Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Acpresse Béton

(3886 résultats)
Il y a 3 ans et 207 jours

GIC Italian Concrete Day

Salon italien dédié au monde du béton et à l'industrie cimentière.
Il y a 3 ans et 207 jours

Solution Bas Carbone

Salon national de la constriction et de l'amménagement urbain en cohérence avec la stratégie bas carbonne de l'état.
Il y a 3 ans et 207 jours

3D PRINT Congress & Exhibition

Salon de l'impression 3D.
Il y a 3 ans et 207 jours

Mawev

Salon de démonstration d'engin de construction.
Il y a 3 ans et 207 jours

NordBat

Salon des professionnels de la construction.
Il y a 3 ans et 207 jours

ChicagoBuild

Salon construction, design et intérieur de Chicago et de la moitié ouest.
Il y a 3 ans et 207 jours

BETON TAGE

Salon regroupant des machines de chantier et les techniques innovantes sur le secteur du béton.
Il y a 3 ans et 208 jours

Master Builders Solutions lance Solunaut et Online Planning Tool

Solunaut est un moteur de recherche mis à disposition des professionnels de la construction par Master Builders Solutions. [©MBCC Group] Depuis le lancement de son centre de ressources Virtual Design Construction (VDC), Master Builders Solutions (ex-MBCC Group, dans le giron de Sika) a développé près de 700 objets BIM. Aujourd’hui, l’industriel propose deux solutions digitales : Solunaut et Online Planning Tool. Ces deux outils évolutifs reposent sur une base de données considérable. Ils seront enrichis et actualisés au fur et à mesure. Et sont accessibles gratuitement sur le site de Master Builders Solutions, identifiés dès la page d’accueil. A destination des professionnels de la construction Solunaut est un moteur de recherche au service des acteurs de la construction, apportant rapidité et logique de recherche. Il permet à l’utilisateur de trouver la solution Master Builders Solutions qui le concerne. De plus, il est richement illustré de schémas. Un tableau récapitulatif permettra au décideur de comparer les diverses propositions, leur conformité aux normes, leurs différentes variantes. Et ce, jusqu’à la fiche technique correspondant au produit. Lire aussi : Sika acquiert MBCC Group (ex-BASF CC) pour un montant de 5,2 Md€ Online Planning Tool est un outil de planification, de décision et de constitution du dossier technique. Il permet à chaque intervenant (architecte, concepteur, bureau d’études…) de matérialiser les solutions nécessaires à la réalisation du projet de construction. A partir d’un ouvrage précis à construire, l’utilisateur va pouvoir intégrer en amont ses exigences . A savoir les dimensionnements, les usages, les fonctionnalités… L’ensemble de ces informations techniques indispensables (réglementations existantes, Avis techniques, normes…), à constituer, sera ainsi coordonné et mis à disposition du professionnel dans un fichier personnalisé.
Il y a 3 ans et 208 jours

Blard fait découvrir “Blard Environnement”

Mercredi 23 et jeudi 25 novembre, la société Blard ouvre ses portes au public. [© Blard] « Le thème de la 10eédition de la Semaine de l’industrie “Inventer un avenir durable” ne pouvait pas être plus proche de nos préoccupations actuelle. Et plus en cohérence avec notre nouvelle activité “Environnement”. Cette thématique a été choisie par le gouvernement. Afin d’illustrer et de valoriser l’engagement des acteurs industriels et des partenaires dans la transition écologique et l’économie circulaire », indique l’industriel du béton, Blard. Ainsi, le mercredi 23 et le jeudi 25 novembre, l’entreprise ouvre ses portes au public. Afin de faire découvrir ses sites de production, ses produits et surtout sa nouvelle activité “Blard Environnement”. Création de la marque “Blard Environnement” Certifié QSE en système intégré, lBlard a toujours mis le développement durable au cœur de sa stratégie. En 2016, H2D, la maison-mère de Blard, décide de diversifier ses activités et de développer un pôle “Environnement”. En faisant l’acquisition d’une société spécialisée dans la conception, la fabrication, l’installation et la maintenance d’outils et de solutions de pré-collecte des déchets ménagers. Deux ans plus tard, une autre société dans ce même domaine rejoint H2D. Blard dispose désormais de deux sites de production, le premier basé à Pont-Audemer (27) et le second à Saint-Bonnet-de-Mure (69). L’idée a donc germé de développer une branche “Environnement”, en complément de celle “Assainissement”. En 2021, Blard créée la marque “Blard Environnement”. Dont la volonté est de proposer aux collectivités une gamme complète de conteneurs d’apport volontaire (enterrés, semi-enterrés, aériens) innovante et ses services associés. Ses impacts sur l’environnement Blard Environnement s’est engagée dans une maîtrise de ses impacts directs et indirects sur l’environnement. Ainsi que dans des circuits courts de production, en choisissant des fournisseurs à proximité de ses sites de production. C’est d’ailleurs pour cette raison que la majorité de ses produits sont certifiés “Origine France Garantie”. Blard Environnement s’attache aussi à favoriser des matériaux recyclables et ayant un coût environnemental de production le plus faible possible.
Il y a 3 ans et 211 jours

L’envers du béton

“L’envers du béton”, un documentaire à voir sur France 5, le dimanche 5 décembre, à 20 h 55.[©France Télévisions] Le béton est-il aussi pérenne que l’on l’imagine ? Dimanche 5 décembre prochain, à 20 h 55, France 5 diffuse “L’envers du béton”, un documentaire signé Frédéric Biamonti et Alain Duval, qui pose cette question. L’effondrement du pont Morandi, à Gênes, le 14 août 2018, en constitue le point de départ. La catastrophe a fait 43 victimes. Quelle en est la cause ? Est-ce intrinsèquement la qualité du béton ou plutôt une quasi-absence d’entretien qui a conduit à la ruine de l’ouvrage ? Christian Tridon, président du Strres1, indique, dans une interview accordée à Béton[s] le Magazine2, que : « Cet ouvrage était très particulier dans sa conception et demandait un suivi très précis et poussé, qui, visiblement, n’avait pas été mis en place ». Lire aussi : Strres : « Il faut mettre en place un carnet de maintenance des ponts » Oui, le béton armé n’est ni éternel ni immuable. “L’envers du béton” le rappelle très bien et à juste titre. Même si, à une certaine époque, des architectes, des maîtres d’ouvrage, des politiques ont pu le croire. Un jugement qui a sans doute conduit à négliger la nécessité de l’entretien des ouvrages en béton armé. Mais ce constat est tout aussi vrai, quel que soit le matériau utilisé…  L’argent manque pour l’entretien La commune d’Avril-sur-Loire, dans la Nièvre, est accessible par un unique pont… [©France Télévisions] L’acier est le constituant secondaire du béton. Il donne son nom au matériau final qu’est le béton armé. Il est à la fois l’élément qui permet d’en tirer la quintessence, tout en étant le point faible du béton. Car mis en contact avec l’eau ou l’humidité de l’air, l’acier se corrode. Cette réaction crée une expansion qui aboutit à l’éclatement du béton et à la ruine de l’ouvrage, si rien n’est fait. C’est une réaction en chaîne.  On en revient donc toujours au même constat : le béton armé doit être entretenu, réparé, protégé de l’humidité, des intempéries pour empêcher l’acier qui constitue son armature de rouiller. Mais cette action a un coût et, visiblement, l’argent manque. Qu’il s’agisse des deniers de l’Etat, des fonds municipaux et des revenus des particuliers propriétaires de leur logement… “L’envers du béton” interroge aussi sur le devenir du béton. S’il a été le matériau du XXe siècle, sera-t-il celui du XXIe siècle ? D’une manière parfois abusive, le béton est accusé de tous les maux. En particulier d’épuiser les ressources en sable. Mais en est-il l’unique consommateur ?  Entre raréfaction des ressources et empreinte carbone A Marseille, cette tour d’habitations est très dégradée, faute d’entretien… [©France Télévisions] Une rapide recherche sur Internet suffit pour se rendre compte que le champ d’emploi du sable ressemble à une liste à la Prévert. Il est présent dans l’électronique pour fabriquer les micro-processeurs, en fonderie de métaux pour réaliser des moules. Il est la matière première du verre. On l’emploie pour filtrer les liquides, les gaz ou l’air. C’est un formidable abrasif industriel. L’effet délavé des jeans est le fait d’un sablage haute pression. Certains sables peuvent aussi être utilisés en amendement de terres agricoles…  Lire aussi : Strres & IMGC : Un inventaire des ponts à la Prévert Et l’industrie cimentière dans tout ça ? Le processus de fabrication est abordé dans le documentaire, avec une conclusion, implacable : “la production de 1 t de ciment génère 1 t de CO2”. Un résultat un peu trop arrondi, car augmentant le poids émis de près de 25 % par rapport aux valeurs constatées aujourd’hui en France. De la même manière que certains, dans le passé, considéraient le béton comme éternel, d’autres de nos jours estiment le ciment plus polluant qu’il ne l’est. D’autant que l’industrie cimentière s’est engagée depuis les années 1990 dans une démarche de réduction de son empreinte carbone3. Avec pour objectif, la neutralité en 2050. Cet aspect n’est hélas pas expliqué dans le film, alors qu’il fait aussi partie de l’envers du béton !  “Le bon matériau au bon endroit” Le béton armé a donc bel et bien fini son temps ? Entrons-nous dans l’ère du bois ? Pourquoi pas ! Ce matériau n’est pas nouveau. Les anciens l’ont utilisé durant des siècles pour construire des maisons, des ponts, des édifices. Un mur en bois lamellé-collé est aussi solide qu’un mur en béton banché. Lire aussi : Le Strres alerte aussi sur l’état des ponts de France Mais là doit se poser la question de la durabilité. Si le bois n’est pas protégé de l’humidité et des champignons, il ne risque certes pas de rouiller, mais il va pourrir. S’il ne bénéficie pas d’un traitement insecticide, il fera le régal des mérules, termites et autres capricornes. Et qu’en est-il de la sécurité au feu ? Jusqu’à preuve du contraire, le bois brûle. L’incendie de la charpente de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris nous l’a rappelé d’une manière aussi spectaculaire et tragique que l’effondrement du pont Morandi.  Trop longtemps, les matériaux ont été opposés les uns aux autres. “Après moi, le déluge” doit désormais appartenir au passé. Aux acteurs de la construction de prôner aujourd’hui la politique du “bon matériau au bon endroit”, au-delà des effets de mode. Frédéric Gluzicki 1Syndicat national des entrepreneurs spécialistes de travaux de réparation et de renforcement des structures.2Lire Béton[s] le Magazine n° 97 – Novembre/Décembre 2021, p. 23.3Lire Béton[s] le Magazine n° 96 – Septembre/Octobre 2021, p. 26.
Il y a 3 ans et 211 jours

Antoine Dupont devient l’ambassadeur du groupe Sika France

Antoine Dupont, la nouvelle star du rugby français, devient l’ambassadeur de Sika France. [©Sika] Spécialiste dans le secteur de la construction, Sika France vient de signer un partenariat avec Antoine Dupont. Vous ne rêvez pas, le demi de mêlée du Stade Toulousain devient l’ambassadeur de la marque et de Parexlanko. Du haut de ses 25 ans, le joueur français s’inscrit pleinement dans les ambitions de l’industriel. « Nous l’avons choisi pour les valeurs qu’il prône et que nous partageons, affirme Pascal Malafosse, directeur général de Sika France. Il incarne l’excellence, la créativité, l’esprit d’équipe, le leadership. Nous appelons cela le “Sika Spirit”. »  Lire aussi : Sika acquiert MBCC Group (ex-BASF CC) pour un montant de 5,2 Md€ En tant qu’ambassadeur, Antoine Dupont sera présent aux côtés du groupe jusqu’au 31 décembre 2023. D’ailleurs, la nouvelle étoile montante du rugby ne cache pas son plaisir de rejoindre le groupe. « C’est un grand honneur pour moi de devenir l’ambassadeur de Sika et de ses marques, déclare Antoine Dupont. J’ai été séduit par ce projet en raison de nos valeurs communes. » 
Il y a 3 ans et 211 jours

Leborgne dévoile son nouvel huileur Nanovib

Leborgne dévoile son nouvel huileur de banches de la gamme Nanovib. [©Leborgne] Leborgne poursuit son engagement pour ses clients. Le spécialiste des outils pour professionnels élargit sa gamme Nanovib. L’industriel propose un nouvel huileur de banches à manche télescopique. Cet outil est destiné à améliorer les conditions de travail des compagnons. Sa conception s’appuie sur la méthode “Design Centré Utilisateur”, qui place les professionnels au centre du développement du produit. Pour ce faire, Leborgne a sollicité les conseils d’experts de la prévention, de l’OPPBTP, et de la SIST-BTP, entre autres. Un huileur plus pratique Par cette démarche, l’industriel a voulu se démarquer des produits traditionnels. En effet, l’huileur propose des caractéristiques plus pratiques. En premier lieu, sa largeur de 55 cm et sa portée allant jusqu’à 5 m permettent une répartition égale de l’huile de décoffrage sur les banches. Lire aussi : Leborgne : Burineur 30 % plus léger Cette dernière est appliquée sans surdosage. L’uniformisation de l’huilage offre une finition propre, lisse et homogène du béton. De plus, le manche léger et résistant de 2 à 3,50 m de long permet au professionnel de garder une bonne posture. Limitant ainsi les potentiels troubles musculo-squelettiques de l’épaule. Désormais, le recours aux plates-formes individuelles roulantes ne fait plus partie des projets de Leborgne…
Il y a 3 ans et 211 jours

Le CCCA-BTP lance les Trophées de l’innovation du Winlab’

Le CCCA-BTP lance la première édition des Trophées de l’innovation du WinLab’. [©CCCA-BTP] Le Comité de concertation et de coordination de l’apprentissage du bâtiment et des travaux publics (CCCA-BTP) lance les Trophées de l’innovation du WinLab’1. Sous la responsabilité de Carine Seiler, haut commissaire au ministère du Travail, le concours est dédié à la formation professionnelle par l’apprentissage dans les métiers du BTP. Il a pour objectif de reconnaître, collecter, diffuser et répliquer les pratiques les plus innovantes développées en 2020 et 2021. L’évènement est ouvert à l’ensemble des organismes de formation et aux apprentis du BTP, ainsi qu’aux entreprises formatrices.  Le concours divisé en quatre catégories Les Trophées de l’innovation WinLab’ se déroulent en trois étapes, entre novembre 2021 et mars 2022. Chaque candidat peut présenter son projet sous la forme d’une courte vidéo avant le 31 décembre 2021. Lire aussi : CCCA-BTP : L’innovation au coeur de la formation Les participants peuvent s’inscrire dans l’une des quatre catégories du concours. A savoir : “Imaginer le CFA de demain”, “Développer l’attractivité des CFA”. Mais aussi “Anticiper l’évolution des métiers du BTP” ou “Décloisonner pour innover”.  L’innovation au cœur du BTP A l’heure où le secteur du bâtiment doit répondre aux nouveaux enjeux de la rénovation énergétique, de la décarbonation ou de la digitalisation, l’acquisition de nouvelles compétences est indispensable. Lire aussi : La FNTP et le CCCA-BTP unis pour la formation C’est pourquoi le concours vise à explorer les innovations issues des organismes des formations aux métiers du BTP. Il se focalise aussi sur la valorisation des solutions locales duplicables au niveau national. Enfin, le CCCA-BTP souhaite promouvoir les expérimentations menées par les organismes du BTP pour accroître l’efficience des parcours de formation. 1 Au sein du CCCA-BTP, le WinLab’ est un incubateur et un laboratoire d’innovations. Il a été créé dès 2017, suite à un concours d’idéations.
Il y a 3 ans et 212 jours

Urbest 2022

Salon des décideurs de l'espace public du Grand Est.
Il y a 3 ans et 212 jours

BSM ouvre le plus grand BPE de France

BSM vient de mettre en service son nouveau site de production de Gennevilliers, au Nord de Paris. [©ACPresse] Avec un chiffre d’affaires attendu pour 2021 de 150 M€, quelque 185 collaborateurs et une production de béton supérieure à 1 Mm3/an, Béton Solutions Mobiles (BSM) poursuit son développement d’une manière plus que soutenue. « A l’heure actuelle, nous disposons d’un réseau de 31 centrales à béton, dont 12 mobiles », indique Philippe Tibère-Inglesse, président de BSM. Et de dévoiler : « 7 permis de construire sont déposés ou en cours de dépôt pour l’installation d’autant d’unités fixes supplémentaires ».  Dans le détail, BSM a prévu l’ouverture de 3 nouvelles centrales en Normandie et de 2 dans l’Oise, dont une en cours de montage à Beauvais. A cela s’ajouteront 2 unités en Ile-de-France : une au Sud et une à l’Ouest, à Lognes, siège de l’entreprise. Mais l’actualité immédiate pour l’industriel est l’ouverture de son nouveau site de production de Gennevilliers, au Nord de Paris. Pour BSM, la genèse de cette installation est sa volonté de pouvoir maximiser ses flux par voie d’eau. C’était aussi le souhait du Port Autonome de Paris, propriétaire du site, que de favoriser le trafic fluvial.  Un investissement de 4 M€ De l’extérieur, peu de choses laissent deviner que la présence de la plus importante centrale à béton de France. « Ici, nous sommes en capacité de produire quelque 200 000 m3/an de BPE ! », affirme Philippe-Inglesse. Comme à Lognes, siège de BSM, toute l’installation est construite à l’intérieur d’un bâtiment fermé. La surface totale disponible est de 8 500 m2 (210 m de long pour 40 m de large), avec une hauteur maximale sous faîtage de 13 m. Ici, ce ne sont pas une, ni 2, mais bien 3 centrales à béton complètes et autonomes qui occupent les lieux. Et ce, depuis le 1ernovembre dernier. Un ensemble construit, livré et assemblé par Arcen en un temps record, puisque le site était accessible à partir du 4 janvier 2021… Pour BSM, l’investissement représente un montant de 4 M€ en matériels et équipements. A quoi s’ajoutent les fonds nécessaires à toutes les mises en conformité du bâtiment existant. 
Il y a 3 ans et 212 jours

La Rep reportée d’un an

L’entrée en service de la Rep est reportée d’un an. [©ACPresse] “L’année 2022 sera ainsi mise à profit pour que les éco-organismes agréés puissent établir les conventionnements avec les collectivités et acteurs privés de la gestion des déchets de construction. Ceci, afin de pouvoir enclencher, au plus tard le 1erjanvier 2023, les soutiens financiers.” C’est ainsi que le ministère de la Transition écologique conclut le communiqué de presse annonçant, sans le dire, le report de l’entrée en application de la responsabilité élargie des producteurs (Rep). Le secteur du bâtiment dispose donc d’une année supplémentaire pour organiser la filière de collecte et de valorisation des déchets générés par la construction. Pour mémoire, ceux-ci représentent un poids total annuel de quelque 42 Mt. Soit l’équivalent de la quantité de déchets produits par les ménages français sur un an…  Un an pour établir les conventions C’est la loi n° 2020-105 du 10 février 2020 qui établit les bases de la lutte contre le gaspillage et de l’économie circulaire. Elle a prévu, en particulier, la mise en place d’une nouvelle filière à responsabilité élargie des producteurs (Rep) pour les produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment. Cette nouvelle filière permettra de renforcer le maillage des points de collecte sur tout le territoire. Et ils seront accessibles aux artisans comme aux entreprises du bâtiment. Mais aussi aux particuliers. Le but final est de développer le réemploi, la réutilisation et le recyclage de ces déchets. L’organisation de cette filière apportera – il faut l’espérer – une solution concrète à la problématique des dépôts sauvages de déchets du bâtiment. En effet, la reprise des déchets doit être gratuite, car financée par les éco-organismes. En se basant sur ce nouveau calendrier, l’année 2022 sera celle de l’établissement des conventions entre les éco-organismes agréés et les acteurs de la gestion des déchets de construction.  Plus de temps pour intégrer les modalités Dans ce cadre, le gouvernement publiera d’ici la fin de l’année le décret fixant les règles et principes de cette nouvelle filière. En parallèle, le ministère de la Transition écologique lance, dès aujourd’hui, la concertation sur le projet de cahier des charges des éco-organismes. Afin que ceux-ci puissent être agréés dès le début de l’année 2022.  Le report de l’entrée en application de la Rep s’explique largement par un contexte marqué par la crise sanitaire. Et aussi par la situation de tension sur les approvisionnements de certaines matières premières. Il était devenu indispensable pour toutes les parties prenantes de disposer de plus de temps pour intégrer les modalités de mise en œuvre de cette nouvelle filière. Et prévoir une progressivité dans le déploiement.
Il y a 3 ans et 217 jours

Sika acquiert MBCC Group (ex-BASF CC) pour un montant de 5,2 Md€

Sika fait l’acquisition de MBCC Group. [©Sika] Sika a profité de la journée du 11 novembre pour annoncer l’acquisition de MBCC Group, ex-BASF Construction Chemicals. Ceci, pour un montant record de 5,2 Md€, soit 5,5 Md de CHF. Ce prix est égal à 11,5 fois la valeur de l’entreprise par rapport à l’Ebitda (excédent brut d’exploitation) attendu pour 2022. Mais, compte tenu des synergies annuelles de 150 à 170 M€ (160 à 180 M de CHF) visées, cette valeur devrait être ramenée à 8,5 fois. Il s’agit là de la plus importante intégration jamais réalisée par Sika. Le financement de l’opération est garanti par un crédit relais. L’acquisition s’est faite auprès de Lone Star Funds, société de capital-investissement, propriétaire de MBCC Group depuis le 21 décembre 2019. A l’époque, Lone Star Funds avait signé un chèque de 3,17 Md€ pour cet achat… Un développement dans les adjuvants pour bétons Alors que Sika a réalisé un chiffre d’affaires annuel de 7,47 Md€ (7,88 Md de CHF) en 2020, MBCC Group se présente comme l’un des industriels les plus reconnus dans le domaine de la construction à travers le monde. Et affiche un chiffre d’affaires de 2,7 Md€, soit l’équivalent de 2,9 Md de CHF. Grâce à cette acquisition, Sika escompte atteindre un revenu global supérieur à 12,3 Md€ (13 Md de CHF) dès 2023. En effet, la transaction est soumise à l’approbation des autorités réglementaires. Sa finalisation est attendue pour le second semestre de l’année 2022. Mais Sika « est confiant dans l’obtention de toutes les autorisations et collaborera activement avec les autorités », indique le communiqué de presse.  Répartition des activités du nouvel ensemble créé par Sika et MBCC Group. [©Sika] En intégrant MBCC Group, Sika complète et élargit son offre de solutions dans quatre de ses cinq technologies de base. A savoir, les adjuvants pour bétons, les additions pour ciments. Mais aussi les revêtements de sols et les adhésifs. Ainsi, une fois le nouvel ensemble en place, les adjuvants représenteront 21 % de l’activité et les additions pour ciments, 28 %, contre 14 % et 26 % pour Sika aujourd’hui.  Une complémentarité au niveau des gammes Thomas Hassler, Pdg de Sika, lors de la conférence de presse de l’annonce de l’acquisition de MBCC Group. [©Sika] A la tête de marques comme Master Builders Solutions ou PCI, pour les plus connues en France, MBCC Group a son siège basé à Mannheim, en Allemagne. Il emploie quelque 7 500 collaborateurs, est présent dans 60 pays et dispose de 130 sites de production. « Ensemble, nous renforcerons notre complémentarité au niveau de nos gammes de produits et de services, tout au long du cycle de vie de la construction », résume Thomas Hassler, Pdg de Sika. Et Jochen Fabritius, Pdg de MBCC Group, de conclure : « Nous avons trouvé un partenaire parfait qui partage nos convictions. Sika est reconnu pour son esprit entrepreneurial et sa stratégie de croissance rentable. Nos produits et nos compétences seront à nouveau au cœur de l’entreprise ».
Il y a 3 ans et 220 jours

Préventica Toulouse

Salon de l'information pour les secteurs de la santé, la sécurité et la qualité de vie au travail.
Il y a 3 ans et 220 jours

La fédération Cinov lance la 1re édition des “Talentes”

“Les Talentes” récompensent les femmes exerçant les métiers dans l’ingénierie ou le numérique. [©Cinov] La fédération Cinov annonce le lancement de la 1re édition “Les Talentes” pour récompenser les femmes dans les métiers de l’ingénierie ou encore du numérique… Le 15 décembre prochain, un jury composé de professionnels décidera des gagnantes. Malgré une progression de la parité homme / femme au sein des métiers techniques, il reste encore du chemin à parcourir. En effet, deux tiers des postes sont occupés par des hommes. Lire aussi : Ingérop dévoile les vainqueurs de la 2è édition du IN3 Ainsi, “Les Talentes” a pour vocation de mettre en lumière la contribution des femmes dans les secteurs de l’ingénierie et du numérique. L’évènement peut aussi permettre d’influencer les jeunes, en particulier les adolescentes. « La féminisation de la branche revêt un enjeu triple pour les années à venir, affirme Magali Delhaye-Cottave, vice-présidente de la fédération Cinov. Il faut casser les clivages instaurés pour mettre à la portée des femmes des métiers masculinisés. » Les “Talentes” de Cinov en sept catégories Les “Talentes” comportent sept catégories. Le Cinov adresse le prix de “l’innovante” à celle qui va changer les pratiques habituelles du secteur avec des idées novatrices. “L’entreprenante” récompensera une professionnelle qui a su mener son entreprise avec succès, grâce à une stratégie pertinente et audacieuse. “La globe trottante”, elle, se démarquera par son parcours international et son adaptation à un univers multiculturel. Quant à “la militante”, c’est son implication dans les domaines de l’environnement au sein de sa société qui sera récompensée. Pour le prix de “l’enseignante”, il honore la meilleure maîtresse d’apprentissage en charge d’une jeune débutante. Débutante qui, par son parcours et sa motivation, peut se voir décerner le titre de “La jeune talente”. Et pour finir, le prix de “La talente” est destiné à la femme qui incarne le mieux les ambitions féminines dans les métiers de l’ingénierie et du numérique. Toute nomination pour ces prix implique la candidature pour ce titre. Les participantes ont jusqu’au 24 novembre pour se présenter à ce concours sur le site “es Talentes”. 
Il y a 3 ans et 221 jours

Mur de Berlin, plus de trente ans déjà…

Podcast ACPresse – Le Mur de Berlin, lu par Nadia Zanoun. Coup de théâtre ! Dans la nuit du 12 au 13 août 1961, les forces armées de la République démocratique d’Allemagne déploient des barbelés pour bloquer les rues et les voies ferrées qui mènent à Berlin-Ouest. Des maçons empilent les parpaings, sous la surveillance de policiers et de soldats. Le Mur de Berlin, projet ultra secret du gouvernement Est-allemand, voit le jour. L’allégorique “Rideau de fer” qui sépare le bloc des pays de l’Est de l’Ouest devient ici un mur de béton. D’une longueur de 140 km, dont 43 km à l’intérieur même de Berlin, le Mur coupait près de 193 rues, lignes de tramways y compris… [©ACPresse/Frédéric Gluzicki] « Avec la construction du mur de protection antifasciste, nous avons stabilisé la situation politique en Europe. Nous avons consolidé la paix », déclarait Erich Honecker, secrétaire du comité central pour les questions de sécurité. En réalité, il s’agit de contenir l’exode massif des habitants vers la République fédérale d’Allemagne. Depuis 1949, entre 2,5 à 3,5 millions d’Allemands sont partis à l’Ouest. Maillon faible de dispositif de contrôle ? La frontière urbaine de Berlin. En effet, il suffit de prendre le métro pour passer à l’Ouest. Cette fois-ci, tous les moyens de transport entre les deux Berlin sont interrompus. Et des troupes soviétiques se tiennent prêtes au combat aux postes frontières des Alliés.  De fer et de béton D’une hauteur visible de 3,60 m et épais de 15 cm, les éléments composant le Mur étaient enfuis dans le sol à 2,10 m de profondeur. L’ouvrage, était aussi pourvu d’un système très complet de fils de fer barbelés, de fossés, de chemins de ronde et de miradors. [©ACPresse/Frédéric Gluzicki] Long de 140 km, dont 43 km à l’intérieur même de Berlin, le Mur coupe 193 rues. A partir de 1972, il devient même infranchissable. La dernière génération du Mur est constituée d’éléments préfabriqués en béton ne pouvant plus être enfoncés par des véhicules. D’une hauteur visible de 3,60 m, épais de 15 cm et larges de 1,20 m, ces éléments sont enfouis dans le sol à 2,10 m de profondeur. L’ouvrage est aussi pourvu d’un système très complet de fils de fer barbelés. Mais aussi, de fossés, de chemins de ronde et de miradors. Quelque 14 000 gardes et 600 chiens sont affectés à la surveillance de l’ensemble du dispositif. Seuls vingt-cinq points de passage permettent la circulation. Treize par la route, quatre par voie ferrée et huit par voie d’eau.  Durant vingt-huit ans, la Porte de Brandebourg fut prisonnière du Mur, coincée dans le no man’s land séparant les deux Berlin. [©ACPresse/Frédéric Gluzicki] Plus de 100 000 citoyens de la RDA ont tenté de fuir leur pays par la frontière intra-allemande ou par le Mur de Berlin. Près de 5 043 personnes ont réussi à franchir le Mur et au moins 136 ont été tuées entre 1961 et 1989, lors de tentatives d’évasion. Une chute non annoncée Situé au croisement de Friedrichstrasse et de Zimmerstrasse, le fameux Checkpoint Charlie a vu Soviétiques et Américains se défier durant près de 30 ans. [©ACPresse/Frédéric Gluzicki] Jeudi 9 novembre 1989. Le lendemain de la démission collective des dirigeants du parti, tous les citoyens de la RDA sont autorisés à circuler librement. Et à quitter le pays selon l’annonce faite à la télévision Est-allemande. Information aussitôt relayée par les médias de la République fédérale et de Berlin-Ouest. Des milliers de Berlinois se mettent alors en chemin. Sans ordre concret, mais sous la pression de la foule, le point de passage de la Bornholmer Strasse est ouvert peu après 23 h 00. Dès le lendemain, les habitants entament la destruction du mur à l’aide de pioches et marteaux. Le Mur a disparu du centre-ville en novembre 1990, le reste un an plus tard. Seules, six sections ont été conservées. Aujourd’hui, une double rangée de pavés et des plaques en fonte portant l’inscription Berliner Mauer 1961-1989 immortalisent le tracé historique du Mur. Quelques mois après la chute, les vestiges du Mur étaient encore présents dans Berlin… [©ACPresse/Frédéric Gluzicki] La partie la plus connue, située entre la gare de l’Est et le pont de l’Oberbaum, le long de la Spree, mesure 1,3 km. Appelée East Side Gallery, elle comporte 106 peintures murales, réalisées en 1990, œuvres de 118 artistes du monde entier. La plus longue fresque à ciel ouvert du monde ! Fortement dégradée, elle avait retrouvé ses couleurs et ses inscriptions grâce au projet “Write the Wall”. Ce dernier rassemblait les artistes de l’époque. Mais aussi des créateurs anonymes… Retrouvez aussi l’article sur “Mur(s) de Berlin : Le béton de la liberté” Mariola Gluzicki
Il y a 3 ans et 222 jours

Yann Lestrat : Une histoire de béton et de Japon

La sphère en béton de Yann Lestart tire son nom de l’immeuble d’habitation Akoya. [©DR] L’artiste plasticien Yann Lestrat réalise des sphères en béton, mais pas que…, s’intègrant dans le paysage urbain quotidien. Il vient de concevoir une œuvre en béton, qui va être incorporée à l’immeuble rennais d’habitation Akoya, porté par le constructeur Aiguillon. Cette version en béton, pleine et pesant 8 kg, est la petite sœur d’une sphère en polyester datant de 2011. Yann Lestrat a ainsi collaboré avec l’architecte du projet, afin de créer une pièce unique, qui s’adapte à l’environnement.  La sphère en béton tire son nom du bâtiment. Ainsi, Akoya fait référence aux perles de culture japonaise cultivées en mer de Chine. L’installation intègre  un niveau à bulle en son sein. L’occasion ici de faire le lien entre l’art et le monde de la construction. L’objet est donc par définition non fonctionnel. Par ailleurs, mettre un niveau sur un élément sphérique, qui, par son galbe, ne peut rester statique, lui apporte une dimension plus profonde.  Une installation dissimulée La sphère en béton et son implantation dans l’espace font aussi partie de l’œuvre elle-même. En effet, la pièce ne sera pas visible du tout, intégrée par un mur support constitué de boîtes aux lettres. Sa présence sera juste notifiée par une plaque explicative. La faire disparaître permet de jouer sur la frustration du spectateur. C’est une manière de mettre en avant l’absence d’intérêt pour l’art contemporain et de créer de la curiosité. L’œuvre est dissimulée à la vue de tous, placée dans un bloc béton. [©DR]L’œuvre est dissimulé à la vue de tous, placé dans un bloc béton. [©DR]L’artiste a créé pour le constructeur 7 modèle de sa création [©DR]Pour la commercialisation les sphères seront livrées dans un cartonnage avec une mousse spécialement conçue. [© Lendroit Editions] Dire que l’œuvre a été dissimulé permet de s’interroger sur le devenir du bâtiment. Si un jour, cet immeuble devait être détruit, qu’en sera-t-il de cette “chose”, comme la décrit Yann Lestrat ? Sera-t-elle toujours présente ? Et dans quel état ? Elle prendrait alors une dimension de capsule temporelle. Trace d’une existence passée. Sept exemplaires ont déjà été réalisés pour le constructeur. Trente autres, numérotés, seront produits, afin d’être commercialisés. Réalisées à la main, les pièces uniques recouvrant une ossature sphérique porteuse sont en béton fin. Un siphon font font… Une seconde réalisation sera présente dans le bâtiment d’habitation Akoya. Elle prendra la forme d’un miroir, avec en son centre un niveau à bulle. Aussi, a contrario, cette œuvre sera visible de chacun et permettra aux habitants de découvrir l’art contemporain à leur porte. Tout au long de sa carrière, l’artiste Yann Lestrat a expérimenté de nombreux médias. Allant de la peinture à la photographie. Il a notamment photographié un paysage naturel, dans lequel il a placé un siphon en son centre. Une métaphore de la capacité de l’homme de produire et d’évacuer de nombreux déchets dans la société et la nature même. 
Il y a 3 ans et 225 jours

Demathieu Bard et Cycle Up annoncent leur partenariat

Photo d’une devanture d’un ancien garage à Lyon destiné à être déconstruit pour laisser place à des bureaux. [©Demathieu Bard] L’entreprise de BTP, Demathieu Bard, et Cycle Up, spécialisé dans le recyclage de matériaux de construction, ont signé un partenariat. Celui-ci se focalisera sur une stratégie de réduction de l’impact carbone des activités de Demathieu Bard. Il vise à favoriser le réemploi des produits issus des chantiers, notamment de la déconstruction et de la rénovation pour les intégrer dans des projets neufs. Lire aussi : Cemex et la LPO : un renouvellement pour la biodiversité En toute logique, ce partenariat s’inscrit dans la démarche d’innovation et de RSE du groupe de BTP. D’ailleurs, en 2020, ce dernier a crée une direction dédiée aux solutions techniques. Elle centre ses recherches sur l’efficacité énergétique, ainsi que sur l’évolution des modes constructifs et des matériaux. Une manière de contribuer à l’amélioration de ses pratiques en matière de construction et de promotion immobilière.  Une collaboration divisée en quatre missions Dans le cadre de cette collaboration, les deux sociétés ont axé leur stratégie autour de plusieurs missions. Parmi elles, la réalisation de diagnostics des ressources liées aux opérations de Demathieu Bard. L’application Diag It, développée par Cycle up s’occupera d’évaluer ces matériaux. Lire aussi : Capeb et Herige : Un partenariat environnemental Mais aussi, la création et la mise à disposition d’une base de données géolocalisées des produits analysés au préalable. Par la suite, l’ensemble de ces ressources seront regroupées et vendues sur le site de Cycle Up. Enfin, la dernière mission de ce partenariat a pour vocation d’accompagner l’entreprise de construction dans l’élaboration de sa stratégie d’économie circulaire.
Il y a 3 ans et 225 jours

Cemex et la LPO : un renouvellement pour la biodiversité

Michel André (à droite), directeur des activités matériaux de Cemex, et Allain Bougrain Dubourg (à gauche), président de la LPO, renouvellent leur partenariat pour la préservation de la biodiversité. [©Cemex] Cemex renforce son engagement pour la biodiversité. En effet, l’industriel a renouvelé son partenariat avec la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) pour la 18e année consécutive. La convention a été signée lors d’un évènement centré sur l’économie circulaire organisé par Cemex, le 21 octobre dernier. En place depuis 2003, cette collaboration est désormais repartie pour 3 années supplémentaires. « Nous sommes partenaires depuis 18 ans, souligne Michel André, directeur des activités matériaux de Cemex. Ainsi, cela illustre notre volonté de préserver la biodiversité et de maîtriser notre impact sur l’environnement. » Cet engagement permettra à la LPO d’accompagner Cemex dans son programme “Entreprises engagées pour la nature”. Ce dernier a été acté auprès du ministère de la Transition écologique et de l’Office français de la biodiversité.  Lire aussi : Cemex, mécène d’Odyssée La convention s’articule autour de deux volets. La partie “Accompagnement” permet aux deux collaborateurs de mettre en commun leurs compétences. Une façon pour Cemex de renforcer ses actions de préservation de la biodiversité sur ses sites. Puis, le “Mécénat”, porté par la LPO, soutient des programmes de conservation du patrimoine naturel. Cemex en faveur de la biodiversité Par ailleurs, Cemex et la LPO ont dévoilé leur démarche pour la sécurité animale. Dont, le plan d’action “Hirondelles de rivage” qui se poursuit. Initié en 2013, il vise à concilier l’exploitation de carrières et l’accueil des oiseaux au sein de ses sites. Après 9 ans d’analyse, les résultats ont été collectés et diffusés auprès des collaborateurs de Cemex pour encourager les bonnes pratiques. Lire aussi : Agir pour sauver la biodiversité et la planète Dans le cadre de leur partenariat, l’industriel et la LPO se focaliseront aussi sur la démarche “Cemex Bétons agit pour la biodiversité”. Entamé en 2012, ce projet veut contribuer à l’accueil de la nature en ville pour favoriser la biodiversité. En parallèle, Cemex soutient financièrement les programmes de la LPO. Ainsi, l’industriel se mobilise pour la sauvegarde du vison d’Europe en Charente et du moineau domestique de Paris.
Il y a 3 ans et 226 jours

Lafarge France mise sur le béton de bois

Lafarge France entre au capital de CCB Greentech, le créateur du béton de bois TimberRoc. [©Lafarge] Lafarge France entre au capital de CCB Greentech, le créateur du béton de bois TimberRoc. Les deux industriels annoncent un rapprochement capitalistique, industriel et commercial pour développer l’invention de la start-up. Cette dernière permet la préfabrication en usine de murs porteurs et de dalles en béton de bois. Ce produit bénéficie de qualités techniques, telles que la résistance au feu ou un bon déphasage thermique. D’ailleurs, cette technologie repose sur 15 ans de recherche et développement et sur 10 brevets. Ainsi, la filiale du groupe suisse a décidé de s’engager au côté de la start-up pour valoriser la construction bas carbone. Un partenariat pour la construction bas carbone En effet, le TimberRoc se positionne comme un matériau présentant un bilan carbone négatif. Ses granulats de bois forestiers labellisés PEFC permettent de construire des bâtiments, tout en répondant aux enjeux environnementaux actuels et à la RE 2020. Ainsi, Lafarge France met à disposition son laboratoire d’essai et son réseau commercial, en suivant deux objectifs. Lire aussi : Capeb et Herige : Un partenariat environnemental Tout d’abord, en promouvant ce produit auprès de ses partenaires pour déployer de nouveaux utilisateurs et de nouvelles applications. Ensuite, en développant des solutions inédites pour le chantier avec les granulats de bois. « La technologie de CCB Greentech, associée à notre savoir-faire de cimentier et de bétonnier, offre des synergies enthousiasmantes, souligne François Petry, directeur général de Lafarge France. Nous sommes prêts à le développer ensemble pour offrir à nos clients des solutions constructives biosourcées innovantes et bas carbone. »
Il y a 3 ans et 226 jours

L’Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP voit le jour

Le CCCA-BTP, l’OPPBTP et Impulse Partners dévoilent le premier Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP. [©OPPBTP] Le secteur du bâtiment est en quête de nouveauté. Le CCCA-BTP, l’OPPBTP et Impulse Partners se sont associés pour dévoiler le premier “Observatoire des tendances d’innovation”. Celui-ci permet aux professionnels d’appréhender les principaux champs d’innovation à l’œuvre dans le secteur. L’objectif est d’en faire un vecteur de transformation positive et durable. Ainsi, cet observatoire décrypte les dernières solutions pour tous les métiers de la filière. Lire aussi : Le CCCA-BTP lance sa plateforme pour les jeunes Il regroupe des thématiques comme la sécurité, la formation et la prévention. Sa création donne une vision plus claire des nouvelles tendances dans le secteur du bâtiment. Le CCCA-BTP et ses partenaires ont décidé de s’aider des 222 start-up recensées au sein d’Impulse Partners pour réaliser cet observatoire. Celles-ci se développent et constituent un précieux révélateur des transformations dans le BTP. Après une étude approfondie, les tendances se regroupent autour de trois grandes problématiques et de leurs solutions en développement. La production : un enjeu majeur de l’Observatoire Tout d’abord, l’observatoire met en exergue l’accroissement de la productivité des entreprises. Dans cette logique, il souligne l’avènement des solutions de construction hors site. Ces dernières permettraient de réaliser 80 % de la production en usine. Cette technique constructive mènerait à une nette évolution des métiers, des méthodes et des risques associés. La question de la productivité s’étend tout autant sur les dispositifs de pilotage intelligent des équipements et d’ouvrages (capteurs IoT, plate-forme BOS). Ces objets connectés offrent l’opportunité de saisir de nouveaux marchés dans le Smart Building. De leur côté, les outils d’édition et de partage du jumeau numérique renforcent la sécurité des chantiers. Des produits de meilleures qualités Les études de l’observatoire se concentrent aussi sur la réalisation d’ouvrages de meilleures factures. En effet, un produit de bonne qualité se démarque par ses performances et son moindre impact sur l’environnement. Ainsi, les tendances actuelles et l’évolution de la réglementation font la part belle au bois. Lire aussi : La FNTP et le CCCA-BTP unis pour la formation Ce matériau, de plus en plus sollicité, exige de nouvelles compétences (logistique, réglage…) et propose une autre approche pour le secteur du BTP. Toujours dans cette thématique, les plates-formes et les outils favorisant le réemploi constituent aussi un levier majeur de transformation, notamment pour la filière de déconstruction. Tout comme le “lean management” (gestion sans gaspillage), avec ses outils de suivi d’avancement et de contrôle de conformité. La sécurité avant tout Le troisième objectif majeur réside dans l’amélioration de la sécurité sur les chantiers. Les outils digitaux comme la réalité virtuelle sont étudiés. Ils permettent de former et de sensibiliser aux différents risques du chantier. De plus, les études de l’observatoire mettent en avant les dispositifs de détection d’accidents comme les robots, les caméras ou l’intelligence artificielle. Enfin, des équipements de protections individuelles connectées sont prévus pour assurer une sécurité maximale lors des chantiers.
Il y a 3 ans et 227 jours

Trimble débute sa collaboration avec One Click LCA

Trimble débute une collaboration avec One Click LCA, l’éditeur du logiciel éponyme pour réduire les émissions de carbone. [©Trimble] Trimble accompagne les professionnels du bâtiment vers la neutralité carbone. L’entreprise a annoncé le début de sa collaboration avec One Click LCA, éditeur du logiciel éponyme d’analyse de cycle de vie (ACV) des produits. Sa vaste base de données de déclarations environnementales des produits (Dep) de calculer les impacts environnementaux des éléments structurels. Lire aussi : Trimble Connect : Convivial et collaboratif Ces derniers représentent 70 % de l’empreinte carbone intrinsèque d’un bâtiment. Désormais, One Click LCA s’intègre à “Tekla Structures”, le logiciel BIM, de Trimble. Ainsi, ses utilisateurs pourront évaluer le taux d’émissions de carbone lors des différentes phases de construction. « Cette collaboration permet aux ingénieurs structurels, aux fabricants, aux entrepreneurs et aux autres de décarboner leurs projets », déclare Panu Pasanen, Pdg de One Click LCA. Trimble attire les professionnels De son côté, le cabinet de conseil en construction Sweco a accompagné l’intégration de One Click LCA dans Tekla Structures. Puis, a pu l’utiliser dans le cadre de la construction d’un centre sportif neutre en carbone. « Nous voulons être un modèle de durabilité, en assumant nos responsabilités, souligne Ossi Kujala, concepteur structurel chez Sweco. Mais aussi, en faisant partie de la solution aux défis de la société en matière de durabilité et de réduction des émissions de CO2. » De nouvelles habitudes à prendre Désormais, la prise en compte de l’empreinte carbone lors des projets de constructions semble inéluctable pour les professionnels du secteur. « La construction durable ne sera bientôt plus un choix, mais un prérequis, explique Jari Heino, directeur général chez Trimble. A l’avenir, la gestion de la performance carbone fera partie de l’ingénierie de valeur.»  Les pays comme la France, les Pays-Bas ou encore le Royaume-Uni commencent à exiger une déclaration de l’empreinte carbone des activités des industriels.
Il y a 3 ans et 227 jours

Thierry Legrand devient le président Europe de Fortera

Thierry Legrand est le nouveau président Europe de Fortera [©DR] A l’occasion de son arrivée sur le marché européen, l’américain Fortera accueille Thierry Legrand au poste de président Europe. Cette nomination est le premier pas vers un développement international du groupe. Depuis 2019, date à laquelle Fortera a été créée, l’entreprise a pour ambition  d’accompagner les acteurs de la construction dans la réduction de leurs émissions de carbone. Pour cela, elle a développé un procédé de recarbonation, qui convertit les émissions de CO2. Provenant des fours cimentiers en un produit cimentaire. De plus, d’ici 2022, Fortera commercialisera son propre ciment.  Vers la réduction des émissions carbone Aujourd’hui, le monde entier essaye, tant bien que mal, de réduire ses émissions de carbone. Pour cela, l’Europe s’est fixée de nombreux objectifs. Des dispositifs ont été mis en place, afin d’inciter l’arrivée de nouvelles technologies, qui vont dans ce sens. Fortera y a vu une opportunité de croissance à l’international. « En confiant notre développement européen à Thierry Legrand, nous sommes convaincus. Que nous pourrons déployer notre technologie efficacement et rapidement », témoigne Ryan Gilliam, directeur général et co-fondateur de Fortera. En effet, fort de son expérience, Thierry Legrand a pour mission de piloter l’ensemble de l’implantation de Fortera en Europe. Rappelons qu’en 2019, le secteur de la construction a rejeté19,95 Gt de CO2à l’échelle mondiale. Thierry Legrand souligne ainsi la nécessité de réduire cette empreinte carbone : « Il n’y a pas de sujet plus important pour la construction aujourd’hui que la neutralité carbone. Des innovations sont nécessaires pour réduire les émissions de CO2. Mais celles-ci doivent être accessibles à un coût raisonnable. » Le parcours de Thierry Legrand Polytechnicien et ingénieur de formation, Thierry Legrand a débuté sa carrière chez Saint-Gobain, dans les secteurs de l’optimisation des procédés et de l’organisation des usines. En 1992, il poursuit sa carrière, en intégrant Lafarge Ciments. Il restera chez Lafarge et Holcim pendant plus de 20 ans à des postes de direction en Afrique, en Asie et en Europe.  1Selon une étude menée par l’Alliance mondiale pour le bâtiment et la construction et du Programme des Nations unies pour l’environnement. 
Il y a 3 ans et 227 jours

Alphi inaugure son futur

Alphi a inauguré son nouveau siège social le 21 octobre 2021. [©ACPresse] Le spécialiste du coffrage horizontal Alphi vient d’inaugurer son nouveau siège social. Implanté à Méry, commune située juste à côté d’Aix-les-Bains, en Savoie, le bâtiment a été conçu comme un espace de “bien travailler et bien vivre ensemble”. Il est ainsi le résultat de la démarche du “Care Management”, prônée par la direction d’Alphi depuis plusieurs années déjà. « Lorsque l’on “prend soin” de ses équipes, on prend soin de ses clients, de ses fournisseurs, mais aussi de son territoire », résume Alexandre et Philippe Souvignet, co-dirigeants de l’entreprise. Ainsi, l’ensemble des collaborateurs a été impliqué dans la création du nouveau siège pour concevoir un véritable lieu de partage. Les open spaces favorisant les échanges cohabitent avec les pièces fermées, propices à la concentration… Un chiffre d’affaires de 50 M€ d’ici à 3 ans Se développant sur une superficie globale de 1 500 m2, le nouveau siège multiplie par deux l’espace disponible en comparaison aux anciens locaux. Toute la surface n’est pas occupée pour le moment, laissant ainsi une bonne réserve pour accompagner le développement d’Alphi.« Nous avons doublé notre chiffre d’affaires en trois ans. Celui-ci est passé de 15 à 28 M€ et atteindra les 30 M€ à fin 2021 », reprend Alexandre Souvignet. Et de poursuivre : « Notre ambition est à présent de devenir une entreprise de taille intermédiaire, c’est-à-dire une ETI avec un chiffre d’affaires de 50 M€. C’est notre plan à trois ans ».  Etre reconnaissable entre tous Le nouveau siège de l’entreprise se veut le symbole de cette stratégie, de cette “CroisSens”. « La performance financière doit être la conséquence d’un projet d’entreprise et jamais une fin en soi », martèle Alexandre Souvignet. Une croissance qui s’inscrit pleinement dans le “Care Management”.  Avec un “A” de couleur bleue courant sur toute la hauteur de sa façade, le bâtiment réussit le pari d’être reconnaissable entre tous. En plus d’être ancré dans son territoire. Une autre volonté affirmée d’Alphi. Découvrez dans Béton[s] le Magazine n° 97 – Novembre/Décembre 2021 ce qui se cache derrière la stratégie et le “prendre soin” prôné par Alphi… 
Il y a 3 ans et 228 jours

3R : Le Cat insonorise le tamisage

Le Cat de 3R divise par 8 le niveau sonore perçu lors d’un tamisage de granulats. [©3R] Tamiser des cailloux fait partie des fondamentaux du laborantin. Pour répondre à ce besoin, 3R développe depuis de nombreuses années sa tamiseuse Sysmo. Problème, l’opération de tamisage reste plutôt bruyante : de l’ordre de 85 dB. Compliqué pour communiquer au sein du laboratoire et obligation de porter un casque anti-bruits… Afin de rendre le niveau sonore beaucoup plus acceptable, 3R vient de mettre sur le marché le Cat, son premier Caisson Antibruit pour Tamiseuse. La Sysmo rentre parfaitement dedans, tout comme les tamiseuses d’autres marques. La grande performance du Cat est d’offrir une réduction sonore de près de 30 dB, c’est-à-dire que le bruit est perçu comme 8 fois moins fort. On passe ainsi à 55 dB, soit la sonorité d’une tondeuse à gazon au milieu d’un jardin à une ambiance de bureau calme… D’un poids de 210 kg, le Cat s’appuie sur un châssis métallique mécano-soudé posé à même le sol du laboratoire. Il se manipule sans problème à l’aide d’un transpalette. Sa dimension fermée est de 75 cm x 75 cm x 1,70 m de haut. La partie supérieure prend la forme d’une armoire ou d’un coffre avec deux portes pivotantes, dont les parois sont constituées d’un matériau isolant phonique à haute performance. C’est là tout le secret du Cat. 
Il y a 3 ans et 228 jours

Cemex, mécène d’Odyssée

Julia Borderie et Eloïse Le Gallo pendant la confection de “Chirurgie des sables, le fleuve nous regarde”, avec les matériaux de Cemex. [©Cemex] Cemex : le passionné de culture. Le spécialiste du béton prêt à l’emploi a participé à Odyssée, le rendez-vous culturel, environnemental et solidaire dédié à la Seine. L’industriel a contribué à l’élaboration d’une œuvre d’art performée par Julia Borderie et Eloïse Le Gallo. La collaboration entre Cemex et les artistes semblait invraisemblable. Et pourtant, cela est bien arrivé. « Nous nous réjouissons de participer à Odyssée, en mettant nos matériaux à disposition des artistes, déclare Florence Boutmy, directrice du secteur Ile-de-France chez Cemex. Ce partenariat nous a semblé tout naturel, du fait de notre présence historique sur le fleuve, de nos activités et de nos nombreuses implantations en Ile-de-France. »  Cemex : Une collaboration artistique Cette collaboration n’est pas anodine. Ce projet s’intègre dans la politique RSE de Cemex. C’est “Dans le sens de Barge” qui est à l’origine de cette association. « Ce collectif nous a contactés pour réaliser un projet itinérant sur 2 ans, explique Eloïse Le Gallo. Il nous a aidées à entrer en contact avec Cemex pour nous permettre de réaliser notre objectif. » L’industriel a ainsi fourni environ 300 t de sables et de graviers pour réaliser leur sculpture.  Lire aussi : In béton veritas “Chirurgie des sables, le fleuve nous regarde” n’est pas une œuvre comme les autres. Julia Borderie et Eloïse Le Gallo ont réalisé une sculpture qui sort de l’ordinaire. Au premier abord, l’œuvre des deux artistes semble banale. Pourtant, il n’en est rien ! Ces 300 t de matériaux n’ont pas été utilisées au hasard. « Notre sculpture pour Odyssée a évolué au fil de l’évènement, explique Julia Borderie. Nous avons commencé avec un gros tas de sable et de graviers que nous avons transformé au fur et à mesure en une montagne avec un escalier. »  Une œuvre tout sauf banale Les deux artistes préparent leur oeuvre pour l’Odyssée. [©Cemex] Et Eloïse Le Gallo d’ajouter : « Nous avons ensuite creusé un trou en forme de cône inversé pour rappeler l’extraction des sédiments. Le fait d’avoir placé un escalier nous a permis de dynamiser notre œuvre. » De plus, les deux artistes ne se sont servies que d’outils en bois, réalisés par elles-même. Ainsi, à travers cette œuvre, elles ont rappelé qu’avec peu de moyens, on peut faire beaucoup. En parallèle, Julia Borderie et Eloïse Le Gallo ont qualifié leur œuvre de “geste poétique éphémère”. Une fois Odyssée terminé, elles ont laissé la nature reprendre ses droits. Les sédiments utilisés pour l’œuvre se sont dispersés dans l’air comme si la montagne n’avait jamais existé. Cependant, dans le cœur des milliers de visiteurs, leur sculpture restera gravée à jamais dans les mémoires.
Il y a 3 ans et 228 jours

La FNTP et le CCCA-BTP unis pour la formation

Sept actions opérationnelles ont été mises en place pour mener à bien la collaboration entre la FNTP et le CCCA-BTP. [© Syvlain Barthélémy] Promouvoir et développer la formation dans le secteur des travaux publics. Tel est l’objet de la convention de partenariat que la Fédération nationale des travaux publics (FNTP) et le Comité de concertation et de coordination de l’apprentissage du bâtiment et des travaux publics (CCCA-BTP) viennent de mettre en place. Dans les années à venir, le secteur des travaux publics devra relever de nombreux enjeux, en termes de compétences professionnelles. Ceci, avec 8 000 entreprises, qui emploient plus de 310 000 salariés. Lire aussi : CCCA-BTP : L’innovation au cœur de la formation Pour y répondre, la FNTP a souhaité renforcer ses collaborations avec le CCCA-BTP. Et s’appuyer sur ses expertises pédagogiques et éducatives. Ceci, pour maintenir et développer une formation professionnelle de qualité, adaptée aux métiers des travaux publics. Ainsi qu’à leurs évolutions environnementales, technologiques et numériques. Sept leviers pour une collaboration entre la FNTP et le CCCA-BTP Sept actions opérationnelles ont été mises en place. Tout d’abord, la réalisation d’études spécifiques aux travaux publics. Puis, la promotion des métiers et le sourcing. Ainsi que l’innovation de la formation aux métiers des travaux publics. Mais encore, le soutien aux acteurs du développement des compétences. Et la mise en place des certifications professionnelles et l’appui à la qualité de la formation : instruction des dossiers des demandes du label “Excellences TP”, créé par la FNTP. Enfin, le développement des partenariats. « Cet accord réaffirme les liens forts entre le CCCA-BTP et la FNTP à un moment où les besoins en compétences n’ont jamais été aussi importants. Et où la transformation des métiers à l’aulne des transitions écologique et numérique doit être la préoccupation de chacun », témoigne Bruno Cavagné, président de la FNTP 
Il y a 3 ans et 228 jours

Kiloutou lance sa gamme environnementale “Impakt”

Kiloutou dévoile sa nouvelle gamme “Impakt” pour réduire l’empreinte carbone des activités de leurs clients [©Franck Dunouau] Le spécialiste de la location de matériels, Kiloutou poursuit sa stratégie environnementale. Le groupe propose sa nouvelle gamme “Impakt”, pour accompagner les professionnels dans leur démarche de réduction d’émissions de CO2. La collection réunit environ 3 500 matériels électriques, hybrides ou bi-énergie. Depuis plus de 10 ans, le loueur s’engage en faveur de la transformation durable du secteur de la location. Lire aussi : Unilin Insulation rejoint le programme environnemental “Circular Foam” En effet, le groupe a pris conscience que les actions de ses clients représentaient 94 % de ses émissions totales de CO2, dont 63 % sont liées aux chantiers. Kiloutou a donc fait évoluer son offre pour offrir des produits à énergies alternatives. Parmi ces matériels : il propose des nacelles hybrides, des découpeuses ou encore, des bétonnières. L’avantage majeur de ces équipements est leur faible impact environnemental. Mais aussi, lors de leur utilisation, ils réduisent les nuisances sonores, les troubles musculo-squelettiques ou les émissions de particules fines.  Kiloutou au service des professionnels En parallèle, Kiloutou a lancé une campagne d’information. Afin de faire connaître ses produits aux professionnels, l’industriel a dévoilé son “guide de matériels”. Cet ouvrage propose une présentation détaillée des produits. Et regroupe les caractéristiques des matériels, comme l’autonomie ou les coûts. Il identifie aussi les performances des équipements pour déterminer lequel est le plus éco-responsable. Cela a pour but de sensibiliser aux enjeux environnementaux liés à ces solutions. Lire aussi : France Rénov’ à votre service De plus, le spécialiste de la location a créé un espace dédié à la gamme “Impakt” sur Internet. Un peu comme le guide, le site donne les caractéristiques techniques des appareils. Néanmoins, il permet aussi aux maîtres d’œuvre et d’ouvrage de visualiser l’impact carbone de leurs projets grâce à la “calculette carbone”. Enfin, les collaborateurs de Kiloutou ont été formés pour conseiller et aider les professionnels à choisir leur matériel. Ils les accompagnent et les sensibilisent sur le fonctionnement et les performances des nouveaux matériels.
Il y a 3 ans et 233 jours

Naissance de Tersen, filiale de Colas et acteur engagé de la valorisation

Les sociétés Cosson, Picheta et SMS fusionnent pour donner naissance à “Tersen”. [©Colas] Depuis plus de 30 ans, les sociétés Cosson, Picheta et SMS accompagnent les acteurs du BTP. Elles s’unissent aujourd’hui sous l’entité Tersen. Ceci, pour renforcer leur capacité à relever les défis de la valorisation des déchets de construction. En effet, les chantiers de déconstruction et d’aménagement génèrent plusieurs Mt/an de déchets et de terre en France. Leur extraction et leur traitement sont un véritable casse-tête pour les entreprises et les collectivités. Qui luttent contre les décharges sauvages. Tersen : Pour la préservation des ressources naturelles Tersen exerce ainsi des activités d’extraction et de valorisation des matériaux. Ainsi que de gestion des déchets du secteur du BTP. Ainsi, elle compte plus de 50 installations sur le territoire francilien. A savoir, installations de stockage de déchets (ISDI et ISDND), plates-formes de recyclage et négoces de matériaux. Ansi que déchetteries professionnelles EcoTri, installations de concassage mobiles, carrières. Cette entité a pour ambition de réinventer les cycles de vie des matériaux de chantiers. Ceci, en s’appuyant sur un processus global d’économie circulaire, le renforcement de son maillage territorial et une stratégie d’innovation. Ceci, pour préserver les ressources naturelles. « Nous avons toujours été convaincus que les matériaux issus des chantiers d’aménagement et de la déconstruction constituaient une opportunité de repenser notre modèle. Et ce, dans une approche plus vertueuse pour la société et pour la planète. Avec Tersen, nous passons un nouveau cap pour amplifier l’impact positif de nos actions sur le territoire »,explique Didier Manseau, directeur général Colas France – territoire Ile-de-France – Normandie, maison-mère de Tersen.
Il y a 3 ans et 233 jours

Edycem dévoile ses bétons bas carbone Vitaliss

Edycem BPE a lancé Vitaliss, sa gamme de bétons à empreinte carbone réduite. [©Herige/Charles Marion] Vitaliss : tel est le nom de la gamme des bétons à empreinte carbone réduite. Tout juste lancée sur le marché par Edycem BPE (groupe Herige). « Vitaliss a été formulé pour offrir des réductions d’émissions de CO2allant de 20 % à plus de 50 %. Ceci, en comparaison des bétons traditionnels de résistances et de caractéristiques d’utilisations similaires », résume Olivier Collin, directeur général BPE et Préfa d’Edycem. La gamme se décline en quatre classes de réduction, identifiées par un référentiel de type “Ecoscore”. Et baptisé Vitascore dans le cas présent. Ce dispositif permet d’évaluer le niveau de baisse de l’impact environnemental des bétons. Exprimé en kg de CO2éq/m3. Ainsi, l’entrée de gamme affiche un Vitascore C, soit une réduction comprise entre 20 et 30 %. Viennent ensuite les bétons de Vitascore B (- 30 à – 40 %) et de Vitascore A (- 40 à – 50 %). Tous les bétons en Vitascore B au minimum Enfin, le Vitascore A+ identifie les bétons de la ligne Vitaliss affichant une réduction de l’impact carbone supérieure à 50 %… Pour ces derniers bétons, Edycem est en partenariat avec Hoffmann Green Cement, qui assure la fourniture du liant. Une demande d’Avis technique, faite par le cimentier, est aussi en cours pour cette application, car « nous sommes dans une technique non courante ». La gamme Vitaliss est adaptée pour permettre sa production sur chacun des sites BPE d’Edycem. Soit un accès potentiel au niveau des 33 centrales à béton de la marque. Et Didier Collin, de conclure : « Dans les trois ans qui viennent, je souhaite que l’essentiel de nos bétons commercialisés corresponde à un Vitascore B… »
Il y a 3 ans et 233 jours

Ouverture du Centre d’innovation d’Ecocem

Composée de 24 personnes dédiées à la R&D, cette équipe effectuera des essais à l’échelle industrielle en collaboration avec des partenaires industriels et des universités. [©Ecocem] Fournisseur européen de solutions cimentaires à faible teneur en carbone, Ecocem a ouvert, mi-octobre, son Centre pour l’innovation. Sis à Champlan, dans le Sud de Paris. Baptisé “Centre d’excellence”. Le lieu a pour objectifs d’accélérer le développement de nouvelles technologies et de nouveaux produits. Ceux-ci aideront les industries du ciment et de la construction à se décarboniser plus rapidement.  Le Centre d’excellence permettra à l’équipe “Innovation” du groupe Ecocem de se concentrer sur le test. Ainsi que l’évaluation et l’amélioration de ses nouvelles solutions. Composée de 24 personnes dédiées à la R&D, cette équipe effectuera des essais en grandeur réelle, en collaboration avec des partenaires industriels et des universités. Dont celle de Paris-Saclay et celle de Toulouse. « Ecocem s’engage en faveur d’une décarbonisation profonde et rapide de l’industrie mondiale du ciment. C’est essentiel pour la planète et les générations futures. Et cela peut être réalisé par l’innovation et la technologie. Les industries du ciment et de la construction développent et déploient une série de technologies visant à réduire les émissions. Ecocem et son nouveau Centre d’excellence ajouteront une dimension supplémentaire à ces efforts », déclare Laurent Frouin, directeur de l’innovation d’Ecocem.
Il y a 3 ans et 233 jours

Le CCCA-BTP lance sa plate-forme pour les jeunes

Le CCCA-BTP lance sa plate-forme “Destination BTP” pour aider les jeunes à trouver une formation dans les métiers du bâtiment [©CCCA-BTP] Le Comité de concertation et de coordination de l’apprentissage du bâtiment et des travaux publics (CCCA-BTP) mise sur la nouvelle génération. Le CCCA-BTP a lancé sa plate-forme “Destination BTP” pour accompagner les jeunes dans leurs recherches de formations ou d’entreprises dans les métiers du bâtiment. Ce projet vise à aider les étudiants du collège, du lycée et en études supérieures, à trouver leur voie. En effet, la plate-forme offre des solutions pour bénéficier d’un suivi intuitif et personnalisé. Les intéressés peuvent découvrir les métiers du BTP, dynamiser leur recherche par la rédaction d’un CV. Ou encore, accéder aux offres d’emplois sur l’ensemble du territoire français. Le CCCA-BTP accompagne les jeunes Trois outils spécifiques sur le site sont disponibles pour accompagner les jeunes dans leur choix de carrière. Tout d’abord, “Ton parcours de découverte”. Celui-ci propose un test d’orientation pour faire découvrir les métiers du BTP. Il permet aux étudiants d’identifier leurs points communs avec les différentes professions pour mieux préparer leur avenir. Ensuite vient l’outil “MyFuture BTP”, qui offre des sessions “live” où les acteurs du secteur peuvent échanger avec les étudiants. Il les aide à consolider leur choix. Lire aussi : KP1 : à fond la jeunesse Enfin, la solution “Hellowork” vise à favoriser la mise en relation entre un jeune et une entreprise, grâce à un outil simple pour écrire son CV. Plus de 156 300 offres d’emplois sont disponibles, en contrat d’apprentissage, en CDD ou CDI. En parallèle, le CCCA-BTP organise un appel à candidatures à l’attention des organismes de formation aux métiers du BTP. Les jeunes bénéficieront de conseils et d’un service sur mesure. Ce sont déjà 40 organismes de formation qui mettent en place des animations à distance pour les sensibiliser à la vie active. En particulier, avec des simulations d’entretien d’embauche.
Il y a 3 ans et 234 jours

Girpav aux 24 Heures du Mans

Quelque 150 pavés sur mesure signés Girpav trônent au sein du village du circuit des 24 Heures du Mans. [©Méhat Girpav] Sarthe. L’industriel Girpav est positionné comme un spécialiste des produits en béton destinés à l’aménagement extérieur. Ceci, depuis plus de 75 ans. Son expertise lui a permis de prendre pied sur le mythique circuit des 24 Heures du Mans, dans la Sarthe. En effet, l’industriel a fourni des pavés sur mesure en coloris Cobaltium (gris clair), à l’occasion de l’évènement solidaire “24h United”, organisé par l’Automobile Club de l’Ouest. Au total, ce sont 150 pavés – dont 60 personnalisés – comportant les noms et prénoms des mécènes ayant fait un don en faveur de l’European Society of Intensive Care Medicine (ESICM), société européenne de soins intensifs. Ces éléments ont été posés au cœur du village du mythique circuit des 24 Heures du Mans. Une véritable fierté pour Girpav, retenu ici pour sa proposition technique et la qualité de ses produits fabriqués en France. Et même tout près du circuit… En effet, l’industriel vient d’ouvrir sa nouvelle usine à moins de 25 km au Nord du Mans, complétant ainsi ses implantations nationales. 
Il y a 3 ans et 234 jours

Kross Builder, le chariot zéro effort d’Alphi

Le Kross Builder est un chariot de manutention 100 % électrique, apte à transporter une charge utile de 270 kg au maximum. [©ACPresse] Prendre soin. Un leitmotiv pour Alphi. Dès l’origine de l’entreprise, c’était un fil conducteur, en particulier dans la conception des produits. Ainsi, le tout nouveau Kross Builder s’inscrit en droite ligne dans cette logique. Ce petit véhicule de transport sur chantier vise à éliminer la pénibilité liée à la manutention. Donc à supprimer les risques d’accidents à court terme et les TMS à long terme. « Bien entendu, le Kross Builder permet aux entreprises de BPE d’optimiser la productivité des phases de coffrage et d’étaiement sur leurs chantiers », souligne Davylyn Khambay, responsable développement produits innovants et spéciaux chez Alphi.  Le Kross Builder est issu d’un développement réalisé par K-Ryole, une jeune start-up industrielle française. Il s’agit d’un chariot de manutention 100 % électrique, apte à transporter une charge utile de 270 kg au maximum. L’engin peut circuler dans tous les espaces d’un chantier, en sous-sol comme dans les étages. Y compris sur des terrains boueux ou accidentés. Il peut franchir des rampes ou des bordures jusqu’à 16 cm de haut.  Lire aussi : Alphi réorganise son capital pour mieux se développer Mais sa véritable force est de bénéficier d’une technologie d’annulation d’effort. « Le système est intégré au timon,explique Davylyn Khambay. Un simple appui ou une simple traction permet de mettre en mouvement le Kross Builder. Faisant oublier son poids global de 500 kg en charge. Les moteurs électriques réagissent instantanément et sans aucun effort de l’opérateur. » Le Kross Builder, disponible à la vente et à la location L’inclinaison de la benne jusqu’à 70° du Kross Builder simplifie le chargement et le déchargement. [©ACPresse] Pilotage sans certificat d’aptitude à la conduite en sécurité (Cases), le chariot offre une autonomie électrique de 2 à 4 j. Aucune maintenance particulière n’est nécessaire, sauf à vérifier et ajuster la pression des pneumatiques, de type tubeless (moins sensibles aux crevaisons). Et, une fois par an, une vidange du circuit hydraulique est à prévoir. Tout comme un contrôle des anneaux de levage.  Pour répondre à ses besoins spécifiques, Alphi a apporté quelques adaptations au Kross Builder. Et ce, au niveau de la benne de transport. Cette dernière intègre à présent différentes extensions permettant le transport d’étais, de poutrelles ou d’éléments pour tours d’étaiement. L’inclinaison de la benne jusqu’à 70° simplifie le chargement et le déchargement. L’opérateur n’a plus à se baisser pour saisir les objets, qui sont à sa hauteur.  Disponible depuis la mi-septembre chez Alphi, qui en a la distribution exclusive pour la France, le Kross Builder est proposé aussi bien à la vente qu’à la location. 
Il y a 3 ans et 234 jours

Xtremfix I-Road d’Hauraton France, nouveau système de caniveaux

Xtremfix I-Road est conforme à la norme EN 1433 et possède un marquage CE. [©Hauraton] Xtremfix I-Road, système de caniveaux en béton armé haute performance C60/75 est la nouvelle solution de drainage robuste, polyvalente et rapide à poser d’Hauraton France.Ceci, pour les zones à fortes contraintes jusqu’à la classe de charge D400. Il est ainsi adapté à la circulation importante, ainsi qu’aux charges lourdes. Conçu et fabriqué en France, ce système propose, pour la première fois sur le marché, une dimension de 3 m d’un seul tenant par un emboîtement à triple mâchoires. Garantissant une bonne étanchéité. Le drainage, quant à lui, est performant, puisque le débit d’eau absorbé est maximal. De plus, il assure la réduction des pertes de charge. Ce caniveau est doté d’une cornière enveloppante galvanisée monobloc. La présence des crochets Artéon sur les côtés assurent une manutention rapide et sécurisée. Le béton est ultra lisse, avec un coefficient de Manning-Strickler1supérieur à 0,95. Sa structure auto-portante de type I lui offre une mise en œuvre simplifiée et permet de circuler dessus en phase chantier. Xtremfix I-Roadest conforme à la norme EN 1433 et possède un marquage CE.  1Capacité d’un liquide à s’écouler sur une surface lisse.
Il y a 3 ans et 234 jours

Une 7e édition réussie pour les Rendez-Vous de la Matière + Fair(e) 2021

Les Rendez-Vous de la Matière + Fair(e) 2021 ont rassemblé quelque 2 400 visiteurs. [©Juan Jerez] La 7eédition des Rendez-Vous de la Matière + Fair(e) est un salon professionnel consacré aux matériaux innovants pour l’architecture, le design, la décoration et l’aménagement d’intérieur. Elle s’est tenue conjointement dans les espaces Commines et Marais.Marais, à Paris (IIIe). Chacun d’eux a accueilli architectes, designers, artisans d’art et industriels autour de cycles de conférences, de discussions et de workshops. La scénographie immersive a été conçue sur mesure par le studio de design Frédéric Imbert.  Quelque 59 exposants et 2 400 visiteurs Pour la première fois, l’événement Fair(e) s’est déroulé dans un nouvel espace dédié à l’artisanat contemporain, à l’espace Marais.Marais. Ce nouveau lieu de 350 m2réparti sur 3 niveaux, a dévoilé aux professionnels la diversité de la création artisanale contemporaine, ainsi qu’un riche panel de matériaux innovants.  Lin, bois, béton, cuir, verre, bambou, céramique, pierre naturelle, chanvre… Les Rendez-Vous de la Matière + Fair(e) ont permis la découverte des potentiels créatifs et techniques de matières connues comme inattendues. L’évènement était destiné à impulser rencontres et collaborations entre les industriels, concepteurs de matières et les prescripteurs, architectes, designers, agenceurs, bureaux d’études…  Les Rendez-Vous de la Matière + Fair(e) ont eu lieu dans les espaces Commines et Marais.Marais, à Paris dans le IIIe arrondissement. [©ACPresse] Cet évènement a regroupé quelque 59 exposants, experts dans leur domaine. Et rassemblé 2 400 visiteurs. Imaginée, conçue et organisée par Bookstorming, la 7eédition a accueilli 63 % d’architectes d’intérieur et de décorateurs. Ainsi que 31 % d’architectes DE et 6 % autres.« Nos exposants sont ravis de leurs échanges avec les 2 400 visiteurs présents et soulignent la qualité des contacts. Pour l’édition 2022, nous préparons quelques surprises, notamment une nouvelle adresse prestigieuse… », dévoile Sébastien Maschino, directeur général adjoint, associé et coordinateur du Rendez-vous de la matière – Fair(e) chez Bookstorming. Retours d’expérience de certains exposants A l’espace Commines, voici quelques marques qui ont retenu notre attention et leurs retours d’expérience : Confédération européenne du lin et du chanvre Matériau biosourcé, le lin déploie des atouts, en termes d’isolation – thermique et acoustique –. Tout en participant à l’aspect visuel et esthétique. Son approche multi-sectorielle met en lumière une application intérieure et extérieure. Il est devenu l’emblème des éditeurs souhaitant conjuguer esthétique et écologie. « Les solutions biosourcées lin & chanvre ont toujours accueilli une belle audience aux Rendez-Vous de la Matière depuis la première participation de la Confédération européenne du lin et du chanvre en 2016. L’année 2021 est marquée par une fréquentation toujours aussi accrue, renforcée pour cette édition par des enjeux réglementaires, en termes d’utilisation de matériaux biosourcés en vue de la RE 2020 », résume Julie Pariset, directrice innovations de la Confédération européenne du lin et du chanvre. Et Brice Roussel, responsable matériaux et innovations, de poursuivre : « Un retour au présentiel qui a permis des échanges enrichissants et nombreux, témoins de cette tendance de fond d’augmentation de l’utilisation du lin et du chanvre dans le design et l’architecture ». Kebony En pose verticale ou horizontale, le bois développé par Kebony illustre avec brio l’innovation portée aux matières naturelles. Misant sur un dégradé de nuances qui apparaît au fil du temps, les gammes imaginées par le fabricant français s’engagent dans une autre vision de l’architecture.  « Les Rendez-Vous de la Matière était un salon intimiste et très agréable, nous ayant permis de rencontrer beaucoup de personnes travaillant dans des cabinets d’architectes parisiens. L’organisation était telle que nous avons presque été en permanence sollicité par les visiteurs qui étaient, pour la plupart, à la recherche de matériaux biosourcés », explique Olivier Loheac, responsable commercial France. Et Julia Agnese, responsable vente Sud-Est, de conclure : « Comme son nom l’indique, Les Rendez-Vous de la Matière invitent les architectes à découvrir de nouvelles matières. C’est une des raisons pour laquelle ce salon a été intéressant pour Kebony. Avec beaucoup de passage, nous avons eu l’occasion de rencontrer de nombreux architectes parisiens, dont la plupart ont été conquis par le produit. Notamment par le toucher de la matière des échantillons. Ils ont aussi apprécié l’aspect écologique et la garantie de 30 ans proposée par Kebony. Nous sommes très contents d’avoir participé à ce salon qui, pour nous, est incontournable ». Laudescher Avec des lignes intemporelles et un relief travaillé, les panneaux de Laudescher misent sur une esthétique contemporaine, sans négliger l’aspect naturel du bois. Présentées aux Rendez-Vous de la Matière, ces solutions acoustiques rassemblent les performances propres à la marque, développées depuis trois générations. « Laudescher participait pour la deuxième fois aux Rendez-Vous de la Matière. Nous souhaitions mettre en avant nos solutions acoustiques en bois massif pour plafond suspendu et habillage mural. Et cela fut un vrai succès ! Le visitorat était très qualitatif et portait un réel intérêt aux solutions présentées. Ce qui laisse présager de beaux projets », indique le fabricant norvégien. [©ACPresse][©Juan Jerez][©Juan Jerez][©Juan Jerez][©Juan Jerez][©Juan Jerez] Matières Marius Aurenti Pionnier du béton ciré millimétrique, Matières Marius Aurenti conçoit et développe une palette de matières décoratives depuis plus de trente ans. Disposant d’un réseau d’artisans qualifiés, l’industriel accompagne des projet commerciaux et résidentiels dans toute la France et à l’international. « Nous avons apprécié de revenir rencontrer les architectes après cette période de Covid. Le salon était notre premier rendez-vous depuis la pandémie. Et nous avions à cœur de faire un salon aussi beau que qualitatif. Nous avons aimé participer à la scénographie sur notre stand, mais aussi mettre en avant les réalisations des artisans d’art avec les tables en béton ciré Marius Aurenti. Les rencontres que nous avons faites nous ont confortés dans notre envie d’innover autour de notre matière qu’est le béton. Ceci, toout en poursuivant le développement de nos panneaux en béton prêt à poser et des objets en béton », indique Aude Chevalier, cheffe de produit et marketing digital. Rieder Fort de son expertise dans le béton naturel, Rieder allie performance et créativité tout en s’engageant dans une éthique écologique et durable. Par une nouvelle palette de nuances et de textures, révélée en 2019, la marque ne cesse d’imaginer une façade innovante, en lien avec les désirs esthétiques des architectes. « Nous avons participé à l’édition 2017 et 2021. J’ai trouvé que la fréquentation du salon était très bonne. Il y avait très peu de périodes “creuses”, et les horaires semblent être bien adaptés au public. J’ai l’impression que le ratio des architectes par rapport aux architectes d’intérieur était plus faible cette année. Et j’ai eu assez peu de contacts avec des architectes. Il est possible aussi qu’ils aient été un peu plus discrets. J’ai quand même eu 3-4 contacts très qualitatifs. En ce qui concerne le stand, l’emplacement était très bien, tout près de l’entrée, mais j’avais l’impression que les visiteurs étaient plus happés par la scénographie générale, puis regardaient plus en détail ce qui se passait sur les desks. J’avais disposé nos nuanciers et c’est ce qui a attiré le plus l’œil – j’ai eu beaucoup de compliments pour les couleurs. Le lieu est agréable et la taille parfaite. L’équipe du salon était très sympathique, comme toujours ! », résume en détail Christa Kleindienst, directrice des ventes. 
Il y a 3 ans et 235 jours

ACM Equipements lance le Bac à Béton Relevable

Le Bac à Béton Relevable d’ACM Equipements.[©ACM Equipements] Revenir à la base avec la trémie de la pompe encore remplie de béton n’est pas du tout une bonne idée. Mais nettoyer cette trémie sur le chantier n’est pas toujours très simple. Avec son tout nouveau Bac à Béton Relevable (BBR), ACM Equipements apporte aujourd’hui une véritable réponse à cette problématique. S’inscrivant dans la gamme TriSystem, le BBR permet simplement le nettoyage des pompes à béton sur les chantiers. « Ce dispositif s’intègre sur la zone de lavage de n’importe quel site de construction », indique Alcides Ferreira, président d’ACM Equipements. D’autant plus que les dimensions du BBR restent compactes pour ce type d’installations : 5,30 m de long, 1,75 m de large et 2,50 m de haut en version repliée. Hauteur qui passe à 5,25 m au moment de la vidange du bac de réception, d’une capacité de 680 l. Le poids du BBR à vide est de 850 kg.  Recycler ses déchets et protéger l’environnement Comment ça marche ? Tout d’abord, la pompe vide le contenu de sa trémie (résidu de béton, eau de lavage) dans le bac de réception. Puis, elle quitte le chantier. En parallèle, le bac est relevé hydrauliquement, afin de déverser son contenu dans un big bag, d’une capacité maximale de 1 000 l. L’opération prend à peine 1 mn 30. Le big bag est positionné sur un support posé sur un bac de rétention des eaux, d’une capacité de 1 000 l aussi. Ceci, pour éliminer tout risque de pollution. Après décantation et durcissement du béton dans le big bag, ce dernier peut être placé dans une benne de recyclage.  Avec cet équipement, le chantier peut aussi bien maîtriser le traitement de ses déchets que protéger l’environnement. Enfin, côté pratique, une simple prise 220 V suffit pour alimenter l’équipement.
Il y a 3 ans et 235 jours

Saint-Gobain s’implante sur le marché mexicain de la chimie

En 2020, Impac a réalisé un chiffre d’affaires de près de 50 M€. [©Impac] Saint-Gobain a signé un accord pour acquérir Impac. Qui est un acteur de référence sur le marché de la chimie de la construction au Mexique. En 2020, Impac a réalisé un chiffre d’affaires de près de 50 M€. L’entreprise gère une usine de production à Monterrey et emploie environ 630 personnes. Cette acquisition permettra au groupe Saint-Gobain de consolider sa position de leader en Amérique latine. Tout en accélérant sa dynamique de croissance dans la région. Et en étoffant son offre de solutions à destination des marchés de la construction durable. Au Mexique, Saint-Gobain emploie déjà 7 500 personnes et dispose de 11 sites industriels.  La finalisation de cette transaction est soumise à l’obtention de l’autorisation des autorités mexicaines de la concurrence et devrait avoir lieu dans les prochains mois.
Il y a 3 ans et 235 jours

Nouvelles découpeuses polyvalentes d’Husqvarna

Les nouvelles découpeuses polyvalentes K 770 et K 970 d’Husqvarna Construction France améliorent la sécurité de l’opérateur lors de la découpe de matériaux (blocs béton, briques, asphalte, tuyaux, murs, …). [©Husqvarna Construction France] Les nouvelles découpeuses polyvalentes K 770 et K 970 d’Husqvarna Construction France sont équipées de la technologie SmartGuard. Elles réduisent la probabilité d’accidents ou de blessures graves en cas de rebond. Puissantes, elles sont dotées de fonctionnalités qui garantissent une efficacité et des performances optimales. Grâce à un carter de protection de disque qui assure un fonctionnement continu et un système de freinage intégré, elles améliorent la sécurité de l’opérateur lors de la découpe de matériaux (blocs béton, briques, asphalte, tuyaux, murs, …). En effet, en cas de rebond, le sur-carter se déploie et protège l’utilisateur. La conception du carter a été pensée pour améliorer la technique de coupe, en incitant l’utilisateur à commencer à travailler par la partie basse du disque. Légères, avec un bon rapport poids/puissance (10 kg/3,7kW et 11,9 kg/4,8 kW), elles sont aussi dotées d’un système anti-vibration. Ainsi que du système semi-automatique SmartTension, qui minimise le risque de sous et sur-tension de la courroie. D’une profondeur de coupe de 125 mm au maximum, les découpeuses K 770 et K 970 sont adaptées à tout type d’applications, y compris dans les espaces confinés. Elles sont compatibles avec tous les disques diamantés Husqvarna de 350 mm de diamètre.
Il y a 3 ans et 235 jours

Fischer lance Fis V Zero, une résine d’injection sans substances dangereuses

Innovante, Fis V Zero est exempte de peroxyde de benzoyle. [©Fischer] Spécialiste des fixations, Fischer vient de mettre sur le marché Fis V Zero, première résine d’injection sans substances dangereuses. Innovante, cette résine est exempte de peroxyde de benzoyle, une substance utilisée dans les scellements chimiques. Et classée comme allergisante, irritante pour les yeux et dangereuse pour l’environnement. Fischer a remplacé ce composé par des substances respectueuses de l’environnement et un nouveau procédé de durcissement breveté. D’une résistance au feu R120, FIS V Zero dispose d’Evaluations techniques européennes pour béton fissuré et non-fissuré, maçonnerie creuse et pleine, et reprise d’armatures à béton. Universelle, polyvalente et aussi performante qu’une résine traditionnelle, elle convient à toutes les applications de fixation chimique courantes dans le domaine du bâtiment comme du bricolage. Elle permet le scellement de fers à béton, la fixation de garde-corps, de stores bannes. Mais aussi de mains-courantes, d’éléments de charpente, de constructions métalliques, d’équipements de jardin, de cuisines et de sanitaires… Son temps de durcissement est de 60 mn à une température de 22 °C.