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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

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Il y a 3 ans et 190 jours

Joël Fourny, réélu président de CMA France

Également président de la CMA Pays-de-La-Loire, et dirigeant de l’entreprise SIMM (société industrielle de modelage mécanique), Joël Fourny, a profité de cette confiance renouvelée pour annoncer qu’il poursuivra le plan d’actions, initié durant les 18 mois derniers, et a dévoilé ses grandes priorités pour ce nouveau mandat.Selon Joël Fourny, président de CMA France : « le combat que je souhaite mener à vos côtés est celui de la défense du modèle des CMA : leur rôle est aussi utile que nécessaire pour garantir le développement durable de l’économie de proximité. Cela passe par la poursuite de la transformation du réseau des CMA pour répondre toujours mieux aux besoins du secteur de l’artisanat et de nos entreprises artisanales. »Si le réseau a fait la démonstration de son utilité et de sa réactivité dès le début de la crise, le Président de CMA France entend poursuivre en ce sens. Il a notamment insisté sur le fait que son action serait guidée par la prise en compte des réalités que vivent les artisans sur leur territoire et de la nécessité de leur proposer des réponses adaptées tout en faisant reconnaître sur l’ensemble du territoire l’efficacité des CMA.Pour y parvenir, Joël Fourny a dressé devant l’ensemble des présidents du réseau des CMA, les priorités suivantes :défendre l’intérêt de l’artisanat en garantissant la pérennité du réseau et de ses ressources ;engager des actions concrètes pour contribuer à la réflexion nationale sur la place du secteur l’artisanat, du « Made in France » et de l’économie de proximité à l’occasion de l’élection présidentielle et des législatives ;faire rayonner le réseau des CMA et le secteur de l’artisanat à travers des projets de communication ambitieux tel que la « Fondation de l’Artisanat » ;renforcer l’accompagnement des entreprises artisanales sur les nouveaux enjeux tels que le numérique et la transition écologique ;développer la qualité de l’offre de services des CMA en poursuivant la création de produits innovants et performants, en développant une approche territorialisée et digitalisée de l’offre de formation et en formulant des propositions pour mieux prendre en compte la réalité de la micro-entreprise.Joël Fourny a également ajouté que sa réélection s’inscrivait dans un contexte où l’optimisme affiché par les artisans se conjuguait également avec un besoin d’accompagnement renforcé. Face à la 5e vague de COVID-19 et aux tensions qui peuvent peser sur l’activité des entreprises artisanales, le Président de CMA France entend poursuivre les efforts de transformation du réseau des CMA tout comme l’appui apporté en proximité aux entreprises artisanales pour leur permettre de bénéficier de la reprise économique.Selon Joël Fourny, président de CMA France : « La raison d’être des Chambres de métiers et de l’artisanat, c’est d’abord et avant tout d’être un réseau utile au service des artisans. Je suis honoré que mes collègues m’aient renouvelé leur confiance et je mesure la responsabilité que j’ai de les représenter pour les 5 années à venir. Je serai le Président de tous, et surtout de l’utilité, de la concrétisation et de la réussite au service de l’ensemble des artisans de tous les territoires. »De belles perspectives s’ouvrent pour le nouveau président de CMA France, qui célébrera en 2025 le centenaire du réseau.
Il y a 3 ans et 190 jours

Prix des diplômes de la Maison de l’architecture Ile-de-France – Les lauréats

Cette 5ème édition du Prix des diplômes de la Maison de l’architecture Ile-de-France est parrainée par Djamel Klouche, architecte et urbaniste, co-fondateur de l’agence L’AUC et Grand Prix de l’urbanisme 2021. Cette année 121 diplômes ont été reçus et neuf ont été retenus. Les lauréats 2021. Désir d’habiter : les potentiels du bâtiment délaisséViet ANH […] L’article Prix des diplômes de la Maison de l’architecture Ile-de-France – Les lauréats est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 190 jours

RSE : Lafarge Béton et Lafarge Granulats labellisées

Le label RSE “Exemplarité” a été attribué à Lafarge Béton, Lafarge Granulats a obtenu, quant à elle, le label RSE “Maturité”. Depuis 2018, Lafarge France est adhérente de la charte RSE de l’UNICEM qui a pour thématique principale : le capital humain, l’environnement, l’ancrage local, les relations avec les clients et fournisseurs et la gouvernance. Les entreprises sont évaluées par des organismes tiers-indépendants sur leurs pratiques et leurs performances. La note globale permet d’obtenir un label valable pour une période de trois ans : label RSE Engagement, label RSE Progrès, label RSE Maturité, label RSE Exemplarité. Lafarge Granulats et Lafarge Bétons ont décidé d’engager l’ensemble de leurs sites sur le territoire français, soit 300 sites pour le béton et 149 pour le granulat. Au terme de la campagne d’audits qui a duré plusieurs mois, le Comité d’évaluation UNICEM ENTREPRISES ENGAGEES a validé les labels des deux branches de l’industriel. Pour Lafarge Bétons, les auditeurs ont tenu à souligner la forte implication des collaborateurs dans la démarche RSE, la qualité des formations en la matière et particulièrement celles de l’École Mobile des Centralistes. La cohérence de la démarche “Lafarge 360”, notamment sur les bétons bas carbone a également retenu leur attention. Pour Lafarge Granulats, ils ont salué les efforts entrepris pour faire valoir et reconnaître l’empreinte socio-économique des sites et l’avancement des démarches environnementales engagées. La qualité des formations, du dialogue social et des conditions de travail également. Enfin, la promotion par Lafarge Granulats du développement durable dans ses relations avec ses clients, ses fournisseurs et les prescripteurs a également fait forte impression.
Il y a 3 ans et 190 jours

Lons : des travaux d’amélioration de l’assainissement

Le chantier s’inscrit dans un programme décennal de travaux de mise en séparatif des réseaux d’assainissement.
Il y a 3 ans et 190 jours

À Barcelone, Faulí dans les pas de Gaudí pour achever la Sagrada Familia

"J'aimerais être ici pendant de nombreuses années encore, bien sûr, mais je m'en remets à Dieu", confie dans une grimace timide ce Barcelonais, né près de la célèbre basilique, où il a commencé à travailler en 1990.A l'époque, il avait 31 ans. Soit le même âge que Gaudí lorsqu'il s'était lancé dans la construction de cet ouvrage monumental auquel il consacra quatre décennies, jusqu'à sa mort, lorsqu'il fut percuté par un tramway en 1926."Quand je suis arrivé, seules trois de ces colonnes étaient construites, et seulement les dix premiers mètres", raconte à l'AFP Jordi Faulí, en désignant plusieurs piliers de pierre depuis un grenier de la nef principale."J'ai eu la chance de planifier et de voir construit tout l'intérieur, puis la sacristie, et maintenant les tours centrales", ajoute cet homme de 62 ans au phrasé lent.La plus grande des neuf tours déjà achevées, celle de la Vierge Marie, a été officiellement inaugurée mercredi soir, avec l'illumination d'une gigantesque étoile de verre et d'acier de 5,5 tonnes surplombant la structure à 138 mètres de haut.Plusieurs milliers de personnes ont assisté à l'événement, organisé le jour de l'Immaculée Conception. L'inauguration de cette tour, appelée à devenir à terme la deuxième plus haute tour sur les 18 prévues par Gaudí, a été saluée par le pape François, qui a rendu hommage dans un message vidéo au "grand architecte Antoni Gaudi".Histoire heurtéeA quel moment le reste de l'édifice sera-t-il achevé ? Le calendrier initial prévoyait une fin des travaux en 2026, date du centenaire de la mort du célèbre architecte moderniste. Mais avec la pandémie de Covid-19, cet objectif a été abandonné et la suite des travaux reste incertaine."Nous ne pouvons donner aucune estimation, car nous ne savons pas à quel niveau les visites vont reprendre dans les années à venir", explique Jordi Faulí, qui rappelle que la basilique n'est financée que par les dons privés et, surtout, les entrées payantes des visiteurs.En 2019, la Sagrada Familia a été le monument le plus visité de Barcelone, avec 4,7 millions d'entrées. Mais avec la pandémie de Covid-19, la basilique est restée fermée au public durant presqu'un an à partir de mars 2020, en deux périodes cumulées.Selon les données municipales, moins de 764.000 personnes ont ainsi visité le bâtiment en 2020. Et d'après la fondation en charge des travaux, les visites ne retrouveront pas leur niveau d'avant-crise avant la fin 2023 au plus tôt.Ce n'est pas la première fois que le chantier se heurte à des difficultés. La Sagrada Familia a même vu son avenir menacé lors de la Guerre civile espagnole (1936-1939), quand une grande partie des plans et maquettes laissés par Gaudí ont disparu dans un incendie.Pour certains, cette perte capitale ne permet pas de considérer les éléments récents comme l'oeuvre de l'architecte catalan. L'Unesco n'inclut d'ailleurs à son patrimoine mondial que la façade de la Nativité et la crypte de la basilique, érigées du vivant de Gaudí.Mais pour Faulí, l'édifice actuel est fidèle au projet d'origine. Gaudí "a clairement dessiné la disposition des différents éléments des nefs (...), des voûtes, des tours" et proposé "que ces règles géométriques, cette grammaire qu'il a laissées dans ses modèles puissent être reproduites", insiste-t-il.Tourisme de masseAvant la pandémie, Faulí, nommé architecte en chef de la basilique en 2012, dirigeait une équipe de 27 architectes et plus de 100 ouvriers. Aujourd'hui, seuls cinq architectes et 16 ouvriers travaillent sur le chantier.A Barcelone, ville de 1,6 million d'habitants où le débat sur son modèle touristique fait rage, un tel projet est d'autant plus délicat que nombre d'habitants s'opposent au tourisme de masse qui, selon eux, détruit certains quartiers de la ville... dont celui de la basilique."Ma vie est ici et ils veulent la mettre à terre" ou "Stop aux mensonges des guides touristiques", dénoncent ainsi des banderoles attachées à des balcons dans la rue où doit être construite la future entrée principale de l'édifice, un escalier qui obligerait à reloger plusieurs centaines de familles.Interrogé sur ces critiques, Faulí prône "le dialogue avec tout le monde et la recherche de solutions justes".Il aimerait cependant voir achevée la façade principale de l'édifice, dont il ne s'est jamais éloigné plus de deux semaines d'affilée au cours des 30 dernières années.
Il y a 3 ans et 190 jours

Champigny-sur-Marne : rénovation urbaine du quartier du Bois-l’Abbé

Dans le Val-de-Marne, la rénovation urbaine du quartier du Bois-l’Abbé se poursuit.
Il y a 3 ans et 190 jours

Bry-sur-Marne, la salle Daguerre en mode contemporain par Atelier Aconcept

Atelier Aconcept a livré en octobre 2021 la réhabilitation et extension de la salle de spectacle Daguerre pour la Ville de Bry-sur-Marne (Seine-et-Marne), maître d’ouvrage. En plein cœur de ville, l’ouvrage de 450 m², restructurée pour un montant de 1,8 M€ HT, est devenu un espace polyvalent offrant un grand confort d’usage aux acteurs et […] L’article Bry-sur-Marne, la salle Daguerre en mode contemporain par Atelier Aconcept est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 190 jours

Rénovation de maison : dans quels cas les travaux d’isolation thermique sont-ils obligatoires?

Avec le temps, les performances thermiques de notre maison s’amoindrissent. À cet effet, elle présente de plus en plus de difficulté à se réchauffer. On assiste alors à une instabilité et à une irrégularité de la température à l’intérieur de la bâtisse. Une telle situation peut toutefois devenir gênante, car elle nuit au confort des habitants. Il est donc nécessaire de retravailler l’isolation de la demeure, surtout si des travaux de rénovation sont en cours. Mais dans quels cas les travaux d’isolation thermiques sont-ils incontournables ? Les réponses dans l’article. Rénovation de maison : les travaux d’isolation thermique sont-ils toujours impératifs ? Actuellement, la rénovation énergétique obligatoire est au centre d’un grand débat. En plus d’optimiser le confort à l’intérieur de la maison, les travaux d’isolation thermique ont également une finalité écologique. C’est pourquoi la RT 2012 (règlementation thermique 2012) a fait de ces travaux une obligation s’imposant aux propriétaires. Celle-ci cherche avant tout à éradiquer les mauvaises performances énergétiques des immeubles. Le décret n° 2017-919 du 9 mai 2019 (modifiant les articles R.131-28-7 et R.131-28-9 du Code de la construction et de l’habitation) rappelle cette obligation. Depuis ce décret, les propriétaires ou bailleurs sont obligés d’entreprendre des travaux d’isolation thermique au cours des gros travaux de rénovation de maison. Quel est l’intérêt de travailler l’isolation de sa demeure au cours de sa rénovation ? Les travaux d’isolation sont avantageux sur différents plans. D’une part, ils permettent de réduire la consommation énergétique du foyer. Comme on utilise moins les équipements de chauffage à l’issue de leur réalisation, on réalise des économies sur les factures en électricité. D’autre part, ils font profiter aux habitants d’un confort optimal. L’atmosphère à l’intérieur de la maison sera agréable, car la température sera stable et régulière malgré l’alternance des saisons. Enfin, la rénovation énergétique poursuit un but écologique. L’utilisation abusive des équipements de chauffage occasionne en effet un gaspillage d’énergie. D’ailleurs, ils émettent une quantité considérable de CO2. En effectuant des travaux d’isolation thermique, nous y recourons donc moins. Cependant, pour une isolation efficace, il est conseillé de faire appel à une entreprise de rénovation de maison pour les travaux. Par quels moyens peut-on augmenter les performances énergétiques d’un logement ? Pour restreindre au maximum les déperditions énergétiques, il est crucial d’en connaitre les sources. Pour cela, il faudra entamer un diagnostic approfondi de l’habitation. En effet, plusieurs facteurs sont à l’origine d’une isolation défaillante. C’est le cas du mauvais état de la toiture et de la façade ainsi que de la dégradation des isolants. Il faut en outre identifier les lieux où il y a des ponts thermiques. Les entreprises de rénovation de maison se servent de différentes méthodes pour améliorer les performances thermiques d’un logement. À côté de la mise en place de nouveaux isolants au niveau du toit, elles équipent également les fenêtres d’un double vitrage et changent les dormants, c’est-à-dire la partie insérée dans le mur. Pour isoler le toit et la façade, les spécialistes du domaine optent soit pour l’isolation thermique par l’intérieur (ITI), soit pour l’isolation thermique par l’extérieur (ITE). En bref, les travaux d’isolation thermique sont obligatoires du moment qu’on entame de lourds travaux de rénovation de maison. Leur réalisation répond avant tout à un but écologique. D’ailleurs, la réduction de la consommation énergétique des foyers fait partie des programmes de l’État. À cet effet, il octroie une aide financière à tous les propriétaires ou bailleurs qui décident d’entreprendre des travaux de rénovation énergétique. Pour bénéficier de cette aide, il faut néanmoins recourir à une entreprise de rénovation de maison RGE (Reconnu Garant de l’Environnement) pour les travaux.
Il y a 3 ans et 190 jours

Remise des prix du palmarès architecture aluminium Technal

Tous les projets architecturaux, français ou francophones (Afrique, Amérique du Sud, Caraïbes), réalisés avec des clients TECHNAL, ALUMINIERS AGRÉÉS du Réseau ou fabricants installateurs, ont pu concourir. Au total, plus de 180 candidatures ont été déposées, témoignant du rayonnement de la marque au-delà des frontières de l’hexagone.Maisons, logements collectifs privés ou sociaux, établissements recevant du public..., les ouvrages neufs ou réhabilités primés contribuent à la promotion de l’architecture, de l’innovation et du design. Nés de la collaboration entre un architecte, un maître d’ouvrage et un professionnel des menuiseries et façades Technal, ces programmes mettent en lumière le matériau aluminium noble, durable et esthétique. Ils ont été primés par un jury de six experts indépendants à travers sept catégories :Prix Habiter Logements IndividuelsPrix Habiter Logements CollectifsPrix RéhabiliterPrix Réhabiliter XXLPrix Étudier & DécouvrirPrix TravaillerPrix Jeunes ArchitectesCe Prix JEUNES ARCHITECTES a été instauré pour la première fois cette année. À l’initiative de Jean-Christophe MASNADA, Président du jury et architecte associé de l’atelier d'architecture King Kong, il a pour volonté d’encourager l’éclosion des jeunes talents de demain.Un « Prix 4114 », en référence au Club TECHNAL du même nom, a distingué également deux projets qui ont recueilli le plus de votes auprès de la communauté « 4114 ». Une reconnaissance pour les architectes primés par leurs pairs.Pour Jean-Christophe MASNADA, Président du jury et architecte associé de l’atelier d'architecture King Kong : « L’architecture, celle qui nous porte, est avide de local, de spécifique, d’unique, d’onirique... Elle est par essence un territoire de recherche et d’expérimentation. Ce sont ces aspects là qui ont été distingués. L’architecture située, économe, généreuse, celle qui répond au-delà du programme, c’est celle que nous avons essayé de défendre et de mettre en avant lors de ce jury. Nous avons découvert des équipes qui se retroussent les manches et nagent à contre-courant. Comme des saumons en quête d’essentiel. Ce palmarès, que j’ai le plaisir de présider, est l’expression de cette résistance. Il est exquis de voir un nombre si important de projets naviguer sur cette trajectoire de découverte à force de labeur et de persévérance. »Tous les lauréats vont participer au concours international Technal « WATA 2022 » (World Architecture Technal Awards) et s’envoleront dans quelques mois pour un voyage architectural aux Émirats Arabes Unis. Ils sont également mis à l’honneur dans la collection des ouvrages du Palmarès, publiés en 3 000 exemplaires, et à travers des vidéos présentant leur réalisation.PRIX ET MENTIONS DÉCERNÉSPRIX HABITER LOGEMENTS INDIVIDUELSMaison individuelle, Fontcouverte (17)AGENCE D’ARCHITECTURE FÉLIX BIRON ARCHITECTE (17)ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL BIRON SAS (16)PRIX HABITER LOGEMENTS COLLECTIFSTrois Tours Black Swans, Strasbourg (67)AGENCE D’ARCHITECTURE ARCHITECTURES ANNE DÉMIANS (75)FABRICANT INSTALLATEUR BLUNTZER (88)PRIX RÉHABILITERMaison Hippodrome, Marcq-en-Barœul (59)AGENCE D’ARCHITECTURE CLÉMENT BERTON ARCHITECTE (59)FABRICANT INSTALLATEUR CONSTRU (59)PRIX RÉHABILITER XXLLa Cité, Toulouse (31)AGENCES D’ARCHITECTURES TAILLANDIER ARCHITECTES ASSOCIÉSPIERRE-YVES CAILLAULT, ARCHITECTE DES MONUMENTS HISTORIQUESALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL LABASTÈRE 31 (31)MENTION RÉHABILITER XXLEcolodge Almières, Saint Rome de Dolan (48)AGENCE D’ARCHITECTURE CABINET RICHARD ARCHITECTE (34)ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL ETS CANAC MENUISERIES ET SERRURERIES (48)PRIX ÉTUDIER & DÉCOUVRIREspace Jeunesse Guy Môquet, Cabestany (66)AGENCE D’ARCHITECTURE OECO ARCHITECTES (31)FABRICANT INSTALLATEUR SPM (66)MENTION ÉTUDIER & DÉCOUVRIRLycée Jean d’Ormesson, Châteaurenard (13)AGENCES D’ARCHITECTURE MARCIANO ARCHITECTURE (13 - MANDATAIRE)JOSÉ MORALES ARCHITECTE (MAMBO ARCHITECTURE - 13 - ASSOCIÉ)ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL (SPÉCIALISTE FABRICANT) FIMAT (13)POSEUR DÉMATHIEU BARD (38)PRIX TRAVAILLERMairie et Siège de la Communauté de Communes, Pechbonnieu (31)ATELIER D’ARCHITECTURE BENJAMIN VAN DEN BULCKE ARCHITECTES ASSOCIÉS (31)FABRICANT INSTALLATEUR SMAP (31)MENTION TRAVAILLERHalle de Marché Charras, Courbevoie (92)AGENCE D’ARCHITECTURE CROIXMARIEBOURDON ARCHITECTES ASSOCIÉS (92)ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL FRANCE 2000 (10)PRIX JEUNES ARCHITECTESMaison Lille-Moulins, Lille (59)AGENCE D’ARCHITECTURE CLÉMENT BERTON ARCHITECTE (59)FABRICANT INSTALLATEUR CONSTRU (59)PRIX 4114L’Atrium, Cesson-Sévigné (35)AGENCE D’ARCHITECTURE BARRE LAMBOT ARCHITECTES (44)FABRICANT INSTALLATEUR ALU RENNAIS (35)MENTION 4114Villa Akila, Talloires-Montmin (74)AGENCE D’ARCHITECTURE ARCHIDOMO (74)FABRICANT INSTALLATEUR FM ALU (69)
Il y a 3 ans et 191 jours

Superbe rénovation et transformation d’une maison de Long Island (USA)

La rénovation de cette maison est l’œuvre des architectes de Neil Logan Architect. Elle est située dans la petite ville d’East Hampton aux États-Unis et se distingue par un toit en bardeaux assez audacieux. Achevée en 1978, la maison Gruss de Norman Jaffe est un exemple représentatif du « style Zeus » qu’il s’est lui-même attribué. Faisant référence […]
Il y a 3 ans et 191 jours

Feu vert de Bachelot pour la démolition du Théâtre national de Nice

La destruction du TNN s'inscrit dans le projet du maire (ex-LR) Christian Estrosi de prolonger la "coulée verte" dans le centre ville, en rasant également le palais des Congrès Acropolis pour créer une "forêt urbaine" fin 2025.Dans un courrier daté du 2 décembre et cité par la mairie, Mme Bachelot a décidé "d'autoriser la démolition" du Théâtre national de Nice (TNN) "eu égard aux enjeux culturels de la ville de Nice" et malgré l'éclatement du Centre dramatique national sur trois sites qui constitue "une réelle contrainte".Il "ne répond plus" aux besoins techniques et artistiques, selon la ministre et "nécessite de lourds travaux de mise aux normes évalués entre 12 et 18 millions d'euros".Construit par l'architecte Yves Bayard et inauguré en 1989, le TNN forme un octogone monumental gris, recouvert de marbre, qui tranche avec l'architecture d'inspiration italienne du centre-ville et du Vieux-Nice tout proche.Votée en juillet 2020 par le conseil municipal, sa destruction est fortement combattue par l'opposition municipale, notamment les élus écologistes qui dénoncent "un scandale financier et écologique"; et par la fille de l'architecte, Martine Bayard."C'est un véritable affront au droit patrimonial d'une part et au monde du spectacle d'autre part", écrit cette dernière sur le site de l'association créée pour défendre "une œuvre importante du 20e siècle, cohérente et fonctionnelle".Eric Ciotti, député LR des Alpes-Maritimes, avait fait part en novembre de son opposition à la destruction du TNN et demandé son classement comme monument historique.Pour assurer la continuité de l'activité de spectacle vivant, quatre sites seront mis à disposition du TNN, rappelle la mairie dans un communiqué: la salle de l'ancienne église des Franciscains, offrant 400 places et qui ouvrira en mars 2022; et à terme une grande salle de 800 places qui prendra place dans l'actuel Palais des expositions dès la saison 2025/2026.La destruction du TNN, rend possible le projet de prolongement de la Promenade du Paillon, qui "prévoit 8 ha de parc urbain supplémentaire, soit 20 ha de verdure au total" en centre ville et la plantation de 1.500 arbres permettant, selon la mairie, "le stockage de 50 tonnes de CO2 et la réduction de 2 à 3 degrés de la température lors d'épisodes caniculaires".
Il y a 3 ans et 191 jours

Le Sénat vote un texte pour dynamiser l'habitat rural

Le texte de Pierre Louault, examiné dans le cadre d'une "niche" du groupe centriste, doit encore être inscrit à l'ordre du jour de l'Assemblée nationale.Son "ambition est de donner la possibilité de vivre sur un territoire rural, ça doit devenir un droit et non plus un interdit", a affirmé M. Louault, demandant "un peu de souplesse". "On n'ouvre pas la boîte de Pandore et on ne laisse pas faire n'importe quoi", a-t-il assuré.Le texte a été resserré en commission "pour mieux cibler le cœur de la ruralité française", a précisé la rapporteure centriste Valérie Létard."Les élus des zones rurales sont aujourd'hui soumis à des injonctions contradictoires (...) enrayer le déclin démographique et économique de territoires ruraux en déprise (...) mais aussi assurer l'avenir du secteur agricole français et mieux protéger nos sols de l'artificialisation", a-t-elle souligné.Le texte vise également à sécuriser pour l'agriculteur un "droit à vivre" sur son exploitation et à le protéger face aux recours abusifs du voisinage liés aux activités agricoles.Saluant un "travail constructif", la secrétaire d'Etat chargée de la Biodiversité Bérangère Abba a relevé que nombre de ses dispositions existent déjà dans le droit actuel.Si elle a reçu un "avis favorable" à gauche des groupes PS et CRCE à majorité communiste, le groupe écologiste s'est prononcé contre la proposition de loi."D'une manière générale les dispositions du texte viennent à l'encontre des enjeux de préservation des espaces naturels agricoles ou forestiers de la loi Climat et résilience", a estimé Daniel Salmon.
Il y a 3 ans et 191 jours

L’architecture japonaise contemporaine s’expose à Paris

Sous la forme de maquettes, de photographies et de vidéos, l’exposition illustre la relation entre la société japonaise et l’architecture. [©Adan – MCJP/Nicolas Brasseur] Les architectures japonaises contemporaines sont présentées dans une exposition unique à Paris, à la Maison de la culture du Japon (MCJP). Cet évènement propose 64 projets aux formes originales et créatives. Qui s’intègrent harmonieusement dans des environnements variés. Tout en étant en phase avec les communautés locales. « L’exposition “Quand la forme parle” ne se focalise pas sur Tokyo, comme cela est habituellement le cas. Réunissant de nombreux architectes actifs dans tout l’archipel, elle présente, de manière inédite, la réalité de l’architecture du Japon d’aujourd’hui. Et écrit une nouvelle page de l’histoire des échanges architecturaux entre la France et le Japon », insiste Shuhei Endo, architecte et professeur honoraire à l’université de Kobe. Il est aussi vice-président de l’Architectural Design Association of Nippon (Adan), qui œuvre pour la valorisation de l’architecture nippone dans le monde. L’Adan est l’un des organisateurs de cet évènement. La nouvelle génération d’architectes nippons Ryue Nishizawa, Musée d’art de Teshima, département de Kagawa (Japon), 2010. [©Office of Ryue Nishizawa] « C’est à Paris que les architectes japonais Kunio Maekawa, Junzo Sakakura ou encore Takamasa Yoshizaka découvrirent l’architecture moderne incarnée au début du XXe siècle par Le Corbusier. Cette véritable rencontre a laissé une forte empreinte sur la génération suivante. Et les fruits de ces échanges franco-japonais sont visibles dans le monde entier. Les architectes japonais à qui sont confiés d’importants projets d’architecture ou d’urbanisme en France sont de plus en plus nombreux au fil des ans. Comme Kenzo Tange, Kisho Kurokawa et Tadao Ando dans les années 1990. Et Toyo Ito, Shigeru Ban, Kengo Kuma, Sanaa…, à partir des années 2000. Cependant, c’est aux générations suivantes, celles nées entre les années 1960 et 1980, qu’est consacrée cette exposition. Elle présente les projets aux formes originales que 35 jeunes architectes pleins de vigueur ont réalisés dans différentes régions de l’archipel et hors du Japon. L’exposition montre les réponses créatives de chacun de ces architectes aux problématiques de la société d’aujourd’hui », explique Hitoshi Suzuki, président de la Maison de la culture du Japon.  Vers la féminisation du métier L’exposition a aussi pour objectif de mettre le rôle des femmes architectes en avant. Parmi les 35 créateurs sélectionnés, 13 sont des créatrices ! [©Adan – MCJP/Nicolas Brasseur] Sous la forme de maquettes, de photographies et de vidéos, l’exposition illustre la relation entre la société japonaise et l’architecture. Elle a aussi pour objectif de mettre en avant le rôle des femmes architectes. Parmi les 35 créateurs sélectionnés, 13 sont des créatrices ! « Dans le passé, il y avait très peu de femmes dans les écoles d’architecture au Japon. Seulement une étudiante sur cinquante, quand j’étais étudiant. Mais cela a beaucoup évolué. Aujourd’hui, dans certaines universités, près de la moitié des étudiants sont des femmes », indique Taro Igarashi, historien de l’architecture, professeur à l’université du Tohoku et commissaire de l’évènement. Une autre partie de l’exposition rend hommage à un projet architectural étonnant, celui de la restauration de l’Asile flottant. Cette péniche en béton armé bâtie en 1917 avait été réaménagée en refuge pour les sans-abris par Le Corbusier en 1929-1930. Après avoir sombré dans la Seine en 2018, ce navire long de 70 m, situé quai d’Austerlitz, à Paris, a été sauvé par l’Architectural design association of Nippon. L’exposition présente l’histoire en photos de ce lieu hybride, à la fois social et culturel. Maison de la culture du Japon à Paris101bis, quai Branly75015 ParisEntrée librewww.mcjp.fr
Il y a 3 ans et 191 jours

Marcel Rogemont, réélu président de la Fédération nationale des Offices Publics de l'Habitat

La séance a été ouverte par Jean-Claude Besnard, administrateur de Sèvre Loire Habitat et doyen des conseillers fédéraux en durée de mandat, qui a fait procéder à l’élection du nouveau président de la Fédération.Marcel Rogemont, réélu à la tête de la FOPHMarcel Rogemont, nouvellement réélu président de l’association régionale HLM de Bretagne, a été réélu président de la Fédération des OPH.Administrateur de Neotoa (OPH d’Ille-et-Vilaine), Marcel Rogemont, membre du Conseil fédéral de la Fédération des OPH depuis 2008, est également membre du Comité Exécutif de l’Union sociale pour l’habitat depuis 2013. Ancien adjoint au maire de Rennes de 1977 à 1997 et ancien conseiller départemental d’Ille-et-Vilaine de 1998 à 2021, il a également été député d’Ille-et-Vilaine de 1997 à 2002 et de 2007 à 2017, et conseiller régional de Bretagne de 1992 à 1998.Dans son discours devant le Conseil fédéral réuni ce mardi 7 décembre, Marcel Rogemont est revenu sur les derniers combats menés par la Fédération pour la défense du modèle, rendant hommage à son prédécesseur, Alain Cacheux.« Nous devons à Alain Cacheux le positionnement de notre Fédération au sein de l’USH et face au pouvoir politique. En 2017, nous refusions de signer le protocole qui avalisait le financement des APL par les loyers de nos locataires, et qui actait le fait que la TVA pour le logement social serait la même que celle pour la restauration ! En refusant cette vision, nous avons établi une césure, qui nous a profité puisque nous avons obtenu la TVA à 5,5 % pour les projets ANRU, les PLAI et une partie des PLUS. Nous avons également obtenu les titres participatifs, et notamment la première tranche avec les 800 millions € initiaux, lors des négociations de la clause de revoyure. Si la voix de notre Fédération s’est fait entendre plus fortement qu’autrefois, nous le devons à Alain Cacheux, ainsi qu’à la confiance que vous m’avez renouvelée ce matin. Il est important qu’un président puisse compter sur un Conseil fédéral rassemblé, en particulier face à des tempêtes. » Marcel Rogemont a également évoqué les défis que doit porter la Fédération à l’heure de ce nouveau mandat.« Les temps qui viennent doivent être marqués par une responsabilité, vis-à-vis du modèle HLM, vis-à-vis des locataires, mais aussi vis-à-vis du modèle des offices, qui ont une singularité forte. Car devant la verticalisation du logement social, notre Fédération affirme clairement que les politiques locales de l’habitat, ce sont d’abord des élus qui décident de construire, ici ou là, du logement social, et qui sont en charge de la mixité sociale. Défendre le fait que les élus aient encore des moyens d’agir est notre responsabilité cardinale. Nous devons faire vivre l’horizontalité. »Le président réélu a insisté sur l’importance de porter ces convictions au cœur de l’élection présidentielle à venir.« Dans cette échéance majeure, la question du logement doit être beaucoup plus visible. Face à la flambée des prix de l’immobilier, face à l’urgence écologique et pour le renouveau de nos quartiers populaires, le logement social est une solution, et non pas un problème comme certains voudraient le faire croire. Nous devons œuvrer à faire prospérer notre modèle local et global du logement social au bénéfice de nos concitoyens ».Les nouveaux élus du ConseilLes 16 nouveaux élus du collège Organismes adhérents (présidents-administrateurs) et les 4 nouveaux élus du collège Locataires du Conseil fédéral ont été accueillis :Nouveaux élus du collège « Organismes adhérents »Patrick CHAIMOVITCH, président Colombes Habitat PublicJean-Pierre CHRÉTIEN, administrateur Ophis Puy-de-DômeJean-Louis COTTIGNY, président Pas de Calais HabitatCarine DELAHAIE, présidente OpalyChristian GALLET, administrateur OPAC du RhôneVincent GAUDY, président Hérault LogementMathieu KLEIN, président OMH du Grand NancyMichel MÉNARD, administrateur Habitat 44Rémi MUZEAU, président Hauts de Seine HabitatNicole OTTAVY, présidente OPH de la CA du Pays AjaccienSonia PATOURET, vice-présidente DomanysÉric PLIEZ, président Paris Habitat-OPHAlain RAMDANI, administrateur Pôle Habitat ColmarGaëlle ROUTIER, présidente Côtes d’Armor HabitatJean-Noël VERFAILLIE, vice-président Partenord HabitatAnne VOITURIEZ, présidente Lille Métropole HabitatNouveaux élus du collège « Locataires »Marie-Thérèse GUILLET (Néotoa - OPH d’Ille et Vilaine)Nathalie LECONTE (Pays d’Aix Habitat Métropole)Franck LEMESLE (Maine et Loire Habitat)Daniel PIEDDELOUP (Vallée Sud Habitat - OPH du Territoire Vallée Sud Grand Paris)Prochaines élections prévues en 2023Rappelons que la Fédération est administrée par un Conseil fédéral de 63 membres. Initialement prévues en 2020, les élections ont été reportées à 2021 pour des raisons liées à la crise sanitaire de la COVID-19. Elles sont statutairement organisées tous les deux ans, pour un renouvellement par moitié pour le collège « Organismes adhérents » (44 membres) et à la fois intégralement et alternativement pour les collèges « Directeurs généraux-Directrices générales » (7 membres) et « Locataires » (6 membres). Le collège « Cooptés », quant à lui, comporte également 6 membres. 5 de ces membres doivent être renouvelés lors du CF qui suivra l’installation du Conseil fédéral ce 7 décembre 2021.Les élections ont eu lieu par voie électronique. Le dépouillement du 1er tour des élections s’est déroulé le mardi 8 novembre, au siège de la Fédération.Pour le collège « Organismes adhérents », 28 candidats ont été élus au Conseil fédéral au 1er tour.Enfin, concernant le collège « Locataires », les 6 postes ont été pourvus et se répartissent entre les associations de la manière suivante :CGL/CSF : Franck LEMESLE (Maine et Loire Habitat) CLCV : Gérard COPIN (Partenord Habitat - OPH du Nord), Marie-Thérèse GUILLET (Néotoa - OPH d’Ille et Vilaine) CNL : Chantal BOUCHER (Valophis Habitat - OPH du Val de Marne), Nathalie LECONTE (Pays d’Aix Habitat Métropole), Daniel PIEDDELOUP (Vallée Sud Habitat - OPH du Territoire Vallée Sud Grand Paris EPT 2)Outre le Conseil fédéral, 6 sièges étaient également à pourvoir au niveau du Comité fédéral d’autocontrôle (instance consultative assurant le suivi du fonctionnement du dispositif professionnel d’expertise) : 2 concernaient le collège « Organismes adhérents » et 4 celui des « Directeurs généraux-Directrices générales ». Tous ont été pourvus dès le 1er tour de scrutin.
Il y a 3 ans et 192 jours

Décès de l'architecte Gérard Grandval, créateur des "Choux" de Créteil

Une cérémonie sera organisée le 9 décembre au crématorium du cimetière du Père Lachaise à Paris, a précisé la famille dans un message publié lundi sur le compte Instagram de l'architecte.Né en 1930, Gérard Grandval se voit chargé en 1968 de concevoir un nouveau quartier dans le cadre de la rénovation de la ville de Créteil, préfecture du tout jeune département du Val-de-Marne, qui venait d'être créé dans le sud-est de Paris.De ce vent de modernité naissent alors les "Choux", dix tours imposantes et arrondies construites au début des années 1970 en face du palais de justice.Bien connu des habitants val-de-marnais, ce grand ensemble se distingue des autres barres d'immeubles construites à l'époque par sa forme bombée et ses balcons imposants en forme de pétale, conçus pour protéger les habitants des regards extérieurs et du vent, et qui valent au quartier du Palais son surnom, en raison de leur ressemblance avec un chou-fleur.Outre ce grand ensemble de Créteil, Gérard Grandval, diplômé de l'Ecole nationale supérieure des beaux-arts puis promu Chevalier des arts et des lettres, a notamment travaillé sur le centre d'exposition de la mode au Louvre à Paris, le siège de la société Bob Ore international à Montréal et sur celui de la Société de transports aéronautiques (STA) à Alger.
Il y a 3 ans et 192 jours

En France, vers une croissance de 6,7% en 2021 mais un regain d'incertitude lié à Omicron

Après avoir rattrapé son niveau d'avant-crise en août, le produit intérieur brut (PIB) devrait se situer en décembre à 0,75 point de pourcentage au-dessus de ce niveau, selon la note de conjoncture publiée par la banque centrale française.L'institut monétaire n'avait pas officiellement relevé sa prévision de croissance de 6,3% depuis septembre, publiée alors que les très bons résultats de l'économie française pour le troisième trimestre n'étaient pas encore connus.Mais son directeur général Olivier Garnier avait déjà évoqué en novembre un chiffre de l'ordre de 6,75%, tout en précisant qu'il ne s'agissait que d'un "calcul par rapport aux acquis" des trimestres précédents.Le gouvernement n'a pas de son côté révisé sa prévision de 6,25%, tandis que le FMI table sur 6,75% et l'OCDE sur 6,8%.Le niveau de 6,7% "est beaucoup plus élevé que ce que l'on attendait en première moitié de l'année et c'est le plus haut chiffre de croissance depuis plus de 50 ans", a déclaré François Villeroy de Galhau sur RTL, ajoutant que la Banque de France allait livrer ses prévisions complètes pour 2021 et les années à venir le 20 décembre.Dans sa note de conjoncture, la banque centrale française a par ailleurs légèrement abaissé sa prévision de croissance pour le quatrième trimestre en estimant désormais qu'elle serait "légèrement inférieure" à 0,75%, sans toutefois atteindre ce niveau comme elle le pensait précédemment.L'activité n'a d'ailleurs pas progressé au mois de novembre, se maintenant à 100,5% du niveau de début 2020, avant la crise, une stagnation que M. Garnier attribue à un léger repli du commerce, des transports et de l'hébergement-restauration, tandis que l'ensemble des services marchands tout comme l'industrie ont continué à progresser.Des mois difficilesEn décembre, le niveau d'activité devrait néanmoins reprendre sa progression pour se situer à 0,75 point de pourcentage au-dessus de l'avant-crise, selon la note.Les 8.500 chefs d'entreprises interrogés par la banque centrale estiment en effet qu'en décembre, l'activité va continuer à croître dans l'industrie et les services, mais stagner dans le bâtiment.Toutefois, avec l'aggravation de la cinquième vague et l'émergence du variant Omicron, "il y a un peu plus d'incertitudes sanitaires qui pourraient affecter l'économie au cours du mois de décembre", notamment au niveau de la consommation, a expliqué M. Garnier."La croissance française reste solide", a néanmoins assuré François Villeroy de Galhau, expliquant que les chefs d'entreprise avaient fait preuve de prudence lors de l'enquête réalisée la semaine dernière "alors qu'on ne savait rien sur Omicron"."Les bases de la croissance sont très bonnes" même si "la période actuelle est plus incertaine que ce qu'on a eu au troisième trimestre", a aussi expliqué à l'AFP Charlotte de Montpellier, économiste de la banque ING.Elle estime qu'en raison de la résurgence de l'épidémie, "on a quelques mois qui vont être plus difficiles" avant le printemps, pointant que les dernières données de carte bancaire sur les dépenses des consommateurs et de Google Mobility sur les transports font état "d'une diminution du rythme de l'activité économique par rapport à octobre".Le gouverneur de la Banque de France rappelle de son côté les "deux points d'attention qui sont la contrepartie" de la reprise économique, à savoir les problèmes d'approvisionnement "qui devraient se dissiper" et les difficultés de recrutement, moins fortes aujourd'hui mais plus durables, selon lui.
Il y a 3 ans et 192 jours

Une première acquisition pour Daikin en France

RACHAT. Daikin France a achevé l'acquisition du groupe BV, un spécialiste du suivi, de la maintenance et du SAV des équipements de production de froid pour le secteur industriel. Il s'agit d'une première opération de ce type sur le territoire pour le groupe de génie climatique présent dans l'Hexagone depuis 1993.
Il y a 3 ans et 192 jours

Fabemi Terrasse & Jardin -Un nouveau showroom d’exception pour travaux d’aménagement extérieur

Il est souvent plus facile d’appréhender son projet d’aménagement extérieur en voyant les matériaux mis en œuvre plutôt que sur un catalogue. Pour présenter son savoir-faire, Fabemi a investi dans un showroom d’exception sur son site de Donzère, dans la Drôme provençale. Ce nouvel espace d’exposition invite le visiteur à une véritable immersion dans l’univers de Fabemi, et propose neuf zones différentes, réparties sur plus de 1 200 m², mettant en scène l’ensemble des produits Terrasse & Jardin du Groupe. Pour permettre à chacun, et notamment ceux qui ne peuvent pas se déplacer sur le showroom, de découvrir visuellement les produits et d’en apprécier les finitions et les couleurs, Fabemi Terrasse & Jardin propose également un service en ligne de demande d’échantillons. Parfaitement complémentaires, le nouveau showroom et la mise à disposition d’échantillons ont pour vocation d’accompagner les clients dans la définition de leurs projets. Une installation en deux phases Les nombreuses mises en scène paysagères du showroom Fabemi utilisent tous les produits dédiés à l’aménagement extérieur. Les visiteurs peuvent ainsi apprécier au mieux la qualité des dalles, pavés, margelles, murets… dans des décors végétalisés. L’ensemble sera ouvert au grand public, aux professionnels (paysagistes et distributeurs)et, bien sûr, aux écoles début 2022. Les travaux ont été effectués sous la direction du paysagiste Florent Masclaux de l’entreprise Blason paysage à Grâne (26). La première tranche, qui s’est déroulée de juin à fin septembre 2021, comprend : -un espace utilisant les produits Manoir (dallage, cercle, marche, caniveau), -des murs et des jardinières en blocs et couronnements Hadrien, -des jardinières en blocs et couronnements Schistone, -un bassin pour poissons avec des margelles Manoir, – deux terrasses en pavés vieillis et bruts, – un patio en pavés Bastide. La deuxième tranche de travaux a débuté le 8 novembre et devrait se terminer en janvier 2022, avec : – trois terrasses en dallages Jouques, Nashira et Calypso, -trois petites piscines avec les margelles Nashira, Jouques et Calypso, -une fontaine en blocs Hadrien. Un espace sera également dédié aux échantillons, avec tous les produits, formats et coloris des gammes Fabemi Terrasse & Jardin. L’ensemble des installations est végétalisé afin de donner un maximum de réalisme à chaque aménagement. Les visiteurs comme les salariés du Groupe Fabemi apprécieront également les détails agrémentant les espaces : tonnelles, bancs, tables, éclairage… Formation revendeurs et paysagistes Le nouveau showroom sera intégré dans le cycle des formations destinées aux partenaires de Fabemi. De la visite d’usine à la mise en œuvre des produits, les professionnels pourront se faire une idée précise sur les aménagements extérieurs qu’ils sont appelés à proposer à leur clientèle à travers des espaces et ambiances uniques. Commander des échantillons gratuits sur www.fabemi.fr Pour permettre aux clients d’avoir un véritable aperçu de ses produits Terrasse & Jardin et faire le bon choix, Fabemi leur propose de commander gratuitement des échantillons en ligne. Quelques clics sur www.fabemi.fr suffisent pour recevoir un échantillon de dallage, margelle, pavé ou chaperon de mur, afin de comparer les aspects et les coloris et donner vie au projet. Le choix en matières, formats et coloris est vaste parmi les nombreuses gammes de produits Terrasse & Jardin proposées en échantillons : dalles et margelles en Béton, en Pierre naturelle ou en Céramique, pavés de tous formats, bruts ou vieillis martelés. Enfin, différents modèles de chaperons de mur sont également disponibles, des accessoires indispensables pour protéger les murs et leur donner une belle finition. Une procédure simple et rapide En page d’ouverture du site www.fabemi.fr, il suffit de cliquer sur le petit onglet rouge «ECH–Demander un échantillon Terrasse & Jardin». Une nouvelle page s’ouvre alors, qui indique la marche à suivre en fonction de la typologie du client – particulier ou professionnel – et de son département. Il suffit ensuite de sélectionner les produits et coloris souhaités parmi les échantillons disponibles et de renseigner ses coordonnées. Le particulier, le professionnel, ou même le point de vente pour l’un de ses clients, peuvent demander les échantillons (délai d’expédition 3 à 5 jours).
Il y a 3 ans et 192 jours

Retour à une gestion publique de l'eau pour Lyon en 2023

RÉGIE PUBLIQUE. La métropole de Lyon va revenir à une gestion publique de l'eau à partir de 2023. Objectif : "préserver la ressource".
Il y a 3 ans et 192 jours

L'activité des matériaux de construction en 2021 proche des niveaux d’avant crise

Les résultats de l’année 2021 montrent un retour aux niveaux d’activité de 2019, avec une augmentation de production prévue à + 10 % à fin décembre 2021 (vs 2020) pour les granulats et pour le béton prêt à l’emploi (BPE), portant les volumes à 360 millions de tonnes pour les granulats et à 40,7 millions de m3 pour le BPE. Au-delà des chiffres, la profession, durant cette période de crise sanitaire, a su montrer toute sa capacité de résilience face aux tensions sur les marchés en assurant les chaînes d’approvisionnement de ses clients sur les chantiers.Le trou d’air de l’été aura été passagerD’après les premiers résultats de l’enquête mensuelle d’octobre, les volumes de granulats auraient progressé de +2,1 % par rapport à septembre (données CVS-CJO). Sur les trois derniers mois connus, l’activité gagne +0,6 % au regard des trois mois précédents mais se situe encore -1,6 % en dessous de celle de 2019. En cumul sur les dix mois de 2021, la production de granulats affiche une hausse +12,3 %, soit un niveau tout juste en dessous de celui de 2019 (-0,5 %).Concernant le BPE, la hausse enregistrée en octobre (+2,2 %) place les livraisons au-dessus de celles d’octobre 2020 mais aussi de celles d’octobre 2019 (+3,3 %). Au cours du dernier trimestre, les volumes ont quasiment cessé de baisser par rapport aux mois précédents et affichent une hausse de +0,7 % au regard de la même période de 2019. Au total, en cumul sur dix mois, la production de BPE s’inscrit en hausse de +13,1%, tutoyant là aussi les niveaux de 2019 (-0,4 %).L'indicateur matériaux de l'UNICEM, qui synthétise l'activité d'un panier de matériaux de la filière minérale, confirme ces tendances. Après un troisième trimestre en repli de -8,1 % sur un an, le mois d’octobre se redresse de +4,2 %, laissant le cumul sur dix mois des livraisons de matériaux à +11,5 % sur un an, soit +1,1 % au-dessus de 2019.Bâtiment : un climat qui restera favorableLes carnets de commandes dans le gros œuvre affichent toujours des niveaux très élevés même si des difficultés d’approvisionnement et des pénuries de main-d’œuvre affectent le bon déroulement des chantiers. Côté construction neuve, s’il est vrai que le segment du non résidentiel peine à se relever du choc induit par la crise sanitaire, l’activité du segment résidentiel s’est quant à elle nettement raffermie. Compte tenu du rythme de hausse des permis constaté en 2021, cette dynamique constructive pourrait perdurer, notamment dans le logement individuel. En effet, dans le collectif, les freins structurels (pénurie de foncier, freins locaux, problème d’acceptabilité, procédures d’urbanisme, etc.) semblent brider le rebond et la mise en place de nouveaux projets en dépit d’une forte demande immobilière exprimée par les ménages. Certaines mesures de soutien, comme l’annonce de la prise en charge par l’Etat de l’exonération de la taxe foncière des bailleurs sociaux, pourrait, il est vrai, réveiller les ambitions des « maires bâtisseurs », à supposer toutefois qu’elles puissent se concrétiser. Dans ce contexte, le total des mises en chantier pourrait au final se stabiliser autour des niveaux constatés en 2021, alimentant un besoin de BPE proche des volumes livrés cette année.Travaux publics : accélération attendueAprès le rebond du premier semestre lié à l’achèvement des chantiers en cours et/ou stockés pendant la période de confinement, l’activité dans les travaux publics marque un peu le pas. Le niveau des carnets de commandes peine à se regarnir même si le redressement est à l’œuvre. La concrétisation des projets du Plan de relance, couplée à un raffermissement des appels d’offre et des investissements des municipalités (dont les trésoreries sont au beau fixe) devrait soutenir un peu plus l’activité en 2022, notamment au second semestre, alimentant de facto la demande de granulats. Pour l’heure, les entreprises de travaux publics sont soumises aux mêmes tensions sur l’offre (difficultés de recrutement et renchérissement des coûts de production) et même si leur niveau d’activité est loin d’avoir retrouvé celui d’avant crise et que le montant des appels d’offres est actuellement bas, les professionnels restent plutôt confiants pour l’année à venir.Estimations 2021 et prévisions 2022Le profil conjoncturel de l’année 2021 aura finalement été assez « chahuté », entre les mouvements de rattrapage d’activité, les rebonds et les effets de base liés aux déconfinements et le trou d’air de l’été. A cela se sont ajoutées des tensions sur l’offre qui, dans un contexte de reprise économique mondiale, ont pesé sur l’approvisionnement et le bon déroulement des chantiers du bâtiment et des travaux publics. Malgré tout, l’année devrait se solder par un niveau d’activité en hausse de +10 % dans les granulats et le BPE, laissant les volumes produits à des niveaux proches de ceux d’avant crise.En dehors des incertitudes liées au contexte sanitaire et à l’évolution des tensions d’approvisionnements et de leurs impacts, notre scénario pour 2022 privilégie le maintien d’une demande de matériaux encore soutenue : elle se situerait au niveau de celle de 2021 pour le BPE, voire en légère hausse pour les granulats (+1%). La dynamique constructive continuerait d’alimenter les besoins en BPE tandis que le marché des granulats serait soutenu par le raffermissement progressif de l’activité des travaux publics, via la montée en charge du Plan de relance et le retour des projets des collectivités locales (amorce du nouveau cycle électoral).Au-delà des chiffres, la filière minérale est au service de l’économie des territoires…Alors que de nombreuses entreprises de mise en œuvre se sont trouvées confrontées à d’importantes pénuries de certains matériaux, les entreprises de la filière n’ont jamais cessé d’alimenter les chantiers.En effet, la filière des matériaux minéraux de construction est une activité 100 % locale, qui extrait, transforme, transporte et met en œuvre des matériaux dans un périmètre géographique resserré.Les sites industriels des entreprises adhérentes à l’UNICEM, notamment les carrières et les unités de production de béton prêt à l’emploi, sont répartis sur l’ensemble du territoire, au plus proche de leurs clients. Ce maillage territorial favorise les circuits courts avec une forte réactivité, une rapidité des livraisons et une adaptation immédiate à la demande.Ce maillage industriel, générant des emplois non délocalisables, et implanté au cœur des territoires, a prouvé son efficacité » souligne Alain Boisselon.… la filière sait faire preuve d’agilité…REP : un éco-organisme dédié aux déchets inertesDans le cadre de la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (AGEC), le régime de la responsabilité élargie du producteur (REP) est étendu aux produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment à compter du 1er janvier 2022. Afin de répondre à cette nouvelle orientation, les syndicats professionnels (FIB, Routes de France, SFIC et SNBPE, UNPG - tous deux adhérents à l’UNICEM) ont créé et participent à l’actionnariat d’un éco-organisme, ECOMINERO, pour les produits de construction minéraux générant des déchets inertes. ECOMINERO créé, par et pour les fabricants de produits ou matériaux de construction d’origine minérale, a pour but de simplifier la vie des entreprises, afin qu’elles remplissent leurs obligations découlant de la mise en place de la REP, et de remplir pleinement les objectifs de recyclage fixés par la loi AGEC.… et s’engage résolument dans la décarbonationRE 2020 : une réglementation biaiséeLa profession est favorable à la RE2020 en ce qu’elle prolonge et renforce la RT2012. Elle soutient évidemment une réglementation qui vise à conduire les matériaux de construction sur une trajectoire « 0 carbone » à l’horizon 2050 et pousse les ouvrages à la sobriété énergétique. Cependant la filière est fermement opposée à la méthode de calcul de l’ACV dynamique simplifiée, qui reporte la question du déstockage du CO2 en fin de vie de l’ouvrage sur les générations futures et qui favorisera l’usage de matériaux biosourcés, dont beaucoup seront importés, et ne concrétisera pas les ambitions des pouvoirs publics de voir les bâtiments devenir des puits de carbone. Ce déséquilibre se fera au détriment de matériaux locaux, non délocalisables, indéfiniment recyclables et qui participent à une véritable économie circulaire. Pour répondre aux objectifs fixés par la RE2020, le béton « bas carbone » développe d’excellentes performances, des qualités d’usage et de durabilité, tout en émettant moins de gaz à effet de serre. L’objectif de la filière est de concourir avec les autres matériaux de construction à l’offre d’ouvrages décarbonés.
Il y a 3 ans et 192 jours

Le gouvernement va financer des projets locaux en faveur des aînés

En deux ans, plus de 200 projets doivent être financés via ce "fonds d'appui pour des territoires innovants seniors". Il s'agit de "soutenir les collectivités qui souhaitent répondre au défi du vieillissement de leur population", a expliqué dans un communiqué la ministre déléguée à l'Autonomie, Brigitte Bourguignon.Les fonds publics seront alloués via la Caisse nationale pour la solidarité pour l'autonomie (CNSA).Le but est de favoriser des "environnements bâtis et sociaux plus adaptés" aux personnes âgées, et une meilleure "inclusion dans la société", en valorisant l'"expertise" des aînés, ou le "vivre-ensemble entre les générations", a souligné la ministre.Il ne faut pas confondre vieillissement et perte d'autonomie, insiste le ministère : actuellement, les politiques locales dédiées au grand âge reposent essentiellement sur "le traitement curatif de la perte d'autonomie", alors qu'"il est essentiel d'optimiser les possibilités de bonne santé, de participation et de sécurité, afin d'accroître la qualité de vie pendant la vieillesse".Les villes ou regroupements de communes pourront solliciter une bourse de 6.000 à 10.000 euros pour financer la réalisation d'un état des lieux, ou d'une "démarche participative" associant les seniors, afin de déterminer les chantiers à mettre en œuvre.Mais l'essentiel de la somme, soit 7,5 millions d'euros, doit financer des "projets concrets" dans les communes. Il pourra s'agir d'offres culturelles associant grand-parents et petits-enfants, d'actions visant à "valoriser les connaissances des retraités" et favoriser "le vieillissement actif" – par exemple, des cours de bricolage ou des cours de soutien scolaire animés par les aînés -, ou encore des travaux d'amélioration de la signalétique pour favoriser la mobilité des seniors en ville.Chaque projet pourra recevoir 40.000 euros maximum, et les collectivités devront participer à leur financement - à hauteur d'au moins 20% pour les petites communes de moins de 20.000 habitants, et d'au moins 70% pour les grandes villes de plus de 100.000 habitants.Les collectivités intéressées doivent présenter leurs projets au Réseau francophone des villes amies des aînés (RFVAA), une association regroupant 189 municipalités ou agglomérations, qui bénéficie d'une "expérience précieuse" sur ces questions, a souligné Mme Bourguignon.
Il y a 3 ans et 192 jours

L’OPPBTP maintient ses recommandations sanitaires face à la 5ème vague de Covid-19

Il a rappelé en particulier l’importance des gestes barrières : port du masque, hygiène des mains et distance, et la nécessité de limiter au maximum les rassemblements et moments conviviaux professionnels et personnels. Le Premier ministre a également invité les entreprises à privilégier le télétravail chaque fois que possible, de l’ordre de 2 à 3 jours par semaine.Pour le BTP, ces annonces ne modifient pas les préconisations du guide de sécurité sanitaire dont la dernière version a été publiée le 30 novembre dernier.Pour Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP : « L’OPPBTP souhaite attirer à nouveau l’attention de toutes les entreprises et de tous les salariés sur l’importance de la mise en œuvre de ces préconisations, en particulier pour les espaces de restauration et dans les locaux fermés. Port du masque, distanciation, hygiène, désinfection et aération restent les pierres angulaires de la lutte anti-Covid, à promouvoir largement sur les chantiers. »Pour mémoire, dans sa boîte à outils Covid-19, l’OPPBTP propose un choix d’affiches et de vidéos afin de faciliter le respect des bons gestes sanitaires.Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l’OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu’à distance grâce au service PréventionBTP En Direct. Une base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 y est disponible.
Il y a 3 ans et 192 jours

Rénovation du Groupe scolaire Bellevue à Polisot (10)

Construit en 1977, l’établissement scolaire commençait à accuser le poids des années… Il était donc temps que ce lieu de vie et de savoir fasse peau neuve ! Afin d’offrir un cadre d’apprentissage idéal pour les quelques 120 écoliers qui foulent ses bancs, la municipalité a lancé début-2019 de grands travaux de rénovation thermique et esthétique.Grâce à la solution d’ITE Myral M32 posée en vêtage 82 mm sur mousse PIR, les 1 600 m2 de façades de l’école primaire auboise sont désormais parfaitement isolés, garantissant aux élèves et au corps enseignant un confort thermique idéal tout au long de l’année.Esthétiquement parlant, les parements « Gris Anthracite » (RAL 7016) et « Blanc Pur » (RAL 9010) issus de la gamme Purs Mats offrent un contraste fort qui tranche habilement avec les piliers multicolores supportant le préau. Telle l’encre noire couchée sur le papier, ces teintes aussi franches qu’éclatantes confèrent à l’ensemble une silhouette élégante et une allure graphique du plus bel effet.Dorénavant bien isolée, mise aux dernières normes environnementales pour les économies d’énergie mais aussi revalorisée sur le plan esthétique, l’école primaire Bellevue est définitivement entrée dans le XXI ème siècle ! Les travaux s'étant achevés durant l'été 2019, les jeunes écoliers ont pu prendre possession de leur établissement entièrement rénové dès la rentrée des classes de septembre... Une belle surprise pour ces enfants qui étaient tous ravis de leur nouvelle école !Informations chantier Présentation Nom du projet : Groupe scolaire Bellevue Date de construction : 1977 Type de bâtiment : ERP (école élémentaire) Nature des travaux : Rénovation énergétique Localisation : Hameau de Bellevue, Polisot (Aube – 10) Date de travaux : janvier à septembre 2019 Surface de façades : 1 600 m² Solutions Solution mise en œuvre : Vêtage 82 mm Mousse PIR + Parement M32 Texture(s) et coloris : Gamme Purs Mats : RAL 7016 (Gris Anthracite) + RAL 9010 (Blanc Pur) Finitions : Lisse Équipe projet Commercial Myral en charge du projet : Pierre GUERRERO Maître d’ouvrage : Mairie de Polisot Architecte : SCP PREAUX-DETHOU à BAR-SUR-SEINE (10) – Olivier PREAUX / Murielle DETHOU Entreprise : LAMBLIN DÉCORS ET FINITIONS à BRÉVIANDES (10)
Il y a 3 ans et 192 jours

Agglomération Grand Lac : 243 km de piste cyclable d’ici 10 ans

La Communauté d’Agglomération Grand Lac souhaite renforcer les déplacements à vélo sur son territoire.
Il y a 3 ans et 192 jours

Les Quartiers Fertiles : 25 lauréats supplémentaires

Dès le début d’année 2020, l’agriculture urbaine a été identifiée par le Gouvernement comme un levier stratégique permettant de renforcer la dimension environnementale des 450 quartiers concernés par le Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain (NPNRU), mis en œuvre par l’ANRU. Avec l’annonce des 25 derniers lauréats de l’appel à projets « Les Quartiers Fertiles », ce sont au total 100 fermes urbaines couvrant 140 quartiers fertiles qui vont être financées pour un montant total de 34 millions d’euros, dont une partie grâce à France Relance. Les projets lauréats bénéficieront d’une aide financière pour le cofinancement d’études et missions d’ingénierie, d’investissements et de dépenses de personnel, et d’un appui technique et opérationnel, individuel et collectif.
Il y a 3 ans et 193 jours

Anne-Françoise Jumeau, Femme architecte 2021

C'est l'architecte Anne-Françoise Jumeau, fondatrice de l'agence Afja et membre du groupement Périphériques, qui reçoit le prix Femme architecte 2021. Attribué chaque année par l'association pour la recherche sur la Ville et l'Habitat (Arvha), la distinction valorise les œuvres et les carrières des […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 193 jours

Paris veut tripler son réseau frigorifique urbain, alternative à la climatisation

ÉNERGIE. La Ville de Paris a annoncé avoir choisi le groupement Engie-RATP pour la concession sur 20 ans du réseau de froid de l'agglomération. Le contrat concerne la production, le stockage, le transport et la distribution d'énergie frigorifique, ainsi que l'extension du réseau avec quelque 158 kilomètres nouvellement raccordés d'ici 2042.
Il y a 3 ans et 193 jours

Quelles solutions de drainage pour les sols sportifs ?

Pourquoi faire un bon drainage de vos sols sportifs ?La gestion de l’eau est vitale pour la pérennité d’une surface sportive. Un sol mal drainé reste humide en surface ou en profondeur et aura des effets néfastes sur la viabilité du terrain et des surfaces gazonnées :Détérioration, impraticabilité, report de compétition…Le drainage permet d’évacuer les eaux excédentaires présentes dans le sol, d’origine souterraine ou pluviale. Certains sols, du fait de leur composition (sablonneux par exemple), peuvent être naturellement drainants mais dans la grande majorité des cas, l’entretien d’un sol sportif nécessite la mise en œuvre d’un dispositif de drainage renforcé.Pour éviter les dégradations, il faut donc réagir rapidement pour drainer et assainirvotre pelouse sportive avec une solution efficace et rapide.Suivant le terrain, il faut choisir une bonne méthode pour votre drainage :Au niveau des espaces verts traditionnels, le drainage peut être superficiel, c’est-à-dire réalisé au moyen de fossés se déversant dans un collecteur. Il peut aussi se traduire par un système souterrain, ce qui est généralement le cas pour les terrains de sports engazonnés. Dans ce cas, il est assuré par un réseau de canalisations ou de drains placés dans le sol.En la matière, il convient de toujours faire appel à un spécialiste et il est souhaitable que l’observation des caractéristiques du sol soit effectuée en période humide de façon à noter les niveaux de circulation d’eau ainsi que la présence d’un niveau d’eau stabilisé.Il est également indispensable de procéder à une analyse de tous les matériaux utilisés (drains, sable, gravier, etc.) afin de garantir la réalisation.Quelles solutions de drainage pour les sols sportifs ?Un drainage des sols sportifs efficace soumis à un usage fréquent est essentiel pour en permettre l’utilisation quelques soient les conditions climatiques.Le choix du système de drainage dépendra également de l’utilisation du site (durée, type de compétition etc.).Les systèmes de drainage en pleine terre peuvent être réalisés selon les besoins du projet :Sous toute la surface du terrain de sport, dans une couche continue, pour optimiser la prestation et permettre le drainage dans toutes les directions.Dans des zones particulières à proximité des cages.Les drains plats adaptés à tous les terrains de sport, FLATDRAIN et FLATTEXPour le drainage des sols sportifs ATE a élaboré la gamme de drain plat FLATDRAIN et FLATTEX qui propose des solutions adéquates pour vos projets (capacité drainante, vitesse de réaction, résistance mécanique importante...) sur l’ensemble des sols sportifs (les golfs -green et parcours-, les terrains de grands jeux -foot, rugby-, les pistes équestres - carrières ou champs de courses- etc…)La gamme Flat est dotée d’une importante surface de contact avec le sol ce qui lui permet une collecte et une évacuation des eaux très rapide. Leur forme ‘Panneau’ permet une pose sur le fond de forme sans tranchée, ne nécessite pas d’engins spécifiques, dans le cas de la pose à plat, et dans beaucoup de cas, il peut être posé dans les couches poreuses du terrain sans recours à du remblais gravier. Il est doté également d’une haute résistance à la compression.Sa largeur en fait un panneau de captage de grande surface qui selon le mode de pose permet :À plat, d’avoir une vitesse de vidange élevé et de mieux rabattre le niveau d’eau.Verticalement, d’offrir un écran aux circulations d’eau et toujours avec vitesse de vidange élevée.Le FlatDrain : il s’agit du drain plat PEHD de classement de résistance élevé SN25Le FlatTex : il s’agit du FlatDrain avec un enrobage très ouvert limitant les colmatagesATE vous conseille pour vos chantiers de drainage des terrains de grands jeuxExperts de solutions de drainage dans tous domaines, ATE a réaliser une brochure spécifique pour le drainage des terrains de grands jeux : terrains de foot et terrains de rugby. Nous y détaillons, suivant chaque situation, quelle solution choisir et comment l’appliquer. N’hésitez pas à nous contacter, notre service technique est à votre disposition pour vous conseiller dans le choix, la conception et la réalisation de votre drainage.
Il y a 3 ans et 193 jours

Gaëtan Leprince, directeur des ventes bâtiment France chez Toupret

Gaëtan Leprince devient le directeur des ventes bâtiment France chez Toupret. [©Toupret] L’équipe de Toupret s’agrandit et accueille Gaëtan Leprince à la direction des ventes bâtiment France. Pour rappel, Toupret fabrique et produit des enduits de préparation et de décoration pour les murs. Gaëtan Leprince aura pour mission de conforter la place de l’industriel sur son marché. Il sera en charge de prendre en compte les besoins des clients distributeurs et d’accompagner les utilisateurs dans la réussite de leurs projets. « Je suis très fier de porter une marque forte telle que Toupret. Et de rejoindre une équipe de commerciaux et de démonstrateurs expérimentés. Je retrouve ici une expertise terrain et produits qui, selon moi, fait la force d’une marque sur les chantiers », déclare Gaëtan Leprince.  Son parcours  Hervé Guermonprez, directeur commercial France, commente, lui aussi, cette nomination :« Gaëtan bénéficie d’une grande culture des produits de second œuvre, d’une parfaite connaissance des acteurs de la construction et des réseaux de distribution. A un moment où nous renforçons notre position sur le marché professionnel, son expérience dans l’industrie des matériaux de construction constitue un véritable atout pour accompagner notre développement ». Titulaire d’un diplôme de manager en ingénierie d’affaires (Sup de ventes) et d’un DUT en techniques de commercialisation, il débute sa carrière chez Saint-Gobain. Pendant plus de 13 ans au sein de ce groupe, il y a occupé plusieurs postes. Comme ceux de responsable commercial, marketing et management en France et à l’international, pour des marques comme Isover, Placo ou Weber. 
Il y a 3 ans et 193 jours

Considérations sur les raisons de l’insécurité

Je m’interroge, chère Roxane, sur cette question de mon ami l’architecte : l’idéologie de l’insécurité trouve-t-elle son terreau dans les erreurs et l’inconstance de la politique de l’urbanisme conduite depuis les années soixante ? Lettre XXXVI supplémentaire – A la façon des Lettres persanes.* De Usbek à Roxane au sérail d’Ispahan, Je vous envie, chère […] L’article Considérations sur les raisons de l’insécurité est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 193 jours

Effondrement d'un immeuble à Sanary-sur-mer après une explosion qui pourrait être due à une fuite de gaz

Une femme et un bébé ont eux pu être sortis des décombres, blessés mais vivants, tandis que trois personnes ont été légèrement blessées. Les pompiers, aidés de chiens et d'importants moyens, fouillent les ruines pour tenter de retrouver deux autres personnes, un homme et une femme portés disparus.L'explosion a secoué cette ville du littoral méditerranéen, déjà parée de ses décorations de Noël, guirlandes et boules multicolores: "Pour les manifestations de Noël, tout ce qui était prévu cette semaine est annulé", a annoncé le maire Daniel Alsters, évoquant "l'émotion générale" des 15.000habitants."C'était comme une grosse déflagration, un gros bruit sourd. J'ai été à ma fenêtre mais je n'ai rien vu, personne ne courait dans la rue qui était calme.Je me suis dit que j'avais rêvé", explique Anita Lonvis, qui habite à une centaine de mètres de l'immeuble d'habitation de trois étages qui s'est effondré vers 04h00 du matin."Moi, j'ai pensé que c'était un avion qui était tombé", ajoute son amie Habi, qui réside un peu plus loin dans le quartier et préfère ne pas donner son nom de famille.L'immeuble, situé entre deux crêperies, a été soufflé par une explosion dont l'origine reste indéterminée. Mais les secouristes, comme des témoins, ont indiqué avoir senti une forte odeur de gaz.Evacuation acrobatique"C'est plus qu'un lieu de vie, c'est le centre-ville, il y a à côté le kiosque à musique, le carrousel, une belle vue sur le port, le plus beau marché de France et les deux crêperies, les établissements de Sanary qui font le plus de couverts à l'année. Et au rez-de-chaussée de l'immeuble effondré, il y avait le glacier du port", raconte Philippe Brondi, propriétaire d'un bateau école dont les bureaux sont situés au premier étage de l'immeuble mitoyen."On a été prévenus vers 04h20 par la police et les pompiers, qui nous ont demandé de venir voir s'il n'y avait personne qui dormait dans nos bureaux, cela nous arrivait des fois de loger dedans quand on termine tard mais on est en hiver et il n'y avait personne", poursuit-il: "On nous a éloignés, mais on a constaté que la première personne évacuée avait une voix féminine, c'était la maman, ensuite le bébé".Philippe Brondi raconte à l'AFP l'évacuation acrobatique des personnes d'un immeuble mitoyen de trois étages: les pompiers les ont "fait sortir par l'intermédiaire de la grue ou d'une grande échelle, par la devanture du Galion (NDLR: la deuxième crêperie). Il y avait une mamie au deuxième étage et un serveur au premier étage qui est sorti par le toit du Galion".Pour le maire de Sanary, l'immeuble qui s'est effondré n'était "en rien vétuste", même s'il "avait son âge, comme tous les immeubles du centre ancien".En milieu de journée, les camions-bennes se succédaient devant l'immeuble effondré pour évacuer les gravats.Sur le mur du bâtiment mitoyen, là où était le 3e étage de l'immeuble effondré, un porte-manteau est resté fixé au mur au-dessus du vide, avec des vêtements et un sac de course accrochés, témoins de la vie des locataires qui y résidaient.
Il y a 3 ans et 193 jours

Vetrospace, des espaces de travail fermés garantissant un air intérieur pur sans virus

En effet, si avant la crise sanitaire, on entendait rarement parler de la qualité de l'air en intérieur, celle-ci semble avoir éveillé les consciences : identifiés comme vecteur de contamination, l'air intérieur et sa qualité sont devenus sujet de préoccupation pour 36% de la population active (enquête SWILE 2021). Destinés à créer des espaces personnels, pour le bureau, la réception du public, les hôpitaux, les Vetrospace® possèdent une ventilation autorégulée, brevetée sur plus de dix points, constituant un microenvironnement propre égal à une salle blanche (ISO 7) qui élimine mécaniquement les virus et les bactéries. Les Vetrospace® permettent de s'isoler avec une haute qualité d'air intérieur grâce à un système de ventilation « intelligente » puissant et silencieux, dont les capteurs mesurent le taux de CO2 en temps réel, et réagit en direct en fonction du nombre d'occupants et de leur niveau d'activité. Par exemple, plus les personnes ont des activités physiques intenses ou plus le nombre de personnes est important, plus la ventilation s'active (à minima 72 m3/H pour la Phonespace et à minima 540 m3/H pour la plus grande des Groupspaces).Selon Audrey Zaimeche, Senior Associate chez M Moser Associates, agence d'architecture présente dans 25 pays, spécialisée dans l'aménagement d'espaces de travail : « La qualité de l'air intérieur est devenue un sujet clé sur lequel nous nous penchons régulièrement avec nos clients. Avant la pandémie, ceux-ci voulaient déjà savoir si la circulation des virus était favorisée par la ventilation et pouvait les rendre malades. Et dans le contexte sanitaire actuel, ce sujet a pris une dimension exacerbée. L'air est devenu une composante essentielle de l'amélioration de la qualité de l'environnement de travail. Nous avons d'ailleurs développé en interne un algorithme permettant d'évaluer le score de qualité de l'air lors d'un projet de réaménagement d'espace »Une préoccupation d'autant plus importante qu'aujourd'hui, selon l'observatoire de la qualité de vie au travail, 75% des collaborateurs retournent au bureau afin de travailler avec leurs collègues et profiter de moments de convivialité.La gamme de produits Vetrospace ®répond à tous les besoins actuels :PhoneSpace, la cabine téléphonique la plus propre du monde avec son système autodésinfectant, sa ventilation renforcée qui renouvelle l'air en une minute et demie. GroupSpace CLEAN, la révolution de l'espace de réunion de 4 à 100 m2: «ventilation contrôlée à air pur climatisé » garanti sans particule biologique, ni virus, ni bactérie dans l'air Complété par GroupSpace CLEAN ULTRA qui est équipé pour garantir aussi la désinfection des surfaces par lumière visible enrichie en bleu (procédé utilisé dans les laboratoires et hôpitaux sans danger pour la santé).
Il y a 3 ans et 193 jours

Sortie du dossier thématique C21 « Adapter nos espaces urbains au changement climatique » : le CSTB pilote la rédaction avec l'Agence Parisienne pour le Climat

Alexandra Lebert, directrice du Domaine d'Action Stratégique « Bâtiments et Villes face au Changement Climatique » au CSTB, s'est vu confier par Construction 21 la rédaction en chef du dossier consacré au changement climatique, aux côtés de Cécilé Gruber, directrice des Transitions et de la Communication de l'Agence Parisienne pour le Climat. Objectif de ce dossier collaboratif : sensibiliser le plus grand nombre aux enjeux clés du changement climatique pour le monde de la construction. Pilotes de ce dossier, le CSTB et l'APC ont défini les sujets à traiter et réuni les contributions de professionnels et d'experts référents autour de trois questions centrales : Comment évaluer la vulnérabilité d'un espace urbain ? Quelles sont les solutions techniques ou organisationnelles à mettre en œuvre ? Et de quels retours d'expérience disposons-nous ? Pour apporter des éléments de réponse, une cinquantaine de contributeurs des filières construction, aménagement et immobilier se sont mobilisés : réflexions stratégiques, retours d'expérience, méthodes et outils innovants ont ainsi été explorés dans l'objectif que la ville se montre résiliente face aux nouveaux enjeux liés au changement climatique. S'adapter au changement climatique, c'est un projet de société, à dimension humaine, patrimoniale et technique. Pour avoir une action efficace, il est aujourd'hui indispensable de comprendre les phénomènes physiques en jeu, identifier nos points de vulnérabilité à l'échelle de la ville et évaluer l'efficacité des solutions existantes ou émergentes. Si chacun·e est concerné·e et peut avec ses initiatives et son expertise contribuer à ce chantier majeur, l'ampleur du défi imposera une réponse collective. Ce dossier veut justement contribuer à fédérer les acteurs autour de cet enjeu. Alexandra Lebert En savoir plus : Consulter le programme
Il y a 3 ans et 193 jours

Sainte-Hermine : travaux de sécurisation de la rue Flandres-Dunkerque

La rue Flandres-Dunkerque fera l’objet d’importants travaux de réaménagement à compter de mai prochain. Ce chantier aura pour but de renforcer la sécurité des usagers de cette voie.
Il y a 3 ans et 193 jours

Les Herbiers : inauguration d’un nouveau pôle solidarité

Un nouveau pôle solidarité a été construit dans la ville des Herbiers (Vendée). Celui-ci porte le nom de Jeanne Briand.
Il y a 3 ans et 193 jours

Fréjus : travaux en cours rue du Docteur-Donnadieu

La municipalité de Fréjus entreprend des travaux de sécurisation et de réaménagement rue du Docteur-Donnadieu.
Il y a 3 ans et 193 jours

Alfortville : réhabilitation du centre commercial du Grand Ensemble

La requalification du centre commercial constitue la dernière étape du projet de rénovation urbaine du quartier du Grand Ensemble.
Il y a 3 ans et 193 jours

Maximum et la nouvelle vie de la chenille de Beaubourg

C'est l'architecte Anne-Françoise Jumeau, fondatrice de l'agence Afja et membre du groupement Périphériques, qui reçoit le prix Femme architecte 2021. Attribué chaque année par l'association pour la recherche sur la Ville et l'Habitat (Arvha), la distinction valorise les œuvres et les carrières des […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 193 jours

Feu vert à la surélévation de la Tour Montparnasse de 20 mètres

"Il n'y a désormais plus de frein juridique au démarrage des travaux." Le tribunal a validé jeudi le permis de construire délivré par la Ville, jugeant le projet de l'Ensemble Immobilier Tour Maine-Montparnasse (EITMM), les copropriétaires de la tour, conforme au plan local d'urbanisme (PLU) de la capitale même "s'il ne respecte pas les règles de hauteur maximale prévues".Cependant, des exceptions à ces règles sont possibles "lorsque les modifications d'un bâtiment existant permettent sa mise aux normes et l'amélioration de ses performances énergétiques", a estimé la juridiction pour justifier son feu vert, se basant sur les documents qui anticipent "d'importantes économies d'énergie" et "une meilleure isolation acoustique"."Des matériaux et des techniques de construction plus conformes aux enjeux et normes d'aujourd'hui ont été choisis", affirme aussi le tribunal pour qui l'épaississement des 13 premiers étages, ajouté au changement des façades vitrées, permettra de "renforcer l'isolation" et de "couper les courants descendants qui s'abattent sur les piétons et riverains"."D'un point de vue esthétique, la réhabilitation de la Tour s'accompagne d'une recherche architecturale aboutissant à un résultat harmonieux", dit encore le tribunal, saisi par une opposante au projet.Baptisé "Demain Montparnasse", le projet lauréat, porté par le groupement d'architectes Nouvelle AOM, vise à "redonner une identité forte, innovante, dynamique et moderne" à la tour érigée en 1973, la plus haute de Paris (209 mètres) après la Tour Eiffel.Ce projet avait en 2019 soulevé l'opposition de plusieurs associations de défense de l'environnement et du paysage, mécontentes de la surélévation.Les travaux devaient initialement débuter en 2019 pour que la nouvelle tour soit prête en 2024, à l'occasion des Jeux olympiques.
Il y a 3 ans et 194 jours

A Plan-les-Ouates, deux immeubles en pierre signés Perraudin & Archiplein

Perraudin Archiplein Consortium (Atelier Architecture Perraudin (AAP) et Atelier Archiplein)* a livré en février 2021 à Plan-les-Ouates, près de Genève (Suisse), 65 logements sociaux et en accession dans deux immeubles (7747 m² ; loggias : 693 m²) bâtis en pierre de taille. Le projet, qui compte quatre commerces au rez-de-chaussée, une laverie commune et 1 800 m² […] L’article A Plan-les-Ouates, deux immeubles en pierre signés Perraudin & Archiplein est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 194 jours

Immeuble mixte en pierre massive à Caluire signé Perraudin père et fils

L’Atelier Architecture Perraudin (AAP) a livré à Caluire St-Clair (Rhône) pour 2.8 M€ H.T. un immeuble mixte en pierre massive de 2 200m² (Fablab, bureaux, logements). Art de bâtir et savoir-faire artisanaux ! Communiqué. Contexte Urbain Le projet est situé sur la commune de Caluire dans la métropole de Lyon. Nous sommes sur les bords du Rhône, […] L’article Immeuble mixte en pierre massive à Caluire signé Perraudin père et fils est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 194 jours

INSPIRE, premier immeuble en bois de la défense, signé Béchu

L’agence d’architecture Anthony Béchu & Associés construira le premier immeuble (à ossature) en bois de La Défense : INSPIRE. L’ouvrage de 22 000 m², dont 19 500 m² de bureaux, se veut en adéquation avec les nouvelles ambitions de Paris La Défense de devenir un quartier d’affaires décarboné. Livraison prévue : 2024. Communiqué du promoteur. A proximité […] L’article INSPIRE, premier immeuble en bois de la défense, signé Béchu est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 194 jours

Les lauréats des Paysalia Innovations Awards 2021

Retrouvez les trois lauréats, ainsi que le coup de cœur des étudiants ci-dessous.Palmarès 2021 des Paysalia Innovations Awards1er prixPlatform Garden et son application JARDI'ALERTEn un seul endroit et dans une seule application téléchargeable gratuitement, vous retrouvez tous les outils qui vous accompagneront dans votre métier : La veille et la vigilance sanitaire, l’information sur vos produits et catalogues consultables en format digital, les news et infos de la filière !2ème prixAmarande et son géotextile dépolluant AMTERAMTER est un géotextile dépolluant de structure tri-couches de géotextiles techniques pour retenir et biodégrader naturellement les hydrocarbures. Solution écologique pour éliminer naturellement les hydrocarbures des eaux de ruissellement permettant une infiltration d’eau propre.3ème prixHUSQVARNA et son robot de tonte CEORA™Nouvel élément de la gamme de solutions et produits Husqvarna, CEORA™ est une nouvelle solution autonome révolutionnaire pour les grands espaces verts, jusqu'à 75 000m². Il utilise la technologie EPOS™ afin de créer des barrières virtuelles pour une utilisation simple et sereine.
Il y a 3 ans et 194 jours

Les entreprises de construction connaissent une croissance solide mais font face à de nouveaux risques dans l’après-Covid

Toutefois, l’édification de bâtiments et d’infrastructures plus durables, la montée en puissance des énergies propres et l’adoption de méthodes de construction modernes entraînent des changements radicaux de conception, de matériaux et de processus, qui vont transformer le paysage des risques. Ces défis s’ajouteront aux tensions sur les chaînes d’approvisionnement, aux pénuries de matériaux et de main-d’œuvre et à l’augmentation des coûts, dans un contexte caractérisé par des marges étroites depuis plusieurs années. Dans son récent rapport Construction risk after Covid, Allianz Global Corporate & Specialty (AGCS) étudie précisément les tendances des risques à court et à long terme dans la construction.« La Covid-19 a fait entrer le secteur de la construction dans une nouvelle ère, explique Yann Dreyer, Practice Group Leader mondial pour la construction dans l’équipe mondiale Énergie et Construction d’AGCS. Les projets se sont poursuivis pendant la pandémie et la croissance est au rendez-vous, mais l’environnement général a profondément changé. Le secteur est confronté à des défis inédits, liés à la volatilité de la chaîne d’approvisionnement, à la flambée des prix des matériaux, à la pénurie de main-d’œuvre qualifiée et au renforcement des objectifs de développement durable. En outre, le déploiement accéléré des stratégies de réduction des coûts et l’adoption de nouvelles technologies et conceptions pourraient accroître les risques pour les entreprises de construction et les assureurs. La surveillance continue des risques et les contrôles de gestion seront essentiels à l’avenir. Aux côtés de nos clients, nous aiderons à la gestion de ces risques. AGCS est mobilisée à cet égard et la construction est un secteur clé dans ses projets de croissance. »Les fortes perspectives de croissance du secteur s’expliquent par plusieurs facteurs. Parmi eux, figurent notamment l’augmentation de la population sur les marchés émergents, ainsi que les investissements importants dans les énergies nouvelles (éolien, solaire et hydrogène) et les systèmes de stockage et de transport de l’électricité. La transition vers le véhicule électrique exige des investissements dans de nouveaux sites de production, de fabrication de batteries et de chargement.Les bâtiments ne doivent pas seulement améliorer leur empreinte carbone. Ils doivent aussi être dotés de protections contre les inondations maritimes et fluviales, ainsi que de systèmes d’évacuation et de drainage, dans les nombreuses régions exposées aux catastrophes. Ces mesures sont nécessaires pour répondre aux phénomènes météorologiques extrêmes, de plus en plus fréquents.Parallèlement, les gouvernements de nombreux pays préparent des investissements majeurs dans les infrastructures pour stimuler l’économie après la pandémie et favoriser la transition vers la neutralité carbone. Aux États-Unis, un plan d’infrastructures de plus de mille milliards de dollars vise les ponts et les routes, mais aussi les réseaux de haut débit, d’eau et d’électricité du pays. En même temps, le gouvernement a annoncé son intention d’investir dans plusieurs grands projets d’infrastructure à travers le monde en 2022. Il répond ainsi à l’ambitieuse initiative chinoise de la nouvelle route de la soie pour relier l’Asie de l’Est à l’Europe. Dans la prochaine décennie, la Chine, l’Inde, les États-Unis et l’Indonésie devraient représenter près de 60% de la croissance mondiale de la construction.Les défis créés par le boom de la constructionCet essor attendu s’accompagne à la fois d'avantages et de défis spécifiques. À moyen terme, la hausse brutale de la demande risque de créer des tensions supplémentaires sur les chaînes d’approvisionnement. Elle pourrait aussi les pénuries de matériaux et de main-d’œuvre qualifiée, entraînant des dépassements de délais et de coûts.En outre, de nombreux acteurs du secteur devront accélérer la mise en place des mesures de rationalisation et de contrôle des coûts, si la crise de la Covid-19 a impacté leurs marges bénéficiaires. En effet, celle-ci a pu souvent engendrer une baisse de la qualité et de la maintenance, et ainsi accroître le risque d’erreur.L’analyse d’AGCS montre que les défauts de conception et de fabrication constituent l’une des principales causes de sinistres en assurance construction et risques techniques, soit environ 20% du montant des quelque 30.000 sinistres industriels étudiés entre 2016 et fin 2020.Le renforcement des objectifs de développement durable et de neutralité carbone va profondément modifier le paysage traditionnel des risques dans le secteur. Selon le Programme des Nations unies pour l’environnement, la construction de bâtiments représente 38% des émissions mondiales de dioxyde de carbone relatives à l’énergie. Pour réduire les émissions de carbone, les bâtiments actuels devront être rénovés et réhabilités. Par ailleurs, de nouveaux matériaux et méthodes de construction devront être introduits sur le marché dans des délais relativement courts. Cette évolution entraînera une augmentation des risques de défaut et pourrait avoir des effets inattendus sur le plan de la sécurité, de l’environnement et de la santé. Ainsi, l’utilisation du bois dans la construction, en tant que matériau durable et rentable, s’est accrue ces dernières années. Or, cette tendance a des conséquences sur les risques d’incendie et de dégât des eaux. L’analyse d’AGCS révèle que les incendies et explosions représentent déjà plus d’un quart (26%) du montant des sinistres en assurance construction et risques techniques sur les cinq dernières années. C’est la cause de sinistre la plus coûteuse.Les risques liés aux énergies renouvelablesLe développement des énergies renouvelables entraîne également de nouveaux risques. Les projets d’éoliennes en mer prennent de l’ampleur, s’éloignent des côtes et pénètrent dans des eaux plus profondes. Les coûts liés aux retards et aux réparations sont donc plus élevés. Les parcs d’éoliennes en mer, ainsi que les fermes éoliennes et solaires terrestres, peuvent aussi être exposés à des sinistres en série. Par exemple, un défaut de conception ou de fabrication d’une turbine peut avoir des répercussions sur plusieurs programmes. Des défauts de construction sur des fondations de parcs et de fermes solaires ont également occasionné des demandes d’indemnisation importantes. Les réparations de câbles sous-marins, qui pèsent des milliers de tonnes et dont la mise en place nécessite des navires spéciaux, peuvent prendre plus d’un an. Une seule station de conversion en mer peut coûter jusqu’à 1,5 milliard de dollars, soit autant qu’une plateforme pétrolière. Un incendie ou une explosion dans un convertisseur peut, comme cela a été récemment le cas en Chine, provoquer un sinistre total.« Les immenses investissements dans les énergies vertes se traduiront par des valeurs à risque plus élevées. Parallèlement, l’adoption rapide de technologies, de méthodes et de matériaux à l’état de prototypes exigera une étroite coopération entre les équipes internes de souscription, d’indemnisation et de gestion des risques, ainsi qu’entre les assureurs et leurs clients », souligne Olivier Daussin, responsable de la souscription Construction dans l’équipe mondiale Énergie et Construction d’AGCS.Les deux faces de la construction modulaireEnfin, les méthodes modernes de construction et de production peuvent transformer radicalement la construction, en transférant plus de risques hors site et en intégrant une plus grande utilisation de la technologie. La construction modulaire, en particulier, apporte de nombreux avantages. Parmi eux, citons la gestion de la qualité contrôlée en usine, la réduction des déchets de la construction, la division par deux des délais de construction par rapport aux techniques traditionnelles et la diminution des perturbations sur le milieu environnant. Mais elle soulève aussi des inquiétudes concernant les sinistres répétitifs. « Les méthodes de construction modulaire et préfabriquée présentent un risque accru de sinistres en série. En effet, la même pièce peut être utilisée dans plusieurs projets avant qu’un défaut ne soit détecté », explique Olivier Daussin.La pénurie de main-d’œuvre qualifiée dans le secteur de la construction devrait favoriser la tendance à la fabrication hors site et à l’automatisation. Dans le même temps, la numérisation de la construction crée des expositions cyber, contre lesquelles les entreprises d’ingénierie et de construction doivent renforcer leur protection. Aujourd’hui, les nombreux acteurs engagés sur un chantier sont interconnectés par des plateformes partagées, ce qui accroît leur vulnérabilité. Les risques cyber peuvent aller des tentatives malveillantes d’accès à des données sensibles jusqu’à l’introduction dans le système de contrôle du site et le vol. Ces attaques peuvent provoquer l’interruption de la chaîne d’approvisionnement et la corruption des données de conception d’un projet, entraînant des retards et, par conséquent, un risque pour la réputation des parties concernées.Une meilleure protection des chantiers contre les catastrophes naturelles et les dégâts des eauxLa nécessité de diminuer les émissions de gaz à effet de serre favorisera l’adoption d’une approche plus durable des bâtiments résidentiels et commerciaux, ainsi que des infrastructures. Elle pourrait aussi accélérer la tendance à la recherche de gains d’efficacité et de réduction des déchets. Les entreprises doivent également mieux étudier l’atténuation des impacts sur leurs chantiers des événements climatiques tels que les incendies de forêt, les inondations soudaines et les glissements de terrain. L’analyse d’AGCS indique que les catastrophes naturelles sont déjà la deuxième cause de sinistre la plus coûteuse, après les incendies et explosions. Elles représentent 20% du montant des demandes d’indemnisation sur les cinq dernières années.Pour conclure, les dégâts des eaux continuent d’être la cause majeure de sinistres au cours d’une construction. AGCS a constaté plusieurs sinistres d’une ampleur exceptionnelle. À l'origine, des fuites d’eau de canalisations sous pression ou de systèmes de lutte contre l’incendie n’avaient pas été repérées ou s’étaient produites en dehors des heures de bureau, pendant les week-ends ou les périodes d’arrêt. Les systèmes de surveillance et de détection des fuites d’eau peuvent aider à réduire la fréquence et la gravité des dégâts des eaux, pour diminuer les coûts de réparation et les retards de projet.Vous pouvez télécharger le rapport complet ici