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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Acpresse Béton

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Il y a 3 ans et 81 jours

Savoie : Soframat, nouveau représentant de Sipe

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Soframat assure la représentation de Sipe sur trois régions… pour le moment. [©Sipe] La société Soframat, loueur depuis 1979, a été reprise, il y a un an, par le groupe Tam. « Nous louons les centrales à béton de la marque italienne Sipe depuis plus de 20 ans sur la Savoie et la Haute-Savoie, explique Adrien Fernandez, gérant. Nous sommes désormais les représentants exclusifs pour l’Auvergne – Rhône-Alpes, la Bourgogne – Franche-Comté et le Grand Est. » Le choix a été fait par Soframat de se limiter, pour le moment, à trois régions, afin de rester à porter rapide d’intervention, si besoin. « Nous allons devenir le représentant de Sipe pour l’ensemble du territoire français dans les douze mois qui viennent. Mais nous avons décidé de temporiser pour installer notre structure, valider nos process et prendre le temps de trouver des partenaires. Nous cherchons aujourd’hui des représentants locaux, pour développer notre réseau. Dans l’idéal, un autre loueur de grues comme nous, les passerelles étant très nombreuses avec les centrales à béton… » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Auvergne-Rhône-Alpes Sipe réalise la conception et la fabrication des centrales, Soframat gère la distribution, l’installation, le SAV et l’éventuel démontage des unités. « Le modèle qui est le plus sollicité reste la centrale à béton Torre 1700 Fast, qui possède un pré-chargement des granulats, et ne demande qu’une implantation au sol de 4 m x 4 m, hors rayon raclant. Elle offre une capacité de production de 35 m3/h. Et surtout, un malaxeur planétaire qui permet de garantir la qualité du béton.  Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 81 jours

Show-room : Cemex hisse son Pavillon

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Le Pavillon by Cemex n’est pas une matériauthèque, mais un véritable lieu d’échanges. [©Philippe Castano] Au 26 quai d’Issy-les-Moulineaux, dans le XVe arrondissement de Paris, en bord de Seine, s’élèvent plusieurs unités de production de bétons, dont celle de Cemex France. La plus importante de France. Avec son ballet incessant de camions-toupies, d’hommes munis d’EPI, de silos qui pointent vers le ciel, de marquages au sol, de barges qui acheminent leur chargement, de zones sécurisées… Et, dans les bureaux administratifs, Le Pavillon by Cemex, un tout nouvel espace dédié au matériau béton et à ses solutions constructives. Qu’est-ce qui se cache derrière cette appellation ? « Dans cet espace de découverte, d’échange et de créativité autour de la construction, installé au cœur de notre dispositif industriel et logistique francilien, nous proposons un parcours initiatique sur nos solutions et notre expertise », explique Dominique Sestillange, responsable produits spéciaux et réseaux partenaires de Cemex France. Un cadre propice à la discussion Le Pavillon by Cemex est un lieu moderne et convivial, situé à proximité immédiate de la Seine, axe stratégique et emblématique des activités franciliennes du groupe et de son origine en France. Son nom fait référence à un lieu d’accueil, au monde du bâtiment et à celui de la navigation. « Le Pavillon by Cemex a pour vocation d’accueillir décideurs, prescripteurs, maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre, afin de les soutenir dans leurs projets de construction et de rénovation. Mais aussi, les écoles qui veulent se documenter », indique Michel André, directeur général Cemex Matériaux Europe de l’Ouest. Et de préciser : « Nous avons créé un cadre propice à la discussion, à la réflexion et à la créativité. Les équipes prescription et promotion y conseilleront les acteurs de la construction et de l’aménagement du territoire sur les solutions les plus adaptées à leurs ambitions ». « Dans cet espace de découverte, d’échange et de créativité autour de la construction, installé au cœur de notre dispositif industriel et logistique francilien, nous proposons un parcours initiatique sur nos solutions et notre expertise », explique Dominique Sestillange, responsable produits spéciaux et réseaux partenaires de Cemex France. [©Philippe Castano]Le Pavillon by Cemex n’est pas une matériauthèque, mais un véritable lieu d’échanges. [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Le Pavillon by Cemex est un show-room divisé en trois zones. Tout d’abord, l’espace “réflexion”. [©Philippe CastanoUn autre secteur reprend les chantiers marquants de la marque. [©Philippe Castano] Plusieurs espaces Le Pavillon by Cemex est un show-room divisé en trois zones. Tout d’abord, l’espace “réflexion”. « C’est ici que l’on identifie les besoins des acteurs du bâtiment. A l’aide d’un tableau digital, d’un tableau noir et d’un écran-vidéos qui abordent toutes les problématiques que l’on veut soulever. Nous les aidons de la conception à la réalisation d’un projet. Une fois les besoins identifiés, on passe dans un autre espace, celui-ci dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… Le tout, avec des échantillons de matériaux et des QR-codes qui permettent d’accéder à des documents, à des fiches de produits et à des vidéos. Tous ces éléments sont transmis aux participants à la fin de la visite. Enfin, la dernière partie du show-room est plus conviviale et permet un débriefing. Les visiteurs font le point sur ce que l’on leur a proposé », explique Dominique Sestillange. Et de poursuivre : « Ce pavillon n’est pas une matériauthèque, mais un véritable lieu d’échanges, qui apporte une vraie réflexion sur les matériaux et les services, et répond à un besoin précis ». Le Pavillon by Cemex a aussi vocation à évoluer. Au fur et à mesure de l’avancée de l’année, vont y être proposés des événements ponctuels autour de l’économie circulaire, de la RE 2020 ou encore du bas carbone. Et Dominique Sestillange, de conclure : « Nous avons de plus créé Le Pavillon Virtual Tour, permettant aux porteurs de projets de s’immerger à distance à 360° dans Le Pavillon by Cemex ». Pour prendre rendez-vous pour une visite en présentiel et pour accéder à une visite virtuelle Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 81 jours

Vendée : Deux maisons en béton bas carbone Edycem

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Le Vitaliss Score A d’Edycem a été coulé dans les Vertical Bloc de la marque. [©Edycem] Le Clos des Cerisiers est situé dans un quartier calme de Challans, à quelques minutes de la côte Atlantique. Sur des parcelles de 391 m2, deux maisons de plain-pied de 80 m2 sont en cours de construction et seront livrées à l’été 2022. Pour ce faire, le promoteur Novabita a fait le choix d’un béton de la nouvelle gamme bas carbone Vitaliss d’Edycem BPE. Avec son VitaScore A, ce béton offre une réduction de plus de 40 % de CO2 comparé à un béton standard. « J’ai toujours été très sensible et attentif au développement de produits novateurs, fait remarquer Philippe Fouquet, directeur du département logement et travaux construction chez Novabita. Nous avons à cœur d’être moteurs d’une démarche durable active. Cela est fondamental pour la planète, les futures générations, mais  aussi pour la pérennité de nos métiers et du mode constructif. De manière naturelle, nous avons fait le choix du nouveau béton bas carbone Vitaliss d’Edycem BPE pour ces deux maisons. Une innovation qui va dans le sens de notre volonté de réduire l’impact carbone de nos ouvrages. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Pays-de-la-Loire Au total, ce sont 34 m3 de béton bas carbone Vitaliss Score A (- 41 % de CO2) qui ont été coulés en dallage, ainsi que dans les blocs béton Vertical Bloc de la marque. « Gaudin Maçonnerie collabore depuis toujours avec Edycem, explique Corentin Chaillou, co-gérant de l’entreprise. J’ai donc vu passer plusieurs générations de bétons. Et je peux dire que la gamme Vitaliss est non seulement un produit d’avenir, notamment pour la RE 2020, mais aussi une solution qui ne modifie pas le process de mise en œuvre pour les entreprises. » Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 81 jours

Gard : Premier automate de production Wayzz chez Béton du Gard

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine La centrale de Salindres de Béton du Gard a été équipée de l’automate de production du béton signé Wayzz. [©Wayzz] Un an et demi de préparation… Et le voici qui prend vie. Wayzz a installé sur la centrale Béton du Gard de Salindres, son premier automate de production du béton. « Nous proposions une solution pour la dématérialisation et la gestion de la logistique du béton, explique Jérôme Braga, Pdg de l’entreprise. Ce qui permettait à nos clients de bénéficier du suivi dynamique du statut des toupies, de la gestion du temps d’attente et de la digitalisation des bons de livraison. En incluant désormais dans notre offre l’option de gestion de la centrale, nous permettons la prise de commandes, la production automatisée et la pré-facturation. » Les possibilités d’accompagnement de Wayzz touchent ainsi un spectre allant de la commande du BPE à sa livraison sur chantier. « En plus, gérer les données de production nous permet de dynamiser et d’optimiser notre solution. » Wayzz s’appuie sur un partenariat exclusif pour la France avec l’Autrichien Dörner pour fournir cette solution. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Occitanie Béton du Gard est donc la première entreprise de BPE à bénéficier de cette nouvelle solution. Sur la centrale de Salindres, une semaine d’arrêt a été nécessaire pour réaliser la transition. Ceci, début mars. « Nous avons pris notre temps pour réussir cette première. En changeant notamment tous les capteurs. Mais dans un process normal, nous avons prévu de réaliser les transitions en 1 à 3 j. » Si ce sont les équipes de Wayzz qui ont œuvré à l’ensemble des tâches sur cette opération, Wayzz cherche des partenaires locaux pour le câblage de ses prochaines installations. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 81 jours

Maine-et-Loire : Tracer sa route bas carbone

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Application du Ligexia de Ciments Calcia près de Monts-sur-Guesnes. [©Ciments Calcia] Courant mai 2021, Ciments Calcia lançait deux liants hydrauliques routiers bas carbone – les Ligexia M4 et M4+ -, pour le traitement des chaussées en place. De son côté, Travaux Publics des Pays de la Loire (TPPL) entend, dès 2022, « sortir des liants routiers traditionnels » pour favoriser les solutions décarbonés. Tout naturellement, Ciments Calcia et TPPL se sont unis pour développer de manière optimale l’usage des liants Ligexia sur les chantiers. « Au sein de notre agence de Saumur, nous avons réalisé un bilan carbone de nos activités et celui des liants routiers se place dans le top 5, indique Thomas Maudet, directeur chez TPPL. Mais nous avons, d’une part, demandé à nos fournisseurs d’optimiser le bilan carbone de leurs produits dédiés aux opérations de voirie et terrassement. Et, d’autre part, sensibilisé nos clients à cette démarche de substituer les liants routiers classiques par des solutions alternatives. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Pays-de-la-Loire D’où le rapprochement avec Ciments Calcia. « A partir du moment où Ciments Calcia a mis sur le marché ses deux liants Ligexia M4 et Ligexia M4+ – qui affichent respectivement une réduction de 20 à 30 % et de 10 à 20 % des émissions de CO2, par rapport au produit référant Ligex -, nous les avons préconisés sur nos chantiers. Deux réalisations intègrent déjà ces références, l’une à Monts-sur-Guesnes, dans la Vienne, l’autre à Saumur, dans le Maine-et-Loire. » Au total, ces deux chantiers ont requis l’utilisation d’environ 1 000 t de liants Ligexia. En effet, en septembre 2021, ce ne sont pas moins de 5 000 m2 de couches de forme traitées au Ligexia, qui ont été mises en œuvre sur le chantier de liaison des départementales RD 46, RD 24 et RD 14 et de la déviation de Monts-sur-Guesnes. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 81 jours

Loire-Atlantique : Valobat accueille Cigo

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Une des carrières du réseau Cigo… [©Cigo] L’éco-organisme Valobat poursuit son renforcement et accueille un nouveau partenaire, le syndicat des Carrières indépendantes du Grand Ouest (Cigo). Ce dernier représente près d’une cinquantaine d’adhérents, soit un tiers de la production de granulats du Grand Ouest. Ainsi, il intègrera le capital de Valobat, le 23 février prochain et rejoindra le Comité de secteur “inertes”. En effet, les matériaux inertes, soumis à la Responsabilité élargie des producteurs (Rep), représentent aujourd’hui le plus important flux de déchets : environ 33,5 Mt/an. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Pays-de-la-Loire Pour l’éco-organisme, ce rapprochement permettra de mieux soutenir cette filière mature. Mais aussi, d’apporter des solutions innovantes pour monter en compétence, en termes de valorisation. Et pour développer de nouvelles opportunités de réemploi. « Nous avons fait le choix d’intégrer Valobat pour sa volonté et sa force à réunir et à traiter toutes les catégories de matériaux, dont les inertes », déclare Dominique Barbier, déléguée générale de Cigo. Créé il y a 20 ans, Cigo se développe dans plusieurs autres régions. « Notre syndicat a un rôle essentiel à jouer pour faciliter la mise en application de la Rep aux professionnels de notre filière déjà tournés vers le traitement et le recyclage des granulats », conclut Dominique Barbier. Le syndicat accompagne ainsi les entreprises de l’industrie extractive pour gérer au mieux l’exploitation des ressources naturelles et leur recyclage. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 81 jours

Maine-et-Loire : Néolithe crée son site industriel

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Néolithe transforme les déchets en granulats normés. [©Néolithe] Néolithe, qui a développé un procédé de fossilisation des déchets non recyclables, va créer son site industriel, à Beaulieu-sur-Layon, sur un premier terrain de 11 ha. Accompagnée par Alter Eco, l’entreprise va voir sortir de terre un atelier d’assemblage de 4 800 m2, à partir de septembre 2022. Suivront 1 700 m2 de laboratoire et 3 000 m2 de siège social. L’ensemble sera livré en juillet 2023. Sur un second terrain adjacent de 1 ha, une unité de production de liants de 1 000 m2 verra le jour. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Pays-de-la-Loire Le procédé de Néolithe consiste à transformer les déchets non recyclables, non inertes et non dangereux, en granulats minéraux normés pour la construction. Outre la fabrication d’un liant bas carbone, élément indispensable permettant la transformation des déchets en minéral, l’entreprise conçoit et fabrique des fossilisateurs. Des unités de traitement des déchets, destinées aux opérateurs de traitement des déchets, aux industriels et aux collectivités territoriales. La vente de quatre fossilisateurs est déjà prévue, dès cette année.« Début 2022, nous avons passé le cap des 40 salariés et avons déjà de nouvelles perspectives de recrutement pour les mois à venir, explique Clément Bénassy, Dg de Néolithe. Nous espérons recruter 60 nouveaux collaborateurs cette année. Et dès 2023, nous allons avoir besoin d’améliorer nos capacités de production pour répondre à l’objectif que nous nous sommes fixés de produire quatre fossilisateurs par mois en 2024… » Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 81 jours

Loiret : Un duo pour l’économie circulaire

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Le projet de La Fontaine, à Saran. [©Agyre] Agyre est un hub d’accélération national sur l’ensemble de piliers de l’économie circulaire dans la construction. Valor Promotion est un spécialiste de la vente en bloc d’immeubles entiers à bailleurs sociaux et investisseurs. Ces deux entités se sont rapprochées pour inscrire la démarche d’économie circulaire plus en amont dans les projets de construction de logements. La première opération commune se nomme La Fontaine et a démarré à Saran, dans la banlieue Nord d’Orléans, en début d’année 2022. Dans l’idée d’en faire un démonstrateur transposable à d’autres initiatives, dans d’autres communes, après exploitation des retours d’expérience. Pour cela, le duo vise la certification Prestaterre mention Label BEE+ (Bâtiment Energie Environnement+). Avec l’option “Economie de charges et démarche de chantier propre”. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Centre-Val de Loire Pour pallier diverses contraintes du site, en particulier en termes de logistique, de délais, de budget et de pollution, Agyre réalise un accompagnement méthodologique du chantier, depuis son démarrage en janvier dernier, avec le désamiantage et la déconstruction des pavillons résidentiels du site datant des années 1970… Au quotidien, une attention particulière sera apportée à la logistique, au stockage, au tri et à la traçabilité des ressources du site, dans l’objectif de réduire la production des déchets. Mais aussi d’optimiser la consommation des ressources et d’éviter les externalités carbone. Enfin, Agyre assurera la sensibilisation et la formation des différents acteurs du projet pour favoriser leur montée en compétences sur les questions d’économie circulaire. Et veillera au respect du planning des travaux et du budget pour une meilleure viabilité économique de l’offre. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 81 jours

Calvados : L’Esitc de Caen annonce la réalisation d’un chantier éco-responsable

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Elément de bordure en béton bas carbone prêt à être posé. [©Esitc Caen/JCoiffey] L’Esitc de Caen annonce la réalisation d’un chantier pilote éco-responsable. Mené par Cléo Guis, Thomas Latini et Aude Bourgeois, élèves en 5e année, le projet vise à développer des bordures de trottoirs réfléchissantes conçues à partir d’un béton bas carbone incorporant des débris de verre recyclés. Réalisé du 7 au 18 février dernier sur un chantier avenue André Morice à Caen, le test avait pour objectif de valider en conditions réelles la pertinence de cette solution. C’est d’ailleurs Eurovia, filiale de Vinci, qui a réalisé ces travaux. Tandis que François Moreno, ingénieur diplômé en 2000 à l’ESTIC de Caen, pilotait le chantier. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Normandie Ainsi, le projet s’inscrit dans des thématiques importantes dans les recherches de l’Esitc : le développement durable et la sécurité routière. En effet, le ciment CEM III, retenu pour le chantier, est composé majoritairement de matières premières issues de l’économie circulaire. Il se complète alors avec les résidus de verre, eux-aussi utilisés de manière éco-responsable. La production des bordures est d’ailleurs confiée en partie à TEP Construction, une micro-entreprise gérée par des élèves de l’école. Pour les réaliser, les trois étudiants ont pu accéder aux ressources de l’école. Dans un premier temps en utilisant le laboratoire mis à disposition pour les recherches. Puis, dans un second temps, avec les partenariats de l’Esitc de Caen avec des acteurs institutionnels régionaux et industriels pour concrétiser le projet. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 81 jours

Ain : Lafarge Granulats acquiert les carrières du groupe Famy

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Six carrières du groupe Famy viennent d’intégrer Lafarge France. [©Groupe Famy] Lafarge Granulats a annoncé l’acquisition de 6 carrières de granulats du groupe indépendant Famy. Fondé dans l’Ain en 1860, ce dernier dispose de réserves importantes de matières premières dans la région Auvergne-Rhône-Alpes. Ainsi, cette opération coïncide avec celle réalisée en mars 2021. En effet, Lafarge France avait fait l’acquisition de 24 centrales de BPE et d’une carrière dans la même zone géographique. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Auvergne-Rhône-Alpes De ce fait, le groupe Lafarge renforce sa présence en Auvergne – Rhône-Alpes, cette région limitrophe de la Suisse, où la demande en matériaux est très forte. « Cette opération avec un acteur historique de l’Ain nous permet de développer notre capacité à accompagner nos clients dans ce secteur très dynamique. Elle conforte notre stratégie de renforcement de l’activité au sein de Lafarge France. Et à accompagner le secteur de la construction pour faire face aux pénuries d’approvisionnement et d’accès aux ressources minérales », déclare Pablo Libreros, directeur de Lafarge Granulats. Et François Petry, Dg de Lafarge France, de conclure : « Nous allons ainsi pouvoir étendre la disponibilité de nos solutions bas carbone et d’économie circulaire auprès de nos partenaires régionaux ». Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 81 jours

Centre–Val de Loire : Impacts sur la hausse des prix des matériaux

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine La plupart des matériaux de construction sont touchés par des hausses de prix. [©ACPresse] Le Cerc a publié une étude sur l’évolution des prix des matériaux pour le Centre–Val de Loire, sur la période du 3e trimestre 2021. Une consultation locale qui permet d’avoir des données extrapolables au niveau national… Ainsi, l’évolution des prix concernant les matériaux et les matières premières a eu un impact significatif sur les entreprises du bâtiment dans cette région. En effet, près de 2 entreprises sur 3 qui ont répondu à cette consultation, déclarent avoir connu ce trimestre une hausse des matériaux utilisés supérieure à 10 %. Sur les derniers 3 mois, on observe une hausse moyenne de + 23 % (tous matériaux confondus) au niveau régional. Selon les entreprises interrogées, le Cher et l’Indre seraient les départements où cette hausse a été la plus forte, avec respectivement une progression de + 35 % et + 27 % , enregistrée en moyenne au cours du 3e trimestre. Et pas moins de 18 % des entreprises se trouveraient en difficulté de trésorerie. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Centre-Val de Loire Même si elle touche de manière globale l’ensemble des activités du bâtiment, cette augmentation du coût des matériaux impacte en particulier les secteurs de la charpente (+ 78 % des prix en moyenne), de la plâtrerie (+ 52 %) et de la métallerie (+ 51 %). Dans le détail des matériaux, la flambée des prix concerne, en premier lieu, le bois avec + 48 % enregistré sur le 3e trimestre 2021. On trouve ensuite les métaux avec + 34 % pour l’acier (dont celui pour armatures), + 33 % pour le cuivre et + 24 % pour l’aluminium, un peu plus loin derrière, la plaque de plâtre (+ 29 %). Les matériaux comme le béton et le ciment semblent moins impactés, pour le moment… Pour l’ensemble de ces entreprises, la crainte est le retard que pourraient accumuler certains chantiers, face aux difficultés d’approvisionnement. D’autant que 54 % d’entre elles déclarent en plus avoir des difficultés de recrutement. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 81 jours

Seine-Maritime : Deuxième centrale pour RévoBéton

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine RévoBéton a ouvert une deuxième centrale à BPE à Saint-Etienne-du-Rouvray. [©Lhotellier] Un an après le lancement de sa première centrale à béton, à Alizay, dans l’Eure, RévoBéton poursuit son essor dans le bassin rouennais, en choisissant d’installer son deuxième unité de production à Saint-Etienne-du-Rouvray. En 2021, la centrale d’Alizay a produit 13 500 m3 de bétonn qui ont généré un chiffre d’affaires de 1,5 M€. En parallèle, la filiale du groupe Lhotellier, créée en 2020 [Lire article p. 20], a investi 100 000€ dans un laboratoire, qui permet aujourd’hui de bénéficier d’un panel de 160 formules différentes. Avec ces infrastructures, RévoBéton peut répondre à tous types d’ouvrages : travaux routiers, béton décoratifs, chapes fluides… Retrouvez l’actualité des entreprises en région Normandie « Pour cette seconde centrale, le choix de la localisation a été mûrement réfléchi, indique Guillaume David, directeur de RévoBeton. Nous avons de réels besoins sur la métropole rouennaise. Afin de poursuivre notre engagement de respect de l’environnement, il est évident pour nous d’installer nos centrales au plus proche de la demande et de poursuivre le recyclage des matériaux provenant des chantiers et des plates-formes de recyclage des filiales du groupe Lhotellier. » RévoBéton bénéficie ainsi de la synergie des autres métiers du groupe. L’entreprise intègre dans ses formulations des granulats valorisés issus de RDE, une autre filiale de Lhotellier, spécialisée dans le recyclage des matériaux de la déconstruction de chantiers, située à Oissel, toujours en Seine-Maritime. RévoBéton réutilise aussi des matériaux alternatifs provenant de Lhotellier Dépollution, encore une autre filiale qui traite des terres polluées grâce à une station de lavage spécialisée. En 2021, ce sont quelque 432 t de CO2 que RévoBéton a économisé grâce à l’utilisation de ces liants recomposés, sur la centrale d’Alizay. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 81 jours

Béton[s] le Magazine n° 99 explore le bas carbone

Chassez ce carbone que je ne saurais plus voir… Tel est un peu le leitmotiv de l’ensemble du secteur du bâtiment et, plus largement, de celui des travaux publics. Matériau ultra présent dans la construction, le béton surfe à fond sur cette vague, semblant quelque peu y jouer son avenir. D’autant que les solutions alternatives se développent à mesure que la réglementation se durcit. Paraissant dans notre numéro 99, la partie #1 du dossier “Béton et éco-construction” explore plusieurs facettes de cette tendance lourde, a priori irréversible, développée sur plus de 12 pages rédactionnelles. Ainsi, les travaux autour du captage du CO2 ouvrent le bal. Suivis par le recyclage et la valorisation des déchets et autres bétons de déconstruction. La préfabrication dévoile aussi son approche du sujet. Enfin, les “autres” bétons et les liants alternatifs ferment le ban. Ceci, en attendant que les cimentiers et bétonniers “traditionnels” prennent la parole et expliquent leurs démarches. Une suite à découvrir dans la partie #2, détaillée dans Béton[s] le Magazine n° 100. En dehors cette l’actualité “carbonique”, le béton n’en délaisse pas moins ses champs de compétences classiques : les chantiers. A l’image de la construction de sept ponts sur les routes de la Côte d’Ivoire, à explorer p. 42. Compléments indispensables pour formuler les bétons d’aujourd’hui et de demain, les adjuvants ne cessent de se réinventer et en dévoilent certains aspects dans l’article qui leur est consacré (p. 52). Côté matériels, ce sont les pompes à béton qui sont mises à l’honneur (p. 56), dont l’actualité est, elle aussi, assez riche… Enfin, pour achever sa lecture sur une touche de nostalgie, quoi de mieux que Le Corbusier et son projet – non réalisé – de Ferme radieuse. La réponse de l’architecte à la condition paysanne des années 1930.   Frédéric Gluzicki Directeur de la publication
Il y a 3 ans et 81 jours

Vendée : La matrice prend son envol

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Building Partner Coffrages produit désormais des matrices sur mesure. [©Building Partner Coffrages] Derrière Building Partner Coffrages se cachent plusieurs spécialistes du coffrage. Des entités telles qu’Arles Coffrages, Coffrages Gaillard ou SFMB Coffrages. De quoi couvrir l’ensemble du territoire, tout en assurant une proximité régionale. Aujourd’hui, ce groupe s’enrichit d’une activité inédite : la création, la fabrication et la pose de matrices. « Nous concevons et fabriquons des moules en silicone et des matrices polyuréthane, explique Corentin Boissinot, responsable développement commercial. Les clients nous communiquent les contraintes liées au calepinage. A nous d’y adapter notre produit. De même, sur une banche qui a des rehausses et des sous-hausses, notre solution ne compte aucun joint horizontal. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Pays-de-la-Loire Ainsi, l’originalité de Building Partner Coffrages est de créer des matrices à la demande du client. « Nous pouvons partir d’un simple dessin ou d’une forme. Ainsi, pour le collège de Luçon, en Vendée, nous avons récupéré des pierres sur chantier que nous avons posées en fond de moule et que nous avons retaillées pour créer nos négatifs. » Enfin et surtout, la marque assure la pose de ses propres matrices. « Nous nous déplaçons sur site pour préparer les banches et y appliquer nos matrices, dans le respect du cahier des charges fourni par l’entreprise, reprend Corentin Boissinot. Ce service permet un gain de temps pour les clients, avec l’assurance d’une excellente qualité de mise en œuvre. » Comme pour le coffrage, la solution de matriçage est, dès aujourd’hui, disponible sur l’ensemble du territoire national. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 82 jours

La chaussure poids plume signée Würth Modyf

La Carbon 290, la chaussure de sécurité la plus légère au monde, par Wurth Modyf. [©Wurth Modyf] Würth Modyf dévoile Carbon 290, sa nouvelle chaussure de sécurité. Un modèle innovant, puisqu’il affiche un poids inférieur à 350 g. Ainsi, la Carbon 290 est aujourd’hui la chaussure de sécurité la plus légère au monde. A l’heure actuelle, les chaussures équivalentes présente sur le marché pèsent environ 400 g. Pour Würth Modyf, il était important d’améliorer le confort des usagers, sans perdre de vue son rôle d’EPI. En effet, cette chaussure a été conçue avec une coque de protection en fibre de carbone et une semelle à la fois anti-perforation et anti-dérapante. Ce modèle a été réalisé avec un textile respirant qui permet d’évacuer l’humidité vers l’extérieur de la chaussure. En plus des qualités techniques, l’équipe de conception n’a pas oublié le design de la chaussure, qui reprend les codes de la basket moderne. Ains, le compagnon peut porter cette chaussure tout au long de la journée. Disponible pour les hommes et les femmes, Würth Modyf vient révolutionner le monde de la chaussure de sécurité, pour un prix de moins de 100€ TTC. Attendons les réactions des différents utilisateurs…
Il y a 3 ans et 82 jours

Würth lance le support Os’App pour plate-forme de travail amovible

L’Os’App est la dernière innovation matériels signée Würth. [©Würth] Dernière innovation chez Würth : l’Os’App. Ce dispositif breveté permet de créer un point d’appui démontable pour la pose de plates-formes de travail, de podiums, de caissons et de platelages. Ceci, lors de la construction de cages d’escaliers, d’ascenseurs ou de gaines techniques. Il a été conçu pour des voiles en béton armé de 15 cm d’épaisseur au minimum. La résistance requise doit être d’au moins 13 MPa à 28 j, pour un béton de classe C25/30. Léger avec ses 3,7 kg, l’Os’App est rapide à mettre en œuvre, sans outil supplémentaire. Il permet de faire une installation sans perçage, ce qui diminue les TMS, en utilisant les trous de passage des entretoises des coffrages. Mais les perçages sont aussi possibles, avec un diamètre de 40 mm. Ici, pas de tiges ou de chevilles à recéper, il suffit juste de reboucher les trous après extraction des Os’App. Enfin, côté pratique, chaque élément Os’App est livré avec une douille de centrage. Cette dernière s’adapte à la plupart des empreintes laissées par les cônes du coffrage.
Il y a 3 ans et 82 jours

Holcim quitte la Russie

Holcim vient de lancer un processus de sortie du marché russe. [©Holcim] Après avoir annoncé, le 11 mars dernier, suspendre ses investissements en Russie, le groupe Holcim informe, ce 29 mars, s’engager dans un processus de sortie du marché russe. Cette décision constitue la réponse à l’invasion de l’Ukraine par le pouvoir russe. Mais aussi, elle est conforme aux valeurs défendues par le groupe cimentier d’opérer de la manière la plus responsable. Ceci, quel que soient les marchés sur lesquels il est présent.  Le Conseil d’administration du groupe exprime sa profonde préoccupation face aux souffrances humaines tragiques qui se déroulent dans la région. Et s’engage à soutenir les personnes, les familles et les communautés touchées. Il remercie tous les collègues d’Holcim qui se mobilisent dans le monde entier aux côtés des ONG locales pour fournir un abri, des biens essentiels et des fournitures médicales. Pour Holcim, la Russie est loin d’être un marché stratégique. Ces activités locales génèrent un très faible pourcentage de ses ventes globales. Côté ukrainien, le groupe déclare ne pas y posséder d’activités… 
Il y a 3 ans et 82 jours

BHS-Sonthofen : Une centrale à béton, 1 000 m sous terre

BHS-Sonthofen a installé une centrale à béton au fond de la mine de Schachtbau Nordhausen, en Allemagne. [©BHS-Sonthofen] Que faire lorsqu’il n’existe pas de données empiriques pour des conditions de production spécifiques ? Que faire encore lorsque le chantier n’est pas simple d’accès pour un malaxeur ? Tels étaient les postulats de départ pour BHS-Sonthofen dans le cadre du projet du groupe ETS Schachtanlage Konrad, à Salzgitter-Bleckenstedt, en Allemagne. Celui-ci prévoyait la conception d’un malaxeur discontinu à doubles arbres horizontaux et la livraison d’une centrale à béton spéciale… Cette dernière devait permettre d’obtenir un produit final optimal. A savoir, un béton projeté par voie mouillée, d’une granulométrie 0/4 mm, obtenu à partir d’un prémix sec. Le tout, au fond d’une mine, à 1 000 m sous terre ! « Lorsque nous ne disposons pas d’exemples concrets pour certaines exigences, nous commençons par utiliser notre malaxeur de laboratoire de type DKX 0,06 S », explique Eckhard Rössner, responsable du service extérieur “Machines pour matériaux de construction” de BHS-Sonthofen. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? var gform;gform||(document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",function(){gform.scriptsLoaded=!0}),window.addEventListener("DOMContentLoaded",function(){gform.domLoaded=!0}),gform={domLoaded:!1,scriptsLoaded:!1,initializeOnLoaded:function(o){gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?o():!gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?window.addEventListener("DOMContentLoaded",o):document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",o)},hooks:{action:{},filter:{}},addAction:function(o,n,r,t){gform.addHook("action",o,n,r,t)},addFilter:function(o,n,r,t){gform.addHook("filter",o,n,r,t)},doAction:function(o){gform.doHook("action",o,arguments)},applyFilters:function(o){return gform.doHook("filter",o,arguments)},removeAction:function(o,n){gform.removeHook("action",o,n)},removeFilter:function(o,n,r){gform.removeHook("filter",o,n,r)},addHook:function(o,n,r,t,i){null==gform.hooks[o][n]&&(gform.hooks[o][n]=[]);var e=gform.hooks[o][n];null==i&&(i=n+"_"+e.length),gform.hooks[o][n].push({tag:i,callable:r,priority:t=null==t?10:t})},doHook:function(n,o,r){var t;if(r=Array.prototype.slice.call(r,1),null!=gform.hooks[n][o]&&((o=gform.hooks[n][o]).sort(function(o,n){return o.priority-n.priority}),o.forEach(function(o){"function"!=typeof(t=o.callable)&&(t=window[t]),"action"==n?t.apply(null,r):r[0]=t.apply(null,r)})),"filter"==n)return r[0]},removeHook:function(o,n,t,i){var r;null!=gform.hooks[o][n]&&(r=(r=gform.hooks[o][n]).filter(function(o,n,r){return!!(null!=i&&i!=o.tag||null!=t&&t!=o.priority)}),gform.hooks[o][n]=r)}}); M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 3 ans et 83 jours

Béton Solutions Mobiles : Le BPE le plus imposant de France

La nouvelle unité de production de BPE de Béton Solutions Mobiles s’inscrit dans un bâtiment fermé de 8 500 m2. [©ACPresse] Avec un chiffre d’affaires de l’ordre de 150 M€ pour l’année 2021, la présence de quelque 185 collaborateurs et une production de béton supérieure à 1 Mm3/an, Béton Solutions Mobiles poursuit son développement d’une manière plus que soutenue. « A l’heure actuelle, nous disposons d’un réseau de 31 centrales à béton, dont 12 mobiles », indique Philippe Tibère-Inglesse, président de BSM. Et de dévoiler : « 7 permis de construire sont déposés ou en cours de dépôt pour l’installation d’autant d’unités fixes supplémentaires ». Une stratégie qui va permettre à la marque de devenir le 1er acteur régional du BPE, devant Edycem et ses 33 centrales, dès la fin du 2e trimestre 2022. A l’échelle nationale, BSM arrivera à la 7e place des fournisseurs, derrière Colas qui est à la tête d’environ 67 unités de production. Belle performance pour une entreprise créée il y a tout juste de 8 ans. Dans le détail, BSM a prévu l’ouverture de 3 nouvelles centrales en Normandie et de 2 dans l’Oise, dont une en cours de montage à Beauvais. A cela s’ajouteront 2 unités en Ile-de-France : une au Sud et une à l’Est, à Lognes, siège de l’entreprise. « Cette dernière centrale sera une mobile que nous allons sédentariser, explique Maureen Pontié, responsable travaux neufs de BSM. Elle sera dédiée à la production exclusive de chapes fluides. » En effet, c’est une activité nouvelle que l’industriel a choisi de développer d’une manière importante. « Aujourd’hui, nous travaillons avec trois fournisseurs, reprend Philippe Tibère-Inglesse. A savoir, Bostik et sa Technis-R, Chryso Cemexa et ses Cemfloor, et Sika, avec ses Levelchape et ses Viscochape. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 86 jours

Podcast #11 – Comment bien gérer les ponts thermiques ?

Sujet réalisé le 30 mars 2020 – Mis à jour le 25 mars 2022 1 – Qu’est-ce qu’un pont thermique ? Les ponts thermiques sont des zones ponctuelles ou linéaires, qui présentent une variation de résistance thermique. Ils sont créés lorsqu’il y a une différence de températures entre l’intérieur et l’extérieur d’un bâtiment. Un cas plus que courant. Le pont thermique se forme, lorsque la barrière isolante est rompue, en général à la jonction d’un voile de béton et d’une dalle. La conséquence est une mauvaise isolation vis-à-vis du froid, en hiver, et de la chaleur, en été. Le rupteur de pont thermique est l’élément principal pour lutter contre les problèmes d’humidité, en limitant la condensation.  ACPresse · Béton Pratique – Comment bien gérer les ponts thermiques ? De façon classique, la sensation de froid était traitée, en ajoutant des surépaisseurs d’isolant sur les parois coupables. Mais au milieu des années 2000, on a commencé à développer les rupteurs de ponts thermiques, qui traitent le problème en amont lors de l’édification du bâtiment. Avec la RT 2012, plus exigeante en termes de performances énergétiques, l’utilisation de rupteurs s’est imposée par l’introduction de normes et s’est, de ce fait, généralisée. L’Isotec RT+, modèle VI de Plaka, permet de traiter les ponts thermiques dans un cas classique de voile associé à un plancher. [©Plaka] 2 – Comment se structure un rupteur de ponts thermiques ? Un rupteur de ponts thermiques est un élément de liaison mécanique entre deux parties d’un bâtiment. Grâce à son principe isolant, souvent en laine de roche ou en polystyrène, il limite les ponts thermiques à travers la structure. C’est un élément structurel, puisqu’il est composé par des armatures de liaison, dimensionnées en fonction des éléments transmis par le bureau d’études. Chez certains fabricants, notamment Plaka, ces armatures sont à 100 % en acier inoxydable. A noter que le rupteur de ponts thermiques doit aussi être coupe-feu et doit répondre aux normes acoustiques en vigueur.  L’Isotec RT+ VIP, utilisé en cas de prédalles. [©Plaka] 3 – Mise en œuvre de ponts thermiques Elément qui peut être structurel, le rupteur de ponts thermiques débute sa liaison avec la construction d’un bâtiment au moment des études. Les rupteurs sont dimensionnés pour reprendre des charges différentes, en fonction des besoins du chantier. La première étape consiste à les étudier, notamment grâce aux plans DWG, et de préconiser des rupteurs “porteurs” ou “non porteurs”. Les industriels se chargent ensuite du calepinage, afin de choisir le bon modèle. Ni surdimensionné en armatures et encore moins sous-dimensionné !  Arrive après cela la phase d’exécution, qui débute par le coulage des voiles verticaux. Il conviendra de coffrer la rive de plancher. Il existe des solutions, permettant de couler la rive de plancher au moment du coulage du voile (voir les caissons de réservation Modula de Plaka). Cette opération permet ainsi d’éviter la fastidieuse étape du coffrage de rive. Les rupteurs pour balcon – ici l’Isotec RT+, modèle MVI – n’ont pas de boucles à l’arrière, mais des aciers (100 % Inox) des deux côtés, permettant de reprendre les efforts tranchants et fléchissants. [©Plaka] Enfin, c’est la pose à proprement parler du rupteur. Une étiquette présente sur le haut du produit permet de le placer dans le bon sens. Le rupteur est posé directement sur le coffrage. Des aciers filants sont incorporés dans la boucle arrière du rupteur, comme défini par le bureau d’études. Il faut ensuite réaliser l’armature du plancher, de façon classique. Lors de la phase suivante – à savoir le coulage -, il est conseillé de débuter par les abords du rupteur, afin d’en assurer le positionnement.  4 – Les particularités des prédalles et des balcons  Dans le cas d’une prédalle, la pose d’un rupteur ne varie pas beaucoup de la mise en œuvre classique. A ceci près, que la prédalle doit être située à 80 mm du voile béton vertical, afin d’y insérer le rupteur. Après la mise en place des armatures filantes, il suffit de passer au coulage, en débutant à nouveau par les bords du rupteur.  En utilisant le caisson de réservation Modula de Plaka, les rives et réservations en tête de voile sont réalisées aisément, afin d’y placer les rupteurs. [©Plaka] Traiter les ponts thermiques au niveau des balcons nécessite d’utiliser un modèle de rupteur adapté, reprenant les efforts tranchants et fléchissants. Il faut se référer à ses étiquettes pour que le sens de pose soit le bon. Ensuite, a lieu la mise en place d’un coffrage de balcon standard. Une fois encore, le coulage devra débuter par les abords du rupteur.  5 – Sciage, mise à dimension  Utilisation du caisson de réservation Modula de Plaka. [©Plaka] Eléments produits dans une longueur standard de 1 m, les rupteurs se doivent d’être continus sur l’ensemble du bâtiment pour être efficaces. Ainsi, ils doivent, tout simplement, être coupés pour correspondre aux linéaires des façades. Pour ceci, les compagnons utilisent une disqueuse classique pour mettre le rupteur à la taille souhaitée. Mars 2020 Sujet réalisé en collaboration technique avec Guerric Becquart, directeur commercial de Plaka France.www.plakagroup.fr Plaka France en quelques mots Depuis ses usines situées en France et en Belgique, Plaka France conçoit, produit et distribue une large gamme d’accessoires pour la construction. Grâce à son réseau commercial et logistique, la marque intervient sur des chantiers sur l’ensemble du territoire tricolore. Pour toute demande d’études : info@plakagroup.fr
Il y a 3 ans et 87 jours

Nouveau siège social pour HeidelbergCement France

« Notre arrivée à la tour Alto est l’aboutissement d’un projet au long cours. Nous emménageons dans un espace résolument moderne qui devrait favoriser le travail collaboratif », s’enthousiasme Bruno Pillon, président des activités France d’HeidelbergCement. [©HeidelbergCement] HeidelbergCement France vient d’inaugurer son nouveau siège social au cœur du quartier d’affaires de Paris La Défense. « Notre arrivée à la tour Alto est l’aboutissement d’un projet au long cours. Nous emménageons dans un espace résolument moderne qui devrait favoriser le travail collaboratif », s’enthousiasme Bruno Pillon, président des activités France d’HeidelbergCement. Ce déménagement s’inscrit dans la continuité de la transformation que l’industriel a engagée et qu’il va poursuivre dans les prochains mois. « Ce changement doit nous aider à relever les nombreuses gageures auxquelles notre filière est confrontée : le défi climatique, la nécessité de préserver les ressources naturelles et de protéger la biodiversité. Et bien sûr, contribuer à l’aménagement des territoires avec les matériaux du futur. » Un nouveau siège social pour HeidelbergCement France Le siège d’HeidelbergCement France était auparavant installé à Guerville dans les Yvelines. S’implanter à Paris La Défense marque aussi une accélération de sa transition écologique. En effet, HeidelbergCement France a annoncé, fin 2020, un investissement massif de plus de 450 M€ pour décarboner quatre de ses cimenteries. Sises à Airvault dans les Deux-Sèvres, à Bussac-Forêt en Charente-Maritime. A Beaucaire dans le Gard et à Couvrot dans la Marne. De plus, ce nouveau siège vise à permettre à l’industriel de se rapprocher de ses parties prenantes institutionnelles et commerciales Le site de Guerville modernisé Par ailleurs, le site historique des Technodes à Guerville sera modernisé. Il continuera à accueillir plus de 200 collaborateurs des directions régionales de Ciments Calcia. Mais aussi, d’Unibeton, de GSM, des fonctions mutualisées et des laboratoires. « L’arrivée à la tour Alto marque une étape majeure de la vie de l’entreprise en France. Nous sommes très heureux de rejoindre La Défense. Et d’intégrer cette tour Alto, qui incarne parfaitement le génie de la construction française. Elément de fierté supplémentaire, cette infrastructure a en partie été construite avec nos matériaux. Nos collaborateurs du siège bénéficieront d’un espace de travail moderne propice au travail collaboratif. Et à la créativité pour mieux servir nos clients », conclut Bruno Pillon.
Il y a 3 ans et 87 jours

Convention de mécénat entre IMT Mines Alès et HeidelbergCement France

L’IMT Mines Alès annonce la signature officielle d’une convention de mécénat avec HeidelbergCement France. [©IMT Mines Alès] Courant mars, l’IMT Mines Alès annonçait la signature officielle d’une convention de mécénat avec HeidelbergCement France. L’école d’ingénieurs s’engage ainsi, avec la filiale de l’industriel allemand, pour une durée de 3 ans. Sur l’aspect financier, cette dernière va permettre à l’IMT Mines Alès de mieux déployer ses moyens pédagogiques sur l’ensemble des formations. Notamment dans les filières qui intéressent l’industriel, comme celles du département ingénierie du sous-sol et exploitation des ressources minérales. « Donner à ses élèves les meilleures chances de s’accomplir professionnellement pour être des acteurs responsables du développement de la nation, en préservant les richesses de la planète. » Telle est l’ambition de l’IMT Mines Alès, qui illustre l’intérêt de l’école envers HeidelbergCement France. HeidelbergCement France au service des étudiants Au-delà du soutien financier, le groupe cimentier organisera des échanges entre les étudiants, les chercheurs de l’école et ses représentants. Permettant ainsi de favoriser « un processus d’intelligence collective », souligne Romuald Bony, animateur du mécénat à l’IMT Mines Alès. Des thèmes comme la réduction de l’empreinte carbone et la préservation de la biodiversité dans l’exploitation minérale seront abordés. « L’école est concernée par une approche globale et sociétale de ces sujets majeurs Lire aussi : HeidelbergCement France, mécène des Arts et Métiers pour l’avenir de l’industrie cimentière et pour la formation de nos futurs ingénieurs », ajoute Romuald Bony. Et Bruno Pillon, président d’HeidelbergCement France, de conclure : « L’industrie cimentière est en première ligne face à l’urgence climatique. Et pour relever le défi de la transition écologique, nous avons besoin de forces vives et d’échanger avec de nouveaux talents. C’est le sens de ce mécénat. Nous sommes une industrie de proximité, très présente dans le Sud avec notamment une cimenterie à Beaucaire, dans le Gard, et cela fait sens de se rapprocher d’une école prestigieuse au cœur de ce territoire ».
Il y a 3 ans et 90 jours

KEMICA COATINGS : la résine SOUPLETHANE, une étanchéité pour les sols industriels

ETANCHEITE ET REVETEMENT DES SOLS INDUSTRIELS La résine SOUPLETHANE sans solvant assure la double fonction : – Revêtement de sol industriel U4P4 – Etanchéité de sol en cas de fissuration du béton (fissures >2 mm) Facile d’application, SOUPLETHANE est aussi aisé d’entretien et de réparation. ANTICORROSION SANS BPA SOUPLETHANE de KEMICA COATINGS est un revêtement de sol anticorrosion sans solvant et sans Bisphenol A à fortes résistances chimiques et mécaniques. On l’applique à froid pour des travaux en neuf ou en rénovation dans les industries chimiques, pharmaceutiques, électroniques ou agricoles. HYGIENE GARANTIE Il garantit une étanchéité continue sans AUCUN DÉVELOPPEMENT DE BACTÉRIES. Nous le préconisons comme revêtement de sol pour laiteries, fromageries, industries agro-alimentaires, usines d’embouteillage de jus de fruit et sodas… TENUE AU FEU SOUPLETHANE 5 COR FRB, classé non inflammable (réaction au feu B-S2-d0), présente un intérêt pour les usines classées SEVESO et les laboratoires pharmaceutiques.
Il y a 3 ans et 90 jours

Fresque de Diane Benoit du Rey : Impressions lumineuses à Vitry-sur-Seine

L’artiste peintre Diane Benoit du Rey dans son atelier du Prés-Saint-Gervais, au Nord de Paris. [©DR] Habituée depuis quelques années à déplacer sa pratique dans l’espace public, l’artiste peintre Diane Benoit du Rey (née en 1989) s’est lancée, l’automne dernier, à la conquête d’un impressionnant mur d’immeuble de 9 étages, à Vitry-sur-Seine (94). Quelque 30 m de haut et 11 m de large pour 13 étages d’échafaudages ! Là 160 l de peinture acrylique lui auront permis d’investir les 330 m2 de surface. Gigantesque réalisation mise en œuvre avec deux assistants : Victor Brun et Marius Buet. « Il m’arrive de plus en plus de mener des projets ailleurs que dans mon atelier, hors salle, sur des façades, du mobilier urbain, au sol… Une façon pour moi de déplacer ma pratique, de la questionner, en interagissant avec l’environnement extérieur. L’occasion aussi de conquérir d’autres espaces, d’aller au-devant des gens et d’insérer l’art dans leur quotidien, en offrant les possibilités d’une interaction privilégiée avec la peinture. » La fresque de Diane Benoit du Rey  Et Diane Benoit du Rey, de poursuivre : « J’utilise l’huile sur toile dans ma pratique picturale habituelle. Travail abstrait et minimal du geste et du pinceau… plus sensuel… Je joue avec des phénomènes lumineux, des variations chromatiques. La peinture devient ainsi source de lumière. Mais pour la fresque de Vitry, j’ai utilisé l’acrylique, plus propice à ce genre de grandes surfaces. J’ai créé des ondulations de couleurs ou de lumière, telles des balades musicales. Véritable travail chromatique… Le spectateur suivant sa position se situe dans l’ombre ou la lumière ». Ainsi, le 31 mars prochain sera inaugurée cette fresque murale monumentale dans le quartier Balzac Touraine-Marronniers. « Mais comment sortir la toile de son cadre ? Après un voyage, à Pompéi en Italie, j’ai pris toute la mesure entre la peinture et l’architecture. J’ai eu besoin de remettre de la fiction dans le réel. Pour la fresque de Vitry, j’ai saturé et désaturé les couleurs. J’ai utilisé des dégradés, j’ai joué avec l’obscurité, le flou, la mouvance de la lumière… Cela engendre quelque chose d’hypnotique. J’aime provoquer une sensation d’un temps suspendu. Il est ainsi question de lignes, de couleurs, de mouvements, de perceptions… » Une fresque pour tous les habitants de la résidence Touraine Diane Benoit du Rey a investi le mur d’un immeuble de la résidence Touraine, à Vitry-sur-Seine. Quelque 30 m de haut et 11 m de large pour 13 étages d’échafaudage ! Là, 160 l de peinture acrylique lui auront permis d’investir les 330 m2 de surface. [©Diane Benoit du Rey]« Il y a eu tout de suite une adhésion forte des habitants du quartier à mon travail. Ils venaient voir l’avancée de l’œuvre. Ils la regardaient d’en bas ou d’une fenêtre ou d’un toit d’un immeuble en face. Une fois terminée, la fresque a suscité des réactions enjouées. Je suis ravie… » [©Diane Benoit du Rey]Le 31 mars prochain sera inaugurée, à Vitry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne, une fresque murale monumentale, intitulée “Architecture en lumière”. Une œuvre de la jeune artiste peintre Diane Benoit du Rey. [©Diane Benoit du Rey] [©Diane Benoit du Rey] [©Diane Benoit du Rey] Intitulée “Architecture en lumière”, cette réalisation est née d’un appel à projets lancé auprès des artistes sélectionnés en 2020 pour le Prix annuel de peinture de la Galerie municipale Jean-Collet, à Vitry-sur-Seine. Ainsi que du financement de La Semise, bailleur social de la ville. Ceci, dans le cadre d’une réhabilitation thermique de la résidence Touraine. Dédié au pignon Est de l’immeuble en béton, le projet de l’artiste a été choisi par les habitants du quartier à l’occasion d’une consultation citoyenne. « Il y a eu tout de suite une adhésion forte des habitants du quartier à mon travail. Ils venaient voir l’avancée de l’œuvre. Ils la regardaient d’en bas ou d’une fenêtre ou d’un toit d’un immeuble en face. Une fois terminée, la fresque a suscité des réactions enjouées. Je suis ravie… » Muriel Carbonnet
Il y a 3 ans et 94 jours

Ador, un olibrius sur nos murs

Trinquerie, 2021, Los Angeles, USA. [©Ador] Le prénom est court, enfantin, coloré, doux. Il se lit dans toutes les langues… Voici l’artiste Ador qui vit et travaille à Nantes. « Ador, c’est mon nom de peintre et ce personnage peut faire partie de ceux que je crée. » Passionné de dessin depuis toujours, il s’est rapidement tourné vers la rue comme espace d’expression. Le “mur” en béton comme support idéal pour donner libre cours à son imagination, échanger et communiquer avec les passants. « Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours dessiné. Pourtant, je n’étais pas baigné dans un milieu artistique. J’aimais créer des mondes dans lesquels je me réfugiais, qui me rendaient heureux. Et c’est toujours le cas aujourd’hui », confie Ador. “Olibrius”, une exposition personnelle d’Ador Ainsi, en avril prochain, la galerie parisienne Cohle Gallery présentera une exposition personnelle baptisée “Olibrius”. Ici, l’artiste ouvrira au public son univers, empreint de caricatures, d’humour et de sarcasme, aux titres évocateurs. Ador traitera de sujets d’actualités ou politiques souvent complexes, en utilisant son style détaillé, dans un esprit aussi ludique que sombre. Mais pourquoi “Olibrius” ? Ce terme, peut-être abscons, définit « un individu qui se fait fâcheusement remarquer ». Il s’agit là encore d’une forme d’auto-dérision et tend à illustrer la façon, dont l’artiste s’engage auprès des spectateurs. Que cela soit au travers des toiles que l’on retrouve aussi bien en galerie que dans la rue. Dans son travail, l’artiste raconte des histoires qui peuvent interpeller, voire surprendre, plaire ou déplaire. Le tout avec des personnages aux longs nez, aux yeux écarquillés ou exorbités, aux allures dégingandées, dans des environnements rocambolesques et des scènes chaotiques et captivantes. Etoile, 2020, Saint-Brieuc, France. [©Ador]Horizon, 2020, Rennes, France. [©Ador]Le spectacle de la société, 2021, acrylic on canvas. [©Ador] Ses bonshommes sortent de contes de fées et se retrouvent soudainement face à la réalité. Il y a des humains, des bananes, des pingouins ou des abeilles… Il y a Benito, un “abruti” qui ne sait pas comment s’en sortir pour se faire remarquer. Ou encore le personnage reconnaissable de Belicus, un prophète aux trois yeux, éternellement mécontent. Nous voyons aussi le personnage d’un petit garçon qui, au fil du temps et des tableaux, se confronte à notre société. En utilisant ces personnages excentriques et enfantins, Ador présente aux spectateurs des idées politiques ou philosophiques, sans être trop dans la frontalité. Il souhaite que ses œuvres soient lisibles et compréhensibles de plein de façons possibles, quel que soit le public. « Il y a toujours des occasions d’imaginer, de rebondir, de sourire, de se moquer ou encore, de se critiquer. C’est de cette façon que je vois les images, je regarde beaucoup ce qu’il y a autour de moi et je fais le point, en rebondissant pour raconter des histoires, à destination de tout le monde… parce qu’on est vivants ! » “Olibrius”, première monographie sur l’artiste Concomitamment à l’exposition paraîtra la monographie consacrée à Ador, portant le même titre. Les deux servant de rétrospective et réunissant l’ensemble de ses personnages burlesques. Cet ouvrage retrace 18 ans de création et de peinture. Il permet à chacun de comprendre comment Ador raconte des histoires avec, comme base, le dessin, déclinées sur toile, papier, murs, et en volume. Qu’il s’agisse d’investir l’espace public ou un cabinet de curiosité, la recherche consiste à communiquer, en mettant en scène des personnages ou des objets, qui deviennent récurrents. Du vocabulaire du cirque ou de l’enfance, des contes de fées ou de l’actualité, comme des parades, ces univers joyeux défilent. L’idée, c’est de laisser place à un imaginaire et de présenter des situations possibles, colorées et légères. NYC, 2020, acrylique sur toile. [©Ador]Vu et revu, 2017, Nantes, France. [©Ador]Vu, 2016, Nantes, France. [©Ador] « En toute humilité, nous avons décidé de suivre l’ordre de l’alphabet, pour cette première monographie. Un abécédaire, donc. Un livre d’apprentissage qui alimentera chacune de ces curieuses 26 lettres. Mais nous n’expliquerons jamais le choix des mots, qui, nous l’espérons, deviendra évident pour qui regarde et suit le travail d’Ador », peut-on lire dans un extrait de “l’abécédaire Olibrius” de Gérard Lemarié et Ador, qui occupe une des deux parties qui composent la monographie de 240 pages, en plus des 350 magnifiques visuels des œuvres du peintre. Jusqu’au 30 avril 2022 à la Cohle Gallery17 rue Victor Massé75009 Paris Editions : In Fine, éditions d’artAuteurs : Ador, Léo Bioret et Gérard LemariéPrix : 49 €TTC Plus d’informations :https://ador.book.frFacebook : Ador 2049Instagram : ador_2049
Il y a 3 ans et 94 jours

Saint-Gobain Weber travaille sur la substitution de matières premières

Le site Weber de Sorgues vient de bénéficier d’un investissement de plus de 60 000 €. [©Saint-Gobain Weber] Les matières premières sont sous le feu des projecteurs depuis quelque temps. Que ce soit à cause de la crise économique que connaissent les différents secteurs industriels en ce moment. Ou dans la lutte pour la préservation des ressources. Saint-Gobain Weber mène plusieurs actions et projets dans ce sens. Et ce, dans la perspective de réduire son empreinte carbone (30 % en 2025). Mais aussi, sa consommation de matières premières (20 %). Lire aussi :Saint-Gobain Weber et Lhoist, partenaires autour de l’offre Tradical « Plusieurs technologies exclusives basées sur la réduction des matières premières primaires ont été développées par notre centre de R&D depuis 2012. Ceci, pour un certain nombre de produits finis, explique Lionel Raynaud, directeur recherche et développement chez Saint-Gobain Weber France. A date, nous estimons que cela a permis d’éviter 50 000 t de CO2, ce qui correspond à plus de 310 Mkm parcourus par une voiture de catégorie compacte. » Des matériaux recyclés et issus de la biomasse En 2021, les usines de Bonneuil-sur-Marne (94), de Ludres (54) et de Nemours (77) ont commencé à utiliser en substitut des cendres de biomasse issues de l’industrie locale du papier. Les ciments des mortiers-colles gris se composent désormais à 15 % de cendres de biomasse. Ce chiffre passe à plus de 30 % pour les mortiers et bétons d’usage courant. Lire aussi :Weber à la conquête de la France Cette année, Saint-Gobain Weber entend bien poursuivre ses ambitions. En effet, le site de Sorgues (84) compte substituer à 100 % son sable siliceux naturel dans certains mortiers par un sable de moulage recyclé. Ce dernier sera issu de l’industrie des céramiques, en provenance de Saint-Gobain Sepr, située à quelques kilomètres de l’usine de Sorgues. Des ajustements de process ont été réalisés, en décembre dernier, pour un montant de 60 000 €. Ainsi, les werbercol dur gris, webercol pro gris, webercol grès gris et weber mortier bénéficieront de ce nouveau sable. Enfin, en cette année 2022, le site de Bonneuil-sur-Marne passera aux granulats recyclés pour la conception du weber béton.
Il y a 3 ans et 94 jours

Coup de chapeau à Structurae

Le site Structurae référence plus de 75 000 ouvrages de BTP, dont les constructions ukrainiennes. [©Structurae] Les bonnes initiatives méritent d’être mises en lumière. Bien rares sont les personnes qui ignorent encore ce qui se passe en Ukraine. La sale guerre de Poutine – on ne peut pas l’appeler autrement – engendre une immense souffrance humaine. C’est bien là, la chose la plus dramatique. Mais elle détruit aussi, peu à peu, un grand pays, à l’histoire millénaire. Infrastructures et constructions disparaissent au fil des bombardements. Afin de permettre à chacun de se faire une idée de la richesse et de la diversité de l’architecture du pays, le site d’informations Structurae a décidé de la mettre en avant dans sa dernière newsletter. Un choix volontaire de Nicolas Janberg, pour apporter, à son niveau, soutien et solidarité à l’Ukraine. Béton[s] le Magazine se joint à cette initiative en relayant cette information. A vos clics.
Il y a 3 ans et 94 jours

L’héritage des Ponts et Chaussées en plus de 15 000 documents

Ponts italiens : Pont provisoire de plaisance. Travée américaine de 25 mètres de portée. [Deroche & Heyland, photographes, 1863 ©Ecole nationale des ponts et chaussées] L’Ecole des Ponts ParisTech et la Bibliothèque nationale de France (BnF) présentent une nouvelle bibliothèque numérique patrimoniale : L’héritage des Ponts et Chaussées. Cette collection vient rejoindre la communauté “Gallica, marque blanche”, dispositif numérique proposé par la BnF. Disponible en ligne, elle permet de valoriser les archives et les documents sur l’histoire de l’école. Mais aussi de ses ingénieurs, du génie civil, de l’aménagement et des transports. Ceci, depuis le XVIIIe siècle. Un même espace numérique Ainsi, cette bibliothèque constitue un outil de valorisation destiné à un large public. Qui aura accès à des collections d’archives, de dessins, d’imprimés et de photographies sans équivalent en France. Par ailleurs, l’héritage des Ponts et Chaussées est enrichi de documents issus de Gallica. A ce jour, celle-ci compte 8 M de documents. Cette collaboration donne l’opportunité de réunir, au sein d’un même espace numérique, les ressources de la BnF et de l’École des Ponts ParisTech. Bien que grand public, la plate-forme, aussi participative, s’adresse avant tout aux élèves, professeurs, ingénieurs, chercheurs et amateurs du patrimoine. Ceux-ci sont invités à partager leurs découvertes, leurs documents et leurs archives. Créée en 1747, l’Ecole nationale des ponts et chaussées (aujourd’hui, École des Ponts ParisTech) est le plus ancien établissement d’enseignement d’ingénieurs civils en France. Dès le XVIIIe siècle, sa bibliothèque a été constituée à partir des documents liés aux besoins de l’enseignement ou à ceux des ingénieurs. Depuis lors, elle conserve un patrimoine, comprenant à la fois de la documentation et du matériel spécialisé, et la production des élèves, des enseignants et des ingénieurs. Plus de 15 00 documents en quelques clics Des documents, tels que des journaux de missions et des dessins des élèves ingénieurs, des photographies de grandes réalisations dans le domaine du génie civil, en France et l’étranger. Ou encore un corpus de 400 manuels de cours anciens, la revue des “Annales des Ponts et Chaussées”… sont à y retrouver. La bibliothèque numérique propose aussi des ressources additionnelles (présentation de documents, informations biographiques sur les ingénieurs des Ponts et Chaussées), en français et en anglais. Parmi les ressources additionnelles, des articles de synthèse permettent de remettre les documents dans leur contexte, de retracer l’histoire du corps des ingénieurs de l’école ou l’évolution des connaissances et des pratiques. Un puits d’informations. Pont en béton de ciment sur le Fier. [L. Bellay, photographe, 1881© Ecole nationale des ponts et chaussées] Echafaudages flottants, caisson VI et caisson bâtardeau au quai Ouest de la traverse de la Madrague (branche Est). A droite, on aperçoit le dessus de la cheminée en béton armé pour l’exécution à l’air comprimé de la partie inférieure d’un clausoir. [1897-1905©Ecole nationale des ponts et chaussées]Cours de mécanique appliquée (béton armé) : session 1908-1909. Visite des élèves de 1ère et de 2e classes, les 6, 7 et 8 mai 1909 du viaduc d’Avranches en béton fretté signé Charles Rabut. [©Ecole nationale des ponts et chaussées]
Il y a 3 ans et 94 jours

Le Rollmix de Mecbo pompe sa première chape fluide

Le Rollmix est le premier malaxeur-pompe à chapes signé Mecbo. [©ACPresse] Annoncé en avant-première en fin d’année dernière, le tout nouveau malaxeur-pompe à chapes de Mecbo est aujourd’hui opérationnel. Son nom définitif : Rollmix. Ces caractéristiques techniques correspondent en tout point à la fiche technique présentée il y a quelques mois à peine. Ainsi, l’équipement s’articule autour d’une pompe à pistons Getto P2-800, d’un débit de 15 m3/h (soit 250 l/mn), pour une pression de 85 bar au maximum. « C’est la plus petite des pompes de la gamme Pulsar, précise Antonio Agostinho, président de Mecbo. Elle est tout à fait adaptée à ce besoin et à cet usage. Et nous restons dans une gamme standard et éprouvée. » Disposant d’une trémie destinée à recevoir directement la chape fluide transportée dans la cuve, cette pompe est montée en position transversale à l’arrière du porteur. Bien entendu, une autre toupie peut venir déverser son chargement dans cette trémie. Il suffit de dérouler… L’autre équipement central du Rollmix – et c’est ce qui en fait un matériel unique – est le dérouleur/enrouleur de tuyaux souples. Positionné entre la cuve de transport et la cabine du porteur, il est relié à la pompe Getto, via une conduite métallique de 50 mm Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? var gform;gform||(document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",function(){gform.scriptsLoaded=!0}),window.addEventListener("DOMContentLoaded",function(){gform.domLoaded=!0}),gform={domLoaded:!1,scriptsLoaded:!1,initializeOnLoaded:function(o){gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?o():!gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?window.addEventListener("DOMContentLoaded",o):document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",o)},hooks:{action:{},filter:{}},addAction:function(o,n,r,t){gform.addHook("action",o,n,r,t)},addFilter:function(o,n,r,t){gform.addHook("filter",o,n,r,t)},doAction:function(o){gform.doHook("action",o,arguments)},applyFilters:function(o){return gform.doHook("filter",o,arguments)},removeAction:function(o,n){gform.removeHook("action",o,n)},removeFilter:function(o,n,r){gform.removeHook("filter",o,n,r)},addHook:function(o,n,r,t,i){null==gform.hooks[o][n]&&(gform.hooks[o][n]=[]);var e=gform.hooks[o][n];null==i&&(i=n+"_"+e.length),gform.hooks[o][n].push({tag:i,callable:r,priority:t=null==t?10:t})},doHook:function(n,o,r){var t;if(r=Array.prototype.slice.call(r,1),null!=gform.hooks[n][o]&&((o=gform.hooks[n][o]).sort(function(o,n){return o.priority-n.priority}),o.forEach(function(o){"function"!=typeof(t=o.callable)&&(t=window[t]),"action"==n?t.apply(null,r):r[0]=t.apply(null,r)})),"filter"==n)return r[0]},removeHook:function(o,n,t,i){var r;null!=gform.hooks[o][n]&&(r=(r=gform.hooks[o][n]).filter(function(o,n,r){return!!(null!=i&&i!=o.tag||null!=t&&t!=o.priority)}),gform.hooks[o][n]=r)}}); M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 3 ans et 95 jours

CarbonCure traverse l’Atlantique avec Edilteco

La technologie CarbonCure sera distribuée en France par Edilteco. [©CarbonCure] Edilteco devient le distributeur exclusif en France, en Italie et au Benelux de la start-up canadienne CarbonCure. « Nous sommes présents sur différents marchés et disposons d’un bon réseau de distribution auprès des BPE dans ces pays », explique en exclusivité Franck Pied, directeur marketing, communication et technique de la marque. Edilteco s’occupe ainsi de la mise en relation avec la start-up, de l’installation. Mais aussi, de la maintenance et du SAV des “box”. « Nous avons monté une équipe dédiée à CarbonCure. En France, entre notre siège de Sèvremoine, à côté de Cholet, et les bureaux du Pontet, proche d’Avignon, nous pouvons vite intervenir sur tout le territoire. » L’industriel commence tout juste à démarcher les fabricants de béton et de centrales. Mais devrait déjà équiper deux premiers sites, courant avril. « L’installation ne demande pas beaucoup de temps et ne met pas en arrêt l’outil industriel, reprend Franck Pied. Nous présenterons, entre autres, cette solution à l’occasion du salon Solutions Bas Carbone, debut avril prochain. » Pour rappel, CarbonCure voit le jour il y a une dizaine d’années. La start-up a développé un procédé d’injection de CO2 lors de la fabrication du béton. Une façon de réduire l’usage du ciment (6 à 7 %), en conservant les résistances techniques et mécaniques du matériau. Un système éprouvé et vertueux Après cinq années de recherche, l’entreprise a pu éprouver sa technologie au sein de 500 centrales à béton en Amérique du Nord. Soit l’équivalent de 13 Mm3 de béton “CarbonCure” en cinq ans. Dans le détail, la technologie demande l’installation d’une cuve de CO2, qui serait alimentée en gaz par un fournisseur local. Cette dernière se raccorde au malaxeur de la centrale (à une distance de 18 m au maximum). CarbonCure a ainsi conçu deux box mises en place au niveau du poste de commande de la centrale et sur la cuve de carbone. [©CarbonCure] CarbonCure a ainsi conçu deux box mises en place au niveau du poste de commande de la centrale et sur la cuve de carbone. Ces concentrés de technologie permettent à la start-up, d’une part, de récupérer les datas dans ses serveurs, de vérifier et de prévenir les centraliers en cas de problème 24 h/24. Et, d’autre part, pour la centrale, de doser le CO2 injecté dans le malaxeur en fonction de la formulation établie. A l’intérieur du malaxeur, le carbone à l’état liquide se transforme en neige. Et forme du carbonate de calcium une fois mélangé avec les composants classiques du béton. Avec ce procédé, le béton devient un exutoire pour le CO2, tout en diminuant son empreinte environnementale.
Il y a 3 ans et 95 jours

Ursa rejoint l’actionnariat de Valobat

Ursa intègre l’actionnariat de l’éco-organisme Valobat. [©Ursa] Le spécialiste dans la production de laine minérale de verre et de polystyrène extrudé, Ursa intègre l’actionnariat de Valobat. Après un premier positionnement au sein de l’éco-organisme en tant que pré-adhérent, l’industriel confirme son engagement. Ainsi, il s’inscrit dans la démarche collective de la Rep des produits et des matériaux de construction pour le bâtiment. Et permet à Valobat de renforcer son expertise en matière d’économie circulaire, de recyclage et de RSE. Les ambitions communes de l’Ursa et de Valobat « Par cette prise de participation, nous souhaitons accélérer ses actions liées à l’économie circulaire, et plus particulièrement, se positionner en acteur d’un éco-système vertueux », déclare Shadé Olajide, chef de projet économie circulaire d’Ursa. Lire aussi : Herige entre au capital de Valobat Et Jean-Pierre Laherre, Dg d’Ursa France, de conclure « Nous sommes engagés dans une démarche de transformation de nos modèles, dans le cadre de nos ambitions RSE. Aussi, être au cœur des décisions stratégiques de Valobat, qui rassemble de grands acteurs industriels et distributeurs du bâtiment, constitue une opportunité majeure. Plus largement, cela va nous permettre de contribuer à la transition écologique de la filière. »
Il y a 3 ans et 96 jours

La strato-conception : Une innovation 3D pour le BTP

La strato-conception pourrait devenir une nouvelle alternative pour le secteur de la construction. [©Cirtes] La strato-conception pourrait devenir une nouvelle alternative pour le secteur de la construction. La technique appartient à la famille de la fabrication additive, dont fait partie l’impression 3D. Là où cette dernière dispose en couches le béton sous forme fluide, la strato-conception consiste en la décomposition automatique de l’objet en une série de couches complémentaires appelées strates. Dans lesquelles sont ensuite placés des inserts de positionnement et des renforts. Chacune des strates est empilée, puis fabriquée par micro-fraisage1 rapide, par découpe au laser ou au fil. Placés à l’extérieur de l’objet, ces inserts et renforts servent de points de positionnement et de liens entre les strates. La strato-conception permet un gain de temps et offre une liberté dans le choix de la forme, du matériau ou de la taille. Elle peut donc être utilisée pour la fabrication au sein de nombreux secteurs comme la construction, la mécanique ou même l’art. La strato-conception au service du BTP C’est le cas de Peduzzi, entreprise du BTP dans les Vosges, qui a adopté la technologie de la fabrication additive en fin d’année 2021. La filiale du groupe Livio aspire à devenir un pionnier dans le bâtiment, grâce à la strato-conception en béton. En effet, la machine permet de produire des modèles prédéfinis, des moules, des coffrages et de l’outillage… Lire aussi : Impression 3D béton : La genèse de la construction durable ? L’industriel a remarqué les mêmes avantages qu’avec l’impression 3D. La fabrication peut s’effectuer de façon industrielle, sans gaspiller les matériaux. De plus, la société est assistée par le centre d’ingénierie, de recherche et de transfert européen (Cirtes). Celui-ci l’accompagnera dans le développement de son atelier dédié à la strato-conception. Cela, en mettant à disposition des jeunes ingénieurs de l’InSic, une école créée par le Cirtes en 2001. Peduzzi devient alors la première à utiliser cette innovation dans l’industrie du BTP. Elle a d’ailleurs mobilisé 800 000 € d’investissement pour installer l’imprimante dans son site de production situé à Fresse-sur-Moselle (88).
Il y a 3 ans et 96 jours

Wacker Neuson rachète Enar Group

Wacker Neuson annonce le rachat d’Enar Group. [©Wacker Neuson] Le groupe Wacker Neuson a conclu un accord pour le rachat d’Enar Group. Spécialisé dans la conception de matériels de vibration, compactage et surfaçage pour béton, l’industriel espagnol a su se développer sur les marchés européen et d’Amérique latine. En 2021, Enar Group a ainsi réalisé près de 22 M€ de chiffre d’affaires. Avec une usine située à Saragosse, dans le Nord-Est de l’Espagne, le fabricant de matériels compte près de 130 collaborateurs. Pour Wacker Neuson, cette transaction permettra de renforcer ses positions à l’international. « Avec cette acquisition, nous avons trouvé un bon moyen de nous développer rapidement sur le marché des technologies pour béton, explique Alexander Greschner, directeur des ventes chez Wacker Neuson. Enar dispose d’un positionnement solide. Qui promet de bonnes opportunités pour nous. » Afin de conserver l’image de marque d’Enar Group, Wacker Neuson compte gérer l’industriel comme une filiale indépendante. Pour le moment, la transaction est soumise aux approbations habituelles de clôtures et devrait se concrétiser dans les prochains mois.
Il y a 3 ans et 97 jours

L’Alliance HQE-GBC : Un guide pour la réalisation de quartiers durables

L’alliance HQE-GBC complète son cadre de référence “HQE Aménagement” pour la réalisation de quartiers durables. [©Alliance HQE-GBC] L’Alliance HQE-GBC poursuit son engagement dans la construction durable. L’association complète son cadre de référence “HQE Aménagement” avec un nouveau guide pratique pour accompagner les professionnels du secteur dans la réalisation de quartiers durables. La première partie de l’ouvrage rappelle l’outil de gestion de projet “HQE Aménagement”. Ce dernier repose sur un système qualité et une méthode générique pouvant s’adapter à tout type d’opérations d’aménagement. Sur cette base, l’association a introduit 4 fondamentaux pour construire et faire vivre un dispositif d’évaluation dans le cadre d’un projet durable. Ces fondamentaux constituent un langage commun, une structure de conduite d’opération et une évaluation permanente. L’Alliance HQE-GBC propose 19 indicateurs En parallèle, HQE-GBC lançait, entre 2018 et 2019, un “test HQE performance quartier” sur une dizaine d’opérations d’aménagement. Cela, dans l’objectif de constituer une base commune de 19 indicateurs pour une évaluation globale et multi-critères des projets. Ces grandes lignes constituent la seconde partie du guide pratique. Lire aussi : L’Alliance HQE-GBC livre les résultats du programme NZC Rénovation Présentés sous forme de fiches détaillées, ces indicateurs permettent de retrouver toutes les informations nécessaires pour un projet de quartier durable. Ils rassemblent les 3 grands engagements de l’alliance HQE-GBC. A savoir, la performance économique, la qualité de vie et le respect de l’environnement. Parmi les indicateurs figurent le renouvellement urbain, et les logements et espaces de travail sans nuisances. Ou encore la performance énergétique des bâtiments et de l’éclairage public. Pour télécharger le guide complet et découvrir tous les indicateurs, cliquez ici.
Il y a 3 ans et 101 jours

Rhône Ciments décroche la marque NF pour son CEM II/A-LL

L’usine de production de Rhône Ciments est basée à Portes-lès-Valence, dans la Drôme. [©Cem’In’Eu] Tout juste un an après sa mise en service à Portes-lès-Valence (26), l’unité de production de Rhône Ciments a obtenu la marque de qualité NF pour son ciment CEM II/A-LL 42,5 R. Un label qui complète la certification CE, en place depuis mai 2021. Pour la filiale de Cem’In’Eu, il s’agit là d’un jalon important dans son développement, au moment même où l’usine franchit le cap des 60 000 t de ciment vendu. Ceci, en seulement 7 mois d’activité et alors qu’elle vise le doublement de ce volume dès cette année. La marque NF obtenue préfigure déjà celle attendue, au printemps, pour les autres références de Rhône Ciments. A savoir, le CEM I 52,5 R et le CEM II/B-LL 32,5 R, proposés aussi bien en vrac et qu’en sac. De quoi garantir l’essor commercial de la marque sur son territoire, avec une production globale, à terme, de 240 000 t. Entre investissement et recrutements Pour accompagner le développement de Rhône Ciments et lui permettre d’atteindre ses objectifs de production, Cem’In’Eu a mis en place plusieurs actions stratégiques. La plus importante est un investissement de 4 M€, en cours de réalisation, en vue de doubler les capacités de stockage de la base logistique Cem’In’Log de Sète (34). Enfin, côté forces vives, Rhône Ciments tourne aujourd’hui en 3 x 8 et compte 21 collaborateurs. Un effectif amené à être augmenté de manière significative… L’objectif est à de pouvoir produire en continu, y compris le week-end, avec la mise en place d’une quatrième puis, d’une cinquième équipe, composées chacune de trois personnes au minimum. Des emplois de production proposés en CDI. A bon entendeur…
Il y a 3 ans et 101 jours

Bauma CTT Russia

Bauma CTT Russia est un salon international des équipements de construction et des technologies, qui existe depuis 20 ans. Il présente la plus grande exposition du secteur de la construction en Russie et la plus importante plate-forme de communication en Russie et dans l'Europe de l'Est. L'occasion pour les professionnels de faire découvir leurs nouveaux engins de construction.
Il y a 3 ans et 101 jours

Une campagne pour favoriser le recrutement dans le bâtiment

L’Ademe et le ministère du Logement ont lancé une campagne de valorisation des métiers du BTP et de la rénovation énergétique. [©Isolat] Le secteur de la construction fait face à un défi majeur. En France, le bâtiment est responsable de 47 % des consommations finales énergétiques et de 25 % des émissions de CO2. Un problème en amenant un autre, le milieu est confronté à un déficit de main-d’œuvre. Notamment, en raison du manque d’intérêt des jeunes générations pour les professions du secteur. Ainsi, l’Ademe et le ministère délégué au Logement lancent une campagne de valorisation des métiers du BTP et de la rénovation énergétique. Cela, afin de faciliter les 150 000 recrutements nécessaires au marché d’ici 2023. Et de répondre aux besoins du secteur pour relever le défi de la transition écologique. Une campagne nouvelle génération Pour la conception de la campagne média, l’Ademe et le ministère au Logement ont misé sur les tendances technologiques que les jeunes convoitent. Ainsi, elle comporte des annonces “Sortons des clichés” visibles dans la presse professionnelle et les réseaux sociaux. Mais aussi un filtre Tiktok conçu pour l’occasion et deux spots radio. Enfin, elle propose un “gameplay” sur le jeu vidéo Minecraft pour montrer le fonctionnement des chantiers d’une manière pédagogique sur la plate-forme Twitch. A cela s’ajoutent une websérie “Les reconstructeurs” pour valoriser les métiers du BTP et de la rénovation. Ou encore, la participation à des salons professionnels et au “Big Tour” initié par BPI France, afin de sillonner l’ensemble des territoires français. Lire aussi : Neutralité carbone : L’Ademe propose quatre scénarii Pour mener à bien cette campagne, le plan “France Relance” finance le projet, afin d’accélérer la transition énergétique du bâtiment. L’opération porte aussi la bannière France Rénov’. De quoi faciliter l’accès aux particuliers à une information, un conseil et un accompagnement pour leur projet de rénovation. Elle s’adresse prioritairement aux jeunes pour susciter des vocations en grand nombre. Mais aussi aux professionnels du bâtiment, aux artisans, aux publics en voie de reconversion et aux demandeurs d’emploi.
Il y a 3 ans et 101 jours

Préventica Nantes

Préventica est un évènement de référence en matière de santé, sécurité et qualité de vie au travail. A travers des conférences et des ateliers, les exposants dévoilent leurs solutions. Prévenir les risques, (ré)inventer le travail, optimiser la reprise, voici les thématiques abordées pendant ce rendez-vous.
Il y a 3 ans et 101 jours

Concrete Expo 2022

Concrete Expo est le salon anglais qui rassemble les technologies les plus innovantes pour le secteur du béton. Co-localisé avec le salon UK Construction Week, cet événement est une plate-forme de rencontres pour les acteurs du marché.
Il y a 3 ans et 101 jours

Sensor + Test 2022

Sensor + Test est un salon allemand, qui regroupe l'industrie de la mesure, de la manufacture et des tests des technologies avancées. Cet événement offre la possibilité de connaître les nouvelles technologies de la mesure pour mieux les appréhender. L'ensemble des spécialistes mondiaux sont rassemblés.
Il y a 3 ans et 102 jours

Podcast #10 – Les vies des Magasins généraux de Pantin

Retrouvez l’article dans Béton[s] le Magazine n° 89. Tel deux énormes paquebots posés sur le canal de l’Ourcq, au Nord-Est de la Paris, les Magasins généraux de Pantin (93) émergent de l’espace urbain d’une façon presque “onirique”. Ils sont l’un des derniers vestiges du fastueux commerce des industries agro-alimentaires de la capitale. En 1832, Paris acquiert le statut de port maritime. Ceci, avec l’autorisation de stocker des produits agricoles de toutes natures, ainsi que diffuser des marchandises. En 1899, la Chambre de commerce de Paris, consciente du rôle majeur du canal de l’Ourcq, exprime le souhait d’établir à Pantin des magasins.  ACPresse · Béton d’Antan – Les vies des Magasins généraux de Pantin « Des magasins appropriés à chaque nature de marchandises. La situation permettrait de faire arriver bateaux et trains sans remplir aucune formalité d’octroi. Et d’effectuer de même les réexpéditions pour le dehors sans que la Ville de Paris puisse craindre aucune fraude. Ce serait, si l’on admet cette expression, un grand bassin de triage. » Mais il faudra attendre 30 ans pour que la mise en eau du bassin ait lieu. « A ce moment, le bassin de Pantin est devenu le port le plus important du canal de l’Ourcq, recevant les plus gros bateaux de la navigation intérieure en provenance de Rouen, via la Seine et le canal Saint-Denis. » En 1950, on recense 489 camions sortant des entrepôts de Pantin. En 1957, on en compte 2 710. Puis 14 969 en 1964, soit 41 véhicules par jour en moyenne. Quinze ans plus tard, on en comptera plus de 20 000 ! [©Ville de Pantin] L’ingénieur- architecte Louis Suquet à l’œuvre Dessinés par l’ingénieur-architecte Louis Suquet, alors inspecteur général des Ponts et Chaussés, adjoint du chef des services techniques du métropolitain et du port de Paris, les deux bâtiments sont construits par Alfred Chouard. Ces entrepôts combinent alors une efficace structure en béton armé et une touche de l’élégance Art déco de l’époque.Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 102 jours

La série “Wonderworld” ou Le monde merveilleux des travaux publics

[©FNTP] La FNTP lance “Wonderworld”, une série de 4 documentaires de 26 mn chacun, réalisée par Laurent Barthélémy. Et destinée à valoriser les métiers du secteur des travaux publics et leur impact sur le monde. « Wonderworld a été lancé juste avant le premier confinement. Tout est parti d’une idée de Bruno Cavalier, président de la FNTP. Le but était de montrer l’aventure des travaux publics à l’international, à travers des entreprises françaises, vue sous l’angle de l’impact social, économique, environnemental… », se souvient Bruno Dupety, ancien ingénieur expert en travaux publics et voix off de la série documentaire. Wonderworld en 4 documentaires Et de poursuivre : « Ceci, à destination des jeunes et du grand public. J’y raconte chaque projet, j’interviens en tant qu’expert pour donner des clefs de compréhension. Les équipes de Bouygues, Colas, Eiffage, Sade et Vinci, leur engagement et leur disponibilité ont été déterminantes pour la réussite de cette série ». En effet, Wonderworld, c’est la rencontre entre des projets français hors du commun à travers le monde et la nouvelle génération en quête de défis et de sens. [©FNTP][©FNTP][©FNTP]Bruno Dupety, ancien ingénieur en travaux publics a prêté sa voix et son expertise pour la série documentaire. [©FNTP] L’arche de Tchernobyl ou l’enceinte de confinement du sarcophage initial de la centrale nucléaire, les plus grands châteaux d’eau d’Afrique, le pas de tir d’Ariane 6 en Guyane et les routes d’Islande. Chaque épisode est un voyage immersif à la découverte d’une mission et des équipes de passionnés qui ont su la mener à bien. « Quatre grandes aventures technologiques et humaines au service d’un progrès responsable », peut-on lire dans le communiqué de presse de la FNTP. A regarder sans modération. Retrouvez ici la série documentaire.
Il y a 3 ans et 103 jours

Le groupe RGB rejoint Alphi dans la sauvegarde du Jardin Minéral

L’équipe autour de Joséphine Chevry et son Jardin Minéral. [©Sous la dune, le béton] En novembre 2020, Béton[s] le Magazine lançait un appel à mécénat pour sauver les œuvres en péril de Joséphine Chevry, à La Grande Motte. Et le coffreur Alphi avait répondu présent pour la moitié du projet. Le groupe RGB , spécialiste du béton, vient de le rejoindre. « Nous avons souhaité davantage participer à des évènements artistiques et culturels. Tout à commencer avec la photographe Lisa Ricciotti en janvier 2020. Avec la crise sanitaire, les choses ont été ralenties. Mais grâce à Béton[s] le Magazine, nous avons découvert le travail de Joséphine à La Grande Motte. Et nous avons adoré, s’enthousiasmait Alexandre Souvignet, le Pdg d’Alphi. Je connais d’autant plus cette ville balnéaire que j’ai effectué mes études d’ingénieur à Montpellier. J’ai toujours trouvé remarquable la réalisation architecturale de Jean Balladur, qui a pensé un mode de vie et un vivre ensemble de toutes pièces. Les sculptures de Joséphine sont liées à ce contexte. Elles font partie du visage de La Grande Motte et nous ne pouvions pas les laisser dépérir. Nous avons de plus avec elle un amour commun du béton. » Le groupe RGB France se joint au sauvetage Depuis, Alexandre Souvignet et l’artiste se sont rencontrés plusieurs fois et ont échangé sur le travail à réaliser. « Alphi est ainsi devenu force d’entraînement, figure de proue du projet. Nous avons trouvé Joséphine tellement sensible, tellement attachante et son œuvre si forte que nous avons décidé de promouvoir son appel à mécénat. D’autant plus que le dossier avançait au niveau de la mairie de La Grande Motte, les autorisations se précisaient, les contraintes administratives et environnementales se levaient. J’ai donc décroché notre téléphone et appelé des entreprises du bâtiment du Sud, susceptibles d’être intéressées. Nous avons lancé des bouteilles à la mer. Le 24 janvier dernier à 17 h 00, j’ai contacté  RGB France BTP sur LinkedIn. A 17 h 27, première réponse et à 22 h 31, un véritable message d’intérêt avec un appel téléphonique prévu le lendemain. Puis, une prise de décision extrêmement rapide, faisant suite à un comité de direction, deux jours après. Et là “banco” ! J’ai tout de suite appelé Joséphine qui n’en dormait plus pour lui annoncer la bonne nouvelle. » Et voici, tout ce petit monde rapatrié à La Grande Motte, au Jardin Minéral, le 9 février dernier, avec le soutien amical, indéfectible et énergique de l’entourage de Joséphine Chevry, notamment l’association “Sous le vent, le béton” et sa présidente Elisabeth Grimon-Massol. Ainsi que le maître d’œuvre du projet et ami, l’architecte Laurent Pascal. [©Sous la dune, le béton]Joséphine Chevry au centre, entouré à gauche de Laurent Pascal, architecte, ami et maître d’ouvrage du projet, Alexandre Souvignet, Pdg, et à droite, Olivier Crombé, directeur général adjoint du groupe RGB France. [©Sous la dune, le béton]De gauche à droite : Stéphan Rossignol, maire de La Grande Motte, Joséphine Chevry, Alexandre Souvignet, Pdg d’Alphi, et Olivier Crombé, directeur général adjoint du groupe RGB France. [©Sous la dune, le béton]Et voici, tout ce petit monde rapatrié à La Grande Motte, au Jardin Minéral, le 9 février dernier, avec le soutien amical, indéfectible et énergique de l’entourage de Joséphine Chevry, notamment l’association “Sous le vent, le béton” et sa présidente Elisabeth Grimon-Massol. Ainsi que le maître d’ouvrage du projet et ami, l’architecte Laurent Pascal. [©Sous la dune, le béton]De gauche à droite : Rogerio Ribeiro, président de RGB France BTP, et Olivier Crombé, directeur général adjoint de RGB France BTP. [©RGB France BTP] Une rencontre touchante Et voici, tout ce petit monde rapatrié à La Grande Motte, au Jardin Minéral, le 9 février dernier, avec le soutien amical, indéfectible et énergique de l’entourage de Joséphine Chevry, notamment l’association “Sous le vent, le béton” et sa présidente Elisabeth Grimon-Massol. Ainsi que le maître d’œuvre du projet et ami, l’architecte Laurent Pascal. Et le tout, en présence de Stéphan Rossignol, maire de la ville, qui soutient avec force le projet. « Pour des raisons d’agenda, je me suis retrouvé à ce rendez-vous à la place de notre président Rogerio Ribeiro, se souvient Olivier Crombé, directeur général adjoint de RGB France BTP. Arrivé en avance, je déambulais sur les dunes du Point Zéro. Au loin, une silhouette s’en détachait. Je me suis rapproché et ai demandé : “Vous êtes Joséphine ?”… C’était bien elle. Nous avons commencé à converser. Et là, j’ai été positivement ému par elle et son œuvre. » Et Rogerio Ribeiro, de rajouter : « Nous sommes très motivés par la préservation du patrimoine culturel local. Nous avons donc répondu présents. Et le béton armé, c’est notre créneau… Nous allons réparer les œuvres les plus abîmées et en refaire d’autres, en les préfabriquant sur un de nos chantiers». Les plannings sont en cours d’élaboration, dans le respect du calendrier de la saison estivale. Des travaux préparatoires de désherbage et de nettoyage sont déjà prévus d’ici mai et ceux, définitifs, devraient commencer en octobre prochain. Muriel Carbonnet
Il y a 3 ans et 103 jours

Herige entre au capital de Valobat

Le groupe Herige entre au capital de Valobat. [©Herige] Spécialiste dans l’industrie et de la distribution du bâtiment, Herige entre au capital de Valobat. Ce dernier étant candidat à l’agrément d’éco-organisme pour la Rep PMCB1. Avec ses 3 activités dans le BPE (Edycem), la menuiserie (Atlantem) et le négoce de matériaux de construction (VM), Herige prend déjà part à des filières de recyclage. En témoigne la démarche d’Atlantem avec la création de Menrec, un centre de recyclage situé à Saint-Allouestre (56). Le choix de Valobat illustre donc son ambition de participer au succès de la Rep. Ainsi que de s’engager dans l’économie circulaire du bâtiment. Valobat et Herige : Des valeurs communes Avec cette entrée au capital de Valobat, Herige entame une nouvelle étape majeure dans la conduite de sa feuille de route. « Nous plaçons les enjeux sociétaux et environnementaux au cœur de notre stratégie, en nous engageant concrètement en faveur du développement de l’économie circulaire, du recyclage et de la RSE », déclare Benoît Hannaut, président du directoire de Herige. Lire aussi : L’UICB entre dans le capital de Valobat Et d’ajouter : « Un déchet doit être considéré telle une véritable matière première à reconfigurer. C’est toute l’opportunité que propose la Rep : recycler et réemployer de manière organisée et structurée. C’est aussi une opportunité de croissance, de valorisation, de création de nouvelles professions et d’innovation en matière d’éco-conception. Ceci, pour limiter l’impact environnemental de nos produits tout au long de leur cycle de vie. » 1Responsabilité élargie des producteurs pour les produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment.