Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Acpresse Béton

(3892 résultats)
Il y a 2 ans et 335 jours

Mondial des métiers Auvergnes Rhones Alpes

Le Mondial des métiers regroupe des professionnels de différents secteurs, notamment de la construction et du génie civil. Il permet aux jeunes de découvrir des métiers "inconnus" ou "rares", mais aussi de les orienter sur leur avenir. Des présentations par domaines professionnels sont aussi réalisées, permettant de répondre aux questions des visiteurs.
Il y a 2 ans et 335 jours

La Sim Marseille 2022

SIM est le salon référent du secteur des industries extractives en France. Il met en avant les équipements et savoir-faire des fournisseurs de produits et services du secteur.
Il y a 2 ans et 335 jours

Tri’n’Collect à la conquête de l’Ouest

Tri’n’Collect possède désormais 12 agences réparties sur la côte Ouest de la France. [© Tri’n’Collect] Expert dans les solutions de tri à la source sur chantier, Tri’n’Collect poursuit son développement partant à la conquête de l’Ouest. La start-up vient d’ouvrir six nouvelles agences, à Bayonne (64), Brest (29), Caen (14), La Rochelle (17), Tours (37) et Vannes (56). Désormais, elle compte un total de 12 sites. La stratégie de développement territorial s’inscrit dans une logique de proximité. Cela, afin de limiter le transport de déchets entre les chantiers, les lieux de massification, de traitement et de valorisation des matériaux. Chaque agence a été implantée pour une raison précise. A l’image de l’agence de La Rochelle où l’opération “Zac de la Gare” du Crédit Mutuel Aménagement Foncier a été confiée à Tri’n’Collect. Celle-ci représente le plus grand projet d’aménagement de la start-up. Elle permettra l’économie de plus de 80 t de CO2. Vers un développement national A ce jour, Tri’n’Collect a évité l’enfouissement de plus de 4 300 t de matériaux qui ont pu être valorisés localement dans le respect de hiérarchie des modes de traitement des déchets. De plus en plus d’acteurs du bâtiment s’engagent pour une construction durable avec les nouvelles obligations réglementaires et la pression inflationniste des coûts de gestion des déchets. Lire aussi : Soclova et Tri’n’Collect renouvellent leur partenariat C’est pourquoi Tri’n’Collect a accueilli 20 nouveaux collaborateurs en 2022, permettant de franchir le cap des 50 partenaires. D’ici septembre, trois autres agences seront ouvertes. Le Morbihan sera renforcé avec un site annexe à Vannes. Tandis que celles de Tours et de Bayonne couvriront respectivement les départements de l’Indre-et-Loire et des Landes. Pour 2025, Tri’n’Collect vise à déployer une quarantaine d’agences. Et ainsi, occuper le territoire national.
Il y a 2 ans et 336 jours

Hugo Franck, jeune nouveau président du Syndicat de l’architecture

L’architecte Hugo Franck prend les rênes du Syndicat de l’architecture. [©Virginie Akrich] Réuni en assemblée générale en juin dernier à Strasbourg, le Syndicat de l’architecture a procédé au renouvellement de son conseil d’administration. Ainsi, Hugo Franck, 39 ans, en devient le nouveau président. La vice-présidence est confiée à Bénédicte Meyniel, le secrétariat général, à Béatrice Dollé et la trésorerie, à Danièle Damon. Ses missions Hugo Franck s’engage à prendre en compte les évolutions du métier et les problématiques rencontrées chaque jour en agence. Mais aussi à intensifier les échanges en région, avec ses membres et les organisations salariales : « L’engagement n’est pas l’apanage de Paris, l’important est de mettre en avant les régions, les architectes sur leur territoire… » Enfin, à développer les services et les actions du syndicat. « Je souhaite montrer un nouveau visage du syndicat, plus jeune. Et j’engage vivement les jeunes architectes à s’engager syndicalement, non seulement dans l’Ordre, mais aussi au niveau syndical… les syndicats sont essentiels à notre profession ! Les accords font évoluer la convention collective, notamment le télé-travail, la parité... On fait ainsi avancer le dialogue social. »Par ailleurs, Hugo Franck défendra l’idée que les architectes doivent garder leurs compétences sur chantier et que la réhabilitation du bâti est l’avenir de la construction. Le parcours d’Hugo Franck « Nous militons, dans un esprit prospectif et de dialogue, en défendant les valeurs culturelles, sociales et l’intérêt général de notre métier. Ceci, pour que soient redonnées pleinement aux architectes, dans toute la diversité de leurs pratiques, les missions qu’ils ou elles doivent tenir, a déclaré Hugo Franck. […] Au regard des crises que nous traversons, nos moyens de production doivent s’ajuster et nos compétences, en tant qu’architectes, doivent être déployées. L’architecture fait partie des réponses aux défis écologiques et culturels que nous devons relever collectivement, au service de notre société et de notre démocratie. » Après avoir obtenu un diplôme d’architecte DPLG à l’Ecole nationale supérieure d’architecture de Clermont-Ferrand en 2006, Hugo Franck a créé son agence en 2007. En 2022, il lance “3 degrés Est”, un nouveau cabinet, avec deux associés. L’agence se situe à Royat, près de Clermont-Ferrand.
Il y a 2 ans et 336 jours

Béton[s] le Magazine n° 101 aménage le paysage

Rendre l’espace public beau, le béton sait très bien le faire. Soit en se mettant en valeur, à l’exemple de la corniche Kennedy, à Marseille. Soit en se faisant discret, comme sur le tramway de la ville d’Angers. Soit en allant jusqu’à rehausser un site classé, telle la Saline royale d’Arc-et-Senans, en Franche-Comté. Nombre de variantes sont ainsi à découvrir dans notre dossier “En Couverture”. L’autre choix de lecture vous emmène au Havre, sur le quai de Bougainville pour être précis. Là, viennent de naître les 71 fondations gravitaires du futur parc éolien en mer de Fécamp. Ces immenses structures en béton d’un poids unitaire de près de 5 000 t sont aujourd’hui peu à peu acheminées par barge vers leur zone d’immersion… Feuilletez en ligne le numéro 101 sur la liseuse acpresse.fr Un abri tel un tipi Ce numéro estival fait aussi la part belle aux malaxeurs pour centrales à béton. L’occasion pour chacun de découvrir ou redécouvrir les acteurs de ce marché spécifique et leurs offres matériels. L’autre focus concerne les solutions pour sols industriels : durcisseurs de surface, fibres, joints de construction, résines. Le panorama est assez large. Le Laboratoire de la Matière, lui, revient sur les fondamentaux, avec le rappel de ce qu’est l’alcali-réaction et comment s’en prémunir ou la traiter. Enfin, Béton d’Antan s’attarde sur l’abri aérien de Villenoy, qui, par sa forme conique originale, fait penser à un tipi. Mais n’en est pas ! Bonne lecture et bon été à tous. Retrouvez la lecture des articles en ligne du numéro 101 dans la boutique par le sommaire interactif Frédéric GluzickiDirecteur de la publication
Il y a 2 ans et 339 jours

Paschal : Emballé, c’est coffré !

Les travaux de gros œuvre ont été achevés en cinq mois. [©Paschal] En Allemagne, près d’Europapark, se situe Ringsheim, une commune de 2 000 habitants. Là, un complexe hôtelier de style méditerranéen a été construit entièrement en béton. Les travaux de gros œuvre ont été achevés en cinq mois. L’ouverture de l’hôtel est prévue fin 2022. En forme de “L”, comptant cinq étages pour une hauteur totale de 16 m, il comprendra 110 chambres et un parking souterrain. Le bâtiment est entouré de bungalows à un ou deux étages, soit 40 logements supplémentaires. Malgré sa taille imposante, le complexe offrira aux visiteurs d’Europapark une nouvelle possibilité d’hébergement confortable de proximité. Pour la construction, l’entreprise Weisenburger Bau a fait confiance aux matériels de coffrage Paschal. Paschal assure le coffrage de l’hôtel La solution Logo.3 de l’industriel a pu démontrer tous ses avantages dans ce projet. Avec seulement 430 m2 de coffrages, les compagnons ont pu réaliser toutes les surfaces verticales. Y compris les trémies d’escalier et d’ascenseur, grâce aux panneaux d’une hauteur de 3,70 m. Mais pour les murs du rez-de-chaussée, des éléments de coffrage d’une hauteur de 1,35 m ont été utilisés, en complément, en tant que coffrage de rehausse. Pour la réalisation des dalles d’étages, environ 1 300 m2 du coffrages de dalles flexibles Paschal Deck avec des poutrelles primaires et secondaires ont été utilisés sur le chantier. Lire aussi : Rhône : Paschal, l’Ile O en symbiose avec le fleuve Par ailleurs, la voie d’accès arrondie du parking souterrain a été traitée avec 112 m2 de coffrages circulaires à poutres trapézoïdales d’une hauteur de 4,50 m. D’ailleurs, les banches de coffrage ont été pré-arrondies et livrées prêtes à l’emploi sur le chantier. Enfin, Paschal a veillé à ce que toutes les exigences soient satisfaites et que les délais soient respectés. Pour cela, le service technique d’application de Steinach, où est située l’usine, a élaboré un plan de coffrage sophistiqué pour les murs, les cages d’ascenseur, les dalles et la rampe. Permettant ainsi d’obtenir une structure uniforme en qualité apparente, avec une réalisation ordonnée des joints de bétonnage.
Il y a 2 ans et 341 jours

Materrup et Duhalde BTP s’associent pour l’utilisation de ciment bas carbone

Jean Duhalde, président de Duhalde BTP et Mathieu Neuville, président de Materrup signent le partenariat pour l’utilisation de ciment bas carbone. [©Materrup] Materrup a mis au point le ciment local Materrup Clay Cement (MCC1) bas carbone à base d’argile crue. Ce matériau réduit de moitié les émissions de CO2 (350 kgeqCO2/t). Sans compromettre la performance ou la qualité du béton. Il constitue une réponse aux enjeux de la filière en quête de matériaux moins énergivores et moins nocifs au niveau mondial. Quant à Duhalde BTP, il est spécialisé dans des solutions optimisées pour des projets de construction. L’entreprise souhaite s’inscrire dans une dynamique visant à réduire son impact carbone. Et à faire évoluer le secteur vers des modes constructifs plus respectueux de l’environnement. L’argile comme atout pour le ciment « L’expertise du béton et de la construction de Duhalde BTP, associée à notre technologie MCC1, permet ainsi de décarboner dès aujourd’hui l’industrie de la construction, en s’appuyant sur un matériau local et abondant, à savoir l’argile », déclare Mathieu Neuville, président de Materrup. En effet, cette matière première est l’atout du ciment. Elle est facilement disponible et accessible sur l’ensemble de la planète. Ainsi, le MCC1 est déployé dans la première cimenterie de Materrup, située dans le Sud des Landes. Lire aussi : Les bétons se mettent au vert Et sera aussi utilisé dans les unités de production de béton Duhalde BTP pour proposer une gamme de produits locaux et vertueux. Au niveau de la mise en œuvre, le MCC1 requiert les mêmes conditions que le ciment traditionnel. Inutile de changer d’outils ou de matériels. Dès septembre 2022, de nombreux éléments préfabriqués pour des projets d’aménagement extérieurs seront disponibles (bancs, dalles gazon, jardinières…). D’autres applications de BPE seront aussi proposées comme des bétons pour pistes cyclables ou des bétons décoratifs.
Il y a 2 ans et 342 jours

Hoffmann Green Cement acquiert ABC Broyage

Hoffmann Green Cement réalise sa première opération de croissance externe, en rachetant ABC Broyage. [©ACPresse] Hoffmann Green Cement réalise sa première opération de croissance externe, en rachetant ABC Broyage, spécialiste du broyage, détenant lui-même la société AB Cesar. Ceci, pour internaliser le traitement de ses matières premières. Grâce à cette acquisition, Hoffmann intègre une activité industrielle qui lui permettra de broyer des laitiers de hauts fourneaux, l’une des éléments utilisés dans ses ciments H-UKR et H-Iona. Un gain de dépendance Ce rachat constitue une opportunité stratégique pour l’industriel, puisqu’en internalisant ce traitement, il va gagner en indépendance. Mais aussi élargir sa capacité de sourcing et sécuriser ses marges dans un contexte inflationniste. Le site de production d’ABC Broyage, implanté au Nord de la Dordogne, s’intègre ainsi dans le schéma logistique local d’Hoffmann. En effet, il est localisé à proximité, à la fois du port de La Rochelle. Où seront réceptionnés les laitiers de hauts fourneaux bruts. Ainsi que des sites de production H1 et H2 de Hoffmann de Bournezeau, en Vendée. Où les ciments de la marque sont produits.
Il y a 2 ans et 343 jours

Béton[s] le Magazine 101

Daté juillet-août 2022 A LIRE DANS CETTE EDITION : EN COUVERTURE. Aménagement public et urbain TECHNIQUES & ARCHITECTURE. Les éoliennes de Fécamp ZOOM SUR. Les adjuvants pour bétons FONDAMENTAUX. Juridique. Céder un fonds de commerce – Partie II BETON D’ANTAN. L’abri conique de Villenoy. Du béton armé contre les bombes Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 343 jours

Ouvrage maritime : Les éoliennes de Fécamp

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Une véritable forêt minérale est née au cœur de la zone portuaire du Havre. [©ACPresse] C’est une véritable forêt minérale qui remplit l’horizon havrais, du moins celui de sa zone portuaire. Une fois passée la chaussée de l’Amiral Bonnivet, elle apparaît, impressionnante. Là, quai de Bougainville, s’achève la construction des 71 fondations gravitaires du futur parc éolien de Fécamp. Des éléments majestueux en forme de cône inversé surmonté d’un fût circulaire, d’une hauteur totale oscillant entre 48 et 54 m, pour un poids unitaire maximum de 4 818 t. Une contrainte stricte, car, au-delà, les opérations de levage deviennent trop complexes. Car, oui, chacune de ces fondations devra être levée, posée sur des chariots multi-roues et transférée vers un cargo-barge. A vrai dire, trois fondations gravitaires voyageront ensemble depuis Le Havre jusqu’au large de Fécamp. C’est entre 13 et 22 km des côtes qu’est localisé le parc. Il se développe sur une aire de l’ordre de 60 km2 (total de la superficie concédée par l’Etat pour une durée de 40 ans). 30 000 m3 de ballast Au large, on ne touche pas au fond marin : il convient à l’usage attendu. La seule opération préparatoire voit la mise en place d’une couche d’assise d’une épaisseur minimale de 70 cm, avec des granulats d’une dimension allant de 25 à 100 mm. Chaque trio de fondations arrivé à destination, une grue maritime très haute capacité Saipem 7000, en position dynamique, les reprend une à une. Puis, les pose sur le fond marin. « Le transfert par flottaison avait été envisagé, mais au final n’a pas été retenu pour des questions de planning », explique directeur technique du projet pour Bouygues Travaux Publics. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 343 jours

Alkern : Une politique de prévention qui a fait ses preuves

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Des formations régulières sensibilisent les équipes évoluant sur les zones de chargement/déchargement. [©Alkern] Tout commence en 1972 avec la création dans le Pas-de-Calais de l’entreprise Hecquet, qui deviendra Tarmac en 1990, puis Alkern après un rachat en 2010. L’expansion se fait pour l’essentiel par l’acquisition externe de petites structures, le plus souvent à l’occasion du départ en retraite de leurs dirigeants. Ces unités possèdent chacune leur histoire et leur mode de fonctionnement. Mais ont en commun la fabrication de composants en béton, des produits pondéreux nécessitant d’être fabriqués à proximité de leur zone de chalandise. Les marchés d’Alkern concernent pour moitié le bâtiment, avec les blocs béton sous toutes leurs déclinaisons, et les planchers. L’autre moitié de l’activité englobe les travaux publics, avec les bordures, les pavés de voirie, l’assainissement, les regards, le mobilier urbain, les margelles de piscine, les chapeaux, les poteaux… Au total, les 55 unités de production emploient 1 000 personnes pour un chiffre d’affaires annuel de 250 M€. Pour les dirigeants, la contrainte première est de mettre en place, et surtout de faire respecter dans la durée, des procédures identiques sur tous les sites de production. Les résultats obtenus prouvent que les méthodes choisies sont efficaces. Les mesures de prévention se situent à plusieurs niveaux. En premier lieu, elles concernent la gestion du risque d’écrasement, du port des charges ou de la mécanisation (qui ne peut être totale). Puis, viennent la surveillance de la co-activité entre piétons, chargeurs et véhicules sur les zones de stockage et de chargement. Sans oublier, la gestion du risque routier, pour les commerciaux qui parcourent l’Hexagone. La problématique des interventions sur machines Différents dispositifs de protection interdisent toute intervention sur une machine en marche. [©J. B. Vetter/Alkern] En temps normal, les différents systèmes de sécurité mis en place, sur et autour des machines, qu’il s’agisse des barrières physiques ou des procédures de consignation, interdisent toute possibilité d’intrusion auprès de mécanismes en mouvement. Néanmoins, l’expérience montre que le cerveau humain, pour de multiples raisons, ne fonctionne pas toujours de façon rationnelle et amène à des prises de risques inconsidérées. Les causes sont variées : l’envie d’aller plus vite, de brûler les étapes, de penser que l’accident n’arrive qu’aux autres… Pour supprimer ces comportements à risques, l’équipe en charge de la prévention et de la sécurité (4 personnes au niveau du siège) multiplie les formations, insiste sur le respect absolu des procédures de consignation et sur la nécessité de prendre le temps de se mettre en sécurité. L’expérience dans l’entreprise est aussi prise en compte. Les nouveaux arrivants et les intérimaires n’interviennent jamais sur les machines. Les statistiques démontrant, assez logiquement, que les incidents et accidents sont majoritaires chez ce profil de personnel. Grâce à un turn-over limité, la mise en place progressive d’une culture de groupe est une réalité, que seules des formations et informations dans la durée permettent de cultiver et d’ancrer dans les esprits. Dans ce contexte, l’accueil, l’information et la formation des nouveaux arrivants comme des intérimaires est une priorité permanente. Chacun prenant en charge un nouveau poste avec ses propres expériences, bonnes ou moins bonnes, il importe d’apporter aux personnels venus de l’extérieur une culture de prévention qui doit être identique pour tous les salariés. Cette démarche vaut aussi auprès des chauffeurs extérieurs à l’entreprise, qui bénéficient à leur arrivée sur chaque site de production, d’un accueil les informant des règles de sécurité, avec vérification du port des EPI prévus pour cette fonction. Transmettre “la bonne parole” Les performances en termes de prévention et de sécurité sont mises en valeur par l’organisation de moments festifs. [©Alkern] Le partage d’information (accidents, bonnes pratiques…) est un élément essentiel de pédagogie permanente. Ainsi, tout incident ou accident est de manière systématique remonté et analysé. A la clef, des décisions en rapport avec l’évènement, qui peuvent se situer au niveau de l’information, des formations auprès du personnel, voire de l’ergonomie des postes concernés. Afin d’identifier au maximum tous les risques existants, et donc sources potentielles d’accidents, Alkern favorise la contribution de tous ses collaborateurs au travers des remontées de “presqu’accidents”. Pour faciliter ce processus, l’industriel a ainsi développé sa propre application mobile spécifique pour plus de simplicité et de réactivité. Chaque risque identifié doit faire l’objet d’une action correctrice. Tous les managers de l’entreprise, quelles que soient leurs fonctions, participent à ce processus, avec un œil “neuf”. Une autre difficulté consiste à faire passer les messages, sans déperditions, auprès des salariés et intérimaires. Pour cela, d’une part, l’équipe “hygiène/santé/sécurité” se déplace sur les différents sites pour assurer la transmission des différents messages et réaliser des audits ponctuels. Environ chaque mois, les collaborateurs en charge de la prévention définissent des problématiques et des campagnes de prévention spécifiques. Ceci, pour éviter la routine et les messages trop répétitifs, dont l’impact diminue dans la durée. D’autre part, tous les responsables d’usine organisent une réunion sécurité hebdomadaire. En complément et deux fois par an, lors d’une demi-journée sécurité, ils rassemblent leur personnel pour des réunions de sensibilisation. Ces dernières se veulent à la fois ludiques et renouvelées, au travers de documents écrits, de dessins et de vidéos, mettant en exergue les différents risques et les moyens de les éviter. Enfin, Alkern tient à mettre en avant les bons résultats, en termes de sécurité. Dès qu’une unité de production atteint 1 000 j sans accident, l’évènement est valorisé par un moment festif et un arrêt de la production. Port de charges, poussières et bruits Les différentes zones de circulations piétons/engins/camions sont matérialisées, afin d’éviter toute co-activité. [©J. B. Vetter/Alkern] Malgré l’automatisation poussée des lignes de production, les opérateurs doivent toujours gérer quelques interventions manuelles. Par exemple, lors des opérations de tri sur ligne. Pour ces manutentions incontournables et quelques autres, les gestes et postures sont analysés, avec un travail, poste par poste, d’optimisation ergonomique. L’arrivée sur le marché des exosquelettes est vue comme une piste possible par les dirigeants d’Alkern, sachant que ces systèmes doivent encore s’affiner pour “coller” aux besoins spécifiques de chacun. Chez l’industriel, les responsables de la prévention en sont au stade d’observation, pour comprendre et imaginer quels équipements peuvent aider et dans quelles configurations. Sous cet angle, Alkern intègre aussi la problématique des chantiers, la réduction de la fatigue et les risques de TMS à moyen et long terme. A titre d’exemple, depuis 10 ans, les blocs béton rectifiés permettent de réduire les volumes de mortiers-colles fabriqués et manutentionnés. Ceci, avec l’atout d’une mise en œuvre plus précise. Par ailleurs, les unités de béton préfabriqué doivent prendre en compte les contraintes des émissions de poussières et de bruits. La captation des poussières est réalisée à la source, grâce à des systèmes d’aspiration sur machine, le nettoyage des postes étant permanent. De plus, des expérimentations sont en cours concernant les espaces extérieurs de stockage et de chargement, pour procéder à un arrosage à intervalles réguliers à l’aide d’eau non potable. En fonction des zones de bruits et des désirs de chacun, le personnel est équipé de casques et/ou de bouchons d’oreille, personnalisés ou non. Enfin, les espaces de stockage et de chargement intègrent plusieurs procédures de prévention et de sécurité. Tout risque de co-activité est écarté par une séparation complète des circulations piétons/camions/chargeurs. Gérard Guérit Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 344 jours

Inter Service Pompe : Pour le bien-être de ses collaborateurs

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine [©ISP] « A l’heure des problèmes de recrutement, il était important pour nous de “chouchouter” nos collaborateurs et de leur proposer une base vie de qualité sur les chantiers de pompage stationnaire. Nous avons voulu regrouper le tout dans un même bungalow sécurisé », explique Antonio Agostinho, président d’Inter Service Pompe (ISP). C’est ainsi que l’entreprise s’est tournée, il y a un an, vers Jérôme Hup, Pdg de Carrosserie Cavime et sa filiale espagnole Carros Cav, à Alicante. « Nous récupérons, recyclons et restaurons des conteneurs maritimes. Pour ISP, nous en avons transformé un en base vie complète avec chauffage, toilettes, douche, cuisine, salle de repos, vestiaires… Tout le confort ! Nous sommes partis d’un cube que nous avons isolé intérieurement avec la projection d’un éco-mélange de liège et d’eau pour couper les ponts thermiques. Puis, ont été posés des panneaux sandwich de 3 cm en aluminium isolés avec de la mousse compensée. C’est du “sur mesure” total. Nous espérons pouvoir réitérer ce genre d’opérations », indique Jérôme Hup. Le petit plus : l’intervention du graffeur espagnol RudiArt, alias Rudi Hernandez, qui a personnalisé le conteneur… pour éviter, à terme, les tags sauvages ! « Du Street Art sur les chantiers, ça change et ça donne un cachet supplémentaire à la base vie. Nous avons testé cette opération sur un conteneur pour voir l’impact sur les collaborateurs et les clients. Et tout le monde est content et satisfait au final. Le bien-être de notre personnel est vital pour nous. C’est le B.A.-ba du savoir-vivre », reprend Antonio Agostinho. Et Jérôme Hup, de conclure : « Le résultat est juste magnifique ». Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 344 jours

Rhône : Paschal, l’Ile O en symbiose avec le fleuve

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Pour la conception de la coque en béton de l’Ile O, Paschal a fourni près de 600 m2 de coffrage Logo.3. [©Hercules] Flottant sur le Rhône, au pied du pont Gallieni et de l’avenue Leclerc, dans le 7e arrondissement de Lyon, le théâtre l’Ile O ouvrira ses portes à l’automne. Le bâtiment a été imaginé par Koen Olthuis (Waterstudio), architecte néerlandais, conseiller spécial en construction flottante auprès de l’Unesco. Sur trois niveaux, il se compose d’une coque en béton de 480 t et de 6 volumes. Dont la superstructure en bois se mêle à une vêture en acier. La fabrication de la coque en béton armé a été réalisée, sur la terre ferme, dans le port Edouard-Herriot. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Auvergne-Rhône-Alpes L’entreprise Hercules, en charge de sa construction, a utilisé près de 600 m2 de coffrage Logo.3 signé Paschal. Le chantier s’est déroulé en 3 phases. La première englobe la paroi extérieure, le sol de la coque d’une épaisseur continue de 25 cm. Ainsi que quatre poutres transversales de renfort. Un coque en béton armé En plus d’un service de planification du coffrage, un monteur et un technicien d’application de Paschal ont été envoyés sur site. La coque en béton armé a été renforcée par six cloisons continues en béton armé durant la deuxième phase. Puis, deux cloisons transversales érigées à une distance de 73 cm de la paroi externe de l’étrave et de la paroi extérieure octogonale ont été montées. Enfin, la troisième étape a consisté en la conception de deux parois en béton armé d’une épaisseur de 17 cm. Et ce, à une distance de 60 cm des “bordés” pour le renforcement dans le sens longitudinal. La structure flottante en béton armé a ensuite été acheminée via le Rhône. Le 24 mai dernier, une grue de 56 m hauteur a manœuvré l’imposante coque en béton pour la mise à l’eau. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 344 jours

Béton Pratique : Comment bien poser une anode sacrificielle ?

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Les constructions en béton armé sont sujettes à des agressions halogène, pouvant impliquer une corrosion des aciers. [©RGD] 1 – Qu’est-ce qu’une anode sacrificielle ? En existe-t-il différents types ? Une anode est un dispositif mis en place pour répondre à une demande de corrosion dans un environnement donné, pour protéger un autre métal. Cette technique a été découverte, en 1815, par Humphrey Davy. Celui-ci a développé par empirisme une technique de pose de zinc sur les coques en fer des bateaux, pour les empêcher de se corroder au contact de l’eau de mer. L’idée est que l’on dispose un métal sacrificiel sur un métal plus noble à préserver. Par électro-positivité, le métal sacrificiel attire les éléments “corrosifs”. Dans les années 2000, avec le Dr Nigel Davison, nous avons, à notre tour, fait des expériences, en plaçant une anode en fer et une autre en zinc sur une poutre en fer. Le tout dans les mêmes conditions d’exposition aux éléments “corrosifs”. Nous avons pu constater que le zinc était 10 à 15 fois plus émetteur de courant que le fer, et donc beaucoup plus protecteur. A partir de cette technique, une large gamme d’anodes est née chez CPT. Le but étant d’optimiser la solution en fonction de l’ouvrage et de son armature. Sur le marché, certaines anodes sont disponibles sous forme de feuille. D’autres sont “ponctuelles”, d’autres encore adaptées à la préfabrication. Pour les rénovations, notamment des angles, il est possible d’en poser en réseau. Enfin, d’autres sont proposées sous forme filaire. 2 – Quand utilise-t-on une anode sacrificielle et pourquoi ? Des aciers corrodés peuvent mettre en danger la viabilité des constructions. [©RGD] Il y a besoin de poser une anode sacrificielle, lorsque l’on est en présence d’un agent agressif que l’on n’a pas maîtrisé et qui a pénétré le béton. L’agent agressif halogène va alors causer des dégâts sur les armatures. Il faut donc agir. La mise en place de la protection sacrificielle va polariser l’armature et les éléments “corrosifs” vont migrer vers l’anode. L’armature du béton ne sera donc plus en situation d’agression. Ce qui permet de stopper la dégradation du béton si elle est en cours et de réduire les besoins d’intervention. C’est un bureau d’études spécialisé corrosion qui doit décider du type et de la quantité d’anodes à utiliser, leurs conditions de mise en œuvre et la mise en place de la politique de protection des ouvrages. Ce calcul est volontairement pessimiste. Il oblige à mettre, sans doute, un peu plus d’anodes que nécessaire, mais en matière de protection, le plus est toujours le mieux. Il faut cependant reconnaître que parfois certaines formes d’anodes sont très adaptées, parfois elles le sont moins. C’est au bureau d’études de trouver le meilleur compromis. 3 – Quelles sont les différentes étapes de pose d’une anode sacrificielle, dans le cadre d’un ouvrage existant ? Le préalable est, bien entendu, qu’un diagnostic de l’ouvrage ait été réalisé, que la pose d’anodes sacrificielles soit la solution la plus adaptée et qu’un plan d’action ait été élaboré par un bureau d’études. L’étape suivante est de se procurer le plan d’armatures et de vérifier leur position exacte par rapport à ce plan. Ces vérifications se font avec un profomètre et un pachomètre. Il faut ensuite repérer les bonnes zones d’intervention, en traçant sur l’ouvrage les lignes d’armatures, et les points de perçage pour la mise en place des anodes. Le percement, qui est l’étape suivante, doit se faire de façon très soignée. Il faut bien vérifier qu’il n’y a pas de risque de couper une armature et mettre ainsi en court-circuit un acier. Pour la protection, le court-circuit ne poserait pas de problèmes, mais en poserait pour le suivi. Les opérateurs doivent donc être formés à ce type d’interventions. Le zinc est 10 à 15 fois plus émetteur de courant que le fer. Placée sur une armature, l’anode en zinc attire les éventuels polluants. [©RGD]Les anodes peuvent prendre différentes formes. Ici, elles sont montées en réseau. [©RGD]Les anodes pourraient être posées en préfabrication, afin de prévenir une éventuelle agression. [©RGD] Ensuite, il faut vérifier la bonne profondeur et si le diamètre est bien respecté. Il faut alors réaliser une pose à blanc pour vérifier la bonne disposition de l’ensemble. Quel que soit le type d’anodes, la pose se fait après avoir pré-mouillé le forage. Une fois l’anode placée en fond de trou, l’ensemble est recouvert soit par une pâte cimentaire, soit une pâte active, selon les recommandations du fabricant. Le rebouchage doit être soigné pour ne pas laisser d’entrée d’eau. Enfin, le contrôle doit être effectué par un opérateur spécialement formé. Il vérifie que l’installation correspond au plan, qu’elle est au bon potentiel et courant attendu. Une fois sa validation donnée, le rebouchage définitif est effectué. L’ensemble de ces opérations constitue de traditionnels gestes de maçons. Il faut les effectuer avec précaution. 4 – Qu’en est-il de l’utilisation d’anodes sacrificielles en ouvrages neufs ? Les ouvrages conçus avec des protections ne sont pas encore rentrés dans les mœurs. La protection est plutôt effectuée par protection cathodique, via un courant imposé. Nous pourrions tout à fait imaginer poser une série d’anodes, qui s’activeraient à l’entrée des éléments “corrosifs”. Ils agiraient alors comme un bouclier de protection. Dans un cas idéal, nous pourrions placer en phase de préfabrication des lignes d’anodes sur les points les plus critiques des pièces en béton. Ce serait une bonne chose vis-à-vis de la maîtrise d’ouvrage pour la pérennité de l’ouvrage. RGD en bref... Depuis 20 ans, RGD est un fournisseur de solutions techniques permettant de répondre à une large gamme de problématiques du béton. Avec une spécialité dans le génie civil et le BTP. Pour cela, RGD est constitué de plusieurs activités complémentaires, qui gèrent et trouvent des solutions pour toutes les étapes de la construction. Du bureau d’études à la réparation, en passant par l’approvisionnement des matières premières, le traitement de surface et les formulations spécifiques. RGD comprend les marques MP2, Shemrock-BTP et le totem BOB. Sujet réalisé en collaboration avecRichard Guérin, Pdg de RGD Shemrock et l’un des concepteurs de la méthode Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 344 jours

L’abri conique de Villenoy : Du béton armé contre les bombes

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine En France, l’abri en béton armé de Villenoy est unique. [©Philippe Ayrault, Région Ile-de-France 2021] Au fond du parc de l’Hôtel de ville de Villenoy (77) subsiste un abri anti-aérien en forme de cône. Haut de 18 m pour une circonférence de 40 m, il a été réalisé entre 1938 et 1940, pour protéger des attaques aériennes le personnel de la sucrerie de la ville, située près des voies ferrées, et les habitants du quartier. Un choix technique lié à la proximité de la Marne et du Rutel, son affluent, qui empêchait une construction en sous-sol. Les qualités aérodynamiques de la forme conique permettaient de résister à l’effet de souffle en cas d’explosion d’une bombe. Racheté en 2004-2005 par la commune, cet abri appartenait auparavant à l’ancienne sucrerie Béghin Say. Agé de plus de 80 ans, il a subi les aléas du temps. La campagne de financement participatif de l’opération “Sauvons nos monuments 2021” a permis de lancer une série de travaux de rénovation. A savoir, ravaler l’extérieur qui s’effrite par endroits et retirer la mousse qui pousse le long de la paroi. Il est aussi nécessaire de rénover les supports en bois du cheminement qui mène à la sortie de cet abri. Ravaler l’extérieur et combler les fissures « Il faut refaire l’étanchéité du réservoir situé tout en haut, qui met en péril le reste du bâtiment. Après tout ce temps, la rouille touche les armatures. La tranchée d’accès depuis la sucrerie nécessite aussi d’être consolidée », insiste François Daveau, ancien professeur documentaliste au lycée de Meaux, sans qui rien n’aurait été possible. Depuis qu’il est à la retraite, il a remis le lieu en état, autant qu’il le pouvait. « Déjà, c’était une jungle autour de l’abri. Il a fallu beaucoup de travail physique. En même temps, cela a ressemblé à un mini-travail archéologique. Il faut de la finesse pour comprendre à quoi sert un bout de ferraille que l’on trouve. Comme les contrepoids qui servent à fermer rapidement les portes. » L’abri mesure 18 m de haut pour une circonférence de 40 m. Construits en béton armé d’anciens rails de chemin de fer réutilisés, les murs sont épais de plus de 55 cm. [©Philippe Ayrault, Région Ile-de-France 2021]François Daveau, ancien professeur documentaliste au lycée de Meaux, sans qui rien n’aurait été possible. Depuis qu’il est à la retraite, il a remis le lieu en état, autant qu’il le pouvait. [©Philippe Ayrault, Région Ile-de-France 2021] Durant la guerre, le bâtiment a permis par deux fois, à une centaine de personnes de se protéger des bombardements alliés en 1944. En s’installant au rez-de-chaussée doté d’une infirmerie et d’une douche de décontamination, au sous-sol ou dans les trois étages. Les quatre autres niveaux étant techniques. Comble du confort, chaque étage comporte des toilettes et est éclairé à l’électricité. Pour respirer, un ingénieux système de tuyauterie diffuse de l’air pompé grâce à un vélo actionné par un volontaire. Ce dispositif a, lui aussi, été réparé par François Daveau. Grâce à François Daveau Des travaux d’urgence ont pourtant débutés dès septembre 2011, à l’initiative de ce retraité. Financés par la commune, ils se sont poursuivis tout au long de l’année 2013. Mais ils n’ont pas suffi. Grâce à l’intervention des cordistes de la société chelloise Altissur, les parois externes du cône ont retrouvé un aspect presque neuf. La maçonnerie des trois entrées du sous-sol a été reprise. Un éclairage sur batterie de cinq pièces du rez-de-chaussée et du sous-sol a été réalisé. Et, comme en 1944, chaises et bancs de bois provenant de salles de ventes permettent aux visiteurs de s’imaginer attendre la fin d’une alerte aérienne. « C’est un beau projet municipal », insiste Valérie Perrin, chargée du patrimoine culturel de la mairie de Villenoy. Durant la guerre, le bâtiment a permis par deux fois, à une centaine de personnes de se protéger des bombardements alliés en 1944. [©Philippe Ayrault, Région Ile-de-France 2021] Construits en béton armé d’anciens rails de chemin de fer réutilisés (du recyclage avant l’heure), les murs sont épais de plus de 55 cm. Les petites ouvertures triangulaires de chacun des étages sont protégées intérieurement des éclats de bombes et du souffle de l’explosion par un lourd bouclier de fer. Que l’on pouvait mettre ou enlever à la main. Un volet métallique pivote et ferme l’ouverture.Bientôt, l’abri de Villenoy, après travaux de rénovation, sera ouvert au public. A découvrir. Un musée est aussi en cours de création dans les écuries, à 40 m de là. Ces deux dernières réalisations ont été reconnues comme ayant un intérêt patrimonial d’intérêt régional Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 344 jours

Arcade : Informatiser le secteur du béton

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine De gauche à droite, Alice Ladet, responsable commerciale, Guillaume Cordel, dirigeant d’Arcade, et Anne Cordel, responsable recherche & développement. [©ACPresse] « Comment allier ce que j’aime avec ce que je connais ? » Telle est la question que s’est un jour posée Guillaume Cordel, fondateur et gérant de la société Arcade. « Mon histoire personnelle est liée à celle de la carrière, du BTP, secteurs dans lesquels évoluaient mes parents et mes grands-parents. Je connais donc ces métiers de l’intérieur. » A côté de cela, Guillaume Cordel cultive une passion pour l’informatique. Naturellement, il s’installe dans les bureaux de l’entreprise familiale. Lire aussi : Des abeilles sur le toit d’Arcade ! Là, il développe Icare, sa première solution informatique. « Il s’agissait d’un logiciel de pesage, d’édition de bons de livraison et de facturation », précise Guillaume Cordel. Icare a été installé sur quelques grosses carrières, au début des années 1990. C’est ainsi qu’est né Arcade en 1993. En parallèle, Icare intègre une fonction “laboratoire”, qui finit par aboutir à un nouveau logiciel autonome : Icare Labo, réécrit entre temps pour Windows. Son nom : Wil (pour Windows Icare Labo). L’arrivée des suites “full web” « Wil est devenu notre logiciel phare, décliné en différentes versions, dont Wil Béton », rappelle Guillaume Cordel. Cette solution permet aujourd’hui la formulation et la gestion des essais autour du matériau, intègre les obligations normatives, et assure le suivi métrologique des équipements. « Nous continuons à enrichir et à faire évoluer Wil, qui va encore être là pour longtemps. » D’un point de vue historique, Arcade a fini par proposer une large offre de logiciels : Icare pour la gestion, Wil pour le laboratoire, Mentol pour l’environnement et la sécurité, et Carmin pour la maintenance industrielle. Des outils performants, mais auxquels il manquait la dimension “full web”. Pour répondre à cette nouvelle attente, Arcade a fait le choix de refondre cette offre et de mettre sur le marché sa suite Massia. « Il s’agit d’une solution web nouvelle, complète, modulable et évolutive », confirme Alice Ladet, responsable commerciale d’Arcade. Elle se décline en cinq modules : Gestion (administration des ventes), Performance (suivi de la production des industries extractives), Laboratoire et sa version “tablette et smartphone” Labo Mobilité, QSE et Foncier, et Maintenance (gestion des installations et du parc matériels). Collaborations avec Delta Automation et Oris « Tous ces modules ou logiciels ont demandé un très important travail de développement, souligne Guillaume Cordel. On ne met pas au point une suite comme celle-ci en quelques mois. L’informatique, ce n’est plus de l’artisanat. Massia a nécessité 5 années de R&D et mobilisé 10 informaticiens ! » Aujourd’hui, l’aventure Arcade se poursuit. Déjà, l’entreprise va fêter ses 30 années d’existence en 2023. Ensuite, elle a signé un partenariat avec Delta Automation, spécialiste des logiciels et automatismes pour centrales à béton. « L’idée est de créer un éco-système complet, en développant les synergies possibles entre nos outils informatiques. Delta Automation apporte ainsi son expertise en matière de logiciels de production. » Lire aussi : Un nouveau site Internet pour Arcade Un autre partenariat vient d’être mis en place avec la plate-forme Oris. « Il s’agit d’une plate-forme dédiée aux opérateurs de la construction routière pour sélectionner et comparer les solutions et les matériaux disponibles sur le marché. Dans ce cadre, Arcade va développer une passerelle pour permettre aux utilisateurs des suites Wil et Massia de déposer les fiches produits de leurs granulats sur la plate-forme Oris », conclut Guillaume Cordel. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 344 jours

Hauts-de-Seine : Des éléments préfabriqués en style Art Déco signés Cibetec

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Cibetec a réalisé 121 éléments préfabriqués pour ce bâtiment au style Art Déco. [©Cibetec] Dans un style néo Art Déco, un nouveau bâtiment situé au 39, rue Voltaire à Levallois-Perret, est récemment sorti de terre. Il bénéficie d’un béton architectonique, dont l’esthétisme et la teinte s’apparentent à la pierre. De plus, le matériau dispose d’une résistance élevée à l’encrassement dû à la pollution. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France La construction s’élève sur 5 étages sous attique et se développe sur une surface de 1 405 m2 de logements et 207 m2 de commerces en rez-de-chaussée. A l’extérieur, le bâtiment est entouré de balcons et de terrasses finement ouvragés. Ainsi, les éléments décoratifs à l’image des balcons, des balustres, des corniches, mais aussi des bandeaux et des frontons, sont en béton préfabriqué blanc (signé Ciments Calcia). La préfabrication des 121 pièces a été réalisée dans les ateliers de Cibetec. Une vingtaine de moules ont été nécessaires pour les nez de balcons ou encore les modénatures… Au niveau de la mise en œuvre, chaque pièce préfabriquée a été numérotée et fixée à l’ossature. Et ce, par clavetage béton ou par fixation mécanique de type “porte-manteau avec cornières”. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 345 jours

Le shopping du mobilier urbain

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Bancs, jardinières, tables de pique-nique ou de ping-pong, cendriers ou encore poubelles et monuments… Le mobilier urbain habille les espaces publics. Les acteurs dans le domaine sont nombreux et chacun a sa “patte”. Béton[s] le magazine vous propose une petite sélection d’objets préfabriqués. Ici, le béton montre bien tous ses talents d’adaptation, que ce soit dans la forme, les teintes et l’usage… Atelier Mérillon – La Manufacture des Bétons Même s’ils ont été conçus, il y a déjà quelques années, les bancs lumineux fabriqués par l’Atelier Mérillon – La Manufacture des Bétons restent toujours de belles réalisations. En effet, 22 éléments de ce type ont été fabriqués pour l’Esplanade des Particules, chantier d’aménagement des extérieurs du Cern, en Suisse. Ils ont nécessité 600 l de Bfup SmartUP de Vicat, 1 000 fibres optiques installées à l’intérieur et 3 générateurs Led, d’une puissance totale de 10 500 lumens. Ces bancs de 6 m de long sont assemblés en trois parties et disposent de pieds réglables. Pour rappel, l’Atelier Mérillon – La Manufacture des Bétons est spécialisé dans la préfabrication en Bfup. [©Atelier Mérillon] Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? var gform;gform||(document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",function(){gform.scriptsLoaded=!0}),window.addEventListener("DOMContentLoaded",function(){gform.domLoaded=!0}),gform={domLoaded:!1,scriptsLoaded:!1,initializeOnLoaded:function(o){gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?o():!gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?window.addEventListener("DOMContentLoaded",o):document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",o)},hooks:{action:{},filter:{}},addAction:function(o,n,r,t){gform.addHook("action",o,n,r,t)},addFilter:function(o,n,r,t){gform.addHook("filter",o,n,r,t)},doAction:function(o){gform.doHook("action",o,arguments)},applyFilters:function(o){return gform.doHook("filter",o,arguments)},removeAction:function(o,n){gform.removeHook("action",o,n)},removeFilter:function(o,n,r){gform.removeHook("filter",o,n,r)},addHook:function(o,n,r,t,i){null==gform.hooks[o][n]&&(gform.hooks[o][n]=[]);var e=gform.hooks[o][n];null==i&&(i=n+"_"+e.length),gform.hooks[o][n].push({tag:i,callable:r,priority:t=null==t?10:t})},doHook:function(n,o,r){var t;if(r=Array.prototype.slice.call(r,1),null!=gform.hooks[n][o]&&((o=gform.hooks[n][o]).sort(function(o,n){return o.priority-n.priority}),o.forEach(function(o){"function"!=typeof(t=o.callable)&&(t=window[t]),"action"==n?t.apply(null,r):r[0]=t.apply(null,r)})),"filter"==n)return r[0]},removeHook:function(o,n,t,i){var r;null!=gform.hooks[o][n]&&(r=(r=gform.hooks[o][n]).filter(function(o,n,r){return!!(null!=i&&i!=o.tag||null!=t&&t!=o.priority)}),gform.hooks[o][n]=r)}}); M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr CAPTCHA Δdocument.getElementById( "ak_js_1" ).setAttribute( "value", ( new Date() ).getTime() ); gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 2 ans et 345 jours

Pathologies : L’alcali-réaction

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine L’ancien pont de Térénez, dans le Finistère, a été atteint par l’alcali-réaction. Il a été démoli et remplacé par un ouvrage haubané. [©ACPresse] I – Qu’est-ce que l’alcali-réaction ? L’alcali-réaction correspond à une réaction de gonflement interne (RGI) se produisant en présence d’humidité. Ceci, entre des phases minérales mal cristallisées contenues dans certains types de granulats (Fig. 1) et les alcalins présents dans la solution des pores du béton, fortement basique. Il s’agit d’une réaction dite “endogène” car les composés qu’elle implique sont présents dans la composition initiale du béton et ne nécessite pas d’apports d’agents agressifs extérieurs. L’alcali-réaction ne peut se développer que si trois conditions simultanées sont réunies : • présence de silice réactive ou de silicates réactifs dans le mélange granulaire ; • présence d’alcalins solubles ou actifs (Na2O + K2O), exprimés sous forme de Na2Oéq, à une teneur supérieure à un seuil critique ; • un environnement humide : humidité relative au-dessus d’une valeur seuil, de l’ordre de 80/85 % (facteur externe). Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 345 jours

Moselle : Béton Stone Consulting : Une palette de solutions industrielles

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine BSC intervient sur un large périmètre de l’industrie du béton. [©BSC] Centrales à béton, équipements pour carrières et préfabricants, cimentation nucléaire ou encore impression 3D, Béton Stone Consulting (BSC) intervient sur un large périmètre de l’industrie du béton. A sa création en 2006, à Etzling, par Sylvain Adam, l’entreprise se spécialise dans le conseil. L’objectif ? Accompagner les professionnels de la préfabrication et contribuer à l’amélioration des process industriels et des formulations existantes. Au fur et à mesure des années, l’activité “conseil” s’amenuise pour laisser place à la partie commerciale. Entre 2008 et 2010, BSC commence à proposer des malaxeurs coniques. Puis, dès 2015, elle s’intéresse aux systèmes de pompages des bétons et développe tout une usine de production de mortier au Moyen-Orient. Cette période marque aussi le début d’une ouverture à l’international. Depuis 2021, BSC se concentre sur la commercialisation de process pour les industriels du béton à l’étranger. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Grand-Est L’entreprise ne propose pas seulement des centrales à béton, elle fournit aussi des composants pour constituer et compléter les centrales ou des installations spécifiques. Elle dispose aussi de stations de micronisation dans son catalogue. Dans le domaine des malaxeurs, l’entreprise a su parfaire son expertise. En plus de l’outil en lui-même, BSC fait du conseil sur les dosages des composants : fibres, colorants, adjuvants. Mais aussi, sur le transfert et le dosage des bétons frais et des produits finis, sur le pompage ou encore sur le recyclage des eaux de lavage et des retours béton. Pour les années à venir, BSC compte bien suivre les évolutions industrielles du béton et toujours proposer les solutions les plus innovantes. Aujourd’hui, elle compte 9 collaborateurs et 8 partenaires parmi lesquels Kniele, Eco-Frog, Klein ou encore Mantis ULV. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 345 jours

Soltech : Un béton à choix multiples

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Près de 210 m2 de béton couleur sable ont été mis en œuvre. [©Soltech] Spécialisée dans les aménagements d’espaces, Soltech s’est imposée sur le marché réunionnais depuis 1992. Dirigée par Jean Ros, l’entreprise ne cesse de mettre en avant les avantages techniques, environnementaux et esthétiques du béton. En intérieur ou en extérieur, Soltech s’intéresse aux sols et n’hésite pas à explorer de nouvelles techniques ou tendances pour répondre à des problématiques précises. Retour sur trois chantiers de l’île Bourbon, qui résument bien la philosophie de l’entreprise. Une toute nouvelle étanchéité Dans le cadre de l’aménagement du port de plaisance de Saint-Gilles-les Bains, Soltech est intervenue dans la remise à neuve de la dalle extérieure. « Nous avons retiré la dalle de basalte pour refaire l’étanchéité et le revêtement », explique Jean Ros. Ici, Soltech a réalisé un calepinage pour le positionnement des joints. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr CAPTCHA Δdocument.getElementById( "ak_js_2" ).setAttribute( "value", ( new Date() ).getTime() ); gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 2 ans et 345 jours

Somme : BigMat se dote d’un service de béton à emporter

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine BigMat Camon a mis en place une nouvelle offre de bétons en libre-service : Béton2Go. [©BigMat] Négoce multi-spécialiste, BigMat Camon s’intéresse au gros œuvre comme au second œuvre. Etablie dans la région depuis 2008, l’entreprise s’est dotée d’un nouveau service en novembre 2021. « Dans la zone d’Amiens, il y a des grosses centrales de BPE classiques, mais nous avons remarqué qu’il y avait une niche sur la demande de béton en petite quantité », explique Jean-Marie Poulain, dirigeant de BigMat Camon. Et c’est ainsi que le service Béton2Go voit le jour. « Cela nous permet de proposer du BPE de dépannage, mais aussi de toucher de nouveaux clients, à l’image des paysagistes. » La mini-centrale est installée dans le dépôt, « ce qui nous permet de garder un lien avec nos clients ». Ici, les usagers peuvent venir chercher béton ou chape, dans des quantités allant de 250 l à 1 m3. « Nous proposons 5 recettes différentes et celles-ci peuvent être formulées avec un retardateur. » Le client vient avec son propre moyen de transport, insère une carte magnétique correspondant à sa demande et peut repartir en quelques minutes avec son matériau. 5 recettes béton disponibles « Nous avons visé juste et le service a été bien accueilli. Le fonctionnement de Béton2Go offre plusieurs avantages, dont l’autonomie. » Pour Jean-Marie Poulain, le nettoyage à sec de la mini-centrale est aussi un atout de taille. « C’était important pour nous d’avoir une solution la plus écologique possible. Le nettoyage ne demande pas d’eau, mais des granulats, qui sont réinjectés dans la formulation des bétons. Il y a zéro déchet. » L’impact écologique de ses activités et du bâtiment en général est un sujet essentiel dans la stratégie de BigMat Camon. D’ailleurs, l’entreprise travaille aussi sur la mise en place d’un système de collecte de déchets de chantier autonome… A suivre. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 345 jours

Minéral Service : La ville comme laboratoire d’expérimentations

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Minéral Service a mis en œuvre plusieurs techniques sur un chantier d’aménagement à Sotteville-lès-Rouen, dont un béton végétalisé et un béton drainant. [©Minéral Service] Basée à Grand-Couronne, dans la Métropole de Rouen, Minéral Service a su au fil des années, affiné son savoir-faire dans le domaine du revêtement de sols décoratifs. « Pavages, dallages, bétons architectoniques… Nous nous intéressons principalement au marché de l’aménagement extérieur, mais intervenons aussi en intérieur, » explique Jérémy Jamelin, directeur d’exploitation. Minéral Service s’adresse aussi bien aux particuliers qu’aux collectivités. Un profil qui constitue une grosse part de marché pour l’entreprise. « Nous maîtrisons toutes les techniques de béton et réalisons des éléments préfabriqués, comme du mobilier urbain, dans nos ateliers de Grand-Couronne. » L’entreprise intervient surtout dans le quart Nord-Ouest de la France, mais suit aussi ses clients, au-delà sur les chantiers. Des techniques différentes pour chaque espace Récemment, Minéral Service a réalisé une zone témoin, pour l’aménagement d’une voie de circulation à Sotteville-lès-Rouen. « Le but était de faire des essais grandeur nature qui conditionneront la suite des travaux dans cet axe. » En effet, les maîtres d’ouvrage, la Métropole de Rouen et la Ville ont demandé la mise en place de solutions techniques et respectueuses de l’environnement. L’objectif ? Favoriser la bonne circulation et désimperméabiliser les sols. Ainsi, Minéral Service a mis en œuvre plusieurs techniques en béton. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr CAPTCHA Δdocument.getElementById( "ak_js_3" ).setAttribute( "value", ( new Date() ).getTime() ); gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 2 ans et 345 jours

Gard : KP1 installe des planchers chauffants/rafraîchissants

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine La solution Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant développée par KP1 et ThermAK a été mise en œuvre dans la réalisation de 66 villas à Laudun-l’Ardoise. [©KP1] Dans le cadre d’un programme social à Laudun-l’Ardoise, le maître d’œuvre Sud Ingénierie et le maître d’ouvrage Sud Invest ont opté pour une solution innovante. Le Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant a ainsi été utilisé pour la réalisation de 66 villas. Développé par KP1 et ThermAK1, ce plancher structurel isolant intègre un système de chauffages réversibles. Et il répond aux exigences de la RE 2020. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Occitanie Au-delà du plancher en béton préfabriqué, livré prêt à poser avec l’isolant, le Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant dispose de rupteurs de pont thermique. Assurant une bonne continuité de l’isolation. Car ce système “4-en-1” se compose d’un kit “chauffage et rafraîchissement” intégré, d’entrevous et de rupteurs. Le plancher structural bénéficie d’une dalle de compression très fine de 56 mm. Répondre aux exigences de la RE 2020 Sur le chantier, environ 3 personnes étaient en charge de la pose de 15 à 20 planchers de 45 m2 . Et ce, sur 3 à 4 j de travail. « Les tuyaux étant directement intégrés dans la dalle de compression, ce qui évitait aussi de couler la chape flottante. Laquelle est requise pour les planchers chauffants traditionnels et qui peut mettre plusieurs semaines à sécher », explique Grégory Dieudonné, maître d’œuvre du projet. Et de poursuivre : « Au-delà du confort de marcher pieds nus l’hiver et de ne pas souffrir de la chaleur l’été, le bilan économique est très intéressant ». En effet, pour une maison individuelle de 115 m2 de surface habitable, la facture d’électricité atteint une moyenne de 70 €/mois. Avec en hiver une température intérieure de 21 °C et, en été, une consigne de rafraîchissement à 26 °C. 1Société issue de l’association de KP1 et de Thermacome Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 345 jours

Alkern : Coquillages et pavés

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Alkern propose des pavés drainants en coquilles Saint-Jacques, issus d’un projet développé et breveté par l’Esitc de Caen. [©Alkern] A l’horizon 2024, Alkern s’est fixé comme objectif de développer des solutions plus responsables pour l’environnement. En prévoyant des investissements nécessaires. Mais l’industriel dispose déjà dans ses gammes des produits préfabriqués au service de la ville durable. Si l’activité du groupe se tourne majoritairement vers le bâtiment (50 % de l’activité), l’aménagement extérieur occupe tout de même 25 % de son chiffre d’affaires (les 25 % qui restent concernent les travaux publics). « Avec nos 55 usines réparties en France, dont deux en Belgique, nous sommes au plus proche des chantiers, explique Mathilde Bru, cheffe de produit aménagement extérieur et mobiliers urbains d’Alkern. Les solutions d’aménagement voyagent très peu, environ 80 km, le but étant de produire en local. Nous avons d’ailleurs des catalogues régionaux. Ils ont un tronc commun et des spécificités de coloris ou de formes en fonction du territoire. » Bordures, murets de séparation, dalles classiques ou à engazonner, jardinières, fontaines, bancs ou encore tables de ping-pong… Alkern s’est développé dans différents domaines. « Les solutions drainantes prennent de plus en plus de place », précise Mathilde Bru. Et Eric Colmard, prescripteur chez Alkern, de confirmer : « Depuis quelques années, il y a une vraie émergence des produits drainants, même s’ils existent depuis longtemps. Toutes les collectivités et autres acteurs de l’aménagement s’arment aussi contre des îlots de chaleur ». Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 345 jours

Nova Crete : Occuper la place vacante

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Matthieu Boufflet, co-fondateur de Nova Crete [©ACPresse] Avec les concentrations opérées ces dernières années dans le petit monde des sols décoratifs en béton, il s’est créé comme un vide que Nova Crete a choisi d’occuper. L’entreprise est née en novembre 2019, mais avec un véritable démarrage d’activité en mai 2020, en pleine période Covid. Pas top, mais ainsi vont les choses, parfois… « Nous nous positionnons comme un acteur indépendant et réactif des sols esthétiques », résume Matthieu Boufflet, co-fondateur de Nova Crete. L’industriel assure la fabrication de produits minéraux destinés à ce secteur d’activité. Mais aussi la distribution des outils dédiés. Les solutions proposées concernent tant les sols intérieurs – avec des bétons millimétriques – que les sols extérieurs. Là, l’offre est plus large, allant des bétons imprimés aux bétons lissés, désactivés ou balayés. « Tous nos produits en poudre sont fabriqués dans notre usine de Chanteloup-les-Vignes, dans les Yvelines. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 345 jours

Val-d’Oise : La Fabrik à Béton mise sur le BPE à la demande

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine La Fabrik à Béton a fait de la grenouille sa mascotte. Pour fournir le béton, la société dispose d’un camion-malaxeur volumétrique et hydrostatique Blend. [©La Fabrik à Béton] Cela fait un an que Nicolas Dutilleul a lancé La Fabrik à Béton. Déjà propriétaire d’une entreprise de maçonnerie (DPN Rénovation), le gérant a voulu prendre son indépendance vis-à-vis des bétonniers. En faisant l’acquisition d’un camion-malaxeur volumétrique et hydrostatique Blend, La Fabrik à Béton propose ainsi un vrai service de béton prêt à l’emploi sur site. « Avec notre centrale mobile, nos clients ont accès à toute une sélection de formules, explique Nicolas Dutilleul. Nous avons travaillé avec LD Contrôles dans ce sens, pour proposer plusieurs gammes de bétons : fondations, planchers-dalles, ou encore des bétons décoratifs avec des coloris originaux… » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France Les clients de La Fabrik à Béton peuvent passer leur commande en ligne. Ils y sélectionnent le béton voulu avec la possibilité de rajouter des options “fibres” ou adjuvants : accélérateur, fluidifiant… « Nous fabriquons à la demande au litre près. Il n’y a ni perte ni gâchis. Nous souhaitions faire du service, du relationnel et surtout changer les façons de faire. » La Fabrik à Béton s’adresse aux entreprises de BTP et aux particuliers. Elle compte deux collaborateurs : un chauffeur poids lourd et un magasinier qui charge les matières premières nécessaires à la fabrication du béton in situ. Floqué d’une grenouille, la mascotte de l’entreprise, le camion se déplace dans le Val-d’Oise et un peu dans les départements des Yvelines et de l’Oise. Le prix de la prestation est modulé en fonction du nombre de kilomètres à parcourir au-delà des zones desservies. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 345 jours

Les malaxeurs pour centrales à béton

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine En France, la production du béton en centrales passe par l’utilisation d’un malaxeur. Les acteurs proposant cet équipement incontournable sont nombreux sur notre territoire. De quoi permettre à chacun de trouver la perle adaptée à son besoin précis. Arcen : Des classiques toujours au goût du jour Arcen privilégie sa gamme des turbo-malaxeurs MEV sur le marché français. [©Arcen] Au niveau international, Arcen s’appuie sur les ventes des MDE, sa gamme de malaxeurs à doubles arbres horizontaux. Mais sur le marché français, ce sont les turbo-malaxeurs MEV qui restent la valeur sûre. « Ce sont des équipements que nous avons modernisés récemment, explique Emanuel Pinheiro, directeur général d’Arcen France. En effet, plus les bétons spéciaux se développent, avec leur forte adjuvantation, plus l’usure des équipements de production s’intensifie. Nous avons donc renforcé l’étanchéité des portes, la tenue des cuves ou encore le rotor, dont la mécanique a été revue. » En résumé, la gamme MEV, qui couvre des capacités allant de 500 l à 4 m3, a vu sa durabilité améliorée, ainsi que sa maintenance réduite et facilitée. « Certaines années, c’est notre produit le plus vendu », complète Emmanuel Pinheiro. Entre temps, Arcen a procédé à la “mise à jour” de sa gamme de malaxeurs planétaires MST. D’une capacité de production allant de 750 l à 4,5 m3, elle est à l’origine utilisée par les industriels du béton. Mais elle est de plus en plus demandé en BPE. BHS-Sonthofen rachète Eurostar Concrete Technology BHS-Sonthofen est historiquement un constructeur de malaxeurs à doubles arbres horizontaux. [©BHS-Sontofen] L’industriel BHS-Sonthofen vient d’acquérir l’Italien de Eurostar Concrete Technology1. Ce rachat constitue une opportunité d’élargir son portefeuille d’équipements, en y ajoutant des malaxeurs planétaires. Le rachat Eurostar correspond à la volonté de BHS-Sonthofen de consolider, à long terme, sa position dans le domaine des malaxeurs de haute qualité. « La combinaison de malaxeurs discontinus à doubles arbres horizontaux et de malaxeurs planétaires va nous permettre de réagir d’une manière plus spécifique aux exigences de nos clients », souligne Dennis Kemmann, Pdg de BHS-Sonthofen. Grâce à cette fusion, les clients d’Eurostar bénéficient de sites supplémentaires de SAV, à savoir ceux de BHS-Sonthofen. Mais aussi d’une gestion globale et complète des pièces de rechange. A l’issue de cette fusion, la marque Eurostar Concrete Technology est conservée et Mario Zaccaron, confirmé à son poste de président. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 345 jours

La Saline royale : Le Cercle immense de la biodiversité

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine La Saline royale forme désormais un Cercle immense. [©Léo Guyot] La Franche-Comté produit du sel depuis le Haut Moyen-Age. Dans la région, la ville de Salins-les-Bains a su tirer profit de cet or blanc durant près de 1 200 ans. Au XVIIIe siècle, Louis XV, alors roi de France, demande l’édification d’une nouvelle saline. Et ce, à quelques kilomètres de là, à Arc-et-Senans. Le projet concerne ainsi la création d’un saumoduc, reliant les deux villes jurassiennes, et une toute nouvelle manufacture. Un chantier qui durera de 1775 à 1779. Louis XV confie l’opération à Claude-Nicolas Ledoux. Très ancré dans la philosophie des Lumières, l’architecte rêve d’une ville idéale. Ici, urbanisme et architecture seraient des remèdes aux maux de la société. Lire aussi : Naissance de la commission Patrimoine et Histoire du génie civil Même s’il n’a pas pu réaliser sa cité utopique, Claude-Nicolas Ledoux met toute sa vision moderne dans la Saline royale d’Arc-et-Senans. Il imagine un demi-cercle parfait où les bâtiments de la manufacture et les quartiers de la direction prennent une place centrale. Ici, pratiquement tous les travailleurs habitent sur place. Espaces de vie, potagers, ateliers pour les différents corps de métier… Les constructions et les circulations sont faites de telle manière que les ouvriers puissent vivre en harmonie sur le principe de la collectivité. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 345 jours

Ideal Work : « Nous recherchons des partenaires en France »

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Christophe Vaissier, directeur du développement business d’Ideal Work France. [©ACPresse] Jusqu’à son rachat par Bostik (groupe Arkema) en septembre 2020, c’est Eqiom qui assurait la distribution de la marque italienne Ideal Work sur le territoire national. Aujourd’hui, les choses sont différentes. Si Eqiom garde l’exclusivité sur l’Ile-de-France et le Grand Est – ses classiques zones de chalandise -, Ideal Work est en train de se déployer sur le reste du pays. « Nous sommes en train de développer nos équipes partout en France et sommes à la recherche de distributeurs locaux », explique Christophe Vaissier, directeur du développement business d’Ideal Work France. L’idée est de trouver 5 à 6 distributeurs régionaux pour assurer une proximité territoriale. En parallèle, Ideal Work continue à suivre en direct ses applicateurs historiques. Ceci, en attendant de trouver les distributeurs exclusifs ad hoc en mesure de le faire. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 345 jours

Corniche Kennedy : Entre terre et mer

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine La Corniche Kennedy épouse le littoral marseillais. Elle a fait l’objet d’une grande rénovation. [©Setec Diades] Construite entre la fin de la IIe République et le Second Empire, la Corniche Kennedy épouse aujourd’hui le littoral marseillais de la plage des Catalans jusqu’aux plages du Prado. L’édifice offre une belle balade comme une liaison entre terre et mer. Et en plus de la promenade, la corniche dispose de bancs, formant une chaîne de 3 km sur pratiquement tout son parcours. Le banc le plus long du monde selon la légende ! L’ouvrage connaît plusieurs transformations, dont un élargissement entre 1954 et 1968. C’est à cette époque qu’il devient la Corniche Kennedy en hommage au président américain John Fitzgerald Kennedy, mort en 1963. Soumise aux contraintes du temps, de la circulation ou encore des embruns et autres agressions dues à l’environnement, la Corniche a récemment fait peau neuve. « Les travaux se sont déroulés en quatre phases entre octobre 2018 et avril 2022 », explique Loriana Pace, ingénieure maîtrise d’œuvre chez Setec-Diades. En effet, pour permettre aux habitants et aux nombreux touristes de profiter de l’espace l’été, le chantier était en activité entre l’automne et le printemps. Initiée par la Métropole Aix-Marseille-Provence, la restauration de la corniche visait différents objectifs. D’une part, redonner la pleine vocation de la promenade et renforcer l’accessibilité du littoral. Et d’autre part, remettre à neuf les bancs et les ouvrages et la création d’une piste cyclable bidirectionnelle sécurisée. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 345 jours

Dossier : Aménagement public et urbain – Le béton comme réponse aux enjeux de la ville durable

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine L’aménagement des espaces au sein d’une ville revêt une importance cruciale. Par ce biais, des identités sont créées, des revendications régionales sont portées par des teintes et autres ornements, et des curiosités attirent les touristes. Les réseaux sociaux, tels qu’Instagram et Tik Tok semblent bien démontrer l’exercice. Prenons l’exemple du #paris. Parmi les (très) nombreuses photos de monuments, des “guest star” particuliers posent avec les influenceurs du Web : des pavés, du mobilier urbain, de majestueux axes de circulation ou encore des sols couleur pop de certains terrains de baskets. Aujourd’hui, des internautes du monde entier peuvent reconnaître la Ville des Lumières grâce à ces marqueurs forts. Et ce, sans jamais s’être déplacés ! Mais l’aménagement urbain a autant d’importance esthétique qu’urbanistique et sociale. Il sert à organiser les espaces, à faciliter les déplacements et à bien vivre en communauté. Selon la volonté d’un maître d’ouvrage, il peut aussi servir la lutte contre le réchauffement climatique. Ainsi, le choix des matériaux prend tout son sens. Comment favoriser la perméabilité des sols ? Comment construire de manière durable pour ne pas faire et refaire, en épuisant les ressources ? Ou encore, comment créer des îlots de fraîcheur ? La filière béton veut apporter une palette de solutions à l’ensemble de ces enjeux. Béton coloré, texturé, désactivé, végétalisé, éléments préfabriqués… sont autant de réponses. Ce dossier met en exergue différents acteurs, savoir-faire et innovations dans le domaine. Et à l’aube de la pause estivale, c’est aussi l’occasion de prévoir des pauses ludiques aux quatre coins de la France. Dossier préparé par Sivagami Casimir et Frédéric Gluzicki Mini Sommaire Tramway d’Angers : Les invisibles bétons d’aménagementCorniche Kennedy : Entre terre et merIdeal Work : « Nous recherchons des partenaires en France »La Saline royale : Le Cercle immense de la biodiversitéNova Crete : Occuper la place vacanteAlkern : Coquillages et pavésMinéral Service : La ville comme laboratoire d’expérimentationsSoltech : Un béton à choix multiplesLe shopping du mobilier urbain Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 345 jours

Un sol pour les soutenir tous

Article paru dans le n°101 de Béton[s] le Magazine Les sols industriels ont vu le DTU 13.3 évoluer en début d’année, preuve de la vitalité d’un secteur qui compte de plus en plus d’acteurs et de solutions. Tour d’horizon de quelques-unes des possibilités offertes par le marché. Côté durcisseurs Korodur : Sol version endurcie Le Neodur signé Korodur est l’un des durcisseurs les plus utilisés du marché français. [©Korodur] Le nom de Korodur est issu d’un néologisme, issu du latin “korundum” (corindon) et “durus” (dur). Avec sa marque Neodur, l’industriel se veut le synonyme de sols industriels mécaniquement résistants. En plus de 50 ans de présence en France, près de 100 Mm2 de sols ont été posés. Neodur est basé, entre autres, sur l’utilisation du corindon. « Employé comme additif pour les sols industriels, il est résistant à l’abrasion. La teneur en corindon varie en fonction du degré attendu de résistance à l’usure du sol », explique Nikola Heckmann, co-dirigeante de Korodur, avec son frère, Michael, qui ajoute que : « La couche de matériaux du Neodur est appliquée sur un sol en béton par des entreprises spécialisées ». Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 345 jours

Meurthe-et-Moselle : Béton de l’Est s’installe aux portes de Nancy

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Béton de l’Est s’est implanté aux portes de Nancy pour mieux répondre à la demande en béton dans la région. [©Liebherr] Depuis trois mois, la région Grand Est accueille un nouvel acteur du béton. Béton de l’Est s’est implanté à Velaine-en-Haye, aux portes de Nancy. « A la base, nous sommes carriers, nous proposons des granulats à partir de nos 7 carrières et faisons du concassage mobile, explique Victor Cracco, gérant de Béton de l’Est. Notre activité se transmet de père en fils et existe depuis plus de 60 ans. » Pour se diversifier et écluser ses propres granulats, Béton de l’Est a vu le jour avec une centrale mobile flambant neuve. Signée Liebherr, la Mobilmix 2.5 dispose d’un malaxeur à doubles arbres horizontaux. De quatre silos à ciment et de six trémies pour granulats, dont deux cloisonnées. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Grand-Est « Nous nous sommes implantés dans une zone stratégique au milieu de nos carrières, avec un accès facile dans la région ». Béton de l’Est dispose de sa propre flotte avec deux camions-toupies. Il propose tous types de formulations à la demande pour les entreprises du BTP et les particuliers. « Nous avons davantage de demandes sur les bétons courants, mais aussi sur des bétons colorés ou désactivés. Dans tous les cas, nous misons sur la qualité ». Au niveau de l’outil de production, l’industriel bénéficie de trois bassins de décantation. Lui permettant de réutiliser les eaux de process. « Les déchets de béton sont stockés sur notre site, pour être concassés et refaire des granulats que nous pouvons utiliser. » Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 345 jours

Tramway d’Angers : Les invisibles bétons d’aménagement

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Franchissement de la voie ferrée sur le nouveau pont sur la Maine. [©ACPresse] Les mauvaises langues pourraient dire que les plus beaux bétons sont ceux que l’on ne voit pas ! D’un autre côté, au démarrage de son histoire, ce matériau restait souvent invisible. A la vérité, peu de gens savent, par exemple, que l’ensemble de la structure porteuse du théâtre des Champs-Elysées, à Paris, est en béton… Tant les ors et les marbres qui l’habillent cachent sa véritable nature. Pour la construction de la seconde ligne de tramway d’Angers, l’approche est assez comparable. Point d’or, ni de marbre, mais une ossature en béton tout à fait imperceptible, enfouie pour l’essentiel sous des tapis de verdure. Seuls, les rails métalliques laissent deviner la présence de cette infrastructure souterraine. Ce qui montre bien que l’aménagement d’espaces publics prend bien des formes. La nouvelle ligne B a pour terminus la station Belle-Beille, du côté Ouest d’Angers. Mais une fois la Maine franchie, via un pont métallique érigé pour l’occasion, elle emprunte l’actuel tracé de la ligne A. Celle-ci avait été dévoyée en 2019 sur ce nouvel itinéraire traversant le centre-ville. Ensuite, la ligne B poursuit son parcours, sur un tronçon neuf, en direction du Nord-Est, vers la station Monplaisir, qui constituera son autre terminus. Deux lignes pour le prix d’une ! Cette jolie organisation cache une surprise ! En effet, en dévoyant la ligne A en centre-ville, Angers Loire Métropole, maître d’ouvrage de l’opération, a libéré un petit morceau de tracé, qu’il a pu affecter à une 3e ligne : la C… Cette dernière aura donc un parcours commun avec la ligne B sur le début de son trajet et avec la ligne A (en service depuis onze ans) sur la fin de son itinéraire. Et profite d’une section qui lui est propre en centre-ville. D’une certaine manière, Angers s’est offert deux nouvelles lignes de tramway pour le prix d’une ! Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 345 jours

Vienne : Réhabilitation ambitieuse menée par Spie Batignolles Grand Ouest

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Spie Batignolles Grand Ouest opère une rénovation ambitieuse mêlant performance et économie circulaire. [©Spie Batignolles] Spie Batignolles Grand Ouest est en charge de la réhabilitation de la résidence Schuman, à Poitiers. Le chantier constitue la première transformation avant une requalification globale du quartier des Couronneries. Et ce, pour créer un nouvel ensemble plus durable, attractif en faveur de la mixité. L’immeuble Schuman en R+4 dispose d’une architecture typique des années 1970. Il est doté de 85 appartements, et 40 bureaux et locaux commerciaux. La réhabilitation permettra de totaliser 97 appartements et 21 locaux commerciaux (au rez-de-chaussée). Le chantier vise une performance BBC Rénovation. L’économie circulaire est un marqueur fort sur ce programme. Ainsi, les équipes Spie Batignolles ont proposé la récupération de différents éléments durant les phases de démolition des cages d’escalier. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Nouvelle-Aquitaine A l’image de granulats récupérés, envoyés en carrière pour être concassés et réinjectés dans la formulation de nouveaux bétons. Près de 34 t de matériaux ont été identifiées pour être réemployées dans le cadre de cette rénovation. D’autres innovations ont été choisies par l’entreprise de BTP. A l’image du lean pour optimiser le planning de ce chantier. Ou encore la maquette BIM. Enfin, pour la création d’ancrage en béton pour supporter les charges de la charpente, Spie Batignolles a opté pour l’impression 3D. Les 160 coffrages en béton seront imprimés depuis le parc matériel de Spie Batignolles, à Ollainville (91) où le groupe possède sa propre tête d’impression. La livraison du chantier est prévue à la fin mai 2023. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 345 jours

Vendée : Hoffmann Green Cement, Bouygues Construction et Chryso concrétisent leur partenariat

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Voile en béton d’argile décarbonée, formulé sur la base d’un liant H-Eva. [©HGCT] Depuis près de deux ans, les équipes de R&D d’Hoffmann Green Cement, de Bouygues Construction et de Chryso travaillent de concert pour mettre au point un béton décarboné. Et ce, sur la base de la technologie H-Eva. Développé par Hoffmann Green Cement, ce ciment ne contient pas de clinker. Et son empreinte carbone est divisée par 4 par rapport à un ciment classique. Il repose sur une technologie minérale par voie alcaline à base d’argile activée sous la forme d’une poudre stockable en silo. Il est compatible avec les process existants. Le trio formé par Hoffmann Green Cement, Bouygues Construction et Chryso a ainsi réalisé son premier chantier. Et ce, avec ce béton d’argile à Chaillé-sous-les-Ormeaux. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Pays-de-la-Loire « L’argile, au cœur de la technologie H-Eva, est un matériau disponible quasiment partout en large quantité qui peut être valorisée grâce à une adjuvantation très spécifique, explique Bruno Pellerin, directeur de la R&D chez Chryso. Notre gamme EnviroMix, et dans le cas présent EviroMix ULC1, a été développée pour répondre aux contraintes des bétons bas. Ou très bas carbone ». Pour le trio, cette première application ouvre la voie à de futures réalisations avec des bétons 0 % clinker H-Eva. « Nous mettons en œuvre des matériaux à impact toujours plus faible, conclut Christian Cremona, directeur R&D matériaux et structures de Bouygues Construction. Notre partenariat avec Hoffmann Green Cement participe aux réponses que le groupe apporte aux grands défis de la construction. Et ce, en maîtrisant notre impact sur l’environnement. » 1Ultra low carbon. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 346 jours

“HQE Pour Tous”, un outil numérique pour la construction durable

L’outil “HQE Pour Tous” s’adapte aux connaissances de tous les professionnels pour mieux les accompagner dans leurs actions. [© Alliance HQE-GBC] Pour mieux faire connaître la Haute Qualité Environnementale (HQE) et la rendre plus accessible, l’Alliance HQE-GBC lance “HQE Pour Tous”. Cet outil numérique est destiné aux acteurs de la construction pour leur faire découvrir les 26 thématiques, les engagements et les objectifs que cette norme englobe. Il a pour objectif de faciliter la compréhension des cadres de références réunis autour de quatre engagements. A savoir, la qualité de vie, le respect de l’environnement, la performance économique et le management responsable. Pour rappel, l’alliance HQE-GBC a pour mission de piloter les travaux d’innovation collaborative en faveur de la construction durable. Dans ce cadre, elle a pour ambition de réunir les professionnels autour d’un langage commun. « Avec cet outil, nous avons l’ambition de vulgariser et de rendre lisible la HQE à travers l’utilisation d’un outil numérique didactique et ludique, déclare Marjolaine Meynier-Millefert, présidente de l’alliance HQE-GBC. » Un outil pour comprendre la HQE De plus, « cet outil s’inscrit dans une démarche de sensibilisation et d’apport d’information sous la forme d’un concept encourageant et non culpabilisant pour l’utilisateur », poursuit Marjolaine Meynier-Millefert. Ainsi, “HQE Pour Tous” a été conçu selon le niveau de connaissance de l’utilisateur professionnel. Il propose deux parcours : Découverte pour dévoiler la HQE et Approfondissement, pour ceux qui la connaissent déjà et qui souhaitent savoir comment leur projet de bâtiment peut mieux prendre en compte les quatre engagements de la norme. Les détails de ces derniers seront d’ailleurs accessibles pour les professionnels via un socle d’information. Lire aussi : L’Alliance HQE-GBC publie le “Guide sur la richesse de l’ACV” Enfin, l’outil numérique permet de réaliser un auto-diagnostic pour un projet de bâtiment durable. Pour chacun des engagements et des thématiques, le professionnel renseigne par oui ou non les actions réalisées. Puis, il reçoit une synthèse qui permet d’identifier les leviers à actionner pour chaque thème de la HQE. A l’issue du diagnostic, l’outil propose des liens vers les certificateurs. Pour le moment, “HQE Pour Tous” a été imaginé pour le bâtiment. Cependant, l’Alliance HQE-GBC proposera prochainement une autre plate-forme digitale pour faciliter la prise en main des indicateurs dans le secteur de l’aménagement. Lien vers “HQE Pour Tous” ici
Il y a 2 ans et 346 jours

Le confort d’été et la RE 2020 selon le Filmm

Le Filmm décrypte des solutions constructives pour assurer le confort d’été. [©Filmm] Le Syndicat national des fabricants d’isolants en laines minérales manufacturées (Filmm) a édité une nouvelle brochure sur le thème du confort d’été. La RE 2020 a intégré une évolution importante avec l’introduction d’un nouvel indicateur dans les bâtiments : les degrés-heures d’inconfort (DH), exprimés en °C.h. Désormais, les hausses des températures et les vagues de chaleur provoquées par le réchauffement climatique ont été prises en compte avec une nouvelle méthode de calcul. Et afin que cette notion soit plus concrète, le Filmm illustre le principe de cet indicateur avec un graphique. Les solutions contre l’inconfort Pour faire simple, pour prendre en compte la durée de l’intensité de l’inconfort, il faut identifier les heures durant lesquelles la température maximale de bien-être est dépassée. Pour effectuer ensuite la somme, heure par heure, des écarts de degrés entre la température mesurée dans le bâtiment et celle maximale dite de “confort”. Une fois le résultat obtenu, il est essentiel de savoir quelles solutions à mettre en œuvre. Pour déterminer cela, le Filmm a mandaté le bureau d’études “Bastide et Bondoux”, afin de réaliser une étude de sensibilité sur le confort d’été en lien avec la RE 2020. Lire aussi : Filmm : La RE 2020 plus aboutie que la RT 2012 ? Cette étude porte sur deux maisons, l’une de plain-pied et l’autre avec des combles aménagés. Chacune possède une structure maçonnée, puis une structure en ossature bois. Le bureau d’études a pris en compte les méthodes de calcul des DH. Ainsi, la brochure fait la synthèse, donne des réponses sur le rôle des isolants et rappelle les leviers les plus efficaces pour un confort d’été optimal. La brochure synthétise des informations essentielles à connaître pour s’orienter vers les bons choix techniques lors de la construction. L’étude est en accès libre sur le site du syndicat ici   
Il y a 2 ans et 346 jours

Revcoo : Quand innovation technologique rime avec transition écologique

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Revcoo a installé son innovation sur un four à chaux de la carrière de Bocahut dans le Nord. [©Eiffage Route] En Europe, le secteur industriel représente 46 % des émissions de dioxyde de carbone. Dans un contexte où industrie devrait rimer avec écologie, les actions doivent être vite mises en place. Ainsi, Revcoo, une jeune start-up lyonnaise, œuvre pour la transition écologique. Elle a élaboré une nouvelle technologie capable de capturer le CO2 des usines. Cela, dans le but de limiter le réchauffement climatique de + 1,5 °C d’ici 2050. Ce procédé consiste à capter le carbone directement en sortie des cheminées d’usine par cryogénie. La technique se déroule ainsi en 3 étapes. Tout d’abord, le gaz à traiter est comprimé avant d’être déshumidifié. Il est ensuite filtré pour isoler le dioxyde de carbone, afin qu’il soit pur. Enfin, ce gaz conditionné est placé dans le désublimateur dans lequel le CO2 se transforme en neige carbonique. Lire aussi : Carbon8 Systems, de déchets à matériaux Des usines éco-responsables Des premières installations sont prévues prochainement sur un four à chaux de la carrière de Bocahut dans le Nord. Au démarrage, Revcoo devrait capter environ 2 t/j de CO2. Pour la fin d’année, il espère monter à 20 t/j. La technologie permettrait alors d’éviter l’émanation de 95 % des émissions dans l’atmosphère. De plus, la technique ne perturbe pas la production et ne force pas les professionnels à changer leurs procédés. La start-up propose donc un moyen pour les usines industrielles de devenir éco-responsables. A cela s’ajoute un gain d’argent significatif. En effet, l’innovation permettrait d’optimiser les coûts carbone parmi les plus bas du marché avec un CO2 capturé pour moins de 19 €/t. Soit environ 4 fois moins cher que sa valeur actuelle ; En parallèle, Revcoo valorise une partie du carbone cryogénisé pour ses recherches, pour l’élaboration de carburants verts ou encore pour la construction en béton. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 346 jours

Juridique : Céder un fonds de commerce – Partie II

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Après l’acquisition, l’acquéreur dispose de garanties de délivrance, d’éviction, contre les vices cachés, et d’une garantie contractuelle. [©ACPresse] Comme détaillé dans la partie I, parue dans Béton[s] le Magazine n° 100, la cession d’un fonds de commerce consiste à vendre l’ensemble des éléments d’une activité. Il s’agit d’une alternative à la cession de la société toute entière, permettant une fiscalité à optimiser et l’absence de transmission des dettes antérieures à l’acquéreur. Après avoir listé les éléments à céder, répondu aux obligations d’informations préalables et fait sa promesse de cession, trois étapes finales attendent encore le cédant. Etape 4 : Cession de fonds de commerce La loi n° 2019-744 du 19 juillet 2019 a supprimé les informations obligatoires de l’article L. 141-1 du Code de commerce. Mais il est néanmoins indispensable de préciser plusieurs points : – le prix de cession du fonds, avec ventilation du prix des différents éléments ; – la date, la nature et le prix de l’acquisition des éléments par le vendeur ; – l’état des privilèges et nantissements grevant le fonds sur les dix ans précédant la vente, ou l’absence d’inscription le cas échéant ; Lire aussi : Partie I – Céder un fonds de commerce – le chiffre d’affaires et le résultat d’exploitation des trois derniers exercices comptables. Ainsi que les chiffres d’affaires mensuels entre la clôture du dernier exercice et le mois précédant la vente1 ; – le bail commercial, sa date, sa durée, le nom et l’adresse du bailleur et son information de la cession ; – les noms et adresses de tous les cédants précédents le cas échéant. Rappelons enfin que par application de l’article 1112-1 du Code civil, toute partie à un contrat qui connaît une information, dont l’importance est déterminante pour le consentement de l’autre (outre la valeur de la prestation), doit l’en informer sous peine de nullité. Etape 5 : Les formalités postérieures à la signature Les formalités suivantes sont obligatoires : – enregistrement de l’acte de cession auprès de l’administration fiscale ; – publication de la cession du fonds dans le Journal d’annonces légales2 (Jal), avec mentions obligatoires, dans un délai de 15 j à compter de la vente ; – publication au Bodacc3 dans un délai de 3 j suivant l’insertion dans le Jal, afin que les créanciers du vendeur puissent faire opposition au paiement du prix de vente à l’acquéreur (délai de 60 j pour l’administration fiscale et de 10 j pour les autres créanciers) ; – mise sous séquestre du prix de cession, qui ne sera payé qu’après désintéressement des créanciers du vendeur ; – déclarations fiscales du vendeur (déclaration de la cession dans un délai de 45 j à compter de la publication dans le Jal, de ses bénéfices et plus-values imposables au jour de la cession dans un délai dépendant de son statut juridique, et de sa TVA dans un délai de 30 ou 60 j à partir de la publication dans le Jal en fonction de son régime de TVA4). – immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés par l’acquéreur (immatriculation secondaire ou modificative). Etape 6 : Les garanties de l’acquéreur après la cession Après l’acquisition, l’acquéreur dispose de garanties de délivrance, d’éviction, contre les vices cachés et d’une garantie contractuelle (au titre des mentions obligatoires). Il est néanmoins indispensable de stipuler une garantie d’actif-passif. Par cette garantie, le vendeur s’engage à prendre en charge les dettes non déclarées dans l’acte de cession et les diminutions de l’actif net, survenant après la cession, mais et dont l’origine est antérieure. Pierre LacoinAvocat à la CourCabinet 1792 Avocats [Lien vers site du cabinet d’avocats pour la version en ligne] 1Cette information est obligatoire par application de l’article L. 141-2 du Code de commerce.2Journal d’annonces légales3Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales4La cession du fonds est exonérée de TVA si la vente porte sur l’intégralité du fonds de commerce et si l’acquéreur est lui-même redevable de la TVA. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 346 jours

Avec Eva, Sika ouvre la route du bas carbone

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Avec sa démarche Eva, Sika cherche à accompagner les acteurs du BPE dans leur transition vers le bas et le très bas carbone. [©Sika] A partir de l’année 2021, Sika a commencé à déployer son offre Mix & Flow. Une approche d’adjuvantation s’articulant autour de trois briques, modulables à loisir. « On parle de trois adjuvants de base, à utiliser seuls ou en combinaisons et dans des proportions ajustables », rappelle Joachim Monge, chef de marché BPE chez Sika. Aujourd’hui, le chimiste suisse lance, en même temps, tous les autres étages de sa nouvelle fusée adjuvantaire. Son nom : Eva. Comme le petit robot féminin du film animé Wall-E ? Non ! Plutôt comme l’acronyme d’Environnement, Valeur et Accompagnement. « A travers Eva, nous cherchons à accompagner les acteurs du BPE dans leur transition vers le bas et très bas carbone », souligne Michèle Duval, directrice du pôle Béton de Sika. Performances et valeurs d’usage maintenues Ce n’est pas un luxe que de rappeler qu’avec l’entrée en application de la RE 2020, la donne change en matière d’approches constructives. Et même si nombre de professionnels estiment – à juste titre – que le béton a un rôle à tenir dans la construction du futur, il n’en reste pas moins pointé du doigt aujourd’hui. Son devenir est intimement lié à la baisse de son empreinte carbone. La démarche Eva est la contribution de Sika pour atteindre cet objectif crucial de décarbonation du secteur de la construction. Elle se décline en trois axes dont le premier doit, justement, permettre de formuler des bétons bas et très bas carbone, sur la base de nouveaux liants, en particulier. « Tout en maintenant les performances et les valeurs d’usage, y compris en conditions hivernales », insiste Joachim Monge. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 346 jours

Isère : La région Auvergne – Rhône-Alpes s’équipe en stations hydrogène

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine La future station hydrogène d’HYmplulsion se situe sur le site de Saint-Egrève de Vicat. [©Vicat] Créée en 2018, HYmpulsion est une entreprise spécialisée dans la mobilité hydrogène en Auvergne – Rhône-Alpes (AuRA). Ses actionnaires se composent de la région AuRA, Engie, Michelin, le Crédit Agricole et la Banque des Territoires. En avril dernier, Laurent Wauquiez, président de la Région, Thierry Raevel, président d’HYmpulsion, et Guy Sidos, Pdg de Vicat, se sont réunis à Saint-Egrève (38). Les trois acteurs annonçaient ainsi la création d’une nouvelle station hydrogène sur le site du bétonnier. « Nous sommes fiers de contribuer activement à l’émergence de la filière hydrogène. Et à l’indépendance énergétique, grâce à la production locale de nouveaux vecteurs décarbonés : les carburants de synthèse », explique Guy Sidos. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Auvergne-Rhône-Alpes Pour l’industriel, comme pour d’autres, cette énergie constitue un atout pour la décarbonation des transports et des process industriels. Au total, 5 stations d’hydrogène verront le jour courant 2022. Les usagers ayant fait le choix de cette mobilité pourront traverser la région sur un axe Est – Ouest et systématiquement disposer sur leur trajet d’une solution de recharge en hydrogène renouvelable. « Dans le contexte de crise énergétique actuelle, le développement de l’hydrogène est plus que jamais pertinent », conclut Pierre Fort, Dg du Crédit Agricole Sud Rhône Alpes. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 346 jours

La Réunion : Soltech organise sa journée de rencontres béton

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Les équipes de Soltech et Via Sols ont organisé leur journée de rencontres béton en mai dernier. [©Soltech] Comme chaque année, l’entreprise Soltech, avec la participation de Via Sols, a organisé sa journée de rencontres béton. Près de 80 professionnels du monde de la construction et de l’aménagement public ont participé à l’évènement. « Le but est de présenter les dernières innovations adaptées à La Réunion, explique Jean Ros, dirigeant de Soltech. Après le Covid, tout le monde avait envie de se retrouver et d’échanger. » Ce rendez-vous permet aussi à l’entreprise de comprendre les attentes et les interrogations des maîtres d’ouvrage, des urbanistes et des paysagistes, et d’adapter ses solutions. Retrouvez l’actualité des entreprises en région La Réunion Lors de cette dernière rencontre, Soltech et Via Sols ont abordé différents sujets. « Il y a d’abord une présentation produits, puis un temps de questions/réponses. » Perméabilité des sols, zones vertes, béton coloré ou encore mortier hydraulique pour une application sur enrobé, sont autant de sujets abordés. L’année prochaine, toujours au mois de mai, après le Salon de la Maison qui se tient à La Réunion, la rencontre béton s’orientera sur la chape. « Nous explorerons la chape fluide pour la maison avec un revêtement terrazzo, mais aussi les DTU d’application… » Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine