Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

(35874 résultats)
Il y a 3 ans et 35 jours

Impasse des Lilas, à arc en rêve

Le centre d’architecture arc en rêve à Bordeaux (Gironde) présente ‘Impasse des Lilas’, une installation proposée par l’agence MBL architectes. L’architecture comme une enquête qui ne connaît pas d’impasse. Jusqu’au 25 juillet 2022. L’impasse des Lilas est une voie sans issue sur les bords d’une métropole. Il n’y a pas de lilas mais un amalgame […] L’article Impasse des Lilas, à arc en rêve est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 35 jours

Val-de-Marne : pose de la passerelle piétonne du pont de Nogent, à Nogent-sur-Marne

Permettant le franchissement de l’autoroute A4 et de la rivière de la Marne, la passerelle piétonne du pont de Nogent vient d’être mise en place.
Il y a 3 ans et 35 jours

Logement social, EIRL, plan de rénovation énergétique... Vos textes officiels du vendredi 13 mai 2022

La rédaction du "Moniteur" vous propose une sélection quotidienne des textes officiels intéressant le secteur. Au menu : droit de la construction, urbanisme, commande publique et privée, réglementation technique, logement, social…
Il y a 3 ans et 35 jours

Rhône : un nouvel agencement pour la place Chardonnet, dans le premier arrondissement de Lyon

Dans le premier arrondissement de Lyon, des travaux d’aménagement sont menés sur la place Chardonnet.
Il y a 3 ans et 35 jours

Pyrénées-Atlantiques : un nouvel agencement de l’espace public sur la rue Thiers à Bayonne

La ville de Bayonne réalise des aménagements sur la rue Thiers. Les travaux devraient s’achever d’ici à fin mai 2022.
Il y a 3 ans et 35 jours

Comment profiter des meilleurs prix sur l’électroménager avec Clubpascher ?

Le commerce en ligne de l’électroménager bénéficie actuellement d’une véritable expansion, entraînant par la même occasion la cherté des produits. Alors que pendant ce temps, ce que les consommateurs souhaitent, c’est de pouvoir réaliser de bonnes affaires. Fort heureusement, il existe des plateformes innovantes comme Clubpascher qui ont mis en place un concept vous permettant de bénéficier de réductions allant jusqu’à 80 % sur les prix des articles achetés. Comment profiter de ces bons plans avec ce site ? Voici le point. Faire l’inscription sur la plateforme en ligne Comparativement aux autres sites d’e-commerce qui proposent également des remises sur les prix de l’électroménager, Clubpascher est un club de vente privé en ligne. En raison de son statut, une étape à franchir avant de pouvoir bénéficier de ses réductions est de devenir membre de la plateforme. Pour cela, vous devez vous rendre sur le site officiel du club puis fournir vos informations personnelles afin de remplir le formulaire présent sur la page. En quelques minutes, votre compte est créé, car il n’existe pas de frais à payer qui pourraient allonger la procédure d’inscription. Une fois que cette étape est franchie, vous pouvez contacter par mail ou par appel téléphonique l’équipe de Clubpascher au cas où vous aurez besoin d’obtenir des réponses à propos de certains sujets. Choisir sa formule d’abonnement Devenir membre du club privé Clubpascher sous-entend payer des frais d’abonnement à la fin de chaque mois. C’est pour pouvoir défalquer ceux-ci que le numéro de votre carte bancaire fait partie des données à communiquer durant la phase d’inscription. Il faut retenir que cette plateforme de remises sur les prix de l’électroménager vous propose deux formules d’abonnement. Quitte à vous de choisir celle qui correspond le mieux à vos objectif, besoin et budget. Ainsi, il y a l’abonnement de 29,90 euros qui est mensuel. À côté de lui figure la formule de 75 euros qui est trimestrielle. C’est donc tous les trois mois que les frais seront retirés de votre compte. Bénéficier des meilleurs prix sur l’électroménager avec Clubpascher Une fois la phase du choix d’abonnement passée, vous pouvez commencer à bénéficier des meilleurs prix sur l’électroménager avec Clubpascher. Il faut toutefois préciser que la réussite de cette deuxième étape ouvre la voie à une période d’essai de 72 heures. Vous pouvez donc profiter de celle-ci pour tester le fonctionnement du site d’e-commerce. Vous êtes libre d’effectuer ou non des achats. Cela ne vous empêchera pas de bénéficier à la longue de remises. Nous vous recommandons néanmoins d’acheter ne serait-ce qu’un seul appareil électroménager, car toute vente réalisée sur le club privé durant cette période d’essai donne droit à un bonus de bienvenue. La valeur de cette offre est de 40 euros. Cette somme est envoyée 30 jours après l’achat sur le compte Paypal lié à votre email. Pour l’obtenir, vous devez nécessairement faire d’abord parvenir la facture de l’électroménager acheté. Il faut par ailleurs ajouter que pour continuer à bénéficier de ces bons plans, vous ne devez pas vous désabonner de la plateforme, et ce, surtout pas durant la période d’essai.
Il y a 3 ans et 35 jours

Pyrénées-Atlantiques : réhabilitation de la rue Camou à Oloron-Sainte-Marie

La ville d’Oloron-Sainte-Marie a engagé des travaux de réhabilitation de la voirie au niveau de la rue Camou, située dans le quartier Notre-Dame
Il y a 3 ans et 35 jours

Chiffre d’affaires record pour le groupe Cosentino

Le groupe Cosentino, entreprise spécialiste de la production et la distribution de surfaces innovantes et durables pour l’architecture et le design, réalise un chiffre d’affaires record, et crée 685 nouveaux emplois en 2021. L’entreprise a augmenté son chiffre d’affaires de 30% à 1 401 millions d’euros et son bénéfice net de 59 %. L’entreprise a réalisé des investissements d’un montant total de 105 millions d’euros, et a augmenté ses effectifs pour la deuxième année consécutive avec la création de 685 nouveaux emplois. Le groupe espagnol poursuit son développement en France grâce à l’ouverture d’un Cosentino City à Paris. En renforçant son maillage du territoire, Cosentino renforce sa proximité avec ses clients et partenaires. La filiale française du groupe enregistre ainsi un chiffre d’affaires de 39 millions d’euros soit une croissance de +47% en 2021 sur l’hexagone.  
Il y a 3 ans et 35 jours

BAP ! 2022 : 6 débats ce week-end !

Ce weekend à Versailles, c’est grand retour de la biennale d’Architecture et de Paysage ! L’évènement conjointement édité par la région Ile-de-France et la ville de Versailles, sous la direction de François de Mazière, s’inscrit sous le signe des éléments, en commençant cette année par la terre. Gratuite et ouverte à tous et toutes, elle se clôturera le 13 juillet. Deux évènements ont déjà eu lieu ce vendredi, en présence notamment de Gilles Clément et Michel Desvigne....
Il y a 3 ans et 36 jours

B. Pompili et J. Djebbari lancent le deuxième appel à projets AVELO 2 pour accompagner les politiques cyclables des territoires peu et moyennement denses

Cet appel à projets est financé en partie dans le cadre du dispositif des Certificats d’économies d’énergie (CEE).Le vélo, un mode de déplacement d’avenirLe plan vélo et mobilités actives, présenté par le Gouvernement en septembre 2018, a fixé pour objectif de tripler d’ici 2024 la part modale du vélo dans les déplacements du quotidien, en passant de 3 % à 9 %. Un objectif ambitieux qui passe par un développement fort de ce mode partout sur le territoire national.Afin de poursuivre l’accompagnement des territoires dans cette transition vers une mobilité quotidienne plus durable et dans le prolongement du précédent programme AVELO 1 (220 collectivités lauréates sélectionnées en 2019), le programme AVELO 2 vise à accompagner 400 territoires peu et moyennement denses dans la définition et la mise en œuvre de leur politique cyclable. Pour faire du vélo un mode de déplacement du quotidien, AVELO 2 mobilise un financement CEE de 25 millions d’euros et un financement de l’ADEME de plus de 9 millions d’euros.Plus de 140 nouveaux territoires attendus pour ce second AAP254 collectivités lauréates ont été retenues en 2021 dans le cadre du premier AAP du programme AVELO 2. Pour ce second AAP, ce sont donc plus de 140 nouveaux territoires qui sont attendus afin d’atteindre la cible des 400 lauréats fixée au programme. Ce deuxième AAP cible les territoires peu denses et moyennement denses, notamment les territoires ruraux, les villes moyennes, les communes multi polarisées ou encore les périphéries des agglomérations, et s’articule autour de 4 axes pour soutenir :Axe 1 : la construction d’une stratégie de développement d’aménagements cyclablesAxe 2 : l’expérimentation de services véloAxe 3 : l'animation et la promotion de politiques cyclables intégréesAxe 4 : le financement de chargés de mission « vélo » au sein des territoires Les projets lauréats de cet AAP 2022 pourront bénéficier d’un accompagnement financier de l’ADEME pour l’axe 4, du dispositif CEE pour les axes 1, 2 et 3, et seront accompagnés techniquement par l’ADEME, assistée du CEREMA. AVELO 2 s’inscrit dans le cadre du Plan vélo et mobilités actives. Il est complémentaire du Fonds mobilités actives - aménagements cyclables, abondé par le plan de relance, doté de 500 M€ sur 7 ans, puisqu’il permet aux territoires de se doter d’une stratégie mobilité active et d’expérimenter des services vélos avant de candidater aux aides de l’Etat pour réaliser des infrastructures.L’appel à projets est ouvert du 19 janvier 2022 au 4 avril 2022.
Il y a 3 ans et 36 jours

Un retour presque à la normale pour la montagne lors des vacances d'hiver

La montagne retrouve son niveau d’avant-crise, mais avec des situations contrastées selon les massifsAprès un hiver 2021 qui a été caractérisé par la fermeture de l’ensemble des remontées mécaniques et infrastructures de ski, sur l’ensemble du territoire national, les réservations pour les vacances d’hiver 2022 se rapprochent de celles observées en 2020, avant le début de la pandémie. Pour autant, dans le détail, cette situation est loin d’être homogène entre tous les massifs français.Ainsi, « les massifs de reports de l’hiver 2021 » qui avaient tiré leur épingle du jeu parce qu’ils n’étaient pas orientés à 100 % sur la pratique du ski reculent nettement par rapport à l’an dernier à l’instar des Vosges et du Jura pour retrouver leurs niveaux de 2020. Seul le Massif central poursuit sa progression, mais avec un échantillon plus faible. Logiquement, les Alpes – qui concentrent la majorité des stations de ski françaises – reprennent des couleurs par rapport à 2021 : + 135,2 % de réservations. Elles reviennent presque à leur niveau d’avant-crise, avec - 5,5 % de réservations. Le Massif central est le massif qui s’en sort le mieux : + 88,9 % par rapport à 2020 et les Pyrénées ne sont pas en reste avec + 69,1 % par rapport à 2020 même si, pour ces deux massifs, le volume de réservations n’a rien de comparable avec les Alpes. Les Alpes représentent 65 % des réservations contre 75 % avant le CovidCette progression du Massif central et des Pyrénées se fait sentir sur les parts de marché. Les Alpes dominent toujours largement le marché 2021 avec 65 % des réservations, mais les Pyrénées et le Massif central pèsent de plus en plus avec 8 % et 20 % des parts de marché. Les Vosges et le Jura sont au même niveau qu’il y a deux ans.Cette évolution peut s’expliquer par la conjonction de deux phénomènes qui se nourrissent mutuellement : La demande n’est plus exclusivement entretenue par la pratique intense du ski, ce qui peut décourager les réservations dans des stations où les forfaits de remontées mécaniques sont très coûteux et où les alternatives au ski sont peu développées.Même si les Français qui ont la chance de pouvoir partir aux sports d’hiver disposent de budgets conséquents compte tenu du coût de ce type de vacances, ils n’échappent pas aux problématiques de pouvoir d’achat qui se posent en ce moment. Or, dans certaines grandes stations vont se cumuler des coûts d’hébergements élevés (et en hausse par rapport à 2020) et des coût de forfaits également élevés.Les Alpes du Sud décrochent davantage que celles du Nord…Les réservations de dernière minute sont beaucoup plus fréquentes qu’auparavant, ce qui permet aux vacanciers de se renseigner sur l’enneigement. Or, pour ces vacances d’hiver, l’enneigement est incertain dans les Alpes du Sud. De plus, elles sont moins accessibles et moins bien desservies par le train, il faut donc s’y rendre en voiture et les stations du sud pourraient souffrir de la réglementation sur les pneus hiver obligatoires depuis le 1er novembre dernier dans ces départements. La mer est désormais une destination toute saison !Toussaint, Noël, février, depuis la fin 2020, la mer affiche des niveaux de réservation élevés en toute saison. Ce qui avait été considéré comme un choix par défaut alors que les stations de ski étaient fermées à Noël 2020 puis en février 2021, le littoral a finalement su fidéliser et trouver ses adeptes, même en février... Et cela concerne l’ensemble du littoral français, sans distinction ! Qui affiche même des progressions par rapport à 2021 où il avait constitué une destination de report.L’outre-mer plombé par les contextes locauxPour une minorité de Français, les vacances de février riment avec départ au soleil en plein milieu de l’hiver. Et à ce titre, l’outre-mer est traditionnellement une destination de choix à cette saison. Mais les contextes sanitaires et sociaux ont eu raison des réservations cette année dans les Antilles françaises contrairement à La Réunion qui voit le volume de ses réservations augmenter.
Il y a 3 ans et 36 jours

Oise : le nouveau centre de secours de La Chapelle-en-Serval inauguré

La ville de La Chapelle-en-Serval vient de se doter d’un nouveau centre de secours au 249, route de Plailly.
Il y a 3 ans et 36 jours

Démocratiser la Gestion Technique du Bâtiment pour répondre aux défis énergétiques

La mise en œuvre du Décret BACS (Building automation & control systems), qui prévoit d’équiper les bâtiments tertiaires de systèmes d’automatisation et de contrôle d’ici 2025, constitue l’un des moyens d’atteindre les objectifs ambitieux fixés par le dispositif éco-énergie tertiaire. La crise COVID et le développement du télétravail ont changé la manière dont nous occupons les espaces de travail et il convient d’adapter la gestion des bâtiments à ces nouveaux enjeux.Passer la GTB à l’échelle pour réussir la décarbonation des bâtimentsInitialement réservée aux bâtiments de plus de 2000 m2 et pensée à l’échelle d’un site, la GTB (gestion technique du bâtiment) de première génération est bien souvent perfectible. Elle fonctionne généralement sur la base de protocoles fermés, difficiles à exploiter et coûteux à entretenir. Pour réussir le pari de la décarbonation des bâtiments à horizon 2050, il est nécessaire de passer la GTB à l’échelle et d’offrir aux propriétaires, en particulier multisites, des solutions simples et peu coûteuses à mettre en œuvre.Les dernières innovations en la matière permettent de déployer rapidement des systèmes multi-protocoles couplés à des applications SaaS disposant d’interfaces simplifiées. L’enjeu est triple : faire remonter les données émanant des bâtiments, les analyser, et permettre la supervision à distance des équipements à l’échelle d’un parc pour agir rapidement et de façon groupée. C’est cette capacité à agir sur plusieurs bâtiments simultanément qui change la donne.Ces solutions permettent également de faire communiquer les « petits » bâtiments qui, jusque-ici, ne disposaient pas de GTB intégrée notamment à cause des coûts. Offrant plus de souplesse, plus simples à déployer et moins chers, ces nouveaux systèmes de pilotage à distance des équipements révolutionnent l’exploitation des bâtiments et vont permettre de massifier les actions d’efficacité énergétique.Piloter les bâtiments à distance pour s’adapter aux nouveaux usagesAssocié à des solutions de type EMS (Energy Management System), le pilotage à distance des équipements maximise les économies d’énergie tout en faisant gagner du temps aux équipes terrain. Réglage des programmations horaires, des consignes de températures ou de l’éclairage, prévision météorologiques et adaptation des régulations grâce à l’intelligence artificielle : il est désormais possible de piloter ces actions à distance, 24h/24 et 7 jours/7, via des applications intuitives. A la clé, moins de déplacements sur sites pour les équipes de maintenance, une réactivité accrue en cas de dérive constatée et une amélioration du confort pour les occupants.Un bâtiment connecté, capable d’être piloté à distance, aura plus de facilité à optimiser sa consommation et à adapter son fonctionnement à son occupation et son usage. Cela représente une nouvelle source de valeur fondamentale pour les bâtiments.Ajoutons que ces systèmes numériques interopérables fonctionnent avec des protocoles ouverts et sont sécurisés contre le risque de cyber-malveillance. Avec le développement du BOS (Building Operating System) qui permet de gérer les multiples applications liées aux services dans le bâtiment, on assiste à une révolution du smart building.Offrir des systèmes économiquement plus avantageuxDésormais, l’enjeu est de déployer ces systèmes dans un maximum de bâtiments. Pour cela, les coûts de l’installation et de la licence doivent être raisonnables pour inciter les propriétaires à investir dès maintenant dans la supervision.Pour faciliter cette transition, des financements existent au travers de fiches CEE consacrées aux systèmes de gestion technique du bâtiment. L’installation et l’entretien doivent être rapides et simples afin de limiter les moyens humains.Ces solutions innovantes pour piloter les bâtiments représentent un levier puissant pour réduire l’empreinte environnementale de l’immobilier tertiaire en France tout en permettant un retour sur investissement mesurable aux maîtres d’ouvrage.Tribune de Cyril Sailly, Président co-fondateur d’advizeo by setec (Linkedin)
Il y a 3 ans et 36 jours

Haute-Garonne : pose de la première pierre de la résidence senior Quai-Saint-Pierre à Toulouse

La future résidence senior de Toulouse, Quai-Saint-Pierre, proposera 89 logements et 43 places de parking.
Il y a 3 ans et 36 jours

Puy-de-Dôme : des petits et moyens projets à Châtel-Guyon en 2022

Voirie, eau et assainissement, aménagements urbains… La ville de Châtel-Guyon continue d’investir pour améliorer le cadre de vie de ses habitants.
Il y a 3 ans et 36 jours

Jason deCaires Taylor : Pirates des Canaries

L’ensemble “Traverser le Rubicon” se compose d’un groupe de 35 personnages, qui marchent vers une entrée et un mur sous-marins. Ce dernier, qui est à la fois industriel et organique, s’étend de 30 m de long et 4 m de haut, et contient une seule porte en son centre. Il est la métaphore de l’absurdité, des notions de territoires, dans le monde naturel, qui plus est, sous-marin. [©Jason deCaires Taylor/CACT Lanzarote] Ouvert en 2016, le Museo Atlántico est le premier musée 100 % aquatique, en Europe. Dans la baie de Las Coloradas, à Yaiza, à la pointe Sud de Lanzarote, une île de l’archipel espagnol des Canaries, les plongeurs peuvent admirer les sculptures de l’artiste britannique Jason deCaires Taylor (né en 1974), organisées en douze groupes, créant un véritable dialogue visuel entre art et océan. Sur quelque 2 500 m2 sous la mer et à environ 15 m de profondeur, le sculpteur a immergé, parmi la faune et la flore marines endémiques, quelque 300 statues de béton, à taille et aux allures humaines. Tour à tour, ses sculptures évoquent la crise migratoire (“Le Radeau de Lampedusa”, un bateau transportant 13 réfugiés sculptés, version moderne du “Radeau de la Méduse” du peintre Théodore Géricault, datant de 1818), l’environnement ou la vie quotidienne. Elaborées en béton au pH neutre et en matériaux non-polluants, compatibles avec l’environnement, elles créent des mini-éco-systèmes. La vocation du Museo Atlántico est à la fois « la préservation, la conservation et l’éducation sur le milieu marin et la nature » et « un appel à la défense des océans ». En harmonie avec la faune et la flore Une évidence pour cette île volcanique, qui, depuis les années 1970, a su préserver son identité, grâce notamment à l’éco-tourisme. Et ce, sous l’action de l’artiste du pays César Manrique (1919-1992), à travers des sculptures monumentales, dont il a parsemé l’île, et à son engagement environnemental. Les sculptures de Jason deCaires Taylor s’inscrivent dans une démarche similaire, une vraie dynamique écologique. Ce pionnier du land art sous-marin reconnu depuis 2006 a très tôt été sensibilisé à la protection des fonds marins. C’est en 2006 que Jason deCaires Taylor, après avoir touché à la photographie, à la plongée et réalisé des sculptures de pierre, a fondé le premier parc de sculptures subaquatique au monde, sur la côte Ouest de la Grenade aux Antilles. Un succès qui le conduira à renouveler l’expérience, cette fois au large de Cancún (Mexique), en 2009, avec le Musa (dit “Underwater Art Museum”), puis à Lanzarote en 2016. [©Jason deCaires Taylor]Les sculptures de l’artiste britannique se font coloniser par la faune et la flore marines. Elles accueillent toutes sortes de poissons. En prenant les profondeurs comme “murs” d’une galerie géante, Jason deCaires Taylor donne à voir un spectacle inouï. [©Jason deCaires Taylor/CACT Lanzarote]Installées courant 2016 au Museo Atlántico de Lanzarote, les premières œuvres du sculpteur ont été “envahies” par les coquillages, les algues et les coraux. Et aussi “visitées” par les poissons. Elles sont même parfois méconnaissables : des objets inertes qui sont absorbés par l’océan. En quelque sorte des « natures mortes, qui est un thème récurrent de mon œuvre, car il démontre assez simplement la beauté de l’évolution ». [©Jason deCaires Taylor/CACT Lanzarote] Installées courant 2016 au Museo Atlántico de Lanzarote, les premières œuvres du sculpteur ont été “envahies” par les coquillages, les algues et les coraux. Et aussi “visitées” par les poissons. Elles sont même parfois méconnaissables : des objets inertes qui sont absorbés par l’océan. En quelque sorte des « natures mortes, qui est un thème récurrent de mon œuvre, car il démontre assez simplement la beauté de l’évolution ». [©Jason deCaires Taylor/CACT Lanzarote] La composition “The Human Gyre” met en scène plus de 200 figures, qui crée une vaste formation circulaire ou giratoire. « Cette installation incarne notre vulnérabilité face aux cycles de l’océan, qui fournit l’oxygène que nous respirons, régule notre climat et est une source vitale de nutrition pour des millions de personnes. » [©Jason deCaires Taylor/CACT Lanzarote] D’ailleurs, ses œuvres aident à reconstituer les récifs coralliens, très souvent menacés, transformant ainsi le Museo Atlántico en récif artificiel à grande échelle. La progressive disparition des sculptures est dans la logique même du projet de Jason deCaires Taylor. Elles sont vouées à se fondre dans leur milieu. L’éco-sculpteur présente des statues, qui « représentent un point d’entrée vers un monde différent et favorisent une meilleure compréhension de notre précieux environnement marin et de combien nous dépendons de lui ». Les habitants de Lanzarote, eux-mêmes, ont servi de modèles pour la plupart des œuvres, créant un paysage sous-marin peuplé de gens ordinaires. Un clin d’œil pour un archéologue du futur…
Il y a 3 ans et 36 jours

Nouvelle cheville bi-matière Duoxpand

Fischer, qui ne cesse d’enrichir cette gamme, lance une nouvelle cheville bi-matière pour tous les matériaux de construction, la DuoXpand. Universelle, cette cheville rallongée est conçue pour la fixation d’éléments d’ossatures, de menuiseries... et assure une transmission douce des forces dans les matériaux. En outre, elle bénéficie du nouvel agrément ETA-21/034 (Evaluation Technique Européenne) qui garantit une tenue sûre dans tous les matériaux.Fischer DUOLINE : La gamme bi-matièreHaute qualité, les chevilles de la gamme DUOLINE sont fabriquées à partir d’une combinaison de matériaux souples et rigides. Les principes de fonctionnement fréquemment éprouvés, associés à la combinaison de 2 matières, élargissent le champ d’applications avec une capacité de charges nettement supérieure à celles des chevilles nylon traditionnelles et une plus grande sécurité. Une cheville tout terrain La nouvelle cheville rallongée bi-matière DuoXpand fischer est conçue pour la fixation d’ossatures de façade en bois ou en métal, de carports, de menuiseries (portes, fenêtres...), de construction bois, de meubles de cuisine, d’installation électrique... Universelle, elle s’adapte à tous les matériaux : béton, béton cellulaire, brique pleine, brique creuse, parpaing... Une expansion douce qui n’endommage pas les matériauxLa cheville DuoXpand se compose d’un corps bi-matière et d’une vis (tête fraisée ou hexagonale). Le corps principal gris en nylon (1) de haute qualité garantit la résistance de la fixation, tandis que l’expansion des lamelles rouge apporte une sécurité supplémentaire.Sa géométrie brevetée (2) assure une expansion douce dans le matériau de construction évitant ainsi d’endommager les parois des matériaux creux et permettant un ancrage près du bord.Pour une installation sûre, des ergots anti-rotation empêchent la cheville de tourner dans le trou lors de l’installation.La cheville est facile à mettre en œuvre. Une fois le trou foré, elle s’insère à l’aide d’un marteau. Le vissage de la vis dans la cheville va provoquer l’expansion des lamelles de blocage. Dans les matériaux de construction pleins, la conception de la cheville garantit une répartition égale de la charge dans le support.Dans les briques perforées, les lamelles s’expansent au niveau des parois et créent un verrouillage de forme dans les cavités. 2 versions pour répondre à toutes les applicationsLa DuoXpand avec la vis à tête fraisée est particulièrement adaptée à la fixation d’éléments en bois. Pour les structures métalliques, la DuoXpand avec vis hexagonale et rondelle intégré convient mieux car cela évite la corrosion de contact entre l’élément fixé et la vis.La zone d’expansion, avec 2 profondeurs d’ancrage, permet une utilisation flexible dans tous les matériaux de construction selon l’ETE : 50 mm dans le béton, les briques pleines et creuses,70 mm dans tous les autres matériaux de construction du béton au béton cellulaire.Deux profondeurs d’ancrage supplémentaires de 140 et 160 mm assurent un ancrage sûr dans le parpaing.Points de vente : Négoces, Négoces en matériaux et GSB
Il y a 3 ans et 36 jours

Ora Ito : L’art en plein ciel

Ora Ito (né en 1977) est “l’enfant terrible du design”. Passionné par Le Corbusier qu’il a découvert très jeune et qu’il a collectionné, une fois adulte, Ora Ito a choisi l’architecte comme totem. [©Mathieu Colin] En 2010, le designer Ora Ito apprend par un ami avocat que le gymnase, édifié sur la terrasse de La Cité radieuse construite par Le Corbusier entre 1945 et 1952, est à vendre. Cette salle n’a jamais été restaurée. Le site est à couper le souffle avec son toit-terrasse, véritable pont de navire en plein ciel (à 56 m d’altitude). Le regard y embrase le paysage à 360°. Mais des constructions parasites en dénaturent le point de vue. Ces dernières ont été classées aux Monuments historiques avec l’ensemble du bâtiment en 1984, donc impossible de les détruire. Avec l’appui de la Fondation Le Corbusier, qui veut redonner au lieu son aspect d’origine, puis avec le soutien de l’ensemble de la copropriété de la Cité, les obstacles sont levés. Ainsi, un espace d’art contemporain voit le jour. L’enfant terrible du design L’idée du projet d’Ora Ito se base sur le fait que ce lieu était à l’origine dédié au festival d’art d’Avant-garde avec Tinguely, Klein, Béjart… Il faut dire que la passion pour Le Corbusier a débuté très tôt chez le designer, vers 7 ans. « Le Corbusier, architecte intelligent, se réinvente au fil du temps », explique Ora Ito. En installant ce centre d’art sur la terrasse, il reprend à son compte la philosophie corbuséenne de l’accueil et du partage. Ora Ito a décidé de nommer cette nouvelle galerie le Mamo pour “Marseille Modulor”. Paquebot de béton entre terre et ciel, La Cité Radieuse s’orne d’un toit-terrasse qui est devenu un lieu d’exposition. [©Sébastien Véronèse]Le Sika ComfortFloor Pro, système de revêtement de sol à usage piétonnier à base de résine polyuréthane coulée sur sous-couche manufacturée collée, a été mis en œuvre dans le gymnase. [©Sika][©Sébastien Véronèse]La Cité radieuse du Corbusier retrouve sa splendeur et sa jeunesse d’antan. [©Sébastien Véronèse]« Aujourd’hui, je pousse la collectionnite jusqu’à acquérir toutes les cuisines que Le Corbusier avait dessinées pour La Cité radieuse et que je stocke à l’abri. Sa pluridisciplinarité – il était designer, peintre, poète et architecte -, son travail des couleurs, sa rigueur m’inspirent […] Il a livré une œuvre intemporelle, qui caractérise l’essence même du design et de l’architecture. » [©Fondation Le Corbusier] Le terme de “Modulor” faisant référence à la réflexion sur le comportement de l’homme, sur l’équilibre des volumes, de leurs dimensions et proportions qui amène Le Corbusier à établir une grille de mesures s’appuyant sur le “Nombre d’Or”. Il construit sa grille par rapport aux différentes parties du corps humain et l’appelle “le Modulor”. « Nous avons baptisé notre galerie Mamo, pour faire la nique au Moma de New York », sourit Ora Ito. Rénovation et mise en œuvre Ora Ito vend sa collection d’art contemporain et les travaux commencent, dont le montant s’élèvera à plusieurs millions d’euros. Un long travail de recherche effectué par des experts de la Fondation Le Corbusier débute pour rendre au site sa coque de béton originelle. Voilà chose faite depuis 2013. « Le béton est pour moi une matière extraordinaire, qui me plaît par sa minéralité, son intégration, sa brutalité… », conclut Ora Ito. La problématique autour des façades en béton de La Cité radieuse a duré 10 ans. La façade Ouest à été rénovée, puis sont venus les travaux d’étanchéité de la terrasse et la reconstruction des 12 appartements. La façade Sud a, elle aussi, eu le droit à un  coup de jeune. Mais en gardant l’esprit corbuséen. De ce fait, les murs ont été refaits à l’identique. Le coffrage des bétons a été réalisé avec le même type de bois qu’à l’origine. Dans le gymnase, c’est le système ComfortFloor Pro de Sika qui a été mis en œuvre pour rénover l’espace. Le Mamo au sommet de la Cité radieuse est un lieu de création en plein ciel. Le chef d’œuvre de Le Corbusier s’offre ainsi un nouveau territoire en devenant l’écrin et le tremplin de la création à venir.
Il y a 3 ans et 36 jours

Val-d’Oise : le chantier de la nouvelle entrée de villes aux Demoiselles à Goussainville est lancé

La nouvelle entrée de ville aux Demoiselles permettra de fluidifier les circulations à Goussainville.
Il y a 3 ans et 36 jours

Val-de-Marne : la configuration de futur écoquartier autour de la gare Arcueil-Cachan a été dévoilée

C’est le projet Cachan Pluriels qui a été sélectionné pour l'aménagement du quartier de la gare Arcueil-Cachan.
Il y a 3 ans et 36 jours

Supports, surfaces

À défaut d'espaces verts créés en pleine terre, les bâtiments peuvent faire office de réceptacle pour une végétalisation hors-sol. Mais leur impact sur le rafraîchissement du quartier n'est pas encore quantifié.
Il y a 3 ans et 37 jours

Les Champs-Elysées à Paris vont être verdis et rafraîchis

Nommé "Réenchanter les Champs-Elysées", le projet porté par la mairie de Paris, les élus d'arrondissement et le Comité Champs-Elysées, regroupant commerçants et entreprises de l'avenue, doit se faire en deux étapes.La première doit être achevée d'ici aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris, à l'été 2024; la seconde, qui viendra ensuite, a des contours plus flous.Concrètement, c'est aux deux extrémités de l'avenue de 2 kilomètres que les changements vont être les plus visibles. D'abord du côté de la place de la Concorde, où les jardins de part et d'autre des "Champs", aujourd'hui largement défraîchis, vont être transformés."Nous allons refaire de ces jardins de véritables jardins de promenade", a promis la maire PS, Anne Hidalgo, lors d'une conférence de presse au Théâtre du Rond-Point, à deux pas de l'avenue.Une centaine d'arbres vont être plantés, et de petites rues obsolètes piétonnisées, l'élue socialiste souhaitant "redonner de la fraîcheur" pour adapter la ville au réchauffement climatique.Moins de voituresL'autre changement majeur pour 2024 va avoir lieu autour de l'Arc de Triomphe, où le rond-point de la place de l'Etoile va voir réduite sa circulation automobile foisonnante."Sur l'Arc de Triomphe, ce que nous allons faire, c'est un agrandissement de l'anneau" piéton entourant le monument, a expliqué Anne Hidalgo."C'est un rétrécissement de la place de la voiture, je préfère être claire. Parce que c'est comme ça qu'on doit envisager la ville de demain", a-t-elle ajouté.Mais la réduction du trafic motorisé, cheval de bataille de la maire et sujet sensible politiquement, ne concerne pour l'heure pas l'avenue elle-même, qui compte dans chaque sens deux voies de circulation automobile et une voie de bus et taxis.Sur ce sujet, "la maire a accepté (...) de discuter, de négocier, je sais qu'elle a ses opinions, nous avons les nôtres", a assuré Marc-Antoine Jamet, président du comité Champs-Elysées.Sur le haut de l'avenue, très commerçant et prisé des touristes étrangers, les trottoirs et le mobilier urbain, par endroits vieillissants, seront rénovés, ont promis les élus.D'ici 2024, la mairie doit engager 26 millions d'euros pour l'ensemble des travaux, auxquels s'ajouteront 6 millions de la Solidéo (société de livraison des ouvrages olympiques) pour les sites concernés par les Jeux, à savoir la Place de la Concorde et le Grand Palais.Et après, la ConcordeCar l'enjeu est de ramener les Parisiens sur cette avenue iconique de la ville, aménagée en 1670 et qui a traversé les époques.Il faut "réenchanter l'une des vitrines les plus emblématiques de la capitale, la plus célèbre des avenues parisiennes, qui souffre d'avoir beaucoup perdu de sa splendeur dans les 30 dernières années", a dit la maire du VIIIe arrondissement, Jeanne d'Hauteserre.Grouillant de monde jusqu'au milieu du XXe siècle, elle a peu à peu été désertée par les Parisiens et davantage investie par les touristes étrangers et clients des magasins de luxe.Ses terrasses devront ainsi, d'ici à 2024 également, être "harmonisées", un sujet sensible pour les commerçants qui a été confié au designer belge Ramy Fischler."Notre objectif et ma mission (...) c'est à la fois de préserver l'identité et la personnalité des enseignes (...) mais aussi de créer une signature qui d'une certaine manière identifie les Champs comme elle l'a toujours fait à travers le monde", a-t-il déclaré.Et au-delà de l'échéance olympique, la transformation doit continuer. L'élaboration du projet a été confiée à l'architecte Philippe Chiambaretta. La place de la Concorde, aujourd'hui intégralement pavée, sera au cœur des changements.Il faudra en "faciliter la traversée", "redonner l'accès aux monuments, l'obélisque et les fontaines" et reverdir la place, "une fournaise", a expliqué l'architecte.Anne Hidalgo s'est elle dite favorable à étendre les jardins des Tuileries jusqu'à l'obélisque.
Il y a 3 ans et 37 jours

L'ouest lyonnais ne sera pas desservi par une télécabine

Porté par la majorité écologiste, ce projet de "téléphérique urbain" entre la commune de Francheville et Lyon, était rejeté par les municipalités concernées par certains des quatre tracés envisagés, telles que les mairies LR de La Mulatière ou Sainte-Foy-lès-Lyon, ainsi que par plusieurs collectifs d'habitants. Le Syndicat mixte des transports pour le Rhône et l'agglomération lyonnaise (Sytral Mobilités) mettait quant à lui en avant les atouts du projet, tels que la possibilité de franchir le Rhône, la Saône et le "relief contrasté" de l'ouest lyonnais pour désenclaver une voirie saturée par le trafic automobile. A terme, ce transport par câble d'un coût de 150 à 165 millions d'euros était censé assurer 59.000 déplacements quotidiens entre Francheville et le sud de Lyon pour un temps de trajet de 25 à 30 minutes d'un bout à l'autre de la ligne. Face à la levée de bouclier d'élus et habitants, notamment opposés à l'installation d'imposants pylônes et à un survol jugé problématique de leurs quartiers, une concertation a été menée entre novembre et février. Plus de 4.000 personnes ont participé aux rencontres organisées et près de 6.000 contributions recueillies, précise le Sytral dans un communiqué. "Cette concertation a largement mobilisé les habitants des territoires concernés. Il y a une forte opposition des citoyens qui se sont exprimés sur ce nouveau mode de transport. Les conditions ne sont donc pas réunies pour réaliser ce projet", explique M. Bernard, cité dans le communiqué. Le Sytral entend poursuivre "le dialogue avec les habitants et les différents acteurs afin d'établir des solutions multiples et adaptées", ajoute-t-il. Il est notamment évoqué la création de nouvelles lignes de bus et du renforcement du tram-train de l'ouest lyonnais, exploité par la région Auvergne-Rhône-Alpes. "Des discussions sont en cours entre Sytral Mobilités et la région" en ce sens, selon le Sytral. "C'est une très bonne décision, nous ne sommes pas du tout surpris", a réagi auprès de l'AFP Alain Bavozet de l'association de riverains "Touche pas à mon ciel". "La concertation a été hors normes par le nombre de contributions, les concitoyens de l'ouest lyonnais se sont intéressés au sujet et ont montré que les questions de mobilités dans cette zone méritaient une vraie réponse", a-t-il ajouté, assurant vouloir "continuer à coopérer avec le Sytral" pour développer des solutions alternatives.
Il y a 3 ans et 37 jours

Le Conseil d'État rejette plusieurs recours et maintient l'encadrement des loyers à Paris

"La requête de l'UNPI et de la Chambre nationale des propriétaires est rejetée", a conclu la plus haute juridiction administrative, dans une décision rendue mardi, que l'AFP a pu consulter mercredi.L'adjoint à la maire de Paris chargé du logement, Ian Brossat, s'est félicité sur Twitter de cette décision, qu'il a saluée comme une "victoire" : "Une bonne nouvelle pour les locataires qui en ont assez des loyers trop chers. Nous allons nous atteler à mieux le faire respecter". Dans les territoires où l'encadrement des loyers s'applique, les professionnels de l'immobilier doivent mentionner dans leurs annonces le loyer maximum autorisé pour chaque bien.L'UNPI et la Chambre nationale des propriétaires avaient demandé au Conseil d'Etat d'annuler, pour excès de pouvoir, le décret du 12 avril 2019 fixant le périmètre du territoires de la ville de Paris sur lequel est mis en place le dispositif d'encadrement des loyers prévu à l'article 140 de la loi du 23 novembre 2018.L'encadrement des loyers a d'abord concerné uniquement Paris et Lille, avant d'être étendu à 18 villes de Seine-Saint-Denis en banlieue parisienne ainsi qu'aux métropoles de Bordeaux, Montpellier et Lyon notamment.Trois autres requêtes examinées par le Conseil d'Etat, également rejetées, visaient l'encadrement des loyers à Lille et la définition de deux périmètres où s'applique l'encadrement des loyers en région parisienne.Plus d'un quart des loyers parisiens étaient restés en dépassement en 2020 malgré la réintroduction de leur encadrement en 2019, avait indiqué fin décembre l'Observatoire des loyers de l'agglomération parisienne (Olap).
Il y a 3 ans et 37 jours

Comment la Ville de Paris entend transformer les Champs-Elysées

URBANISME. Derrière le projet "Réenchanter les Champs-Elysées", la Ville et le comité Champs-Élysées prévoient de végétaliser la zone et, à terme, d'y réduire la circulation de véhicules. L'architecte Philippe Chiambaretta et son agence PCA-Stream ont été missionnés pour cela.
Il y a 3 ans et 37 jours

Carré Sénart : l’histoire ancienne d’une ville nouvelle

Ingénieur chargé de recherches à l'Inrap, l'institut national de recherches archéologiques préventives, coordinateur des opérations archéologiques ...More about Cet article Carré Sénart : l’histoire ancienne d’une ville nouvelle est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 37 jours

Une « accélération verte » des filières gaz, chaleur et solutions énergétiques permettrait jusqu’à 170.000 embauches d’ici 2030

Une filière attractive qui doit faire face aux enjeux de développement dans l’ensemble du territoireL’étude, conduite par LHH et Adecco Analytics, fait apparaitre le potentiel de développement de la filière pour la prochaine décennie par la concrétisation d’un scénario « d’accélération verte » et la convergence de plusieurs facteurs : les dépenses d’investissements de l’État, des collectivités publiques et des entreprises, une révolution comportementale des clients accompagnés par les acteurs de la filière, et la conversion des infrastructures vers les biogaz et l’hydrogène. Le bouleversement actuel des grands équilibres énergétiques et stratégiques, par l’urgence de la transition écologique et le contexte géopolitique mondial, est pleinement de nature à accélérer encore davantage la mobilisation des acteurs et l’investissement des entreprises.Ainsi, 170.000 nouvelles embauches sont attendues dans la production de gaz (dont hydrogène, biométhane et biopropane) et dans les services énergétiques (rénovation, installation, exploitation, maintenance des équipements et des installations). Qualifiées, durables, ouvertes à la mixité, elles profiteront à l’économie française, dans l’ensemble des régions et en particulier aux territoires ruraux.Elles s’ajouteront aux 231.400 salariés de la filière positionnés sur les cinq maillons de la chaîne de valeur : production, transport et stockage, distribution, commerce et vente, services énergétiques, équipements et installations, répartis sur l’ensemble du territoire de manière diffuse au sein d’entreprises très diverses, dont une majorité de TPE et PME.Des tendances d’évolution forte des métiers et compétences en lien avec des enjeux géopolitiques et de transition écologiqueEn lien avec l’objectif ambitieux de la France d’atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050, cette étude prospective, au périmètre inédit, identifie plusieurs enjeux :la décarbonation des réseaux et de la distribution de l’énergie dans sa globalité grâce aux nouveaux procédés verts ;la poursuite, voire l’accélération des évolutions technologiques : digitalisation, internet des objets, pilotage à distance des installations, gestion automatisée des données, des réseaux et blockchain ;le développement de nouveaux usages de l’énergie en lien avec la performance énergétique réelle et le service aux occupants des bâtiments ;l'attractivité d’une filière qui présente de forts besoins de recrutement à horizon 2030 mais doit faire face à un vieillissement des effectifs et à des tensions déjà très fortes sur certains métiers.Un élargissement des besoins de compétences pour tous les métiers de la filièreCes tendances se traduisent par des attentes fortes des entreprises qui auront davantage besoin de salariés disposant d’un socle de compétences élargi et d’aptitudes à gérer la relation client, voire de nouvelles briques de compétences :l’agilité digitale devra être développée pour tous les métiers en particulier celui de technicien au contact d’outils et d’équipements de plus en plus automatisés ;l'amélioration de la performance énergétique sera au cœur des enjeux de demain (conception & exploitation d’ouvrages plus sobres, maintenance d’équipements et d’installations de plus en plus complexes, capacité à conseiller les solutions plus efficaces). Dans cette perspective de montée en compétences et au regard des enjeux d’attractivité et de recrutement auxquels fait face la filière, l’évolution de l’offre de formation (continue et initiale) est indispensable. Plus lisible, mieux répartie et adaptée en fonction des spécificités territoriales, l’offre devra être orientée sur les besoins des entreprises, notamment des TPE et PME, et plus accessible aux salariés qui souhaitent s’inscrire dans des parcours professionnels au service de la transition énergétique.Conscient de la transformation en profondeur de la filière, historiquement ancrée dans un système d’exploitation d’énergie fossile, l’ensemble des acteurs se mobilise pour offrir des formations, des métiers et des parcours au service de la maîtrise des consommations et de la décarbonation du mix énergétique des territoires.A ce titre, afin de développer son attractivité et accompagner ses transformations, les acteurs de l’EDEC travaillent dès aujourd’hui à la création d’un portail digital destiné à mieux faire connaître l’ancrage et l’empreinte sociale de leurs entreprises dans les territoires, les métiers qui recrutent, mais aussi l’offre de formation et les nombreuses initiatives régionales sur les énergies et les solutions de demain qui témoignent de la vitalité de la filière.Les signataires de l’EDEC des gaz, de la chaleur et des solutions énergétiques associées : Ministère du Travail Emploi et de l’Insertion, organisations professionnelles d’employeurs : UNEMIG Union nationale des employeurs des industries gazières, Fédération des services énergies environnement - FEDENE, organisations syndicales de salariés représentatives de la branche des Industries Electriques et Gazières : Fédération CFE-CGC Energies, Fédération Chimie Energie CFDT, Fédération FO Energie et Mines, les organisations syndicales de salariés représentatives de la branche des équipements thermiques et de génie climatique : Fédération Nationale de la Construction et du Bois CFDT, Syndicat National du Chauffage et de l’Habitat SNCH affilié à la fédération Enermine CFE-CGC, Fédération générale FO Construction, Fédération UNSA Industrie et construction, les associations syndicales professionnelles de la filière des gaz, de la chaleur et des solutions énergétiques associées : Association française du gaz – AFG, Syndicat national de la maintenance et des services en efficacité énergétique – SYNASAV, Union des métiers du génie climatique, de la couverture et de la plomberie – UMGCCP, France Hydrogène, France Biométhane, France Gaz Liquides.
Il y a 3 ans et 37 jours

L’Urssaf et la Cnaf signent une convention de partenariat au bénéfice des travailleurs indépendants

Cette signature a pour objet de renforcer les actions communes de l’Urssaf et des Caf dans la gestion des droits, la lutte contre le non-recours et l’amélioration de la qualité de services des travailleurs indépendants. Elle marque l’aboutissement d’une expérimentation conduite entre la Caf du Var et l’Urssaf Provence-Alpes-Côte d’Azur.Prenant la mesure de leurs spécificités, l’Urssaf et les Caf ont déjà déployé depuis plusieurs années des accueils communs sur tout le territoire, afin de proposer aux travailleurs indépendants un service de proximité et de leur apporter un accompagnement global sur l’ensemble de leur protection sociale.Depuis 2021, les deux réseaux sont impliqués dans le déploiement de l’offre de service HELP, qui consiste à offrir une prise en charge coordonnée aux indépendants en difficulté. Ce dispositif permet ainsi de mobiliser les multiples leviers d’action de la Sécurité sociale pour apporter une réponse cohérente et efficace aux fragilités identifiées.« Fil rouge » déployé par les Urssaf complète le dispositif en garantissant la prise en charge d’urgence des indépendants en détresse, avec notamment l’engagement de rappel dans les 48 heures.Cette coopération vise à mettre en place des synergies fortes entre les deux réseaux pour proposer un accompagnement global des travailleurs indépendants, via notamment de nouvelles offres de service coordonnées. Le partage d’information entre les deux réseaux permettra également de fiabiliser l’accès aux droits et aux prestations familiales afin de remédier au non-recours.
Il y a 3 ans et 37 jours

A Nanterre, deux escaliers remarquables pour le Carillon de Jean Willerval

Dans le cadre de la mise en conformité du Carillon de Nanterre (Hauts-de-Seine), Watt Design & Build a prescrit l’installation de deux escaliers monumentaux. Gantois architecture a transformé une idée audacieuse en réalité. Le projet A Nanterre (Hauts-de-Seine), le Carillon est un vaste ensemble de bureaux construit en 1991 par l’architecte Jean Willerval sur l’esplanade […] L’article A Nanterre, deux escaliers remarquables pour le Carillon de Jean Willerval est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 37 jours

Ôm2c et Chablais Habitat lancent « Les Balcons du Lyaud » : un programme de 40 logements sur les hauteurs de Thonon-les-Bains

Située au cœur du village Le Lyaud – à deux pas de la mairie, de l’église, de la micro crèche, du cabinet médical et de l’école primaire – la résidence compte 40 logements (du T2 au T4) organisés en 2 bâtiments qui s’élèvent sur 3 étages pour une surface habitable totale de 2.805 m². Mitoyenne, mais sans vis-à-vis de la résidence Odelia pour seniors, que le Groupe em2c a livrée en 2021, elle bénéficie de la sérénité de son emplacement et tire parti d’un cadre naturel et d’une orientation favorable à un réel confort.La grande majorité des logements ont des vues dégagées soit sur les champs voisins soit sur le Lac Léman au lointain, ainsi que sur les collines environnantes. De larges ouvertures dans toutes les pièces permettent à la lumière naturelle d’irradier les intérieurs pour le bien-être des occupants. Ces espaces se prolongent tous sur des Rez-de jardin, des terrasses ou des balcons généreux.L’architecture, signée par Yohann Forel du cabinet Thononais 58 bis, est simple et traditionnelle dans le respect des codes architecturaux de la région. Les constructions sont couvertes de vastes toits en pente avec des débords qui protègent tant les balcons que les pieds de façade. Durables et d’entretien facile, les matériaux sélectionnés renforcent le caractère recherché et l’intégration de la résidence dans son environnement.Les extérieurs comptent une part importante d’espaces végétalisés, qu’ils soient des jardins privatifs ou des espaces communs à la résidence. Tous participent à la qualité visuelle générale du lieu mais aussi à la qualité de l’air et à la réduction des surchauffes estivales. Les prestations sont soignées, en termes d’esthétique, de confort thermique et d’usage. Chaque appartement offre des volumes fonctionnels et généreux où chaque m² est valorisé. Les équipements ont quant à eux et rigoureusement sélectionnés pour un quotidien confortable et facilité (volets roulants électriques, double vitrage, revêtement stratifié dans les chambres et carrelage dans les pièces de vie, serrure sécurisée des portes palières. Les stationnements sont en sous-sol (certains boxés).La commercialisation des logements vient de commencer. Cette opération est menée en co-promotion avec Chablais Habitat (promoteur à Thonon-les-Bains). Les travaux sont programmés en juin 2022 pour une livraison envisagée au 1er trimestre 2024.Avec Les Balcons du Lyaud, ôm2c propose un nouveau programme accessible et en phase avec les attentes et les nouveaux usages des familles en matière de logement. öm2c poursuit sa progression sur le marché de l’immobilier résidentiel.
Il y a 3 ans et 37 jours

Claire Gagnaire, secrétaire générale de Hellio, prend la présidence de l'association Les Transitionneurs

L'Association Les Transitionneurs a pour objet d'imaginer, favoriser et soutenir des initiatives en accélérant la convergence des transitions sociétales, écologiques, économiques, culturelles, numériques et démocratiques à tous les niveaux dans les territoires. Elle regroupe des entreprises privées (Hellio, GRDF, Nestlé, etc.), des associations (STOP Exclusion Énergétique, Le Rameau, etc.), des institutionnels (l'ADEME, le Cerema, la Banque des Territoires, etc.), des collectivités (Mairie d'Annecy, le conseil régional d'Aquitaine, etc.) et des universités (Paris 1 – La Sorbonne, Mines-Télécom), qui travaillent sur des approches pour la transition des métiers, des territoires, la reconversion, etc.Pour Claire Gagnaire, secrétaire générale de Hellio et présidente des Transitionneurs : « J'ai accepté de devenir présidente des Transitionneurs car je trouve que cela fait sens d'impliquer davantage Hellio dans cette association. Nous sommes un acteur engagé dans la transition énergétique, nous accompagnons tous les consommateurs d'énergie – particuliers, entreprises, industriels, agriculteurs, collectivités – dans la réalisation d'économies d'énergie. Nous sommes de fait complètement légitimes à porter cette association, avec le partage de nos actions menées sur le terrain. »Une feuille de route 2022 synthétisée autour de 12 priorités et 3 programmes essentielsDans un premier temps, l'association Les Transitionneurs a identifié douze questions clés qui font suite aux travaux de l'Université des Transitionneurs de 2020-21. Chacune sera approfondie et déclinée en propositions opérationnelles, que ce soit dans des projets sur le terrain ou au sein de groupes de recherche d'actions. Chaque groupe piloté et parrainé par un partenaire adhérent de l'association s'engagera sur des livrables avec un socle méthodologique ad'hoc.A ce jour les priorités identifiées sont les suivantes :Imaginer, recenser et accompagner des tiers lieux et des communautés, incubateur des TransitionneursMaîtriser les multiples territoires numériquesPrendre soin, de soi, des autres, de la planèteAnticiper, aménager, faire ensemble et contribuer à la gouvernance des territoiresDéfis intergénérationnels, génération gaming et nouveaux comportementsAlimentation écologique, biodiversité et proximitéLes énergies pour tous et stop à l'exclusion énergétiqueCulture de création, imaginaire et territoireMobilités et immobilités : tout changeCommunication et capital relationnelBiens communs et territoires partagésCapacités et compétences : aujourd'hui et demainSur un plan pratique, les Transitionneurs vont s'engager sur trois programmes essentiels :Inviter et soutenir des communautés et des tiers-lieux à identifier un ou plusieurs projets opérationnels autour desquels se réunira une diversité d'acteurs i.e. élus, responsables d'entreprises, associations, universitaires, etc. Chaque projet s'inscrira dans une des priorités d'actions.Faire vivre et animer quatre à cinq groupes de recherche-actions sur des thèmes prioritaires choisis pour formaliser des concepts et des propositions d'actions, mais aussi recenser et publier des résultats.Développer un cycle de formation et d'entretiens en ligne pour renforcer les compétences et les capacités nécessaires aux Transitionneurs dans les territoires. Sur le plan méthodologique, l'association s'appuiera sur l'harmonisation de cinq clés qui structurent sa méthode d'action pour une transition réussie.Attirer et retenir les talents dans le territoire (renforcer les capacités).Donner toute sa place à l'innovation technologique.L'acceptabilité, et donc de l'adaptation.La capacité à innover dans le financement et les modèles économiques.La gestion des différences temporelles.Genèse de la démarche des Transitionneurs La démarche des Transitionneurs est fondée sur une conviction : c'est au cœur des territoires que s'opérera la transition.La recherche de valeurs, de bienveillance, d'expression, d'innovation, de participation et contribution concrète s'incarne dans son quartier, son village, sa ville, face aux agressions d'un monde où se multiplient les réseaux, les « fake news ». Les territoires regorgent de compétences, de connaissances et de cultures. Cette association, à la fois un think-tank, un dispositif d'animation et de mutualisation, un attracteur, un innovateur et un laboratoire de démonstrations et de réalisations concrètes, vise à développer le nombre de Transitionneurs et est en recherche permanente de nouveaux partenaires pour pouvoir donner encore plus de poids à son action.
Il y a 3 ans et 37 jours

Cermix présente la brochure “Solutions expertes du gros œuvre”

Cermix dévoile une nouvelle brochure intitulée “Solutions expertes gros œuvre”. [©Cermix] Cermix dévoile une nouvelle brochure qui structure son offre dédiée aux solutions de gros œuvre. L’ouvrage est un outil qui permet, en 28 p. , de découvrir la gamme de Cermix. Il s’adresse aux entreprises du bâtiment, mais aussi aux négoces généralistes et spécialistes du secteur. L’industriel propose de découvrir des solutions complètes qui répondent à des problématiques spécifiques liées à la construction ou à la rénovation des bâtiments. Et qui contribuent à l’allongement de la durée de vie des constructions. Les problématiques du gros œuvre Ainsi, la brochure aborde 8 cas concrets représentant l’essentiel des problématiques rencontrées dans le gros œuvre. Et pour chacun d’entre eux, Cermix propose la solution adéquate avec une iconographie détaillée. Le document mentionne largement la protection du bâtiment, en particulier pour les fondations, les dalles de parking, les balcons classiques et carrelés. Lire aussi : Cermix : Le challenger De plus, Cermix met l’accent sur les travaux d’imperméabilisation et le traitement des fissures. Enfin, le ragréage des bétons, le scellement et le calage constituent les derniers cas soulevés. Le petit plus ? Un encadré “Le conseil du pro” accompagne chacun des cas.
Il y a 3 ans et 37 jours

H2O par AtticorA : une solution immobilière de co-habitat écologique sans crédit

Que diriez-vous d’habiter un logement économe en énergie, low-tech dans sa conception, dans un éco-hameau pensé pour une harmonie sociale et une vie résiliente, sans les contraintes de la propriété immobilière ? C’est l’exemple du éco-hameau H2O réalisé par AtticorA à Nantes-en-Ratier dans l’Isère comprenant 8 logements multiformats et intergénérationnels livrés en 2019. H(abitat)2O est le […]
Il y a 3 ans et 38 jours

10ème Championnat de France Cordistes les Jeudi 19 & Vendredi 20 mai 2022 à Lyon

Une décision prise collégialement par le conseil d'administration de France Travaux sur Cordes. En effet, les mesures sanitaires résultant de la pandémie risquaient de complexifier le déroulement et surtout de bouleverser l'une des valeurs principales : le professionnalisme de la compétition.Toute la profession et surtout les cordistes pourront enfin se retrouver les 19 et 20 mai prochains ! Et enfin décerner les 10ème titres de champions de France, individuel et par équipe !C'est le grand rendez-vous des cordistes. Durant deux jours, la compétition accueille plus de 100 participants venant d'une vingtaine d'entreprises. C'est surtout, le véritable rassemblement de la profession, avec des tables rondes, avec des échanges autour de la formation, de la sécurité, de l'évolution des techniques et du matériel, des stands de partenaires et fabricant de matériel spécialisé.« Le Championnat est pour l'ensemble des acteurs de notre profession un rassemblement fédérateur. Les contraintes liées aux mesures sanitaires du printemps dernier et les incertitudes trop grandes en avril ne permettaient pas de conserver la convivialité et les échanges propres à l'évènement. Nous espérons qu'au mois de mai, tout sera revenu un peu comme avant. Nous avons tous hâtes, de nous retrouver à la Sucrière à Lyon pour la première fois ! » affirme Jacques Bordignon, Président de France Travaux sur CordesUn rendez-vous fédérateur pour mettre sous les projecteurs un métier haut et physique !Les cordistes sont des ultras professionnels. Le championnat de France réunit l'ensemble des intervenants du bâtiment, de l'industrie ou des travaux publics, hommes et femmes qui exercent leur savoir-faire en utilisant les techniques d'accès et de déplacements sur cordes.C'est l'occasion de mettre en valeur la maîtrise technique, la performance physique et le savoir-faire de cette profession - Cordiste- un métier en expansion, aujourd'hui mis en lumière grâce à des chantiers historiques, tels que les travaux de consolidation de la cathédrale de Notre-Dame de Paris.Le métier de cordisteConditionné par une haute exigence en matière de sécurité, le métier de cordiste est unique par la diversité de ses activités (rénovation de bâtiments, maintenance de sites industriels, restauration de monuments historiques, travaux sur ouvrages d'art, sécurisation des voies de circulation, spectacle et événement, etc.) ainsi que par les différents environnements dans lequel il s'exerce.A ce jour, les métiers sur cordes représentent plus de 15 000 salariés et 656 entreprises répertoriées en France. Véritable corporation, le travail en commun, le professionnalisme, l'assistance mutuelle, le contrôle croisé et l'auto contrôle sont les mots d'ordre de ce métier hors du commun ou l'esprit d'équipe domine.10ème Championnat de France : deux jours, dix épreuves, cents participants hommes et femmes et des tables rondesC'est une grande compétition technique et pointue en perspective, complétée par des épreuves de secours. C'est un défi professionnel de taille pour tous les participants !Au-delà des épreuves en hauteur et spectaculaires, c'est une rencontre qui souhaite fédérer tous les acteurs de la profession. De nombreuses animations sont proposées sur les stands partenaires, favorisant les échanges et les rencontres professionnelles.Traditionnellement des tables rondes sont organisées autour de thématiques actuelle en collaboration avec des institutionnels indispensables pour la profession, donnant naissance à des avancées majeures.Suspendus sur les cordes à La Sucrière- LyonLieu emblématique des Docks au cœur du quartier Lyon Confluence, La Sucrière est un bâtiment industriel des années 30, entièrement rénové en 2011. Ce lieu chargé d’histoire a su conserver un patrimoine industriel en lui donnant une nouvelle vocation : la culture et l’événement. Le site accueille chaque année une cinquantaine de manifestations.Plus d’infos sur https://www.championnat-cordistes.com/
Il y a 3 ans et 38 jours

Une exposition fait le lien entre architecture et paysage

CULTURE. L'architecte paysagiste Daniel Jauslin interroge les liens existants entre l'architecture et le paysage, dans une exposition qui se tient jusqu'au 22 mai, à Paris. Films, photographies, 3D, maquettes... les mediums s'entremêlent pour donner une vision transversale de ce deux domaines.
Il y a 3 ans et 38 jours

Les acteurs de l'immobilier appelés à réagir aux propositions du groupe RBRT sur la marche

PROSPECTIVE. Le groupe "Réflexions Bâtiments Responsables Territoires" du Plan Bâtiment Durable sollicite les professionnels de l'immobilier et de l'urbanisme dans le cadre de sa réflexion intitulée "La ville, ça marche ? Le marcheur urbain face aux acteurs de la ville". Celle-ci s'intéresse au rôle et à la place du piéton dans notre environnement urbain futur, et propose à ce titre de développer trois démarches.
Il y a 3 ans et 38 jours

François Jallot nommé directeur de la Transformation du CSTB

François Jallot, ingénieur de formation, est nommé Directeur de la Transformation du CSTB par Étienne Crépon, Président de l'Établissement public, au service du bâtiment et de la ville de demain. Récemment créée, dans le cadre du projet d'entreprise du CSTB, cette nouvelle Direction coordonne les différents axes de travail dédiés à la transformation des outils et processus de l'Établissement, en lien avec les grands enjeux de la construction. Elle accompagne les équipes dans la conduite de ce changement. Parallèlement, François Jallot se voit également confier des missions connexes, pleinement ouvertes sur l'extérieur, à travers la Recherche et l'accompagnement de l'innovation : il est nommé Directeur du CSTB'Lab, incubateur d'entreprises innovantes, et Président de Bioguess, filiale du CSTB spécialisée dans la surveillance et la détection des polluants de l'air intérieur et la détection des infestations afin de préserver patrimoine et santé. En savoir plus : Communiqué de presse mai 2022
Il y a 3 ans et 38 jours

Ville de demain : Crédit Agricole Immobilier actionnaire de la startup nation

Qui a besoin d’architectes, d’urbanistes et de paysagistes pour créer la ville de demain ? Certainement pas le Crédit Agricole et son écurie de startupers. Le 25 avril 2022, Le Village by CA Paris, « accélérateur de startups qui accompagne les grands groupes/ETI vers le futur de leurs industries » fondé en 2014 par le Crédit Agricole, et […] L’article Ville de demain : Crédit Agricole Immobilier actionnaire de la startup nation est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 38 jours

Oise : requalification du parvis de l’église Saint-Antoine à Compiègne

La ville de Compiègne va réaménager la place devant l’église Saint-Antoine.
Il y a 3 ans et 38 jours

Bilan 2021 de l’ensemble du marché immobilier résidentiel

La tendance haussière, portée par l’atterrissage des taux de rendement des autres classes (principalement bureau et logistique) et par des taux d’emprunt toujours très bas, semble se confirmer pour le début 2022. Il faudra tout de même rester attentif à l’évolution et la mise en place des nouvelles réglementations environnementales ainsi qu’aux incidences du conflit russo-ukrainien.Le marché de la Vente en Bloc de neuf confirme son attractivitéAvec un volume total investi de 7,4 milliards d’euros, soit 7% d’augmentation par rapport à 2020, le marché de la vente en bloc a donc battu un nouveau record en 2021, avec 299 transactions.Le neuf, figure de proue des investisseurs, représente 57% de ce marché. La préférence marquée pour la construction s’explique par le changement de stratégie des promoteurs (vente en bloc vs lot par lot). Elle devrait se poursuivre avec la promulgation de la loi Climat et Résilience qui pousse les investisseurs à privilégier les logements les plus énergétiquement vertueux.Le marché de l’Ancien profite d’une année 2021 en nette augmentationAvec 1.178.000 ventes en 2021, soit une progression de 15% par rapport à 2020, le marché de l’immobilier résidentiel dans l’ancien a atteint un niveau record. Cette augmentation se retrouve notamment au niveau des prix avec une évolution nationale pour les maisons de 9%, et pour les appartements de 4,6% (une différence qui ne s’est pas produite depuis 2016). Le phénomène pourrait être lié à un effet post crise sanitaire porté par un besoin d’espace et d’extérieurs plus important et par la généralisation du télétravail, mais également à la forte hausse des prix dans les grandes métropoles qui a contraint une partie de la population plus modeste à s’éloigner des centres-villes.Si un léger ralentissement des prix se fait sentir sur le marché parisien, avec en moyenne 10 600 €/m² (soit -0,9% intramuros et -0,8% en Ile de France), le marché en Régions tire son épingle du jeu – notamment les zones péri-urbaines et rurales - avec une croissance importante des volumes (+15,4%) et des prix (+9,4% pour les maisons et +8% pour les appartements).« A moyen terme, la remontée des taux d’emprunt de ce début d’année 2022 couplée à l’inflation généralisée des coûts de construction pourraient davantage impacter le volume et les prix de ventes sur les années à venir. » Stéphane Imowicz, Président d’IKORYLe marché du Neuf reprend légèrement malgré l’impact de la crise sanitairePour le marché du résidentiel neuf, l’année 2021 se termine sur une note positive avec plus de 116.000 ventes réalisées, soit une hausse de 15% par rapport à 2020. Les mises en vente prennent la même trajectoire avec une hausse de 21% sur un an. L’offre commerciale, quant à elle, se contracte avec une baisse de 2% par rapport à 2020 et de 4% par rapport à la moyenne décennale.Le marché du Neuf souffre d’une pénurie de produits – malgré une hausse des permis de construire de 19% sur un an - pouvant s’expliquer par du foncier plutôt rare et cher, une demande soutenue, des coûts de construction en hausse, des délais administratifs trop long et des recours trop nombreux mettant en péril la rentabilité économique des projets.A moyen terme, le développement du neuf peut se trouver d’avantage impacté qu’aujourd’hui par des réglementations environnementales plus complexes à mettre en place et leurs conséquences en termes de valorisation.L’immobilier résidentiel en transitionLe parc immobilier résidentiel français est soumis à une importante évolution réglementaire avec, d’une part, la promulgation de la loi Climat et Résilience en août 2021 et, d’autre part, la mise en œuvre de la norme RE2020 depuis le 1er janvier 2022 pour les constructions neuves.Concernant les opérations neuves, la RE2020 ne concerne que les permis de construire déposés après le 1er janvier 2022 (pour les immeubles d’habitation) ; il n’y a donc encore que très peu de recul sur l’impact réel de l’application de la règlementation.Concernant les bâtiments existants, 4,8 millions de logements sont classés F ou G (33% à Paris intramuros) et sont donc à terme condamnés à être retirés du marché locatif s’ils ne sont pas rénovés et ce dès 2025 pour les plus dégradés d’entre eux. On observe une hausse des mises en vente de logements énergétiquement dégradés (8% pour les appartements, 7,4% pour les maisons), montrant la volonté des propriétaires d’arbitrer en priorité leurs actifs condamnés à l’obsolescence.La rénovation du parc existant constitue donc un enjeu majeur. D’autant qu’une étude des Notaires de France montre que les actifs résidentiels dégageaient en 2020 une plus ou moins-value par rapport à la moyenne selon leur classe énergétique. La décote va jusqu’à 20% pour des maisons et 14% pour des appartements. Il est cependant difficile d’en déduire la présence d’une valeur verte ou une décote brune, l’obsolescence thermique d’un actif ne venant jamais seule.« L’aspect contraignant des nouvelles réglementations mises en place va nécessairement se manifester dans les statistiques de volume et de prix dans les prochains mois. Si nous manquons à ce jour de données pour suivre ces transformations, les propriétaires institutionnels et privés sont déjà sur le terrain pour réagir : verdissement du parc, arbitrage des passoires thermiques, travaux de rénovation énergétique, le marché a bien compris quel était l’enjeu et se préoccupe déjà de trouver des réponses. » Stéphane Imowicz, Président d’IKORY
Il y a 3 ans et 38 jours

Des murs 100% paille pour cette petite maison écolo

BIOSOURCÉ. Près de Lyon, une maison en paille porteuse vient de voir le jour en plein coeur du quartier des Gratte-ciel de Villeurbanne. Espace associatif et lieu de travail, elle intègre le laboratoire urbain à ciel ouvert mis en place par la ville de manière temporaire en attendant le chantier de la ZAC en 2023.
Il y a 3 ans et 38 jours

« Zéro risque routier dans le BTP » : L’OPPBTP lance une campagne nationale pour mobiliser et sensibiliser l’ensemble des acteurs du secteur

En s’adossant à la Semaine de la Sécurité routière au travail, du 9 au 13 mai 2022, l’OPPBTP lance un dispositif national inédit de communication, d’information et de sensibilisation pour la prévention du risque professionnel dans le BTP. L’objectif est de fédérer l’ensemble des acteurs de la branche BTP pour accompagner les entreprises du secteur dans l’évaluation et la prise en compte du risque routier professionnel. Son ambition est claire : changer durablement les comportements pour atteindre le « zéro risque routier » dans le BTP.Le risque routier, toujours trop présent dans le BTPLa notion de risque routier professionnel englobe l’ensemble des risques d’accident plus ou moins grave lorsqu’un professionnel circule à bord d’un véhicule pour des raisons professionnelles. On distingue le risque trajet, survenant au cours du trajet domicile-travail ou entre le lieu de travail et le lieu de restauration, du risque mission, survenant à l’occasion d’un déplacement nécessaire à l’exécution du travail.Avec une grande diversité de véhicules (poids lourds, véhicules utilitaires, avec ou sans remorque...) et des spécificités propres aux métiers, tels que les déplacements de longue distance, le chargement du véhicule, l’arrimage des charges ou encore la signalisation temporaire sur les chantiers, le risque routier est particulièrement présent dans le secteur du BTP. Il touche tous les professionnels de la filière, à tous les niveaux de l’entreprise. De fait, le risque routier demeure la deuxième cause d’accidents graves et/ou mortels du secteur. En 2019, il a été à l’origine de 51 décès, dont 12 en mission et 39 accidents de trajet, soit 44 % de l’ensemble des accidents mortels recensés pour la branche BTP. De plus, si le BTP comptabilise 6 % des accidents de trajet tous secteurs confondus, il représente 14 % des accidents de trajet mortels.Une priorité pour le gouvernement et pour toute la branche BTPConscients de cet enjeu majeur pour les professionnels, la Délégation Interministérielle à la Sécurité Routière (DISR), la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam) et le Ministère en charge du travail ont mené de nombreuses actions, permettant notamment une meilleure connaissance du risque routier professionnel. Néanmoins, des efforts restent à fournir pour parvenir à faire baisser encore les accidents graves et mortels. Le Plan Santé Travail 4 et le Plan gouvernemental pour la prévention des accidents graves et mortels, qui a été présenté en mars 2022 par le Ministère du travail, prévoient donc de mobiliser l’ensemble des acteurs des branches professionnelles.Dans ce cadre, et pour la première fois, la DISR s’associe à une branche professionnelle en soutenant l’OPPBTP dans le lancement d’un dispositif national de prévention du risque routier dans le BTP et d’accompagnement terrain, en écho aux Journées de la Sécurité routière au travail, organisées du 9 au 13 mai 2022.Une campagne dédiée afin de mobiliser les acteurs de la branche BTPAinsi, du 9 mai au 17 juin 2022, la branche BTP se mobilise autour du risque routier professionnel, pour apporter des réponses aux problématiques spécifiques à ses métiers. L’OPPBTP portera un dispositif national de communication, d’information et de sensibilisation auprès de l’ensemble des acteurs du secteur, avec le soutien des institutionnels et partenaires mobilisés sur les questions de la sécurité routière : la Direction Générale du Travail, la Délégation Interministérielle à la Sécurité Routière, la Cnam, l’INRS, les organisations professionnelles d’employeurs et de salariés, les Services Interentreprises de Santé au Travail du BTP (SIST-BTP), le Groupe SMA BTP, PRO BTP et la Fondation du BTP.Ensemble, et avec l’ambition d’atteindre le « zéro risque routier » dans le BTP, ils souhaitent:Sensibiliser le plus grand nombre d’entreprises du BTP grâce à une offre d’information et de services variée, en lien avec les métiers et les spécificités du risque routier dans le BTP ;Publier un baromètre de la prise en compte du risque routier par les entreprises du BTP ;Accompagner un panel de 150 à 200 entreprises ciblées dans l’évaluation et la prise en compte du risque routier professionnel.Pour cela, le dispositif s’organise autour de trois axes principaux :Le déploiement d’importants moyens de communicationAfin de sensibiliser un maximum de professionnels du BTP, l’OPPBTP met à disposition des entreprises un kit complet de communication. Celui-ci comprend notamment une déclinaison de 10 affiches en lien avec les principaux risques pour les professionnels du BTP sur la route (alcool au volant, arrimage du matériel, surcharge des véhicules...), cinq vidéos de sensibilisation, un kit d’animation dédié à la campagne (bannières, logos...) ou encore des stickers et goodies. Une lettre de la prévention sera également envoyée en boîte aux lettres à l’ensemble des entreprises du BTP courant mai.Par ailleurs, le dispositif prévoit de l’achat publicitaire Google et une importante campagne de communication sur les réseaux sociaux, toujours dans l’objectif de toucher un maximum de professionnels du BTP.L’ensemble des supports de communication renvoient vers un site internet qui restera accessible tout au long de la campagne et qui y est entièrement dédié : zerorisqueroutierBTP.fr.Une campagne d’information et de sensibilisation au risque routier professionnelLes professionnels retrouveront sur ce site internet l’ensemble des ressources mises à disposition pour partager, sensibiliser et informer les équipes, avec :L’offre de services renouvelée et enrichie de l’OPPBTP, comprenant plus de 150 mémentos, solutions chantiers, questions/réponses, ouvrages, et affiches.Une cinquantaine de ressources complémentaires provenant des partenaires de la campagne, avec notamment celles du Groupe SMA BTP, les quizz de la DISR et l’outil d’évaluation risque routier professionnel de la Cnam.Un test d’auto-évaluation conducteur en dix questions simples, permettant d’identifier les meilleures solutions et outils pour améliorer son comportement sur la route et agir efficacement sur le risque routier.Les entreprises pourront également s’inscrire en ligne ou directement auprès des agences régionales de l’OPPBTP à des webinaires d’information animés par une équipe de 36 conseillers en prévention :Un webinaire sur le risque routier en général, pour mieux le comprendre et obtenir des conseils et des solutions sur des thèmes « tous publics », tels que le port de la ceinture, la fatigue, la vitesse, la responsabilité du conducteur...Deux webinaires plus techniques concernant les problématiques propres au BTP comme l’arrimage de charge, les travaux sous circulation, l’aménagement des véhicules...Afin de s’adapter à tous les publics, chaque webinaire sera décliné dans une version pour les chefs d’entreprise, encadrants et préventeurs d’une part, et pour les salariés, intérimaires et apprentis d’autre part.Une présence forte sur le terrain pour accompagner les professionnelsEnfin, l’OPPTBP souhaite mettre à profit ces 6 semaines de mobilisation pour aller à la rencontrer des entreprises, mieux comprendre leurs besoins et engager une démarche d’accompagnement.Pour cela, les conseillers de l’OPPBTP contacteront un panel représentatif de 1.000 entreprises afin d’évaluer leur niveau de maturité en prévention du risque routier et réaliser un diagnostic ciblé. Ainsi, un questionnaire portant sur le risque routier professionnel et leur culture prévention en général leur sera adressé, permettant de leur conseiller des actions de prévention en adéquation avec leurs besoins. L’Organisme se donne également l’objectif de prolonger cet accompagnement en présentiel auprès d’environ 200 entreprises pour lesquelles des besoins plus importants auront été identifiés.Les diagnostics réalisés ainsi que toutes les données recueillies durant la campagne permettront par ailleurs de disposer du premier baromètre de la prise en compte du risque routier dans le BTP, avec pour objectif d’organiser durablement l’action de la branche BTP en faveur de la prévention du risque routier.
Il y a 3 ans et 38 jours

Dabit, Perec – Spéculations autour de l’Hôtel du Nord

Parfois il m’arrive de regarder les petites annonces immobilières de Paris afin de vérifier la bonne tenue de l’énorme patrimoine immobilier constitué à partir des revenus prodigieux de ces chroniques mensuelles. Mes quartiers de prédilection sont le cinquième arrondissement, la Butte aux Cailles, Montmartre et le canal Saint-Martin, parmi les plus charmants de Paris et […] L’article Dabit, Perec – Spéculations autour de l’Hôtel du Nord est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 38 jours

La start-up des parkings YesPark veut électrifier ses places

Fondée en 2014, comptant une cinquantaine de salariés, la société gère près de 60.000 places de parking, notamment dans les sous-sols des immeubles de logement social.YesPark va profiter de ce tour de table pour déployer des bornes de recharge pour voitures électriques et hybrides, face à son concurrent Zenpark mais aussi aux géants du parking comme Indigo."D'ici 2025, nous allons équiper plus de 30.000 places de stationnement avec des bornes électriques et les proposer à la location longue durée sur notre plateforme à un prix accessible pour tous", a indiqué dans un communiqué Charles Pfister, un des jeunes cofondateurs de YesPark."Grâce au renforcement de notre solution technologique et au développement de l'entreprise, nous allons atteindre les 200.000 places d'ici 2025", a souligné M. Pfister, alors que le nombre de places baisse en surface et que les prix du stationnement augmentent.YesPark a levé ces fonds auprès de la Banque des Territoires et des fonds français Ring Capital, Sofiouest et Founders Future, tandis que la plateforme NEoT Green Mobility l'accompagne sur le financement des bornes de recharge.