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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Batinfo

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Il y a 2 ans et 155 jours

Contrôle de la chaudière : le contrôle du thermostat désormais obligatoire

Cette disposition "concerne toutes les chaudières qu'elles soient individuelles, collectives ou d'entreprise, et quelle que soit l'énergie utilisée", précise le ministère de la Transition écologique dont le texte paru vendredi complète quatre arrêtés existants.Cela concerne aussi les pompes à chaleur et les systèmes de climatisation.Le professionnel chargé du contrôle doit "vérifier s'il y a un thermostat ou pas, s'il fonctionne bien ou pas, et voir par ailleurs si les réseaux de chaleur ou de froid sont bien isolées", selon la même source.Un matériel de chauffage mal entretenu ou pas révisé dans son intégralité entraîne des surconsommation qui peuvent être importantes, de l'ordre de 8% à 12%, selon le ministère.A titre d'exemple, un bon entretien de la chaudière et l'installation d'un système de régulation pilotable et automatisé, un ensemble de bureaux de 1.000 m2 peut réaliser jusqu'à 20% de baisse de consommation et 5.000 euros d'économies, selon un cas présenté le 6 octobre quand le gouvernement a lancé son plan de sobriété énergétique.L'arrêté du 21 novembre 2022 "relatif au contrôle et à l'entretien des chaudières et des systèmes thermodynamiques" prévoit en outre qu'à terme, les immeubles de bureaux ou "bâtiments tertiaires" devront tous avoir un système de gestion technique des bâtiments, autrement dit un système pilotant automatiquement la ventilation, les températures et l'éclairage.Ce sera obligatoire au 1er janvier 2025 pour les bâtiments ayant un chauffage d'une puissance supérieure à 290 kW, puis dès le seuil de 70 kW au 1er janvier 2027.
Il y a 2 ans et 155 jours

Inquiets face à la hausse des prix de l'énergie, 55% des maires envisagent de jeter l'éponge aux prochaines élections

L'Ifop a mené pour Hellio, en partenariat avec Acteurs Publics, une étude à laquelle 609 maires représentatifs de l'ensemble des collectivités de France ont répondu entre le 20 octobre et le 10 novembre 2022 [1].[1] La représentativité de l'échantillon a été assurée par la méthode des quotas (taille de la commune, région). Les données ont été redressées lors du traitement sur la base des variables suivantes : le sexe, l'âge, la région et la taille de l'unité urbaine de la commune.Une vision morose de l'avenirPour l'Ifop, c'est un résultat jamais vu depuis 20 ans ! 55% des maires n'ont pas l'intention de briguer un nouveau mandat aux prochaines élections municipales de 2026.Dans le contexte actuel, leur moral est en berne. Hausse des prix de l'énergie, surmenage, responsabilités croissantes, indemnités trop faibles, projets à mener avec un budget de fonctionnement réduit, l'ensemble de ces facteurs concordants amplifient la morosité des maires.Une tendance exacerbée dans les communes de 2.000 à 9.999 habitants (59%), où les élus locaux se retrouvent en prise directe avec leurs administrés et doivent gérer des situations de plus en plus conflictuelles.Pour contenir l'hémorragie et éviter de payer le surcoût aux fournisseurs d'énergie, la mutualisation des approvisionnements énergétiques avec d'autres collectivités est l'une des solutions envisagées par un peu plus de la moitié des élus locaux (55%). Hellio précise que c'est déjà le cas pour certaines communes qui se sont associées par le biais des syndicats départementaux d'énergie. Cette majorité est davantage prononcée dans les communes de plus de 10.000 habitants.L'action du Gouvernement pour aider les communes jugée par les mairesLa satisfaction à l'égard de la politique du Gouvernement33% des maires se montrent satisfaits de l'accompagnement du Gouvernement pour lutter contre la hausse des prix. L'État doit intensifier ses efforts pour soutenir les collectivités territoriales, les élus en attendent plus ! Depuis cette étude, les annonces faites viennent apporter quelques réponses mais celles-ci restent insuffisantes au regard des moyens nécessaires pour accélérer la rénovation énergétique des bâtiments publics :Pour Pierre-Marie Perrin, directeur des affaires publiques et juridiques de Hellio : « Signal positif, le Gouvernement vient d'annoncer, depuis la réalisation de cette étude, un engagement de 1,5 milliard d'euros supplémentaires pour la rénovation énergétique au sein des collectivités. Cette mesure a été votée dans le cadre du projet de loi de finances 2023. »L'approbation des mesures et dispositifs financiers annoncésPour réduire les consommations d'énergie et éviter les coupures cet hiver, le Gouvernement a appelé les collectivités à prendre un certain nombre de mesures. Parmi elles, la réalisation de travaux de rénovation énergétique fait l'unanimité auprès de 89% des sondés. Viennent ensuite les actions de sobriété telles que la réduction ou la coupure de l'éclairage public la nuit (84%) et la baisse du chauffage dans les établissements publics (mairie, école, etc.), des décisions pourtant mal perçues par les administrés.Les communes rurales de moins de 2.000 habitants sont un peu moins enclines à baisser le chauffage, laissant apparaître un clivage entre petites (77%) et grandes collectivités (95%). Cet écart s'explique notamment par le fait que la proportion de passoires thermiques dans le patrimoine géré par les communes rurales est globalement plus élevée que sur la moyenne des collectivités. Réduire le chauffage ne fait qu'aggraver la sensation de froid. Pour limiter l'impact de la hausse des prix de l'énergie, plusieurs dispositifs ont été mis en place ou sont envisagés par l'État. Perçu comme indispensable par 29% des maires, le bouclier tarifaire mérite cependant d'être prolongé et intensifié pour une écrasante majorité, de manière uniforme quelle que soit la taille des collectivités. Du côté des financements d'aides à la transition énergétique des bâtiments publics, même son de cloche, avec encore plus d'insatisfaction : 73% des élus estiment qu'ils sont insuffisants. Ce résultat reste cependant à nuancer : l'annonce du budget supplémentaire de 1,5 milliard d'euros, faite après ce sondage, devrait contribuer à rassurer les élus. Seul bémol, cette enveloppe reste largement inférieure aux 100 milliards alloués lors du plan de relance.La mise en place d'un dispositif financier comparable à MaPrimeRénov' remporte une nette adhésion : 90% des maires souhaitent en bénéficier. Bien compris par le grand public depuis la transformation du crédit d'impôt en une prime forfaitaire, ce levier présente également un intérêt pour les collectivités.Les décrets pris pour l'amélioration de la performance énergétique des bâtiments peu connusPhénomène jugé inquiétant par Hellio, 60% des élus locaux interrogés ont indiqué ne pas connaître le décret tertiaire, aussi appelé dispositif Éco Énergie Tertiaire, alors que celui-ci existe pourtant depuis 2019, avec une proportion accentuée chez les élus des communes rurales (75%).Pour rappel, les échéances de réduction des consommations d'énergie sont les suivantes : – 40% d'ici 2030, – 50% d'ici 2040 et – 60% d'ici 2050.Les collectivités ont jusqu'au 31 décembre 2022 pour déclarer les consommations énergétiques de leur parc immobilier tertiaire concerné sur la plateforme OPERAT de l'Ademe. Ce décret arrivera-t-il à atteindre les objectifs définis ? Telle est la question qui peut se poser. Autre échéance réglementaire encore plus largement ignorée par une écrasante majorité (86%) : le décret BACS (pour « Building Automation & Control Systems ») impose de mettre en place un système d'automatisation et de contrôle dans certains bâtiments tertiaires d'ici le 1er janvier 2025.Pour Augustin Bouet, directeur Grands Comptes de Hellio : « Ces résultats laissent apparaître un besoin de formation et un travail de sensibilisation et d'information encore plus accru, notamment auprès des élus des communes de petites tailles. Les collectivités sont pourtant un des publics les plus concernés par ces décrets. »90% des maires inquiets vis-à-vis de la hausse des prix de l'énergieC'est unanime ! Une majorité écrasante des maires (90%) se montrent inquiets face à la hausse des prix de l'énergie (gaz, électricité et carburant) pour leur budget de fonctionnement. Ils sont même 55% à se dire très inquiets. Un sentiment partagé par tous les types de collectivités, qu'elles soient petites ou grandes.En moyenne, la part relative de l'énergie dans le budget de fonctionnement des maires a augmenté de 4 points en un an, passant de 10% en décembre 2021 à 14% en novembre 2022. Mais ce résultat est à pondérer selon Hellio.Pour Augustin Bouet : « Ce n'est que le début, cette hausse devrait s'aggraver dans les mois à venir puisque un grand nombre de collectivités bénéficient encore sans doute de tarifs négociés avant la hausse et font appel à des fournisseurs institutionnels, comme EDF ou des établissements locaux de distribution, ayant moins impacté leurs prix. »Les mesures envisagées pour faire face à la hausse des prix de l'énergie Pour contrer la hausse des coûts de l'énergie, les maires privilégient en premier lieu des actions de sobriété énergétique, comme chauffer moins les locaux et équipements (85%) ou couper l'éclairage la nuit (82%). Des mesures moins contraignantes et plus rapides à mettre en place, mais qui ne résoudront pas les problèmes à long terme.Plus difficiles à mettre en oeuvre, les travaux de rénovation énergétique n'arrivent qu'en 3e position, avec 11 points de moins (74%), alors qu'ils représentent une solution pour consommer moins et mieux, de manière plus durable, avec à la clé des économies d'énergie bien plus importantes.Pour Augustin Bouet : « Pour préserver l'environnement, les leviers de sobriété énergétique ne suffiront pas. »Le quatuor de tête des travaux de rénovation énergétique les plus plébiscités par les élus correspond à celui pour lequel Hellio est le plus sollicité par les collectivités: l'isolation thermique (56%), le remplacement des menuiseries (45%), la pose de panneaux solaires / photovoltaïques (44%) et le changement de chauffage (42%).Des résultats décevants pour le raccordement au réseau de chaleurHellio regrette que le raccordement à un réseau de chaleur arrive loin derrière, avec seulement 10% des intentions. Une solution pourtant intéressante en termes d'indépendance énergétique, de recours aux énergies renouvelables, d'efficacité énergétique et de réduction réelle sur le long terme des consommations.Ce résultat révèle qu'il y a un travail à faire de la part de l'État sur la formation et la sensibilisation auprès des collectivités sur le sujet des réseaux de chaleur. Beaucoup de collectivités pensent que ce système de chauffage est réservé aux grandes villes, alors qu'il y a beaucoup de réseaux de chaleur en milieu rural.Pour Augustin Bouet : « Il est primordial de développer de nouvelles unités de production de chaleur car la capacité de chauffer en amont fait défaut aujourd'hui, le seul raccordement ne suffit pas. Il y a beaucoup à faire auprès des acteurs de l'industrie et de l'agriculture sur la récupération de chaleur fatale, souvent non utilisée, qui pourrait servir à alimenter les réseaux de chaleur. C'est un sujet qu'il faut remettre au goût du jour et qu'il faut aider. Le raccordement bénéficie déjà d'une aide financière, via le Coup de pouce Chauffage des Certificats d'Économies d'Énergie (CEE), mais on peut aller encore plus loin en mettant en place des leviers supplémentaires dédiés aux unités de production de chaleur. »Constat rassurant, la fermeture des services publics, comme les crèches ou les piscines, n'est pas envisagée par les collectivités, ils sont seulement 9% à y songer.Pour Pierre Maillard, PDG de Hellio : « Dans un contexte de crise énergétique jamais connu jusqu'alors, et une inquiétude grandissante des maires de France dans l'exercice de leurs fonctions, les acteurs privés comme Hellio doivent accentuer leur soutien auprès des élus dans la rénovation et l'efficacité énergétique de leurs bâtiments publics. Accélérer cette transition énergétique permettra d'apporter rapidement un confort pour les usagers du service public, mais également de redonner de nouvelles marges de manœuvre pour les élus. C'est ce à quoi nous nous attelons ! »
Il y a 2 ans et 155 jours

Les copropriétaires trop peu sensibilisés à la rénovation énergétique

C’est l’une des révélations de l’étude menée par Cotoit, syndic professionnel nouvelle génération, en partenariat avec BVA, auprès de 500 copropriétaires français [1]. Face à l’envolée des prix de l’énergie, ces charges risquent donc de s’alourdir de manière significative dans les prochains mois. Pour réduire la facture, une des options est d'accélérer la rénovation énergétique d’autant que près de 2 copropriétaires sur 3 n’ont pas encore été informés des nouvelles obligations leur incombant, dans le cadre de la loi Climat et Résilience. Un chantier essentiel qui concerne un grand nombre d'acteurs - copropriétaires, syndics, gestionnaires -, tous embarqués dans ces nouveaux défis à relever.Le montant des charges de copropriété est estimé aujourd’hui par les copropriétaires à 2.112 euros en moyenne, un budget en hausse ces dernières années pour 61% d’entre eux,Les dépenses d’énergie représentent le 1er poste cité au sein des charges de copropriété (32%) un poste voué à augmenter de manière significative au vu de la flambée actuelle des prix de l’énergie,74% des copropriétaires pratiquent d’ores et déjà des écogestes au quotidien au sein de leur logement,64% des copropriétaires interrogés n’ont pas été informés des nouvelles obligations réglementaires imposées par la loi Climat et Résilience.Les charges de copropriété, fortement impactées par la hausse des prix de l’énergieSelon 6 copropriétaires sur 10, les charges de copropriété ont augmenté ces dernières années. Leur montant s’élève aujourd’hui en moyenne à 2.112 euros selon les estimations des copropriétaires, avec de nettes disparités en fonction des régions et du type de syndic concernés. Ainsi, alors que les Franciliens évoquent un montant de 2.700 euros, celui-ci se situe aux alentours de 1.739 euros en régions.Dans ces charges, ce sont les dépenses d’énergie que les copropriétaires identifient comme pesant le plus lourdement. Elles sont ainsi citées par 32% des copropriétaires, devant l’entretien des parties communes (24%), les honoraires du syndic (15%) et la conciergerie (8%). Un poste énergétique significatif, de surcroît amené à augmenter fortement dans les prochains mois, face à la flambée des prix de l’énergie.Des copropriétaires qui ne semblent pas encore prêts à s’engager pleinement sur les questions énergétiquesDans ce contexte, les copropriétaires sont à la recherche de solutions pour soulager leur budget. La très grande majorité d’entre eux (74%) pratique d’ores et déjà des éco-gestes au quotidien au sein de leur logement. Dans le détail, plus de 9 sur 10 économisent l’eau en prenant des douches plutôt que des bains, tandis que 83% utilisent des LEDS pour réduire leur éclairage. Toutefois, cette prise de conscience semble se limiter essentiellement aux gestes de base. Lorsqu’il s’agit de baisser le chauffage, par exemple, ils ne sont plus que 62% à respecter les 19°C recommandés par le gouvernement.Quant à se lancer dans des actions plus engageantes, telles que le remplacement de ses appareils électroménagers par des équipements moins énergivores, une proportion plus faible encore (4 copropriétaires sur 10 seulement) s’y est attelée, tandis que près d’un tiers d’entre eux n’envisage tout simplement pas de le faire dans les prochains mois.Une méconnaissance des obligations réglementairesPar ailleurs, 64% des copropriétaires interrogés n’ont pas été informés par leur syndic des nouvelles obligations imposées par la loi Climat et Résilience. Celle-ci les contraint, notamment, à réaliser un Diagnostic de Performance Énergétique pour tout bâtiment d’habitation dont le permis a été déposé avant le 1er janvier 2013. Elle instaure aussi l’élaboration d’un plan pluriannuel, assorti de la mise en place d’un fonds de travaux, afin de permettre la réalisation de travaux énergétiques au sein des copropriétés. Des mesures essentielles, qui pourraient aussi s’avérer utiles pour les copropriétaires dans leur recherche d’économie d’énergie.Pour Luigi Del Moral, directeur général de Cotoit : « Non seulement ces obligations sont réglementaires et les copropriétaires devront progressivement y faire face, mais elles offrent aussi une formidable opportunité de s’embarquer ensemble dans la transition énergétique. Ensemble, car cette démarche doit être menée conjointement entre les syndics de copropriété et les copropriétaires, afin que ces derniers soient en mesure de prendre les meilleures décisions pour leur habitat. »Un rôle essentiel de conseil et d’accompagnement des syndicsEn fonction des régions, de la santé du bâtiment et de la trésorerie de la copropriété, les mesures instaurées par la loi Climat et Résilience ne pourront toutefois pas être déployées partout au même moment. D’où l’intérêt de s’appuyer sur l’expertise des gestionnaires de syndics. Mais c’est aussi un nouveau changement que ces derniers doivent absorber, en plus de leur métier premier : il leur faut, comme toujours, se montrer réactifs face aux sollicitations de copropriétaires parfois impatients, mais aussi faire preuve de pédagogie et de clarté pour rendre le fonctionnement de la copropriété plus accessible et ce, d’autant plus quand les charges augmentent. Dans le même temps, les gestionnaires voient aussi leurs missions se complexifier, dans le cadre des nouvelles obligations en matière de rénovation énergétique. Aussi, leur métier va évoluer de facto pour s’adapter à la fois aux besoins des copropriétaires, au contexte économique défavorable, et aux enjeux environnementaux.Cotoit s’efforce ainsi d’accompagner les gestionnaires dans cette transformation, à travers la maîtrise complète des outils digitaux, une connaissance augmentée de leur parc immobilier, qui leur permet de jouer pleinement leur rôle d’interlocuteurs de proximité, la montée en compétence progressive sur des pôles d’expertise, ainsi qu’une gestion des portefeuilles limitée.Pour Luigi Del Moral : « Les gestionnaires de syndics constituent la clé de voûte de la rénovation énergétique, qui ne pourra se faire sans eux. Ils jouent ainsi un rôle essentiel d’accompagnement des copropriétaires face à ces évolutions, dans un contexte particulièrement compliqué. »[1] Méthodologie : enquête menée du 12 au 15 septembre 2022 par l’Institut BVA auprès d’un échantillon représentatif de 505 copropriétaires français, âgés de 18 ans et plus. 88% d’entre eux ont recours à un syndic professionnel traditionnel ; 5% à un syndic bénévole non professionnel ; 4% à un syndic coopératif non professionnel ; 3% à un syndic professionnel en ligne. Étude disponible sur demande.
Il y a 2 ans et 155 jours

Une enquête révèle que la majorité des français craignent un hiver très rigoureux

Moins d’1 Français sur 2 a tout prévu pour avoir bien chaud cet hiver. Pour avoir chaud, sans dépenser d’argent, 79% des Français prévoient plusieurs couches de vêtements, 58% vont rester plus longtemps au travail et 56% vont manger plus de nourriture énergétique. Seulement 27% des Français ont mis de côté un budget « froid » et qui est compris entre 100€ et 300€ pour 45% d’entre eux. « Froid, moi ? Peut-être… »Comme chaque année, avec les températures qui commencent à chuter, se protéger du froid va devenir une des préoccupations des Français. Mais seulement 44% déclarent avoir déjà tout prévu pour avoir bien chaud cet hiver. Pour les autres, 39% avouent ne rien avoir préparé et 17% sont dans le doute total. Peur du froid ?Pourtant, pour plus de 65% des personnes interrogées, la crainte d’un hiver très rigoureux est bien présente à leur esprit. Seulement 33% restent optimistes et 2% ne savent pas répondre à cette question. Un budget en cas de problème ?Pour pallier une baisse importante du thermomètre, seulement 27% des Français ont mis de côté un peu d’argent afin de pouvoir réagir en conséquence. Ainsi, 45% ont prévu entre 100€ et 300€ pour agir contre le froid et 33% entre 300€ et 500€.Des achats contre le froid23% des Français pensent acheter un chauffage d’appoint afin de compléter leur système existant, en cas de vague de froid. En deuxième solution, 21% préfèrent opter pour des vêtements plus chauds et 17% s’orienteront vers un nouveau système de chauffage. Quelles autres solutions sans trop dépenser d’argent?Pour beaucoup de personnes qui n’ont pas prévu un budget en cas de froid intense, plusieurs solutions sont envisagées. En premier lieu et en toute logique, 79% vont jouer les oignons et se couvrir de plusieurs couches de vêtements pour avoir plus chaud. En deuxième position, 58% prévoient de rester plus longtemps sur leur lieu de travail afin de profiter de la chaleur des locaux et faire ainsi des économies à leur domicile. Enfin, à la troisième place du classement, 56% vont manger un peu plus et certainement de la nourriture plus énergétique. * Méthodologie : Enquête réalisée auprès de 1.004 personnes représentatives de la population nationale française âgée de 18 ans et plus. Sondage effectué en ligne à partir du panel de répondants BuzzPress (27.000 personnes en France). Entre le 21 et le 25 novembre 2022, un sondage électronique a été envoyé par email et publié en ligne sur les réseaux sociaux Facebook et LinkedIn. Les réponses ont ensuite été compilées et pondérées en fonction de quotas préétablis visant à assurer la représentativité de l'échantillon et afin d’obtenir une représentativité de la population visée.Toutes les pondérations s'appuient sur des données administratives et sur les données collectées par l’INSEE.
Il y a 2 ans et 155 jours

Bosch Thermotechnologie présente son nouvel outil de dimensionnement pour pompes à chaleur

Son nouvel outil de dimensionnement de pompes à chaleur illustre cette démarche. Il permet aux professionnels de dimensionner de manière simple et rapide, une pompe à chaleur pour tout projet de construction ou de rénovation résidentielle individuelle, en accord avec les RE 2012 et RE 2020. Sa conception intuitive collecte, étape par étape, les données nécessaires afin de préconiser la solution la plus adaptée aux besoins énergétiques du bâtiment. L'outil est disponible gratuitement sur la plateforme digitale elmLeCube (https://www.elmlecube.fr) et sur l'Espace Pro Bosch (https://www.pro.bosch-climate.fr/).Rapide, le formulaire se remplit en quelques minutes. Il se compose de quatre étapes : « Vue d'ensemble du projet », « Données du bâtiment », « Technologie », « Recommandation ».Astucieux, il offre une première approche précise grâce aux paramètres qui couvrent toutes les indications nécessaires : le lieu d'habitation influençant les conditions extérieures, le type de projet (neuf ou rénovation), les températures envisagées, les besoins énergétiques du bâtiment, le système de distribution utilisé avec la pompe à chaleur (chauffage au sol, radiateurs et chauffage au sol, radiateurs, ventilo-convecteurs), le besoin en eau chaude sanitaire ou non (possibilité de choisir une solution en chauffage seul), en définissant le nombre d'occupants et la consommation sanitaire, la technologie souhaitée (air-eau split, air-eau monobloc, eau glycolée-eau)… L'ensemble des paramètres sont également modifiables par l'utilisateur (températures, déperditions thermiques…).Pratique, le professionnel peut enregistrer son formulaire et, à tout moment, modifier les données renseignées. À la fin de la démarche, il peut visualiser en un coup d'oeil l'ensemble des chiffres clés, agrémentés de graphiques. En vue d'un rendez-vous avec son client, il peut également télécharger les éléments en PDF, en pré-sélectionnant les informations qu'il souhaite voir apparaître : complètes ou simplifiées. Le document lui fournit des informations complémentaires telles que les données de consommation d'énergie et les économies réalisées avec cette solution, les niveaux sonores ou encore les données de performances. La fiche technique du produit préconisé est accessible en un clic.
Il y a 2 ans et 156 jours

Logiciel CAO alternative N°1 à AutoCAD : consultez la dernière brochure et les vidéos de ZWCAD

Récapitulatif des points forts de ZWCAD :Des licences perpétuelles, par code, dongle ou réseauUn format natif DWG (y compris AutoCAD 2023)Un outil CAO léger et plus rapide qu'AutoCADUne interface standard, Classique ou Ruban, mode clair ou sombreDes APIs pour développer ses propres outils (LISP, VBA, .Net, ZRX)30 jours d'essai gratuitsUne hotline gratuite et illimitée même pendant votre essaiUne version gratuite pour vos petits projets, utile si vous avez besoin d’ouvrir des fichiers DWG régulièrement.Maîtrisez vos coûts avec la licence perpétuelleEn opposition avec le modèle par abonnement d’AutoCAD, ZWCAD est disponible en licence perpétuelle. Le fonctionnement est simple, vous achetez un logiciel à vie sans avoir à payer les mises à jour chaque année. Vous pouvez cependant, lorsqu’une mise à jour apporte des fonctionnalités utiles pour votre activité, décider de prendre une mise à jour.Pour ceux qui le souhaitent, ZW France propose la « souscription » afin d’avoir un logiciel toujours à jours. ZW France a comparé le budget sur 5 ans antre ZWCAD et AutoCAD avec et sans la souscription :Fonctionnalités CAO DAOUtilisez les commandes classiques :Décaler, Ajuster, Raccord, Copier, utilisez des hachures, réalisez des cotesAjoutez des annotations, du texte, des repères, des blocs, des attributs de blocsGérez vos calques…Vous pouvez utiliser des Lisps comme des macros sur ZWCAD StandardAvec ZWCAD version Pro, utilisez des applicatifs métiers comme AutoFluid pour la gestion des fluides, Spatial Manager pour le géoréférencement, Geogex by COVADIS pour le foncier, Aplitop pour la topographie, etc.ZWCAD comprend la quasi-totalité des fonctionnalités d’AutoCAD. Pour comparer les 2 solutions et les versions, ZW France vous invite à regarder le comparatif entre les fonctionnalités d’AutoCAD et de ZWCAD. Ressources : documentation et vidéosConsultez la dernière brochure d’information sur ZWCAD en cliquant ici !Découvrez des tutoriels, vidéos des nouveautés et interview sur Batinfo ou sur la chaine YouTube ZW France.
Il y a 2 ans et 156 jours

L’OPPBTP propose un pack sécurité pour mieux intégrer les personnels intérimaires

Comme tous les salariés du bâtiment et des travaux publics, et en particulier les nouveaux arrivants, ces collaborateurs ont besoin d’un accompagnement pour bien appréhender tous les aspects de la prévention et préserver ainsi leur santé et leur sécurité. Selon les axes prioritaires définis par son plan stratégique @Horizon 2025, l’OPPBTP lance une campagne ciblée sur l’intérim dans le BTP à compter du 2 novembre et jusqu’à la fin de l’année. Ce dispositif de communication, d’information et d’actions terrain a pour ambition de mobiliser les entreprises du BTP autour des problématiques de prévention des salariés intérimaires. Un « pack sécurité » est ainsi proposé, avec des conseils et des outils pratiques, pour anticiper l’arrivée des intérimaires, mieux les accueillir et les accompagner durant leur mission.Faire évoluer les mentalités autour de l’intérimEn raison de la grande diversité des activités et des variations importantes de charge au quotidien, le BTP fait fortement appel à l’intérim, lequel pâtit d’une forte sinistralité, bien supérieure à celle des salariés permanents. Qualité de l’intégration des intérimaires aux collectifs de travail et disponibilité des compétences requises, associées à la pression temporelle des chantiers, sont souvent à la base des trop nombreux accidents.Dans le cadre du plan @Horizon 2025, l’OPPBTP a retenu l’intérim parmi les thématiques d’action prioritaires pour baisser les accidents graves et mortels et améliorer les conditions de travail des salariés intérimaires. En 2022, l’OPPBTP lance donc une campagne auprès des entreprises du BTP. Une action auprès des entreprises de travail temporaire est envisagée pour 2024.L’OPPBTP propose, avec cette campagne 2022, de mettre en avant l’importance de la bonne intégration des salariés intérimaires dans les équipes et collectifs de travail en s’appuyant sur trois piliers :L’anticipation : définir précisément le rôle et les missions de l’intérimaire, évaluer ses compétences en particulier en termes de sécurité ;L’accueil : vérifier l’adéquation des compétences avec le poste proposé et s’assurer de la bonne compréhension des messages et des directives données ;L’accompagnement : nommer un compagnon tuteur pour guider l’intérimaire mais aussi veiller à intégrer ce dernier aux moments de prévention sur le chantier.Pour Julien Asselin, Directeur des campagnes ciblées en charge de la campagne intérim : « Bien souvent, les entreprises du BTP se focalisent sur l’accueil des intérimaires, mais un réel progrès est à faire pour anticiper l’arrivée et l’accompagnement du collaborateur durant sa mission. Il est important d’insister sur ces trois aspects car c’est leur combinaison qui va aussi améliorer la performance des chantiers et réduire les accidents. »À travers cette campagne l’OPPBTP souhaite aussi faire prendre conscience aux entreprises des bénéfices qu’elles peuvent retirer d’une bonne intégration de leurs intérimaires : réduction des accidents, amélioration de la performance des chantiers, montée en compétences grâce à un bon accompagnement, fidélisation du personnel et attractivité de l’entreprise, optimisation de la communication.Une campagne ciblée et complète à destination des entreprisesDès le 2 novembre et pour huit semaines, l’OPPBTP met en place cette campagne intérim à destination de toutes les entreprises du bâtiment et des travaux publics faisant appel au travail temporaire avec comme cible prioritaire les chefs d’entreprise, les référents prévention, les compagnons, les intérimaires...Pour cela l’Organisme a conçu sa campagne autour de trois axes essentiels :Le déploiement de moyens de communication importantsAfin de sensibiliser les entreprises au sujet de l’intérim, l’OPPBTP met à leur disposition un pack sécurité. Véritable boîte à outils, ce pack est disponible sur le site dédié de la campagne : www.LePackSECURITEinterimairesBTP.frPar ailleurs, un e-mailing sera diffusé aux entreprises ciblées et un dispositif de visibilité sera mis en place sur les réseaux sociaux ainsi que sur les sites d’information du BTP afin de renvoyer vers le site de la campagne.Une campagne d’information et de sensibilisationLes entreprises pourront retrouver une offre documentaire spécifique et très complète sur le site internet.Un large panel d’actions d’information avec des webinaires, des réunions terrain, des temps d’échanges au sein du réseau Club Avenir Prévention (Club Fidélité de l’OPPBTP);Des questions réponses traitant de l’ensemble des thèmes d’intérêt ;Des vidéos de sensibilisation et de témoignages ;Des fiches outils pratiques (demande de personnel intérimaire ; check-list intégration intérimaire ; liste de postes à risques particuliers ; formation obligatoire) ;Des kits d’information pour les salariés (quart d’heure sécurité ; réunion de sensibilisation...).À partir du mois de novembre, l’ensemble des entreprises du BTP recevront par mail un numéro de La lettre de Prévention BTP dans l’objectif de toucher un maximum d’entre elles.Une présence sur le terrain pour accompagner les entreprisesDurant toute la durée de la campagne, l’OPPBTP accompagnera directement sur le terrain des entreprises pour les aider à appréhender tous les enjeux liés au travail temporaire. L’Organisme proposera ainsi un diagnostic intérim aux entreprises qui le souhaitent. A partir d’un questionnaire sur leur organisation, les experts de l’OPPBTP étudieront leur situation et proposeront des solutions en phase avec leurs besoins.Cette action de proximité s’accompagne de la création d’une formation dédiée, « Accueil et formation Sécurité, réussir l’intégration de vos salariés permanents et temporaires » ainsi que d’une enquête en ligne à destination des chefs d’entreprises comme des compagnons.Les partenaires de l’OPPBTP sont aussi investis dans cette campagne : DGT, CNAM, CARSAT, INRS, CAPEB, FFB, FNTP, FSCOPBTP, SIST-BTP, ANACT à travers la mise à disposition de documentations et le relai de la campagne.
Il y a 2 ans et 156 jours

LCA réhabilite l’ancienne patinoire d’Angers

L’objectif : donner une seconde vie à cet ouvrage de plus de 40 ans, tout en limitant l’épuisement des ressources naturelles et la quantité de déchets produits sur le chantier.En adéquation avec ses convictions, LCA s’est donc attachée à favoriser le réemploi et la sauvegarde de certains éléments.Pour Edouard Bonnin, co-dirigeant LCA Construction Bois : « En cette période de pénurie et de hausse des prix de la matière première, il est important de questionner notre manière de consommer afin de l’améliorer pour réduire notre impact sur l’environnement. Dans ce contexte, il nous parait donc primordial, de continuer notre développement sur le marché de la réhabilitation et de la rénovation. Ce projet en est un bel exemple, puisqu’il prouve que l’économie circulaire est possible dans le secteur du bâtiment. En effet, certaines poutres que nous avons déposées ont été utilisées sur le chantier EMMAÜS à St Jean de linière (49). »Construction responsableAvec les travaux de réhabilitation, l’ex-patinoire se trouve scindée en plusieurs parties. D’un côté, la salle principale de 1.200m² dédiée au handball qui occupe les 3/4 de l’ancien espace de patinage et de l’autre, une salle de sport annexe de 415m² réservée à l’activité scolaire. Un espace pour les locaux servant au fonctionnement du complexe sportif a été également rénové.Pour réaliser cela, l’équipe de LCA a d’abord œuvrée sur la partie existante du bâtiment. En effet, la charpente a ainsi été renforcée grâce au remplacement des sous tension bois par des sous tension métal, puis des murs à ossature bois préalablement préfabriqués ont été posés. Les poses des porteuses, des muralières pour les planchers bois, des gradins, de la structure support pour l’espace jeu et des escaliers ont suivi. Le tout en bois, un matériau qui facilite la réhabilitation et l’extension du bâtiment sur un site enclavé et contraint dans l’espace comme celui-ci.L’extension quant à elle, a requis la pose de MOB et d’une charpente bois.Ce projet permet d’allonger la durée de vie du bâtiment trônant depuis 40 ans à deux pas du château d’Angers, de limiter l’épuisement des ressources naturelles et de réduire la quantité de déchets sur le chantier. Dans cet esprit, un maximum de matériaux a, par ailleurs, été conservés comme la charpente de la patinoire qui a été mise à nue dont une partie a été réutilisée pour un projet d’extension du site d’Emmaüs de Saint-Jean-de-Linières (49).Agilité…Conserver un tel patrimoine situé en plein centre historique et le réhabiliter, permet de continuer à rendre la pratique du sport accessible via des mobilités douces, mais également de lutter contre l’artificialisation des sols.En plus des initiatives d’économie circulaire mises en place, les arbres situés aux alentours ont été sauvegardés malgré la topographie complexe des lieux.Une réhabilitation qui, en termes de performances environnementales, permet d’atteindre le niveau label E3C1....et expertise technique éprouvéesAprès un travail complexe et rigoureux de 1.400h en bureau d’études interne pour justifier des éléments de renforcement de la structure, puis la gestion maitrisée d’un chantier à l’accès difficile, la nouvelle salle de handball professionnel d’Angers est donc livrée depuis juillet 2022.Une réalisation qui porte à 24 le nombre de réhabilitations menées par LCA.Quant à la rénovation énergétique, volet important de cette réhabilitation, l’entreprise en a l’expertise à Angers puisqu’elle a notamment signé celle de l’URSAFF en 2021 et œuvre actuellement sur l’ancien Foyer des Jeunes Travailleurs situé dans le quartier Monplaisir.
Il y a 2 ans et 156 jours

A Marseille, la crise du logement "menace la cohésion sociale"

"Le logement constitue à Marseille le plus grand défi pour les pouvoirs publics et sans doute pour de longues années encore", a commencé le préfet de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, Christophe Mirmand, à l'ouverture de cette manifestation inédite qui réunit jusqu'à mardi tous les acteurs du logement.Son constat est accablant dans cette ville traumatisée par l'effondrement mortel en 2018 de deux immeubles en plein centre: "insuffisance des capacité d'hébergement pour les plus démunis", "détérioration du bâti ancien et paupérisation des quartiers historiques souvent livrés aux marchands de sommeil", "offre de logements sociaux très insuffisante", "copropriétés à la dérive"..."Cette crise menace la cohésion sociale voire constitue un facteur de trouble à l'ordre public", s'est inquiété le représentant de l'Etat évoquant notamment la violence autour des squats.Face à la pénurie de logements, nombre de personnes en difficulté finissent par squatter ou "louer" à des marchands de sommeil des appartements parfois murés ou coupés des réseaux électriques."Les défis qui s'offrent à nous tous sont immenses et nous n'avons pas d'autres choix que de les relever car l'urgence est réelle", a conclu le préfet."Nous devons faire de Marseille la ville de la dignité retrouvée", a appelé le maire Benoît Payan, dont l'union de gauche (le Printemps marseillais) avait conquis la municipalité deux ans après l'effondrement de la rue d'Aubagne qui avait jeté une lumière crue sur le manque d'action de l'ancienne majorité de droite.C'est Benoît Payan qui a lancé cette mobilisation même si le logement n'est pas sa compétence directe mais celle de la métropole Aix-Marseille-Provence, dont il est attendu plus de volontarisme.Le maire de Marseille et l'Etat plaident notamment pour un rééquilibrage territorial alors qu'une trentaine de ses 92 communes ne respectent pas leurs obligations en terme de nombre de logements sociaux.Il y a une "volonté d'établir une cordée, une chaîne d'action publique", a assuré le vice-président au logement de la métropole, le LR, David Ytier.Il faut une "mobilisation générale pour le logement à Marseille" a lancé de son côté la présidente de l'Union sociale pour l'habitat, Emmanuelle Cosse, expliquant que le mouvement HLM n'attendait "que ça, de construire plus fort et mieux à Marseille et dans la métropole".
Il y a 2 ans et 156 jours

Deux morts dans l'effondrement d'un mur sur un chantier en Charente-Maritime

Un jeune apprenti de 15 ans a été "gravement blessé" dans cet accident et héliporté au centre hospitalier de Poitiers.Selon la maire de Saint-Georges d'Oléron, Dominique Rabelle, le mur "de trois mètres de hauteur et huit de large", mitoyen entre un camping et une habitation en construction, s'est effondré sur les victimes lors d'un chantier dans la matinée."Les pompiers ont tenté de les réanimer pendant plus d'une heure, en vain", a ajouté l'élue de cette commune située sur l'Île d'Oléron, précisant que c'est une entreprise professionnelle de maçonnerie implantée sur la commune qui était chargée des travaux.
Il y a 2 ans et 156 jours

Trois immeubles évacués à Lille dans la nuit de samedi à dimanche pour un risque "d'effondrement"

Trois autres immeubles avaient déjà été évacués par la mairie cette semaine dans une autre rue, à quelques centaines de mètres.Samedi, les secours ont été appelés aux alentours de minuit rue Lepelletier, une artère commerçante au cœur du "vieux Lille", indiquent-ils dans un communiqué de presse. "Au total, ce sont 17 personnes au sein de trois immeubles qui ont été évacuées. Un périmètre de sécurité a été effectué et un arrêté de mise en péril a été rédigé par la mairie de Lille", précisent-ils.En début de matinée, des barrières de sécurité barraient l'accès d'une partie de la rue, a constaté une journaliste de l'AFP. Elles fermaient ainsi l'entrée de ces trois immeubles, d'un restaurant et deux boutiques situées au rez-de-chaussée, ainsi que d'une bijouterie et d'un opticien situés en face.Les secours "ont constaté des fissures au niveau du mur mitoyen" entre les numéros 28/30 et 32, explique la mairie de Lille dans son arrêté placardé sur place. "Selon les employés du restaurant l'Orange Bleue, la fissure qui existait déjà (...) a évolué en s'agrandissant les dernières 48 heures avec chute de torchis", et "des bruits de craquements ont été entendus" en fin de soirée, précise ce texte.Les services municipaux ont ainsi jugé nécessaire de "faire interdire l'accès" aux trois immeubles comptant au total une quarantaine d'appartements, et aux deux boutiques situées en face, jusqu'à ce que des expertises soient menées, selon l'arrêté.Mercredi, la ville avait déjà fait évacuer deux immeubles rue de la Monnaie, à quelques centaines de mètres. "Alertés par le syndic" de "l'existence de problématiques structurelles" sur un des deux bâtiments, les services municipaux avaient pu constater "des fissures inquiétantes", a expliqué la mairie à l'AFP.Après une expertise, un troisième immeuble, mitoyen, a dû être évacué vendredi. Au total, "une quinzaine de personnes" ont dû être relogées avec l'aide des services, dans des hôtels ou auprès de proches, a-t-on précisé de même source.Trois boutiques situées aux rez-de-chaussée des bâtiments ont dû être fermées.
Il y a 2 ans et 156 jours

Action Logement propose à l'Etat une contribution réduite de moitié

"Les partenaires sociaux d'Action Logement Groupe réunis en Conseil d'administration, ont voté à l'unanimité, vendredi 25 novembre, leur budget pour 2023", indique dans un communiqué l'ex-1% Logement, co-géré par patronat et syndicats.Le groupe, qui pilote également des aides à la mobilité professionnelle et la garantie locative Visale, propose d'y intégrer une contribution de 150 millions d'euros au Fonds national des aides à la pierre (Fnap) qui finance la construction et rénovation de logements sociaux.C'est moitié moins que les 300 millions d'euros sur lesquels le gouvernement tablait dans son projet de budget 2023 dévoilé en septembre, une "ponction" qui avait suscité des réactions furibardes de l'organisme et des partenaires sociaux."Le Conseil d'administration a proposé d'inscrire au budget du groupe le versement d'une contribution volontaire de 150 MEUR au Fonds national des aides à la pierre, comme les partenaires sociaux s'y étaient engagés vis-à-vis des ministres de la Transition énergétique et du Logement", indique le groupe."Cette disposition devra être confirmée dans le cadre des discussions entre l'Etat et le groupe sur la convention quinquennale 2023-2027", ajoute Action Logement.Manière de mettre la pression sur le gouvernement, qui doit décider s'il réintègre au projet de loi de finances la contribution de 300 millions d'euros, supprimée jeudi par le Sénat."Cet effort, qui marque une évolution par rapport au refus initial de toute contribution en septembre, reste néanmoins insuffisant au regard des besoins des bailleurs sociaux", a réagi l'entourage du ministre délégué au Logement Olivier Klein."L'Etat s'est exprimé en défaveur de ce budget initial, dans le cadre juridique qui le lui permet", assure-t-on au ministère, ajoutant que "la somme de 300 MEUR est donc nécessaire et ce besoin sera exprimé de nouveau dans les discussions parlementaires"."Un accord sur un nouveau projet de budget initial (d'Action Logement, NDLR) à même de garantir les actions du groupe en 2023 sera recherché avec Action Logement très rapidement".Action Logement doit négocier d'ici à la fin de l'année une convention quinquennale avec l'Etat qui définira le montant de sa contribution à l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru) et au programme Action cœur de ville (ACV), deux piliers de l'aménagement du territoire.
Il y a 2 ans et 156 jours

L'Assemblée démarre l'examen d'une proposition de loi anti-squats litigieuse

Porté par les groupes de la majorité présidentielle Renaissance et Horizons, le texte propose de tripler les sanctions encourues par les squatteurs jusqu'à 3 ans de prison et 45.000 euros d'amende."Actuellement un squatteur risque un an de prison et 15.000 euros d'amende. Mais le propriétaire qui change la serrure risque 3 ans et 45.000 euros", argue le rapporteur Guillaume Kasbarian, également président de la commission des Affaires économiques.Le député d'Eure-et-Loir n'en est pas à son coup d'essai : il avait fait voter en 2020 des dispositions contre les squats via un projet de loi mais une partie des mesures avaient été censurées par le Conseil constitutionnel qui les considérait comme des cavaliers législatifs.Sa proposition de loi prévoit en retour la même peine pour ceux qui se font passer pour un propriétaire dans le but de louer un bien.Il précise que le délit d'introduction dans le domicile concerne aussi les résidences secondaires, et étend la procédure d'expulsion express, sans recours à un juge, aux logements vacants, vides de meubles.Le texte réduit aussi la durée de la procédure judiciaire, et prévoit que certains délais pouvant être accordés par un juge, ne soient désormais envisageables que si le locataire en fait lui-même la demande. "Une atteinte manifeste à l'office du juge de l'expulsion" pour la gauche, qui craint un manque de recours des locataires."Ce qu'on souhaite juste, c'est qu'on puisse avoir une accélération des procédures", pour soutenir "des petits propriétaires qui se retrouvent dans des situations invraisemblables", estime la présidente des députés Renaissance Aurore Bergé, sur franceinfo.La proposition de loi veut aussi conforter les bailleurs face aux impayés, prévoyant là encore de raccourcir des délais procéduraux."criminaliser les impayés"En l'absence de majorité absolue, le camp présidentiel devrait se tourner vers sa droite pour faire voter le texte. "Ca fait bien longtemps qu'on fait des propositions allant dans ce sens", souligne la députée Annie Genevard (LR). En commission, elle a fait adopter un amendement pour "assimiler le squat à un vol", une disposition "essentielle" qu'elle espère étendre aux cas d'occupation de locaux à usage économique.Des associations y voient au contraire un risque de forte aggravation des peines.Le groupe RN a lui aussi approuvé ce texte en commission.Quant au gouvernement, s'il a apporté son soutien au texte, il pourrait encore peser en séance pour l'équilibrer."On ne doit pas réagir de la même manière contre les squats, en particulier ceux entretenus par des marchands de sommeil, que devant les impayés de locataires", a averti le ministre du Logement Olivier Klein.Les députés Insoumis, communistes et écologistes sont eux vent debout, même si certains députés ultramarins de gauche soutiennent des amendements pour des mesures fortes en Outre-mer."Cette loi est une fabrique de SDF", dénonce la députée LFI Danielle Simonnet, dont le groupe entend déposer une motion de rejet préalable au texte. Son collègue François Piquemal fustige une proposition de loi de "fait divers", au regard des quelque "170" procédures d'expulsion menées à terme en 2021 mentionnés par Guillaume Kasbarian."Si nous tenions ce genre de raisonnement, nous n'aurions rien fait contre les marchands de sommeil, eux aussi minoritaires", lui a rétorqué ce dernier.Le ministère du Logement avait estimé en 2021 que "le squat n'est pas un phénomène massif en France"."C'est une loi particulièrement dangereuse (...) qui veut criminaliser les impayés de loyers", dénonce aussi l'écologiste Aurélien Taché, affirmant que certaines dispositions auraient conduit à "criminaliser les actions" du collectif Jeudi noir.C'est un "texte disproportionné par rapport à la difficulté que rencontrent certains propriétaires", estime pour sa part le socialiste Gérard Leseul.L'association Droit au Logement (DAL) a manifesté dimanche contre le texte et organise un nouveau rassemblement lundi à 18h, en présence de députés de gauche."Ce texte va permettre des expulsions en 48 heures, sans juge, de squatteurs qui occupent des logements vacants", craint Manuel Domergue (Fondation Abbé Pierre). Attac dénonce une loi qui "criminalise les précaires".La FNAIM, qui représente les professionnels de l'immobilier, salue en revanche une "amorce de rééquilibrage des droits".Les débats devraient débuter dans la soirée et durer jusqu'en milieu de semaine.
Il y a 2 ans et 156 jours

Présentation par Caroline Cayeux du premier baromètre de l'immobilier des petites villes de demain

Ce baromètre est né de la volonté commune du Ministère en charge des collectivités territoriales et du Conseil supérieur du notariat de développer un outil permettant de mieux connaitre les évolutions de l'immobilier dans les Petites villes de demain, sur toute la durée du programme, de 2020 à 2026. Quatre indicateurs en particulier ont été choisis pour l'élaboration de ce baromètre annuel : le nombre de mutations, les prix de vente, l'origine des acquéreurs et le diagnostic énergétique. Ils permettront ainsi de délivrer une photographie de l'immobilier dans les petites villes, selon leurs caractéristiques, et d'avoir ainsi une approche dynamique d'une année sur l'autre.Principaux enseignements du 1er baromètre :Un marché dynamique, témoin d'un regain d'attractivité, caractérisé par une hausse importante des volumes des maisons et des prix des appartements ;Une augmentation volume des ventes de maisons anciennes dans les centres intermédiaires de 11,3% entre 2020 et 2021 ;Une augmentation des prix des appartements de 7% sur un an en 2021 ;Une augmentation de la part des acquéreurs provenant des métropoles de +3,2 % entre 2018 et 2021.« Ce premier baromètre du marché immobilier des communes Petites villes de demain nous apporte de précieux renseignements sur les volumes des ventes et les prix des biens, qui témoignent du dynamisme et de l'attractivité de ces territoires. Il donne aussi à voir la diversité des trajectoires des communes Petites villes de demain, confortant encore la forte territorialisation du programme et plus largement de l'action de l'Agence nationale de la cohésion des territoires », a déclaré Caroline Cayeux, ministre chargée des Collectivités territoriales.Retrouvez le baromètre immobilier des Petites villes de demain.
Il y a 2 ans et 156 jours

Unilin Insulation : Découvrez la nouvelle gamme de plaques isolantes Utherm Sarking Anti-Slide

Performante, cette nouvelle gamme de plaques isolantes Utherm Sarking Anti-Slide permet de réaliser l’isolation par l’extérieur des toitures. Les plaques sont revêtues d’un parement multicouche étanche avec traitement anti-dérapant [1] conçu pour une très grande adhérence des chaussures de sécurité en cas d’intempéries lors de leur installation. De couleur marron, le revêtement est également anti-réfléchissant, ce qui offre un confort de pose supplémentaire aux charpentiers et couvreurs puisqu’il limite l’éblouissement, notamment en plein soleil. Le petit format (1200 x 1000 mm) permet aux plaques d’être légères et faciles à manipuler et minimise aussi la prise au vent. Il convient aux toitures très pentues ou complexes.Particulièrement adaptée au climat de montagne (>900 m), la gamme Utherm Sarking Anti-Slide se décline en deux modèles :Utherm Sarking K Anti-Slide, solution thermiquePlaque isolante en mousse de polyuréthane rigide type PIR revêtue sur les deux faces d’un parement multicouche étanche, avec un traitement anti-dérapant [1] sur la face supérieure.En savoir plus sur Utherm Sarking K Anti-Slide (unilininsulation.com)Utherm Sarking K Comfort Anti-Slide, solution thermo-acoustiquePour le confort le plus complet dans l’habitat : thermique, d’été et acoustique. Complexe composé de l'Utherm Sarking K Anti-Slide et d’un panneau de fibre de bois orienté côté intérieur.En savoir plus sur Utherm Sarking K Comfort Anti-Slide (unilininsulation.com)En savoir plus sur Utherm Sarking K Anti-Slide et K Comfort Anti-Slide (batinfo.com)La pose des solutions Utherm Sarking Anti-Slide se fait en montagne sur platelage, avec pare-vapeur et étanchéité complémentaire obligatoire. Ces plaques, légères, permettent d’améliorer le confort au travail, avec une mise en œuvre et une découpe facilitées, et, en plus, un système de rainures languettes disposé sur les 4 côtés, pour un emboîtement simplifié. La plaque est par ailleurs très résistante à la compression, par exemple celle due aux charges de neige.Le saviez-vous ? Cette plaque est fabriquée en France, dans l'usine d'Unilin de Sury-Le-Comtal près de Saint-Étienne ![1] Même si ce revêtement est traité pour apporter plus de sécurité lors de la pose, les équipements de protection requis pour tout travail en hauteur doivent être utilisés.
Il y a 2 ans et 156 jours

Baromètre 2022 de la base INIES : toujours plus de données environnementales pour accompagner la RE2020

INIES, base de référence de la RE2020Entrée en vigueur depuis janvier 2022, la RE2020 est une étape majeure dans la décarbonation du secteur de la construction française. Son objectif est d’améliorer la performance environnementale des bâtiments neufs afin de diminuer leur impact sur le climat.Outil de référence pour l’application de la RE 2020 la base INIES permet à tous les acteurs de la construction d’évaluer l’empreinte environnementale des bâtiments neufs. Elle est aujourd’hui la plus grande base de données environnementales des produits et équipements de la construction (FDES, PEP Ecopassport®, DED et DES) et s’impose comme la seule source de données aussi riche en Europe pour permettre d’alimenter les logiciels d’ACV Bâtiment.Conscient de leur rôle central pour la mise en application de la RE2020, les fabricants de produits de construction et d’équipements se sont d’ailleurs une nouvelle fois engagés activement dans une démarche volontaire des déclarations de leurs solutions, 100% vérifiées, numérisées puis mises à disposition gratuitement..Ainsi, au 31 août 2022, la base INIES compte un total de 5 389 données (en hausse de 28% par rapport au baromètre 2021) dont :3 190 FDES (+29% par rapport au 31 décembre 2021) représentant 676 086 références commerciales599 PEP (+14% par rapport au 31 décembre 2021)1 495 DED dont 1009 produits de construction et 486 équipements105 données conventionnelles dont 33 lots forfaitaires et 72 données conventionnelles de services (DES)343 organismes déclarants de FDES et 51 organismes déclarants de PEP (dont 100 nouveaux déclarants de FDES et 5 pour les PEP depuis 2022)Cette très forte croissance du nombre de déclarants témoigne de la démocratisation de la réalisation des déclarations environnementales accompagnant la RE2020.Côté famille de produits et équipements, le Baromètre 2022 INIES donne une vision précise des différentes familles représentées. Tout comme dans le Baromètre 2021, on note que l’isolation enregistre toujours le plus grand nombre de FDES (1202), devant le secteur des produits pour le cloisonnement et les plafonds suspendus (493) et ceux pour la structure/maçonnerie/gros oeuvre/charpente (356), secteur qui occupe la troisième place exæquo avec les revêtements de sols et murs/peinture/produits de décoration (356).Pour les PEP, les appareillages d’installation pour le secteur des réseaux d’énergie électrique et de communication dominent toujours le classement côté équipements avec 313 documents renseignés et vérifiés, suivis par les équipements de génie climatique (146) puis ceux dédiés à la sécurité du bâtiment (41).Il est important de rappeler que la Base INIES fournit les informations nécessaires pour le calcul de l’impact environnemental global du bâtiment. Ainsi elle va au-delà de l’indicateur « carbone » et intègre également des informations sur le stockage du carbone biogénique présent dans l’atmosphère pendant la durée de vie des bâtiments ; la quantité de matériaux issus de ressources renouvelables, recyclées ou recyclables qui leur sont incorporées pour l’économie circulaire ; des informations sanitaires pour renseigner sur la contribution du produit à la qualité de l’air intérieur du bâtiment. C’est la prise en compte de l’ensemble de ces indicateurs qui permet d’évaluer la performance environnementale et sanitaire du bâtiment.INIES : les nouveautésPour permettre à tous d’accéder facilement à la base de données INIES, un nouveau site a été mis en place depuis fin 2021. Ce dernier s’est enrichi de 5 nouveaux motions design à vocation pédagogique. Des courtes vidéos sont accessibles dans l’objectif de partager, de façon simple et ludique, les informations clés concernant la base INIES, les FDES et les PEP.Concernant les équipements du génie climatique, la base de données de déclarations environnementales du programme PEP a été entièrement repensée et offre désormais une nouvelle interface d’enregistrement et de consultation avec de nouvelles fonctionnalités.À la demande des spécialistes de l’ACV bâtiment en charge de contrôler la qualité des ACV de bâtiments, une nouvelle interface à été mise à disposition afin de faciliter le contrôle du calcul de la contribution des composants du bâtiment selon la RE2020.Les données manquantes pour la RE2020Malgré la progression constante de la base INIES depuis bientôt 20 ans et une forte mobilisation des fabricants, certaines données manquent encore à l’appel pour la RE2020.Afin d’encourager les fabricants à fournir les déclarations environnementales de leurs produits, la base INIES publie dans son Baromètre 2022 la liste prioritaire des familles de produits et d’équipements pour lesquelles les déclarations sont manquantes.#FaistaFDESAppuis de baieBoisseaux et Conduits de fumisterieCharpentes aluminium et bétonComplexes de doublage : plâtre + polystyrène extrudéColles (charpente, réparation), masticsCuves et réservoirsÉviers, lavabos et receveurs de douche en matériaux de synthèse et acier inoxydableEscaliers et mains courantesÉléments de couverture en petits et grands éléments : PVC, bois, fibre ciment, pierre, zinc…Fondations bois massif et préfabriquées bétonIsolants acoustiques pour cloisons : fibre de coton, de lin, laine de mouton, laine et fibre de boisIsolants thermiques et acoustiques : laine, liège expansé, sous-vide, verre cellulaire, chenevotte, perlite…Isolation répartie non porteuse : torchisGaines et fourreauxGarde-corps en bois, PVC, polycarbonate…Membranes pour façade légère : parevapeurMousse PUPlafonds suspendus / plafonds tendus PVCPortes bois reconstitué, portes PVCProduits de finition/décoration : plinthes, papiers peints, pierres naturelles…Primaires de préparation de supportProduits d'étanchéité et d'imperméabilisation pour murs enterrésRéseaux d’évacuation et d’assainissement (acier, béton, PE)Réseaux adduction gaz (PE, acier)Système de drainage (PVC et PP)Tomettes en terre cuite#FaistonPEPBatteriesBlocs multiprisesCaissons de ventilation, centrale doux flux, filtresChaudières gaz, fioul, hybrideCoffrets VDI, coffrets étanches, connectiqueCogénérateurs photovoltaïques, convertisseurs, régulateursCoudes et accessoiresCheminent de câbles : goulottes, boîtes…Convecteurs, unités de confortDiffuseurs d’air : terminaux, entrées, bouches d’extractionDisjoncteurs divisionnaires, fusibles, interrupteurs, variateurs, délesteurs, minuterieFibre optiqueFils et Câbles non isolés ou chauffants, câbles Haute tensionMatériels d’éclairage : encastrés, appliques, projecteurs, luminaires/bornes extérieurs…Motorisations d’ouverturePoints d’accès wifi, répartiteursSystème de désenfumage (grilles, volets, caissons…)Systèmes de diffusion sonore : sonnettes, haut-parleursSystèmes de sécurité incendie, éclairages de sécurité et vidéosurveillanceLa base INIES regroupe :les Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) pour les produits de la construction ;les Profils Environnementaux Produits (PEP) pour les équipements électriques, électroniques et de génie climatique.des données environnementales par défaut (DED)des données conventionnelles de service (DES).Télécharger le Baromètre INIES 2022
Il y a 2 ans et 156 jours

Qualité de l'air intérieur : concilier renouvellement d'air et performance énergétique

Les effets nocifs de la pollution de l’air intérieur sur la santé des occupants ne sont plus à démontrer. Le renouvellement d’air et la ventilation sont donc fondamentaux afin de satisfaire les exigences de confort et de santé des occupants.Afin d'atteindre les objectifs ambitieux en matière d'économie d'énergie et de lutte contre le réchauffement climatique, l’enjeu majeur est de maintenir un environnement intérieur de qualité (confort thermique, qualité d'air intérieur - QAI, confort acoustique) tout en réduisant les consommations énergétiques du bâtiment.La nécessité d’une bonne qualité de l’air et du renouvellement d’airNous passons aujourd'hui 90% de notre temps en milieux clos (logements, entreprises, crèches, écoles, transports…) où l'air intérieur peut révéler un taux de pollution jusqu’à dix fois plus élevé que l’air extérieur. Les effets nocifs de la pollution de l’air intérieur sur la santé des occupants ne sont plus à démontrer : syndrome du bâtiment malsain, asthme, effets cocktails, effets sur les performances du travail. On estime aujourd’hui le coût des effets socio-économiques d’une mauvaise qualité de l’air intérieur en France à 19 milliards d’euros par an pour 6 polluants seulement (voir sources 1). Véritable problématique sociétale car liée à la santé publique, l’amélioration de la qualité de l’air intérieur (QAI) passe par une ventilation performante avec des systèmes qui doivent répondre à un double défi : celui d’assurer un renouvellement de l’air suffisant tout en limitant au maximum l’impact énergétique. Pour ce faire, il faut travailler sur la réduction des consommations énergétiques directes liées à la consommation des auxiliaires et celles indirectes liées au renouvellement d'air (besoins de chauffage et de refroidissement).Les leviers d’action sont au nombre de trois : Agir sur la consommation électrique des ventilateurs avec l’utilisation de moteurs à commutation électronique (EC), dont la vitesse régulée permet de réduire sa consommation, et l'optimisation des rendements des ventilateurs. Optimiser le renouvellement d’air. Cela s’effectue de deux façons principalement : via la notion de balayage (amenée d'air dans les pièces de vie et extraction dans les locaux pollués), très présente en France, et via la modulation des débits en habitat et en tertiaire. Cette modulation permet d’adapter les débits d'air au besoin réel.Récupérer l’énergie sur l’air extrait en utilisant des échangeurs de chaleur (à plaque ou à roue) entre l'air extrait et l'air neuf et en utilisant l’air extrait comme source pour les appareils multifonctions (pompe à chaleur ou chauffe-eau thermodynamiques). Quels sont les enjeux du renouvellement de l’air ? Le premier enjeu est de satisfaire les exigences de santé et de confort des occupants en amenant l’air neuf de l’extérieur, en évacuant l’air vicié et en diluant les polluants. Le deuxième enjeu est de contribuer à la préservation du bâtiment en évitant les risques de condensation et donc le développement de moisissures. Le renouvellement d’air peut se faire de trois façons : les infiltrations d’air résultant de la perméabilité du bâtiment. Non maîtrisables, elles sont aujourd’hui incompatibles avec les exigences d'étanchéité à l'air des bâtiments. l’ouverture des fenêtres qui permet d'amener de façon ponctuelle un débit d'air élevé, notamment après un pic d’activité. Cependant, cette méthode reste étroitement liée à l’usager et aux contraintes extérieurs (climatique, acoustique, effraction…). Il n'est donc pas possible de s’en remettre à cette seule solution pour assurer une bonne QAI. un système de ventilation pour assurer le renouvellement d’air des bâtiments. Grâce à un apport d'air localisé, une maîtrise des débits et un traitement complet du bâtiment, cette solution est la plus probante et la plus efficiente. Ces systèmes de ventilation doivent satisfaire à des exigences portant notamment sur la performance énergétique, la sécurité incendie, le confort acoustique, le développement durable. Le cas échéant, ils doivent également être compatibles avec le bon fonctionnement des appareils à combustion, afin d'éviter les inversions de tirage. Il existe plusieurs leviers d'action afin d'améliorer l'efficacité du système de ventilation pour préserver une bonne QAI tout en réduisant les consommations énergétiques. Épurer l’air, un levier d’amélioration de la QAI bien connu Une première solution consiste à épurer l'air, soit avec différents types de média filtrant (fibres de verre, fibres, filtres avec traitement électrets…), soit par d'autres technologies (ionisation, photocatalyse, etc.). Cela va ainsi permettre de réduire le niveau de particules de l'air venant de l'extérieur, les pollens, les micro-organismes, les germes ou autres bactéries pénétrants dans les locaux (épuration intégrée à la ventilation) ou présents dans l'air ambiant (épurateur d'air autonome). Toutefois, à l'inverse d'un système de ventilation qui extrait tous les polluants de l'air sans distinction, l'épuration d'air ne traite qu'une famille cible de polluants (chimiques, bactériens ou particulaires). Il faut donc associer plusieurs techniques d'épuration si l'on veut traiter tout le panel des polluants. De plus, certains polluants ne sont pas traités par l'épuration (CO2 par exemple). L'épuration ne peut donc pas être à elle seule la solution. Elle doit être associée à une ventilation performante. La ventilation intelligente, un levier d'avenir La définition donnée par l'AIVC (sources 2) pour la ventilation intelligente des bâtiments est la suivante : "La ventilation intelligente est un processus d'ajustement permanent du système de ventilation au cours du temps, et éventuellement selon l'emplacement, pour fournir la qualité d'air intérieur (QAI) souhaitée tout en minimisant la consommation d'énergie et la facture énergétique, ainsi que d'autres inconvénients non liés à la QAI, comme par exemple l'inconfort thermique ou le bruit". Un système de ventilation intelligente réagit notamment à la présence d’occupants, à des critères de QAI, des besoins du réseau électrique, de température ou d’humidité relative extérieure, à de la pollution intérieure ou au fonctionnement d’autres systèmes. D’après une étude du CETIAT concernant les bâtiments tertiaires (sources 3), le taux d’occupation moyen d’un bureau est de 40 % et de 10 % pour une salle de réunion, ce qui tend à prouver l’intérêt de recourir à la modulation des débits. Cette modulation va être liée à des capteurs d’humidité (ce qu’on connaît surtout dans le secteur résidentiel avec les systèmes hygroréglables), de détection de présence (dans les toilettes et dans les bureaux dans le tertiaire), un comptage optique et des capteurs de CO2. La modulation de débit peut se faire soit par zone, au niveau des terminaux ou d'une branche complète du réseau aéraulique, soit à l'échelle complète du bâtiment en agissant directement sur le ventilateur. Afin de vérifier et de valoriser l'efficacité des systèmes de modulation de débit, différentes certifications existent tant au niveau français (NF, QB) qu'européen (Eurovent, Passivhaus). Les performances des produits et les valeurs annoncées par les fabricants sont ainsi contrôlées par un organisme tiers indépendant. Les équipements de ventilation, une fois installés, doivent être vérifiés. Dans le résidentiel neuf, la réglementation environnementale RE2020 a inscrit dans ses textes l’obligation de vérification des systèmes de ventilation par un professionnel indépendant. Un indicateur de conformité sera inscrit dans l’attestation RE2020, l’usager pourra donc avoir une information précise sur la conformité de son installation.La QAI est l’affaire de tous lors de la construction d’un bâtiment : de la programmation à la phase d’exploitation et au fonctionnement, tous les corps de métiers liés à la construction des bâtiments sont acteurs de cette qualité d'air intérieur. On perçoit depuis quelques temps que l'impact des bâtiments sur la santé et le bien-être des occupants prennent une place de plus en plus importante au sein de l'opinion publique, au même titre que la performance énergétique.1 : Rapport ANSES-CSTB, avril 2014 - https://www.oqai.fr/fr/campagnes/cout-socio-economique-de-la-pollution-de-l-air-interieur - Polluants étudiés : benzène, radon, trichloroéthylène, CO, particules, fumée de tabac environnementale2 : F. DURIER, R. CARRIÉ et M. SHERMAN. "Qu'est-ce que la ventilation intelligente (smart ventilation) ?". Ventilation Information Paper n° 38, mai 2018 - https://www.aivc.org/sites/default/files/VIP38_french.pdf3 : Note Technique CETIAT NTV 2000/071, "Modulation de débit", 176 pages, Septembre 2000Tribune de Benoît Golaz, chargé d'affaires Systèmes Aérauliques Ventilation au CETIAT (Linkedin)
Il y a 2 ans et 156 jours

Ouverture des demandes pour le chèque bois énergie de 50 à 200 euros à partir du 22 décembre

Le Parlement a adopté définitivement vendredi, par un vote du Sénat, un dernier budget rectifié pour 2022, avec parmi les autres dispositions cette aide de 230 millions d'euros pour les ménages se chauffant au bois."Le guichet ouvrira le 22 décembre", a expliqué Gabriel Attal au Parisien."Il suffira de se connecter sur le site chequenergie.gouv.fr et de rentrer son numéro de télédéclarant et sa facture. Pourront y accéder les Français qui gagnent jusqu'à 2.260 euros pour une personne seule et jusqu'à 4.750 euros pour un couple avec deux enfants. L'aide ira de 50 à 200 euros", a-t-il précisé.Toute une série de dispositifs ont été prévus cette année pour le chauffage pour aider les ménages face à la flambée des prix de l'énergie.Mesure phare, un chèque énergie exceptionnel, allant de 100 à 200 euros, sera versé d'ici la fin de l'année à quelque 12 millions de ménages. Un guichet est aussi ouvert depuis novembre pour un chèque allant de 100 à 200 euros et qui devrait bénéficier à 1,6 million de foyers modestes se chauffant au fioul et n'ayant pu bénéficier du bouclier mis en place pour l'électricité et le gaz.
Il y a 2 ans et 156 jours

L’hôtellerie réinvente ses espaces outdoor

Hôtel Adlon en Italie, un espace bien-être face à la merCet hôtel 4 étoiles en bord de mer est situé dans la ville de Jesolo Lido près de Venise. L’hôtel Adlon est reconnu pour la qualité de ses services haut de gamme et pour son très grand niveau de confort. Situé dans le quartier Piazza Drago, près de la mer Adriatique, à quelques pas du musée d’histoire naturelle de Jesolo, il abrite en plus de ses 70 chambres, une salle de fitness, un restaurant ultra lumineux et une terrasse avec piscine extérieure ouverte en hiver. Piscine et terrasse surplombent la mer offrant un superbe panorama pour se baigner et se relaxer.Propriétaire : Rizzante HotelsDate des travaux : début juillet 2021Savoir-faire KE Outdoor DesignKE a été sollicitée par l’établissement pour créer une zone protégée dans l’espace extérieur du restaurant et dans l’espace piscine. Ont été installés 8 Stores KE avec coffre QUBICA LIGHT, teinte 9006 Aluminium Mat, dans les dimensions : largeur 512 cm x avancée 210 cm, toile Tempotest Starlight resinato 6079/200, avec anémomètre, capteur soleil/vent et télécommande moteur.Hôtel-restaurant Les Sables Blancs en Bretagne, une terrasse de restaurant confortable et accueillante... en toutes saisonsSitué à Concarneau et surplombant l’une des plus belles plages de Bretagne, l’établissement 4 étoiles Les Sables Blancs bénéficie d’un cadre privilégié pour accueillir une clientèle en recherche de quiétude et de services haut de gamme. L’établissement conjugue haut standing et dépaysement avec ses 18 chambres et balcons dominant la mer, 3 suites, terrasse avec jacuzzi, restaurant panoramique avec double terrasse, accès direct à la mer, etc.Propriétaire : Les Sables BlancsDate des travaux : mai 2022Savoir-faire KE Outdoor DesignKE a été choisie par l’établissement pour couvrir et agrandir la terrasse du restaurant afin de pouvoir accueillir davantage de clients sur les demi-saisons. Ont été installées en quinconce 3 pergolas bioclimatiques KEDRY SKYLIFE à lames rétractables (80 m2 de couverture totale), en version autoportante, équipées de fermetures en vitrages panoramique Line Glass.Falkensteiner Hôtel & SPA Jesolo, une salle de relaxation panoramique baignée de lumièreNiché en plein cœur de la riviera vénitienne, ce complexe balnéaire 5 étoiles au design épuré et contemporain porte la signature de l’architecte américain Richard Meier, spécialiste d’une architecture abstraite reliée à son environnement. Colossal, l’hôtel propose 102 chambres double et 52 suites ultra-modernes, avec vue sur la mer. L’établissement accueille également 3 restaurants aux influences du monde, un SPA avec piscines (espace sauna, de relaxation, plusieurs espaces de bien-être, salle de sport...). La station bénéficie également d’une plage de sable privée et préservée pour une plus grande intimité et un séjour sur-mesure.Propriétaire : Falkensteiner Hotels & ResidencesSavoir-faire KE Outdoor DesignEn partenariat avec l’architecte d’intérieur Bea Mitterhoffer, KE a été chargée de protéger avec discrétion et efficacité la terrasse extérieure de l’espace détente du Spa, via la mise en place d’une couverture lumineuse. Un choix qui a permis de masquer la vue des chambres des étages supérieurs donnant sur la terrasse. Ont été installées côte à côte 3 voiles d’ombrage KHEOPE (80 m2 de couverture) motorisées et équipées d’un anémomètre pour assurer une fermeture automatique en cas d’intempéries.Dans l’univers de l’hôtellerie, les espaces extérieurs de détente et de restauration reflètent la qualité du lieu. C’est pourquoi ils font l’objet de plus en plus d’attention de la part de professionnels parfaitement conscients de la plus-value qu’ils représentent en termes d’attractivité et de fidélisation. L’un des équipements clés pour valoriser ces espaces réside dans les systèmes d’ombrage qui doivent garantir la protection solaire de manière esthétique.KE Outdoor Design accompagne les professionnels de l’hôtellerie et plus largement des cafés et restaurants partout dans le monde. La marque dispose d’une ligne de produits parfaitement adaptée au marché du CHR avec des protections solaires qui font dialoguer formes architecturales, attentes esthétiques et exigences du chantier.Lumière sur trois solutions KE dédiées aux professionnelsLes pergolasParmi les solutions KE les plus plébiscitées sur ce marché, la pergola toile ISOLA 3 avec sa double toiture* spéciale CHR et la pergola bioclimatique KEDRY SKYLIFE et son toit à lames orientables et rétractables, figurent en bonne place. Elles bénéficient d’un large choix de couleurs et d’options personnalisées : éclairage par leds, fermetures latérales, automatisation... Avec une configuration sur mesure, ces structures fixes s’intègrent dans leur environnement et assurent une protection maximale tout en offrant le prolongement de la saison en extérieur, un atout à haute valeur ajoutée. Ces pergolas participent à créer des cadres de réception exceptionnels et à assurer le confort.* Toile rétractable en PVC sur le dessus et toile micro-perforée sur le dessous.Les storesAutre solution KE appréciée par les professionnels du secteur de l’hôtellerie, café restauration : le store banne coffre QUBICA imaginé par le Designer italien à la renommée internationale, Robby CANTARUTTI. Ce store haut de gamme aux performances techniques élevées s’adapte à tous les types d’architecture. Il est doté de lignes géométriques, d’un coffre bicolore, de dimensions généreuses avec notamment une inclinaison importante qui permet de bien ombrager balcons et terrasses aux heures les plus chaudes de la journée. Il est également entièrement personnalisable en termes d’automatisation, d’éclairage, de coloris (coffre et toile), de technologie (pour les bras mécanisés du store)... autant d’atouts pour valoriser les terrasses.Les voilesLes voiles tendues élégantes et aériennes sont de plus en plus recherchées par les établissements haut de gamme pour aménager leurs espaces extérieurs : terrasses, aires de repos, de bien-être... KE propose plusieurs modèles de voile d’ombrage parmi lesquels KHEOPE dont les lignes fluides peuvent couvrir environ 20 m2 et près de 50 m2 avec le système motorisé. Confectionnée sur mesure, elle allie protection solaire efficace, raffinement, confection de qualité supérieure et installation simple. Composée de matériaux d’origine nautique comme le Dacron, elle est résistante à l’usure et au vent. Pratique à utiliser, simple à manœuvrer, elle permet de modifier librement l’inclinaison de la voile depuis le sol, de jouer avec les hauteurs pour adapter la zone ombrée aux besoins. KHEOPE se décline aussi en version adossée au mur pour limiter l’utilisation de poteaux de soutien et souligner le panorama environnant, tout en préservant l’esthétique du lieu.
Il y a 2 ans et 157 jours

Des servantes Würth hautes en couleur

Nous sommes tous supporters et solidaires de notre culture et de notre nation. Cela n’empêche que l’appel des horizons lointains se manifeste parfois. En Europe, ou bien ailleurs dans le monde. Chaque pays est riche de sa culture, sa gastronomie, sa langue, son drapeau. Le monde est haut en couleurs. Et si on mettait aussi de la couleur dans nos ateliers ? Quoi de mieux pour apporter le sourire dans sa journée de travail et pour voyager dans notre atelier qu’une servante personnalisée ? France, Espagne, Brésil… Vous n’avez plus qu’à choisir ! Würth propose une gamme de 9 servantes aux couleurs des pays du monde. Robustes, mobiles et adaptées à tous les corps de métiers, les servantes Basic 8.4. sont totalement personnalisées : France, Portugal, Allemagne, Angleterre, Hollande, Belgique, Espagne, Brésil et Argentine. Il suffit de choisir son pays favori pour en profiter et donner des couleurs à son atelier. De fabrication européenne dans les usines du Groupe Würth, cette nouvelle servante est gage de qualité et de robustesse.Servante Basic 8.4 CollectorArt. N° 0962 641 100 à 110459 € H.T. l’unitéCaractéristiques : 4 roues dont 1 à frein.Capacité de charge maximum : 250 kg.Capacité de charge du tiroir : 25 kg.Travail à une hauteur de 96,4 cm.Dimensions extérieures de la servante : l x p x h : 665 x 393 x 964 mm.La servante Basic 8.4 peut-être équipée en outillage grâce au jeu de 6 alvéoles Würth.Jeu de 6 alvéolesArt. N° 0965 905 111459 € H.T. l’unitéCaractéristiques : Compatibles avec les servantes et les coffrets SYSKO.Cliquets et douilles ¼" et ½" du 4 au 32 mm.Clés mixtes du 6 au 22 mm.Outils de frappe.Pinces + pinces circlips + clés mâles 6 pans et torx.Tournevis Fente + PH.Tournevis TX10 à TX40.Nouvelle protection carbone haute résistance sur les alvéoles, permet une longue durée de vie et un nettoyage facile.Marquage des dimensions sur les alvéoles pour un repérage facile et un choix rapide des outils.Boutique en ligne : eshop.wurth.fr
Il y a 2 ans et 157 jours

Le Cerib accompagne les entreprises de l’industrie du béton pour l’obtention du Label Engagé RSE de l’Afnor

L’accompagnement du Cerib dans la transition RSE des industriels du bétonLe Cerib propose un plan d’actions RSE pour accompagner les groupes, les ETI, PME et TPE dans cette transition. Cet accompagnement consiste à réaliser un premier diagnostic permettant d’évaluer leurs pratiques en matière de RSE au siège et sur les sites. Pour les entreprises qui souhaitent aller plus loin, le Cerib propose également un accompagnement pour les préparer à la labélisation AFNOR Engagé RSE.Sur la base du référentiel d’AFNOR Certification, cet accompagnement permet de réaliser une pré-évaluation, selon le modèle Engagé RSE, conclue par un rapport, puis de définir un plan d’actions pour préparer l’entreprise à la labélisation AFNOR Engagé RSE. Cette démarche permet de réduire la durée de l’évaluation de l’AFNOR et d’optimiser ainsi les coûts pour l’entreprise. L’entreprise accompagnée est par ailleurs davantage préparée à l’évaluation, grâce à une meilleure compréhension du référentiel.Le Groupe RECTOR LESAGE, premier industriel labellisé Engagé RSE AFNORLe groupe RECTOR LESAGE s’est engagé en 2021 dans une démarche RSE structurée en quatre axes : Décarboner ses produits et ses activités, Protéger l’environnement et préserver la biodiversité, Favoriser le bien être au travail, Ancrer ses activités dans les territoires. Il a aussi été le premier industriel du béton à s’inscrire dans la démarche Engagé RSE d’AFNOR Certification.L’accompagnement du Cerib a débuté au 3e trimestre 2021 par un pré-audit à blanc selon le référentiel Engagé RSE d’AFNOR Certification réalisé au siège et sur plusieurs sites du groupe. Les auditeurs du Cerib ont rencontré de nombreux collaborateurs et parties prenantes externes de RECTOR LESAGE afin d’évaluer la stratégie du groupe, ses pratiques et sa performance en matière de RSE.RECTOR LESAGE a pu s’appuyer sur les conclusions de ce pré-audit, puis sur un accompagnement personnalisé réalisé au 1er semestre 2022 par le Cerib pour se préparer efficacement à l’audit de labélisation en juin 2022 par l’AFNOR, tout en réalisant son premier rapport RSE.À l’issue de cette évaluation, AFNOR Certification a positionné le groupe porteur du label Engagé RSE au niveau « Confirmé » (3e niveau sur une échelle de 4 niveaux dont le dernier est celui de l’exemplarité).Pour Ronan Blanchard, président du directoire de RECTOR LESAGE : « Première entreprise de l’Industrie du Béton reconnue à ce niveau, nous entendons bien capitaliser sur cette reconnaissance méritée et nous remercions le Cerib pour l'efficience de son accompagnement. Ce résultat confirme la sincérité de notre engagement et les efforts collectifs fournis depuis deux ans pour opérer le changement de notre activité vers plus de durabilité. »
Il y a 2 ans et 157 jours

Incompréhension des fabricants d'isolants en polystyrène expansé retoqués par la base INIES

La Base INIES refuse de prendre en compte leurs FDES lorsque leurs produits intègrent de la matière certifiée Mass Balance. C’est-à-dire lorsque le polystyrène expansible puis les panneaux isolants qui en sont issus recourent au principe d'allocation de ressource renouvelable (par exemple la biomasse).Une nouvelle génération de PSE bas carboneL’industrie des panneaux d’isolation en polystyrène expansé (PSE) s'est mobilisée depuis quelques années pour trouver des solutions afin de s’inscrire dans la construction bas carbone et ainsi réduire son impact sur l’environnement. Dans ce cadre, les industriels travaillent à la diminution de leurs besoins en énergie pour la production des panneaux, tout en limitant l’utilisation de ressources fossiles.Cette approche, commune à l’ensemble des industries chimiques, consiste à repenser la chimie basée sur des ressources fossiles pour y substituer des ressources renouvelables. Les industriels misent notamment sur les biogaz pour repenser la chimie, en cassant des molécules de gaz provenant de la décomposition des végétaux.Pour Amaury Omnès, Président de l’AFIPEB : « Pour tous les industriels du secteur, produire du PSE avec des déchets de végétaux, c’est clairement l’avenir. Ces déchets existent et ne demandent qu’à être valorisés. Pour la filière, les enjeux sont considérables en permettant notamment de réduire l'impact carbone des produits concernés et de répondre aux objectifs de la transition progressive vers des constructions bas carbone. »Une matière certifiée par le crédit Method Mass BalanceDes panneaux PSE recourant à cette technologie existent déjà. Néanmoins, c’est une technologie naissante et les quantités de matière première sont encore limitées. Aujourd’hui, l’industrie du PSE ne peut pas produire à 100% du PSE Bass Carbone à partir de la biomasse.Pour y remédier, l’industrie amont a fait le choix de mélanger sa matière première issue de la biomasse et celle issue du pétrole pour fabriquer les différentes molécules servant aux productions en aval.Cette évolution n’impacte pas le processus industriel. Que ce soit chez les producteurs de matière première ou chez les fabricants d’isolants en polystyrène expansé, la fabrication de ces isolants PSE Bas Carbone exploite les installations standards.De fait, pour les industriels, l’enjeu principal réside sur le principe d'allocation de la biomasse dans le produit de base et final, ainsi que sur les processus de traçabilité visant à la justifier. Pour cela, les industriels du PSE ont décidé d’utiliser le principe de la Crédit Method de l’approche Mass Balance décrite par la norme ISO 22095 “Chaîne de contrôle – Terminologie générale et modèles.Pour Joaquim Correia, Vice-président de l’AFIPEB : « Cette méthode consiste à la mise en place d’une chaîne de contrôle, à toutes les étapes de production, pour allouer la quantité initiale issue de la biomasse à une partie des matières produites. Cette norme établit qu’il existe un lien entre le flux documenté administrativement et le flux physique des matériaux et des produits. »Des organismes indépendants expérimentés (ISCC, REDCert, RSB...) contrôlent cette allocation de crédit Mass Balance et délivrent une certification attestant qu’elle est exacte. Cette certification s'étend jusqu'au bout de la chaîne, c’est-à-dire jusqu'aux produits finis, les isolants en polystyrène expansé.Blocage de la base INIESEn France comme en Europe, l’approche Mass Balance est utilisée depuis longtemps dans d’autres filières et elle est même acceptée dans la certification du bois durable. Son recours dans les nouvelles technologies pour une transition écologique et circulaire efficace, a été reconnue par plusieurs ONG de renom, telles que WWF et la Fondation Ellen Mc Arthur.Pour Amaury Omnès : « Nous avons lancé des produits, nous avons élaboré des FDES qui ont été vérifiées par des vérificateurs indépendants habilités. Cela montre bien que tout est sous contrôle car la partie Mass Balance est, elle aussi, vérifiée par des acteurs indépendants. Et, après avoir publié des premières FDES, il se trouve qu’en mars 2021, la Base INIES a édicté une nouvelle règle interdisant l'utilisation de Mass Balance. » Elle fonde sa décision sur une interprétation des normes que les industriels du PSE contestent.Pour Joaquim Correia : « C’est une décision unilatérale qui n’est pas appliquée en Allemagne par l'homologue de la Base INIES (IBU) qui reconnaît cette approche pour les produits de construction. Les pouvoirs publics refusent d'en discuter. »Cette décision met en difficulté les industriels concernés qui n’ont plus la possibilité de publier des FDES utilisant le principe Mass Balance. Autrement dit, leurs produits bas carbone ne sont pas reconnus et ne peuvent pas participer à la transition progressive vers des constructions bas-carbone, misant sur la diversité des modes constructifs et la mixité des matériaux portée par la RE2020.Pour Joaquim Correia : « Refuser la Crédit Method Mass Balance, c’est se priver d’un outil précieux pour faire avancer les filières dans la bonne direction. Cette approche que nous défendons intéresse tous les produits de construction intégrant des matières différentes, issues du recyclage ou encore de la biomasse et qui vont en avoir besoin pour démarrer leur transition. »Pour Amaury Omnès, au nom de l’AFIPEB : « Comme pour l'électricité “verte”, la méthode d'allocation stimule la demande. Le client bénéficie de produits bas carbone et “finance” l'investissement dans cette transition. C'est une condition nécessaire de développement. Mais il faut aussi une volonté politique sur les moyens et pas seulement sur les objectifs. »
Il y a 2 ans et 159 jours

La Nouvelle-Calédonie peine à payer son électricité

La Société néo-calédonienne d'énergie (Enercal), société d'économie mixte dont la Nouvelle-Calédonie est l'actionnaire majoritaire depuis 2008, a fait ses comptes : elle sera en cessation de paiement d'ici la fin de l'année si aucune mesure visant à compenser son déficit n'est prise, a-t-elle elle-même annoncé fin octobre."Le prix du charbon a été multiplié par presque cinq, et la crise en Ukraine a également des conséquences qui nous sont défavorables sur le taux de change. Or toutes les projections nous montrent que la situation ne va pas s'arranger avant au moins trois ans", a indiqué à l'AFP le directeur général d'Enercal, Jean-Gabriel Faget.Selon Enercal, les conséquences de la guerre en Ukraine devraient entraîner un déficit supplémentaire de 42 millions d'euros pour l'année 2022. Un chiffre conséquent qui s'ajoute au déficit global de l'entreprise de 75,6 millions d'euros.Un véritable casse-tête pour le gouvernement local, déjà contraint de voter en début d'année une augmentation de 11% du tarif public, gelé depuis 2012. Un gel jamais compensé jusque-là par les pouvoirs publics auprès de l'entreprise. Pour faire face au surcoût, il faudrait "augmenter à nouveau le tarif public, d'environ 20%", selon les estimations d'Enercal.Une situation "inenvisageable", estime Christopher Gyges, membre du gouvernement local en charge de la transition énergétique, qui entend plutôt "solliciter l'État au titre de la solidarité nationale".La Nouvelle-Calédonie ne bénéficie pas du système de compensation qui permet au consommateur des départements d'Outre-mer de payer le même prix de l'électricité que dans l'Hexagone, malgré les surcoûts liés à l'insularité. "Dépendance"Sur le moyen et long terme, le gouvernement local mise "sur les énergies renouvelables pour sortir de la dépendance aux énergies fossiles", indique Christopher Gyges.La Nouvelle-Calédonie s'est dotée, pour la période 2016-2022, d'un ambitieux schéma de transition énergétique qui a permis de faire passer la part des énergies renouvelables dans la production d'électricité de 10 à 23%. Le territoire compte désormais 39 fermes photovoltaïques produisant 178 mégawatt/heure. 25 nouveaux sites de production devraient sortir de terre entre 2023 et 2025. "L'objectif, c'est que l'équivalent de la consommation publique, c'est-à-dire hors secteur métallurgique, soit produit à partir d'énergies renouvelables d'ici à 2030", ajoute M. Gyges.La mise à jour de ce schéma pourrait être appliquée au nickel, qui compte trois usines, faisant de l'archipel un endroit extrêmement industrialisé, au regard de sa population de 270.000 habitants. Quelque 75% de l'électricité produite est d'ailleurs consommée par la métallurgie et le nouveau texte prévoit donc de porter à 50% la part du renouvelable dans l'alimentation électrique du secteur.Reste l'épineuse question du stockage de l'énergie produite, dans des batteries de lithium-ion. "Aujourd'hui, le stockage sur batterie lithium-ion, c'est une solution qui est extrêmement chère. Le kilowatt/heure qui entre dans une batterie, à la sortie son prix est multiplié par trois", souligne Jean-Gabriel Faget.Le gouvernement entend développer des stations de transfert d'énergie par pompage qui fonctionnent en pompant de l'eau avec l'énergie photovoltaïque le jour et utilisent cette eau pour faire tourner les turbines la nuit et produire de l'électricité. Une alternative plus économique, mais nécessitant des investissements importants : 600 millions d'euros pour deux unités capables de stocker 300 mégawatts.Au total, 2,4 milliards d'euros d'investissement sont prévus pour le développement des énergies renouvelables. Une somme colossale qui fait débat : présentée aux élus du congrès de la Nouvelle-Calédonie, son examen a été reporté par la majorité indépendantiste de l'assemblée, qui a estimé ne pas avoir de visibilité suffisante sur la capacité du territoire à soutenir ces investissements.
Il y a 2 ans et 159 jours

Londres va étendre sa taxe de circulation pour les véhicules polluants

Restreinte au centre de Londres à son introduction en 2019, la zone ULEZ (ultra low emission zone) avait déjà été considérablement élargie en 2021. Le maire de Londres Sadiq Khan a annoncé vendredi l'étendre à partir du 29 août 2023 à tout le Grand Londres, où vivent neuf millions de personnes.En pleine crise du coût de la vie, introduire une nouvelle taxe a été "une des décisions les plus difficiles que j'ai eu à prendre", a-t-il commenté, mais la pollution de l'air rend les Londoniens malades "du berceau à la tombe"."A la fin, la santé publique compte plus que l'opportunisme politique", a ajouté le maire travailliste. "Cinq millions de personnes supplémentaires vont pouvoir respirer un air plus pur."En parallèle, Sadiq Khan a annoncé jeudi son intention de maintenir Londres à l'avant-garde de la "révolution" des voitures électriques en ajoutant 100 points de recharge ultra-rapide à travers la ville. Ils permettent de complètement recharger une batterie en 20-30 minutes.Selon la municipalité, la capitale compte plus de 11.000 points de recharge, soit un pour quatre véhicules électriques immatriculés à Londres. La ville prévoit aussi la création de 4.500 emplois liés au développement de l'électrique.Les voitures électriques ne sont pas concernées par l'extension de la zone ULEZ.Cette extension est une "bonne nouvelle pour la santé de tous les Londoniens. La pollution de l'air affecte les enfants avant même leur naissance et leur cause des problèmes de santé tout au long de leur vie", a réagi sur Twitter l'association "Mums for Lungs" ("Des mamans pour les poumons").Actuellement, les conducteurs de voitures à essence généralement fabriquées avant 2006 (norme Euro 4) et de véhicules diesel généralement fabriqués avant 2015 (norme Euro 6) doivent débourser 12,50 livres (14,80 euros) par jour pour entrer dans la zone ULEZ. Pour les camions et les cars, il faut payer 100 livres (116 euros) par jour. Les taxis sont exemptés.Outre cette taxe, une "congestion charge", un péage urbain de 15 livres par jour, s'applique dans l'ultra-centre à tous les véhicules, afin de réduire le trafic.Selon un rapport de 2019, la pollution de l'air a été à l'origine de 1.000 hospitalisations par an à Londres entre 2014 et 2016.
Il y a 2 ans et 159 jours

Les dates des RenoDays avancées aux 12 et 13 septembre 2023

Créés par le pôle Construction de RX France et construits avec toutes les parties prenantes engagées dans la sobriété énergétique, les RenoDays suscitent d’ores et déjà un intérêt certain.Face à cet engouement, les RenoDays réaffirment leurs ambitions : accélérer la mise en œuvre de travaux de rénovation efficaces en donnant les moyens aux professionnels de prendre ces chantiers à bras le corps.Afin de rassembler toute la chaîne de valeur de la rénovation énergétique des logements, l’évènement inédit accueillera tous les acteurs engagés dès le 12 et 13 septembre 2023, dans le Pavillon 6 de Paris Expo Porte de Versailles. Il était préalablement prévu début octobre.En s’appuyant sur une centaine d’exposants attendus, parmi lesquels des industriels, société de services et institutionnels, les RenoDays proposeront un format innovant, construit sur une grande diversité de sessions de rencontres pour :échanger des conseils, des expertises et des bonnes pratiques ;s’informer sur les évolutions de la réglementation ;apprendre et se former, présenter ou découvrir les solutions les plus innovantes, et communiquer.
Il y a 2 ans et 159 jours

Le maire PS de Saint-Ouen Karim Bouamrane élu à la tête de la Société du Grand Paris

"Je suis profondément attaché, comme l'ensemble des élus franciliens, à la réussite du Grand Paris Express. Ce projet permettra d'améliorer la vie quotidienne de millions d'habitants. Il est une réponse concrète à l'urgence environnementale et sociale", a déclaré Karim Bouamrane, cité dans le communiqué."Tous les habitants doivent bénéficier d'un accès égal à l'emploi, au développement économique, à la culture, au progrès", a-t-il ajouté. La Société du Grand Paris est un établissement public dédié à la construction de 200 kilomètres de lignes de métro automatique autour de la capitale, avec quatre nouvelles lignes et le prolongement de la ligne 14. La SGP réalise aussi bien les infrastructures de transport que les projets immobiliers inhérents, le plus souvent en collaboration avec un promoteur.Le budget 2023 de l'établissement public a également été adopté lors du conseil de surveillance qui s'est tenu à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).Il "s'établit à plus de 5,3 milliards d'euros de dépenses dont 3,6 milliards d'euros d'investissement pour les travaux du Grand Paris Express et 150 millions d'euros au titre de la modernisation du réseau de transport francilien", a précisé le communiqué.Karim Bouamrane a été élu en 2020 maire de Saint-Ouen, commune de quelque 50.000 habitants au nord de Paris sous les couleurs du Parti socialiste, dont il a été l'un des porte-parole.
Il y a 2 ans et 159 jours

Renault signe un énorme contrat d'électricité solaire avec Voltalia

Ce contrat d'approvisionnement en électricité solaire, valable 15 ans, devrait permettre à Renault de couvrir à terme la moitié de la consommation électrique de ses usines françaises, avec une puissance de 100 mégawatts à partir de 2025 qui passera à 350 mégawatts en 2027. Voltalia estime qu'il s'agit du plus grand contrat d'approvisionnement en électricité renouvelable jamais signé en France entre un producteur d'électricité et une entreprise cliente. "Aujourd'hui, nous franchissons une étape stratégique dans notre objectif d'atteindre la neutralité carbone dans nos usines", a déclaré le directeur général de Renault, Luca de Meo, dans un communiqué. L'objectif pour Renault, c'est notamment d'atteindre ce que le groupe appelle la neutralité carbone d'ici à 2025 dans son pôle ElectriCity (Hauts-de-France), un engagement qui couvre les émissions directes du site, à l'exclusion des émissions indirectes. Les trois usines de ce pôle doivent produire 500.000 véhicules électriques par an, dont les futures Renault 4 et 5. Pour y parvenir, le groupe a également signé un contrat avec Engie pour alimenter son site de Douai (Nord) en géothermie. A la fin 2023, l'énergéticien entamera des travaux de forage afin de puiser de l'eau chaude (à 130-140°C) à 4.000 mètres de profondeur, pour chauffer l'usine et les machines et remplacer le gaz à 70%, ou produire de l'électricité. Dans le cadre d'un troisième contrat, la filiale d'EDF Dalkia va installer une chaudière biomasse et des systèmes de récupération de chaleur dans l'usine Renault de Maubeuge (Nord). D'une puissance de 15 mégawatts, cette chaudière devrait couvrir 65% des besoins de l'usine en gaz d'ici à 2025. Renault veut diviser par deux les émissions carbone de ses sites dans le monde d'ici à 2030, par rapport à 2019. Le groupe a déjà signé en 2021 un accord avec Iberdrola en Espagne, pour y alimenter ses sites en énergies renouvelables à 100%. La grande majorité (98%) des émissions d'un constructeur automobile relèvent d'émissions indirectes appelées "Scope 3", c'est-à-dire essentiellement de l'utilisation des voitures, selon les calculs de l'ONG Transport & Environment. Mais ces émissions baissent fortement pour les voitures électriques: la fabrication de la batterie représente le tiers de l'empreinte carbone d'un véhicule électrique.
Il y a 2 ans et 159 jours

Mouvement HLM et associations de locataires signent une charte anti-crise énergétique

Dans cette charte, les bailleurs s'engagent notamment à ne pas entamer "de procédure contre les locataires de bonne foi rencontrant des difficultés de paiement dues à l'augmentation des charges" liées à la crise énergétique."Les niveaux d'angoisse et d'anxiété sont très forts sur les territoires" quant à l'augmentation des charges et surtout leur montant, pour l'instant inconnu, a rappelé Romain Biessy, secrétaire de la Confédération syndicale des familles.Les organismes HLM s'engagent donc à "limiter l'impact des hausses de charges", avec un lissage des variations anticipées des coûts de l'énergie.Le mouvement HLM, composé notamment de l'Union sociale pour l'habitat (USH, organisation représentative du secteur HLM), appelle également l'ensemble des organismes à intervenir sur les logements "n'ayant pas encore bénéficié d'une rénovation énergétique" ou comprenant des chauffages énergivores.
Il y a 2 ans et 159 jours

La rénovation énergétique, source d'inégalités ?

Mercredi, lors d'un colloque à Paris dans le cadre de la Journée nationale contre la précarité énergétique, les intervenants ont longuement évoqué la nécessité de rénover massivement les logements, pour réduire leur consommation d'énergie et desserrer les contraintes pesant notamment sur les ménages modestes. Mais la nécessité, dans la plupart des cas, d'avancer les frais bloque encore beaucoup de familles.Le gouvernement l'a compris et a dégainé, au fil des années, des dispositifs pour en tenir compte.Ainsi, MaPrimeRénov', son aide-phare, est plus généreuse avec les ménages à faibles revenus, tandis que les plus riches en sont quasiment exclus.Mais il faut tout de même avancer les frais, et dans la plupart des chantiers, il subsiste un reste à charge, difficile à assumer pour les familles modestes."Quand on dit à des gens qui vivent avec 5 euros par jour et par personne qu'il y a un reste à charge de 5, 10 ou 20.000 euros parfois, c'est juste pas possible. Même s'il y a les trois quarts de trouvés en termes de financement", a détaillé Franck Billeau, directeur du réseau Eco-Habitat, association d'aide à la rénovation."Pour tous ceux qui sont dans les passoires thermiques, et notamment pour ceux qui sont dans une situation de pauvreté, donc ceux qui sont dans la situation la plus difficile et surtout aussi ceux qui émettent davantage de gaz à effet de serre, là, il faut tendre vers le zéro reste à charge", a plaidé sur France Inter Christophe Robert, délégué général de la Fondation Abbé Pierre.Prêt à taux zéroPour pallier cette difficulté, le ministre délégué au Logement Olivier Klein a annoncé mi-novembre le lancement d'un prêt à taux zéro accompagnant MaPrimeRénov'.Plafonné à 30.000 euros, il vise à mieux aider les plus modestes, et rejoint un précédent prêt, le "prêt avance rénovation", qui permettait de rembourser la somme empruntée au moment de la revente du bien ou de la succession.De quoi réduire le reste à charge, mais pas encore à zéro."Avant même de faire une rénovation lourde, il faut engager d'autres frais, par exemple pour un audit énergétique. C'est autant de frais qu'un ménage va avoir du mal à débourser", note Carine Sebi, professeure à Grenoble Ecole de Management et spécialiste de la rénovation énergétique."Faire une rénovation, c'est très compliqué, et on peut toujours remettre en cause l'investissement par rapport au rendement de celui-ci, parce que vous avez plein de paramètres qui vont rentrer en compte, et que l'amortissement se fait parfois sur 20, 30, 40 ans", ajoute-t-elle.Valeur vertePour les propriétaires les mieux lotis, qui ont les moyens d'engager une rénovation, le retour sur investissement peut être plus rapide que prévu: les logements aux meilleures performances énergétiques commencent en effet à se vendre plus cher sur le marché immobilier, tandis que les maisons les plus énergivores perdent de la valeur, selon une étude de 2021 des notaires de France. On parle de "valeur verte".Les propriétaires les plus modestes peuvent au contraire voir leur patrimoine perdre de sa valeur faute de pouvoir faire des travaux... trop onéreux pour eux.Du côté des locataires, en revanche, la valeur verte est de nature à inciter les propriétaires à rénover, estime Carine Sebi, du fait de l'interdiction progressive, à partir de 2023, de louer des logements trop énergivores.Les inégalités au sein des locataires sont néanmoins un peu lissées par le logement social.Avec 46% des logements sociaux de métropole classés A, B ou C pour leur consommation d'énergie (sur une échelle allant de A à G) en 2021, contre 25% pour la France entière, les bailleurs sociaux sont en effet les meilleurs élèves de la rénovation.
Il y a 2 ans et 159 jours

Les maires, en première ligne face à la crise du logement

Avec 2,3 millions de demandes de logement social en attente, la crise du logement en France n'est plus à démontrer. "Comme on ne construit plus assez, le gouvernement dit +on va faire un choc de l'offre, on va faire 500.000 logements+ (...) et les maires, prenez vos truelles", lance Thierry Repentin, maire PS de Chambéry (Savoie), estimant que la mise en oeuvre des politiques nationales en matière de logement repose toujours "sur les maires".Mais l'équation est de plus en plus difficile à tenir, selon des élus qui participaient jeudi à un forum sur le logement à l'occasion du congrès de l'Association des maires de France (AMF).Régulièrement accusés par les professionnels du bâtiment de bloquer les permis de construire, les maires disent se sentir "un peu seuls" face aux enjeux, d'autant que l'objectif de "zéro artificialisation nette" (ZAN) des sols, inscrit dans la loi climat de 2021, réduit encore leur marge de manœuvre."En tant que maire d'une commune de 4.200 habitants, quand on se lève, on est souvent dans le brouillard pour la simple raison qu'on ne maîtrise souvent pas le foncier qui est indispensable à la construction, et le ZAN va nous mettre une pression supplémentaire", témoigne Vincent Hagenbach, maire UDI de Richwiller (Haut-Rhin).Malgré la possibilité de préempter des terrains, via notamment les établissements publics fonciers, il y a toujours un reste à charge, parfois important, pour les communes.Camille Pouponneau, maire de Pibrac, commune de 8.000 habitants de Haute-Garonne, en a fait l'amère expérience. "On a dû abandonner un projet de rachat d'une maison située près d'une gare pour la transformer en logement collectif parce qu'il nous restait 200.000 euros à payer et que c'est l'argent qu'on dépense chaque année pour entretenir nos bâtiments communaux", souligne-t-elle."Rééquilibrer les territoires"A Villeurbanne, commune très attractive qui jouxte Lyon, les élus se félicitent d'avoir réussi à encadrer le prix des loyers. Mais c'est désormais le prix du foncier, objet d'une "concurrence à la hausse entre promoteurs", qui fait grincer des dents, dans une ville qui compte 10.000 demandeurs de logements sociaux."A quoi ça sert de signer des permis de construire si c'est pour voir arriver des logements à 8.000 euros le mètre carré inaccessibles à 80% des ménages ?", interroge Agnès Thouvenot, première adjointe au maire, qui réclame un mécanisme "d'encadrement des prix du foncier" et un "véritable Etat stratège pour rééquilibrer les territoires".A Malakoff (Hauts-de-Seine), la maire PCF a signé une charte avec les promoteurs qui établit un prix de sortie à 6.000 euros le m2 dans un marché qui tutoie les 8 à 10.000 euros. Mais cette charte n'a pas de valeur réglementaire.Les maires pointent aussi la "complexité" des outils dont ils disposent. "On sait qu'on doit loger des personnes âgées qui habitaient en zone rurale. Pour ça on a pas mal d'outils, mais on aimerait qu'ils soient lisibles, compréhensibles et stables", demande Isabelle Le Callennec, maire LR de Vitré (Ille-et-Vilaine).Partout en France, les édiles se plaignent aussi d'une inflation des recours des riverains contre les nouveaux projets, les habitants regardant souvent d'un mauvais œil les constructions nouvelles."Il faut réintroduire un débat. Les grands ensembles ont traumatisé l'imaginaire collectif et nous sommes les réceptacles de cette inquiétude. Pourtant on est aussi très sollicités pour avoir des logements", reconnaît Hélène Geoffroy, maire PS de Vaulx-en-Velin (Rhône).Face à la multiplication des recours, les élus regrettent un manque de soutien de l'Etat et craignent une défaite aux prochaines élections s'ils accordent trop de permis. "Les maires doivent porter seuls la question de la densité et l'explosion des recours. Il faut réhabiliter l'acte de construire", plaide Thierry Repentin.
Il y a 2 ans et 159 jours

Le marché du chauffage : gérer la crise, préparer l’après... le compte à rebours est lancé

En 10 ans, la consommation moyenne d’énergie pour le chauffage a baissé de 30% dans le résidentiel. Signe que les efforts de rénovation thermique portent peu à peu leurs fruits, mais aussi que le réchauffement climatique est devenu, malheureusement, une réalité, avec des hivers de plus en plus doux. Derrière cette baisse, c’est un nouvel équilibre entre énergies de chauffage qui est en train de se jouer. Les ventes de gaz naturel, première énergie utilisée pour se chauffer, diminuent tendanciellement à l’instar des autres énergies fossiles (GPL, fioul). En revanche, les consommations d’électricité, de bois énergie et de chauffage urbain se maintiennent voire augmentent.Une hiérarchie bousculéeSi les transformations étaient déjà fortes, la filière du chauffage est entrée, ces derniers mois, dans un nouveau paradigme. Les enjeux de sobriété énergétique et l’envolée des prix mettent, plus que jamais, les fournisseurs sous tension. Depuis le 1er juillet 2022, les vendeurs de fioul ne peuvent plus compter sur le renouvellement du parc de chaudières puisque l’installation de ces équipements est désormais impossible. De son côté, la RE 2020 porte un coup rude au gaz naturel et au propane, en bannissant ces énergies des maisons individuelles neuves depuis le 1er janvier 2022, et des logements collectifs à partir de 2025. Certes, l’installation d’une solution hybride avec le gaz en appoint sera possible mais la donne change radicalement pour les fournisseurs de gaz naturel, qui voient disparaître l’opportunité d’imposer leur énergie dans l’habitat neuf alors qu’ils avaient largement profité de la RT 2012.Un changement de modèleL’horizon est sombre pour les fournisseurs d’énergies fossiles, en particulier pour les fournisseurs de fioul, qui doivent engager une transformation d’ampleur, au risque de disparaître. Ils peuvent prendre le virage du Biofioul, biopropane et biométhane, mais les volumes de production sont aujourd’hui marginaux et des incertitudes pèsent sur la capacité de ces nouvelles énergies à prendre réellement le relais de leur équivalent fossile. La diversification vers une autre énergie bien implantée va être une étape obligée. Contraints dans les logements neufs, les fournisseurs de gaz naturel vont miser, eux, sur le marché de la rénovation énergétique des logements. Comme pour les fournisseurs d’électricité, et même de GPL, ils sont aussi lancés dans la conquête des clients fioul à convertir.Virage vers l'électricité et les servicesPour tous les fournisseurs d’énergies fossiles, l’électricité apparaît comme un territoire à investir, s’ils ne l’ont pas déjà fait. La flambée des prix limitent pour l’instant leurs marges de manœuvre. Mais, le marché de l’électricité est aujourd’hui très difficile à cause de la flambée des prix de gros. Plusieurs fournisseurs sont sortis du marché de l’électricité contraints ou volontairement. Ils sont encore plus nombreux à avoir renoncé à conquérir de nouveaux clients. Lorsque la crise sera terminée, les velléités des uns et des autres vont se réveiller. Nombre de fournisseurs vont venir tenter leur chance, probablement d’ici 2 à 3 ans. En attendant de passer cette période de turbulence, les services (assistance, dépannage, installation d’équipements…) vont constituer l’autre axe de développement majeur de tous les fournisseurs d’énergies.
Il y a 2 ans et 159 jours

Embellir et simplifier la peinture acrylique... Quand la magie de la technique opère

Floetrol et Aussie-TrolDe la facilité de glisse, à la démultiplication des possibilités déco jusqu’au travail d‘un artiste, quand les caractéristiques d’une peinture déterminent tous ses usages ! Il suffit parfois d’un détail pour transformer un travail laborieux et fastidieux aux résultats inégaux en une action simplifiée aux bénéfices immédiats !Phase aqueuse - précisions : Toutes les peintures n’ont pas la même qualité et lorsque l’on travaille avec de la peinture phase aqueuse, on peut se retrouver confronté à diverses difficultés.La texture peut être collante, difficile à appliquer, avec un temps d’ouverture souvent réduit compliquant son application.Le tendu est également tributaire de la viscosité et peut générer un résultat avec des imperfections inesthétiques.Travailler sur la viscosité, lors de travaux de peinture en phase aqueuse, est l’un des facteurs qui permet d’améliorer immédiatement l’application et le rendu et de multiplier les possibilités de résultats (faux finishing, effet essuyé ...).Durieu avec sa gamme Owatrol met son savoir-faire au service de l’innovation et propose deux produits dont les formulations chamboulent le travail de la peinture des professionnels aux particuliers en passant par les artistes !FLOETROL grâce à sa composition ultra technique allège et facilite toutes les applications en phase aqueuse et AUSSIE-TROL avec une formule dédiée aux artistes du pouring, permet d’obtenir des résultats spectaculaires.Floetrol : un additif dédié aux peintures acryliques : indispensable ! Pourquoi ?Il ajuste la viscosité de la peinture et facilite son application en particulier par temps sec, chaud ou venteux.Il augmente le temps d’ouverture en retardant la prise des peintures, et limite ainsi les traces de reprises. Les effets de pommelage sont largement limités grâce à un meilleur tendu : c’est le partenaire idéal pour les plafonds.Il permet d’obtenir une excellente glisse avec une très bonne brossabilité qui garantit un film plus régulier et donc un très beau rendu.Il simplifie le travail au pistolet car la projection est plus régulière et la qualité de finition meilleure : le FLOETROL lubrifie la buse et permet d’éviter les projections irrégulières inesthétiques.Le plus : Déco à l’infini : Grâce à la fluidité obtenue et l’excellente glisse, tous les effets déco possibles, du faux finishing en passant par l’effet essuyé et même le street art industriel ! Les travaux minutieux et les surfaces non planes (type rechampi ou encadrement de moulure …) sont aussi facilités et améliorés.Aussie-Trol : partenaire des artistes du pouring !Le pouring c’est cette technique qui permet de réaliser avec de la peinture acrylique et des additifs spéciaux, de belles œuvres artistiques sur toile en créant des décors multicolores superposés. Le principe repose sur le fait que les couleurs ne se mélangent pas entre elles mais se diffusent en se superposant pour donner un effet de cellules multicolores et créer la dynamique du tableau. Pour obtenir ces effets cellulaires il faut utiliser un additif qui permet à chaque couleur de garder son identité sans se mélanger aux autres. AUSSIE-TROL offre une solution unique pour augmenter l’effet cellulaire et créer un décor unique extrêmement original.Comment ? Il suffit de l’additionner à chaque couleur avec un rapport de 1 part de peinture pour 4 parts d’AUSSIE-TROL (rapport conseillé) et ensuite d’appliquer la technique du pouring pour créer son œuvre !La peinture à l'eau et Owatrol : qualité, simplicité, efficacité, unicité ! Floetrol et Aussie-Trol, des additifs qui changent le travail et les effets artistiques !
Il y a 2 ans et 159 jours

Le gouvernement lance le volet logement du Conseil national de la refondation (CNR)

Ce CNR Logement, co-animé par Véronique Bédague, directrice générale du promoteur Nexity, et Christophe Robert, délégué général de la Fondation Abbé Pierre, réunira une "union sacrée autour des problématiques du logement", a promis le ministre délégué à la Ville et au Logement Olivier Klein.Son objectif sera d'élaborer "des propositions opérationnelles" et le travail réalisé aura "probablement des traductions législatives", a-t-il assuré.Associations, promoteurs, chercheurs, bailleurs sociaux, l'organisme Action Logement... seront conviés à ce conseil dont les discussions doivent s'étendre sur trois mois.Il déclinera trois grandes questions : la première, "Comment redonner aux Français du pouvoir d'habiter ?", centrée sur les besoins des Français vis-à-vis de leur logement, dont les débats seront aiguillés par le maire (PS) de Villeurbanne Cédric van Styvendael et le directeur général d'Emmaüs Habitat, Serge Contat.La deuxième question portera sur "réconcilier les Français avec l'acte de construire", faisant écho à une demande répétée des promoteurs et constructeurs ; une discussion pilotée par Catherine Sabbah, déléguée générale de l'institut de recherche Idheal, et l'ancien député de la majorité Mickaël Nogal.La troisième réflexion sera orientée autour de la transition écologique et énergétique, et animée par la députée de la majorité Marjolaine Meynier-Millefert et la présidente du Conseil national de l'ordre des architectes Christine Leconte.
Il y a 2 ans et 159 jours

Biogaz : quand crottin et déchets agricoles alimentent l'indépendance énergétique

Entourées de champs de céréales, des cuves géantes coiffées de dômes de plastique abritent un processus discret: la transformation de milliers de tonnes de déchets organiques en biogaz, qui alimentera le réseau de gaz et contribuera à chauffer une demi-douzaine de communes environnantes.Ici, chaque année, 25.000 tonnes de matières, dont des poussières de céréales, du crottin de cheval et des déchets alimentaires... sont ainsi "valorisées", selon le terme usité."Le biogaz est issu de la dégradation de la matière organique par un régime bactérien en l'absence d'oxygène", explique Arnaud Bossis, directeur général de CVE Biogaz, qui gère l'usine d'Equimeth, à Moret-Loing-et-Orvanne, en Seine-et-Marne.Le biogaz est ensuite pré-traité "pour en retirer uniquement la molécule de méthane", alors injectée dans le réseau gazier, explique M. Bossis.Pour en arriver là, les matières sont d'abord broyées et liquéfiées, pour rejoindre "des cuves d'hygiénisation", où leur "pasteurisation, à 70°C pendant une heure, permet un traitement sanitaire".Le flux est ensuite transféré vers le processus de méthanisation, et brassé pendant 20 jours dans une cuve, puis une quarantaine de jours dans une deuxième, à 38°C.Le gaz ainsi produit est alors aspiré en direction de l'unité d'épuration. Dans ce petit container vert, il "est analysé, odorisé", avant d'être injecté dans le réseau de distribution de gaz, couvrant ainsi "15% des besoins de la population et des activités" alentour, notamment pour le chauffage et des véhicules (bioGNV), décrit Arnaud Bossis.Nuisances olfactives"Dans le contexte de pénurie et de raréfaction du gaz russe, on est vraiment content d'avoir du biométhane en France", dit à l'AFP Thierry Trouvé, directeur général du gestionnaire du réseau gazier français GRTGaz."Renouvelable" puisque non fossile, ce gaz vert réduit de 80% les émissions de gaz à effet de serre par rapport au gaz naturel, selon le cabinet Carbone 4.Pour autant, cette catégorie ne représente que 2% de la consommation de gaz de la France. L'Etat vise 10% en 2030 et le secteur estime pouvoir atteindre 20%, plaidant aussi les services rendus: emplois, revenu agricole pour les sites adossés à des exploitations, résidu fertilisant, etc..Des externalités positives à prendre en compte pour M. Bossis, qui évoque un coût de production relativement élevé du biométhane, de l'ordre de 90 euros le mégawattheure - mais désormais un peu moins que les prix actuels du gaz naturel en Europe, qui ont beaucoup augmenté depuis un an.Principale critique contre ces usines: les nuisances olfactives potentielles pour les riverains. Mais les quelques épisodes de ce type signalés par des habitants sont essentiellement "liés aux campagnes d'épandage" des engrais également produits sur le site, selon Olivier Théo, conseiller municipal à Moret-Loing-et-Orvanne.La mise en place d'un comité de suivi a permis de faire remonter rapidement les témoignages de riverains incommodés au printemps 2022, dans une des communes et de parvenir à un accord avec le maire "pour essayer de ne pas épandre dans les parcelles les plus proches des habitations" et faire en sorte que les camions d'engrais ne passent pas dans le centre de la commune, a assuré l'élu.On pourrait "parvenir à une capacité de production de 60 térawattheures par an d'ici 2030, ce qui couvrirait deux tiers de ce qu'on importait de Russie avant le conflit", ajoute M. Trouvé.GRTGaz va jusqu'à estimer que d'ici 2050, la France pourrait bénéficier d'une indépendance gazière totale, sans toucher au potentiel agricole à destination de l'alimentation des Français, par le recyclage des matières et des déchets agricoles."Le secteur du biométhane en France connaît la croissance la plus rapide d'Europe", renchérit la European Biogas Association (EBA), lobby du biogaz à Bruxelles, qui estime que la France pourrait devenir à l'horizon 2030 le deuxième producteur du continent.Un millier de projets pourraient voir le jour d'ici 2025, selon l'EBA.Ce développement devrait être favorisé par une disposition de la loi Anti-gaspillage (Agec), qui prévoit que tous les particuliers disposent d'une solution pratique de tri de leurs biodéchets dès le 1er janvier 2024.
Il y a 2 ans et 159 jours

Isover lance Isoconfort 35 kraft 300 mm

ISOVER répond ainsi aux attentes des constructeurs et artisans : disposer d’un produit à très haute résistance thermique et rapide à mettre en oeuvre pour gagner du temps sur leurs chantiers. Cet isolant, conforme au DTU 45.10, permet également de répondre aux exigences de la RT 2012 mais aussi à ceux de la future RE 2020.Un isolant permettant d’atteindre R = 10 en 2 couches en combles aménagéesDernier né de la gamme ISOCONFORT, il offre une résistance thermique de R = 8,55 m².K/W en λ35 en une seule couche d’isolant de 300 mm d’épaisseur et permet d’atteindre un R = 10 m².K/W ou plus s’il est utilisé en complément d’une isolation de 60 mm ou plus entre chevrons. Des performances inégalées sur le marché qui garantissent ainsi une excellente durabilité de l’isolation dans le temps.Une solution d’isolation idéale pour les professionnels et conforme aux règles de l’artISOCONFORT 35 KRAFT 300 mm répond aux exigences de performance du nouveau DTU 45.10 concernant l’isolation des combles par panneaux ou rouleaux en laines minérales manufacturées publié le 1er juillet 2020.Solution développée pour l’isolation des combles aménagés en neuf, l’isolant ISOCONFORT 35 KRAFT 300 mm se pose rapidement par embrochage sur les suspentes Intégra2 Réglables. Ces suspentes permettent également de créer un vide technique entre la plaque de plâtre et la membrane exigée par le DTU 45.10 dans la plupart des cas.Choisir de préférence la membrane intelligente Vario Xtra qui garantit la pérennité de la charpente en la protégeant de toute humidification en hiver et en la laissant respirer en été (sous DTA 20/14-335_V1).Ce système apporte d’excellentes performances thermiques et acoustiques, renforce l’efficacité de l’isolation et permet une diminution des consommations d’énergie liées au chauffage.
Il y a 2 ans et 160 jours

Ehret conçoit des protections solaires originales pour la façade de l’office national de la police criminelle de Schwerin

A contre-courant du fonctionnalismeAu milieu d’un immeuble construit comme une caserne militaire dans la zone protégée des lacs de Schwerin en Allemagne, le nouveau bâtiment administratif (et le laboratoire) de l’Institut de criminologie, avec sa forme libre et presque flottante, rompt délibérément avec la structure rigide de la caserne et crée une identité entièrement nouvelle d’un point de vue architectural. Le particularisme du bâtiment et l’expression de légèreté qu’il s’en dégage, vont à contre-courant du fonctionnalisme architectural selon lequel la forme des bâtiments doit être exclusivement l’expression de leur usage.En partant de la situation existante, une solution de protection solaire a été recherchée. La conception contraignait à des exigences élevées n’autorisant qu’une intervention minimale sur la structure de la façade et devant à la fois souligner la conception de la façade de manière exceptionnellement attrayante.Pour répondre à ces exigences élevées et au design unique recherché, ce sont des volets coulissants qu’EHRET a préconisé. Afin de répondre également à des besoins d’économies d’énergie, à une gestion de la lumière et à une utilisation simplifiée au maximum, ces éléments ont été motorisés.Une conception de façade au caractère flottantAu total, 137 volets coulissants en aluminium ont été installés. EHRET a pensé et conçu tout spécialement un système de rails de guidage cintrés, avec des guidages à rouleaux spéciaux pour épouser parfaitement la forme de la façade.L’intervention au point supérieur de la façade n’était pas négligeable. La face inférieure de la construction de la façade a été ouverte, les rails ont été cachés par des équerres spéciales et intégrés dans la construction sur tout le pourtour. La liaison inférieure, en revanche, était relativement simple. Ici, les rails bas ont été montées sur la façade avec des équerres.Équipés d’un entraînement électrique, qui prévoit une commande confortable par commande centrale, par détecteur de soleil et par commande individuelle dans chaque pièce, les volets coulissants EHRET sont déplacés en douceur vers la position souhaitée.Couleurs et facette font la richesse du designLes volets coulissant EHRET qui ont été préconisés sont des volets modèle PL-LO dont les tôles ont été perforées et colorées dans les trois tons de vert NCS 1080-G30Y, NCS 1075-G40Y et NCS 1075-G60Y. Toujours construit sur la base d’un cadre aluminium, le volet coulissant d’EHRET offre une possibilité quasi-infinie de remplissage et de personnalisation. EHRET qui joue la carte de la personnalisation infinie, permet de faire de chaque volet une pièce unique.Ici, les perforations, le sens de circulation et la disposition des éléments ont été spécialement calculés et définis par un expert en énergie. Ils assurent non seulement un apport de chaleur optimal dans le bâtiment, mais séduisent également par leur design moderne.Leurs couleurs variées et leurs effets lumineux d’ambiance, sous l’effet du soleil, créent une atmosphère particulière dans la pièce et enrichissent la présence dans les locaux d’un certain facteur de bien-être.Grâce aux éléments de protection solaire de la société EHRET, la nouvelle construction du bâtiment peut refléter parfaitement sa nouvelle identité avec son impressionnant langage de façade flottant.Le volet coulissant est une solution de plus en plus prisée. EHRET qui excelle dans l’art de penser la protection solaire tout autrement qu’un dispositif, allie parfaitement esthétique, qualité et fonctionnalité.La marque conçoit des éléments de décoration à part entière, qui habillent les façades et participent pleinement à l’amélioration de l’habitat ainsi qu’au confort d’été en tant que protections solaires efficientes.
Il y a 2 ans et 160 jours

Entrée en vigueur du Carnet d’Information du Logement : Enjeux, outils et mise en place

De quoi s’agit-il ? Quels logements sont concernés ? Quels enjeux pour les professionnels ? Quels changements pour les propriétaires ? Quels outils d’accompagnement ?... : autant de questions abordées lors du webinaire QUALITEL – AJCAM, animé par Bertrand Leclercq, Directeur Général de QUALITEL Espace Numérique du Logement, avec la participation de Pierre Maillard, Président Directeur Général du groupe HELLIO et Franck Calvar, Responsable RSE de ICADE PROMOTION. Carnet d’Information du Logement : de quoi s’agit-il ? Le Carnet d’Information du Logement vise à « faciliter et accompagner les travaux d’amélioration de la performance énergétique du logement, ainsi que l’installation d’équipements de contrôle et de gestion active de l’énergie » [1]. Sa mise en place est évoquée dès 2015, dans le cadre de la loi de Transition Énergétique pour la Croissante Verte. Il devrait finalement entrer en vigueur, dans le cadre de la loi Climat et Résilience, début 2023, pour tous les types de logements individuels et collectifs, privés et sociaux : tous les propriétaires devront établir, mettre à jour et conserver ce Carnet lors de la construction d'un logement ou à l'occasion de la réalisation de travaux de rénovation énergétique. Ils devront par ailleurs transmettre ce Carnet au nouvel acquéreur lors de la vente du bien. Que contient le Carnet d’Information du Logement ? QUALITEL et le Carnet d’Information du Logement : une implication dès l’origine du projet, un outil précurseur déjà en place Depuis 1974, l’Association QUALITEL fait progresser, aux côtés des acteurs du logement, la qualité de l’habitat neuf et existant et participe à sa valorisation auprès des usagers. À ce titre, elle participe notamment à de nombreux groupes de travail et développe des outils pratiques, au service des professionnels et des particuliers. Dans ce contexte, dès 2015, elle participe activement aux travaux et réflexions menés autour du futur Carnet d’Information du Logement. En 2017, elle participe à son expérimentation dans le cadre du PTNB - Plan Transition Numérique dans le Bâtiment. En 2023, elle participera au programme Européen sur les Digital Log Book for Buildings, porté par la Commission européenne pour développer le Carnet d’Information du Logement en Europe. [1] Code de la Construction et de l’Habitation – Article L126-35-2 [2] Ayant une incidence sur la performance énergétique Au-delà de cette implication dans le projet, l’expérimentation et le déploiement du Carnet, QUALITEL a par ailleurs développé un outil précurseur en la matière : CLÉA. Initié dès 2010, entièrement repensé en 2020, CLEA s’adresse aux particuliers, auxquels il fournit des informations et services pour la bonne prise en main et le bon usage du logement, ainsi que le maintien de sa qualité dans le temps. Pour le professionnel, CLÉA constitue aussi un atout pratique au quotidien : mise en place dès le démarrage du chantier, la solution digitale offre un espace de stockage pour tous les documents du projet, un guide des équipements prédéfinis et personnalisables, un module de suivi des consommations... Ainsi conçue, elle contribue également à la qualité de la relation client.Pour Bertrand Leclercq, Directeur Général de QUALITEL Espace Numérique du Logement : « À la fois outil facilitateur, mémoire des informations essentielles de la maison ou de l’appartement, utilisable en neuf comme en rénovation, CLÉA reflète totalement ce qui sera obligatoire avec le Carnet d’Information du Logement. Déjà adopté par plus de 150.000 logements, CLÉA est la preuve que l’utilité du Carnet d’Information du Logement est indéniable et que sa mise en œuvre peut être aisément accompagnée. »Carnet d’Information du Logement, CLÉA... : le regard des acteursPour Pierre Maillard, Président Directeur Général du groupe HELLIO : « Nous recevions régulièrement des sollicitations de particuliers ou de notaires souhaitant retrouver traces de travaux effectués. En ce sens, CLÉA, le futur Carnet d’Information du Logement de QUALITEL, constitue une réponse efficace : cela va avant tout permettre de conserver ces informations essentielles sur la performance améliorée d’un logement au fil du temps. C’est fondamental. Le Carnet d’Information du Logement, et les outils tels que CLÉA qui permettent déjà de répondre facilement à cette future obligation, vont donc dans le bon sens. Ce sont des opportunités supplémentaires pour accélérer la massification de la rénovation énergétique. »Pour Franck Calvar, Responsable RSE de ICADE PROMOTION : « Le futur Carnet d’Information du Logement est un outil pertinent pour les professionnels comme pour les usagers. Nous avons pu le constater et l’expérimenter depuis plusieurs années avec QUALITEL, en particulier dans le cadre de notre utilisation de CLÉA. Cela nous permet de répondre à plusieurs enjeux importants : en tant que promoteur, c’est par exemple un outil pédagogique et de transparence, au service de la relation client. Pour nos clients, c’est notamment un vecteur de traçabilité de la performance réelle de leur logement, qu’ils pourront consulter, utiliser et conserver facilement dans le temps. En termes de valorisation du patrimoine notamment, c’est particulièrement intéressant. »
Il y a 2 ans et 160 jours

WEB TV Würth : le liveshopping selon Würth

La WEB TV chez WürthLa Web TV repose sur un concept très connu, celui du téléshopping ! Würth France a souhaité rajeunir le concept et offrir à ses clients une expérience inédite d’achat en ligne. Pour faire simple, en visionnant la WEB TV, ils pourront découvrir les produits en vidéo via des démonstrations, poser des questions aux experts (chefs de produits, chefs de marché, formateurs…) et même acheter les produits présentés en bénéficiant d’offres exclusives.L’avantage c’est l’interactivité ! La WEB TV permet de créer du lien avec les clients, même à distance et surtout différemment.Toutes les émissions sont disponibles en replay sur https://eshop.wurth.fr/Web_TV/Web_TV/replay.cyid/replay.cgid/fr/FR/EUR/La WEB TV gagne le prix de la meilleure stratégie digitale à Zepros du Bâtiment En 2022, le groupe Zepros a renouvelé son événement ZE AWARDS DU BÂTIMENT. Ces Trophées ont vocation à distinguer les entreprises les plus dynamiques parmi les Négoces d’une part, les Artisans-PME d’autre part dans trois grandes catégories : performance commerciale, démarche RSE, stratégie numérique.Würth France a participé à ces Trophées en présentant le concept de la Web TV dans la catégorie « stratégie numérique ». Le 20 octobre dernier, elle a été récompensée par le prix de la meilleure stratégie digitale dans la catégorie Négoce lors de la cérémonie qui a eu lieu aux pavillons des étangs.
Il y a 2 ans et 160 jours

Vendre le Parc des Princes au PSG "n'est pas notre option prioritaire" affirme la mairie de Paris

Dans un entretien à la presse mercredi, le président du club parisien Nasser Al-Khelaïfi a assuré que, faute de pouvoir devenir propriétaire du Parc des Princes (48.000 places), QSI, qui possède le PSG, pourrait chercher un autre stade, quelques jours après avoir annoncé envisager de vendre des parts du club."Ils sont titulaires d'un bail, un bail de 30 ans, ils souhaiteraient pouvoir engager une phase d'investissement, et ils disent : on injecte 500 ou 600 millions (d'euros) de travaux que si on est propriétaires. Nous, ce n'est pas notre inclination première de leur vendre le Parc des Princes. C'est le patrimoine de la ville, des Parisiens", a expliqué Emmanuel Grégoire. "Des discussions sont engagées autour de la vente et on leur a dit : avant même de savoir si on souhaite vendre, il faudrait s'entendre sur un prix. Aujourd'hui, on n'est pas encore arrivé au bout de ces discussions", a poursuivi l'élu parisien.Les dirigeants du club "ont dit qu'ils voulaient faire les travaux et acheter et on leur demandé de faire une proposition", a pour sa part précisé auprès de l'AFP Pierre Rabadan, adjoint chargé des sports à la mairie de Paris, qualifiant la proposition du PSG de "peu décente".Pour Emmanuel Grégoire, "la tactique de négociation (...) peut s'apparenter à un coup de pression" et "je ne crois pas que ce soit la bonne méthode"."Notre option prioritaire est plutôt de rester sur un modèle de bail, de location longue durée. Les options sont sur la table, (vendre) c'est clairement pas notre préférence et ils le savent", a-t-il insisté.
Il y a 2 ans et 160 jours

Salon des maires et des collectivités locales : accélérer la transition écologique par, pour et avec les territoires

3 questions à... Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoiresPourquoi le salon des maires et des collectivités locales est-il un rendez-vous important ?« Pour nous le salon des maires, c’est la possibilité d’échanger avec une très grande diversité d’elus, venus de communes rurales comme de grandes métropoles, en attente d’aides et d’accompagnements adaptés à leurs spécificités. Sur le Salon, on vous apporte des solutions et on prend vos solutions. »Pourquoi le ministère y est-il présent ?« C’est la première fois que nous serons présents au nom de ce grand ministère qui réunit la transition écologique et la cohésion des territoires et c’est en soi déjà tout un symbole.Face à l’urgence climatique, la France s’est engagée fortement pour atteindre une baisse de 55% d’émissions de gaz à effet de serre en 2030 par rapport aux années 1990. Pour tenir ces engagements ambitieux, l’État aura besoin du concours des collectivités locales et nous serons présents pour leur apporter des solutions.Aux côtés des citoyens, les élus locaux sont en première ligne face aux aléas climatiques. Les collectivités locales sont aussi, du fait de leur patrimoine et de leurs compétences, les premières à investir pour le climat, à mettre en place des stratégies et des plans d’actions, à mobiliser les acteurs du territoire ou encore à imaginer des solutions innovantes. L’État souhaite s’appuyer sur cette dynamique. Ainsi, si les grandes priorités sont fixées et les moyens mobilisés au niveau national, c’est bien à l’échelon local, au bloc communal, de mettre en œuvre les actions pertinentes. L’accélération, indispensable, de nos politiques de décarbonation et d’adaptation au changement climatique doit s’appuyer sur les maires, qui tous les jours mesurent les effets des actions sur le quotidien des Français. Cette proximité est le gage de l’efficacité.Il nous faut alors unir les énergies et faire converger les actions aux échelles nationale et locale. Plus que jamais, l’État souhaite accompagner les collectivités locales sur ce terrain et les doter des outils et des moyens nécessaires. »Pourquoi un village avec nos partenaires ?« Cette année, notre présence au Salon des maires et des collectivités locales s’adapte à la nouvelle organisation ministérielle. Notre stand devient Le village de l’Ecologie, de l’Energie et des Territoires.Il regroupe nos principaux opérateurs : l’Agence de la transition écologique - Ademe, les Agences de l’eau, l’Agence nationale de l’habitat, l’Agence nationale de la cohésion des territoires, le Bureau de recherches géologiques et minières, le Centre de ressources scientifiques et techniques dit Cerema, le Commissariat général au développement durable, l’Institut national de l’information géographique et forestière, la Direction générale des collectivités locales, Météo France, l’Office français de la biodiversité, Voies navigables de France.Sur le Village, les opérateurs pourront échanger avec les acteurs locaux et les informer sur tous les programmes, solutions, aides, incitations que le ministère met à leur disposition pour accélérer la transition dans leurs territoires.La présence du ministère et de ses opérateurs sur le Village de l’Ecologie, de l’Energie et des Territoires du Salon des maires répond à notre volonté d’écouter les élus et de leur fournir les solutions, l’expertise et l’ingénierie dont ils ont besoin. »3 questions à... Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétiqueComment les collectivités locales peuvent-elles être des moteurs en matière de sobriété énergétique ?« Eclairage public, transports, bâtiments, équipements sportifs ou culturels, les collectivités locales sont en première ligne pour porter la sobriété énergétique. Beaucoup n’ont d’ailleurs pas attendu l’État pour agir contre le réchauffement climatique et pour réduire leur facture énergétique. Le plan sobriété, présenté le 6 octobre dernier, sous l’égide de la Première ministre, leur a permis de définir des mesures efficaces, pour économiser 10% de leur consommation d’électricité, de gaz et de carburant, d’ici fin 2024.Ma responsabilité est d’être en appui des élus, de remettre à leur disposition l’expertise de nos opérateurs, de faciliter le partage d’expérience et de bonnes pratiques, de lever des verrous législatifs et réglementaires. Je souhaite aussi que l’État accompagne financièrement les collectivités locales dans leurs investissements. C’est dans cette optique que j’ai mobilisé 220 millions d’euros supplémentaires dans le programme CEE ACTEE+ pour soutenir des projets d’éclairage public ou de rénovation de piscines. Plus largement, le Fonds vert doit aider à financer les projets de décarbonation. »Quelles sont les conséquences pour les collectivités du projet de loi d'accélération des énergies renouvelables actuellement examiné au Parlement ?« Ce projet de loi, c’est un nouveau pacte territorial entre l’État et les collectivités locales pour que la France soit - enfin ! - à la hauteur de ses objectifs de déploiement des énergies renouvelables et donc, de ses objectifs climatiques. Les Maires sont remis au cœur du processus et décident des zones prioritaires où ils souhaitent voir se développer les projets. La planification se fait en partant de la réalité du terrain et évite un déploiement anarchique des installations.Le projet de loi donne aussi des outils financiers aux collectivités locales pour maîtriser à long terme leur coût de l’énergie sur le modèle des réseaux de chaleur, simplifie les procédures et rend possible l’installation de panneaux photovoltaïques dans des zones dégradées. C’était une demande des élus !Dans ce cadre, l’État doit avoir un rôle de facilitateur, par exemple, en mettant en avant les zones désignées par les Maires auprès des porteurs de projet et en assurant une instruction prioritaire des projets sur ces zones. Des effectifs nouveaux seront déployés au sein de l’État pour instruire plus vite les projets : nous avons aussi entendu ce message des élus ! »Face à la crise énergétique, comment l'État protège-t-il les collectivités ?« Face à cette crise inédite, des mesures fortes ont été prises dès le début de l’année 2022 : bouclier tarifaire pour les très petites collectivités locales, baisse de la fiscalité énergétique, augmentation exceptionnelle du volume d’Arenh pour l’année 2022 ou encore mécanisme du filet de sécurité.Pour l’année 2023, le bouclier tarifaire et le filet de sécurité seront reconduits, de même que la baisse de la fiscalité sur l’électricité. Pour les collectivités plus importantes, un dispositif complémentaire est introduit pour amortir le coût de l’électricité. Il permet de réduire la facture d’environ 100 €/MWh pour une collectivité locale ayant signé un contrat à des prix de l’ordre de 500 €/ MWh. C’est donc 20% de la facture qui sera prise en charge par l’État, directement en pied de facture, sans dossier à instruire. Ce paquet de mesures de soutien pour 2023, complété par une Charte fournisseur et une publication toutes les semaines par la Commission de régulation de l’énergie des prix de référence de l’électricité, permettent aux collectivités locales de renouveler leur contrat dès maintenant dans les meilleures conditions !Face à la crise, nous ne laisserons pas tomber les élus de terrain ! »La parole à... Caroline Cayeux, ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales« Au plus des réalités du terrain et des besoins de nos concitoyens, les maires sont les premiers artisans de la réussite de nos politiques publiques.Notre ambition, c’est celle d’un État accompagnateur, et non plus prescripteur, qui soit au service de leurs projets et de leurs initiatives innovantes.Un État accompagnateur, qui leur permette de faire face à l’inflation et de la hausse du coût de l’énergie.Un État accompagnateur, qui leur donne la stabilité et la lisibilité nécessaires sur leurs finances pour continuer à investir.Un État accompagnateur, enfin, qui leur permettre d’accélérer leur transition écologique.Ensemble, construisons le développement durable de tous les territoires !Pour la première fois, les visiteurs seront accueillis par des élus ambassadeurs de la transition écologique, sur notre village. »Le Fonds vert, 2 milliards d’euros pour accélérer la transition écologique dans les territoiresL’État mobilise 2 milliards d’euros dès 2023 au titre du fonds vert. Ce nouveau fonds inédit permettra de concrétiser les projets des collectivités locales engagées dans la transition écologique. Complémentaire aux dotations d’investissement de l’État, le fonds vert est un levier supplémentaire de soutien au développement des territoires.Le fonds vert répond à un triple objectifRenforcer la performance environnementaleCette action vise à encourager la performance énergétique, tout en favorisant le respect de la biodiversité : La rénovation énergétique des bâtiments publics locaux Le soutien au tri à la source et à la valorisation des biodéchets La rénovation des parcs de luminaires d’éclairage public Adapter les territoires au changement climatique Les risques climatiques auxquels sont exposés nos territoires imposent des actions d’adaptation pour préserver les vies humaines autant que les espèces animales et végétales: La prévention des inondations L’appui aux collectivités de montagne soumises à des risques émergents Le renforcement de la protection des bâtiments des collectivités d’outre-mer contre les vents cycloniques La prévention des risques d’incendies de forêt L’adaptation des territoires au recul du trait de côte La renaturation des villes Améliorer le cadre de vie La transition écologique est l’occasion d’améliorer nos cadres de vie tout en conciliant l’activité humaine avec la préservation de son environnement naturel : L’accompagnement du déploiement des zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m) Le recyclage des friches L’accompagnement de la stratégie nationale biodiversité 2030 (SNB)Les mesures de soutien aux collectivités localesAugmentation de la dotation globale de fonctionnementDans le cadre du PLF pour 2023, le Gouvernement a consenti un effort exceptionnel et historique s’agissant de la dotation globale de fonctionnement des collectivités locales. Pour la première fois depuis 13 ans, la dotation globale de fonctionnement augmentera de 320M€, ce qui permettra de préserver la dotation de près de 95% des collectivités.Accompagnement des collectivités face aux prix de l'énergiePour aider les collectivités locales face à la hausse des prix de l’énergie, l’État est pleinement mobilisé et a décidé de mettre en place plusieurs mesures, en 2023, pour réduire l’impact de la hausse de leurs factures d’électricité :Bouclier tarifaire (petites collectivités) Les petites collectivités de moins de 10 employés et de moins de 2M€ de recettes, ayant contractualisé une puissance inférieure à 36 kVa et qui sont éligibles aux TRVe, vont bénéficier, à nouveau, du bouclier tarifaire en 2023. Le bouclier tarifaire est maintenu en 2023 sur la base d’une hausse des tarifs réglementés d’électricité limitée à +15% en moyenne.Amortisseur électricité Les autres collectivités, quelle que soit leur taille, vont bénéficier d’un nouveau dispositif dit amortisseur électricité, qui sera mis en place début 2023. À titre d’exemple, pour un contrat conclu à 500 €/MWh, l’État prendrait à sa charge près de 20% de la facture de la collectivité locale. La baisse du prix apparaîtra directement sur la facture, et une compensation financière sera versée par l’État aux fournisseurs d’énergie, via les charges de service public de l’énergie.Filet de sécurité Pour faire face à la flambée des prix de l’énergie, un filet de sécurité de 430M€ a été adopté à l’été 2022 dans le cadre de la loi de finances rectificatives qui permet aux communes et aux groupements de compenser une partie de la hausse des prix au titre de l’exercice 2022.Sont éligibles, les communes et groupements qui réunissent les trois critères suivants : avoir un taux d’épargne brute 2021 inférieur à 22% ; avoir un potentiel financier ou fiscal par habitant inférieur au double de la moyenne de la strate ; perdre au moins 25% d’épargne brute en 2022, du fait principalement de la hausse des dépenses d’énergie et d’alimentation, et de la revalorisation du point d’indice. Les collectivités éligibles se verront compenser 50 % des effets de la revalorisation du point et 70 % des effets de la hausse des dépenses d’énergie et d’alimentation constatée en 2022.Rendez-vous sur le village de l’Ecologie, de l’Energie et des Territoires : Pavillon 4 - Stand D118.
Il y a 2 ans et 160 jours

Le PDG de TotalEnergies critique le "marathon administratif" français concernant les projets d'énergies renouvelables

"Il faut 14 autorisations pour faire implanter une usine solaire en France", a regretté M. Pouyanné, auditionné à l'Assemblée nationale dans le cadre d'une commission d'enquête sur la souveraineté et l'indépendance énergétique de la France.A cette occasion, le PDG a évoqué le paradoxe entre "l'urgence climatique" et un accès au foncier à l'allure de "marathon administratif", alors que le projet de loi d'accélération sur les renouvelables, adopté au Sénat en première lecture début novembre, est attendu dans l'hémicycle du palais Bourbon le 5 décembre.Ce texte entend mettre l'accent sur l'éolien marin -une des "priorités" selon M. Pouyanné- et le solaire. En parallèle, un projet de loi du gouvernement visant à accélérer la construction de réacteurs nucléaires doit être examiné par les parlementaires début 2023, voire dès fin décembre."Le ratio du nombre de personnes (...) dans notre filiale renouvelable en France et en Europe, par rapport aux mégawatts que nous installons, est deux fois plus élevé que dans les autres pays, parce qu'il faut que l'on gère tout cela", a illustré M. Pouyanné.Conséquence: "en ce moment en France, on installe la moitié par an de ce qu'il faudrait qu'on fasse pour être sur la trajectoire" des objectifs d'installations renouvelables en 2023, a-t-il déclaré.TotalEnergies conduit des projets solaires et éoliens dans l'Hexagone, mais aussi à l'étranger dans des pays tels que le Qatar, la Corée-du-Sud, le Royaume-Uni ou encore le Brésil."Si l'on veut vraiment accélérer ces questions de construction d'énergies renouvelables, solaire et éolienne, il faut que l'on trouve un moyen d'articuler correctement la planification de l'espace, qui peut relever des collectivités territoriales", a-t-il ajouté.Patrick Pouyanné a également reconnu devant les députés n'avoir jamais été un "grand fan" du nucléaire, dont il souhaite se tenir à distance, particulièrement depuis la catastrophe de Fukushima en mars 2011."Ce risque, il existe, et on s'est dit qu'il n'était pas possible de le mettre dans notre bilan", a-t-il déclaré, tout en mettant en garde les députés: "ne le négligez pas dans votre mission".Cette commission d'enquête, à l'initiative du parti Les Républicains et d'une durée de six mois, doit rendre son rapport en avril 2023.