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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

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Il y a 3 ans et 30 jours

La couverture, interface clé entre les éléments extérieurs et le bâtiment

Photo : ShutterStockLa couverture est la partie visible de la toiture qui recouvre la charpente et l'isolation du toit. Elle protège le bâtiment et ses occupants contre les agressions climatiques : la pluie, le soleil, la chaleur, la neige et le vent. Afin de remplir cette fonction, elle doit présenter des caractéristiques telles que l'imperméabilité et la résistance au poids et aux chocs. Pour s'assurer de l'efficacité du système, le choix d'éléments de couverture de qualité est essentiel. Il doit être déterminé en fonction des performances attendues des produits dans la durée, au regard du climat, des règles d'urbanisme et, idéalement, de l'utilisation des ressources locales. Les couvertures en tuiles sont les plus répandues dans l'Hexagone, devant celles en ardoises et les éléments en zinc, mais les bacs acier, les plaques en fibres-ciment ou, dans une moindre mesure, les bardeaux bitumés sont également utilisés pour certains types de bâtiments, industriels et agricoles notamment. Dans un contexte de fluctuations importantes des prix et de raréfaction de certains gisements comme ceux de zinc, on assiste à l'émergence de nouvelles applications pour certains matériaux de couverture - l'aluminium et l'acier notamment. La RE2020, nouvelle règlementation environnementale entrée en vigueur le 1er janvier 2022, met à ce titre l'accent sur la nécessaire optimisation de l'utilisation des matériaux et procédés, ainsi que sur leur durabilité, leur potentiel de circularité et de réemploi - facilité de réparation et de remplacement -, attributs décisifs pour réduire l'empreinte carbone de la couverture sur l'ensemble de son cycle de vie. La RE2020 a également stimulé l'innovation portée par les industriels du secteur. Ceux-ci proposent aujourd'hui des solutions améliorant significativement les performances énergétiques et thermiques des bâtiments, tout en procurant à leurs usagers davantage de confort, en hiver comme en été. Le sarking, par exemple, technique d'isolation de la toiture par l'extérieur, protège ainsi les bâtiments du froid en hiver et permet de limiter les apports de chaleur en été, sans occasionner de perte d'espace dans les combles, devenus de vraies pièces de vie dans de nombreux foyers. On observe également le développement et la démocratisation des écrans de sous-toiture, toujours plus performants, qui bien que non obligatoires dans les DTU, sont très fortement recommandés, car ils permettent de protéger les combles contre les fines particules : poussières, pollens et surtout neige poudreuse. Ils sont d'ailleurs systématiquement proposés par les tenants d'Avis Techniques de procédés de tuiles de terre cuite à pente abaissée, tendance forte portée par le marché et les architectes. Les innovations des fabricants concernent par ailleurs de nouvelles fonctionnalités de la couverture, qui répondent elles aussi aux exigences de la RE2020. Ainsi, la production d'énergie renouvelable au moyen de panneaux photovoltaïques intégrés à la couverture ou surimposés peut couvrir tout ou partie des besoins énergétiques de fonctionnement d'un bâtiment et de ses usagers, mais génère de nouveaux défis de conservation du niveau d'étanchéité de la couverture dans le temps. Dans cette optique, on constate une tendance forte du marché en faveur de la pose de modules photovoltaïques de plus grande dimension. Ces innovations supposent de nouvelles modalités de mise en œuvre, qui doivent être compatibles avec la sécurisation des chantiers de couverture, pour lesquels des guides de sécurité et de prévention sont disponibles. Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 30 jours

Couverture - Actualités réglementaires

Photo : CSTBMéthode simplifiée pour la détermination de l'action du vent selon l'Eurocode 1 P1-4 sur couvertures en bacs métalliques autoportants à joints sertis ou à emboîtement Édité en septembre 2019 et révisé en octobre 2021, le cahier 3 804_V2 du CSTB présente une méthode simplifiée, adaptée à la couverture, pour la détermination de l'action du vent selon la partie I-4 de l'Eurocode 1, qui donne les bases pour l'évaluation de l'action du vent sur les structures des bâtiments. Cette méthode de calcul simplifiée est appliquée aux couvertures en bacs métalliques autoportants à joints sertis ou à emboîtement sous Document Technique d'Application (DTA), pour les configurations de toitures les plus courantes, en France métropolitaine et dans les départements et régions d'outre-mer (DROM). Le document donne notamment des tableaux de valeurs précalculées de dépression de vent “Eurocode”, dans le cas de couvertures de bâtiments courants prismatiques à base rectangulaire et à versant plans ou courbes, en fonction des hauteurs de bâtiment, de la zone de couverture et de la catégorie de terrain (rugosité). La famille concernée fait l'objet de nombreux DTA, principalement pour des procédés de bacs aluminium autoportants. Ces procédés peuvent viser des longueurs de bacs et de rampants de couverture jusqu'à 100 m de long sans joint transversal, et des formes de couverture cintrées complexes à un ou plusieurs rayons de giration. Ils sont notamment utilisés sur des projets d'envergure, à fort impact architectural.  » Lien Cahier 3 804_V2 Révision du NF DTU 40.24 relatif aux couvertures en tuiles en béton à glissement et à emboîtement longitudinal La norme NF DTU 40.24, qui donne les spécifications de mise en œuvre des couvertures réalisées à l'aide de tuiles en béton à glissement et à emboîtement longitudinal, aptes à couvrir tous types de bâtiments à versants plans, en France métropolitaine et climat de plaine, est en cours de révision. La nouvelle version du DTU 40.24 introduit notamment un abaissement des pentes minimales de couverture lorsqu'il est fait usage d'un écran de sous-toiture. Celles-ci pourront ainsi descendre jusqu'à 25 % avec un recouvrement minimal des tuiles adapté à la pente, toujours compris entre 7,5 et 12,5 cm. Il existait auparavant des Avis Techniques (ATec) pour pouvoir viser des pentes plus basses que celles admises par l'ancien DTU 40.24. Ces procédés ayant fait leurs preuves depuis de nombreuses années, la Commission Chargée de Formuler les Avis Techniques (CCFAT) a décidé, en octobre 2019, de sortir du domaine d'application de la procédure d'ATec toute cette famille de procédés. En parallèle des travaux de révision du DTU 40.24, la CCFAT a donc progressivement cessé de recevoir les demandes d'ATec, puis, depuis octobre 2021, annulé tous les ATec existants de cette famille. Le nouveau DTU 40.24 révisé, intégrant les abaissements de pente, est actuellement finalisé et est en cours de mise à l'enquête publique. La sortie du document est prévue en 2023.  » La décision CCFAT Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 30 jours

Anne Jeannolin - La parole aux professionnels

La parole aux professionnels Anne Jeannolin, dirigeante, entreprise de couverture Jeannolin, et conseillère professionnelle, UNA CPC CAPEB Quel est votre rôle au sein de la CAPEB ? Je suis vice-présidente de la CAPEB Savoie et conseillère professionnelle pour les couvreurs au sein de l'Union Nationale des Couvreurs Plombiers Chauffagistes de la CAPEB nationale. À ce titre, je participe aux rénovations réglementaires ainsi qu'à différentes missions. Forte de ses 59 300 adhérents, la CAPEB représente 557 000 entreprises artisanales dans le bâtiment, 651 000 salariés et forme 56 000 apprentis. Par ailleurs, je dirige, depuis 1999, une entreprise savoyarde de charpente, couverture et zinguerie avec mon mari. Quelle est votre relation avec le CSTB ? Je suis membre du GS5.1 Produits et procédés de couvertures pour le CSTB, ce qui me permet de donner un avis de « terrain » et de professionnelle sur les Documents Techniques d'Application avant validation. En quoi les certifications QB17, QB25, QB35 et NF249 constituent-elles une valeur ajoutée pour les artisans ? Les certifications sont un gage de qualité et de confiance. Elles attestent de la performance des produits mis en œuvre puisqu'ils répondent, à minima, aux CGM des DTU. En cela, elles facilitent grandement le choix des produits aux artisans et entreprises du bâtiment. On assiste au développement du sarking. Quels sont ses avantages ? Procédé d'isolation que seuls les métiers de la couverture peuvent proposer, le sarking permet d'optimiser les surfaces habitables, tout en évitant les ponts thermiques lors d'une interface avec l'isolation des murs par l'extérieur. Il n'existe malheureusement que très peu de procédés sous Avis Technique et DTA, notamment en climat de montagne. Les modules photovoltaïques de grande dimension sont de plus en plus répandus. Existe-il une différence majeure entre la pose de panneaux intégrés à la couverture et de panneaux surimposés ? Pour nous, couvreurs, il n'y a aucune différence en termes d'étanchéité, car c'est notre cœur de métier. Cependant, les panneaux en surimposés permettent, selon les configurations, de ne pas être soumis aux problèmes de ventilation minimale demandée en intégré, notamment dans les cas où la réfection de la toiture n'est pas prévue dans son intégralité. Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 30 jours

Innovations – Nouveaux Avis Techniques

Photo : PREFADéveloppement de nouveaux matériaux pour les couvertures métalliques à joint debout Avec la raréfaction de certains minerais et les fluctuations sur les prix des matériaux, des alternatives aux métaux traditionnels ont émergé ces dernières années pour la réalisation de couvertures en feuilles métalliques à joint debout serti, posées sur platelage bois continu (voliges). Ainsi, pour remplacer les matériaux historiques comme le zinc, le cuivre, l'acier inoxydable et le plomb, qui disposent de règles de l'art approuvées et éprouvées, des solutions utilisent de l'acier galvanisé “souple” prélaqué ou de l'aluminium prélaqué. Leur mise en œuvre, si elle est très proche des règles appliquées aux matériaux traditionnels, nécessite quelques précautions liées aux spécificités de ces produits et à leur comportement mécanique et physique. Dans les deux cas, la prise en main par le couvreur et la souplesse du matériau ne sont pas exactement les mêmes, et la résistance au vent du procédé doit être réévaluée. Les soudures sont également plus complexes et techniques sur l'acier prélaqué (décapage, peinture de retouche...) ou l'aluminium (soudure TIG-MIG) que sur le zinc. Ainsi, le traitement des points singuliers nécessite une vigilance accrue et des particularités propres à chaque procédé, avec notamment l'utilisation d'accessoires spécifiques préfabriqués en usine. Enfin, l'acier prélaqué n'est pas résistant par nature à la corrosion sans son revêtement. Un vrai travail sur la souplesse des revêtements prélaqués a ainsi été réalisé pour parvenir à des revêtements capables de résister aux contraintes de pliage très sévères lors du sertissage du joint debout. Toutes les exigences spécifiques à ces produits sont détaillées dans leur Document Technique d'Application. Des surfaces de plus en plus étendues pour le photovoltaïque En matière de photovoltaïque, l'innovation concerne principalement l'augmentation de la taille des modules, qui génère de nouveaux défis pour dimensionner les systèmes de montage. Cette innovation pose donc deux problèmes techniques majeurs. Les reprises de charge sont plus importantes, notamment lorsque les modules sont couverts de neige. Il y a donc un enjeu de dimensionnement des tôles d'acier qui constituent l'élément porteur sous le complexe d'étanchéité servant de support aux modules. Par ailleurs, des modules de grande dimension sont beaucoup plus sensibles aux effets du vent et donc au risque d'arrachement. Ce type d'installation concerne principalement les bâtiments commerciaux et logistiques supérieurs à 1 000 m² qui ont généralement des structures porteuses dimensionnées au plus juste, ne permettant pas de compenser les sollicitations potentielles par des ancrages dans des systèmes massifs. Des systèmes surimposés au-dessus d'une couverture en tuiles ou en ardoises se développent également. Ils nécessitent que les modules photovoltaïques soient fixés sur une ossature, elle-même fixée sur un système qui traverse la couverture pour s'appuyer sur la charpente. L'enjeu est alors que ce système de fixation complexe ne dégrade pas l'étanchéité de la toiture et soit en capacité de résister aux charges de neige et de vent. En savoir plus : DTA Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 30 jours

Hidalgo lance à Paris sa bataille du périphérique

Une semaine après avoir proposé de verdir l'avenue des Champs-Elysées, elle s'est lancée sans le feu vert préalable de l'Etat.L'ex-candidate du PS à la présidentielle est décidée à tourner la page de son score désastreux du 1er tour (1,74%) en reprenant au plus vite l'initiative et les grands dossiers de son second mandat, qui court jusqu'en 2026.Et ce d'autant plus que celui du réaménagement de la Tour Eiffel vient de subir deux coups durs, entre le renoncement à l'abattage d'arbres au pied de la Dame de Fer - pour construire des bâtiments - et l'opposition du préfet de police Didier Lallement en raison des reports de circulation anticipés.L'élue socialiste a donc mis un coup d'accélérateur sur un autre sujet ultra-sensible, la transformation en "boulevard urbain" du périphérique, lui valant d'être immédiatement accusée à droite de mener "une politique anti-banlieue".Dix hectares à gagnerElle en a confirmé la mesure-phare lors d'une conférence de presse : la "voie olympique" réservée aux participants lors des Jeux Olympiques de 2024 (athlètes, officiels, forces de l'ordre, secours) sera ensuite pérennisée et réservée aux bus, taxis et covoiturage.Selon son adjoint (EELV) aux mobilités David Belliard, l'encouragement au covoiturage pourrait permettre de retirer 80.000 véhicules de l'axe circulaire de 35 km.A l'horizon 2030, le périphérique ne comptera plus quatre voies comme le plus souvent, mais trois, a précisé M. Belliard.La place gagnée - 10 hectares - le sera au profit des arbres, avec 20.000 plantations de plus que les 50.000 déjà promises d'ici 2024.L'avènement de la "nouvelle ceinture verte" passera aussi par la rénovation des portes de Paris, appelées à devenir des "places" : cinq doivent être livrées, six engagées d'ici les Jeux, et sept "entièrement réhabilitées" d'ici 2030.Mme Hidalgo veut ainsi offrir aux 500.000 habitants vivant de part et d'autre de cet axe rapide un "cadre de vie plus harmonieux, plus agréable".Sur ce point, sa majorité est toutefois divisée : la "livraison de nouveaux quartiers aux abords" du périph' dérange ses alliés écologistes, qui réclament un "moratoire sur les constructions" jusqu'à la transformation effective en boulevard urbain afin de ne pas exposer "les habitants et les travailleurs" à la pollution, a souligné l'élu EELV Emile Meunier à l'AFP.Autre point de désaccord avec les écologistes : l'abaissement de la vitesse de 70 à 50 km/h que ces derniers réclament. "Ce n'est pas le sujet aujourd'hui, ça viendra peut-être plus tard", a répondu Mme Hidalgo à l'AFP.L'Etat prévient, la droite s'opposeSurtout, bien que le périphérique soit une infrastructure municipale, Mme Hidalgo ne peut se passer de l'accord de l'Etat sur la circulation.Selon la préfecture de police, le périphérique fait ainsi partie des voies pour lesquelles la maire de Paris doit lui communiquer "les projets de modification avant leur mise en œuvre"."Seul le principe d'une voie réservée" pour les JO "a été validé", souligne la préfecture. "Mme Hidalgo en parlera avec le futur gouvernement", répond son premier adjoint Emmanuel Grégoire.Mme Hidalgo, dont le premier mandat municipal avait été marqué par un long combat politico-judiciaire pour transformer en promenade piétonne les voies sur berges de la rive droite, entend mener "toutes les concertations légales" et promet "d'écouter" les automobilistes lors d'un "carrefour des mobilités" organisé en septembre."Pas la moindre étude d'impact n'a été versée au débat pour analyser les conséquences d'une telle décision pour les Parisiens et les Franciliens", a fustigé dans un communiqué son opposition LR.Radicalement opposée au projet, la présidente de droite de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, avait fin 2021 organisé une consultation en ligne dans laquelle 90% des votants s'étaient opposés à la "suppression" d'une voie sur le périphérique. Selon la région, 40% des trajets sont de banlieue à banlieue et 80% des usagers non-parisiens.
Il y a 3 ans et 30 jours

Un architecte thaïlandais conçoit des briques à base de bouses d'éléphants

INSOLITE. L'édition 2022 de la Biennale d'architecture et de paysage de Versailles a notamment mis en lumière l'invention de l'architecte Boonserm Premthada. A travers ce matériau biosourcé, il promeut des constructions plus durables et une vie en harmonie avec les animaux.
Il y a 3 ans et 30 jours

Doctorants au CSTB, ils présentent leurs thèses en 180 secondes

Afin de valoriser les travaux de recherche de ses doctorants, et d'encourager ces jeunes chercheurs à transmettre leurs connaissances, le CSTB leur a demandé de présenter leurs thèses en 180 secondes. Une démarche qui confirme la pluridisciplinarité des projets au cœur de la recherche du CSTB. Gabriel, Merveil, Nada, Miora et Martin… Tous ont un point commun : ils font partie de la cinquantaine de doctorants et doctorantes qui se forment à la recherche, et par la recherche, au CSTB. Leurs cinq projets attestent ainsi de la diversité des domaines de recherche : économie circulaire, qualité de l'air intérieur, rénovation énergétique du parc, décarbonation du secteur de la construction, sécurité et effet des incendies sur les structures. Les doctorants au CSTB Les travaux des doctorants sont menés dans le cadre de collaborations entre le CSTB et des laboratoires académiques. Après trois ans de recherche, co-encadrés par leur directrice ou directeur de thèse et un chercheur du CSTB, ils aboutissent à la soutenance d'une thèse en lien avec les quatre domaines d'actions stratégiques recherche du CSTB : Bâtiments et Quartiers pour bien vivre ensemble, Bâtiments et villes face au changement climatique, Rénovation, Fiabilisation de l'acte de construire & Innovation, Economie circulaire et ressources pour le bâtiment. La diffusion et la validation de ces travaux s'effectuent notamment par des articles et des communications scientifiques. Intégrés aux équipes de recherche du CSTB, ou hébergés chez ses partenaires, ces chercheurs en herbe contribuent à l'émergence de nouvelles pistes de recherche qui participent à la conception des bâtiments et villes de demain. « Ma thèse en 180 secondes » MIORA ROBSON, 28 ans Université d'Orléans Thèse : Résistance du béton des ancrages chimiques sous sollicitation thermomécanique (3ème année) Le cadre pluridisciplinaire et les équipements de pointe du CSTB sont un réel atout. MERVEIL MUANDA LUTETE, 29 ans Nantes Université Thèse : Évaluation des mesures d'adaptation de l'environnement urbain aux contraintes du réchauffement climatique (2ème année) Proposée par le CSTB, ma thèse a suscité l'intérêt de l'entreprise Ingérop. Dans le cadre de cette thèse CIFRE, dispositif qui encadre une collaboration entre une entreprise publique et un laboratoire de recherche, mes travaux ont pour objectif de faire avancer la recherche en lien direct avec les problématiques de l'entreprise sur les questions d'adaptation au changement climatique dans les projets d'aménagement urbain. MARTIN RIT, 27 ans École des Mines de Saint-Étienne Thèse : Évaluation du potentiel de rénovation énergétique d'un territoire dans le cadre de démarches de massification (1ère année) Dans le domaine du bâtiment et de la rénovation, le CSTB reste l'une des références en France. En termes d'encadrement, il me donne notamment la possibilité de m'enrichir des autres projets liés à la thématique de ma thèse. NADA BENDAHMANE, 26 ans École des Mines de Saint-Étienne Thèse : Développement d'indicateurs de pression sur les ressources minérales et métalliques pour une approche performancielle de l'économie circulaire (3ème année) J'ai effectué un stage au CSTB Grenoble pour réaliser des données environnementales par défaut des produits de construction et équipements du bâtiment afin de préparer la RE2020. Eloignée du domaine de la recherche, les discussions avec les autres doctorants et l'accompagnement de l'équipe Environnement du CSTB pendant ce stage m'ont donné envie de poursuivre dans cette voie. Faire une thèse au CSTB permet d'être rapidement confrontée au terrain et d'être constamment en lien avec les besoins concrets des acteurs. GABRIEL ROSSIGNOL, 25 ans Institut Mines-Telecom de Lille Thèse : Impact de la présence de Libérateurs de formaldéhyde dans la formulation des produits ménagers sur la Qualité de l'Air des environnements intérieurs (2ème année) Ma thèse est co-financée par le CSTB et l'ADEME. Etant plus habitué aux manipulations en laboratoire, mon intégration à la direction Santé Confort du CSTB est très enrichissante sur le plan de la recherche pure, et particulièrement sur la transmission et le partage des résultats.
Il y a 3 ans et 30 jours

Les représentants de l’ingénierie appellent Elisabeth Borne et le nouveau gouvernement à réviser l’audit énergétique

Néanmoins, le syndicat Cinov Ingénierie regrette la non prise en compte des recommandations et avertissements exprimés par les acteurs du secteur.Un manque d’anticipation et de préparation dans l’élaboration de l’audit énergétiqueLe syndicat Cinov Ingénierie a pu constater que les apports des experts et professionnels n’ont pas contribué à la construction de cette mesure réglementaire. Alors que les précipitations autour du nouveau DPE ont déjà coûté aux propriétaires près de 9 millions d’euros, les représentants de l’ingénierie ont largement alerté en phase de concertation sur le calendrier de mise en œuvre de l’audit énergétique. Le syndicat estime notamment que la date d’entrée en vigueur de l’audit énergétique réglementaire au 1er septembre 2022 n’est pas un délai suffisant pour former les professionnels nécessaires à la mise en place de cette nouvelle obligation et développer les logiciels correspondants.Pour Julien Garnier, administrateur du syndicat Cinov Ingénierie : « Les éditeurs de logiciels ne sont pas encore prêts et la Direction de l'Habitat, de l'Urbanisme et des Paysages (DHUP) prévoit une période de tests pendant la période des congés d’été. Au sortir d’une difficile période de confinement, réaliser ces phases de tests pour une mise en œuvre en septembre semble mener inévitablement à l’échec. »Outre le délai d’application, le syndicat s’inquiète d’un texte qui laisse entendre que l'objectif de la rénovation d'une passoire thermique est de le convertir en classe D ou E. Ce type de démarche amènera à des travaux de piètre qualité et à l'installation de systèmes de chauffage, qui resteront énergivores. Le syndicat Cinov Ingénierie a proposé de revoir les objectifs, en défendant une rénovation performante en une fois et à coût maîtrisé. Force est de constater que les retours d’experts sur la baisse des consommations énergétiques et des émissions de gaz à effet de serre n’ont pas été pris en considération, du fait des seuils retenus dans ce décret.Il est encore temps de mettre en place une politique de rénovation pragmatique et efficace Pour les représentants de l’ingénierie, la sensibilisation des futurs propriétaires à la performance énergétique de leur bien, constitue un facteur clé de réussite des travaux de rénovation. Au moment où les taux d’emprunt et la facture énergétique augmentent fortement, il est nécessaire de sensibiliser les acquéreurs à une logique de coût global, c’est-à-dire au-delà du prix d’achat, les charges liées à l’énergie, la santé ou la résilience. Alors que les particuliers ont besoin d’un partenaire de confiance pour leur rénovation, les textes réglementaires autour de l’audit énergétique induisent une confusion entre un diagnostic incitatif obligatoire imposé au vendeur et un audit énergétique volontaire, réalisé par un professionnel hautement qualifié. A noter qu’un prestataire en ingénierie qui réalise un audit de qualité permet de sécuriser l'orientation du particulier vers des travaux plus adaptés auprès d'entreprises compétentes, locales et impliquées. L’incitation à la rénovation et sa massification doit être portée par des dispositions claires, des mécanismes simples et lisibles pour les bénéficiaires. Or, le secteur redoute les effets engendrés par les maladresses des textes réglementaires. Le syndicat Cinov Ingénierie appelle ainsi le futur gouvernement, en particulier Elisabeth Borne, Première ministre en charge de la planification écologique, à revenir sur ces dispositions dans un objectif de résultat qualitatif et pérenne.
Il y a 3 ans et 30 jours

Sélection : 5 livres sur la ville

En préparant le numéro 448 « Quelle ville demain ? », la rédaction d'AA a pu ...More about Cet article Sélection : 5 livres sur la ville est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 30 jours

Renouvellement du programme FEEBAT pour former les professionnels du bâtiment aux travaux de rénovation énergétique

Il est aujourd’hui renouvelé par l’ensemble de ses partenaires, acteurs-clés du bâtiment et de l’architecture, de l’environnement, de la formation et de l’enseignement : ministères, institutionnels et organisations professionnelles. La nouvelle convention FEEBAT s’étend jusqu’au 31 décembre 2025, en cohérence avec la 5ème période des CEE en vigueur depuis le 1er janvier dernier.Le programme FEEBAT 2022-2025 est articulé autour de 3 axes : formation initiale, formation continue et intégration approfondie du programme dans l’écosystème national. Il s’agira ainsi d’amplifier les actions déjà engagées, tout en en développant de nouvelles. La rénovation énergétique des bâtiments, priorité nationale, au cœur du programme FEEBATPour répondre aux objectifs et engagements de réduction des consommations d’énergie et des émissions de gaz à effet de serre, réaffirmés dans la loi Climat & Résilience du 22 août 2021, la rénovation des bâtiments est cruciale. Il s’agit de rénover efficacement, massivement et à coût maîtrisé, tout en luttant contre la précarité énergétique et en contribuant à renforcer l’indépendance énergétique de la France.Pour ce faire, accompagner la montée en compétences de tous les professionnels du secteur, pour adapter leurs connaissances, savoir-faire et savoir-être sur la rénovation énergétique performante des bâtiments, est essentiel. C’est tout l’enjeu de FEEBAT : programme national concevant des ressources, modules et parcours de formation dédiés à la rénovation énergétique, à destination des professionnels du bâtiment et de l’architecture, mais aussi des enseignants et formateurs, pour la formation des futurs professionnels.Reposant sur des modalités pédagogiques innovantes et éprouvées, permettant de bénéficier d’une prise en charge totale ou partielle de la formation dans le cadre des CEE, et, pour la formation continue, d’accéder à des signes de reconnaissance officiels, le programme FEEBAT apporte des réponses aux enjeux de formation.FEEBAT, un programme renouvelé jusqu’au 31 décembre 2025Le programme FEEBAT a été renouvelé par arrêté paru au Journal Officiel du 4 mars 20221. Un renouvellement formalisé par une nouvelle convention de mise en œuvre, allant du 1er juillet 2022 au 31 décembre 2025, organisée autour de 3 axes :Axe 1 – Formation initiale :Finaliser la conception et déployer les modules et parcours de formation déjà conçus, sur l’ensemble du territoire (métropole et Outre-mer), auprès des enseignants et formateurs de l’Éducation nationale, des organismes de formation par apprentissage et des écoles d’architecture ;Former ces derniers afin qu’ils utilisent et déploient à leur tour ces ressources pédagogiques auprès de leurs élèves, apprentis et étudiants.Axe 2 – Formation continue :Faire vivre les modules de formation déjà conçus et en concevoir des nouveaux, en lien avec les évolutions réglementaires ;Accompagner le déploiement des formations par la prise en charge des coûts pédagogiques et d’éventuels modes de financement alternatifs.Axe 3 – Intégration approfondie du programme en interne et dans l’écosystème national :Assurer cohérence et mutualisation de l’ensemble des productions et actions réalisées dans le cadre du programme ;Développer les synergies avec des acteurs et/ou programmes connexes, en lien avec la formation initiale et/ou continue dans le domaine du bâtiment.La gouvernance de FEEBAT évolue avec cette nouvelle convention : l’ATEE devient porteur pilote du programme, et plus spécifiquement porteur des axes 2 et 3. L’AQC devient porteur associé, et porteur de l’axe 1.Le programme FEEBAT se voit doté d’un financement global de 42M€ apportés par EDF, SIPLEC et Distridyn. La formation continue des entreprises et des artisans du bâtiment bénéficie d’un soutien plus important, avec une prise en charge de 40% pour les formations commencées à partir de juillet 2022 (versus 30% pour le programme 2018-2022), venant compléter la prise en charge habituelle des organismes de financement de la formation partenaires de FEEBAT.
Il y a 3 ans et 31 jours

Les plaques stabilisatrices de gravier pour zone urbaine Urbangravel de Jouplast séduisent à Chambéry

Avec URBANGRAVEL® de JOUPLAST®, des plaques alvéolées favorisant le drainage naturel et optimal des eaux de pluies, les professionnels du BTP disposent d’une solution fiable et performante qui permet d’aménager facilement des surfaces gravillonnées en milieu urbain. En voici une nouvelle illustration avec le chantier d’un parking de covoiturage sur la commune de Chambéry en Savoie. URBANGRAVEL®, la solution drainante pour parkings en milieu urbainLe covoiturage est de plus en plus prisé pour se déplacer. Cette pratique, qui répond à des exigences économiques, sociales et environnementales, fait aujourd’hui partie des habitudes d’un nombre croissant d’usagers. Afin de diminuer les émissions de polluants et les embouteillages, la commune de Chambéry continue de développer ses infrastructures, dont la dernière est un parking de covoiturage d’une vingtaine de places terminé en 2021. Pour les travaux, menés par Colas, la maîtrise d’ouvrage a choisi les plaques stabilisatrices de gravier URBANGRAVEL® de JOUPLAST®, le spécialiste en produits innovants et durables pour aménagements extérieurs.Faciles et rapides à mettre en œuvre, les plaques stabilisatrices de gravier URBANGRAVEL® de JOUPLAST® sont particulièrement efficaces pour stabiliser le gravier, drainer les eaux de pluie de façon naturelle et optimale et empêcher la dégradation des sols ou l’apparition de trous.Pour le parking de Chambéry, les plaques ont été posées après les travaux de terrassement et de mise en place des bordures délimitant la surface. Les opérations sur chantier n’étant pas sans comporter certains risques professionnels, des équipements adéquats ont été fournis aux ouvriers. Les consignes de sécurité ont également été respectées durant toute la durée des travaux.Haute résistance à la compression Préconisées pour résoudre les problèmes d’imperméabilisation des sols, et donc les risques d’inondations ou de saturation des réseaux, les plaques alvéolées URBANGRAVEL® de JOUPLAST® assurent à la fois un parfait maintien des graviers et une résistance remarquable à la compression, autorisant le passage de véhicules lourds.Les parois de forte section des cellules alvéolaires garantissent la résistance à la pression, exercée sur le gravier lors de la circulation sur parkings à forte rotation. Couplées à la souplesse de la matière utilisée (polyethylène recyclé), les parois assurent une résistance remarquable à la friction et à la rotation des roues. À combler avec du gravier 8/16 mm, les plaques URBANGRAVEL® de JOUPLAST® supportent ainsi jusqu’à 600 tonnes au m2, soit l’équivalent de 30 camions remplis. Elles peuvent être utilisées pour le passage de véhicules avec une charge à l’essieu de 20 tonnes, et sont compatibles avec les voies accès pompiers.Système d’assemblage exclusifFabriquées en France, les plaques URBANGRAVEL® structurées en nid d’abeilles sont simples et rapides à mettre en œuvre. Elles sont à même de répondre aux exigences de chantiers de grande envergure. En polyéthylène 100 % recyclé, elles permettent d’installer durablement une surface stable et perméable ne générant ni flaques, ni ruissellement, ni ornières, pour les aménagements gravillonnés. Antidérapantes, légères et faciles à découper avec une disqueuse, elles disposent également d’un système d’assemblage exclusif sur les 4 côtés qui assure le bon maintien des plaques entre elles, et empêche la désolidarisation lors de fortes charges de circulation.Plots de marquageLes plaques stabilisatrices de gravier URBANGRAVEL® peuvent être associées à des plots de marquage blancs ou gris JOUPLAST®, vendus séparément, pour délimiter aisément un espace (des places de parking, par exemple).Plaque stabilisatrice de gravier en milieu urbain URBANGRAVEL® JOUPLAST®Matière : polyéthylène recycléCouleur : grisDimensions utiles : 591 mm x 378 mm x 40 mmSurface utile : 0,223 m² , soit 4,484 plaques pour 1 m²Poids : 0,850 kg soit 3,63 kg /m²Volume/poids gravier par m2 : 33 litres - 48 kgRésistance en compression à vide : 112 T/m² (soit 3 camions remplis)Résistance en compression remplie : 600 T/m² (soit 30 camions remplis)Résistance aux températures : entre - 30 °C et + 60 °CConditionnement : 104 pièces/palette, préassemblées par 4Points de vente : négoces en matériauxPlot de marquage JOUPLAST®Couleurs : blanc/grisConditionnement : 40 pièces/cartonPoints de vente : négoces en matériaux
Il y a 3 ans et 31 jours

Kengo Kuma - Portrait

Né en 1954, Kengo Kuma est diplômé d'architecture de l'université de Tokyo en 1979. Il crée son agence au Japon en 1990, puis en France en 2008.  Sur notre territoire, on doit à Kengo Kuma le Frac Provence-Alpes-Côte d'Azur à Marseille, la cité des arts et de la culture de Besançon, le conservatoire de musique et […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 31 jours

L’emploi et la formation en pleine évolution dans le Bâtiment en Ile-de-France

D’après une étude de la Cellule Economique Régionale de la Construction Ile-de-France et de l’Observatoire des Métiers du BTP, le secteur compte, en 2020, 137 772 salariés dans les métiers de production du Bâtiment en Ile-de-France. 65,4% ont un statut ouvrier, dont la moitié sont qualifiés ou très qualifiés. 12,4% ont un statut cadre et 22,3% sont ETAM. Les entreprises recherchent avant tout des personnes motivées et passionnées. Le Bâtiment est ouvert à tous les profils, avec des métiers accessibles à tous les niveaux de formation. 84% des salariés sont en Contrat à Durée Indéterminée. Le Bâtiment est ainsi un secteur créateur d’emplois stables et garant de la cohésion sociale, où l’on peut gravir rapidement les échelons et devenir chef d’entreprise. C’est une réelle opportunité pour toutes et tous, qui offre de formidables perspectives de carrière, car ce secteur a de l’avenir.Pour faire face aux différents enjeux et évolutions, de nouvelles compétences sont recherchées par les entreprises du Bâtiment, notamment en matière environnementale (rénovation énergétique, recyclage des déchets, isolation thermique…), et dans le domaine du numérique (BIM, Intelligence Artificielle, maquettes 3D, domotique...). C’est pour cela que les entreprises investissent dans la formation de leurs collaborateurs. En effet, 28 850 salariés des entreprises de Bâtiment de la région ont suivi des formations continues au cours de leur parcours professionnel en 2020.Du côté des plus jeunes, 15 822 franciliens sont en formation initiale dans les métiers du Bâtiment sur l’année 2020-2021, dont 41% en apprentissage. Le recours à l’alternance est fortement plébiscité par les chefs d’entreprise du Bâtiment, qui s’engagent pour la continuité du savoir-faire de leur métier, et par les apprentis, pour qui cette voie représente une vraie passerelle vers l’emploi. C’est pourquoi la FFB Grand Paris Ile-de-France, la FFB Ile-de-France Est et la FFB Région IDF (78-91-95) travaillent en étroit partenariat avec les Centres de Formations d’Apprentis.Le besoin annuel de nouveaux collaborateurs dans le secteur du Bâtiment en Ile-de-France s’élève à 10 750 équivalents temps plein pour les métiers de production sur la période 2020-2026. Pourtant, 51,9% des recrutements sont jugés difficiles par les entrepreneurs sur tous les métiers du Bâtiment. Nos fédérations oeuvrent donc quotidiennement pour faire connaître et valoriser les métiers du secteur.Ces chiffres sont issus du Tableau de Bord Emploi-Formation réalisé par la Cellule Economique Régionale de la Construction Ile-de-France et l’Observatoire des Métiers du BTP.
Il y a 3 ans et 31 jours

La métropole de Lyon substitue un "tramway express" à son projet de télécabine abandonné

Ce tramway partira de la station Jean-Macé (7e arrondissement de Lyon) pour rejoindre la gare d'Alaï (Tassin-la-Demi-Lune) "en moins de 20 minutes" sur un parcours en partie enterré qui passera sous le plateau du 5ème arrondissement, entre la Saône et Ménival (ouest), explique le Syndicat mixte des transports pour le Rhône et l'agglomération lyonnaise (Sytral Mobilités) dans un communiqué.La vitesse moyenne des rames atteindra les "70 km/h en ligne droite" sur cette ligne qui doit assurer entre "45.000 et 60.000 voyages par jour".Son coût devrait s'élever à 750 millions d'euros, soit "2 fois moins cher" que la ligne de métro E un temps envisagée sur un parcours similaire par l'ancienne majorité dirigée par Gérard Colomb, a indiqué Fabien Bagnon, vice-président voirie et mobilités actives à la métropole de Lyon.Cette ligne doit remplacer un projet de télécabine qui avait auparavant les faveurs des autorités écologistes pour desservir d'ici 2026 plusieurs communes de l'ouest lyonnais, avant d'être abandonné face à la "forte opposition" de riverains et élus, a annoncé la semaine dernière Bruno Bernard, président écologiste de la métropole de Lyon et de l'autorité organisatrice des transports."Notre objectif est de permettre à un maximum d'habitants de la Métropole de Lyon de pouvoir bénéficier d'un accès aux transports en commun adaptés à leur territoire", a déclaré M. Bernard sur son compte Twitter.De son côté, le maire LR de Tassin-la-Demi-Lune Pascal Charmot, fortement opposé au télécabine, a regretté le manque d'ambition de ce nouveau projet, évoquant "un demi-métro, pour un demi-budget, et une demi-ligne comparé au projet initial de métro jusque Part-Dieu"."On laisse les habitants de Tassin-la-Demi-Lune et plus largement de l'ouest lyonnais, se débrouiller des embouteillages qui ne seront qu'accentués avec un tramway en surface, à faire passer en plein milieu de la circulation !", a-t-il encore fustigé.Comme pour le télécabine, une large concertation sous l'égide de la Commission nationale de débat public est prévue à partir de fin 2023. La fin des travaux est envisagée à l'automne 2031.
Il y a 3 ans et 31 jours

La transformation de bureaux en logements, une solution qui peine à décoller

Boulevard Morland en plein coeur de la capitale (IVe arrondissement), l'immeuble massif des années 60 qui abritait la préfecture et des services municipaux a fait peau neuve.Pour en tirer -entre autres usages- quelque 200 logements (dont 40% de logements sociaux), il a fallu des travaux conséquents. "On n'a conservé que la structure en béton. On a refait les isolations, les faux plafonds...", détaille Julien Desenepart, directeur opérationnel chez le promoteur du projet, Emerige.Plusieurs autres chantiers emblématiques de transformation de bureaux ou de commerces en logements sont en cours dans la capitale, comme l'ancien siège des Hôpitaux de Paris (AP-HP) ou l'ancien magasin Tati Barbès.Paris en pointeCauses de ce succès : d'une part le développement du télétravail, qui fait baisser la demande pour les locaux de bureaux. Et d'autre part les normes environnementales.L'objectif "zéro artificialisation nette" (ZAN), inscrit dans la loi, tend à favoriser la réhabilitation des bâtiments ou des friches plutôt que d'accentuer l'étalement urbain.Le groupe Action Logement, co-géré par patronat et syndicats, a ainsi créé en 2020 une foncière de transformation immobilière (FTI), qui doit y dédier 1,5 milliard d'euros dans les prochaines années.Elle est par exemple chargée de créer 91 logements dans l'ancien siège de l'Urssaf Lorraine, un immeuble haussmannien en centre-ville de Metz."Dans cette volonté de limiter l'artificialisation des terres et l'empreinte carbone dans la construction, la reconquête de ces espaces vacants ou mal occupés est intéressante, notamment dans les zones denses", témoigne Kevin Maruszak, directeur général de la FTI.Selon une estimation du ministère du Logement, depuis 2013, quelque 5.300 logements autorisés par an étaient auparavant des bureaux. Soit environ 1,2% des permis de construire.Mais à Paris, ville très dense où le foncier est aussi rare que cher, ce chiffre dépasse les 12%."Il y a un gisement extrêmement important en Ile-de-France", se félicite Jean-Philippe Dugoin-Clément, vice-président (UDI) de la région francilienne, chargé de l'urbanisme."On estime qu'on va avoir 300.000 mètres carrés qui vont se libérer par an, avec un gisement antérieur qui était de 4 millions. Donc il y a une marge qui est absolument énorme", dit-il.Les promoteurs d'immeubles de bureaux, de leur côté, mettent en avant la "réversibilité" de leurs constructions, c'est-à-dire la possibilité de changer leur usage à l'avenir, comme pour la future Tour Triangle à Paris.D'importants obstacles surtout économiquesPour les propriétaires de bureaux, souvent de grandes entreprises gestionnaires d'actifs, il est plus intéressant, économiquement, de louer des bureaux que des logements. Et accepter leur transformation signifie souvent acter une perte de valeur."Un immeuble de bureaux qui fonctionne mal, son propriétaire va quand même le garder, jusqu'à ce qu'il arrive au point de rupture; et là, c'est la loi du marché qui s'impose", explique Hideki Kurata, dirigeant pour la France de la foncière résidentielle américaine Greystar.Les travaux peuvent également être onéreux. Les immeubles des années 1970-80, explique Kevin Maruszak, "sont des bâtiments très épais, qui peuvent aussi être pollués, notamment avec de l'amiante."Une tour aura aussi beaucoup d'espaces "aveugles", sans fenêtre, et donc difficiles à transformer en pièce à vivre sans perdre en surface.Les élus locaux peuvent aussi être réticents, car des logements rapporteront moins d'impôts locaux que des bureaux, et entraîneront un besoin en nouveaux services publics coûteux : écoles, crèches..."Il y a un intérêt +macro+ à le faire. Parce que coûts moindres, bilan énergétique moindre, crise du logement... Mais si on se place d'un point de vue local, il n'y a pas forcément d'intérêt économique, pour un maire, à le faire. Il peut même y avoir des inconvénients", confie Jean-Philippe Dugoin-Clément.Les pouvoirs publics ont aussi pris des mesures pour favoriser ces changements. La loi Elan de 2018 permet aux chantiers de transformation de bureaux en logements de déroger à certaines règles, notamment les quotas de logements sociaux.
Il y a 3 ans et 31 jours

Parkings d’architectes et en voiture Simone ?

Le parking fait partie de nos vies à tel point que les architectes en construisent encore des grands, parfois de très beaux, un peu partout en France. Des bâtiments d’évidence faits pour durer. L’urbanisme dédié à la voiture jusqu’en 2070, une fatalité ? Et si cela dépendait au fond de la voiture plus que du garage ? […] L’article Parkings d’architectes et en voiture Simone ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 31 jours

Entendu à New-York, carton rouge pour Thierry Henry ?

A quelques jours de la finale de la ligue des champions de football qui se tient le 28 mai 2022 au stade de France, l’ancien attaquant de l’équipe nationale de football, Thierry Henry s’est offert le luxe, dans une émission américaine, d’une mise en touche en apparence des plus condescendantes envers la ville de Saint-Denis […] L’article Entendu à New-York, carton rouge pour Thierry Henry ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 31 jours

Le CSTB accompagne les collectivités et leurs bureaux d'études pour leurs passations de marchés avec un cadre contractuel actualisé et exhaustif

Le CSTB a travaillé - aux côtés des acteurs de la commande publique, de la maîtrise d'ouvrage, de la maîtrise d'œuvre publique et privée et des professionnels - à l'élaboration d'un référentiel clair et exhaustif couvrant les domaines de l'eau et de l'assainissement. Le contenu des fascicules 70-1 et 71 du CCGT, applicables aux marchés publics, a été actualisé et fortement enrichi, avec une écriture poussée de l'état de l'art et une prise en compte des évolutions normatives/réglementaires et techniques : Intégration des évolutions techniques et technologiques et ouverture à l'innovation Intégration de l'économie circulaire Définition de points de contrôle des ouvrages pour une réalisation fonctionnelle et conforme Modèles de CCTP pour une appropriation plus rapide et une identification des points sensibles de vos marché En savoir plus : Consultez le fascicule 70-1 Consultez le fascicule 71 Les fondamentaux de la réglementation Le financement public en matière d'assainissement ou d'adduction d'eau potable impose au titulaire des marchés de s'assurer des performances déclarées des produits. Lorsqu'un produit est utilisé, il doit être conforme à une ou plusieurs normes et cette conformité doit être prouvée. Un produit certifié NF ou QB répond en tout point à ces exigences qui sont vérifiées, en continu, par un organisme tiers sur les lieux de production ou de mise en œuvre. Sans ce marquage, c'est à l'acheteur public de procéder à des contrôles à réception des produits sur chantiers. Les marques de référence dépendent des ouvrages et produits utilisés : Fascicule 70-1 : NF 442, NF 390, QB 09 Fascicule 71 : NF 055 Sans oublier les Avis Techniques pour les procédés non traditionnels Vous n'êtes pas sûrs que vos CCTP soient conformes aux exigences réglementaires ? Vos critères de sélection des produits sont-ils adaptés aux usages ? Avec Bati CCTP Rédigez ou contrôlez vos CCTP en toute simplicité
Il y a 3 ans et 31 jours

Kit d’occultation Clovision – Une installation en un temps record

L’aménagement du jardin passe souvent par l’installation d’une clôture. Indispensable, elle permet de délimiter et de sécuriser l’espace de vie autour de la maison mais aussi de préserver la tranquillité et l’intimité des occupants vis à vis du voisinage ou de la rue. Son aspect esthétique et décoratif est de plus en plus privilégié pour embellir cet espace de vie, si important lorsque les beaux jours reviennent. Pour occulter le jardin en toute simplicité, Clovision, une marque française située en Gironde, propose une solution innovante : un kit d’occultation pour clôtures en lames PVC 100 % recyclables. 9 minutes. C’est le temps qu’il faut à un seul et unique poseur pour installer le kit d’occultation Clovision sur une section de 2,5 m. La création de ce système breveté de support de lames a permis à l’entreprise de répondre à une attente précise dans le domaine de la pose de clôture : la rapidité d’installation. Aucun outil n’est nécessaire pour fixer le kit d’occultation. La pose est accessible à tous et ne demande pas d’avoir accès aux 2 côtés de la clôture. Disponible en 5 hauteurs et 5 couleurs au choix (gris, noir, bambou, vert et blanc), le kit d’occultation Clovision est compatible avec la plupart des panneaux rigides en acier du marché. Un montage express : Clipser, glisser et c’est terminé ! Le kit d’occultation Clovision est un système performant breveté qui permet de créer en toute simplicité un espace protégé et chaleureux, et d’occulter la vue des regards indiscrets, tout en protégeant du vent. Un seul poseur est nécessaire pour installer en seulement 9 minutes un intervalle de clôture de 2,5 m avec le kit d’occultation Clovision. Très simple à poser sur la plupart des panneaux en acier du marché, il ne nécessite pas d’avoir accès aux 2 côtés de la clôture. Il suffit d’accrocher le supports de lames aux pieds des panneaux, de faire glisser les lames PVC occultantes à travers le panneau puis de les insérer dans les supports de lames. Un jeu d’enfants ! Une solution efficace et sans entretien Le kit d’occultation Clovision, c’est l’assurance d’une clôture esthétique et discrète associée à la robustesse et la solidité des lames PVC inaltérables à double profils. Fabriquées en France, elles n’ont pas besoin d’entretien spécifique après leur installation. 100 % recyclable, le PVC est un matériau élégant et très résistant parfait pour occulter durablement le jardin. Des essais, les plus rigoureux et d’une durée de 18 mois, sur les matières premières et produits finis ont été effectués avant la commercialisation du kit d’occultation Clovision. Ces tests ont permis d’obtenir un produit haut de gamme, résistant et garanti 5 ans.
Il y a 3 ans et 31 jours

Yvelines : 50 millions d’euros investis dans le nouveau Plan vélo 2022-2027

Le département des Yvelines a mis en place un nouveau programme pour développer le réseau cyclable sur le territoire.
Il y a 3 ans et 31 jours

Nomination d'Elisabeth Borne : Les dossiers prioritaires pour baisser la consommation d'énergie sur la table de la Première ministre

S'appuyant sur ses 40 propositions à impact pour des économies d'énergie réelles, le groupe rappelle les fortes attentes du secteur de l'efficacité énergétique et de ses bénéficiaires - des particuliers aux entreprises en passant par les collectivités locales - envers le nouveau gouvernement qui devrait compter dans ses rangs un ministre de la “planification énergétique” et un ministre “chargé de la planification écologique territoriale”. Les dossiers pour baisser la consommation d'énergie priorisés par le contexte géopolitique Le nouveau gouvernement devra juguler les conséquences du choc énergétique provoqué par la guerre d'Ukraine : un enjeu socio-économique majeur, tant la hausse des tarifs de l'énergie impacte le pouvoir d'achat des ménages et les budgets des collectivités, industries et entreprises. Pierre Maillard, Président Directeur Général du groupe Hellio, juge de bon augure qu'Elisabeth Borne, connaisseuse des dossiers phares du secteur de l'énergie, en tant que Première ministre, se voit confier la responsabilité de la planification écologique. Cette orientation avait été annoncée par le candidat Emmanuel Macron dans l'entre-deux-tours de l'élection présidentielle. A l'aube des élections, le groupe Hellio a transmis aux anciens et futurs décideurs politiques ses 40 propositions à impact sur la maîtrise de l'énergie pour répondre à l'urgence sociale et climatique. “Si l'on veut atteindre 700 000 rénovations de logement par an, lutter contre la précarité énergétique et baisser de plus de 32,5 % notre consommation d'énergie - et notamment fossile - d'ici 2030 comme le supposent nos objectifs nationaux et européens, le compte aujourd'hui n'y est pas. L'instabilité des aides financières pour réaliser des travaux d'économies d'énergie en est une des illustrations : la crise du marché des Certificats d'Économies d'Énergie, estimés à 5 milliards d'euros de primes versées annuellement, est un des dossiers à résoudre de toute urgence par le nouveau gouvernement d'Elisabeth Borne. Autour de ces orientations, le groupe Hellio entend durant ce quinquennat être aux côtés des pouvoirs publics pour témoigner de la réalité du terrain, des solutions éprouvées et ainsi contribuer à l'accélération de la transition écologique et la rendre accessible à tous les Français ”, déclare Pierre Maillard, Président Directeur Général du groupe Hellio. Quels dossiers prioritaires pour baisser la consommation énergétique ? Au regard des réformes ambitieuses du dernier mandat, le groupe Hellio souligne toutefois l'insuffisance des financements, de l'accompagnement des ménages et de la formation des artisans pour atteindre les objectifs de rénovation énergétique des bâtiments. Quatre priorités pour instaurer un nouveau modèle français de l'efficacité énergétique semblent devoir être étudiées par le nouveau gouvernement.Les financements : Ré-arbitrer le niveau des aides financières dédiées aux travaux d'économies d'énergie au regard des objectifs de plus de 32,5 % de baisse de la consommation d ‘énergie de la France d'ici 2030. Cela suppose inévitablement une réhausse de l'obligation de la 5ème période de la plus importante des aides existantes, les Certificats d'Économies d'Énergie (CEE) afin d'enrayer la crise de la filière, mais également de réfléchir à une loi de programmation quinquennale des aides dès 2023 pour assurer une visibilité au secteur.Rénovation globale : Alors que moins de 70 000 rénovations globales des logements sont réalisées par an, le modèle économique est loin d'être suffisant : Expérimenter un modèle innovant d'accompagnement et de tiers financement de la rénovation globale et performante permettrait potentiellement de changer d'échelle.La réforme MonAccompagnateurRénov qui fait l'objet d'un projet de décret actuellement en cours de publication ne doit pas freiner la dynamique.Formation professionnelle : Accompagner l'offre de formation professionnelle pour préparer aux métiers d'avenir et conforter une véritable filière de l'efficacité énergétique est indispensable pour faire face à la pénurie de main d'œuvre.Économie circulaire : Orienter le choix des artisans en faveur de matériaux et équipements vertueux issus de l'économie circulaire et des circuits courts par un taux réduit de TVA permettrait d'accélérer la décarbonation et la résilience de notre économie.
Il y a 3 ans et 31 jours

À Versailles, la Biennale d'architecture et de paysage fait face à l'urgence climatique

CULTURE. La Région Ile-de-France et ses partenaires ont donné carte blanche à des architectes et paysagistes pour imaginer des expositions qui soient sources de solutions pour un monde plus durable. À travers plusieurs sites de la ville de Versailles, le public découvre des projets innovants.
Il y a 3 ans et 31 jours

Un café sur fond d’urbanisme avec Louis Giscard d’Estaing

Annoncé par VSD début mai 2022, le philosophe de Chroniques a conçu et animera une série d’émissions de philosophie pour TV5 Monde. Au détour d’une réunion dans les locaux de la chaîne de télévision, Tom Benoit a croisé Louis Giscard d’Estaing. De l’urbanisme autour d’un café. Chronique du philosophe. Si les grands travaux ont su […] L’article Un café sur fond d’urbanisme avec Louis Giscard d’Estaing est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 31 jours

Pour les 190 ans du Groupe Blanchon, rencontre avec Guillaume Clément, Président Directeur Général

Batinfo : Pourriez-vous nous présenter le Groupe Blanchon ?Guillaume Clément : Le Groupe Blanchon a été fondée il y a 190 ans afin de fournir des solutions fiables pour la protection, la décoration, l'entretien et la rénovation du bâtiment, de l'habitat et des lieux de vie, avec un focus particulier sur le bois utilisé en intérieur (parquet, boiseries, meubles) et en extérieur (terrasses, bardages). Le groupe développe, fabrique et commercialise une vaste gamme de vernis techniques, de produits de finition et de peintures, en restant toujours à la recherche de nouvelles innovations. Nous sommes partenaires des utilisateurs, des négoces bois et matériaux et des grossistes peinture, des industriels de revêtements sols et des grandes surfaces de bricolage.En raison de notre longue histoire en France nous restons attachés à une production locale de qualité. Nous comptons actuellement 420 collaborateurs dans le groupe dont 250 en France et nos 3 plus grandes usines se situent en région Rhône-Alpes. Nous vendons plus de 10000 références, à plus de 8500 clients dans 55 pays, avec une présence forte en Europe. Notre très puissante implantation en France nous permet de nous développer à l’international avec ambition et détermination. Le développement international reste un enjeu stratégique pour l'entreprise et nous projetons de réaliser à terme 50% de notre chiffre d'affaires à l'export. En 2020 nous avions un chiffre-d'affaires de 75 millions d'euros, en 2021 nous avons dépassé les 100 millions de CA et nous nous sommes donnés un objectif de 150 millions de CA en 2025.Batinfo : Nouveaux produits verts, développement en Europe, nouvelle identité graphique... ce 190e anniversaire est-il le début d'une nouvelle ère pour le groupe ?« Protéger c’est dans notre nature » depuis 190 ans...Le Groupe Blanchon a évidemment rencontré plusieurs défis depuis sa création et notamment avec les changements en lien avec la prise de conscience écologique de la fin du XXème siècle. L'arrêt des solvants dans les années 90 a par exemple été un challenge pour nous qui produisons des vernis et des peintures. Mais cela nous a amené à développer notre technologie biosourcée, à lancer une démarche RSE et aujourd'hui plus d'une centaine de nos produits bénéficient de l'Écolabel Européen.Depuis de nombreuses années maintenant, nous nous sommes engagés dans une démarche éco-responsable pour limiter autant que possible notre empreinte environnementale. Nous misons notamment sur l'éco-conception en privilégiant des formulations en phase aqueuse, des matières premières renouvelables et des produits à faible émissions de Composés Organiques Volatiles (COV). Nous produisons dans des usines efficientes, propres et respectueuses de l'environnement, sans rejets dans l'eau, l'air ou le sol, en veillant à un bilan carbone mesuré et en réduisant ou supprimant de façon drastique les solvants. Les consommateurs ont également un rôle à jouer dans cette démarche écologique et c'est pourquoi nous fournissons des conseils sur la bonne utilisation des produits, des recommandations données aux utilisateurs pour protéger l'environnement et nous incitons à privilégier la rénovation plutôt que le remplacement. Valoriser les emballages recyclables, le tri sélectif et le retraitement des déchets en filière spécialisée sont évidemment des points clés pour limiter notre impact sur l'environnement de la création de nos produits à leur fin de vie.Le développement à l'international relève aussi du défi pour une entreprise française privilégiant la production locale. Nous nous développons en Angleterre, en Pologne, en Belgique, aux Pays-Bas, en Italie et partout en Europe. Pour l'instant 60% de notre chiffre-d'affaires vient de la France et 40% de l'Europe mais nous créons de nouvelles équipes régulièrement pour augmenter notre présence à l'étranger.Mais le futur s'avère aussi jonché d'obstacles. Comme dans beaucoup de métiers liés à l'artisanat ou au BTP, attirer des jeunes talents est difficile. Nous devons trouver une solution pour rendre nos métiers à nouveau attractifs. Face à ce défi que représente le recrutement et la conservation du savoir-faire des artisans qui travaillent avec nos produits, créer une académie pour les professionnels puis pour les particuliers dans un second temps peut être une solution à envisager.Batinfo : Quelles sont vos ambitions pour l'avenir ?Pour assurer la pérennité du Groupe, et relever les enjeux environnementaux de notre planète, une évidence : proposer des produits toujours plus performants, éco-responsables et consolider la présence de nos marques sur le plan international. Notre modèle économique, bâti sur 3 activités complémentaires –le grand public, les professionnels du bâtiment et les fabricants industriels de revêtements de sols- doit continuer à s’exporter partout dans le monde. Nous avons accéléré nos implantations en Belgique et aux Pays-Bas avec les acquisitions de Ciranova et de Rigo Verffabriek au cours des 10 derniers mois. L’Europe est notre maison commune et le Groupe Blanchon a vocation à en devenir l’un des leaders incontournables dans l’offre de solutions durables de produits de protection pour les matériaux bois notamment.
Il y a 3 ans et 31 jours

Dernière œuvre posthume d’Oscar Niemeyer inaugurée en France

On retrouve le style emblématique de Niemeyer : organique et sensuel. [©Château La Coste] Le Château La Coste vient d’inaugurer un nouveau pavillon dessiné par le grand architecte brésilien Oscar Niemeyer (1907-2012). Petit plus : c’est son dernier projet architectural. Le Brésilien considérait ce pavillon comme son ultime cadeau à la France, un pays qui lui était cher. En effet, il s’était exilé à Paris pour échapper à la dictature militaire avant de rentrer à Rio de Janeiro. Le projet de pavillon pour Château La Coste remonte à 2010. Déjà âgé de 103 ans, Oscar Niemeyer est alors approché pour dessiner un bâtiment pour cet écrin provençal. L’idée de créer un projet au cœur d’un champ de vignes lui plaisait beaucoup. Il faut plus d’un an à l’architecte pour achever les dessins et trouver l’emplacement idéal. En 2011, son équipe entame les visites de terrain. Terroir viticole et gastronomie de haut vol Construit au cœur du vignoble, le pavillon Oscar Niemeyer est un édifice en béton blanc tout en courbes, qui épouse le relief du coteau provençal où il est implanté. [©Château La Coste] « J’ai pris énormément de plaisir à travailler sur ce projet. Le lieu est magnifique. C’est un environnement sain et paisible », confiait l’architecte avant son décès. « Pour lui le vin était un symbole fort de la présence de l’homme sur terre », indique-t-on au Château. Situé entre le Parc naturel régional du Luberon et Aix-en-Provence, ce domaine provençal de 200 ha a ouvert les portes de ses galeries d’art au public en 2011. « Je voulais y créer une construction légère, en harmonie avec le paysage et la végétation. Se promener autour de ce bâtiment, parfaitement adapté à l’endroit, sera une joie pour les visiteurs », promettait Oscar Niemeyer. Les projets architecturaux et la beauté du parc ont aussi inspiré de nombreux artistes, qui exposent leurs œuvres. Ce vignoble biologique associe à la fois terroir viticole et gastronomie de haut vol. Un édifice tout en courbes Dans le point d’eau, devant la structure, se reflète la façade, créant ainsi un jeu de lumière poétique et apaisant. [©Château La Coste] Construit au cœur du vignoble, le pavillon Oscar Niemeyer est un édifice en béton blanc tout en courbes, qui épouse le relief du coteau provençal où il est implanté. On retrouve le style emblématique de Niemeyer : organique et sensuel. Dans le point d’eau, devant la structure, se reflète la façade, créant ainsi un jeu de lumière poétique et apaisant. Cette bâtisse accueille un espace d’expositions de 380 m² et un auditorium de 80 places au sein d’une structure cylindrique de 140 m². On y accède par une passerelle donnant sur une grande façade incurvée en verre. Château La Coste2750 route de La Cride13610 Le Puy-Sainte-Réparade
Il y a 3 ans et 31 jours

101 épopées de la construction française

Découvrez les “101 épopées de la construction française”. [©DR] A travers l’ouvrage “101 épopées de la construction française”, Xavier Bezançon, Daniel Devillebichot, Laurence Francqueville et Max Roche apportent leur contribution au grand récit de la construction dans l’Hexagone. Les auteurs ont souhaité communiquer leur passion à tous leurs lecteurs, y compris, et surtout, aux plus jeunes. Et, qui sait, leur donner envie de participer à leur tour aux prochaines épopées. De mémoire d’homme, on a toujours bâti. Là où les habitations étaient encore fragiles et que les chemins se sont effacés, d’innombrables vestiges témoignent encore de la longue histoire de la construction. De grands édifices collectifs : palais, temples, églises… nous viennent d’un passé parfois très lointain. Avec l’époque moderne, ce sont des ouvrages en général fonctionnels qui ont jalonné le paysage et continuent chaque jour de le transformer… Les inventions françaises Encore méconnue, cette histoire nous est racontée, ici, par des professionnels du secteur qui en ont été les acteurs et les témoins. Dans ces pages très illustrées, les auteurs nous montrent que les bâtisseurs ont toujours manifesté, en France, un génie particulier. On sait, par exemple, que c’est en France que le système ogival a vu le jour, permettant d’élever des cathédrales gothiques. Mais c’est encore là que Pierre-Paul Riquet a su recourir aux écluses pour concevoir un canal géant. Et qu’en 1670, il a réalisé le premier barrage d’Europe. C’est toujours dans l’Hexagone qu’en 1817, Louis Vicat a inventé la composition définitive du ciment. Et qu’en 1848, auteur de la première construction en béton armé, François Coignet a fait prendre un tournant décisif à la construction mondiale. Au début du XXe siècle, Eugène Freyssinet mettait au point le fameux béton précontraint et post-contraint. Permettant, partout dans le monde, de construire des ouvrages publics de très grandes dimensions. Des constructions collectives Pour dresser un panorama des épopées de la construction qui se sont succédé, les auteurs n’en ont volontairement retenu qu’une centaine parmi les plus marquantes. Sans omettre celles qui, plus près de nous, ont engendré le réseau autoroutier, ses ponts et ses tunnels ou encore de grands barrages et des aéroports internationaux. En sciences, le nom d’un inventeur demeure souvent attaché à sa création. Mais les œuvres que nous ont laissées ces bâtisseurs sont pour la plupart le résultat de prouesses collectives. D’où ces épopées. Elles nous révèleront aussi des trajectoires individuelles, montrant à quel point l’acte de construire est enthousiasmant. Editeur : Editions EyrollesAuteur : Xavier Bezançon, Daniel Devillebichot, Laurence Francqueville et Max RochePrix : 20 €TTC Retrouvez l’ouvrage ici
Il y a 3 ans et 31 jours

Aide à la gestion locative sociale : les effets des annonces gouvernementales se font attendre

Cette enquête montre peu d’évolutions sur le large panel de résidences interrogées, avec un taux de versement moyen de 65% au niveau national (63% en 2020). Les disparités de dotations entre les départements et entre les résidences au sein de certains d’entre eux demeurent, malgré quelques points d’amélioration.L’Aide à la Gestion Locative Sociale (AGLS)L’AGLS est une aide destinée aux résidences sociales, pour financer la gestion locative sociale, qui se décline en 4 grandes catégories d’interventions : la régulation de la vie collective au sein de la résidence, la prévention et la gestion des impayés, la lutte contre l’isolement et la médiation vers les services extérieurs.Une enveloppe redéployée chaque annéeDepuis plusieurs années, la loi de finances vote une enveloppe de 26 millions d’euros. Cette enveloppe n’a pas été revalorisée depuis 2013 et ne tient pas compte de l’évolution régulière du nombre de résidences sociales : ainsi cette ligne, en application stricte du barème, devrait atteindre 31 millions d’euros (soit 19% de plus que son montant actuel).Chaque année, environ un tiers de cette enveloppe est redéployée vers d’autres politiques. Si les chiffres officiels ne sont pas encore connus pour l’année 2021, cette enquête montre que le redéploiement de crédits ne devrait pas avoir diminué. La légère amélioration constatée est trop lente pour être perçue comme significative par les acteurs d’autant que la dotation théorique elle-même ne correspond plus aux besoins.De fortes disparités territorialesMalgré quelques améliorations, les constats se répètent année après année :1. Des disparités de situation qui restent très marquées entre les territoiresCette année encore, les écarts restent très variés selon les départements. La moyenne des versements varie de 100% de l’AGLS prévue par la circulaire, à … 0%. Il n’y a pas de corrélation entre le nombre de résidences sur le territoire et l’écart relevé. La proportion de département versant en moyenne plus de 50% de la dotation théorique est stable, à 85%.2. Des approches très différentes au sein des départements n’attribuant qu’une fraction de l’enveloppe maximaleLà encore, le constat réalisé depuis 2019 est toujours d’actualité : à l’inégalité de situation entre les territoires, s’ajoute l’inégalité de traitement au sein de certains territoires. En effet, si certains départements répartissent l’enveloppe AGLS de façon homogène, d’autres attribuent l’intégralité de la subvention à certaines résidences et rien à d’autres (selon l’ancienneté de la résidence, par exemple).3. Les résidences totalement privées d’AGLS restent nombreuses19% des résidences sociales de cette enquête n’ont perçu aucune AGLS en 2021. Ce chiffre est en légère amélioration par rapport à 2020 où cette proportion était de 23% sur le même échantillon.Les propositions de l’Unafo1. Transformer l’AGLS en une aide de droit et mettre en adéquation les ressources avec les besoins des gestionnaires. Pour que l’AGLS réellement attribuée permette aux gestionnaires de mener leurs actions, l’Unafo souhaite que :l’enveloppe globale dédiée à l’AGLS fasse l’objet d’une réévaluation dès la loi de finances pour 2023 pour atteindre a minima 31M€,l’ensemble des crédits votés par le Parlement pour financer l’AGLS soient dépensés uniquement à cette fin, sans être redéployés pour financer d’autres politiques, aussi légitimes soient elle.une clause de revalorisation des montants plafonds soit instituée pour tenir compte de la hausse des coûts.la possibilité ouverte par la circulaire de 2013 de dépasser le plafond de subvention de 20% pour les résidences de plus de 200 logements soit rappelée aux financeurs.la création d’une aide renforcée de 2 euros par jour et par personne pour permettre de financer les associations qui exercent des actions plus fortes visant à renforcer l’accès aux droits sociaux et sanitaires.2. Donner de la visibilité aux gestionnaires par des conventions pluriannuelles3. Engager un dialogue avec les territoires les plus en décalage : l’Unafo souhaite qu’un dialogue soit établi, en visant en priorité les départements sur lesquels les écarts sont les plus marqués (la Gironde, le Rhône, la majorité des départements d’Ile de France, la Haute Garonne, …) afin de réfléchir à une harmonisation des pratiques.Sur ces points, la feuille de route du gouvernement pour le développement de la production des résidences sociales annoncée il y a un an, en mai 2021, n’a encore entrainé aucune amélioration.1 L’enquête s’est tenue en février et mars 2022 sur l’AGLS perçue en 2021. L’Unafo a pu recueillir les données de 23 adhérents, représentant 616 résidences sociales, soit 62588 logements, réparties sur 52 départements métropolitains.
Il y a 3 ans et 31 jours

Seine-et-Marne : de nouveaux traits pour la place Jean-Paul-II à Montereau-Fault-Yonne

La place Jean-Paul-II à Montereau-Fault-Yonne a fait l’objet d’un réaménagement. Les travaux étant achevés, les habitants peuvent désormais profiter du nouvel agencement.
Il y a 3 ans et 32 jours

ENO dévoile ses nouveautés pour les cuisines d'extérieur

Pour les amateurs de cuisine d'extérieur, la gamme Modulo intègre désormais un four et une plaque de cuisson deux feux pour avoir tout le confort d'une cuisine intérieure dans son jardin ! Avec son design moderne et élégant, il s'intègre parfaitement avec les autres modules de la gamme.Grâce à ce nouveau module combiné, les possibilités de créations culinaires sont illimitées. Il est désormais possible de cuisiner l'ensemble du repas, de l'entrée au dessert, sans avoir à faire des allers-retours dans la maison.Contenance : 24 LDimensions du module : H 85 x L 80 x P 62 cmPrix : à partir de 1990,30€Le nouveau module pour plancha de la gamme Modulo a été conçu pour recevoir la plancha encastrable TRIBU.Idéale pour les amoureux du design minimaliste, cette nouvelle plancha sait se faire discrète. Elle s'encastre à fleur du plan de travail pour un rendu ultra moderne.Son capot en inox est extra plat. Une fois fermée, la plancha passe incognito et se fond au module. L'espace de préparation est ainsi dégagé et plus facile à nettoyer.Il est équipé d'un compartiment très pratique pour ranger la bouteille de gaz qui alimente la plancha.Module plancha à encastrer : Dimensions : H 85 x L 80 x P 62 cmExiste en 3 finitions : inox, inox et noir, gris cargoPrix : 701,30€Plancha Tribu : Dimensions : H 1,8 x L 40 x P 67 cmBrûleur : 2500 WSurface de cuisson : 44 x 30 cmPrix : 519,30€ + couvercle à 139,30€
Il y a 3 ans et 32 jours

AER Architectes accompagne la projection vers l'avenir du site de Rochexpo

Résultat d’un partenariat entre la mairie de La Roche-sur-Foron, le Conseil Départemental, la Région Auvergne-Rhône-Alpes et Rochexpo, la conception et la réalisation de la nouvelle halle du site Rochexpo à haute-performance énergétique ont été confiées à l’agence AER Architectes. Les études ont débuté en 2018 et le chantier a démarré en juillet 2020. L’inauguration a eu lieu le 18 février dernier en présence du Président de la région Auvergne-Rhône-Alpes Laurent Wauquiez, du Président du département de la Haute-Savoie Martial Saddier et Président de Rochexpo Philippe Carrier.Il résulte de l’alliance entre modernité, la multifonctionnalité, la qualité d’accueil et de réception ainsi qu’une identification forte au territoire.Restructuration spatiale ambitieuseLe programme audacieux s’articule autour de la création de 3 halls d’exposition, d’espaces de conférences et séminaires, d’espaces traiteur et l’embellissement d’un bâtiment « Forum » existant; les bâtiments existants exigus ne répondant plus aux objectifs fonctionnels et thermiques.La halle forme un continuum spatial dans lequel se sous-divisent trois espaces de réception. Le plus grand permet l’organisation de conférences et événements exceptionnels profitant de tribunes télescopiques d’une capacité de 1000 places et d’un traitement acoustique.Le hall d’exposition est en charpente bois-métal tridimensionnelle de grande dimensions : une portée de 54m qui a permis la création d’un espace de 6000m2 sans un seul poteau. La structure symétrique trellis avec des poteaux en force traction. La force ainsi descendante permet aux poteaux d’être fins et de jouer avec les lignes : une prouesse et signature architecturale du bâtiment.Un chantier éco-responsableLe projet a une dimension éco-responsable forte pour répondre aux nouvelles normes environnementales et sociétales.La réduction de l’empreinte carbone et de la consommation énergétique du bâtiment a été rendue possible par l’optimisation de l’ensemble de ses infrastructures notamment par : la végétalisation des accès et intégration dans le paysage et ses spécificités, l’utilisation des structures bois pour la charpente et les murs, le renforcement de l’isolation thermique, la réduction de -50% des consommations en eau, le travail sur l’éclairement naturel avec des bandeaux vitrés toutes façades et des éclairements en toiture (autonomie 50%) et le travail des matériaux recyclés, solution innovante dans les techniques d’architecture et d’urbanisme.Les bois sont issus de forêts labellisées FSC ou PEFC, de marque CE, dans une démarche préférentielle «Bois des Alpes» : bois massifs en résineux de pays (sapin, épicéa, pin...).Ré-emploi des matériaux existants : 2 000m3 sur les 5 200m3 issus des travaux de terrassement ont été criblés sur place pour être réutilisés et éviter ainsi le maximum de déchets éliminés en décharge. L’ancien enrobé a été raboté sur site pour être réutilisé par l’entreprise. et les anciennes fermes en lamellé collé ont été ponctuellement réutilisées en mobilier.Identité régionale ancréeFaire de l’architecture du bâtiment une ode au patrimoine naturel haut-savoyard et participer à son rayonnement national et international.Le travail de façade écrit la qualité architecturale et fonctionnelle symbolique pour une transformation durable de l’image du site : l’implantation aléatoire de poteaux fait référence à la forêt avoisinante et répond au relief de deux volumes blancs en écho aux montagnes et aux glaciers. L’accès au parvis haut de la halle a été sécurisé et embelli par un terrassement minéral agrémenté de «séracs» et la création de jardins «alpins». Son envergure et son architecture hors-norme en font sa signature et porte haut les couleurs régionales.
Il y a 3 ans et 32 jours

Loire-Atlantique : de nouveaux pontons le long du quai de la Fosse à Nantes

Nantes Métropole installe de nouveaux pontons d’amarrage le long du quai de la Fosse.
Il y a 3 ans et 32 jours

LE COCON ROUGE DE CHIHARU SHIOTA au musée Guimet - Exposition

Né en 1954, Kengo Kuma est diplômé d'architecture de l'université de Tokyo en 1979. Il crée son agence au Japon en 1990, puis en France en 2008.  Sur notre territoire, on doit à Kengo Kuma le Frac Provence-Alpes-Côte d'Azur à Marseille, la cité des arts et de la culture de Besançon, le conservatoire de musique et […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 32 jours

À Paris, NZI transforme des bureaux en résidence étudiante biosourcée

Né en 1954, Kengo Kuma est diplômé d'architecture de l'université de Tokyo en 1979. Il crée son agence au Japon en 1990, puis en France en 2008.  Sur notre territoire, on doit à Kengo Kuma le Frac Provence-Alpes-Côte d'Azur à Marseille, la cité des arts et de la culture de Besançon, le conservatoire de musique et […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 32 jours

L'Ile-de-France lance sa biennale d'architecture avec la terre en vedette

Du 14 mai au 13 juillet, en plusieurs lieux de l'ancienne capitale royale, neuf expositions - gratuites - veulent sensibiliser le public à l'impact environnemental de l'activité humaine, et présenter des pistes de solutions architecturales."C'est une biennale de l'urgence climatique, c'est une biennale +il n'y a pas de planète B+", a déclaré jeudi lors d'une visite la présidente (LR) de la région, Valérie Pécresse."L'enjeu de cette biennale, ça va aussi être d'attirer tous les visiteurs, français, franciliens, mais aussi internationaux", a souhaité l'élue. La première édition, en 2019, avait attiré 200.000 personnes.A la Petite Écurie de Versailles, d'impressionnantes expérimentations sont exposées, comme une œuvre de l'architecte thaïlandais Boonserm Premthada, construite en briques elles-mêmes assemblées avec des... déjections d'éléphant.Les visiteurs peuvent également entrer dans un filet suspendu, conçu par la Mexicaine Rozana Montiel pour dénoncer la pollution plastique des océans, notamment par les résidus de filets de pêche. Le sol au-dessous du filet est lui fait de déchets océaniques récupérés sur les plages et recyclés."C'est transformer l'élément en une nouvelle ressource, lui redonner vie. Si, au lieu de laisser les filets où ils sont et coincer les poissons, on les transforme en un matériel utile pour la construction pour faire un parterre, on fait de l'économie circulaire", a expliqué l'architecte à l'AFP.Tout près, différents déchets bien intacts sont exposés: bouteilles en plastique, filets de pêche, tongs usagées...Sur l'une des artères menant au château de Versailles a été installée une construction "biodiversitaire", où des interstices au milieu des murs sont remplis de terre et colonisés par des plantes.Dans un autre pavillon, aménagé dans une ancienne Poste, trône une grande maquette des sols de la région francilienne, réalisée à partir de matériaux naturels."On aimerait d'abord transmettre l'idée que l'Ile-de-France a un socle géographique et paysager plus fort qu'on ne pourrait le croire, c'est-à-dire ses vallées, les plateaux, les buttes...", commente Cécile Diguet, directrice Urbanisme à l'Institut Paris Région et commissaire de cette exposition.Des ateliers, plutôt destinés aux jeunes architectes et étudiants en architecture et consacrés aux matériaux écologiques, seront également organisés au cours des deux mois.L'événement a coûté 2,5 millions d'euros à la région.
Il y a 3 ans et 32 jours

Dans l'ouest de l'Ukraine, les musées sur la défensive

A Lviv, même si la vie est quasi revenue à la normale depuis que les forces russes ont quitté la région de Kiev et concentrent leur offensive sur le sud et l'est du pays, les musées entrebaillent à peine leurs portes, persuadés que l'ennemi est prêt à piller le patrimoine culturel ukrainien."On aimerait bien rouvrir un peu, mais c'est compliqué en termes de sécurité", explique Vassyl Mytsko, directeur adjoint de la Galerie nationale de Lviv, plus grand musée des Beaux-Arts d'Ukraine avec sa collection de 65.000 oeuvres et ses 21 sites."Comment être sûr que les Russes ne sont pas juste en train de reprendre leurs forces avant de balancer toutes leurs roquettes?"Le 24 février, la guerre a pris par surprise le personnel de la Galerie qui "ne s'attendait pas à ce que les frappes portent aussi loin" et menacent leur ville, raconte M. Mytsko.D'abord "choqués", les conservateurs se sont vite mis au travail et ont emballé avec soin tableaux et sculptures. Ces oeuvres, dont certaines valent des millions, ont été mises à l'abri dans des lieux tenus secrets, où elles se trouvent encore aujourd'hui.Au palais Potocki, ouvert exceptionnellement à l'AFP, des ouvriers profitent de l'absence des oeuvres pour repeindre les murs. Là où est d'ordinaire accroché "Paiement (chez le prêteur)" du maître Georges de la Tour, un rouge vif capte l'oeil.Depuis début mai, deux autres sites de la Galerie, situés à plus d'une heure de Lviv, accueillent parfois du public. Pas question, toutefois, de rouvrir en ville "tant qu'il n'y aura pas un changement majeur politique ou sur le terrain", explique M. Mytsko.Pour lui, la Russie, qui a déjà bombardé deux musées, près de Kiev (consacré à l'artiste Maria Primachenko) et de Kharkiv (sur le philosophe Grigori Skovoroda), reste une menace pour ceux de Lviv, car elle cherche à "détruire l'identité ukrainienne et ses racines européennes". "Rusé"Directeur du Musée historique de Lviv, Roman Chmelik est tout aussi méfiant. Sur les dix immeubles centenaires qui abritent ses collections, seuls deux ont très partiellement rouvert le 1er mai: l'un pour donner accès à son café, l'autre à une exposition pour enfants. Et tous restent vidés de leurs trésors.Echaudé par l'Histoire, M. Chmelik rappelle que, lorsque les soviétiques ont pris le contrôle de Lviv, à la fin de la Seconde guerre mondiale, et par la même occasion du musée, ils l'avaient transformé en "instrument de propagande"."Ils avaient remplacé l'exposition permanente par une autre à la gloire de l'Armée rouge", s'étrangle-t-il encore.Dans tout le pays, les Soviétiques "se sont conduits comme des bulldozers", assure aussi Mykola Bevz, professeur en architecture à l'Université de Lviv, qui fut l'un des acteurs de l'inscription de la ville au patrimoine mondial de l'Unesco.Lviv et ses 3.000 monuments, "berceau du patriotisme ukrainien", a toutefois mieux résisté que d'autres à "la planification urbaine" de l'URSS, juge-t-il.D'abord parce qu'elle est entrée plus tard dans le giron soviétique (l'est du pays avait été rattaché dès 1918), ensuite parce qu'il "y avait un mouvement intellectuel qui a su résister avec finesse", dit-il.Les Lviviens ont ainsi réussi à sauver un quartier historique, qui devait être rasé pour construire une large place destinée à des parades militaires, selon le professeur.L'ancien directeur de la Galerie nationale de Lviv, Boris Voznitsky s'était aussi montré "rusé" pour enrichir ses collections notamment d'oeuvres à caractère religieux malgré l'athéisme officiel soviétique, confie Vasyl Mytsko.S'inscrivant dans le sillage de ces défenseurs du patrimoine ukrainien, Roman Chmelik souligne l'importance de protéger les musées de la ville "pour participer à la formation de l'identité nationale."Et au président russe Vladimir Poutine, qui nie l'identité de l'Ukraine en assurant que le peuple russe et ukrainien ne font qu'un, il répond laconique: "nous sommes Ukrainiens et n'avons rien à prouver."
Il y a 3 ans et 32 jours

Entre la maison et l'Ehpad, des habitats partagés pour seniors

Dans ce type de logement, les seniors "qui ne veulent plus ou ne peuvent plus rester chez eux", sans pour autant souhaiter rejoindre une maison de retraite, signent un bail de location classique.Ils disposent d'une chambre individuelle, mais également de pièces de vie partagées avec leurs colocataires, où une professionnelle s'occupe notamment des courses ou de la préparation des repas."Je ne me sentais pas mûre pour aller en maison de retraite", témoigne Marie-Thérèse Castillon, 89 ans, qui vit avec six colocataires dans un logement de ce type en banlieue bordelaise, à Pessac. Ici, "on connaît tout le monde", observe sa voisine Jeanne Choy, 94 ans, qui a quitté un Ehpad pour s'installer dans cette petite structure gérée par la société privée Domani.Les locataires, qui ont chacun leur chambre et leur salle de bains, se retrouvent pour le repas ou les loisirs dans une grande cuisine/salle à manger commune. "Qu'est-ce qui vous ferait plaisir pour le menu la semaine prochaine? Des melons, ça vous dit?" demande Laura Pouchat, une étudiante qui gère le quotidien aux côté de la coordinatrice de la maisonnée.Le soir et le week-end, un prestataire d'aide à domicile prend le relais. Et des étudiants, logés à l'étage du dessus, perçoivent 250 euros par mois pour être disponibles la nuit au cas où les résidents activeraient leur bouton d'appel à l'aide.Réduire le "sentiment d'arrachement"L'objectif est que les seniors "qui ne peuvent plus vivre chez eux" aient un "sentiment d'arrachement le plus faible possible", le tout pour un loyer environ inférieur de 20% au coût d'un Ehpad, soit "1.500 à 1.600 euros, aides déduites", détaille Jean de Miramon, l'un des cofondateurs de Domani.Et la demande est là: avant même l'ouverture de cette résidence de sept places, plus de 200 familles avaient manifesté leur intérêt.Dans toute la France, 100.000 seniors au total devraient pouvoir bénéficier d'un tel logement d'ici à 2030, préconisaient les auteurs d'un rapport remis en 2020 au gouvernement.Pour l'heure cependant, moins de 5.000 personnes résident dans des habitats de ce type, affirme un collectif récemment créé par une quinzaine d'opérateurs privés.Selon ces entreprises, l'"inertie" de l'administration complique l'avancement des projets. Parfois, le promoteur se voit ainsi refuser l'agrément qui lui permettrait de salarier lui-même les aides à domicile intervenant à titre individuel chez les seniors - par exemple pour l'aide à la toilette."dans une zone grise""Le problème, c'est qu'on est un peu dans une zone grise: on ne sait pas où nous mettre!", soupire Laurence Boluda, directrice générale de la "Maison de Blandine", qui crée des habitats partagés de 5 à 25 appartements."Il y a une volonté politique affichée mais il faut que ça suive du point de vue réglementaire", renchérit Maxence Petit dont la société Cosima a ouvert un "domicile partagé" à Lourdes (Hautes-Pyrénées) et en projette trois autres près de Marseille et en banlieue parisienne.La législation, pourtant, a justement évolué: depuis l'an dernier, les résidents peuvent théoriquement percevoir, sans condition de ressource, une "aide à la vie partagée" (AVP) destinée à financer les prestations communes aux habitants de la colocation, comme le salaire de la "maîtresse de maison"."Sur le principe, c'est formidable, mais dans la réalité rien n'est clair: d'un département à l'autre, nous n'obtenons pas la même réponse", souligne Simon Vouillot, co-fondateur de "Age et vie" à Besançon.Pour l'heure, en effet, seule une trentaine de conseils départementaux ont signé un accord avec l'Etat pour mettre en place cette aide - financée par les départements à hauteur de 20% -, explique à l'AFP Stéphane Corbin, directeur adjoint de la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA). Mais, selon lui, une soixantaine d'autres départements devraient les rejoindre cette année.
Il y a 3 ans et 32 jours

Une chambre en plus dans ce 52 m2 astucieusement réorganisé

EN IMAGES. Cet appartement, situé en rez-de-jardin, a gagné une pièce supplémentaire grâce à un plan très astucieux qui a permis d'optimiser le moindre centimètre. Plus confortable, plus fonctionnel, il a aussi gagné en caractère grâce à une déco tout en subtilité.
Il y a 3 ans et 32 jours

Testo fait évoluer la thermographie avec ses nouvelles caméras thermiques intelligentes et connectées

Bénéficiant de plus de 60 ans d’expertise dans le domaine de la mesure, Testo est engagé depuis toujours dans l’innovation pour offrir aux professionnels de tous les secteurs d’activités (bâtiment, industrie, &#8230;) des appareils de qualité, faciles à utiliser. Après avoir lancé en 2007 la première caméra thermique entièrement développée en Allemagne, Testo n’a eu de cesse de faire évoluer ses solutions de thermographie infrarouge. Visant l’excellence, Testo lance une nouvelle gamme de caméras thermiques intelligentes et connectées disposant de la meilleure qualité d’image de leur catégorie, en plus de leurs fonctions avancées. Utilisée dans de nombreux corps de métiers, la thermographie infrarouge est indispensable pour détecter et visualiser les déperditions de chaleur ou les vices de construction cachés d’un bâtiment, les fuites sur des installations de chauffage, ou encore, en maintenance préventive des installations électriques. Permettant de mesurer les températures avec précision et sans contact, la nouvelle gamme de caméras thermiques infrarouge testo (testo 865s, testo 868s, testo 871s et testo 872s) se distingue par ses nombreux atouts. Des images thermiques de très grande qualité • Les caméras thermiques testo offrent une sensibilité thermique (NETD) très élevée puisqu’elles visualisent les différences de température à partir de 0,1 °C jusqu’à 0,05 °C. • testo SuperResolution pour une haute résolution d’image. Cette fonction multiplie le nombre de pixels par quatre et permet de visualiser directement sur l’écran de la caméra des images avec des résolutions pouvant atteindre jusqu’à 640 x 480 pixels selon les modèles. • testo ScaleAssist pour un réglage toujours optimal du contraste et l’obtention d’images thermiques comparables de manière objective, quelles que soient les différences de température intérieure/extérieure. Cette fonction rend l’évaluation des anomalies et des ponts thermiques d’un bâtiment plus facile que jamais. En effet, la répartition des couleurs de l’image thermique est automatiquement adaptée pendant la mesure en fonction de la température intérieure et extérieure. Les erreurs d’interprétation dues à un mauvais cadrage thermique sont ainsi réduites. • l’avertisseur IFOV testo permet de voir, grâce à un curseur carré qui s’affiche sur l’écran de la caméra, si l’objet mesuré se trouve bien à l’intérieur de ce cadre. L’utilisateur peut ainsi éviter les erreurs de mesure. Ces deux dernières fonctions facilitent l’utilisation et l’interprétation. Des fonctions pratiques Outre la testo 865s, caméra idéale pour s’initier à la thermographie, les 3 autres modèles de la gamme (testo 868s, testo 871s et testo 872s) sont équipés d’un appareil photo numérique. Elles peuvent être connectés à l’Application testo Thermography, disponible sur IOS et Android, pour une analyse rapide sur site : génération de rapports succincts, enregistrement en ligne et envoi de ceux-ci par e-mail, ajout de points de mesure supplémentaires. Elle permet également de transmettre les images thermiques en direct à un Smartphone ou une tablette et de l’utiliser comme deuxième écran. Pratiques, les caméras testo 871s et 872s disposent, en plus, d’une connectivité sans fil avec le thermo-hygromètre testo 605 i et la pince ampèremétrique testo 770-3 pour rechercher les zones humides et à risque de moisissures dans un bâtiment ou pour détecter la charge d’une armoire électrique. Les valeurs de mesure des deux appareils de mesure sont transmises aux caméras via Bluethooth. Une manipulation aisée Grâce à une interface optimisée, la commande des caméras est intuitive. Elles sont faciles à tenir en main et assez robustes pour résister aux conditions de travail parfois extrêmes. Une gamme pour toutes les exigences Avec différents niveaux d’équipements et fonctions, la nouvelle gamme de caméras thermiques infrarouge de testo répond à tous les besoins : testo 865s Avec ses 160 x 120 pixels, cette caméra est idéale pour les novices en thermographie. Elle permet de visualiser les différences de température à partir de 0,10 °C et de détecter automatiquement les points chauds et froids. Elle intègre les fonctions testo SuperResolution (320 x 240 pixels) et ScaleAssist. testo 868s Appareil photo numérique et images thermiques de 160 x 120 pixels permettant de visualiser les différences de température de 0,08 °C. Fonctions SuperResolution (320 x 240 pixels) et testo ScaleAssist intégrées. Connexion avec l’Application testo Thermography via WiFi. testo 871s Résolution de 240 x 180 pixels, sensibilité thermique < 80mK et détection de différences de température à partir de 0,08 °C. Appareil photo numérique, fonctions SuperResolution (480 x 360 pixels) et testo ScaleAssist intégrées. Application testo Thermography et connectivité via Bluethooth avec testo 605i et testo 770-3. testo 872s Cette caméra thermique professionnelle convainc par une qualité d’image maximale (320 x 240 pixels) et une très bonne sensibilité thermique (
Il y a 3 ans et 32 jours

DOM UNICO : la nouvelle gamme d’anti-panique 100% compatible

Obligatoires dans tous les types d’E.R.P. (Etablissements Recevant du Public tels que les centres commerciaux, les bureaux, les hôtels, les sites industriels&#8230;), les issues de secours sont soumises à une réglementation spécifique. Celle-ci exige, entre autres, que les portes dédiées à la sortie d’urgence soient équipées de dispositifs permettant d’assurer une évacuation fluide et sécurisée des personnes. Pour aider les gestionnaires de ces bâtiments à répondre à cette obligation notamment dans le cadre d’une rénovation, DOM présente sa nouvelle gamme d’anti-panique interchangeable DOM UNICO. 100% compatible Universelle, la nouvelle gamme d’anti-panique DOM UNICO présente l’avantage de pouvoir remplacer très facilement n’importe quel modèle standard du marché tout en conservant la manœuvre extérieure (béquille, bouton). En effet, ses platines d’adaptation pré-percées en fonction des différents entraxes existants sont dotées, en plus, de repères visuels qui indiquent l’initiale de la marque à changer. A l’instar des nombreuses solutions anti-panique proposées par DOM-Metalux, son mécanisme symétrique et réversible sans démontage, associé à la possibilité de recouper sa barre et ses tringles verticales à la dimension requise, rendent d’autant plus rapide son installation. De même, le faible encombrement de ses coffres autorise sa mise en œuvre sur profils étroits et augmente le passage libre. Un atout non négligeable pour une évacuation plus rapide ! Afin de répondre à tous les besoins, la nouvelle gamme d’anti-panique DOM UNICO se compose de serrures 1 et 2/3 points pour un stockage optimisé. Elle est proposée en version cross-bar, avec des pênes haut et bas ou latéraux. Au design élégant, elle se décline dans les trois coloris les plus courants (blanc, gris, noir) pour s’intégrer harmonieusement à tous les espaces. Une fiabilité hors-pair à tous les niveaux D’une grande qualité de conception de par le choix des matériaux utilisés, l’anti-panique DOM UNICO est certifiée EN1125 : 2008 en grade 7, soit le niveau le plus élevé exigé. Equipée de pênes en acier, elle est coupe-feu en standard. Pour concilier haute sécurité et protection sanitaire renforcée, elle est traitée de série avec une finition antibactérienne Protect Touch reposant sur la technologie des ions d’argent. Résistant au nettoyage, cet agent actif antimicrobien recouvre l’ensemble de l’anti-panique, même les parties qui ne sont pas exposées à un contact direct. Ajoutés au revêtement pendant la production pour garantir l’efficacité du traitement dans le temps (testé selon la norme ISO 22196:2011), les ions d’argent agissent 24 heures sur 24 pour éliminer plus de 99,99% des bactéries et des germes en surface grâce à une libération continue. Interchangeable rapidement avec tous les standards du marché, la gamme DOM UNICO constitue un véritable atout pour tous les professionnels (installateur, distributeur, gestionnaire d’un bâtiment), qui ont ainsi l’assurance en cas de besoin de remplacement de toujours disposer d’un modèle d’anti-panique adapté et de haute sécurité ! http://www.dom-europe.com/
Il y a 3 ans et 33 jours

Quels sont les nouveaux critères d'implantation des bureaux, après la crise sanitaire ?

STRATÉGIE. Le deuxième Baromètre des implantations tertiaires montre une évolution des priorités des décideurs quant au choix d'implantation de leurs bureaux, et fait apparaitre un grand besoin de flexibilité, peu compatible avec le bail ferme.
Il y a 3 ans et 33 jours

La CAPEB et EDF renouvellent leur partenariat pour accélérer la rénovation énergétique dans l’habitat

Cet accord de partenariat signé par Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB et Fabrice Gourdellier, Directeur Clients Particuliers d’EDF, vise à accompagner les entreprises adhérentes de la CAPEB dans la promotion d’actions permettant de réaliser des économies d’énergie et de réduire les émissions de gaz à effet de serre dans l’habitat. EDF a ainsi mis en place le portail Prime Energie (www.prime-energie-edf.fr) pour contribuer à financer les travaux éligibles aux Certificats d’Economies d’Energie. Dans le cadre de cet accord qui prolonge celui signé en 2018, la CAPEB, au travers des CAPEB départementales, continuera à sensibiliser les professionnels, impliqués dans la rénovation énergétique, à l'intérêt du dispositif mis en place par EDF. Elle poursuivra notamment l’organisation d’actions d’information, de promotion et de communication mettant en avant le mécanisme d’accompagnement proposé par EDF aux ménages via le portail Prime Energie dans le cadre du dispositif des CEE. De son côté, EDF continuera, via son réseau commercial réparti sur le territoire national, à accompagner les CAPEB départementales au mécanisme mis en place pour les ménages dans le cadre du dispositif des CEE afin qu’elles portent l’information auprès des entreprises artisanales adhérentes à la CAPEB. Pour certaines opérations, EDF reconduit la possibilité pour les ménages de bénéficier d’un prêt à taux réduit et bonifié pour leurs travaux, sous conditions. Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Fort de notre précédent partenariat, qui a permis de toucher 4.000 entreprises et d’accompagner plus de 60.000 dossiers de particuliers, cette nouvelle opportunité qui s’offre à nous aujourd’hui à travers ce renouvellement de partenariat est la bienvenue pour mobiliser encore plus d’entreprises adhérentes sur le sujet de la transition énergétique dans nos métiers. Par son expertise, EDF qui a développé un dispositif fiable et intuitif qui permet aux ménages d’être mieux accompagnés pour leurs travaux de rénovation énergétique, accompagne pleinement nos entreprises. »Pour Fabrice Gourdellier, Directeur Clients Particuliers d’EDF : « EDF a souhaité renouveler son partenariat avec la CAPEB qui a rencontré un vif succès depuis sa signature en 2018. Notre dispositif de prime directe, mis en place depuis 2017, a fait ses preuves. En versant une aide financière sous forme de chèque aux ménages qui réalisent des travaux de rénovation énergétique, EDF les encourage dans leur transition énergétique. Ce renouvellement de partenariat signé avec la CAPEB va permettre d’intensifier l’accompagnement d’EDF auprès des adhérents de la CAPEB dans un contexte d’évolution réglementaires visant la meilleure qualité de travaux pour les ménages. »
Il y a 3 ans et 33 jours

La synergie urbaine d'une médiathèque nacrée près d'Angers, par Titan

N&eacute; en 1954, Kengo Kuma est dipl&ocirc;m&eacute; d&#39;architecture de l&#39;universit&eacute; de Tokyo en 1979. Il cr&eacute;e son agence au Japon en 1990, puis en France en 2008.&nbsp; Sur notre territoire, on doit &agrave; Kengo Kuma le Frac Provence-Alpes-C&ocirc;te d&#39;Azur &agrave; Marseille, la cit&eacute; des arts et de la culture de Besan&ccedil;on, le conservatoire de musique et&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 3 ans et 33 jours

FINALCAD lève 10M$ pour accélérer son développement et la numérisation du secteur de la construction

Finalcad : plus de 10 ans d’innovation au service de la digitalisation du BTPLancé fin 2011 par Jimmy Louchart, Joffroy Louchart et David Vauthrin, Finalcad a vu le jour avec l’ambition d’aider les entreprises du secteur de la construction à optimiser leur efficacité opérationnelle grâce aux outils digitaux. Pour relever ce défi, la société a conçu une plateforme SaaS de gestion des chantiers qui permet de digitaliser les données et les processus liés aux projets de construction. La solution permet de faciliter la collaboration et la coordination entre les différentes parties prenantes sur site et hors site, et ainsi d’optimiser la qualité des projets livrés. Nombreux sont les acteurs à faire confiance à Finalcad parmi lesquels le groupe Eiffage qui vient de prolonger de plusieurs années son partenariat engagé en 2017 avec l’éditeur pour l’accompagner dans la transformation digitale de ses chantiers.Une levée de fonds pour renforcer les investissements et accélérer la transformation de l’entrepriseCette levée a été menée par l'équipe de direction de Finalcad qui s’est vu renforcée récemment par l’arrivée de Pascal Laik en qualité de Chief Executive Officer pour soutenir l’ambitieux programme de développement de la société.Pascal Laik a été nommé CEO de Finalcad fin 2021. Il apporte à l’éditeur son expérience de plus de 30 années acquise dans les nombreux postes à responsabilité qu’il a occupés chez des éditeurs leaders dans leur spécialité comme Oracle, Siebel Systems, Informatica et C3.AI dont il a accompagné la croissance et le développement à l’international. Sa profonde expérience dans l’univers du SaaS, ainsi que dans la gestion, la commercialisation et la mise en œuvre de plateformes de transformation numérique acquise dans l'univers IoT, Big Data et IA sont autant d’atouts au service des objectifs d’excellence opérationnelle et de croissance des ventes que visent Finalcad.Fort de ce nouveau financement, Finalcad va renforcer les investissements et la transformation entamée il y a quelques années, dans un esprit de continuité avec les investisseurs historiques. Cette levée de fonds va notamment permettre de soutenir les investissements R&D sur des sujets tels que la sécurité et l'environnement sur les chantiers ainsi que l’exploitation des données dont l’utilisation de l’Intelligence Artificielle au service des équipes terrain et de management. Enfin, après avoir développé son activité en Asie du Sud-Est ces dernières années, Finalcad va poursuivre son déploiement à l’international, en Europe mais aussi en Afrique du Nord.« Nous nous réjouissons de cette levée de fonds dont l’objectif est de rendre accessible à tous les professionnels de la construction une plateforme collaborative unique et personnalisable permettant de digitaliser en toute autonomie chaque étape de la vie des ouvrages, depuis le début des travaux jusqu’à leur exploitation.Grâce à elle, nous allons renforcer notre positionnement en tant que Field Experience Platform - solution de productivité orientée terrain – afin d’apporter une meilleure réponse aux besoins quotidiens des équipes opérationnelles, et, pour leur management, en facilitant le pilotage et la gestion de la performance via l’analyse des données remontées des chantiers. Ce financement va nous permettre d’aller encore plus loin dans cette direction, en exploitant pleinement le potentiel des données BIM et les capacités offertes par l’Intelligence Artificielle. », indique Pascal Laik, CEO de Finalcad. Jean-François Cochy, Partner chez Cathay Innovation déclare à propos de cette levée :« Grâce à sa suite technologique moderne et à ses outils numériques évolutifs et user-friendly, Finalcad est aujourd’hui un leader incontesté de la digitalisation du secteur de la construction. Finalcad fournit des solutions qui aident les professionnels du BTP à optimiser leurs opérations et leur expérience sur le terrain.Depuis notre investissement initial en 2018, nous avons accompagné le renforcement de l’équipe - ce qui s’est traduit au cours de l’année dernière par l’acquisition d’une large base d’utilisateurs de Finalcad One, tout en conservant les clients historiques avec des contrats renouvelés. Nous nous réjouissons de soutenir l’équipe dans cette prochaine phase de développement et d’expansion grâce aux atouts de notre plateforme mondiale. »Jonathan Sibilia, Partner chez Molten Ventures insiste quant à lui sur les perspectives pour les professionnels du BTP :« Finalcad fournit une solution dont la valeur est aujourd’hui largement prouvée et reconnue. Des gains de temps significatifs ont été remontés suite aux retours d’expérience de nombreux conducteurs de travaux qui utilisent la solution depuis plusieurs mois : plus de 28 heures/mois pour chaque utilisateur ! Ces gains de temps sont déjà considérables, mais des gisements de valeur gigantesques restent à exploiter en poussant plus loin l’analyse des données chantiers. Nous sommes convaincus que cette analyse sera demain le moteur principal de la transformation digitale des entreprises de construction. »
Il y a 3 ans et 33 jours

Terre et villes, la Bap! revient en force à Versailles

La deuxi&egrave;me &eacute;dition de la Bap! Biennale d&rsquo;architecture et de paysage de la R&eacute;gion &Icirc;le-de-France a ouvert ses portes au public samedi 14 mai 2022 &agrave; Versailles. Elle r&eacute;unit neuf expositions sur le th&egrave;me &laquo;&nbsp;Terre et villes&nbsp;&raquo;, sous le commissariat g&eacute;n&eacute;ral du maire Fran&ccedil;ois de Mazi&egrave;res. Apr&egrave;s&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article