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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Energie

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Il y a 2 ans et 225 jours

Engie entame la construction de son projet hydrogène en Australie

Le groupe Engie a annoncé le 16 septembre le démarrage de la construction d'un électrolyseur en Australie, associé à un parc photovoltaïque destiné à produire de l'hydrogène vert.
Il y a 2 ans et 225 jours

Wicona renforce son offre sécurité incendie avec la nouvelle porte Wicstyle 75 FP EI30

La sécurité incendie est un point de plus en plus prégnant dans les appels à projets, marchés publics et privés confondus (ERP, établissements de santé, logements, tertiaire, etc.). En cette rentrée, WICONA complète son offre de porte avec la WICSTYLE 75 FP EI30 : une porte coupe-feu 30 minutes en aluminium recyclé Hydro CIRCAL®, ingénieusement équipée pour atteindre ces performances, sans insert coupe-feu. Conçue pour le marché du neuf comme de la rénovation, cette porte, développée comme une extension de gamme dont les clients maîtrisent déjà la fabrication, autorise de grandes dimensions et cumule performances techniques, esthétique et environnementale.L'ingénierie technologique et l'ingéniosité au service de la performanceLa porte WICSTYLE 75 FP EI30 de WICONA se distingue par son ingéniosité. En effet, la performance au feu EI1-30 est obtenue sans recourir à l'utilisation d'inserts coupe-feu. Le châssis reste stable, étanche au feu pendant 30 minutes et préserve la température en dessous des 180° au côté opposé au feu. Cette performance est couverte par le PV EFECTIS EFR-19-V-005149 (marché français). Seuls le recours à une nouvelle génération de clips inox associés à des bandes intumescentes, le tout placés à des emplacements stratégiques, permet de préserver l'intégralité mécanique, l'étanchéité et l'isolation thermique de la porte WICSTYLE 75 FP EI30 durant 30 minutes.Concrètement, les clips inox sont mis en place sans usinages. Ils préservent la rigidité du système et garantissent le maintien du vitrage. Les bandes intumescentes auto-adhésives et optimisées, dissimulées derrière les joints de battement, s'expansent sous la montée en température et viennent combler les espaces entre vitrage et fond de feuillure. Les barrettes à rupture de pont thermique en polyamide recyclé sont essentielles dans l'obtention de la performance coupe-feu de cette porte, le rupteur thermique jouant pleinement son rôle.La fibre de verre qu'elles contiennent contribue à la meilleure résistance mécanique du profilé RPT face à la montée en température. La barrette extérieure (multi-chambres), sous brevet WICONA, apporte une résistance renforcée ; l'une des chambres étant conçue pour recevoir les vis de fixation des différents éléments de quincaillerie.Solution compétitive et esthétiqueLa force de WICONA est d'avoir conçu ses gammes de protection incendie comme des extensions de gammes existantes, sans en modifier les process de fabrication. Les performances coupe-feu et pare-flamme sont atteintes par simple ajout d'accessoires.Développée à partir des systèmes de portes (WICSTYLE 65 et 75) éprouvés et connus des clients, la WICSTYLE 75 FP EI30 reprend les solutions et équipements – paumelles à clamer en feuillure ou paumelles en applique, couvre-joints, équerres, poignées - avec lesquels ils ont l'habitude de travailler.Cette homogénéité des solutions et des équipements leur permet de proposer une solution économique, laissant une grande liberté dimensionnelle (jusqu'à 3,480 m de haut) et contribue aussi à l'optimisation des stocks et des temps de production.Une pérennité qui ne se fait pas au détriment de l'esthétique puisque la porte coupe-feu, disponible en un vantail, offre le même design, résolument contemporain, que celui des modèles 65 et 75 standards. Elle peut également être équipée de paumelles cachées ou visibles. Et parce que la protection incendie est un domaine de spécialistes, une formation aux spécificités incendie prodiguée par les experts WICONA est obligatoire dès la première commande.Solution durable et bas carboneToutes les applications « feu » de WICONA sont proposées en aluminium bas carbone recyclé Hydro CIRCAL®. Cet alliage de seconde fusion est le seul sur le marché à se composer d'au minimum 75% de matières recyclées post-consommation, provenant essentiellement de menuiseries aluminium issues de chantiers de déconstruction. Il affiche ainsi la plus faible empreinte carbone, soit 2.3 kg de CO² par kg d'aluminium produit.Caractéristiques techniquesOuvrant jusqu'à 3 480 mm de hauteur (1 vantail)Accessibilité PMR ou sans seuilUw = 1.3 W/(m2K), avec Ug de 1.1 W/(m2K)Acoustique : Rw (C;Ctr) = 48 (-1 ;-4) dBAEV A4 E1050 VC5/B5
Il y a 2 ans et 225 jours

Wicona renforce son offre sécurité incendie avec la nouvelle porte Wicstyle 75 FP EI30

La sécurité incendie est un point de plus en plus prégnant dans les appels à projets, marchés publics et privés confondus (ERP, établissements de santé, logements, tertiaire, etc.). En cette rentrée, WICONA complète son offre de porte avec la WICSTYLE 75 FP EI30 : une porte coupe-feu 30 minutes en aluminium recyclé Hydro CIRCAL®, ingénieusement équipée pour atteindre ces performances, sans insert coupe-feu. Conçue pour le marché du neuf comme de la rénovation, cette porte, développée comme une extension de gamme dont les clients maîtrisent déjà la fabrication, autorise de grandes dimensions et cumule performances techniques, esthétique et environnementale.L'ingénierie technologique et l'ingéniosité au service de la performanceLa porte WICSTYLE 75 FP EI30 de WICONA se distingue par son ingéniosité. En effet, la performance au feu EI1-30 est obtenue sans recourir à l'utilisation d'inserts coupe-feu. Le châssis reste stable, étanche au feu pendant 30 minutes et préserve la température en dessous des 180° au côté opposé au feu. Cette performance est couverte par le PV EFECTIS EFR-19-V-005149 (marché français). Seuls le recours à une nouvelle génération de clips inox associés à des bandes intumescentes, le tout placés à des emplacements stratégiques, permet de préserver l'intégralité mécanique, l'étanchéité et l'isolation thermique de la porte WICSTYLE 75 FP EI30 durant 30 minutes.Concrètement, les clips inox sont mis en place sans usinages. Ils préservent la rigidité du système et garantissent le maintien du vitrage. Les bandes intumescentes auto-adhésives et optimisées, dissimulées derrière les joints de battement, s'expansent sous la montée en température et viennent combler les espaces entre vitrage et fond de feuillure. Les barrettes à rupture de pont thermique en polyamide recyclé sont essentielles dans l'obtention de la performance coupe-feu de cette porte, le rupteur thermique jouant pleinement son rôle.La fibre de verre qu'elles contiennent contribue à la meilleure résistance mécanique du profilé RPT face à la montée en température. La barrette extérieure (multi-chambres), sous brevet WICONA, apporte une résistance renforcée ; l'une des chambres étant conçue pour recevoir les vis de fixation des différents éléments de quincaillerie.Solution compétitive et esthétiqueLa force de WICONA est d'avoir conçu ses gammes de protection incendie comme des extensions de gammes existantes, sans en modifier les process de fabrication. Les performances coupe-feu et pare-flamme sont atteintes par simple ajout d'accessoires.Développée à partir des systèmes de portes (WICSTYLE 65 et 75) éprouvés et connus des clients, la WICSTYLE 75 FP EI30 reprend les solutions et équipements – paumelles à clamer en feuillure ou paumelles en applique, couvre-joints, équerres, poignées - avec lesquels ils ont l'habitude de travailler.Cette homogénéité des solutions et des équipements leur permet de proposer une solution économique, laissant une grande liberté dimensionnelle (jusqu'à 3,480 m de haut) et contribue aussi à l'optimisation des stocks et des temps de production.Une pérennité qui ne se fait pas au détriment de l'esthétique puisque la porte coupe-feu, disponible en un vantail, offre le même design, résolument contemporain, que celui des modèles 65 et 75 standards. Elle peut également être équipée de paumelles cachées ou visibles. Et parce que la protection incendie est un domaine de spécialistes, une formation aux spécificités incendie prodiguée par les experts WICONA est obligatoire dès la première commande.Solution durable et bas carboneToutes les applications « feu » de WICONA sont proposées en aluminium bas carbone recyclé Hydro CIRCAL®. Cet alliage de seconde fusion est le seul sur le marché à se composer d'au minimum 75% de matières recyclées post-consommation, provenant essentiellement de menuiseries aluminium issues de chantiers de déconstruction. Il affiche ainsi la plus faible empreinte carbone, soit 2.3 kg de CO² par kg d'aluminium produit.Caractéristiques techniquesOuvrant jusqu'à 3 480 mm de hauteur (1 vantail)Accessibilité PMR ou sans seuilUw = 1.3 W/(m2K), avec Ug de 1.1 W/(m2K)Acoustique : Rw (C;Ctr) = 48 (-1 ;-4) dBAEV A4 E1050 VC5/B5
Il y a 2 ans et 225 jours

Réduction du déficit public : le Haut Conseil des finances publiques critique une trajectoire "peu ambitieuse"

La trajectoire par laquelle le gouvernement entend ramener ce déficit de 5% du PIB à 2,9% sur la durée du quinquennat est aussi estimée "particulièrement fragile" par le HCFP qui juge exagérément optimistes ses hypothèses "sur la croissance économique, sur la maîtrise de la dépense publique et sur la hausse des prélèvements obligatoires". Selon le Haut Conseil, organisme indépendant placé auprès de la Cour des comptes, le gouvernement a "surestimé" l'impact de l'ensemble des réformes qu'il projette de mettre en oeuvre, à savoir des retraites, de l'assurance-chômage, du revenu de solidarité active (RSA) et de l'apprentissage, "en particulier dans les premières années de programmation".Il précise que pour toutes ces réformes, "ni les modalités, ni les impacts, ni le calendrier ne sont documentés". Pour les retraites en particulier, "les économies qui en découleraient seraient de toute façon limitées à l'horizon de la période de programmation".La réforme des retraites n'est pas contenue dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale, selon le texte consulté dimanche par l'AFP. La réforme pourrait être engagée par voie d'amendement durant le débat parlementaire, ou par un texte dédié, a dit dimanche le ministre des relations avec le Parlement, Franck Riester.Ce texte prévoit un déficit de la Sécurité sociale en forte baisse l'an prochain, à 6,8 milliards d'euros, contre 17,8 milliards en 2022. Selon le Haut Conseil, le projet de loi de programmation des finances publiques pour le quinquennat, que le gouvernement doit présenter lundi en même temps que son budget pour l'année 2023, "n'inscrit pas de retour rapide vers l'objectif d'équilibre des finances publiques, auquel la France s'est engagée" au niveau européen.La France fait désormais partie des sept pays de la zone euro dont la dette publique est supérieure au produit intérieur brut (PIB), alors qu'elle est inférieure à 80% du PIB pour 11 d'entre eux, relève le HCFP, selon lequel même si la trajectoire proposée par le gouvernement est respectée, "la France continuera de voir sa position d'endettement relatif se dégrader" au sein de la zone euro.Dans son avis séparé pour la seule année 2023, le HCFP juge la prévision de croissance de 1% du gouvernement "un peu élevée".Si les recettes risquent de pâtir l'an prochain d'une activité moins forte que prévu, elles seront en hausse grâce à des rentrées fiscales supérieures à ce qui avait été anticipé en 2022.Les dépenses publiques devraient elles reculer de 1,1% une fois déduite l'inflation, mais "le déficit pourrait être in fine plus important que prévu du fait de la sous-estimation de certaines dépenses".Enfin, la prévision de déficit public de 5% du PIB l'an prochain "est marquée par la grande incertitude qui entoure les évolutions macroéconomiques et notamment les prix de l'énergie".
Il y a 2 ans et 225 jours

Retraites : décision de l'exécutif rendue publique "d'ici la fin de la semaine", selon Borne

"On a prévu avec le président de la République d'avoir un échange cette semaine avec les ministres concernés et les responsables de la majorité. (...) On fera part de la décision que nous prendrons avec le président de la République d'ici la fin de la semaine", a déclaré sur BFMTV et RMC la cheffe du gouvernement.L'entourage du président a fait savoir samedi qu'Emmanuel Macron réunirait cette semaine, avec Elisabeth Borne, les ministres concernés et les responsables de la majorité sur cette question des retraites.Parmi les pistes envisagées par l'exécutif figurent un amendement au projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) et un projet de loi ad hoc."Il y a différents scénarios, et donc nous cherchons en effet la meilleure voie avec l'objectif d'avoir du dialogue, de la concertation et d'avancer rapidement", a ajouté Mme Borne.La Première ministre a assuré qu'elle pousserait pour "la recherche de compromis" sur cette méthode sans pour autant exclure le recours à l'article 49.3 de la Constitution, qui permet l'adoption d'un texte sans vote sauf motion de censure."Ma méthode c'est le dialogue, la recherche de compromis. En même temps, les Français ne comprendraient pas qu'on soit bloqués, c'est vrai sur le budget, c'est vrai sur les réformes importantes qu'on veut porter", a-t-elle affirmé. L'article 49.3 est donc "un des outils qui est à la disposition du gouvernement si on constate une situation de blocage"."La priorité pour moi c'est le dialogue, la concertation, la recherche de compromis. Le blocage ne viendra pas de ma part", a insisté Mme Borne, qui a reçu la semaine dernière les chefs de groupes parlementaires.Beaucoup d'entre eux se sont dits hostiles à la voie d'un amendement au PLFSS, y compris au sein de la majorité le patron du MoDem François Bayrou et la présidente (Renaissance) de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet.La Première ministre a par ailleurs confirmé qu'il y aurait un "décalage progressif de l'âge effectif de départ à la retraite", mais que l'exécutif n'avait "pas prévu de décaler l'âge du taux plein" automatique actuellement à 67 ans.Mme Borne était interrogée juste avant un Conseil des ministres chargé, qui doit examinera les projets de loi de finances (PLF) et de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2023, ainsi qu' un projet de loi sur les énergies renouvelables.Invité sur FranceInfo au même moment, le patron du MoDem François Bayrou a redit que les députés de son parti ne voteraient pas un éventuel amendement au PLFSS. "Si cette méthode (par amendement) était choisie ça voudrait dire qu'on n'a pas changé de méthode sur les réformes" et le Conseil national de la refondation (CNR) "serait compromis", a estimé le Haut commissaire au plan, chargé de piloter le CNR.Le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger, a jugé à nouveau "inacceptable" de traiter "rapidement, en +loucedé+", dans un amendement, le sujet des retraites qui "n'est pas qu'un sujet budgétaire" mais "un sujet social et sociétal"."Que le gouvernement passe en force dans le PLFSS et vous verrez ce qu'il se passera, il y aura une opposition frontale de la part des organisations syndicales et notamment de la CFDT. On risque de casser le corps social", a-t-il prévenu sur Europe 1.
Il y a 2 ans et 225 jours

SIPE, centrales à béton SELF pour la distribution en libre service

Sipe propose SELF, centrale à béton en libre service SIPE, producteur italien de malaxeurs et centrales à béton actif sur le marché depuis 1979, propose des solutions pour toute l’industrie du béton : chantiers de toute taille, fournisseurs de BPE, préfabricants, laboratoires, producteurs de réfractaires et de pavés.  La présence de SIPE en France est en fort développement, avec plusieurs centrales livrées et en cours de livraison cette année. Notamment les modèles mobiles – à trémies et à rayon raclant – et les centrales fixes qui sont de plus en plus nombreux dans l’Hexagone.  Parallèlement, l’industriel continue le développement et la promotion de ses centrales SELF pour la production de béton en libre-service, avec une gamme de solutions conçues pour servir les particuliers, carrières à agrégats et négoces de matériaux, fournisseurs de BPE, chantiers de grande taille et producteurs de blocs. La gamme proposée par SIPE s’appuie sur la connaissance du béton et l’innovation technologique, qui mènent à l’objectif primaire – qui est aussi le slogan de l’industriel italien : permettre à ses clients de produire du béton de qualité.  SIPE sera présent au salon BAUMA à Munich, du 24 au 30 octobre, stand 208, hall C1. Découvrez la gamme complète des centrales à béton SIPE : www.sipeitalia.com/fr/
Il y a 2 ans et 225 jours

Bords de routes, voies ferrées, et certaines terres agricoles seront sollicités pour produire de l'énergie solaire

Le projet de loi d'accélération des énergies renouvelables qui sera présenté en conseil des ministres le 26 septembre portera notamment un volet de "libération du foncier", a précisé Emmanuel Macron jeudi lors de l'inauguration du premier parc éolien en mer français, au large de Saint-Nazaire.Avec l'abandon progressif des énergies carbonées pour respecter ses objectifs climatiques, la France va "massivement" accroître ses besoins en électricité, "de 40% d'ici 2050", a indiqué le président pour justifier ces projets."Dans les prochains mois et les prochaines années, nous installerons plus de panneaux solaires en identifiant tous les espaces qui s'y prêtent, en ville, au bord des routes", a déclaré M. Macron, en citant aussi "les grands parkings" où l'installation de panneaux "permet de générer des revenus complémentaires".Évoquant la "décarbonation des autoroutes", il a estimé que "les bords d'autoroute" et les "bords de voies ferrées" pourraient aussi accueillir des panneaux solaires. "Ça permet de protéger la beauté des paysages, tout en développant du renouvelable" a-t-il relevé."Je veux aussi qu'on puisse avancer sur l'agrovoltaïsme" – l'installation de panneaux solaires sur des terres agricoles - qui représente un "potentiel très important de complément de revenus" pour les agriculteurs, a-t-il poursuivi.M. Macron a toutefois insisté sur la nécessité de prévoir des "garde-fous" pour éviter qu'une production d'électricité "ne se substitue pas" aux champs, aux prairies et aux troupeaux, c'est à dire à la production alimentaire. "On sait que c'est faisable et il faut aller beaucoup plus vite", a-t-il dit. A cet effet, le gouvernement "doit présenter un amendement au projet de loi avant son passage au Sénat" pour tirer les conclusions des "concertations" récentes menées avec le Conseil de l'agriculture française et les jeunes agriculteurs, a indiqué le président.M. Macron s'était déplacé le 9 septembre à Outarville dans le Loiret pour le rendez-vous annuel du Congrès des jeunes agriculteurs (JA) "les Terres de Jim".En Europe, "nos voisins sont allés beaucoup plus vite, en particulier dans le nord ou dans le sud et tout ce qui est le bord de la mer Baltique avec une stratégie très forte aujourd'hui et le sud de l'Europe en matière d'énergies renouvelables", a-t-il relevé pour justifier l'accélération de ces énergies en France qui doit porter aussi sur l'éolien en mer et sur terre. L'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) a identifié au total 843 friches industrielles et urbaines susceptibles d'accueillir des installations photovoltaïques, indique une circulaire récente, que l'AFP a pu consulter. Celle-ci a été envoyée par le gouvernement aux préfets pour organiser les délestages en cas de pénurie de gaz et d'électricité cet hiver et accélérer le développement des projets d'énergie renouvelable."Simplifier, accélérer et trouver des zones pour s'installer sont autant de thèmes que nous portons", s'est félicité le syndicat des professionnels de l'énergie solaire Enerplan jeudi soir après l'intervention du président."La nouveauté, c'est le mot important: agrivoltaïsme, car nous n'aurons pas d'autre choix pour atteindre nos objectifs (climat et énergie), et c'est intelligent car utile pour l'agriculture comme pour l'énergie", a-t-il ajouté. "Tout cela est cohérent avec nos attentes, il faudra voir la suite" a-t-il néanmoins prévenu.
Il y a 2 ans et 225 jours

Blue Pearl Energy met la main sur France Solar

ACQUISITION. Blue Pearl Energy, plateforme européenne de services à l'énergie, vient d'acquérir France Solar, spécialiste du solaire photovoltaïque. Cette opération renforce la position de la plateforme dans le BtoB.
Il y a 2 ans et 225 jours

Blue Pearl Energy met la main sur France Solar

ACQUISITION. Blue Pearl Energy, plateforme européenne de services à l'énergie, vient d'acquérir France Solar, spécialiste du solaire photovoltaïque. Cette opération renforce la position de la plateforme dans le BtoB.
Il y a 2 ans et 225 jours

Budget 2023 : le gouvernement veut montrer son "sérieux" tout en protégeant contre l'inflation

Pour contenir le déficit public à 5% du PIB, le projet de loi de finances pour 2023 table sur une hausse des dépenses inférieure à la hausse des prix, mais aussi sur une croissance économique de 1% l'an prochain, supérieure aux prévisions de la Banque de France (0,5%) et de l'OCDE (0,6%), notamment.Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a reconnu les "aléas" qui entourent cette prévision, notamment la guerre en Ukraine, mais il a assuré que dans les circonstances actuelles, l'économie française "résiste" avec des fondamentaux qui "restent solides".A la sortie du Conseil des ministres, il a estimé que la prévision de croissance de 1% en 2023 était "crédible et volontariste".Réagissant aux critiques du Haut Conseil des finances publiques (HCFP), qui a jugé exagérément optimistes les hypothèses macroéconomiques du gouvernement, M. Le Maire a assuré ne pas être "sourd aux critiques". Mais "nous tenons notre ligne", a-t-il ajouté.Compte non tenu de l'inflation, la plupart des ministères voient leurs crédits budgétaires augmenter, à commencer par le premier d'entre eux, l'Education, qui gagne 3,7 milliards d'euros à 60,2 milliards.Les moyens de la Défense augmentent de 3 milliards, tandis que ceux de la mission Travail et Emploi, dévolus notamment à la formation professionnelle et à l'apprentissage, progressent de 3,7 milliards par rapport au budget rectifié 2022.Pour mieux assurer ses missions régaliennes, le gouvernement prévoit 10.764 postes supplémentaires de fonctionnaires pour l'Etat et ses opérateurs en 2023, en particulier dans les ministères de l'Intérieur, la Justice et l'Education nationale, contre seulement 294 prévus en 2022.Le ministre chargé des Comptes publics, Gabriel Attal, a tout de même réitéré l'objectif "de la stabilité de l'emploi public sur le quinquennat", laissant présager des diminutions de postes dans les années à venir. Au total, les dépenses de l'Etat devraient néanmoins diminuer de 9,6 milliards d'euros en raison de la baisse de régime du plan de relance et, à un moindre degré, du plan France 2030.Ligne rougeReste que la bonne tenue des finances publiques est compromise par les "engagements financiers de l'Etat", lesquels sont composés pour l'essentiel de la charge de la dette. Ils sont prévus au même niveau que le budget de l'Education, à 60,2 milliards d'euros.Dans ce contexte et pour permettre à la France de tenir ses engagements européens, le ministre de l'Economie a affirmé devant des journalistes que "la France est à l'euro près"."Je veux tracer une ligne rouge", a-t-il prévenu: "aucune nouvelle dépense" ne pourra être introduite au cours du débat parlementaire si elle n'est pas "financée à l'euro près".Ses déclarations n'ont pas suffi à rassurer le Medef, qui a dénoncé dans un communiqué le "manque d'ambition " du gouvernement pour réduire la dépense publique.De son côté, le Comité des finances locales, qui défend les intérêts financiers des collectivités, a critiqué par la voix de son président André Laignel (PS) un projet de budget "globalement calamiteux", qui "amplifie le recul de l'autonomie fiscale et financière" des exécutifs locaux.M. Le Maire a lui qualifié le budget de "responsable et protecteur dans des temps de grandes incertitudes", affirmant qu'"une voie étroite" existe pour rallier suffisamment de députés de l'opposition pour voter un texte que le gouvernement fera sinon adopter sans vote, en ayant recours à l'article 49-3 de la constitution.Le ministre a concédé qu'en raison de la mise en place d'un boulier tarifaire limitant à 15% en début d'année prochaine les hausses des prix réglementés du gaz et de l'électricité, le projet de budget "penche encore un peu trop du côté des énergies fossiles". Cela "ne peut que renforcer notre détermination à accélérer la transition climatique", a-t-il ajouté.Devant la commission des Finances de l'Assemblée nationale, il a appelé les énergéticiens qui proposent aux entreprises énergo-intensives des contrats de fourniture de gaz et d'électricité à des prix exorbitants à se montrer "solidaires de leurs clients". M. Le Maire a annoncé qu'il les réunirait dans ce but avec la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, "dans les prochains jours".
Il y a 2 ans et 225 jours

Projet de loi de finances : construction neuve et massification de la rénovation oubliées

La FFB regrette que malgré la chute des ventes et des agréments HLM, les surcoûts induits par la crise des matériaux et de l’énergie, l’entrée en vigueur de RE2020, puis de la REP au 1er janvier 2023, la construction neuve est absente projet de loi de finances pour 2023. La seule ponction de 300 millions d’euros sur Action logement pour financer le Fonds national des aides à la pierre (FNAP) ne saurait constituer une réponse à la hauteur de la crise du neuf qui se prépare. Le rehaussement de 500 millions d’euros de MaPrimeRénov’ pourrait être une bonne nouvelle, mais ce montant reste très insuffisant pour déclencher massivement des opérations de performance globale. D’autant qu’une refonte de la TVA à 5,5 % est annoncée pour 2024. Le projet de budget renvoie MaPrimeAdapt’ à 2024, après avoir suscité de nombreux espoirs depuis le début de l’été. Olivier Salleron, président de la FFB, « regrette que les ambitions en matière d’amélioration de la qualité écologique du parc existant ne trouvent pas de réelle traduction dans le projet de loi de finances pour 2023, laissant l’objectif 2050 hors d’atteinte. De plus, ce projet de budget fait clairement l’impasse sur la crise du logement neuf qui se prépare. La FFB demande donc au gouvernement et aux parlementaires d’être plus ambitieux ! »  
Il y a 2 ans et 225 jours

Gaz à effet de serre : la France ne respecte pas son objectif

Pour l’Observatoire Climat-Énergie, développé par le Réseau Action Climat, la France ne respecte pas son objectif d’émissions nettes pour l’année 2021. Le principal écart vient de la moindre absorption des émissions par les forêts et les sols. Pour les secteurs émetteurs, la baisse des émissions de gaz à effet de serre reste insuffisante. Le secteur de l’industrie doit avancer plus rapidement dans sa transition, et ce malgré la reprise économique. Le secteur des bâtiments connaît un rebond en 2021 mais respecte son budget carbone en étant à 74,9 MtCO2e émises pour un objectif de 76,7 MtCO2e. Le résidentiel et le tertiaire ont tous les deux rattrapés leur niveau pré-pandémie, en étant respectivement à 1,2 MtCO2e en plus par rapport à 2021 pour le résidentiel, et à 1,7 MtCO2e en moins par rapport à 2021 pour le tertiaire. Les autres grands secteurs émetteurs, transports, agriculture, ne respectent que de justesse leur budget carbone alors que 2021 était encore une année marquée par le Covid, ce qui laisse craindre une reprise encore plus forte en 2022. La France a connu un rebond des émissions nettes* en 2021 et dépasse de plus de 20 MtCO2e son budget carbone, avec 404,4 MtCO2e émises pour un objectif de 384 MtCO2e.I l est donc nécessaire d’effectuer des changements structurels ambitieux pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, d’autant que les objectifs européens visent maintenant une réduction de -55 % des émissions nettes d’ici à 2030 par rapport aux -40 % sur les émissions brutes prévus actuellement pour la France.
Il y a 2 ans et 225 jours

Gard : Des villas aux planchers chauffants/rafraîchissants pour KP1 et ThermAK

La solution Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant développée par KP1 et ThermAK a été mise en œuvre dans la réalisation de 66 villas à Laudun-l’Ardoise. [©KP1] Dans le cadre d’un programme social à Laudun-l’Ardoise, le maître d’œuvre Sud Ingénierie et le maître d’ouvrage Sud Invest ont opté pour la solution Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant. Ceci, pour la réalisation de 66 villas. Développé par KP1 et ThermAK (société issue de l’association de KP1 et de Thermacome), ce plancher structurel isolant intègre un système de chauffages réversibles. Et répond aux exigences de la RE 2020. Au-delà du plancher en béton préfabriqué, livré prêt à poser avec l’isolant, le Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant dispose de rupteurs de pont thermique assurant une bonne continuité de l’isolation. Car ce système “4-en-1” se compose d’un kit “chauffage et rafraîchissement” intégré, d’entrevous et de rupteurs. Le plancher structural bénéficie d’une dalle de compression très fine de 56 mm. Sur le chantier, environ 3 personnes étaient en charge de la pose de 15 à 20 planchers de 45 m2 sur 3 à 4 j de travail. « Les tuyaux étant directement intégrés dans la dalle de compression, ce qui évitait aussi de couler la chape flottante. Laquelle est requise pour les planchers chauffants traditionnels et qui peut mettre plusieurs semaines à sécher », explique Grégory Dieudonné, maître d’œuvre du projet. Et de poursuivre : « Au-delà du confort de marcher pieds nus l’hiver et de ne pas souffrir de la chaleur l’été, le bilan économique est très intéressant ». En effet, pour une maison individuelle de 115 m2 de surface habitable, la facture d’électricité atteint une moyenne de 70 €/mois. Avec en hiver une température intérieure de 21 °C et, en été, une consigne de rafraîchissement à 26 °C.
Il y a 2 ans et 225 jours

Le logement brûle et nous regardons ailleurs selon l'AFIL

« Au 2ème trimestre 2022, les ventes de logements neufs aux investisseurs particuliers ont chuté de -9.8% sur 12 mois glissants et ce recul s’accélère, avec -23.6% [1] sur le semestre et -25,9% sur le trimestre. La bombe à retardement du taux d’usure n’avait pas encore été allumée… L’urgence est là ! » alarme Renaud Cormier, Président de l’AFIL.Le contexteDans un contexte politique et économique extrêmement complexe, le marché de l’immobilier neuf français s’enfonce lentement mais sûrement dans une crise profonde et sans doute durable. Elle a débuté dès 2018 avec le retournement des volumes et elle s’est accélérée par la crise du COVID et les élections municipales. Les effets sur les coûts de construction de la guerre en Ukraine et des perturbations des chaînes logistiques notamment asiatiques conduisent aujourd’hui à une inflation forte des prix. L’ensemble de ces éléments, combinés aux incertitudes politiques, à la hausse du coût du crédit et à un taux d’usure gravement handicapant ne peuvent malheureusement laisser espérer une amélioration rapide et naturelle de la situation.Le choc de l’offre attendu n’a pas eu lieu. A fin juin 2022, 387.700 logements [2] ont été mis en chantier en France sur 12 mois, soit un volume équivalent à celui de fin mars 2017. Pire encore, ces faibles niveaux d’autorisations et de mises en chantier ne sont atteints que grâce au soutien de la demande pour des logements individuels, vraisemblablement en réaction aux épisodes de confinement. Les chiffres de production de logements collectifs sont, eux, alarmants : le volume de permis de construire pour des appartements n’a toujours pas retrouvé son niveau de février 2020 (avant le 1er confinement) et les mises en chantier de collectifs stagnent depuis 1 an.« Pourtant, les besoins sont immenses. En 2006, l’Université Paris Dauphine avait estimé les besoins annuels à 500.000 logements par an [3], un chiffre régulièrement cité en référence par la suite. Un chiffre jamais atteint depuis sa publication, » constate Renaud Cormier, Président de l’AFIL.Le logement neuf devient inaccessibleFace à une demande croissante dans les zones tendues et plus récemment dans les villes moyennes, la création insuffisante de nouveaux logements entretient une pénurie qui entraîne elle-même une hausse inéluctable des prix de vente. Cette hausse des prix se répercute essentiellement sur le marché de l’ancien qui représente l’écrasante majorité des transactions [4].En 20 ans, les prix du neuf ont augmenté de 117% et ceux de l’ancien de 137% [5]. Aujourd’hui, le logement représente plus de 26% de la dépense de consommation finale des ménages [6].Pour Renaud Cormier : « Les origines de la hausse des prix du neuf sont nombreuses: augmentation des prix du foncier (trop rare), concentration des acteurs sur les zones les plus tendues [7], inflation des matériaux, de l’énergie, mise en œuvre de nouvelle normes énergétiques, allongement des délais de montage des opérations… Pour l’ancien, la hausse des prix ne se justifie que par un déséquilibre entre l’offre et la demande. » L’augmentation des prix a rendu l’accession à la propriété de plus en plus difficile pour les Français. Si le taux global de propriétaires reste stable à 57%, ceci masque le fait que sont surtout les 30% les plus riches qui voient le taux de propriétaires augmenter (de 70% en 1984 à 84% en 2013), tandis qu’il régresse dans les catégories les plus pauvres [8].Le logement locatif privé et social menacé !A défaut d’être tous propriétaires de leur résidence principale, il est donc essentiel que les ménages disposent d’une offre de logements locatifs dans des conditions de prix, de localisation et de qualité convenables.Le logement social joue ce rôle pour une part de nos concitoyens. Entre 1984 et 2018, la croissance du parc social a atteint +30,3%, soit 992.000 logements nets supplémentaires. « Malgré cette progression, l’offre de logements sociaux demeure insuffisante puisque fin 2020 on recensait 2,157 millions de demandes de logement social, dont 50% en attente depuis plus d’un an [9]. De surcroît, la très faible rotation des locataires dans le secteur social (moins de 5% dans les grandes agglomérations tendues) rend encore plus nécessaire une offre alternative, » alerte Renaud Cormier.La vocation du parc locatif privé est avant tout d’accueillir ceux qui ne remplissent pas les conditions d’accès au logement social et de fluidifier le parcours résidentiel des ménages (étudiants, jeunes actifs, mobilités…) qui ne peuvent ou ne souhaitent pas accéder à la propriété ; il joue aussi un rôle social par défaut. La taille de ce parc, qui représente 7,39 millions de logements, n’a progressé que de +12,8% depuis 1984. En cause : le désengagement massif des investisseurs institutionnels. Ces derniers détenaient 850.000 logements en 1990 ; ils n’en détiennent plus que 200.000 en 2021, soit moins de 3%.Pour Renaud Cormier : « Leur engagement dans le logement résidentiel est aujourd’hui anecdotique et leur regain d’intérêt récent pour ce type d’actif est surtout motivé par une désaffection pour l’immobilier tertiaire et la recherche de nouveaux placements. Ce sont donc les investisseurs particuliers qui assurent, pour l’essentiel, l’existence et la croissance du parc locatif privé : en 20 ans, 1,089 million de logements ont été produits grâce aux dispositifs successifs d’investissement locatif. »Aujourd’hui, ce marché locatif privé est lui aussi menacé. La décorrélation entre l’évolution des loyers et celle du prix des logements a durablement affaibli les rendements locatifs : en 30 ans, le prix réel (i.e. corrigé de l’inflation) des logements anciens a été multiplié par 2 tandis que les loyers réels ont progressé de 30% [10]. Ces rendements vont encore chuter dans le neuf avec l’inflation et la hausse des coûts de construction.« Un éventuel blocage des loyers ou la réduction des dispositifs d’incitation porteraient un coup fatal à l’investissement locatif, dans un marché où le rapport bailleurs-locataires est déjà fortement déséquilibré au profit de ces derniers, » analyse Renaud Cormier.L’urgence est bien là ![1] FPI, Les chiffres du logement neuf, 2ème trimestre 2022. [2] CGDD – Construction de logements – Résultats à fin avril 2022 – N°462 [3] Université Paris-Dauphine : Demande de logement : la réalité du choc sociologique – novembre 2006 [4] En 2021 : 1.200.000 transactions dans l’immobilier ancien contre 116.700 ventes brutes au détail pour les promoteurs immobiliers – CGDD et FPI. [5] Insee, Indice des prix des logements neufs, Indice des prix des logements anciens. [6] Insee, comptes nationaux ; SDES, compte du logement. [7] Actuellement, seuls 6% du territoire national sont éligibles au dispositif Pinel. [8] Insee Références - Être locataire, une situation plus durable dans le secteur social que dans le secteur libre – édition2017 [9] Fondation Abbé Pierre – Etat du mal-logement en France 2022 – rapport annuel #27 [10] Centre d’Analyse Stratégique – Economie-Finances - La note d’analyse – avril 2021
Il y a 2 ans et 225 jours

Vendée : Edycem modernise la centrale BPE de Challans

Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102. La centrale de Challans a été entièrement reconstruite sur l’ancienne. [©Edycem] Edycem modernise une autre de ses centrales BPE. Après celles de Saintes (17), de La Rochelle (17) et de Carbon Blanc (33), c’est au tour du site de Challans (85) de montrer un nouveau visage. D’une surface au sol de 9 980 m2, la centrale a été intégralement reconstruite sur le site de l’ancienne. La modernisation n’a tout de même pas empêché d’assurer la continuité de la production. Sauf pendant la période estivale où le site a fermé ses portes pendant 1,5 mois.  Signée Siera, la nouvelle centrale intègre un sixième silo, augmentant de 20 % la capacité de production du site. Dans le détail, le stockage des pulvérulents est opéré dans 4 silos de 80 t et 2 de 100 t. Cette centrale comprend six trémies couvertes, d’une capacité unitaire de 60 t. De plus, Edycem a doublé la capacité de stockage au sol avec 12 cases d’une contenance de 100 t chacune. Une des cases est d’ailleurs destinée aux granulats recyclés. En effet, l’installation a été pensée pour préserver les ressources naturelles. A l’image de la mise en place de boutons poussoirs pour réduire l’utilisation d’eau de lavage des toupies. Enfin, la centrale se dote d’autres équipements. Un nouveau turbo-malaxeur Liebherr de 2,5 m3 avec double sortie a été installé, afin d’augmenter la rapidité de chargement des camions. Aujourd’hui, le site de Challans couvre la fabrication de la gamme Kalkiss et Lumiliss, des bétons auto-plaçants et auto-nivelants. Et devient le premier à proposer la palette complète des bétons bas carbone Vitaliss qu’Edycem souhaite élever au rang de béton standard.  Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102.
Il y a 2 ans et 225 jours

L’autoconsommation photovoltaïque en réponse à l’augmentation des prix de l’électricité

Un système photovoltaïque en autoconsommation s’installe en quelques semaines en maison individuelle, quelques mois en collectif ou en tertiaire, en deux ans pour l’autoconsommation collective.
Il y a 2 ans et 225 jours

MT Béton : Première participation

MT Béton propose du matériel et des fournitures, ainsi que des services aux acteurs de la préfabrication. [©ACPresse] Créée début 2020, MT Béton annonce sa première participation à un salon professionnel. Cette société multi-cartes officie autour de sept pôles d’activité du secteur de la préfabrication : la partie “Malaxage, automatisme de centrale, recyclage”, puis les planches, les moules, le traitement du bruit et de la poussière, les étuves et le contrôle de la température et de l’humidité, le traitement des produits secs et, enfin, le conditionnement des palettes. Elle assure la représentation sur le territoire national de marques telles qu’Alfacoustic, Awitech, Delonca, OriginSteel (ex-FLP), KBH, Rotho, Saire, Stampi Sud, Thimon et Wasa. Quelques nouveautés sont annoncées, à découvrir sur place. « Nous sommes là pour répondre aux enjeux d’aujourd’hui et de demain par rapport à l’arrivée des solutions bas carbone et biosourcées », indique Muriel Testud, créatrice de MT Béton. Et de conclure : « Ainsi, il y aura sur le stand des représentants des différentes marques ». Batimat – Hall 4 – Stand F36 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 225 jours

Plus d'éolien et de nucléaire : Macron fixe le cap

"Jour heureux, jour glorieux!", a-t-il lancé après avoir découvert depuis un bateau le champ de 80 éoliennes, déployées de 12 à 20 km des côtes, qui va produire de l'électricité pour 700.000 personnes."Mais tout cela arrive dans un temps compliqué et prend encore trop de temps", a-t-il noté en référence à l'envolée des prix énergétiques et aux risques de pénurie induits par la guerre en Ukraine, qui nécessite plus que jamais une "diversifcation".Pour réduire la dépendance aux énergies fossiles, "il faut produire plus d'électricité", "40% de plus d'ici 2050", a-t-il dit. La France va devoir aller "au moins deux fois plus vite" sur les projets d'énergies renouvelables", éolien et solaire en particulier, a souligné le chef de l'Etat.Cette accélération doit passer par une réduction de "trois à six mois" des "délais d'enquêtes publiques et autorisations gouvernementales", a-t-t-il détaillé.Les délais de contentieux doivent aussi être ramenés à deux ans et demi au maximum, contre jusqu'à quatre ans aujourd'hui, a-t-il souligné. "Il faut créer du consensus au départ et essayer de bloquer le recours dilatoire", a-t-il insisté.Aujourd'hui, il faut en moyenne dix ans pour qu'un site offshore entre en service en France, contre cinq en Allemagne, six au Royaume-Uni. Pour l'éolien terrestre, c'est sept ans, deux fois plus qu'en Espagne ou en Allemagne, et le photovoltaïque n'est guère mieux loti.Ces mesures seront inscrites dans le projet de loi sur l'accélération des énergies renouvelables qui sera présenté lundi en Conseil des ministres ainsi que dans des décrets et amendements gouvernementaux. De l'éolien terrestre aussiLe 10 février à Belfort, Emmanuel Macron a fixé comme objectif l'installation d'une cinquantaine de parcs éoliens offshore en France d'ici 2050 pour une capacité de 40 gigawatts.A ce jour, sept parcs ont été attribués à des opérateurs mais la concrétisation des projets est freinée par nombreux recours, et la France accumule du retard par rapport aux pays voisins.Après Saint-Nazaire, la construction a commencé à Saint-Brieuc, objet de frictions avec les pêcheurs, Courseulles-sur-Mer et Fécamp. A Oléron, des recours ont été déposés pour repousser le projet plus au large."On devra faire de l'éolien sur terre", a-t-il également plaidé après avoir annoncé à Belfort un doublement de sa capacité non plus sur 10 mais 30 ans. "L'éolien terrestre est concentré sur très peu de territoires", a-t-il déploré en appelant à "ouvrir le jeu" en la matière.Parmi les pistes de développement du solaire, le chef de l'État a évoqué "la libération du foncier" pour installer plus de panneaux sur les friches, en citant les bords d'autoroutes et de voies ferrées, mais aussi certaines terres agricoles avec l'agrovoltaïsme.Sur le nucléaire, "l'approche sera la même", il faut qu'on "aille beaucoup plus vite" en "simplifiant les choses", a insisté Emmanuel Macron."On n'a pas investi"A Belfort, le chef de l'Etat a aussi annoncé la relance du nucléaire avec la construction de six réacteurs EPR2 à l'horizon 2035. Un audit publié en février évoquait l'horizon 2037 pour les premières mises en service. Comme sur les énergies renouvelables, un texte de loi va permettre d'"adapter les procédures existantes en matière d'urbanisme pour favoriser le développement des premiers sites identifiés" et de lancer "dès maintenant le programme pour ne pas perdre de temps", a-t-il souligné.Emmanuel Macron a aussi promis un meilleur "partage de la valeur" pour les projets renouvelables avec les collectivités et les riverains, ce qui concernera en premier lieu les éoliennes en mer, souvent contestées.Jean-louis Bal, président du Syndicat des énergies renouvelables (SER), a salué un "discours tonique" et le "besoin d'éolien terrestre" de nouveau mis en avant par le chef de l'Etat.Pour Amandine Lebreton, directrice du plaidoyer à la Fondation pour la Nature et l'Homme en revanche, "ce n'est pas vrai de dire que le retard est dû aux blocages locaux ou administratifs". "On n'a pas investi", estime-t-elle.Devant le chef de l'Etat, Jean-Christophe Gavalet, président de France Nature Environnement, a mis en garde contre une concertation trop limitée du public qui serait totalement "contreproductive" selon lui. "On va aboutir à une radicalisation des positions", avec un risque de réactions "plus violentes", a-t-il averti.
Il y a 2 ans et 225 jours

Plus d'éolien et de nucléaire : Macron fixe le cap

"Jour heureux, jour glorieux!", a-t-il lancé après avoir découvert depuis un bateau le champ de 80 éoliennes, déployées de 12 à 20 km des côtes, qui va produire de l'électricité pour 700.000 personnes."Mais tout cela arrive dans un temps compliqué et prend encore trop de temps", a-t-il noté en référence à l'envolée des prix énergétiques et aux risques de pénurie induits par la guerre en Ukraine, qui nécessite plus que jamais une "diversifcation".Pour réduire la dépendance aux énergies fossiles, "il faut produire plus d'électricité", "40% de plus d'ici 2050", a-t-il dit. La France va devoir aller "au moins deux fois plus vite" sur les projets d'énergies renouvelables", éolien et solaire en particulier, a souligné le chef de l'Etat.Cette accélération doit passer par une réduction de "trois à six mois" des "délais d'enquêtes publiques et autorisations gouvernementales", a-t-t-il détaillé.Les délais de contentieux doivent aussi être ramenés à deux ans et demi au maximum, contre jusqu'à quatre ans aujourd'hui, a-t-il souligné. "Il faut créer du consensus au départ et essayer de bloquer le recours dilatoire", a-t-il insisté.Aujourd'hui, il faut en moyenne dix ans pour qu'un site offshore entre en service en France, contre cinq en Allemagne, six au Royaume-Uni. Pour l'éolien terrestre, c'est sept ans, deux fois plus qu'en Espagne ou en Allemagne, et le photovoltaïque n'est guère mieux loti.Ces mesures seront inscrites dans le projet de loi sur l'accélération des énergies renouvelables qui sera présenté lundi en Conseil des ministres ainsi que dans des décrets et amendements gouvernementaux. De l'éolien terrestre aussiLe 10 février à Belfort, Emmanuel Macron a fixé comme objectif l'installation d'une cinquantaine de parcs éoliens offshore en France d'ici 2050 pour une capacité de 40 gigawatts.A ce jour, sept parcs ont été attribués à des opérateurs mais la concrétisation des projets est freinée par nombreux recours, et la France accumule du retard par rapport aux pays voisins.Après Saint-Nazaire, la construction a commencé à Saint-Brieuc, objet de frictions avec les pêcheurs, Courseulles-sur-Mer et Fécamp. A Oléron, des recours ont été déposés pour repousser le projet plus au large."On devra faire de l'éolien sur terre", a-t-il également plaidé après avoir annoncé à Belfort un doublement de sa capacité non plus sur 10 mais 30 ans. "L'éolien terrestre est concentré sur très peu de territoires", a-t-il déploré en appelant à "ouvrir le jeu" en la matière.Parmi les pistes de développement du solaire, le chef de l'État a évoqué "la libération du foncier" pour installer plus de panneaux sur les friches, en citant les bords d'autoroutes et de voies ferrées, mais aussi certaines terres agricoles avec l'agrovoltaïsme.Sur le nucléaire, "l'approche sera la même", il faut qu'on "aille beaucoup plus vite" en "simplifiant les choses", a insisté Emmanuel Macron."On n'a pas investi"A Belfort, le chef de l'Etat a aussi annoncé la relance du nucléaire avec la construction de six réacteurs EPR2 à l'horizon 2035. Un audit publié en février évoquait l'horizon 2037 pour les premières mises en service. Comme sur les énergies renouvelables, un texte de loi va permettre d'"adapter les procédures existantes en matière d'urbanisme pour favoriser le développement des premiers sites identifiés" et de lancer "dès maintenant le programme pour ne pas perdre de temps", a-t-il souligné.Emmanuel Macron a aussi promis un meilleur "partage de la valeur" pour les projets renouvelables avec les collectivités et les riverains, ce qui concernera en premier lieu les éoliennes en mer, souvent contestées.Jean-louis Bal, président du Syndicat des énergies renouvelables (SER), a salué un "discours tonique" et le "besoin d'éolien terrestre" de nouveau mis en avant par le chef de l'Etat.Pour Amandine Lebreton, directrice du plaidoyer à la Fondation pour la Nature et l'Homme en revanche, "ce n'est pas vrai de dire que le retard est dû aux blocages locaux ou administratifs". "On n'a pas investi", estime-t-elle.Devant le chef de l'Etat, Jean-Christophe Gavalet, président de France Nature Environnement, a mis en garde contre une concertation trop limitée du public qui serait totalement "contreproductive" selon lui. "On va aboutir à une radicalisation des positions", avec un risque de réactions "plus violentes", a-t-il averti.
Il y a 2 ans et 225 jours

La centrale nucléaire qui devint un parc d’attractions

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine Cette centrale nucléaire a été transformée en parc d’attraction ouvert au public. Une première mondiale ! [©Wunderland Kalkar] Réhabiliter une centrale nucléaire, jamais mise en service, pour en faire… un parc d’attractions. Il fallait y penser ! Construit sur un ancien site nucléaire, le Wunderland Kalkar est un parc d’attractions atypique. « C’est un emplacement unique, au bord du Rhin. Et c’est le seul parc d’attractions au monde installé sur une ancienne centrale nucléaire », insiste Han Groot Obbink, directeur général du parc. Situé en Allemagne, en Basse-Rhénanie, à la frontière néerlandaise, ce site de 80 ha est sans danger pour les nombreux visiteurs qui profitent, chaque jour, de plus de 40 attractions.  « Nous avons beaucoup communiqué à ce sujet, pour ne pas effrayer la population. » L’imposante tour de refroidissement de 42,30 m de haut est recouverte d’une fresque de paysage alpestre. Sa paroi en béton sert de mur d’escalade. Les bâtiments des turbines et du réacteur contiennent des chambres d’hôtel, des restaurants et des bars. Le tout dans des décors évoquant l’Egypte antique ou l’Ouest américain.  Une centrale mort-née… Dans les années 1970, l’Allemagne (à hauteur du capital de 68,5 %), la Belgique (14,75 %), les Pays-Bas (14,75 %) et le Royaume-Uni (2 %) décident de bâtir dans la ville de Kalkar une centrale nucléaire d’un genre nouveau, un “surgénérateur”. Ce dernier, ou SNR-300 (Schneller Natriumgekühlter Reaktor), est un réacteur nucléaire à neutrons rapides et à caloporteur sodium. C’est à Interatom, alors filiale de Siemens, qu’est confiée la construction du nouveau réacteur, qui commence fin 1973. Il aura fallu quelque 250 000 m3 de béton et 58 000 t d’acier pour la réalisation du site. Mais le projet soulève de nombreuses craintes. Ces protestations constituent un fait marquant dans l’histoire du mouvement anti-nucléaire en Allemagne. Et contribuent à la naissance du parti Alliance 90 / Les Verts. En effet, de dizaines de milliers de personnes se mobilisent alors contre ce projet dès 1974.  … Qui renaît en parc d’attractions Les considérations de sécurité autour de la nouvelle technologie que représente le refroidissement au sodium et les nécessaires modifications du projet accroissent les coûts d’environ 3,7 Md€. Des exigences de sécurité constamment modifiées, des procès en série, les catastrophes nucléaires de Three Mile Island, aux Etats-Unis et de Tchernobyl en URSS. Ou encore le contre-choc pétrolier de 1986… entérinent la mort du surgénérateur. Le projet est définitivement abandonné en 1991, après avoir englouti quelque 7 MdDM (environ 3,5 Md€) et mettant au chômage de centaines de personnes. Un entrepreneur néerlandais, Hennie van der Most, spécialiste de la reconversion de friches industrielles, rachète quatre ans plus tard le site et ses environs, pour quelque 2,5 MDM (1 M€). Aujourd’hui, Wunderland Kalkar accueille 500 000 à 600 000 visiteurs par an et emploie 440 personnes en haute saison (120 permanents).  Wunderland Kalkar Griether Strasse 110-120 47546 Kalkar +49 2824 9100  info@wunderlandkalkar.eu M. C. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 226 jours

A Bauma, rien que du nouveau

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine. Quelque 3 000 exposants sont présents sur l’édition 2022 de Bauma. [©ACPresse] Décalée de six mois par rapport à la date initiale, Bauma se tient finalement à l’automne. Toujours à Munich, du 24 au 30 octobre. Quelque 500 000 visiteurs sont attendus et plus de 3 000 exposants ont réservé un emplacement. Certains d’entre eux ont choisi de révéler leurs nouveautés avant l’heure. En voici un bref aperçu. Mais c’est bien sur place que chacun pourra se faire une véritable idée des tendances du marché de la construction et de la production du béton. Dossier préparé par Frédéric Gluzicki Cifa : Deux stands, sinon rienDoka : L’échafaudage en ligne de mire Elematic : L’automatisation comme invitée vedette Faymonville : La remorque “spécial préfa”Husqvarna : Scier et ligaturer Hydronix : Mieux contrôler les sondes Liebherr : Betomix/Mobilmix revisitée Paschal : Extensions et améliorations Peri : Des innovations au programme Putzmeister : L’offensive électrique, mais pas que… SBM : La centrale économique Schwing Stetter : La relève de la gardeSipe : Un self-service en bétonTheam : T’as vu mon tapis ?Wayzz : De l’appli à la suite logicielleWirtgen : Pour une belle route en béton Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 226 jours

Diasen : Mortier renforcé de liège

Le Diathonite Thermostep.047 de Diasen est renforcé de fibres et de liège. [©Diasen] Lauréat du Grand Jury catégorie “Préserver l’environnement” des Awards de l’Innovation du Mondial du Bâtiment, Diasen présente le Diathonite Thermostep.047, mortier écologique renforcé de fibres et de liège (granulométrie de 0-3 mm). Tout en intégrant de l’argile, de la poudre diatomée et un liant hydraulique. Produit naturel, il est conçu pour la réalisation de chapes thermiques légères prêtes à l’emploi, idéales pour l’isolation des combles, des sols et des toitures ventilées. Diathonite Thermostep.047 peut être utilisé à l’intérieur comme à l’extérieur, dans le cas de rénovations ou de constructions neuves. Et permet d’isoler thermiquement les sols et structures existants. Sans alourdir la structure. La solution de Diasen est très perspirante, permettant d’isoler du froid et de la chaleur. Sa réaction au feu est classée Euroclasse A1. Sa résistance est renforcée par la présence de fibres dans la formulation. Il permet aussi de noyer les installations électriques et de plomberie. Marqué CE (EN 13813), le Diathonite Thermostep.047 peut être carrelé directement, après imperméabilisation avec un produit adapté (conforme à l’EN 14891). Batimat- Hall 1 – Stand K100 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 226 jours

Palazzetti poêle Ecofire Vivienne

Un design élégant et une technologie sans égale grâce à la nouvelle plateforme T3  Rendement, économies d’énergie et confort tout en respectant l’environnement, telles sont quelques-unes des caractéristiques distinguant la gamme des poêles à granulés Ecofire® qui ont maintenant un nouvel « ambassadeur » : Palazzetti Vivienne. Se distinguant par un design parfaitement rond, Vivienne est un poêle étanche […]
Il y a 2 ans et 226 jours

"Un safari de sons" : le philharmonique de New York a un nouvel écrin

A deux semaines du lancement, c'est l'heure des derniers ajustements pour les musiciens et leurs instruments. Mais aussi pour les spécialistes de l'acoustique qui apportent les dernières retouches aux murs et aux plafonds du David Geffen Hall."C'est un peu comme si vous partiez pour un safari de sons. Il s'agit vraiment de réinventer le son de l'orchestre", explique à l'AFP Jaap van Zweden, chef d'orchestre et directeur musical du "Phil".Selon lui, la conception datée du David Geffen Hall, ouvert depuis 1962 au sein du Lincoln Center, ne contribuait guère à une bonne acoustique. Désormais, les musiciens vont "retrouver beaucoup de sons et de beauté" mais "cette lune de miel entre eux et la salle a besoin de temps", prévient-il.Né en 1995, le projet pharaonique à 550 millions de dollars a longtemps traîné. Paradoxalement, la pandémie, en contraignant la salle à fermer au public, a accéléré les choses.Bois de hêtrePlus de 600 ouvriers et techniciens travaillaient en permanence sur le chantier.La rénovation réduit la capacité de 2.738 à 2.200 places, mais la visibilité sera améliorée et certains spectateurs seront placés derrière l'orchestre, dont la scène a été légèrement avancée pour renforcer l'effet surround.Les murs ont été revêtus de bois de hêtre pour soutenir les basses fréquences de la salle, explique l'acousticien en chef Paul Scarbrough. Autre nouveauté: une verrière acoustique modulable."Nous avons pu régler à la fois avec précision la quantité d'énergie renvoyée aux musiciens sur la scène (...) et la quantité dirigée vers le public", ajoute Paul Scarbrough.L'acoustique a été testée et ajustée avec différentes œuvres musicales, pour mieux faire ressortir les "différentes couleurs, textures, timbres et couches d'instruments", explique-t-il aussi.Une expérience "incroyable" pour la violoniste Yulia Ziskel, 22 saisons au compteur, qui raconte qu'avec certains changements, "le son devenait soudainement différent".Le réglage de la salle depuis août marque un retour au bercail pour le philharmonique, plus vieille institution musicale américaine, il a été créé en 1842, qui a dû se produire dans d'autres espaces du Lincoln Center depuis mars 2020."J'ai hâte de voir ce que le public verra", confie le trompettiste Ethan Bensdorf, à l'aube de sa quinzième saison. "C'est pour ça qu'on est musiciens (...) c'est pour ça que la musique vivante est si magique", ajoute-t-il.Le tout premier rendez-vous est fixé au 8 octobre, avec "San Juan Hill: une histoire de New York", un spectacle composé par le trompettiste Etienne Charles sur la vie des communautés afro-américaine, caribéenne et portoricaine vivant dans le quartier de l'Upper West Side avant l'opération de rénovation urbaine massive qui vit naître le Lincoln Center, l'un des centres artistiques de Manhattan, où se produisent aussi le Metropolitan Opera et le New York City Ballet.La saison officielle démarre le 12 octobre avec la première mondiale d'"Oya", du Brésilien Marcos Balter.
Il y a 2 ans et 226 jours

Le Niger veut porter son taux d'électrification de 17% à 80% d'ici à 2035

D'un coût de 317,5 millions de dollars, ce projet dénommé "Haské" (lumière en langue locale haoussa) ambitionne "d'accélérer l'accès" à l'électricité pour les ménages urbains et ruraux, les établissements de santé, d'éducation, les entreprises, a souligné le ministre Ibrahim Yacoubou, lors de la cérémonie de lancement.Le projet "Haské" vise également à assurer l'expansion de l'énergie solaire photovoltaïque dans cet immense Etat sahélien de plus de 22 millions d'habitants.Actuellement, au Niger, le bois fournit "près de 80%" de l'énergie des ménages qui l'utilisent pour s'éclairer et cuisiner, alors que le pays, aux deux tiers désertiques, est frappé par les "effets néfastes des changements climatiques", a relevé le ministre.Pour s'affranchir de sa forte dépendance (70%) énergétique au Nigeria voisin, le Niger s'active aussi à achever d'ici à 2025 son premier barrage, sur le fleuve Niger.A quelque 180 km en amont de Niamey, l'édifice de Kandadji doit générer annuellement 629 gigawattheure (Gwh).La Banque mondiale, la Banque africaine de développement (BAD), la Banque islamique de développement (BID) et l'Agence française de développement (AFD) financent Kandadji, dont le coût est estimé à 740 milliards de francs CFA (1,1 milliard d'euros).Par ailleurs, l'Union européenne et l'AFD vont cofinancer pour la construction d'une autre centrale électrique hybride (thermique-photovoltaïque) d'un coût de 32 millions d'euros à Agadez, la grande ville du nord du Niger régulièrement plongée dans le noir.Cette centrale, d'une capacité de production de 21 mégawatts, devra satisfaire en électricité la ville d'Agadez et ses 150.000 habitants, selon l'UE.Sa construction permettra à Agadez, classée au patrimoine mondial de l'Unesco, de revivre un essor économique et social, après le déclin du tourisme dû aux attaques jihadistes dans le Sahel, selon les autorités locales.
Il y a 2 ans et 226 jours

Béton Mousse Technologie : Une mousse minérale dans les starting-blocks

Béton Mousse Technologie présente sa nouvelle Mousse Minérale. [©Béton Mousse Technologie] Matériau de remplissage léger, fluide et isolant, le béton mousse Aerolithys sera au centre du stand de Béton Mousse Technologie (BMT). Aujourd’hui, deux usages principaux sont à distinguer concernant ce produit. D’une part, comme ravoirage léger en bâtiment. D’autre part, comme remblai technique en génie civil. Et c’est pour cette dernière application que BMT vient de développer une centrale mobile de malaxage d’une capacité de production in situ de près de 100 m3/h… Mais c’est une autre innovation qu’il sera intéressant de découvrir. A savoir, la toute nouvelle Mousse Minérale, dont le développement vient de s’achever. « Les premiers chantiers tests ont eu lieu en septembre dernier, pour un lancement du produit début 2023 », indique Jacky Fronteau, président de BMT. Cette mousse cimentaire – dont le nom définitif n’a pas encore été calé – a été développée et formulée par Aerolithys. En plus d’un agent moussant de dernière génération, elle incorpore des liants de spécialités, dont la sélection a pu se faire grâce à l’étroite collaboration, sur le marché français, avec Imerys. Fabriquée in situ, selon un process de production très précis et maîtrisé, cette nouvelle mousse minérale est de type bas carbone, sans retrait et offre différentes durées de prise. Outre le ravoirage, le remplissage de structures préfabriquées en bois constituera un des principaux usages de ce matériau sous Avis technique de système. Batimat – Hall 1 – Stand P129 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 227 jours

Nicolas Esquillan : Grand ingénieur du béton

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine Après avoir remporté le concours du Cnit, devant Nervi et Freyssinet, il réalise, en 1955, la voûte du palais qui détient toujours le record mondial de portée, de même que celui de la plus grande surface supportée point par appui. [©ACPresse] A la différence de ses aînés qui font leur carrière comme ingénieur-conseil et donc sous leur propre nom, Nicolas Esquillan (1902-1989) a fait toute la sienne aux Entreprises Boussiron. Il reste donc méconnu, les ouvrages qu’il a conçus étant signés… Boussiron. A cela s’ajoute une réserve naturelle. « Sa bienveillance et même sa chaleur se lisaient plutôt dans l’attention qu’il portait à son interlocuteur que dans des démonstrations qui n’étaient pas dans sa nature », résume Bernard Marrey, auteur de “Nicolas Esquillan, un ingénieur d’entreprise”. Le Cnit à Paris La Défense est son œuvre la plus célèbre, même si l’on oublie souvent de lui en reconnaître la paternité, voire même de le citer ! Les Entreprises Boussiron Nicolas Esquillan entre aux Arts-et-Métiers, à Châlons-sur-Marne, en 1919. Et en sort 4e de sa promotion avec une médaille d’argent. Il restera proche du milieu Gadzarts1, dans sa vie professionnelle et dans sa vie privée. Après son service militaire qu’il termine comme sous-lieutenant artilleur, il est indécis sur son orientation. Après son service militaire, le hasard lui fait rencontrer un Gadzarts1, ami de Simon Boussiron. Lequel a orienté sa société vers le béton armé. La rencontre entre les deux hommes est concluante et il rejoint la société en 1923. A la différence de ses aînés qui font leur carrière comme ingénieur-conseil et donc sous leur propre nom, Nicolas Esquillan a fait toute la sienne aux Entreprises Boussiron. [©DR] Il devait y consacrer sa vie. Il a alors 21 ans, Simon Boussiron en a 50. « En bon chef d’entreprise, ce dernier avait peut-être flairé les qualités de son futur chef d’études. » La publication en 1899 par Simon Boussiron de formules servant à calculer la résistance du béton armé est donc d’autant plus importante que les travaux théoriques étaient encore rares. Mis à part Matthias Koenen et Gustav Adolf Wayss qui, à partir du brevet de Joseph Monier, avaient publié des notes de calcul en 1886, en Allemagne, il n’y avait que Napoléon de Tesdesco qui, en France, avait publié avec Edmond Coignet en 1894 : “Du calcul des ouvrages en ciment avec ossature métallique”. Dans les années 1930, le jeune Esquillan se voit confier des responsabilités plus grandes au bureau d’études. Simon Boussiron reçoit alors la commande d’un nouveau pont à construire sur la Seine à La Roche-Guyon (95). A 31 ans, Nicolas Esquillan a la responsabilité d’un ouvrage entier. « Pour le jeune ingénieur, c’est un coup de maître. » Avec une longueur totale de 202 m et une portée de 161 m entre les naissances des arcs, il ravit au pont Saint-Pierre-du-Vauvray (27) le record mondial des ponts en béton armé à tablier suspendu détenu par Eugène Freyssinet. Les années 1930 Dans les années 1930, le jeune Esquillan reçoit chez Boussiron la commande d’un nouveau pont à construire sur la Seine à La Roche-Guyon (95). [©Carte postale vers 1864] En ces années où la circulation routière s’intensifie, les ponts suspendus datant des années 1830 et 1840 ne sont plus capables de répondre aux besoins du trafic. En 1935, c’est le département du Lot-et-Garonne qui met au concours la reconstruction du pont de Clairac sur le Lot pour remplacer le pont suspendu de 1833. S’en suivent le pont de Saint-Sylvestre (07) et celui de La Coudette (49). Avec cette réalisation, Nicolas Esquillan remporte le record mondial des ponts-routes en bow-string en béton armé. En 1936, il est nommé chef d’études des ouvrages d’art des Entreprises Boussiron. Il en devient le directeur technique en 1941 et le restera jusqu’en 1971, année du rachat de la société Boussiron. De 1936 à 1941, il conçoit et construit une halle de marché pour Fontainebleau, sa ville natale (ouvrage démoli en 2013). Caractérisée par la minceur de sa voûte et de ses piliers en béton, ou encore par l’élégance de ses formes et de ses pavés de verre Saint-Gobain, elle est considérée par l’historien Alexandre Gady, comme un « exploit technique » et un « chef-d’œuvre méconnu » d’Esquillan. La reconstruction A la fin de la guerre, il faut rebâtir. A côté d’ouvrages entièrement détruits, il y en a de nombreux autres, plus ou moins touchés, pour lesquels une remise en état est possible. « C’était un travail ingrat, souvent obscur, qui demandait de l’ingéniosité, d’autant plus que les matériaux manquaient, l’argent aussi, et qu’il fallait aller vite. » C’est ainsi qu’en 1950, Nicolas Esquillan achève la reconstruction du pont-route de Conflans-Fin d’Oise, puis le viaduc de chemin de fer de la Méditerranée sur le Rhône. Avec 124 m de portée, ce dernier remporte le record mondial des ponts-rails en béton armé à doubles voies suspendues. Puis, il construit, en 1951, le hangar à deux nefs de l’aéroport de Marignane. Et de 1952 à 1955, il entreprend le premier grand pont-rail français en béton précontraint à La Voulte-sur-Rhône. Qui, avec ses 300 m, est alors le plus long pont du monde sous voie ferrée normale en béton précontraint. Il gagne en 1954, notamment devant Riccardo Morandi (celui du pont de Gênes…), le concours du pont d’Abidjan. De 1936 à 1941, il conçoit et construit une halle de marché pour Fontainebleau, sa ville natale (ouvrage démoli en 2013). [©Daniel Villafruela] Après avoir remporté le concours du Cnit en partenariat avec Bernard Zehrfuss et Marcel Breuer, devant Nervi et Freyssinet, il réalise, en 1955, la voûte du palais qui détient toujours le record mondial de portée, de même que celui de la plus grande surface supportée point par appui. En 1957, il réalise les pylônes du pont de Tancarville, qui remportent le record mondial de hauteur des piles de pont suspendu en béton armé. Il officie en 1961 en tant qu’ingénieur-conseil du Palais des expositions de Turin et réalise le deuxième pont d’Abidjan en 1967, ainsi que le château d’eau de La Duchère. Pour les Jeux olympiques d’hiver à Grenoble, il construit en 1968 le Stade olympique de glace, considéré comme sa dernière grande œuvre. « Dans ma conception des ouvrages, ma première recherche, essentielle, a toujours été de déterminer les points d’appui les plus judicieux, soit verticaux, soit horizontaux, et d’organiser la structure pour y conduire les forces le plus rationnellement possible, et en tous cas le plus économiquement. […] L’art de dresser un projet ne consiste pas tant à résoudre un système d’équations par le calcul, que de bien les poser après avoir imaginé toutes les hypothèses plausibles. Si une culture mathématique sérieuse est utile et nécessaire pour formuler les résultats de l’expérience, il ne faut jamais oublier que l’on n’a aucune chance de retrouver à la fin d’un calcul ce que l’on aura oublié d’introduire initialement. En d’autres termes, si le projeteur a omis un effort ou une déformation en un point donné d’une structure, le calcul ne les lui fera pas retrouver », explique Nicolas Esquillan lors d’une conférence sur l’art de construire prononcée lors de sa réception comme docteur honoris causa à l’université de Stuttgart en 1965. 1Diplômé des Arts et Métiers. M. C. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 227 jours

Edilteco – CarbonCure : Maintenant en France

CarbonCure permet l’injection de CO2 dans le béton frais. [©Edilteco] Edilteco devient le distributeur exclusif en France, en Italie et au Benelux de la start-up canadienne CarbonCure. L’industriel s’occupe ainsi de la mise en relation, mais aussi de l’installation, de la maintenance et du SAV des “box”. Dans le détail, la technologie demande la mise en place d’une cuve de CO2, qui sera alimentée en gaz par un fournisseur local. Cette cuve est reliée au malaxeur de la centrale à béton. Quant aux “box”, elles sont installées au niveau du poste de commande et sur la cuve à CO2. Ces concentrés de technologie permettent à la start-up, d’une part, de récupérer les datas dans ses serveurs, de vérifier et de prévenir les centraliers en cas de problème 24 h/24. Et, d’autre part, pour la centrale, de doser le CO2 injecté dans le malaxeur en fonction de la formulation de béton établie. A l’intérieur du malaxeur, le carbone à l’état liquide se transforme en neige et forme du carbonate de calcium une fois mélangé avec les composants classiques du béton. Avec ce procédé, le béton devient un exutoire pour le CO2. A l’heure actuelle, deux unités de ce type sont déjà en service sur le territoire français et une 3e devrait être installée prochainement… Par ailleurs, Edilteco profite du rendez-vous de la porte de Versailles pour mettre en avant sa nouvelle gamme “Green”. Elaboré à partir de polystyrène recyclé, Politerm R est en le premier produit natif. Dans le respect de la démarche d’économie circulaire, les chutes de PSE issues de blocs et panneaux sont récupérées, broyées, recalibrées et ensachées pour un produit final 100 % recyclé. Hall 1 – Stand N66
Il y a 2 ans et 228 jours

Lyon coupe la lumière pour la nuit de l'équinoxe

Côté français, plus de 30.000 points lumineux seront éteints et plus de 1.000 armoires d'éclairage coupées dans une trentaine de communes, selon le communiqué des organisateurs de l'opération "La nuit est belle".La plupart des bâtiments et des sites de la métropole seront éteints à partir de 21H vendredi à 6H du matin samedi tout comme 370 sites patrimoniaux de la ville de Lyon, selon un communiqué de Lyon Métropole.L'éclairage des rues sera maintenu et les habitants sont invités à éteindre les lumières chez eux. Les communes associées proposent des animations type découverte de la faune nocturne ou repas aux chandelles.L'événement a été lancé en septembre 2019 dans le Grand Genève à l'initiative de la Société Astronomique et du Muséum d'histoire naturelle de Genève. Objectif: sensibiliser le public aux effets de l'éclairage nocturne sur la santé humaine, sur les rythmes biologiques de la faune et de la flore mais aussi sur la surconsommation d'énergie.Depuis leur élection en 2020, les écologistes de la métropole et de la ville de Lyon travaillent sur un plan de réduction de l'éclairage urbain.Une enquête publique sur le règlement local de publicité (RLP), visant notamment à restreindre les affichages lumineux dans les 59 communes de la métropole, a été lancée lundi pour un mois. En discussion depuis décembre 2021, ce règlement qui vise à "limiter la pollution visuelle et nocturne" et "développer la sobriété énergétique des dispositifs lumineux", doit être adopté début 2023.L'éclairage public représente 18% de la consommation d'énergie des communes, soit 37% de leur facture d'électricité, selon des chiffres de l'Agence française de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (Ademe) cités par les organisateurs de "La nuit est belle".Adapter les installations pourrait permettre environ 40% d'économie sur les dépenses d'éclairage public, selon la même source.
Il y a 2 ans et 228 jours

ITE vertueuse

Sous Avis Technique, StoTherm AimS® est le premier système complet constitué de plusieurs couches optimisées en matière de durabilité. En remplaçant 30 % du liant hydrocarboné de ses produits par de l’huile de pin, STO, économise des hydrocarbures. L’enduit de base, l’enduit de finition, et même la peinture d’entretien du système, avec sa technologie Lotus-Effect®, sont fabriqués à partir de matières premières renouvelables et largement disponibles. L’isolant, quant à lui, est le Sto-Panneau en laine de roche, fabriqué à partir de la roche (basalte), une matière première disponible en abondance. Pour chaque projet, cela se traduit par l’économie de nombreux litres d’hydrocarbures (exemple : 216 litres d’hydrocarbures économisés sur un immeuble collectif avec environ 1 000 m2 de surface de façade). Sans faire de concession, les propriétés de mise en oeuvre éprouvées et le rendu esthétique, qui sont la marque de fabrique des systèmes ITE StoTherm, restent inchangés. Tout comme leurs excellentes propriétés de protection contre les intempéries, les micro-organismes, les fissures et les sollicitations mécaniques.
Il y a 2 ans et 228 jours

ITE vertueuse

Sous Avis Technique, StoTherm AimS® est le premier système complet constitué de plusieurs couches optimisées en matière de durabilité. En remplaçant 30 % du liant hydrocarboné de ses produits par de l’huile de pin, STO, économise des hydrocarbures. L’enduit de base, l’enduit de finition, et même la peinture d’entretien du système, avec sa technologie Lotus-Effect®, sont fabriqués à partir de matières premières renouvelables et largement disponibles. L’isolant, quant à lui, est le Sto-Panneau en laine de roche, fabriqué à partir de la roche (basalte), une matière première disponible en abondance. Pour chaque projet, cela se traduit par l’économie de nombreux litres d’hydrocarbures (exemple : 216 litres d’hydrocarbures économisés sur un immeuble collectif avec environ 1 000 m2 de surface de façade). Sans faire de concession, les propriétés de mise en oeuvre éprouvées et le rendu esthétique, qui sont la marque de fabrique des systèmes ITE StoTherm, restent inchangés. Tout comme leurs excellentes propriétés de protection contre les intempéries, les micro-organismes, les fissures et les sollicitations mécaniques.
Il y a 2 ans et 228 jours

Le quartier de la Défense veut économiser 15% d'énergie cet hiver

"En visant une baisse de 15% de la consommation électrique du quartier, nous fixons un objectif ambitieux, mais atteignable", affirme dans un communiqué Georges Siffredi, président de l'établissement public local Paris La Défense.Les entreprises du quartier d'affaires sont invitées à éteindre les bureaux et lumières la nuit, baisser de un degré ou deux le chauffage et optimiser la gestion technique de leurs bâtiments.Il leur est également proposé de diminuer leur consommation aux heures de tension indiquées par le gestionnaire du réseau RTE, en décalant ou limitant le chauffage ou en évitant la recharge des véhicules électriques à ces heures.La France et l'Europe se préparent à des tensions entre l'offre et la demande d'énergie cet hiver, alors que la Russie a drastiquement réduit ses livraisons de gaz après l'invasion de l'Ukraine.
Il y a 2 ans et 228 jours

Le Gouvernement pousse encore la production de biométhane avec deux nouvelles mesures

RENOUVELABLES. Au lendemain de la prise de parole présidentielle sur le projet de loi d'accélération des énergies renouvelables, le ministère de la Transition énergétique annonce prendre deux nouvelles mesures d'ordre réglementaire pour faire passer la production de biométhane à la vitesse supérieure.
Il y a 2 ans et 228 jours

Le Gouvernement pousse encore la production de biométhane avec deux nouvelles mesures

RENOUVELABLES. Au lendemain de la prise de parole présidentielle sur le projet de loi d'accélération des énergies renouvelables, le ministère de la Transition énergétique annonce prendre deux nouvelles mesures d'ordre réglementaire pour faire passer la production de biométhane à la vitesse supérieure.
Il y a 2 ans et 228 jours

Les actions concrètes de Paris La Défense pour baisser la facture d'électricité

CRISE ÉNERGÉTIQUE. Les acteurs économiques du quartier d'affaires parisien ont communément opté pour l'adoption de plusieurs gestes en faveur d'une réduction des consommations d'énergie. Pour le président de Paris La Défense, Georges Siffredi, "l'énergie abondante et peu chère est derrière nous".
Il y a 2 ans et 228 jours

Les actions concrètes de Paris La Défense pour baisser la facture d'électricité

CRISE ÉNERGÉTIQUE. Les acteurs économiques du quartier d'affaires parisien ont communément opté pour l'adoption de plusieurs gestes en faveur d'une réduction des consommations d'énergie. Pour le président de Paris La Défense, Georges Siffredi, "l'énergie abondante et peu chère est derrière nous".
Il y a 2 ans et 228 jours

Aux Assises du BTP, des annonces du gouvernement insuffisantes pour répondre à l’inquiétude du secteur

Face à l’augmentation des prix des matériaux, aux difficultés d’approvisionnement des entreprises et à la volonté d’accompagner le secteur dans sa transition écologique, Bruno Le Maire a annoncé en juillet dernier le lancement des Assises du bâtiment et des travaux publics (BTP), espace de concertation et d’élaboration de mesures concrètes, portées par le secteur et pouvant être rapidement mises en œuvre.Le premier objectif de ces Assises est de répondre dans les meilleurs délais aux besoins du secteur du BTP afin de surmonter les défis liés à l’inflation. Le deuxième objectif de ces Assises est de répondre aux attentes structurelles du secteur en matière de simplification et de transition écologique, mais aussi de formation et de numérique. Le troisième objectif, enfin, est d’initier un changement de méthode de dialogue entre l’Etat et le secteur. Les acteurs du secteur ont formulé leurs recommandations, qui ont ensuite été étudiées par l’Etat dans le cadre de groupes de travail associant l’ensemble des parties prenantes.Plus de 200 représentants du secteur ont été entendus lors de ces échanges qui se sont structurés en 6 sessions de travail. Plus de quinze fédérations représentant la production et la distribution de matériaux, la construction et la maîtrise d’œuvre ont participé. Plus d’une centaine de mesures portant sur l’équilibre économique des opérations, la simplification et la transition écologique ont fait l’objet d’un échange. Les collectivités territoriales ont également été associées à la validation des 13 premières mesures présentées.Le Gouvernement a donc présenté le jeudi 22 septembre les mesures qui pourront entrer en vigueur sans délai. Ces mesures sont issues des demandes du secteur, elles préservent l’équilibre des finances publiques tout en respectant les dates d’entrée en vigueur des textes en matière de transition écologique (zones à faible émission, responsabilité élargie du producteur notamment). Les autres mesures continuent d’être expertisées et pourront faire l’objet de nouvelles annonces d’ici la fin de l’année 2022.Les 13 mesures :Des mesures pour améliorer la trésorerie des entreprises1. Le relèvement des seuils planchers des avances dans tous les marchés publics, afin d’abonder la trésorerie des fournisseurs de l’Etat et notamment des acteurs du BTP. Ces seuils passeront de 20% à 30% pour l’ensemble des marchés publics passés avec des PME dans les plus brefs délais.2. L’amélioration de l’échelonnement du remboursement de ces avances par une réécriture des textes pour modifier la situation actuelle qui conduit les donneurs d’ordre à exiger trop rapidement le remboursement intégral.3. Un guide de bonnes pratiques en matière de pénalités de retard payées par les acteurs du BTP afin d’éviter que les situations de pénurie actuelles ne leur soient injustement reprochées.Des mesures pour améliorer la prévisibilité des prix sur les marchés publics et privés4. Le gouvernement a saisi le Conseil d’Etat, qui vient d’indiquer qu’il était possible de réviser les prix dans les marchés publics en cours, pour prendre en compte les surcoûts engendrés par les circonstances exceptionnelles. Une circulaire va préciser dans les tous prochains jours les démarches à entreprendre en la matière, et une fiche pratique est déjà mise en ligne sur le site du ministère.5. Une mission va être confiée au Médiateur des entreprises pour améliorer la prévisibilité des prix des matières premières.Des mesures pour simplifier les marchés publics 6. La pérennisation à 100.000 € du seuil de gré à gré qui exempte les marchés publics de travaux d’appels d’offres et qui a été élevé exceptionnellement durant la crise sanitaire. 7. L’abaissement de 6 à 4 mois du délai inscrit dans le cahier des clauses administratives générales des marchés publics, entre la notification d’un marché et l’ordre de service de démarrage effectif des travaux, afin d’éviter une inflation des coûts durant cette période. 8. Un ciblage et une meilleure articulation des contrôles sur les chantiers pour lutter contre le travail illégal.Des mesures pour simplifier et améliorer la mise en œuvre des obligations règlementaires et écologiques qui pèsent sur les entreprises 9. La publicité obligatoire et rapide du montant d’éco contributions payées pour les entreprises dans le cadre de la filière « Responsabilité élargie du Producteur » (REP). 10. La mise en place d’une période de tolérance de 4 mois pour la mise en conformité des entreprises à la Responsabilité élargie du Producteur (sensibilisation pédagogique plutôt que sanction). 11. La prolongation de l’expérimentation chantier par chantier du label « Responsable Garant de l’environnement » (RGE) au-delà du 31 décembre 2022.Des mesures pour accélérer la transition écologique dans ce secteur 12. Le renforcement de l’offre globale de rénovation performante par un appel d’offres spécifique France 203013. Le lancement d’une concertation sur la mise en place d’un carbone-score des matériauxLa FFB salue un travail rapideLa FFB que la possibilité d’obtenir des compensations pour « surcoûts anormaux » constitue une importante avancée. Elle permettra de trouver des solutions sécurisées juridiquement. De même, la pérennisation du plafond à 100.000 € pour signer des marchés de gré à gré va dans le bon sens pour l'organisation professionnelle, tout comme la majoration à 30 % des avances forfaitaires sur les marchés d’État.Quelques premières mesures concernent les marchés privés, comme le renforcement annoncé des contrôles, y compris chez les particuliers, ou l’ensemble des marchés, comme la poursuite des travaux pour créer un outil permettant de mieux comprendre l’évolution des prix des matériaux et de mieux anticiper leur évolution.Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « cette rapide mobilisation en faveur des artisans et entrepreneurs de bâtiment doit s’amplifier, notamment sur les mesures relatives aux marchés privés. L’annonce par Bruno Le Maire que les Assises du BTP se poursuivent constitue donc une bonne nouvelle. Depuis l’origine, la FFB souhaite que cette approche par co-construction filière-gouvernement s’inscrive dans le temps, de façon à passer du traitement des problèmes immédiats à l’élaboration d’une stratégie de moyen-long terme pour le secteur de la construction. La transition écologique et la transformation numérique en cours imposent cela. »Pour la CAPEB, « un premier pas encourageant mais encore insuffisant pour répondre à l'inquiétude des entreprises artisanales du bâtiment »Avec ses 26 mesures et solutions concrètes, la CAPEB s’est montrée force de propositions et s’est pleinement impliquée dans tous les groupes de travail pour qu’il ressorte de ces Assises des mesures ambitieuses et engageantes. C’est en effet à cette seule condition que les entreprises artisanales du bâtiment, fortement éprouvées par le contexte actuel lié aux difficultés d’approvisionnement, de recrutement, et à la hausse des prix des matériaux et de l’énergie, pourront agir pleinement en faveur de la rénovation énergétique.Or, si certaines des mesures annoncées par les pouvoirs publics lors de ces Assises vont dans le bon sens (l’augmentation du niveau des avances en marché public, la pérennisation du seuil de 100.000€ en deçà duquel le gré à gré est autorisé, le renforcement des contrôles pour lutter contre le travail illégal, la mise en place d’une période de tolérance de 4 mois lors de la mise en œuvre au 1er janvier 2023 de la REP…), la CAPEB note, qu’à ce stade, ne figure aucune des dispositions visant à booster réellement la rénovation énergétique (indexation de toutes les aides sur l’inflation, diminution par deux du reste à charge des ménages modestes comme le proposait la CAPEB, les process RGE, MaPrimeRénov, CEE, les ZFE – m,...).En exclusivité, Bruno Le Maire a arbitré, à la demande de la CAPEB, en faveur du maintien de la TVA à taux réduit sur les chaudières à très haute performance énergétique. L’augmentation de ce taux aurait envoyé un signal incompréhensible pour le pouvoir d’achat et l’activité.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Pour la CAPEB, ces Assises étant un point de départ, il est compréhensible que les mesures annoncées ce jour ne soient pas de nature à libérer pleinement le potentiel des entreprises artisanales du bâtiment dans la transition énergétique. Nous attendons donc avec impatience la suite des travaux pour que des mesures plus ambitieuses puissent être prises. L’enjeu est de taille. Seules ces TPE, qui représentent 95 % des entreprises du bâtiment, ont la capacité de le faire. Nous nous félicitons d’ores et déjà de voir la durée de l’expérimentation relative à la qualification chantier par chantier prorogée jusqu’à fin 2023 et d’avoir été entendus sur la nécessaire poursuite de ces Assises. Le travail ne fait que commencer. La CAPEB, qui constitue la première organisation professionnelle de France en termes d’adhérents et l’organisation professionnelle majoritaire dans le champ des TPE du bâtiment, continuera à faire preuve d’un état d’esprit constructif et collaboratif. »
Il y a 2 ans et 228 jours

Aux Assises du BTP, des annonces du gouvernement insuffisantes pour répondre à l’inquiétude du secteur

Face à l’augmentation des prix des matériaux, aux difficultés d’approvisionnement des entreprises et à la volonté d’accompagner le secteur dans sa transition écologique, Bruno Le Maire a annoncé en juillet dernier le lancement des Assises du bâtiment et des travaux publics (BTP), espace de concertation et d’élaboration de mesures concrètes, portées par le secteur et pouvant être rapidement mises en œuvre.Le premier objectif de ces Assises est de répondre dans les meilleurs délais aux besoins du secteur du BTP afin de surmonter les défis liés à l’inflation. Le deuxième objectif de ces Assises est de répondre aux attentes structurelles du secteur en matière de simplification et de transition écologique, mais aussi de formation et de numérique. Le troisième objectif, enfin, est d’initier un changement de méthode de dialogue entre l’Etat et le secteur. Les acteurs du secteur ont formulé leurs recommandations, qui ont ensuite été étudiées par l’Etat dans le cadre de groupes de travail associant l’ensemble des parties prenantes.Plus de 200 représentants du secteur ont été entendus lors de ces échanges qui se sont structurés en 6 sessions de travail. Plus de quinze fédérations représentant la production et la distribution de matériaux, la construction et la maîtrise d’œuvre ont participé. Plus d’une centaine de mesures portant sur l’équilibre économique des opérations, la simplification et la transition écologique ont fait l’objet d’un échange. Les collectivités territoriales ont également été associées à la validation des 13 premières mesures présentées.Le Gouvernement a donc présenté le jeudi 22 septembre les mesures qui pourront entrer en vigueur sans délai. Ces mesures sont issues des demandes du secteur, elles préservent l’équilibre des finances publiques tout en respectant les dates d’entrée en vigueur des textes en matière de transition écologique (zones à faible émission, responsabilité élargie du producteur notamment). Les autres mesures continuent d’être expertisées et pourront faire l’objet de nouvelles annonces d’ici la fin de l’année 2022.Les 13 mesures :Des mesures pour améliorer la trésorerie des entreprises1. Le relèvement des seuils planchers des avances dans tous les marchés publics, afin d’abonder la trésorerie des fournisseurs de l’Etat et notamment des acteurs du BTP. Ces seuils passeront de 20% à 30% pour l’ensemble des marchés publics passés avec des PME dans les plus brefs délais.2. L’amélioration de l’échelonnement du remboursement de ces avances par une réécriture des textes pour modifier la situation actuelle qui conduit les donneurs d’ordre à exiger trop rapidement le remboursement intégral.3. Un guide de bonnes pratiques en matière de pénalités de retard payées par les acteurs du BTP afin d’éviter que les situations de pénurie actuelles ne leur soient injustement reprochées.Des mesures pour améliorer la prévisibilité des prix sur les marchés publics et privés4. Le gouvernement a saisi le Conseil d’Etat, qui vient d’indiquer qu’il était possible de réviser les prix dans les marchés publics en cours, pour prendre en compte les surcoûts engendrés par les circonstances exceptionnelles. Une circulaire va préciser dans les tous prochains jours les démarches à entreprendre en la matière, et une fiche pratique est déjà mise en ligne sur le site du ministère.5. Une mission va être confiée au Médiateur des entreprises pour améliorer la prévisibilité des prix des matières premières.Des mesures pour simplifier les marchés publics 6. La pérennisation à 100.000 € du seuil de gré à gré qui exempte les marchés publics de travaux d’appels d’offres et qui a été élevé exceptionnellement durant la crise sanitaire. 7. L’abaissement de 6 à 4 mois du délai inscrit dans le cahier des clauses administratives générales des marchés publics, entre la notification d’un marché et l’ordre de service de démarrage effectif des travaux, afin d’éviter une inflation des coûts durant cette période. 8. Un ciblage et une meilleure articulation des contrôles sur les chantiers pour lutter contre le travail illégal.Des mesures pour simplifier et améliorer la mise en œuvre des obligations règlementaires et écologiques qui pèsent sur les entreprises 9. La publicité obligatoire et rapide du montant d’éco contributions payées pour les entreprises dans le cadre de la filière « Responsabilité élargie du Producteur » (REP). 10. La mise en place d’une période de tolérance de 4 mois pour la mise en conformité des entreprises à la Responsabilité élargie du Producteur (sensibilisation pédagogique plutôt que sanction). 11. La prolongation de l’expérimentation chantier par chantier du label « Responsable Garant de l’environnement » (RGE) au-delà du 31 décembre 2022.Des mesures pour accélérer la transition écologique dans ce secteur 12. Le renforcement de l’offre globale de rénovation performante par un appel d’offres spécifique France 203013. Le lancement d’une concertation sur la mise en place d’un carbone-score des matériauxLa FFB salue un travail rapideLa FFB que la possibilité d’obtenir des compensations pour « surcoûts anormaux » constitue une importante avancée. Elle permettra de trouver des solutions sécurisées juridiquement. De même, la pérennisation du plafond à 100.000 € pour signer des marchés de gré à gré va dans le bon sens pour l'organisation professionnelle, tout comme la majoration à 30 % des avances forfaitaires sur les marchés d’État.Quelques premières mesures concernent les marchés privés, comme le renforcement annoncé des contrôles, y compris chez les particuliers, ou l’ensemble des marchés, comme la poursuite des travaux pour créer un outil permettant de mieux comprendre l’évolution des prix des matériaux et de mieux anticiper leur évolution.Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « cette rapide mobilisation en faveur des artisans et entrepreneurs de bâtiment doit s’amplifier, notamment sur les mesures relatives aux marchés privés. L’annonce par Bruno Le Maire que les Assises du BTP se poursuivent constitue donc une bonne nouvelle. Depuis l’origine, la FFB souhaite que cette approche par co-construction filière-gouvernement s’inscrive dans le temps, de façon à passer du traitement des problèmes immédiats à l’élaboration d’une stratégie de moyen-long terme pour le secteur de la construction. La transition écologique et la transformation numérique en cours imposent cela. »Pour la CAPEB, « un premier pas encourageant mais encore insuffisant pour répondre à l'inquiétude des entreprises artisanales du bâtiment »Avec ses 26 mesures et solutions concrètes, la CAPEB s’est montrée force de propositions et s’est pleinement impliquée dans tous les groupes de travail pour qu’il ressorte de ces Assises des mesures ambitieuses et engageantes. C’est en effet à cette seule condition que les entreprises artisanales du bâtiment, fortement éprouvées par le contexte actuel lié aux difficultés d’approvisionnement, de recrutement, et à la hausse des prix des matériaux et de l’énergie, pourront agir pleinement en faveur de la rénovation énergétique.Or, si certaines des mesures annoncées par les pouvoirs publics lors de ces Assises vont dans le bon sens (l’augmentation du niveau des avances en marché public, la pérennisation du seuil de 100.000€ en deçà duquel le gré à gré est autorisé, le renforcement des contrôles pour lutter contre le travail illégal, la mise en place d’une période de tolérance de 4 mois lors de la mise en œuvre au 1er janvier 2023 de la REP…), la CAPEB note, qu’à ce stade, ne figure aucune des dispositions visant à booster réellement la rénovation énergétique (indexation de toutes les aides sur l’inflation, diminution par deux du reste à charge des ménages modestes comme le proposait la CAPEB, les process RGE, MaPrimeRénov, CEE, les ZFE – m,...).En exclusivité, Bruno Le Maire a arbitré, à la demande de la CAPEB, en faveur du maintien de la TVA à taux réduit sur les chaudières à très haute performance énergétique. L’augmentation de ce taux aurait envoyé un signal incompréhensible pour le pouvoir d’achat et l’activité.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Pour la CAPEB, ces Assises étant un point de départ, il est compréhensible que les mesures annoncées ce jour ne soient pas de nature à libérer pleinement le potentiel des entreprises artisanales du bâtiment dans la transition énergétique. Nous attendons donc avec impatience la suite des travaux pour que des mesures plus ambitieuses puissent être prises. L’enjeu est de taille. Seules ces TPE, qui représentent 95 % des entreprises du bâtiment, ont la capacité de le faire. Nous nous félicitons d’ores et déjà de voir la durée de l’expérimentation relative à la qualification chantier par chantier prorogée jusqu’à fin 2023 et d’avoir été entendus sur la nécessaire poursuite de ces Assises. Le travail ne fait que commencer. La CAPEB, qui constitue la première organisation professionnelle de France en termes d’adhérents et l’organisation professionnelle majoritaire dans le champ des TPE du bâtiment, continuera à faire preuve d’un état d’esprit constructif et collaboratif. »
Il y a 2 ans et 228 jours

La Fédération des Offices Publics de l'Habitat tire la sonnette d’alarme et alerte les pouvoirs publics

« Sept mois après avoir interpellé les pouvoirs publics sur les conséquences de la hausse des tarifs du gaz et demandé des mesures en faveur des locataires, nous nous inquiétons de la flambée des prix de l’électricité, qui n’est pas sans conséquence sur la facture des ménages », a alerté Marcel Rogemont, président de la FOPH.« En dépit des mesures annoncées le 14 septembre dernier par le gouvernement, de prolongement du bouclier tarifaire avec une hausse du prix du gaz et de l’électricité plafonnée à 15 % et un chèque énergie exceptionnel pour l’accompagnement des ménages à revenus modestes, les acteurs du monde HLM restent très préoccupés ».Huit propositions de la FOPH au gouvernementDans ce contexte, Marcel Rogemont a présenté les huit propositions de la FOPH adressées au gouvernement :L’extension du bouclier tarifaire aux immeubles avec chauffage électrique collectif ;L’extension du bouclier tarifaire pour les achats d’électricité pour le fonctionnement des parties communes des immeubles collectifs ;Prendre en compte les situations extrêmes, notamment lorsque le prix de la molécule de gaz ou d’électricité dépasse largement le plafond du bouclier tarifaire ;Les conditions de ce bouclier tarifaire, à savoir une rétroactivité au 1er octobre 2022 à l’instar du bouclier gaz. L’idée serait de se baser sur le tarif réglementé plus 15% ;Le versement du chèque énergie directement aux organismes HLM pour les locataires bénéficiant d’un chauffage collectif ;La revalorisation du forfait charges des APL ;L’augmentation de la contribution des énergéticiens dans le financement des Fonds de solidarité logement (FSL) ;La réforme structurelle des marchés de l’énergie au niveau européen : désindexation des tarifs du gaz et ceux de l’électricité, mise en place d’un plafonnement des prix, indexation des prix sur des index moins volatils et non dépendants du marché, etc.Quatre OPH témoignent...Ces huit propositions ont fait écho aux témoignages de quatre dirigeants d’OPH invités à présenter, lors de la conférence de presse, la situation de leur organisme :Pour Valérie Mespoulhes, directrice générale de Caen la mer Habitat : « La dépense de chauffage collectif constitue une part de plus en plus significative de la quittance. Sur un 3 pièces moyen, nous sommes passés de 30 € par mois en 2020 à 81€ estimés en 2022, avec le bouclier tarifaire. Nous ne sommes pourtant pas dans des passoires énergétiques, mais sur des étiquettes C ou D. Nous avons déjà effectué des travaux d’amélioration énergétique, nous sommes déjà à 19°, nous disposons d’équipements permettant de mieux réguler... Nous avons donc peu de marges de manœuvre ».Pour Guillaume Couturier, directeur général d’Habitats de Haute-Alsace : « On assiste à une explosion stratosphérique des coûts de l’énergie. Pour un F3 moyen, la quittance passe de 473€ à 606€. Le bouclier va limiter cette augmentation à 579€, mais nous nous préparons à un raz-de-marée d’impayés, avec des conséquences financières lourdes pour les OPH, dont le modèle économique et la capacité d’investissement sont mis à mal ».Pour Bertrand Prade, directeur général de Seine-Saint-Denis Habitat : « La hausse des tarifs va représenter sur les charges pour les parties communes une augmentation de 600%. Nous sommes plusieurs à devoir choisir, avant le 31 décembre, si nous signons un contrat avec des prix exorbitants parce que dépendant des prix du marché. Cela revient à envoyer les organismes HLM sur un marché boursier avec des cours qui s’envolent, une grande volatilité, pour des locataires particulièrement vulnérables ».Pour Vincent Peronnaud, directeur général de l’OPAC de l’Oise : « L’indice PEG a été imposé par la loi Égalité et citoyenneté alors que nous étions sur des indices beaucoup plus administrés. On voit chez nos fournisseurs des marges indécentes, qui explosent, et face auxquelles le bouclier tarifaire ne fait qu’office de serpillère et bassine. La vraie solution serait de revenir de façon drastique sur la libération du prix de l’énergie, qui résulte de directives européennes, comme l’a fait l’Espagne ».
Il y a 2 ans et 228 jours

La Fédération des Offices Publics de l'Habitat tire la sonnette d’alarme et alerte les pouvoirs publics

« Sept mois après avoir interpellé les pouvoirs publics sur les conséquences de la hausse des tarifs du gaz et demandé des mesures en faveur des locataires, nous nous inquiétons de la flambée des prix de l’électricité, qui n’est pas sans conséquence sur la facture des ménages », a alerté Marcel Rogemont, président de la FOPH.« En dépit des mesures annoncées le 14 septembre dernier par le gouvernement, de prolongement du bouclier tarifaire avec une hausse du prix du gaz et de l’électricité plafonnée à 15 % et un chèque énergie exceptionnel pour l’accompagnement des ménages à revenus modestes, les acteurs du monde HLM restent très préoccupés ».Huit propositions de la FOPH au gouvernementDans ce contexte, Marcel Rogemont a présenté les huit propositions de la FOPH adressées au gouvernement :L’extension du bouclier tarifaire aux immeubles avec chauffage électrique collectif ;L’extension du bouclier tarifaire pour les achats d’électricité pour le fonctionnement des parties communes des immeubles collectifs ;Prendre en compte les situations extrêmes, notamment lorsque le prix de la molécule de gaz ou d’électricité dépasse largement le plafond du bouclier tarifaire ;Les conditions de ce bouclier tarifaire, à savoir une rétroactivité au 1er octobre 2022 à l’instar du bouclier gaz. L’idée serait de se baser sur le tarif réglementé plus 15% ;Le versement du chèque énergie directement aux organismes HLM pour les locataires bénéficiant d’un chauffage collectif ;La revalorisation du forfait charges des APL ;L’augmentation de la contribution des énergéticiens dans le financement des Fonds de solidarité logement (FSL) ;La réforme structurelle des marchés de l’énergie au niveau européen : désindexation des tarifs du gaz et ceux de l’électricité, mise en place d’un plafonnement des prix, indexation des prix sur des index moins volatils et non dépendants du marché, etc.Quatre OPH témoignent...Ces huit propositions ont fait écho aux témoignages de quatre dirigeants d’OPH invités à présenter, lors de la conférence de presse, la situation de leur organisme :Pour Valérie Mespoulhes, directrice générale de Caen la mer Habitat : « La dépense de chauffage collectif constitue une part de plus en plus significative de la quittance. Sur un 3 pièces moyen, nous sommes passés de 30 € par mois en 2020 à 81€ estimés en 2022, avec le bouclier tarifaire. Nous ne sommes pourtant pas dans des passoires énergétiques, mais sur des étiquettes C ou D. Nous avons déjà effectué des travaux d’amélioration énergétique, nous sommes déjà à 19°, nous disposons d’équipements permettant de mieux réguler... Nous avons donc peu de marges de manœuvre ».Pour Guillaume Couturier, directeur général d’Habitats de Haute-Alsace : « On assiste à une explosion stratosphérique des coûts de l’énergie. Pour un F3 moyen, la quittance passe de 473€ à 606€. Le bouclier va limiter cette augmentation à 579€, mais nous nous préparons à un raz-de-marée d’impayés, avec des conséquences financières lourdes pour les OPH, dont le modèle économique et la capacité d’investissement sont mis à mal ».Pour Bertrand Prade, directeur général de Seine-Saint-Denis Habitat : « La hausse des tarifs va représenter sur les charges pour les parties communes une augmentation de 600%. Nous sommes plusieurs à devoir choisir, avant le 31 décembre, si nous signons un contrat avec des prix exorbitants parce que dépendant des prix du marché. Cela revient à envoyer les organismes HLM sur un marché boursier avec des cours qui s’envolent, une grande volatilité, pour des locataires particulièrement vulnérables ».Pour Vincent Peronnaud, directeur général de l’OPAC de l’Oise : « L’indice PEG a été imposé par la loi Égalité et citoyenneté alors que nous étions sur des indices beaucoup plus administrés. On voit chez nos fournisseurs des marges indécentes, qui explosent, et face auxquelles le bouclier tarifaire ne fait qu’office de serpillère et bassine. La vraie solution serait de revenir de façon drastique sur la libération du prix de l’énergie, qui résulte de directives européennes, comme l’a fait l’Espagne ».
Il y a 2 ans et 228 jours

Eco-énergie tertiaire : une "tolérance" accordée pour remplir la base Operat

EFFICACITÉ ENERGETIQUE. Le ministère de la Transition écologique annonce qu'une tolérance est accordée aux assujettis du dispositif éco-énergie tertiaire, en matière de renseignement de la plateforme Opérat.
Il y a 2 ans et 228 jours

Eco-énergie tertiaire : une "tolérance" accordée pour remplir la base Operat

EFFICACITÉ ENERGETIQUE. Le ministère de la Transition écologique annonce qu'une tolérance est accordée aux assujettis du dispositif éco-énergie tertiaire, en matière de renseignement de la plateforme Opérat.
Il y a 2 ans et 228 jours

Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022

Organisé par Éditions des Halles et Batimat, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt, les équipes de Bati-Journal vous retrouveront au cœur du salon Batimat pour une nouvelle édition de son plateau TV, animé par Stéphane Miget (rédacteur en chef de magazine 5façades et Planète Bâtiment). Véritable chaîne TV dédiée au monde du bâtiment, BATI-JOURNAL accompagne les grands événements du secteur afin de vous emmener au cœur de ces rencontres. Bati-Journal réunit dans une ambiance plateau TV des professionnels, des experts ou des politiques afin de débattre autour des enjeux du secteur. Autour des 4 grandes thématiques du salon : Préserver l’environnement Transformer les méthodes Bien vivre dans la ville de 2050 Valoriser les métiers Au travers de nos expertises sur les sujets : Construction bois Patrimoine & restauration Enveloppe du bâtiment Bâtiment durable Programme du plateau TV* (susceptible d’être modifié) : Lundi 03 octobre : 10h00 : Place et rôle des artisans et entreprises (Transformer les méthodes) avec Catherine Gillet (Pilote du Programme FEEBAT) 11h30 : Bois-fôret : concilier construction et préservation de la ressource (Préserver l’environnement) avec Aymeric Albert (Directeur commercial Bois – ONF) 13h30 : Quelles infrastructures pour nourrir la ville en 2050 ? (Bien vivre dans la ville en 2050)  14h45 : Développer l’intelligence de la main (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) 15h45 : La parole à Piveteau Bois 16h15 : Retour d’expérience – Construction bois avec Benjamin Pirany (Architecte – HSP Architectes) 17h30 : Low Carbon – en partenariat avec Construction 21 avec Laetitia Belaube (Responsable de missions énergie-carbone – Artelia) Pierre-Yves Legrand (Directeur – Novabuild) et Christophe Rodriguez (Directeur général adjoint – IFEP)  Mardi 04 octobre : 09h30 : Préfabriquer avec le bois, pourquoi ? Comment ? Quelles innovations ? (Transformer les méthodes) avec Pierre Vaugoyeau (Directeur commercial – Maître Cube) 10h30 : La parole au CERIB avec Christophe Tessier (Directeur du Centre d’essais feu) 11h00 : Le bois, biosourcé par essence ? (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h30 : Patrimoine et centre-ville, moteurs de la revitalisation urbaine ?  (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Etienne Bourdais (Head of innovation projects – Vinci) 15h00 : Les métiers et savoir-faire du patrimoine au service de la construction à plus faible impact carbone (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) et Frédéric Letoffé (Vice-Président – GMH) 16h15 : Retour d’expérience – Patrimoine & Restauration avec Élodie Heberlé (Responsable d’études énergie et environnement – Cerema) 17h00 : La parole à Actis 18h00 : Émission spéciale sur Le Prix National de la Construction Bois Mercredi 05 octobre :  09h30 : Construction métallique, polyvalence et design : dernières évolutions (Transformer les méthodes) avec Pascal Bonaud (Délégué général – ConstruirAcier) et Peggy Schouller (Head of Business Development France – Arcelor Mittal) 10h30 : La parole Simpson Strong-Tie 11h00 : Bois, biosourcés et géosourcés (terre crue et pierre) : les matériaux des circuits cours ? (Préserver l’environnement) avec Yves Hustache (Associé-fondateur – Kiribati) 12h00 : La parole au SNBVI 13h15 : La parole à Hellio avec Arthur Bernagaud (Directeur des opérations BtoC) 14h00 : La parole à SADEV 15h00 : Focus Façadier (Valoriser les métiers) avec Vincent Bes (Directeur régional ouest – Wicona) 16h15 : Retour d’expérience – Enveloppe du bâtiment avec Myriam Humbert (Directrice de projets recherche et développement – Cerema) 17h30 : Low Tech – en partenariat avec Construction 21 avec Catherine Papillon (Directrice DD/RSE – BNP Real Estate), Anne Keusch (Directrice DD & Innovation – Groupama Immobilier) et Charlotte Girerd (Directrice Transition, RSE & Innovation) Jeudi 06 octobre : 09h30 : Audit : étape cruciale pour bien rénover (Transformer les méthodes) avec Xavier Bernard (Délégué régional Île-de-France – AQC) et Étienne Duhot (Responsable de projet – Hellio) 11h00 : Favoriser la réutilisation et la transformation des bâtiments existants (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h00 : Renaturer la ville (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Sophie Rousse-Rivière (Déléguée générale de l’Advient) 14h15 : Focus Prescripteur bois (Valoriser les métiers) 15h15 : Retour d’expérience – Villes & constructions durables avec Laurent Arnaud (Directeur du domaine bâtiment – Cerema) Toutes les vidéos des émissions seront à retrouver dès le lundi 03 octobre sur la chaîne YouTube de Bati-Journal et sur les sites de nos partenaires institutionnels et médias. En partenariat avec les magazines 5façades, Atrium, Planète Bâtiment et Wood Surfer. Participez à l’événement et commandez votre badge d’accès gratuit avec le code BPA22ATCPR sur le site de batimat.com Cet article Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
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Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022

Organisé par Éditions des Halles et Batimat, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt, les équipes de Bati-Journal vous retrouveront au cœur du salon Batimat pour une nouvelle édition de son plateau TV, animé par Stéphane Miget (rédacteur en chef de magazine 5façades et Planète Bâtiment). Véritable chaîne TV dédiée au monde du bâtiment, BATI-JOURNAL accompagne les grands événements du secteur afin de vous emmener au cœur de ces rencontres. Bati-Journal réunit dans une ambiance plateau TV des professionnels, des experts ou des politiques afin de débattre autour des enjeux du secteur. Autour des 4 grandes thématiques du salon : Préserver l’environnement Transformer les méthodes Bien vivre dans la ville de 2050 Valoriser les métiers Au travers de nos expertises sur les sujets : Construction bois Patrimoine & restauration Enveloppe du bâtiment Bâtiment durable Programme du plateau TV* (susceptible d’être modifié) : Lundi 03 octobre : 10h00 : Place et rôle des artisans et entreprises (Transformer les méthodes) avec Catherine Gillet (Pilote du Programme FEEBAT) et Aristide Belli (Chef de projet senir programme OSCAR) 11h30 : Bois-fôret : concilier construction et préservation de la ressource (Préserver l’environnement) avec Aymeric Albert (Directeur commercial Bois – ONF) 13h30 : Quelles infrastructures pour nourrir la ville en 2050 ? (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Angel Menendez (Architecte – Atelier Lame) 14h45 : Développer l’intelligence de la main (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) 15h45 : La parole à Piveteau Bois 16h15 : Retour d’expérience – Construction bois avec Benjamin Pirany (Architecte – HSP Architectes) 17h30 : Low Carbon – en partenariat avec Construction 21 avec Laetitia Belaube (Responsable de missions énergie-carbone – Artelia) Pierre-Yves Legrand (Directeur – Novabuild) et Christophe Rodriguez (Directeur général adjoint – IFEP)  Mardi 04 octobre : 09h30 : Préfabriquer avec le bois, pourquoi ? Comment ? Quelles innovations ? (Transformer les méthodes) avec Pierre Vaugoyeau (Directeur commercial – Maître Cube) 10h30 : La parole au CERIB avec Christophe Tessier (Directeur du Centre d’essais feu) 11h00 : Le bois, biosourcé par essence ? (Préserver l’environnement) avec Ambre Le Ferrec (Reponsable pôle 2nde transformation et suivi de la normalisation – Fédération Nationale du Bois) et Jérôme Martinez (Responsable du label Bois de France) 11h00 : La parole à Cadwork avec Denis Roblin (Directeur vente France) 12h00 : La parole au SNBVI 13h30 : Patrimoine et centre-ville, moteurs de la revitalisation urbaine ?  (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Etienne Bourdais (Head of innovation projects – Vinci) 15h00 : Les métiers et savoir-faire du patrimoine au service de la construction à plus faible impact carbone (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) et Frédéric Letoffé (Vice-Président – GMH) 16h15 : Retour d’expérience – Patrimoine & Restauration avec Élodie Heberlé (Responsable d’études énergie et environnement – Cerema) 17h00 : La parole à Actis 18h00 : Émission spéciale sur Le Prix National de la Construction Bois Mercredi 05 octobre :  09h30 : Construction métallique, polyvalence et design : dernières évolutions (Transformer les méthodes) avec Pascal Bonaud (Délégué général – ConstruirAcier) et Peggy Schouller (Head of Business Development France – Arcelor Mittal) 10h30 : La parole Simpson Strong-Tie 11h00 : Bois, biosourcés et géosourcés (terre crue et pierre) : les matériaux des circuits cours ? (Préserver l’environnement) avec Yves Hustache (Associé-fondateur – Karibati), Alec Bickersteth (Chef de projet Filière, Emploi & Formation – Fibois Île-de-France) et Ghislain Moret de Rocheprise (Directeur marketing et commercial – ISOL’en Paille) 12h00 : La parole au SNBVI 13h15 : La parole à Hellio avec Arthur Bernagaud (Directeur des opérations BtoC) 14h00 : La parole à SADEV 14h30 : La parole à Eiffage avec Thomas Doyon (Directeur Eiffage Immobilier Solutions Industrialisées)  15h00 : Focus Façadier (Valoriser les métiers) avec Vincent Bes (Directeur régional ouest – Wicona) et Sandrine Bertin (Déléguée générale – SNFA) 16h15 : Retour d’expérience – Enveloppe du bâtiment avec Myriam Humbert (Directrice de projets recherche et développement – Cerema) 17h30 : Low Tech – en partenariat avec Construction 21 avec Catherine Papillon (Directrice DD/RSE – BNP Real Estate), Anne Keusch (Directrice DD & Innovation – Groupama Immobilier) et Charlotte Girerd (Directrice Transition, RSE & Innovation – SNCF Immobilier) Jeudi 06 octobre : 09h30 : Audit : étape cruciale pour bien rénover (Transformer les méthodes) avec Xavier Bernard (Délégué régional Île-de-France – AQC) et Étienne Duhot (Responsable de projet – Hellio) 11h00 : Favoriser la réutilisation et la transformation des bâtiments existants (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h00 : Renaturer la ville (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Sophie Rousse-Rivière (Déléguée générale de l’Advient) 14h15 : Focus Prescripteur bois (Valoriser les métiers) 15h15 : Retour d’expérience – Villes & constructions durables avec Laurent Arnaud (Directeur du domaine bâtiment – Cerema) Toutes les vidéos des émissions seront à retrouver dès le lundi 03 octobre sur la chaîne YouTube de Bati-Journal et sur les sites de nos partenaires institutionnels et médias. En partenariat avec les magazines 5façades, Atrium, Planète Bâtiment et Wood Surfer. Participez à l’événement et commandez votre badge d’accès gratuit avec le code BPA22ATCPR sur le site de batimat.com