et 228 jours

Un outil pour calculer la performance énergie-carbone d'un quartier

OUTIL NUMÉRIQUE. Développé par le CSTB et Efficacity, l'outil UrbanPrint a été officiellement lancé ce mardi 20 septembre, à destination des aménageurs et des collectivités. Il permet de quantifier la performance énergie-carbone d'une opération d'aménagement en neuf, rénovation ou mixte.
Il y a 2 ans et 229 jours

Lumières éteintes plus tôt à Versailles et au Louvre pour cause de sobriété énergétique

Après la tour Eiffel, c'est le Louvre et Versailles qui vont avancer l'extinction de leur éclairage. Une mesure symbolique pour sensibiliser la population à la crise énergétique, a déclaré samedi la ministre de Culture.
Il y a 2 ans et 229 jours

Réaction à la conférence de presse de Elisabeth Borne

Limiter la hausse des prix de l’énergie, c’est bien… Agir dans la durée en incitant à la rénovation énergétique des logements des ménages plus précaires, c’est mieux ! Paris, le 15 septembre 2023 – Plus que jamais, la consommation d’énergie est au coeur des préoccupations des Français. Si tous sont touchés par la hausse du […]
Il y a 2 ans et 229 jours

Occitanie : lourds investissements dans les lycées

Le lycée Simone-de-Beauvoir, qui ouvre tout juste ses portes à Gragnague (Haute-Garonne), est à ce jour le neuvième lycée à énergie positive...
Il y a 2 ans et 229 jours

Digital : instrumenter avec sobriété

Avec 17 % de la consommation énergétique nationale, le tertiaire est l'un des secteurs les plus gourmands. Pour contrôler et réduire la facture,...
Il y a 2 ans et 229 jours

Wieland

Le challenge RE2020 relevé avec un système de détection intelligent ultra-performant pour un temps d'installation réduit de 80% Le projet Osmose à Strasbourg consiste en un ensemble immobilier qui comprend des bureaux conformes aux standards internationaux et aux ambitions environnementales fortes. Il est novateur, à la fois par son architecture et par son aménagement. Conçu d'après les nouveaux modes d'organisation et les usages hybrides des postes de travail, il offre des espaces réversibles qui s'adaptent à tout type de preneurs. Côté RE2020 (Réglementation environnementale 2020), il s'équipe de détecteurs de présence innovants pour réduire sa consommation énergétique. En plus de s'intégrer à tous les scénarios de découpe des bureaux, la capacité Plug and Play de l'infrastructure électrique réduit le coût et la pose de 80% ! C'est le Groupe alsacien Vincentz qui a mené ce tour de force en synergie avec ses partenaires Wieland et Niko.
Il y a 2 ans et 229 jours

Borne sous pression sur les retraites et la taxation des profits

La coalition de gauche Nupes faisait au même moment monter la pression sur le gouvernement, avec une proposition de loi pour taxer les "superprofits" des grandes entreprises et tenter d'obtenir un référendum d'initiative partagée, qui ne manquera pas d'animer les débats budgétaires. "Nous espérons que cette procédure va créer un rapport de force" avec la majorité présidentielle, a insisté le socialiste Olivier Faure.La question a aussi été évoquée lors des échanges à Matignon. "Dans une économie de guerre, il faut dégager des recettes exceptionnelles", a plaidé Patrick Kanner au nom des sénateurs PS."On en reparlera" lors du débat budgétaire, a promis le ministre des Relations avec le parlement, Franck Riester, lors d'un point presse en fin de journée."Concertation et écoute permettront de mener les réformes nécessaires pour le pays", a fait de son côté valoir dans un tweet la Première ministre qui, privée de majorité absolue à l'Assemblée nationale, prône le dialogue dans l'espoir de bâtir des "majorités de projet".Elle n'exclut pas cependant, pour le vote du budget à l'automne, le recours à l'article 49.3, qui permet l'adoption d'un texte sans vote sauf motion de censure, car "les Français ne nous ont pas demandé l'immobilisme".Balayant le calendrier législatif, de l'assurance chômage au budget en passant par les énergies renouvelables, ses interlocuteurs ont été nombreux à dire leur hostilité à l'idée d'un amendement sur les retraites dans le Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS)."Contradictoire"Le président Emmanuel Macron avait évoqué cette éventualité, souhaitant une application "dès 2023". Une décision qui "appartiendra" au gouvernement, avait-il ajouté.Prudente, Mme Borne ne s'est toujours pas exprimée sur le sujet. "Le moment venu, le président de la République et Première ministre trancheront, tant sur la forme que sur le fond", mais "pour prendre des décisions, c'est important d'écouter", a affirmé M. Riester."Si c'est l'amendement, le gouvernement s'empalera", a prédit le chef de file des sénateurs LR Bruno Retailleau, qui juge la réforme des retraites nécessaire, mais fustige une façon de faire "totalement contradictoire avec la fameuse nouvelle méthode (basée sur le compromis, NDLR) proclamée par le président de la République".Ce serait "une violence faite au débat parlementaire autant qu'au dialogue social", a jugé pour les députés PS Boris Vallaud, pour qui le compromis "n'a été dans la pratique du gouvernement qu'un mot".Communistes et écologistes avaient auparavant également rejeté l’hypothèse d'un amendement.L'éventualité divise jusque dans la majorité.Reçue en premier avec ses homologues du MoDem et d'Horizons, la cheffe de file des députés Renaissance, Aurore Bergé a plaidé "collégialement" en faveur d'une "décision rapide" sur les retraites.Si le gouvernement devait recourir à l'article 49.3 de la Constitution, ce sera "la responsabilité des oppositions", selon elle."Pas un scandale"Mais le président du groupe MoDem à l'Assemblée nationale, Jean-François Mattéi, a redit à la Première ministre l'opposition de ses députés à un tel amendement, même s'il approuve "la nécessité d'une réforme"."Nous avons été élus pour agir, non pas pour procrastiner", a plaidé de son côté le président du groupe Horizons au Palais-Bourbon Laurent Marcangeli, qui sera "au rendez-vous de la réforme", tandis que le sénateur macroniste François Patriat rappelait que le Sénat, à majorité de droite, amendait chaque année le budget sur les retraites.En termes de méthode, le projet de loi sur les énergies renouvelables "sera un bon test" pour "voir si le gouvernement est en capacité justement de rebondir sur (les) propositions" d'EELV et parvient à "trouver d'autres majorités", a dit espérer le sénateur écologiste Guillaume Gontard.Son homologue à l'Assemblée nationale, Cyrielle Châtelain, a réclamé une "politique à la hauteur (du) bouleversement" climatique, et redit son "opposition complète" aux réformes "libérales" de l'assurance chômage et des retraites.La Première ministre doit encore recevoir jeudi Marine Le Pen (RN) et Olivier Marleix (LR), puis le 30 septembre Mathilde Panot (LFI).
Il y a 2 ans et 229 jours

Nucléaire, renouvelables : Emmanuel Macron estime qu'il faut aller "beaucoup plus vite"

ÉNERGIES. En visite à Saint-Nazaire pour l'inauguration du premier parc éolien marin de l'Hexagone, le président de la République a affirmé que le pays devait aller "deux fois plus vite" sur la mise en service de projets d'énergies renouvelables, mais également sur le nouveau programme nucléaire. Une double nécessité pour tenter de répondre à la future explosion des besoins en électricité, estimés à "40% d'ici 2050".
Il y a 2 ans et 229 jours

Loi renouvelables : le gouvernement retire un article décrié par les ONG environnementales

Cet article 3 voulait relever les seuils à partir desquels les projets devaient être soumis à étude d'impact sur l'environnement, dans le but d'accélérer les installations éoliennes ou solaires. Des ONG jugeaient qu'il était contestable juridiquement car il aurait représenté une dérogation au principe de non-régression du droit environnemental, entériné par une loi de 2016.En outre, les "critères déterminant les futurs seuils de déclenchement d'une évaluation environnementale (reportés à des décrets d'application) ne permettent pas d'estimer l'ampleur des conséquences du projet sur la biodiversité", a alerté mercredi de son côté le Conseil national de protection de la nature (CNPN).Alors que le projet de loi doit être présenté en Conseil des ministres lundi, le ministère a expliqué avoir retiré l'article pour répondre au souhait de l'exécutif que la loi soit préparée "en pleine concertation avec les parties prenantes", mais aussi parce que cela ne réduisait in fine pas l'ambition française d'accélération des projets dans les renouvelables.L'objectif est qu'on "ne se départ pas de l'ambition qui est de diviser par deux le temps de réalisation des projets", a-t-on souligné. Or en la matière, l'apport de cet article n'était "pas évident", et d'ailleurs, il n'était "pas forcément" non plus "une attente forte" du secteur des renouvelables, a-t-on ajouté.Cet article "revenait à vouloir gagner deux mois et demi au détriment de la biodiversité, c'était un marteau pour écraser une mouche", a réagi Nicolas Richard, secrétaire national de la FNE. "Notre inquiétude sur le texte reste globale: l'urgence climatique ne justifie pas des dégâts sur la biodiversité, l'eau et l'usage des sols", a-t-il ajouté, fustigeant l'absence de planification.La Ligue de protection des oiseaux (LPO) s'est dite "satisfaite du retrait de cet article", par la voix de son directeur Yves Verilhac, pour qui "c'est malheureux d'en être réduit à applaudir une absence de régression. Où est-elle cette reconquête de la biodiversité annoncée à grands renforts de communication?"Le texte qui comptait 20 articles, et qui fera quoiqu'il arrive l'objet de vifs débats au Parlement, vise à aider la France à rattraper son grand retard dans le déploiement des énergies renouvelables, éolien et photovoltaïque notamment.Il prévoit des mesures transitoires pendant 48 mois pour simplifier les procédures (extension du vote du public par voie électronique), la multiplication des possibilités d'implantation des panneaux solaires (sur les délaissés autoroutiers, les terrains dégradés, obligatoires en ombrières de parkings existants...) ou encore une mutualisation des débats par façade maritime pour l'éolien en mer.
Il y a 2 ans et 229 jours

Cantillana passe sous giron Holcim

Holcim a complété le rachat de Cantillana. [©Cantillana] Holcim annonce avoir complété l’acquisition du Belge Cantillana, spécialiste des produits de gros œuvre, des enduits de façade et des granulats. Les bénéfices de Cantillana sont estimés à 80 M€ pour 2022. Les 200 employés et les neuf usines de production de la marque passent donc dans le giron d’Holcim. Avec les achats récents de PRB en France, de PTB-Compaktuna en Belgique et d’Izolbet en Pologne, Holcim renforce sa présence sur les marchés allemands, belges, français et hollandais. Les actifs et les solutions de la marque belge rejoignent le catalogue “Solution et Produits” d’Holcim. Lire aussi : Holcim en passe de racheter Cantillana « Je suis heureux d’accueillir tous les employés de Cantillana dans la famille Holcim, déclare Miljan Gutovic, responsable des marchés Europe, Moyen-Orient et Afrique d’Holcim. Cet achat constitue une nouvelle avancée dans l’expansion de notre catalogue “Solutions et Produits”. Et une progression dans notre “Stratégie 2025 -accéléré la croissance verte”. Ainsi, cette acquisition renforce notre présence en Europe. Notamment sur les secteurs de la rénovation, et des solutions d’efficience énergétique. » Cantillana a été fondée en 1875 à Sint-Niklaas, en Belgique. La société avait été acquise en 1982 pour la compagnie Stadsbader Group.
Il y a 2 ans et 229 jours

Diagnostics de performance énergétique : UFC-Que Choisir dénonce un grand n’importe quoi, encore et toujours

Alors que la pertinence du DPE est plus que jamais indispensable compte tenu des conséquences d’une qualification du logement en tant que passoire thermique, l’UFC-Que Choisir, sur la base de l’analyse de 34 diagnostics réalisés dans 7 maisons situées dans différentes régions de France (1), demande au Gouvernement de revoir de fond en comble le processus de certification des professionnels du diagnostic, et que l’opposabilité du DPE soit étendue aux recommandations en matière de travaux à mener.Jusqu'à 3 classes d'écart pour un même bienAlors qu’un consommateur souhaitant réaliser un DPE de son logement dans le cadre d’une vente ou de la location d’un bien pourrait logiquement considérer que le choix du diagnostiqueur n’affectera pas sa classification, la réalité du terrain met en évidence de stupéfiants écarts. En effet, parmi les 7 maisons qui ont fait l’objet de nombreux diagnostics (entre 4 et 5 chacune), 6 d’entre elles ne se sont pas vues reconnaître la même classe énergétique, avec même une maison pour laquelle la classe attribuée va de B à E alors qu’elle est basse consommation !Cette situation pourrait prêter à sourire si la détermination de la classe du DPE n’emportait pas de conséquences si importantes sur la valorisation du bien immobilier, ou encore sur l’estimation de consommation d’énergie et donc des factures, qui pour une maison va même du simple au plus du double (+226%). Pire, avec l’interdiction de vendre ou louer des biens immobiliers énergivores qui interviendra, progressivement, à partir de l’année prochaine pour les plus énergivores, les conséquences d’un classement erroné s’avéreront encore plus préjudiciables.Des recommandations de travaux d'économies farfeluesLa réglementation impose aux diagnostiqueurs de faire figurer sur le DPE des recommandations sur des travaux permettant d’améliorer l’efficacité énergétique des logements ou de limiter les émissions de gaz à effets de serre. Or, certains conseils sont tout simplement ahurissants : un installateur a ainsi recommandé la pose d’un chauffe-eau solaire alors que la maison en disposait déjà. De même, les estimations de travaux jugés essentiels pour une même maison varient d’un peu plus de 3.000 euros à 10 fois plus pour un autre diagnostiqueur.Comment s’étonner de cette situation alors même que les professionnels du diagnostic sont incapables de tous s’accorder sur la principale source de déperdition de chaleur des logements ? Effectivement, pour un même bien, le DPE d’un diagnostiqueur indique que les murs pèsent pour 49% dans la déperdition de chaleur du logement, quand celui de l’un de ses concurrents indique qu’ils ne pèsent que pour 19%.Les pouvoirs publics continuent de cautionner ces professionnelsLes professionnels contactés sont tous présents sur un site gouvernemental (2) recensant les diagnostiqueurs certifiés. Autrement dit, les pouvoirs publics qui cautionnent cette situation ont une lourde responsabilité sur le sentiment légitime de défiance existant à l’égard des DPE.La nouvelle enquête d'UFC-Que Choisir révèle que la certification n’est en rien un gage de qualité, ce qui démontre un défaut du cadre de certification mais aussi dans les contrôles de qualité des prestations réalisées par les diagnostiqueurs.Il convient de souligner que la discordance a pu être rencontrée aussi bien en ayant recours à des réseaux qu’à des indépendants… Les consommateurs sont donc aujourd’hui largement démunis pour prendre attache en toute confiance avec un diagnostiqueur.Attachée à faire du DPE un outil éclairant utilement les propriétaires sur les travaux à entreprendre, et assurant aux futurs acquéreurs ou locataires de disposer d’une information fiable sur la performance énergétique du bien immobilier, l’UFC-Que Choisir demande :De rendre opposable aux diagnostiqueurs les allégations du DPE sur les travaux recommandésDe revoir en profondeur le système de certification pour assurer aux consommateurs que le recours à un professionnel certifié est réellement gage de qualité. Notes (1) Résultats complets de l’enquête disponibles dans le numéro 617 d’octobre du magazine Que Choisir, actuellement en kiosques. (2) http://diagnostiqueurs.din.developpement-durable.gouv.fr/index.action
Il y a 2 ans et 229 jours

Les premières offres de systèmes pour l’autonomie énergétique des maisons individuelles

Au salon Interclima 2022, Porte de Versailles à Paris, Atlantic, Viessmann et d’autres industriels exposeront les premiers systèmes destinés à assurer l’autonomie énergétique en maison individuelle. ©Viessmann
Il y a 2 ans et 229 jours

Le groupe Poujoulat grandit et continue sa diversification

Poujoulat se porte bien, développe son activité bois énergie et exposera aux salons du Mondial du Bâtiment 2022 avec sa solution Réno VMC-gaz pour laquelle il a reçu un Award de l’innovation.(Photo © Poujoulat)
Il y a 2 ans et 230 jours

La piscine qui résiste à Apollon

Le président de la République demande des économies d’énergie pour éviter les rationnements cet hiver, le président du Sénat boude le CNR et inaugure la veille un nouveau centre aqualudique Castalia à Maurepas.
Il y a 2 ans et 230 jours

Sobriété énergétique : le plan de Vinci

La major a présenté le 22 septembre un plan d’économies d'énergie pérennes. Au programme : réduction de 15 % des consommations de gaz et...
Il y a 2 ans et 230 jours

La FFB s'engage encore plus pour le développement des compétences dans la construction

Ce « Pact for skills in Construction » contient les engagements suivants :établir des partenariats solides, notamment avec les organismes d’enseignement et de formation professionnels (VET) ;surveiller l'offre et la demande professionnelles et anticiper les besoins en connaissances, compétences et savoir-faire ;lutter contre la discrimination ;attirer davantage de jeunes et de femmes dans le secteur ;promouvoir une culture de l'apprentissage tout au long de la vie pour tous, soutenue par des incitations adaptées.La FFB, avec la FIEC (Fédération européenne de l’industrie de la construction) et le CCCA-BTP, participe depuis le 1er janvier 2019 au projet européen « Construction Blueprint » soutenu par le programme Erasmus+. Construction Blueprint, qui réunit 24 partenaires européens et nationaux issus de 12 pays, a pour objectif de développer une stratégie sur les compétences professionnelles. Il s’agit d’identifier les besoins et attentes des entreprises en matière de compétences, notamment en lien avec les enjeux de l’efficacité énergétique, de l’économie circulaire et du numérique, ainsi que de recueillir les bonnes pratiques, nationales et régionales.Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « Investie de longue date dans le développement des compétences, la FFB renouvelle son engagement, aux côtés de sa fédération européenne de la construction, la FIEC. Il importe de tout mettre en œuvre pour permettre à nos entreprises de bénéficier d’une main d’œuvre qualifiée, au fait des enjeux de transitions écologique et numérique. »
Il y a 2 ans et 230 jours

Les eurodéputés veulent doubler la part des énergies renouvelables d'ici 2030

En pleine flambée des prix de l'énergie, le Parlement européen s'est prononcé mercredi pour un doublement de la part des renouvelables à horizon 2030. Cependant des ONG critiquent le maintien parmi elles de la biomasse.
Il y a 2 ans et 230 jours

Cheminées Poujoulat ensoleille sa notoriété avec un troisième parrainage météo

Pour cette troisième année consécutive de parrainage météo, les spots publicitaires du leader européen des conduits de cheminée et sorties de toit métalliques restent sur le même cap : informer les consommateurs sur l'importance d'installer un conduit de fumée de qualité pour bénéficier d'une solution de chauffage performante. Cette année, Cheminées Poujoulat décide de mettre également l'accent sur sa nouvelle solution d'aménagement extérieur : la marque Outsteel par Cheminées Poujoulat, qui propose une gamme de caches design pour pompe à chaleur et climatisation.2 spots : Cheminées Poujoulat en entré, Outsteel en sortiePendant 4 semaines, du 9 septembre au 2 octobre 2022, Cheminées Poujoulat encadrera les bulletins météo du week-end, du vendredi au dimanche, de France 2 et France 3, avec 2 spots de 12 secondes. Cette campagne TV sera également diffusée le week-end sur TV5 Monde et La Chaîne Météo.Spot d'entréeLe spot d'entrée évoque le confort d'hiver au coin du feu apporté par les solutions pour le chauffage Cheminées Poujoulat, fabricant français depuis 1950. En fin de spot, un point d'attention est porté aux téléspectateurs sur l'importance d'avoir un conduit de fumée de qualité pour bénéficier d'une solution de chauffage performante.Spot de sortieNouveauté pour la campagne TV 2022 : le spot de sortie met en lumière la toute nouvelle innovation phare développée par Cheminées Poujoulat pour l'aménagement extérieur, Outsteel. Une gamme de caches pompe à chaleur et climatisation qui s'inscrit parfaitement dans la démarche de la marque de proposer de plus en plus de personnalisation et de solutions esthétiques, plébiscitées par les consommateurs.Ancrer Cheminées Poujoulat durablement dans le quotidien des françaisDepuis 2020, Cheminées Poujoulat parraine la météo sur France 2 et France 3. En tant que marque proposant des solutions présentes dans les foyers français, qui participent au confort, le choix de ce programme s'explique par son profil fédérateur et familial. Aussi, accompagner la météo à cette période de l'année est en cohérence par rapport à l'activité chauffage.Avec cette troisième année de campagne TV, Cheminées Poujoulat continue de renforcer sa relation avec le grand public, consolidant sa notoriété d'année en année. S'adresser ainsi aux consommateurs permet non seulement de les informer des solutions existantes pour leur confort thermique, mais également de favoriser les entreprises partenaires distribuant ses produits.Cheminées Poujoulat poursuit ainsi son parcours en tant que fabricant français de référence, et dont les innovations sont régulièrement reconnues et valorisées par les professionnels du secteur.
Il y a 2 ans et 230 jours

G11 INHIBITEUR POLYVALENT

GEB a développé la gamme de produits HVAC dédiée à l'entretien des circuits de chauffage et sanitaire. La gamme HVAC de GEB est composée principalement de produits curatifs (G30 désembouant, G40 colmateur de fuites…) et de produits préventifs (G10 inhibiteur) pour traiter les installations de chauffage.
Il y a 2 ans et 230 jours

Illuminations, enseignes, éclairages, les Champs-Élysées adoptent un plan de sobriété énergétique

C’est pourquoi, sur « la plus belle avenue du monde », les horaires des illuminations, ceux des éclairages et des lumières des enseignes vont être significativement réduits. Cette décision prise par le Comité Champs-Élysées, à l’issue de son conseil d’administration du 20 septembre 2022, après consultation de l’ensemble de ses adhérents, parmi lesquels certaines des plus grandes marques mondiales et plusieurs acteurs culturels majeurs de la capitale, se veut à la fois une réponse aux recommandations du gouvernement, un accompagnement des mesures annoncées par la Ville de Paris, un appui aux dispositions que viennent de prendre plusieurs des principales entreprises de notre pays. Les Champs-Élysées, engagés pour leur rénovation dans une étude urbaine qui fait une part importante à la transition écologique, sont conscients des enjeux énergétiques, de la nécessité de les surmonter, de l’urgence à agir. Pour cela, ils ont voulu, dans une démarche, non pas de contrainte et d’obligation, mais de pédagogie et de conviction, formuler sans attendre des propositions concrètes qui conjuguent sobriété et efficacité, solidarité et rapidité.Concernant les Illuminations de Noël, deux décisions ont été prises avec le souci de faire la part tant de leur efficacité que de la volonté de conserver l’émerveillement et la « magie de Noël ». À l’instar des dispositions adoptées pour plusieurs des monuments parisiens, leur scintillement cessera à 23h45, soit 2h15 plus tôt que les années précédentes. En brillant du dimanche 20 novembre au lundi 2 janvier inclus, au lieu du dimanche 20 novembre au lundi 9 janvier, elles dureront 6 semaines contre 7 auparavant. À titre exceptionnel, elles demeureront allumées les 24 décembre et le 31 décembre.Ces choix sont importants : ils permettront de réduire de 44% la consommation d’énergie des illuminations. Cette évolution vient prolonger les initiatives déjà prises par le Comité Champs-Élysées depuis plusieurs années. En 15 ans, entre 2006 et 2021, grâce, notamment, à la mise en place d’éclairages LED, l’électricité nécessaire aux illuminations aura été diminuée de 97%. Sans évoquer les 480.000 KwH nécessaires aux illuminations jusqu’en 2006, les illuminations 2022 ne mobiliseront que 13.176 kwH, soit la consommation annuelle d’un foyer de 3/4 occupants, contre 23.400 KwH en 2021.Concernant les boutiques, les vitrines, les écrans, au terme d’un processus de concertation mené depuis la rentrée avec ses adhérents, le Conseil d’administration du Comité Champs-Élysées souhaite que les enseignes de l’avenue éteignent leur éclairage au plus tard à 22h00 et 7h00 le lendemain, au moins. Les commerces et les acteurs économiques poursuivant leurs activités au-delà (cinémas et restauration principalement) pourront naturellement dépasser cette limite. Le Comité les incite cependant à éteindre leur éclairage aussitôt qu’ils seront fermés. Cette mesure entre en application immédiatement et devra être généralisée avant le 15 octobre 2022. Les foncières, les propriétaires et les utilisateurs de bureaux des Champs-Élysées ont été invités également à se joindre ce mouvement. La durée de ce plan de sobriété énergétique sera prolongée autant que de besoin. Il fera l’objet régulièrement de points d’étape.De manière générale, le Comité Champs-Élysées incite ses adhérents à utiliser l’application gratuite et ouverte à tous, EcoWatt, éditée par RTE et l’ADEME, qui mesure, en temps réel, le niveau et le pic de consommation énergétique, à lancer des plans d’information de leurs salariés, à initier des actions de communication vers leurs clients sur les modifications des comportements individuels permettant des économies d’énergie à long terme.On l’aura compris : l’objectif du Comité est de proscrire les consommations énergétiques superflues, sans compromettre le rayonnement culturel, touristique, commercial, économique des Champs-Élysées, ni à la qualité esthétique et ludique des promenades sur l’avenue lors des périodes de fêtes. La sobriété énergétique ne doit pas être synonyme de récession économique ou d’austérité psychologique. Les Champs de la sobriété restent les Champs-Élysées. La traditionnelle conférence de presse des illuminations aura lieu dans la matinée du 27 octobre : le nom du parrain ou de la marraine, le sponsor, ainsi que le nouveau design des Illuminations seront annoncés à cette occasion. Innovation dans cette communication, dans un souci d’excellence et d’exemplarité partagées, un événement marquera la première extinction des illuminations le même jour.Pour Marc-Antoine Jamet, président du Comité Champs-Elysées : « Les Champs-Élysées sont, pour le monde entier, un symbole et une vitrine, celle de Paris, celle de la France. Il était de notre devoir de nous montrer, collectivement, solidairement, exemplaires. Une semaine après avoir salué la première rotation de la barge qui transporte au cœur de la capitale, par la Seine, les matériaux indispensables à nos chantiers de réparation en cours, (trottoirs, chaussées), précurseurs discrets, mais réels, en matière d’économies d’énergie, le temps était venu, par notre action, par notre modèle, de participer concrètement et d’inciter à la sobriété énergétique. En agissant ainsi, nous avons un souhait et un espoir. Notre souhait, c’est que Paris reste une fête. Non seulement nous sommes, comme l’immense majorité des Français, soucieux de préserver l’atmosphère si particulière des fêtes de fin d’année, pour nos enfants, pour notre moral, pour nos traditions, mais nous sommes conscients de ce que notre attractivité touristique, commerciale et culturelle représente de croissance et d’emplois. Les Champs de la sobriété restent les Champs-Élysées. Mon espoir, c’est que notre célébrité soit au service de la sobriété énergétique à laquelle il faut adhérer et que nous entraînions dans notre sillage l’ensemble des comités de quartiers, des cercles d’entreprise, pour que cet esprit de frugalité se répande. Y compris dans l’excellence énergétique, les Champs-Élysées doivent être un modèle et rester premiers. »
Il y a 2 ans et 230 jours

Cap vers le pays du Soleil levant pour Colas et son revêtement photovoltaïque

INNOVATION. Colas annonce la commercialisation de sa solution de revêtement photovoltaïque Wattway au Japon. Une nouvelle étape dans son déploiement à l'international, se félicite le groupe.
Il y a 2 ans et 230 jours

Cap vers le pays du Soleil levant pour Colas et son revêtement photovoltaïque

INNOVATION. Colas annonce la commercialisation de sa solution de revêtement photovoltaïque Wattway au Japon. Une nouvelle étape dans son déploiement à l'international, se félicite le groupe.
Il y a 2 ans et 230 jours

Jérôme Pécresse, haut dirigeant de General Electric, quitte ses fonctions

"GE confirme le départ prochain de son vice-président sénior Jérôme Pécresse, qui a décidé de se consacrer à de nouveaux projets", a indiqué la direction de General Electric France, confirmant une information de l'hebdomadaire Marianne.M. Pécresse, polytechnicien, était le dirigeant mondial de l'activité énergies renouvelables, qu'il a dirigée pendant "pratiquement dix années". Il est l'époux de Valérie Pécresse, présidente Les Républicains du conseil régional d'Île-de-France et candidate malheureuse à la dernière élection présidentielle.M. Pécresse a "mené le processus d'intégration des activités énergétiques d'Alstom vendues à GE" en 2015, rappelle GE. "Il a notamment été le fer de lance du développement réussi de GE dans le domaine de l'éolien offshore, qui constituera un pilier essentiel de GE Vernova", a poursuivi l'industriel américain."Je laisserai mes responsabilités opérationnelles à la fin de septembre quand débutera la phase de transition", a indiqué Jérôme Pécresse dans une lettre aux salariés, consultée par l'AFP."Je suis fier des contributions que nous avons apportées ensemble au secteur des énergies renouvelables presque partout dans le monde", écrit-il encore, se disant "convaincu que le développement des énergies renouvelables partout dans le monde continuera à s'accélérer et que la technologie permettra d'en repousser les limites"."L'avenir des entités françaises est dans les mains des Américains", redoute Philippe Petitcolin délégué CFE-CGC (GE turbines à gaz). M. Pécresse pouvait "faire passer les messages" mais "maintenant, la France n'a plus d'interlocuteurs", a-t-il ajouté, voyant dans le départ du dirigeant "un mauvais signal"."Pour nous, il est foutu dehors", sourit Alexis Sesmat, délégué Sud Industrie à l'entité turbines à gaz de General Electric. "C'était le seul et dernier interlocuteur français pour Bercy. La dernière carte du gouvernement français est tombée".Dans l'article 4 de l'accord de novembre 2014, signé entre GE et l'État français lors du rachat de la branche énergie d'Alstom, que l'AFP a pu consulter, l'entreprise s'engage en effet "à proposer au conseil d'administration de GE, après en avoir informé l'État, l'élection au Conseil d'administration de GE d'un président-directeur général de nationalité française de premier plan".Selon Alexis Sesmat, cette annonce est faite "dans la ligne directe de la réorganisation et la scission du groupe".Fin 2021, General Electric a annoncé une réorganisation de ses activités, entraînant la scission en trois entreprises de l'énergie, du médical et de l'aéronautique."Le centre de gravité de la partie énergie n'est plus en France mais bien outre-Atlantique ", dénonce le délégué syndical. Dans l'accord de 2014, valable 10 ans, GE s'engage pourtant à localiser des centres mondiaux en France.
Il y a 2 ans et 231 jours

Brem présente deux nouveaux radiateurs au design raffiné et contemporain

HOT, un radiateur sèche-serviette léger et discretDans la maison, la salle de bains est la pièce de détente par excellence. Afin d’y ajouter encore plus de confort, rien de tel qu’un radiateur sèche-serviette élégant au design italien, conçu par un designer renommé. Cet élément, qui assure également le chauffage, confère à la salle de bains un aspect unique.Le modèle HOT du designer Fiorenzo Mussi est fabriqué sur une plaque radiante Lamina et conçu en acier de haute qualité. Il séduit par son élégance et son design épuré. Ce nouveau radiateur présente un porteserviette en anneau à la fois discret et élégant et disponible en blanc sablé, gris quartz, noir foncé ou autres coloris du nuancier Brem.HOT se décline en six hauteurs de 88 à 167 cm pour une largeur de 53,5 cm. Il développe des puissances de 408 à 897 W.Ce modèle existe en version à eau chaude, électrique ou mixte.Fiche technique : Designer : Fiorenzo Mussi Puissance (en W) : 408 a 897 3 options disponibles : eau chaude, électrique ou mixte 80 finitions au nuancier de Brem Cinq versions : H 88 à 167 cm, L 53,5 cm, P 10, 5 cm Poids : 11,9 – 24,7 kg Prix public indicatif : à partir de 743 EUR TTCPIET, un vibrant hommage à Piet MondrianLe designer Fiorenzo Mussi a donné vie au matériau acier de haute qualité. Il a tracé des lignes verticales et horizontales s’entrecroisant de manière géométrique et rigoureuse en hommage à l’œuvre de Piet Mondrian. Fabriqué sur une plaque radiante S-Platt, ce nouveau radiateur sèche-serviette est idéal pour décorer une salle de bain avec modernité et élégance, tout en garantissant un confort thermique de qualité.PIET existe en finition brillante, satinée et mate (Soft Touch). Il est disponible en trois hauteurs de 180, 200 et 220 cm pour une largeur de 36 à 72 cm. PIET développe des puissances de 713 à 2345 W.Ce modèle existe en version à eau chaude, électrique ou mixte.Fiche technique : Designer : Fiorenzo Mussi Puissance (en W) 713 à 2345 3 options disponibles : eau chaude, électrique ou mixte 80 finitions au nuancier de Brem Trois versions : H 180 à 220 cm, L 36 cm à 72 cm, P 5,8 cmPrix public indicatif : à partir de 1398 EUR TTC
Il y a 2 ans et 231 jours

France Rénov' : la rénovation énergétique pour tous

La rénovation énergétique au cœur des enjeux énergétique et climatiquePour permettre aux ménages d’améliorer le confort de leur logement et de réduire leur consommation d’énergie, le Gouvernement a fait de la rénovation énergétique une priorité. Depuis son lancement en 2020, plus d’un million de foyers ont pu bénéficier de MaPrimeRénov’ pour réaliser des travaux dans leur logement. Pour accélérer la transition énergétique des logements et accompagner davantage de ménages vers des rénovations performantes, l’Etat a lancé France Rénov’, en janvier 2022.Un service public gratuit et indépendant, pour des rénovations énergétiques performantesFrance Rénov’, piloté par l’Agence nationale de l’habitat, est le point d’entrée unique de tous les parcours de travaux, des plus simples aux plus complexes. Pour être informés et accompagnés tout au long de leur projet, les ménages ont à leur disposition :une plateforme web (France-renov.gouv.fr),un numéro de téléphone national unique (0.808.800.700)plus de 1.800 Conseillers France Rénov’dans 500 Espaces conseils France Rénov’, présents sur l’ensemble du territoire.Les informations et conseils délivrés par France Rénov’ sont neutres, gratuits et personnalisés afin de savoir quels travaux réaliser chez soi, comment choisir ses artisans, de quelles aides on peut bénéficier et de mieux appréhender comment va se dérouler son chantier. Cet accompagnement, du début du projet à la livraison du chantier, est essentiel pour rassurer les ménages et faciliter leur passage à l’acte.FranceRénov’ permet ainsi aux ménages de réaliser un projet sur-mesure, énergétiquement performant, et de réduire leur reste à charge en mobilisant les différentes aides financières existantes.Une campagne pour convaincre les ménages de passer à l’acteCette campagne s’appuiera sur un dispositif média complet (TV, radio, presse et digital), de septembre à décembre, et a pour objectifs de :créer un “réflexe” France Rénov' chez les ménages qui souhaitent faire des travaux ;convaincre un maximum de ménages de passer à l’acte pour réaliser la rénovation la plus ambitieuse possible de leur logement ;illustrer les avantages pour les particuliers d'être accompagnés par France Rénov' dans leur projet.
Il y a 2 ans et 231 jours

Un plan stratégique pour les CCI

Les président(e)s des CCI de France, réunis en assemblée extraordinaire, ont adopté, à l’unanimité, le nouveau « Plan stratégique du réseau des CCI ». L’ambition des CCI se résume en une phrase : « s’affirmer comme le premier réseau public de proximité, accélérateur de l’économie et de la croissance durable des entreprises en France et à l’international ». Ce plan se veut une démarche profondément entrepreneuriale qui s’appuie sur les 122 CCI, les 4 400 chefs d’entreprise et les 14 000 collaborateurs qui composent le réseau. Il repose sur trois objectifs : faire de la France un pays d’entrepreneurs forts et engagés, agir pour des territoires intelligents, agiles et durables au service de l’économie et être réseau pour inspirer et performer. ils sont traduits en 30 ENGAGEMENTS nourris par un portefeuille de plus de 70 PROJETS prioritaires. La sobriété énergétique est devenu une préoccupation majeure, avec une première publication de 20 conseils pour faire baisser la facture énergétique, les CCI entendent mettre ce sujet en première ligne. https://www.cci.fr/actualites/entreprises-20-conseils-pour-faire-baisser-votre-facture-denergie     Cet article Un plan stratégique pour les CCI est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 231 jours

Un plan stratégique pour les CCI

Les président(e)s des CCI de France, réunis en assemblée extraordinaire, ont adopté, à l’unanimité, le nouveau « Plan stratégique du réseau des CCI ». L’ambition des CCI se résume en une phrase : « s’affirmer comme le premier réseau public de proximité, accélérateur de l’économie et de la croissance durable des entreprises en France et à l’international ». Ce plan se veut une démarche profondément entrepreneuriale qui s’appuie sur les 122 CCI, les 4 400 chefs d’entreprise et les 14 000 collaborateurs qui composent le réseau. Il repose sur trois objectifs : faire de la France un pays d’entrepreneurs forts et engagés, agir pour des territoires intelligents, agiles et durables au service de l’économie et être réseau pour inspirer et performer. ils sont traduits en 30 ENGAGEMENTS nourris par un portefeuille de plus de 70 PROJETS prioritaires. La sobriété énergétique est devenu une préoccupation majeure, avec une première publication de 20 conseils pour faire baisser la facture énergétique, les CCI entendent mettre ce sujet en première ligne. https://www.cci.fr/actualites/entreprises-20-conseils-pour-faire-baisser-votre-facture-denergie    
Il y a 2 ans et 231 jours

Certivea et la Smart Buildings Alliance récompensent les bâtiments connectés et communicants les plus remarquables

Des projets remarquablement innovants qui permettent de répondre dès maintenant aux enjeux de sobriété et flexibilité énergétique, et apportent aux utilisateurs des services adaptés au plus près de leurs besoins (qualité de vie, sécurité, maintenance, connectivité, etc.).Pour Patrick Nossent, Président de CERTIVEA : « Depuis 4 ans, le label Ready2Services aide les acteurs dans la transition numérique de l’immobilier. Un virage qui permet de faire d’un bâtiment une véritable plateforme de services intégrés pour répondre notamment aux enjeux immédiats de sobriété et de flexibilité énergétique tout en offrant les services numériques maintenant indispensables aux utilisateurs. Ces Trophées sont aujourd’hui l’occasion de célébrer l’engagement des lauréats et de montrer la voie à tous les acteurs de la filière pour porter le développement des bâtiments connectés, intégrés dans la ville durable et intelligente. »Pour Sébastien Meunier, Président de la Smart Buildings Alliance : « Le label R2S et ses extensions servicielles apportent une solution concrète à tous les acteurs de l’immobilier pour les accompagner dans leur transition énergétique et numérique. Bien au-delà de la seule connectivité du bâtiment, la démarche Ready2Services porte une vision du numérique responsable et créateur de valeur pour les occupants, les exploitants, les gestionnaires d’immeubles et les propriétaires. Elle propose un socle solide pour répondre aux objectifs de sobriété énergétique dans le bâtiment et aider tout le secteur à consommer moins et consommer mieux. La SBA est fière aujourd’hui de participer à la remise des Trophées R2S qui distinguent des acteurs et réalisations remarquables en termes de performances et de services numériques. »Le palmarès 2022 des Trophées Ready 2 ServicesCatégorie « Bâtiment Neuf »Immeuble Origine – ICADE – Nanterre (92)2 immeubles de bureaux neufs situés à Nanterre (92), dans le prolongement de Paris-La Défense, intégrés dans un ensemble mixte formant un îlot urbain ouvert sur la ville, occupés par le groupe Technip Energies.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Bâtiment en Exploitation »Immeuble Wave – VINCI Energies – Lille (59)Livré en 2019, WAVE est le siège régional de VINCI Energies, situé dans le quartier central de la métropole Lilloise avec Euratechnologies, 1er incubateur de startups en France.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Bâtiment en Rénovation »Le ‘156’ à Paris – MAIFLe nouveau bâtiment MAIF a accueilli en 2020 ses premiers occupants provenant de 3 sites parisiens. Le bâtiment a fait l’objet d’une rénovation concertée, avec notamment des objectifs environnementaux et numériques.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Campus »Campus Région du numérique Charbonnières-les-Bains - Région Auvergne-Rhône-AlpesOuvert depuis janvier 2021, le campus accueille des étudiants, enseignants, entreprises et industriels sur un espace de 11 ha. Le lieu se veut un catalyseur d’innovations permettant d’accompagner la transformation numérique des acteurs régionaux.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Top 3 des acteurs qui cumulent le plus grand nombre de m² labellisés ou en cours de labellisationCovivioIcadeRedman[Plus de détails, cliquez ici]Le Label R2S, la meilleure preuve qu’un bâtiment est équipé, connecté et sécurisé pour des services numériques performants et durablesReady2Services (R2S) est le socle de la famille des labels ‘Numérique’ délivrés par CERTIVEA. Déployé dès 2018, le label R2S, fruit de la collaboration entre CERTIVEA et la Smart Buildings Alliance, a été conçu pour aider les acteurs, quel que soit leur secteur, dans le déploiement d’infrastructures numériques sûres, évolutives et performantes, pour améliorer le bien-être, la performance et la durabilité au sein des bâtiments tertiaires, quelle que soit leur étape de vie (neuf, exploitation ou rénovation).Les bâtiments labellisés R2S répondent à des exigences couvrant six thèmes complémentaires : Connectivité - Architecture Réseau – Equipements et interfaces – Sécurité numérique – Management Responsable – Services Numériques.Une nouvelle version du label a été lancée à l’été 2022. Ces 4 années ont en effet été l’occasion de nourrir une réflexion poussée autour de l’évolution de ce label unique en son genre, en prenant en compte les retours d’expériences, les réglementations récentes, mais aussi les attentes des maîtres d’ouvrage, bureaux d’études, prestataires… Parmi les nouveautés de la nouvelle version, on notera une prise en compte accrue des réseaux sans fil (Wi-Fi, GSM, IoT, géolocalisation), l’ajout d’un critère sur la présence d’un Building Operating System (BOS) ou encore la fiabilité de la connexion internet. Autres points importants : la clarification du rôle des protocoles (BACnet, LonWorks, KNX…), qui ont toute leur place dans un bâtiment labellisé R2S, et l’accent mis sur un numérique plus responsable et performant afin de réduire l’empreinte environnementale du bâtiment.Le label R2S en données clés+100 : Bâtiments labellisés ou en cours de labellisation R2S1,7 M de m² :Surface cumulée des bâtiments engagésX 3 : Progression du nombre de projets engagés entre 1er trimestre 2021 et 202250/50 : Répartition des projets entre IDF et reste de la France+100 : Référents R2S formés à travers la France
Il y a 2 ans et 231 jours

La Cour de cassation examine jeudi 22 septembre l'annulation rare du procès de la Chaufferie

Cet examen, très attendu du monde judiciaire, doit permettre de trancher plusieurs points. Une très longue enquête est-elle, en soi, une atteinte aux droits de la défense ? Ou bien, faut-il apprécier au cas par cas et identifier concrètement quelles atteintes ont été portées à la défense ?Et si ce délai déraisonnable est bien constaté, faut-il alors annuler toute la procédure ? Ou bien, juger l'affaire mais demander une réparation financière ?Jusqu'à maintenant, la réponse était la compensation financière. Mais le tribunal correctionnel de Nanterre, puis la cour d'appel de Versailles, se sont éloignés de la jurisprudence de la Cour de cassation et ont statué pour la sanction dans l'affaire de la Chaufferie, en invalidant près de vingt ans de procédure.Dans ce dossier, cinq chefs d'entreprise sont accusés d'avoir faussé, entre 1999 et 2003, l'attribution du juteux marché du chauffage et de climatisation du quartier d'affaires de La Défense, aux portes de Paris dans les Hauts-de-Seine, estimé à plusieurs centaines de millions d'euros.Ils devaient comparaître le 11 janvier 2021 à Nanterre, en l'absence d'un protagoniste phare, l'ancien sénateur et maire de Puteaux (UMP) Charles Ceccaldi-Raynaud, mis en examen en 2007 et décédé en 2019.Au premier jour du procès, le tribunal a décidé d'annuler l'intégralité des actes d'enquête, arguant que le droit des prévenus à être jugés dans un délai raisonnable, consacré par le droit européen, avait été bafoué."Un avant et un après"Dans sa décision de 29 pages, le tribunal a méticuleusement détaillé la chronologie.La complexité de l'affaire justifiait-elle cette durée ? Non, répond le tribunal : "la nature des infractions poursuivies et le nombre de personnes mises en cause" ne présentaient pas un "caractère exceptionnel".La défense a-t-elle sciemment ralenti l'enquête? Non, "cinq des six personnes mises en examen dans ce dossier ont participé pleinement" à l'instruction, écrit le président de la chambre, Olivier Protard.Les autorités judiciaires ont-elles été réactives? Non, malgré sept juges d'instruction et une durée "totalement inhabituelle" de l'enquête, il n'y a pas eu de confrontation entre les prévenus soupçonnés de corruption et le bénéficiaire présumé, Charles Ceccaldi-Raynaud.Des manquements qui n'auraient pu être palliés par un procès, selon le tribunal : l'ancien maire est décédé et deux des prévenus n'auraient pu "rendre compte de leurs actions" à l'audience, l'un étant presque centenaire et l'autre atteint de Parkinson.Trois jours plus tard, le parquet de Nanterre avait fait appel, arguant notamment qu'il n'y avait pas "d'excuse de vieillesse" à accorder.Devant la cour d'appel de Versailles, le parquet général avait demandé l'expertise médicale des deux prévenus les plus âgés, afin d'ouvrir la voie à un nouveau procès. Mais l'annulation du procès pour corruption avait été confirmée.La cour d'appel a toutefois ordonné la tenue d'un procès sur un autre volet de l'affaire, où se sont constituées des parties civiles et où doivent être jugés deux hommes, plus jeunes et encore en capacité de se défendre selon la cour, pour abus de biens sociaux.Le parquet général s'est pourvu en cassation. Et c'est ce pourvoi qui est examiné jeudi par la plus haute juridiction judiciaire."Il y a un avant et un après la Chaufferie de la Défense", commente auprès de l'AFP une magistrate en banlieue parisienne. Du fait des "personnalités impliquées", ce dossier a donné une visibilité à la question du délai raisonnable, estime-t-elle.Pour Olivier Baratelli, avocat de l'un des prévenus, Jean Bonnefont, ancien dirigeant des ex-Charbonnages de France âgé de 99 ans, cette annulation a contribué à "écrire l'histoire judiciaire". "Les grands principes européens rentrent enfin dans le droit français : un vent de fraîcheur", a-t-il déclaré à l'AFP.D'autres nuancent. L'avocat Olivier Morice, qui a récemment obtenu deux jugements d'annulation, "ne voit pas dans la Chaufferie l'origine d'un tournant, mais une marche en avant au caractère inéluctable".Depuis, au moins une demi-douzaine de décisions similaires ont été prononcées, presque toutes frappées d'appel. Des procès portant sur des faits très anciens ont aussi été renvoyés, dans l'attente de la décision de la Cour de cassation.
Il y a 2 ans et 231 jours

Le gouvernement demande aux préfets d'aller plus vite sur l'éolien

Face à la crise énergétique, quatre ministres dont ceux de l'Intérieur, de la Transition écologique et de la Transition énergétique demandent aux services déconcentrés de l'Etat de "mettre en place toutes les actions requises afin de faciliter et d'accélérer le traitement des dossiers (...) en cours et à venir".Au total, ces dossiers en cours d'instruction représentent "près de 10 GW de projets photovoltaïque et éolien et environ 5 TWh de capacités de gaz renouvelables".Pour le gouvernement, il s'agit de "faire en sorte qu'aucune instruction n'excède 24 mois, sauf situation très exceptionnelle", selon cette circulaire. Les services déconcentrés de l'Etat sont également invités à observer "un objectif de 18 mois entre la date de dépôt d'un projet de renouvellement ou d'augmentation de puissance de parcs éoliens existants, et sa mise en œuvre". Selon Michel Gioria, délégué général de France énergie éolienne, le syndicat des professionnels de la filière éolienne (350 membres), la circulaire vise notamment l'accélération du traitement des dossiers d'éolien terrestre, sources de controverses récurrentes dans l'opinion. "Il y a 5 GW de projets (d'éolien terrestre) en attente d'autorisation, soit 15% de la capacité déjà installée sur le territoire, c'est considérable", a-t-il souligné.Alors que le développement de projets éoliens suscite de plus en plus d'opposition, freinant leur déploiement, le gouvernement veut faire adopter un projet de loi pour accélérer les procédures et rattraper le retard de la France dans l'éolien et le solaire.En février, dans un discours prononcé à Belfort, peu avant la guerre en Ukraine, le président Emmanuel Macron avait fixé les lignes de la nouvelle politique énergétique de la France, en annonçant un vaste plan de relance du nucléaire civil et l'essor de l'éolien marin, mais un coup de frein sur les éoliennes terrestres."Dans la situation énergétique que nous connaissons avec des hivers qui s'annoncent difficiles au moins jusqu'en 2025, l'indisponibilité d'une partie du parc nucléaire et la crise du gaz russe, l'éolien, le solaire et la méthanisation sont les seuls moyens de production que nous avons pour produire des megawattheures en plus", a souligné Michel Gioria, délégué général de France énergie éolienne.
Il y a 2 ans et 231 jours

Le projet de loi pour accélérer le déploiement des renouvelables dans les starting-blocks

TRANSITION ÉNERGÉTIQUE. Emmanuel Macron devrait présenter les "grands axes" du projet de loi d'accélération des énergies renouvelables lors d'un déplacement à Saint-Nazaire après-demain. C'est au large de la sous-préfecture de Loire-Atlantique que le premier parc français d'éoliennes en mer a été implanté. En parallèle, le Gouvernement demande aux préfets de passer eux aussi à la vitesse supérieure sur les ENR.
Il y a 2 ans et 231 jours

Colas va commercialiser Wattway au Japon

Colas Japan et son partenaire TOA Road viennent de lancer la commercialisation du revêtement photovoltaïque circulable au Japon. Colas a...
Il y a 2 ans et 231 jours

Renouvelables : les filières éolienne et pompes à chaleur en plein essor

ANALYSE. Les énergies renouvelables ont représenté 13% de la consommation d'énergie primaire et 19,3% de la consommation d'énergie finale brute de la France en 2021, selon des données compilées par le ministère de la Transition énergétique. Le poids des ENR dans l'économie tricolore s'accroît progressivement, certaines connaissant un développement plus marqué que d'autres.
Il y a 2 ans et 231 jours

Renouvelables : les filières éolienne et pompes à chaleur en plein essor

ANALYSE. Les énergies renouvelables ont représenté 13% de la consommation d'énergie primaire et 19,3% de la consommation d'énergie finale brute de la France en 2021, selon des données compilées par le ministère de la Transition énergétique. Le poids des ENR dans l'économie tricolore s'accroît progressivement, certaines connaissant un développement plus marqué que d'autres.
Il y a 2 ans et 231 jours

La Région Paca débloque un fonds en faveur des EnR et de la transition écologique

TRANSITION. Plusieurs filières sont concernées par cet outil, notamment la production d'énergies renouvelables et l'efficacité énergétique.
Il y a 2 ans et 231 jours

La Région Paca débloque un fonds en faveur des EnR et de la transition écologique

TRANSITION. Plusieurs filières sont concernées par cet outil, notamment la production d'énergies renouvelables et l'efficacité énergétique.
Il y a 2 ans et 231 jours

Le groupe Muller change de nom et devient Intuis

En moins de deux ans, dans l’univers professionnel, les marques du groupe Muller – Applimo, Noirot, Campa, Airélec, Auer, France Energie, … – disparaîtront au profit de la seule marque Intuis
Il y a 2 ans et 231 jours

Marché 2021 des installations solaires photovoltaïques individuelles

Ce chiffre correspond à une progression de 13,5% par rapport à 2020. Une dynamique honorable mais nettement inférieure à celle enregistrée sur le segment de 3 à 9 kW qui double ses volumes (120.680 kW, + 100,8% par rapport à 2020). L'autoconsommation reste toujours autant plébiscitée avec 90% des opérations sur le segment de 3 kW ou moins. Sur les 8 dernières années, on évalue ainsi à plus de 200 MW le volume total des installations de moins de 3 kW ayant été installées en autoconsommation en France.Géographiquement, le marché reste majoritairement localisé dans le sud de la France avec la Nouvelle Aquitaine et l'Auvergne-Rhône-Alpes comme fers de lance (40% de la puissance installée sur le segment de moins de 3 kW). Côté prix de vente des équipements, la tendance à l'augmentation, observée pour les autres technologies renouvelables destinées aux particuliers (solaire thermique, pompes à chaleur ou appareils de chauffage au bois), s'applique également ici puisqu'en moyenne, une installation s'est vendue 6 à 7% plus cher en 2021. Cependant, le début d'année 2022, marqué par la politique zéro COVID chinoise et la guerre en Ukraine, laisse présager une accentuation des problèmes d'approvisionnement et de hausse des prix en France et plus largement en Europe.Ces constats sont issus de l'étude quantitative 2022 d'Observ'ER (Observatoire des énergies renouvelables) sur le marché des installations solaires photovoltaïques individuelles.
Il y a 2 ans et 231 jours

Évolution du marché des installations solaires photovoltaïques individuelles

Ce chiffre correspond à une progression de 13,5% par rapport à 2020. Une dynamique honorable mais nettement inférieure à celle enregistrée sur le segment de 3 à 9 kW qui double ses volumes (120.680 kW, + 100,8% par rapport à 2020).L'autoconsommation reste toujours autant plébiscitée avec 90% des opérations sur le segment de 3 kW ou moins. Sur les 8 dernières années, on évalue ainsi à plus de 200 MW le volume total des installations de moins de 3 kW ayant été installées en autoconsommation en France.Géographiquement, le marché reste majoritairement localisé dans le sud de la France avec la Nouvelle Aquitaine et l'Auvergne-Rhône-Alpes comme fers de lance (40% de la puissance installée sur le segment de moins de 3 kW).Côté prix de vente des équipements, la tendance à l'augmentation, observée pour les autres technologies renouvelables destinées aux particuliers (solaire thermique, pompes à chaleur ou appareils de chauffage au bois), s'applique également ici puisqu'en moyenne, une installation s'est vendue 6 à 7% plus cher en 2021. Cependant, le début d'année 2022, marqué par la politique zéro COVID chinoise et la guerre en Ukraine, laisse présager une accentuation des problèmes d'approvisionnement et de hausse des prix en France et plus largement en Europe.Ces constats sont issus de l'étude quantitative 2022 d'Observ'ER (Observatoire des énergies renouvelables) sur le marché des installations solaires photovoltaïques individuelles.
Il y a 2 ans et 231 jours

L’Agora de l’école vétérinaire de Maisons-Alfort, un chantier chirurgical

Pièce centrale d’une série de rénovations du campus de l’école vétérinaire à Maisons-Alfort, la reconstruction biosourcée préservant certains éléments du bâtiment Brion, dont les fondations, a demandé du doigté.