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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Etats et collectivités

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Il y a 4 ans et 263 jours

La situation s'améliore en juillet pour la construction de logements

Sur les trois mois compris entre mai et juillet, le nombre de logements mis en chantier s'est établi à 92.900, soit un recul de 8,7% par rapport à un an plus tôt, selon le ministère de la Transition écologique, dont dépend le Logement. La baisse est logique puisque la période comprend la fin du strict confinement mis en place jusqu'à début mai contre le Covid-19. De nombreux chantiers ont été contraints à l'arrêt. Mais ce net recul doit être mis en perspective avec les précédents indicateurs, qui sont donnés mensuellement pour une période de trois mois glissants. Au second trimestre, soit la période entre avril et juin, les mises en chantier avaient chuté d'environ un quart par rapport à un an plus tôt. Leur niveau s'est donc nettement amélioré sur le seul mois de juillet. La situation est semblable pour les permis, indicateur plus avancé du niveau à venir de la construction, même si leur effondrement reste bien plus marqué que pour les mises en chantier. Entre mai et juillet, 86.100 permis de construire des logements ont été octroyés, soit un recul de 27,4% par rapport à un an plus tôt. Mais, au second trimestre, la chute dépassait 40%. Au-delà du confinement, qui a gelé pendant plusieurs semaines l'examen par les autorités locales des demandes de construction, d'autres facteurs ont, selon les professionnels, ralenti les procédures. Ils citent notamment la timidité des élus locaux à l'approche des municipales, une situation classique mais prolongée par le report du second tour à fin juin, trois mois après la date initialement prévue. Le gouvernement, qui s'inquiète ouvertement du faible nombre de permis accordés, a évoqué ces derniers jours la mise en place d'une aide financière, notamment auprès des maires, mais ses modalités restent à définir.
Il y a 4 ans et 264 jours

Jean Castex annonce 100 millions d'euros pour inciter à l'embauche des personnes handicapées

"La relance du pays doit être une relance de toute la communauté nationale, et en particulier nous devons faire l'effort spécifique pour ceux qui pourraient rencontrer des difficultés particulières", a expliqué le chef du gouvernement, qui s'exprimait à Paris en clôture des premières universités d'été du Conseil national consultatif des personnes handicapées.L'aide sera de 4.000 euros, accordée pour le recrutement - en CDI ou CDD de plus de 3 mois, et pour un salaire équivalent à deux SMIC maximum - d'un salarié ayant la reconnaissance de travailleur handicapé.Applicable aux contrats de travail signés entre le 1er septembre 2020 et le 28 février 2021, l'aide, qui s'inscrit dans le cadre du plan de relance attendu pour le 3 septembre, sera versée par tranche trimestrielle sur une période d'un an.Au total, quelque 30.000 personnes en situation de handicap pourraient bénéficier de ce dispositif, a souligné auprès de l'AFP la secrétaire d'Etat chargée du dossier, Sophie Cluzel."Baisser le coût du travail, c'est indispensable pour les employeurs", a-t-elle assuré, convaincue que cette mesure serait "très incitative"."Il était important de lever cette barrière d'âge", afin de "mettre le pied à l'étrier" des demandeurs d'emploi en situation de handicap, a-t-elle affirmé.Juste avant la crise épidémique, le gouvernement s'était félicité de chiffres encourageants concernant l'emploi des personnes handicapées: le nombre de salariés handicapés au chômage était descendu sous la barre symbolique des 500.000 fin 2019.Le taux de chômage des personnes handicapées a baissé d'un point en un an, de 17% en 2018 à 16% en 2019, mais reste donc environ deux fois plus élevé que celui de la population active en général.M. Castex, qui s'exprimait muni d'un masque transparent - permettant la lecture labiale par les personnes sourdes et malentendantes -, a par ailleurs annoncé que tous ses discours publics seraient désormais traduits en langue des signes.Le gouvernement doit être d'avantage attentif à ce que sa communication soit accessible aux personnes handicapées, a-t-il convenu, ajoutant: "pour que cela s'accélère, je vais commencer par moi-même".Parmi les types de masques qui pourraient être prochainement recommandés par les pouvoirs publics dans une circulaire officielle, les masques transparents seront mentionnés, car ils sont "très respectueux à l'égard des personnes en situation de handicap", a ajouté le Premier ministre.
Il y a 4 ans et 264 jours

Bruno Le Maire "supplie" les entreprises de BTP d'embaucher des travailleurs français, "pas des détachés"

Lors d'une table ronde à l'université d'été du Medef, le ministre de l'Economie a appelé les entreprises du bâtiment et de la construction à faire travailler le moins possible de travailleurs détachés dans les mois à venir et à privilégier l'embauche de jeunes.
Il y a 4 ans et 264 jours

Bouygues accuse des pertes au premier semestre face au virus, malgré des télécoms solides

"Comme attendu, les résultats du groupe au premier semestre 2020 sont fortement impactés par les conséquences de la crise sanitaire", a résumé jeudi Bouygues dans un communiqué, à l'occasion de ses chiffres semestriels.Lors de la première moitié de l'année, une période marquée par le plus fort de la crise du virus et par de multiples mesures de confinement à travers le monde, la société a subi une perte nette de 244 millions d'euros, contre un bénéfice de 225 millions un an plus tôt.Son chiffre d'affaires a reculé de 15% à 14,8 milliards d'euros, un déclin de presque trois milliards qui correspond en gros au coût de la crise sanitaire pour Bouygues lors de la première moitié de l'année.Mais sa perte serait bien pire sans sa présence dans les télécoms car le secteur est l'un des rares à n'avoir guère pâti de la crise. Enfermés des semaines chez eux, les Français ont bien dû continuer à communiquer et, souvent, travailler à distance.Bouygues Telecom est donc largement resté dans le vert, malgré une petite baisse (-5,3% à 142 millions d'euros) de son bénéfice semestriel. La filiale, qui a causé bien des difficultés au groupe dans les années 2010, confirme à quel point elle est redevenue son joyau, avec une nouvelle progression générale des abonnements dans le fixe comme le mobile.Certes, la crise n'y a pas été indolore. Les performances de l'opérateur ont été freinées par la fermeture de ses boutiques pendant des semaines, et il n'a guère pu profiter des frais d'itinérance face à la restriction drastique des déplacements internationaux.Plans de relanceReste que les conséquences sont sans commune mesure avec l'autre grande activité de Bouygues, ses chantiers. Dans cette branche, le groupe essuie une perte de presque 400 millions d'euros.Les deux grands concurrents de Bouygues, Vinci et Eiffage, sont d'ailleurs aussi tombés dans le rouge au premier semestre, même si le second a largement limité les dégâts avec une perte de seulement quelques millions d'euros.Le secteur a fortement souffert des mesures de confinement mises en place pendant des semaines au printemps dans de multiples pays. Elles ont contraint Bouygues, à l'instar de tout le BTP, à interrompre de nombreux chantiers, le temps d'établir les mesures sanitaires adéquates.Le groupe promet toutefois un avenir meilleur, d'abord parce que ses chantiers ont largement repris en France comme à l'international."A mi-juillet 2020, la quasi-totalité des sites étaient rouverts en France, avec un rythme d'avancement de l'activité proche de celui d'avant crise", détaille le groupe, évoquant aussi un niveau "proche de la normale dans de nombreux autres pays".Surtout, le carnet de commandes de Bouygues, gage de revenus à venir, a encore gonflé au premier semestre pour atteindre un niveau sans précédent, à l'aide notable de très gros marchés comme un contrat ferroviaire à plus d'un milliard d'euros au Royaume-Uni.Pour autant, le groupe se montre prudent pour la suite. Il ne se fixe pas de nouvelle prévision chiffrée de résultat pour 2020, jugeant le contexte sanitaire trop incertain.Il promet certes de redevenir nettement rentable au second semestre, mais sans retrouver ses résultats d'un an plus tôt. A plus long terme, il ne fixe pas d'échéance sur un retour à leur niveau habituel.Au-delà, "le groupe est bien positionné pour répondre aux enjeux des plans de relance annoncés dans les grands pays où il est implanté - Union européenne, France, Royaume-Uni, Canada, USA, etc.,", assure Bouygues, évoquant "les infrastructures durables, la transition énergétique ou la rénovation des bâtiments".
Il y a 4 ans et 264 jours

Action Logement et Axa s'associent pour créer des milliers de logements

L'organisme Action Logement et la filiale immobilière de l'assureur Axa vont s'associer pour créer près de 20.000 nouveaux logements dans Paris et sa région au cours des dix prochaines années.
Il y a 4 ans et 264 jours

TPF Ingénierie vise l'équilibre en 2020

Filiale française du groupe belge d'ingénierie TPF, l'ex-bureau pluridisciplinaire Beterem créé à Marseille en 1960, cédé à la Caisse des Dépôts en 1996, puis repris en 2005, rayonne dans toute la France mais aussi à l’étranger avec ses compétences dans le bâtiment, les infrastructures et l’eau. Parmi les projets marquants figurent l’hôpital de Tours, l’hôpital Ibn Sina CHU à Rabat et le nouveau siège social d’Arcelor Mittal au Luxembourg. Ils illustrent la volonté de William Meynard, président depuis deux ans de la filiale française, d’orienter l’activité notamment vers la santé, l’industrie et les métiers du numérique. Explications.
Il y a 4 ans et 264 jours

Deux nouvelles antennes à Rennes et Strasbourg pour l’ESCT

L’ESCT compte désormais 5 antennes en France, avec deux nouvelles antennes à Rennes et Strasbourg. [©ESCT] L’Ecole supérieure de conduite de travaux (ESCT) qui fête l’année prochaine ses 15 ans, ouvre deux nouvelles antennes à Rennes (35) et Strasbourg (67). Le 1erseptembre prochain, quelque 72 nouveaux apprentis intègreront les locaux de ces deux structures. C’est Philippe Horn qui assure la direction de l’ESCT Rennes. Quant à l’ESCT Strasbourg, elle relève d’Edouard Quintard. Ainsi, l’école compte désormais 5 antennes en France. A l’origine, l’ESCT est née à Vincennes en 2006. Puis, a été implantée à Marseille il y a deux ans. Suivie par Bordeaux en 2019. Donnant la possibilité aux étudiants de tout le territoire d’accéder plus facilement aux formations. Les premières promotions de Rennes et de Strasbourg pourront opter pour l’une des deux formations en alternance : Bac+3 “chargé-e d’affaires BTP” et Bac+5 “directeur-trice de travaux”. Ceci, avec en dernière année l’option de suivre un master of science Construction & Management, en partenariat avec Abertay University, à Dundee, en Ecosse. « Ces deux nouvelles antennes s’inscrivent dans la continuité du développement de l’école. Permettant ainsi de renforcer le dynamisme et l’attractivité de chaque région. Mais aussi de répondre aux besoins de recrutements des entreprises. Ceci, tant au niveau local que régional, dans les secteurs de la construction BTP »,peut-on lire dans le communiqué de presse.
Il y a 4 ans et 264 jours

Les loyers parisiens ont poursuivi leur hausse l'an dernier, malgré le retour du plafonnement

L'an dernier, les loyers privés ont augmenté de 1,8% dans la capitale française, contre 1,7% un an plus tôt, selon l'Observatoire des loyers de l'agglomération parisienne (Olap), organisme chargé d'évaluer les effets de mesures publiques d'encadrement des loyers.Cette très légère accélération est, a priori, contre-intuitive, puisque la ville de Paris a réintroduit en cours d'année 2019 le plafonnement des loyers, qui avait été annulé par la justice un an et demi plus tôt.Mais en réalité, cette mesure est sans grande conséquence pour nombre de locataires parisiens, en gros tous ceux qui renouvellent leur bail dans le même appartement.Dans ce cas-là, l'évolution de leur loyer est déjà très encadrée car elle doit, pour l'essentiel, suivre un indice de référence des loyers (IRL). Or celui-ci a légèrement progressé, suivant l'inflation.Plus parlante, l'évolution des loyers à la "relocation", c'est-à-dire quand un logement accueille un nouveau locataire, témoigne, elle, d'une moindre hausse qu'en 2018. Elle s'est établie en 2019 à 3,4%, contre 4,1% l'année précédente."On peut voir dans ce résultat l'effet modérateur de l'encadrement des loyers de nouveau appliqué depuis le 1er juillet 2019", avance l'Olap, en référence au plafonnement.L'organisme dresse également un tableau de l'évolution des loyers dans toute l'agglomération parisienne, soit aussi notamment les départements limitrophes des Hauts-de-Seine (92), de Seine-Saint-Denis (93) et du Val-de-Marne (94).Sur l'ensemble de l'agglomération, les loyers ont progressé de 1,7% l'an dernier (contre 1,5% en 2018) et de 3,5% pour les seuls logements accueillant de nouveaux locataires - contre 3,6% un an plus tôt.
Il y a 4 ans et 264 jours

Muuuz vous invite au salon Materials & Light les 8 et 9 septembre !

Pour sa 6e édition, le salon MATERIALS & LIGHT vous donne rendez-vous les 8 et 9 septembre dans le cadre exceptionnel du Carreau du Temple à Paris pour deux jours d'exposition et de conférences dédiés aux solutions innovantes pour l'architecture. Materials & Light est un salon professionnel dédié aux produits et matériaux innovants pour l’architecture, l’agencement, l’éclairage et l’aménagement de l’espace public.Organisé par le magazine d’a, l’événement s’adresse en priorité aux architectes et designers mais plus largement à tous les professionnels impliqués dans le choix des produits et des matériaux.A la fois source d’inspiration, outil de veille et rendez-vous de networking, Muuuz vous recommande ce salon, à la fois instructif et festif, qui est devenu en quelques années un salon de référence pour la prescription.Parmi les exposants présents : AMBIANCE LUMIERE, ACTIVSKEEN, ADESOL, AGROB BUCHTAL, ARCH, BEGA, BOULENGER, CADAP, CLAREO, CNDB / CLUB OUI AU BOIS, COSENTINO, CUPA PIZARRAS, EURO-SHELTER, EVERLITE CONCEPT, GEBERIT, GHM-ECLATEC, HUBLER, IMAGE, INTENSION, LED's CHAT, LIGEO , MAILLE METAL DESIGN, MARVALWAY, MINERAL EXPERTISE, NEOLIFE, NOWATT LIGHTING, OOTI, PERFORMANCE IN LIGHTING, PLACOPLATRE, POLY-PAC, PRO URBA, PROGRESS ECO, RAGNI, WOODS LINES, SIKA, SINEU GRAFF, SOLARLUX, SOLUTINOX, SVF, TECHNILUM, TERREAL, TTM ROSSI, USM, VALMONT…Conférences, workshops, soirées… le salon propose un programme d’animations particulièrement riche.Voir le programme > https://ml.darchitectures.com/programme/vue-d-ensemble.htmlPour vous inscrire, cliquez ici > https://ml.darchitectures.com/visiter.htmlLes horaires : le salon vous accueille mardi 8 septembre de 14h-19h et mercredi 9 septembre de 11h à 19h.L’adresse : Le Carreau du Temple – 4 rue Eugène Spuller, 75003 Paris.--Voir la vidéo de présentation > https://youtu.be/jmxTv5h3x_k La Rédaction
Il y a 4 ans et 264 jours

Bruno Le Maire appelle les entreprises du bâtiment à embaucher des jeunes plutôt que des travailleurs détachés

"Nous allons vous soutenir massivement (...) mais je vous en supplie, limitez au strict minimum le recours aux travailleurs détachés. Faites travailler les ouvriers français, engagez des jeunes", a demandé Bruno Le Maire lors d'une table ronde à l'université d'été du Medef."De cela, dépend le succès de la relance", a-t-il insisté.Le plan de relance de 100 milliards d'euros que le gouvernement dévoilera en détail jeudi prochain prévoit "plusieurs milliards d'euros" de soutien à la rénovation énergétique des bâtiments privés et publics, a-t-il rappelé.Le gouvernement espère que ces aides permettront d'engager des chantiers immédiatement, afin d'accélérer la reprise de l'activité.Le ministre a toutefois été interpellé par Cécile Mazaud, dirigeante du groupe familial Mazaud spécialisé dans la construction, sur les difficultés à faire venir des jeunes vers les métiers du bâtiment.C'est "un combat culturel que nous devons mener", pour inciter les jeunes à aller vers ces métiers, a-t-il convenu.Plus largement, il a indiqué que le plan de relance instaurerait un dispositif de "gestion prévisionnelle des effectifs au niveau national", et décliné "région par région", pour "adapter" les cursus de formation aux besoins des entreprises.Le ministre a par ailleurs jugé que les délocalisations d'usines de ces dernières décennies avaient permis au Front national de s'installer dans les territoires."Nous avons laissé partir des pans entier de notre industrie par manque de courage, par manque de lucidité, par manque d'investissement et de volonté", a-t-il regretté.Cela s'est fait au prix d'"une flambée du Front national (devenu le Rassemblement national) partout où les entreprises ont fermé". "Quand une entreprise ferme, une permanence du Front national ouvre. Voila la réalité et c'est bien ça que je combats", a affirmé le ministre.Il a toutefois prévenu que les relocalisations qui pourront se faire en France dans les prochaines années porteraient sur "des marchés industriels à haute valeur ajoutée", par exemple les batteries électriques.
Il y a 4 ans et 265 jours

Jean Castex intransigeant avec les projets de centres commerciaux

Le Premier ministre Jean Castex adressait aux préfets une circulaire, lundi 24 août, leur demandant... Cet article Jean Castex intransigeant avec les projets de centres commerciaux est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 265 jours

Première pierre de l’Arena Futuroscope

La pose de la première pierre de l'Arena Futuroscope, future grande salle à vocation événementielle et sportive, d'une capacité de 6000 personnes, initiée par le département de la Vienne, s'est déroulée hier en présence des membres de l'assemblée départementale.
Il y a 4 ans et 265 jours

Pour Bruno Le Maire, l'artificialisation des sols est un sujet majeur

Alors qu'un gel de nouvelles zones commerciales vient d'être décidé, Bruno Le maire rappelle que la lutte contre l'artificialisation des sols demeure un sujet majeur.
Il y a 4 ans et 265 jours

Le Medef demande plus de "souplesse" concernant l'obligation du port du masque en entreprise

Le nouveau protocole sanitaire dans les entreprises en cette rentrée devra laisser "un peu de souplesse aux entreprises", a-t-il affirmé en ouverture de l'Université d'été du Medef, baptisée cette année "Renaissance des entreprises de France", à l'hippodrome de Longchamp dans l'ouest de Paris.Il a toutefois convenu que "tout est préférable au reconfinement" du point de vue de la relance de l'économie et de la reprise de l'activité des entreprises.Arrivé sur scène au son du tube "I will survive" de Gloria Gaynor, le patron du Medef a affirmé vouloir transmettre un message "d'optimisme" en cette rentrée marquée par un regain de contaminations sur le front de l'épidémie de Covid-19.Maintenir cet événement annuel, c'est "envoyer un message à nos salariés et à nos concitoyens: oui le Covid-19 est là, mais on peut, mais on doit se réunir, on doit continuer à consommer, à produire, bref à vivre", a-t-il estimé.Devant le Premier ministre Jean Castex qui prenait la parole après lui, il a appelé le gouvernement à poursuivre le soutien aux entreprises et aux salariés.Indiquant qu'il restait encore "2 millions de salariés" au chômage partiel, il a notamment jugé qu"'il faudra être financièrement bienveillant pour eux" dans les mois qui viennent.Devant un public de chefs d'entreprises réduit pour cause d'épidémie, le patron du Medef a aussi réitéré son appel à rouvrir le débat sur le temps de travail, après avoir déjà suscité un tollé en évoquant ce sujet durant le confinement."Je pense qu'il faudra rouvrir le débat" lorsque reprendront les négociations sur la réforme des retraites, c'est-à-dire "pas maintenant", mais "pas non plus en 2022", a-t-il affirmé."La richesse d'un pays c'est la quantité de travail par individu multipliée par le nombre de gens qui travaillent. Tout le reste c'est de l'idéologie", a-t-il martelé, estimant que les pays du nord de l'Europe "nous demanderont des comptes sur les réformes"."On a une priorité, c'est l'emploi", a répondu Elisabeth Borne, la ministre du Travail, interrogée à propos de la demande du patron du Medef sur le temps de travail, lors d'un déplacement sur un site d'Engie, à la Défense (Hauts-de-Seine), où elle a fait le point sur le protocole de déconfinement."On est dans un contexte d'épidémie qui s'accélère ces dernières semaines", a-t-elle encore déclaré pour défendre l'obligation du port du masque en entreprise. "Evidemment, on souhaite aussi appliquer des règles de bon sens et pouvoir, le cas échéant, trouver des exceptions, quand on est très peu nombreux dans un très grand espace, par exemple", a-t-elle ajouté."On a ressaisi le Haut conseil de la santé publique et on attend d'ici vendredi la réponse sur les cas particuliers qui permettront de ne pas avoir un masque, au-delà du bureau individuel. En fonction de son retour, on finalisera le nouveau protocole avec les partenaires sociaux qui sera mis en ligne lundi", pour une application à partir du 1er septembre, a-t-elle précisé.
Il y a 4 ans et 265 jours

Masque, relance, baisse d'impôts : le Premier ministre veut rassurer les entreprises

PRECISIONS. Lors de l'université d'été du Medef, le Premier ministre Jean Castex a tenté de rassurer les chefs d'entreprises dans un contexte inédit, en abordant plusieurs sujets d'actualité : port du masque en entreprise, activité partielle, baisse d'impôts en janvier 2021 et plan de relance annoncé la semaine prochaine.
Il y a 4 ans et 265 jours

Duro SX 35 : La plaque nervurée et bitumée garantie 20 ans

Pour leur offrir une solution de couverture aussi durable que simple à poser, ONDULINE le spécialiste de systèmes de toitures et sous toitures légères lance DURO SX 35, une plaque nervurée et bitumée particulièrement résistante et garantie 20 ans.La plaque DURO SX 35 est une feuille de bitume renforcée par des fibres cellulosiques associées à une résine. Son épaisseur de 3,5 mm lui confère une bonne rigidité et une grande solidité ce qui permet au fabricant de la garantir pendant 20 ans. Les fuites et autres infiltrations sont évitées et les constructions sont ainsi protégées pour longtemps.La plaque DURO SX 35 est la solution idéale pour tous ceux qui recherchent un système de couverture fiable, durable et facile à poser. Sa technologie de double guide de recouvrement permet un alignement aisé des plaques lors de la pose et assure l’étanchéité de l’ensemble.Légère, avec un poids de 5,9 kg pour une taille de 200 cm par 82 cm, et souple, la plaque est très facile à rouler, pour passer dans des endroitsexiguës, et à manipuler lors du chantier pour s’assurer du bon recouvrement des bords entre eux et ainsi permettre une bonne étanchéité.Une finition parfaitePour s’assurer d’une finition soignée de la toiture, ONDULINE a développé des rives et des faîtières associées. Ces dernières, proposées dans le même matériau et les mêmes coloris que les plaques, permettent un rendu uniforme et harmonieux. Les rives développées par ONDULINE tolèrent un rattrapage de 5 cm entre les plaques et la toiture.Côté fixation, c’est au choix de l’installateur selon la qualité du support. ONDULINE propose des pointes de 65 mm ou des vis de 60 mm munies de leur collerette d’étanchéité. Les vis universelles ONDULINE sont les mêmes pour l’ensemble des gammes ONDULINE.Différents coloris disponiblesAvec les plaques ONDULINE DURO SX 35, la nouvelle toiture s’intégrera harmonieusement à son environnement.Le fabricant propose, en effet, la plaque parmi un choix de 4 couleurs : rouge intense, rouge classique, gris anthracite ou vert.Une plaque respectueuse de l’environnementDes pigments naturels, issus du service de recherche et développement d’ONDULINE, sont utilisés pour la coloration de la plaque DURO SX 35. Composés de fibres recyclées, les matériaux de cette plaque sont sans amiante ni métaux ferreux, ce qui garantit qu’elle ne présente aucun risque pour la santé.Avec un bilan carbone positif de 4066g CO2/m2, le plus bas de sa catégorie, la DURO SX 35, comme tous les produits ONDULINE, est respectueuse de l’environnement.ONDULINE : Une entreprise performanteONDULINE® est la première entreprise à établir une EPD (Environmental Product Declaration) dans la famille des produits bitumés ondulés.Cette déclaration se base sur une évaluation du cycle de vie du produit et de son impact sur l’environnement.Elle a ainsi créé une Règle de catégorie de Produit (PCR Product Category Rule) pour les toitures et les façades qui a été acceptée en Juillet 2012 par l’institut Allemand IBU. Ce PCR est la base de toutes les futures EPD, quel que soit le producteur.Longueur : 20 cm - Largeur : 82 cmÉpaisseur : 3,5 mmHauteur de nervure : 38 mmSurface d’une plaque : 1,64 m2Poids : 5,9 kg - Poids/m2 : 3,62 kgPrix public indicatif : 12 euros TTC le m2Points de vente : Négoces en matériaux, GSB
Il y a 4 ans et 266 jours

Toronto se mobilise pour sauver un chêne plus vieux que le Canada

La municipalité veut racheter la maison, la raser et créer un espace public autour de l'arbre, mais la pandémie de coronavirus est venue compliquer ses plans.L'imposant chêne rouge d'Amérique, qui pourrait avoir 300 ans, domine le quartier de North York, dans le nord de la métropole. Il est l'un des plus vieux arbres de la plus grande ville du pays, dont l'agglomération compte quelque six millions d'habitants.Vestige d'une forêt séculaire, l'arbre est aujourd'hui situé en plein lotissement, posé dans le jardin d'une propriété privée. Son tronc, immense, fait 5 mètres de circonférence et frôle la façade arrière d'une maison construite dans les années 1960. L'été, ses longues et lourdes branches la recouvrent presque entièrement.Une cohabitation qui a longtemps fonctionné. Mais ces dernières années, un nouveau propriétaire s'est dit inquiet des coûts liés à l'entretien de l'arbre, et il craint que ses racines soient devenues une menace pour la structure de la maison.Certains voisins redoutent, eux, de voir un jour le spécimen dépérir ou être emporté par une tempête. Pour le protéger et pour qu'il soit accessible à tous, le conseil municipal a voté en 2018 pour racheter la propriété, raser la maison et transformer le terrain en un petit parc public."La Rolls des arbres"De longues négociations ont abouti l'an passé à un accord entre la ville et l'actuel propriétaire pour un rachat de la propriété.Une issue qui réjouit Edith George, une habitante du quartier qui se bat avec passion depuis 14 ans pour préserver ce chêne dont la beauté, dit-elle, est à "couper le souffle"."C'est la Rolls-Royce des arbres", assure la retraitée sexagénaire.On estime que l'arbre est âgé entre 250 et 300 ans - voire plus - et qu'il peut encore vivre, dans de bonnes conditions, au moins deux autres siècles."Un arbre comme ça coûte cher à entretenir. Si c'est un lieu public, la ville pourra mieux s'en occuper que moi", reconnaît Ali Simaga, le propriétaire depuis 2015. "Je ne veux pas non plus être égoïste et le garder pour moi seul."Mais l'affaire n'est pas encore conclue. Car la municipalité a posé une condition à l'achat du terrain: que la moitié du montant soit assurée par la population via des dons privés.En décembre 2019, elle a lancé une levée de fonds et s'est donné jusqu'à fin 2020 pour récolter 430.000 dollars canadiens (environ 270.000 euros).Après un début prometteur, marqué par une promesse de 100.000 dollars par un couple de philanthropes locaux, la levée de fonds a été ralentie par la pandémie de Covid-19.Mi-juillet, environ 125.000 dollars, soit près de 30% de la somme espérée, avaient été récoltés. Si le total ne peut être mobilisé d'ici le 12 décembre et sans extension de la collecte de fonds, l'argent reçu sera utilisé pour appuyer des programmes de plantation d'arbres dans la ville, laissant l'avenir de ce chêne historique au conditionnel.Une plaque en son honneurCelui-ci se trouve près du Portage de Toronto, une ancienne grande route commerciale jadis utilisée par les Amérindiens puis par les colons Européens, explique Madeleine McDowell, une historienne locale.Le sentier reliait les lacs Ontario et Simcoe, connectant la région aux Grands Lacs. Les plus grands arbres étaient utilisés comme des "repères" par les voyageurs.Le chêne de North York est un "vestige" de cette forêt, dit-elle. Et il était sans doute déjà grand lorsque la ville de York, l'ancêtre de Toronto, fut établie par les Britanniques près du lac Ontario en 1793."C'est un arbre extraordinaire qui fait partie du patrimoine de Toronto et du Canada", précise Manjit Jheeta, directrice du Bureau des partenariats de la ville de Toronto. "Et il raconte l'histoire de notre pays", ajoute-t-elle.L'an passé, la ville de Toronto a inauguré une plaque en son honneur, une première pour un arbre de la métropole. Sa valeur écologique n'est pas non plus moindre : le chêne retient à lui seul plus de 11 tonnes de carbone."Quand des choses horribles se produisent, je ne vais pas dans une église, je viens ici. Cet arbre est ma cathédrale", lance Edith George. "C'est un survivant. Il nous donne de l'espoir pour notre planète qui est en péril."
Il y a 4 ans et 266 jours

Pour les fonctionnaires du ministère, la gabegie, c’est la culture

Au ministère de la Culture, les fonctionnaires ont le sens de la méthode et de l’efficacité. De fait, en 2020, remplacer comme au bonneteau – c’est-à-dire sans appel d’offres – le projet d’une agence d’architecture (LAN), lauréate d’un concours public, par une autre (François Chatillon) est désormais possible, sinon légal ! Explications. C’est une bagarre à […] L’article Pour les fonctionnaires du ministère, la gabegie, c’est la culture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 266 jours

La Ville du quart d’heure : utopie? fantasme? écran de fumée?

A l’ère où les bonnes consciences s’affichent plus volontiers que les grandes réflexions, la ville du quart d’heure ou le nouvel écran de fumée de la politique de proximité. Les politiques ont toujours su y faire pour reprendre à leur compte des concepts prospectifs plus ou moins pertinents. Cette année si particulière, qui coïncidait avec […] L’article La Ville du quart d’heure : utopie? fantasme? écran de fumée? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 266 jours

Bruno Le Maire vole au secours des PME

Dans un entretien aux Echos, publié ce mardi, le ministre de l’Economie annonce deux mesures... Cet article Bruno Le Maire vole au secours des PME est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 266 jours

Solliciter un bureau d’études VRD pour un projet de construction urbain

Avant la réalisation de tout projet de construction urbain, différents détails techniques doivent être étudiés avec minutie. Cette analyse est indispensable pour orienter les possibilités d’aménagement et leurs impacts. Le recours à un bureau d’études VRD à Nantes permet donc de bénéficier d’une vue d’ensemble sur tous les envers du projet pour mieux encadrer sa réalisation. Les missions d’un bureau d’études VRD Le rôle majeur d’un bureau d’études (BET) VRD est de prendre en charge la maîtrise d’œuvre d’un chantier à usage public ou privé. Dans ce contexte, il intervient pour analyser un projet de construction dans son ensemble. Cela tient compte des spécificités du terrain, mais aussi des structures existantes. En fonction des données reçues, le BET pourra avancer des solutions techniques adaptées aux besoins des bénéficiaires. Selon la construction envisagée, il détermine les réalisations à prévoir, en adéquation avec les réglementations d’urbanisme. Grâce à l’expertise et la pluralité des acteurs, les choix structurels et techniques seront alignés aux caractéristiques du projet d’aménagement. En plus de la pré-étude des travaux, le BET sera de même chargé du suivi du chantier jusqu’à la réception. Il s’acquitte de la coordination de tous les acteurs dans le but commun de répondre aux directives du cahier des charges. Le bureau d’études VRD Nantes peut également assister une collectivité ou une entreprise en prenant en charge les dossiers de subvention et les formalités réglementaires. Il assure aussi l’obtention de permis d’aménagement, de permis de construire ou de dossier ZAC. Le BET intervient à différentes échelles, comme les communes, les quartiers ou les intercommunalités. Il peut donc être sollicité pour un projet d’aménagement de bourg, de conception d’un réseau d’assainissement collectif ou d’édification d’un pont. Il assure un travail indépendant tout en contribuant de façon notable aux travaux de construction. Les avantages de faire appel à un BET VRD Le bureau d’études VRD est composé de plusieurs spécialistes issus de domaines différents, mais complémentaires. Leurs compétences concernent notamment l’urbanisme, l’ingénierie VR, mais aussi le secteur hydraulique et écologique. Ces ingénieurs accompagnent ainsi leurs clients dans les différentes phases de leur projet d’aménagement urbain ou rural, comme le traçage de rues piétonnes ou la réhabilitation d’un lieu public. Une étude technique élargie permet de soutenir la faisabilité du projet et d’en évaluer le coût de manière objective et pertinente. Cette intervention occasionne un gain de temps et plus d’efficacité pour les organismes bénéficiaires. À partir d’un interlocuteur unique, les organismes demandeurs pourront bénéficier d’un dossier complet concernant la conception d’un ouvrage donné. L’intervention du dessinateur projeteur concrétise chaque donnée à travers des plans réalistes et conformes. Grâce aux services d’un BET compétent, les aménagements paysagers permettent une meilleure valorisation de l’environnement. Les ingénieurs mettent en avant leur expertise pour proposer des solutions d’aménagement cohérentes et axées sur une politique de développement durable. La programmation des équipements publics sera modelée suivant les potentialités d’évolution de la zone concernée. Faire appel à un bureau d’études VRD est d’ailleurs bénéfique pour avoir une idée précise des impacts environnementaux du projet. En misant sur une étude écologique et un diagnostic hydraulique concret, les ingénieurs VRD inscrivent chaque construction dans une démarche écologique.
Il y a 4 ans et 267 jours

Prêts garantis par l'Etat : Bercy négocie un taux "le plus attractif possible"

ENTREPRISES. Face aux inquiétudes croissantes autour du remboursement des Prêts garantis par l'Etat, Bruno Le Maire a indiqué que l'Etat négocie actuellement avec les banques le taux le plus avantageux possible. Le ministre de l'Economie ouvre aussi la porte à d'autres outils de soutien aux entreprises, notamment les plus petites.
Il y a 4 ans et 267 jours

Le gouvernement met "au même niveau" urgence économique et urgence sanitaire assure Le Maire

"Le président de la République et le premier ministre ont estimé, et ils ont raison, qu'il fallait sans doute resserrer un certain nombre de boulons en cette rentrée pour garantir la sécurité sanitaire", a affirmé le ministre sur RTL pour justifier ce report."Nous mettons au même niveau l'urgence économique et l'urgence sanitaire", a-t-il assuré, ajoutant que le report "ne change rien (...) aux mesures qui seront présentées dans le cadre de ce plan de relance"."Les mesures sont prêtes, le plan de relance est prêt et que les mesures soient annoncées la semaine prochaine, dans 10 jours ou dans 15 jours, ou qu'elles soient annoncées maintenant ne change rien au fait qu'elles seront adoptées d'ici la fin de l'année pour être mises en œuvre au début de l'année prochaine", a encore insisté Bruno Le Maire.L'exécutif a annoncé samedi qu'il décalait d'une semaine la présentation de son plan de relance de 100 milliards d'euros pour consacrer toutes ses forces à la mise en place des nouvelles mesures de lutte contre la propagation du Covid-19, au moment où la circulation de l'épidémie s'accélère.Le gouvernement est notamment en train de préparer la mise en place des nouveaux protocoles sanitaires en entreprise et dans les écoles, avec notamment un renforcement de l'obligation du port du masque.Sur le front économique, Bruno Le Maire a confirmé la prévision du gouvernement d'une contraction du produit intérieur brut (PIB) de 11% cette année, alors que l'Insee table sur -9%.Cette prudence s'explique notamment par "beaucoup d'incertitudes internationales", a-t-il justifié, citant le Brexit, l'élection présidentielle américaine et le futur plan quinquennal chinois.
Il y a 4 ans et 267 jours

Transpod et l'Alberta d'accord pour le développement d'un hyperloop

La start-up canadienne a annoncé le 25 août la signature d'un protocole d'entente avec le gouvernement de l'Alberta, au Canada, pour attirer des investissements privés dans la province afin de construire un projet d'infrastructure de transport de plusieurs milliards de dollars.
Il y a 4 ans et 267 jours

CarréSol Éditions x Pierre Gonalons : L'Art du Bois Brûlé, Regards Croisés

À l’occasion de la Paris Design Week 2020, les Éditions CarréSol invitent le designer et architecte d’intérieur français Pierre Gonalons à partager sa vision de l’Art du Bois Brûlé. Rendez-vous le jeudi 10 septembre. Réservé à la presse spécialisée, aux architectes et aux designers, l’événement « L'Art du Bois Brûlé, Regards Croisés » – une conférence et un workshop, suivis d’un cocktail – se tiendra au 29 rue du Louvre dans le deuxième arrondissement, le jeudi 10 septembre à 18 heures. Dans le cadre de cette rencontre inédite, les Éditions CarréSol présenteront leur collection de parquets et panneaux muraux « Les Bois Brûlés », Pierre Gonalons partagera son regard sur la technique ancestrale du Shou Sugi Ban et son apport à la création et au design, puis leurs artisans brûleurs proposeront une démonstration de la technique de brûlage du bois et animeront un workshop auquel les invités pourront prendre part.En puisant leur inspiration dans les valeurs du Wabi-Sabi, les Éditions CarréSol ont conçu une collection de parquets et panneaux muraux avec leurs artisans brûleurs de bois au sein de leur atelier. La collection « Les Bois Brûlés » se démarque par sa patine si particulière ainsi que par ses infinies variations de reflets et de finitions conférées par le brûlage. Tout au long de la Paris Design Week 2020, les Éditions CarréSol seront heureuses de présenter au grand public cette collection ainsi que leur ligne de brûlage du bois, qui sera exceptionnellement déplacée dans leur flagship de la rue du Louvre à cette occasion. Pour en savoir plus, visitez le site des Éditions CarréSol et celui de Pierre Gonalons. Pour participer à l’événement, vous devez vous inscrire sur la billetterie en ligne ou contacter Marie-Angèle Muraccioli par email à contact@carresol-parquet.com. Visuels : © Éditions CarréSolLa Rédaction
Il y a 4 ans et 267 jours

A Accra, l’ambassade de France au Ghana signée Segond-Guyon Architectes

Entre un lycée à Abu Dhabi et en Mauritanie et une restauration de palais au Togo, Segond-Guyon Architectes (Guillaume Segond, Claude Guyon) a livré fin 2018 à Accra, pour le ministère des Affaires étrangères, l’ambassade de France au Ghana, le quatrième bâtiment diplomatique de l’agence lyonnaise. Communiqué. Pour la reconstruction et relocalisation sur le site […] L’article A Accra, l’ambassade de France au Ghana signée Segond-Guyon Architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 267 jours

Au cœur des quartiers populaires, les terrains de sport urbains sèment la discorde

A la cité des Raguenets à Saint-Gratien (Val-d'Oise), le city-stade de La Bombonera, du nom du stade mythique de Buenos Aires, ne vibre plus depuis le 29 mai sur décision de la mairie. Des blocs de béton ont été installés sur le terrain et la pelouse synthétique a été arrachée."A 7h du matin, des pelleteuses ont débarqué dans la cité et ils ont rasé le terrain, sans qu'il y ait d'affichage municipal. C'est un acte de vandalisme", juge Zaki Diop, un habitant du quartier.Pour ce consultant, la suppression du terrain "est plus qu'une punition. On sort de deux mois de confinement, ça a été dur pour tout le monde et on vous enlève l'un des rares espaces pour s'aérer l'esprit".Le city-stade, "c'est un lieu d'échanges (...) On parle de nos problèmes.Le terrain va avec la vie du quartier, il a traversé les générations, des joueurs pro sont sortis de ce terrain. C'est notre patrimoine", clame Zaki Diop qui, avec plusieurs habitants, a déposé une requête au tribunal administratif de Cergy-Pontoise pour contester la décision de la municipalité (LR).La mairie affirme vouloir éviter la tenue de "tournois clandestins" avec des "centaines" de joueurs qui "s'approprient l'espace public", engendrant "des nuisances pour les habitants"."Il suffisait de dire : vous avez fait trop de bruit", estime Malika Schiff dont les quatre garçons profitaient du terrain. Depuis, "les jeunes filles et garçons tournent en rond", explique la maman qui réside dans la cité depuis 1978.Pour Kacim Joly, 19 ans, amateur de ballon rond, "c'est mieux que les jeunes fassent du foot plutôt qu'ils traînent dans la rue".Selon une source policière, "ce terrain ne posait pas de problème si ce n'est quelques nuisances sonores mais de là à le détruire nous n'étions pas favorables"."De manière générale, les city-stades ne sont pas des lieux qui attirent particulièrement notre attention. Il peut y avoir des jeunes qui fument (de la drogue) mais actuellement ce ne sont pas des points de deal", poursuit cette source."Vitrine des quartiers"A Paris, dans le XVIIIe arrondissement, près de Montmartre, c'est la création d'un city-stade en 2018 qui suscite des remous."Le très joli jardin d'enfants a vu son bloc de jeux rasé au profit d'une cage de football grillagée, excluante pour les petits et les moyens", accuse Anne Thoumieux, habitante du quartier qui a lancé une pétition: "non au 100% foot!".Vidéos et photos à l'appui, elle dénonce le "mésusage de l'équipement" avec "des jeunes adultes qui font des parties de foot nocturnes" mais aussi "les problèmes de drogue".En contre-attaque, l'ancien joueur du PSG Vikash Dhorasso, ex-candidat aux municipales à Paris sur une liste LFI, a également lancé sa pétition: "touche pas à mon stade-city".Pour l'ancien Bleu, il s'agit "d'un espace de vie et de lien social" dans "un quartier gentrifié" qui "ne propose plus que de la consommation comme loisirs"."On nous parle de boboïsation alors qu'on se bat pour le retour de toboggans. A cause du city-stade, de mixité il n'y en a plus du tout notamment entre les filles et garçons", rétorque Mme Thoumieux.Prise entre deux feux, la mairie cherche un nouvel emplacement pour le mini-stade.A La Courneuve, Pantin ou encore Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), l'installation des city-stades se fait dans la concertation et les mairies soutiennent les habitants dans l'organisation de tournois "vitrine des quartiers".Ainsi, au coeur de la cité des 3.000 à Aulnay et avec le soutien du maire LR Bruno Beschizza qui fournit masques et gradins, se tient sur trois semaines la deuxième édition de la "CAN des quartiers", inspirée de la Coupe d'Afrique des nations.La rencontre du jour, France-Guinée, affiche complet (200 places) et l'ambiance est électrique, digne d'une compétition professionnelle.Cet événement, "c'est des petites vacances d'été post confinement parce qu'aujourd'hui on est tous bloqué ici", explique "micro3KS", co-organisateur de la compétition.
Il y a 4 ans et 268 jours

La nouvelle ligne du métro londonien encore retardée à cause de la crise sanitaire

La ligne devait initialement être mise en service fin 2018 mais ses promoteurs n'ont cessé d'annoncer des retards bien avant la pandémie. Ils prévoyaient jusqu'à présent une ouverture à l'été 2021.Le chantier, lancé en 2009 et l'un des plus vastes en Europe, a été suspendu un temps pendant le confinement et la reprise du travail n'a pu se faire qu'à un rythme réduit en raison du nombre limité d'ouvriers présents pour respecter la distanciation physique.Quelque 2.000 personnes travaillent sur l'ensemble des sites, soit 50% de moins qu'avant la pandémie.Les travaux concernant les stations et les tunnels avancent en outre moins vite que prévu.Il faudra donc attendre le premier semestre 2022 au mieux pour l'ouverture du premier tronçon de la Elizabeth Line, section centrale qui reliera Londres d'est en ouest entre Abbey Wood et la gare de Paddington.La ligne doit à terme permettre de relier plus rapidement l'aéroport d'Heathrow dans l'ouest de la capitale à la banlieue est, via le quartier des affaires de la City.Son budget ne cesse d'augmenter, avec un coût supplémentaire de 1,1 milliard de livres en raison du nouveau retard, ce qui porte le total de la facture à 18,9 milliards de livres."La livraison de la ligne Elizabeth intervient à un moment de grande incertitude en raison du risque et de l'impact potentiel de nouvelles vagues du Covid", souligne Mark Wild, directeur général de Crossrail.Les Londoniens sont d'ailleurs peu pressés de reprendre les transports en commun et ont encore massivement recours au télétravail, surtout dans les quartiers d'affaires de la capitale britannique.Ces nouvelles habitudes pourraient plomber durablement l'activité du métro londonien.Le maire de Londres Sadiq Khan a dit, selon un porte-parole, être "profondément déçu" par le nouveau délai sur lequel vont se pencher l'autorité des transports londoniens (TfL) et le ministère des Transports.
Il y a 4 ans et 270 jours

Le bâtiment craint d'être déçu par le plan de relance

"On ne veut pas être déçus", prévient Olivier Salleron, président de la Fédération française du bâtiment (FFB), principale organisation du secteur, auprès de l'AFP. "Selon les annonces, ça peut partir en catastrophe."Comme tous les grands secteurs économiques, le bâtiment attend avec impatience le plan de relance la semaine prochaine, qui vise à sortir à long terme l'économie d'une crise probablement historique. Mais plus que d'autres, il affiche sa méfiance."On se demande si le gouvernement a bien analysé que le bâtiment, après l'hôtellerie-restauration et les services à la personne, c'est quand même le troisième secteur le plus touché", s'interroge M. Salleron.Un scepticisme à la mesure de plusieurs mois d'incompréhensions et de polémiques entre le secteur et le gouvernement depuis le début de la crise sanitaire, et en particulier durant le strict confinement imposé aux Français entre mars et mai.Les chantiers ont largement dû s'arrêter faute de pouvoir immédiatement prendre les mesures sanitaires nécessaires, et les clients ont cessé de passer commande pendant de longues semaines. Selon la FFB, l'activité du bâtiment devrait chuter de 18% cette année.Or la construction est un moteur crucial de l'économie française, dont elle représente plus de 5%. Au-delà, la santé du secteur est garante d'une offre suffisante en logements, essentielle au bon fonctionnement de toute l'économie.Le bâtiment se sent oublié par rapport à d'autres grands pans de l'économie comme l'automobile et le tourisme qui, peu avant l'été, ont obtenu des plans spécifiques d'urgence à coups de milliards d'euros.Il craint surtout d'apparaître relativement épargné par la crise aux yeux de l'exécutif: selon la Banque de France, son activité n'était pas loin d'avoir retrouvé son niveau d'avant la crise en juillet et devrait quasiment revenir à la normale en août.Inquiétudes sur la constructionReste que s'il se remet à gagner de l'argent, le secteur en perd aussi à cause du coût élevé des mesures sanitaires, un sujet sur lequel il attend toujours des aides publiques d'ampleur.Et si ses commandes, gage d'activité à venir, ont retrouvé un bon niveau, c'est surtout grâce aux travaux publics engagés par mairies, départements ou régions. Les particuliers, eux, "hésitent encore à s'engager dans des projets, vu l'incertitude sur la durée de la pandémie", souligne le cabinet Markit dans une note de conjoncture pour juillet.Le gouvernement n'est pas sourd aux inquiétudes du bâtiment et lui promet plusieurs milliards d'euros dans son futur plan de relance.L'Etat, soucieux de verdir ce plan, insiste notamment sur la rénovation énergétique à laquelle il veut réserver environ sept milliards.A ce titre, le secteur a déjà remporté un combat de longue date: la principale aide publique à la rénovation sera étendue à tous les Français, y compris les plus riches. Également au programme, un programme de rénovation des bâtiments publics, en particulier les hôpitaux."La rénovation va permettre d'avoir beaucoup d'activité, puisque ça ce sont des travaux qui peuvent se faire vite", assurait mi-août la ministre déléguée au Logement Emmanuelle Wargon sur Europe 1.Le secteur craint néanmoins que la rénovation éclipse la construction de logements neufs, au moment même où celle-ci chute à la suite du confinement.Mais que peut y faire l'Etat ? Ce n'est pas qu'une affaire d'affaiblissement de la demande auquel des aides publiques pourraient éventuellement répondre.C'est aussi, et surtout, que les mairies traînent à octroyer des permis de construire. La crise sanitaire a largement gelé leur examen et la situation s'est peu améliorée depuis la levée du confinement.Sur ce plan, le gouvernement n'a guère pu que renvoyer la balle aux maires.Il leur a lancé, par la voix de Mme Wargon, un "appel" à mettre un "coup de booster" sur les permis.
Il y a 4 ans et 271 jours

Eqiom Bétons lance sa nouvelle plateforme d'inspiration dédiée aux bétons décoratifs

Véritable source d'inspiration et de tendances, www.articimo.fr ambitionne d'accompagner les particuliers et les professionnels en recherche d'idées et/ou désireux de concrétiser un projet d'aménagement en béton décoratif. Entièrement responsive, ce nouveau site internet offre aux internautes une expérience fluide sur tous les écrans et s'inscrit dans une démarche de proximité et de qualité avec son réseau d'applicateurs spécialisés « Créateurs Sols Béton ». ARTICIMO révèle toute l'audace du BétonHautement performant, aux qualités incontestables (thermique, acoustique, durabilité), le béton s'invite dans tous les espaces de vie. Plébiscité par les architectes et les décorateurs, malléable et personnalisable, le béton offre une diversité de déclinaisons et de finitions qui s'adapte à tout type de style. Il devient une solution d'aménagement esthétique, durable et économique nécessitant peu d'entretienIl s'applique aussi bien en intérieur qu'en extérieur pour les aménagements de terrasses, de jardins, d'allées, d'espaces de stationnement, pour les murs ou les escaliers… Par ses formes, ses textures et ses couleurs, le béton décoratif offre une multitude de possibilités pour créer une signature unique ultra contemporaine.Ses qualités techniques associées à sa richesse esthétique répondent parfaitement aux envies des clients sensibles aux finitions épurées et stylisées des sols et murs pour un résultat unique et moderne.Le site internet de référence des bétons décoratifsDans le cadre d'un projet d'aménagement intérieur et extérieur, particuliers et professionnels sont souvent à la recherche d'inspiration et de tendances sur le web. EQIOM Bétons, a développé sous la marque ARTICIMO, une gamme de bétons décoratifs pour tous les espaces de vie et propose aux internautes une toute nouvelle approche du béton sous un angle esthétique et harmonieux, personnalisable et éco-responsable, pour sublimer chaque espace afin qu'il soit un projet unique. Du choix de la solution, à son application et son entretien, www.articimo.fr propose de découvrir les meilleures idées d'aménagements en béton décoratif et met à disposition toute son expertise pour répondre à chaque besoin et à chaque style.En quête d'inspiration ou de nouvelles idées, à la recherche de solutions innovantes et durables ou d'une alternative à d'importants travaux, particuliers et professionnels découvriront au fil de leurs critères de choix, le revêtement tendance, durable et personnalisable qui leur ressemble. Créateurs Sols Béton, le réseau des professionnels experts et passionnés par le béton déco L'application des bétons décoratifs est un projet qui requiert une parfaite maîtrise et qui doit être réalisé par un professionnel formé et qualifié. Créé par EQIOM Bétons, le réseau Créateurs Sols Béton regroupe des entreprises spécialisées dans la mise en œuvre des bétons décoratifs. Les artisans sont régulièrement formés aux dernières techniques et innovations et sont garant de la qualité et des services ARTICIMO.De l'expertise produits aux conseils de mise en œuvre, le réseau offre également un service de proximité pour l'entretien et la rénovation des bétons décoratifs.www.articimo.fr permet de mettre en relation des clients et des professionnels du réseau Créateurs Sols Béton à proximité de chez eux pour accompagner leurs projets d'aménagement en béton décoratif. Il offre également, aux artisans intéressés, la possibilité de candidater pour intégrer le réseau.Enfin, pour aller plus loin et rendre leurs projets plus concrets, des showrooms ARTICIMO ont été ouverts au public – uniquement sur rendez-vous – en France et au Luxembourg. Véritables ateliers de création et d'échange, ces espaces dédiés à l'inspiration permettent à chacun, particuliers et professionnels, de découvrir l'éventail des finitions, des nuances et des textures des solutions ARTICIMO et bénéficier des conseils de nos experts.
Il y a 4 ans et 272 jours

Les terres excavées suivies à la trace ?

Un projet de décret actuellement soumis à la consultation du public prévoit de renforcer les conditions de traçabilité des terres excavées avec l’obligation faite aux producteurs de tenir un registre chronologique de leurs déchets et de les déclarer dans un nouveau registre national électronique centralisé.
Il y a 4 ans et 272 jours

Une étonnante résidence hôtelière aux finitions luxueuses en Hi-Macs®

Offrant un hébergement de cinq chambres d'hôtes avec salles de bains et une cuisine intérieure et extérieure, le véritable attrait de cette villa couleur argile, sont ses espaces extérieurs, dans le cadre magnifique du Haut Atlas.Cette villa spacieuse a été conçue avec un aménagement intérieur d'une qualité exceptionnelle, complété par de vastes terrasses et une imposante piscine. Doté d'une polyvalence à nul autre pareil, HI-MACS® se décline à l'intérieur et à l'extérieur.HI-MACS est un matériau Solid Surface thermoformable à l'envi. Composé de minéraux, d'acrylique et de pigments naturels, le matériau revêt une surface lisse, non poreuse et visuellement transparente, et répond aux normes les plus élevées en matière d'esthétique, de fabrication, de fonctionnalité et d'hygiène - offrant une myriade d'avantages par rapport aux matériaux conventionnels.A l'intérieur, les cuisines, les salles de bains, les têtes de lits, les bureaux, et même certains meubles et œuvres d'art ont été fabriqué en HI-MACS® pour se fondre dans les lieux tout en les sublimant.Mais c'est à l'extérieur que le matériau démontre véritablement sa polyvalence. Des tables des patios aux chaises longues incurvées semi-immergées, situées dans une zone peu profonde de la piscine, aux goulottes de bordure de la piscine, jusqu'aux étonnantes sculptures, HI-MACS®, dans sa déclinaison Alpine White, a été choisi pour refléter la lumière et apporter un sentiment de sérénité au lieu.Les pelouses vertes luxuriantes, parfaites pour une promenade pieds nus, invitent les clients à explorer les nombreuses sculptures fascinantes que l'on trouve dans les jardins. Des pièces sinueuses ressemblant à de la vigne qui serpentent aux coins du bâtiment, aux structures cubistes flottantes entourant les vieux oliviers, la diversité des œuvres fait écho aux plantations sculpturales de la propriété.Adjacent à la terrasse principale, l'imposante piscine de 25 mètres est aussi architecturalement remarquable que l'intérieur de la villa, étonnamment linéaire, mais sans compromis sur le confort. Et, pour s'abriter de la chaleur du soleil marocain, à l'ombre de la pergola, des fauteuils et canapés d'extérieur surdimensionnés. Comme la cour intérieure, à l'image des forts du désert, les Olivades Marrakech chuchotent l'histoire de la région, offrant une grande inspiration pour le yoga, la méditation et la relaxation.Les projets de cette nature exceptionnelle méritent des matériaux de la plus haute qualité, cette réalisation en est l'exemple parfait.Informations techniquesProjet Les Olivades, MarrakechLieu : Marrakech, MarocArchitecte : Gérard Iffrig, FranceFabrication : Plan Design, MarocMatériau : HI-MACS® S028 Alpine White
Il y a 4 ans et 272 jours

Les ingénieristes tablent sur une reprise lente de l’activité

Alors que le gouvernement multiplie les initiatives pour enclencher la reprise, les niveaux d’activité économique restent bas. L’ingénierie, qui intervient en phase amont dans les secteurs industriel et de la construction, enregistre toujours une contraction de ses prises de commandes, selon la dernière édition du Baromètre économique de Syntec-Ingénierie. Plus de 80% des entreprises d’ingénierie souffrent d’une baisse de commandes.
Il y a 4 ans et 272 jours

COVID-19 : la rentrée sera masquée dans les entreprises

Face à la recrudescence actuelle des cas de contamination par le COVID-19, Elisabeth Borne, ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion et Laurent Pietraszewski, secrétaire d’Etat auprès de la ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion, chargé des Retraites et de la Santé au Travail, se sont entretenus avec les partenaires sociaux au sujet de l’évolution des règles sanitaires en entreprises en période de COVID-19. Les services de l’Etat surveillent de très près l’évolution de l’épidémie. Le nombre de clusters sur l’ensemble du territoire augmente. et le milieu professionnel est concerné : le nombre de clusters en cours d’investigation à l’heure actuelle est de 268 tous secteurs dont 60 en milieu professionnel. Suite aux dernières connaissances scientifiques, le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) a publié un avis le 14 août 2020 formulant plusieurs recommandations sur de nouvelles mesures de prévention à mettre en œuvre dans les espaces clos, et notamment dans les milieux professionnels. A ce titre, les ministres ont présenté aux partenaires sociaux plusieurs propositions d’évolutions pour le protocole national qui répondent à trois objectifs : – Transformer le protocole de déconfinement en un protocole plus pérenne qui vise à assurer la santé et la sécurité des travailleurs ; – Prendre en compte l’évolution de la situation sanitaire ; – Intégrer les nouvelles recommandations formulées par le HCSP. Les ministres ont présenté les évolutions envisagées du protocole aux partenaires sociaux : – Systématiser le port du masque dans les espaces clos et partagés au sein des entreprises et des associations (salles de réunion, open-space, couloirs, vestiaires, bureaux partagés etc.). Il sera étudié, avec les partenaires sociaux, les modalités d’une saisine du Haut Conseil de la santé publique sur les conditions envisageables d’adaptation de cette nouvelle mesure. Dans le cas du bureau individuel, le port du masque ne s’impose pas dès lors qu’il n’y a qu’une personne présente. – Rappeler l’importance des autres mesures barrières complémentaires : la distanciation physique, le lavage régulier des mains (savon ou gel hydro alcoolique), le nettoyage et la désinfection des surfaces de travail, l’aération des locaux… – Indiquer que le télétravail reste une pratique recommandée en ce qu’il participe à la démarche de prévention du risque d’infection et permet de limiter l’affluence dans les transports en commun. Des concertations des partenaires sociaux se poursuivent sur le télétravail et pourraient examiner les adaptations requises dans le cadre du recours au télétravail en période de pic épidémique. – Rappeler et renforcer les recommandations en matière d’hébergement collectif des travailleurs, par exemple en privilégiant le logement individuel. Le protocole national de déconfinement, publié le 3 mai par le ministère du Travail et mis à jour le 24 juin et le 3 août, accompagne l’ensemble des entreprises et des associations dans la reprise de leur activité tout en leur permettant d’assurer la protection sanitaire des salariés. Il est à ce jour le document de référence en matière de prévention de la santé des travailleurs face au risque sanitaire du COVID-19.
Il y a 4 ans et 272 jours

La Caisse des dépôts continue d'acquérir des logements privés

INVESTISSEMENT. Dans le cadre de sa gestion d'actifs, la Caisse des dépôts a acquis un immeuble de 92 logements libres à Asnières, commune de la première couronne parisienne. Objectif principal : une "forte création de valeur".
Il y a 4 ans et 272 jours

Le port du masque obligatoire en entreprise y compris dans les open spaces

"Il est nécessaire de systématiser le port du masque dans tous les espaces de travail qui sont clos et partagés", comme les "salles de réunions, couloirs, vestiaires, open spaces", a indiqué la ministre.Elle s'appuie sur le Haut conseil à la santé publique (HCSP) et tient ainsi compte du risque de propagation du Covid-19 par aérosols (fines gouttelettes en suspension dans l'air expiré par les malades).Considéré comme un "équipement individuel de sécurité", le coût du masque, chirurgical ou en tissu, est à la charge de l'employeur.Précédemment, son port était recommandé en entreprise quand le mètre de distance (mesure qui demeure) n'était pas techniquement possible.Par ailleurs, des mesures spécifiques, à définir, seront applicables pour l'hébergement des travailleurs saisonniers et les abattoirs, qui se sont révélés des foyers de contamination cet été, a indiqué à l'AFP, Yvan Ricordeau, de la CFDT, présent à cette réunion qui s'est déroulée en visioconférence.Un protocole national pour assurer la santé et la sécurité des travailleurs en période de Covid-19"Des réunions vont commencer la semaine prochaine", a-il dit, se montrant satisfait de la généralisation du port du masque en entreprise.Cette mesure sera consignée "dans les prochains jours" dans un "protocole national pour assurer la santé et la sécurité des travailleurs en période de Covid-19", en vue d'une application pour "la fin août", a encore expliqué la ministre.En fonction de l'évolution sanitaire et des typologies de locaux d'entreprises cette mesure pourra souffrir de "dérogations" après avis des autorités de santé.Le télétravail recommandéS'agissant du télétravail, "on va rester sur les règles d'aujourd'hui: télétravail recommandé dans les zones où le virus circule activement", a précisé la ministre. Elle a incité les partenaires à entamer et à accélérer une négociation sur le sujet."Les masques, ça ne fait pas tout, il faut aussi travailler sur les questions d'organisation du travail, de télétravail et de réduction du temps de travail", a déclaré Fabrice Angéi qui représentait la CGT à la réunion."Dans l'attente d'autres précisions, la règle sera celle-ci, elle a au moins le mérite d'être claire, si elle n'a pas le mérite d'être souple", a réagi de son côté François Asselin, le président de la CPME (Confédération des petites et moyennes entreprises).Il s'est interrogé au passage sur le cas des restaurants, ou les clients ne portent pas le masque quand ils mangent y compris en intérieur, ou sur des personnes présentes en plateaux télés."Il faudra quand même répondre à ces sujets", lors de la redéfinition des différents protocoles, a-t-il dit.S'agissant de télétravail, il est satisfait qu'"on reste dans le système courant et qu'on ne revienne pas dans le système exceptionnel (post-confinement)", c'est-à-dire qu'il sera "à la discrétion de l'employeur et dans le dialogue social".
Il y a 4 ans et 273 jours

A Dijon métropole, les premiers pas de la gestion de l'espace public par le numérique

FOCUS. Engagé dans un vaste projet de smartcity, la métropole de Dijon souhaite notamment améliorer la gestion et la connaissance de l'occupation de son espace public. Grâce à une solution numérique, de premières démarches ont été entreprises, facilitant notamment la gestion des chantiers.
Il y a 4 ans et 273 jours

Résultats en hausse pour Ariston Thermo sur l'exercice 2019

Au terme de l'exercice budgétaire, le 31 décembre 2019, le groupe a atteint :Un chiffre d'affaires qui atteint 1,71 milliard d'euros, le meilleur enregistré depuis la création du groupe et supérieur de 6,1% par rapport à 2018.L'EBITDA est à l'équilibre à 223 millions d'euros, une augmentation de 10,4% par rapport à 2018.L'EBIT est à l'équilibre à 149 millions d'euros, correspondant à 8,7% du chiffre d'affaires.L'année 2019 fut très positive pour ARISTON Thermo en termes de chiffre d'affaires et de rentabilité atteignant 1,710 milliard d'euros, montant supérieur de 6,1% par rapport à 2018 et un EBITDA à l'équilibre à 223 millions d'euros, +10,4% par rapport aux 202 millions de l'année précédente. Quant au budget de Recherche & Développement, il dépasse les 77 millions d'euros d'investissements, confirmant l'engagement d'Ariston Termo dans le domaine.“En 2019, nous nous sommes engagés à atteindre un profit en hausse, tout en continuant de nous concentrer sur des objectifs durables : tous les indicateurs économiques et financiers représentent un record pour le groupe” indique Paolo Merloni, directeur exécutif chez ARISTON Thermo. “Nous avons atteint d'excellents résultats en termes de solutions renouvelables, augmentant les recettes, les volumes et les parts de marché. Cela prouve que l'investissement fait en R&D ces dernières années et le développement de stratégies de commercialisation innovantes produisent les effets attendus. En ce sens, en 2019, nous avons accentué nos efforts en R&D, investissant 40% de plus dans les produits renouvelables par rapport à 2018, principalement en Italie. Pour l'instant, l'année 2020 est critique en raison de la crise du Covid-19. Cependant, les résultats positifs de ces dernières années ont renforcé notre vision et nous ont donné une stabilité économique, une flexibilité industrielle et opérationnelle et un bilan solide, ce qui est fondamental pour faire face à cette situation”.En 2020, le groupe fête les 90 ans de sa création. En effet, l'histoire d'Ariston Thermo Group débute en juillet 1930, quand Aristide Merloni fonda Merloni Industries à Fabriano. Depuis, grâce à un processus d'internationalisation fort, l'entreprise est devenue l'un des leaders mondiaux dans le secteur du confort thermique. Croire au développement durable, motiver via l'excellence, être orienté consommateur, considérer le personnel, agir avec intégrité, sont autant de valeurs qui ont guidé le groupe durant 90 années.Pour les 90 ans de la création de l'entreprise, Paolo Merloni a commenté : “Le 90ème anniversaire de la création représente une étape importante et confirme que la longue histoire de l'entreprise constitue la base pour nous projeter dans le futur. Les valeurs que nous portons sont plus à propos que jamais, alors qu'un fort engagement dans la recherche et l'innovation, la transformation digitale et l'amélioration du capital humain sont nos priorités afin de construire un futur durable. Ce 90ème anniversaire nous donne la motivation et l'inspiration nécessaires pour rester compétitifs et sortir encore plus fort. Grâce à l'enthousiasme et les capacités de nos collaborateurs, qui sont l'essence même d'Ariston Thermo, je suis convaincu que nous continuerons à évoluer et à atteindre nos objectifs futurs”.Les événements marquants de 2019Un des évènements les plus marquants de l'année fut, fin avril, l'acquisition par ARISTON Thermo de 100% de Carolex (rachat à Industrial Satillo Group), une entreprise implantée au Mexique et aux États-Unis qui conçoit, fabrique et commercialise des chauffe-eau à gaz, électriques et solaires en collaboration avec des marques leader et avec un positionnement de marché unique. Cette acquisition a consolidé la présence du groupe sur le continent américain, lui permettant d'être en pole position au Mexique et d'établir une position fondamentale pour le renforcement d'une potentielle croissance en Amérique du Nord et Centrale ainsi qu'en Amérique Latine.ARISTON a poursuivi sa mission “pour amener du confort même où cela semble impossible à trouver” via la campagne de communication mondiale “The ARISTON Comfort Challenge”. L'intérêt et les avancées de ce projet, ont contribué à la mise en oeuvre de 22 nouvelles recherches sur le changement climatique au Groenland en 2019, ont permis de lancer la campagne sur de nouveaux marchés clés pour l'entreprise comme la France et le Vietnam. Le “ARISTON Comfort Challenge” a également été un sujet majeur au FurioSalone2019 pendant la Milan Design Week : ARISTON Thermo a soutenu le projet “HELP”, une installation artistique créée en réponse aux effets du changement climatique sur la planète, réitérant ainsi son engagement pour le développement durable et la réduction de l'impact humain sur l'environnement.ARISTON a également reçu de nombreuses récompenses dans différents domaines au cours de l'année. En ce qui concerne la production, l'usine Cerreto D'Esi, spécialisée dans la production de chauffe-eau électriques a passé avec succès l'audit World Class Manufacturing (WCM), obtenant la médaille de bronze, à laquelle s'ajoutent celles obtenues par les usines Arcevia et Osimo en 2017. Concernant la marque Racold, la marque leader en Inde, elle a obtenu la prestigieuse récompense “Superbrands 2019”. Racold était la seule marque à être sélectionnée pour le “Superbrands 2019” dans la catégorie chauffe-eau après un long processus de vote par les consommateurs finaux.En octobre 2019, ARISTON Thermo a reçu de l'Italian Association of Family Businesses l'Award Alberto Falck Family Business 2019. La croissance quantitative et qualitative constante, l'excellence des résultats au niveau international au fil des ans, les valeurs de l'entreprise, l'attention portée aux territoires où le groupe est présent, le système gestion moderne et la recherche constante d'innovation dans l'idée d'accroître le développement durable, sont autant d'aspects qui ont rendu possible la reconnaissance importante que confèrent ces prix.Augmentation de portefeuille : diversification et innovationToujours en 2019, ARISTON Thermo a poursuivi sa politique de diversification et d'innovation de son portefeuille de produits et de services, en investissant dans la création de solutions énergétiques efficaces, qui utilisent les énergies renouvelables ainsi que dans le développement de services et applications.En ce qui concerne les solutions pour les chauffe-eau sanitaires, le portefeuille d'Ariston Thermo s'est enrichi mondialement afin d'appréhender les besoins locaux. Aux États-Unis, la première gamme de chauffe-eaux électriques produite en Italie a été lancée et le portefeuille de chauffe-eaux en émail, électriques et à gaz, a été intégrée à la gamme standard américaine. Grâce à cela, le groupe est devenu l'un des acteurs sur le marché Nord-Américain offrant la gamme de produits la plus complète. En Asie, en particulier au Vietnam et à Singapour, ARISTON Thermo a étendu son offre en lançant des solutions avec la technologie connectée.Tant sur le marché européen que sur celui des pays émergents (Moyen-Orient, Afrique et Sud-Est de l'Asie), la nouvelle gamme de chauffe-eau est à circulation naturelle. Enfin, ARISTON Thermo a renforcé ses solutions durables, présentant sa nouvelle gamme de pompe à chaleur Split : avec une capacité de 150, 200 ou 270 litres, ces modèles offrent une plus grande facilité d'installation, une meilleure efficacité et des performances sonores optimales dans sa catégorie en Europe.Même pour les solutions de chauffage, le portefeuille ARISTON Thermo s'est renforcé. Partant de ses propres compétences et expériences, l'entreprise s'est une nouvelle fois montrée capable de s'adapter aux besoins des consommateurs locaux et des spécificités techniques liées aux différents marchés. Aux États-Unis et au Canada, le groupe a introduit la première gamme de chaudières à condensation avec des batteries entre 24 et 45 kW sous les marques NTI et http. Grâce au nouvel échangeur thermique CIRCOND, conçu spécifiquement pour l'Amérique du Nord, le groupe a relancé le segment water tube, combinant coût et performance. De plus, le contrôle électronique développé en interne permet une gestion optimisée des chaudières, s'adaptant mieux aux différents types d'installations ainsi qu'aux besoins des consommateurs, améliorant ainsi le confort et la consommation.Quant aux solutions de chauffage, le lancement du Trigon XXL, une nouvelle gamme de chaudières à condensation sur pieds avec une batterie allant au-delà de 650 kW, a été fait avec les marques Elco HS et Rendam ax.En 2019, de nombreuses activités ont été réalisées pour soutenir la croissance dans le secteur des pompes à chaleur. Au début de l'année, la gamme de pompe à chaleur à eau et à air Energion M a été lancée (versions autonome et hybride) sous la marque ATAG pour les marchés Néerlandais et Belge. En juillet, le groupe a introduit sur le marché italien, pour les marques ARISTON, Chaffoteaux et Elco, de nouvelles pompes à chaleur encastrables pour le chauffage, le refroidissement et l'eau chaude sanitaire équipées avec tous les composants nécessaires pour une installation complète : chaudière, réservoir technique, résistance électrique et vases d'expansion.De plus, pour les gammes premium, les nouveaux Aerotop G 14.2 et Aerotop S, sous la marque Elco, ont été lancé au dernier trimestre. Le renouvellement de gammes déjà existantes a permis d'y introduire les dernières plateformes électroniques, onduleurs et ventilateurs pour améliorer la qualité et les performances ainsi que réduire le coût et le bruit. Les principaux marchés de lancement ont été la Suisse et l'Allemagne.Pour terminer, ARISTON Thermo a une fois encore confirmé une place de premier plan quand il s'est agi de répondre aux besoins d'intégrer du confort thermique au sein des écosystèmes privés. En 2019, grâce à l'intégration continue des systèmes de chauffage du groupe dans les plateformes internationales de maisons connectées, l'entreprise a renforcé son offre de services connectés, développant des systèmes compatibles avec Alexa d'Amazon, Homekit de Apple et l'Assistant de Google avec le contrôle vocal, permettant une interaction avec les produits simplifiés et plus intuitive. À ce jour, 65.000 consommateurs utilisent les objets connectés profitant des avantages du contrôle à distance, des économies d'énergie et d'une assistance permanente.En plus des services pour les consommateurs, l'entreprise propose aussi des solutions d'interopérabilité, permettant un dialogue entre les systèmes et des plateformes de logiciels externes, comme des centres d'assistance, qui permettent l'amélioration de leur offre ainsi que le développement de nouvelles opportunités et de modèles d'entreprises pour un futur toujours plus flexible et écologique.
Il y a 4 ans et 273 jours

Le salon Workspace Expo reporté du 30 mars au 1er avril 2021

Suite aux toutes dernières informations connues, l’épidémie progresse de nouveau malgré les diverses mesures locales supplémentaires notamment relatives au port du masque.D’après les données de Santé publique France, les contaminations sont à la hausse et le taux d’incidence grimpe, en particulier à Paris, où la forte densité de population est un facteur aggravant de circulation du virus. A cet égard, le comité scientifique alertait, dans son dernier rapport, que la France est « dans une situation fragile, avec une recrudescence de la circulation du virus » qui pourrait « basculer à tout moment dans un scénario moins contrôlé ».Le Premier ministre vient d’annoncer la prolongation, jusqu’au 30 octobre prochain, des mesures d’interdiction temporaires des rassemblements de plus de 5.000 personnes sauf dérogation préfectorale, qui devaient initialement expirer fin août.Compte tenu de ces informations récentes, Workspace Expo, toujours à l’écoute de ses exposants, a pris en compte leurs difficultés tant organisationnelles qu'économiques, et a décidé à leur demande de reporter le salon afin de leur permettre d'y participer. Dans ce contexte, Workspace Expo estime qu’il n’est plus envisageable de pouvoir assurer, pour un salon professionnel parisien de son importance, les conditions de rencontres d’affaires sereines et bénéfiques, de sécurité et de sûreté sanitaire, qu’il se doit d’offrir. Le salon est donc reporté au mois de mars 2021. Workspace Expo, conscient des enjeux relatifs à un marché en pleine mutation qui nécessitent une unité et une cohésion de tous les acteurs, facteurs essentiels pour la pérennité du secteur, a pris en compte ces données exceptionnelles. De nouvelles dates ont donc été étudiées avec la plus grande attention pour reporter le salon au moment le plus opportun pour les professionnels, en harmonie avec les cycles d’activité du secteur afin de leur assurer les meilleures conditions pour la reprise économique.Le salon Workspace Expo se tiendra du 30 mars au 1er avril 2021 dans le Pavillon 1 de la Porte de Versailles, à Paris.Par ailleurs, le prochain événement de la filière sera Workplace Meetings, le salon one to one de l’environnement de travail et des achats, manifestation complémentaire offrant de réelles opportunités de business. Il se déroulera à Cannes les 24, 25 et 26 novembre 2020.
Il y a 4 ans et 273 jours

Une solution digitale et instantanée pour la propreté

Première mondiale, JVD et Rubix SI s’associent et codéveloppent une solution de monitoring des conditions sanitaires pour conquérir les marchés mondiaux. Objectif : détecter, grâce à des capteurs, la qualité de l’air et le niveau d’hygiène d’un lieu, pour y restaurer des conditions sanitaires optimales.
Il y a 4 ans et 274 jours

Qarnot Computing, première entreprise financée par l’action de l’Etat Territoires d’innovation pour Construire au Futur, Habiter le Futur

Dans le contexte actuel de crise sanitaire et économique, l’Etat français, via la Banque des Territoires, et Colam Impact confirment leur volonté d’accompagner Qarnot, en entrant au capital à hauteur 2 millions d’euros. Cette opération est réalisée dans le cadre de la candidature lauréate de la Région Île-de-France, comme l’un des Territoires d’innovation. Qarnot est ainsi la toute première entreprise en France financée par cette action du Programme d’investissements d’avenir (PIA).
Il y a 4 ans et 274 jours

Abris voyageurs et abris bus nouvelle génération

Il existe différents types d’abri bus, dits aussi “abris voyageurs” ; des plus simples aux plus modernes, conçus par des designers ou des sociétés d’urbanisme orientées développement durable. Ouverts, fermés, en bois, béton, à technologie embarquée ou végétalisés, les abris bus sont très diversifiés.  Installer des abris voyageurs  Lorsque la question se pose d’installer des abris voyageurs, le choix doit se faire entre deux configurations :   l‘abri ouvert, dont les bardages sont transparents, le plus souvent constitués de verre ou de plastique ;  l‘abri fermé, dont les bardages sont opaques, constitués de bois ou de métal. Ce type d’abri protège mieux les voyageurs des éléments que l’abri ouvert.  Par ailleurs, l’installation d’abris voyageurs est soumise à réglementation et leur implantation ne peut se faire n’importe où. L’accès à un bus se faisant généralement par l’avant, l’abri voyageur devra être placé en tête de quai afin de faciliter la montée des voyageurs.  De même, le quai d’accès aux transports en commun devra répondre à des normes d’accessibilité spécifiques en termes de dimensionnement et de pente.  Végétalisés, technologiques : les nouveaux abris bus  Abris voyageurs végétalisés  Dans le contexte du réchauffement climatique et devant l’urgence de repositionner l’urbanisme pour concevoir des espaces urbains plus écologiques et replacer la nature au centre de ces espaces de vie, la Hollande a mis en place des abris bus végétalisés.   Depuis 2016, ce sont plus de 700 abris voyageurs aux toits couverts de verdure qui ont poussés comme des champignons dans les rues d’Utrecht, Rotterdam ou encore Apeldoorn.   Simples à installer et demandant peu d’entretien, ces abris bus végétalisés apportent comme principaux avantages un environnement visuellement plus agréable, ainsi qu’un geste de plus dans la lutte contre les îlots de chaleur urbain. En effet, en plein été, le toit d’un abri voyageurs en plastique ou en métal est jusqu’à 30°C plus chaud qu’un toit végétalisé.   Ces nouveaux modules d’abris bus offrent donc un confort supplémentaire aux voyageurs dans l’attente de leur moyen de transport.  Abris bus intelligents  Un pas de plus dans l’ère des smart cities est franchi, avec le développement parisien des abri bus dits “à haut niveau de service”. Écologiques et innovants, ces abris voyageurs sont équipés de mâts électroniques, de larges plans rétroéclairés, ou encore d’une annonce sonore sur demande et des numéros de lignes tactiles pour faciliter l’accessibilité des personnes malvoyantes.  Ces abris se veulent plus intuitifs dans la consultation des informations qu’ils prodiguent, telles que les informations en temps réel sur les horaires de passages des prochains bus et des messages sonores et visuels en cas de perturbation des lignes de bus.   Par ailleurs, leur aménagement est pensé en termes de confort usager : plus larges, ils comprennent davantage de places assises, dont certaines spécialement conçues pour faciliter l’accès aux personnes à mobilité réduite (PMR). Enfin, ces abris bus nouvelle génération s’intègrent parfaitement aux nouveaux usages et modes de consommation technologique, par leur équipement en chargeur de portable universel. 
Il y a 4 ans et 274 jours

Xavier Barth, nouveau président du Collège SNBPE de la région Ile-de-France

Le mardi 23 juin 2020, Xavier Barth a été élu à l’unanimité, par les adhérents franciliens du Syndicat national du béton prêt à l’emploi, à la présidence du Collège SNBPE de la région Ile-de-France. Il succède à Jean-Paul Lucas dont le mandat vient d’arriver à son terme.
Il y a 4 ans et 274 jours

Pose rapide de 19 poutres précontraintes très grandes portées

Sur le site du futur CREPS (Centre de Ressources, d’Expertise et de Performance Sportive) de la région des Pays de la Loire en cours de construction, l’association des savoir-faire de GCC Nantes et de l’industriel KP1 a permis la pose, en seulement 3 jours, de 19 poutres précontraintes de 14 tonnes et de 21 m de portée.