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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Transport et infrastructure

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Il y a 4 ans et 293 jours

Réseau Lorenove, l’avenir d’un réseau gagnant !

En dépit d’un début d’année qui s’annonçait prometteur : + 16% de chiffres d’affaires en janvier et février 2020 par rapport à 2019 ; à l’annonce du confinement – comme pour l’ensemble du Groupe – l’activité du réseau Lorenove a été mise en suspens et a sonné l’arrêt soudain des activités commerciales et de pose. Le réseau, qui venait de réunir fin janvier 2020 ses concessions et agences pour sa 35ème convention, aspirait à une nouvelle année marquée par une forte volonté d’aller de l’avant, avec des méthodes inédites et davantage de moyens mis à disposition. Les ambitions et projets ont dû être laissés de côté et faire place au plan d’urgence pour la relance de l’activité commerciale et la pérennité des concessionnaires. L’appartenance au Groupe Lorillard L’appartenance au Groupe a permis aux concessionnaires de bénéficier d’un appui financier avec des reports d’échéance, des conseils de gestion, un suivi de trésorerie. D’un point de vue réglementaire, le Groupe a également tout mis en œuvre – avec les équipes internes et notamment le service HSE – pour instaurer et organiser les mesures barrières indispensables afin de garantir la sécurité des collaborateurs et celle des clients. Ainsi, le document unique d’évaluation des risques DUER a été adapté et intègre toutes les procédures Covid spécifiques à chacun des métiers : commerce, pose, services support… Une reprise coordonnée Ainsi, tout le réseau a réouvert le 11 mai, certaines concessions en effectif réduit le temps que l’activité reprenne ; pour d’autres, au complet. Certains même, n’ont jamais arrêté leurs activités et ont posé des portails et portes de garage. « Il y a eu des demandes de devis ou demandes de poses durant le confinement, même les interventions SAV sont restées actives » précise Marylène Mitrecey. « Nous avons mis en place une permanence commerciale pour les accompagner durant tout le confinement ; afin que les concessionnaires restés en activité puissent avoir les chiffrages nécessaires à leurs chantiers et que les commandes puissent être enregistrées pour être mises en production. Côté production, nous avons modulé la fabrication en fonction des poses les plus urgentes, nous nous sommes adaptés à la reprise d’activité des concessionnaires pour qu’ils puissent livrer et assurer la réalisation de leurs chantiers. » Une équipe renforcée et complémentaire L’équipe de Gérard Coron-Dall’o désormais constituée de Jean-Christophe Péron – Développeur Réseau arrivé en 2019 – accompagné de 3 animateurs « régions » : Paul Moriaud (Sud) et Emmanuel Tardy (Ouest), rejoints récemment par Nathalie Careaux (IDF, Nord, Est), s’est également étoffée avec l’arrivée de Joao Alves début 2020 en tant qu’animateur technique, chargé des formations et du support technique des concessions. De nouvelles ouvertures en 2020 Le confinement n’a pas altéré la volonté de développement du réseau. Alors que 5 nouvelles concessions ont rejoint le réseau l’année passée, l’objectif 2020, annoncé lors de la convention des concessionnaires, est de doubler ce score et d’atteindre 10 ouvertures. « Les contacts ont été maintenus et les dossiers en cours ont continué d’avancer en dépit du contexte peu favorable, les projets d’ouverture ont perduré. » précise Marylène Mitrecey. Sont d’ores et déjà en cours : trois ouvertures dans la région Lyonnaise (dont une à Roanne), une à Pau et une au Mans. Un plan de communication prometteur Deux opérations commerciales exceptionnelles ont été lancées. Du 15 au 28 mai, l’opération « Vous nous avez manqué » a été promue pour communiquer sur la reprise d’activité de nos concessionnaires et inciter nos clients à revenir en magasins. « L’idée était de prendre la parole tout de suite après la réouverture des magasins, via une communication par email et sms. Nous proposions 15% sur l’ensemble de nos produits pour inciter les personnes à concrétiser les projets nés pendant cette période de confinement » explique Marylène Mitrecey. La seconde campagne, lancée entre le 30 mai et le 20 juin, était une opération commerciale nationale en 3 temps : proposer 150 euros de reprise par fenêtre, porte fenêtre et coulissant pour tous les matériaux ; offrir un lave-vitre de la marque « Kärscher » pour chaque commande ; ajouter une offre complémentaire grâce à l’un de nos fournisseurs référencés « Novoferm » (pour chaque porte de garage du modèle ISO 45 commandée, le moteur était proposé à 1 euro). « Nous avons également négocié des propositions de financement personnalisées dont une offre de crédit à taux 0% (TAEG fixe) afin de pouvoir les proposer à nos clients particuliers durant toute la durée de ces deux opérations. Nous savons que beaucoup ont vu leurs revenus diminuer en cette période et nous souhaitons accompagner au mieux les personnes qui ont malgré tout un projet de rénovation à accomplir. » confie Marylène Mitrecey La campagne nationale de septembre du 12 septembre au 3 octobre a été maintenue. Au programme : 15% de remise sur chaque projet de remplacement de fenêtres, portes-fenêtres et/ou coulissant ; 1 enceinte bluetooth Sony offerte ; une offre spéciale élaborée conjointement avec notre partenaire Profalux, pour proposer le volet roulant Visio Solaire à 599€ TTC posé. En outre, 2 leaflets génériques pour les concessions et agences intégrées ont été créés afin qu’ils puissent faire du boitage durant le confinement et communiquer à la reprise, plus efficacement en local. Également, une interface rassemble l’ensemble des outils de communication : annonce presse, spots télé, emailing, etc. afin qu’ils puissent relayer auprès de leurs réseaux les campagnes de la marque. « Le réseau gagnant » Une chose est sûre : au sein du réseau Lorenove, les concessionnaires ne se sentent jamais livrés à eux-mêmes ! « Depuis le déconfinement, nous observons une augmentation très significative des contacts chez Lorenove pour l’activité liée aux particuliers » précise Marylène Mitrecey. « Les efforts de tous et l’ensemble de nos actions portent leurs fruits ! » En effet, à ce jour les résultats sont probants, avec une hausse exceptionnelle des contacts de +381% au mois de mai comparé à avril 2020, et de +268% en comparaison à mai 2019. Le site Internet Lorenove a engrangé 4 fois plus de visites en provenance des réseaux sociaux, entre le 15 mars et la fin mai, comparé à la même période en 2019. Pour la partie digitale, la campagne Google Ads a été décuplée. « Nous avons augmenté nos budgets de 44 % pour les mois de mai et juin. Nous avons voulu nous donner toutes les chances de réussir cette reprise et d’être vraiment présents auprès de nos clients. » explique Marylène Mitrecey. Les actions digitales se sont donc aussi distinguées avec une augmentation sur seulement 15 jours de + 1570 fans sur Facebook, faisant suite aux différents posts et publicités réalisées, soit +22% d’augmentation permettant de dépasser la barre des 8800 fans. Les vidéos spécial Covid ont été vues plus de 86 000 fois sur Facebook sur plus de 210 000 personnes exposées ! De son côté, en 2 mois, le réseau LinkedIn a conquis +400 abonnés pour le Groupe Lorillard et +188 abonnés pour Lorenove avec un très bon taux d’engagement de 6% et des pics à 12% sur les posts Covid (vidéos, photos…) largement diffusés et partagés. « Nous sommes actuellement à + 117 % de notre objectif fixé pour le chiffre d’affaires facturé en mai 2020. Pour le chiffre d’affaires commercial (les prises de commande, commandes en cours) nous sommes à 65 % de l’objectif fixé sur le mois de mai. On s’attendait à une reprise beaucoup plus timide et moins dynamique, mais les résultats obtenus sont plus qu’encourageants pour la suite » témoigne Marylène Mitrecey. Mais un réseau performant, ce sont aussi des valeurs, une philosophie et des méthodes partagées par tous… Intelligence collective, homogénéité, vision commune, co-constuction, uniformisation, professionnalisme, transmission des valeurs et des bonnes pratiques, respect de l’enseigne… Tels sont les mots clés de la réussite. Tels sont les ingrédients que Lorenove intègre dans ses agences et concessions, pour en faire « le réseau gagnant ». « Cette période nous a ouvert les yeux sur d’autres façons de concevoir l’animation. En étant à distance, nous avons développé des façons de communiquer qui malgré tout, restent humaines et proches. Tous nos échanges nous ont permis de garder cet esprit réseau même si on ne se voyait pas. Là où tout le monde parle de distanciation sociale, nous avons eu l’impression d’être plus proches et plus soudés les uns aux autres » conclut Marylène Mitrecey.
Il y a 4 ans et 293 jours

Accusé de polluer la Seine, Lafarge parle de “malveillance”

En exclusivité, Europe 1 a révélé une pollution de la Seine, à Paris, par le groupe cimentier LafargeHolcim. Celle-ci a même été qualifiée de « Clairement volontaire ». Une accusation lancée par Jacques Lemoine, agent de développement de l’Association agréée de pêche et de protection du milieu aquatique (Aappma). De son côté, Lafarge France dément cette accusation. Et indique, dans un communiqué de presse daté du 1er septembre, « être victime d’une détérioration délibérée d’une plaque d’étanchéité ». Entre temps, Europe 1 a lancé une nouvelle salve. La station de radio a révélé qu’une seconde pollution existait au niveau de la centrale à béton du pont Mirabeau… Ce sont les membres d’une association de riverains, qui ont constaté les faits. « J’ai vu plusieurs fois des camions Lafarge déverser un liquide blanchâtre. Celui-ci ressemblait à des eaux usées, directement dans la Seine », a raconté Maryse Fourcade, vice-présidente de l’association, au micro d’Europe 1. Et le site de la radio a publié des photos montrant les faits… « LafargeHolcim est conscient de ses obligations en matière d’environnement. Et déterminé à protéger l’environnement dans les pays où il exerce ses activités. Il a toujours fermement condamné ces pratiques interdites par ses standards de production », répond en retour le groupe cimentier. Ceci, à propos de ce rejet d’eau de lavage dans la Seine. Et de poursuivre : « LafargeHolcim a immédiatement décidé de lancer une enquête interne, afin de faire la lumière sur ces possibles agissements. Dans les prochains jours, l’ensemble du personnel de nos sites parisiens fera à nouveau l’objet d’un rappel des bonnes pratiques. Et du caractère impératif du respect des règles environnementales. »  A Paris, des eaux chargées issues du recyclage des bétons se sont déversées dans la Seine depuis la centrale Lafarge France de Bercy. [©ACPresse] Un « flagrant délit de pollution environnementale » La pollution environnementale initiale s’est déroulée dans la centrale à béton Lafarge France. Une unité implantée sur la rive droite de la Seine, à côté de l’AccorHotels Arena, à Paris. Elle concerne le tout dernier bassin de décantation des eaux de process et de lavage des toupies.  C’est à ce niveau qu’est constatée la fuite, « qui a entraîné un léger écoulement temporaire d’eau recyclée dans la Seine », précise le communiqué. Dans le cas présent, cette eau comportait des micro-fibres synthétiques. Mais Lafarge souligne aussi que, « aussitôt détecté, cet écoulement a été stoppé. Et des travaux de réparation immédiats ont été engagés ». Ces affirmations sont loin d’avoir convaincus, tant l’Aappma que les élus locaux.  Dans le journal 20 Minutes, Guillaume Durand, co-responsable de EELV Paris, parle d’un « flagrant délit de pollution environnementale, qui pourrait porter atteinte à la santé des citoyennes et citoyens de Paris ». Et quant à Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la mairie de Paris, il indique sur son compte Twitter, « découvrir avec stupeur cette pollution lente qui empoisonne notre fleuve. Des explications s’imposent de la part du gestionnaire du site et une plainte sera déposée… » Un traitement des eaux en circuit fermé Le traitement des eaux de process est réalisé en circuit fermé. Et se fait au sein d’une série de bassins de décantation. Ici, les bassins de la centrale à béton Lafarge de Pantin. [©ACPresse] Pour mémoire, le traitement des eaux de process du cycle de production des bétons est aujourd’hui une obligation. Les bétonniers s’y plient, mettant en place des dispositifs dédiés. Sur le site de la centrale à béton Lafarge France de Bercy, ce traitement est réalisé en circuit strictement fermé. Et se fait au sein d’une série de bassins de décantation. Les toupies déversent leurs eaux chargées, issues du nettoyage des cuves, dans le premier bassin. Puis, celles-ci passent ensuite de bassins en bassins. Les eaux claires se concentrent dans le dernier bassin, là où la fuite a été constatée. Eaux réintroduites dans le process de production de bétons neufs. Ou employées pour de nouvelles opérations de nettoyage. Quant aux résidus (graviers, boue cimentaire), ils sont extraits, de manière régulière, du premier bassin. Et évacués vers un centre de traitement certifié pour recyclage et valorisation. La pollution constatée ne concerne pas ces résidus. Lafarge France va déposer plainte Dans ce contexte, Lafarge a déclaré au Figaro, « comprendre l’émotion que suscite cet incident à la centrale à béton de Bercy […] » Et de poursuivre : « Il est faux d’accuser notre entreprise de rejets, qui pourraient être volontaires ». De fait, le groupe cimentier a choisi de déposer plainte, lui aussi, pour faire toute la lumière sur cette affaire. Comme tous les autres équipements du groupe LafargeHolcim en France, la centrale à béton de Bercy répond à toutes les exigences environnementales en vigueur. Toutefois, suite à cet incident, l’industriel va mettre en place des actions de contrôle renforcées sur ses unités de production. Concernant le site de Bercy, il va mettre en œuvre une solution de sécurisation supplémentaire du circuit de recyclage des eaux. Et ce, dès les prochains jours…  Les toupies déversent leurs eaux chargées, issus du nettoyage des cuves, dans le premier bassin. [©ACPresse] Ces actions n’ont pas pour autant calmé le jeu. Ainsi, Barbara Pompili, la ministre de la Transition écologique, a annoncé que tous les sites du cimentier Lafarge situés en bord de Seine en Ile-de-France seront contrôlés. Et qu’une enquête a été ouverte pour suspicion de pollution du fleuve. La Mairie de Paris a demandé la saisine du procureur de la République pour un constat d’infraction pénale et une enquête préliminaire. Les choses semblent même être allées un peu plus loin. Puisque la même Mairie de Paris accuse aussi Haropa Ports de Paris de ne pas avoir rempli son devoir de contrôle… Cet organisme est en charge de l’aménagement de l’entretien et de l’exploitation des installations portuaires en Ile-de-France. Contacté par ACPresse, Haropa Ports de Paris n’a pour l’heure pas donné suite à cette demande. Vinci condamné pour une pollution similaire Il y a un peu plus d’un an – en avril 2019 -, le groupe de BTP Vinci a été confronté à la même mésaventure. A savoir, l’épanchement de béton dans le Seine, à Nanterre (92). C’est l’Aappma qui avait déjà lancée l’alerte à l’époque. Après enquête en interne, il s’est avéré qu’il s’agissait d’eau grise chargée en sable et comportant des traces de ciment désactivé. Moins de 5 m3 en totalité, ayant couvert environ 20 m2 de surface dans le lit de la Seine. Donc, bien loin de la catastrophe annoncée de prime abord dans les médias… Vinci s’est engagé à remettre en l’état la zone polluée. Toutefois, cela n’a pas empêché le groupe Vinci d’écoper d’une amende de 50 000 € (plus 40 000 € avec sursis) ! Article mis à jour le 3 septembre 2020.
Il y a 4 ans et 293 jours

Après un contretemps, le plan de relance enfin détaillé jeudi

Ce plan de 100 milliards d'euros représente "quatre fois plus que le plan de 2008, un tiers du budget de l'État", a vanté la semaine dernière le Premier ministre Jean Castex devant les patrons réunis à l'université d'été du Medef, pour assurer l'engagement de l'Etat dans cette crise.Une crise inédite depuis la Seconde Guerre mondiale: après avoir vu le PIB se contracter de plus de 5% au premier trimestre, puis de 13,8% au deuxième sous l'effet du confinement, la France est entrée en récession et le gouvernement prévoit que son PIB s'affaisse de 11% cette année.Si le rebond de l'activité a été fort au début du déconfinement à la mi-mai, il s'essouffle quelque peu ces dernières semaines, selon des indicateurs économiques publiés ces derniers jours.En parallèle, sur le front de l'épidémie, la hausse des contaminations et le renforcement des mesures de protection, comme le port du masque généralisé en entreprises, crée un climat d'inquiétude peu propice à restaurer la confiance, pourtant essentielle pour la reprise durable de l'économie.Après les 460 milliards d'euros de dispositifs d'urgence mobilisés depuis le début de la crise, le plan de relance, qui doit se déployer sur deux ans, vise à soutenir "l'offre et l'investissement", a défendu le Premier ministre.Il sera donc surtout axé sur le soutien direct aux entreprises, avec comme mesure phare la baisse des impôts de production de 10 milliards d'euros en 2021 et en 2022. Le plan intègre également l'enveloppe de 6,5 milliards de soutien à l'emploi des jeunes, déjà débloquée cet été.Au-delà des mesures de court terme, l'exécutif veut profiter de l'occasion pour accélérer le verdissement de l'économie française et stimuler la production industrielle sur le territoire, en particulier dans certains secteurs stratégiques comme la santé.Et la consommation ?Au total, 30 milliards d'euros iront donc à la transition écologique, dont une partie se recoupe avec les 40 milliards dédiés à la réindustrialisation du pays."Cette stratégie +France relance+ que nous allons lancer, ça n'est pas une stratégie pour faire face aux difficultés du moment, ça nous l'avons déjà fait et nous allons continuer (...), non c'est préparer la France de 2030", a défendu le président de la République Emmanuel Macron.Ce choix du soutien aux entreprises, qui passera également par des simplifications administratives, soulève déjà quelques critiques, certains dénonçant le manque de mesures en faveur de la demande afin d'inciter les ménages à dépenser les 80 milliards d'euros d'épargne engrangés pendant depuis mars.Car si la consommation a rebondi après le confinement, elle s'est stabilisée en juillet, selon l'Insee.Outre la hausse de l'allocation de rentrée scolaire et des dispositifs attendus pour encourager les ménages à effectuer des travaux de rénovations dans leur logement, le gouvernement pourrait faire d'autres annonces, mais assume sa stratégie."Les revenus des ménages ont été préservés" grâce au chômage partiel, a défendu Jean Castex la semaine dernière. Il n'est donc pas question d'opter pour une baisse massive de la TVA comme en Allemagne."La meilleure façon de soutenir la demande c'est de créer des emplois" et donc d'aider les entreprises à le faire, a de son côté estimé le ministre de l'Economie Bruno Le Maire lors de l'université d'été du Medef.Reste à savoir si ce plan, qui sera contenu dans la loi de finances pour 2021 et donc voté en fin d'année, n'arrivera pas un peu peu tard pour certaines entreprises.Avant même le report de son annonce, l'opposition l'avait jugé tardif. "Chaque jour perdu accroît la fracture", avait ainsi critiqué début août Boris Vallaud, porte-parole du PS et député des Landes.
Il y a 4 ans et 293 jours

Réseau de chaleur à Pau – Travaux de tuyauterie – Première phase : les travaux actuellement à hauteur de boulevard Jean-Sarrailh

Le déploiement du réseau de chaleur à Pau poursuit sa première phase. Des installations de tuyauteries vont démarrer au niveau du boulevard Jean-Sarrailh.
Il y a 4 ans et 293 jours

De la géothermie en chaud et froid pour le futur Village Olympique

Onze puits seront forés d'ici la fin de l'année au coeur du Village des athlètes et de la future ZAC Pleyel pour utiliser l'énergie de la terre. Elle permettra d'assurer 68% du réseau de chaleur et de froid pour plus de 650 000 m2 de bâtiments.
Il y a 4 ans et 293 jours

Batiman se dote d’un nouvel outil de gestion pour l’ensemble de son réseau avec Extrabat et HerculePro

Philippe Valette – Président de Batiman / Olivier Bernard – HerculePro / Mathieu Midy – Extrabat   Philippe Valette, président de l’enseigne est bien connu dans la profession pour son orientation marketing. Résolument tourné vers le digital et considérant que l’avenir du marketing se trouve dans des outils performants et uniformes à une identité et une marque, il se devait de fournir rapidement aux adhérents du réseau Batiman un outil centralisé et performant, uniformisant les pratiques et le discours des 76 points de vente de l’enseigne. Fort d’expériences réussies, il s’est tourné vers une solution réunissant deux éditeurs de logiciels en mode SAAS que sont Extrabat (CRM et gestion) et Herculepro (Chiffrage métier). Ainsi, Extrabat gère la partie gestion et organisation des documents liés à toutes les actions de vente, la gestion client, le marketing, la planification, le SAV etc.. L’ensemble étant multi plateformes (IOS, Windows, Androïd). HerculePro, vient greffer son assistant de chiffrage I-Frame dans ce système au moment de la rédaction du devis. Cela permet de travailler partout avec un outil totalement web tous supports avec un accès direct à l’ensemble des produits référencés et marketés. Cet écosystème high-tech connecté est en phase finale de validation pour une disponibilité à la rentrée à l’ensemble des points de vente.
Il y a 4 ans et 293 jours

Vinci tombe dans le rouge sans espoir de retour rapide à la normale

Le géant français du BTP Vinci est tombé dans le rouge au premier semestre, la crise sanitaire liée au Covid-19 l'affectant sur ses chantiers comme dans ses aéroports et autoroutes.
Il y a 4 ans et 293 jours

Le Village des athlètes des Jeux de Paris 2024 alimenté en énergies locales et renouvelables

Le réseau de chaleur et de froid du SMIREC géré par Plaine Commune Energie, filiale à 100 % d’ENGIE Solutions, va s’étendre au futur Village des athlètes. Il sera alimenté par des énergies locales et renouvelables essentiellement issues de la géothermie superficielle (à une profondeur d’une centaine de mètres). Ce sont 11 puits qui vont être forés au sein du quartier pour utiliser l’énergie de la terre et la convertir en chaleur ou en froid. Les travaux de forage vont démarrer dès la fin de l’année 2020. ENGIE Solutions a conçu cette architecture énergétique sous l’impulsion du SMIREC (Syndicat Mixte des Réseaux d’Energie Calorifique) et de SOLIDEO, la SOciété de Livraison Des ouvrages Olympiques. L’énergie complémentaire à la géothermie proviendr du réseau de chaleur de Plaine Commune Energie est notamment issue de la chaleur du réseau de la Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain (CPCU), situé à proximité et lui-même majoritairement alimenté par des énergies locales et renouvelables. L’installation est conçue pour répondre aux besoins premiers et denses, de la période Paris 2024. Elle sera également dimensionnée pour la phase héritage, c’est-à-dire la période post-JOP avec une projection jusqu’en 2050.
Il y a 4 ans et 294 jours

Une application territoriale pour que tout le monde participe aux projets communaux

Après trois ans de recherches scientifiques en architecture et urbanisme, Pierre Fauré, Sébastien Labouteley et Guillaume Danger ont créé le premier réseau social citoyen pour construire ensemble des villes et des villages durables, Agora. Avec cette application, les “citoyens experts” ont un pouvoir d’implication, de décision et de proposition au sein de la commune où ils résident. Ils deviennent acteurs de leur lieu de vie. Le concept est simple, l’ensemble des échanges entre les acteurs du territoire se font au travers de la carte participative de la commune, sur laquelle, ils retrouvent : – Les consultations citoyennes : l’ensemble des projets envisagés par la commune sont référencés et expliqués sur la carte. À partir de là, les citoyens peuvent juger de la pertinence des propositions et exprimer leurs besoins et envies en répondant aux questionnaires mis en place pour chacun. – Le vote citoyen : une fois la consultation citoyenne réalisée, plusieurs architectes sont invités à proposer une réponse sur le projet initié. Les habitants peuvent alors les classer selon leurs préférences. – La boîte à idée : les citoyens partagent leurs idées d’amélioration du territoire. Une fois référencées et expliquées sur la carte participative, elles seront source de débats, d’échanges et d’initiatives afin de les amener à se concrétiser. – Les signalements : les habitants notifient les anomalies du territoire qu’ils rencontrent. Ainsi, ils préviennent leurs concitoyens ainsi que les élus qui pourront intervenir plus rapidement pour une amélioration permanente du lieu de vie. – Les rassemblements : les citoyens sont avertis des actions menées par les associations locales et peuvent notifier de leur présence. – Les agoras citoyennes : les élus organisent des moments physiques d’échanges, d’ateliers et de débats autour d’un sujet pré-défini. – Les actualités : les citoyens sont informés des nouvelles de leur commune directement par les élus ainsi que par la presse locale. Agora est aussi un outil d’aide à la décision qui accompagne les élus dans leurs choix de réalisations. Une grille d’évaluation permet de mesurer l’impact territorial, environnemental et social des interventions.
Il y a 4 ans et 294 jours

Lemoal Lemoal, en prise avec l'architecture vernaculaire à Cabourg

A la croisée de l’architecture, du design, de l’urbanisme, de la pédagogie, voire de l’art, les aires de jeux constituent un sujet dont l’intérêt va grandissant tant il recèle d’inventivité constructive et formes, de magie liée au monde de l’enfance. Accompagnée d’une iconographie foisonnante avec de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 294 jours

Travail illégal : les redressements ont bondi de 10% en 2019

REGLEMENTATION. Le réseau des Urssaf a redressé l'année dernière plus de 708 millions d'euros de cotisations et contributions sociales fraudées. Des résultats en progression obtenus grâce à un meilleur ciblage des contrôles et qui permettent même de dépasser les objectifs fixés par l'Etat. Les redressements liés à la fraude au détachement connaissent pour leur part un recul.
Il y a 4 ans et 294 jours

Parrot s'associe à WISeKey pour définir le futur du drone en matière de sécurité

Parrot, groupe européen leader dans le domaine des drones, annonce aujourd'hui un partenariat avec WISeKey International Holding Ltd («WISeKey», SIX: WIHN / Nasdaq: WKEY), un leader mondial dans les domaines de la cybersécurité et de l'IoT. Ce partenariat a pour objectif d'intégrer des solutions de sécurité avancées dans la gamme de drones ANAFI de Parrot, qui ne cesse de s'agrandir.Les professionnels de la sécurité publique, de la défense et de l'inspection représentent une part de marché croissante des utilisateurs de drones et exigent les plus hauts niveaux de confidentialité, de cryptage et de sécurité lors de leurs vols. Grâce à ce partenariat, l'expertise et les technologies de sécurité éprouvées de WISeKey, associées aux drones ultra-sécurisés de Parrot, leader du secteur, fourniront des solutions conformes aux réglementations de confidentialité les plus strictes du monde. Elles établiront également un nouvel ensemble de normes pour les innovations futures.La gamme de drones ANAFI de Parrot propose des solutions sécurisées, ultra-compactes, robustes et puissantes pour acquérir de nouveaux points de vue, collecter des données précieuses, améliorer la sécurité et accroître l'efficacité pour différents types de vols sensibles. Le dernier drone ANAFI USA de Parrot renforce encore la sécurité de la plate-forme ANAFI grâce à des fonctionnalités telles que la connexion et l'authentification réseau sécurisées, le cryptage de données robuste et des fonctionnalités de confidentialité garantissant aux utilisateurs finaux un contrôle total sur leurs données (où et comment elles sont gérées).L'intégration des technologies de cybersécurité de WISeKey, du vol de l'appareil jusqu'aux infrastructures à terre, permettra à Parrot de garantir davantage la sécurité des vols et des données enregistrées pour les utilisateurs professionnels.La série des modules de sécurité VaultIC4xx de WISeKey offre des solutions fiables pour sécuriser et prouver l'identité numérique du drone, tout en protégeant les données et le firmware lorsqu'ils sont stockés dans le drone ou en transit. Cela permet de garantir une connexion sécurisée entre le contrôleur et le drone. Les modules de sécurité VaultIC4xx de WISeKey sont certifiés par l'organisme américain National Institute of Standards and Technology (NIST) conformément à la norme FIPS140-2 niveau 3, l'un des niveaux de sécurité numérique les plus solides et les plus reconnus au monde. Ceux-ci sont développés sur du matériel certifié Common Criteria EAL5 +, une certification sécuritaire de niveau gouvernemental."Alors que l'utilisation des drones continue de croître de manière exponentielle dans le secteur professionnel, Parrot comprend le besoin impérieux d'avoir des normes et des capacités de cybersécurité de pointe pour assurer la protection continue des données précieuses des utilisateurs " déclare Victor Vuillard, Chief Security Officer/CTO Cybersecurity chez Parrot. "Notre partenariat avec WISeKey permettra de sécuriser davantage l'infrastructure de nos drones ANAFI, de redéfinir la sécurité des drones modernes et d'offrir une précieuse tranquillité d'esprit à nos utilisateurs professionnels. »« Nous sommes ravis de nous associer à Parrot, tandis que nous poursuivons la mission de notre entreprise : sécuriser l'identité numérique, les micrologiciels et les données sensibles, et étendre les applications de nos technologies à de nouveaux marchés et à des industries en croissance à travers le monde » déclare Carlos Moreira, PDG et fondateur de WISeKey. « Les drones sont de plus en plus utilisés pour des opérations sensibles et restent donc une cible de choix pour des personnes mal intentionnées. Grâce à la puissante plate-forme de drones ANAFI, nous sommes impatients de dessiner ensemble les contours d'un avenir plus solide pour la cybersécurité des drones. »
Il y a 4 ans et 296 jours

3 questions à Chekharda, constructeurs d’aires de jeux en matériaux bruts

Chekharda est un bureau d’architecture spécialisé dans la construction d’aires de jeux en matériaux bruts. Fondée en ...En savoir plus Cet article 3 questions à Chekharda, constructeurs d’aires de jeux en matériaux bruts est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 297 jours

Le marché de l’immobilier dans le Tarn

Après un coup d’arrêt brutal dû au confinement, le marché de l’immobilier semble reparti d’un bon pied en Occitanie, et plus particulièrement dans le Tarn. C’est ce qu’indique un sondage réalisé auprès des études notariales dans les départements occitans qui dépendent du conseil régional des notaires. Plus de 98 % des notaires interrogés affirment avoir constaté une reprise significative. Et pour près de 30 % d’entre eux, l’activité par rapport à l’an passé à la même période est même supérieure. Cette reprise concerne en premier lieu le cœur du marché de l’immobilier en Occitanie, à savoir les maisons individuelles. La crise sanitaire n’a pas porté un coup fatal aux projets d’acquisition, bien au contraire. Le plus fréquemment, ils portent sur une résidence principale en seconde accession. Autrement dit, les acquéreurs disposent déjà d’un capital et ont un emploi stable. Un besoin d’espace En revanche, les primo-accédants, c’est-à-dire avant tout les jeunes ménages, semblent plus frileux. On peut y voir un effet de la crise sanitaire. Ces primo-accédants manquent de visibilité sur l’avenir. Selon la présidence du conseil régional des notaires, il ne faut pas désespérer de les voir revenir sur le marché. « L’attentisme des primo-accédants pourrait être assez vite balayé », estime l’organisme en relevant que l’agroalimentaire, un secteur économique qui pèse lourd en Occitanie, a plutôt été épargné par la crise sanitaire. Les notaires observent aussi une évolution sensible de la demande sur ce marché post-Covid. Avec, de manière générale, un besoin de davantage d’espace, notamment extérieur. Le confinement a souvent fait ressortir les défauts des logements, comme l’absence de jardin, de bureau ou de terrasse. On constate une hausse des requêtes pour les maisons avec jardin et pour les appartements avec balcon, ce besoin d’espace est désormais le premier critère de choix, devant l’accès aux services de proximité et au transport en commun. » Avec la crise sanitaire, les comportements évoluent. Selon 67% des experts en financement, courtiers et notaires, les candidats à l’achat se décident plus rapidement. Le Covid a été un accélérateur de prise de décision, estime un expert. Corollaire, la demande pour des prêts-relais, qui avait quasiment disparu, émerge à nouveau. Pénurie de l’offre Majoritairement, les agents commerciaux de l’immobilier ne constatent pas pour l’instant une hausse des taux bancaires qui freinerait l’achat. Il reste possible d’emprunter sur vingt ans avec un taux d’intérêt qui ne dépasse pas les 1,5 %, souligne Charles Goncalves Baptista . En revanche, les experts en financement, les courtiers et la plupart des notaires (81 %) estiment que les banques sont plus exigeantes en matière d’apport. Et les prix ? Le marché immobilier souffrait, avant le confinement, d’une pénurie de l’offre qui alimentait la hausse des prix, notamment dans la métropole toulousaine et agglomération. Le prix au mètre carré des appartements neufs apparait en augmentation. Les deux mois d’arrêt d’activité n’ont pas permis de reconstituer les stocks et l’offre demeure faible, indiquent Charles Goncalves Baptista agent commercial en immobilier sur Albi. Autrement dit, les fondamentaux du marché demeurent les mêmes. Rien n’indique que les candidats à l’achat doivent spéculer sur une baisse des prix après l’épisode du Covid.
Il y a 4 ans et 297 jours

En Finlande, des récompenses pour les éco-citoyens

Baptisée "CitiCap", l'initiative, financée par l'Union européenne, propose aux habitants de tracer leurs émissions de carbone lors de déplacements, grâce à une application qui détecte s'ils circulent en voiture, en transports en commun, à pied ou à vélo.Chaque semaine, les citoyens volontaires se voient crédités d'un "quota de carbone" qui, s'il n'est pas épuisé à échéance, se transforme en "euros virtuels", échangeables contre des entrées à la piscine, des tickets de bus ou, pour les plus gourmands, une part de gâteau dans un établissement de la ville."Lahti est encore une ville très dépendante de la voiture, notre objectif est que d'ici 2030, plus de 50% de tous les déplacements soient effectués via des modes de transport durables", explique à l'AFP la responsable du projet, Anna Huttunen.Actuellement, 44% des déplacements dans la ville sont considérés comme "durables".L'objectif du projet à long terme est de développer une nouvelle méthode pour encourager des comportements plus écologiques, en utilisant notamment un système d'"échange personnel de droits d'émission de carbone" que d'autres villes peuvent reproduire, expliquent ses fondateurs.Le concept s'inspire du système européen d'échange de quotas d'émission de carbone, où les entreprises et les gouvernements se voient attribuer des crédits carbone. S'ils dépassent ce quota, ils payent, mais s'ils émettent moins que convenu, ils peuvent vendre tout excédent."CitiCap a suscité beaucoup d'intérêt dans le monde entier, non seulement en Europe, mais aussi aux États-Unis et au Canada", détaille Mme Huttunen.21 kg d'équivalent CO2 par semaineL'application CitiCap donne à chaque participant un "budget" carbone hebdomadaire basé sur sa situation personnelle.En moyenne, un habitant de Lahti, ville de 120.000 habitants, "émet 21 kilos d'équivalent CO2 par semaine", selon Ville Uusitalo, responsable recherche du projet.L'application met les utilisateurs au défi de réduire leurs émissions d'un quart - soit remplacer en moyenne 20 km de conduite en voiture par l'équivalent en transports publics ou à vélo.Reste à savoir si des récompenses plus importantes inciteraient davantage de citoyens à délaisser leur voiture."C'est possible de gagner jusqu'à deux euros (par semaine) si vos émissions liées aux déplacements sont vraiment faibles", explique M. Uusitalo. "Mais cet automne, nous avons l'intention de décupler le prix", poursuit-il.Capitale verte européenneSi le semi-confinement imposé en Finlande a entraîné une baisse drastique des trajets en voiture, les créateurs du projet ne parviennent pas encore à évaluer les effets de leur application dans la ville.Mais, assurent-ils, ils continueront à recueillir des données l'année prochaine, alors que Lahti deviendra pour un an "Capitale verte européenne".Jusqu'à présent, 2.000 habitants ont téléchargé l'application, avec jusqu'à 200 utilisateurs actifs simultanément."Les gens trouvent très intéressant de voir leurs propres émissions", selon la responsable du projet.Mirkka Ruohonen, employée municipale à Lahti, utilise l'application depuis sept mois maintenant. Ce qui l'a immédiatement surprise, c'est de voir les effets de ses propres déplacements sur l'environnement.Dernièrement, raconte-t-elle, "je suis allée passer un week-end de randonnée, nous avons fait 15 kilomètres de marche, mais j'ai dû faire 100 km en voiture" pour rejoindre le sentier."Après cela, j'ai vérifié l'application et je me suis dit +C'était une bonne chose ?+ Peut-être pour moi, mais pas pour l'environnement !", s'exclame-t-elle.La Finlandaise dit ne pas être dérangée par les conséquences sur la vie privée d'une telle application qui enregistre les moindres déplacements."Je pense que toutes les applications que j'utilise collectent des informations", juge-t-elle.Selon Anna Huttunen, si l'application est conforme à la réglementation européenne sur les données personnelles, les organismes tiers ne pourront pas analyser les données.Les créateurs de CitiCap espèrent à l'avenir pouvoir également aider les gens à gérer leurs émissions liées à la consommation."La mobilité n'est qu'une partie de notre empreinte carbone", rappelle M. Uusitalo.
Il y a 4 ans et 297 jours

Des unités mobiles pour les hôpitaux

Des unités mobiles de réanimation ont été pensées pour faire face aux besoins des hôpitaux en cas d’épidémie. Objectif : créer des unités supplémentaires autonomes qui permettent de désengorger les infrastructures hospitalières.
Il y a 4 ans et 297 jours

Bouygues accuse des pertes au premier semestre face au virus, malgré des télécoms solides

"Comme attendu, les résultats du groupe au premier semestre 2020 sont fortement impactés par les conséquences de la crise sanitaire", a résumé jeudi Bouygues dans un communiqué, à l'occasion de ses chiffres semestriels.Lors de la première moitié de l'année, une période marquée par le plus fort de la crise du virus et par de multiples mesures de confinement à travers le monde, la société a subi une perte nette de 244 millions d'euros, contre un bénéfice de 225 millions un an plus tôt.Son chiffre d'affaires a reculé de 15% à 14,8 milliards d'euros, un déclin de presque trois milliards qui correspond en gros au coût de la crise sanitaire pour Bouygues lors de la première moitié de l'année.Mais sa perte serait bien pire sans sa présence dans les télécoms car le secteur est l'un des rares à n'avoir guère pâti de la crise. Enfermés des semaines chez eux, les Français ont bien dû continuer à communiquer et, souvent, travailler à distance.Bouygues Telecom est donc largement resté dans le vert, malgré une petite baisse (-5,3% à 142 millions d'euros) de son bénéfice semestriel. La filiale, qui a causé bien des difficultés au groupe dans les années 2010, confirme à quel point elle est redevenue son joyau, avec une nouvelle progression générale des abonnements dans le fixe comme le mobile.Certes, la crise n'y a pas été indolore. Les performances de l'opérateur ont été freinées par la fermeture de ses boutiques pendant des semaines, et il n'a guère pu profiter des frais d'itinérance face à la restriction drastique des déplacements internationaux.Plans de relanceReste que les conséquences sont sans commune mesure avec l'autre grande activité de Bouygues, ses chantiers. Dans cette branche, le groupe essuie une perte de presque 400 millions d'euros.Les deux grands concurrents de Bouygues, Vinci et Eiffage, sont d'ailleurs aussi tombés dans le rouge au premier semestre, même si le second a largement limité les dégâts avec une perte de seulement quelques millions d'euros.Le secteur a fortement souffert des mesures de confinement mises en place pendant des semaines au printemps dans de multiples pays. Elles ont contraint Bouygues, à l'instar de tout le BTP, à interrompre de nombreux chantiers, le temps d'établir les mesures sanitaires adéquates.Le groupe promet toutefois un avenir meilleur, d'abord parce que ses chantiers ont largement repris en France comme à l'international."A mi-juillet 2020, la quasi-totalité des sites étaient rouverts en France, avec un rythme d'avancement de l'activité proche de celui d'avant crise", détaille le groupe, évoquant aussi un niveau "proche de la normale dans de nombreux autres pays".Surtout, le carnet de commandes de Bouygues, gage de revenus à venir, a encore gonflé au premier semestre pour atteindre un niveau sans précédent, à l'aide notable de très gros marchés comme un contrat ferroviaire à plus d'un milliard d'euros au Royaume-Uni.Pour autant, le groupe se montre prudent pour la suite. Il ne se fixe pas de nouvelle prévision chiffrée de résultat pour 2020, jugeant le contexte sanitaire trop incertain.Il promet certes de redevenir nettement rentable au second semestre, mais sans retrouver ses résultats d'un an plus tôt. A plus long terme, il ne fixe pas d'échéance sur un retour à leur niveau habituel.Au-delà, "le groupe est bien positionné pour répondre aux enjeux des plans de relance annoncés dans les grands pays où il est implanté - Union européenne, France, Royaume-Uni, Canada, USA, etc.,", assure Bouygues, évoquant "les infrastructures durables, la transition énergétique ou la rénovation des bâtiments".
Il y a 4 ans et 297 jours

TPF Ingénierie vise l'équilibre en 2020

Filiale française du groupe belge d'ingénierie TPF, l'ex-bureau pluridisciplinaire Beterem créé à Marseille en 1960, cédé à la Caisse des Dépôts en 1996, puis repris en 2005, rayonne dans toute la France mais aussi à l’étranger avec ses compétences dans le bâtiment, les infrastructures et l’eau. Parmi les projets marquants figurent l’hôpital de Tours, l’hôpital Ibn Sina CHU à Rabat et le nouveau siège social d’Arcelor Mittal au Luxembourg. Ils illustrent la volonté de William Meynard, président depuis deux ans de la filiale française, d’orienter l’activité notamment vers la santé, l’industrie et les métiers du numérique. Explications.
Il y a 4 ans et 298 jours

Impactées par le Covid, Bouygues et Colas disposent malgré tout d'une certaine visibilité

RESULTATS. Comme nombre d'entreprises, la crise du coronavirus a certes impacté les résultats du groupe Bouygues, mais ses entités Bouygues Construction, Bouygues Immobilier et Colas sont parvenues fin juin 2020 à engranger des progressions plus ou moins marquées sur leurs carnets de commandes. Détails.
Il y a 4 ans et 298 jours

Fortement impacté par la crise du coronavirus au 1er semestre, Eiffage promet de sauver son année

Au premier semestre, le groupe, numéro 3 français du BTP derrière Bouygues et Vinci, a subi une perte nette de huit millions d'euros, contre un bénéfice de 290 millions un an plus tôt. Ses revenus ont chuté de 18,9% à 6,9 milliards.Cette baisse du chiffre d'affaires "est totalement liée au Covid", a résumé Benoît de Ruffray, PDG d'Eiffage, lors d'une présentation des résultats sur internet.Le groupe est affecté à deux titres. Ses chantiers ont été perturbés par le contexte sanitaire et son autre grande activité, l'exploitation d'autoroutes, a pâti de la réduction drastique des déplacements.Eiffage a également une petite présence dans les aéroports mais celle-ci est bien moindre que celle de son concurrent Vinci. Elle se concentre par ailleurs en France, alors que de nombreuses incertitudes pèsent encore sur les voyages internationaux.Le groupe a observé une chute semblable de son chiffre d'affaires dans ces deux grandes branches, travaux, d'un côté, autoroutes et aéroports, de l'autre, mais des situations contrastées selon les pays."Les mesures de confinement choisies par les gouvernements ont eu des impacts très différenciés", a souligné M. Ruffray.Sur les chantiers, l'activité a, ainsi, peu subi la crise en Allemagne, alors qu'elle s'est effondrée pendant des semaines en France.Pour l'avenir, Eiffage prévient qu'il subira une "baisse marquée" de ses revenus et de ses bénéfices cette année, mais pas une perte. Il promet, en effet, que ses résultats "se redresseront sensiblement" pendant la deuxième moitié de 2020.Le groupe compte surtout sur son activité de chantiers dans laquelle, malgré la crise, il a continué à faire gonfler son carnet de commandes, gage de revenus à venir.En revanche, il juge la situation encore trop incertaine sur ses autoroutes, malgré une nette reprise du trafic, et ses aéroports pour s'y aventurer à des prévisions précises.
Il y a 4 ans et 298 jours

Vivre à Megève : comment trouver l’appartement idéal ?

Vivre à Megève est le rêve de nombreux investisseurs immobiliers. Nichée en plein cœur du massif du Mont-Blanc, cette ville est l’endroit idéal pour bâtir de nouvelles infrastructures et développer des projets entrepreneuriaux. Pour trouver l’appartement de standing adapté à ses besoins, voici les étapes de recherche à suivre. Adopter les bonnes méthodes de recherche Pour trouver un appartement à vendre Megève, de nombreux critères sont à considérer, notamment la zone géographique et la localisation du bien. L’emplacement est, en effet, important dans le choix du logement, car c’est ce qui impacte le prix du bien et qui détermine la réussite de l’investissement. Ainsi, avant de scruter les annonces, il est impératif de choisir le quartier où l’on souhaite vivre. Cela va permettre de faciliter les recherches. Que ce soit dans le centre du village ou dans les secteurs périphériques, Megève propose un large choix d’appartements adaptés aux besoins et aux attentes des acheteurs. Une fois l’emplacement défini, il faut penser à dresser une liste des caractéristiques du logement idéal : le type du bien (neuf ou ancien), le nombre de pièces, la surface du logement, le nombre d’étages, etc. Devenir propriétaire d’un appartement à Megève est une belle résolution. Mais pour savoir si on est en mesure d’investir dans un tel projet, il est important de déterminer les moyens que l’on a en sa possession. Avant de se lancer dans l’achat immobilier, il est donc essentiel de fixer son budget. Ceci comprend tous les frais et dépenses liés à l’acquisition (frais de dossier, déménagement, assurance…). C’est après avoir déterminé le budget et l’emplacement qu’il faut décrypter les annonces. Faire appel à une agence immobilière Pour trouver l’appartement de ses rêves, rien ne vaut l’expertise d’une agence immobilière. Connaissant le marché local, elle accompagne les acheteurs qui désirent rechercher un bien d’exception à vendre. L’agence dispose pour cela d’une base de données mise à jour qui lui permet de fournir les informations dont l’acquéreur a besoin de savoir. Il s’agit notamment du prix du marché immobilier et des différents biens à vendre dans la ville. En tant qu’intermédiaire, l’agence engage également la négociation immobilière afin d’aider l’acquéreur à acheter un bien immobilier au meilleur prix. Selon les critères et les impératifs de confort du client, elle saura proposer un appartement adapté à ses besoins et à son budget. Contacter une agence immobilière, c’est aussi bénéficier d’un service complet et sur-mesure. Principale représentante de l’acquéreur, elle prend en main toutes les démarches juridiques et administratives nécessaires à la transaction immobilière. Dans ce contexte, elle va surveiller la moindre irrégularité du bien immobilier. Elle veille à ce que tous les éléments soient conformes aux normes (constructibilité du terrain, présence de risques naturels…). En plus de définir la valeur réelle du bien, son rôle est de même d’accompagner l’acheteur tout au long des procédures d’achat. De la visite du bien à la signature du contrat de vente, elle va éclairer les choix de son client et l’aider à prendre les meilleures décisions.
Il y a 4 ans et 299 jours

Maugin annonce un changement de gamme et une nouvelle stratégie industrielle 2020-2025

Cependant, s'affirmer en expert historique sur un marché, c'est aussi prendre des engagements, rechercher l'amélioration constante, s'adapter aux nouvelles attentes qui feront la fenêtre de demain. C'est pourquoi le groupe familial s'est attelé ces 18 derniers mois à la mise au point d'une menuiserie nouvelle génération en composite, dont le profil est doté dans l'ouvrant de fibre de verre, et dans le dormant d'un renfort thermique en PVC cellulaire et fils d'acier (en option). Ce faisant, MAUGIN se hisse aujourd'hui au rang des quelques fabricants français spécialistes des menuiseries PVC et ALU en capacité de proposer un produit aussi technologique et performant.Gamme Eclea Terres de Fenêtre : véritable innovation et montée en gammeLe Groupe Maugin a officiellement lancé sa nouvelle gamme de fenêtres ECLEA COMPOSITE TERRES DE FENETRE, contribuant au renouvellement de son plan stratégique industriel 2020-2025. Élaborés en partenariat avec le gammiste Deceuninck, les profils PVC de cette nouvelle gamme renferment de la fibre de verre ainsi qu'un renfort thermique (en option). Reconnus comme étant de véritables innovations sur le marché, ces atouts donnent à la gamme des avantages significatifs. Intégrant déjà le vitrage Eclaz et la quincaillerie sécurité Q1, la gamme ECLEA COMPOSITE TERRES DE FENETRE devient ainsi un produit très haut-de-gamme, affichant plus d'esthétisme, de luminosité, de légèreté, de performance, de sécurité, de rigidité, avec un meilleur potentiel recyclage.Après un premier lancement réussi en version Plaxée en février dernier, MAUGIN poursuit ce mois de juillet le déploiement de sa nouvelle gamme, en parfaite conformité avec le planning annoncé (cf. Dossier de Presse complet en annexe). La première mise au point s'est faite sur le site pilote de Saint-Gervais (85), spécialisé dans la fabrication des menuiseries plaxées et qui se prête parfaitement au calibrage exact du process. L'opération en mode "laboratoire" a permis d'assurer un lancement performant pour aborder en toute sérénité la deuxième phase, soit le déploiement intégral cet été de toute la gamme blanc et laqué sur le site fleuron de Saint-Brévin (44). Depuis, le site de Saint-Gervais a d'ailleurs basculé à 100% sur la fabrication de la nouvelle gamme en plaxé."Plus technologique, cette nouvelle génération de profils est une belle opportunité pour augmenter la qualité de nos produits PVC, en leur assurant une plus grande longévité, un meilleur pouvoir isolant et plus de résistance. Les atouts de ce nouveau profil composite alliant PVC et fibre de verre représentent une innovation inégalée à ce jour sur le marché du PVC. Avec ce produit au design plus carré qui se rapproche de celui de l'Alu, c'est une réelle montée en gamme pour nos produits, ce qui va nous permettre de nous démarquer sur le marché", témoigne Pascal Vallée, Directeur de Production PVC Groupe MAUGINUne commercialisation conforme à l'échéancier annoncéFormées aux atouts de cette nouvelle gamme dont la technologie fibrée casse les codes de l'industrie traditionnelle du PVC, les équipes commerciales MAUGIN et Terres de Fenêtre sont actuellement déployées sur le territoire pour équiper les showrooms des clients et partenaires, les doter de nouveaux outils d'aide à la vente et leur apporter tous les éclairages utiles." Nous aurions pu subir de plein fouet les impacts de la COVID et devoir reporter notre commercialisation. Pourtant, le projet a continué de se dérouler dans les meilleures conditions. C'est un projet ambitieux qui tient ses promesses, tant sur la qualité finale du produit dont nous sommes fiers, que sur sa mise en marché qui reçoit un très bel accueil de la part de nos clients."- Ludovic Guillou, Directeur Commercial du Groupe Maugin & Directeur du Réseau Terres de FenêtreNouveauté : + de couleursConsidérant la demande des particuliers en très forte croissance pour la couleur, le Groupe MAUGIN profite de ce lancement de nouvelle gamme pour élargir son offre couleur. Désormais, comme les menuiseries ALU thermolaquées, les menuiseries Composite sont disponibles dans toutes les couleurs RAL laquées venant ainsi s'ajouter aux coloris teintés masse et plaxés.Considérant la demande des particuliers en très forte croissance pour la couleur, le Groupe MAUGIN profite de ce lancement de nouvelle gamme pour élargir son offre couleur. Désormais, comme les menuiseries ALU thermolaquées, les menuiseries Composite sont disponibles dans toutes les couleurs RAL laquées venant ainsi s'ajouter aux coloris teintés masse et plaxés.Entretien avec Bertrand Maugin, PDG du Groupe MAUGIN / TERRES DE FENÊTRE" Lancer la commercialisation d'une nouvelle gamme, et plus largement un nouveau plan stratégique industriel pour les 5 prochaines années, alors que se présente une crise sanitaire majeure... C'est loin d'être simple.Nous sommes malgré tout au RDV sur les grandes phases du calendrier programmé initialement. Je rends d'ailleurs hommage à l'ensemble des salariés du groupe Maugin qui n'ont cessé de se mobiliser pour que nous puissions tenir nos engagements. Durant cette période inédite, chacun d'entre nous a du s'adapter pour réagir, ajuster le tir et aller à l'essentiel.La situation de la Covid aura été une expérience sans précédent, au cours de laquelle nous avons démontré qu'au sein de notre groupe familial, nous sommes particulièrement soudés.Pour traverser cet épisode, il nous a fallu pour autant rester exigeants et vigilants à chaque détail. Nous n'avons dérogé à rien, traitant les événements dans l'ordre, sans précipitation et en évitant tout stress. Avec le Comité de Direction qui a été sur le pont au quotidien, nous avons orchestré la gestion de la crise avec pragmatisme.Aujourd'hui, les effectifs sont de retour à 100%. En raison du rattrapage des commandes, l'activité profite d'une embellie avec une prise de commande similaire à l'année dernière, sur la même période. Pour le moment, nous produisons sur nos 3 sites industriels avec un taux de service à la hausse : le niveau de confiance est très bon.Au-delà de la mobilisation de tous les salariés, cette reprise d'activité n'aurait pas été possible sans la solidarité des confrères, syndicats professionnels et fournisseurs avec qui nous avons travaillé à retrouver les meilleures conditions pour rassurer et satisfaire nos clients. Je salue aussi le relai offert par les médias spécialisés qui ont redoublé d'efforts pour maintenir le lien, continuant d'informer la profession régulièrement."
Il y a 4 ans et 300 jours

Toronto se mobilise pour sauver un chêne plus vieux que le Canada

La municipalité veut racheter la maison, la raser et créer un espace public autour de l'arbre, mais la pandémie de coronavirus est venue compliquer ses plans.L'imposant chêne rouge d'Amérique, qui pourrait avoir 300 ans, domine le quartier de North York, dans le nord de la métropole. Il est l'un des plus vieux arbres de la plus grande ville du pays, dont l'agglomération compte quelque six millions d'habitants.Vestige d'une forêt séculaire, l'arbre est aujourd'hui situé en plein lotissement, posé dans le jardin d'une propriété privée. Son tronc, immense, fait 5 mètres de circonférence et frôle la façade arrière d'une maison construite dans les années 1960. L'été, ses longues et lourdes branches la recouvrent presque entièrement.Une cohabitation qui a longtemps fonctionné. Mais ces dernières années, un nouveau propriétaire s'est dit inquiet des coûts liés à l'entretien de l'arbre, et il craint que ses racines soient devenues une menace pour la structure de la maison.Certains voisins redoutent, eux, de voir un jour le spécimen dépérir ou être emporté par une tempête. Pour le protéger et pour qu'il soit accessible à tous, le conseil municipal a voté en 2018 pour racheter la propriété, raser la maison et transformer le terrain en un petit parc public."La Rolls des arbres"De longues négociations ont abouti l'an passé à un accord entre la ville et l'actuel propriétaire pour un rachat de la propriété.Une issue qui réjouit Edith George, une habitante du quartier qui se bat avec passion depuis 14 ans pour préserver ce chêne dont la beauté, dit-elle, est à "couper le souffle"."C'est la Rolls-Royce des arbres", assure la retraitée sexagénaire.On estime que l'arbre est âgé entre 250 et 300 ans - voire plus - et qu'il peut encore vivre, dans de bonnes conditions, au moins deux autres siècles."Un arbre comme ça coûte cher à entretenir. Si c'est un lieu public, la ville pourra mieux s'en occuper que moi", reconnaît Ali Simaga, le propriétaire depuis 2015. "Je ne veux pas non plus être égoïste et le garder pour moi seul."Mais l'affaire n'est pas encore conclue. Car la municipalité a posé une condition à l'achat du terrain: que la moitié du montant soit assurée par la population via des dons privés.En décembre 2019, elle a lancé une levée de fonds et s'est donné jusqu'à fin 2020 pour récolter 430.000 dollars canadiens (environ 270.000 euros).Après un début prometteur, marqué par une promesse de 100.000 dollars par un couple de philanthropes locaux, la levée de fonds a été ralentie par la pandémie de Covid-19.Mi-juillet, environ 125.000 dollars, soit près de 30% de la somme espérée, avaient été récoltés. Si le total ne peut être mobilisé d'ici le 12 décembre et sans extension de la collecte de fonds, l'argent reçu sera utilisé pour appuyer des programmes de plantation d'arbres dans la ville, laissant l'avenir de ce chêne historique au conditionnel.Une plaque en son honneurCelui-ci se trouve près du Portage de Toronto, une ancienne grande route commerciale jadis utilisée par les Amérindiens puis par les colons Européens, explique Madeleine McDowell, une historienne locale.Le sentier reliait les lacs Ontario et Simcoe, connectant la région aux Grands Lacs. Les plus grands arbres étaient utilisés comme des "repères" par les voyageurs.Le chêne de North York est un "vestige" de cette forêt, dit-elle. Et il était sans doute déjà grand lorsque la ville de York, l'ancêtre de Toronto, fut établie par les Britanniques près du lac Ontario en 1793."C'est un arbre extraordinaire qui fait partie du patrimoine de Toronto et du Canada", précise Manjit Jheeta, directrice du Bureau des partenariats de la ville de Toronto. "Et il raconte l'histoire de notre pays", ajoute-t-elle.L'an passé, la ville de Toronto a inauguré une plaque en son honneur, une première pour un arbre de la métropole. Sa valeur écologique n'est pas non plus moindre : le chêne retient à lui seul plus de 11 tonnes de carbone."Quand des choses horribles se produisent, je ne vais pas dans une église, je viens ici. Cet arbre est ma cathédrale", lance Edith George. "C'est un survivant. Il nous donne de l'espoir pour notre planète qui est en péril."
Il y a 4 ans et 300 jours

Le temps du voyage plutôt que celui de la destination…

L’été post-confinement est en train de tirer sa révérence et, malgré la quasi-absence de tourisme étranger, la France a connu des bouchons incroyables sur ses autoroutes, expression s’il en est de l’aménagement du territoire et de notre vie ces dernières décennies. La course effrénée que connait notre civilisation dans cette quête de densité ne nous […] L’article Le temps du voyage plutôt que celui de la destination… est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 300 jours

Solliciter un bureau d’études VRD pour un projet de construction urbain

Avant la réalisation de tout projet de construction urbain, différents détails techniques doivent être étudiés avec minutie. Cette analyse est indispensable pour orienter les possibilités d’aménagement et leurs impacts. Le recours à un bureau d’études VRD à Nantes permet donc de bénéficier d’une vue d’ensemble sur tous les envers du projet pour mieux encadrer sa réalisation. Les missions d’un bureau d’études VRD Le rôle majeur d’un bureau d’études (BET) VRD est de prendre en charge la maîtrise d’œuvre d’un chantier à usage public ou privé. Dans ce contexte, il intervient pour analyser un projet de construction dans son ensemble. Cela tient compte des spécificités du terrain, mais aussi des structures existantes. En fonction des données reçues, le BET pourra avancer des solutions techniques adaptées aux besoins des bénéficiaires. Selon la construction envisagée, il détermine les réalisations à prévoir, en adéquation avec les réglementations d’urbanisme. Grâce à l’expertise et la pluralité des acteurs, les choix structurels et techniques seront alignés aux caractéristiques du projet d’aménagement. En plus de la pré-étude des travaux, le BET sera de même chargé du suivi du chantier jusqu’à la réception. Il s’acquitte de la coordination de tous les acteurs dans le but commun de répondre aux directives du cahier des charges. Le bureau d’études VRD Nantes peut également assister une collectivité ou une entreprise en prenant en charge les dossiers de subvention et les formalités réglementaires. Il assure aussi l’obtention de permis d’aménagement, de permis de construire ou de dossier ZAC. Le BET intervient à différentes échelles, comme les communes, les quartiers ou les intercommunalités. Il peut donc être sollicité pour un projet d’aménagement de bourg, de conception d’un réseau d’assainissement collectif ou d’édification d’un pont. Il assure un travail indépendant tout en contribuant de façon notable aux travaux de construction. Les avantages de faire appel à un BET VRD Le bureau d’études VRD est composé de plusieurs spécialistes issus de domaines différents, mais complémentaires. Leurs compétences concernent notamment l’urbanisme, l’ingénierie VR, mais aussi le secteur hydraulique et écologique. Ces ingénieurs accompagnent ainsi leurs clients dans les différentes phases de leur projet d’aménagement urbain ou rural, comme le traçage de rues piétonnes ou la réhabilitation d’un lieu public. Une étude technique élargie permet de soutenir la faisabilité du projet et d’en évaluer le coût de manière objective et pertinente. Cette intervention occasionne un gain de temps et plus d’efficacité pour les organismes bénéficiaires. À partir d’un interlocuteur unique, les organismes demandeurs pourront bénéficier d’un dossier complet concernant la conception d’un ouvrage donné. L’intervention du dessinateur projeteur concrétise chaque donnée à travers des plans réalistes et conformes. Grâce aux services d’un BET compétent, les aménagements paysagers permettent une meilleure valorisation de l’environnement. Les ingénieurs mettent en avant leur expertise pour proposer des solutions d’aménagement cohérentes et axées sur une politique de développement durable. La programmation des équipements publics sera modelée suivant les potentialités d’évolution de la zone concernée. Faire appel à un bureau d’études VRD est d’ailleurs bénéfique pour avoir une idée précise des impacts environnementaux du projet. En misant sur une étude écologique et un diagnostic hydraulique concret, les ingénieurs VRD inscrivent chaque construction dans une démarche écologique.
Il y a 4 ans et 300 jours

Le gouvernement met "au même niveau" urgence économique et urgence sanitaire assure Le Maire

"Le président de la République et le premier ministre ont estimé, et ils ont raison, qu'il fallait sans doute resserrer un certain nombre de boulons en cette rentrée pour garantir la sécurité sanitaire", a affirmé le ministre sur RTL pour justifier ce report."Nous mettons au même niveau l'urgence économique et l'urgence sanitaire", a-t-il assuré, ajoutant que le report "ne change rien (...) aux mesures qui seront présentées dans le cadre de ce plan de relance"."Les mesures sont prêtes, le plan de relance est prêt et que les mesures soient annoncées la semaine prochaine, dans 10 jours ou dans 15 jours, ou qu'elles soient annoncées maintenant ne change rien au fait qu'elles seront adoptées d'ici la fin de l'année pour être mises en œuvre au début de l'année prochaine", a encore insisté Bruno Le Maire.L'exécutif a annoncé samedi qu'il décalait d'une semaine la présentation de son plan de relance de 100 milliards d'euros pour consacrer toutes ses forces à la mise en place des nouvelles mesures de lutte contre la propagation du Covid-19, au moment où la circulation de l'épidémie s'accélère.Le gouvernement est notamment en train de préparer la mise en place des nouveaux protocoles sanitaires en entreprise et dans les écoles, avec notamment un renforcement de l'obligation du port du masque.Sur le front économique, Bruno Le Maire a confirmé la prévision du gouvernement d'une contraction du produit intérieur brut (PIB) de 11% cette année, alors que l'Insee table sur -9%.Cette prudence s'explique notamment par "beaucoup d'incertitudes internationales", a-t-il justifié, citant le Brexit, l'élection présidentielle américaine et le futur plan quinquennal chinois.
Il y a 4 ans et 300 jours

Transpod et l'Alberta d'accord pour le développement d'un hyperloop

La start-up canadienne a annoncé le 25 août la signature d'un protocole d'entente avec le gouvernement de l'Alberta, au Canada, pour attirer des investissements privés dans la province afin de construire un projet d'infrastructure de transport de plusieurs milliards de dollars.
Il y a 4 ans et 301 jours

Au cœur des quartiers populaires, les terrains de sport urbains sèment la discorde

A la cité des Raguenets à Saint-Gratien (Val-d'Oise), le city-stade de La Bombonera, du nom du stade mythique de Buenos Aires, ne vibre plus depuis le 29 mai sur décision de la mairie. Des blocs de béton ont été installés sur le terrain et la pelouse synthétique a été arrachée."A 7h du matin, des pelleteuses ont débarqué dans la cité et ils ont rasé le terrain, sans qu'il y ait d'affichage municipal. C'est un acte de vandalisme", juge Zaki Diop, un habitant du quartier.Pour ce consultant, la suppression du terrain "est plus qu'une punition. On sort de deux mois de confinement, ça a été dur pour tout le monde et on vous enlève l'un des rares espaces pour s'aérer l'esprit".Le city-stade, "c'est un lieu d'échanges (...) On parle de nos problèmes.Le terrain va avec la vie du quartier, il a traversé les générations, des joueurs pro sont sortis de ce terrain. C'est notre patrimoine", clame Zaki Diop qui, avec plusieurs habitants, a déposé une requête au tribunal administratif de Cergy-Pontoise pour contester la décision de la municipalité (LR).La mairie affirme vouloir éviter la tenue de "tournois clandestins" avec des "centaines" de joueurs qui "s'approprient l'espace public", engendrant "des nuisances pour les habitants"."Il suffisait de dire : vous avez fait trop de bruit", estime Malika Schiff dont les quatre garçons profitaient du terrain. Depuis, "les jeunes filles et garçons tournent en rond", explique la maman qui réside dans la cité depuis 1978.Pour Kacim Joly, 19 ans, amateur de ballon rond, "c'est mieux que les jeunes fassent du foot plutôt qu'ils traînent dans la rue".Selon une source policière, "ce terrain ne posait pas de problème si ce n'est quelques nuisances sonores mais de là à le détruire nous n'étions pas favorables"."De manière générale, les city-stades ne sont pas des lieux qui attirent particulièrement notre attention. Il peut y avoir des jeunes qui fument (de la drogue) mais actuellement ce ne sont pas des points de deal", poursuit cette source."Vitrine des quartiers"A Paris, dans le XVIIIe arrondissement, près de Montmartre, c'est la création d'un city-stade en 2018 qui suscite des remous."Le très joli jardin d'enfants a vu son bloc de jeux rasé au profit d'une cage de football grillagée, excluante pour les petits et les moyens", accuse Anne Thoumieux, habitante du quartier qui a lancé une pétition: "non au 100% foot!".Vidéos et photos à l'appui, elle dénonce le "mésusage de l'équipement" avec "des jeunes adultes qui font des parties de foot nocturnes" mais aussi "les problèmes de drogue".En contre-attaque, l'ancien joueur du PSG Vikash Dhorasso, ex-candidat aux municipales à Paris sur une liste LFI, a également lancé sa pétition: "touche pas à mon stade-city".Pour l'ancien Bleu, il s'agit "d'un espace de vie et de lien social" dans "un quartier gentrifié" qui "ne propose plus que de la consommation comme loisirs"."On nous parle de boboïsation alors qu'on se bat pour le retour de toboggans. A cause du city-stade, de mixité il n'y en a plus du tout notamment entre les filles et garçons", rétorque Mme Thoumieux.Prise entre deux feux, la mairie cherche un nouvel emplacement pour le mini-stade.A La Courneuve, Pantin ou encore Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), l'installation des city-stades se fait dans la concertation et les mairies soutiennent les habitants dans l'organisation de tournois "vitrine des quartiers".Ainsi, au coeur de la cité des 3.000 à Aulnay et avec le soutien du maire LR Bruno Beschizza qui fournit masques et gradins, se tient sur trois semaines la deuxième édition de la "CAN des quartiers", inspirée de la Coupe d'Afrique des nations.La rencontre du jour, France-Guinée, affiche complet (200 places) et l'ambiance est électrique, digne d'une compétition professionnelle.Cet événement, "c'est des petites vacances d'été post confinement parce qu'aujourd'hui on est tous bloqué ici", explique "micro3KS", co-organisateur de la compétition.
Il y a 4 ans et 301 jours

Tarkett rejoint le réseau Clean Hospitals

Chaque année dans le monde, des millions de patients¹ contractent, lors de leur séjour à l'hôpital, une infection nosocomiale², dont la plupart pourraient être évitées. Clean Hospitals a pour vocation de mettre l'accent sur l'importance de l'hygiène dans l'environnement hospitalier et d'améliorer la sécurité du patient.Présidée par le Professeur Didier Pittet des Hôpitaux Universitaires de Genève et expert auprès de l'Organisation Mondiale de la Santé, Clean Hospitals est une association à but non lucratif qui réunit universités, établissements de recherche, industriels, et hôpitaux de différents pays.Tarkett dispose de plus de 70 ans d'expérience dans le secteur de la santé et équipe un hôpital sur deux en Europe. Le Groupe entend ainsi apporter son expertise du sol aux différents groupes de travail de Clean Hospitals et contribuer aux travaux de recherche sur les protocoles de nettoyage et de désinfection des sols. Fabrice Barthélemy, Président du Directoire de Tarkett, a déclaré: “La lutte contre les infections liées aux soins et la résistance aux agents antimicrobiens sont deux défis majeurs du monde hospitalier, enjeux exacerbés par la pandémie de la Covid 19.Rejoindre le réseau Clean Hospitals est un engagement important auprès de la communauté hospitalière, et nous avons à cœur d'accélérer la diffusion des meilleures pratiques de nettoyage des sols dans le respect de la santé et l'environnement. L'approche scientifique et collaborative de Clean Hospitals, centrée sur la qualité de vie et la sécurité des patients et du personnel hospitalier, correspond parfaitement à notre engagement de « HumanConscious Design », plaçant l'humain au cœur de la conception de nos sols. »Le Professeur Pittet ajoute : « La plus belle réussite de Clean Hospitals, c'est d'être capable de rassembler les acteurs du monde de l'hygiène environnementale autour d'un même objectif, afin de prendre les décisions appropriées. Ce partage d'expérience et de connaissance est la clef et fait l'unicité de cette initiative. Collaborer avec toutes les parties prenantes nous permet d'être réactif en tant que réseau, quand il y a par exemple un besoin de susciter une prise de conscience, pour la recherche et l'innovation, ainsi que pour soutenir l'éducation et la formation. Cette initiative s'investit dans le but de rendre les établissements de santé plus sûrs en renforçant et en rationalisant l'hygiène environnementale. Clean Hospitals est heureux d'accueillir Tarkett. Cette collaboration apportera un nouveau domaine d'expertise au sein du réseau et l'on sait que la diversité est une richesse. »Soutenir la communauté de la santé par une approche responsable de la conception des sols, mettant l'humain au cœur du design : « Tarkett Human-Conscious Design™ »Depuis des décennies, Tarkett développe des solutions innovantes de revêtements de sol en plaçant les utilisateurs au cœur de sa démarche : patients, soignants, équipes de nettoyage.En 2013, Tarkett a décidé de ne plus intégrer de biocides dans la composition de ses sols et promeut les meilleurs standards de nettoyage et de désinfection par une utilisation raisonnée des désinfectants. Cette initiative pionnière contribue ainsi à réduire le risque inhérent à l'utilisation abusive et inappropriée des biocides entraînant un effet de résistance aux antimicrobiens.A travers cette collaboration, l'objectif de Tarkett est de contribuer au développement et à la diffusion des protocoles de nettoyage les plus efficaces et respectueux de la santé, de l'environnement et de la biodiversité en limitant l'utilisation abusive des biocides.Clean Hospitals et Tarkett : une approche collaborative au service d'une meilleure hygiène dans l'environnement hospitalierLa pandémie Covid-19 a révélé non seulement le rôle fondamental des équipes de nettoyage dans les établissements de santé mais aussi l'importance de l'application rigoureuse des protocoles.L'objectif de Clean Hospitals est d'élever les standards afin d'améliorer l'hygiène hospitalière au travers d'une approche scientifique, fondée sur des preuves. Les travaux de Clean Hospitals réalisés au profit de la santé publique ont pour vocation d'améliorer la prévention et le contrôle des infections liées aux soins et de réduire l'antibiorésistance.¹ - https://www.who.int/gpsc/country_work/gpsc_ccisc_fact_sheet_en.pdf² - Les maladies nosocomiales, ou infections liées aux soins, se réfèrent à des maladies contractées par des patients lors d'un séjour à l'hôpital.
Il y a 4 ans et 301 jours

La nouvelle ligne du métro londonien encore retardée à cause de la crise sanitaire

La ligne devait initialement être mise en service fin 2018 mais ses promoteurs n'ont cessé d'annoncer des retards bien avant la pandémie. Ils prévoyaient jusqu'à présent une ouverture à l'été 2021.Le chantier, lancé en 2009 et l'un des plus vastes en Europe, a été suspendu un temps pendant le confinement et la reprise du travail n'a pu se faire qu'à un rythme réduit en raison du nombre limité d'ouvriers présents pour respecter la distanciation physique.Quelque 2.000 personnes travaillent sur l'ensemble des sites, soit 50% de moins qu'avant la pandémie.Les travaux concernant les stations et les tunnels avancent en outre moins vite que prévu.Il faudra donc attendre le premier semestre 2022 au mieux pour l'ouverture du premier tronçon de la Elizabeth Line, section centrale qui reliera Londres d'est en ouest entre Abbey Wood et la gare de Paddington.La ligne doit à terme permettre de relier plus rapidement l'aéroport d'Heathrow dans l'ouest de la capitale à la banlieue est, via le quartier des affaires de la City.Son budget ne cesse d'augmenter, avec un coût supplémentaire de 1,1 milliard de livres en raison du nouveau retard, ce qui porte le total de la facture à 18,9 milliards de livres."La livraison de la ligne Elizabeth intervient à un moment de grande incertitude en raison du risque et de l'impact potentiel de nouvelles vagues du Covid", souligne Mark Wild, directeur général de Crossrail.Les Londoniens sont d'ailleurs peu pressés de reprendre les transports en commun et ont encore massivement recours au télétravail, surtout dans les quartiers d'affaires de la capitale britannique.Ces nouvelles habitudes pourraient plomber durablement l'activité du métro londonien.Le maire de Londres Sadiq Khan a dit, selon un porte-parole, être "profondément déçu" par le nouveau délai sur lequel vont se pencher l'autorité des transports londoniens (TfL) et le ministère des Transports.
Il y a 4 ans et 304 jours

Le président du conseil syndical peut rarement être poursuivi

Pour la Cour de cassation, il est exclu que sa responsabilité puisse être mise en cause par un copropriétaire au titre de l'incapacité, des erreurs ou de la simple négligence.Un copropriétaire soulignait que selon la loi, le président du conseil syndical "assiste le syndic et contrôle sa gestion", ce qui n'avait pas été fait. Il reprochait à ce copropriétaire élu de ne pas avoir exécuté la mission que lui impose la loi en ne contrôlant pas les comptes du syndic et d'avoir laissé prospérer des erreurs, voire des irrégularités, au préjudice de tous.Cependant, les juges posent une exigence particulière pour que soit mis personnellement en cause ce président du conseil syndical. Il ne suffit pas que ses fautes créent un préjudice aux autres, il faut que ses fautes soient "lourdes". Ainsi, l'absence de contrôle des comptes du syndic, quelles qu'en soient les conséquences, n'est répréhensible que si elle résulte d'une "collusion frauduleuse" avec le syndic et non d'une simple négligence.La cour d'appel avait aussi exclu le reproche d'incompétence car, sauf exception, le président du conseil syndical n'est pas un professionnel de la gestion d'immeuble. Sa responsabilité ne peut donc être engagée qu'en cas de faute intentionnelle et non pour de simples mauvaises décisions, qu'elles aient été couteuses ou non.
Il y a 4 ans et 304 jours

Eqiom Bétons lance sa nouvelle plateforme d'inspiration dédiée aux bétons décoratifs

Véritable source d'inspiration et de tendances, www.articimo.fr ambitionne d'accompagner les particuliers et les professionnels en recherche d'idées et/ou désireux de concrétiser un projet d'aménagement en béton décoratif. Entièrement responsive, ce nouveau site internet offre aux internautes une expérience fluide sur tous les écrans et s'inscrit dans une démarche de proximité et de qualité avec son réseau d'applicateurs spécialisés « Créateurs Sols Béton ». ARTICIMO révèle toute l'audace du BétonHautement performant, aux qualités incontestables (thermique, acoustique, durabilité), le béton s'invite dans tous les espaces de vie. Plébiscité par les architectes et les décorateurs, malléable et personnalisable, le béton offre une diversité de déclinaisons et de finitions qui s'adapte à tout type de style. Il devient une solution d'aménagement esthétique, durable et économique nécessitant peu d'entretienIl s'applique aussi bien en intérieur qu'en extérieur pour les aménagements de terrasses, de jardins, d'allées, d'espaces de stationnement, pour les murs ou les escaliers… Par ses formes, ses textures et ses couleurs, le béton décoratif offre une multitude de possibilités pour créer une signature unique ultra contemporaine.Ses qualités techniques associées à sa richesse esthétique répondent parfaitement aux envies des clients sensibles aux finitions épurées et stylisées des sols et murs pour un résultat unique et moderne.Le site internet de référence des bétons décoratifsDans le cadre d'un projet d'aménagement intérieur et extérieur, particuliers et professionnels sont souvent à la recherche d'inspiration et de tendances sur le web. EQIOM Bétons, a développé sous la marque ARTICIMO, une gamme de bétons décoratifs pour tous les espaces de vie et propose aux internautes une toute nouvelle approche du béton sous un angle esthétique et harmonieux, personnalisable et éco-responsable, pour sublimer chaque espace afin qu'il soit un projet unique. Du choix de la solution, à son application et son entretien, www.articimo.fr propose de découvrir les meilleures idées d'aménagements en béton décoratif et met à disposition toute son expertise pour répondre à chaque besoin et à chaque style.En quête d'inspiration ou de nouvelles idées, à la recherche de solutions innovantes et durables ou d'une alternative à d'importants travaux, particuliers et professionnels découvriront au fil de leurs critères de choix, le revêtement tendance, durable et personnalisable qui leur ressemble. Créateurs Sols Béton, le réseau des professionnels experts et passionnés par le béton déco L'application des bétons décoratifs est un projet qui requiert une parfaite maîtrise et qui doit être réalisé par un professionnel formé et qualifié. Créé par EQIOM Bétons, le réseau Créateurs Sols Béton regroupe des entreprises spécialisées dans la mise en œuvre des bétons décoratifs. Les artisans sont régulièrement formés aux dernières techniques et innovations et sont garant de la qualité et des services ARTICIMO.De l'expertise produits aux conseils de mise en œuvre, le réseau offre également un service de proximité pour l'entretien et la rénovation des bétons décoratifs.www.articimo.fr permet de mettre en relation des clients et des professionnels du réseau Créateurs Sols Béton à proximité de chez eux pour accompagner leurs projets d'aménagement en béton décoratif. Il offre également, aux artisans intéressés, la possibilité de candidater pour intégrer le réseau.Enfin, pour aller plus loin et rendre leurs projets plus concrets, des showrooms ARTICIMO ont été ouverts au public – uniquement sur rendez-vous – en France et au Luxembourg. Véritables ateliers de création et d'échange, ces espaces dédiés à l'inspiration permettent à chacun, particuliers et professionnels, de découvrir l'éventail des finitions, des nuances et des textures des solutions ARTICIMO et bénéficier des conseils de nos experts.
Il y a 4 ans et 304 jours

Amelia Tavella Architectes : Casa Santa Teresa

À Ajaccio, sur la route des Sanguinaires, Amelia Tavella a entièrement réinventé une villa des années 1950 ouverte sur la mer Méditerranée. À la Casa Santa Teresa, l’architecte corse s’inspire des douces soirées estivales de son enfance pour concevoir une maison de vacances à la fois sereine et chaleureuse. Pour une propriétaire aimant particulièrement les vacances en famille ou entre amis, l’architecte Amelia Tavella a insufflé un nouveau souffle à une demeure construite dans les années 1950 sur un terrain rocheux en bord de mer. L’idée de la rénovation est simple : imaginer une maison de vacances solaire et valoriser son implantation exceptionnelle, tout en favorisant la circulation de la lumière. Bâtie en surplomb de la Grande Bleue, la maison bénéfice d’un cadre idyllique, que l’architecte a souhaité mettre en évidence. Amelia Tavella a fait le choix, d’une part, de concevoir un habitat fonctionnel et, d’autre part, d’adoucir la frontière entre intérieur et extérieur pour conserver l’esprit de l’ancienne bâtisse et concevoir un habitat contemporain facile à vivre. Spacieuse, la maison s’étend sur 400 mètres carrés répartis sur quatre niveaux. Au rez-de-chaussée, la salle de séjour est rythmée par de grandes portes vitrées pivotantes, qui ouvrent la villa sur l’extérieur, laissent pénétrer la lumière et offrent une vue imprenable sur la baie d’Ajaccio. Ce grand volume épuré et lumineux, donne sur une charmante terrasse, complétée par une cuisine d’été, une piscine et un accès privatif à la plage. Au rez-de-jardin et dans les étages, les cinq chambres et salles de bains affichent un style authentique toujours réchauffé par une palette de couleurs chaudes. À l’intérieur comme à l’extérieur, des matériaux bruts et naturels – briques, zelligues de terre cuite émaillée, bois, cannages – croisent des pièces de mobilier aussi sobres qu’élégantes. Non loin de l’archipel des Sanguinaires, la Casa Santa Teresa est une maison de rêve, disponible à la location et pouvant accueillir jusqu’à douze personnes. Et si l’on posait ses valises en Corse cet été ?Pour en savoir plus, visitez le compte Instagram de l’agence Amelia Tavella Architectes ainsi que le site et le compte Instagram de la Casa Santa Teresa.Photographies : © Amelia Tavella ArchitectesLa Rédaction
Il y a 4 ans et 305 jours

DEKRA Diagnostic rejoint la FIDI

Le Groupe DEKRA, leader européen de l'inspection, de la certification, des services et de la gestion des sinistres dans les domaines de l'automobile, du transport et de l'industrie, a décidé de rejoindre la FIDI (Fédération interprofessionnelle du Diagnostic Immobilier) à travers l’adhésion de sa branche DEKRA Diagnostic.
Il y a 4 ans et 306 jours

La petite parcelle n'échappe pas forcément au fermage

Pour échapper à ce statut du fermage, très contraignant, le propriétaire de la parcelle doit non seulement éviter d'y faire référence dans le bail, mais également dans tout document qui pourrait être porté à la connaissance du locataire, selon la Cour de cassation.Le statut du fermage est la législation particulière aux baux ruraux que les propriétaires considèrent comme particulièrement désavantageuse, compte tenu de l'encadrement des prix des loyers ou de la grande difficulté à mettre un terme au bail, conclu au minimum pour 9 ans.Le code rural prévoit que les parcelles de petite surface, dont le maximum est fixé par arrêté préfectoral compte tenu des besoins locaux, peuvent par dérogation échapper à ce statut particulier et être soumises au droit commun du contrat de location, organisé par le code civil.Mais rien n'empêche le propriétaire et le locataire de préférer le statut du fermage pour une petite parcelle, selon la Cour de cassation, et dès lors que le propriétaire évoque dans un acte officiel la présence d'un "fermier", son locataire peut se prévaloir de cette qualité.En l'espèce, le propriétaire qui souhaitait vendre une petite parcelle avait évoqué avec l'acquéreur la nécessité de mettre fin au bail "du fermier".Ce dernier, ayant eu connaissance de l'affaire, avait alors sauté sur l'occasion pour faire valoir les droits reconnus à tout "fermier". Il avait décidé d'exercer le droit de préemption reconnu par le statut du fermage et avait saisi le tribunal pour contester le prix.La justice lui a donné raison. Contrairement à ce que soutenait le propriétaire, ce statut de fermier peut exister même s'il n'est pas convenu dans le contrat signé avec le locataire mais est seulement évoqué dans un document signé avec un tiers.(Cass. Civ 3, 15.11.2018, B 17-15.387).
Il y a 4 ans et 306 jours

L'Hôtel des Postes à Strasbourg, édifice néogothique, entreprend sa mue

En collaboration avec l'entreprise générale Bouygues Bâtiment Nord-Est, le promoteur immobilier y développe près de 20.000 m2. Dès cet été, près d'une cinquantaine d'entreprises du territoire et plus de 200 compagnons se succèderont jusqu'en 2023, pour faire renaître cette bâtisse de la fin du XIXe siècle.Le tout dans une dynamique noble et responsable : l'opération favorise la déconstruction sélective et le réemploi de matériaux, matériels et mobiliers. Dès le démarrage des travaux, l'Hôtel des Postes s'inscrit parmi les chantiers de Strasbourg les plus avancés en matière de réduction des déchets issus du BTP.Un chantier conduit au pied de la lettre !Le projet de réhabilitation se veut respectueux et en parfaite adéquation avec son environnement. De part son envergure et son exemplarité, le chantier est orchestré en étroite collaboration, avec la police municipale, les autorités locales, la Ville et l'Eurométropole de Strasbourg.Réalisé en hyper-centre de Strasbourg, cette opération hors norme réunira en pleine activité près de 50 entreprises locales et plus de 200 compagnons qualifiés, qui y oeuvrent pour redonner vie à ce lieu historique.Les principaux échelons prévisionnels du programme sont :Curage et déconstruction sélective : Jusqu'à décembre 2020Gros œuvre : De l'automne 2020 à l'été 2021Aménagement du parking souterrain : Novembre 2020 à juin 20211ères Livraisons : Second semestre 2022Fin de travaux de l'ensemble Immobilier : Premier semestre 2023Une réalisation engagée et responsableIl est à présent avéré que le secteur de la construction compte parmi les gisements les plus générateurs de déchets et d'impacts environnementaux. De part sa nature atypique, cette réhabilitation, initiée par Bouygues Immobilier, vise à faire renaître ce lieu unique, siégeant depuis plus de 120 ans au coeur de la Neustadt, à Strasbourg. Le tout en optant pour un modèle circulaire, bien moins énergivore et plus respectueux de l'environnement. Par cette approche émergente, ce bâtiment de près de 20 000 m2 tourne une page de son histoire et s'engage vers un avenir tout aussi émérite.Avec l'expertise d'ELAN, AMO - Assistant de Maîtrise d'Ouvrage de référence en matière d'économie circulaire dans l'immobilier, la revalorisation de l'Hôtel des Postes s'engage ainsi dans une approche de ressources qui vise à la réduction des déchets. Il s'agit d'opter pour la déconstruction sélective en favorisant le réemploi de matériaux, de matériels et de mobiliers. ELAN permettra à Bouygues Immobilier d'identifier les gisements et les filières (In situ et ex situ) à fort potentiel, permettant la réutilisation de certains éléments déposés.Le chantier de l'Hôtel des Postes devrait ainsi limiter significativement la production de déchets, notamment lors de la déconstruction et le curage. Bon nombre de matériaux, matériels et mobiliers vont ainsi être valorisés et recyclés. Il s'agit à titre d'exemple de dalles de faux-plancher, de radiateurs en fonte, de menuiseries intérieures (avec le réemploi de certaines portes historiques)...La démarche initiée permet de prendre part à l'économie locale et de participer au développement de nouvelles filières, le tout en préservant les ressources. L'accompagnement de l'AMO ELAN garantit l'amélioration du bilan environnemental de l'Hôtel des Postes, projet étendard de Strasbourg.En outre, pour la construction du bâtiment neuf, au centre de la cour intérieure, près de 3.000 m3 de béton bas carbone seront employés. Enfin, une collaboration avec VNF - Voies Navigables de France est à l'étude pour favoriser le transport fluvial de certains équipements du second oeuvre.Un programme immobilier historique !Autrefois haut lieu de télécommunication et de correspondances, l'Hôtel des Postes incarne de tout temps la modernité et le caractère cosmopolite de la ville qui l'héberge, Strasbourg. Début 2023, l'Hôtel des Postes de Strasbourg accueillera donc des logements résidentiels, des bureaux neufs et réhabilités, une résidence services pour seniors, une brasserie-restaurant ainsi qu'un bureau de poste. Incontestablement, cette reconversion immobilière s'engage dans une démarche de valorisation patrimoniale inédite et exemplaire.Sous les préconisations et les orientations de l'Architecte des Bâtiments de France, les principales interventions sur le bâti existant seront mineures et limitées. Le projet prévoit notamment la restauration et le nettoyage des façades extérieures dans le respect total des façades et toitures d'origine (1896). La cour intérieure sera particulièrement mise en valeur.Localisés le long de l'Avenue de la Liberté, les logements en accession seront desservis soit par la cage d'escalier monumentale, datant du XIXe siècle, soit par les deux cages d'escaliers angulaires, tout aussi remarquables.À chaque étage, les distributions, aux voûtes et hauteurs exceptionnelles, sont maintenues et sublimées. En outre, les combles sont rehaussés et exploités par l'intégration de nouvelles lucarnes donnant sur la cour intérieure. Des mezzanines sont prévues pour certains logements du rez-de-chaussée, du 2ème ou 3ème étage…Nul doute que l'opération se veut historique, au coeur de Strasbourg !Principaux intervenantsMaître d'ouvrage : Bouygues ImmobilierArchitecte : WEBER & KEILING ArchitectesEntreprise générale : Bouygues Bâtiment Nord-Est
Il y a 4 ans et 306 jours

L'autorité environnementale critique une nouvelle fois la ligne 17 du GPE

INFRASTRUCTURES. Le dossier d'autorisation environnementale du tronçon nord de la ligne 17 du futur métro est vertement critiqué par l'Autorité environnementale, qui s'exprime pour la quatrième fois sur le projet.
Il y a 4 ans et 306 jours

Résultats en hausse pour Ariston Thermo sur l'exercice 2019

Au terme de l'exercice budgétaire, le 31 décembre 2019, le groupe a atteint :Un chiffre d'affaires qui atteint 1,71 milliard d'euros, le meilleur enregistré depuis la création du groupe et supérieur de 6,1% par rapport à 2018.L'EBITDA est à l'équilibre à 223 millions d'euros, une augmentation de 10,4% par rapport à 2018.L'EBIT est à l'équilibre à 149 millions d'euros, correspondant à 8,7% du chiffre d'affaires.L'année 2019 fut très positive pour ARISTON Thermo en termes de chiffre d'affaires et de rentabilité atteignant 1,710 milliard d'euros, montant supérieur de 6,1% par rapport à 2018 et un EBITDA à l'équilibre à 223 millions d'euros, +10,4% par rapport aux 202 millions de l'année précédente. Quant au budget de Recherche & Développement, il dépasse les 77 millions d'euros d'investissements, confirmant l'engagement d'Ariston Termo dans le domaine.“En 2019, nous nous sommes engagés à atteindre un profit en hausse, tout en continuant de nous concentrer sur des objectifs durables : tous les indicateurs économiques et financiers représentent un record pour le groupe” indique Paolo Merloni, directeur exécutif chez ARISTON Thermo. “Nous avons atteint d'excellents résultats en termes de solutions renouvelables, augmentant les recettes, les volumes et les parts de marché. Cela prouve que l'investissement fait en R&D ces dernières années et le développement de stratégies de commercialisation innovantes produisent les effets attendus. En ce sens, en 2019, nous avons accentué nos efforts en R&D, investissant 40% de plus dans les produits renouvelables par rapport à 2018, principalement en Italie. Pour l'instant, l'année 2020 est critique en raison de la crise du Covid-19. Cependant, les résultats positifs de ces dernières années ont renforcé notre vision et nous ont donné une stabilité économique, une flexibilité industrielle et opérationnelle et un bilan solide, ce qui est fondamental pour faire face à cette situation”.En 2020, le groupe fête les 90 ans de sa création. En effet, l'histoire d'Ariston Thermo Group débute en juillet 1930, quand Aristide Merloni fonda Merloni Industries à Fabriano. Depuis, grâce à un processus d'internationalisation fort, l'entreprise est devenue l'un des leaders mondiaux dans le secteur du confort thermique. Croire au développement durable, motiver via l'excellence, être orienté consommateur, considérer le personnel, agir avec intégrité, sont autant de valeurs qui ont guidé le groupe durant 90 années.Pour les 90 ans de la création de l'entreprise, Paolo Merloni a commenté : “Le 90ème anniversaire de la création représente une étape importante et confirme que la longue histoire de l'entreprise constitue la base pour nous projeter dans le futur. Les valeurs que nous portons sont plus à propos que jamais, alors qu'un fort engagement dans la recherche et l'innovation, la transformation digitale et l'amélioration du capital humain sont nos priorités afin de construire un futur durable. Ce 90ème anniversaire nous donne la motivation et l'inspiration nécessaires pour rester compétitifs et sortir encore plus fort. Grâce à l'enthousiasme et les capacités de nos collaborateurs, qui sont l'essence même d'Ariston Thermo, je suis convaincu que nous continuerons à évoluer et à atteindre nos objectifs futurs”.Les événements marquants de 2019Un des évènements les plus marquants de l'année fut, fin avril, l'acquisition par ARISTON Thermo de 100% de Carolex (rachat à Industrial Satillo Group), une entreprise implantée au Mexique et aux États-Unis qui conçoit, fabrique et commercialise des chauffe-eau à gaz, électriques et solaires en collaboration avec des marques leader et avec un positionnement de marché unique. Cette acquisition a consolidé la présence du groupe sur le continent américain, lui permettant d'être en pole position au Mexique et d'établir une position fondamentale pour le renforcement d'une potentielle croissance en Amérique du Nord et Centrale ainsi qu'en Amérique Latine.ARISTON a poursuivi sa mission “pour amener du confort même où cela semble impossible à trouver” via la campagne de communication mondiale “The ARISTON Comfort Challenge”. L'intérêt et les avancées de ce projet, ont contribué à la mise en oeuvre de 22 nouvelles recherches sur le changement climatique au Groenland en 2019, ont permis de lancer la campagne sur de nouveaux marchés clés pour l'entreprise comme la France et le Vietnam. Le “ARISTON Comfort Challenge” a également été un sujet majeur au FurioSalone2019 pendant la Milan Design Week : ARISTON Thermo a soutenu le projet “HELP”, une installation artistique créée en réponse aux effets du changement climatique sur la planète, réitérant ainsi son engagement pour le développement durable et la réduction de l'impact humain sur l'environnement.ARISTON a également reçu de nombreuses récompenses dans différents domaines au cours de l'année. En ce qui concerne la production, l'usine Cerreto D'Esi, spécialisée dans la production de chauffe-eau électriques a passé avec succès l'audit World Class Manufacturing (WCM), obtenant la médaille de bronze, à laquelle s'ajoutent celles obtenues par les usines Arcevia et Osimo en 2017. Concernant la marque Racold, la marque leader en Inde, elle a obtenu la prestigieuse récompense “Superbrands 2019”. Racold était la seule marque à être sélectionnée pour le “Superbrands 2019” dans la catégorie chauffe-eau après un long processus de vote par les consommateurs finaux.En octobre 2019, ARISTON Thermo a reçu de l'Italian Association of Family Businesses l'Award Alberto Falck Family Business 2019. La croissance quantitative et qualitative constante, l'excellence des résultats au niveau international au fil des ans, les valeurs de l'entreprise, l'attention portée aux territoires où le groupe est présent, le système gestion moderne et la recherche constante d'innovation dans l'idée d'accroître le développement durable, sont autant d'aspects qui ont rendu possible la reconnaissance importante que confèrent ces prix.Augmentation de portefeuille : diversification et innovationToujours en 2019, ARISTON Thermo a poursuivi sa politique de diversification et d'innovation de son portefeuille de produits et de services, en investissant dans la création de solutions énergétiques efficaces, qui utilisent les énergies renouvelables ainsi que dans le développement de services et applications.En ce qui concerne les solutions pour les chauffe-eau sanitaires, le portefeuille d'Ariston Thermo s'est enrichi mondialement afin d'appréhender les besoins locaux. Aux États-Unis, la première gamme de chauffe-eaux électriques produite en Italie a été lancée et le portefeuille de chauffe-eaux en émail, électriques et à gaz, a été intégrée à la gamme standard américaine. Grâce à cela, le groupe est devenu l'un des acteurs sur le marché Nord-Américain offrant la gamme de produits la plus complète. En Asie, en particulier au Vietnam et à Singapour, ARISTON Thermo a étendu son offre en lançant des solutions avec la technologie connectée.Tant sur le marché européen que sur celui des pays émergents (Moyen-Orient, Afrique et Sud-Est de l'Asie), la nouvelle gamme de chauffe-eau est à circulation naturelle. Enfin, ARISTON Thermo a renforcé ses solutions durables, présentant sa nouvelle gamme de pompe à chaleur Split : avec une capacité de 150, 200 ou 270 litres, ces modèles offrent une plus grande facilité d'installation, une meilleure efficacité et des performances sonores optimales dans sa catégorie en Europe.Même pour les solutions de chauffage, le portefeuille ARISTON Thermo s'est renforcé. Partant de ses propres compétences et expériences, l'entreprise s'est une nouvelle fois montrée capable de s'adapter aux besoins des consommateurs locaux et des spécificités techniques liées aux différents marchés. Aux États-Unis et au Canada, le groupe a introduit la première gamme de chaudières à condensation avec des batteries entre 24 et 45 kW sous les marques NTI et http. Grâce au nouvel échangeur thermique CIRCOND, conçu spécifiquement pour l'Amérique du Nord, le groupe a relancé le segment water tube, combinant coût et performance. De plus, le contrôle électronique développé en interne permet une gestion optimisée des chaudières, s'adaptant mieux aux différents types d'installations ainsi qu'aux besoins des consommateurs, améliorant ainsi le confort et la consommation.Quant aux solutions de chauffage, le lancement du Trigon XXL, une nouvelle gamme de chaudières à condensation sur pieds avec une batterie allant au-delà de 650 kW, a été fait avec les marques Elco HS et Rendam ax.En 2019, de nombreuses activités ont été réalisées pour soutenir la croissance dans le secteur des pompes à chaleur. Au début de l'année, la gamme de pompe à chaleur à eau et à air Energion M a été lancée (versions autonome et hybride) sous la marque ATAG pour les marchés Néerlandais et Belge. En juillet, le groupe a introduit sur le marché italien, pour les marques ARISTON, Chaffoteaux et Elco, de nouvelles pompes à chaleur encastrables pour le chauffage, le refroidissement et l'eau chaude sanitaire équipées avec tous les composants nécessaires pour une installation complète : chaudière, réservoir technique, résistance électrique et vases d'expansion.De plus, pour les gammes premium, les nouveaux Aerotop G 14.2 et Aerotop S, sous la marque Elco, ont été lancé au dernier trimestre. Le renouvellement de gammes déjà existantes a permis d'y introduire les dernières plateformes électroniques, onduleurs et ventilateurs pour améliorer la qualité et les performances ainsi que réduire le coût et le bruit. Les principaux marchés de lancement ont été la Suisse et l'Allemagne.Pour terminer, ARISTON Thermo a une fois encore confirmé une place de premier plan quand il s'est agi de répondre aux besoins d'intégrer du confort thermique au sein des écosystèmes privés. En 2019, grâce à l'intégration continue des systèmes de chauffage du groupe dans les plateformes internationales de maisons connectées, l'entreprise a renforcé son offre de services connectés, développant des systèmes compatibles avec Alexa d'Amazon, Homekit de Apple et l'Assistant de Google avec le contrôle vocal, permettant une interaction avec les produits simplifiés et plus intuitive. À ce jour, 65.000 consommateurs utilisent les objets connectés profitant des avantages du contrôle à distance, des économies d'énergie et d'une assistance permanente.En plus des services pour les consommateurs, l'entreprise propose aussi des solutions d'interopérabilité, permettant un dialogue entre les systèmes et des plateformes de logiciels externes, comme des centres d'assistance, qui permettent l'amélioration de leur offre ainsi que le développement de nouvelles opportunités et de modèles d'entreprises pour un futur toujours plus flexible et écologique.
Il y a 4 ans et 307 jours

Abris voyageurs et abris bus nouvelle génération

Il existe différents types d’abri bus, dits aussi “abris voyageurs” ; des plus simples aux plus modernes, conçus par des designers ou des sociétés d’urbanisme orientées développement durable. Ouverts, fermés, en bois, béton, à technologie embarquée ou végétalisés, les abris bus sont très diversifiés.  Installer des abris voyageurs  Lorsque la question se pose d’installer des abris voyageurs, le choix doit se faire entre deux configurations :   l‘abri ouvert, dont les bardages sont transparents, le plus souvent constitués de verre ou de plastique ;  l‘abri fermé, dont les bardages sont opaques, constitués de bois ou de métal. Ce type d’abri protège mieux les voyageurs des éléments que l’abri ouvert.  Par ailleurs, l’installation d’abris voyageurs est soumise à réglementation et leur implantation ne peut se faire n’importe où. L’accès à un bus se faisant généralement par l’avant, l’abri voyageur devra être placé en tête de quai afin de faciliter la montée des voyageurs.  De même, le quai d’accès aux transports en commun devra répondre à des normes d’accessibilité spécifiques en termes de dimensionnement et de pente.  Végétalisés, technologiques : les nouveaux abris bus  Abris voyageurs végétalisés  Dans le contexte du réchauffement climatique et devant l’urgence de repositionner l’urbanisme pour concevoir des espaces urbains plus écologiques et replacer la nature au centre de ces espaces de vie, la Hollande a mis en place des abris bus végétalisés.   Depuis 2016, ce sont plus de 700 abris voyageurs aux toits couverts de verdure qui ont poussés comme des champignons dans les rues d’Utrecht, Rotterdam ou encore Apeldoorn.   Simples à installer et demandant peu d’entretien, ces abris bus végétalisés apportent comme principaux avantages un environnement visuellement plus agréable, ainsi qu’un geste de plus dans la lutte contre les îlots de chaleur urbain. En effet, en plein été, le toit d’un abri voyageurs en plastique ou en métal est jusqu’à 30°C plus chaud qu’un toit végétalisé.   Ces nouveaux modules d’abris bus offrent donc un confort supplémentaire aux voyageurs dans l’attente de leur moyen de transport.  Abris bus intelligents  Un pas de plus dans l’ère des smart cities est franchi, avec le développement parisien des abri bus dits “à haut niveau de service”. Écologiques et innovants, ces abris voyageurs sont équipés de mâts électroniques, de larges plans rétroéclairés, ou encore d’une annonce sonore sur demande et des numéros de lignes tactiles pour faciliter l’accessibilité des personnes malvoyantes.  Ces abris se veulent plus intuitifs dans la consultation des informations qu’ils prodiguent, telles que les informations en temps réel sur les horaires de passages des prochains bus et des messages sonores et visuels en cas de perturbation des lignes de bus.   Par ailleurs, leur aménagement est pensé en termes de confort usager : plus larges, ils comprennent davantage de places assises, dont certaines spécialement conçues pour faciliter l’accès aux personnes à mobilité réduite (PMR). Enfin, ces abris bus nouvelle génération s’intègrent parfaitement aux nouveaux usages et modes de consommation technologique, par leur équipement en chargeur de portable universel. 
Il y a 4 ans et 307 jours

Nouvelles peintures techniques en aérosol pour métaux PA 650 et PA GALVA

Des peintures haute performance pour des applications exigeantesPA 650, pour recouvrir des supports soumis à des températures extrêmes, et PA GALVA, pour une protection élevée contre la corrosion des pièces métalliques soudées ou découpées. Leurs formulations pointues et de qualité professionnelle, offrent une excellente adhérence et un haut pouvoir couvrant.Peinture hautes températures 650°C : PA 650La résistance aux températures extrêmesThermorésistante, la nouvelle peinture en aérosol PA 650 CECIL PRO est idéale pour repeindre des surfaces exposées à des températures très élevées jusqu'à 650° C. Sa formulation convient à tous les métaux (acier non revêtu, sablé, surfaces rouillées...) pour des installations industrielles, des canalisations, des chauffe-eaux, des poêles à bois, des radiateurs, des moteurs, des barbecues...Son action antirouille et sa bonne résistance aux intempéries rend son utilisation aussi performante en intérieur comme en extérieur.De plus, la PA 650 offre une excellente adhérence sur tous les supports, un haut pouvoir couvrant et prévient l'apparition de fissures, d'écaillage ou de cloques liée à la chaleur.Sa bombe ergonomique est très facile et agréable à utiliser.La peinture aérosol PA 650 est disponible en aluminium mat et noir mat.Conditionnement : 400 mlPrix de vente conseillé : 12,90 euros TTCPoints de vente : Négoces en matériauxPeinture de galvanisation à froid : PA GALVALa barrière anti-corrosionSur des pièces en métal, les parties découpées, soudées ou filetées sont des points sensibles en termes de corrosion et d'étanchéité. Pour rétablir une haute protection anticorrosion et antirouille au niveau des points de découpe ou pour renforcer des soudures, la nouvelle peinture aérosol PA GALVA CECIL PRO est idéale.Sa formule contient des particules de zinc ultrafines qui forment une barrière non poreuse, extrêmement étanche contre la corrosion. La PA GALVA adhère parfaitement sur tous les métaux (zinc, fer, aluminium...) des constructions métalliques, tuyauteries... et sèche rapidement. Utilisable en intérieur comme en extérieur, elle constitue une protection durable.Par ailleurs, elle offre un bon pouvoir couvrant, une très bonne accroche sur l'acier nu ou sur les peintures existantes, et peut également être utilisée comme sous couche avant la peinture PA RAL CECIL PRO afin de renforcer l'effet anticorrosion.La PA GALVA est disponible en zinc mat (98% de zinc) et zinc brillant (66% de zinc).Conditionnement : 400 mlPrix de vente conseillé : 11,90 euros TTCPoints de vente : Négoces en matériaux
Il y a 4 ans et 311 jours

Les auto-entrepreneurs à fin décembre 2019

Cette forte hausse s'explique par l'augmentation des immatriculations (+576.000 sur un an), sur un rythme qui ne faiblit pas (+24,5% après +24,0% fin 2018), mais aussi par une baisse sensible des radiations (-23,7%). Celle-ci est liée à la non radiation, contrairement aux années précédentes, des comptes présentant au 31 décembre deux années consécutives sans chiffres d'affaire. La radiation de ces comptes aurait ramené à +19,5% la hausse annuelle du nombre d'inscrits fin 2019.952.0000 auto-entrepreneurs déclarent un chiffre d'affaires positif au quatrième trimestre 2019, soit 12,0% de plus sur un an. Ce rythme est en léger ralentissement (+15,0% fin 2018) compte tenu de la faible ancienneté dans le dispositif d'un nombre croissant d'AE. En conséquence, 55,6% des AE sont économiquement actifs fin 2019 (58,9% si l'on exclut les AE qui auraient dû être radiés en raison de l'absence de chiffre d'affaires durant deux ans). Cette part est en recul par rapport au taux observé fin 2018 (62,8%).Le dynamisme du chiffre d'affaires trimestriel global est très marqué (+22,3%). Le chiffre d'affaires trimestriel moyen progresse quant à lui de 9,2% cette année, pour atteindre 4.498 euros.Les secteurs du transport, des activités immobilières, des autres services personnels et des activités de nettoyage affichent les rythmes de croissance les plus soutenus parmi les comptes AE économiquement actifs.Les comptes auto-entrepreneurs générant un chiffre d'affaires sont en nette progression dans toutes les régions de France cette année encore.Depuis le doublement au 1er janvier 2018 du plafond de chiffre d'affaires ouvrant droit au dispositif auto-entrepreneur (AE, encadré), le nombre d'auto-entrepreneurs progresse sur un rythme soutenu. Fin décembre 2019, on dénombre 1.711.000 inscrits sous ce régime, qu'ils aient ou non déclaré un chiffre d'affaires (tableau 1). Sur un an, leur nombre augmente de 26,5%, après +15,1% à fin 2018. Cette accélération s'explique toutefois en partie par la baisse exceptionnelle des radiations (-23,7% sur un an) qui résulte de la non radiation, contrairement aux années précédentes, des AE n'ayant au 31 décembre déclaré aucun chiffre d'affaires durant deux années consécutives. Le nombre d'AE concernés est estimé à 94 000. Leur radiation aurait ramené à 19,5% la progression du nombre d'inscrits sur un an. Celle-ci reste portée par le dynamisme des immatriculations 2 (576.000 sur un an), en hausse de 24,5% (après +24,0% fin 2018).Le secteur des transports présente toujours le dynamisme le plus marqué, quoique plus mesuré : l'évolution annuelle du nombre de comptes inscrits y est de 61,1% (48,3% après correction des radiations) après +79,2% l'année précédente (tableau 2). Le secteur des autres services personnels, les activités de nettoyage et les activités immobilières restent aussi très attractifs, avec des taux supérieurs à 30%. Les secteurs des transports et du BTP concentrent à eux deux 300.000 AE inscrits fin 2019. Le secteurs des arts, spectacles et activités récréatives comme celui du conseil pour les affaires sont également très concernés par l'auto-entreprenariat.Alors que le nombre d'AE inscrits progresse toujours sur un rythme plus soutenu, celui des comptes déclarant un chiffre d'affaires marque légèrement le pas, en lien avec la faible ancienneté dans le dispositif d'un nombre plus important d'AE. Le nombre d'AE économiquement actifs progresse ainsi de 12,0% sur un an, après +15,0% fin décembre 2018. Leur poids dans le total des AE inscrits diminue en conséquence : il atteint 55,6% (58,9% après correction des radiations) après 62,8% un an auparavant. La progression du chiffre d'affaires global reste très dynamique (+22,3%) bien que légèrement plus mesurée que celle enregistrée un an plus tôt (+27,7%). Le chiffre d'affaires global atteint ainsi 4,282 milliards d'euros à fin décembre 2019. Les AE économiquement actifs déclarent un chiffre d'affaires trimestriel moyen de 4 498 euros, en hausse de 9,2% sur un an (après +11,1% l'année précédente, tableau 1 et graphique 2).Un dynamisme toujours soutenu dans les secteurs du transport et des activité immobilièresLe nombre d'AE actifs progresse cette année encore dans tous les secteurs, à l'exception du commerce de détail sur marchés (-4,4%). Cependant le rythme d'évolution est pour une majorité des secteurs plus modéré qu'en 2018.Ainsi, le dynamisme dans le secteur des transports est plus mesuré, même si la progression du nombre d'AE économiquement actifs y reste bien plus importante qu'ailleurs (+36,9%, après +79,6% en 2018). De même, les activités immobilières et celles de nettoyage enregistrent des progressions respectives de 26,9% et 21,2% fin 2019, après +35,8% et +20,1% un an auparavant.Le secteur des autres services personnels ‒ blanchisseries entre autres ‒ est l'un des rares pour lequel l'évolution du nombre de comptes économiquement actifs accélère (+24,6% après +20,5%).Le nombre d'AE économiquement actifs continue de progresser fortement dans les activités financières et d'assurance et celles de conseil pour les affaires mais, là encore, sur un rythme moins soutenu que l'année précédente (respectivement +18,2% après +22,5% et +15,1% après +25,3%).Dans les secteurs de la santé et de la coiffure, quatre auto-entrepreneurs sur cinq déclarent un chiffre d'affaires positif. A l'inverse, ils sont encore à peine un sur trois à le faire dans le secteur des transports, malgré leur progression importante cette année encore.Toujours très dynamique (+22,3%), le chiffre d'affaires trimestriel global progresse dans tous les secteurs. La hausse la plus prononcée s'observe dans le secteur des transports (+68,9%), portée à la fois par l'évolution des comptes et par l'augmentation du chiffre d'affaires moyen (+23,3%).Une croissance dans toutes les régionsL'auto-entreprenariat se développe dans toutes les régions ; les croissances les plus marquées s'observent dans les régions Hauts-de-France (+13,9%), Ile-de-France (+13,8%) et Pays de la Loire (+13,4%). Le chiffre d'affaires, quant à lui, progresse encore plus vite et partout également, avec des pics observés en Ile-de-France (+26,1%) et en région Auvergne-Rhône-Alpes (+24,0%).1 Le champ de cette publication porte sur les micro-entreprises soumises au régime micro-social sous-jacent au dispositif autoentrepreneur institué en 2009 ; elle exclut les micro-entreprises payant leurs cotisations sociales selon le droit commun (encadré).2 Une immatriculation peut correspondre à une ré immatriculation rattachée à un SIREN existant. Il s'agit donc d'une notion différente de celle de la création d'entreprise retenue par l'Insee.
Il y a 4 ans et 311 jours

AEG présente sa gamme d'éclairages de chantiers

Une gamme d'éclairage adaptée à tous les types de chantiers !Électriciens, menuisiers, plombiers, agenceurs, agents et techniciens de maintenance, chacun trouvera l'éclairage LED sans fil PRO 18V le plus adapté à ses besoins. Les solutions d'éclairage AEG tiennent compte des besoins et des contraintes sur les chantiers afin de fournir à tous la meilleure solution. Cette gamme d'éclairage utilise la technologie LED.AEG propose trois formules d'éclairage de chantier compatibles avec les batteries 18V, ainsi qu'un trépied pour ajuster l'angle de diffusion de la lumière. Toutes les batteries AEG PRO Lithium-ion bénéficient d'une protection thermique qui supprime les risques de surchauffes. Avec des cellules intégrées, des soudures double point et une coque renforcée, ces batteries sont robustes pour répondre aux contraintes des chantiers et sont utilisables dans des conditions extrêmes de -18°C à +50°C.BFL 18X - Lampe de zone 2-en-1Avec ses 4 LED haute qualité, ce projecteur possède différents niveaux d'intensité réglables grâce à une molette d'ajustement, pour plus de précision quant à la diffusion de la lumière. Il diffuse jusqu'à 1 200 lumens pour un éclairage optimal. Pratique et ergonomique, cette lampe à tête pivotante peut se détacher du support pour devenir une lampe d'inspection. Avec une construction antichoc, cette lampe est idéale pour résister aux conditions difficiles des chantiers (chutes, chocs…).BPL 18 - Projecteur LED triple panneauGrâce à ses 3 panneaux ajustables avec un éclairage allant jusqu'à 270° et 48 LED haute qualité avec molette d'ajustement d'intensité, ce projecteur diffuse jusqu'à 2 500 lumens. Les utilisateurs pourront orienter les panneaux de différentes manières afin de répondre à leur besoin d'éclairage. Son alimentation hybride se fait soit par batterie Pro 18V soit sur secteur. Aucune peur à avoir, le projecteur ne sera donc jamais à court d'énergie. Sa conception a été pensée afin de résister aux chocs pour assurer un excellent fonctionnement même lors des situations les plus extrêmes.BTL 18 - La lampe torcheVoir loin, quels que soient les travaux et les conditions, tel est le pari lancé par AEG avec cette lampe torche. Sa tête pivotante possède 4 LED haute qualité pour un flux lumineux de 1 500 lumens. Pour plus de précision pour l'utilisateur, la marque a choisi d'ajuster l'intensité via une molette afin de disposer de différents modes d'éclairage tels que le mode « combiné », « intensif » ou encore « projecteur ». Elle fonctionne soit avec une batterie PRO 18V soit sur une prise allume-cigare 12V.LUS-210X - un trépied universelPour pallier aux différents besoins en éclairage sur les chantiers, AEG propose un trépied universel avec une hauteur totale de 2,1 m. Il est idéal pour un éclairage optimal adapté à chaque situation. Nomade et pratique, il ne mesure que 50 cm une fois plié, ce qui facilite le transport et le rangement. Sa conception tripode, avec pieds renforcés résistants aux chocs et son centre de gravité bas, assurent au luminaire une excellente stabilité et évitent les chutes.Son plus : sa réception universelle. Les professionnels pourront y fixer jusqu'à 3 outils de toute marque en même temps (lampe, caméra, laser…).
Il y a 4 ans et 312 jours

Quel chauffage pour une maison neuve ?

Il existe de nombreuses possibilités qui s’offrent à vous en ce qui concerne le chauffage d’une nouvelle maison. Mais votre choix doit se faire d’une manière très prudente, car cet équipement conditionne à la fois le coût de l’énergie ainsi que le confort pendant une longue période. Découvrez dans cet article le type de chauffage adapté aux maisons neuves. Les modes de chauffage courants dans une maison neuve Les solutions les plus fréquentes sont généralement : la pompe à chaleur, le poêle à granulés, les radiateurs électriques et la chaudière à gaz à condensation. La pompe à chaleur La pompe à chaleur aérothermique (PAC) utilise de l’énergie renouvelable c’est-à-dire l’eau, l’air et le sol. Cette solution de chauffage est la plus répandue. Elle se décline sous différentes variantes, à savoir : air/air, sol/eau, eau/eau et air/eau. Pour la pompe à chaleur air/air, par exemple, les calories de l’air à l’extérieur sont insufflées vers le ventilateur qui se trouve à l’intérieur du logement. L’air se chauffe et se répand dans la maison. Parfois, elle peut être reliée à un chauffage central. La pompe à chaleur est sans aucun doute l’option écologique, car elle produit de la chaleur sans rejeter du CO2. Le poêle à granulés C’est un équipement qui assure un meilleur rendement énergétique. Mais cela dépend de la configuration du logement. Son système est basé sur la combustion de granulés ou pellets, qui sont des sources d’énergie tout à fait abordable. Le poêle à granulés est la solution adaptée pour une maison de 100 m². Si votre habitat mesure plus de 100 m², il faudra installer un chauffage d’appoint. Il n’arrive pas à produire de l’eau chaude sanitaire, vous devez aussi le coupler à un chauffe-eau thermodynamique. La chaudière à gaz à condensation La chaudière à gaz à condensation combine en même temps un rendement de 100 % et la consommation énergétique réduite. Comme son nom l’indique, elle est équipée d’un brûleur à gaz qui produit de la chaleur une fois que le gaz entre en combustion. Grâce à ce couplage de panneau photovoltaïque sur le toit, cette même chaleur réchauffe aussi l’eau qui circule dans le circuit de chauffage et l’eau chaude sanitaire en adoptant ce système, vous aurez un retour rapide sur votre investissement. D’ailleurs, cette solution demande également un terrain viabilisé qui est raccordé au réseau gaz naturel. Le chauffage électrique La nouvelle réglementation thermique au sein des maisons neuves a changé. Les niveaux de consommation doivent être au maximum 50 kWh/m² par an. C’est trois fois moins que l’ancienne réglementation RT2005. Ainsi, les radiateurs électriques sont les plus compatibles avec le RT2012, surtout si le bâtiment comporte une source d’énergie renouvelable. En outre, cette solution peu coûteuse est surtout employée dans les régions chaudes où les besoins en chauffage sont très limités. Les critères pour choisir le chauffage d’une maison neuve Voici les différents paramètres qui influencent les performances énergétiques au sein d’une maison neuve. Il s’agit de : L’implantation La superficie et l’agencement L’isolation Le nombre d’occupants Le système de ventilation Étant donné que ces facteurs doivent être pris en compte lors de l’achat d’un chauffage, il est donc nécessaire de faire une étude thermique bien détaillée, de préférence auprès d’un spécialiste. Pour réaliser cela, comptez sur une prime énergie chauffage. Que ce soit pour le chauffage, la production d’eau chaude ou encore l’isolation, une entreprise pourra répondre à vos besoins. En prenant en compte ces différents paramètres qui forment un tout, vous pourrez mieux évaluer si la construction de votre maison est conforme ou non aux normes imposées par la RT 2012.
Il y a 4 ans et 313 jours

Mapei : « Etre une marque qui compte »

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. Christophe Jeauneau, directeur général de Mapei France. [©ACPresse] Où en est Mapei au niveau de son développement en France ? En 2019, Mapei France a réalisé un chiffre d’affaires de 101,3 M€ sur l’ensemble de ses activités. Ce chiffre est en forte progression, sachant que nous avions fini l’année 2018 à 93 M€. Aujourd’hui, nous proposons seize lignes de produits, réparties sur l’ensemble de nos clientèles cibles. Tout d’abord la distribution professionnelle, qui génère 50 % de notre activité. Puis, la distribution en Grandes surfaces de bricolage, qui compte pour 25 %. Les clientèles “adjuvants pour bétons”, “adjuvants pour ciments”, “produits pour travaux souterrains” et “sols industriels et décoratifs” se placent en 3e position et permettent de réaliser les derniers 25 %. Les mortiers constituent une ligne de produits vendue à plusieurs types de clientèles et réseaux de distribution. Je veux que Mapei soit une marque, qui compte dans le paysage du BTP en France.  Côté nouveautés, nous lançons deux gammes de ragréages de sols, l’une dédiée aux soliers, l’autre aux carreleurs. Et, durant le second semestre, une offre inédite de mortiers de réparation verra la jour… Vous avez ouvert un Mapei World, à Paris. Que vous apporte ce lieu ?  Durant l’année 2019, nous y avons organisé 115 évènements, réunissant plus de 800 personnes. Il s’agissait de rencontres thématiques Mapei, techniques, sportives ou artistiques, de réunions co-conduites par nos clients et partenaires, de rendez-vous collaboratifs ou encore de visites de prescription.  Grâce à Mapei World, nous sommes au cœur de Paris, près de nos clients, prescripteurs et des grands projets comme le Grand Paris, auquel nous participons. Mapei World est un lieu de vie, d’échanges et de formation.  Cette année, nous allons encore augmenter notre vitesse de croisière à travers des “afterworks” autour des sujets donnés, organisés chaque mois. Ainsi que des petits déjeuners sur des thématiques transversales pour partager la vision d’intervenants experts. Ceci, avec des partenaires, des clients, des prospects ou encore des architectes… Mapei s’est engagé dans la démarche Fret 21. Quelles sont les modifications que cela entraîne ? Cette démarche nous amène vers de nouvelles exigences, par rapport aux choix de nos prestataires ou à notre organisation interne. Le premier exemple est la mise en place de ferroutage pour le transport, entre nos sites, de nos matières premières. Nous avons fait évoluer notre charte logistique et mis en place des points fixes de dépose.  C’est surtout un engagement environnemental. Notre rôle ne s’arrête pas à la fabrication de produits pour la construction. L’intégration de matériaux biosourcés fait partie de nos préoccupations. Ce n’est pas seulement du marketing, mais une action beaucoup plus profonde… Vous avez intégré la société Tecnopol il y a quelques mois. Pourquoi ce choix ? Il s’agit d’élargir notre offre vers de nouveaux métiers pour rendre la marque encore plus attractive pour les donneurs d’ordre.  Tecnopol est un spécialiste de l’étanchéité pour le bâtiment et l’industrie. Une activité en rapport avec les problématiques que nous traitons avec nos produits minéraux, mortiers de réparation en tête.  Les produits Tecnopol seront disponibles en distribution professionnelle sous la marque Mapei. Mais resteront proposés sous leur marque originelle auprès des spécialistes de l’étanchéité.  Mapei propose des chapes fluides. Mais pas encore en France… Jusqu’à quand ? Dans notre offre “adjuvants”, nous proposons des solutions pour chapes fluides depuis longtemps déjà. Par contre, même si le sujet nous intéresse beaucoup, le lancement d’une offre de chapes fluides n’est pas programmé à court terme en France. Mais il y a des projets en cours au niveau de la R&D… Frédéric Gluzicki