Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Acpresse Béton

(3884 résultats)
Il y a 3 ans et 264 jours

Parexlanko : Un enduit biosourcé pour le patrimoine

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. A base de chanvre, la solution Parnatur est particulièrement adaptée aux bâtiments anciens. [©Parexlanko] Parexlanko propose un enduit de dressement allégé et biosourcé pour les façades intérieures et extérieures, le Parnatur. A base de chanvre, il apporte un complément d’isolation thermique et acoustique. Et peut, si besoin, compenser les défauts de planimétrie grâce à une épaisseur de 2 à 8 cm.  Composé d’un liant et d’un granulat biosourcé en chanvre, cet enduit bio-composant se mélange dans une machine à projeter. Il s’applique sur une grande variété de murs extérieurs et intérieurs. Il est compatible avec un grand nombre de finitions de la gamme Patrimoine de la marque. Cette nouvelle gamme est composée de matériaux sains pour l’homme comme pour l’environnement. Et apporte une réponse aux enjeux environnementaux et sanitaires que doit respecter le marché du bâtiment.  Avec cette gamme, le groupe permet à la fois de trouver une solution aux problèmes thermiques et sanitaires des bâtiments anciens.  Sur Artibat : Hall 10A – Stand E47 Retrouvez l’ensemble du dossier sur les innovations d’Artibat
Il y a 3 ans et 264 jours

Mapei : Des nouveautés et une avant-première

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Une partie de la gamme Mapefibre ST devient translucide. [©Mapei] Ce n’est pas encore la période des étrennes. Pourtant, Mapei arrive à Artibat la hotte pleine de nouveautés. En tête de liste vient se positionner la nouvelle gamme Mapefibre ST. A présent fabriquée en interne, l’offre a vu l’introduction des ST30 et ST42, qui se caractérisent par leur couleur transparente, les rendant pour ainsi dire invisibles dans le béton.  Côté adjuvants, Mapei présente pas moins de deux innovations. Tout d’abord, le plastifiant Dynamon Easy 834. Offrant une plage de dosage étendue, il permet de couvrir une large gamme de bétons, de plastiques à très fluides. Ceci, grâce à un pouvoir de dispersion des éléments fins qui s’amplifie avec le dosage.  Le Mapefluid N230 est, lui, le dernier-né des superplastifiants de la marque. Il est adapté aux bétons de dallage, permettant des formulations cohésives, ce qui aboutit, après pompage, à un matériau homogène en sortie du tuyau. Exit la concentration de particules au centre et la laitance autour… De plus, Mapefluid N230 offre un long maintien d’ouvrabilité (jusqu’à 1 h 30) pour un grand confort d’utilisation, sans retarder la finition du dallage. Enfin – et c’est une avant-première -, Mapei doit dévoiler un nouveau service mobile pour accompagner ses clients du secteur du béton. Son nom : Mapei Le Lab’. Il s’agit du premier laboratoire mobile adjuvantier en France. Entièrement équipé, il se déplace sur les usines de préfabrication, les centrales à béton et sur chantier pour réaliser des essais sur les matières premières et de formulations béton. Sur Artibat : Hall 10B – Stand K33 Retrouvez l’ensemble du dossier sur les innovations d’Artibat
Il y a 3 ans et 264 jours

Cérib : « La RE 2020 n’est pas une réglementation figée »

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Lionel Monfront, directeur produits et marchés du Cérib. [©Stefan Meyer] Quelles sont les principales évolutions qu’amènent la RE 2020 en comparaison à la RT 2012 ? Lionel Monfront : La future RE 2020 s’articule autour de trois piliers : l’énergie, le carbone et le confort d’été.  Le volet “énergie” est celui qui ressemble le plus à ce qu’est la RT 2012, toutefois dans une version amplifiée. Les modes de calcul des indices sont différents, en particulier celui du Bbio. Il devient donc difficile de comparer. Mais pour donner une idée des évolutions, on pourrait dire que le nouveau Bbio RE 2020 correspondrait à celui de la RT 2012 – 30 %… Le volet “carbone” est une notion nouvelle. Cette dernière est le fruit de ce qu’a été l’expérimentation E+C–. Mais dans la RE 2020, on s’oriente vers deux indices distincts. Tout d’abord, le “carbone construction”, exprimé en kg CO2/m2Shab. Cet indice comptabilise tous les éléments permettant la construction. Aussi bien les matériaux et équipements que les travaux réalisés. Il est calculé sur une durée de vie conventionnelle du bâtiment de 50 ans. A ce niveau, la Fédération de l’industrie du béton a déjà édité les Fdes de près de 90 % des produits préfabriqués à destination du bâtiment, pour simplifier le travail des constructeurs. Le “carbone énergie” est le second indice et concerne les émissions liées à la vie en œuvre de la construction. Il est comptabilisé sur la même durée. Petit point particulier, les “carbone construction” et “carbone énergie” sont abordés de manière individuelle dans la RE 2020, en fixant deux seuils réglementaires distincts. Ainsi, chacun doit donc faire des efforts de son côté. Par ailleurs, vient s’appliquer sur ces deux indices l’ACV dynamique simplifiée. Celle-ci minore les émissions de gaz à effet de serre ayant lieu à long terme. Le coefficient est de 1 lors de la construction du bâtiment, pour atteindre 0 au bout d’un siècle, en passant par 0,58 à 50 ans ! De fait, les émissions ayant lieu après 100 ans sont considérées comme n’ayant plus d’incidence sur le réchauffement climatique [Lire encadré]… De fait, un matériau libérant son carbone en fin de vie, tel le bois, est favorisé par rapport à un matériau ayant un cycle qui voit l’émission du carbone au moment de sa fabrication, tel le ciment. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez l’ensemble du dossier : Le ciment, le béton et le bas carbone Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 3 ans et 264 jours

Boîte d’attente : Un équipement pas si banal

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine De gauche à droite, François Gaudin, président du comité particulier “boîtes d’attente”, et Eric Caniac, directeur technique de l’Afcab (Association française de certification des armatures du béton). [©ACPresse] La boîte d’attente fait partie de ces dispositifs omniprésents sur les chantiers de bâtiment, qui simplifie les travaux de construction. Ce type d’équipements s’est beaucoup développé à partir du début du XXIesiècle. Même s’il n’existe pas de chiffres précis quant à l’importance de son marché, on peut l’estimer à une fourchette comprise entre 3 et 4 mis en œuvre chaque année.  La boîte d’attente constitue un produit complémentaire de l’industrie des armatures. Quelques usines appartenant à des groupes armaturiers en assurent la fabrication, auxquelles s’ajoutent plusieurs industriels indépendants. « Une boîte d’attente est un dispositif technique permettant d’assurer une liaison physique entre deux voiles ou entre un voile et un plancher », rappelle François Gaudin, président du comité particulier “boîtes d’attente” de l’Afcab (Association française de certification des armatures du béton). Il s’agit donc d’un élément structurel qui participe à la stabilité de la construction. Aussi, il faut le choisir avec soin pour avoir toutes les garanties en cas de sinistre. A ce titre, l’Afcab a mis en place un système de certification volontaire des boîtes d’attente.« Choisir un produit certifié permet de transférer la responsabilité décennale de l’entreprise de construction vers le fournisseur du produit,précise Luc Rozier, directeur commercial produits de la Snaam. En cas d’utilisation d’éléments non certifiés, c’est l’entreprise qui reste responsable s’il y a un sinistre, sans possibilité de se retourner vers son fournisseur… » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 264 jours

KP1 : 100 % en recyclé

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. KP1 présente un tout nouvel entrevous fabriqué sur la base de matériaux recyclés. [©KP1] KP1 dévoile un tout nouvel entrevous dédié aux planchers sur vide sanitaire. Ainsi, l’EMR a été conçu à 100 % en matières premières recyclées. La solution répond donc à la RE 2020 et à la stratégie de réduction de l’impact carbone des bâtiments. Composé de plastique recyclé, l’entrevous est le résultat du travail entre KP1 et l’entreprise CPA Recyclage. Il dispose d’un poids carbone de 1,76 kg eqCO2/m2de plancher. Soit trois fois moins qu’un entrevous classique. De plus, la chaîne de production de l’EMR a été pensée en circuit court. En effet, seuls 30 km séparent le centre de recyclage situé à Pont-d’Ain (01) du site de KP1 où sont conçus les produits. L’industriel prévoit ainsi de recycler près de 40 M de bouteilles en plastique sur une année de production.  « Créé par KP1 il y a plus de 20 ans, le système d’entrevous légers s’est démocratisé au fil des années pour devenir aujourd’hui la norme, explique Florent Goumarre, directeur marketing, communication et innovation produits chez KP1. Nous avons mis cet esprit visionnaire et notre expertise de plus de 60 ans au service de la performance pour concevoir l’EMR. Une solution respectueuse de l’environnement, sans compromis sur sa légèreté, sa rigidité et la sécurité des femmes et des hommes sur chantier. »L’EMR est 35 fois plus léger (2,5 kg) qu’un entrevous traditionnel en béton et se découpe facilement sur chantier. Pour information, l’Avis technique et la marque NF sont en cours de validation.  Sur Artibat : Hall 10A – Stand D43 Retrouvez l’ensemble du dossier sur les innovations d’Artibat
Il y a 3 ans et 264 jours

Pathologies des bétons fluides #1 : Comment contrer le risque de ségrégation ?

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Photo 1 : Cheminées de ressuage (“channelling”, en anglais) observées sur une paroi moulée de 6 m de hauteur. Par la suite, on a appris que les compagnons avaient vu, après la fin des opérations de bétonnage, des geysers de 50 à 60 cm de hauteur à la surface de l’ouvrage. [©DR] I – Le risque de ségrégation Tous ceux qui ont fait un peu de cuisine savent qu’un bon malaxage permet d’obtenir, en quelques minutes, un mélange homogène, même si les ingrédients sont très hétérogènes et granuleux au départ. On sait aujourd’hui qu’il y a des forces importantes qui agissent au sein du mélange : les tensions de surface. Ces forces poussent vers l’homogénéité, qui est la configuration la plus stable. Les pales du malaxeur à béton, comme la cuiller du cuisinier, cassent les frottements (ou la thixotropie) qui freinent la marche vers l’homogénéité. Dès qu’on arrête le malaxage d’un béton fluide, cependant, les forces de gravité (la poussée d’Archimède sur les grains) peuvent détruire cette homogénéité. Soit parce que les granulats ont une densité (autour de 2,7 en général) supérieure à celle du mortier qui les entoure (2,1 à 2,2). Soit l’inverse, comme les granulats légers qui remontent parfois en surface. Dans les cas les plus spectaculaires [Photo 1], cette instabilité se traduit par des geysers en surface et des cheminées de ressuage (“channelling”,en anglais). Sur des dalles ou des dallages de faible épaisseur, le ressuage peut se produire aussi par des chenaux [Photo 2]. Cependant, ce type de ségrégations peut être évité, en corrigeant la distribution granulométrique du matériau. L’idée est de faire en sorte que la sédimentation d’une classe granulaire puisse être bloquée par la classe de taille inférieure. Ce qui renvoie au calcul de la distance entre les grains d’une classe [Figure 3]. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 264 jours

Des boîtes d’attente pas si basiques que ça

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine DMA Industries : Simple et efficace Boîte d’attente DMA Box de DMA Industries [©Groupe DMA] Comme son nom le laisse entendre, l’armature industrielle pour béton est le métier de DMA Armatures. Né en 1980, dans l’Eure, le groupe familial est aujourd’hui à la tête de dix usines en France, dont DMA Industries, sise à Saint-Georges-sur-Eure (28). Ainsi, à sa gamme de produits sur plan et autres solutions standards, l’entreprise a naturellement intégré une offre d’accessoires de reprise de béton, à la tête de laquelle figurent les boîtes d’attente. Leur fabrication est assurée par l’entité DMA Industries. Quant à l’identité des boîtes, elles ont été appelées DMA Box. Simple et efficace.  A support incorporé, cette gamme de boîtes d’attente existe en trois largeurs et en deux longueurs. Elle utilise des aciers NF B500A, aptes aux pliage et dépliage. Ceux-ci sont déclinés du diamètre 6 au 12 mm. DMA Industries précise que son service étude peut aussi proposer des boîtes sur mesure selon les besoins des chantiers. Conformément aux normes applicables en matière d’engravures pour reprise de bétonnage, DMA Industries respecte les prescriptions et propose une profondeur de boîtier de 30 mm. Armabox Fimurex : Une offre bien définie La Novabox d’Armabox Fimurex est une boîte d’attente à support intégré. [©Fimurex] Le catalogue Armabox Fimurex est riche de deux grandes familles de boîtes d’attente, certifiées Afcab. La ligne Gammbox2 est la première d’entre elles. Le support recevant les armatures est en polypropylène recyclable. Il est dit amovible. Il est donc impératif de l’ôter en intégralité, afin de garantir une reprise béton contre béton.  La ligne Gammbox2se décline en plusieurs variantes. A la classique “B”, pour les usages standards, s’ajoute la “BPR”, dédiée à une utilisation avec des prémurs. Les autres références techniques prennent les noms de “BA”, “BAB”, “BB” et “BG”, et dépendent de la configuration des armatures en attente. L’offre est complétée par la Gammbox2BPS. Il s’agit de la boîte d’attente spécifique pour assurer les liaisons planchers à prédalles et voiles avec engravure (LPPVE). Cette boîte répond à toutes les exigences du Fascicule de documentation FD P 18-720. Ainsi, l’ensemble (boîte d’attente et dispositif de maintien aimanté) permet de générer une indentation verticale de 12 mm de profondeur, en conformité avec l’Eurocode 2. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 268 jours

La France de demain

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Président de l’Association Eugène Freyssinet, Frank Guyon s’interroge sur quelle France nous allons léguer à nos petits-enfants dans son livre “La France, demain. Un historien du futur raconte”. Une France apaisée, sereine et sûre d’elle-même ? Ou bien une France en proie à l’insécurité et au chômage, appauvrie, fracturée, intolérante ? « On ne s’interroge pas assez sur l’avenir que nous allons proposer à nos enfants et nos petits-enfants. J’ai imaginé un roman d’anticipation pour faire réfléchir sur ce sujet »,insiste l’auteur. Au fil de l’Histoire, les Français ont maintes fois su forcer le destin. « Il n’est donc pas impossible que les choses s’arrangent. »  Animé de l’intime conviction que l’avenir est loin d’être écrit, Frank Guyon se projette en 2062. Il imagine successivement une France heureuse, guérie des maux qui l’accablent (10 chapitres). Et une France malheureuse de son renoncement (1chapitre). Il porte un regard acerbe sur la société contemporaine, qui est, pour lui, mal en point. Il insiste sur le manque d’unité nationale, qui frappe notre pays et qui serait pourtant le salut de notre avenir. Agréable à lire. Editeur : Editions Valensin – David RheinhargAuteur :  Frank GuyonPrix : 20 €TTCwww.editionsvalensin.fr
Il y a 3 ans et 268 jours

Rector enregistre ses propres Fdes pour son offre bas carbone

Rector dispose désormais de Fdes pour ses Prémurs et Prédalle BA bas carbone. [©ACPresse] Avec l’arrivée de la RE 2020, les Fdes deviennent de plus en plus indispensables. Rector en a bien compris ces enjeux et a souhaité s’engager dans l’élaboration de ses propres fiches. Si des Fdes collectives existent, couvrant ce type de systèmes de façon générale, l’industriel du béton alsacien a voulu spécifier l’analyse du cycle de vie de ses Prémurs et Prédalles BA bas carbone. En effet, ces solutions ont été formulées sur la base d’un béton à impact carbone réduit et constituées d’acier recyclé au niveau des armatures. Lire aussi : – Rector lance la production de prédalles et de prémurs à Toulouse– Rector : « Les rupteurs thermiques sont comme la bonde qui permet d’éviter que la baignoire ne fuie » Les Prémurs et Prédalles BA bas carbone vont bien au-delà des objectifs de Rector. En effet, ils affichent une réduction carbone de plus de 50 % sur la totalité de leurs cycles de vie par rapport aux Fdes collectives des produits classiques du marché. Et ce, aux mêmes exigences d’efficacité structurelle que les solutions standards de l’industriel. Dans le détail, les Prémurs BA bas carbone enregistrent 18,9 kg eq CO2/m2, contre 40 kg eq CO2/m2pour les fiches collectives. Tandis que les Prédalle BA bas carbone sont à 9,87 kg eq CO2/m2 contre 24 kg eq CO2/m2. Avec l’obtention et la publication de ces Fdes, Rector réaffirme sa volonté de s’ancrer pleinement dans la RE 2020 et dans le bâtiment bas carbone.
Il y a 3 ans et 269 jours

Spie Batignolles Vallia se développe dans le Grand Ouest

De gauche à droite : Stéphane Devernay, directeur financier de Spie Batignolles, Patrice Lemens, président de Spie Batignolles Vallia, Jérôme et Aline Leclair, dirigeants de MSV et Paysages de l’Oust, Nicolas Morin, directeur administratif et financier de Spie Batignolles Vallia, et Julien Chappaz, directeur général délégué de Spie Batignolles Vallia. [© Spie Batignolles Vallia] Spie Batignolles Vallia s’agrandit. L’entité spécialisée en aménagements paysagers du groupe Spie Batignolles devient l’actionnaire majoritaire des sociétés MSV et Paysages de l’Oust, dirigées par Jérôme et Aline Leclair. Le groupe étend ainsi son influence à l’ensemble de la Bretagne.  Spie Batignolles Vallia entre les mains d’experts Dorénavant, Paysages de l’Oust jouera un rôle dans l’aménagement des espaces publics et urbains. L’entreprise assurera des activités de créations paysagères, et d’entretien de parcs et jardins. En parallèle, MSV contribuera aux activités d’élagage et d’entretien des grands espaces naturels. Lire aussi : Weber Saint-Jacques-de-la-Lande fête ses 40 ans De plus, l’entreprise s’occupera aussi de la gestion de la végétation aux abords des infrastructures. « Cette double reprise résulte de la volonté du groupe d’accompagner la transition écologique des territoires. Explique Jean-Charles Robin, président de Spie Batignolles. Et ce, en intégrant de nouvelles expertises proposées par MSV dans le domaine des travaux forestiers. »  En Bretagne, tout est sous contrôle Déjà implanté à Nantes et à Rennes, Spie Batignolles profitera de 3 nouveaux sites en Bretagne, à Lannion (22), Quimper (29) et Josselin (56). Le groupe a choisi ces sites, appartenant à MSV et Paysages de l’Oust, pour rayonner sur l’ensemble de la région. Lire aussi : Jessica Jung est la nouvelle directrice générale de Rénovation Privée Et pourra mieux s’intégrer dans le Grand Ouest, via plus de proximité avec les clients. « Les synergies à mettre en œuvre entre nos sociétés nous permettront d’apporter une réponse toujours plus complète aux besoins des collectivités, des gestionnaires d’infrastructures et des citoyens »
Il y a 3 ans et 270 jours

Jessica Jung est la nouvelle directrice générale de Rénovation Privée

Portrait de Jessica Jung, la directrice générale de Rénovation Privée. [©Bouygues] Unité opérationnelle de Bouygues Bâtiment Ile-de-France, Rénovation Privée est le spécialiste des projets de rénovation tertiaires et résidentiels privés. L’entité sera désormais dirigée par Jessica Jung. Sa mission principale sera de développer l’entreprise sur le marché de la rénovation, en accord avec les défis climatiques. En effet, Rénovation Privée compte bien proposer des solutions innovantes pour répondre aux exigences environnementales du marché. Jessica Jung devra mettre en place un accompagnement global dans le processus de réalisation des projets immobiliers, qu’ils soient destinés à un usage professionnel ou privé.  « Je suis profondément et personnellement impliquée dans la transformation de nos manières d’agir face à l’urgence climatique, souligne Jessica Jung. La rénovation, plus frugale en matières premières, nous offre un rôle à jouer de premier plan, pour réaliser des bâtiments plus respectueux de la planète et du bien-être des personnes. » De plus, Jessica Jung est fière de représenter les femmes dans le secteur du BTP. Il est important de révéler l’ensemble des talents féminins du secteur et de laisser la place à chacun de s’épanouir. Jessica Jung sera sous la tutelle de Thierry Roulet, directeur général de Bouygues Bâtiments Ile-de-France, et d’Albin Dargery, directeur général en charge du pôle tertiaire privé.  Son parcours Diplômée de l’Ipag Business School en 2000 avec la spécialisation audit et contrôle de gestion, Jessica Jung intègre par la suite Bouygues Construction en tant que contrôleur financier. Elle évoluera au sein du groupe. Tout d’abord, au poste de chef de projet “Sap”1, puis en tant que secrétaire générale. En 2012, elle devient directrice commerciale “ouvrages fonctionnels” Rhône. Et en 2015, directrice de grands projets toujours au sein de Bouygues Bâtiment Sud-Est. Enfin, c’est en 2018 qu’elle rejoint la région Ile-de-France au poste de directrice de production. Jessica Jung a pris ses fonctions de directrice générale au sein de Rénovation Privée, le 1erjuillet 2021.  Charline David 1Progiciel d’applications de systèmes et produits de traitement des données.
Il y a 3 ans et 270 jours

L’Unicem Entreprises Engagées se mobilise pour la RSE

A l’occasion de l’assemblée générale, Louis Natter, président de l’association UNICEM entreprises engagées, présente sa charte d’engagement pour la RSE. [©Unicem] L’Unicem Entreprises Engagées (UEE) se mobilise pour encourager et accompagner les entreprises à respecter les règles du développement durable dans leurs activités. L’union s’est focalisée en grande partie sur l’aide aux PME avec plusieurs méthodes. Aujourd’hui, plus de 350 entreprises et 1 600 sites y sont affiliés. Parmi lesquelles, une trentaine de sociétés en France propose des opérations de sensibilisation au Label RSE pour les non-adhérentes. Lire aussi : Le groupe Kingspan dévoile sa stratégie de développement durable De plus, l’UEE met en place une grille d’auto-diagnostics pour situer et identifier les axes de progression de l’entreprise. L’union organisent aussi des webinaires comme “La RSE, levier de performance et de rentabilité” et “Valoriser la RSE dans ses relations commerciales” pour les PME. En parallèle, les sociétés adhérentes bénéficient d’un programme de formation sur les mêmes thématiques. Un guide sur la valorisation de ces pratiques sera aussi disponible en fin d’année pour les aider dans la démarche. En route vers la reconnaissance  L’UEE a fait évoluer la dénomination des démarches pour faciliter l’appropriation des entreprises. Lire aussi : Formation : BMS Académie voit le jour La Charte environnement est donc devenue Cap Environnement et la Charte RSE se nomme Label RSE. De ce fait, l’objectif de l’union, dirigée par Louis Natter, est d’obtenir la reconnaissance du Label. Il explique, « L’Unicem Entreprises Engagées a participé à l’expérimentation nationale sur les labels sectoriels RSE lancée en mai 2018. Nous attendons maintenant une reconnaissance de l’Etat de ce label, qui participera à la reconnaissance de notre filière. »
Il y a 3 ans et 270 jours

Formation : BMS Académie voit le jour

La formation à la projection du béton est opérée sur simulateur. [©Groupe BMS] Avec l’arrivée de NFM Engineering en 2020 dans son giron, le groupe BMS a renforcé son expertise dans les métiers des fondations spéciales et travaux souterrains. Pour aller plus loin, il complète aujourd’hui son offre de prestations. Ceci, avec le lancement de son pôle formations. Baptisée sobrement BMS Académie, la nouvelle entité est placée sous la responsabilité de Lucas Eslatine, ingénieur des Arts et Métiers. Qui assure ainsi la coordination du centre.  Une série de formations Inaugurée au mois de juin dernier, BMS Académie propose, depuis la rentrée de septembre, une série de formations spécialisées dans les domaines du forage, des injections en forage, de la projection béton et du tunnelier. Ces dernières sont assurées par des experts reconnus dans leurs domaines et pouvant s’enorgueillir de nombreuses années d’expérience sur le terrain. « Ce comité pédagogique nous permet de proposer des prestations à la pointe de l’innovation. Ceci, tant sur le plan des connaissances techniques, que sur celui des moyens pédagogiques mis à disposition des stagiaires », résume Jean de Saint-Julien, président du groupe BMS.  Deux types de formations sont proposées. Tout d’abord, la formule “intra-entreprise”, c’est-à-dire dans les locaux de l’entreprise demandeuse. Cette modalité permet au formateur de se focaliser sur un contexte particulier. Quant à la formule “inter-entreprise”, elle est destinée aux stagiaires venant de différentes entreprises. Elle peut se faire dans les locaux de BMS, sur Paris, Lyon ou Toulouse. Son avantage : des échanges d’expériences entre pairs.
Il y a 3 ans et 276 jours

Journées du Patrimoine : Les bons plans de la rédaction

Les Journées du Patrimoine auront lieu du 18 au 19 septembre 2021. [©Ministère de la Culture] Les Journées du Patrimoine arrivent à grands pas. Le week-end du 18 et 19 septembre verra la 38e édition de cet évènement, crée en 1984 par Jack Lang. Cette année sera placée sous le thème de l’accessibilité et du “Patrimoine pour tous”. Roselyne Bachelot, ministre de la Culture, a mis en œuvre une stratégie pour répondre aux besoins de tous. Elle évoque des parcours adaptés à chacun, « avec une attention particulière portée aux personnes en situation de handicap ». N’importe qui pourra donc bénéficier d’un accès à tous les lieux interdits au public en temps normal. Le patrimoine culturel français est riche en monuments et en architectures. L’équipe d’ACPresse vous donne ses bons plans à aller découvrir.  Notre-Dame en immersion Pour les Journées du Patrimoine, Notre-Dame de Paris sera accessible pendant le week-end. [©ACPresse] Partons à la découverte de l’un des édifices religieux les plus connus au monde, la cathédrale Notre-Dame de Paris. L’entreprise en charge de sa restauration (EPRNDP) vous propose une immersion inédite au cœur du “chantier du siècle”. Vous pourrez profiter de nombreuses animations et démonstrations autour des métiers qui participent à sa rénovation. Lire aussi : – Du béton pour Notre-Dame de Paris Le béton par Perret  Le palais de Iéna est ouvert pour les Journées du Patrimoine le week-end du 18 et 19 septembre. [©AC Presse] Intéressons-nous maintenant au XVIe arrondissement, quartier qui abrite le palais d’Iéna. Son architecture en fait un lieu incontournable à aller visiter. Son architecte, Auguste Perret, a su tirer partie des qualités du béton pour construire un édifice considéré comme un chef-d’œuvre. Pour percer les secrets du palais d’Iéna, des conférences et des expositions éclaireront les visiteurs tout le week-end. Une façon d’en apprendre davantage sur sa conception et son architecture. Le Train des Merveilles Le Train des Merveilles vous ouvre la voie pour les Journées du Patrimoine. [©Egaowakaii] La région Paca a aussi des atouts dans sa poche. En effet, les Journées du Patrimoine proposent une visite à bord du Train des Merveilles. Au départ de Nice, le trajet offre un voyage d’une centaine de kilomètres à destination de Tende, dans les Alpes. Ce voyage est considéré comme l’un des plus beaux trajets ferroviaires d’Europe grâce à sa succession d’ouvrages d’art : (viaducs, tunnels…). De plus, les voyageurs auront la possibilité d’admirer les villages perchés du Paillon, de la Bévéra et de la Roya. De quoi profiter d’un bon bol d’air frais à 1 000 m d’altitude. La commune de Wimereux Viaduc de Wimereux. [©Mélanie Huguet] Les Hauts-de-France peuvent réserver leur lot de surprises. L’exemple parfait est la commune de Wimereux, située dans le Pas-de-Calais. Pendant les 2 jours, la ville propose une rétrospective de la construction de sa gare, de son église ou encore de sa cité balnéaire classée comme station de tourisme. Vous pourrez découvrir Wimereux sous tous les angles, et admirer son patrimoine naturel et culturel très riche. Une balade en carrière Les adhérents de l’Unicem ont prévu des ateliers et des animations adaptés aux enfants. [©Photothèque Unicem] Baladez-vous le temps d’un week-end dans nos carrières françaises ! A l’occasion des Journées du Patrimoine, les adhérents de l’Unicem ouvrent les portes de leurs sites. Une façon de découvrir l’univers industriel particulier des carrières et des matériaux minéraux pour la construction. Des visites guidées, des ateliers ou encore des démonstrations ponctueront ces trois jours. Pour trouver la carrière la plus proche de chez vous, c’est par –> ici.
Il y a 3 ans et 276 jours

Capeb et Herige : Un partenariat environnemental

La Capeb et Herige ont signé un partenariat pour accompagner la montée en compétence des entreprises artisanales du bâtiment sur les problématiques RSE. [©Capeb] La Capeb et Herige s’associent. La confédération et le groupe industriel ont signé un partenariat pour accompagner la montée en compétence des entreprises artisanales du bâtiment sur les problématiques RSE. Les objectifs de Jean-Marc Repon, président de Capeb, et de Benoît Hennaut, président de Herige, sont simples. Réduire l’empreinte carbone de leur activité, collecter et valoriser les déchets de chantier.  Lire aussi : – Herige regarde vers l’avenir « La collecte et la valorisation des déchets sont des sujets cruciaux pour les entreprises artisanales du bâtiment, et notamment les TPE, explique Jean-Marc Repon. Il permet d’apporter les outils et l’accompagnement nécessaires à une transition énergétique réussie dans notre secteur. » Une entraide environnementale et artisanale Avec la signature de ce partenariat, la Capeb et Herige proposeront leur service pour permettre d’atteindre les résultats escomptés. De ce fait, le second offrira des formations commerciales, techniques, argumentaires et des outils de vente adaptés aux petites entreprises. Il s’assurera du développement de leurs connaissances pour contribuer à la transition énergétique des bâtiments. Et à la diminution de l’empreinte carbone de leur activité. Lire aussi : – Politique environnementale : Savoir dépasser la réglementation Le président d’Herige explique qu’« accompagner les entreprises artisanales du bâtiment dans leur démarche RSE et en particulier, dans la valorisation des déchets de chantier, fait partie intégrante de notre ambition. Celle d’œuvrer à une transformation durable et responsable des entreprises artisanales du bâtiment. » De son côté, la Capeb permettra à Herige d’utiliser le label Eco Artisan RGE. De plus, afin de traiter des problématiques du “métier”, de l’évolution des marchés ou encore de la numérisation, Herige bénéficiera d’un accès au Club Partenaires de la Capeb pour trouver de manière efficace les solutions aux problèmes.
Il y a 3 ans et 282 jours

Certification : ISP décroche l’ISO 9001

ISP est certifié ISO 9001 : 2015 pour l’ensemble de ses activités. [©ACPresse] Inter Service Pompe (ISP) est n° 1 du pompage du béton en France. Le groupe compte d’ailleurs nombre d’entités locales pour être au plus près de ses clients. Voulant aller encore plus loin dans son professionnalisme, il vient d’obtenir la certification ISO 9001 : 2015 pour l’ensemble de ses activités et de ses entités. « Y compris pour notre atelier de maintenance du matériel, la division Inter Service Dallages ou encore Inter Service Gestion », souligne Antonio Agostinho, président d’ISP. Et de poursuivre : « Pour nous, cette certification est la garantie de qualité et de traçabilité que nous sommes en mesure d’apporter à nos clients ».  ISP est la première entreprise de pompage à décrocher la certification ISO 9001 et ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. En effet, d’autres certifications sont en cours. Tout d’abord l’ISO 14001, qui concerne le système de management environnemental. Puis l’ISO 45001, qui spécifie les exigences du management de la santé et de la sécurité au travail. ISP devrait voir leur validation dans les mois qui viennent.  En parallèle de l’ISO 14001, le groupe travaille sur son empreinte, en passant peu à peu l’ensemble de sa flotte de pompes à béton à l’huile hydraulique biodégradable. La démarche n’est pas neutre pour l’entreprise quand on sait qu’une pompe contient quelque 600 l d’huile et que le parc ISP compte plus de 500 machines… « Nous regardons aussi du côté des biocarburants pour alimenter nos véhicules », conclut Antonio Agostino. 
Il y a 3 ans et 282 jours

Construction Days invite le béton

Les Construction Days se tiennent du 14 au 16 septembre au parc Eurexpo-Lyon. [©ACPresse] Dans moins d’une semaine, Construction Days ouvre ses portes au parc Eurexpo-Lyon. Créé par Comexposium et le Seimat, l’évènement durera 3 j. Et se tiendra principalement en extérieur, sur 9 ha d’expositions et de démonstrations.  Le Forum de conférences et d’ateliers constituera un des points forts du rendez-vous. Ainsi, le mardi 14 septembre sera l’occasion de découvrir “la rationalisation des process, le chantier connecté”. Puis, de savoir “Comment démarrer ou améliorer sa transition énergétique”.  Mais c’est la journée du mercredi 15 septembre qui sera celle du béton… Ceci, à travers la conférence “Matériaux de construction : les nouvelles technologies au service de la transition énergétique”. Ce débat verra les interventions de Félicien Thiou, responsable construction durable de Cimbéton, de Pierre-Antoine d’Argento, délégué régional du SNBPE, et de Rolland Melet, président de 360SmartConnect. L’occasion d’en savoir plus sur “les leviers de la décarbonation de la construction en béton dans le cadre de la RE 2020”. Mais aussi sur “le béton bas carbone” ou encore sur “la traçabilité au service des objets de réduction carbone”.  Animé par Béton[s] le Magazine L’ensemble de cette intervention sera animé par Frédéric Gluzicki, le rédacteur en chef de Béton[s] le Magazine. Rendez-vous le 15 septembre de 10 h 00 à 11 h 00 sous le chapiteau central des Construction Days. L’après-midi du même jour se poursuivra autour des nouvelles technologies au service de la transition énergétique, mais sous l’angle des matériels de construction. Enfin, les conférences du jeudi 16 septembre seront axées sur l’emploi, pour savoir comment attirer les talents vers le secteur de la construction ou de la maintenance du matériel ?  Côté exposants, les Construction Days réunissent quelques 74 industriels présents issus de 6 secteurs d’activité de la filière : “Terrassement, démolition et transport”, “Route, industries des matériaux et fondations”. Mais encore “Levage et manutention”, “Nouvelles technologies” et “Gros œuvre du bâtiment et filière du béton”. Cette dernière catégorie rassemble des spécialistes, tels que 360SmartConnect, Alphi, Arcen, Carmix, Glaap & Brinkman. Tous comme Imer, Lancy, Malherbe, Merlo, Pi Makina, Putzmeister et Sateco. 
Il y a 3 ans et 282 jours

La 4e édition du Challenge Start-up Construction Tech est lancée

Les candidatures pour le Challenge start-up de Batimat sont lancées. [©Batimat] Batimat annonce le début du 4e Challenge Start-up Construction Tech. Créé en 2018, le concours se focalise sur les filières de la construction, du bâtiment et de l’immobilier. Le coup d’envoi est donc donné pour toutes les start-up participantes. Les jeunes entreprises devront présenter leur projet avant la date finale fixée au 30 novembre 2021. Le grand lauréat sera annoncé vers la fin du mois de décembre. Chaque participant sera jugé selon le choix de sa catégorie. Les start-up en quête de challenge La 4e édition du Challenge promet de la nouveauté et de l’engagement. En effet, les start-up auront le choix entre plusieurs catégories axées sur la construction 4.0. Les thématiques proposées sont la numérisation et la data qui regroupent, entre autres, le BIM, l’IA et la réalité augmentée. L’industrialisation (hors-site, robotique, impression 3D) fait aussi partie des thèmes disponibles. Les chantiers du bâtiment et les nouveaux matériaux complètent la liste. Chaque start-up devra présenter une solution ou un produit en lien avec l’une de ces catégories. La pertinence et l’originalité seront indispensables pour espérer remporter le titre de grand lauréat. Tous les participants bénéficieront d’une visibilité à travers une campagne de communication organisée par Batimat et la radio Batimat.
Il y a 3 ans et 282 jours

Christophe Bignolas, à la tête d’Eqiom Bétons

Christophe Bignolas est le nouveau directeur général d’Eqiom Bétons. [©Eqiom] Spécialiste des matériaux de construction, Eqiom annonce la nomination de Christophe Bignolas à la direction générale de sa branche “Bétons”. Il succède à Régis Nivesse à ce poste. Christophe Bignolas entend amener toute son expérience dans un marché du béton prêt à l’emploi en pleine mutation. Ceci, pour répondre aux différents enjeux sociétaux. Et notamment, permettre à Eqiom de continuer de se positionner comme un acteur engagé dans la construction durable. Diplômé des Arts et Métiers et de l’Imperial Collège de Londres, Christophe Bignolas a débuté son parcours professionnel dans le ciment au sein chez Lafarge. Et ce, en occupant diverses fonctions en France et à l’international. Ingénieur procédés, puis responsable de production, il prend la direction de l’usine de Martres Tolosane (31) en 2012. En 2016, il rejoint Eqiom en tant que directeur industriel de la branche “Ciment”, qui comprend aussi l’activité Sapphire (valorisation de combustibles de substitution). Par ailleurs, il est aussi membre du conseil d’administration du Sfic, de Cembureau et de l’Atilh.
Il y a 3 ans et 288 jours

Sotralentz Construction se met au vert

Sotralentz Construction est officiellement “une entreprise climatiquement neutre”. [©Sotralentz Construction] Filiale française du groupe allemand Sülzle, Sotralentz Construction est officiellement “une entreprise climatiquement neutre” depuis 2021. En tant que membre actif de l’organisation “Le Coq Vert”, une communauté de Bpifrance et de l’Ademe, elle s’est engagée dans une démarche de changements écologiques. Ainsi, ce spécialiste des aciers pour béton, treillis soudés et armatures de voussoirs, basé à Drulingen, dans l’Est de la France, a analysé, réduit et compensé ses émissions de carbone. « En tant que l’une des premières entreprises de notre secteur, nous offrons à nos clients la possibilité d’acheter de l’acier neutre en CO2depuis septembre 2021, déclare Olivier Schmitt, directeur de Sotralentz Construction. Nous considérons qu’il est de notre devoir de montrer l’exemple en matière de protection du climat. » Pour cela, la filiale a investi dans de nouvelles machines plus efficaces sur le plan énergétique. 
Il y a 3 ans et 288 jours

Robert Hauser, le nouveau Pdg de Doka

Robert Hauser est le nouveau Pdg de Doka. [©Doka] Spécialisé dans les solutions de coffrages et d’étaiements, le groupe autrichien Doka a un nouveau Pdg en la personne de Robert Hauser. Ce dernier reprend le flambeau de Harald Ziebula, qui part à la retraite après 21 ans passés dans le groupe. Les objectifs de Robert Hauser ? L’internationalisation et la croissance, d’une part. Ainsi que le rôle technologique de premier plan, la digitalisation et le Talent Management1, d’autre part. « La satisfaction de nos clients est ma priorité », souligne l’intéressé. Dans ce but, sous sa direction, l’entreprise se rapprochera encore davantage de ses marchés. Et la digitalisation sera accélérée. Son parcours De nationalité allemande, Robert Hauser, 51 ans, a étudié la physique à Heidelberg et Munich. Et a obtenu un MBA aux Etats-Unis. Présent chez Doka depuis 2018, il avait rejoint les rangs de la direction l’année dernière en tant que responsable des régions Middle East & Africa et East Asia & Pacific. Avant son arrivée dans le groupe, il travaillait pour le prestataire industriel Bilfinger SE en tant que directeur de division. Par ailleurs, Robert Hauser a acquis une solide expérience dans le domaine des coffrages, en occupant différents postes au sein de l’entreprise allemande Peri. Au total, il y a passé douze ans. Auparavant, il a été collaborateur pendant 5 ans d’une entreprise internationale de conseil. 1Le Talent Management, ou gestion de talents en français, est l’ensemble des procédés RH visant à attirer, faire évoluer, motiver et retenir les employés les plus performants.
Il y a 3 ans et 289 jours

Edycem BPE nomme Cédric Ménager comme nouveau directeur de zone

Cédric Ménager est le nouveau directeur du secteur Centre du territoire occupé par l’activité Edycem BPE. [©Herige] Cédric Ménager est le tout nouveau directeur de la zone Centre du territoire occupé par l’activité Edycem BPE (groupe Herige). Pour mémoire, l’industriel possède 33 centrales à béton réparties sur le Grand Ouest de la France, entre Quimper et Le Mans et jusqu’au Sud de Bordeaux. La nomination de Cédric Ménager constitue une création de poste, qui s’inscrit dans la stratégie mise en place par Olivier Collin, directeur général d’Edycem. Annoncée en mai dernier, cette dernière prévoyait en particulier un renforcement du maillage territorial, avec un redécoupage du dispositif BPE en trois secteurs : Nord, Sud et Centre, nouvellement créé. Lire aussi : Enquête exclusive autour du béton prêt à l’emploi en France Déjà 20 ans dans le béton Cédric Ménager est fort de près de 20 ans d’expérience dans le secteur du béton. Responsable de centre d’exploitation LafargeHolcim (Nantes – Cholet) à partir de 2003, il est devenu responsable marketing et performances commerciales de LafargeHolcim pour le Grand Ouest. Ceci, avant de rejoindre, en 2020, Unibéton au poste de Chef des ventes Pays de la Loire et Charente-Maritime. Ainsi, grâce à ses connaissances de la zone géographique, il assurera la gestion, l’exploitation et le commerce sur les départements de la Vendée (hors Bocage) et de la Loire-Atlantique. Dans son périmètre, il aura sous sa responsabilité 9 centrales, allant de Héric à Longeville, en passant par Boufféré, Challans et les Sables-d’Olonne. Et 53 collaborateurs (responsables commerce et exploitation, technico-commerciaux, centraliers, chauffeurs…). Equilibrer la couverture géographique « La satisfaction de nos clients reste la priorité d’Edycem,indique Cédric Ménager. Grâce à ce nouveau dispositif opérationnel, le renforcement de la proximité et le management de la performance permettront de consolider notre savoir-faire. A l’aube de la mise en application de la RE 2020, le déploiement de notre stratégie RSE sera l’une des clefs pour préparer l’avenir. Et pour contribuer au développement d’Edycem sur le secteur qui m’a été attribué. » Ainsi, à travers la création de ce troisième secteur Centre, c’est l’ambition d’Edycem de renforcer ses liens de proximité qui s’illustre. Lire aussi : Estelle Breillat, Alexandre Gouré et Bruno Bachaud : Nouveaux promus chez Edycem Une volonté d’autant plus forte d’équilibrer la couverture géographique après l’acquisition de six centrales à béton en Sarthe (72) et en Mayenne (53) en mars 2020.Dans le cadre de ses activités, Cédric Ménager aura donc pour principales missions de diriger les équipes commerciales et de production pour accroître la performance d’Edycem. Mais aussi de renforcer la proximité avec les parties prenantes qu’Edycem place au cœur de sa stratégie. Il rejoint Bruno Bachaud, à la tête de la zone Nord, et Wilfried Decombredet, en charge du secteur Sud d’Edycem BPE.  Lire aussi : Edycem BPE poursuit sa stratégie de développement
Il y a 3 ans et 290 jours

EDILTECO : LA CHAPE XXs®

LA CHAPE XXs® prête à l’emploi est compatible avec tous les revêtements de sols et offre un gain de poids d‘environ 50 % par rapport à une chape traditionnelle. La densité du mélange – 1200 kg/m3 – est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle. Chape XXs de chez EDILTECO UNE CHAPE LÉGÈRE ET POLYVALENTE Solution innovante, LA CHAPE XXs® est prête à l’emploi et compatible avec tous les revêtements de sols. Cette chape légère et fibrée est destinée à améliorer l’affaiblissement acoustique de tous les revêtements de sol. LA CHAPE XXs® doit sa légèreté aux billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l’adjuvant EIA (Diamètre 2 – 3 mm). La densité du mélange – 1200 kg/m3 – est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle et admet une épaisseur d’application minimale de 1 cm (en pose adhérente sur béton). Grâce à sa légèreté, LA CHAPE XXs® ne surcharge pas les structures. Une légèreté qui ne se fait pas au détriment d’une grande qualité de robustesse : fibrée, elle possède de hautes propriétés mécaniques. Sa simplicité de mise en œuvre va permettre de l’utiliser pour de nombreux usages : chapes adhérentes ou désolidarisées, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolation acoustique aux bruits de chocs, dressage de surface et mise à niveau des planchers ; en toiture à pente nulle ou pente jusqu’à  15 %, avec recouvrement par membrane étanche (DTU 43.1). UNE ISOLATION ACOUSTIQUE OPTIMALE Destinée aux applications intérieures et extérieures, LA CHAPE XXs® permet d’isoler et de traiter acoustiquement les différents types de supports existants dans les immeubles collectifs et les maisons individuelles. Ses performances en matière d’affaiblissement acoustique (21 dB en épaisseur 5 cm + Sous-Couche Acoustique Mince) permettent une absorption efficace des bruits de chocs (talons, chute d’objets, déplacement de mobiliers etc.). LA CHAPE XXs® est la solution idéale pour tous les travaux neufs ou de rénovation. UNE MISE EN ŒUVRE PLUS SIMPLE En plus de ses performances isolantes LA CHAPE XXs® présente une grande facilité de mise en œuvre, permettant de réduire les délais de pose. Cette simplification est liée au fait que LA CHAPE XXs® est parfaitement pompable sur de longues distances et à grande hauteur. Sa consistance mousseuse permet une application efficace lors de la mise à niveau et une parfaite planéité. Son mode d’application est similaire aux règles du DTU 26.2. Une fois mise en œuvre, LA CHAPE XXs® est prête à recevoir directement un carrelage collé ou un autre revêtement. 24 heures suffisent pour la pose sans ragréage d’un revêtement céramique, 36 heures pour un sol souple et textile sur ragréage et 48 heures pour un parquet flottant. Autre avantage, LA CHAPE XXs® peut être utilisée à partir d’une faible épaisseur : 1 cm en pose adhérente sur support béton, 2 cm en pose désolidarisée sur support bois, 5 cm sur SCAM ≤ 0,5 cm y compris au-delà de tout élément noyé dans LA CHAPE XXs® (gaines, canalisations, etc.). Pour l’applicateur c’est donc un gain de temps supplémentaire dans le coulage de la chape, l’assurance d’une finition parfaitement lisse et homogène des sols et la possibilité d’usages multiples. Polyvalente, LA CHAPE XXs® est utilisée pour tout type de chantiers, en maison individuelle ou en immeuble collectif, pour des travaux neufs ou en rénovation, et sur tout type de revêtements de sol : plancher béton ou bois, dalle béton, carrelage collé, carrelage scellé, parquet flottant, parquet collé, revêtement stratifié, moquette ou encore sol souple… À Retenir : – 2 x plus légère qu’une chape traditionnelle.– Rattrapage de niveau à partir de 1 cm sur support béton et 2 cm sur support bois.– Finition parfaitement lisse.– Affaiblissement acoustique aux bruits de chocs : 21 dB avec une SCAM – Collage direct du carrelage après 24 heures, sans ragréage.– Produit fibré, pas besoin de treillis anti-fissuration– Compatible avec tous les revêtements de sols– Application simple et confortable– Sac prêt à l’emploi.– Fabriqué en France (49). Pour plus d’informations, n’hésitez pas à consulter la documentation XXs® ou à visionner la vidéo de mise en œuvre.
Il y a 3 ans et 290 jours

Construction neuve : Les autorisations augmentent pour le logement

Les logements autorisés ont progressé de + 2,8 % par rapport aux trois mois précédents. [©ACPresse] Le ministère de la Transition écologique a dévoilé les derniers chiffres de la construction de logements. De mai à juillet 2021, les logements autorisés ont progressé de + 2,8 % par rapport aux trois mois précédents. Sur cette période, ce chiffre a dépassé la moyenne (+ 1,7 %) des douze mois avant le premier confinement, c’est-à-dire, de mars 2019 à février 2020. Cependant, la période de mai à juillet 2021 a enregistré une baisse de – 5,5 % de logements commencés, par rapport à l’année dernière. Lire aussi : – Conjoncture économique : Jusqu’ici, tout va bien…– Une nouvelle commission pour la relance de la construction neuve Le ministère estime que les mises en chantier de logements ont été inférieures (- 1,1 %) à la moyenne des douze mois précédant la crise sanitaire. Dans le détail, d’août 2020 à juillet 2021, 445 100 logements ont été autorisés à la construction. L’équivalent de 43 500 logements de plus qu’au cours de l’année dernière. Les logements commencés en baisse de 5,5 % Sur la même période, 386 300 logements ont été mis en chantier. Soit une augmentation de 8,2 %. Cependant, il faut bien prendre en compte, dans la lecture de ces chiffres, que l’année de comparaison comprend le premier confinement. Une phase où les autorisations et les lancements de chantier ont été fortement impactés au vu des contraintes sanitaires. Ainsi, le ministère de la Transition écologique estime que le nombre de logements autorisés et commencés au cours de cette année est encore en repli. Et ce, face à la période de mars 2019 à février 2020. En termes de typologie, les logements collectifs ou en résidence tendent vers une amélioration. Mais ils restent inférieurs de 3 % à leur moyenne pré-crise. De leur côté, les logements individuels sont en replis. Ils sont tout de même supérieurs de 9 % en moyenne, par rapport à la période d’avant crise.
Il y a 3 ans et 292 jours

MULTIBOX : Fabricant de boîtes d’attente

Des boîtes d’attente en métal de qualité Situé dans le Rhône, MULTIBOX est spécialisé dans la fabrication de boîtes d’attente en métal.  Depuis 2017, nous nous efforçons de bâtir des relations durables avec nos clients. Nous leur garantissons des prix honnêtes et des boîtes d’attente de qualité. Aptes au redressage après pliage, les aciers sont conformes à la norme NFA 35-080 1 et nos boîtes d’attente vous seront livrées dans des racks solides (bar en HA20), bâchés et non consignés. Nous fabriquons nos boîtes d’attente avec des couvercles en polypro ou en métal. De la boîte d’attente standard à la boîte d’attente sur mesure, nous sommes en mesure de vous livrer rapidement en fonction de vos urgences, à partir d’un rack jusqu’au semi-complet dans toute la France. Que vous soyez revendeur ou maçon, n’hésitez pas à prendre contact avec nous pour toutes vos demandes au 06 65 25 24 84 ou au 06 77 76 10 68 et par mail à contact.multibox@gmail.com Nous nous efforcerons de répondre à tous vos besoins dans un délai aussi court que possible.   Pour en savoir plus, visitez notre site web : www.multibox-boitesdattentes.com
Il y a 3 ans et 295 jours

CERMIREP RAPID R3 : Mortier de réparation fibré à prise rapide

CERMIREP RAPID N3 25kg Le CERMIREP RAPID R3 NF est un mortier mono-composant de couleur gris clair, fibré, contenant des ciments spéciaux sélectionnés et adjuvanté par des résines. Utilisable sur différents supports tels que le béton, la maçonnerie (parpaing, bloc) et l’enduit ciment, ce mortier de réparation fibré est idéal pour : la réparation structurale des bâtiments, la remise en service rapide,le ragréage rapide de tous corps d’état,la réparation d’épaufrures. Sa couleur gris clair et sa granulométrie fine permettent la réparation discrète et soigneuse des bétons. Grâce à sa thixotropie, le CERMIREP RAPID R3 peut être appliqué en passes de jusqu’à 70mm, ce qui représente un gain de temps en exécution du chantier. La certification NF EN 1504-3 atteste la qualité indiscutable de ce produit, contrôlé en usine par des organismes notifiés, et tout cela pour assurer que le produit qu’arrive à votre chantier respect les plus stricts niveaux de qualité. Application du système : Afin d’optimiser l’adhérence, il est recommandé d’appliquer une barbotine à la brosse. Celle-ci sera constituée sur la base du mortier mélangé, en y ajoutant de l’eau jusqu’à une consistance « pâte à crêpes ». L’application du mortier se fera à la truelle sur la barbotine fraîche. Charger ensuite en épaisseur. En cas de reprise, la couche précédente (du mortier frais) doit être griffée. Conforme à la norme EN 1504-3, il bénéficie d’une excellente thixotropie, exempt de chlorure et non corrosif. Ce mortier de réparation à prise rapide n’affecte pas les armatures. Son retrait compensé permet une application facile à la truelle et est parfaitement compatible avec le béton et la maçonnerie. Un mortier mono-composant de couleur gris clair, fibré, contenant des ciments spéciaux. Le CERMIREP RAPID R3 Gris est disponible en sac de 25 kg et de 5 kg.
Il y a 3 ans et 298 jours

L’OPPBTP met à jour le Guide de préconisations sanitaires face au Covid-19

Le Guide de préconisations sanitaires face au Covid-19 est disponible en téléchargement sur le site de l’OPPBTP. [©OPPBTP] En avril dernier, l’OPPBTP publiait le Guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction en période d’épidémie de Covid-19. Réalisé par les experts de l’OPPBTP, avec le soutien de médecins du travail et de préventeurs, ce guide évolue en fonction de la situation et notamment du déconfinement. Celui-ci liste les mesures urgentes et spécifiques à mettre en place. Ceci, pour assurer les conditions sanitaires nécessaires. Et s’adresse aux personnels appelés à travailler en bureaux, en ateliers, en dépôts ou sur chantiers. Il vient aussi en complément de toutes les mesures sanitaires édictées par les pouvoirs publics. Malgré tout, dans ce contexte de crise sanitaire, l’OPPBTP insiste sur l’extrême nécessité pour tous les acteurs du BTP de suivre les consignes pour assurer une reprise rapide des chantiers. Le guide formule donc des mesures exigeantes : la priorité doit être absolue pour la prévention de la contagion. En tout premier lieu, il faut respecter les gestes barrières : • distance minimale de 1 m entre les personnes, • lavage fréquent des mains, • limitation des contacts. De nouvelles dispositions Pour nombre d’activités de travaux, des actions simples et de bon sens permettent de se conformer à ces mesures. L’information et l’association des salariés aux mesures sont essentielles pour y arriver. Mais des aménagements spécifiques pourront être nécessaires pour faciliter la vie de tous les jours. Ainsi, le port du masque est obligatoire dans trois situations de travail : • à moins de 1 m d’un autre compagnon (sans autre solution opératoire possible),• en intervention chez des particuliers malades,• en intervention chez des personnes à la santé fragile. Dans les autres cas, le port du masque n’est pas obligatoire, selon les directives gouvernementales. En dehors des ajustements liés à la fin du confinement et aux autorisations de déplacement au-delà de 100 km, la dernière mise à jour comprend : • La fin de la recommandation d’interdiction des chantiers pour les apprentis mineurs.• L’introduction des écrans faciaux comme mesure alternative aux lunettes de protection.• La mise à jour des directives pour les personnes à risques de santé élevés.• Des précisions sur les mesures de prise de température à l’entrée des locaux et des chantiers. Elles ne sont toujours pas recommandées par le Haut Conseil de santé publique. Mais peuvent être admises par les entreprises. • La simplification des procédures de nettoyage. • La prise en compte du port du masque et des écrans étanches dans les véhicules en cas de besoin.•Enfin, la possibilité de réemploi des cartouches de masques.. « Ces mesures viennent compléter et préciser celles déjà présentes dans la version précédente du guide. Qui ont globalement été remarquablement bien mises en place jusqu’ici au sein des entreprises. Notamment grâce au travail des référents Covid-19, explique Paul Duphil, secrétaire général de l’OPPBTP. Les chefs d’entreprise du BTP ont compris les responsabilités. Qui sont les leurs concernant cette épidémie. Ainsi que la nécessité d’avoir du personnel affecté à temps plein à la supervision et l’application de ces mesures sanitaires. » Téléchargeable depuis le site de l’OPPBTP De nombreux outils pratiques (affiches, fiches pratiques, checklists…) sont disponibles en complément du guide sur le site preventionbtp.fr. L’OPPBTP a déjà diffusé à l’ensemble de ses adhérents son nouveau Guide de préconisations de sécurité sanitaire. Les acteurs de la branche construction ont aussi assuré sa diffusion. Toutefois, ce document peut être téléchargé en suivant ce lien. Enfin, l’OPPBTP indique que ce guide fera l’objet de mises à jour régulières en fonction de l’évolution de la situation sanitaire. La version en ligne sur le site preventionbtp.fr sera donc la seule à toujours faire référence. Dernière mise à jour L’épidémie de Covid-19 est sous contrôle en France, ce qui permet au gouvernement de poursuivre l’allègement progressif des mesures barrières. La connaissance de la maladie et de ses modes de transmission permet aussi de mieux ajuster les mesures de prévention. A la suite de l’annonce des nouvelles règles sanitaires applicables à compter du 24 juin pour les entreprises et au lancement d’une nouvelle phase de déconfinement, les recommandations ont évolué pour permettre à tous les secteurs de reprendre progressivement leurs activités tout en protégeant la santé de leurs collaborateurs. Au terme de nombreux échanges avec les représentants de la profession et des pouvoirs publics, l’OPPBTP publie une nouvelle révision du guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction, conforme aux préconisations des pouvoirs publics. Mise à jour du 16 octobre Le Protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise face à l’épidémie de Covid-19 a été mis à jour par le ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion le 16 octobre dernier. L’OPPBTP fait donc évoluer son Guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction, en conformité avec ce nouveau protocole et avec les recommandations du Haut conseil de la santé publique. Mise à jour du 16 décembre A l’annonce du gouvernement de la fin du confinement et de la mise en place d’un couvre-feu entre 20 h et 6 h, l’OPPBTP met de nouveau à jour son guide. Cette évolution intègre aussi les dernières évolutions, concernant les personnes le plus vulnérables.  Retrouvez l’intégralité du communiqué de presse en pièce jointe. Le guide mis à jour est disponible en téléchargement sur le site. Mise à jour du 9 août A la suite de la publication, le 9 août dernier, d’une nouvelle version du protocole Covid par le ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion, l’OPPBTP publie une mise à jour de son guide de préconisations de sécurité sanitaire. Cette évolution intègre l’application du pass sanitaire dans le cadre d’interventions dans un établissement recevant du public. La nouvelle version du guide comprend :  • Port du masque : Dans les établissements recevant du public, le port du masque reste applicable pour les professionnels y intervenant jusqu’au 30 août. A partir de cette date, ils auront l’obligation de détenir un pass sanitaire et seront dispensés de l’obligation du port du masque. Sauf si le préfet, l’exploitant ou l’organisateur l’impose. • Pass sanitaire : A compter du 30 août 2021 (et du 30 septembre pour les jeunes travailleurs de moins de 18 ans, tels que les apprentis), le pass sanitaire sera obligatoire pour intervenir dans un établissement recevant du public. Sauf si l’intervention a lieu hors des espaces accessibles au public, en dehors des horaires d’ouverture au public ou s’il s’agit d’une intervention urgente.  • Personnes présentant des symptômes sur le lieu de travail : Elles sont invitées à quitter le travail pour rejoindre leur domicile et surtout aller se faire dépister et s’isoler dans l’attente des résultats. Le protocole de prise en charge des personnes symptomatiques prévoit par ailleurs la possibilité de faire réaliser un test antigénique par un professionnel autorisé et portant des équipements de protection adaptés, au sein de l’entreprise. • Autorisation d’absence pour se rendre aux rendez-vous liés aux vaccinations contre la Covid-19 : Elargissement de l’autorisation d’absence pour se rendre aux rendez-vous liés aux vaccinations contre la Covid-19 pour les salariés et les stagiaires. Ces absences n’entraînent aucune diminution de la rémunération et sont assimilées à une période de travail effectif pour la détermination de la durée des congés payés. Ainsi que pour les droits légaux ou conventionnels acquis par les intéressés au titre de leur ancienneté. Le salarié est invité à se rapprocher de son employeur, afin de déterminer la meilleure manière d’organiser cette absence. La loi prévoit aussi que cette autorisation est accordée au salarié qui souhaite accompagner un mineur ou un majeur protégé, dont il a la charge pour se faire vacciner. • Pas d’obligation vaccinale pour les personnes chargées de tâches ponctuelles au sein des établissements de soins, médicaux-sociaux et sociaux. • Activité partielle : A compter du 15 septembre 2021, les salariés à risques de forme grave de Covid-19 pouvant être placés en activité partielle devront présenter un nouveau certificat d’isolement même s’ils en ont déjà bénéficié précédemment. Les situations ouvrant droit au bénéficie de l’activité partielle évoluent à cette même date. Pour mémoire, dans sa boîte à outils Covid-19, l’OPPBTP propose un choix d’affiches, afin de faciliter le respect des bons gestes sanitaires. La dernière mise à jour du guide, ainsi que la fiche conseils concernant le contact-tracing dernièrement mise à jour y sont disponibles.Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l’OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu’à distance grâce au service PréventionBTP En Direct. Une base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 y est disponible.
Il y a 3 ans et 326 jours

Les gants anti-vibration d’Ejendals récompensés

La marque suédois Ejendals a vue son gant anti-vibration Tegera récompensé lors d’un test au Royaume-Unis. [©Ejendals] Vingt quatre types de gants de protection contre les vibrations ont été mis à l’épreuve dans le cadre d’une enquête de sécurité menée à l’échelle du Royaume-Uni. Ce défi a opposé différentes marques du marché. Le gant Tegera de la marque Ejendals a reçu le prix du meilleur gant anti-vibratoire polyvalent. L’examen a mesuré les performances dans des situations réelles, le confort, l’ajustement et l’adéquation à un large éventail d’applications industrielles. Therese Engvall, responsable de la recherche et du développement des gants chez Ejendals, s’est réjouie de ce résultat. « C’est une nouvelle très intéressante pour nous, chez Ejendals. Elle montre que nous sommes sur la bonne voie. Et souligne l’importance de notre recherche et développement et de notre étroite collaboration avec nos clients. Nos produits doivent non seulement offrir une protection de pointe, mais aussi être confortables à porter ». Le Tegera 9180 est doté de la technologie Vibrothan composée de mousse. Il offre ainsi une protection contre les périodes prolongées de vibration. De plus, ce gant possède un renfort au niveau des doigts. Ce qui permet un meilleur maintien et donc, à long terme, un confort assuré.  Ejendals est une entreprise suédoise qui, depuis des générations, s’est spécialisée dans le développement, la fabrication et la commercialisation de produits destinés à protéger les mains et les pieds.  Charline David
Il y a 3 ans et 327 jours

Parade : Dans une démarche éthique et responsable

La nouvelle gamme Etik de Parade. [©Parade] Aujourd’hui, Parade veut contribuer à une industrie plus vertueuse et plus respectueuse de l’environnement. Ses équipes de R & D font de nombreuses avancées dans le domaine de la RSE1. « Dans cette transformation effrénée, ce qui compte vraiment, c’est le chemin que ces équipes décident d’emprunter, jalonné des petits pas qu’elles font jour après jour pour agir dans le bon sens, tout simplement »,témoigne Véronique Prezelon, responsable marketing. La chaussure Verger de la gamme Etik est composée à 100 % de polyester recyclé, provenant d’Espagne. De plus, des pièces de cuir recyclé et provenant des chutes sont empiécées sur la chaussure. Ce modèle intègre une technologie qui assure le bon maintien de la voûte plantaire. La chaussure Verger permet ainsi de contribuer au réemploi de matériaux et à diminuer le cycle de vie des produits. Parade ne se limite pas seulement à cette gamme responsable et étique. Une collection de vêtements à partir du fil de polyester recyclé est en cours de développement.  La démarche de Parade L’entreprise Parade est connue pour lancer des produits innovants sur le marché des EPI. La gamme de chaussures Parade Connect a connu un grand succès. La marque s’inscrit dans un univers en constante évolution. Consciente des attentes des consommateurs et des enjeux de la filière, elle développe aujourd’hui des produits responsables. En 2016, cette démarche avait déjà été mise en avant avec deux références textiles en fil polyester recyclé. Commercialisée depuis le mois de juin dernier, la gamme Etik propose des chaussures à partir de matériaux recyclés.  Charline David 1Responsabilité sociétale des entreprises.
Il y a 3 ans et 330 jours

Dickies se développe en Europe

La marque Life se réunis avec la gamme Work en Europe.[©Dickies] Créé il y a près de 100 ans, l’Américain Dickies a été l’un des premiers industriels à se spécialiser dans le vêtement de travail. Il a habillé de nombreuses générations de travailleurs, les équipant de vêtements durables et résistants. Dickies a grandi et a commencé à proposer une seconde marque de vêtements Lifestyle, destinés notamment aux tatoueurs, skateurs… Il propose des habits adaptées à la ville, de qualité et moderne. Mais Dickies a su tracer son chemin et est, aujourd’hui, présent à l’international. Lire aussi : Dickies dévoile sa nouvelle gamme 2020-2021 Ainsi, il annonce la réunification de ses deux marques Work et Life en Europe. Les deux entités sont réunies sous un seul et même giron. Pour Dickies, cette fusion est une suite logique à l’évolution de l’entreprise. De plus, en mars dernier, la marque a lancé le projet United by Dickies. Le projet a pris la forme d’une campagne digitale, mettant en avant le travail des artisans. Cette campagne était tournée vers l’humain. Enfin, Dickies continue son développement avec son nouveau site www.dickiesworkwear.com. Ce dernier sépare les collections de vêtements de travail des collections Lifestyle. Il présente à la fois des vêtements destinés aux efforts physiques et d’autres pour la vie quotidienne. Cette nouvelle approche mêle travail et mode. Et renforce l’idée que Dickies se diversifie davantage vers les usages du quotidien. Charline David
Il y a 3 ans et 330 jours

EPI Center : Le confort d’un t-shirt en été

EPI Center s’est associé à deux entreprises pour créer un t-shirt thermorégulant. [©EPI Center] De nombreux chantiers se déroulent en période estivale. Ainsi les compagnons peuvent être exposés toute la journée à un soleil intense. Pendant que la plupart des gens se prélassent sur la plage et profitent d’un peu d’air. EPI Center a ainsi collaboré avec le fabricant T2S et Cocona Labs, afin de répondre à la problématique suivante : comment réguler la température corporelle et limiter les odeurs de transpiration ? Les trois marques se sont donc associées pour créer un vêtement de sécurité pour l’été. C’est ainsi que le t-shirt Kita 37.5 a vu le jour. Lire aussi : Des EPI dédiés aux femmes Il est réalisé à partir de textiles alliant haute visibilité, protection anti-UV et thermo-régulation. C’est grâce à la technologie 37.5 développée par Cocona Labs que la thermo-régulation est possible. Cette technologie optimise le taux d’humidité proche de la peau, en facilitant l’évaporation de la transpiration. Par ailleurs, elle capte les odeurs, qui seront ensuite éliminées au lavage. Cette gamme de t-shirts à haute sécurité assure une protection aux UV (UPF40+).Une maille ajourée sur les côtés augmente la ventilation et le confort.  Tout comme les autres vêtements de sécurité présent sur le marché, cette gamme de t-shirts a aussi comme avantage d’être ergonomique et de protéger des douleurs de dos. Le t-shirt Kita 37.5 répond aux besoins des travailleurs des filières voiries, BTP, paysagiste et agriculture.  Charline David
Il y a 3 ans et 330 jours

Le Russe Partner Group achète 100 toupies sur porteurs Mercedes-Benz Arocs

Possédant déjà 71 camions Mercedes-Benz, Partner Group ajoute 100 Mercedes-Benz Arocs 4142B flambant neufs à son parc. [©Mercedes-Benz] Daimler Kamaz Rus (DK Rus), la joint-venture entre Daimler Trucks et son partenaire Kamaz, a reçu une importante commande de l’entreprise de construction russe Partner Group. Possédant déjà 71 camions Mercedes-Benz, cette dernière ajoute 100 Mercedes-Benz Arocs 4142B flambant neufs. Ceci, pour renouveler sa flotte de toupies. Près de 30 camions ont déjà été livrés depuis avril dernier chez le concessionnaire de Moscou. Les autres suivront jusqu’à la fin de l’année. Tous ces porteurs sont équipés de la solution télématique Fleetboard, qui permet de surveiller la flotte et d’analyser son efficacité. Quant à la partie « toupie », elle est signée Liebherr.  Une forte implantation en Russie Lors de la remise des premiers véhicules à Partner Group, les chauffeurs de l’entreprise ont aussi reçu une formation spéciale dispensée par des spécialistes de Mercedes-Benz Trucks.    Avec plus de 1 000 employés, DK Rus a assemblé et vendu plus de 35 000 camions Mercedes-Benz et Fuso pour le marché russe au cours des 11 dernières années. En août 2018, la joint-venture a introduit les Mercedes-Benz Actros et Arocs de dernière génération sur le marché russe. Ces camions sont produits dans l’usine Mercedes-Benz Trucks de Wörth, en Allemagne. Puis, conditionnés sous forme de kits dans le centre CKD1de l’usine, avant d’être envoyés en Russie par porte-conteneurs. A leur arrivée sur le marché, les camions sont assemblés sur place dans l’usine de montage de DK Rus, à Naberezhnye Chelny, à 928 km à l’Est de Moscou. Les cabines des camions sont produites au niveau local dans une installation dédiée ouverte en 2019. 1Completely Knocked Down. L’expression représente une technique qui consiste à exporter des produits non assemblés, notamment pour éviter des droits de douanes élevés et conserver la valeur ajoutée technologique chez l’exportateur.
Il y a 3 ans et 331 jours

Des vêtements design pour femmes, que demander de plus ?

Parade propose des EPI destinés aux femmes, avec des coupes adaptées à la morphologie de ces dernières.[©Heckel] La plupart du temps, on n’imagine pas les femmes sur les chantiers. Et pourtant, celles-ci s’émancipent et se dirigent vers des métiers réservés avant aux hommes. Le secteur de la construction n’est pas l’environnement le plus sécuritaire. Ainsi, les femmes doivent se protéger contre les risques du métier. Cela ne fait pas longtemps que les entreprises ont perçu un réel besoin. En raison d’une morphologie différente de celle des hommes, les femmes ne peuvent porter des vêtements qui leur sont trop grands ou mal taillés. Elles risqueraient de se mettre en danger. L’entreprise Parade propose donc des vêtements qui leur sont destinés. Même si cette gamme est bien moins développée que celle pour les hommes, elle a tout de même le mérite d’exister. Ainsi, un look complet pour le travail sur chantier leur est proposé, allant de la veste à la salopette. Les femmes peuvent ainsi avoir un look tendance et complet. La salopette Parade Intéressons-nous aux salopettes et aux pantalons. Les modèles s’ajustent parfaitement au corps de la femme grâce au tissu extensible. De plus, leur design ne supprime pas leurs utilités. Ainsi, un renfort anti-abrasion est présent au niveau des genoux. Afin de faciliter le travail, de nombreuses poches sont présentes, avec la possibilité d’y glisser le téléphone, un plan, un outil… Le pantalon dispose d’une ceinture rehaussée dans le dos, afin de couvrir le bas du dos lors de travaux accroupis. Grâce à leurs renforcements, les pantalons en nylon garantissent un usage long avec un maintien du confort dans le temps.Les différentes tailles et couleurs que Parade propose permettent de s’adapter aux goûts et aux besoins de chacune. Qui a dit que même sur un chantier les femmes ne pouvaient pas être féminines. Charline David
Il y a 3 ans et 332 jours

Le Cnit, chantier du siècle

Le Cnit au début des années soixante.[©Epad] Le Centre des nouvelles industries et technologies – le Cnit – est le premier bâtiment construit à Paris – La Défense. Il doit son existence à Emmanuel Pouvreau, président du syndicat des constructeurs de machines-outils qui militait pour la création d’un grand centre d’expositions pour l’industrie française. Le projet aboutit en 1958, implanté sur le terrain triangulaire des anciennes usines Zodiac auquel le bâtiment doit sa forme. Sa création est confiée à Robert Camelot, Jean de Mailly et Bernard Zehrfuss, trois architectes “Grands prix de Rome”. Ils sont accompagnés de Jean Prouvé, concepteur des façades en verre et acier, parties de la construction aujourd’hui classées “Monument historique”.  La première étape du chantier concerne la construction des planchers précontraints. Le principal, en forme de triangle équilatéral de 11 000 m2, se situe à 12 m au-dessus du sol naturel, au niveau de l’actuel Parvis. Il est réalisé sur la base de deux dalles (8 cm et 6 cm) superposées distantes de 1,80 m. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 334 jours

Alphi réorganise son capital pour mieux se développer

« […] Nos équipes sont désormais dynamisées par la perspective d’une nouvelle étape de croissance », déclare Alexandre Souvignet, président d’Alphi. [©Alphi] Spécialiste du coffrage et de l’étaiement, Alphi réorganise son capital à l’occasion d’une nouvelle levée de fonds. Et ce, auprès de Bpifrance, Garibaldi Participations et Crédit Agricole Alpes Développement. Ceci, pour poursuivre son développement. L’équipe dirigeante fait son entrée au capital à l’occasion de cette nouvelle opération. Alphi a pour objectif de se doter de moyens additionnels pour continuer son développement en France et en Europe. Et pour s’orienter vers le statut d’entreprise de taille intermédiaire (ETI). Sous l’impulsion des dirigeants familiaux et d’une équipe dirigeante très impliquée, l’entreprise qui approchait 15 M€ de chiffre d’affaires en 2017. L’a doublé en 3 ans pour atteindre 28 M€.  Une nouvelle levée de fonds Une progression qui repose sur la création d’une agence et d’un pôle logistique en Ile-de-France. Mais aussi une offre diversifiée et la qualité des systèmes proposés. Ainsi qu’un développement actif à l’international. Entrés au capital d’Alphi en 2017, à l’occasion de ce plan de croissance, Bpifrance, Garibaldi Participations et Crédit Agricole Alpes Développement réinvestissent. Tout en restant minoritaires aux côtés d’Alexandre et Philippe Souvignet. De plus, une dette structurée arrangée par la Banque Populaire est mise en place. Ceci, avec participation de l’ensemble des partenaires bancaires du groupe. Cette levée de fonds dote Alphi de moyens financiers, répondant à ses ambitions. Comme en Europe, plus particulièrement en en Suisse où l’entreprise réalise déjà près de 15 % de son chiffre d’affaires. Alphi pourrait se développer via par de potentielles opérations de croissance externe. En juillet 2021, afin d’intégrer une part supplémentaire de sa chaîne de valeur, Alphi a fait l’acquisition de la société aixoise Damois. Qui est spécialisée dans le travail sur mesure des métaux. « La confiance que nous accorde l’ensemble de nos partenaires financiers est précieuse et nous les en remercions, conclut Alexandre Souvignet, président d’Alphi. Leur engagement renouvelé nous offre les conditions optimales pour nous permettre de poursuivre notre stratégie de développement sur les cinq ans à venir. Nous en sommes honorés et nos équipes sont désormais dynamisées par la perspective d’une nouvelle étape de croissance. »
Il y a 3 ans et 338 jours

Béton[s] le Magazine n° 95 prend des couleurs

Retrouvez le n° 95 dans la boutique acpresse.fr. Vous pouvez acheter le n°95 au format PDF sur la boutique acpresse.fr Certains architectes n’hésitent pas ou plus à teinter leur béton, pour raconter une histoire et créer un repère visuel. A l’image de Charles-Henri Tachon, qui a livré un immeuble d’habitations tout de rouge vêtu au sein de l’ex-caserne de Reuilly, à Paris. Ou de l’équipe de l’agence Lan, qui a fait construire le Nouveau Lieu de Strasbourf, dont les huit bâtiments se déclinent en autour de couleurs. Et autant de référence à la capitale alsacienne. Pour ceux qui préfèrent la technique à la couleur, direction Lyon, ou plutôt son sous-sol où avance les travaux de prolongement de la ligne B du métro. La rubrique “En régions” explore, elle, en priorité, les régions Nouvelle-Aquitaine et Centre – Val-de-Loire. Mais sans négliger les autres territoires. Le monde du coffrage et de l’étaiement nous dévoile une actualité polyforme, oscillant entre stratégie, innovations produits et anniversaire… De leur côté, les mortiers industriels rappellent qu’ils savent caler et sceller les éléments en béton. Enfin, Pierre Rossi, directeur de recherche au sein de l’université Gustave Eiffel, livre une nouvelle approche possible dans la conception des enceintes de centrales nucléaires. Mais cette brève présentation de Béton[s] le Magazine ne saurait s’achever sans un saut dans le désert de l’Arizona, à la découverte de la cité d’Arconsanti. Une utopie imaginée par l’architecte italo-américain Paolo Soleri. Frédéric Gluzicki Directeur de la publication
Il y a 3 ans et 338 jours

Gérard Sénior : « Nous souhaitons accompagner la digitalisation de la filière »

Gérard Sénior a été élu à la présidence de Qualibat.[©ACPresse] Vous venez d’être élu président de Qualibat. Pouvez-nous nous rappeler ce qu’est cette association ?  Gérard Sénior : Qualibat est un organisme de qualification et de certification, qui a pour mission de valoriser les entreprises disposant d’un savoir-faire et de compétences. Ceci, afin que la confiance soit de mise dans chaque projet de construction et de rénovation. L’objectif principal de Qualibat est de promouvoir la fiabilité dans le bâtiment, en identifiant les acteurs de confiance du secteur. Aujourd’hui, près de 70 % des chantiers réalisés sur notre territoire le sont par des entreprises qualifiées ou certifiées. Nous sommes présents partout en France auprès des professionnels. Par nos permanents d’abord, répartis dans 10 délégations régionales et plus de 35 agences, mais aussi au travers de nos commissions d’examen, qui rassemblent près de 3 000 professionnels bénévoles, dans chaque département de l’Hexagone.  L’association comprend 26 organismes, tels que l’AQC, la Capeb, le CSTB, la FFB, l’Unsfa…. Aujourd’hui, elle recense 58 000 clients, dont 48 000 qualifiés RGE. Cette certification concerne les travaux liés à l’efficacité énergétique et aux énergies renouvelables. Les différentes commissions attribuent plus de 100 000 qualifications par an dans 124 000 catégories de travaux. Les commissions nationales attribuent plus particulièrement de sujets “technicités” de haut niveau, comme le béton armé, l’ossature bois, le bas carbone, l’amiante, les Monuments historiques… Alors que les catégories de travaux, dites “critiques”, bénéficient davantage d’audits dans le cycle d’attribution de la qualification. Ainsi, les experts Qualibat réalisent plus de contrôle sur les chantiers. C’est sont entre 16 000 et 26 000 audits qui sont réalisés par an. Prenant à cœur la certification de nos clients, nous nous employons à accompagner les entreprises dans ce processus de certification. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 340 jours

Ener j Meeting

Journée de l'efficacité énergétique et environnemental du secteur du bâtiment.
Il y a 3 ans et 340 jours

Vrac Tech / Bulk Tech

Le salon de la gestion des produits en vrac.
Il y a 3 ans et 340 jours

Excon

Salon de la construction et des infrastructures.
Il y a 3 ans et 340 jours

Barcelona Building Construmat

Salon sur les méthodes de construction innovante et respectueuse de l'environnement
Il y a 3 ans et 340 jours

BIBM Congress

Tous les trois ans, le congrès de la Fédération de l'industrie européenne du béton préfabriqué (BIBM - Bureau International du Béton Manufacturé) se tient dans un pays européen différent.
Il y a 3 ans et 340 jours

Bosch frappe fort avec ses nouveaux marteaux-perforateurs Biturbo

Les nouveaux marteaux-perforateurs se distinguent par leur côté à la fois pratique et performant. [©Bosch] Bosch a lancé sa nouvelle gamme de marteaux-perforateurs Biturbo. Trois modèles retiennent l’attention : le GBH 18V-34 CF Professional, le GBH 18V-36 C Professional et le GBH 18V-45 C Professional. Chacun, avec ses propres caractéristiques. Leurs performances varient en fonction du modèle. Pour le premier, sa puissance est de 5,8 J et peut percer des trous de 12 à 30 mm. Le deuxième dispose d’une puissance de 7 J et est capable de perforer un mur de 14 à 36 mm. Le dernier – le plus puissant – offre une force équivalente à 12,5 J, permettant de forer des trous de 20 à 40 mm.  Un outil performant et compact Les nouveaux marteaux-perforateurs se distinguent par leur côté à la fois pratique et performant. En effet, le moteur Biturbo Brushless profite d’une excellente puissance pour offrir une efficacité maximale sur les matériaux les plus exigeants comme le béton, la brique ou la pierre. Rajoutez la nouvelle batterie ProCore18V et vous obtiendrez un outil avec une autonomie très satisfaisante.  Autre atout : leur faible poids, qui varie entre 4 kg et 8 kg. Quelque 20 % plus compacts que les produits existants sur le marché, les marteaux-perforateurs Biturbo offrent un rapport poids/puissance équivalent à un outil filaire. Leur légèreté et leur efficacité vont révolutionner les travaux de perçage et de burinage.  La sécurité et l’utilité avant tout Bosch a misé sur l’aspect utile et sécurisé. En effet, les marteaux-perforateurs Biturbo sont dotés d’un affichage interactif et de fonctions de connectivité Bluetooth via smartphone. Cela a pour objectif de vérifier l’état de la batterie, de contrôler la machine et d’adapter l’outil en fonction de ses besoins. Les Biturbo disposent de trois modes de travail différents :  • Le mode “Auto” pour des performances maximales, par exemple lors du perçage du béton ; • Le mode “Doux” pour le travail sur des matériaux fragiles, tels que les carreaux ou la maçonnerie ; • Le mode “Favoris” dans lequel les performances de perçage peuvent être définies via l’application.  Enfin, les marteaux-perforateurs contiennent la fonction Soft Start qui permet un démarrage progressif pour le perçage et le burinage. Bosch a ainsi conçu un outil programmé pour allier la puissance et la légèreté, mais aussi l’utile à la sécurité.
Il y a 3 ans et 340 jours

Egis s’offre Openergy

Egis a souhaité pousser plus loin son engagement énergétique, en faisant l’acquisition d’Openergy. [©Egis] Egis a souhaité pousser plus loin son engagement énergétique, en faisant l’acquisition d’Openergy. Cette dernière est une start-up française spécialisée dans la numérisation de la performance énergétique. Elle est basée au sein de l’incubateur parisien Station F. Cette nouvelle acquisition s’inscrit dans le cadre du plan stratégique “Impact the Future” d’Egis. Plan qui fait de la lutte contre le changement climatique une priorité de sa stratégie d’entreprise. Cette entente a pour but de renforcer Egis dans le domaine de l’ingénierie numérique du bâtiment. La force d’un grand groupe, associée à l’agilité d’une start-up Openergy a ainsi développé deux plates-formes opérationnelles de Software as a Service (SaaS). L’une, pour la simulation énergétique (Oplus) et l’autre, pour le suivi énergétique des bâtiments (Virtual Building Platform). Depuis sa création en 2012, Openergy a investi pas moins de 2,3 M€ en R&D dans ses projets. Ceux-ci s’inscrivent parfaitement dans l’objectif d’Egis de diminuer son empreinte carbone et de lutter contre le réchauffement climatique.  En parallèle de ces développements informatiques, Openergy assure des prestations d’ingénierie énergétique du bâtiment. Depuis fin 2020, la start-up développe une nouvelle offre d’audit digital, visant à se positionner sur le marché du décret tertiaire. Elle compte une dizaine de collaborateurs. Proposer des services respectueux de l’environnement « Le marché des contrats avec garantie de performance énergétique est en forte croissance […]. L’acquisition d’Openergy par Egis est donc une vraie chance pour notre groupe de se positionner en tant que leader sur ce type de marchés », indique Thomas Salvant, directeur exécutif d’Egis. En vue d’augmenter ses parts de marchés et sa capacité de développement propre, Openergy pourra accroître son nombre de clients à l’échelle régionale et nationale. Les deux entreprises travailleront ensemble et proposeront des services respectueux de l’environnement. Grâce à cet achat, Egis se positionne désormais comme le grand leader de l’ingénierie du bâtiment.