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Il y a 2 ans et 125 jours

Cegeprim Ultra de Cegecol® : un nouveau primaire garnissant avant ragréage spécial supports difficiles et rénovation

CEGEPRIM ULTRA est destiné à la rénovation des sols intérieurs sur tous supports, même les plus difficiles : panneaux de bois, parquet à lames, peinture/résine, film de colle bitume, dalle semi-flexible, chape asphalte. Ce primaire a été spécialement conçu pour apporter une solution performante pour tous travaux de rénovation.Fort pouvoir garnissant : CEGEPRIM ULTRA permet le remplissage d’interstices entre lames de bois ainsi que le rebouchage ponctuel.Confort à l’application grâce à sa consistance ajustable : l’utilisateur adapte la consistance à l’application recherchée en jouant sur la quantité d’eau de gâchage. A très faible émission de C.O.V, son odeur est très faible pour une application sans gêne pour l’artisan. Gain de temps : facile d’application et à séchage rapide, il change de couleur en séchant permettant ainsi à l’utilisateur d’identifier visuellement quand procéder au ragréage. Longue conservation : monocomposant et doté d’une longue conservation après ouverture, CEGEPRIM ULTRA offre à l’artisan la flexibilité d’utiliser la quantité nécessaire au chantier et de limiter les pertes et déchets sur le chantier. Transport et manutention facilités : CEGEPRIM ULTRA est conditionné en sac de 15 kg avec poignée.Associé au CEGESOL F (ragréage autolissant fibré classé P3), CEGEPRIM ULTRA apporte une solution complète de rénovation sur support bois avant la pose de tous types de revêtement.Caractéristiques techniques Taux de gâchage : 3,3 L d’eau par sac de 15 kg (2,7 à 3,3 L pour remplissage d’interstices et rebouchage ponctuel) Consommation : env. 400 – 600 g/m2 selon la rugosité de la surface et l’outil Durée de vie en pot: env.30 min à +20°C Durée de séchage: 30 à 60 min Conservation et stockage : 12 mois Couleur : gris après mélange – marron après séchage
Il y a 2 ans et 125 jours

Lancement de deux appels à création dans le cadre de l’activation culturelle 2023 de la Citadelle d’Ajaccio

Dans le cadre du programme d’activation de la Citadelle, la Ville d’Ajaccio et la société publique locale d’aménagement du territoire Ametarra lancent deux appels à création pour la saison 2023. Architectes, professionnels du design, artistes, plasticiens, photographes, vidéastes… sont invités à proposer une vision unique du site pour la création d’aménagements temporaires dans les douves de la Citadelle et la réalisation d’une installation artistique en lien avec la thématique de la Méditerranée.Pour cette troisième saison de l’activation, l’enjeu est de renforcer les tests programmatiques, d’ouvrir de nouveaux espaces au public, de proposer des événements variés et accessible à tous dans la Citadelle. Cette année 2023 mettra à l’honneur la Méditerranée.Pour se faire, artistes et professionnels du design et de l’aménagement sont invités à répondre aux deux appels à création lancés par la SPL Ametarra :Un appel à création pour l’aménagement temporaire des douves sud de la CitadelleUn appel à création arts visuelsAménagement temporaire des douves : Concevoir, produire, rendre accessible…Afin d’accueillir les différentes activités de la saison 2023, d’ouvrir de nouveaux espaces et d’offrir une meilleure expérience pour les visiteurs, la SPL souhaite faciliter l’accessibilité aux douves. Cet appel d’offres vise à sélectionner des artistes, architectes, professionnels du design et de l’aménagement d’espace afin de concevoir et d’assurer la production des aménagements sur trois volets essentiels :La création d’un nouvel accès desservant les douves : conception et fabrication d’un escalier ou d’une rampe respectant les normes d’accès et de sécurité, permettant de relier la passerelle de l’entrée de la Citadelle aux douves sud. Outre son aspect fonctionnel et réglementaire, il s’agira de proposer une œuvre artistique et architecturale à part entière dans un site patrimonial d’exceptionLa conception et la fabrication de mobiliers urbains originaux, temporaires et déplaçables: assises, tables et poubellesLa remise en état de fonctionnement du terrain de sport existantLes acteurs du projet font appel aux professionnels pour restituer une vision artistique, unique, et originale, qui s’intégrera au site et à son environnement, et facilitera les usages et pratiques quotidiennes des publics dans ce lieu d’exception.Date limite pour la transmission des candidatures : 20 mars 2023 à 12hSélection des équipes finalistes : 27 mars 2023Visite du site animée par la SPL : semaine du 3 avril 2023Présentation à l’oral du pré-projet et sélection du ou de la lauréat(e) : semaine du 8 mai 2023Production / Installation : du 1er juin 2023 au 10 septembre 2023Inauguration des aménagements : 15 septembre 2023Budget : 142.000 € HT pour le candidat retenuAppel à création « Arts visuels »Cet appel à création artistique vise à sélectionner un(e) artiste pour réaliser une installation éphémère dans l’espace public de la Citadelle Miollis. Le projet prendra la forme d’une création in situ qui devra dialoguer avec la thématique de la saison 2023 : la Méditerranée. Il s’agira de proposer :La création d’une ou plusieurs œuvres temporairesUne installation visible depuis l’extérieur du site, qui soit à la fois une œuvre signal et une invitation pour les visiteurs à pénétrer dans la Citadelle MiollisUne réflexion poétique et originale autour de l’histoire du site et de sa place dans la MéditerranéeUne grande liberté sera accordée au lauréat quant aux propositions des médiums utilisés dans le cadre de ce projet (vidéo, son, photographie, sculpture, installation lumineuse), et dans la mesure du possible. L’artiste sera accompagné d’un(e) commissaire d’exposition dans la conception de son œuvre. L’installation artistique sera inaugurée en juin à l’occasion de la soirée de lancement hè viva 2023. Il est demandé aux artistes de restituer au public leur vision unique de ce site patrimonial d’exception. Le ou la lauréat(e) devra s’adapter aux contraintes du site, favoriser les circuits courts et tenir compte de l’impact écologique dans la production de son œuvre.Date limite pour la transmission des candidatures : 20 mars 2023 à 16hSélection du ou de la lauréat(e) : semaine du 27 mars 2023Production / Installation : du 15 avril au 5 juinLancement de la saison 2023 : autour du 8 juinBudget : 12.000 € HTLes différents cahiers des charges sont à retrouver en ligne :www.ametarra.frwww.manifesto.parisContact projet : citadelle-ajaccio@ametarra.fr
Il y a 2 ans et 125 jours

Enedis accélère les embauches et les apprentissages

"Nous sommes en croissance de l'activité et nous allons recruter plus fort que ce qu'on a fait les années précédentes", a indiqué à l'AFP Nicolas Marchand, directeur des ressources humaines chez Enedis. Le groupe emploie 38.000 salariés: les "hommes en bleu" qui entretiennent les lignes électriques de 37 millions de clients en France. Au total, 1,4 million de kilomètres de lignes.Il prévoit de recruter cette année 1.600 personnes en CDI et 1.300 alternants, du bac professionnel à l'ingénieur en passant par le BTS (mention "métiers de l'énergie"), a indiqué M. Marchand.Le nombre total de salariés devrait ainsi augmenter d'un millier environ fin 2023, "pas loin de 39.000", compte tenu des départs naturels au sein du groupe, calcule-t-il.Soit un vrai tournant. La courbe de l'emploi chez Enedis était orientée à la baisse depuis 2016. Elle a commencé à s'inverser en 2022.Car l'électricité doit à terme remplacer d'autres sources d'énergie fossile qui participent au réchauffement de la planète.Le développement des énergies renouvelables, solaire ou éolienne, "se fait à 90% sur le réseau de distribution", explique le responsable: "Quand vous installez des panneaux photovoltaïques, il faut les raccorder au réseau. C'est le travail d'Enedis, gérer les injections d'électricité, les électrons envoyés sur le réseau, pour ensuite pouvoir les redistribuer".Une grosse partie du développement d'activité chez Enedis porte aussi sur "l'électrification des usages". Par exemple, le raccordement des bornes de recharge pour les véhicules électriques.Alors qu'élèves et parents sont dans les affres de l'orientation scolaire en février et mars, Enedis a lancé une campagne sur les réseaux sociaux pour expliquer ses besoins dans ses 12 bassins régionaux.Le groupe souffre comme une grande partie de l'industrie d'un déficit d'image auprès de la jeunesse bien que ses salariés soient applaudis chaque fois qu'ils rétablissent le réseau après une tempête.Enedis prévoit aussi de travailler avec l'Education nationale pour promouvoir dès la classe de cinquième ses métiers.RTE, l'opérateur qui gère les lignes à haute tension, a lui aussi presque doublé son rythme de recrutement. L'entreprise, qui employait fin 2022 9.500 personnes, compte recruter 700 nouveaux collaborateurs en 2023, contre 400 habituellement, a-t-elle annoncé récemment.
Il y a 2 ans et 125 jours

Saint-Gobain grimpe en Bourse, après des résultats records

Le titre progressait de 5,90% à 56,49 euros vers 10H20 (09H20 GMT). Depuis le début de l'année, il a bondi de 23%, parmi les cinq meilleures performances du CAC 40.La veille, le groupe avait révélé un chiffre d'affaires record pour l'année 2022: il a atteint 51,19 milliards d'euros, passant pour la première fois au dessus de la barre des 50 milliards, en hausse de 15,9%. Le bénéfice net s'établissait lui à 3 milliards d'euros, en hausse de 19,1%, également pour la première fois à ce niveau."Saint-Gobain a fait partie des grands gagnants dans le rebond du marché tiré par la baisse des prix du gaz et d'indicateurs macroéconomiques moins mauvais", ont estimé les analystes d'Oddo BHF dans une note.Ils tablent surtout sur une progression encore importante de la valorisation de l'entreprise. "Nous restons globalement convaincus que les changements des dernières années ne sont pas encore intégrés à leur juste valeur", expliquent-ils, soulignant que "Saint-Gobain présente un potentiel de rattrapage important par rapport à ses pairs".En 2023, le groupe anticipe cependant "un ralentissement modéré" de ses marchés, "avec une situation contrastée entre la baisse de la construction neuve dans certains endroits et la bonne résilience globale de la rénovation", indique un communiqué du groupe.Rien d'inquiétant pour les marchés qui se sont surtout concentrés sur sa marge d'exploitation, dont Saint-Gobain estime qu'elle sera comprise en 2023 entre 9 et 11%.Cette prévision est en effet jugée "rassurante" par les analystes de Jefferies, qui estiment que la marge du groupe va profiter de récentes cessions.Globalement, ils ont salué une entreprise qui "n'est pas la même société qu'avant", grâce à sa diversification géographique et au développement de solutions durables, qui représentent désormais "75% de son chiffre d'affaires".En 2023, Saint Gobain a prévu de distribuer à ses actionnaires un "montant total supérieur à 1,4 milliard d'euros" après 1,35 milliards d'euros en 2022.
Il y a 2 ans et 126 jours

En Chine, la deuxième vie des infrastructures du "zéro Covid"

Du jour au lendemain, les villes se sont retrouvées avec sur les bras des dizaines de milliers de ces infrastructures temporaires. Certaines ont ainsi été transformées en mini-pharmacies, abris anti-froid, kiosques d'information ou encore bibliothèques.Depuis décembre, la Chine n'exige plus de test PCR pour accéder aux lieux publics et voyager dans le pays. Exit donc les cabines en métal ou PVC, autrefois omniprésentes, qui accueillaient le personnel chargé de prélever les échantillons."Nos chefs nous en ont apporté une ici", explique à l'AFP Mme Xu, une agente d'entretien vêtue d'une chasuble orange qui nettoie les abords d'une rivière à Suzhou, ville de 13 millions d'habitants près de Shanghai (est). "Après le travail, on s'en sert pour y mettre nos gants et nos outils. Et quand il pleut, on vient s'y abriter", raconte-t-elle devant l'installation qui accueille aussi chaises, tabourets, tables et extincteurs.Devant la gare, des policiers viennent désormais déjeuner dans une ex-cabane de test reconvertie en lieu de repos.Non loin de là, une cabine bleu ciel a été transformée en kiosque d'information pour les personnes en recherche d'emploi. A l'intérieur, un vieil autocollant bleu usé par le temps indique "test PCR"."Plutôt que de laisser ces cabines vides, on essaie d'en faire un autre usage" en "fonction des besoins du moment et de l'endroit", explique à l'AFP la mairie de Suzhou.PIB de ChypreCertaines ont ainsi été aménagées en mini-bibliothèques où les habitants peuvent venir échanger des livres.Durant la vague épidémique de décembre-janvier, d'autres avaient été converties en stations de consultation médicale et de distribution de médicaments anti-fièvre.Un type de reconversion très pratiqué en Chine, avec l'idée de réduire la pression sur les hôpitaux où affluaient des malades du Covid.La mise en place des tests PCR dans le pays (hors centres de quarantaine) aura coûté environ 200 milliards de yuans (27 milliards d'euros), selon le cabinet américain Goldman Sachs, cité par l'agence Bloomberg – soit l'équivalent du PIB de Chypre.Face à une opinion publique qui reste vigilante quant à l'utilisation de l'argent public, les autorités semblent donc pour l'heure poussées à reconvertir plutôt qu'à détruire.A Jinan, capitale de la province du Shandong (est), des cabines sont ainsi devenues des "cabanes chaleur" chauffées, où passants, livreurs et ouvriers peuvent s'abriter du froid, recharger leurs téléphones et bénéficier d'eau chaude gratuite.D'autres ont été reconverties en points services de la Croix-Rouge ou stations de tri sélectif.Beaucoup d'ex-cabines de tests PCR restent toutefois inutilisées, notamment dans la capitale Pékin ou dans la grande ville de Hangzhou (est), abandonnées dans les rues ou stockées en attente de leur sort.Lit et télévisionAu point que certains tentent de les écouler sur internet.Sur Xianyu, la principale application chinoise de vente de produits d'occasion, elles sont affichées entre 100 et 8.000 yuans (14 et 1.100 euros) suivant leur sophistication."La nôtre vient d'une entreprise qui n'en voulait plus", explique à l'AFP un vendeur.La situation des ex-centres de quarantaine et hôpitaux temporaires, dans lesquels étaient jadis placées d'office les personnes testées positives ou malades du Covid, est plus complexe car ces installations sont bien plus volumineuses.Un certain nombre restent ainsi pour l'heure inutilisées. Mais un peu partout en Chine, d'ex-hôpitaux de fortune sont reconvertis en hôpitaux d'appoint, c'est-à-dire renforcés avec des équipements et du personnel supplémentaires - avec là encore l'idée de soulager la pression pesant sur les hôpitaux classiques.Toujours à Jinan, un ancien centre de quarantaine en préfabriqué a été transformé en logement pour des employés d'entreprises situées à proximité. Au total, 650 chambres sont disponibles avec lit, placard, bureau, téléviseur ou encore climatiseur, selon la presse locale."C'est bien, ça permet une utilisation durable des ressources !", se félicite un internaute sur le réseau social Weibo.Certains sont plus circonspects. "Quid du wifi, de l'isolation thermique et de l'insonorisation?", s'interroge un autre utilisateur. "Un démontage n'aurait-il pas été moins coûteux ?"
Il y a 2 ans et 126 jours

Dans le Vieux Caire, les habitants renouent avec leur patrimoine

"La première fois qu'on a ouvert un monument aux enfants, ils ont explosé de joie", raconte à l'AFP l'architecte May al-Ibrashy, depuis son bureau sur les toits du quartier d'al-Khalifa, encadré par deux minarets du 14e siècle.Cette fine connaisseuse du Vieux Caire a lancé en 2012 l'initiative "Athar Lina" ("le patrimoine nous appartient" en arabe) qui multiplie ateliers, visites guidées et même après-midis de jeu dans des monuments tels qu'Ibn Touloun, l'une des plus anciennes mosquées d'Afrique construite il y a près de 1.200 ans.Dans le dédale de ruelles du Vieux Caire, au coeur d'une mégalopole de 20 millions d'habitants, les constructions anciennes et les immeubles d'habitations se touchent.Mais la séparation reste bien réelle entre habitants et monuments, affirment les spécialistes.Depuis que l'Egypte s'est dotée dans les années 1980 d'une stricte politique de conservation, les monuments ont été "mis sous clé" car "cela semblait être le meilleur moyen de les préserver", rapporte à l'AFP Omniya Abdel Barr.Des idées héritées "du 19e siècle, quand on pensait que les Egyptiens ne méritaient pas leur patrimoine, qu'il fallait construire des murs entre eux et les monuments pour qu'ils ne les abîment pas", poursuit cette spécialiste de la préservation du patrimoine.Abattoir et bibliothèqueLe résultat, sa consoeur May al-Ibrashy l'a constaté: "les plus âgés étaient beaucoup plus liés aux monuments parce qu'ils y avaient plein de souvenirs d'enfance que leurs enfants n'avaient pas."Alors, à Athar Lina, on mêle présent et passé. Les femmes d'un atelier de broderie confectionnent dans une vieille maison rénovée des tentures qui représentent toute leur Egypte: des minarets et des arcades mais aussi un manguier, le teinturier du quartier, un marchand ambulant et les chiens errants du Vieux Caire.Au travers de cette réappropriation, comme des souvenirs d'enfance, des fêtes locales ou religieuses, "les habitants sentent que cet espace est le leur et c'est la meilleure stratégie de protection du patrimoine", affirme Mme Abdel Barr.Des souvenirs d'enfance, Mohammed Tareq, 39 ans, en a à la pelle dans son quartier populaire de la citadelle du Caire, construite par Saladin au 12e siècle.Petit, il longeait régulièrement Beit Yakan, une maison patricienne du 17e siècle, alors surnommée "la déchetterie". Plus âgé, il y a amené un bœuf avant le mariage de sa soeur, car un boucher avait investi les lieux pour en faire son abattoir.Aujourd'hui, il y travaille et fait visiter les lieux dans les effluves de plantes aromatiques qui s'échappent des moucharabieh qu'Alaa Habachi a fait sculpter par des ébénistes.En 2009, ce professeur d'architecture a racheté la demeure au fameux boucher, pour la sauver d'un ordre de démolition.Sur les 600 maisons patriciennes --reconnaissables à leur patio central-- du Vieux Caire, seules 24 sont aujourd'hui classées au patrimoine national, assure M. Habachi à l'AFP.Les autres, comme Beit Yakan, avec sa bibliothèque à deux étages et ses plafonds boisés mamelouks et ottomans, n'ont aucune protection légale."Personne ne sait vraiment dans quel état se trouvent celles qui sont encore debout, et chaque jour, on en démolit une nouvelle", déplore l'universitaire.L'"âme" du Vieux CaireOr, poursuit-il, "ces patios, tous orientés nord-ouest pour assurer une climatisation naturelle, jouaient un rôle social et économique majeur dans l'environnement urbain."Pour faire revivre ces zones de socialisation dans une ville où les espaces publics sont grignotés par les promoteurs et les travaux d'aménagement, Beit Yakan accueille régulièrement des ateliers, des campagnes de sensibilisation à la protection du patrimoine et des événements pour les habitants du quartier. Sans ces lieux ouverts à tous, le Vieux Caire pourrait être "abandonné", s'alarme M. Habachi.Or "ces bâtiments ne sont que le corps, c'est la communauté locale qui est l'âme" du Vieux Caire, rappelle-t-il.Une communauté qui n'a "que très peu d'endroit pour se retrouver, hors des appartements exigus et des rues bondées", note Mme Abdel Barr.Elle souhaite rester optimiste. Beit Yakan, Athar Lina et les autres euvent changer la donne et "apporter un peu de sérénité", dit-elle."Ces maisons pourraient devenir des sortes de squares du quartier où les femmes pourraient amener leurs enfants et profiter d'un coin de jardin pendant un moment", espère-t-elle.
Il y a 2 ans et 127 jours

Annecy met en place des quotas pour réguler les meublés de tourisme

"Nous constatons que le nombre de meublés déclarés sur la commune d'Annecy est aujourd'hui quatre fois plus élevé qu'il y a cinq ans", a souligné le maire écologiste François Astorg lors d'un conseil communautaire.Des quotas s'appliqueront à partir du 1er juin prochain dans la commune, qui a été divisée en trois zones, la plus restrictive étant la vieille ville, cœur touristique d'Annecy. Au total, le nombre de résidences secondaires en meublés de tourisme sera limité à 2.200 sur l'ensemble de la ville, contre plus de 2.800 actuellement, soit 3% du parc de logements."On essaye de ramener les logements vers leur fonction première, qui est l'habitation à l'année", explique à l'AFP Sophie Garcia, conseillère municipale déléguée au logement abordable et à la mixité sociale. La ville espère ainsi faire revenir sur le marché quelques centaines de logements dans les trois ans. L'objectif de la municipalité est désormais de "retrouver un équilibre" entre les visiteurs et les personnes qui vivent et travaillent à Annecy. "On a des immeubles quasiment entiers dédiés à ça (la location touristique, NDLR), au détriment de la vie de voisinage, de la sérénité des résidents et du patrimoine d'Annecy", pointe l'élue annécienne.Cette mesure de quotas s'accompagne d'un durcissement de la réglementation sur les changements d'usage de locaux d'habitation en hébergement touristique avec, notamment, la limitation des autorisations à un seul bien par propriétaire ou encore l'obligation d'un renouvellement tous les cinq ans. Les nouvelles règles sont contestées par le Syndicat Annecy Meublés, représentant les intérêts des loueurs, qui qualifie cette politique de "discriminatoire et disproportionnée".Elle "ne résout pas le problème de logement et de nuisances" à Annecy et va affecter la rentabilité des biens des propriétaires, estime son président Marc Stakic, joint par l'AFP. Le syndicat envisage d'engager un référé en justice contre ces délibérations.La ville d'Annecy est l'une des premières en France à appliquer des quotas pour tenter de réguler le développement des locations de courte durée sur des plateformes de type Airbnb, Booking, Abritel etc."On espère aussi interpeller le législateur pour que l'Etat prenne position sur ce phénomène dont on n'avait pas pu prévoir la prise d'ampleur", indique la conseillère municipale Sophie Garcia.
Il y a 2 ans et 127 jours

TotalEnergies alimentera en électricité renouvelable l'usine d'oxygène sud-africaine d'Air Liquide

"TotalEnergies développera une centrale solaire photovoltaïque de 120 MW et une ferme éolienne de 140 MW dans la province du Western Cape", a annoncé le groupe dans un communiqué."Ces projets fourniront environ 850 GWh par an d'électricité verte au site de Secunda de Sasol, situé à environ 700 kilomètres au nord-est, où Air Liquide opère la plus grande unité de production d'oxygène au monde", précise la major française des hydrocarbures.Ce site constitué de 16 usines - des unités de séparation des gaz de l'air qui peuvent produire 42.000 tonnes d'oxygène par jour - a été racheté mi-juin 2021 par Air Liquide à Sasol, pour environ 480 millions d'euros. Les deux groupes avaient alors annoncé avoir lancé un appel d'offres en vue de fournir 600 mégawatt (MW) d'énergie renouvelable au site à l'horizon 2025.Un premier contrat avait été annoncé en janvier avec Enel Green Power, pour une capacité de 220 MW. "Ensemble, ces contrats portent à 480 MW les capacités en énergies renouvelables acquises par Air Liquide et Sasol, dans le cadre de leur engagement à sécuriser une capacité totale de 900 MW d'énergies renouvelables", a salué Air Liquide dans un communiqué séparé."Les contrats d'achat d'électricité avec les entreprises sont un marché dynamique, dont nous voulons que TotalEnergies soit l'un des principaux leaders"", a déclaré Vincent Stoquart, directeur Renewables de TotalEnergies, cité dans le communiqué.La multinationale investit davantage dans les énergies renouvelables : 5 milliards de dollars en 2023 (contre 4 en 2022), sur 16 à 18 milliards d'investissements totaux.Mais TotalEnergies continue de développer des projets de gaz - comme au États-Unis, au Liban et au Qatar- ou pétroliers en Afrique, au point que des experts du Giec l'ont accusé début février dans une tribune publiée sur Franceinfo de "disqualifier les feuilles de route pour la transition énergétique basées sur la réduction de la demande en énergie".
Il y a 2 ans et 127 jours

Le gouvernement annonce quatre chantiers pour la réforme controversée de L'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN)

Le ministère de la Transition énergétique a confirmé jeudi qu'un amendement sera proposé "dans les prochains jours" dans le cadre de l'examen à l'Assemblée nationale du projet de loi d'accélération administrative du nucléaire, qui doit être soumis au vote des députés entre le 13 et le 15 mars. Quatre groupes de travail plancheront sur le transfert des missions de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire au sein de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN); les conditions de travail des personnels et l'attractivité des métiers ; les évolutions règlementaires à prévoir ; les sujets budgétaires et financiers. Ces chantiers seront menés pendant trois mois par les dirigeants des deux organismes en concertation avec les personnels, les parlementaires, l'Anccli (la fédération des Commissions locales d'information, installées autour de chaque centrale en France), a détaillé le cabinet d'Agnès Pannier-Runacher.Le gouvernement a annoncé le 8 février son intention de supprimer l'IRSN en indiquant qu'il s'agissait de "fluidifier les processus d'examen".Selon le ministère, cette réforme doit "consacrer l'indépendance et la transparence du système de sûreté nucléaire français", "renforcer les compétences et la puissance d'action de l'ASN", et "accroître l'attractivité des métiers de la sûreté nucléaire".Le ministère attend des dirigeants des trois organismes qui encadrent le nucléaire en France (ASN, IRSN ainsi que le Commissariat à l'Energie atomique ou CEA) un rapport détaillé sur la mise en œuvre de la réforme "d'ici juin", notamment "d'un point de vue réglementaire et financier".Selon le projet, experts, techniciens et scientifiques de l'IRSN – quelques 1.725 personnes au total - rejoindraient "en bloc autant que faire se peut" l'ASN, surnommée le gendarme du nucléaire car elle prend la décision d'autoriser ou d'arrêter des centrales, sur la base notamment de l'expertise technique de l'IRSN.La mise en œuvre de la réforme prendra un an à quinze mois, a souligné le cabinet qui, alerté par les syndicats, estime que expertise et pilotage stratégique devraient rester "séparés".Opposés à la réforme, ceux-ci accusent le gouvernement de vouloir "supprimer en 40 jours un organisme qui a mis 40 ans être construit" et qui garantit la crédibilité du système nucléaire français, en séparant l'expertise et la décision.Même si le ministère assure que la "publicité des avis d'expertise sera préservée", les salariés craignent de voir diminuer l'indépendance de l'organisation, et surtout de voir disparaître la transparence des avis des experts de l'IRSN publiés de façon indépendante, au moment où l'Etat et EDF veulent lancer un nouveau programme nucléaire et prolonger les centrales vieillissantes au delà de 50 ou 60 ans.Le ministère a admis jeudi qu'il ne savait "pas répondre" à la question de savoir si les avis de l'IRSN seraient publiés avant ou après les décisions de l'ASN. "Il va falloir que le sujet soit très précisément posé" a indiqué un responsable.Après une première grève - fait rarissime - le 20 février, l'intersyndicale de l'IRSN a annoncé un nouveau préavis pour le 28 février.
Il y a 2 ans et 128 jours

Les domaines skiables français ont investi 380 M€ en 2022

Après la chute historique de leurs investissements en 2020 (237 M€), directement associée à la crise sanitaire, les domaines skiables français, bien soutenus par les pouvoirs publics, avaient limité le contrecoup économique en 2021 (268 M€). Il fallait déjà y voir une illustration de la confiance des professionnels dans leur filière. En affichant cette année le deuxième total de la décennie (après 2018), auquel il convient d’associer l’effet de l’inflation, les opérateurs tricolores confirment leurs certitudes vis-à-vis de la destination montagne.« En 2022, 380 M€ ont été investis sur les domaines skiables français. En hausse de 41,8% par rapport à la saison précédente et supérieur de 17,1% à la moyenne décennale, ce montant s’affiche comme le deuxième plus haut de la décennie. En France, les exploitants ont ainsi réinvesti cette année 26,1% de leur chiffre d’affaires hors taxes », analyse Atout France.Au-delà du montant, Domaine skiables de France et son président Alexandre Maulin retiennent la stratégie d’investissement : « Si les chiffres indiquent un retour à la normale, plusieurs tendances de modification durable des stratégies d’investissement sont à l’œuvre. Le choix des équipements à renouveler tout d’abord et, plus encore, le choix des équipements par lesquels les remplacer, est plus qu’hier dicté par des considérations d’économie et d’environnement, notamment sur les critères de la performance énergétique et de la polyvalence hivernale et estivale. Les décisions d’aménagement prennent également en compte les effets du changement climatique, tels que les scénarios du GIEC qui permettent de les modéliser à plus ou moins long terme. »L’intégralité́de l’enquête est à retrouver au sein du numéro 294 de Montagne Leaders accessible en ligne.
Il y a 2 ans et 128 jours

Polémique sur l’usage du fioul domestique pour le chauffage après les propos d'un ministre sur France Inter

Son intervention le mardi 21 février sur France Inter dans l’émission « Le téléphone sonne » est édifiante sur la méconnaissance des problématiques du chauffage en France et l’imposition des visions urbaines, à l’encontre de la cohésion et de l’égalité des territoires. En premier lieu, le Ministre méconnaît le fait que le fioul domestique traditionnel va disparaître de lui-même au profit de combustibles liquides moins émissifs en CO2. Ainsi, l’autorisation de la mise sur le marché français en 2022 du fioul domestique F30, dit « Biofioul » (biocombustible incorporant 30% d’énergie renouvelable d’origine végétale), et qui abaisse les émissions de CO2 de 10%, est la première étape vers le prochain F55 (55% de biocombustible renouvelable). Tous les pays européens travaillent sur la substitution du fioul par des combustibles liquides renouvelables et de synthèse ainsi que la Directive européenne sur les énergies renouvelables y incite. Par ailleurs, la politique du bouc émissaire est absurde et stigmatisante pour les Français habitant en zones rurales et périurbaines. Les consommateurs dont le choix énergétique est restreint de par leur situation géographique sont ainsi désignés comme « criminels » et désinformés sur les impacts de l’utilisation des énergies de chauffage. Certes l’usage du fioul domestique en chauffage émet plus de CO2 par kWh que d’autres énergies mais il faut en relativiser les proportions pour disqualifier ces propos excessifs, outranciers, inadmissibles de la part d’un responsable gouvernemental. Valeurs CO2 du DPE – étiquette climat / énergie (arrêté ministériel du 15 septembre 2006, modifié)Électricité de réseau : 180 grGaz de réseau (méthane) : 234 grGaz en citerne (propane) : 274 grFioul domestique traditionnel : 300 grBois de chauffage : 13 grEn comparaison : Biofioul F30 : 275 gr (disponible sur le marché)Biofioul F55 : 234 gr (en tests de compatibilité chaudières)Nota : seul le CO2 est considéré, à l’exclusion du CH4 (méthane) ou des HFC (fluides frigorigènes), polluants dont le fioul domestique n’est pas « criminel » Le Ministre au lieu de s’expliquer sur les défaillances des DPE, de la gestion des aides à la rénovation, de la chute des travaux pourtant prioritaires d’isolation crée une diversion péremptoire.Pour Eric Layly, Président de FF3C : « Si le Palais de l’Elysée ou les chambres parlementaires, qui utilisent du fioul domestique, ont les ressources pour opter pour d’autres solutions, qu’en est-il des Français habitant dans les territoires ruraux ? En pleine crise énergétique, les déclarations du Ministre sont particulièrement discriminantes pour près de 3 millions de foyers qui se chauffent au fioul domestique. »Le syndicat FF3C souligne en outre combien le rôle des entreprises de distribution d’énergies hors réseaux est crucial pour la sécurité d’approvisionnement des consommateurs qui, quelles que soient les crises passées et récentes, n’ont jamais été menacés de coupures.Emporté par la résurgence d’un culte imposant l’électricité, quoi qu’il en coûte, le Ministre en charge de la Ville et du Logement se rend coupable d’anathème sur un sujet qui demanderait de la tolérance, de l’adaptation aux territoires, de l’information objective et des mesures concrètes pour inciter les consommateurs à remplacer leurs équipements par des matériels biocompatibles neufs qui, au passage, permettent de réduire d’un tiers la consommation et de plus de 50 % si l’isolation du bâti était au rendez-vous.
Il y a 2 ans et 128 jours

Coups d'arrêt dans l'immobilier, les craintes de marasme s'accentuent

L'ancien ralentit, le neuf s'écroule : le marasme guette le secteur de l'immobilier, frappé par des conditions de crédit plus difficiles."2022 a marqué, vraiment, une grande dualité, avec deux semestres qui sont particulièrement prononcés": le premier en nette hausse, le second en forte baisse, a exposé Elodie Frémont, présidente de la commission statistiques immobilières chez les Notaires du Grand Paris.Trois causes majeures à ce ralentissement, a-t-elle détaillé: "la difficulté du crédit à l'habitat, qui devient plus onéreux et plus compliqué à obtenir; un contexte général, aussi bien économique que géopolitique, plus tendu; et peut-être un engouement pour la maison au vert (...) qui semble se terminer."Depuis le confinement du printemps 2020, les prix des maisons anciennes augmentaient plus vite que ceux des appartements, poussés par une envie accrue de vert et d'espace.Si le prix des maisons continue d'augmenter plus vite que celui des appartements (5,8% contre 3,5%), les rythmes tendent à se rejoindre. "Une partie de ce que l'on qualifie d'appel du vert était aussi un appel de prix plus bas", souligne auprès de l'AFP Alain Tourdjman, directeur des études économiques chez BPCE.Maintenant que le prix des maisons a rattrapé celui des appartements, elles deviennent mécaniquement moins attractives, dit-il.Les craintes sur la consommation d'énergie et la réglementation qui se durcit pour les possesseurs de passoires thermiques ont pu pénaliser davantage le marché des maisons, celles-ci étant en général plus grandes et plus énergivores, pointe Alain Tourdjman.L'immobilier en province, qui augmentait plus vite qu'en Île-de-France, décélère aussi, même s'il continue de surclasser la région parisienne (6% d'augmentation annuelle, contre 1,4%).Coûteux créditsMais la cause principale du freinage est la difficulté à emprunter.La remontée rapide des taux d'intérêt a renchéri le coût du crédit. Si bien, ont calculé les Notaires du Grand Paris, qu'un acquéreur qui pouvait acheter une maison de 100 mètres carrés en janvier 2022 ne peut plus acquérir, avec le même montant emprunté, que 88 mètres carrés un an plus tard.Le taux d'usure, qui interdisait aux banques de prêter au-delà d'un certain taux, a un temps grippé le marché, avec des acquéreurs qui devaient rétracter leurs offres faute d'accès au crédit.Mais l'assouplissement de la réglementation décidé fin janvier ne va pas pour autant relancer le marché, estiment plusieurs professionnels. "C'est plus la contrainte de l'environnement économique et de la baisse du pouvoir d'achat qui réduit les volumes de crédit que le taux d'usure", estime Loïc Cantin, président de la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim).Par rapport à l'inflation (5,2% en 2022), les prix de l'immobilier sont d'ores et déjà en baisse, souligne-t-il.Et ça ne va pas s'arrêter là. "Oui, nous allons assister à une poursuite de la décélération des prix dans les prochains mois", dit-il.Les économistes de BPCE estiment même que les prix dans l'ancien devraient refluer d'ici à la fin de l'année, de 2 à 3%.Le neuf en panneDu côté de l'immobilier neuf, les très mauvais chiffres s'accumulent. Jeudi, le pôle habitat de la Fédération française du bâtiment, qui regroupe aménageurs, promoteurs, constructeurs de maisons et rénovateurs, s'est alarmé d'une "crise sévère" touchant le secteur.Les constructions de maisons individuelles en lotissements ont chuté de 22,2% en 2022, celles en secteur diffus (hors lotissements) de 31%.En cause, pointe le pôle habitat, la remontée des taux d'intérêt, mais aussi la hausse des coûts de construction, aggravée par la guerre en Ukraine, et l'affaiblissement de dispositifs de soutien aux acquéreurs.
Il y a 2 ans et 128 jours

Technologie ultra performante contre le calcaire avec garantie de résultats

Depuis plus de 30 ans, EXPERTIMA Technologies, basée à Martigues (Bouches-du-Rhône), travaille sur le traitement physique de l’eau. Après 20 ans de R&D, son fondateur et ses ingénieurs ont conçu et développé une nouvelle technologie contre l’entartrage : le Procédé NT, breveté en 2006 et le Procédé NT-F breveté en 2019.Produits depuis 16 ans en Provence, ces équipements confirment leurs qualités : performances, aucun entretien, respect de l’environnement et de la qualité sanitaire des eaux.Un nouveau brevet déposé en Octobre 2019, après 3 années d’analyse des données SAV et de recherches, permet de traiter une palette encore plus large de qualités d’eau, avec des variations de TH et de pH qui influencent fortement l’entartrage des installations, et avec des performances encore plus élevées.Cette nouvelle technologie sans zinc permet au fabricant de s’affranchir des remarques soulevées par le rapport de l’ANSES (de Janvier 2019) sur les procédés comportant des anodes ou des catalyseurs en zinc.Toutes les unités anticalcaire conçues par EXPERTIMA Technologies disposent d’une attestation de conformité sanitaire (ACS), renouvelée tous les 5 ans.Aujourd’hui, EXPERTIMA Technologies possède une expérience acquise sur un parc de plus de 30.000 appareils suivis et en fonctionnement. Ils équipent intégralement la tour CMA CGM, à Marseille, et sont utilisés dans de nombreux bâtiments hospitaliers et de santé, en industrie, en marine et en habitat collectif.EXPERTIMA Technologies s’engage pendant 5 ans renouvelables sur l’efficacité anticalcaire de ses produits, de la petite à la grande installation.Assistance Technique en Ingénierie de l’eau, Ingénierie sanitaire et process thermo-hydrauliquesEXPERTIMA Technologies propose une gamme complète d’appareils de 0,2 m3/h à 500m3/h pour maintenir des installations pérennes.EXPERTIMA Technologies accompagne les ingénieurs (hydrauliciens, thermiciens) et techniciens, des BE et des entreprises de pose et d’exploitation pour protéger efficacement leurs installations, partout en France, et même à l’international.Forte de son expérience en bâtiments collectifs et sur les grands sites tertiaires et industriels, EXPERTIMA Technologies développe sa gamme domestique sous une marque spécifique pour le logement individuel.Une gamme spécifique pour l’habitat individuel : CALCÉO
Il y a 2 ans et 128 jours

Bouygues engrange des commandes dans son cœur de métier et réoriente sa stratégie avec Equans

Le conglomérat du BTP, des médias et des télécoms a enregistré en 2022 un bénéfice net en recul de 13,5% à 973 millions d'euros, mais le bénéfice opérationnel a progressé de 16,38% à 2 milliards d'euros.Le bénéfice net est en recul car il se trouve lesté de 90 millions d'euros de coûts exceptionnels liés notamment à des frais d'opérations de fusions-acquisitions concernant l'énorme rachat du groupe de services techniques Equans à Engie l'an passé, et à des frais liés au projet de mariage entre TF1 et M6, finalement avorté en septembre.Ces résultats sont à comparer à une base favorable en 2021 qui intégrait des plus-values de cessions de data-centers et des cessions d'actions d'Alstom.Malgré la guerre en Ukraine, l'inflation et l'envolée des taux d'intérêts, l'activité est restée soutenue dans la quasi-totalité des métiers. Le chiffre d'affaires global s'est inscrit en hausse de 18% à 44,3 milliards d'euros, en progression surtout à l'international (+34%)."La croissance est tirée par l'intégration d'Equans, par Colas et la construction, et dans une moindre mesure par les télécoms", relèvent les analystes d'Oddo dans une note.Seul Bouygues immobilier a vu son chiffre d'affaires baisser (-4%), dans un marché "globalement attentiste", selon le communiqué du groupe.Le chiffre d'affaires de la division "construction et services" s'est, lui, établi à 30,5 milliards d'euros, en hausse de 9%, essentiellement porté par Colas.Fin décembre 2022, le carnet de commandes de la construction et des services était "en hausse de 2% à 33,8 milliards d'euros, un niveau historique", s'est félicité le groupe.La branche construction enregistre une progression des ventes de 3% à 13,17 milliards d'euros et offre "une bonne visibilité" avec un "haut niveau de carnet de commandes" de 20,6 milliards d'euros.Intégration d'EquansPour la suite, "dans un environnement instable, marqué par l'inflation, la hausse des taux d'intérêt et la volatilité des devises, Bouygues vise pour 2023 un chiffre d'affaires proche de celui de 2022, et une augmentation du résultat opérationnel courant de ses activités (ROCA)", a indiqué le groupe riche de 196.000 collaborateurs.Côté Bouygues Telecom, l'activité commerciale est "restée dynamique", avec des ventes en hausse de 4% et la conquête de 449.000 nouveaux clients mobiles et 674.000 dans la fibre (FTTH). Au total, le parc mobile et fibre compte 19,9 millions de clients.Dans l'autre vitrine du groupe, TF1, le bénéfice net a reculé de 21,8% en 2022, à 176 millions d'euros, malgré une progression de ses ventes de 3% et les bonnes performances publicitaires durant la Coupe du monde de football. L'année aura été ternie par le mariage raté de TF1/M6 à cause des concessions demandées par l'autorité de la concurrence.A 6,6 milliards d'euros, la reprise d'Equans et de ses 70.000 salariés, est le plus gros rachat de l'histoire de Bouygues. Elle "nous positionne dans une nouvelle dynamique de croissance", et "significative" a commenté Olivier Roussat, directeur général du groupe lors de la présentation des résultats.En 2022, Equans, intégré à la branche Bouygues Energies et Services en octobre, aura contribué pour 3,8 milliards d'euros au chiffre d'affaires global. Son chiffre d'affaires annuel est de l'ordre de 13,8 milliards.Bouygues vise "une légère croissance de son chiffre d'affaires en 2023 et 2024", avant une "accélération" en 2025.Avec des services techniques allant de la gestion de l'énergie dans les bâtiments à la sécurité-incendie en passant par la ventilation, climatisation, chauffage ou le numérique, ce rachat doit permettre à Bouygues d'accélérer dans le secteur porteur des services à la transition énergétique.Avant l'acquisition, la division "construction et services" pesait 75% dans l'activité du groupe (dont 10% pour les services).L'intégration d'Equans déplace "son centre de gravité" vers une activité "beaucoup plus orientée vers ce sujet des énergies et services", a souligné M. Roussat. Un secteur amené à peser désormais pour un tiers du portefeuille d'activités (48% pour la seule construction), selon les projections.
Il y a 2 ans et 128 jours

La Fédération Française du Bâtiment en 2022

Cette vidéo retrace les événements marquants de l'année écoulée. Elle met en lumière les réalisations de la FFB, les différentes actions menées pour promouvoir l'emploi, l'activité et les initiatives visant à favoriser la transition énergétique de la filière.
Il y a 2 ans et 128 jours

Isonat lance la gamme Flex Contact, une nouvelle génération de panneaux isolants biosourcés en fibre de bois

Conservant les meilleurs lambdas du marché des isolants biosourcés, les produits de la gamme FLEX CONTACT répondent aux attentes des clients et s’inscrivent pleinement dans le cadre réglementaire de la rénovation énergétique. Cette gamme est aussi en parfait accord avec les enjeux stratégiques d’habitat durable avec moins de liant donc plus de fibre de bois dans ses panneaux.FLEX CONTACT, une solution d’isolation biosourcée qui accompagne les grandes tendances de fond du marché de l’isolationEn constante évolution, le marché des isolants biosourcés devrait tripler à l’horizon 2030 pour atteindre 33 millions de m² (9% de parts de marché*), la fibre de bois représentant la majorité des ventes avec 45% des volumes**.Ce potentiel de développement concerne aussi bien le marché de la rénovation (habitat particulier et bâtiments publics) que la construction neuve traditionnelle ou les maisons à ossature bois.Anticipant une telle croissance, Isonat se devait de répondre à une problématique phare des artisans en fabriquant des produits à la pose plus facile et avec moins de poussières.Les nouveaux panneaux FLEX 40 et FLEX 55 : un confort de pose qui répond à toutes les configurations d’isolation par l’intérieurFLEX 55Pouvoir isolant le plus performant du marché des biosourcés (0,036 W/(m.K)) Excellent isolant acoustique Le seul isolant biosourcé revêtu d’un voile de confort pour une découpe et une manutention facilitée.FLEX 40Pouvoir isolant parmi les plus performants du marché des biosourcés (0,038 W/(m.K)) Excellent isolant acoustique L’idéal en cloison, 4 références adaptées à la mise en oeuvre en logements, bâtiments collectifs et ERP.Une innovation technologique qui simplifie la manipulation, la découpe et la poseUne qualité de fibre qui améliore le confort de pose… avec beaucoup moins de poussières !Les panneaux FLEX 40 et FLEX 55 sont plus faciles à manipuler sur les chantiers. Leur fibre ne se délite pas et génère très peu de poussières lors de la découpe, rendant ainsi la pose plus simple et agréable à réaliser. La souplesse des panneaux et leur aptitude à la compressibilité facilitent également la mise en oeuvre entre les montants et les passages de gaines.Une nouvelle composition au service de la performance des panneauxLes panneaux FLEX 40 et FLEX 55 sont élaborés avec une nouvelle génération de liant, dont la quantité nécessaire pour la fabrication a été divisée par deux. Cette nouvelle formule permet d’obtenir des panneaux avec plus de fibres de bois, dont les qualités techniques améliorées assurent l’excellente cohésion de la matière et la robustesse des panneaux.Une éco-conception et une fabrication françaisePour la fabrication de ses isolants biosourcés en fibre de bois FLEX CONTACT, Isonat privilégie le Douglas certifié PEFC. Cette matière première provient des forêts locales et est issue des chutes de production des scieries voisines, dans un rayon d’environ 60 km autour de l’usine de Mably (42).Un emballage simple à lire et plus durableGrâce à ses nouveaux emballages, Isonat facilite le choix des poseurs comme des vendeurs. Pédagogique avant tout, il indique le nom de la gamme, la nature de l’isolant et ses bénéfices, des informations nécessaires et directement visibles sur un pack plus épuré.Côté recyclabilité, le taux d’encrage des emballages a été divisé par deux passant de 45% à 22% ce qui permet un recyclage des emballages plus important car il nécessite moins de traitement.*Sources internes Saint-Gobain.**Sources Étude MSI “Marché des Produits d’Isolation Thermique en France” - Janvier 2022.
Il y a 2 ans et 128 jours

EDF ENR construit pour Sodebo le plus grand parc en autoconsommation de France

Une initiative menée en étroite collaboration avec EDF ENRCe parc photovoltaïque, unique en France de par sa surface, permettra de produire l’équivalent de 11% de la consommation totale annuelle de Sodebo, soit la consommation de 1280 maisons de 100 m2 en chauffage électrique sur une année. Avec EDF ENR, filiale d’EDF, l’entreprise souhaite accroître sa part d’électricité d’origine renouvelable, ainsi que son autonomie énergétique : un choix qui fait sens pour l’entreprise vendéenne qui a toujours privilégié l’internalisation comme mode de fonctionnement.Une première mise en service à partir de novembre 2023L’installation des panneaux photovoltaïques, qui seront répartis sur différentes zones de son site de 124 hectares, débutera à l’automne 2023.Dans un premier temps, des ombrières photovoltaïques seront installées sur certains de ses parkings pour une mise en service en novembre de cette année. La seconde partie de l’installation suivra en avril 2024 et concernera l’installation de panneaux photovoltaïques directement au sol.Pour Marie-Laurence Gouraud, Co-Présidente de Sodebo : « Nous sommes conscients des enjeux de Développement Durable liés à notre activité et de notre responsabilité dans ce domaine. A ce titre, nous pilotons une feuille de route claire dont l’énergie est l’un des sujets prioritaires. Ce parc photovoltaïque est un projet de longue haleine que nous avons ouvert en 2020 et c’est aujourd’hui pour nous une réelle satisfaction de voir les travaux démarrer. Et des travaux il y en aura d’autres ! Les toits de nos futurs bâtiments accueilleront tous des panneaux photovoltaïques et nous prévoyons également l’installation de bornes de recharge pour voitures électriques et hybrides pour nos véhicules de société et pour les véhicules personnels de nos collaborateurs. »Pour Benjamin Declas, Président – Directeur Général EDF ENR : « Nous sommes particulièrement fiers de pouvoir accompagner Sodebo dans sa transition énergétique, avec ce projet d’une ampleur inédite, et nous remercions cette entreprise pour sa confiance dans le groupe EDF. L’autoconsommation photovoltaïque est aujourd’hui une solution éprouvée pour produire et consommer tout ou partie de son électricité. Elle donne accès à une énergie propre, décarbonée et respectueuse de l’environnement. Son déploiement rapide sur les sites industriels permet de répondre aux enjeux de maîtrise des coûts et de neutralité carbone de très nombreux professionnels. »Les chiffres clés du projet 95.000 m² de panneaux photovoltaïques seront installés 100% de la production d’électricité issue des panneaux photovoltaïques sera consacrée à l’autoconsommation de Sodebo11% de la consommation annuelle de l’entreprise sera ainsi couverte
Il y a 2 ans et 128 jours

Hausse du bénéfice net en 2022 pour Eiffage, qui finit avec un bon carnet de commandes

Fort d'un chiffre d'affaires en augmentation de 8,5% à 20,3 milliards d'euros, le groupe aux 73.500 salariés a atteint un bénéfice net de 896 millions d'euros en 2022.La branche infrastructures, qui représente un tiers des ventes, a vu son chiffre d'affaires augmenter de 6,6% à 7,29 milliards d'euros.Si celui-ci "baisse légèrement" en France, il enregistre cependant une hausse de 19,6% à l'international, notamment "grâce à la montée en puissance de la ligne à grande vitesse HS2 au Royaume-Uni et de l'autoroute E18 en Norvège".La branche Energie systèmes, deuxième plus importante, a connu une augmentation de 12% de son chiffre d'affaires à 5,3 milliards, portée par une "dynamique de croissance externe" via onze acquisitions.Moins importante, la branche Concessions a connu une croissance de 10,4% de son chiffre d'affaires à 3,34 milliards d'euros, grâce à des "trafics autoroutiers tous en augmentation" et "désormais supérieurs à leur niveau de 2019", avant la pandémie de Covid.Le trafic aéroportuaire reste cependant inférieur aux niveaux de 2019 (-25,4%) malgré une accélération rapide par rapport à 2021 (+76,6%), note Eiffage.La branche Construction, troisième plus importante, a elle connu hausse de 6,4% de son chiffre d'affaires, à 4,36 milliards d'euros, et ce malgré la quasi-diminution de moitié des réservations de logements, "qui s'explique par la difficulté croissante d'obtention des permis de construire en France et l'augmentation des coûts techniques".Le groupe attaque 2023 avec un carnet de commande bien rempli, à son plus haut historique avec 18,5 milliards d'euros (+14%). Cette augmentation, qui représente "13,1 mois d'activité", est "portée notamment par les chantiers d'énergies renouvelables et d'infrastructures de transport", précise Eiffage. Globalement pour 2023, le groupe anticipe "une nouvelle augmentation de son activité" dans les travaux et les concessions, notamment "grâce à la normalisation progressive du trafic aéroportuaire", ainsi qu'une nouvelle "augmentation de son résultat opérationnel courant"."Le résultat net part du groupe devrait bénéficier en outre de la mise en équivalence de la participation dans Getlink, à compter du 2e trimestre", a ajouté Eiffage, devenu en octobre le premier actionnaire de cette société concessionnaire du tunnel sous la Manche, "pour un investissement de 1,2 milliard d'euros".Eiffage compte donner à ses actionnaires un dividende de 3,60 euros par action, en hausse de 0,50 euros. Ce montant "sera proposé à l'assemblée générale du 19 avril 2023", est-il précisé dans le communiqué.
Il y a 2 ans et 128 jours

Retour sur le sommet annuel de l'innovation de Procore Technologies

Gestion efficace des effectifs avec Procore Gestion des Ressources : Avec Procore Workforce Management, les organisations peuvent numériser et standardiser la gestion de la main-d'œuvre - favorisant ainsi une meilleure planification des ressources, la productivité sur le terrain et les profits. Cette toute nouvelle solution vient répondre à la problématique liée au manque de main-d'œuvre, qui a considérablement exacerbé les défis tels que les retards de projets et les contraintes budgétaires et renforcé le besoin d’une gestion efficace de la main-d'œuvre pour protéger les résultats d'un projet de construction. « Nos collaborateurs chargés de la gestion des effectifs faisaient tout sur des feuilles de calcul. Et lors de moments cruciaux, comme la réalisation de prévisions de planification des effectifs pour les dirigeants, les formules ne marchaient plus. Ils étaient frustrés et cela créait un cauchemar informatique », a déclaré Burns, Vice-président de l'IT chez McCownGordon Construction, dont l'entreprise utilise Procore Workforce Management. « C'est passionnant d'entendre qu'ils utilisent maintenant le logiciel et qu'ils sont heureux de le faire. Pour nous, il apporte une tonne de valeur sous forme de gain de temps et de business intelligence. » Pratiques de gestion de l’information facilitées grâce à Procore Gestion de Documents (GED) : Nous avons passé beaucoup de temps à recueillir les commentaires de nos clients du monde entier et nous savons que la capacité à collaborer avec toutes les équipes où qu’elles soient et à gérer efficacement les documents est un véritable défi. Par conséquent, la gestion des documents de construction est un énorme domaine d'intérêt pour notre secteur. En effet, dans une étude mondiale récente de FMI Corp et Procore sur les avantages de la préconstruction, les personnes interrogées ont estimé que les retouches contribuent à 19% du coût total du projet, et que seulement 30% de cette somme est récupérable. Cela signifie que 70% des retouches sont absorbées par l'entrepreneur.Pour aider les clients à relever ce défi, nous avons travaillé avec l'industrie pour développer une solution qui fournit une source d’information unique, fiable, sécurisée et performante pour accéder, gérer et collaborer sur des documents depuis n'importe où dans le monde.La solution offre une expérience de balisage intégrée avec des flux de travail d'approbation personnalisés et des autorisations granulaires au niveau des fichiers, ce qui aide les clients à répondre aux exigences communes en matière d'environnement de données et aux normes de conformité ISO. Rapport FMI sur l'état de la préconstruction mondialeKristy McKnight, vice-présidente de la gestion des produits pour la préconstruction, a clôturé le sommet de l'innovation en partageant quelques points clés du nouveau rapport industriel de FMI Corp, sponsorisé par Procore, l'État de la Préconstruction Mondiale.Le rapport explore l'état actuel de la préconstruction et les caractéristiques de ceux qui la font bien. Les participants interrogés ont été invités à décrire les pratiques de préconstruction dans leurs organisations, les outils et les technologies, les expériences de projet et les résultats.McKnight a eu l'occasion de s'entretenir avec Jay Bowman, analyste de la recherche industrielle et expert en construction chez FMI Corp, afin d'approfondir certaines des principales conclusions du rapport : Plus de 75% des participants à l'enquête affirment avoir un processus formel de préconstruction. Cependant, la cohérence de la préconstruction souffre du fait que le processus est souvent déterminé par une personne. Les participants ont classé la capacité à tirer parti de la technologie comme l'aspect le moins difficile de la préconstruction. Les organisations qui réalisent une préconstruction "supérieure à la moyenne" sont plus susceptibles de faire état d'une rentabilité plus élevée, de moins de retards dans les projets et de moins de reprises que les organisations qui se situent en dessous de la moyenne.Pour en savoir plus sur la façon dont les entreprises peuvent améliorer la planification des ressources, la performance des équipes et la collaboration tout en maximisant la rentabilité, regardez l'intégralité du Sommet de l'innovation en anglais ici : www.procore.com/webinars/innovation-summit. Une version sous-titrée en français sera bientôt disponible.
Il y a 2 ans et 128 jours

L'exécutif prêt à modifier le texte de la réforme des retraites et "écouter" LR au Sénat, selon Véran

Interrogé sur France Inter, il a fait "le constat" que le parti Les Républicains au Sénat a "déjà voté plusieurs années consécutives" des "dispositions qui ressemblent bigrement" au projet gouvernemental actuel de report de 62 à 64 ans de l'âge légal de départ."Donc nous considérons que la base d'un accord est sur la table", a-t-il ajouté."Ensuite, nous sommes à l'écoute des sénateurs, comme nous avons été à l'écoute des députés, prêts aussi à amender, à modifier, à améliorer notre texte", a assuré Olivier Véran alors que la réforme, qui n'a pu être votée en première lecture à l'Assemblée dans les courts délais impartis par l'exécutif, arrive la semaine prochaine au Sénat.Le porte-parole a pris l'exemple de l'index censé favoriser l'emploi des seniors dans les entreprises, rejeté à l'Assemblée avec les voix défavorables de LR notamment, mais que le gouvernement veut réintroduire devant les sénateurs."Je considère que les sénateurs ont vocation à aller dans le sens d'améliorer l'emploi des seniors dans l'entreprise et s'ils ont des propositions à faire, qui partent de l'index seniors ou qui sont différentes, nous les écouterons bien sûr", a-t-il expliqué.Certains sénateurs de la majorité composée de la droite et des centristes dans la chambre haute veulent proposer un système de bonus/malus pour favoriser l'emploi des seniors.
Il y a 2 ans et 128 jours

Comment réparer un sol industriel ?

Il y a 2 ans et 128 jours

Le gouvernement annonce 12 millions d'euros de subventions pour inciter à l'ouverture de commerces ruraux

"L'Etat apportera un soutien à l'installation en ruralité de commerces sédentaires multi-services ainsi que de commerces itinérants permettant de desservir plusieurs communes rurales", a annoncé le gouvernement dans un communiqué signé des ministres déléguées au Commerce Olivia Grégoire et aux Collectivités territoriales et à la Ruralité Dominique Faure.Ce programme "s'adresse à des porteurs de projets qui peuvent être publics ou privés, étant précisé que les porteurs privés devront nécessairement disposer de l'appui de la commune d'implantation", précise le gouvernement, selon qui le guichet d'inscription, auprès des préfectures, s'ouvrira le 1er mars prochain. Dans le détail, l'acquisition d'un local et sa remise en état "pourront être pris en charge à hauteur de 50% dans une limite de 50.000 euros", l'"aménagement du local et l'acquisition de matériel professionnel" pourra être pris en charge à hauteur de 20.000 euros, voire 25.000 euros "si le projet présente un intérêt particulier en matière de développement durable, ou un caractère innovant dans son modèle économique".Sont cités comme exemples, "circuits courts, insertion de publics défavorisés, implication du tissu associatif local, expérimentation d'un lieu de collecte mutualisé pour les commandes numériques".Pour les commerces itinérants, l'État pourrait subventionner jusqu'à 20.000 euros pour notamment l'acquisition du véhicule professionnel de tournée, "dans une limite de 50% des dépenses d'investissement".A cet ensemble peut s'ajouter "une aide de 5.000 euros maximum pour les prestations d'accompagnement auxquelles il pourrait recourir afin de concevoir, mettre en œuvre et faire vivre son projet".L'objectif évoqué par Olivia Grégoire est "d'apporter rapidement aux habitants de 1000 communes rurales une offre commerciale", dit-elle dans ce communiqué.Les préfectures doivent rassembler les dossiers à l'échelle de leur département, dans une logique de "répartition géographique équilibrée" et faire une première sélection avant de la faire remonter au niveau des ministères, a précisé son cabinet lors d'une conférence de presse téléphonique mercredi. Ce sont plutôt des commerces alimentaires qui sont ciblés.La même source a précisé qu'il n'y avait pour le moment "pas d'annonce quant à la reconduction du dispositif" après 2023, mais que, "s'il avait du succès", le gouvernement "ferait tout pour qu'il soit reconduit".
Il y a 2 ans et 129 jours

La hausse des prix de l'immobilier ancien ralentit au 4e trimestre, à 4,8% sur un an

La hausse s'était élevée à 6,4% au 3e trimestre.Le ralentissement concerne toutes les catégories de biens et tous les territoires, mais il est plus marqué en province et pour les maisons, là où les prix avaient le plus flambé à la sortie du confinement du printemps 2020. En province, les prix ont grimpé de 6%, tandis qu'en région parisienne, ils n'ont augmenté que de 1,4%.Les maisons, très prisées après la crise sanitaire, ont pris 5,8% contre 3,5% pour les appartements.Les notaires ont enregistré 1,11 million de transactions en 2022, un nombre en reflux après le record atteint en 2021 mais toujours très élevé.
Il y a 2 ans et 129 jours

Dénouement de la Saga vidéo Schöck : l’homogénéité de l’enveloppe du bâti sous les projecteurs

Quant à la saison 4, elle explicite, sans concession, les failles de la RT 2012 et les ambitions insuffisantes de l’actuelle réglementation thermique. Et toujours en synopsis : la volonté d’insuffler une prise de conscience collective pour un choix de logements économes, sains et durables afin que les constructions neuves ne soient pas les rénovations de demain.Après deux saisons qui ont su rencontrer leur public (les particuliers désireux d’acquérir un logement, autant que les associations de consommateurs, organismes en conseil immobilier, fédérations ou encore institutionnels), Schöck signe le clap de fin de sa saga vidéo avec 9 épisodes.Les 4 opus de la saison 3 mettent en scène les pathologies d’un bâtiment mal isolé, dont la condensation et les moisissures responsables notamment de nombreuses maladies respiratoires (bronchites, rhinites, asthmes, allergies). Ainsi, en référence au Livre Blanc2 réalisé par le Groupe de Travail sur la Qualité de l’Enveloppe (GTQE) du Pôle Fibres-Énergivie, Schöck rappelle que selon l’OQAI (Observatoire de la qualité de l’air intérieur) 37% des logements présentent des moisissures et que le coût social de la pollution de l’air intérieur s’élève à 19 milliards d’euros par an ! Au rang des remèdes efficaces : les rupteurs de ponts thermiques linéiques entre la dalle et la façade ou la dalle et le balcon en ITI, de même que le traitement des ponts thermiques des balcons en ITE.Enfin, les 4 épisodes de la saison 4, auxquels se greffent un épilogue, donnent les rôles principaux à la RT2012 et la RE2020, mais à l’opposé des héros que ces réglementations souhaiteraient incarner.En effet, soulignant la prédilection hexagonale pour l’ITI et non l’ITE, pourtant seule garante d’une enveloppe parfaitement homogène, Schöck renvoie à la réglementation française qui stipule que seule une partie des ponts thermiques doit être traitée pour être conforme (environ 50%). Pour un bâtiment de logements collectifs par exemple, il suffit donc de traiter en moyenne 50% des ponts thermiques avec des rupteurs sur chaque plancher intermédiaire, ou bien traiter les ponts thermiques des premiers étages, mais pas des derniers étages du bâtiment (ou vice et versa). Seule la moyenne compte !Ainsi, malgré sa conformité à la RT2012 ou désormais à la RE2020, une construction neuve peut comporter d’importantes fuites d’énergie au regard de ponts thermiques subsistant entre la dalle et la façade ou la dalle et le balcon. Constat décevant à l’heure où il faudrait en fait privilégier un traitement complet des ponts thermiques en ITI ou ITE. D’autant que si les coûts de construction représentent 28%, ceux de financement 15% et les charges foncières 11%, la maintenance et l’utilisation grèvent à elles seules près de la moitié du budget (46%). D’où l’intérêt de mettre encore l’accent sur la qualité de l’enveloppe pour diminuer le coût d’exploitation du bâtiment porté par les futurs occupants du logement ou le gestionnaire du patrimoine.En signant cette série de 16 vidéos ludiques et didactiques, Schöck a donc sensibilisé le plus grand nombre à l’importance d’une enveloppe homogène du bâti pour réaliser des économies d’énergie, augmenter le pouvoir d’achat des ménages, garantir le confort des occupants ainsi que valoriser son patrimoine immobilier.Découvrez l’intégralité des saisons sur la chaîne YouTube Schöck France.
Il y a 2 ans et 129 jours

Crise historique du logement neuf : face à l'urgence, les professionnels réclament un "bouclier logement"

Le marché de la maison neuve en secteur diffus chute violemment de 31,3% en 2022 et même de 38,2% au dernier trimestre (en glissement annuel). Avec 96.000 ventes brutes, il s’agit du pire exercice des seize dernières années. L’habitat individuel groupé s’écroule également de 22,2%, à 6.100 ventes, pire millésime des vingt-deux dernières années. Quant au logement collectif, les ventes aux particuliers se contractent de 14,1% sur 2022 et même de 30,4% au dernier trimestre (en glissement annuel). Avec 96 000 ventes, elles reculent au niveau de 2020, marquée par les confinements dû au Covid-19. Les ventes en bloc en collectif enregistrent pour leur part un nouveau recul de 21% sur 2022. Ainsi, tout segment confondu, 71.000 logements neufs ont été perdus en l’espace d’une année.Pouvoir d’achat immobilier des Français et logement neuf sont victimes d’un cocktail explosif: inflation continue des coûts de construction et des prix du foncier, qui engendrent des prix de sortie intenables, affaiblissement des dispositifs de soutien à l’accession et à l’investissement locatif, et hausse rapide et brutale des taux d’intérêts. Ces ingrédients, cumulés aux contraintes du HSCF, aux limites fixées par les taux d’usure et à la nette contraction de l’offre de prêts immobiliers, ont fait plonger de 19,6% la production de crédits immobiliers aux particuliers pour le neuf en 2022 (-44,6% sur les trois derniers mois en glissement annuel).Face à la gravité de la situation, le Pôle Habitat FFB appelle les établissements de crédit à se remobiliser autour de la production de prêts immobiliers pour les particuliers, et appelle industriels et distributeurs de la construction à plus de transparence et de tempérance dans l’évolution des prix des matériaux. Il appelle également le Gouvernement à instaurer un « bouclier logement » pour soutenir le pouvoir d’achat immobilier des ménages. Celui-ci repose sur 5 piliers : la prolongation du prêt à taux zéro, son rétablissement à 40% sans discrimination territoriale, le rehaussement de 25% des plafonds d’opérations pris en compte pour son calcul, l’instauration d’un crédit d’impôt de 15% sur les cinq premières annuités d’emprunt pour compenser l’impact de la RE2020, ainsi que la restauration du dispositif Pinel dans sa version 2022 jusqu’à la mise en place du statut du bailleur privé.Pour Grégory Monod, Président du Pôle Habitat FFB : « Cette crise aigüe, face à laquelle nos entreprises adhérentes s’adaptent, exige un sursaut et nécessite des réponses urgentes avant qu’elle ne se propage au détriment de l’appareil de production. Il en va de la satisfaction des besoins en logements abordables, qui ne cessent de croître, et de la sauvegarde d’une part importante des emplois de la filière. »
Il y a 2 ans et 129 jours

L'Oréal va acheter de l'électricité photovoltaïque à EDF

"Ces contrats d'achat direct d'électricité d'origine renouvelable portent sur la fourniture pendant 15 ans de la totalité de la production de deux centrales solaires à construire et à exploiter par EDF Renouvelables", a indiqué le groupe EDF dans un communiqué.Ces contrats de fourniture d'électricité à long terme sont désignés par le terme anglais de "corporate PPA" (power purchase agreement).Ils permettront à L'Oréal de "bénéficier d'un prix d'achat maîtrisé sur le long terme", et ainsi d'éviter d'être exposé à la volatilité des prix.Prévues en Corrèze et dans les Vosges, et d'une puissance installée cumulée de 27 mégawatt-crête, ces deux centrales solaires produiront l'équivalent de 25% de la consommation d'électricité du Groupe L'Oréal en France, a précisé EDF.Leurs mises en service sont attendues respectivement d'ici au troisième trimestre 2024 pour la première et au second trimestre 2025 pour la seconde. "La production de nos deux futures centrales solaires viendra s'ajouter à celle d'un autre parc éolien en exploitation qui assure depuis deux ans déjà la fourniture d'électricité pour les sites de L'Oréal", a précisé Alexandre Levy, directeur des PPA en France chez EDF Renouvelables, cité dans le communiqué.Le partenariat est adossé à un contrat de fourniture qui prévoit que le volume d'électricité ferme produite sera cédé par Agregio, filiale d'EDF, au groupe L'Oréal.EDF renouvelle en outre le contrat de fourniture d'électricité du Groupe L'Oréal, en intégrant le volume d'électricité solaire ainsi qu'une couverture complémentaire avec de l'électricité d'origine renouvelable, pour les années 2024 et 2025.Cet engagement "s'inscrit dans la droite ligne de nos engagements pris dans le cadre du programme L'Oréal pour Le Futur afin de consommer durablement une énergie renouvelable pour l'ensemble de nos activités", a commenté Audrey Izard, Directrice achats indirects Groupe L'Oréal."La signature simultanée de ces contrats, de production, d'agrégation et de fourniture, pour construire ce PPA solaire, est une première pour le groupe EDF", selon Stanislas Landry, directeur grands comptes d'EDF.
Il y a 2 ans et 129 jours

Classic Tide, une nouvelle collection de carreaux uniques au design artisanal

Une collection pour des surfaces vivantes et originalesMosa Classics Tide se caractérise par une technique d’émaillage de style artisanal. Bien que le carrelage conserve un cachet moderne grâce à ses bords droits, il est fait comme les carreaux en argile pressés à la main. Ce mouvement subtil offre une variation de nuances du plus clair au plus foncé sur la surface du carrelage, ce qui permet de créer des surfaces vivantes et originales sans répétition au niveau du design.Le carreau de 10 x 20 cm fait de cette série un produit indémodable et incroyablement populaire qui convient bien aux usages dans les espaces publics et le secteur de l’hôtellerie. Comme tout carreau rectangulaire, Classics Tide peut être posé verticalement, horizontalement, en décalé ou en pose linéaire, ainsi qu’en chevron. Cela permet d’apporter de la variation de style sur les murs, pour un style subtil ou plus affirmé. Le bord émaillé ajoute une finition de qualité supérieure. Classics Tide se décline en dix couleurs fines, riches, inspirées du littoral. Leurs appellations expriment leur charme doux mais irrésistible : serene white, fog grey, blue mist, bone, sand, charcoal grey, blush, rust, sage und forest green.Des carreaux de sol complémentaires pour une liberté totale de créationLes carreaux Classics Tide s’accordent bien aux collections de carreaux de sol Mosa, offrant des vagues de possibilités de conception : contraste ou monochrome, chaud ou froid, clair ou foncé, subtil ou saisissant.L’équipe de design chez Mosa a soigneusement sélectionné une série de carreaux de sol complémentaires issus de la collection Mosa Core, assortie à chacune des couleurs Classics Tide afin de faciliter la création d’un look harmonieux. Le concept modulaire mur/sol permet également un raccord parfait des motifs dans les espaces animés.Mosa, une marque engagéeMosa conçoit, développe et produit des carreaux en céramique à Maastricht depuis 1883. La durabilité est la priorité absolue de l’entreprise. À ce titre, elle adhère à la philosophie Cradle to Cradle depuis 2011, qui l’aide à apporter une contribution positive à notre société, notre économie et notre planète. D’ailleurs, Mosa est le premier fabricant de carreaux en céramique au monde à avoir décroché la certification Cradle to Cradle Certified® Gold pour la quasitotalité de ses collections. Développée par le professeur Michael Braungart (EPEA) et l’architecte William McDonough (MBDC), la certification Cradle to Cradle est devenue depuis un concept réputé en matière de durabilité. Le Cradle to Cradle Products Innovation Institute (C2CPII) a été créé en 2011 pour gérer le standard Cradle to Cradle. Basé à San Francisco, l’institut est dirigé par un conseil d’administration indépendant.
Il y a 2 ans et 129 jours

Airwell devient partenaire principal du Stade Français Paris

Une première rencontre (Match Paris/Pau) a lancé officiellement le partenariat en affichant Airwell sur la Pocket droite du maillot des joueurs professionnels du club de la capitale le 31 décembre dernier. Cette collaboration court jusqu’à la fin de la saison 2024-25.L’humain fait la forceLe partenariat entre Airwell et le Stade Français Paris c’est avant tout une rencontre entre Laurent Roegel, PDG du Groupe Airwell et Thomas Lombard, aujourd’hui Directeur Général du Stade Français Paris et ancien joueur international de rugby. C’est autour d’une table ronde que les deux entrepreneurs ont pris connaissance de leurs ambitions communes. Une rencontre sous le signe de l’humain, représentative de ce partenariat. Innovation, esprit d’équipe, dynamisme et convivialité : le Groupe Airwell partage ces valeurs avec le monde du sport de haut niveau. Le partenariat a été signé le 05 décembre par Laurent Roegel et Thomas Lombard.Une visibilité exclusiveCet engagement avec le club s’appuie sur un plan d’action de notoriété de la marque dans le but d’accroitre son rayonnement sur l’ensemble du territoire français avec la mise en place d’opérations promotionnelles, événementielles et par la suite un programme complet d’hospitalité. Grâce à ce partenariat d’envergure, Airwell affichera son logo sur la pocket droite du maillot jusqu’à la saison 2024-25. Airwell dispose également d’une forte visibilité dans l’enceinte du Stade Jean Bouin, notamment sur la panneautique LED et fixe du club. La marque s’appuiera également sur les supports digitaux de communication du Stade Français Paris afin de faire vivre le partenariat en dehors des stades.Un nouveau partenaire engagéAirwell, acteur français des équipements thermiques engagé pour la transition énergétique a choisi le Stade Français Paris pour son premier partenariat sportif afin de représenter leurs valeurs communes, notamment sur la transition écologique et environnementale. Airwell et le Stade Français Paris seront accompagnés par SPORTFIVE sur l’activation de ce partenariat ainsi que la création de synergies entre les communautés du club et de la marque. C’est en effet l’engagement profond pour la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) qui les rassemble. Cette ambition qui s’inscrit sur la durée correspond aux deux piliers communs d’Airwell et du Club, former et innover. Par le biais de ce partenariat, les deux entités souhaitent faire monter en puissance et partager au plus grand nombre leurs engagements.Comme le précise Laurent ROEGEL, PDG du Groupe Airwell : « Les meilleurs partenariats sont souvent ceux qui se font naturellement. La rencontre avec Thomas et l’échange autour des valeurs et des objectifs de nos 2 organisations fut donc une évidence. L’humain avant tout, dans un esprit de conquête et de défis à relever, tout en intégrant et privilégiant l’environnement social, sociétal et territorial dans lesquels nous vivons. Nous sommes donc très heureux et très fiers de débuter ce partenariat et de construire une nouvelle histoire. »Thomas Lombard, Directeur Général du Stade Français Paris ajoute : « Nous sommes fiers de ce partenariat avec Airwell. C’est toujours un plaisir d’accueillir une marque avec qui nous partageons une vision commune des enjeux liés au développement durable et à la protection de l’environnement. Ce partenariat s’inscrit parfaitement dans le déploiement de nos objectifs RSE, et nous permettra de relever ensemble les challenges du monde de demain. »Laurent MORETTI, Directeur général France de SPORTFIVE conclut : « Nous sommes très heureux d’avoir contribué au rapprochement entre le Stade Français Paris et Airwell et avons hâte de les accompagner dans leurs activations conjointes. Nous sommes d’autant plus fiers d’accompagner Airwell pour ses premiers pas dans le sponsoring sportif. »
Il y a 2 ans et 129 jours

GAP Référencement passe à la vitesse supérieure

Après deux séminaires dans la sympathique station balnéaire du Grau du Roi, le nouvel objectif fût de trouver un lieu plus grand, croissance oblige.Ce sont donc les 18 et 19 janvier 2023 dans "la ville aux arènes" de Nîmes que les 80 personnes ont déposé leurs envies et leurs valises pour deux jours d’un séminaire riche en rencontres et en conseils.Un séminaire à l’esprit « collaboratif »Cette convention de deux jours était placée sous le signe de la rencontre, des échanges sur les différents services clés du réseau GAP RÉFÉRENCEMENT et de la convivialité.Ce séminaire fut d’abord humain avec la présentation des nouveaux adhérents. Un moment un peu plus long que prévu, au regard de leur nombre important, mais aussi de la richesse des échanges. Si nous défendons des valeurs communautaires et identitaires, nous ne manquons jamais une occasion de le prouver. Ainsi, chaque nouveau membre dispose d’un temps pour se présenter au travers son histoire, de ses attentes et de ses objectifs. Un moyen de briser la glace, mais également de comprendre les besoins de l’adhérent dans le but de bénéficier de l’entraide de ses nouveaux équipiers.Il fut ensuite technique avec l’intervention de différents animateurs du réseau, chacun dans son domaine de prédilection. L’objectif étant d’apporter aux adhérents des conseils et des méthodes actionnables dès le retour dans leur entreprise.De bonnes pratiques pour mieux gérer son équipe, son entrepôt, ses clients ou encore mieux communiquer en local. Autant d’actions à mettre en place de manière simple et pragmatique pour devenir plus performant et rentable.La surprise Michael Aguilar, en guest-starC’est bien connu, chez GAP RÉFÉRENCEMENT, on aime la différence.Et si on devait décrire le réseau par un seul mot, le terme "différent" viendrait instantanément à l’esprit de nos adhérents ou des professionnels du secteur.Proposer des approches différentes dans le management des entreprises est un des fondamentaux du réseau. C’est donc en toute logique que Jordan Khalifa a sollicité Michael Aguilar (conférencier au 350K abonnés sur LinkedIn) pour venir à la rencontre des dirigeants avec comme thématique principal "Faisez la différence".Oui, vous avez bien lu, "Faisez la différence". Il n’y a là aucune faute, juste de la pure vérité dans la manière d’anticiper, d’agir, de vivre, de changer son mode de fonctionnement, de diriger pour ne pas devenir meilleur… Mais être LE meilleur.Une intervention remarquée et remarquable, saluée par les 80 personnes. Leur écoute plus que studieuse et les sourires figés sur leurs visages pendant la conférence ont témoigné du bon moment passé.Une expérience unique et sympathique qui a fait la différence, merci Michael Aguilar.Un nouveau "GAP dating" professionnelFort du succès du premier "GAP dating" de septembre 2022, nous avons renouvelé l’expérience en adaptant la formule. Cette fois-ci, les fournisseurs ont été remplacés par des professionnels de la formation, de l’informatique, du management, de la communication, du recrutement, des achats, … et autres fonctions supports d’une société.Avec 10 ateliers, les groupes d’adhérents ont pu balayer différents sujets de la vie d’entreprise dans le but de poser des questions concrètes pour obtenir les réponses adaptées à leurs situations.Un nouveau moment d’échanges bienvenu où chacun s’est senti libre d’exprimer ses difficultés du quotidien en repartant avec des solutions à mettre en œuvre. Les résultats seront évoqués au prochain séminaire.Les achats au cœur du réseauEnfin, cette convention s’est terminée sur un point stratégique, les achats. C’est le sujet que tout le monde attend. Avec plus de 30M€ négociés en 2022, GAP RÉFÉRENCEMENT est devenu, en l’espace de 2 ans, un réseau respecté et très ambitieux au vu de son développement, surtout avec les 50 à 60M€ en prévision pour 2023.Si nous avons parlé de prix et de BFA (Bonus de Fin d'Année), nous avons également parlé de relations fournisseurs avec les adhérents. Délai de livraison, qualité produit, service SAV, suivi commercial, … l’échange sur les achats a aussi été le moment de prendre la même direction, voire la même décision.Fidèle au dicton "seul, on va plus vite, ensemble, on va plus loin", la réussite du réseau est sans aucun doute due à son esprit d’équipe. Le sujet des achats démontre une nouvelle fois que chez GAP RÉFÉRENCEMENT, c’est l’unité qui fait la force.Cet évènement à l’image de notre réseau "identitaire et communautaire" a une nouvelle fois marqué les esprits de manière positive. De nos jours, il n’est pas évident de faire déplacer les professionnels alors lorsque vous réussissez à réunir 90% de votre réseau, vous pouvez juste conclure "notre séminaire est utile et apprécié", merci à tous pour votre présence et votre participation.Pour Eric Beyne - Directeur commercial du réseau : On vit un moment fort. De toute ma carrière, je n’ai jamais vu ou connu une telle croissance en si peu de temps. Nous sommes passés de 25 à 50 adhérents en seulement six mois. Si on ajoute que le réseau a seulement trois ans d’existence, on mesure tout le travail et l’énergie que cela demande.On nous pose souvent la question "Comment expliquer cette croissance ?". Je réponds toujours la même chose, par notre différence, tout simplement.Nous essayons de proposer des projets simples, pragmatiques à nos adhérents en défendant en permanence leur identité. Mon équipe travaille tous les jours pour valoriser leur entreprise, les aider à se structurer, s’organiser pour devenir plus fort et plus compétitif. Cette convention a été une nouvelle fois à la hauteur de nos espérances. Imaginez que 90 % de nos adhérents se sont déplacés sur deux jours. Cela montre l’intérêt qu’ils portent aux informations reçues lors de ces moments privilégiés.Enfin, mon plus grand bonheur est de voir les adhérents s’inviter entre eux pour expliquer comment ils s’organisent pour traiter un sujet d’entreprise. Chacun donne son savoir-faire pour recevoir en retour, et ceci vaut tout l’or d’un réseau."
Il y a 2 ans et 129 jours

Des logements évolutifs et transformables signés AIR, livrés à Malakoff

Issu d’un travail de recherche poussé faisant la signature de l’agence, Styléa offre une nouvelle manière d’habiter et de concevoir son logement sur le court et long terme, au fil du temps et de l’évolution des besoins grâce à des appartements facilement transformables du studio au T5 duplex, favorisant en outre le lien intergénérationnel.La structure des logements traditionnels reste bien trop souvent figée sur un modèle des années 50, face à des modes de vies en constante et rapide évolution. Force est de constater que le logement doit désormais pouvoir s’adapter à chaque individualité et parcours, qu’il s’agisse de famille traditionnelle, monoparentale, recomposée, de personnes seules, d’étudiants ou de personne ayant besoin d’un accompagnement.La réflexion des architectes sur la conception de logements évolutifs devient alors primordiale. Pour répondre à un monde mouvant, AIR a conçu un immeuble changeant au gré du temps. Cet immeuble propose des logements capables d’accompagner ses occupants au fil de leur vie, avec ses grandes nouvelles et ses aléas.Un esthétisme ancré dans son environnementNiché dans une rue pavillonnaire de Malakoff, le design de Styléa s’inspire des maisons avoisinantes. L’immeuble garde des lignes épurées dans les angles et conserve le gabarit des maisons qui l’entourent. Aux étages supérieurs, des petites maisons surplombent le toit, comme pour communiquer avec les immeubles plus lointains. Des couleurs claires ont été choisies afin de se marier avec le ciel et offrir une vue apaisée.L’immeuble a été conçu de cette manière afin de lui conférer une double communication : d’une part avec son voisinage direct et les maisons alentours mais également avec les quartiers lointains plus en hauteur d’autre part.Des intérieurs modulables selon les parcours de vieDès la phase de réflexion, les logements ont été pensés pour pouvoir s’adapter aux besoins changeants de ses habitants. Leurs combinaisons permettent de moduler un T4 en T5 ou en T4 et studios, grâce à une répartition particulière des appartements dans les étages et le positionnement de murs ou escaliers fusibles aux endroits stratégiques.Les deux premiers étages de l’immeuble sont modulables verticalement. Un appartement deux pièces peut alors se connecter à un studio à l’étage par l’ajout d’une trémie d’escalier fusible pour devenir quatre pièces en duplex. Un deuxième studio peut être connecté à l’appartement pour en faire un grand cinq pièces de 118 m².Le dispositif de modularité s’applique également aux étages suivants, qui seront eux transformables horizontalement. Ainsi, deux appartements deux pièces se trouvant côte à côte peuvent devenir un quatre pièces traversant.D’autres dispositifs sont possibles, permettant aux logements de fusionner et de redevenir indépendants selon les besoins et envies.
Il y a 2 ans et 129 jours

Dans les bidonvilles de Mayotte, la résistance s'organise contre les bulldozers de la préfecture

"On nous traite comme des animaux", clame Nadjima. Depuis la fin d'année 2022 et l'annonce par la mairie de Koungou (au nord-est de Grande-Terre) et la préfecture de Mayotte de leur intention de détruire le quartier dit "Talus 2", c'est désormais le leitmotiv des quelques 500 habitants du site. "Ils veulent détruire nos maisons mais c'est aussi nos vies qu'ils détruisent", reprend la mère de famille, installée sur ce flanc de rocher depuis une vingtaine d'années, et qui comme tous les habitants préfère être appelée par son nom usuel que donner son nom de famille officiel.Tous sont installés à Majikavo depuis au moins 20 ans. Les plus anciens, à l'image de Daoud, bacoco (papy en shimaoré) toujours coiffé de son koffiah se sont établis sur ce terrain il y a 32 ans. "Tous mes enfants sont nés ici", explique-t-il, embarrassé par un français approximatif. A ses côtés, une jeune femme tient son bébé fermement. Lui aussi est né ici, comme elle avant lui.Qu'ils soient Mahorais ou Comoriens en situation régulière avec des enfants français, Daoud, Fatima, Nadjima ou encore Mohamed ont une histoire commune : ils se sont installés très pauvres sur ce terrain alors déserté, y ont construit leurs "bangas" habitations de bois et de tôles ondulées, puis leurs vies : éleveur de canards, petit restaurateur, électricien ou transitaire."C'est cela qui nous a permis de sortir de la misère, aujourd'hui, plusieurs de nos enfants sont en métropole pour faire leurs études, on s'est battu pour ça", expliquent fièrement Mohammed et Fatima.Bataille juridiquePlusieurs familles ont décidé de contester la décision de la préfecture, représentées par l'avocate Marjane Ghaem, laquelle dénonce "des manœuvres systématiques visant à détruire à tout prix au mépris de la loi". Ils attendent la décision du juge administratif.Pour justifier le "décasage", la Préfecture met en avant l'insalubrité des logements, la dangerosité du site, la présence d'étrangers en situation irrégulière et de jeunes délinquants.Autant d'éléments contestés par les habitants, qui ne paient aucun loyer. "Depuis 30 ans que nous sommes ici, nous faisons toutes les démarches pour que notre situation soit régularisée auprès du Département et de la mairie. On nous a raccordés en eau et en électricité, on nous a fourni des adresses et maintenant on nous dit que l'on doit dégager", s'insurge Fatima.En attestent nombre de documents administratifs, ainsi que les boîtes aux lettres et les compteurs installés tant bien que mal sur le terrain rocheux. Une minéralité qui conduit les différents services administratifs à désormais considérer le site comme dangereux, tout en justifiant la destruction du quartier pour construire à nouveau. "S'ils disent qu'il y a des étrangers et des délinquants, qu'ils viennent voir. Ici on est tous mélangés, il y a de toutes les origines mais aussi beaucoup de Mahorais. Et on élève bien nos enfants", conteste Nadjima.Selon la loi Elan, la préfecture a obligation de proposer "des logements adaptés" aux habitants dont les maisons ont été détruites. Mais les services sociaux n'ont jamais donné la localisation et la durée des relogements proposés."On ne peut pas accepter sans savoir où on va ni combien de temps, si l'on part de ce quartier on perd tout et les enfants vont être déscolarisés, c'est dramatique", poursuit Nadjima. "Ils disent qu'ils vont reconstruire après et que l'on sera prioritaires, mais on n'a aucune garantie, d'abord on construit, ensuite on détruit, c'est comme cela que ça doit se passer. S'ils avaient proposé ça, on aurait tout de suite accepté", explique-t-elle.Une question de dignitéC'est d'ailleurs de cette manière que s'est déroulé le relogement dans des maisons relativement confortables de leurs voisins. Reste que cette opération, datant de plusieurs années, ne s'était pas opérée sur le fondement de la loi Elan. Depuis sa mise en application sur le territoire, près de 9.000 personnes ont vu leur maison détruite, sans qu'il soit possible de retrouver trace d'habitants relogés de manière pérenne.Selon la préfecture, il y aurait bien une offre de relogement ferme. A quelques centaines de mètre du bidonville se trouvent en effet des préfabriqués empilés: un espace sanitaire pour les femmes, un autre pour les hommes, une cuisine commune impraticable. Cinq familles devraient y être accueillies, contre loyer, sans pouvoir y apporter leurs affaires personnelles."C'est ça la dignité ? Comment ils peuvent croire que l'on voudrait habiter dans ces containers", dénoncent en chœur les habitants sur une placette du bidonville. "Ils disent que nos logements sont indignes et on nous propose ça, payant en plus, c'est vraiment du mépris", poursuit Mohamed. J'espère que la justice, elle, voudra bien nous écouter. Au minimum, on voudrait du respect."
Il y a 2 ans et 129 jours

Centre de Formations Sika - Pose de membranes synthétiques Sikaplan et Sarnafil

Pour obtenir l'agrément, 2 écoles de pose sont à votre disposition au Bourget (93) et Margueritte (30). Notre service formation est certifié Qualiopi.
Il y a 2 ans et 129 jours

La décentralisation des politiques de l’habitat et la rénovation énergétique au cœur des propositions de la FOPH

Deux mois et demi après le lancement du CNR Logement, ouvert le 28 novembre 2022, l'heure est aux propositions concrètes. La FOPH, qui a pris part aux trois groupes de travail (« Redonner aux Français du pouvoir d’habiter », « Réconcilier les Français avec l’acte de construire », et « Le logement à l’avant-garde de la transition énergétique ») a mis à profit cette grande consultation pour attirer l’attention sur deux sujets cruciaux : la décentralisation des politiques de l’habitat, et la rénovation énergétique.Pour animer cette visioconférence de presse, Marcel Rogemont, président de la Fédération, membre du groupe 2, était accompagné d’Isabelle Rueff, directrice générale d’Alpes Isère Habitat, et d’Anne Voituriez, présidente de Lille Métropole Habitat, vice présidente de la Métropole Européenne de Lille, toutes deux également impliquées dans ces ateliers.Propositions sur la décentralisation des politiques du logementFinancer l’Autorité organisatrice de l’habitat (AOH)Dans le cadre de la loi 3DS, en 2022, la FOPH a promu l’idée de l’Autorité organisatrice de l’habitat comme outil de décentralisation des politiques du logement. La Fédération plaide pour que soit dédié à l’AOH un financement propre, à l’instar de l’autorité organisatrice de la mobilité et son versement transport.Pour Marcel Rogemont : « La FOPH a lancé une étude avec le cabinet 1630 Conseil sur la question d’une participation de la PEEC (1,6 Md€ de collecte par an) pour financer ces AOH. Cette proposition financière ne coûte pas un euro de plus, elle vise seulement à flécher différemment et plus efficacement les flux financiers. »Consulter l’étudeFusionner le PLH et le PLU pour plus d’efficacité des politiques de l’habitatLa FOPH propose de fusionner le programme local de l’habitat (PLH), document de programmation, et le plan local d’urbanisme (PLU), qui accorde les droits à construire, afin d’assurer une vraie cohérence entre ces documents.Pour Anne Voituriez : « Cette fusion donnerait davantage de liberté aux élus, qui sont les acteurs de l’urbanisme, et favoriserait une meilleure efficacité des politiques de l’habitat. Elle est déjà autorisée par les textes mais n’est pas obligatoire, et de ce fait, encore rarement mise en pratique. »Propositions sur le rôle des organismes HLM dans la transition énergétiqueMaPrimeRénov’ HLM pour accélérer les réhabilitations performantes du parc socialPour pouvoir accélérer les réhabilitations, de la même manière que le secteur privé est aidé dans ses rénovations, la FOPH propose MaPrimeRénov’HLM.Pour Marcel Rogemont : « En 2022, 3,4 Mds€ ont été dépensés pour MaPrimeRénov’ ; sachant que les HLM représentent 17% des résidences principales, nous demandons que 17% de ces 3,4 Mds nous soient versés. »Les bailleurs sociaux au service des collectivités et des élus pour répondre aux besoins des territoiresLa FOPH propose de reconnaître que les bailleurs sociaux, qui sont au service des collectivités et des élus, peuvent répondre aux besoins des territoires au-delà de la simple question du logement, et jouer un rôle majeur en matière de conseil, d’aménagement, d’expertise, de développement de services et de diversification (maisons de santé, accession à la propriété, opérations mixtes, aménagement, habitats seniors, etc.).Mettre le savoir-faire des bailleurs sociaux à disposition du parc privé pour massifier la rénovation thermique et atteindre les objectifs 2050La Fédération propose d’impulser des orientations législatives pour permettre aux bailleurs sociaux d’intervenir pour le compte de tout syndicat de copropriétaires dans la réalisation des travaux de rénovations énergétiques, et en tant que tiers financeur. Pour Isabelle Rueff : « Les organismes de logement social ont un savoir-faire et un niveau de performance énergétique très supérieur à celui du parc privé. »Ajouter les établissements publics locaux à la liste des opérateurs pouvant être Accompagnateur RénovMon Accompagnateur Rénov' est un tiers de confiance, pour un particulier, qui permet de réaliser, en confiance, son projet de rénovation énergétique performante ou globale.Développer davantage les Contrats de Performance ÉnergétiquePour Isabelle Rueff : « Cet outil s’avère efficace et permet de fiabiliser les économies d’énergie et de carbone. »Dans le courant du mois de mars, chaque groupe de travail devra sélectionner et présenter 10 propositions, qui seront adressées au cabinet du ministre délégué au Logement, Olivier Klein.
Il y a 2 ans et 130 jours

Baromètre risques pays et sectoriels au 4e trimestre 2022 : d'un excès de pessimisme à un excès d'optimisme ?

Enfin, la perspective d’un rebond de l’activité en Chine au 2eme semestre, même très incertain, nourrit également des espoirs pour l’économie mondiale. Il n’en fallait pas plus pour que les marchés financiers s’emballent, rassurés par l’éloignement, pour un temps, du scénario du pire.Il ne s’agit toutefois pas de céder à un excès de complaisance. Les défis auxquels était confrontée l’économie mondiale l’an dernier restent d’actualité et la crise actuelle, multidimensionnelle, n’est pas près de se refermer : fragmentation géopolitique, crise énergétique, changement climatique, risques épidémiques… La transformation du monde s’accélère et sécrète des risques susceptibles de faire dérailler les scénarios « centraux ».Dans ce contexte, les évaluations de risque de Coface n’ont que peu évolué avec 5 modifications pour les risques pays et 16 changements pour les risques sectoriels. En termes nets, la tendance reste aux déclassements.La récession s’éloigne, la stagflation se précise2022 s’est achevée sur une bonne note sur le plan économique. La douceur des températures et les réserves de gaz conséquentes ont permis d’éloigner le spectre d’un rationnement pour l’Europe cet hiver et les économies européennes devraient ainsi éviter une contraction forte de l’activité. Cela a conduit Coface à garder inchangée sa prévision de croissance mondiale pour 2023, à 1,9%. Notre scénario de stagflation dans les économies avancées et de résilience globale des pays émergents se voit également confirmé.Cette continuité se traduit dans nos évaluations de risques : seuls 3 pays et 10 secteurs sont déclassés ce trimestre, après 95 en juin 2022 et plus de 50 en octobre 2022. Dans le même temps, Coface a également procédé au reclassement des évaluations de l’Inde et du Burundi, et de six évaluations sectorielles, principalement dans l’industrie automobile grâce à la résorption progressive des tensions sur les chaînes d’approvisionnement.Vers un recul (mécanique) de l’inflation au premier semestre 2023Alors que l’envolée des cours de l’énergie avait été à l’origine de l’emballement des prix à la consommation dans les économies avancées, leur modération a entraîné un recul mécanique de l’inflation fin 2022. L’inflation semble ainsi avoir passé son pic en zone euro. C’est aussi le cas aux Etats-Unis, où elle s’établit à 6,5% en décembre après un pic à 9,1%. Au-delà de la modération des cours des matières premières, la baisse de l’inflation, s’explique aussi par la chute de la contribution des biens. Le ralentissement de l’inflation, devrait se poursuivre au 1er semestre 2023 par le simple jeu des effets de base, dans la mesure où les cours des matières premières resteront inférieurs aux niveaux enregistrés un an auparavant.Dans ce contexte de résistance relative de l’activité, les marchés du travail continuent de faire preuve de résilience, avec des niveaux de chômage toujours historiquement bas. Le taux de chômage a même continué de reculer fin 2022 en zone euro, tandis qu’il reste à son plus faible niveau depuis plus de 50 ans aux Etats-Unis (3,5%), et n’a remonté que légèrement (de 3,5% à 3,7%) au Royaume-Uni. Cette résilience pourrait se poursuivre au 1er semestre : ayant fait face à des difficultés de recrutement élevées en 2022, les entreprises pourraient être tentées de retenir leurs salariés malgré une demande atone.Des risques toujours bien présents pour l’économie mondialeLes perspectives pour l’économie mondiale restent sombres pour 2023, dans un environnement qui demeure aussi risqué qu’incertain. La principale source d’inquiétude concerne la trajectoire d’inflation. Si un mouvement de désinflation semble enclenché, la question cruciale de son atterrissage demeure. Le scénario d’un retour à l’objectif de 2% fixé par les banques centrales des pays avancés n’est pas complètement enterré mais la possibilité de voir l’inflation se stabiliser à un niveau plus élevé se dessine à l’horizon. La désinflation attendue en 1ere partie d’année pourrait s’interrompre avant d’avoir atteint les niveaux visés par les autorités monétaires, mais un regain d’inflation au 2eme semestre n’est pas à exclure.La reprise en Chine est également source d’incertitude. L’assouplissement des restrictions contre la COVID-19 dans le pays devrait se traduire par une reprise de la consommation chinoise. Mais la réouverture soudaine s’étant accompagnée d’une flambée des contaminations, la reprise devrait être graduelle. La normalisation de l’activité pourrait ainsi débuter à la fin du 1er trimestre 2023 et un rétablissement plus ferme devrait intervenir au 2eme semestre, créant les conditions parfaites pour une nouvelle tempête sur le front énergétique et, partant, sur l’inflation.Les reclassements sectoriels de retourNos évaluations sectorielles évoluent peu comparées aux derniers baromètres. Les déclassements sont ainsi moins nombreux mais nous avons également décidé d’opérer quelques reclassements qui reflètent l’amélioration relative du scénario économique. Ces reclassements sont à chercher du côté du secteur automobile au Moyen Orient, zone où la demande reste solide. En Inde, l’amélioration de la situation économique du pays a conduit au reclassement de l’évaluation risque-pays.Certaines entreprises de secteurs jusqu’ici considérés comme résilients – les TIC et le secteur pharmaceutique – rencontrent par ailleurs des difficultés. Les entreprises pharmaceutiques en Europe voient certains problèmes structurels s’accentuer du fait, pour partie, des tensions croissantes sur les finances publiques des Etats. Les entreprises des TIC sont « rattrapées » par la conjoncture économique mondiale et restent au cœur des tensions commerciales entre Chine et Etats-Unis.Enfin, l’Europe de l’Ouest est une fois encore la région qui enregistre le plus grand nombre de déclassements sectoriels (5 sur les 11 au total). Si les perspectives de court terme ont cessé de s’assombrir, l’heure n’est pas encore venue d’y effectuer des reclassements.Retrouvez ici l’intégralité du baromètre Coface.
Il y a 2 ans et 130 jours

Le casse-tête des locations de passoires thermiques en montagne

"Il n'y aura plus personne (...) 90% des lits de la station sont dans ce cas de figure", alerte Jean Mounicq, maire d'Aragnouet, bourgade des Hautes-Pyrénées dont dépend la plus haute station de ski du massif.Nichés au pied de falaises à près de 2.000 mètres d'altitude, la plupart des logements du site relèvent des catégories F ou G au diagnostic de performance énergétique (DPE), selon une estimation de la société de conseil en rénovation Heero.Si ces appartements énergivores, presque tous des meublés touristiques, échappent encore à l'interdiction locative progressive instaurée par la loi Climat, ils y seront bientôt soumis, a annoncé en octobre Olivier Klein, ministre délégué à la ville et au logement, sur BFM Business. "Il faut qu'on travaille pour que ce soit les mêmes règles", a-t-il estimé.L'échéance exacte est encore incertaine, mais fait grincer des dents collectivités et professionnels du tourisme, déjà impactés par la raréfaction de la neige et la flambée des coûts de l'énergie.Boom des années 1970-80Construits dans les années 1970-1980 les logements de Piau Engaly, ensembles semi-circulaires de quatre ou cinq étages, se fondent dans le paysage escarpé de la station, bordée par le parc naturel des Pyrénées et la réserve du Néouvielle."Quand vous êtes sur les pistes, vous ne voyez pas les bâtiments", sourit le maire d'Aragnouet, en regardant les skieurs dévaler les pistes, sous le soleil.Ici comme dans la plupart des stations de ski françaises, la problématique énergétique est omniprésente, selon une étude de la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim) publiée en janvier.Elle montre que "la part des logements énergivores (étiquettes F ou G) est beaucoup plus importante dans les communes stations de ski (38%) que dans l'ensemble des communes métropolitaines (21%)".Cette prévalence s'explique par l'impact des faibles températures extérieures, et par la mauvaise qualité de construction de ces logements à vocation touristique, massivement bâtis dans les années 1970-80, en plein essor du ski."A l'époque, en trois ou six mois, on sortait un immeuble. Maintenant, il nous faut trois ans, relève le maire. Alors bien sûr, il n'y avait pas les mêmes normes.""Ces résidences ont été construites comme toutes celles de l'époque, elles ne sont pas forcément mal faites", explique Thibaut Vergé, gestionnaire de copropriétés. Mais "ici, il tombe en moyenne quatre mètres de neige par an", pointe-t-il, ce qui plombe leur performance énergétique.Délais intenablesSelon la Fnaim, "plus des 3/4 des logements dans les communes stations de ski" pourraient être interdits à la location d'ici 2034, en fonction de leur catégorie DPE. A Piau, le problème pourrait se poser dès 2025 pour les moins bien classés.Leur interdiction à la location menacerait la survie de la station car, mis à part deux résidences, ils datent tous d'avant les années 1980, selon le maire.Le site étant "assez reculé, en fond de chaîne", l'accès n'y est pas facile et la clientèle vient "de loin", principalement de la côte Atlantique et loge donc sur place et dans les environs, précise le gestionnaire de la station, Colin Dorignac.Or "Piau est une station qui a de l'avenir en terme de potentiel neige. Donc c'est primordial pour nous d'engager des travaux de rénovation", ajoute-t-il.Si certains propriétaires les ont déjà initiés, d'autres "n'ont pas changé, on a encore des radiateurs grille-pain", admet Jean Mounicq, qui a écrit en février à l'ensemble des co-propriétaires pour leur faire part des interdictions à venir."Je suis de ceux qui pensent qu'il faut qu'on le fasse (...) mais on ne peut pas tout d'un coup décider qu'à telle date, dans trois ans tout doit être fait, sinon vous ne pourrez plus louer", tonne-t-il.Selon Loïc Cantin, président de la Fnaim, une telle mesure doit être accompagnée. "Il faut un traitement égalitaire", estime-t-il, regrettant la non éligibilité aux aides des propriétaires de meublés touristiques. "S'il n'y a pas d'aides majeures, déplore le maire, ce sera financièrement impossible !"
Il y a 2 ans et 130 jours

Tension locative : les locataires prêts à dépenser encore plus pour vivre à Paris

Crise sanitaire, sobriété énergétique et prix de l’essence qui s’envole, le quotidien des Français a été drastiquement chamboulé ces dernières années, et tout particulièrement en 2022. Les locataires parisiens prêts à allouer une part encore plus grande dans leur budget pour se logerLa part du loyer dans le budget des Parisiens est déjà très haute : 6 points de plus à Paris VS hors de l’Ile-de-France. Néanmoins les locataires seraient prêts à allouer une part encore plus importante pour vivre à Paris. En moyenne la part du budget que seraient prêt à allouer les locataires est de 39,26%. La part du loyer dans le budget des Parisiens ne semble donc pas être prête de diminuer.Pour Mathieu Giard, porte-parole de Flatlooker : « Ces chiffres montrent la forte tension locative qui persiste à Paris et traduisent une réelle difficulté à se loger dans la capitale. »Le loyer pèse (légèrement) plus en 2022 qu’en 2021 dans le budget des ménages parisiensEntre 2021 et 2022, le loyer est passé de 34,52% à 34,63% dans le budget des ménages parisiens, soit une hausse de 0,11 points. Une mauvaise nouvelle pour les locataires dont la plupart des charges ont augmenté.Pour Mathieu Giard, porte-parole de Flatlooker : « Dans un contexte de forte inflation et d’une raréfaction des logements en location, cette hausse modérée laisse penser que l’encadrement des loyers ou le plafonnement de l’IRL ont eu un impact positif sur le budget des ménages. »[1] Évolution du loyer dans le budget des ménages parisiens : étude menée sur plus de 1.500 locataires à Paris.Différence entre la part de loyer pour les locataires et les candidats : étude menée sur plus de 14.000 candidats locataires à Paris.
Il y a 2 ans et 130 jours

Développement durable Rehau

Il y a 2 ans et 130 jours

L'agence mobile architectural office livre un immeuble en structure bois à Paris 10ᵉ, pour le compte de la RIVP

En grande partie occupée par un important ensemble de type HBM, aux façades de brique soignées et l’opération autour de la place Raoul Follereau, un imposant complexe d’habitations, construit au début des années 1980 et marqué par une réinterprétation du langage classique, pouvant être qualifié de postmoderne.Un projet contextuelLe bâtiment s’implante à l’angle des rues Robert Blache et du Terrage.L'agence a souhaité réinterpréter les codes de l’architecture faubourienne en présence dans la rue Robert Blache : une volumétrie compacte entre cour et rue, une façade ordonnée par des ouvertures verticales régulières, une modénature discrète, simple expression des choix constructifs du bâtiment.À rez-de-chaussée sur la rue Robert Blache, l'agence a créer une forte animation en offrant un maximum de linéaire de commerce. L’accès aux logements se fait, quant à lui, au travers d’un hall lumineux et traversant donnant sur la rue du Terrage. Dans les étages, l’ensemble des logements sont doubles ou triple orientés et possède de larges fenêtres offrant un maximum de lumière aux habitants.Sur rue, le bâtiment se pare d’une peau métallique nervurée blanc mate. Les menuiseries sont en bois, teintes naturelles et les garde-corps en verre, offrant luminosité et intimité aux logements. Sur cour, la façade se pare d’un bardage bois, teinte naturelle.Un projet écologique en boisLe bâtiment développe un principe structurel basé sur la préfabrication bois, avec des façades et des planchers massifs (provenance Pays basque). Ce principe a permis de développer un chantier très bas carbone et le montage de la structure sur 5 niveaux en 10 jours. Des panneaux de bois lamellé-croisé placés en façades et refends soutiennent des planchers en panneaux de bois lamellé-croisé. La structure se vit jusque dans l’intérieur des logements avec certains éléments structurels apparents. L’isolation de l’ensemble du bâtiment est assurée par une fibre de bois. Le sol est quant à lui en fibres végétales (linoléum) ou en carrelage (circulations communes et pièces humides). Afin de faciliter les grandes portées au niveau du local commercial et le rapport au sol, la structure du rez-de-chaussée est en béton.Un projet à faible chargeLe programme développe 6 logements dont deux triplex au R+3-4-5. Cette configuration a permis de desservir le bâtiment de 5 étages uniquement au travers d’un escalier et de paliers extérieurs, limitant ainsi les charges d’un éventuel ascenseur. L’ensemble de la technique est géré par logement (VMC et chaudière individuelle) dans une enveloppe à très forte résistance thermique. Les eaux de pluies sont récupérées en toiture (R+5 en zinc) et alimentent la jardinière plantée au-dessus du local vélo et l’espace végétalisé du RDC. Un système de récupération dans la cuve alimente les robinets des parties communes (entretien, arrosage) et l’ensemble des sanitaires.
Il y a 2 ans et 130 jours

Nouveau SMP-300 de Griffon, un revêtement élastique étanche à l'eau et à l'air

Étanche à l’eau et à l’air, ce nouveau revêtement peut être appliqué sur des surfaces humides, ce qui permet aux professionnels de poursuivre les travaux quelles que soient les conditions météorologiques et augmenter ainsi leur productivité sur les chantiers.Doté d’une excellente adhérence sur la plupart des matériaux, le nouveau revêtement SMP-300 Griffon s’applique sans primaire pour réaliser de multiples travaux d’étanchéité, de protection et de réparation des toitures, des cloisons, des murs, des sols, des cadres de portes ou de fenêtres, des fissures... Il convient également pour l’étanchéité sous carrelage dans les pièces humides et les piscines. Résistant aux intempéries, aux UV, au chlore et à l’eau salée, il se nivelle automatiquement, ne se contracte pas et peut être enduit et peint.SMP-300 GriffonDes constructions étanches à l’air et à l’eauBénéficiant des dernières avancées techniques Griffon, le SMP-300 se caractérise par de hautes qualités d’usage qui faciliteront la réalisation de l’étanchéité de tous types de matériaux : le béton, le métal, la pierre, le bois, le bitume, le zinc, le PVC et l’EPDM.100 % résistant à l’eau, à l’air, aux intempéries et aux UV, ce revêtement polyvalent auto-lissant, qui ne se contracte pas, assure l’étanchéité et la protection totale des surfaces verticales et horizontales, en extérieur comme en intérieur.Simple d’applicationExempt de bitume, d’isocyanates et de solvants, le revêtement SMP-300 Griffon est sûr et prêt à l’emploi. Il s’applique directement sur la surface au pinceau, au rouleau ou au pistolet*. Seau, pot, cartouche ou éco-poche, plusieurs conditionnements sont proposés pour s’adapter aux besoins spécifiques de chaque chantier. Sa mise en oeuvre facile et rapide (temps de prise 60 minutes, résistant à une pluie légère après 30 minutes, totalement résistant à l’eau après 12 heures) en fait une solution de chantier extrêmement compétitive.Testé et certifiéLa qualité du SMP-300 Griffon a été testée conformément aux normes européennes EN 1026 (perméabilité à l’air des fenêtres et des portes), EN 1027 (étanchéité à l’eau des fenêtres et des bloc-portes) et EN 12114 (perméabilité à l’air des composants ou des parois de bâtiments). Le SMP-300 Griffon s’est vu attribuer la classe premium EMICODE® EC-1 Plus certifiant ses très faibles émissions de COV.
Il y a 2 ans et 130 jours

Altarea acquiert à 100% Woodeum, spécialiste du bois

"Déjà actionnaire de Woodeum à hauteur de 50% du capital depuis juillet 2019, Altarea annonce avoir acquis ce jour le solde du capital de Woodeum auprès de WO2 Holding, et devient ainsi actionnaire unique de la marque leader en France de l'immobilier résidentiel bas carbone en bois massif", indique le groupe dans un communiqué.Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé. En 2019, quand Altarea avait acquis 50% des parts de Woodeum, elle avait déboursé environ 100 millions d'euros.Créé en 2014, Woodeum, promoteur spécialisé dans la construction en bois, emploie 80 personnes et revendique 3.000 logements en développement en France. Très présent en Ile-de-France, il a également livré, en tandem avec Eiffage, la tour Hyperion à Bordeaux.Woodeum bénéficiera de moyens financiers accrus, promet Altarea, qui entend anticiper les prochains seuils de la réglementation environnementale "RE2020" sur la construction neuve.Entrée en vigueur début 2022, cette réglementation favorise les matériaux biosourcés (d'origine animale ou végétale) comme le bois, moins émetteurs de gaz à effet de serre que le béton.Altarea souhaite que Woodeum étende sa présence à l'ensemble du territoire français, et lui fixe un objectif "à terme" de 2.000 logements produits par an, soit "à horizon 2026", a précisé une porte-parole du groupe."Comme pour toutes ses marques, Altarea sera pour Woodeum un véritable incubateur qui lui permettra d'accélérer son développement. Cette opération témoigne de notre ambition de développer un immobilier bas carbone et de répondre ainsi aux attentes des territoires comme des habitants", affirme le directeur général d'Altarea, Jacques Ehrmann, cité dans le communiqué.
Il y a 2 ans et 130 jours

Hirsch Isolation et Kompozite s'allient pour diffuser la donnée carbone individuelle de près de 1.000 isolants

Après avoir été le premier acteur à lancer son configurateur de FDES* pour les isolants en polystyrène expansé (PSE), HIRSCH Isolation va plus loin en s'associant à la start-up Kompozite pour intégrer ses gammes de produits à la plateforme d'aide à la décision pour la conception de bâtiments bas-carbone.À partir des données des FDES, la plateforme Kompozite propose en effet une matériauthèque, agrémentée des données dynamiques imposées par la RE2020, pour comparer et calculer les indicateurs de performances des matériaux, et permettre ainsi d'avoir un impact environnemental global de construction du bâtiment.“Nous avons voulu aller plus loin encore que notre configurateur FDES en rendant entièrement accessible l'ensemble de nos données carbone dans la plateforme en ligne Kompozite” commente Amaury Omnès, dirigeant de HIRSCH Isolation. ‘'Les impacts carbone de nos produits ne sont plus seulement consultables, mais directement configurables dans le cadre d'un projet pour obtenir immédiatement l'impact RE2020. C'est un vrai exercice de transparence pour nous et un coup de pouce pour nos clients et prescripteurs afin qu'ils utilisent plus facilement nos données. Kompozite affiche et garantit le calcul réglementaire des produits”.Pour Damien Cuny, fondateur de Kompozite, “c'est une grande première pour un industriel d'afficher aussi ouvertement des données environnementales individuelles pour l'ensemble de sa gamme, proposant ainsi jusqu'à 1 000 configurations différentes. Nous sommes très heureux qu'HIRSCH Isolation ait choisi notre matériauthèque en ligne pour accompagner ses clients”. Start-up française Incubée par le CSTB Lab et Station F, Kompozite a été créée en 2020 : “notre ambition est d'accélérer la transition environnementale dans le secteur de la construction, et nous travaillons au quotidien à diffuser une donnée la plus complète possible, traçable et vérifiée pour des dizaines de milliers de produits. De plus en plus d'industriels collaborent avec nous, en toute transparence et sans frais. Nous leur demandons simplement de garantir la traçabilité et l'opposabilité des données pour que nos utilisateurs puissent s'en servir en toute confiance."* Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire
Il y a 2 ans et 130 jours

Séisme en Turquie : Erdogan promet de reconstruire 200.000 logements

"Aucun des immeubles ne fera plus de trois ou quatre étages", a déclaré M. Erdogan depuis la province d'Hatay (sud), la plus affectée par le tremblement de terre d'une magnitude 7.8 qui a fait plus de 41.000 morts en Turquie et détruit ou gravement endommagé plus de 118.000 bâtiments."Tous les bâtiments seront reconstruits de zéro (...) sur des sols solides et selon les bonnes pratiques", a insisté le chef de l'Etat, précisant que la construction de ces logements débutera en mars.Ces logements seront bâtis à distance des lignes de faille, "plus proches des montagnes, pour se protéger des problèmes émanant des sols mous", a-t-il dit encore."Nous construirons des nouveaux Antakya, Iskenderun et Arsuz. Nous les reconstruirons de zéro", a lancé M. Erdogan, citant trois villes de la province d'Hatay."Nous commencerons à transférer nos citoyens vivant dans des villes de tentes et de conteneurs vers leurs [nouveaux] logements d'ici un an", a promis le président turc, qui s'exprimait pour la première fois en public depuis six jours.Cent-trente mille des logements annoncés seront construits dans les provinces d'Hatay, de Kahramanmaras et de Malatya, les plus affectées des onze provinces touchées par le séisme.Les mosquées et autres lieux de culte seront également reconstruits, a assuré M. Erdogan.Le président, qui a indiqué que plus de 114.800 personnes ont été sauvées des décombres, a précisé que les banques publiques allaient effacer les dettes des personnes mortes dane le séisme.Au total, "les besoins en abri de 1,69 million de personnes ont été satisfaits", a indiqué le président turc, qui a ajouté que quelque 375.000 sinistrés ont été évacuées des provinces affectées vers d'autres villes du pays, dont les trois quarts par avion.