Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

(35889 résultats)
Il y a 3 ans et 199 jours

Bétons non armés : La résistance en traction ne protège pas des chocs !

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine. Photo 1 – Carapace de protection d’une digue contre la houle. [©ACPresse] I – Résistance en traction ou résistance aux chocs ? L’ouvrage qui illustre notre propos est une carapace constituée d’énormes blocs en béton, destinée à protéger une digue et des piles de ponts contre les fortes houles et les tempêtes [Photo 1]. Et plus la houle est forte, plus les blocs doivent être lourds. Les tétrapodes et les Accropodessont les plus connus. Mais appelons “polypode” ce type de blocs. Ceux-ci se caractérisent par des surfaces polyédriques concaves. C’est-à-direcomposées de faces planes, plus faciles à coffrer. Avec notamment, à la naissance de chaque “pode”, une de ces arêtes creuses[Photo 2]. Pour des raisons économiques, mais aussi à cause des risques de corrosion, ces blocs sont non armés.  Or la cause principale de dégradation de la carapace résulte de la casse, soit au cours de la mise en œuvre, soit sous l’action des houles, dont les plus fortes peuvent soulever les blocs. C’est pourquoi, les spécifications sur le matériau exigent que la résistance en traction du béton dépasse une certaine valeur. Cependant, pour satisfaire cette exigence, les règles de l’art ne proposent qu’une seule voie : augmenter la résistance en compression… Cette approche paraît fondée, puisque la plupart des documents réglementaires fournissent des relations qui permettent de calculer une résistance en traction Tà partir de la seule valeur de résistance en compression C. Soit du type T= a + b.C, soit du type T= a.Cn, où l’exposant n= 1/2ou 1/3. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 199 jours

Europ’Equipement inaugure son 3e site de production

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Stéphane di Rocco, président d’Europ’Equipement.[©ACPresse] Europ’Equipement intègre aujourd’hui un nouvel outil de production. Pouvez-vous nous en dire plus à ce sujet ? Stéphane di Rocco :En effet, nous venons d’acquérir un bâtiment couvert, d’une superficie de 10 800 m2, implanté sur un terrain de 3 ha, sis sur la commune de Loué, dans la Sarthe. Cette halle vient compléter notre dispositif industriel qui comprend déjà notre usine historique de Guérande, en Loire-Atlantique, et celle d’Argentan, dans l’Orne.   Le nouveau bâtiment se divise en trois travées, avec une hauteur libre de 15 m, et intègre une dizaine de ponts roulants, d’une capacité allant de 10 à 25 t. Mais surtout, il permet à Europ’Equipement de bénéficier d’une cabine de peinture, qui lui manquait. Celle-ci présente une longueur de 16 m, pour une largeur et une hauteur de 6 m. Parfaite pour traiter certains sous-ensembles de nos centrales à béton.  Pourquoi avoir voulu cette acquisition ? Quels nouveaux services souhaitez-vous proposer à vos clients ?  En premier lieu, nous allons profiter d’une importante surface de stockage couverte. Aussi bien pour nos équipements neufs en attente de livraison, que pour les matériels en retour de chantier. Mais cette acquisition va nous permettre de lancer une activité connexe : celle du rétrofit sur nos centrales mobiles, comme sur celles de marques tierces. De quoi permettre de donner une seconde jeunesse à des équipements qui seront proposés en occasion… Ceci offre aussi la possibilité de nous ouvrir à la location de matériels.  L’ouverture de ce 3e site Europ’Equipement ne verra pas le déplacement d’outils de production déjà en place à Argentan ou Guérande. Nous avons fait le choix d’acquérir de nouveaux équipements comme des rouleuses, des presses plieuses, des cintreuses ou encore des postes à souder. Nous allons en particulier renforcer la production de silos et de trémies de stockage à granulats.  Par ailleurs, nous avons embauché une dizaine de nouveaux collaborateurs. Un effectif qui devrait être doublé dans les mois qui viennent. Y aura-t-il aussi des développements sur d’autres secteurs d’activité que la centrale à béton ? Lesquels ? Nous y réfléchissons, mais il est encore un peu tôt pour en dévoiler les contours… En attendant, la centrale à béton demeure notre marché cible. C’est pourquoi Europ’Equipement propose nombre d’équipements connexes, tels les doseurs à fibres. Nous savons aussi répondre aux demandes particulières – le fameux mouton à cinq pattes – ou construire des unités hors standards. Avec l’usine de Loué et son importante surface couverte disponible, les choses vont devenir plus simples.  Prévoyez-vous une augmentation générale de la production et/ou de la réduction des délais ?  Cela fait bien entendu partie des objectifs. Nous stockons déjà beaucoup de composants et sous-ensembles standards, ce qui joue sur les délais de livraison finaux. Mais cette nouvelle unité nous permettra d’aller plus loin. Par contre, l’idée d’augmenter la production sur un marché tendu en termes d’accès aux matières premières reste quelque peu compliquée en ce moment.  Peut-on imaginer une expansion en dehors des frontières nationales ? Europ’Equipement accompagne très souvent des grands groupes de BTP à l’international. A travers ce mode de fonctionnement, la part “export” a généré, certaines années, près de 50 % de notre chiffre d’affaires. Par contre, tenter l’aventure tout seul et en direct reste une affaire complexe, en particulier sur des marchés comme l’Espagne ou l’Italie, qui bénéficient d’une offre locale très diversifiée. Mais tout reste possible… Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 199 jours

Sarthe : Girpav ouvre une nouvelle usine près du Mans

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine La dernière-née des usines Girpav est entrée en service sur la commune de Maresché. [©Méhat Girpav] Depuis plus de 75 ans, Girpav est positionné comme un spécialiste des produits en béton destinés à l’aménagement extérieur. Au programme, plaques de soubassement en béton pour clôtures métalliques, composite, aluminium, clôtures traditionnelles et décoratives en béton, produits de sol en pierre reconstituée : pavés, dalles, bordures et caniveaux. L’ensemble est commercialisé sous les marques Girpav, Méhat et Clôtures Nicolas.  Pour renforcer son outil de production, l’industriel vient de mettre en service une toute nouvelle usine de préfabrication à Maresché, commune située à environ 25 km au Nord du Mans. Il bénéficie ainsi d’un emplacement stratégique, en plus du soutien de la Région Pays de la Loire. Lire aussi les autres actualités en région Complétant les usines déjà implantées dans le Calvados, le Loiret, le Morbihan, l’Oise et les Vosges, la nouvelle unité vise à répondre aux demandes de ses clients historiques du Grand Ouest : négoces matériaux et distributeurs spécialisés. Et devrait permettre de conquérir de nouveaux clients sur tout le territoire français… Après 18 mois de travaux, l’usine de 6 500 m2 implantée sur une parcelle de 10,5 ha vient de démarrer sa production. Une vingtaine de collaborateurs travaillent actuellement sur le site (production et administratif), et quelques embauches sont prévues dans les mois à venir… Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 199 jours

Rhône : BML se met au vert

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Les bétons BML Green sont proposés à partir de la plupart des centrales du groupe de BPE lyonnais éponyme. [©BML] A la tête de 24 centrales, Bétons des Monts du Lyonnais (BML) est le premier acteur indépendant du BPE de la région Auvergne – Rhône-Alpes. Et, à ce titre, se doit de se montrer exemplaire. Ainsi, la terminologie “bas carbone” n’est pas qu’une simple expression… « Nous travaillons de longue date avec le laitier Ecocem pour formuler nos bétons »,explique Alexandre Bellier, responsable qualité de l’entreprise. Le matériau est utilisé en addition. La concentration à 30 % donne naissance au béton à empreinte carbone réduite BML Green. A 50 %, on passe au BML Green +, un béton d’ingénierie comme le définit la norme NF EN 206/CN. « Ces deux formulations constituent l’essentiel des demandes en matière de bétons bas carbone. » Enfin, le BML Green Premium est le haut de gamme de l’offre. Là, l’industriel propose une approche performantielle, donc une formulation sur mesure avec un dosage en laitier oscillant entre 55 et 60 %. Côté ciments, BML fait appel à quelque trois fournisseurs et utilise en majorité des CEM I et CEM II comme base de ses formulations.  Lire aussi les autres actualités en région « L’attente “bas carbone” émane des grandes villes, de Lyon pour ce qui nous concerne. A quoi s’ajoutent des demandes plus ponctuelles en Savoie », reprend Alexandre Bellier. De fait, l’offre BML Green n’est pas disponible partout, mais au niveau des unités plus urbaines. Toutefois, l’industriel saura proposer ces bétons sur chaque centrale, si la demande est là. « Nous allons vers des métiers de plus en plus techniques. Aussi, nous nous devons d’accompagner nos clients sur leurs chantiers. » Ceci, en suivant une évolution constante. « En termes de bétons et de formulations, ce qui est vrai aujourd’hui ne le sera plus dans 5 ans », conclut Alexandre Bellier.  Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 199 jours

Voyage au cœur des centrales à béton

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine En 2020, selon les chiffres Evolis/Seimat, il s’est vendu 35 centrales à béton neuves sur l’ensemble du territoire national. L’année précédente, ce nombre était de 43… Quant à 2021, les choses ne se présentent pas bien du tout, avec un recul de près de 50 % des commandes sur le premier semestre. Le contrecoup de la période Covid, sans doute. En parallèle subsiste le marché de la rénovation/modernisation des outils industriels. Mais là, aucun chiffre ne permet d’évaluer son poids. Toutefois, l’important est qu’il crée des opportunités de collaborations pour les acteurs de la centrale à béton. Aujourd’hui, on en dénombre une quarantaine. Les pages qui suivent permettent de les découvrir… A2P Concept : En neuf et en rénovation A2P Concept propose aussi bien de la rénovation de centrales à béton que des projets neufs sur mesure. [©A2P Concept] Basée en Dordogne, A2P Concept est une société exerçant une double activité. D’un côté, le conseil en engineering de process. De l’autre, le développement de centrales à béton (BPE et préfabrication), mais aussi d’équipements de carrières, de gestion du recyclage des eaux et des poussières.  Dans le domaine plus particulier de la centrale, A2P Concept propose aussi bien de la rénovation d’outils existants que des projets neufs sur mesure. Ou, tout simplement, la vente de pièces détachées. « Par exemple, notre prestation de rénovation peut aller du simple remplacement de la bascule à eau à l’installation d’un bloc-malaxeur dans son ensemble », indique Alexandre Pascale, directeur général d’A2P Concept. Pour les projets neufs, l’industriel offre plusieurs solutions d’implantation de centrales : horizontale ou verticale, suivant le cahier des charges. Mais aussi, en fonction de la topographie du terrain ou des contraintes d’accès. L’ensemble, depuis l’étude jusqu’à la réception finale. Quant à la fourniture des pièces détachées, elle est, bien entendu, orientée vers la centrale à béton. Et peut intégrer une prestation de montage. Le programme est vaste, allant des simples pièces d’usure du malaxeur jusqu’aux sécurités de remplissage des silos à ciments. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 199 jours

Aveyron : L’Atelier Béton s’affirme

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Préfabrication d’un élément destiné au chantier du Domaine de Caillavet, à Mérignac, près de Bordeaux. [©L’Atelier Béton] L’histoire de la création de l’Atelier Béton est liée à celle de son fondateur, David Carvalheiro. « J’ai été conducteur de travaux dans la région toulousaine, pendant 10 ans. Puis, j’ai pris la direction d’une usine de préfabrication. Cela a duré un an. La période m’a permis de comprendre l’intérêt de la technique et qu’il y avait sans doute une opportunité dans l’Aveyron, dont je suis originaire. » En contact avec les avec les instances locales, l’Atelier Béton a trouvé chaussure à son pied, à Mayran. Lire aussi les autres actualités en région « Nous avons un atelier couvert de 800 m2 avec deux ponts roulants. Un atelier de menuiserie de 300 m2, quelque 100 m2 de bureaux et un parc bétonné de 6  000 m2 avec une grue à tour. Le tout avec 22 employés. » Une structure qui permet à l’Atelier Béton de produire des pièces sur mesure de 10 t au maximum. Surtout pour le marché du logement et de l’industrie, sur le quart Sud-Ouest du pays, de Nîmes à Bordeaux en passant par Perpignan et Toulouse. A l’heure actuelle, l’industriel intervient notamment sur les chantiers du Domaine de Caillavet pour Eiffage, à Mérignac ou la Zac Malepère de Toulouse pour Stibot.  Des opérations qui lui permettent de produire 4 000 m3/an  de pièces bétonnées. « Nous sommes désormais dans une phase de stabilisation. Même si nous avons acquis un terrain adjacent à notre atelier actuel. Pour progresser en parts de marché, il nous faudra investir dans de nouveaux bâtiments. Cela se fera peut-être à moyen terme. » Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 199 jours

Lilian Bourgeat : Bloc béton, version XXL

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine [©Courtesy Galerie Lange + Pult] L’artiste dijonnais Lilian Bourgeat (né en 1970) met à mal le rapport d’échelle entre son œuvre Parpaing, bloc béton XXL et les spectateurs tout petits que nous sommes. Cette pièce est réalisée en polystyrène et résine polyuréthane projetée. Elle souligne ainsi le caractère inadapté de l’être humain dans un tel espace. Tout est ici hors de proportion, le spectateur face à la sculpture gigantesque de 6 m de haut apparaît minuscule. Il entre dans l’univers de Gulliver, lors de son second périple à Brobdingnag. Jonathan Swift (1667-1745), l’auteur de ce récit, situe ce lieu dans l’océan Pacifique entre le Japon et l’Amérique. Lemuel Gulliver, le héros, se retrouve alors dans la situation inverse de Lilliput, son premier voyage : tous les Brobdingnagiens sont des géants. Le spectateur est ainsi réduit à regarder l’œuvre d’en bas, dans sa globalité. Le Parpaing le submerge en totalité, mais ne l’écrase pas. Il perd sa notion courante d’objet du quotidien. L’œuvre revêt une autre fonction que celle originelle. « Je fais référence aux “Ready-made” de Marcel Ducamp dans les années 1910. Je détourne un objet, somme toute banal, pour lui donner une dimension artistique », explique l’artiste. Parpaing semble devenir lui-même une forme d’architecture, une structure d’urbanisme à part entière. De par leur taille, les alvéoles peuvent en effet évoquer des fenêtres ou des portes. « On dirait alors une unité d’habitation. » L’échelle saisit, tout comme fascine le geste de reproduction. Dans ce sur-dimensionné, l’artiste ne recherche pas vraiment l’émerveillement, mais plutôt induit le piège physique du spectateur, qui est littéralement dépassé… Un juste retour de notre position d’humain par rapport aux choses. « Ce que j’aimerais faire, c’est réalisers le Parpaing au plus près de la réalité, c’est-à-dire en béton. Je vois déjà trois ou quatre exemplaires géants, debout ou couchés. Ceux qui resteraient à la fin d’un chantier. » Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 199 jours

« Les bailleurs et les copropriétés entrent dans le plan Nature », Pierre Athanaze, vice-président du Grand Lyon

Entré en politique à 60 ans après une carrière de cadre territorial chargé de services d’espaces verts et une vie militante consacrée à la protection de la nature, Pierre Athanaze se sent chez lui au salon Paysalia, qui rassemble les professionnels du paysage du 30 novembre au 2 décembre à Lyon. Le vice-président de la métropole chargé de l’environnement y a présenté le plan Nature approuvé le 21 juin dernier par la collectivité.
Il y a 3 ans et 199 jours

Dossier : Pour des ouvrages bien entretenus

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Bien entretenu, un ouvrage d’art peut espérer une durée de vie très longue. [©Cérib] Pour assurer la continuité de service d’une route, la protection d’un territoire ou pour retenir la puissance de l’eau, les ouvrages d’art peuvent revêtir plusieurs fonctions. Pour ces réalisations de génie civil, l’art est invoqué comme un gage de technicité, d’ingénierie et parfois même d’esthétisme. En effet, ces ponts, barrages ou encore tunnels doivent impérativement être réalisés dans les règles de l’art. La durabilité et la sécurité sont les maîtres-mots de leur conception. Ils sont construits pour tenir dans le temps et pour résister aux différentes contraintes de leur environnement. Cependant, ces ouvrages demandent un entretien et une attention particulière. Plusieurs drames le démontrent, comme à Laval, au Québec en 2006 et le viaduc de la Concorde ou encore à Gênes, avec le pont de Morandi, en 2018. La question de l’entretien et de la rénovation de ces réalisations est donc tout aussi importante que la conception. Toutefois, si on prend le seul exemple des ponts, en France, leur nombre exact et leur état restent un mystère, alors que la circulation ne faiblit pas. Pourtant, dans le monde du béton, les techniques et solutions de rénovation et de réparation ne manquent pas. Tout comme les entreprises spécialisées dans ce domaine. Ce dossier revient sur le travail et les solutions d’acteurs qui gravitent autour de cette thématique. Sommaire du dossier : Strres : Dégradation des ponts, une histoire sans finGMH : « Il faut laisser vivre les ouvrages »Le Cérib lance le service KairosPont de Noirmoutier : Réparer et protéger pour plus de durabilité Dossier préparé par Sivagami Casimir et Frédéric Gluzicki Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 199 jours

Radicalité massive : en Suisse, Perraudin et Archiplein livrent des logements en pierre

Edouard Cailliau et Thomas Lecourt sont diplômés de l'ENSAP de Lille, respectivement en 2011 et 2010. Avant de fonder leur agence en 2017, Edouard Cailliau et Thomas Lecourt ont travaillé pendant dix ans dans des agences lilloises telles Face B, Plaatform, ou Beal & Blanckaert. Ils ont choisi d'appeler leur structure Rijsel (Lille, en flamand) pour évoquer […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 200 jours

La piscine d’Orléans-La Source bénéficie d’une technique nouvelle d’isolation FOAMGLAS

Caractérisé par une toiture légère avec forte pente et une façade en bois et métal, le grand bassin de la piscine d’Orléans-La Source a été entièrement isolé en verre cellulaire FOAMGLAS® T3+. Les nombreux sinistres observés dans le passé montrent à quel point les contraintes constructives sont importantes en milieu humide. Le verre cellulaire FOAMGLAS®, isolant étanche à l’eau et à l’air, pare-vapeur dans la masse, permet d’isoler avec efficacité les toitures et les façades des piscines. L’isolation thermique du clos et couvert de la nouvelle piscine d’Orléans-La Source fut un véritable défi. Afin de respecter l’esprit de la première piscine réalisée par l’architecte Olivier-Clément Cacoub en 1972, Arcos Architecture et GL Architecture ont conçu une œuvre avec des toitures fortement inclinées et une façade à ossature bois. Celle-ci supporte différents parements, dont des coques en polyester en forme de losange. L’isolation thermique FOAMGLAS® en toiture de piscine sur bacs acier bénéficie d’un retour d’expérience exceptionnel de plus de 50 ans en Europe. L’isolation thermique FOAMGLAS® en ITE sur élément porteur en bois en milieu humide est, quant à elle, une technique nouvelle, sous Cahier des Charges validé par le Bureau de Contrôle Alfa Contrôle. La piscine d’Orléans-La Source est la première piscine ainsi isolée. Les plaques isolantes, collées sur le bois, collées entre elles et fixées mécaniquement au bois avec des pattes spécifiques PC ancrage F, forment une couche isolante parfaitement étanche qui protège efficacement le bois. Maîtrise d’ouvrage : ville d’Orléans Assistance maîtrise d’ouvrage : Solon avocats, H3P, Aemco, Sogeti Maîtrise d’œuvre Architectes : Arcos Architecture et GL Architecture BET structure : 3IA BET fluides : Artelia BET VRD : INCA Acousticien : Roland Starace Paysagiste : Brigitte Barbier Marché global de performance Mandataire : BFC Maintenance : IDEX Couverture et façade : Braun Étanchéité Infos projet Surface : 6 119 m² Surface de plan d’eau : 1 770 m² Bassin olympique extérieur avec sas 8 lignes : 1 035 m² Bassin de natation intérieur 25 x 15 m : 375 m² Bassin polyvalent intérieur : 270 m² Bassin de plongée intérieur – 6,5 m de profondeur : 30 m² Lagune de jeux extérieurs : 60 m²  
Il y a 3 ans et 200 jours

Équipements pour sports très urbains à La Villette

Mercredi 1er décembre 2021, le Pavillon de l’Arsenal a dévoilé les douze projets lauréats de FAIRE 2021, son appel à projets urbains innovants ouvert aux architectes, créatrices et créateurs, designers, ingénieurs, paysagistes, urbanistes, qui souhaitent interroger les process de fabrication de la ville. Pour sa cinquième […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 200 jours

« La ville du quart d’heure » de Carlos Moreno, Prix Obel 2021

Mercredi 1er décembre 2021, le Pavillon de l’Arsenal a dévoilé les douze projets lauréats de FAIRE 2021, son appel à projets urbains innovants ouvert aux architectes, créatrices et créateurs, designers, ingénieurs, paysagistes, urbanistes, qui souhaitent interroger les process de fabrication de la ville. Pour sa cinquième […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 200 jours

Feebat Partenaire Des Premières Assises Nationales Des Écoles D’architecture

En octobre dernier, dans l’agenda des Journées Nationales de l’Architecture 2021 s’inscrivaient les premières Assises nationales des écoles nationales supérieures d’architecture et de paysage (ENSAP). Un événement majeur organisé par le ministère de la Culture, en collaboration avec l’ENSA Normandie et l’École de Chaillot, dont FEEBAT était partenaire. Le thème « TRANS-FORMER : l’intervention de l’architecte sur l’existant » entre en résonance avec les objectifs du programme FEEBAT : accompagner la montée en compétences des acteurs sur la rénovation énergétique des bâtiments. En ouverture, la ministre de la Culture, Roseline Bachelot, a salué l’organisation de ces Assises dédiées aux mutations à l’œuvre dans le métier d’architecte face au défi d’un bâtiment plus économe et plus respectueux de l’environnement. Retour sur les Assises des ENSAP.
Il y a 3 ans et 200 jours

En Corse, plus de fouilles archéologiques en quatre ans qu'en 100 ans

"Il y a eu depuis 2018 environ 70 diagnostics et une trentaine de fouilles qui en ont découlé. Il n'y en avait pas eu autant depuis 100 ans et ce qu'il y a eu depuis 100 ans n'était déjà pas négligeable", s'est félicité le président de l'Inrap, Dominique Garcia, de passage pour un séminaire au musée archéologique de Lucciana (Haute-Corse)."C'est lié à la dynamique de l'aménagement territorial dans l'île et aussi à une politique volontariste de prescription de l'Etat pour mieux connaître l'histoire archéologique de la Corse", a-t-il avancé pour expliquer la forte augmentation des fouilles préventives qui consistent à explorer les terrains pour voir s'il y a du patrimoine historique avant toute construction."Nationalement, l'Inrap en moyenne annuelle c'est 2.200 diagnostics et plus de 200 fouilles par an. Sur les 4 dernières années en Corse, c'est une centaine d'opérations, la densification des opérations en Corse s'est décuplée", a insisté le directeur général de l'Inrap, Daniel Guérin."C'est parce qu'il y a ce dynamisme que nous avons fait le choix en 2018 d'ouvrir un centre de recherche à Vescovato (Haute-Corse) et d'y implanter une équipe pérenne d'une dizaine d'agents permanents, épaulée d'une dizaine d'autres personnes en CDD", a ajouté M. Guérin, évoquant "une dynamique presque inégalée ailleurs sur le territoire national".Parmi les découvertes les plus notables ces dernières années dans l'île figurent celle d'une nécropole antique en avril à l'Ile-Rousse (Haute-Corse) et d'une tombe étrusque à Aléria en mars 2019 qui a eu "des retombées internationales", notamment italiennes, selon M. Garcia.L'Inrap a été créé en 2001 par l'Etat qui a institué, en même temps, l'obligation de diagnostics et, si nécessaire de fouilles, sur tout aménagement (construction de parkings, routes, supermarchés, etc.) dans une zone sensible sur le plan archéologique.L'institut a une double activité: d'un côté les diagnostics préventifs subventionnés par les pouvoirs publics, de l'autre les fouilles proprement dites, ouvertes au privé et donc soumises à concurrence depuis 2003.
Il y a 3 ans et 200 jours

Le chantier de l’ancien siège d’Airbus met l’accent sur l’économie circulaire

Acquis par Vilogia en 2019, l’ancien siège du Groupe Airbus à Suresnes est en train de devenir un bâtiment multi-usage qui accueillera une résidence étudiante de 270 logements, des commerces, des services et des entrepôts de stockage. Réalisés en conception-réalisation par un groupement piloté par Bouygues Bâtiment Ile-de-France Habitat Social, les travaux mettent l’accent sur l’économie circulaire. L’opération s’inscrit dans les objectifs environnementaux de Vilogia. En privilégiant la transformation de l’existant, Vilogia permet de réaliser une économie de 1 700 tonnes de CO2 par rapport à une opération de démolition/reconstruction classique. Les objectifs en termes de performance énergétique sont ambitieux : les logements seront labellisés NF Habitat HQE – QUALITEL (intégrant notamment la RT 2012 améliorée de 10%), malgré les contraintes que représentent une construction existante dans les bilans thermiques. La biodiversité n’est pas en reste, puisqu’un travail sera mené avec un paysagiste pour la création d’espaces verts en rez-de-chaussée et en terrasse. Enfin, les matériaux et produits présents in situ seront prioritairement réutilisés dans des filières de l’économie circulaire. A défaut de filière, les autres produits et matériaux seront recyclés. Plus de 85% des matériaux seront ainsi réemployés ou recyclés comme 1000 m² de pierre de façades récupérées sur site, et réemployées dans le nouveau projet, 150 mètres de linaire de cloisons vitrées réemployées dans un centre de formation, 1 000 m² de faux plafonds réemployés, 110 stores réemployés…   Photo : Tecnova Architecture  
Il y a 3 ans et 200 jours

Construction bois : une salve d'appels à projets pour l'innovation et le bas-carbone

INDUSTRIE. Le Gouvernement vient de présenter les lauréats de la première vague de l'appel à projets "Industrialisation de produits et systèmes constructifs bois et autres biosourcés", tout en lançant en parallèle un autre appel à projets intitulé "Mixité pour la construction bas-carbone". Des démarches qui s'inscrivent dans les Programmes d'investissements d'avenir et de France Relance pour soutenir l'innovation dans le domaine de la ville durable.
Il y a 3 ans et 200 jours

Malgré la reprise, l'immobilier commercial toujours fragilisé par la pandémie

Des secteurs en difficulté, d'autres en plein boomLe commerce n'a pas été touché de manière uniforme par la pandémie. L'alimentaire par exemple en a plutôt profité, les supermarchés étant restés ouverts. L'équipement de la maison a aussi bien tenu : les Français se sont équipés pour télétravailler et beaucoup ont redécoré ou aménagé leur lieu de vie après y avoir passé de longs mois confinés. Selon la Fédération de promotion du commerce spécialisé (Procos), c'est l'un des seuls secteurs à avoir dépassé ses ventes d'avant-crise.En revanche, la mode - qui connaissait déjà des difficultés structurelles - et la beauté/santé ne remontent par encore la pente. Leur activité en magasin a baissé d'environ 20% sur les dix premiers mois de 2021 par rapport à 2019.Une reprise inégale selon les formatsAu total, les magasins dits "non essentiels" ont été fermés entre trois et six mois et demi depuis mars 2020. Les centres commerciaux ont été les plus touchés car ils ont dû fermer progressivement à partir de février jusqu'à la fin du troisième confinement, avant de se voir imposer en août le pass sanitaire, dans les régions où l'épidémie circulait le plus. Les magasins ont encore du mal à retrouver leurs niveaux de fréquentation d'avant-crise : seules les zones commerciales à ciel ouvert en périphérie des villes ont tiré leur épingle du jeu."Avec le télétravail, les Français se sont mis à consommer plus proche de chez eux, donc souvent en périphérie des villes", analyse auprès de l'AFP Christian Dubois, du cabinet Cushman & Wakefields. Être situés en plein air plutôt que dans des lieux clos, plus anxiogènes en période de pandémie, aurait aussi joué en leur faveur selon le spécialiste."Tensions sur les loyersLes confinements ont réveillé des tensions entre bailleurs et commerçants sur les loyers. Chaque confinement a été différent : pour le premier, il a fallu trouver des accords à l'amiable. Certains bailleurs ont fait des gestes mais d'autres ont été plus durs envers leurs locataires. Avec pour résultat une multitude de procédures juridiques engagées.Pour le deuxième confinement, l'État a créé un crédit d'impôt pour inciter les bailleurs à faire des remises sur les loyers. Lors du troisième, il a promis de prendre en charge les loyers de certains magasins fermés mais l'aide n'a pas encore été versée. Selon le Comité national des centres commerciaux (CNCC), le taux de loyers impayés était encore de 20% au troisième trimestre 2021."On comprend le stress vis à vis des actionnaires mais cela ne doit pas légitimer des attitudes excessives", assure à l'AFP Emmanuel Le Roch, délégué général de Procos, qui évoque des menaces de mettre fin aux contrats ou de saisies sur comptes bancaires.La crise a tout de même poussé de nombreux bailleurs à se recentrer sur le taux d'effort des magasins : le ratio entre leur chiffre d'affaire et le montant de leur loyer.À l'avenir, Christian Dubois estime que les centres commerciaux qui sauront s'entendre avec leurs locataires autour de leur taux d'effort seront ceux qui s'en sortiront de manière pérenne.Autrement, certains commerçants pourraient mettre la clé sous la porte. Selon les données de l'entreprise d'analyse de données Codata, la vacance commerciale en 2020 a ainsi dépassé le seuil de 10%, une première. Même chose sur les huit premiers mois de 2021. La vacance commerciale s'est surtout développée dans les petits centres commerciaux et les grands centres-villes, qui ont plus souffert de la baisse du tourisme international et du télétravail.
Il y a 3 ans et 200 jours

Le nouveau CM Connect d’Alfa Laval digitalise les process hygiéniques

  Le nouveau système de surveillance connecté CM Connect d’Alfa Laval permet d’accéder à distance aux données des équipements rotatifs. Avec sa connection au Cloud et son fonctionnement par abonnement, il marque une nouvelle étape vers la numérisation des données pour stimuler l’innovation et la croissance des clients dans les applications hygiéniques. Les données sur le temps de fonctionnement, l’analyse des tendances et le délai avant le prochain entretien aident les opérateurs d’usine à prendre des décisions éclairées sur la maintenance, depuis n’importe quel appareil connecté. Cela permet de protéger la continuité des process et les actifs critiques, d’améliorer la sécurité sur le lieu de travail et d’obtenir un avantage concurrentiel, tout en économisant du temps et de l’argent. Maximiser l’efficacité de l’usine, minimiser les temps d’arrêt non planifiés Alors que l’industrie 4.0 évolue, CM Connect constitue une nouvelle étape naturelle dans le parcours de numérisation du client en élargissant la gamme de solutions de surveillance d’Alfa Laval. Grâce à une visibilité sur tous les actifs connectés, les opérateurs de l’usine peuvent détecter les problèmes impactant les performances, prévenir les temps d’arrêt non planifiés et améliorer la gestion des actifs. Agissant comme une passerelle via Bluetooth, CM Connect peut relier jusqu’à 10 moniteurs de vibrations sans fil CM Alfa Laval. Il transmet ensuite les données sur un réseau 4G vers le Cloud pour examen et analyse sur un tableau de bord intuitif et convivial. Notifications avancées en temps réel Une analyse avancée des vibrations de l’équipement permet de détecter tout écart par rapport aux seuils prédéfinis. En cas d’écart, un SMS ou un e-mail prévient les utilisateurs, qui peuvent prendre des mesures en temps réel en fonction de l’analyse des données. « Concentrez-vous sur l’important. CM Connect permet aux opérateurs d’usine de planifier et de prioriser la maintenance en se basant sur des données concrètes », déclare John Walker, responsable du portefeuille des pompes chez Alfa Laval. « Plutôt que de remplacer les pièces d’usure avant la fin de leur durée de vie effective, les opérateurs peuvent consacrer du temps et de l’argent au moment et à l’endroit où la maintenance est nécessaire. » En plus de relier les systèmes de surveillance de vibrations CM, CM Connect peut également servir de capteur. Il mesure les vibrations, la température interne et le temps de fonctionnement total lorsqu’il est monté sur les pompes Alfa Laval LKH, SRU, SX et DuraCirc, ou sur d’autres machines rotatives, telles que les agitateurs ou les mélangeurs. Vers une numérisation renforcée Dans le cadre de son engagement à se positionner comme pionnière de la transformation numérique dans les applications hygiéniques, Alfa Laval explore et développe des solutions industrielles 4.0 pour renforcer l’avantage concurrentiel des clients. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.alfalaval.fr/cmconnect.   Pour plus d’informations, merci de contacter : Virginie Nordmann Marketing & Communication Manager, Alfa Laval virginie.nordmann@alfalaval.com Tel : +33469167646   Nous sommes Alfa Laval Alfa Laval est actif dans les domaines de l’énergie, de la marine, ainsi que l’alimentation et l’eau, offrant son savoir-faire, ses produits et ses services à un large éventail d’industries dans une centaine de pays. L’entreprise s’engage à optimiser les processus, à créer une croissance responsable et à favoriser le progrès – en allant toujours plus loin pour aider ses clients à atteindre leurs objectifs professionnels et de développement durable. Les technologies innovantes d’Alfa Laval sont dédiées à la purification, au raffinage et à la réutilisation des matériaux, favorisant ainsi une utilisation plus responsable des ressources naturelles. Elles contribuent à augmenter l’efficacité énergétique et la récupération de la chaleur, à améliorer le traitement de l’eau et à réduire les émissions. Alfa Laval accélère ainsi non seulement le succès pour ses clients, mais aussi pour les personnes et la planète. Pour rendre le monde meilleur, chaque jour. C’est tout cela, Advancing better. Alfa Laval compte 16 700 salariés. Ses ventes en 2020 se sont élevées à environ 4 milliards d’euros. La société Alfa Laval est cotée en bourse au Nasdaq OMX. www.alfalaval.fr 
Il y a 3 ans et 200 jours

Saint-Cyr-en-Arthies : l’éco-hameau du Vexin va bientôt voir le jour

Le nouvel éco-hameau de Saint-Cyr-en-Arthies devrait être prêt d’ici 2023.
Il y a 3 ans et 200 jours

Melun : une nouvelle structure d’accueil en cours de construction

Melun va bientôt disposer d’un nouvel équipement dédié aux gens du voyage. Il s’agit d’un terrain familial, qui devrait être opérationnel en 2022.
Il y a 3 ans et 201 jours

Alkern dévoile en avant-première sur Paysalia ses nouveaux catalogues 2022 et une offre dédiée aux professionnels de la piscine

Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, ALKERN en profitera pour mettre en lumière une offre dévolue aux professionnels avec ses Kits Piscine : des solutions en pierre reconstituée, clés en mains, livrées sous 15 jours partout en France et regroupant l’ensemble des produits nécessaires à l’habillage esthétique et pérenne des contours et plages de bassins aux dimensions allant jusqu’à 5 x 10 mètres.ALKERN sur Paysalia : de nouvelles éditions régionales pour trouver, à coups sûrs, son aménagement extérieur Le premier fabricant français de produits préfabriqués en béton profite de cet événement majeur pour mettre en lumière, sur son stand 6A102, les 3 nouvelles éditions régionales 2022 dédiées aux solutions pour l’aménagement extérieur (Nord IDF Centre Est, Sud-Est et Grand Ouest)… Exit le catalogue national unique riche de 2.500 références, place à une lecture plus simple et aux réponses couramment attendues et fabriquées régionalement, avec par exemple, une offre de pavés bien plus importante pour le Nord et de dalles dans le Sud. Une nouvelle offre qui va également dans le sens du développement durable puisqu’à la source d’un meilleur bilan carbone…Avec un panel de trois catalogues comme dignes reflets des spécificités régionales et de l’exhaustivité des solutions ALKERN, l’industriel qui dispose de plus de 50 sites de production sur l’Hexagone, a résolument misé sur une clarification de ses offres. Ces nouveaux catalogues, tirés à 35.000 exemplaires et disponibles en ligne sur le site alkern.fr, font en effet la part belle à la découverte de nombreuses solutions béton et pierre reconstituée, alliant technicité et esthétisme, qu’il s’agisse de pavés, dalles, bordures, margelles, terrasses, murets, piliers…Ces éditions inspirantes de 160 pages séduisent d’emblée par leur lecture plus facile, avec les « plus-produits » clairement mis en avant. Notons que si la richesse des illustrations aide à se projeter pour choisir aisément et assurément sa référence, ALKERN impulse une innovante arborescence pour la découverte de son offre au travers de 3 Univers : Jardin (dalles, pavés, gamme drainante, accessoires, piliers et couronnement, fontaines), Piscine (Kits, Margelles, Accessoires) et Décoration (parements et carrelages - pour le Grand Ouest-). Dans la même logique mentionnons enfin que l’offre tarifaire a elle aussi été repensée afin d’offrir une plus grande lisibilité avec une colonne tarif public HT et 3 niveaux de remises (départ, franco camion complet et franco 6/16 palettes).Les Kits Piscine ALKERN : des solutions clés en mains livrées sous 15 jours Précisons par ailleurs que Paysalia constitue aussi l’opportunité pour ALKERN de conforter sa position de partenaire privilégié des professionnels de la piscine. Toute l’expertise ALKERN, déjà reconnue et appréciée de ces acteurs, se cristallise dans d’innovantes offres qui leur sont spécialement dévolues. Avec ses nouveaux Kits Piscines, service unique sur le marché, ALKERN propose en effet aux professionnels une réponse simple et économique qui leur fait gagner en temps comme en sérénité. Ces kits complets (margelles, angles et produits de mise en œuvre) correspondent aux dimensions d’une grande majorité de bassins, qu’il s’agisse de piscines ou de couloirs de nage pour des dimensions types de 4 x 8 m, 3 x 9 m et 5 x 10 mètres.Précisons que les Kit Piscines ALKERN sont livrés sous 15 jours. Une solution alliant réactivité et souplesse libérant de la trésorerie, qui évite la gestion du stockage pouvant se prolonger à cause des aléas météo et autres reports possibles de chantier.
Il y a 3 ans et 201 jours

A Paris-Saclay, groupe scolaire cherche maîtrise d’œuvre

L’EPA Paris-Saclay recherche une maîtrise d’œuvre pour un groupe scolaire au sein du quartier de l’Ecole polytechnique du Campus urbain. Jusqu’au 6 décembre 2021. Afin d’accompagner le développement du Campus urbain, l’EPA Paris Saclay lance une consultation de maîtrise d’œuvre relatif à la réalisation du futur groupe scolaire au sein de la ZAC du quartier […] L’article A Paris-Saclay, groupe scolaire cherche maîtrise d’œuvre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 201 jours

Gensler renforce ses ambitions à Paris en signant un bail de 360 m² au 151 boulevard Haussmann

Le cabinet travaille sur de nombreux projets en France depuis plusieurs années, s'appuyant sur des relations clients solides et durables avec des sociétés comme Equinix, JPMorgan Chase, Estée Lauder, BNP Paribas et Citigroup. Après avoir connu une croissance exponentielle dans le pays tout au long de la pandémie, le nouvel emplacement offrira au studio la flexibilité et l'espace nécessaire pour servir ses clients en France, en Europe et dans le monde entier.Éponyme du nom du Baron Haussmann, célèbre pour avoir façonné la Ville Lumière et en faire la capitale que l’on connait aujourd’hui, le boulevard Haussmann, avec ses élégantes façades et son incontestable raffinement, offre à Gensler un emplacement de choix, à proximité de ses clients, partenaires et collaborateurs. Décrit comme l'un des quartiers les plus dynamiques de Paris et s'étendant sur plus de deux kilomètres entre le 8e et 9e arrondissements, le boulevard Haussmann place Gensler au cœur de Paris.L'année dernière, le « Gensler Research Institute » a publié les résultats de l’enquête du « Workplace Survey » en France afin de comprendre comment et où les employés de bureau souhaitent travailler après la pandémie. Les résultats ont indiqué qu’après avoir fait l’expérience du télétravail pendant la crise sanitaire, la plupart des collaborateurs interrogés préfèrent travailler en présentiel la majeure partie de la semaine. Cependant, ils considèrent également le télétravail comme un atout à leur vie professionnelle et espèrent avoir la possibilité de continuer. La valeur du lieu de travail est claire dans l'esprit des employés en France ; il devrait continuer à être le pilier pour le déroulement de la plupart des activités liées au travail.Fort de ces constats, le nouveau bureau parisien incarne les caractéristiques citées pour favoriser le bien-être des salariés et leur productivité. Typiquement parisien, il symbolise l'idée d'un "chez-soi loin de chez soi" - et offrira la possibilité aux employés de façonner leur espace de travail comme ils le souhaitent, facilitant la transition vers un mode de travail hybride. Grâce à ses hauteurs sous plafond et sa lumière naturelle, la nouvelle adresse offrira aux employés un espace qui s'appuie sur tous les éléments qu'ils affectionnent dans le télétravail. L'enquête a également révélé que les employés de bureau en France sont ouverts à différents types de lieux de travail, mais souhaiteraient s'éloigner d’un environnement totalement ouvert. De ce fait, les nouveaux locaux ont été choisis pour leur aménagement naturellement compartimenté, offrant des espaces à échelle humaine et qui apportent une ambiance de convivialité, une extension de son propre chez soi.Le respect de l’environnement a été un facteur clé dans le choix de l'emplacement - aucune intervention n’a été nécessaire pour modifier l'espace, ce qui représente une empreinte carbone considérablement plus faible. Gensler a choisi de se concentrer sur le remaniement de l'espace grâce à l'utilisation du mobilier adaptatif Atelier. Conçu par Gensler en collaboration avec Fantoni, Atelier permet aux employés de définir leurs propres écosystèmes favorisant la créativité, la collaboration, la concentration et l'innovation. Grâce à sa légèreté naturelle, les éléments peuvent facilement être reconfigurés pour répondre aux besoins de chaque utilisateur. L'espace met l'accent sur l'importance de la collaboration, offrant un cadre idéal pour des rencontres et discussions impromptues. Il s’agit également d’un endroit où le travail de concentration a toute sa place et s’adapte aux besoins de ses employés.Philippe Paré, Président Directeur Général de Gensler Paris, déclare : « La France est en train de devenir l'un de nos principaux marchés et nous sommes ravis de nous engager davantage dans cette région en ouvrant un bureau avec une équipe dédiée. Nous sommes une entreprise mondiale avec un état d'esprit local, ce que le choix de cette adresse illustre parfaitement - un appartement typiquement parisien. »« Après avoir récemment obtenu notre inscription au Conseil National de l'Ordre des Architectes pour exercer en France, nous continuons à développer notre réseau de partenaires et de collaborateurs et avons hâte d'offrir une gamme complète de services de conception et d'architecture depuis nos nouveaux bureaux. »Valérie Britay, Directrice Générale Adjointe en charge du pôle Bureaux chez Gécina ajoute : « Nous sommes ravis d’accueillir la société Gensler au sein du 151 boulevard Haussmann au cœur du Quartier Central des Affaires. Cette signature reflète notre volonté d’accompagner nos clients dans le développement de leurs activités et d’entretenir avec eux une relation de qualité sur le temps long à travers notre marque servicielle et relationnelle YouFirst. »Dans cette opération, Gensler était accompagné par la société de conseil en immobilier d’entreprise JLL.
Il y a 3 ans et 201 jours

L'extension de la mairie de Biot et son monumental fronton de béton, par EGR

Mercredi 1er décembre 2021, le Pavillon de l’Arsenal a dévoilé les douze projets lauréats de FAIRE 2021, son appel à projets urbains innovants ouvert aux architectes, créatrices et créateurs, designers, ingénieurs, paysagistes, urbanistes, qui souhaitent interroger les process de fabrication de la ville. Pour sa cinquième […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 201 jours

L'AP-HP a acquis le site de l'usine Stellantis pour la construction de l'Hôpital Grand Paris-Nord

La vente de ce site industriel appartenant à Stellantis (ex-PSA), situé en Seine-Saint-Denis aux portes de Paris, a été signée le 19 novembre, ont annoncé les deux parties dans un communiqué.Le montant de la transaction n'a pas été précisé.D'une capacité de 900 lits, le futur hôpital Grand Paris-Nord remplacera les actuels hôpitaux Bichat à Paris et Beaujon à Clichy (Hauts-de-Seine) et abritera également des activités d'enseignement et de recherche d'Université de Paris.Le projet sera implanté sur le site de l'ancienne usine sur 7,19 hectares, au coeur d'un département structurellement sous-douté en services publics, notamment de santé.Porté par l'AP-HP et l'Université de Paris pour un coût estimé à 1,3 milliard d'euros, le campus est prévu pour 2028.Après l'enquête publique qui s'est terminée le 15 octobre, un rapport et l'avis du commissaire enquêteur doivent être remis au préfet de Seine-Saint-Denis "à la mi-décembre", dans le cadre de la procédure de déclaration d'utilité publique, a indiqué l'AP-HP.La démolition de l'ex-usine PSA est prévue à partir de fin 2022. D'ici là, l'AP-HP indique travailler avec la ville de Saint-Ouen sur "les usages transitoires du site".En mai, l'Autorité environnementale avait invité les Hôpitaux de Paris à revoir certains aspects environnementaux du projet, comme l'impact sur la qualité de l'air et les nuisances sonores engendrées par la hausse de trafic liés au chantier.Des opposants locaux craignent eux aussi des nuisances sonores et dénoncent un projet dont la localisation, en plein centre-ville, est inappropriée.
Il y a 3 ans et 201 jours

Prix architecture Occitanie 2021 : les vertus de l'acte de bâtir

Mercredi 1er décembre 2021, le Pavillon de l’Arsenal a dévoilé les douze projets lauréats de FAIRE 2021, son appel à projets urbains innovants ouvert aux architectes, créatrices et créateurs, designers, ingénieurs, paysagistes, urbanistes, qui souhaitent interroger les process de fabrication de la ville. Pour sa cinquième […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 201 jours

Les loyers de 35% des annonces de location de logements à Paris dépassent le plafond légal

Ce "premier baromètre sur l'application de l'encadrement des loyers" s'appuie sur l'analyse de 15.000 annonces, recensées entre août 2020 et août 2021.Il apparaît qu'entre ces deux dates "35% des logements dépassaient les plafonds de loyer légalement fixés". Ce taux est "stable au cours de la période étudiée" et correspondant à d'autres estimations de professionnels du secteur.L'étude précise qu'une annonce qui dépasse les plafonds autorisés "n'est pas forcément dans l'illégalité", du fait d'une possible différence avec le bail effectivement signé, ou des caractéristiques particulières du logement.Les annonces au dessus des plafonds "proposent un loyer moyen hors charges de 1.229 EUR par mois, qui inclut un dépassement moyen des plafonds de loyer de 196 EUR par mois", soit une "ponction annuelle de près de 2.400 EUR par an pour les locataires qui les subissent"."Les dépassements les plus importants sont constatés dans les arrondissements les plus riches (1er, 7e, 9e, 16e), alors que les dépassements moins élevés sont le fait des 14e, 19e et 20e arrondissements", ajoute le document.L'encadrement des loyers interdit aux propriétaires de demander aux locataires un montant supérieur à une somme donnée, celle-ci variant selon les quartiers en fonction de l'état du marché. Il s'applique dans des zones de plus de 50.000 habitants "où il existe un déséquilibre marqué entre l'offre et la demande de logements".Prévu par la loi Elan de 2018, le plafonnement des loyers ne concernait jusqu'au 1er juin que Paris et Lille. Il a été étendu à cette date à neuf villes de Seine-Saint-Denis en banlieue parisienne, et début septembre aux métropoles de Bordeaux, Montpellier et Lyon.
Il y a 3 ans et 201 jours

Les copropriétés privées dégradées au cœur des enjeux de la rénovation urbaine

110.000 copropriétés en difficulté110.000, c'est le nombre de copropriétés qu'on estime fragilisées par des problèmes financiers, techniques et sociaux en France métropolitaine, soit 1,2 million de logements.Certaines habitations présentent des dégradations du bâti - parfois jusqu'à l'effondrement - menaçant la santé et la sécurité de leurs occupants et des riverains.En 2018, l'effondrement de deux immeubles insalubres du centre de Marseille avait provoqué la mort de huit personnes.A Epinay-sur-Seine, en Seine-Saint-Denis, une tour de 32 étages fait l'objet d'une procédure d'expulsion pour risque d'effondrement des balcons et ses occupants doivent quitter leur logement avant le 8 décembre.C'est l'Ile-de-France qui concentre plus de 50% des copropriétés dégradées, selon les chiffres de l'Agence nationale de l'habitat (Anah) qui a ciblé 14 sites sur le territoire.Plan initiative copropriétéLancé en 2018 par le gouvernement et piloté par l'Anah et l'Agence nationale pour la rénovation urbaine, ce plan vise à coordonner une stratégie nationale de traitement des copropriétés. Il est doté d'une enveloppe de 2,7 milliards d'euros sur 10 ans.Ses trois axes sont:Démolition: quand le bâtiment est trop dégradé, l'Etat rachète l'ensemble des logements, qui sont par la suite démolis ou revendus à un bailleur social pour être rénovés et transformés en logements sociaux.Redressement: quelques logements sont rachetés puis réhabilités avant d'être mis en location. En parallèle, l'établissement public CDC habitat assiste la copropriété dans l'assainissement de ses finances puis dans la rénovation des parties communes. Une fois l'attractivité de la résidence rétablie, les logements sont remis à la vente.Prévention: le registre national des copropriétés permet aux collectivités locales de mettre en place des actions comme le versement d'une prime aux travaux pour que les copropriétés qui présentent un profil de fragilité ne se dégradent pas.Sauvetage de Grigny 2 et du Chêne PointuIl a servi de décor pour le film "Les Misérables" de Ladj Ly: le quartier du Chêne Pointu à Clichy-sous-Bois a été longtemps laissé à l'abandon par l'Etat qui n'avait aucun levier d'action.En 2015, le quartier fait l'objet de la première "opération de requalification des copropriétés dégradées (ORCOD) d'intérêt national". Ainsi, l'Etat rachète les appartements (700 environ à ce jour) aux habitants et certains sont relogés dans des logements sociaux.L'opération est estimée à 500 millions d'euros et durera au moins jusqu'en 2030. A terme, toutes les barres seront démolies.A Grigny 2, l'une des plus grandes copropriétés d'Europe, gangrénée par des logements insalubres, l'Etat va racheter par l'intermédiaire de l'établissement foncier d'Ile-de-France (Epfif) 1.320 logements sur les 5.000. Parmi eux, 920 seront détruits (neuf bâtiments sur les 104) et 400 transformés en HLM.Il s'agit de la plus grande opération de redressement d'une copropriété en France.Dans les deux cas, la paupérisation a fait sombrer les copropriétaires qui se sont retrouvés écrasés par le poids conjugué du remboursement du crédit et des charges élevées.Le rachat des appartements fait débat parmi les propriétaires. Beaucoup reprochent des offres à des "prix cassés", entre 900 et 600 euros du m2."Nous sommes conscients que c'est socialement délicat mais ces logements ne valent plus rien", confie un proche du dossier.
Il y a 3 ans et 201 jours

Etude habitat 2021 : quel impact de la crise sanitaire sur le désir d’habitat ?

Dans le cadre des Inohadays, journée de réflexion stratégique organisée pour ses adhérents, consacrée cette année à l’Habitat de Demain, Inoha, l’Association des Industriels du Nouvel Habitat, a mené en partenariat avec la régie du Groupe Reworld Media et l’Institut d’Etudes Harris Interactive la reconduction d’une étude* réalisée en 2018. Cette dernière a pour but de mettre en évidence, trois ans après, les évolutions notables et l’impact de la crise sanitaire dans le désir des Français envers leur habitat. Depuis le début de la crise sanitaire, pour 44% des Français, l’habitat a pris encore plus d’importance qu’auparavant. 69% ont le sentiment de s’être davantage occupé de leur intérieur et/ou de leur jardin. Pour être bien chez soi, ils aspirent aujourd’hui à un habitat plus sûr (+10 points), plus sain (+ 8 points), plus confortable (+ 7 points), plus éco-responsable (+ 5 points). Mais plus encore, ils souhaitent bénéficier d’un extérieur, élément ayant le plus progressé en 3 ans dans les critères jugés essentiels par les Français (+ 3 rangs). Etat des lieux du logement des Français âgés de 25 – 64 ans Comme le révélait déjà l’étude en 2018, la majorité des Français interrogés dispose d’un cadre de vie confortable. Environ 6 sur 10 d’entre-eux vivent en maison, sont propriétaires de leur logement et bénéficient, pour la plupart, d’un grand espace de vie. Fait nouveau, l’étude 2021 révèle que 16% déclarent posséder une résidence secondaire. Ces heureux propriétaires ont un profil plus jeune (25 à 34 ans), sont franciliens et font partie des CSP+. Ils sont, pour près de la moitié d’entre-eux, des télétravailleurs réguliers. 2018 – 2021 : l’Habitat, un sujet qui mobilise toujours autant les Français Les Français aiment toujours autant leur habitat. 95% s’y sentent bien et adorent y passer du temps. 84% apprécient de l’équiper et de l’améliorer. Toutes tranches d’âge confondues, si 89% sont satisfaits de leur intérieur, la période de confinement a accéléré leurs attentes. Certaines se sont d’ailleurs fortement accrues en 3 ans. Parmi celles-ci, citons la sécurité du logement (45%), le confort (44%), une bonne connexion internet (39%), l’extérieur (28%). Habiter un logement plus sain (36%) et respectueux de l’environnement (26%) est également un critère en hausse. Le rapport des Français à l’habitat bousculé par la crise sanitaire Les confinements successifs et le développement du télétravail ont bousculé le rapport des Français à l’habitat. Pour plus de 4 sur 10, âgés de 25 à 64 ans (44%), la crise sanitaire a rendu leur logement plus important qu’avant. 69% ont le sentiment de s’être davantage occupé de leur intérieur et/ou de leur jardin dans lesquels ils ont d’ailleurs réalisé de nombreux travaux. 90% ont effectué au moins un achat de décoration, bricolage, mobilier et/ou jardinage au cours des 2 dernières années. 72% d’entre-eux ont entrepris un projet d’aménagement depuis le début de la crise sanitaire, au premier rang desquels des petits travaux (peinture, …) et l’organisation d’un espace de télétravail (50%). Ces changements de comportement ne semblent pas prêts de s’arrêter. En effet, 85% des propriétaires ont un projet de rénovation ou d’aménagement dans les 2 ans à venir. Peinture, décoration et jardin constituent le top 3 de ces projets qui seront réalisés en majeure partie par eux-mêmes. Des bricoleurs de plus en plus experts Cette période a également été propice pour la majorité de ces personnes (59%) de monter en compétences dans les domaines du bricolage et du jardinage. Des Français aux comportements de plus en plus éco-responsables dans l’habitat L’étude 2021 met en évidence un intérêt toujours plus grand des Français pour l’éco-responsabilité de l’habitat qui s’accompagne de réflexes et pratiques positifs, notamment en terme de consommation d’eau, d’électricité et de gestion de l’arrosage. 43% des personnes interrogées (+ 5 points) envisagent, d’ailleurs, l’installation d’un arrosage automatique de type goutte à goutte dans leur jardin. Cette démarche s’explique, en premier lieu, par la perspective d’économies. L’amélioration du bien-être et le respect de l’environnement sont également des motivations clés et en progression par rapport à 2018. En revanche, le prix reste un frein pour 9 Français sur 10. Enfin, 75% des Français (+7 points) font confiance aux professionnels pour réaliser des travaux afin d’améliorer l’éco-responsabilité de leur habitat, même si 63% n’hésitent pas à les effectuer eux-mêmes. Les travaux de plus grande envergure tels que l’installation de panneaux solaires ou photovoltaïques (28% ; + 6 points), le changement de fenêtres (27% ; +4 points) sont largement envisagés. Objets connectés et domotique : un taux d’équipement encore limité mais en progression Signe d’un marché qui murit, l’étude relève davantage d’adeptes de la domotique qu’il y a 3 ans. Bien qu’en progression de 6%, le nombre de Français dont l’habitat est équipé d’au moins un objet connecté (17%) et de ceux se déclarant très intéressés (35%) reste encore minoritaire. Près d’un Français sur 2, disposant d’un jardin ou d’un balcon, accorde de l’importance à la mise en place de la domotique pour leur extérieur ; un score en progression de 10 points depuis 2018. Autant un levier qu’un frein, le budget demeure l’argument clé du développement du marché de la domotique et des objets connectés en France. Néanmoins, 4 Français sur 10 envisageraient d’y consacrer un budget important soit une hausse de 10 points en 3 ans. Enfin, si les retraités interrogés semblent globalement en retrait par rapport à cet univers, le maintien à domicile pourrait à terme devenir un marché à fort potentiel de développement. Les jeunes, un véritable levier pour le secteur 92% des 25/34 ans ont un projet d’aménagement dans les deux prochaines années (vs 85% de l’ensemble des Français). De plus, 23% d’entre eux possèdent une résidence secondaire (vs 16% de l’ensemble). 52% d’entre-eux font du télétravail (vs 38% de l’ensemble de la population). Ce sont les jeunes (25% vs 17% de l’ensemble) qui sont le plus équipés d’objets connectés. Enfin, ils sont également plus sensibles et s’investissent davantage que le reste de la population en faveur de l’éco-responsabilité de leur logement (80% vs 76% de la population). « Cette étude, que nous avons révélé à nos adhérents lors des Inohadays, prouve que l’engouement des Français pour leur habitat continue. Elle est porteuse de signes positifs pour les industriels et l’avenir de la filière. Les Français vont entreprendre plus de travaux dans les deux ans à venir ; une tendance qui confirme que l’habitat est devenu une valeur refuge. Il est également intéressant de souligner que les jeunes sont un véritable levier pour le développement de notre secteur », conclut Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha. *Etude menée auprès d’un panel de plus de 1000 Français de 25 ans et plus http://www.inoha.org/
Il y a 3 ans et 201 jours

Palmarès de l’édition 2021 des Trophées Inoha

Lors de la 6ème édition de LA NUIT by Inoha, organisée par l’Association des Industriels du Nouvel Habitat le 25 novembre dernier au Musée des Arts Forains, quatre trophées ont été décernés à des sociétés adhérentes pour leur démarche engagée et novatrice dans l’une des 3 catégories du concours : Innovation, Communication, et R.S.E. / Responsabilité Sociétale des Entreprises. Le jury*, composé d’acteurs de la filière et de journalistes, a souhaité récompenser les sociétés suivantes : Recticel Insulation avec le Trophée de l’Innovation, Brunel Chimie Dérivés et sa marque Starwax avec le Trophée Communication, PPG et sa marque Ripolin avec le Trophée R.S.E. Un Coup de Cœur du Jury a également été décerné à l’entreprise Swap-Europe du Groupe Builder pour son service de reconditionnement. Les lauréats des Trophées Inoha 2021 Lors d’une soirée conviviale rassemblant plus de 300 invités issus des secteurs de l’industrie et de la distribution, la 6ème édition de LA NUIT by Inoha a été l’occasion pour Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha, de dévoiler les 4 lauréats du palmarès des Trophées 2021. Trophée de l’Innovation : Recticel Insulation pour SIMFOCOR SIMFOCOR est une solution innovante établissant de nouveaux standards dans le secteur de l’isolation acoustique. Inédit, SIMFOCOR est un panneau d’isolation acoustique facile à installer dans les cloisons distributives standards, de type rails métalliques et recouverts d’une plaque de plâtre de 12,5 mm pour répondre aux exigences de sécurité incendie. Certifié, SIMFOCOR réduit les bruits aériens perçus dans l’habitat (gain d’affaiblissement ΔRw = 8 dB.) et crée ainsi un espace de vie paisible. Conçu à partir de 70% de mousses de Polyuréthane recyclées issues de matelas usagés (70%), SIMFOCOR limite l’impact environnemental et préserve les ressources naturelles. Légers, les panneaux semi-rigides SIMFOCOR sont faciles à manipuler. Ils ne se tassent pas et conviennent tout particulièrement aux travaux en neuf ou en rénovation. « Au-delà du facteur émotionnel, nous avons pris en compte les critères d’innovation, d’écologie, de design et d’usage afin de faire ressortir le projet le plus abouti, le plus responsable et le plus porteur de cette image que l’innovation doit véhiculer à un moment où les besoins de confiance, de qualité et de mobilisation autour de notre environnement sont essentiels. Recticel a su cocher le plus grand nombre de cases sur le processus de réutilisation des matières isolantes qui sont reconditionnées pour donner une nouvelle vie à un produit très innovant, une boucle vertueuse et tellement responsable » déclare le membre du Jury Philippe BERNA, Responsable du Pôle Innovation & Numérique de la Médiation des Entreprises. Trophée Communication : Brunel Chimie Dérivés pour la campagne menée pour sa marque STARWAX STARWAX, marque de l’entreprise française Brunel Chimie Dérivés, spécialiste des produits d’entretien pour la maison, est récompensée pour sa campagne de communication à 360° « AUSSI MANIAQUE QUE VOUS ». La marque STARWAX jouissait d’une excellente réputation de qualité et d’efficacité. Cependant, sa notoriété restait faible car elle était distribuée via les Grandes Surfaces de Bricolage, circuit peu naturel pour acheter des produits d’entretien. Dans un contexte extrêmement concurrentiel, STARWAX se devait d’émerger face à des marques multinationales et avait pour objectif de faire savoir à ses consommateurs cibles qu’elle disposait de solutions spécifiques pour résoudre les problématiques d’entretien de la maison. STARWAX a ainsi lancé une campagne de communication en 4 étapes successives : . une étude auprès de ses clients consommateurs pour cerner leurs profils, phase essentielle du processus de réécriture du positionnement de marque, . la création d’une nouvelle plateforme de communication réalisée par l’agence Buzzman, réputée pour ses idées innovantes et disruptives. Une nouvelle signature de marque a ainsi vu le jour : « AUSSI MANIAQUE QUE VOUS » faisant écho à la cible des consommateurs de STARWAX, . un plan média national d’affichage et de parutions presse, . un relais sur les réseaux sociaux de deux vidéos tutorielles réalisées avec Jessica Venancio, Ambassadrice de la marque. « Le Jury a décidé de récompenser Starwax pour sa capacité à répondre aux attentes des consommateurs en leur proposant une campagne de communication osée, assumée et innovante » commente le membre du Jury Etienne Bodin, Délégué Général des Jardineries et Animaleries de France. Trophée R.S.E / Responsabilité Sociétale des Entreprises : PPG pour sa marque Ripolin Afin de se positionner comme un acteur du changement au travers d’actions responsables et innovantes sur le marché de la peinture, PPG s’engage depuis 2009, au travers de sa marque à forte notoriété Ripolin, en faveur de l’Environnement et de la Santé tout en préservant la performance, la qualité et l’accessibilité de ses produits. Depuis 2020, la société a accéléré les initiatives concrètes pour : . réduire l’impact de ses produits et de ses sites de production français certifiés ISO 14001, avec notamment le lancement de sa gamme Ripolin O’Pur, peinture à base de résines biosourcées à 97% réduisant de 25% ses émissions de CO2. 96% de la gamme Ripolin est fabriquée en France sur des sites de production certifiés ISO 14001. . baisser son empreinte carbone en choisissant le plastique recyclé pour ses emballages, . sensibiliser les consommateurs en mettant à leur disposition, sur son site internet, un calculateur afin qu’ils achètent la juste quantité de peinture et une carte des déchetteries les plus proches de leur domicile. Ce projet s’accompagne également d’actions sociales et environnementales comme le reboisement lancé en 2021 en Corrèze avec son partenaire Reforest’Action (2000 arbres plantés). « Le jury a tout particulièrement apprécié la prise en compte de l’ensemble des problématiques dans la démarche R.S.E de PPG au travers de sa marque Ripolin, allant du calculateur pour acheter la juste quantité jusqu’à proposer une carte avec les déchetteries les plus proches du domicile des consommateurs » explique Laure Empereur, membre du Conseil d’Administration d’Inoha, qui a remis ce prix à l’entreprise. Coup de Cœur du Jury : Swap-Europe, filiale du Groupe Builder Systems, pour son service de reconditionnement Comment réduire son impact sur l’environnement tout en proposant des outils abordables pour tous ? Comment consommer mieux ? Builder Systems, fabricant d’outils de bricolage et de jardinage, met tout son savoir-faire pour offrir une nouvelle vie aux produits tout en réduisant les déchets et en recyclant les matières plastiques. Au travers de sa filiale Swap-Europe, spécialiste de la pièce détachée et engagée dans l’économie circulaire, Builder Systems a créé une filière de reconditionnement. Unique sur le marché, Swap Reused propose aux enseignes de la GSB et du e-commerce, depuis 2021, la collecte et le reconditionnement d’outils de jardin et de bricolage. Avec ce nouveau service, Swap-Europe leur permet de bénéficier d’une solution nationale, centralisée et gratuite, s’inscrivant dans leurs démarches RSE. La seconde main étant de plus en plus sollicitée, Swap-Europe met également à disposition des consommateurs une offre adaptée à leurs attentes. Tous les produits sont reconditionnés en France et Swap-Europe a pour objectif de créer des partenariats avec des organismes de l’économie sociale et solidaire afin de favoriser la réinsertion. « Le Jury a eu un véritable coup de coeur pour cette solution car elle est à la fois innovante et apporte une réponse à la problématique de la fin de vie des produits. Cette initiative s’inscrit dans la démarche d’économie circulaire couplée à nos ambitions RSE » conclut Jean-Luc GUÉRY, Président d’Inoha. *Membres du Jury : Jean-Luc Guéry, Président Inoha – Caroline Hupin, Déléguée Générale de la FMB – Etienne Bodin, Délégué Général des Jardineries et Animaleries de France – Philippe Berna, Responsable du Pôle Innovation et Numérique de la Médiation des Entreprises – Céline Chahi, Rédactrice en Chef de Maison & Travaux, Directrice Pôle Maison de Reworld Media – Guillaume Fédèle, journaliste au magazine Négoce. http://www.inoha.org/  
Il y a 3 ans et 201 jours

Pacé : un nouveau restaurant pour le collège Françoise-Dolto en 2023

Les travaux de réaménagement du restaurant scolaire du collège Françoise-Dolto se poursuivent.
Il y a 3 ans et 202 jours

Le projet d'un pont ou d'un tunnel entre la Grande-Bretagne et l'Irlande du Nord, rêve de Boris Johnson, est enterré

Cela fait de nombreuses années que circule l'idée de relier par un pont l'Irlande du Nord au reste du Royaume-Uni, notamment l'Ecosse, séparés par la mer, mais celle-ci a pris de l'ampleur sous la houlette de Boris Johnson.Le dirigeant conservateur avait demandé en 2020 à une équipe d'experts de se pencher sur la faisabilité du projet, dans le cadre d'une étude, publiée vendredi, sur les infrastructures de transport au Royaume-Uni."Des technologies de pointe du XXIe siècle en matière d'ingénierie civile permettraient de construire un pont ou un tunnel entre la Grande-Bretagne et l'Irlande du Nord", ont conclu ces experts. Pour des raisons techniques et de sûreté, un tunnel serait toutefois limité à un usage ferroviaire.Le pont ou le tunnel seraient "les plus longs" jamais construits à ce jour, compte tenu des défis techniques posés par la mer, ont-ils ajouté, avec une estimation de coût de respectivement 335 milliards et 209 milliards de livres (395 et 247 milliards d'euros). Et de la conception du projet à son approbation et à la construction, il faudrait "près de 30 ans" pour qu'une telle traversée devienne opérationnelle."Pour le moment, les bénéfices ne sauraient être supérieurs aux coûts pour les deniers publics", ont-ils souligné, recommandant de ne pas poursuivre avec ce projet.Dans la province nord-irlandaise, le projet était soutenu par certains responsables politiques pro-britanniques, qui y voyaient un moyen de renforcer les liens mis à rude épreuve par le Brexit.Boris Johnson a déjà un passif tristement célèbre en matière de ponts: lorsqu'il était maire de Londres, le conservateur avait lancé un grand projet de "pont-jardin" au-dessus de la Tamise, qui avait finalement été abandonné après avoir coûté 53,5 millions de livres (63 millions d'euros).
Il y a 3 ans et 202 jours

Altarea participe au lancement d’un programme de recherche sur l’empreinte biodiversité des projets immobiliers

À l'initiative de Gecina et coordonné par l'Observatoire de l'Immobilier Durable, BIG vise à développer un référentiel commun d'indicateurs et d'outils de mesure pour définir et améliorer l'empreinte biodiversité des projets immobiliers, éclairer le choix des maîtres d'ouvrage et des investisseurs et mieux concilier les fonctions urbaines et écologiques des territoires.Face au constat sans appel d'une érosion massive de la biodiversité, 16 entreprises s'unissent pour transformer les pratiques vers un modèle plus respectueux du vivant :Aire Nouvelle, Altarea, Amundi, BNP Paribas Real Estate, Bouygues Immobilier, Covea Immobilier, Crédit Agricole Immobilier, Gecina, Groupama Immobilier, Korian, Linkcity, LVMH, Nexity, Perial Asset Management, Groupe RATP, Schneider Electric.BIG se développera autour de trois axes pour construire un référentiel commun sur l'enjeu de biodiversité avec :L'élaboration d'outils de mesure des “bénéfices“ de la biodiversité à l'échelle d'un projet immobilier (mesure de l'impact carbone, santé ou encore fraîcheur en ville).Le développement d'une plateforme de cartographie des contributions locales à la biodiversité (monitoring de la biodiversité, visualisation de la densification du bâti…).La mise en place de dispositifs d'appropriation de ces outils par les acteurs du secteur immobilier (animation d'une communauté d'échange, publication de guides et référentiels pour accompagner la montée en compétences des équipes internes).L'objectif est de mesurer les impacts liés à la biodiversité d'un bâtiment pour piloter les progrès. Cette démarche permettra d'éclairer les stratégies des investisseurs et participer ainsi à la convergence de la performance économique et financière avec la performance socio-environnementale des acteurs économiques. Ces travaux associeront notamment aménageurs, grands donneurs d'ordre, agences et institutions publiques, associations professionnelles et experts mobilisés sur le sujet de la biodiversité.Pour Sabine Desnault, Directrice exécutive R&D, innovation et RSE de Gecina : « Je suis très heureuse et honorée de la large mobilisation des partenaires fondateurs de BIG (Biodiversity Impulsion Group) face à l'urgence à préserver la biodiversité. Cela traduit leur engagement à ce que collectivement nous fassions évoluer le secteur immobilier en développant des outils de mesure et de visualisation communs. Convaincue que notre force réside dans notre capacité à coopérer, j'invite ceux qui le désirent à rejoindre l'initiative. ».Pour Loïs Moulas, Directeur Général de l'OID : « Accélérer la transition écologique dans le secteur immobilier a toujours été l'ADN de l'OID. Ainsi, BIG s'inscrit en droite ligne avec notre raison d'être : fédérer les acteurs, encourager le partage d'expériences et faciliter le passage à l'acte, en toute indépendance et transparence dans un objectif d'intérêt général ». Pour Nathalie Bardin, Directrice Exécutive Marketing stratégique, RSE et Innovation d'Altarea : « C'est une formidable initiative de place à laquelle Altarea est heureux de participer. Pour nous, la biodiversité et le climat participent du même combat : celui de protéger et de reconquérir le vivant. Et il y a urgence car la biodiversité s'effondre et nous pouvons inverser cette tendance. Si l'on sait mesurer l'empreinte carbone d'une opération, nous n'avons pas encore d'outil de mesure de la biodiversité. Avec BIG, nous allons ensemble pouvoir tester sur des opérations pilotes des indicateurs qui nous permettront d'avoir un référentiel commun et de progresser ».
Il y a 3 ans et 202 jours

Résineo lance Résineo® Arbre en liège recyclé : une réponse complète aux enjeux des collectivités

S'appuyant sur les caractéristiques techniques de la gamme Résineo®, Résineo Arbre en liège recyclé pousse ainsi encore plus loin la démarche de respect de l'environnement portée par LRVision, au travers de l'utilisation de matériaux recyclés.Pour rappel, les granulats qui composent la gamme Résineo® ne subissent aucune transformation chimique et sont sélectionnés pour leur teinte naturelle, leur durabilité et leur résistance aux conditions extérieures. L'ensemble des revêtements Résineo® est né de travaux de Recherche et Développement pointus, menés au sein du laboratoire intégré.Résineo® Arbre en liège recyclé : une nouvelle référence respectueuse de l'environnementAu travers de son nouveau revêtement Résineo® Arbre en liège recyclé, LRVision confirme sa volonté d'innover sur des revêtements perméables, à la fois esthétiques mais également durables en favorisant la perméabilité de sols et le retour d'un cycle de l'eau pérenne dans les collectivités. « L'innovation constante de notre laboratoire permet aujourd'hui à LRVision de proposer des produits apportant des réponses concrètes aux nouveaux enjeux liés à l'urbanisation des territoires. », précise Guilaume Lemaire, Dirigeant de LRVision.Ainsi, avec le lancement de Résineo® Arbre en liège recyclé, LRVision apporte à la fois une réponse visant à développer la perméabilité des sols urbains, tout en s'appuyant sur la réutilisation de matériaux alliant liège recyclé et granulats de marbre millimétriques (récupérés lors de la fabrication de galets décoratifs).« Nous nous inscrivons dans une démarche durable intégrant la revalorisation des déchets issus du notre processus de fabrication, tout en conservant les propriétés techniques et avantages propres à notre gamme. », indique Guillaume Lemaire. « Le tout n'est pas simplement de recycler des matériaux, mais de le faire dans la continuité de la réponse technique apportée par nos produits aux problématiques rencontrées par les collectivités. »Une solution technique pour les tours d'arbre, à destination des collectivitésIssue de la gamme de revêtements de sol Résineo®, Résineo Arbre en liège recyclé répond aux besoins des collectivités grâce à une solution présentant plusieurs atouts :Drainant : évite la stagnation des eaux en surface et favorise la perméabilité des sols. Permet d'assurer une bonne alimentation des arbres et sous-sol en eau. Capacité drainante : de 15 à 25 L/seconde/m2Facile d'entretien : nettoyage au jet d'eau permet de nettoyer les déchets (mégots, etc.) et déjections animalesEsthétique : Valorisation des aménagements paysagers en combinant l'esthétisme de la pierre naturelle avec le liège recycléEn marge des propriétés techniques de ses revêtements, LRVision est attachée à des valeurs de proximité et de réactivité auprès de ses clients. Cela se traduit par le développement d'un réseau d'applicateurs agréés et formés par ses soins.Spécificité de sa gamme Résineo® Arbre : en réponse aux attentes des collectivités, sur ce produit, LRVision a développé un produit facile à mettre en œuvre.A terme, LRVision souhaite renforcer le développement de sa gamme Résineo® Arbre en matériaux recyclés en réutilisant des matières issues des spécificités géographiques locales.
Il y a 3 ans et 202 jours

Bilan du Salon des Maires 2021

La 20ème édition du Salon des Maires et des Collectivités Locales a réuni 945 exposants et plus de 45 300 visiteurs les 16, 17 et 18 novembre derniers au Parc des Expositions de la Porte de Versailles à Paris.  Entièrement repensé dans sa structure et dans son contenu, il a offert à ses visiteurs, partenaires, conférenciers et exposants de nouveaux espaces d’expression, de démonstration et d’échange pour accompagner les transformations écologiques, climatiques, économiques, numériques, sociales et sociétales à l’œuvre sur tous les territoires. Les Labs, espaces participatifs de prise de parole et de rencontre sur de nombreux sujets concrets comme autant de leviers d’action locale. Les Atmosphères, espaces de conférence ouverts pour s’informer et se former sur de nombreuses solutions et opportunités associées aux dynamiques de transition. Les espaces Vis ta Ville, lieux immersifs qui recréent l’univers de la ville : marchés, terrains de sport, tiers-lieux… Les Arènes de l’Innovation, terrains d’expression et d’échange autour de solutions innovantes, des modalités variées de l’innovation, ses financements et ses conditions d’émergence à l’échelle locale.    
Il y a 3 ans et 203 jours

Quand Caracas était la capitale de l'architecture des années 1950

En une décennie magique, la capitale vénézuélienne a vu naître des joyaux : l'Université centrale du Venezuela, classé au Patrimoine mondial, "l'oeuvre totale" de la Villa Planchart du designer italien Gio Ponti, ou encore l'hôtel Humboldt, bijou Bauhaus.A l'époque, le pétrole et l'argent coulent à flots. Surfant sur un budget florissant, le dictateur Marcos Perez Jimenez (1953-1958) lance le pays dans une politique de grands travaux, construisant ponts, autoroutes, ministères, logements..."Indépendamment des critiques légitimes qu'on peut lui faire" sur les droits humains et la démocratie, "Perez Jimenez était un excellent gestionnaire de travaux publics", explique à l'AFP l'architecte et professeur Oscar Rodriguez Barradas. "Il y avait aussi une dimension nationaliste avec +Nous on peut le faire+".La période coïncide aussi "avec l'arrivée d'immigrés européens et d'une main d'oeuvre très qualifiée capable de mener à terme les projets", souligne-t-il.NuagesA tout seigneur, tout honneur : l'hôtel Humboldt, "notre Corcovado" s'enthousiasme M. Rodriguez, domine Caracas à 2.150 mètres d'altitude, sur la ligne de crête de l'Avila, le massif séparant Caracas de la mer.Il a été construit en 1956 pour des raisons inavouables : Perez Jimenez voulait un téléphérique pouvant transporter "800 militaires par heure" du port jusqu'au centre en cas de troubles, rappelle Carlos Salas, le directeur de l'hôtel.On décide alors d'un "espace de détente" au sommet pour justifier le téléphérique et le dictateur passe commande à un jeune architecte à la mode, Tomas Sanabria.Elève du fondateur du Bauhaus, Walter Gropius, à l'université d'Harvard, Sanabria réussit un des plus beaux bâtiments de ce style du continent.Encore aujourd'hui, l'hôtel n'est accessible que par téléphérique ou par une piste réservée aux 4X4. De la ville, seule sa tour est visible mais à l'approche, c'est sa base qui impressionne avec ses lignes pures et ses voûtes ressemblant à des vagues."L'hôtel flotte entre les nuages", résume le directeur. L'intérieur du bâtiment, parfaitement restauré par l'Etat vénézuélien après des années d'abandon, est composé de grands espaces lumineux que les nuages, poussés par des vents puissants, semblent traverser. Rouvert à une clientèle huppée (340 dollars la nuit), l'hôtel espère devenir Patrimoine mondial en 2022.L'héritage de Perez Jimenez s'observe aussi au coeur de la ville avec notamment le Centre Simon Bolivar (1954): deux tours jumelles et de longs bâtiments ministériels, signés par l'architecte vénézuélien Cipriano Dominguez et qui témoignent d'"un langage à la Le Corbusier avec des aspirations qui vont au-delà de leur fonction" de bureaux pour canaliser l'activité du centre ville, souligne Oscar Rodriguez.Avec ses immenses parkings et "cascades d'escaliers", il était aussi l'expression de la civilisation de l'automobile, alors signe de modernité et de richesse.PapillonLe Vénézuélien Armando Planchart fait justement fortune avec ses concessions de voitures américaines vendues à une classe moyenne émergente.Son épouse Anala le convainc de faire construire une maison sur les hauteurs de Caracas. Abonné à la prestigieuse revue Domus du designer et architecte italien Gio Ponti, ils décident de l'embaucher : ce sera la Villa Planchart (1957).Les Planchart donnent carte blanche à Ponti qui ébauche la maison de ses rêves pour créer ce "papillon sur la colline", selon son expression."Ponti n'a presque pas eu de limites quant aux ressources et aux volontés des commanditaires", souligne leur nièce Carolina Figueredo, qui gère la fondation Planchart.Inondée de lumière par un patio intérieur et des fenêtres "traversantes", la maison ne comprend presque aucune porte, mais des séparations claires entre les espaces. Ponti a pratiquement tout dessiné : charnières, poignées de portes, vaisselle, lampes, chaises.... C'est "+l'oeuvre totale+ parce qu'en plus de l'architecture et du design, il a prévu le placement des collections ou des oeuvres" signées Calder, Leger, Buffet, Cabré ou Reveron, explique Carolina.Ponti a positionné les fenêtres qui fonctionnent comme des tableaux pour offrir des vues sur l'Avila.Seul désaccord, la bibliothèque où le propriétaire veut exposer ses trophées de chasse africains peu appréciés par le designer. Ponti résout le problème avec une coquetterie : un mur tournant digne d'un James Bond, qui permet d'occulter ou d'exhiber les têtes de buffles et d'antilopes !"Ponti était enchanté par le résultat, mais aussi par Caracas" pour laquelle il a dessiné un vaste projet urbain qui n'a jamais vu le jour, explique Carolina Figueredo.AirLe grand architecte vénézuélien de l'époque est sans aucun doute Carlos Raul Villanueva, qui a excellé dans les rares maisons d'habitation qu'il a dessinées, mais surtout comme architecte de bâtiments publics.Son chef-d'oeuvre reste l'Université centrale du Venezuela (UCV)."C'est une utopie construite", résume sa fille Paulina Villanueva, architecte. Au total, une quarantaine de bâtiments, dont un hôpital, des salles de cours, de conférence, des bibliothèques, des esplanades.S'y promener est un émerveillement avec des édifices différents mais qui forment une unité. Les espaces intérieur et extérieur s'entremêlent. Les passages couverts, avec des toits paraissant suspendus dans l'air, sont une des trouvailles de l'architecte."Ce sont des lieux de vie et d'échange, tu te promènes sans jamais perdre le contact avec l'extérieur, l'air, la lumière", détaille Paulina Villanueva. "Mon père pensait que l'architecture était la construction du lieu de vie de l'homme. Le lieu ne s'impose pas, mais accompagne, stimule", explique-t-elle.Véritable "chef d'orchestre", Villanueva y a intégré des oeuvres d'artistes de renom, Vasarely, Arp, Lam, Leger ou Narvaez.Point d'orgue : la "Aula magna", vaste auditorium orné des "Nuages" d'Alexander Calder.Mais avec la crise économique sans pareille qui frappe le Venezuela depuis 2013, l'université se dégrade. Trous dans les murs et les plafonds, fresques abimées, fenêtres cassées, végétation et infiltrations d'eau... En 2020, un pan d'un passage couvert s'est écroulé."Nous parlons de 25 ans d'abandon. Ca fait mal ! Les professeurs ne gagnent pas 10 dollars par mois. Il n'y a pas d'ampoules, les étudiants en achètent et les enlèvent quand ils partent pour pas qu'on les vole", s'écrie Paulina, tantôt les larmes aux yeux, tantôt en colère."Pour mon père l'université était sa seconde maison, son oeuvre la plus chère, il n'aurait pas compris son état actuel", dit-elle.A l'image de l'UCV, de nombreux bâtiments de cette époque dorée sont en mauvais état. D'autres ont été dévoyés comme "L'Hélicoide" (1958), centre commercial transformé en prison, ou tout simplement rasés (Villa Diamantina de Ponti)."C'était une génération d'architectes, d'intellectuels qui avaient une vision d'avenir", résume Paulina Villanueva. "Ils pensaient que cet avenir était possible. Malheureusement, cela ne l'a pas été".
Il y a 3 ans et 204 jours

Appel aux dons pour rouvrir le Grand Rocher du parc zoologique de Paris

Trônant à 65 mètres de haut au milieu du zoo bordant le bois de Vincennes, cette cathédrale de béton avait fermé au public en 1982, pour cause "d'usure et de vétusté". Après des travaux de rafraîchissement, l'édifice fut de nouveau accessible entre 1997 et 2008.L'ensemble du zoo fut alors fermé pour un réaménagement complet, et lors de sa réouverture en 2014, le Grand Rocher est resté fermé pour raisons de sécurité, précise dans un communiqué le Muséum national d'histoire naturelle, auquel appartient le parc zoologique.La campagne de dons vise à récolter 100.000 euros pour, dans un premier temps, réhabiliter le rez-de-chaussée. Les travaux, dont le coût est estimé jusqu'à 900.000 euros, pourraient commencer "dès l'été 2022, pour une ouverture possible du rez-de-chaussée à l'horizon du deuxième semestre 2023".L'endroit pourrait alors devenir un espace de visite, accueillant des expositions ou autres évènements.Conçu par l'architecte Charles Letrosne en 1934 en même temps que la création du site, le monument abrite un château d'eau alimentant les bassins. Il est constitué d'une armature métallique recouverte de béton projeté.On pouvait initialement accéder à son sommet par des escaliers ou un ascenseur.
Il y a 3 ans et 204 jours

Forte concentration de la propriété de logements en France, selon l'Insee

Les seuls propriétaires de trois logements ou plus, qui représentent 11% du total, détiennent eux près de la moitié (46%) des 28,4 millions maisons ou appartements possédés par les ménages en nom propre ou via une société civile immobilière.Les logements loués appartiennent pour leur part encore davantage à de grands propriétaires, puisque ceux qui en possèdent au moins cinq détiennent la moitié du parc locatif appartenant à des particuliers, alors qu'ils ne représentent que 3,5% des ménages."Cette concentration de la propriété de logements en location reflète une logique d'accumulation patrimoniale, qui s'appuie notamment sur le recours aux SCI", relève l'Institut national des statistiques dans son Portrait social de la France.De plus, la part des logements possédés par les propriétaires de cinq logements et plus augmente dans les centres des grandes agglomérations, là où les appartements sont les plus chers.Cette part est ainsi comprise entre 10% et 25% dans les communes de la proche banlieue parisienne mais s'élève entre 45% à 50% dans les arrondissements du centre de Paris, selon l'étude.Une répartition géographique similaire se retrouve aussi dans les les autres grandes métropoles françaises, notamment à Lyon, Marseille, Toulouse et Lille, rapporte encore l'Insee.Les ménages multipropriétaires, c'est-à-dire qui possèdent au moins deux logements, ont plus de 40 ans dans neuf cas sur dix et la moitié d'entre eux ont entre 50 et 69 ans.Enfin, au sein des couples hétérosexuels, les hommes sont plus souvent propriétaires de logements que les femmes, avec 79% des premiers qui ont un droit de propriété sur le ou les logements possédés par les ménages contre 71% des femmes.De plus, cet écart augmente avec le nombre de logements possédés. Pour les propriétaires de 20 logements ou plus, 72% des hommes ont un droit de propriété, contre seulement 50% des femmes.
Il y a 3 ans et 204 jours

Les exportations de grumes "continuent de se dégrader", les industriels s'impatientent

FILIÈRE BOIS. Les exportations de grumes de chênes en direction de la Chine, et la crise d'approvisionnement qu'il engendre sur le territoire français, déstabilisent toujours plus la filière. Les industriels haussent le ton face à l'absence de mesures nationales mais aussi européennes.
Il y a 3 ans et 204 jours

Yerres : aménagement du parc Budé

Les travaux de ce futur parc arboré du centre-ville ont débuté mi-novembre et avancent à grands pas.
Il y a 3 ans et 205 jours

Lyon : les anciennes usines Fagor-Brandt seront transformées en dépôt des Transports en Commun Lyonnais

La métropole de Lyon a pris la décision de transformer les anciennes usines Fagor-Brandt en dépôt des Transports en Commun Lyonnais (TCL). Ce dernier devrait être opérationnel en 2026.
Il y a 3 ans et 205 jours

Toulouse : la rénovation du jardin japonais

Le chantier de réfection des allées du jardin japonais entre dans sa deuxième phase.
Il y a 3 ans et 205 jours

Isia, filiale du Groupe Elcia, inaugure ses nouveaux locaux

Un nouveau bâtiment de 1500 m² pensé pour le bien-être au travail« C'est un bâtiment qui a été pensé pour le bien-être de nos collaborateurs ». Voici comment Hélène Corman, Directrice administrative et financière chez ISIA, présente fièrement les nouveaux locaux aux invités de l'inauguration ce vendredi 19 novembre. Parmi ces invités, les élus locaux, les voisins de la Zone Tertiaire Pyrene Aéro-Pole, les partenaires ISIA et les artisans locaux ayant travaillé sur le chantier.Hélène Corman les a remerciés un par un : « Ce bâtiment est aussi le vôtre » et a mis l'accent sur l'importance de travailler avec des artisans locaux. Le bâtiment ISIA a été conçu pour offrir à ses collaborateurs un cadre agréable et convivial. La cohésion d'équipe a d'ailleurs été le sujet n°1 au coeur de l'aménagement de ce nouveau bâtiment : de grands espaces de travail, des espaces de coworking, une salle détente avec un balcon vu sur les Pyrénées, un baby-foot ou encore un boulodrome. Après la 5ème labellisation HappyAtWork d'ISIA, c'est un nouvel argument de taille autour du bien-être au travail que l'éditeur compte bien mettre en avant pour attirer de nouveaux collaborateurs.Poussée par sa croissance, ISIA recrute !Cette inauguration a aussi été l'occasion de rassembler plusieurs acteurs économiques du territoire et de souligner la belle réussite d'ISIA, qui a été créé dans une ancienne ferme en 1989, puis a déménagé dans les locaux de la Communauté d'Agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées, pour maintenant être propriétaire de son bâtiment de 1500m². « Aujourd'hui ISIA c'est 7 millions de chiffre d'affaires et 68 collaborateurs » rappelle Laurent Haristoy, Directeur des Opérations.Et ISIA ne compte pas s'arrêter là et a déjà prévu une extension de bâtiment qui sera mise en route en fonction du nombre de recrutements. Désormais bien installé depuis juin 2021 dans ses locaux, ISIA se projette vers l'avenir et est toujours en quête de nouveaux talents pour agrandir son équipe.Toutes les offres d'emploi disponibles sont ici : www.elcia.com/carriere