Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Etats et collectivités

(41599 résultats)
Il y a 4 ans et 230 jours

Un texte veut redonner du poids aux communes et à leurs élus

Collectivités territoriales -
Il y a 4 ans et 230 jours

5ème édition des Journées nationales de l'architecture, demandez le programme

Sous l'appellation « Les architectes fêtent les JNArchi 2020 », le Conseil national de l'Ordre des architectes s'associe pleinement à la manifestation et promeut l'ouverture des portes dans les agences d'architecture. Les Conseils d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement, le réseau des Maisons de l'architecture, les écoles nationales supérieures d'architecture, les lieux culturels dédiés à l'architecture ainsi que les animateurs de l'architecture et du patrimoine dans les collectivités territoriales se mobilisent également. Tous proposent aux curieux, amateurs comme passionnés d'architecture un programme varié pour ces trois jours : rencontres et débats avec les acteurs de l'architecture, visites de bâtiments et de chantiers, balades urbaines, expositions techniques et artistiques, ateliers pédagogiques pour tous les âges…Dessiner l'architecture à Lugdunum, Musée et Théâtre Romain de Lyon, en Auvergne Rhône-Alpes. Au cœur de ce chef d'œuvre architectural, la sobriété du béton et des lignes épurées s'intègre dans le site gallo-romain et construit un espace à part. Concentrés sur les lignes et les espaces de cet objet brutaliste imaginé par l'architecte Bernard Zehrfuss, les visiteurs sont invités à observer, dessiner les grands volumes et les détails du bâtiment et de restituer leur production issue de ce voyage architectural et temporel.La Maison de l'Architecture de Besançon en Franche-Comté propose un voyage architectural à Rome. Thierry Jousse, réalisateur et ancien rédacteur en chef des Cahiers du cinéma, a co-dirigé avec Thierry Paquot un livre de référence La Ville au Cinéma, qui explore pour la première fois la représentation de la ville à l'écran. Les spectateurs pourront ainsi découvrir l'incroyable architecture de la ville de Rome, par le prisme du cinéma.En Bretagne à Ploemeur, la rénovation d'une maison des années 60 est l'occasion d'intégrer la permaculture au cœur du centre ville. L'architecture se joue des contraintes techniques et utilise le patrimoine des années 60 pour offrir une nouvelle vie à cette habitation. Le toit permet par exemple l'installation de panneaux solaires et la collecte d'eau de pluie pour les WC, le lave-linge et le jardin.La grande halle de Romorantin-Lanthenay en Centre-Val de Loire, construite en 1902, a été conçue par l'ingénieur Hennebique et réalisée par l'entrepreneur Coutant et Cie. D'une superficie de près d'un hectare, cette immense salle contenait plus de 200 métiers à tisser. Un vaste projet de réhabilitation du site est en cours. La réouverture en octobre 2016 du bâtiment des métiers à tisser en est une étape.Pendant 2h, La manufacture Brun de Vian-Tiran, emblème de la région PACA, propose une visite inédite de L'Isle-sur-la-Sorgue, témoin vivant des origines textiles de la ville. Des roues à aube à la manufacture, les visiteurs découvriront tout sur les origines de l'Isle, ville drapière à l'architecture industrielle.Dans les Haut de France, la cité des Électriciens à Bruay-la-Buissière invite à prendre toute la mesure de la valeur du patrimoine de proximité. Il s'agit de l'un des édifices emblématiques du paysage urbain de la région. C'est le moment de venir l'observer d'un peu plus près, d'en apprendre davantage sur ses matériaux de construction, sur les entreprises et artisans qui l'ont réhabilitée. Les plus jeunes pourront aussi se familiariser avec l'acte de construire, et peut-être faire naître en eux une vocation !À la Fabrique du Métro à Saint-Ouen, la Société du Grand Paris en Île-de-France propose un atelier-visite pour les scolaires. Une découverte des techniques utilisées pour construire puis aménager les gares en insistant sur les enjeux de l'accessibilité des transports publics. Les choix des designers sont mis en lumière par l'observation et l'expérimentation. À l'issue de la visite, un atelier créatif invite les élèves à se mettre dans la peau d'un futur usager du réseau (touriste étranger, personne en situation de handicap…) puis à identifier et mobiliser les différents services et dispositifs qui faciliteront leurs parcours de l'entrée de la gare jusqu'au métro. En Normandie, Le Havre, place portuaire d'envergure a connu ces dernières décennies des aménagements majeurs avec de nouvelles infrastructures portuaires. La balade proposée permet de découvrir depuis la mer, les projets qui longent aujourd'hui les bassins et le port intérieur. Cette interface ville-port renouvelée, avec notamment l'École Nationale Supérieure Maritime (ENSM) et la Cité Numérique, témoigne de la nécessité de réinventer sans cesse un dialogue entre la ville et son port.La Cité Numérique à Bordeaux en Nouvelle Aquitaine, est un projet innovant, en matière de fonctionnement, et vertueux du point de vue de la transition écologique. Elle propose d'accueillir, pour la première fois, un regard croisé des acteurs de l'espace public pour débattre de ses évolutions récentes. Les tables rondes s'organisent autour de deux thématiques centrales : l'espace public comme espace fondamental du lien social, du vivre ensemble, et l'espace public comme lieu d'expression des potentiels artistiques et sportifs.Un programme de visites de maisons et appartement situés en Haute-Garonne et réalisés par des architectes, dont les projets témoignent d'une qualité architecturale, avec le Conseil d'Architecture, d'Urbanisme et de l'Environnement 31 en Occitanie. Insertion environnementale, qualité d'usages et de confort, économie de projet seront les thèmes abordés. Chaque visite d'une demi-journée, sera réalisée en présence du maître d'ouvrage et de l'architecte. Ils éclaireront les participants sur le processus de réalisation, de la phase de conception à la réception en passant par la gestion du chantier.Pour qu'un cadre de vie soit de qualité, il est important qu'architecture et environnement soient en cohérence et dialoguent. Ainsi à Nantes, dans les Pays de la Loire, le jardin des 5 Sens est un poumon vert, un espace de jeu et de contemplation au cœur de l'ile de Nantes. Il est aussi, avec l'essor et le renouvellement de ce quartier, le parvis des édifices qui l'entourent. La visite commentée présente comment le jardin s'insère dans un système plus vaste, nourri par le rapport à la ville dense, au fleuve et à la nature en ville. Visiter les lieux habituellement interdits au public, c'est la proposition du musée départemental de Préhistoire des gorges du Verdon en Provence-Alpes-Côte d'Azur. Signé Norman Foster, ce bâtiment invite les visiteurs à découvrir la préhistoire avec un autre regard. Il retrace les grandes étapes de la Préhistoire à partir des découvertes archéologiques réalisées dans les grottes du Verdon au cours du XXe siècle.Sur le site journeesarchitecture.fr, retrouvez la programmation ; des informations clés sur l’architecture contemporaine aujourd’hui en France et la présentation des actions menées par les partenaires de l’évènement.
Il y a 4 ans et 230 jours

La consommation des ménages rebondit en août

Ces dépenses ont ainsi augmenté de 2,3% au mois d'août, après avoir finalement baissé de 0,9% en juillet, selon un chiffre révisé publié par l'Institut de la statistique.Avec le report de trois semaines des soldes, les dépenses de biens fabriqués ont ainsi nettement augmenté de 3,6%.Elles ont été portées par celles de textile qui ont bondi de 17,4%, tandis que la consommation de biens durables (matériel de transport, voitures neuves, équipement du logement) a reculé de 1,5%, notamment du fait de la baisse des achats de véhicules par rapport aux mois précédents qui avaient été soutenus par les primes mises en place par le gouvernement.La consommation alimentaire s'est elle aussi redressée (+2,4%) après deux mois de baisse, souligne l'Insee.Enfin, les consommations de tabac et d'énergie sont en recul.
Il y a 4 ans et 230 jours

Une belle place pour le patrimoine dans le budget 2021 de la Culture

FINANCES PUBLIQUES. La ministre de la Culture, Roselyne Bachelot-Narquin, a dévoilé un budget 2021 doté de 3,8 milliards d'euros pour son portefeuille, en hausse de 167 millions par rapport à l'exercice 2020. L'enveloppe dédiée aux opérations d'entretien et de restauration du patrimoine est en hausse, et les grands projets de réhabilitation devraient se poursuivre.
Il y a 4 ans et 230 jours

Tarifs réglementés du gaz, aides aux travaux de rénovation énergétique... ce qui change au 1er octobre

Le 1er octobre:GazLes tarifs réglementés de vente du gaz, appliqués par Engie à des millions de foyers français, vont bondir de 4,7% au 1er octobre, a annoncé lundi la Commission de régulation de l'énergie (CRE). Sans le mécanisme de lissage des prix qui avait été adopté pour éviter une remontée trop brutale des prix, la hausse aurait même atteint 7%. Rénovation énergétiqueLes travaux de rénovation énergétique entamés à partir du 1er octobre seront éligibles aux nouvelles règles, plus larges, d'attribution de la prime publique destinée à encourager ces actes. Il faudra toutefois attendre le 1er janvier 2021 pour demander cette aide, de manière rétroactive.Les nouvelles règles permettent notamment aux ménages les plus aisés de bénéficier de cette aide ainsi qu'aux propriétaires louant un logement sans l'occuper eux mêmes.Congé du proche aidantLes aidants qui soutiennent un proche âgé, malade ou handicapé, pourront demander à bénéficier, à partir du 1er octobre, d'un congé de trois mois indemnisé.Le principe d'un tel congé indemnisé - d'une durée maximale de trois mois, mais qui pourra être renouvelé, jusqu'à un an sur l'ensemble de la carrière du salarié - avait été approuvé par l'Assemblée nationale en octobre 2019.L'indemnité, versée par les caisses d'allocations familiales ou de la Mutualité sociale agricole, sera d'environ 44 euros par jour pour les personnes vivant en couple et de 52 euros par jour pour une personne seule.Pensions alimentairesLes caisses d'allocations familiales proposeront à partir du 1er octobre un nouveau service aux familles monoparentales: elles pourront servir d'intermédiaire entre ex-conjoints pour le paiement des pensions alimentaires, en cas d'impayés.Concrètement, les familles concernées pourront saisir la CAF - ou la Mutualité sociale agricole (MSA) - qui, non seulement se chargera comme aujourd'hui de verser au parent lésé une allocation de 116 euros par mois, avant de se retourner vers le mauvais payeur, mais pourra aussi désormais endosser, de manière pérenne, un rôle d'intermédiaire, afin que la pension alimentaire transite systématiquement par elle.L'enjeu, a souligné le gouvernement, est de venir en aide aux familles monoparentales - des mères dans l'écrasante majorité des cas -, pour qui le retard du versement de la pension alimentaire est une source d'aggravation de la précarité.Le 1er novembre:Activité partielleLe décret n'est pas encore paru mais le gouvernement a prévu une diminution de la prise en charge de l'activité partielle à partir du 1er novembre.Pour chaque heure chômée, l'indemnité versée au salarié doit passer à 60% de sa rémunération brute (limitée à 4,5 Smic) au lieu de 70% auparavant et ne pourra être inférieure à 8,03 euros; pour l'employeur, le reste à charge passe de 15 à 40% de l'indemnisation.Les secteurs les plus touchés par la crise, qui étaient jusqu'ici indemnisés intégralement, devaient avoir un reste à charge de 15%, mais le gouvernement a annoncé mardi que l'hôtellerie-restauration resterait indemnisée intégralement jusqu'à la fin de l'année. Et la ministre du Travail, Élisabeth Borne, a annoncé mercredi que cette exception s'étendrait finalement à tous les secteurs protégés comme la culture, l'événementiel ou le sport.Dans les cas de fermetures administratives pour cause de circulation du virus, les entreprises restent remboursées intégralement.
Il y a 4 ans et 230 jours

Vifs débats à l'Assemblée sur un nouveau dispositif antisquatteurs

Un vote n'a pu être organisé avant la clôture de la séance en fin de soirée en raison du nombre des échanges et de nombreux amendements. L'examen du projet doit reprendre jeudi.Le texte fait partie du projet de loi "d'accélération et de simplification de l'action publique" (Asap), un document fourre-tout destiné à simplifier démarches et quotidien des administrations, entreprises et particuliers.La disposition prévoit de modifier la loi de 2007 sur le droit au logement opposable (Dalo) en étendant la notion de "domicile", qu'il "s'agisse ou non de sa résidence principale".Cette formulation adoptée mercredi grâce à un amendement du rapporteur Guillaume Kasbarian, soutenu par le gouvernement, remplace le terme initialement choisi de "résidence occasionnelle", qui avait soulevé des critiques en raison de son flou juridique.Une fois le squat découvert et les faits dénoncés aux forces de l'ordre, le propriétaire du logement, ou ses ayant-droits, saisira le préfet, qui aura 48 heures pour répondre avant de mettre en demeure le ou les squatteurs de quitter les lieux.Cette procédure administrative doit permettre d'agir plus rapidement pour obtenir une expulsion qu'un recours par voie de justice.Les députés ont souhaité rebondir sur l'occupation de la propriété de Théoule-sur-Mer (Alpes-Maritimes) d'un couple de retraités lyonnais, pendant près de trois semaines, à partir de la deuxième quinzaine du mois d'août, par une famille avec enfants."Montés en épingle"L'affaire, de même que d'autres cas comparables, avait eu un fort retentissement médiatique.A droite, les Républicains notamment ont déposé en vain de nombreux amendements pour durcir le dispositif, en l'étendant notamment à toute forme de propriété immobilière occupée illégalement."Les premières victimes des squats (...) sont des gens qui n'ont pas grand-chose", a lancé Julien Aubert. Plusieurs de ses collègues LR ont multiplié les références à des cas de personnes âgées ou à faibles revenus spoliées par des squatteurs ou des locataires mauvais payeurs.A gauche, Loïc Prud'homme (LFI), a appelé à "ne pas hystériser le débat sur des questions de droit de propriété" quand "des gens sont en train de crever dehors" faute de logement.Le communiste André Chassaigne a lui aussi déploré que les partisans d'un renforcement du dispositif antisquatteurs s'appuient sur "quelques cas montés en épingle" .Situations d'urgenceLa ministre du Logement Emmanuelle Wargon venue soutenir le texte a estimé quant à elle qu'il prévoyait des mesures "équilibrées" destinées à répondre aux cas de propriétaires en situation "d'urgence".Une "extension à la totalité des propriétés immobilières me semble disproportionnée", a-t-elle dit, en soulignant que la voie judiciaire restait ouverte pour les cas qui ne seraient pas couverts par le nouveau dispositif de recours administratif."L'impunité des squatteurs est insupportable!" avait dénoncé Christophe Demerson, le président de l'Union des propriétaires immobiliers dans le Figaro. "Si tout le monde joue le jeu, cette nouvelle loi sera efficace. Il est simplement dommage d'avoir attendu ces faits divers pour agir".Le collectif Droit au logement (DAL) a organisé un rassemblement mardi à proximité du Palais Bourbon pour dénoncer une "frénésie anti-squats", et les députés de la France insoumise se sont fait l'écho de ses craintes dans l'hémicycle.Le syndicat de la magistrature (SM) et le syndicat des avocats de France (SAF) ont déploré pour leur part la mise en oeuvre d'une procédure administrative à la main des préfets "en lieu et place d'un procès, jugé trop chronophage et - à tort- trop favorable aux occupants".
Il y a 4 ans et 230 jours

Filière solaire : le Gouvernement annonce deux nouvelles mesures d'accompagnement

RENOUVELABLES. Vraisemblablement en réponse à la grogne des professionnels du solaire photovoltaïque, le ministère de la Transition écologique a annoncé la mise en place de deux mesures pour aider au développement de la filière : le relèvement du plafond pour le guichet tarifaire des installations sur toitures ainsi que la limitation de la baisse des tarifs de rachat. Le secteur s'est dit satisfait de ces décisions.
Il y a 4 ans et 230 jours

Daphna Goldstein nouvelle Directrice pour les marchés France et Belgique Hager Group

Daphna Goldstein est nommée Managing Director Zone Continental West, en charge du développement commercial des marchés France et Belgique pour Hager Group. Agée de 38 ans, diplômée d’HEC Paris et titulaire d’un Bachelor of Sciences en Chimie obtenu à l’University College de Londres, Daphna Goldstein possède la double nationalité allemande et belge. Elle débute sa carrière chez Lafarge, l’un des leaders mondiaux des matériaux de construction. Au cours d’une décennie, elle occupe différents postes de direction commerciale, marketing et stratégie, en Australie, en Serbie puis en France. Elle dirige ensuite les marchés émergents au sein du groupe Consolis, leader européen du béton préfabriqué. Elle rejoint Hager Group en 2019, en tant que Secrétaire Général du Directoire du groupe. Ses quinze ans d’expérience de direction commerciale, stratégique et de gestion d’entreprise permettront à Daphna Goldstein de servir au mieux les ambitions de croissance des marques Hager, Daitem, Diagral et Iboco, sur les marchés français et belge. Rattachée à Jacob Schambye, Senior Vice President Region Europe Sales & Marketing, elle succède à Stephan Kreutzer.
Il y a 4 ans et 230 jours

Paris-2024 : sur les sites olympiques de Dugny et du Bourget, l'espoir se mue en "grand flou"

Au Bourget, aucun signe n'indique encore que la commune fait partie d'une "Terre de Jeux 2024". C'est "encore loin", déclare Asfour Mabrouk, qui y possède deux boulangeries. Mais il y voit "une aubaine", "les jeunes vont avoir du travail", se réjouit l'entrepreneur."C'est une bonne pub pour le département qui est un peu sinistré", estime Abdenour Bellache, un Bourgetin de 31 ans.Pour Zouina Ould'Ali, gérante depuis vingt ans d'un salon de coiffure, les JO-2024 "vont montrer une image positive de la Seine-Saint-Denis. C'est un beau département, on y vit bien", assure cette élégante femme de 52 ans, pour qui des JO sans la Seine-Saint-Denis seraient "une déception".Paris-2024 est "un vecteur d'espoir pour les habitants parce qu'on finance des équipements que moi je ne peux pas financer", explique le maire DVD du Bourget, Jean-Baptiste Borsali, à qui on a promis un nouveau gymnase, des courts de tennis, une piscine, une école et une passerelle qui doit relier sa commune à Dugny.IncertitudesLe vieux complexe sportif municipal doit être aussi remodelé pour accueillir une épreuve.Pour le référent JO de la ville, Kamel Ouarti, le temps presse. "On aimerait bien que les choses soient figées. Les Bourgetins et les associations sportives de la ville sont inquiets", affirme le vice-champion du monde vétéran de judo.La présidente du Bourget Tennis Club Martine Pasquier a le sentiment d'être "abandonnée". "On a pleuré de joie quand on a eu les JO et là on pleure de tristesse". "Un coup vous avez le volley-ball puis l'escalade. On vous promet un terrain de tennis et puis plus rien", fulmine la présidente, qui gère 400 adhérents dont 200 enfants.Des panneaux annonçant des destructions bordent ses installations composées de 11 courts."On doit m'en raboter sept pendant les travaux et je n'ai plus la certitude de les récupérer", indique Mme Pasquier. "Je ne bouge pas de mon terrain quitte à m'enchaîner tant que je n'ai pas de réponse ferme de la Solideo", l'établissement public chargé des grands chantiers, affirme-t-elle.Le boulodrome jouxtant le club de tennis va disparaître, assure Benoît Picout, président de l'association de pétanque. "Pour l'instant, c'est le grand flou, on ne sait pas où on va nous mettre", constate-t-il, "on parle d'un terrain provisoire dans un parc du centre-ville en attendant peut-être un nouveau terrain dans quatre ans".'Ligne rouge'"On ne pourra plus organiser des tournois, c'est un manque à gagner pour le club", regrette ce natif de Seine-Saint-Denis. "On nous a promis un nouveau boulodrome, j'espère que la promesse sera tenue. Les JO c'est bien si on nous laisse des équipements".A Dugny, des lettres géantes aux couleurs olympiques marquent l'entrée de cette petite ville pauvre située à moins de 13 km au nord de Paris.Elle doit accueillir le village des médias voué à être transformé en un millier de logements, commerces et écoles. "C'est le flou", confie le maire Quentin Gesell (DVD) qui essaie de négocier "600-700 logements" pour l'après-JO, sans garantie pour le reste des équipements.Le "cluster" des médias doit héberger près de 2.800 journalistes sur 70 hectares aux abords du "poumon vert" du département, le parc Georges-Valbon.Pour l'heure, cette grande pelouse qui accueille traditionnellement la Fête de l'Huma, est en friche."Le village des médias constitue la principale ligne rouge à ne pas franchir pour la Seine-Saint-Denis", avertit Stéphane Troussel, président PS du département. Il a intimé à "l'Etat de prendre ses responsabilités pour financer le projet" à la place du comité d'organisation.Avec le village des athlètes situé aussi dans le département, c'est l'autre grande opération d'aménagement. Il "est au cœur de l'héritage matériel" pour les habitants, déclare M. Troussel.
Il y a 4 ans et 230 jours

Le sol vinyle à l’heure du digital

Une nouvelle technologie exclusive  permet à BEAUFLOR  de produire des sols souples  qui suivent au plus près  les projets décoratifs. Alors que le sol prend une place de plus en plus assumée dans la décoration des espaces tertiaires et résidentiels, BEAUFLOR propose une nouvelle technologie qui va permettre aux architectes, décorateurs et prescripteurs d’imaginer leurs sols sur mesure. Inspirant ! Déclinés en différentes qualités de résistance selon les usages, les sols vinyles BEAUFLOR sur mesure bénéficient : › d’une technique d’impression remarquable de finesse de précision (600 dpi) et de réalisme ; › d’une personnalisation complète. « Le designer c’est vous » déclare la marque qui s’engage à créer un sol original à partir de n’importe quel graphisme, photo, matière, logo choisi par le prescripteur ; › d’une production européenne entièrement exempte de phtalates, métaux lourds, solvants, plastifiants nocifs ou formaldéhyde ; › de propriétés sanitaires incomparables. Qualité et créativité au rendez-vous Pour faire la démonstration des infinies possibilités  de cette nouvelle technologie d’impression numérique, les STUDIOS BEAUFLOR ont travaillé autour de trois tendances décoratives. Créatives, originales et décomplexées, ces propositions sont présentées comme source d’inspiration pour les prescripteurs soucieux de créer des univers uniques dans tous les secteurs : habitat, bureaux, hôtellerie, commerces, lobbies, espaces de bien-être, halls d’accueil… La tranquillité d’esprit Le département Recherche & Développement de BEAUFLOR bénéficie de nombreuses années d’expertise industrielle qui garantissent d’apporter des solutions fiables. Bien avant la situation sanitaire actuelle, les normes d’hygiène les plus élevées étaient déjà  au cœur de ses productions. Les sols en vinyle BEAUFLOR apportent une hygiène optimale  en étant parmi les sols les plus faciles à nettoyer. La couche supérieure est résistante aux salissures et la finition satinée facilite le nettoyage et l’entretien. Disponibles en différentes largeurs (rouleaux jusqu’à 4 m de large), les collections s’adaptent à toutes les pièces. Au-delà d’une proposition esthétique très forte, ces nouvelles collections grand trafic BEAUFLOR participent à un environnement plus sûr et plus sain, au travail comme chez soi. Le sol vinyle à l’heure du digital   Pour plus d’infirmations, merci de contacter le service de presse Cattoire Relation Presse au 01 40 21 08 13 ou cattoire@cattoire.com
Il y a 4 ans et 230 jours

Hager Group a une nouvelle directrice pour les marchés France et Belgique

Daphna Goldstein vient d’être nommée Managing Director Zone Continental West, en charge du développement commercial des marchés France et Belgique. Elle remplace Stephan Kreutzer, parti prendre la tête des marchés européens et russe de Viega.
Il y a 4 ans et 230 jours

Les ventouses insurrectionnelles de Jean-Louis Chanéac

En 1968, l’architecte français Jean‑Louis Chanéac présentait pour la première fois en public, à l’Académie Royale ...En savoir plus Cet article Les ventouses insurrectionnelles de Jean-Louis Chanéac est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 230 jours

Vinci Concessions décroche son premier PPP en Afrique

Le groupe français a conclu avec la République du Kenya un partenariat public-privé de 1,3 Md€ pour le développement du projet d’autoroute Nairobi – Nakuru - Mau Summit.
Il y a 4 ans et 230 jours

Six ans pour réenchanter les petites villes

Trois milliards d’euros soutiendront les fonctions de centralité de plus de 1000 petites villes de France jusqu’en 2026. Jacqueline Gourault, ministre de la Cohésion des territoires, lance officiellement ce nouveau programme phare de l’agence nationale pour la cohésion des territoires, le 1er octobre à Barentin (Seine-Maritime).
Il y a 4 ans et 230 jours

Hidalgo et Philippe défendent un Grand Paris allant jusqu'au Havre

Pour l'ancien Premier ministre, redevenu maire du Havre, "cette réalité n'est pas un dogme mais un fait. Il y a une particularité entre Paris, Rouen et Le Havre", a-t-il relevé au cours d'un débat avec la maire PS de Paris lors du Sommet du Grand Paris organisé notamment par Public Sénat et La Tribune."Au début, c'est vrai que certains ont moqué cette idée-là" mais "cette idée du Grand Paris jusqu'à la mer, jusqu'au Havre en passant par Rouen me paraît être une vision", a dit Anne Hidalgo."Paris est la seule grande métropole mondiale à ne pas avoir accès à la mer", a insisté la maire socialiste. Or, "il faut que Paris, la capitale de la France, soit beaucoup plus rapprochée, raccrochée à la mer pour avoir un débouché maritime, élément essentiel pour la qualification des grandes métropoles au niveau international", a-t-elle encore plaidé."Le vrai gros sujet, (...) c'est le fret ferroviaire, absolument essentiel. Là, on n'est pas du tout au niveau", a regretté M. Philippe, qui a lancé, en novembre 2018, lorsqu'il était encore locataire à Matignon, le projet de fusion des trois ports, du Havre, de Rouen et de Paris.Sans cela, et sans un véritable développement du transport ferroviaire, "on ne peut pas avoir une puissance réelle dans la compétition par rapport aux autres grands ports européens", a-t-il ajouté.Le projet du Grand Paris a été lancé en 2008 par l'ancien président Nicolas Sarkozy, et se heurte depuis aux freins administratifs et au manque de moyens financiers."Le Grand Paris n'a de chance de réussir que si le président de la République, lui-même, s'y met", a prévenu Nicolas Sarkozy, au cours d'un discours devant les acteurs de cette métropole.Après son élection, Emmanuel Macron en avait fait une priorité, mais le projet de réforme de la métropole parisienne n'a eu de cesse de s'enliser.
Il y a 4 ans et 231 jours

En Ile-de-France, un festival pour aborder la forêt et toutes ses facettes

Afin de "sensibiliser le public aux enjeux de la forêt", les organisateurs ont réussi à fédérer l'ensemble des acteurs concernés par elle, des gestionnaires de cette dernière, comme l'ONF, à des ONG type France Nature Environnement, en passant par les scieurs, ou les constructeurs."Il ne s'agira pas seulement d'une fête, on traitera aussi les questions de fond, les questions qui fâchent", a expliqué à l'AFP Paul Jarquin, créateur de ce festival et président de l'interprofession Fibois Ile-de-France.Cette volonté d'échanges animés marquera le coup d'envoi de ce festival, avec l'organisation le vendredi soir d'un "tribunal pour les générations futures", sorte de grand débat théâtralisé ouvert au public, à l'auditorium du centre international de conférences du Campus Pierre et Marie Curie à Paris."Les experts de la filière et de l'environnement échangeront le temps d'une soirée afin d'apporter des éléments de réponses aux questions récurrentes: abattre un arbre est-il un acte anti-écologique ? L'utilisation du bois, produit écologique par excellence, que ce soit en matériaux ou énergie, justifie-t-elle d'abattre des arbres?", selon les organisateurs.La journée de samedi, elle, se déroulera en extérieur, avec une multitude d'animations dans l'ensemble des forêts privées et publiques d'Ile-de-France : visites et découvertes de l'écosystème forestier et de son rôle notamment dans la lutte contre le changement climatique, présentation des savoir-faire et des métiers de la filière forêt-bois, et animations culturelles et artistiques seront au menu de ces sorties en forêt.Compte tenu du caractère nouveau de ce festival, les organisateurs, qui espèrent le maintien de la manifestation malgré l'évolution des contraintes sanitaires, ne se risquent pas à un pronostic sur la fréquentation.Les dix principales forêts franciliennes accueillent chaque année quelque 100 millions de visiteurs, soit davantage que les 10 sites culturels les plus fréquentés de la région.Renseignements et inscriptions à l'adresse suivante : cliquez ici
Il y a 4 ans et 231 jours

En pleine polémique sur son avenir, Action Logement présente des résultats florissants

RÉSULTATS. Action Logement, géant français du logement social, a présenté le 30 septembre des comptes florissants pour 2019, en pleine polémique avec l'Etat qui compte prélever un milliard d'euros à cet organisme géré par le patronat et les syndicats.
Il y a 4 ans et 231 jours

La construction de logements se redresse en août mais la baisse des permis de construire inquiète

Sur les trois mois compris entre juin et août, le nombre de logements mis en chantiers s'est établi à 88.300, soit une hausse de 2,2% par rapport à un an plus tôt, selon le ministère de la Transition écologique, dont dépend le Logement.Cela marque une franche amélioration sur le seul mois d'août. Les précédents chiffres, qui concernaient les trois mois entre mai et juillet, témoignaient encore d'un net recul malgré une amélioration déjà sensible sur le début de l'été.De nombreux chantiers ont dû être reportés au printemps, à la suite du strict confinement décrété entre mars et mai contre la propagation du coronavirus. Le relatif rebond des mises en chantier témoigne donc d'une reprise plutôt rapide de l'activité.En revanche, le tableau est plus mitigé quant aux permis de construire, plus parlants quant aux réelles tendances à venir en matière de logement neuf.Entre juin et août, 93.500 permis ont été octroyés. Malgré une amélioration par rapport aux précédents mois, cela reste un recul de 16,5% par rapport à la même période de 2019.Cette baisse est d'autant plus notable qu'elle correspond à une période où le confinement, qui avait largement gelé l'examen des permis, avait déjà pris fin.Les acteurs du secteur, en premier lieu les promoteurs immobiliers, s'inquiètent de plus en plus d'une crise durable du logement neuf. Au-delà du seul confinement, ils estiment que le secteur a pâti d'une période rallongée d'élections municipales, un contexte qu'ils jugent propice à décourager l'octroi de permis.
Il y a 4 ans et 231 jours

L'été permet aux matériaux de construction de remonter un peu la pente mais la reprise reste fragile

Pour autant, le niveau des cumuls annuels demeure encore très inférieur à ceux observés un an plus tôt. La perte d'activité enregistrée au cours des trois mois de mars-avril-mai a ramené les volumes annuels de granulats à leurs niveaux de mi-2016 (point bas historique), effaçant ainsi tout le chemin parcouru en trois ans ! Quant au BPE, les huit semaines de confinement ont gommé les 4/5 du redressement opéré depuis fin 2015. Le retour à une activité proche de la “normale” ne permettra pas de combler le gap à court terme, ce d'autant que la crise sanitaire, qui se double en crise économique, a chamboulé les déterminants de la demande de matériaux. Trois mois qui ont effacé plus de trois ansDepuis le mois de juin, le processus de "rattrapage" s'est amorcé des productions supérieures à celles de 2019. Ainsi, selon les résultats provisoires de l'enquête mensuelle d'août, l'activité granulats aurait progressé de +6,3% au regard de l'an passé et de +2,4% par rapport au mois de juillet (données CVS-CJO). Sur les trois derniers mois connus (juin-juillet-août), les volumes auraient rebondi de +63,7% par rapport au trimestre précédent, se positionnant à +4,3% au-dessus du niveau enregistré sur la même période de 2019. En dépit de ce rebond, les niveaux d'activité des granulats se situent, sur les huit premiers mois de l'année, à près de -11% en deçà de ceux de l'an passé. Quant aux volumes produits sur l'année, ils atteignaient à peine 300 millions de tonnes à fin août (hors recyclage), soit un recul de -7,8% en glissement sur un an. Du côté du BPE, le redressement est plus marqué encore, en écho à un plongeon plus appuyé. En août, les livraisons ont grimpé de +2,5% par rapport à juillet et de +10,1% au regard de 2019 (données CVSCJO). Sur les trois mois d'été, l'activité a rebondi de +88,9% par rapport aux trois mois précédents et de +5,5% sur un an. Mais à fin août, en cumul sur 12 mois, la chute demeure importante et atteint -12,2% en glissement (à 36,1 Mm3) tandis qu'elle approche -16% en cumul sur les huit premiers mois de 2020. L'indicateur matériaux, encore provisoire pour le mois d'août, décrit les mêmes évolutions avec des ampleurs comparables. Ainsi, après un deuxième trimestre qui s'est affaissé de près de -20% (données CJO), l'activité est revenue sur un recul de -12% sur un an pour les huit premiers mois de 2020, aucun des matériaux n'échappant à cette incurie conjoncturelle. Rebond des enquêtes mais jusque quand ?De leur côté, les enquêtes menées auprès des professionnels du bâtiment et des TP au cours de l'été traduisent aussi un net regain d'optimisme après le “trou noir” du printemps. En septembre 2020, l'opinion des chefs d'entreprise du bâtiment sur leur activité récente continue de s'améliorer et leurs carnets de commandes, après avoir retrouvé leur point haut en août, ont quelque peu diminué bien que restant très au-dessous de leur moyenne de longue période (8,5 mois dans le gros œuvre contre une moyenne de 6,2 mois). Ce constat suggère que la période de confinement n'a pas donné lieu à des annulations de commandes mais confirme hélas le net freinage des nouvelles, voire s'accélérer dans le segment du bâtiment neuf. Les mises en chantier de logements ont certes rebondi elles aussi ces derniers mois (le cumul depuis janvier ayant été ramené à -14,7% en juillet sur un an, contre -20% en mai) mais les permis, eux, peinent à se redresser (restant à -20% depuis mai). A fin juillet, et sur douze mois, on dénombrait ainsi 374 700 logements commencés pour 394 100 permis. Le “gel” de l'instruction des dossiers d'autorisation pendant plus de 2 mois, conjugué à la frilosité des promoteurs pour lancer de nouveaux programmes (elle-même liée à la dégradation de la solvabilité et de la confiance des ménages confrontés au problème du chômage), pourraient peser sur la dynamique du redémarrage des permis dans le secteur résidentiel. Même si l'investissement en logement figure toujours comme une priorité pour les ménages, le durcissement des critères d'octroi de prêts immobiliers recommandé aux banques fin 2019 par le HCSF (Haut Conseil pour la Stabilité Financière) pourrait freiner l'accès au crédit habitat des publics les plus modestes. En ce sens, le prolongement et le ciblage des mesures comme le PTZ et le Pinel, annoncés par le gouvernement, constitueraient un facteur de soutien au retour des projets, dans un contexte où l'épargne des ménages, en forte hausse depuis mars, représente un potentiel d'investissement non négligeable. En effet, avec plus de 85 milliards d'euros mis de côté en cinq mois, les ménages affichent un taux d'épargne de 27% du revenu disponible brut au deuxième trimestre 2020 contre moins de 15% un an plus tôt. Plus inquiétantes sont les perspectives dans le segment non résidentiel qui représente 47% des surfaces neuves construites. En effet, plutôt bien orienté avant le début de la crise sanitaire, le marché constructif des locaux d'activité s'est lui aussi sensiblement contracté mais les permis demeurent toujours sur une tendance très baissière à fin juillet (-29,4% sur un an). Tous les segments sont touchés et les effets du choc économico-sanitaire sur les entreprises (report des projets d'investissements, développement du télétravail…) et les collectivités locales (baisse des recettes fiscales…) obèrent l'espoir d'une reprise prochaine du segment non résidentiel. Du côté des travaux publics, les entreprises ont également retrouvé un peu d'optimisme, avec la reprise estivale de l'activité qui, à fin juillet, est encore 15% plus faible que celle des sept mêmes mois de 2019. Mais l'inquiétude reste de mise compte tenu de la mauvaise orientation des flux des nouveaux appels d'offre (-16% sur un an à fin juillet). La fin du cycle électoral, les incertitudes liées au “verdissement” des municipalités, la frilosité des collectivités locales, les nouveaux objectifs en urbanisme (Zéro Artificialisation Nette)… sont autant de facteurs pesant sur les projets futurs d'investissement en BTP. Néanmoins, le Plan de Relance, et ses crédits fléchés vers les projets d'infrastructures, couplé au volontarisme des municipalités dont les finances demeurent très saines, pourrait laisser espérer une éclaircie en 2021. Perspectives Matériaux 2020Compte tenu des précédents éléments et face à ces changements contextuels qui écartent l'hypothèse d'une “normalisation” rapide de la situation, la demande de matériaux pourrait accuser une baisse de -8% pour les granulats et de -11% pour le BPE en 2020 (données brutes). S'il est encore très délicat de se prononcer sur les tendances de 2021, les premiers scénarios envisagés à ce jour tablent sur une hausse des volumes autour de +4 / +5% l'an prochain, laissant les niveaux de 2021 environ 5 à 6% en dessous de ceux de 2019.
Il y a 4 ans et 231 jours

Guide sur le choix de la couleur de sa toiture

Que ce soit pour un projet de construction ou de rénovation, le choix de la couleur du toit est une étape essentielle. En effet, il constitue un élément déterminant dans l’esthétique finale d’un bâtiment. Ainsi, choisir les bons matériaux, la forme idéale et la couleur de toiture adéquate est primordial. Certes, ce n’est pas facile étant donné la multitude d’options proposées sur le marché. Voilà pourquoi, il est conseillé de consulter des couvreurs professionnels pour orienter vos choix et vous assister tout au long des travaux de toiture. En outre, il faut prendre en considération différents paramètres avant d’opter pour telle ou telle couleur de couverture. Choisir une couleur de toiture en respectant les réglementations locales Avant de prendre une quelconque décision sur la forme, le type ou la couleur de votre toiture, voire même de votre maison tout entière, il est indispensable de connaître les réglementations locales en vigueur. Ainsi, il vous faudra consulter le Plan Local d’Urbanisme de votre région. Ce plan est spécifique d’une région donnée et a été spécialement établi pour préserver les caractéristiques particulières qui la rendent unique. On peut, par exemple, faire mention des tuiles rouge bruine caractérisant le Nord du pays. Aussi, on peut citer les toitures grises bleutées faisant la particularité du Sud de l’Hexagone. Pour accéder plus facilement à ce PLU, vous devez préalablement vous renseigner auprès des administrations locales, en l’occurrence la mairie. Opter pour une couleur de toiture assortie avec celle de la maison La couleur que vous choisissez pour votre toit doit parfaitement se marier avec celle de votre maison. Aussi, cela va dépendre de vos goûts et de votre personnalité. Dans la mesure où vous souhaitez une couleur classique pour votre toit, il est conseillé d’opter pour des bardeaux gris, noirs ou bleutés. En revanche, si vous voulez créer un petit contraste, l’idéal est de choisir une couleur plus vive comme du rouge orangé par exemple. D’ailleurs, les contrastes de couleur sont très tendance et attirent l’attention des passants. En outre, sachez que les couleurs assez claires cachent très bien les imperfections, tant sur votre couverture que sur vos murs. Ainsi, il convient de combiner, sans mélanger, les couleurs des murs et du toit. Cette combinaison sera nettement plus agréable à contempler et rendra les petits défauts insignifiants. En guise d’illustration, pour des murs en briques de couleur jaune ou orangée, choisissez plutôt la couleur brune ou grise pour vos bardeaux. Choisir une couleur conforme au style architectural de la maison Il s’agit ici d’accentuer l’esthétique de votre maison. Pour ce faire, il est important mettre en valeur les éléments et les motifs qui la rendent unique en jouant avec  les couleurs. Toutefois, attention à ne pas tendre vers « l’extravagance » ! Cela est surtout valable pour une toiture en pente, laquelle est visible de l’extérieure. Ainsi, la couleur choisie doit pouvoir ressortir parfaitement la beauté et les caractéristiques particulières du toit. Et ce, d’autant plus en présence des divers ornements de toiture. Pour un tel chef d’œuvre, il est fortement recommandé de demander conseil auprès d’un artisan couvreur comme sur ce site. En revanche, pour la toiture-terrasse, il n’est pas tellement nécessaire d’opter pour une couleur forte attrayante. Comme le toit est plat, il ne pourra donc être visible que de haut.
Il y a 4 ans et 231 jours

Le Grand Paris, jusqu'au Havre ?

TERRITOIRES. Anne Hidalgo et Edouard Philippe ont réitéré, à l'occasion du Sommet du Grand Paris, leur souhait d'avancer sur le projet d'un Grand Paris allant jusqu'au Havre en passant par Rouen.
Il y a 4 ans et 231 jours

Le gouvernement envisage des soutiens extra-budgétaires au Biogaz

"Oui les subventions publiques ont été et sont au rendez-vous de l'aventure du biogaz: depuis 2011 l'État achète le biogaz à un prix 5 à 10 fois supérieur à celui du gaz fossile pour permettre à cette filière d'émerger", a-t-elle déclaré lors du congrès annuel du gaz organisé par les professionnels du secteur."Mais ce soutien doit aussi savoir évoluer avec la croissance et la maturité de la filière", a-t-elle poursuivi."Cette baisse était annoncée et connue de tous depuis 18 mois", elle "a été concertée et a pris en compte les données de coûts communiquées par la filière", a insisté la ministre.Elle répondait directement aux inquiétudes et aux critiques exprimées par les professionnels. Le président de l'Association française du gaz (AFG) Patrick Corbin avait juste auparavant déploré "l'avenir incertain" de la filière."Nous ne sommes pas insensibles aux problématiques budgétaire de l'État mais nous souhaitons vraiment que les atouts de cette énergie soient réellement pris en compte", avait-il déclaré en ouverture du congrès.Les pouvoirs publics ont notamment un projet de revue du tarif d'achat du biométhane injecté dans les réseaux de gaz naturel, suscitant l'inquiétude de la filière méthanisation."Nous devons également réfléchir à des mécanismes de soutien extra-budgétaires", a toutefois avancé la ministre.Elle a ainsi cité le dispositif "Méthaneuf", "une piste intéressante que j'ai demandé à mes services d'approfondir"."Il s'agit de faire payer aux constructions neuves une part de soutien au biométhane", a-t-elle expliqué.Mme Pompili a aussi cité un nouvel appel à projets pour "développer des démonstrateurs de solutions pour la compétitivité de la filière méthanisation". Il doit bénéficier d'une enveloppe de plus de 20 millions d'euros de l'Ademe, l'Agence de la transition écologique.Le secteur gazier s'inquiète en outre beaucoup de la future nouvelle réglementation environnementale pour les bâtiments neufs, dite "RE 2020", qu'il accuse de favoriser l'électricité."Les consultations sont encore en cours" et "je peux avoir certaines convergences sur des points que vous avez soulignés mais il est encore trop tôt pour en parler", a indiqué Mme Pompili.
Il y a 4 ans et 231 jours

Photovoltaïque : une des plus grandes centrales d’Ile de France inaugurée

Une des plus grandes centrales solaires de la Région Île-de-France vient d’être inaugurée. Sa production d’électricité couvre les besoins d’alimentation en électricité de 3 700 foyers, soit près de 10 000 habitants.
Il y a 4 ans et 231 jours

"Nous avons besoin de logements et donc de construction", Emmanuelle Wargon

GRAND PARIS. La ministre déléguée au Logement a clôturé les 24 heures du Grand Paris, qui avaient lieu le 29 septembre 2020. L'occasion pour Emmanuelle Wargon de définir son ambition pour la métropole de demain qui, après les transports, devra se focaliser sur l'habitat et l'aménagement.
Il y a 4 ans et 231 jours

Le Thermostat connecté Somfy, éligible au « Coup de pouce » de l'État, reçoit de nouvelles fonctionnalités

Alors que le Ministère de la Transition écologique a instauré une prime de l'État pour pousser les français à installer un thermostat intelligent chez eux, Somfy annonce de nouvelles fonctionnalités encore plus performantes à son thermostat connecté, éligible au « coup de pouce thermostat » accordant une aide de 150€ sur le coût d'installation.Un thermostat programmable et 100% programméLe thermostat de Somfy est 100% programmé par les utilisateurs, rompant ainsi l'idée qu'un thermostat programmable peut être inutile lorsqu'il n'est pas programmé. On estime que beaucoup de thermostats programmables ne sont pas programmés, et ainsi n'apportent pas l'intégralité des bénéfices promis, contrairement aux thermostats de Somfy.Une des plus larges compatibilités sur le marchéFace à ce nouveau dispositif mis en place par l'État, force est de constater que le taux d'équipement en France est encore faible : environ 10%* seulement des français seraient équipés d'un thermostat connecté et ce, malgré leur volonté de changer leurs habitudes et de réduire leur consommation énergétique. En effet, selon l'équipement domestique, trouver un thermostat compatible avec son chauffage peut vite se révéler compliqué. Le nouveau thermostat connecté Somfy offre des compatibilités plus larges. Compatible PAC/ chaudière/ poêle à granule/ radiateur électrique/ plancher chauffant, il permet de s'adapter à la multitude de systèmes de chauffage existants. Somfy propose une aide au choix depuis son site internet pour vérifier avant la phase d'achat les compatibilités parmi plus de 2500 références de système de chauffage (https://trouvermasolutiondechauffage.somfy.fr). Ainsi, la meilleure solution sera recommandée en fonction de son type d'habitation, de son type de chaudière, etc.*Source : estimation du syndicat des Automatismes, du génie Climatique et de la RégulationUne performance énergétique optimiséeLe nouveau thermostat connecté Somfy dispose d'un nouvel algorithme de régulation plus efficace et propre à chaque type d'applicatif : après quelques semaines, le mode d'auto-apprentissage affine la régulation du chauffage, pour s'adapter parfaitement aux caractéristiques de chaque système.Grâce à la fonction « coaching », l'utilisateur bénéficie de conseils personnalisés pour améliorer sa consommation et réduire ses dépenses. Il peut également se fixer des objectifs de consommation et être alerté quand ceux-ci sont atteints.Selon l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe), l'installation d'un thermostat d'ambiance permet d'économiser en moyenne 15 % d'énergie, soit une baisse annuelle de 210 euros (source : ADEME, chiffre estimatif sur une maison chauffée au gaz, pour une facture annuelle d'environ 1400€). Les performances des composants wifi et bluetooth ont également été améliorées. Enfin, le processus d'installation a été repensé pour être plus rapide et pratique.Le confort sur mesure La nouvelle version du thermostat connecté Somfy est dotée d'une « molette tactile », qui permet aux utilisateurs de réguler la température de manière plus efficace et plus facile.Son application intuitive permet de programmer automatiquement son thermostat en une minute. Elle offre désormais la possibilité de changer les tailles des zones et l'écart de température pour la fonction « géolocalisation ».Un écosystème completCompatible avec TaHoma, le thermostat connecté Somfy peut être associé à des scénarios d'économies d'énergie intégrant d'autres équipements Somfy comme les volets motorisés et les capteurs de soleil. Par exemple, l'ouverture des volets permet de profiter de la chaleur du soleil et de baisser le chauffage, permettant d'économiser jusqu'à 10%* sur la facture de chauffage. Le thermostat est également compatible avec Amazon Alexa, IFTTT et Google Home.*Étude Physibel réalisée pour ES-SO, European Solar Shading Organization. Bruxelles.Disponibilité et prix :Le thermostat connecté est disponible en 2 versions :Thermostat connecté filaire : prix public conseillé de 149 euros TTCThermostat connecté radio : prix public conseillé de 179 euros TTCEn tant que marque qui s'engage auprès de ses consommateurs sur la durabilité de ses produits, Somfy offre une promesse de garantie à 5 ans.Le thermostat connecté Somfy est éligible au « coup de pouce » de l'État sur l'installation électrique fil pilote et poêle à pellet.Depuis le 1er juillet 2020, le programme « Coup de pouce thermostat » a pour objectif de favoriser les économies d'énergie des ménages en leur permettant de réduire leur consommation de chauffage cet hiver. Pour y parvenir, l'État propose une aide de 150 euros pour l'installation d'un thermostat dernière génération capable de programmer le chauffage de façon optimale. La prime est financée par le mécanisme des Certificats d'économie d'énergie (CEE) ou primes d'énergie CEE, qui imposent aux fournisseurs d'énergie de contribuer au financement des travaux d'amélioration de la performance énergétique chez les particuliers.
Il y a 4 ans et 231 jours

Paris La Défense a un nouveau directeur général

CARNET-NOMINATION. Pierre-Yves Guice a été désigné directeur général de l'établissement public gestionnaire du quartier d'affaires parisien. Il remplace Marie-Célie Guillaume, qui a quitté ses fonctions en juillet.
Il y a 4 ans et 231 jours

Le Musée subaquatique #2 : Le début de l’immersion

“L’oursin” de Daniel Zanca, immergé. [©Wallis/MSM]“L’ours polaire” de Michel Audiar. [©Wallis/MSM]Evelyne Galinski : “Les Néréides” et Daniel Zanca : “L’Oursin”. Voici le nouveau Musée subaquatique de Marseille. [©Wallis/MSM]Le “Poseidon” de Christophe Charbonnel, mis en place par la société d’ingénierie sous-marine Seven Seas. [©Wallis/MSM]Le “Poseidon” de Christophe Charbonnel, dans le futur Musée subaquatique de Marseille, à 5 m de profondeur. [©Wallis/MSM]“La Graine et la Mer” Davide Galbait, prend sa place à 5 m de profondeur. [©Wallis/MSM]“La Graine et la Mer” Davide Galbait, dans toute leur splendeur sous les flots. [©Wallis/MSM] Entre mars et septembre, est passée la crise sanitaire. En mars dernier, avait lieu à l’anse Pharo, la découverte en “cale sèche” des œuvres du futur Musée subaquatique de Marseille. Porté par Antony Lacanaud et l’association des Amis du Musée subaquatique de Marseille, le projet a franchi un nouveau cap, en septembre, avec l’immersion de 8 de ses sculptures en béton. Ainsi, le public s’apprête à découvrir l’installation “multi-artistes” de 10 œuvres. Ceci, à 100 m au large de la plage et 5 m de profondeur. La société d’ingénierie sous-marine Seven Seas assure actuellement le chantier.  « Ce musée hors du commun et tant attendu se révèle être une véritable prouesse artistique, technique, scientifique, pédagogique et environnemental. L’ouverture au public se fera au mieux courant de l’automne suivant les aléas climatiques »,insiste Antony Lacanaud.  Lien vidéo ici.
Il y a 4 ans et 231 jours

Le gouvernement augmente de 300 millions d'euros la ponction sur Action Logement

Le gouvernement a décidé de mettre encore un peu plus à contribution l'organisme Action Logement en annulant le versement d'une compensation prévue de près de 300 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 231 jours

Louis Aliot instaure un permis de louer à Perpignan

Le maire RN de Perpignan, Louis Aliot, annonce la mise en place d'un "permis de louer" pour lutter contre l'habitat indigne et les marchands de sommeil dans des quartiers du centre ancien de Perpignan.
Il y a 4 ans et 231 jours

Le patrimoine industriel mis à l’honneur dans le Concours Lumières

En récompensant un parc urbain, le chevalement d’un ancien puits de mine et un passage souterrain, le Jury du Concours Lumières a mis à l’honneur le patrimoine industriel cette année. Le premier prix est remporté par CAP Métopole, SPL de Saint-Etienne Métropole (42) pour la mise en lumière du site Novaciéries. Le second prix est attribué au SIEG 63 – Territoire d’Énergie du Puy-de-Dôme pour la mise en valeur des vestiges d’un ancien puits de mine à charbon dans la commune de Youx. Le troisième prix est décerné à la ville de Lyon (69) pour l’éclairage d’un tunnel de circulation, situé sous la voie ferrée de la gare de Perrache. Le Jury du Concours Lumières, présidé par Guy Geoffroy, Maire de Combs-la-Ville (77) et Président de l’association des Éco Maires, a décerné le 3 septembre dernier les trois prix du concours 2020. Cette année 25 dossiers étaient en compétition. Depuis sa création en 1987, le concours a récompensé plus de 150 réalisations. Chaque année, de nombreux maîtres d’ouvrage publics et privés, des concepteurs lumière et des installateurs accordent leur savoir-faire pour sublimer des éléments du patrimoine, historique ou contemporain, des espaces réhabilités, voire des sites industriels, comme en atteste le palmarès de cette 32ème édition. Le jury a fondé son appréciation sur différents critères tels que la cohérence du projet par rapport à son environnement, sa fonction ou le passé historique du site mis en lumière. Très sensibilisé à l’impact environnemental de l’éclairage, il a également pris en compte la performance énergétique de l’installation, l’intégration des équipements afin de réduire leurs impacts visuels et la réduction des nuisances lumineuses. Pour les membres du Jury, “l’éclairage de mise en valeur doit avant tout servir le site ou les bâtiments et non l’inverse. Point n’est besoin de surdimensionner l’installation, en puissance comme en effets, pour éblouir le public”. L’alliance d’une réflexion préalable à la maîtrise des techniques est indispensable pour donner du sens à la mise en scène et révéler avec élégance la richesse du patrimoine. Photo : CAP Métropole, SPL de Saint-Étienne Métropole (42) – Mise en lumière du site Novaciéries © SO Dupont Renoux.
Il y a 4 ans et 231 jours

Nouveau Directeur Général chez Wienerberger France

Frédéric Didier, 43 ans, est le nouveau Directeur Général de Wienerberger France. Revendiquant une solide expertise du secteur des matériaux de construction et du bâtiment, il débute sa carrière dans les années 2000 comme responsable commercial régional chez Ciments d’Origny. Une société au sein de laquelle il évoluera dans diverses fonctions (Support technique, Export, Responsable commercial), avant d’être nommé, en 2009, Directeur National des ventes liants hydrauliques routiers et produits spéciaux d’Holcim France. En 2013, il intègre Eqiom France – groupe CRH pour occuper la fonction de Directeur Régional Granulats Est de la France. En 2016, il rejoint le groupe Wienerberger comme Directeur Général Adjoint de la filiale française. Il a, entre autre, développé l’activité Tuiles avec beaucoup de réussite, grâce à une approche dynamique et collaborative, basée sur une stratégie pragmatique à l’écoute du marché. Frédéric Didier a la volonté de développer la stratégie d’innovation et de performance du Groupe Wienerberger en France. Il précise : « Véritable précurseur, Wienerberger s’est doté aujourd’hui d’importants moyens permettant d’appréhender les attentes du marché autour des défis environnementaux ou de la transformation digitale par exemple. Je compte capitaliser sur cette richesse et notre expertise industrielle, pour renforcer davantage notre offre et le développement de nos compétences et services. » Photo : Vincent Muller
Il y a 4 ans et 231 jours

Palmarès 2020 du concours « les rubans du Patrimoine »

Le jury de la 26ème édition du concours « les rubans du Patrimoine » a désigné les lauréats 2020. Le jury national, présidé par Frédéric LÉTOFFÉ, Président de la Commission Technique et Normalisation de la FFB, a étudié 18 dossiers proposés par les jurys régionaux, parmi les 96 dossiers éligibles reçus cette année. Cinq prix nationaux ont été attribués : – Prix national au titre des communes et structures intercommunales de moins de 3500 habitants, Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire) pour la restauration du Grand Clocher de l’église abbatiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul, – Prix national au titre des communes et structures intercommunales entre 3500 et 20000 habitants, Mortagne-sur-Sèvre (Vendée) pour la réhabilitation de l’église Saint-Hilaire et création d’un centre d’interprétation du vitrail – Prix national au titre des communes et structures intercommunales de plus de 20000 habitants, Communauté d’agglomération du Val de Fensch (Moselle) pour la restauration du colombier, des grilles d’enceinte et du portail monumental du Domaine de Wendel à Hayange – Prix spécial du jury, La Ferrière-sur-Risle (Eure) pour la restauration de la halle – Prix spéciaux « dynamisme territorial » (ex æquo), Joinville (Haute-Marne) pour la réhabilitation d’un immeuble du XVIe siècle en logements sociaux et Vieille-Chapelle (Pas-de-Calais) pour la restauration de la ferme Sénéchal en vue d’ouvrir une plate-forme expérimentale pour autistes adultes et autistes déficients visuels La cérémonie officielle de remise des prix nationaux aura lieu le 7 décembre prochain dans les locaux de la FFB à Paris. Ce concours, est organisé en partenariat avec l’Association des maires de France et des présidents d’intercommunalité, la Fédération Française du Bâtiment, la Fondation du patrimoine, la Fédération nationale des Caisses d’Epargne et le Groupement français des entreprises de restauration de Monuments Historiques. Il récompense des communes et des intercommunalités ayant réalisé des opérations de restauration ou de mise en valeur de leur patrimoine bâti. Les jurys régionaux et le jury national ont pris en compte les critères suivants : intérêt et valeur du patrimoine considéré, cohérence esthétique et architecturale, matériaux et organisation du chantier, qualité de la mise en œuvre, retombées de ces opérations d’un point de vue social, économique, culturel, environnemental et touristique, audace de l’opération et mobilisation populaire. 12 prix régionaux ont également été attribués aux communes dont les dossiers ont été sélectionnés par les jurys régionaux pour concourir au niveau national. Cette année, 36 prix départementaux ont été décernés par les jurys régionaux. Les prix régionaux et départementaux seront remis localement, lors de manifestations organisées dans les communes par les représentants des cinq partenaires, au cours du dernier trimestre 2020. www.rubansdupatrimoine.ffbatiment.fr Photo : Beaulieu-lès-Loches – CPCL Mairie
Il y a 4 ans et 232 jours

L'annulation du permis de construire de 12 villas en Corse confirmée en appel

La cour a rejeté lundi le recours de la société PCPG contre la décision du tribunal administratif de Bastia qui avait déjà donné raison en décembre 2018 à l'association de défense de l'environnement U Levante.L'association avait saisi le tribunal pour lui demander "d'annuler pour excès de pouvoir" l'arrêté pris par le maire de Sartène pour délivrer ce permis de construire sur le hameau de Serragia.La cour a rejeté les arguments de la société PCPG qui assurait se fonder sur des prescriptions du plan d'aménagement et de développement durable pour la Corse (Padduc) et qui lui permettait, selon elle, de prévoir le renforcement urbain de certains espaces urbanisés qui ne constituent ni une agglomération ni un village."Dès lors que le plan d'occupation des sols de Sartène n'identifie pas le lieu-dit Serragia comme un espace pouvant ainsi faire l'objet d'un renforcement urbain ni n'apporte de justification à une telle identification, la société pétitionnaire n'est, en tout état de cause, pas fondée à se prévaloir de ces prescriptions", écrit la cour dans sa décision consultée par l'AFP.Ce projet immobilier baptisé "Les collines de Murtoli" est porté par la société PCPG des noms de Paul Canarelli, propriétaire du domaine de Murtoli et Pascal Grizot, vice-président de la fédération du golf de France.La cour confirme donc l'annulation de cet arrêté du 22 mars 2017 et condamne la société PCPG à verser à l'association U Levante 2.000 euros pour les frais de justice.L'avocat de l'association Benoist Busson s'est félicité de cette décision, estimant qu'elle n'était que "l'application classique et sans surprise" de la loi littoral précisée par le Padduc.Le domaine de Murtoli, 2.500 hectares en bord de mer, est un lieu de villégiature prisé de personnalités de la politique, des affaires et du spectacle.
Il y a 4 ans et 232 jours

RE2020 : les acteurs entrent dans la phase finale de concertation

REGLEMENTATION. La concertation entourant la réglementation environnementale 2020 se poursuit, et approche de sa phase finale. Les arbitrages ne sont pas tous joués, a assuré récemment la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili.
Il y a 4 ans et 232 jours

Nadia Hai se targue d'un budget de la Ville en augmentation

LOI DE FINANCES. Le projet de budget pour 2021 présente une augmentation de 10% des crédits du ministère de la Ville. Celle-ci doit permettre une "amplification" des actions sur trois politiques clés, dont le renouvellement urbain.
Il y a 4 ans et 232 jours

L'aluminium gagne des parts de marché sur les ventes de fenêtres

L'aluminium poursuit sa croissance en 2019 dans un contexte pourtant austèreAfin de mieux comprendre la légère progression du marché de la fenêtre de +1.6% entre 2017 et 2019, correspondant à 10.026.000 fenêtres vendues en France métropolitaine en 2019, il est important de rappeler les évènements qui ont marqué cette période.La principale explication vient notamment du fait que la rénovation dans le logement, qui représente 60.7% de parts de marché, a vu le Crédit d'Impôt Transition Énergétique (CITE) passer de 30% en 2017 à 15% plafonnés à 100€ par équipement en 2019. Par ailleurs, le mouvement des gilets jaunes, apparu en octobre 2018, a également joué un rôle dissuasif sur le 1er trimestre 2019.En revanche, les transactions immobilières de logements anciens enregistrées par les Notaires de France sur l'année 2019 ont cru de +9,4% par rapport à 2017. Ces acquisitions, qui ont connu un niveau de volume record sont régulièrement suivies de travaux de rénovation et donc, ont soutenu le marché de la fenêtre. Quant au marché du neuf, il ne s'est pas remis de sa forte chute de 2018 et a connu en 2019 une baisse de -7,3% par rapport à 2017.Bien que le marché évolue timidement, la fenêtre aluminium progresse de 7,1% en 2019 par rapport à 2017 et capte un tiers des parts de marché en volume. Par ailleurs, avec une croissance en valeur de +12,8% entre 2017 et 2019, l'aluminium porte le marché de la fenêtre en valeur qu'il domine désormais avec 43,9% des parts de marchés.Sans oublier que cette croissance est aussi portée par sa force de production qui recense en France métropolitaine 2 651 fabricants de fenêtres en aluminium sur son territoire.Côté importation, seuls 7,1% des 1 101 000 châssis importés en 2019 sont en aluminium, même s'ils ont représenté la plus forte progression avec +33% par rapport à 2017.Le marché de la fenêtre au 1er semestre 2020Après un 1er trimestre 2020 (du 1er janvier au 16 mars 2020) très positif avec une progression de +8,5% par rapport à 2019, 79,5 % des sociétés de pose et la quasi-totalité des usines ont dû fermer leur porte pour une durée indéterminée, le 16 mars 2020 au soir, veille du confinement.Les fabricants, sous l'impulsion d'une poignée de majors et avec l'accompagnement de leurs organisations professionnelles représentatives comme le SNFA, puis les poseurs, ont su s'adapter à ce nouveau quotidien aux nombreuses contraintes sanitaires et organiser la reprise. La semaine du 6 avril 2020, la lumière revenait dans les premières usines de production de fenêtres et la reprise s'est opérée par paliers. Par ailleurs, grâce à une bonne communication des poseurs sur les gestes barrières à respecter chez les clients, des rendez-vous ont pu être planifiés quasi-normalement chez les particuliers dès le premier jour du déconfinement, le 11 mai 2020.En revanche, la reprise fut plus complexe pour le marché de la fenêtre dans le neuf et pour les chantiers, du fait de l'ambiguïté de l'État sur la responsabilité des Maîtres d'Ouvrages dans les décisions d'arrêt des chantiers. En effet, même si les chantiers ont réouvert pour 96% d'entre eux, seuls 78% d'entre eux étaient en pleine activité afin de respecter les gestes barrières et les mesures sanitaires, engendrant ainsi des répercussions sur la productivité et les délais.Résultat, au premier semestre 2020, la production cumulée de fenêtres a chuté de -22.9% par rapport à 2019 en volume, tous chantiers confondus et tous matériaux confondus.L'aluminium, des qualités qui séduisent de plus en plusAvec une année 2020 marquée par deux mois de confinement, la fenêtre aluminium est pourvue de qualités à faire valoir sur le bien-être et l'amélioration du confort de vie.Tout d'abord, sur le plan de la robustesse, l'aluminium permet de réaliser des ouvertures de grandes dimensions et des coulissants offrant un grand clair de jour. Au point, que grâce à leurs montants fins, les fenêtres aluminium sont les plus lumineuses avec 15 à 20% de lumière en plus. Ces qualités bénéficient au confort de l'habitat et à la qualité de vie des occupants grâce aux apports de lumière et de chaleur naturelles. Ces apports gratuits peuvent générer jusqu'à 30% d'économie de chauffage.D'autre part, les fenêtres aluminium offrent une excellente isolation grâce à la rupture de pont thermique.Esthétiquement, les menuiseries aluminium s'adaptent à toutes les projets que ce soit en neuf ou en rénovation, et les possibilités de personnalisation sont infinies avec, par exemple, la bicoloration, à savoir l'application d'une couleur différente sur les montants intérieurs et extérieurs.La filière de la menuiserie aluminium est, par ailleurs, engagée dans une démarche de qualité globale sur la fabrication des fenêtres : le LABEL fenêtrealu et la certification NF Fenêtres Aluminium.Étude commandée par les organisations professionnelles représentatives de la profession - SNFA, UFME et UMB-FFB-Codifab et réalisée par l'équipe du cabinet P&P qui s'est entretenue avec 147 dirigeants de majors industriels du secteur et 911 dirigeants de sociétés de pose, entre mars 2020 et juillet 2020, afin de disposer de chiffres précis sur le marché et les caractéristiques techniques des fenêtres vendues en 2019 et établir des prévisions pour 2020 (intégrant l'impact de l'épidémie de Covid-19).
Il y a 4 ans et 232 jours

Les sociétés d'ingénierie de plus en plus inquiètes attendent toujours le redémarrage de leur activité

Plus d'1 entreprise sur 2 estime que le redémarrage n'a pas encore eu lieu et craint pour la pérennité de son activité. Pour les plus fragilisées, les premières difficultés de trésorerie apparaissent. Dans ce climat d'inquiétudes, en particulier pour les ingénieristes du conseil en technologies, la mise en œuvre rapide, simple et efficace du plan de relance sera clé. Partenaire des industriels et des collectivités, la profession génère 47,5 milliards d'euros de chiffre d'affaires et emploie 312.000 collaborateurs partout en France.« Le gouvernement a présenté le 3 septembre dernier un plan de relance massif et ambitieux. L'urgence est désormais de le mettre en œuvre. Les entreprises d'ingénierie continuent de souffrir du ralentissement économique et pour certaines les premières difficultés de trésorerie apparaissent. Au-delà de notre profession, c'est bien tout l'écosystème économique qui risque d'être atteint d'ici 6 mois ; car l'ingénierie – qui intervient sur les études et la conception – est à la racine de tout projet industriel et de construction ! Les entreprises d'ingénierie sont en ordre de bataille pour enclencher la relance ; il faut lancer les projets dès que possible ! »-Pierre Verzat, président de Syntec-IngénierieUne relance à matérialiserSi l'heure est à la relance, les entreprises d'ingénierie n'en voient pas encore les effets. 2/3 d'entre elles souffrent toujours d'une baisse de leurs prises de commandes par rapport à la même période en 2019 et pour près d'une entreprise sur 2, elle atteint 11 à 30%. Pour 2/3 des sondés, l'activité sera toujours à la baisse aux 3e et 4e trimestre 2020.Une chute durable de l'activité qui a des répercussions directes sur l'emploi des techniciens et ingénieurs. Les équipes restent sous-occupées pour plus de la moitié des entreprises interrogées (47% seulement travaillent à 100%) et 7% des effectifs sont toujours soumis à l'activité partielle (vs. 9% en juillet).Les ingénieristes inquiets et confrontés à des difficultés de trésorerieMalgré l'efficacité des différentes mesures de soutien aux entreprises, les ingénieristes voient leur trésorerie mise à mal. Un tiers d'entre eux est confronté à l'allongement des délais de paiement et pour 15%, ils ont dépassé les 30 jours. Notons que ce délai ne cesse d'augmenter depuis le début de la crise : 7% la semaine du 11 mai, puis 11% la semaine du 1er juin. Pour 72%, ces difficultés s'expliquent en grande partie par le refus de la part du client de prendre en charge les surcoûts liés à la Covid-19.Réouverture des chantiers et des sites industriels, reprise de la publication des appels d'offres, annonces du plan de relance… Alors que la situation semble se normaliser, plus d'1 entreprise d'ingénierie sur 2 estime que le redémarrage économique n'a pas encore eu lieu. Un ralentissement durable de l'économie qui inquiète la profession. Si une petite partie des sondés fait déjà part de difficultés de trésorerie, le risque se situe dans les 6 mois à venir pour 20% d'entre eux. Quoi qu'il arrive, les 12 mois à venir seront décisifs pour la moitié des répondants.*Baromètre réalisé par Syntec-Ingénierie auprès de ses adhérents entre le 1er et 4 septembre 2020. Les répondants sont des entreprises de toutes tailles, qui interviennent dans l'industrie et la construction et dans tous les secteurs d'activité d'ingénierie.
Il y a 4 ans et 232 jours

Rénovateurs énergétiques : Roselyne et Jean sont dans un vaisseau

Le label RGE (Reconnus Garant de l’Environnement) a été instauré en 2011 pour permettre aux particuliers, désireux d’effectuer des travaux d’économie d’énergie, de faire appel à des professionnels compétents et qualifiés. En réalité, comme souvent dans ce pays, un vœu pieux se révèle être un cauchemar réglementaire, inefficace de surcroît. Mais Roselyne Bachelot, la ministre […] L’article Rénovateurs énergétiques : Roselyne et Jean sont dans un vaisseau est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 232 jours

Castex et les régions scellent un accord sur le "co-pilotage" du plan de relance

"Il s'agit d'un accord pour renouveler le dialogue avec les régions et les associer étroitement à la mise en œuvre de la relance", a indiqué Matignon à la presse, à l'occasion de la venue à Paris des présidents de région pour signer un "accord de partenariat", qui donne suite à celui signé fin juillet par Renaud Muselier, le président de Régions de France."Le texte reprend les grandes lignes de l'accord de méthode de juillet, mais il est désormais tourné vers le plan de relance de manière très volontariste", a assuré l'entourage du chef du gouvernement.A l'exception du président du conseil exécutif de Corse, Gilles Simeoni, qui n'a pu se déplacer "pour des raisons logistiques", les 12 autres présidents de région, ainsi que celui de la Guyane, Rodolphe Alexandre, ont fait le déplacement pour signer ce texte qui consacre les régions comme "co-pilotes du plan de relance", a souligné Matignon."Dans chaque région, d'ici la fin de l'année, il y aura la signature d'un accord de relance", a expliqué le cabinet du Premier ministre, précisant que les départements qui le souhaitent pourront aussi signer des textes du même type.Dans cet "accord de partenariat", l'État et les régions s'engagent à investir chacun 5 milliards d'euros supplémentaires dans le cadre du plan de relance, soit 10 milliards de plus pour un total de 40, comme convenu en juillet.Cela s'effectuera dans le cadre des contrats de plan État-Région 2021-2027, dont les axes forts tourneront autour de la transition écologique, la recherche, la cohésion sociale, la santé, la formation professionnelle ou encore la modernisation des infrastructures de transport."A court terme, pour amorcer la pompe, il est prévu dès la fin 2020 de soutenir les investissements régionaux qui s'inscrivent dans le plan de relance à hauteur de 600 millions d'euros", a expliqué Matignon. Autre signe d'apaisement, la compensation totale de la baisse des impôts de production, décidée par l'exécutif pour stimuler la compétitivité des entreprises. Cette coupe de 20 milliards d'euros vient directement toucher les régions, qui en percevaient 7 à 10 milliards, notamment via la cotisation sur la valeur ajoutée (CVAE).
Il y a 4 ans et 232 jours

MaPrimeRenov’ : une aide attractive pour la rénovation énergétique

Emmanuelle Wargon, ministre du Logement, a annoncé dans les colonnes du Journal du Dimanche que le plan de relance pourra permettre à l’aide « MaPrimeRenov’ » de financer jusqu’à 90% du devis des ménages modestes. Cette aide pourra être demandée à partir du 1er janvier 2021 et elle concernera les devis signés après le 1er octobre 2020. Un simulateur pour estimer son montant sera mis en ligne le 5 octobre. Lancée en janvier 2020, MaPrimeRenov’ est maintenant la principale aide de l’État pour la rénovation énergétique des logements. Plus simple, plus juste et plus efficace, elle rencontre un franc succès avec plus de 100 000 demandes à ce jour. Son budget a été augmenté en cours d’année, de 390 M€ à 575 M€. En 2021, MaPrimeRenov’ remplacera définitivement le crédit d’impôts transition énergétique (CITE) et sera étendue à tous les ménages, quels que soient leurs revenus, qu’ils soient bailleurs ou occupants, en prévoyant aussi une aide simplifiée pour les copropriétés. Son budget sera alors de 740 M€. MaPrimeRenov’ pourra être cumulée avec les certificats d’économies d’énergie (CEE).
Il y a 4 ans et 232 jours

Une journée en ligne autour de la massification de la rénovation

Alors que le salon ARTIBAT est repoussé d’un an, Jeudi 22 octobre 2020, les organisateurs et NOVABUILD proposent une journée en ligne dédiée aux solutions terrain pour faciliter la massification de la rénovation. Ainsi, alterneront des séquences de présentation des solutions innovantes portées par les 10 lauréats du concours CIRQ 2020 avec des séquences thématiques d‘experts de terrains et des retours d’expériences autour de : l’innovation pour massifier, la rénovation du patrimoine bâti, la massification dans le logement individuel et collectif, l’économie circulaire en rénovation. Marjolaine MEYNIER MILLEFERT, Députée et co-Présidente du PREB (Programme de Rénovation Énergétique du Bâtiment) et Sabine BASILI, Présidente du Programme national pour la qualité de la construction et de la transition énergétique, ouvriront cette journée. Elles nous présenteront le plan rénovation, les moyens alloués par le gouvernement grâce au plan de relance et les solutions proposées par les entreprises. Laurent ROSSEZ, Président de NOVABUILD, et Michel BROCHU, Président de la CAPEB Pays de la Loire, récompenseront en clôture, les 3 premiers lauréats. Les 10 lauréats CIRQ 2020 1er Prix du jury : Isol’En Paille : ISOL’en Paille produit sur mesure une gamme d’isolants de qualité adaptée aux besoins de la construction comme de la rénovation. La botte de paille est l’isolant low-tech open-source le plus abouti ! La Botte de 22, de dimensions innovantes, est une solution de bottes en paille de 22 cm d’épaisseur. Elle est produite dans une usine dédiée et respecte le cahier des charges des règles professionnelles de la construction paille. 2ème Prix du jury : AIR : Signée YLE Architectures, cette solution de végétalisation destinée aux cours d’immeubles haussmanniens garantit l’apport d’air frais dépollué dans les appartements grâce à un système de cheminées solaires basé sur le principe de tirage thermique. La création d’écosystèmes rafraîchissants avec des cours végétalisées selon un principe de strates végétales dépolluantes, couplée au réinvestissement des cheminées raccordées, assure une qualité de l’air optimale des différents lots habitat de la copropriété. 3ème Prix du jury : MAXEEM : Maxeem, plateforme de services numérique, agrège un ensemble de données permettant d’accéder à distance à des informations relatives au bâtiment (surface, nombre d’étage, année de construction…), d’évaluer son potentiel de rénovation, de structurer un préchiffrage travaux ainsi que le montage du plan de financement. Elle identifie les professionnels RGE à proximité pour faciliter la mise en œuvre des projets de rénovation énergétique. Les professionnels sont plus performants grâce à ces outils, développant la confiance avec les donneurs d’ordres. Ces trois lauréats se verront récompensés d’une journée de coaching par OmniGibus (agence spécialisée dans la « Formation Média Training et Prise de parole ») ainsi que d’une dotation de 2 000 € (pour le 1er prix) et 1 000 € (pour les 2ème et 3ème prix). ARTICONNEX : Articonnex apporte aux artisans du bâtiment des solutions pour améliorer leur gestion des matériaux et leurs investissements en machine tout en plaçant l’économie du circulaire au cœur du projet. Articonnex propose un triptique de solutions : une marketplace (revente de matériaux neufs et de réemploi – location d’atelier et matériels de chantiers), un premier entrepôt physique dédié au réemploi et un web magazine pédagogique. BATIRESO : Plateforme de digitalisation et de dématérialisation permettant de contextualiser les échanges entre donneurs d’ordre et entreprises de la construction. Cet outil en ligne est destiné à moderniser les process administratifs de lancement d’appels d’offre et de suivi de chantiers entre professionnels du bâtiment. BATIRESO permet de gagner en productivité en diminuant les tâches administratives liées aux échanges sur un projet de construction. BIModeler : Modélisation BIM semi-automatique des lots architecturaux sur REVIT en LOD 200 / 300 à partir du plug-in BIModeler. Cette solution se caractérise par le suivi de la prestation via une plateforme collaborative full web ainsi que le suivi et le contrôle du process par un expert en modélisation BIM. BIModeler permet une diminution des coûts et délais de modélisation ainsi que des erreurs humaines. BIModeler facilite l’accès au processus BIM. FEELBAT : Les capteurs DELTA Feel permettent de suivre l’évolution des fissures et mouvements d’un bâtiment ou ouvrage d’art via une application dédiée. Le système permet de démocratiser la solution, d’anticiper les désastres sur les balcons et bâtiments. Par leur taille et leur prix ils peuvent couvrir plus de zones que les capteurs actuels. L’ASSECHEUR : Ce procédé assèche tous types de murs : plein/creux, quel que soit le matériau à la suite d’un dégât des eaux : inondation, infiltration, remontées capillaires. Il s’agit d’un traitement naturel de l’humidité du mur : pas de produit chimique, pas d’onde magnétique. L’évolution technologique du syphon atmosphérique par l’utilisation de composants électroniques miniaturisés garantit un volume d’air circulant dans le mur est constant et suffisant pour l’assécher. MON Artiz : Cette initiative structure un réseau d’artisans sélectionnés sous une marque commune pour promouvoir la rénovation énergétique. Elle met à disposition une application numérique pour les accompagner dans leur quotidien et disposer d’une offre élargie par de nouveaux services innovants (possibilité d’intégrer une maquette BIM simplifiée, proposition de variantes pour une rénovation énergétique performante). We Love Réno : Plateforme web collaborative de gestion de travaux, de la gestion commerciale, jusqu’à la réception du chantier. Tous les intervenants du projet peuvent s’organiser, interagir et suivre en temps réel l’évolution du chantier. La plateforme intègre à la fois un CRM, les notices de travaux avec estimatif, un espace d’échange de documents, une planification du suivi de chantier ou encore l’organisation de rendez-vous BtoB. Rendez-vous sur ARTIBAT les 13, 14 et 15 octobre 2021 pour rencontrer « physiquement » les lauréats CIRQ 2020.
Il y a 4 ans et 232 jours

Après la remise en cause des aides au photovoltaïque, la filière évoque une "ambiance délétère"

Le gouvernement cherche à renégocier certains dispositifs d'aides accordés au solaire avant 2011, croient savoir les Echos.Bercy n'a pas démenti cette information et alors que le débat sur le prochain projet de loi de finances approche, le syndicat Enerplan souligne que cette fuite dans la presse a déjà "créé une onde de choc"."La méfiance est là et le silence actuel n'est pas bon", déplore Daniel Bour, le président d'Enerplan. "Cela crée une ambiance délétère, alors qu'une force de la France tient dans le respect de la parole de l'Etat.""Au moment où le gouvernement présente un plan de relance, veut soutenir l'hydrogène, la transition écologique... les gens ne vont pas se précipiter", assure-t-il.Les pouvoirs publics avaient mis en place dans les années 2000 un mécanisme d'obligation d'achat d'électricité par EDF au bénéfice de personnes installant des panneaux photovoltaïques, via des contrats pouvant aller jusqu'à 20 ans. Ces contrats ont été assortis de tarifs élevés, jusqu'à ce qu'un moratoire instaure un nouveau régime fin 2010, mais certains sont toujours en vigueur.La renégociation, si elle était menée, pourrait permettre d'économiser jusqu'à 600 millions d'euros. Les particuliers ne seraient pas concernés par cette mesure.
Il y a 4 ans et 232 jours

Budget 2021: mode d'emploi du budget vert

Un "scanner" des dépensesIl s'agit de "passer au scanner les dépenses actées dans le budget de l'Etat pour évaluer si elles ont un impact favorable, défavorable ou neutre sur l'environnement", explique la députée Bénédicte Peyrol, qui a beaucoup travaillé sur ce projet.Le gouvernement a décidé de retenir six critères: la lutte contre le changement climatique; l'adaptation et la prévention à ce changement; la préservation de la ressource en eau; l'économie circulaire et la gestion des déchets; celle de la pollution de l'air, des sols et du bruit; et enfin la préservation de la biodiversité.Chaque dépense recevra six notes, entre -1 et +3, en fonction de son impact sur chacun de ces critères, le zéro traduisant un impact neutre.Pour plus de lisibilité cette note sera traduite en couleur, avec notamment plusieurs nuances de vert.Toutes les dépenses, y compris les "dépenses fiscales", c'est-à-dire les niches fiscales et autres exonérations accordées à certains ménages ou entreprises, seront ainsi passées au crible.Une méthode complexeLa concrétisation de ce budget vert a demandé un "travail colossal", souligne Bénédicte Peyrol, à la fois de la direction du budget à Bercy, mais aussi des autres ministères, qui ont oeuvré pour définir les notes à accorder à chaque dépense.La notation a résulté d'une méthodologie précise, en utilisant comme référence les différents traités ou directives européennes que la France a ratifiés, par exemple l'accord de Paris sur le climat ou une directive sur la biodiversité.Cette méthodologie découle notamment d'un rapport rendu l'an dernier par l'Inspection générale des finances (IGF) qui avait travaillé sur plusieurs missions du budget 2019: Agriculture, Ecologie, Recherche et Cohésion des territoires.Elle avait ainsi recensé 25 milliards d'euros de dépenses défavorables à au moins un des six objectifs environnementaux et à l'inverse 35 milliards de dépenses favorables à au moins un de ces objectifs.Un guide pour les politiques publiquesPour la députée Bénédicte Peyrol, ce travail va révéler que "les enjeux environnementaux sont complexes", avec des dépenses qui spontanément paraissent positives au regard de certains objectifs environnementaux, mais négatives si on considère d'autres objectifs.Les aides à l'éolien par exemple seront en +vert+ pour leur impact sur le climat car cette énergie n'émet pas beaucoup de CO2, mais elles sont moins positives en matière de recyclage des matériaux utilisés ou d'impact sur la biodiversité du fait de son emprise au sol.Même chose pour les soutiens au nucléaire, au transport ferroviaire ou les niches fiscales en faveur des biocarburants."Ce budget vert entre dans cette complexité pour qu'on ait les débats. C'est un exercice de transparence vis-à-vis des Français et d'accompagnement de la décision politique", notamment lorsqu'une dépense défavorable à l'environnement permet de financer une politique légitime, comme celle du logement social, ou la solidarité, ajoute Mme Peyrol.Un des objectifs sera ainsi de voir "comment le législateur va s'empêcher à l'avenir de prendre des mesures néfastes ou pas" pour l'environnement, avait estimé l'an dernier lors de l'annonce de la création de ce budget vert, la directrice du Budget, Amélie Verdier.
Il y a 4 ans et 232 jours

Versailles : Réenchanter la ville grâce à Quai 36

Fresque des frères Sckaro et Ratur. [©ACPresse] Qui dit ”Versailles”, pense “Château”, “Résidence des rois de France : Louis XIV, Louis XV et Louis XVI”… Mais c’était sans compter sur les actions de son maire François de Mazières, qui est un très grand défenseur de l’art urbain. « Je voudrais que cette ville d’histoire reste au XXIe siècle une ville de création. […] La rencontre avec l’équipe de Quai 36 fut pour moi déterminante. […] Je leur ai proposé de travailler sur le thème de la nature en ville qui est, avec l’esthétique, un axe majeur de notre politique urbaine. » En effet, depuis plus de 10 ans, la Ville embellit par petites touches son espace urbain. Petites touches… petites touches… Mais touches certaines d’appropriation de l’espace urbain par l’art. Comme en témoigne l’exposition, sise à l’ancienne poste centrale. Où une quinzaine d’artistes représentatifs de l’art urbain actuel, issus de la Maison de production Quai 36, ont investi les lieux. Et ce, jusqu’au 18 octobre prochain. Fresque mi-végétale mi-humaine des frères Sckaro et Ratur. [©Ville de Versailles]Fresques de Saddo et LX One. [©Ville de Versailles]Fresque de Levalet : un cri contre l’oppression du système. [©Ville de Versailles]Equipe de Quai 36. [ACPresse]Les équipes de Quai 36 s’activent avant le vernissage de l’expo. [©ACPresse]Fresques de Julien Colombier et Levante. [©Ville de Versailles]Fresques de Ratur et Saddo. [©Ville de Versailles]A gauche, François de Mazières, maire de Versailles, qui œuvre pour la création urbaine avec Quai 36 et son président-fondateur Jonas Ramuz. [©ACPresse] Mais pas que… Depuis 2019, un programme de réhabilitation, mené par un groupement orchestré par Eiffage Construction, via le bailleur social Versailles Habitat, vise à améliorer le quotidien des habitants du quartier Bernard de Jussieu. Cette réhabilitation développe ainsi une dimension culturelle, toujours avec Quai 36. Le projet se nomme #1096, en référence aux 1 096 logements réhabilités. Une exposition, des espaces immersifs « Pour cette occasion, Quai 36 a imaginé un lieu d’expériences artistiques urbaines à mi-chemin entre galerie et exposition. Ponctuées d’interventions artistiques immersives sur place. Ce déploiement pluriel se veut le miroir du paysage de l’art urbain aujourd’hui », explique Jonas Ramuz, président et fondateur de Quai 36. [©ACPresse] Sur la thématique “La nature reprend ses droits”, l’exposition sur 800 m2 prend donc place sur un lieu atypique : le site en friche de l’ancienne poste centrale de Versailles (rénovation à venir). A 200 m du château ! Offrant une grande liberté d’action et de possibilités d’aménagement. Quai 36 a capitalisé sur l’aspect insolite du lieu devenu inoccupé pour l’investir d’interventions artistiques in situ. En jouant des textures et des matériaux existants. « Pour cette occasion, Quai 36 a imaginé un lieu d’expériences artistiques urbaines à mi-chemin entre galerie et exposition. Ponctuées d’interventions artistiques immersives sur place. Ce déploiement pluriel se veut le miroir du paysage de l’art urbain aujourd’hui », explique Jonas Ramuz, président et fondateur de Quai 36. A savoir, un courant artistique qui prend naissance dans l’espace public. Des techniques artistiques qui évoluent au fil des années. Et enfin, une reconnaissance internationale pour un genre désormais représenté en galeries et dans certains musées. A la découverte des artistes et des œuvres Vous découvrirez une fresque murale dans les tons roses et rouges signée des frères Sckaro et Ratur. Un visage bouleversant mi-humain, mi-végétal. Un perroquet rougeoyant embrase une toile. Un lapin par ici au milieu des tulipes ou encore un être emprisonné, enchaîné et emboîté dans les murs bas de la poste (Levalet). Un tableau végétal par là en béton de Lx One. Deux sculptures à moitié humaines et végétales en bois de Levalet… Des expériences inédites dans un lieu brut…  1 an, 10 murs Fresque murale de l’artiste Waone. [©Cédric Pierre]Fresque murale de Telmo & Miel. [©Cédric Pierre]Fresque murale de l’artiste Seth. [©Cédric Pierre]Fresque murale de l’artiste Eron. [©ACPresse] « La beauté de la ville est pour moi une préoccupation constante. Elle fait partie de la responsabilité des élus… », estime François de Mazières. C’est ainsi que le quartier Bernard de Jussieu, célèbre botaniste français du XVIIesiècle, a subi une réhabilitation “artistique”. En plus d’être thermique par l’extérieur. Le thème de la nature et de l’animalité était donc parfait pour ce haut lieu social de Versailles, datant des années 1950-1960. « Ces dix fresques peintes sont complémentaires avec les travaux de rénovation thermique des 1 096 logements sociaux », insiste Eric Le Coz, directeur général de Versailles Habitat. Et Tarik Fadili, conducteur de travaux Eiffage Construction, de rajouter : « En plus d’apporter davantage de confort énergétique aux locataires, la collaboration mise en œuvre avec Quai 36 permet une revalorisation esthétique de leur quotidien. En important l’art au cœur du quartier, voire juste sous leurs fenêtres… » 10 créateurs internationaux Ainsi, chaque artiste – ils sont dix créateurs internationaux -, a été invité à interpréter le thème de la relation entre l’humain et la nature. Ils ont investi chacun une façade de 150 m2.« Cette action s’inscrit pleinement dans la politique de la Ville de promouvoir une culture populaire de qualité », reprend François de Mazières. Découvrez “Le monument” d’Eron, artiste romain, qui représente une fresque où se mêle la nature sauvage, libre. Mais aussi apprivoisée avec un vol de colombes. Ou encore, “The curious botanist” de l’Ukrainien Waone, qui fait référence à Bernard de Jussieu. Enfin, “Respire” de Seth : reposée sur une étoffe beige, une enfant découvre une flore printanière abondante. Un vrai musée à ciel ouvert. « Avec le projet #1096, Quai 36 éveille la curiosité des habitants sur leur propre lieu de vie. Et interpelle leur sensibilité artistique. La médiation opérée par notre Maison de production permet d’ouvrir le dialogue avec les riverains. Ceux-ci ont l’opportunité d’échanger directement avec les artistes. Ceci, afin de mieux comprendre leur interprétation de l’identité du quartier », conclut Jonas Ramuz. Muriel Carbonnet Retrouvez le parcours de l’art urbain à Versailles sur l’appli Versailles : www.versailles.fr/outils/appliversailles/Informations et programmation ici.Ancienne poste centrale – 3 avenue de Paris – 78000 Versailles