Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Batinfo

(31968 résultats)
Il y a 2 ans et 263 jours

Les bénéfices de Geberit affectés par l'inflation et la hausse du franc suisse

Son bénéfice s'établit à 402 millions de francs suisses (soit environ 415 millions d'euros) contre 460 millions au premier semestre l'an dernier.Sur le premier semestre les ventes du groupe, qui fabrique des douches, toilettes et équipements de salles de bains, ont été plutôt bonnes, à 1,9 milliard de francs suisses, soit une progression de 5,5%.Mais l'inflation a fait grimper ses coûts: "les ajustements des prix de ventes ne peuvent se faire qu'avec un délai, ce qui signifie qu'il n'a pas été possible de compenser entièrement la hausse du prix des matières premières et de l'énergie sur la période", indique Geberit dans son communiqué.Pour le troisième trimestre, Geberit s'attend à une poursuite de la hausse de ses coûts avec l'inflation, ce qui devrait mener à de nouvelles hausses des prix.Par ailleurs, le groupe qui vend une grande partie de ses produits en Europe, en particulier en Allemagne, a été affecté par la hausse du franc suisse par rapport à l'euro, un impact négatif estimé à 106 millions de francs suisses.Geberit qui avait profité de l'engouement des consommateurs pour l'aménagement de la maison et la rénovation pendant la pandémie, voit cette tendance fléchir, notamment en France.La marge opérationnelle de Geberit a été grignotée, passant de près de 30% au premier semestre 2021 à 25% au premier semestre 2022.Pour le reste de l'année Geberit s'attend à une "croissance à un chiffre" des ventes et à une marge d'Ebitda (rentabilité opérationnelle sans prendre en compte les charges calculées) à 28%.Geberit avait suspendu en mars ses activités en Ukraine et en Russie après le déclenchement de la guerre: il employait quelque 590 personnes en Ukraine et 70 personnes en Russie.
Il y a 2 ans et 263 jours

Accueil mitigé pour le projet de loi d'accélération des énergies renouvelables

Au menu du texte de 20 articles : des mesures transitoires pendant 48 mois pour simplifier les procédures (allégement des obligations d'évaluation environnementale ou extension du vote du public par voie électronique), la multiplication des possibilités d'implantation des panneaux solaires (obligation d'équipement sur les gros parkings, possibilité d'installation sur les délaissés routiers), une mutualisation des débats par façade maritime pour l'éolien en mer.Le texte encourage encore le "partage de la valeur" des projets renouvelables auprès des riverains, qui y seraient ainsi plus favorables.Le Conseil d'Etat et le Conseil national de la transition écologique viennent d'être saisis sur ce texte, qui devrait être présenté au Conseil des ministres mi-septembre."La France accuse un retard", par rapport à ses voisins européens, reconnaît le texte dans son exposé des motifs, mettant en cause des lourdeurs administratives et juridiques.Il faut ainsi 10 ans pour développer un parc éolien en mer, deux fois plus longtemps qu'ailleurs. La France vient seulement de produire des électrons en provenance de son premier parc marin, au large de Saint Nazaire.Le pays hôte de l'accord de Paris contre le réchauffement climatique est généralement en retard sur son plan de réduction des émissions de gaz à effet de serre, et Emmanuel Macron a annoncé en février une hausse des objectifs sur les renouvelables.La France veut multiplier par dix les capacités solaires pour dépasser les 100 GW et déployer 50 parcs éoliens marins pour atteindre 40 GW d'ici 2050. Le doublement de la capacité éolienne terrestre à 40 GW sera en revanche plus lent que prévu, en 10 ans au lieu de 30."Il y a beaucoup de bonnes idées" dans le projet de loi, salue Jean-Louis Bal, président du Syndicat des énergies renouvelables (SER)."Sur les mesures de simplification on est évidemment très favorable, notamment sur l'éolien en mer": "ça peut raccourcir beaucoup les délais de développement des projets", note-t-il.Mais il reste prudent: "Beaucoup de choses vont se décider dans les décrets"."Indéfendable"L'accueil est en revanche beaucoup plus négatif à la Ligue de protection des oiseaux (LPO), qui regrette un projet "purement sectoriel" qui "oublie complètement les enjeux de biodiversité"."Comment peut-on aller mettre de l'éolien dans les sites naturels protégés, les sites Natura 2000, les couloirs de migration?", s'agace Yves Verilhac, directeur général de la LPO."L'IPBES (les experts biodiversité de l'ONU) dit que l'artificialisation des milieux est la première cause d'effondrement de la biodiversité. Or là qu'est-ce qu'on propose? D'aller mettre des panneaux photovoltaïques plein champ dans des secteurs où c'était impossible avant, en dérogeant à la loi montagne, à la loi littoral etc.""Les meilleurs alliés des énergies renouvelables, comme la LPO, décrochent. C'est indéfendable".Certaines mesures soulèvent aussi des problèmes juridiques, comme la possibilité de "relever plus facilement les seuils de soumission à évaluation environnementale systématique", inscrite dans le texte. L'idée est d'exempter les petits projets de cette procédure longue et coûteuse.Une mesure qui irait à l'encontre du principe de "non-régression", qui découle de la loi de 2016 sur la biodiversité. Ce principe dispose que la protection de l'environnement "ne peut faire l'objet que d'une amélioration constante".Le projet de loi "le neutralise en expliquant que c'est un principe symbolique, décoratif, et qu'on ne pourra plus s'en prévaloir devant un juge", explique l'avocat Arnaud Gossement."C'est la première fois de l'histoire du droit de l'environnement que le législateur serait amené à neutraliser un principe général du droit qu'il vient de créer"; "c'est très dangereux parce que ça crée un précédent", estime-t-il.Selon l'avocat, il est possible de simplifier les études d'impact sans pour autant détricoter ce principe du droit environnemental, par exemple en allégeant l'étude ou en mutualisant les frais.Un débat que devront trancher les parlementaires, en octobre si le calendrier gouvernemental est maintenu.
Il y a 2 ans et 264 jours

Colas Rail signe son premier contrat au Panama

Le contrat remporté en sous-traitance par Colas Rail s’inscrit dans le cadre du projet de construction de 20 km de monorail pour la future ligne 3 du métro de Panama, de stations entre Ciudad del Futuro et Panama Pacifico, et d’un dépôt de maintenance à Ciudad del Futuro.Colas Rail réalisera la conception, la fourniture et l’installation de 100 km de rail d’alimentation électrique, et participera à la construction du dépôt.La durée du contrat remporté est de plus de 30 mois.Pour Christophe Mansuy, Directeur Général-International de Colas Rail : « Ce projet est remarquable à plusieurs égards.Tout d’abord, c’est l’aboutissement d’une collaboration avec Hitachi Rail sur la zone Amériques. Ensuite, pour la première fois, Colas Rail participe à un projet de monorail. Enfin, ce contrat marque le lancement de nos activités au Panama, illustrant notre volonté de poursuivre notre développement en Amérique latine. »
Il y a 2 ans et 264 jours

La fronde contre les "dark stores" et "dark kitchens" grandit

Vendredi, une lettre à la Première ministre Elisabeth Borne signée par une dizaine de maires de grandes villes, que s'est procurée l'AFP, réclame "que les communes où prospère ce type d'activités disposent des moyens juridiques de les réguler et de lutter efficacement contre toutes les externalités négatives que celles-ci produisent".Les premiers signataires du courrier sont les socialistes Anne Hidalgo (Paris), Benoît Payan (Marseille), Martine Aubry (Lille) et Cédric Van Syvendael (Villeurbanne), les écologistes Bruno Bernard et Grégory Doucet (Lyon), Anne Vignot (Besançon), Pierre Hurmic (Bordeaux) et Jeanne Barseghian (Strasbourg), le communiste Patrice Bessac (Montreuil), et deux élus LR, le président de la Métropole du Grand Paris Patrick Ollier et celui de l'Association des maires d'Ile-de-France Stéphane Beaudet.Incarnations du "quick commerce" qui permet de commander des produits en ligne et d'être livré en quelques minutes, les "dark stores" et "dark kitchens" se sont multipliés au coeur des métropoles, à la faveur des confinements et couvre-feux successifs.Les premiers stockent des produits de consommation courante tandis que les secondes sont des cuisines non adossées à un restaurant, uniquement destinées à la livraison de plats.NuisancesUne activité dont les grands acteurs s'appellent Gorillas, Flink, Deliveroo, Getir ou Gopuff, et qui suscite des oppositions.Ainsi, dans un communiqué publié vendredi, la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) Paris Ile-de-France "exhorte le gouvernement à mettre en place le cadre légal d'une régulation forte et territorialisée du quick commerce à Paris afin de combler le vide juridique dans lequel cette activité s'est rapidement développée dans la capitale, où elle représente déjà plus de 25% des livraisons alimentaires à domicile, trop souvent aux dépens des commerçants de proximité et des riverains"."Les commerçants de proximité subissent la concurrence déloyale des ventes à perte des quick commerçants (...) tandis que les riverains se plaignent des nuisances sonores et de l'encombrement de l'espace public.Sans oublier les citoyens +consom'acteurs+ qui déplorent les dérives d'une économie consumériste et à la tâche", soutient le président de la CPME parisienne, Bernard Cohen-Hadad.En janvier, l'Atelier parisien d'urbanisme (Apur), dépendant de la mairie, dénombrait plus de 80 dark stores à Paris et dans sa proche banlieue, et au moins 25 dark kitchens dans la capitale.Le phénomène est naissant dans les autres grandes villes comme Lyon, Nice ou Bordeaux.Entrepôts ou commerces?Au coeur de la controverse, la définition légale de ces locaux, et donc les contraintes d'urbanisme auxquelles ils sont soumis.La Ville de Paris considère les "dark stores" comme des entrepôts, et peut les sanctionner s'ils occupent un local destiné au commerce, pour lesquels les règles sont différentes.Mais l'adjoint parisien à l'urbanisme Emmanuel Grégoire a dévoilé un projet d'arrêté ministériel contesté qui leur permettrait d'être considérés comme des lieux de commerce ou de restauration, pour peu qu'ils disposent d'un point de collecte pour le public."Cette nouvelle règlementation ne saurait en aucun cas nous convenir tant elle cautionne, dans les faits, le modèle de +dark city+ et retire aux communes le principal levier qu'elles pouvaient actionner pour réguler ces implantations", s'inquiètent les signataires.Du côté de l'exécutif, on rappelle que ce document n'est que provisoire et que les élus sont consultés."Ma position, elle est la même qu'eux: définissons ce que c'est, et faisons confiance aux élus locaux", a réagi auprès de l'AFP le ministre délégué à la Ville et au logement, Olivier Klein. "Ce qui m'étonne un peu, c'est la méthode. On est dans une concertation, et la concertation, elle ne se fait pas à travers les réseaux sociaux et des lettres ouvertes", a-t-il ajouté."Je ne crois pas à l'interdiction générale (des "darks stores" et "dark kitchens", ndlr), ça n'aurait aucun sens. Par contre, il faut permettre aux maires, avec les outils juridiques qui sont les leurs, de dire où c'est possible", a ajouté Olivier Klein.
Il y a 2 ans et 264 jours

Les tuiles Monuments historiques de Terreal

La riche palette de couleurs des tuiles Monuments Historiques permet à l’artisan de s’approcher au plus près des toitures originelles pour mener, dans les règles de l’art, un parfait travail de réfection.
Il y a 2 ans et 264 jours

Abso Bois annonce la nomination de Nicolas Denos au poste de Directeur Général Délégué

Ingénieur Chimiste de formation (École nationale supérieure de chimie et de physique de Bordeaux), et diplômé d’un Master spécialisé HEC Entrepreneur (École des Hautes Etudes Commerciales – Paris), Nicolas Denos a précédemment occupé les fonctions de Directeur Général Finance du groupe de communication parisien COSPIRIT puis de Directeur Administratif et Financier du groupe viticole bordelais Bernard Magrez.Cette nomination s’inscrit dans le prolongement du plan industriel sur 3 ans lancé par Abso Bois qui a pour ambition de réaliser 42 M€ CA / 6,5 M€ EBITDA à horizon 2026. Nicolas Denos aura pour principales missions de piloter le déploiement du plan industriel et commercial du Groupe Abso Bois sur ses deux métiers actuels : la scierie-raboterie (société Lamarque Sogy Bois) et l’agencement au travers de ses trois marques commerciales (New Rasec - agencement surfaces de vente, MBMA – agencement haut de gamme, et ES Euro Sièges - tapisserie d’ameublement / sellerie).
Il y a 2 ans et 264 jours

Le Conservatoire Botanique National de Brest inaugure ses nouveaux bâtiments

Son objet est la connaissance et la préservation du patrimoine végétal sur les régions Bretagne, Pays de la Loire et Normandie ainsi que dans le cadre de partenariats internationaux. Il compte une quarantaine de salariés. Situé dans le Vallon du Stang Alar à Brest, le Conservatoire dispose de biens et moyens mis statutairement à sa disposition par la métropole (locaux, terrains, jardiniers...) pour exercer ses compétences. 400.000 visiteurs par an Les nouveaux bâtiments administratifs, scientifiques et techniques ont été réalisés pour offrir une nouvelle plateforme technique à la hauteur des enjeux (banque de semence, banque de données, centre de documentation, herbier, espaces de réunion...). Ils sont plus rationnels et respectueux des règles environnementales que les anciennes infrastructures devenues vétustes. Ces locaux sont aussi conçus pour être communicants, plus visibles et visitables. Ils s’insèrent dans un jardin botanique dédié, offrant un tour du monde végétal de 30 hectares. Ce site exceptionnel est labellisé Jardin remarquable, Jardin botanique de France et Conservatoire des collections végétales spécialisées. Il est visité chaque année par près de 400.000 personnes. Des bâtiments économes, fonctionnels et respectueux de l'environnementLe groupement de l’atelier Philippe Madec, d’Ingerop Conseil et Ingénierie et d’Horizons paysage a été choisi pour la réalisation des nouveaux bâtiments. Dans ce renouveau architectural, les différents pôles fonctionnels sont répartis dans trois volumes compacts, liés par la serre dont les espaces libres auront vocation à devenir le lieu de rencontres, d’échanges et de détente. Les bâtiments sont de faible hauteur, constitués d’un étage sur rez-de-chaussée. Leur toiture de même pente que la serre contribue à l’unité du lieu. La diversité des lieux mis en place dans les espaces libres de la serre, végétalisés et très lumineux, dans les interstices entre les bâtiments, offre des usages variés d’accueil et de circulation. Les bureaux et laboratoires du Conservatoire ont reçu une attention toute particulière, afin de favoriser l’efficacité et le confort de travail, via des espaces vitrés bénéficiant d’une lumière naturelle. Le choix de la serre traduit une volonté d’intégrer l’aménagement du bâtiment au parc, d’évoquer à travers sa structure les activités du Conservatoire et de structurer l’espace afin d’améliorer sa lisibilité.Cette réalisation répond également à l’engagement de Brest métropole en faveur de l’environnement et de la biodiversité. Le choix des matériaux, l’efficacité énergétique ainsi que la création d’un environnement intérieur sain et confortable sont des critères importants de sélection de ce projet. La conception bioclimatique, une utilisation raisonnée du soleil et des façades à haute performance thermique permettent une insertion en douceur des bâtiments dans le jardin du Conservatoire. Véritable vitrine de la biodiversité de la région, le Conservatoire est donc doté d’un bâtiment dont les matériaux garantissent un impact réduit sur l’environnement. Ces choix (les bois utilisés en charpente et en bardage, la paille comme matériau d’isolation principal, la mise en place de toitures végétalisées et d’un système de récupération des eaux de toiture pour le lavage des véhicules) permettent l’économie de ressources naturelles et le soutien aux filières locales. Le montant de l’opération est de 7 M€ TTC, soit : Brest métropole : 2.9 M€ Etat : 981.000 € Région Bretagne au titre du contrat Pays de Brest : 1.6 M€ Région Bretagne au titre du contrat métropolitain : 900.000 € Conseil Départemental du Finistère : 530.000 € Le Conservatoire Botanique National de Brest – des missions de service public et en expertise reconnue aux échelles régionale, nationale et internationale Le Conservatoire botanique national de Brest assure une mission de service public reconnue par le Code de l’environnement. Cette mission s’exerce en premier lieu sur les régions Bretagne, Normandie et Pays de la Loire où il travaille en étroite collaboration avec les collectivités territoriales, les services de l’État, les gestionnaires d’espaces naturels, les réseaux d’éducation ou encore les organisations internationales, pour mener à bien ses quatre missions, inscrites au code de l'Environnement : Connaître le patrimoine végétal sauvage : étudier les plantes sauvages et les milieux naturels, mesurer leur état de conservation et leur évolution Diffuser des données et informations sur les plantes et les milieux naturels Conserver les éléments les plus rares et les plus menacés en nature, en culture ou en banque de graines Conseiller les acteurs des territoires : fournir des expertises scientifiques et techniquesSensibiliser, informer et former les habitants, les scolaires, les botanistes et les professionnels à la préservation de la biodiversité. En second lieu, le Conservatoire Botanique National contribue aux expertises nationales développées par les 12 Conservatoires botaniques nationaux en lien étroit avec l’Office Français de la Biodiversité et le ministère de l’Ecologie. En troisième lieu, il mène des expertises au niveau international, en priorité dans les hauts lieux de biodiversité (Maurice, Madagascar, Chili, Sicile…) pour accompagner le développement de compétences et de structures au plus près des enjeux de conservation. Le syndicat mixte du CBNB est composé de quatre membres : Brest métropole, le Conseil Régional de Bretagne, le Conseil Départemental du Finistère et l’Université de Bretagne Occidentale. Depuis sa création, en 1975, le Conservatoire botanique a vu ses missions et compétences se renforcer. Il abrite aussi la troisième collection mondiale d’espèces végétales en voie de disparition et rayonne au niveau national et international. Il compte une quarantaines de salariés spécialisés. Si le rôle du Conservatoire botanique est aujourd’hui déjà incontournable sur l’ensemble des questions liées au patrimoine végétal, la période qui s’ouvre devrait asseoir son rôle structurant et accélérer le développement de son activité à l’aune de différents facteurs :L’aggravation des problématiques de préservation de la biodiversitéLa prise en charge du pilotage d’un réseau d’expertise à ancrage régional et inter-régionalL’exigence d’accompagnement des politiques publiques de la biodiversitéLa contractualisation des missions et la nécessité de nombreux partenariatsL’internationalisation des enjeux et le développement des échanges de coopérationL’importance croissante de la communication environnementale et de la pédagogie de l’actionL’inscription du projet dans une logique de polarisation des compétences biodiversité de la Métropole de Brest en prolongement d’Océanopolis, parc de découverte des océans, Centre de Culture Scientifique, Technique et Industrielle de la merLa contribution de plus en plus forte aux réseaux régionaux de diffusion de la connaissance dans le domaine de la biodiversité
Il y a 2 ans et 265 jours

Interface lance Recreation, une nouvelle collection de revêtement de sol à base de fibres 100% recyclées

Fabriquée à partir de fils 100% recyclés, Recreation, qui offre un choix de design contemporain, contribue, comme tous les produits Interface, à atteindre la neutralité carbone grâce au programme Carbon Neutral Floors de l’industriel. Une collection qui emprunte son design à la nature Recreation tire son inspiration des motifs et des textures que l'on trouve dans la nature. La palette de couleurs proposée utilise les gris et les tons neutres inspirés des formations rocheuses, pour les marier aux tons terreux classiques, que l’on retrouve le long des lits des rivières. La collection offre aux concepteurs une large gamme de couleurs, complétée d’une texture organique et d’une installation aléatoire, permettant ainsi d’apporter de la chaleur aux grands espaces pour se sentir au bureau comme chez soi. Des teintes contemporaines et tendances Les dalles de moquette de la gamme Recreation aux tons subtils mesurent 50 cm x 50 cm et se déclinent en 16 couleurs, dont 10 neutres et 6 vibrantes. Les teintes contemporaines Graphic, Talent, Develop, et Draw reflètent parfaitement l'influence de la tendance « comme à la maison » sur le design des espaces de travail. Conçue pour compléter les couleurs neutres les plus plébiscitées d'Interface, Recreation rehausse n’importe quel espace lorsqu'elle est associée aux gammes existantes de LVT et de sols en caoutchouc nora.
Il y a 2 ans et 265 jours

Des lames de terrasse CôtéParc Ducerf pour l'aménagement d'un patio de maison de ville chaleureux

L’enjeu était de révéler tout le potentiel de cet espace en conservant les murs en pierre traditionnelle, habiller la piscine, agencer au mieux les espaces, végétaliser l’endroit, et mettre en valeur les matériaux.Les lames de terrasse DUCERF en frêne THT de la gamme CôtéParc ont été utilisées pour aménager la terrasse et habiller la piscine semi enterrée et les bacs végétalisés. Le choix du bois permet de valoriser cette cour intérieure et lui donner un côté très nature. L’aménagement des lames de terrasse a été pensé dès sa conception et exécuté avec soin.Ici l’essence de frêne tend vers une couleur chocolatée naturelle et homogène, proche de celles des bois exotiques, et ce grâce au Traitement par Haute Température. Cette terrasse s’accorde parfaitement avec les murs en pierre, et apporte de la chaleur à cet environnement atypique et minéral.Une essence locale pour une terrasse contemporaine et durableLe propriétaire s’est tourné vers la gamme de lame de terrasse CôtéParc pour ses avantages techniques, esthétiques et écologiques. Les lames de la terrasse de ce patio ont été réalisées à partir du frêne, une essence locale de bois feuillu, traitée par haute température. Les produits de cette gamme ont été élaborés à partir d’essences locales certifiées PEFCTM, afin de garantir un produit Bois de France (Origine des bois et transformation).Les bois feuillus sont réputés pour leur dureté et leur durabilité naturelles. Grâce au traitement thermique, le frêne s’adaptera parfaitement aux contraintes d’une pose en extérieur avec une meilleure durabilité et une plus grande stabilité dimensionnelle. Il résistera également aux insectes et agents fongiques.La gamme CôtéParc : des produits prêts à l’emploi fabriqués à partir d’essences localesLa gamme CôtéParc Ducerf valorise les essences locales de bois feuillus et de résineux. Elle mise sur le développement de produits prêts à l’emploi en bois naturels ou en bois THT. Ses produits se destinent aux terrasses, aux platelages, aux bardages et aux pièces d’aménagement paysager. Les produits CôtéParc ont de nombreux avantages techniques, esthétiques, environnementaux, et sont durables dans le temps. Caractéristiques techniques :Lames de terrasse en Frêne THT de la gamme CôtéparcProfil face lisse pour fixation invisible, coupe droite en bout, lames continues Dimensions :Largeur : 140 mmEpaisseur : 21 mm Finition : Look IPE Saturabois, une finition écologique teintée afin de garder la couleur naturelle du bois Type de pose : Fixation invisible B-Fix
Il y a 2 ans et 265 jours

Bump signe un partenariat avec les Foncières Tertiaires pour le déploiement de bornes de recharge clé en main

Dans un contexte d’accélération de l’électrification de la mobilité, le président Emmanuel Macron a annoncé l'objectif de produire en France à l'horizon 2030 près de 2 millions de véhicules électriques et hybrides dans le cadre du plan France 2030. Pour atteindre sa mission d'accompagnement des entreprises vers une mobilité électrique, la start-up Bump déploie des bornes de recharge clé en main « Zéro Capex, Zéro Opex » adaptées aux sites fonciers avec une maintenance de qualité offrant 98% de taux de disponibilité. Bump a lancé son offre avec des leaders du secteur des foncières tertiaires : AB SAGAX ou encore Prologis. Cette solution clé en main permet aux propriétaires fonciers d’avoir la garantie de respecter la loi LOM sans rien avoir à gérer. Tout est pris en charge et tout est financé, des travaux jusqu'à la maintenance en passant par la facturation et les demandes des locataires . Outre l’amélioration des bilans RSE, l'enjeu du véhicule électrique pour les foncières est de rendre leur patrimoine plus attractif et de réduire la vacance des actifs. L’installation des bornes de recharge par Bump offre des locaux plus utiles et serviciels aux locataires du site.L’expérience de recharge Bump est simple et digitalisée : elle se fait au kWh consommé, selon un tarif unique, via une borne de recharge rapide 24 - 300kW DC (permettant de recharger deux véhicules en 20 min) ou une recharge lente 22kW AC (permettant de recharger deux véhicules en 4h) et permet de se recharger sur plus de 10,000 points de charge en France. De plus, les locataires bénéficient d’un espace digital pour gérer la consommation et leurs factures.
Il y a 2 ans et 265 jours

Les Français fortement préoccupés par leur avenir énergétique et climatique

Les résultats de l’enquête font apparaitre le portrait d’un pays tiraillé entre sentiment d’insécurité énergétique et climatique d’une part, et volonté de bénéficier d’une énergie bon marché d’autre part.Fortes inquiétudes par rapport à la crise énergétiqueL'énergie est devenue un sujet de préoccupation évident pour beaucoup de Français du fait de l'augmentation des factures, des problèmes géopolitiques et de la pression du changement climatique, ce qui fait de l’énergie une nouvelle priorité pour de nombreuses personnes à travers le pays.Dans le contexte de la crise énergétique actuelle, 76% des citoyens s'inquiètent de l'augmentation des factures d'énergie, 55% craignent que leurs économies ne couvrent pas le chauffage de leur maison l'hiver prochain, et 67% craignent que les objectifs en matière de changement climatique ne soient désormais oubliés.La question du prix de l’énergie est leur préoccupation majeure. Seuls 36% des interrogés se disent prêts à payer des factures plus élevées pour diversifier les sources d’approvisionnement en énergie dans le contexte de la crise actuelle, et parmi ceux-ci, 2 français sur 3 ne sont prêts à payer qu’un léger surcoût. Ils sont même 29% des interrogés à déclarer ne pas avoir les moyens de payer des factures d’énergie plus élevées.Les énergies renouvelables perçues comme une solution65% des Français soutiennent l'expansion des énergies renouvelables pour accroître la sécurité énergétique en Europe. Ils sont aussi 75% à penser que la France aurait dû commencer à investir dans les énergies renouvelables depuis longtemps. Enfin, 17% des personnes déclarent que leur perception des énergies renouvelables comme moyen de réduire les dépendances énergétiques a été renforcée depuis la crise. Mais la question des inquiétudes de prix revient encore : 54% des Français pensent que leurs factures énergétiques vont augmenter s'ils passent aux énergies propres.L’enquête montre enfin la méconnaissance qu’ont les citoyens de l’action gouvernementale en matière de changement climatique : 94% des Français interrogés affirment ainsi n’avoir aucune idée des objectifs spécifiques et des activités clés que le gouvernement français entreprend pour avancer vers la neutralité carbone.Pour Arnaud Bellanger, Directeur de Statkraft France : « Les résultats de cette enquête démontrent un fort soutien public au développement de nouvelles énergies propres. Les Français veulent que leur pays agisse rapidement pour sécuriser un approvisionnement énergétique pérenne et abordable. Nous avons vu qu’environ la moitié des personnes interrogées pensent que leurs factures d'énergie augmenteraient si leur électricité était d’origine renouvelable. C’est inexact. En augmentant la capacité d'énergie renouvelable et en diminuant la dépendance aux combustibles fossiles, les consommateurs seront davantage protégés de la volatilité du marché et de la hausse des coûts de l’énergie. »
Il y a 2 ans et 266 jours

En Suède, des poubelles "sensuelles" pour sensibiliser à la propreté

La ville du sud de la Suède s'est récemment lancée dans une nouvelle campagne de sensibilisation à la propreté urbaine en changeant la voix traditionnelle de ses poubelles parlantes pour une voix féminine bien plus sensuelle, aux paroles très évocatrices. La retenue luthérienne est bien lointaine.Objectif affiché par la mairie, à l'origine du projet: faire parler de ce qui est vraiment sale, à savoir les détritus.Installées depuis quelques années sur une artère affluente de la troisième ville du pays, les poubelles parlantes encourageaient déjà les riverains à garder leurs distances pendant la pandémie de Covid-19.Equipée d'un détecteur et d'un module sonore, la poubelle lance un petit message vocal à chaque fois qu'un usager ouvre la poubelle.
Il y a 2 ans et 268 jours

Wienerberger réduit son impact carbone grâce à la technologie innovante de l'Eco-Stock®

Cette collaboration mise en place sur le site de production de tuiles en terre cuite de Pontigny (89) permettra de réduire les émissions CO2 de l’usine de plus de 450 tonnes par an, grâce à l’installation d’une innovation technologique : l’Eco-Stock®.En septembre dernier, Wienerberger présentait sa stratégie environnementale visant en priorité à réduire les émissions de CO2 de 15% d’ici 2023, 40% en 2030, jusqu’à atteindre la neutralité carbone en 2050. Pour atteindre ses objectifs, de nombreuses actions ont déjà été mises place comme la construction d’ échangeurs thermique sur plusieurs sites de fabrication de briques de structure permettant d’économiser 6 000 MWh/an sur la consommation de gaz d’un site, mais également l’utilisation à 100% d’électricité verte provenant entre autre d’un parc éolien, ou encore la signature d’un partenariat avec l’ADEME au travers d’un dispositif FRET21, pour la réduction des émissions de CO2 dans le transport des matériaux.Poursuivant ses engagements environnementaux, Wienerberger France s’associe aujourd’hui avec l’entreprise Eco-Tech Ceram pour l’installation d’un Eco-Stock® sur son site historique de Pontigny (89), spécialisé dans la fabrication des tuiles de la marque Aléonard.Véritable innovation dédiée à la transition énergétique dans le secteur industriel, l’Eco-Stock® permet de récupérer et de stocker la chaleur fatale (ou chaleur perdue) rejetée par les six fours intermittents de l’usine. Cette chaleur accumulée dans l’Eco-Stock® sera ensuite réorientée à bon escient et au bon moment vers les séchoirs eux aussi intermittents. Ainsi, ces mêmes séchoirs n’auront plus besoin de gaz pour fonctionner. Résultats : le site réduira considérablement son impact carbone en supprimant l’émission de l’équivalent en Co² de 6 000 000 de kms de voiture.Qu’est-ce que l’Eco-Stock ?Innovation technologique de l’entreprise Eco-Tech Ceram, l’Eco-Stock® est un système de stockage thermique pouvant aller jusqu’à 1 000 °C et permettant de gérer l’intermittence et la variabilité des gisements et des consommations énergétiques. L’Eco-Stock® est capable de capter, stocker et restituer une énergie décarbonée moins coûteuse que celle issue de la combustion de matières fossiles (gaz naturel, pétrole…) en contrôlant la durée, la puissance, la température et le débit des flux d’énergie. Le système permet de valoriser au mieux les énergies renouvelables et de récupération conformément aux exigences de performance de l’industrie.« Nous sommes très fiers de lancer ce projet d’Eco-Stock® sur notre site de Pontigny en bénéficiant ainsi des dernières innovations technologiques de l’entreprise Eco-Tech Ceram. Cette installation, visant à la réduction des émissions de CO2, est une nouvelle étape dans notre stratégie de décarbonation avec comme objectif final la neutralité carbone en 2050 » commente Frédéric Didier, Directeur Général de Wienerberger France.« Alors que les crises climatiques et énergétiques s’intensifient, nous nous félicitons de notre partenariat avec Wienerberger et sommes très heureux de pouvoir accompagner ce géant de l’industrie céramique dans sa transition bas carbone. Avec l’Eco-Stock, nous avons été en mesure de leur proposer une solution technique clé en main et entièrement financée, avec le soutien de l’ADEME. En contractant avec ETC invest, Wienerberger va donc acheter de la chaleur décarbonée et compétitive pour remplacer le gaz naturel fossile, le tout sans avoir à investir », déclare Antoine Meffre, Président et Fondateur d’Eco-Tech Ceram.
Il y a 2 ans et 268 jours

Quels sont les régions, départements et communes où sont installées le plus grand nombre d'éoliennes ?

Ces dernières années, le soutien à la filière éolienne représentait une charge pour les finances de l’Etat, mais en raison de la forte hausse des prix de marché due à la guerre en Ukraine et de la faible disponibilité des centrales d’EDF, l’énergie éolienne est aujourd’hui moins chère que les prix de marché et contribue donc positivement au budget de l’état. Comment et où serait-il possible de développer plus de parcs éoliens dont nous avons besoin en cette période, en tenant compte des oppositions locales à l’installation d’éoliennes ? Dans cette étude, retrouvez où sont installées aujourd’hui les éoliennes terrestres en France, et quels sont les communes, régions et départements qui en comptent le plus.Entre autres conclusions, il est intéressant de noter que : Les Hauts-de-France sont d’assez loin la région qui compte le plus d’éoliennes installées (1 863), avec une puissance totale installée de 4.245 MW ; Le Grand-Est est également bien représenté avec 1.846 turbines installées et une puissance totale de 3.967 MW ; Loin derrière, avec 872 éoliennes (1.566 MW installés), l’Occitanie complète ce podium ;La force et la régularité des vents dans ces régions semblent être le premier critère d’explication de cette répartition ; le foncier disponible (faible densité de population, élevages agricoles peu présents…) est une autre piste à envisager.Cette forte inégalité de la répartition des éoliennes sur le territoire est un facteur d'explication des oppositions locales à l'installation de nouveaux parc éoliens.
Il y a 2 ans et 268 jours

A Narbonne, Cosy Diem imagine un concept d'habitat innovant pour favoriser le "bien vieillir"

Avec ce projet de 100 logements, au concept d’habitat innovant dédié à la nouvelle génération de seniors, privilégiant leur indépendance et leur autonomie, Kaufman & Broad confirme sa volonté de construire des résidences dédiées au « bien vieillir ». L’enjeu est de taille, d’ici 2060, un tiers des Français aura plus de 60 ans et les plus de 85 ans seront plus de 5 millions.Les résidences services seniors Cosy Diem sont une solution d’hébergement et de services, adaptée aux personnes âgées à la recherche d’une nouvelle dynamique de vie. Ces résidences de nouvelle génération ne proposent pas seulement un habitat de qualité, mais également des prestations et services, adaptés et personnalisables, qui permettent de prévenir la dépendance.Une résidence au service du bien vieillir « Aujourd’hui nous sommes fiers d’inaugurer cette première résidence Cosy Diem née de l’alliance avec le Réseau Serenis. Car chez Kaufman & Broad, nous avons une conviction, partagée avec la majorité des Français : la plupart des gens souhaitent vieillir chez eux, en tout cas le plus longtemps possible. C’est pourquoi, alors que nombre de résidences gérées s’adressent à des seniors dits actifs, le concept Cosy Diem s’intéresse également à des personnes fragiles ou en perte d’autonomie qui ont besoin de solutions pour retarder l’apparition de la dépendance, voire l’éviter. C’est une vraie stratégie qui s’inscrit dans les recommandations de l’OMS pour favoriser le vieillir en bonne santé. », souligne Jacques Rubio, Directeur Général Régions Kaufman & Broad. Cosy Diem propose aux seniors des logements indépendants et adaptés, articulés autour d’espaces communs conçus comme de véritables lieux de convivialité, d’activité, de divertissement et de détente. Les résidents sont invités à pratiquer des activités physiques adaptées et à participer à des ateliers diététiques animés par des professionnels afin de maintenir leurs capacités physiques et intellectuelles. Le programme des ateliers personnalisés est fondé sur les stratégies issues des travaux de l’OMS, qui englobent, en amont de la perte d’autonomie, le repérage précoce de la fragilité chez les personnes âgées, afin d’identifier les déterminantes de la fragilité et d’agir dessus pour retarder la dépendance dite « évitable » et prévenir la survenue d’événements défavorables.Pour ce faire, elle s’appuie sur l’expérience du Réseau Serenis, groupe familial toulousain spécialisé dans la prise en charge des seniors, qui a développé une approche particulière du soin de la personne âgée.« Le Réseau Serenis a mis à disposition de Cosy Diem son savoir-faire d’exploitant d’établissements de santé et d’EHPAD pour concevoir des résidences qui répondent aux besoins des seniors autonomes » déclare Paul Gémar, Président de Cosy Diem. Une résidence pour favoriser le vivre ensembleLa résidence Cosy Diem Narbonne offre aux seniors autonomes un lieu de vie confortable et convivial pour bien-vieillir. Conçue par l’architecte, Christian Dugelay (Architecture Patrimoine et Création), elle est idéalement située au centre-ville de Narbonne, le long du quai Vallière, pour permettre aux résidents de profiter de la proximité des berges du canal, des commerces, des halles, des services, et de se divertir, tout en favorisant le lien social.« La ville de Narbonne accueille la première résidence Cosy Diem, en lieu et place d’une ancienne Clinique désaffectée, participant ainsi à la reconstruction de la Ville sur la Ville. Nous avons fait le choix de cette ville, au carrefour de l’Occitanie, pour répondre aux attentes de la population senior locale mais aussi parce que c’est une ville où il fait bon vivre. Nous leur proposons des appartements adaptés à toutes contraintes de mobilité et faciles à vivre pour bien vieillir», explique Julien Eybalin, Directeur d’Agence Kaufman & Broad Languedoc-Roussillon.La résidence Cosy Diem se compose de 100 appartements, du studio au 3 pièces, de 28 à 67 m². La majorité des appartements disposent d’une terrasse ou d’un balcon. Tous sont meublés et climatisés, avec possibilité de personnalisation. Les appartements sont ergonomiques, équipés de cheminements lumineux en cas de perte d’autonomie.Près de 600 m² sont réservés aux services (salle de sport, bibliothèque, salle multimedia, salon de coiffure…) et à la restauration faite sur place. Le choix a été fait d’ouvrir le restaurant au public, car maintenir le lien social chez les seniors est primordial.« Ce lien social est l’une des clés du bien vieillir et nous l’appliquons dans nos résidences au travers du restaurant ouvert sur l’extérieur, de l’emplacement en cœur de ville… », poursuit Julien Eybalin.Au-delà des services proposés, Cosy Diem c’est aussi une équipe de 12 collaborateurs bienveillants et formés à l’accompagnement des seniors, qui veille 24h/24 7j/7 sur les résidents.
Il y a 2 ans et 268 jours

VR90 et VR70 : les BSO Schenker Stores pour les baies XXL

Ils s’ajustent de manière optimale à des situations de constructions les plus variées, sur les plans esthétique et technique. Tout en préservant la luminosité et la ventilation naturelle, ces BSO offrent une protection solaire optimale au moyen de leurs lames en forme de Z. Ils permettent un contrôle précis et en continu de la lumière naturelle. Les lames en Z sont stables avec une largeur de 70 ou 90 mm ; elles sont munies d’un joint procurant un bon niveau d’obscurcissement. Les lames orientables en aluminium, en position fermée, permettent une excellente gestion des apports solaires et ainsi de réduire les dépenses énergétiques. Les BSO Schenker Stores sont simples à manœuvrer et silencieux. Leur orientation est réglable librement, en fonction des envies, et donne la possibilité de concevoir l’orientation optimale de la lumière naturelle en fonction des besoins. Pour un confort total, les BSO VR 90 & VR 70 sont pilotables avec les solutions smart home intelligentes. Une vaste gamme de capteurs éoliens ou solaires garantit une utilisation sûre et adaptée au produit. Diverses variantes d'installation L’utilisateur peut faire le choix d’un guidage par coulisses ou d’un guidage combiné par câble et coulisses. Cette combinaison de guidage par câble et de coulisses assure une résistance et une stabilité au vent bien plus élevées (vitesse du vent de 92 km/h), même pour les baies XXL. Une coulisse tapée en aluminium extrudé offre une intégration parfaite à la façade. Un montage latéral est possible sur l’embrasure ou de face. En option, la coulisse peut également être intégrée sur les façades en construction métallique au profil de la façade ; ou encore encastrée en étant insérée dans l’embrasure. Ces BSO peuvent également être intégrés au linteau - dans ce cas, le store est monté dans la façade de manière invisible – ou être montés en tableau. Dans cette configuration, le store est installé en saillie par rapport à la façade. Un lambrequin supplémentaire est monté sur la façade. Il protège le store et le couvre dans son état relevé. Le lambrequin est disponible en diverses formes et couleurs. Disponibles en 29 coloris standards (ou tout RAL en option) les BSO à lames reliées VR 90 & VR 70 s’intègrent à presque toutes les particularités architecturales et quel que soit le type de pose. Ils favorisent la création d’une ambiance lumineuse personnalisée dans la pièce pour une qualité de vie et de travail idéale.
Il y a 2 ans et 269 jours

La Chine va doubler sa capacité d'énergie éolienne et solaire d'ici à 2025

Dans un document publié début juin, le planificateur économique central du pays a déclaré que 33% de l'approvisionnement en électricité du réseau national proviendrait de sources renouvelables d'ici à 2025, contre 29% en 2020."En 2025, la production annuelle d'électricité à partir d'énergies renouvelables atteindra environ 3,3 trillions de kilowattheures... et la production d'énergie éolienne et solaire doublera", indique le plan.Le premier pollueur mondial avait précédemment estimé qu'il devait doubler l'utilisation de l'énergie éolienne et solaire d'ici à 2030 pour tenir ses engagements dans le cadre de l'accord de Paris sur le climat.Ce dernier plan, s'il est mis en œuvre, signifie que la Chine pourrait atteindre cet objectif plus tôt.Mais le plan prévoit aussi que les énergies renouvelables couvriront "50% de la croissance de la consommation d'électricité" d'ici à 2025, ce qui est inférieur aux précédentes estimations officielles et indique une plus grande marge de manœuvre pour développer l'énergie provenant du charbon.Pékin a accru sa dépendance à l'égard des centrales électriques au charbon ces derniers mois pour soutenir son économie en difficulté, alors que la guerre en Ukraine fait grimper les prix mondiaux de l'énergie.La Chine est le plus grand producteur d'énergie renouvelable au monde. Elle a accéléré ses investissements dans les projets solaires et éoliens afin de lutter contre la pollution intérieure qui, selon les chercheurs, tue plusieurs millions de personnes chaque année.Les investissements dans l'énergie solaire ont presque triplé au cours des quatre premiers mois de l'année par rapport à la même période l'année précédente pour atteindre 29 milliards de yuans (4 milliards d'euros), selon les données de l'Administration nationale de l'énergie.Mais le pays brûle toujours la moitié du charbon utilisé dans le monde chaque année pour alimenter son économie.La semaine dernière le Premier ministre Li Keqiang a déclaré que le charbon était à la base de la sécurité énergétique du pays, et la banque centrale a approuvé un crédit de 15 milliards de dollars pour financer l'extraction du charbon et les centrales au charbon.
Il y a 2 ans et 269 jours

Recul des ventes de logements neufs au deuxième trimestre

Au deuxième trimestre, 27.909 logements neufs ont été réservés par des particuliers. C'est 13% de moins qu'en 2021, année de "rattrapage" après les confinements de 2020, note le ministère, et nettement moins (-20,4%) qu'en 2019, dernière année avant la pandémie. Le nombre de logements mis sur le marché est également en baisse, de 11,7% sur un an, avec 28.733 nouvelles commercialisations. La chute est plus marquée pour les maisons individuelles, mais celles-ci représentent moins d'un dixième des mises en vente et des réservations. Les prix de vente moyens ont, eux, continué de grimper, de 4,9% pour les appartements et de 5,2% pour les maisons individuelles. La tendance à la baisse des ventes s'observe surtout dans les zones les plus tendues, soit l'Ile-de-France, la Côte d'Azur et à la frontière suisse. Seules les zones les moins tendues, hors des communes de plus de 50.000 habitants, voient l'offre augmenter, mais sur des volumes très faibles, le marché étant concentré sur les zones tendues et les grandes agglomérations. Un total de 13,5% des réservations se sont terminées par une annulation de la part des acquéreurs, une part en hausse, note le ministère, alors que la remontée rapide des taux d'intérêt a suscité des turbulences dans l'accès aux crédits.
Il y a 2 ans et 269 jours

Démonstration du disque « Extrême Grès Silencio 350mm » Norton Clipper - Les Démos d'Estelle

La démo du jour : La scie de maçon « CST 120 Aluminium » et son disque « Extrême Grès Silencio 350mm » de NORTON CLIPPER.Le disque « Extrême Grès Silencio 350mm » et sa scie de maçon sont conçus pour la découpe de matériaux très durs. Ce disque est extrêmement silencieux pour assurer un confort lors de son utilisation. De plus, il permet la découpe de matériaux de 2cm à 4 cm d’épaisseur. Pour finir, ce disque est doté d’une excellente durée de vie. En ce qui concerne la scie de maçon SCT 120, celle-ci est en aluminium, ce qui lui permet d’être plus légère et plus facile à déplacer.
Il y a 2 ans et 269 jours

Nouveau RX Cube de CDVI : gérer et contrôler des accès via smartphone

Aujourd’hui, CDVI illustre une nouvelle fois cette volonté et lance RX CUBE, un micro-récepteur radio contrôlé par Bluetooth® qui, associé à une application smartphone, simplifie la gestion et l’ouverture des accès.Un petit cube pour centraliser les accès depuis un smartphone ou une seule télécommandeDe la taille d’une boîte d’allumettes, le RX CUBE est un micro-récepteur radio qui s’intègre à tous les automatismes de porte, portail ou portillon pour déclencher leur ouverture. Alimenté par une tension de 12/24 V, il est contrôlé par Bluetooth® et offre ainsi un mode de fonctionnement hybride par télécommande radio classique (433,92 MHz) mais aussi par smartphone grâce à l’application RX Cube dédiée, téléchargeable gratuitement sur l’App Store et Play Store.Au-delà de limiter les problématiques liées à la gestion d’un grand nombre de télécommandes dans un immeuble résidentiel ou tertiaire, l’application RX Cube facilite le travail des installateurs et des administrateurs puisque toute la configuration et la gestion des accès s’effectue directement via le smartphone.Une gestion et une configuration encore plus simple et plus rapideIntuitive, l’application RX Cube de CDVI propose trois profils différents protégés par un mot de passe :« Installateur » pour la mise en œuvre sur place du récepteur RX Cube, à partir duquel le professionnel réalise, à proximité, le paramétrage de son fonctionnement (gestion de la temporisation du relais selon les temps d’ouverture souhaités...). Plus besoin d’accéder physiquement au boîtier, tous les réglages se font depuis le smartphone pour un réel confort d’utilisation. Il est également possible d’effectuer le premier appairage, à l’unité ou groupé, entre les récepteurs RX Cube et les émetteurs (télécommandes ou smartphone),« Administrateur » destiné aux gestionnaires de bâtiment, syndicats de copropriété... qui vont pouvoir gérer jusqu’à 250 émetteurs différents, leur attribuer des droits d’accès selon leurs profils, mais aussi configurer le récepteur RX Cube en fonction des besoins et/ou du fonctionnement des équipements qui lui sont liés (portail, portillon, barrière...). A tous moments, ils bénéficient d’une vue d’ensemble de l’installation et peuvent effectuer des appairages supplémentaires pour ajouter ou modifier des émetteurs ou encore supprimer des droits en cas d’émetteur perdu ou non restitué dans le cas d’une télécommande, par exemple,« Utilisateur » qui pour déclencher l’ouverture d’un accès n’a plus qu’à lancer l’application RX Cube sur son smartphone et à appuyer sur le bouton central sur lequel est indiqué « ouvrir le portail ».Autre avantage non négligeable, administrateurs et installateurs peuvent gérer à proximité, dans la même application, les accès de plusieurs sites différents.Compatible avec la gamme complète de télécommandes CDVI et les digicodes Galeor utilisant le protocole Keeloq@Hopping code, RX CUBE rend le contrôle virtuel des accès fiable et accessible à tous, clients professionnels comme utilisateurs finaux.
Il y a 2 ans et 269 jours

GSE réalise un parking aérien pour le marché de Rungis

Situé avenue de Bourgogne à Chevilly-Larue (94), ce parking aérien s’étendra sur 11.500 m² de surface de plancher et permettra ainsi à la SEMMARIS de bénéficier du système de construction GSE GOLDBECK en France.Un chantier rapide en site très fréquentéRéalisé pour le compte de SEMMARIS, le gestionnaire immobilier du marché de Rungis, ce parking aérien proposera 445 places multi-usages (VUL, VL et zone VIP) sur 5 niveaux, localisé sur un terrain de seulement 2.300 m² en plein cœur du marché international, en lieu et place d’un parking traditionnel en surface. « Non seulement le chantier devra permettre la continuité de l’activité du parking, mais le site est l’un des plus fourmillants de l’Hexagone. Il s’agit d’un véritable défi pour les équipes GSE » explique Yoann Castel, en charge de ce projet.Le parking aérien sera le premier à bénéficier de la démarche GSE GOLDBECK. « Entièrement préfabriqués, tous les éléments sont construits en usine et assemblés sur place comme des Lego. Cette méthode de construction permet un très bon suivi qualité, une optimisation des matériaux et donc une réduction de la consommation de matières premières et un timing de construction très court » explique Maxime Ochin, directeur activité Parking de GSE. A la rapidité de cette méthode de préfabriqué, la démarche GOLDBECK ajoute de nombreux avantages environnementaux : une façade en bois recyclé signée ABA Workshop, une ombrière de panneaux photovoltaïques en toiture. A la demande du client, GSE étudie une solution locale de compensation du poids carbone de l’ouvrage.Le chantier, en flux tendu, démarrera en septembre 2022 pour une livraison en avril 2023. Un deuxième parking à Pessac (33) est également prévu pour représenter la deuxième implantation de GSE-GOLDBECK en France.Objectif, révolutionner le parking avec de nombreux services associésGrâce à son mode de production industrialisé, totalement préfabriqué et prêt à la construction, cela permet à GSE de présenter une offre particulièrement compétitive, affichant des prix entre 15 et 20 % moins élevés que le coût d’une place de stationnement en parking « traditionnel » sur le marché français. Ce procédé de fabrication industrialisé et intégré permet en outre des délais de déploiements uniques.Véritables outils au service de la mobilité, GSE propose des solutions confortables, intelligentes et durables. Ces parkings intègrent les nouvelles technologies mises en œuvre dans ce domaine, garantissant une qualité et une sécurité optimale : guidage à la place, gestion numérique du parking, contrôle d’accès par reconnaissance de la plaque, éclairage intelligent, jalonnement dynamique et offrent d’innombrables possibilités sur le design architectural. De plus, ils permettent une réduction de 20 % du bilan carbone par rapport aux solutions du marché.
Il y a 2 ans et 270 jours

L'immobilier algérien fait salon en France pour la 1ère fois

Au programme : un large panorama de l’offre immobilière algérienne, exclusivement dans le neuf, enrichi par des journées thématiques pour informer les visiteurs et les aider à construire leur projet en Algérie.Co-organisé par "OK AGENCE", une agence d'évènementiel française basée à Nîmes et "Lepestate.com", agence immobilière basée à Alger, leurs équipes ont su rester fortement mobilisées pendant la crise sanitaire, et continuent à travailler d'arrache pied pour la réussite de cet évènement, qui a été reporté 2 fois à cause de la crise du COVID-19.Pour Karina Tifoura, co-Organisatrice du SINA PARIS et Directrice de OK AGENCE : "Le SINA PARIS participe pleinement à la dynamique économique entre la France et l'Algérie, et se positionne comme un rendez-vous incontournable, d'une part, pour les membres de la diaspora algérienne de France ayants le projet d’achat ou de construction d’une maison individuelle en Algérie, et d'autre part, pour tous les opérateurs économiques français souhaitant pénétrer le marché du BTP en Algérie."Promoteurs immobiliers, organismes de financement, spécialistes en droit immobilier, architectes urbanistes, le SINA PARIS réunit pour la première fois à l'étranger, les futurs acquéreurs de la diaspora et plus de 25 professionnels de l’immobilier venus de l'est, du centre et de l'ouest de l'Algérie.Pour Sofiane Ouhab, Directeur de Lpestate.com et co-Organisateur du SINA PARIS : "En cette période de ralentissement de l'économie mondiale, il est plus que jamais nécessaire, de développer plus de perspectives commerciales entre les deux rives de la Méditerranée."
Il y a 2 ans et 270 jours

En Allemagne, les panneaux solaires sensibles aux coups de soleil

"Il y a des coupures tous les jours", déplore auprès de l'AFP ce petit producteur d'énergie solaire, dont les panneaux tapissent le toit d'une entreprise de transport à Aurach, dans le nord de la Bavière.Sur les quelque 200 jours écoulés depuis le début de l'année, son installation a été coupée pendant plus de la moitié du temps.Le courant produit pendant ces déconnexions a été de facto jeté à la poubelle et ce parce que le réseau n'a pas la capacité de le transporter.L'entrepreneur pourrait fournir de l'électricité à une cinquantaine de foyers. Au lieu de cela, il n'aura pas livré la moitié de sa capacité de production d'ici la fin de l'année."C'est une tromperie vis-à-vis de la population", s'énerve-t-il.Son irritation est d'autant plus grande que dans le même temps les prix de l'électricité s'envolent dans le sillage de la guerre en Ukraine et que le gouvernement ne cesse de proclamer vouloir encourager les énergies propres en Allemagne afin de réduire la dépendance à l'égard des énergies fossiles russes et d'atteindre ses objectifs climatiques.Il n'est pas la seule victime : les opérations de ce "découplage" au réseau se sont multipliées ces dernières années dans sa région, visant surtout les grandes installations photovoltaïques."Augmentation maximale"L'opérateur local N-Ergie, qui achète la production de Jens Husemann, est bien conscient du problème mais n'a pas d'autre choix que d'intervenir face à la multiplication des goulots d'étranglement ou en cas de maintenance du réseau."Nous assistons actuellement --et c'est heureux-- à une augmentation maximale des parcs photovoltaïques, comme nous n'en avons jamais vu par le passé", souligne Rainer Kleedörfer, responsable du département développement de l'opérateur.Mais quand une à deux années sont nécessaires à la mise en service d'un parc, l'extension de "l'infrastructure du réseau qui doit être réalisée en parallèle dure entre cinq et dix ans", pointe-t-il, notamment en raison des procédures d'autorisations administratives très longues.Conséquence : le nombre des déconnexions a continuellement augmenté ces dernières années, principalement autour des "pics de midi", quand le soleil brille le plus intensément.Ce phénomène de production qui explose alors que le réseau est incapable de suivre le rythme touche encore davantage l'énergie éolienne et au niveau national, affirme Carsten Körnig, directeur de la fédération de l'énergie solaire.Concernant l'énergie solaire, les problèmes restent selon lui relativement limités et régionaux, la Bavière et certains grands parcs photovoltaïques de l'est de l'Allemagne étant les plus affectés.Craintes pour les zones ruralesPour l'avenir, M. König redoute une accentuation du problème en milieu rural, en particulier "si la prise de décision politique visant à développer le réseau en fonction des besoins durait trop longtemps".Selon les dernières données officielles disponibles, 6,1 terrawattheures (TWh) d'électricité produits en 2020 via les énergies renouvelables en Allemagne n'ont pas pu être utilisés en raison de la faiblesse du réseau.En prenant une consommation moyenne de 2.500 kilowattheures pour un foyer de deux personnes, cela représente un volume d'électricité pour quelque 2,4 millions de ces foyers qui a été perdu.L'Agence fédérale des réseaux se veut rassurante."L'idée selon laquelle le développement d'un réseau conforme aux besoins n'aura pas lieu n'est globalement pas partagée", affirme un porte-parole de l'institution.Il reconnaît certes des retards attribués en partie aux longues procédures d'autorisation ou à une surcharge de travail des entreprises spécialisées.Aussi irritantes que puissent être les coupures régulières de son installation, Jens Husemann n'aura pas trop perdu au niveau financier.L'opérateur doit en effet le dédommager à hauteur de plus de 35.000 euros, pour de l'électricité qui n'aura jamais pu parcourir le chemin jusqu'à une prise de courant.
Il y a 2 ans et 270 jours

Vandersanden publie son rapport sur le Bien-être Collectif 2021

Les réalisations de l’année écoulée montrent une fois de plus que Vandersanden est sur la bonne voie pour aboutir à la neutralité carbone en 2050.Ces dernières années, Vandersanden a déjà accompli des pas de géant en matière de développement durable et a continué à progresser en 2021. Dans son nouveau rapport, Vandersanden donne un aperçu de ses ambitions et de ses réalisations concrètes de l’année écoulée. En 2021, Vandersanden a notamment décroché le premier certificat de « Great Place to Work » dans quatre pays et lancé les emballages ECO contenant au moins 30 % de matériaux recyclés et 80 % d’encre en moins, ce qui représente une diminution annuelle de 400 000 kg de CO2. Le briquetier Vandersanden a également progressé dans le développement de briques neutres en CO2, élargi le développement des compétences de ses collaborateurs et ouvert une nouvelle salle d’exposition dans le Nord de la France et à Tolkamer (Pays-Bas). En 2021, Vandersanden a en outre investi 500 000 euros dans des bonnes œuvres en Belgique et à l’étranger en tant que véritable bâtisseur de communautés. « Le Bien-être Collectif n’est absolument pas de la poudre aux yeux »C’est la deuxième fois que Vandersanden publie un rapport sur le Bien-être Collectif. Et son CEO, Rudi Peeters, participe pour la première à la publication de ce rapport. En ce qui le concerne, c’est le Bien-être Collectif qui l’a décidé à entrer en service chez Vandersanden : « Dès mes premiers mois chez Vandercsanden, j’ai pu constater que le Bien-être Collectif n’était absolument pas de la poudre aux yeux. J’ai d’emblée pris conscience que le Bien-être Collectif était véritablement inscrit dans l’ADN de l’entreprise. Il est présent partout dans l’organisation, à tous les niveaux, chez tous les collaborateurs », déclare Rudi Peeters, CEO de Vandersanden. « Ces dernières années, Vandersanden a fait d’énormes efforts pour devenir plus écologique et plus durable. Je souhaite poursuivre sur cette voie. Cela va de la production de briques neutres en CO2 à un parc de véhicules entièrement électriques, chariots élévateurs y compris. »Cette année encore, Vandersanden met les différents aspects de sa politique du Bien-être Collectif au centre de l’attention dans quatre domaines : l’environnement, le secteur, le travail et la communauté. Parallèlement aux initiatives entreprises et aux réalisations, une attention particulière est également accordée à l’origine du Bien-être Collectif et à la manière dont cette notion de Bien-être Collectif elle-même, ainsi que les operations, ont évolué d’une conviction profonde à une priorité stratégique. Un chapitre spécial est également consacré à la formation et au coaching sur le lieu de travail et le rapport se concentre tout particulièrement sur la collaboration avec les partenaires dans tous les domaines du Bien-être Collectif. Ainsi, plusieurs pages du rapport sont consacrées à une double interview avec l’ONG Cunina et Vandersanden. Eddy Deconinck, directeur du Bien-être Collectif chez Vandersanden : « C’est grâce à l’engagement de nos 800 collaborateurs et de nos partenaires que Vandersanden peut se qualifier de leader en matière de Bien-être Collectif et de développement durable. La conviction partagée d’amélioration du climat et d’efficacité énergétique nous incite à placer la barre toujours plus haut dans notre secteur et évidemment dans la communauté dont nous faisons partie. Grâce à cette large vision, Vandersanden est aujourd’hui un leader en matière de Bien-être Collectif. »
Il y a 2 ans et 270 jours

REP PMCB : Valobat, la FNB et l’UICB expriment leurs engagements communs pour la filière bois

Déjà engagée dans l’acte de construire avec tous ses métiers, la filière bois-construction figure parmi les premières contributrices dans l’enjeu de réduction des gaz à effet de serre.Valobat, candidat à l’agrément d’éco-organisme, aspire à être l'acteur de référence pour les produits bois et porte de grandes ambitions pour ce matériau aux multiples atouts. Début 2022, l’Union des Industriels et Constructeurs Bois (UICB) et la Fédération Nationale du Bois (FNB) entraient au capital de Valobat. Un message fort exprimant leur volonté partagée d’accompagner les acteurs du bois dans ces prochains changements, avec cinq objectifs prioritaires : Réussir l’engagement des entreprises dans la REP, Construire des critères d’éco-conception adaptés à la filière bois, Encourager le réemploi et la réutilisation des produits bois, Promouvoir le recyclage et la valorisation du bois,Obtenir la visibilité de l’écocontribution sur les devis et les factures. La filière française bois : des objectifs ambitieux Le bois est un matériau qui apporte de nombreux avantages au secteur de la construction et de la rénovation. Performante, la filière française fournit des produits biosourcés et d’origine renouvelable adaptés aux marchés. Ils contribuent à l’amélioration du bilan carbone du secteur. Les coproduits, ainsi que les produits bois en fin de vie, sont recyclés (panneaux) ou peuvent constituer une source d’énergie dans des équipements individuels ou collectifs (réseaux de chaleur). La filière s’est fixée des objectifs ambitieux : en doublant la part de marché du bois dans l’habitat collectif neuf (passer de 3% à 6%), en passant de 10% à 15% dans la maison individuelle, en portant à 15% la part de solutions bois utilisées dans la rénovation de bâtiments collectifs,en augmentant de 20% la part de marché du bois dans les solutions de réhabilitation et de rénovation des logements individuels. Cinq priorités partagées et des engagements forts Réussir l'engagement des entreprises dans la REP A compter du 1er janvier 2023, les entreprises du secteur bois concernées par la REP PMCB vont devoir adhérer à un éco-organisme tel que Valobat et s’acquitter du paiement d’une écocontribution associée à la commercialisation de leurs produits. C’est un engagement fort dans la construction de la filière et pour le respect de leurs obligations environnementales. Les engagements FNB, UICB et VALOBAT Mettre à disposition des entreprises une information fiable et construire un barème d’écocontribution adapté au secteur bois au travers du comité de secteur dédié. Afin de bénéficier d’une information privilégiée, elles peuvent préadhérer au projet d'éco-organisme Valobat - Valobat. Construire des critères d'éco-conception adaptés à la filière bois L’éco-conception des PMCB permet de maîtriser les coûts de gestion des déchets de démolition déconstruction et rénovation du bâtiment, d’améliorer les performances de collecte, et de valorisation (réemploi/réutilisation ou recyclage). Le bois dispose de nombreux atouts : origine biosourcée et renouvelable ainsi qu’un bilan carbone positif. L’engagement FNB, UICB ET VALOBAT Construire un barème reflétant les atouts et les ambitions du matériau bois en proposant des éco-modulations dès le barème applicable en 2024. Il sera proposé aux entreprises afin de les orienter dans des projets d’éco-conception de leurs produits dès 2024. Encourager le réemploi des produits bois Le réemploi est l’action prioritaire à mener dans la hiérarchie des modes de traitement des déchets. Dans un contexte de raréfaction des ressources, d’enjeux de dépôts sauvages et plus largement de gestion des déchets, il séduit de plus en plus d’acteurs qui s’engagent dans des initiatives exemplaires. La filière REP se voit fixer des objectifs très ambitieux. L’engagement FNB, UICB et VALOBAT Accompagner des expérimentations et la construction d’un cadre et de modalités de réemploi du bois. Cette action s’inscrit dans le plan d’actions et l’étude prévus au cahier des charges de l’agrément des éco-organismes. Promouvoir le recyclage et la valorisation du bois Le projet de cahier des charges des éco-organismes fixe des objectifs de recyclage pour le bois à 42% en 2024 et 45% en 2027. Le bois contribue également aux objectifs de la politique de souveraineté énergétique française. Valobat offrira aux détenteurs de déchets, notamment bois issus des chantiers et triés séparément, des solutions de reprise sans frais sur de nombreuses installations (déchèteries publiques ou professionnelles, distributeurs, points spécialisés). L’information des lieux et des consignes de tri facilitera le geste de tri. Un gage de performance afin d’alimenter en matière première l’industrie et les chaufferies bois.Les engagements FNB, UICB et VALOBAT Faire savoir aux entreprises concernées par la REP et à leurs clients que la filière bois est engagée dans des boucles d’économie circulaire concrètes et opérationnelles. Participer à des programmes de R&D et d’innovation sur les exutoires, techniques de tri et de recyclage du bois. Obtenir la visibilité de l'écocontribution sur les devis et les factures La visibilité de l’écocontribution implique l’affichage de son montant supporté par chaque produit ou matériau sur la facture ou le devis, et l’impossibilité de négocier commercialement son montant entre les fabricants et les différents intermédiaires. Si elle est prévue pour les produits électriques et électroniques ménagers et les meubles, les textes ne la prévoient pour les PMCB. Cette mesure constitue pourtant un outil essentiel et indispensable de lutte contre l’inflation, d’information du consommateur, de facilitation des déclarations à l’éco-organisme et une disposition particulièrement adaptée au secteur du bâtiment. L'engagement FNB, UICB et VALOBAT Coordonner leurs actions afin d’obtenir des pouvoirs publics ou du Parlement cette mesure indispensable.
Il y a 2 ans et 271 jours

Les arbres mythiques parisiens à la peine à cause du réchauffement climatique

Question : Comment les arbres parisiens réagissent à la sécheresse ?Réponse : Cet été on constate un automne précoce sur les platanes et les marronniers, avec une chute des feuilles, qui est un mécanisme de survie tout à fait habituel et sans gravité puisqu'ils en reproduiront probablement d'ici l'automne.L'air est de plus en plus sec et de plus en plus avide d'eau, ce qui accélère l'évaporation pour les plantes, qui transpirent plus pour éviter de brûler, tout en continuant avec peine leur travail de photosynthèse. Dans ce contexte très difficile, certaines essences se débarrassent donc de leurs feuilles temporairement.En revanche, le hêtre, comme le frêne vit lui un déclin climatique, à cause du stress hydrique. Ces arbres très vieux et très aguerris ne meurent plus de causes classiques mais du manque d'adaptation à ce nouveau climat.Q : Faut-il remplacer ces arbres moins adaptés ?R : Nous sommes partagés entre la nécessité de conserver le patrimoine historique, ces essences choisies avec beaucoup de soin il y a plus d'un siècle (lors du plan Alphand, le grand jardinier d'Haussmann, NDLR) et le besoin de les changer quand on constate qu'elles dépérissent par le climat. Par exemple, on évite désormais quand on peut, donc sauf nécessité patrimoniale comme sur les Champs-Elysées de planter de lignes de platanes car cette essence n'a plus d'avenir.On introduit de plus en plus d'essences non-indigènes, principalement méditerranéennes, comme le micocoulier de Provence, l'alisier ou même le pin et elles se comportent bien. On a même quelques palmiers, mais on n'en est pas à faire des alignements d'oliviers !On parle beaucoup de la chaleur, mais chaque hiver on croise les doigts. S'il fait -10°C, c'est fini.Il ne faut pas abandonner ces arbres ou se mettre à tout remplacer. Les plantes il faut les stimuler pour qu'elles s'adaptent, mutent. Il faut nourrir leur pouvoir de résilience.Q : Comment aider les arbres urbains à devenir plus résilients ?R : Les sols parisiens sont très hostiles. Les nappes d'eau sont profondes (plus de 16m), le sol est fait de gravas et la roche-mère est du calcaire qui n'est pas nutritif. Les arbres boivent principalement donc de la pluie et de l'arrosage, notamment du nettoyage du sol qui les aide beaucoup.Pour les essences, il faudra privilégier des plantes super dynamiques au niveau des racines, pour compenser le stress hydrique, celles avec un réseau de racines qui descendent bien et sont capables de fusionner avec des champignons qui vont les aider à s'approvisionner en eau.Pour leurs fosses de plantation, on a de bonnes dimensions, entre 9 et 12m3 selon le plan Alphand, il ne faut pas descendre en-dessous. Il faut mieux protéger les arbres du piétinement, sensibiliser les Parisiens à s'éloigner des troncs et se méfier du gazon, apprécié des utilisateurs mais qui fait la guerre des racines en sous-sol.
Il y a 2 ans et 271 jours

92% des entreprises envisagent des changements dans leur stratégie immobilière

CBRE, acteur mondial du conseil en immobilier d’entreprise livre en exclusivité les résultats de la 12ème édition du sondage européen sur l’opinion des entreprises utilisatrices de bureaux, qui rassemble le point de vue d’environ 120 décideurs immobiliers d’entreprises de premier plan, implantées dans la région EMEA.*« Depuis deux ans, les entreprises ont dû à la fois repenser leur organisation selon les nouveaux modes de travail et imaginer les bureaux de cette nouvelle ère, tout en composant avec les restrictions sanitaires. Celles-ci sont désormais en capacité à prendre des décisions immobilières, mix entre précaution et expansion. » déclare Caroline Ceccaldi, Executive Director Advisory Occupiers.Retrouvez dès à présent les 10 principaux points d’attention des entreprises en 2022, en matière d’utilisation des bureaux, de stratégie immobilière, de politique Workplace ou encore d’aménagement des bureaux.Quels usages font les entreprises de leurs bureaux, dans un environnement post Covid ?1 - Le retour au bureau reste une priorité forte : 68 % des entreprises interrogées ont souhaité encourager un retour sur site de leurs collaborateurs au cours du premier semestre 2022.2 - Les collaborateurs ont le choix pour le moment : 70% des entreprises interrogées souhaitent offrir de la flexibilité et sont en faveur d’un retour au bureau à temps partiel et/ou à la discrétion des collaborateurs.3 - La communication et les outils digitaux sont deux piliers de la reprise en présentiel, respectivement plébiscités à 63% et 48%. Quels sont les déterminants de la stratégie immobilière et ont-ils changé ?4 - Les stratégies immobilières vont être accélérées : 92% des utilisateurs envisagent des changements dans leur stratégie immobilière et 41% des sondés se projettent sur une évolution de m2 à la hausse (contre 33% en 2021).5 - Les projets de croissance vont nécessiter de faire rapidement des choix en termes de localisation : 18 % des répondants envisagent de changer de site pour bénéficier d’espaces de meilleure qualité et 41% envisagent une contraction de leur empreinte immobilière avec consolidation sur un nombre réduit de sites.6 - Les espaces de coworking sont amenés à occuper une part croissante dans le portefeuille total des utilisateurs (entre 11 et 25%), sans pour autant parler d’externalisation massive.Politique Workplace : les nouvelles règles du jeu7 - Le travail hybride n’est pas un effet de mode : 72 % des entreprises s'engagent vers l'adoption de ce mode de travail contre 55% en 2021.8 – Il faudra désormais trouver l’équilibre entre les règles de l’entreprise (56% visent un modèle de travail hybride encadré) et les préférences personnelles. Une entreprise sur deux est favorable à un mix équitable entre présence au bureau et télétravail et 38% optent pour une présence de 3 jours sur site. Repenser l’aménagement des bureaux9 - Un changement de braquet pour la stratégie Workplace : 63 % des entreprises entendent améliorer et augmenter la part dédiée aux espaces de collaboration et de réunion (contre 36% en 2021). Le bureau doit désormais être un lieu attractif : 50% des sondés souhaitent redéfinir les nouveaux standards en termes de design.10 – L’agilité règne en maître : on se dirige vers la fin du poste attribué pour 79 % des utilisateurs qui envisagent d’en diminuer la part.*Le même sondage a été mené également en Amérique du Nord et en Asie-Pacifique, permettant ainsi de croiser le point de vue de plus de 450 entreprises utilisatrices à travers le monde.
Il y a 2 ans et 271 jours

Nouvelle porte coulissante DIVA RS coupe-feu de Portalp

Pour répondre à ces exigences, Portalp complète aujourd’hui sa gamme de portes automatiques coulissantes DIVA RS par une version coupe-feu.Une résistance au feu de trente minutesDIVA RS coupe-feu est disponible en version simple ou double, avec ou sans vantaux fixes, ou encore intégrée à une cloison coupe-feu. Cette nouvelle porte automatique coulissante Portalp se compose :d’un châssis aluminium doté de profilés d’une épaisseur de 78 mm à trois chambres munies d’entretoises thermiques. Au design contemporain, il est personnalisable dans tous coloris RAL pour s’intégrer harmonieusement à tous les projets,associé à un vitrage Contraflam®30 d’une épaisseur de 16 mm monté dans le châssis à l’aide de parcloses intérieures et extérieures. Les vantaux sont équipés sur leur périphérie de joints intumescents qui gonflent sous l’effet de la chaleur pour calfeutrer les orifices,en complément, la cloison sur laquelle est mise en place la porte reçoit un cadre d’habillage pour lutter efficacement contre la propagation des flammes.Pour garantir une fermeture fiable et contrôlée en cas d’incendie, Portalp a doté la porte DIVA RS coupe-feu d’un système à Énergie gravitationnelle contrôlée (EGC) installé à gauche ou à droite pour une porte double, ou côté fermeture pour une porte simple.Un contrepoids de neuf kilos permet, en cas d’incendie, de refermer mécaniquement le vantail ou les vantaux sans aucune alimentation électrique. La descente du contrepoids s’effectue à vitesse contrôlée avec une surveillance permanente du câble de liaison.Certifiée NF « Portes résistant au feu en métal » selon le référentiel NF277 et classée coupe-feu EI2- 30, la porte DIVA RS coupe-feu constitue ainsi un barrage efficace contre les flammes et les fumées pendant trente minutes.L’alliance d’une motorisation puissante et de la technologie RS pour encore plus de sécuritéA l’intérieur de son caisson renforcé de 193 x 200 mm, l’opérateur DIVA RS bénéficie d’une combinaison de technologies innovantes qui procure une grande adaptabilité et augmente le niveau de sécurité fourni :une alimentation à découpage (100-230 V) pour une faible consommation,une motorisation brushless associée à un chemin de roulement garantissant dans le temps un déplacement précis et fluide des vantaux lourds pour assurer une fermeture fiable et immédiate en cas d’incendie (0,1 à 1,6 m/s selon le nombre de vantaux),une technologie bus CAN facilitant le câblage et assurant la communication permanente avec l’ensemble des périphériques,une batterie de secours qui prend le relais en cas de coupure de courant,une carte D.A.S. (Dispositif Actionné de Sécurité) permettant le raccordement du système de détection incendie et d’une commande manuelle de déclenchement.A l’instar de l’ensemble des gammes de portes automatiques Portalp, la porte DIVA RS coupe-feu bénéficie d’une garantie deux ans, étendue à cinq ans en cas de souscription d’un contrat de maintenance auprès de Portalp.
Il y a 2 ans et 271 jours

Novéa Énergies équipe la ville de Villeneuve-Loubet (06) de 19 ensembles solaires éco-conçus

11 d’entre eux habillent ainsi un nouvel ensemble immobilier dans le quartier des Maurettes, et les 8 autres ont été installés pour éclairer et sécuriser le pôle culturel Auguste Escoffier.Particulièrement avancée, la politique RSE de Novéa Énergies défend un usage raisonné de la lumière, basé sur une démarche scientifique, grâce au développement de solutions fiables, durables et respectueuses de l’environnement. Tous les luminaires de l’entreprise angevine sont par ailleurs conformes à l’arrêté du 27 décembre 2018 relatif à la prévention, la réduction et la limitation des nuisances lumineuses. Des ensembles solaires au design unique, conçus au plus près du besoin d’éclairageVille de plus de 16 000 habitants, idéalement située en bordure de la célèbre Baie des anges, entre Nice et Antibes, Villeneuve-Loubet abrite une biodiversité riche qui lui vaut le surnom de « cœur nature de la Côte d’Azur ». Particulièrement dynamique, le quartier des Maurettes a fait l’objet d’un grand projet de requalification de la zone économique Pôle Marine 7 pour créer un véritable cœur de ville à fort enjeux en termes de développement durable. Ce projet « Cœur des Maurettes » s’inscrit dans un ensemble végétalisé préservé, doté de nouveaux équipements publics favorisant une qualité résidentielle soignée du quartier. De nouveaux programmes immobiliers ont vu le jour, avec de forts enjeux en termes de développement durable. La commune de Villeneuve-Loubet a recouru aux solutions de Novéa Énergies pour une application de plus en plus sollicitée, à savoir l’éclairage d’une partie d’un de ses nouveaux ensembles immobiliers : un parking et un chemin piétonnier.« Depuis 2016, la municipalité a engagé d’importants travaux d’investissement sur l’ensemble du parc d’éclairage public obsolète à 80 % afin de mieux éclairer les espaces publics assurant à la fois la sécurité des Villeneuvois et des économies d’énergie », affirme Lionnel LUCA, le Maire.11 mâts Combi Top 3 double crosse au design original et harmonieux avec l’éclairage public du quartier ont ainsi été installés. Novéa Énergies étant une filiale du groupe Ragni, l’entreprise angevine dispose de la palette de luminaires la plus large du marché et est le seul fabricant en capacité de proposer une continuité architecturale avec les ensembles traditionnels raccordés au réseau. Des consoles Tominia et luminaires Atinia de chez Ragni ont ainsi été apposés, sublimant la finition de ces ensembles solaires bleu capri (RAL 5019) qui se fondent parfaitement dans l’existant.Pour ce qui est de la sécurisation de la médiathèque de Villeneuve-Loubet, la ville a cette fois privilégié des luminaires Chic et des consoles Atilis sur les 8 mâts CT3, le tout en rouge vin (RAL 3005) pour valoriser la superbe allée devant le pôle culturel et l'architecture du village en toile de fond.Un choix évident pour le Maire de la ville : « Dans tous nos projets, la municipalité cherche systématiquement à faire appel aux techniques innovantes. L’usage de candélabres solaires est aussi une solution pratique et économique pour éclairer les secteurs vides de réseaux ». Sécuriser les usagers et préserver la biodiversité Intégrant la préservation de la biodiversité dans sa politique globale de développement durable, l’entreprise angevine propose des scénarii d’éclairage public autonome sur-mesure, qui éclairent juste, au plus près du besoin. En effet, pour Novéa Énergies, l’utilisation future de ses équipements solaires doit impérativement être définie au préalable, pour concevoir un scénario d’éclairage personnalisé, adapté aux écosystèmes dans lesquels ils s’intègrent.Ainsi, dans le quartier des Maurettes les ensembles solaires fonctionnent par détection de présence, en veille à 10 % toute la nuit avec 5 heures cumulées de détection prévues, soit 400 passages de 45 secondes.L’accès au pôle culturel est quant à lui éclairé à 100 % pendant les 5 heures suivant le crépuscule, puis les ensembles solaires entrent en veille à 10 % avec 1h30 de détection cumulée prévue. Les installations répondent donc à la fois au besoin de sécurité des usagers, tout en limitant les nuisances lumineuses et donc l’impact sur la biodiversité.
Il y a 2 ans et 272 jours

À 200 ans, la nouvelle jeunesse du canal de l'Ourcq

Voulu par Napoléon pour améliorer l'approvisionnement en eau potable de la capitale, puis devenu un axe majeur de la transformation industrielle et du transport de bois et charbon pour le marché parisien, le canal de 108 kilomètres inauguré en 1822 atteint cette année son bicentenaire.Sinistré par la désindustrialisation de l'Île-de-France, cet espace autrefois inhospitalier s'intègre à la ville depuis une vingtaine d'années pour devenir, pour la première fois de son histoire, un authentique lieu de vie pour les habitants. Une mue particulièrement visible du côté du XIXe arrondissement de Paris et de la commune voisine de Pantin, en Seine-Saint-Denis.Assis à l'ombre des Magasins Généraux de Pantin, des entrepôts de stockage de denrées coloniales reconvertis en siège d'une agence de publicité, Dolores et Miguel Julia savourent avec oisiveté le passage de péniches chargées de sable ou de gravats. Casquette sur la tête, ils suivent du regard les familles avec poussette qui prennent l'air, observent les cyclistes et joggeurs faisant de l'exercice.Bien que Pantinois depuis les années 1960, ce couple de retraités n'a découvert les plaisirs du canal de l'Ourcq qu'à la faveur de l'apparition du quartier flambant neuf qui a récemment remplacé de vieilles structures industrielles. Ils arpentent désormais deux fois par jour, en habitués, la nouvelle promenade aménagée au port de Pantin."C'est notre promenade des Anglais!", s'amuse Dolores, ex-rayonniste en pharmacie de 82 ans. "Avant on ne pouvait pas venir ici. C'était de la terre, il n'y avait pas de pavés".Avec sa fraîcheur et ses arbres dans cette zone urbanisée à l'extrême, ses péniches culturelles, ses nouveaux immeubles à l'architecture soignée dont les bobos parisiens s'arrachent les appartements, le canal de l'Ourcq est devenu la vitrine de Pantin, ville qui reste par ailleurs profondément populaire.Ancien no man's landL'emblématique minoterie des Grands Moulins, aux faux airs médiévaux, s'est transformée en bureaux, abritant des services de la banque BNP Paribas. Une fabrique de meubles du début du XXe siècle a été réaménagée en logements, un théâtre a pris ses quartiers dans un hangar en briques de la rive nord."Quand j'ai été élu en 2001, la ville tournait le dos au canal. C'était plutôt vécu comme une fracture. Nous avons retourné la ville vers le canal", témoigne auprès de l'AFP Bertrand Kern, le maire (PS) de Pantin. "Vous seriez venu un samedi il y a vingt ans sur les quais du canal, il n'y avait pas grand monde. Aujourd'hui ça se bouscule tellement que je suis obligé de faire des aménagements entre vélos et piétons."Les allures parfois hétéroclites des abords du canal montrent toutefois que sa transition reste encore à conclure. Ici une blanchisserie industrielle répand sur les quais une puissante odeur de linge propre, là opère une centrale à béton. Sous la passerelle du tramway T3, un camp de migrants est apparu ces derniers jours.Plus en aval, une fois le canal passé sous les voies du boulevard périphérique, le même processus de transformation urbaine s'observe dans le XIXe arrondissement de Paris.Les pique-niqueurs des pelouses de la Villette savent-ils qu'ils se tiennent à l'emplacement de l'ancienne "cité du sang" ? Jusqu'à sa reconversion en parc dans les années 1980, le lieu a accueilli pendant un siècle les immenses marchés aux bestiaux et abattoirs qui fournissaient Paris en viande fraîche.Au pont levant de la rue de Crimée, des petits bateaux de tourisme attendent de pouvoir passer. Des jeunes fument des joints en écoutant du rap, des couples dansent du tango sur une piste installée pour l'opération "Paris Plages".La renaissance du canal de l'Ourcq, le maire socialiste du XIXe, François Dagnaud, la date pour son arrondissement au mitan des années 1990 et au "pari" de la chaîne de cinémas MK2 d'ouvrir une salle dans un ancien hangar conçu par Gustave Eiffel, au milieu de ce qui était alors un "no man's land"."On était en pleine période où le crack était déjà présent, relate-t-il à l'AFP. Dans un quartier en perdition, marginalisé, pas du tout fréquenté par les habitants, ça a été l'amorce d'une mutation urbaine, culturelle et sociale."
Il y a 2 ans et 272 jours

La production de l'ambitieuse voiture solaire "Sion" prévue pour 2023

Après des années de développement, Sono Motors construit actuellement une flotte destinée aux tests et prévoit de lancer la production l'année prochaine chez un constructeur finlandais, Valmet.Avec sa carrosserie noire, couverte de 456 cellules photovoltaïques, et son autonomie de 305 kilomètres, la Sion promet d'engranger assez d'énergie chaque semaine pour parcourir 112 kilomètres en moyenne. Elle intègre aussi le système "Vehicule-to-Grid", qui permet à sa batterie de restituer de l'électricité au réseau ou à une autre voiture.Avec ses 4,40 mètres de long, et sa batterie moyenne de 54 kWh, la Sion vise des familles mais aussi des flottes en libre-service.Sono Motors a enregistré 19.000 réservations avec un acompte moyen de 2.225 euros, qui ont permis de financer le développement du modèle. Son tarif final est annoncé à 25.000 euros. La jeune marque envisage d'en produire plus de 250.000 dans les sept prochaines années.Le petit constructeur compte aussi vendre sa technologie solaire à d'autres, comme le groupe français de remorques frigorifiques Chéreau, et a présenté lundi un système de "rétrofit" solaire, qui permet d'ajouter des panneaux sur des bus pour limiter leur consommation de diesel.A l'image de Sono Motors, quelques start-ups, mais aussi des géants de l'automobile comme Toyota ont commencé à installer des panneaux solaires sur leurs nouvelles voitures électriques, promettant un peu d'autonomie supplémentaire.Les Hollandais de Lightyear doivent lancer fin 2022 leur modèle "O", doté d'une autonomie de 625 kilomètres et d'un prix très élevé, avant une version abordable qui pourrait affronter la Sion dès 2024-2025.La start-up californienne Aptera affiche de son côté 25.000 précommandes pour son premier modèle prévu pour 2023, une petite voiture à trois roues et deux places. Selon les versions, facturées entre 26.000 et 46.000 dollars, elle affiche entre 400 et 1.600 kilomètres d'autonomie.
Il y a 2 ans et 272 jours

Mise en œuvre du Solterre micro-pv

Il y a 2 ans et 272 jours

Le texte sur l'accélération des énergies renouvelables examiné à la rentrée

"Nous avons aujourd'hui saisi le Conseil national de la transition énergétique du projet de loi accélération des énergies renouvelables, qui a d'ailleurs été également envoyé au Conseil d'État", a indiqué Matignon lors d'une conférence de presse téléphonique. Le texte, qui présentera "20 articles", abordera trois grands aspects. Il présentera tout d'abord "une série de mesures à la fois exceptionnelles et transitoires pour accélérer les procédures de développement des énergies renouvelables" - en réduisant notamment les délais de recours paralysants-, afin de répondre "aux urgences actuelles sur l'approvisionnement et notre capacité à atteindre nos objectifs renouvelables". Il se concentrera ensuite sur un certain nombres de mesures spécifiques portant sur les filières du photovoltaïque et de l'éolien en mer, "deux priorités de la politique énergétique pour produire plus en termes de kW/h", a indiqué Matignon, précisant notamment que pour le photovoltaïque, "l'idée c'est d'aller chercher à obtenir toutes les surfaces foncières disponibles en France" afin d'"élargir les surfaces" d'installation possibles. Le projet de loi présentera enfin "une série de mesures qui portent sur le partage de la valeur" des projets d'énergies renouvelables en France avec les riverains de ces projets, afin d'augmenter "l'adhésion et l'acceptabilité de ces sources de production auprès de nos concitoyens". "L'idée, c'est que ces énergies renouvelables génèrent un certain nombre de revenus et que ces revenus pourraient être redistribués aux personnes qui sont directement concernées par une présence visuelle de ces moyens de production", a détaillé Matignon, sans préciser quelle forme cela prendrait. Le texte devrait être présenté au Conseil des ministres mi-septembre, puis sera suivi d'un débat parlementaire "qui s'engagera au mois d'octobre", avait indiqué le gouvernement, en précisant qu'un "second texte législatif, une loi beaucoup plus large" était "attendu plus tard", mais que ce premier projet de loi visait à "faire face aux enjeux d'urgence". Pour lutter contre le réchauffement climatique et diversifier sa production électrique, la France vise 40% d'énergie renouvelable en 2030 (contre 20% en 2019), via notamment 1.000 MW d'éolien offshore en plus par an.
Il y a 2 ans et 272 jours

A Paris, premières amendes pour les commerces climatisés gardant porte ouverte

Depuis le lundi 25 juillet, un arrêté signé par la mairie de la capitale prévoit une contravention - s'accompagnant d'une amende de 150 euros maximum - pour les établissements commerciaux ou de service laissant leur porte ouverte lorsque le chauffage ou la climatisation fonctionnent à l'intérieur. Il s'agit d'une "mesure de lutte contre le gaspillage de l'énergie", selon la décision administrative. Les verbalisations ont débuté mercredi dans la très commerçante et touristique rue de Rivoli, dans le IVe arrondissement, mais "l'ensemble du dispositif est sur tous les arrondissements parisiens", précise la mairie. "Les deux précédentes semaines, nous sensibilisions les commerçants à la future verbalisation". La mairie n'a pas indiqué combien d'établissements avaient déjà été verbalisés. Chaque jour, deux patrouilles de la police municipale parisienne se consacrent à cela. La verbalisation a lieu "au cas par cas", a expliqué à l'AFP la Ville de Paris. "Si un commerçant nous montre qu'il est en train de changer de porte ou qu'il entame des démarches pour avoir une porte fermée nous ne verbalisons pas", explique-t-elle. "En revanche pour les autres enseignes déjà sensibilisées ou qui n'ont pas prévu d'efforts, nous verbalisons systématiquement". "Cette mesure vise à mettre un terme à une pratique aberrante dans le contexte actuel d'urgence climatique et de crise de l'énergie", avait fait valoir la mairie fin juillet. L'arrêté ne s'applique pas "aux restaurants ou aux débits de boisson disposant d'une terrasse extérieure régulièrement autorisée". Paris n'est pas la première ville à vouloir interdire aux commerces climatisés de garder leur porte ouverte. Le 15 juillet, la mairie PS de Bourg-en-Bresse avait émis un arrêté du même type, présenté comme une première en France. Lyon, puis Besançon l'avaient imitée dans la foulée. Dimanche 24 juillet, la ministre de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher avait annoncé son intention de généraliser à tout le territoire cette obligation pour les magasins climatisés de fermer leurs portes, mais les décrets n'ont pas encore été publiés.
Il y a 2 ans et 275 jours

A Paris, l'immeuble de la discorde dans un bel hôtel particulier

"Je ne vais pas me laisser faire." Parmi d'autres riverains du quartier chic de la Plaine-Monceau (XVIIe arrondissement), le radiologue Rodolphe Gombergh, 71 ans, est le premier opposant à la construction d'un bâtiment de cinq étages dans la cour de son immeuble.Dans un quartier qui en regorge, cet ancien hôtel particulier construit en 1889 se compose de deux bâtiments de style néogothique, en brique, reliés par un portique de deux arches avec des grilles en fer forgé.Dans la cour, deux charmants ouvrages d'époque: un ascenseur à pompe et un garage à fiacre... contre lequel doit bientôt se dresser un immeuble de bureaux de cinq étages dont le blanc lumineux et la forme en escalier font tâche au milieu de l'ensemble.Un bâtiment "comme à La Défense", "sans aucune allure," juge M. Gombergh en montrant le trou béant laissé par le creusement de la cour pavée pour y loger un sous-sol.La nouvelle construction a été commandée par l'Organisation européenne pour la recherche nucléaire (Cern), un centre de recherche privé situé à Genève.Si le bâtiment contesté n'est pas encore sorti de terre, les travaux entamés en septembre 2021 ont déjà laissé quelques cicatrices: lanterne et grille portées disparues, morceaux d'arche arrachés puis colmatés, affaissement de la cour et, côté rue, d'une fenêtre au-dessus d'une nouvelle ouverture.D'où l'arrêt momentané des travaux, estime le médecin, qui a lancé plusieurs recours juridiques contre le projet.Protégé, mais pas classéComment celui-ci a-t-il pu être validé par la Ville de Paris, dans un bâtiment qui, s'il n'est pas classé monument historique, est tout de même protégé au titre du plan local d'urbanisme (PLU) ?"Bonne question, je me la suis posée moi-même", répond Emmanuel Grégoire, l'adjoint (PS) à l'urbanisme, pour qui le permis de construire est "passé sous les radars" parce que "totalement légal, ce qui fait qu'il n'a été traité ni par la mairie du XVIIe ni par mon cabinet"."Nous avions un avis réservé et nous avions demandé au propriétaire de consulter les riverains", affirme le maire (LR) de l'arrondissement, Geoffroy Boulard, qui dit avoir reçu un permis initial "extrêmement succinct".En août 2019, la Commission du Vieux Paris, dont l'avis est consultatif, n'a rien vu à redire au projet, qui comportait alors un étage de moins.Un an plus tard, le permis modificatif est délivré dans la foulée des élections municipales, à un moment où la commission met "un certain temps à être remise en place", justifie son président, Jean-François Legaret.En résumé, "il y a eu des trous dans la raquette à tous points de vue", regrette Karen Taïeb, adjointe (PS) au patrimoine et élue du XVIIe arrondissement.La mairie de cet arrondissement a réagi dès février 2021, en demandant un nouvel examen à la Commission du Vieux Paris. Ce que cette dernière a fait mi-juin 2022, réclamant la modification du projet.Espoir "faible"Mais "le permis est purgé de tout recours", souligne M. Grégoire, pour qui l'espoir est "modéré, voire faible" de voir le Cern accepter.Contacté par l'AFP, ce dernier ne s'est pas prononcé sur une éventuelle modification du projet, soulignant que son permis avait été "dûment obtenu" et affirmant avoir "toujours répondu favorablement à toute demande de réunion et d'échanges".Ses responsables "ne se rendent pas très disponibles", même si une première réunion de "conciliation" est prévue en septembre, rétorque toutefois M. Grégoire."Que de temps perdu", regrette M. Boulard, pour qui ce dossier souligne "les carences de la Ville en matière de contrôle d'urbanisme et de patrimoine"."Cette reconstruction d'un immeuble de bureaux dans un quartier excédentaire en bureaux n'a aucune légitimité", insiste l'élu de droite, qui veut tout autant éviter "un massacre sur le plan esthétique".Mme Taïeb espère toujours que le "porteur de projet puisse avoir une conscience patrimoniale". Sur le seul aspect chromatique, "un parement en brique serait déjà une évolution très positive", demande M. Legaret.
Il y a 2 ans et 275 jours

Les sciences photovoltaïques vers leur zénith

Pour atteindre la neutralité carbone en milieu de siècle et limiter le réchauffement climatique à 1,5°C par rapport à l'ère pré-industrielle -comme prévu par l'accord de Paris sur le climat- la planète devra installer chaque année d'ici 2030 quatre fois plus de capacités solaires qu'elle ne le fait aujourd'hui, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).La bonne nouvelle est que les prix ont baissé de façon spectaculaire.Selon un rapport des scientifiques du Giec publié début 2022, les coûts unitaires du solaire ont chuté de 85% entre 2010 et 2019, et ceux de l'éolien de 55%.Mais "c'est probablement le moyen le moins cher qu'ait trouvé l'humanité pour produire de l'électricité à grande échelle", estime Gregory Nemet, professeur à l'Université de Wisconsin-Madison, l'un des principaux auteurs du rapport.Entre l'envolée des prix des énergies fossiles et les craintes sur la sécurité énergétique causées par l'invasion russe de l'Ukraine, le développement des renouvelables est déjà amorcé.Selon un rapport de BloombergNEF, les investissements mondiaux dans les projets solaires ont progressé de 33% au premier semestre par rapport à l'an dernier, à 120 milliards de dollars. Dans l'éolien, ils ont augmenté de 16% à 84 milliards de dollars.Et le plan climatique de Joe Biden en passe d'être adopté au Congrès américain a musclé cette impulsion, avec 370 milliards de dollars d'argent public en incitations fiscales destinées à faire baisser de 40% les émissions américaines de gaz à effet de serre d'ici 2030 (par rapport à 2005)."Le plan de M. Biden va permettre de réinstaller une industrie de panneaux solaires aux Etats-Unis", a jugé la directrice de la Fondation européenne pour le climat, Laurence Tubiana, dans le quotidien français Le Monde jeudi. Selon M. Nemet, il est plausible que le solaire à lui seul représente la moitié de l'électricité mondiale d'ici le milieu du siècle. "Il y a un gros potentiel", dit-il.Découverte française"L'effet photovoltaïque" --processus qui permet de produire de l'électricité à partir du rayonnement solaire-- a été découvert en 1839 par le physicien français Edmond Becquerel.Les premières cellules à base de silicium ont été développées aux Etats-Unis dans les années 1950. Mais aujourd'hui, la grande majorité des panneaux solaires sont fabriqués en Chine.Selon l'AIE, les nouvelles cellules photovoltaiques sur le marché sont 20% plus efficaces pour convertir la lumière en énergie qu'elles ne l'étaient il y a seulement cinq ans, grâce à de nouveaux matériaux hybrides.Parmi les innovations figurent les panneaux dits "à couche mince", moins chers que les cellules en silicium. Ils peuvent être "imprimés" sur tous types de support, à partir d'encres en cristaux de perovskite, un matériau découvert au 19e siècle par le minéralogiste russe Lev Perovski.Selon les experts, cette découverte pourrait révolutionner le secteur en multipliant les lieux où l'on peut produire de l'énergie solaire. A condition que cette nouvelle génération de panneaux se dégrade moins vite qu'actuellement, et puisse durer au moins 20 ans.Ce que des recherches récentes semblent rendre possible. Dans la revue Science en avril, des scientifiques ont rapporté être parvenus à rendre les panneaux en perovskite aussi efficaces que ceux en silicium.Une autre étude publiée dans Nature parie sur des semi-conducteurs en "tandem" pour accroître la conversion en énergie du domaine spectral du rayonnement solaire : le perovskite pour les infrarouges et un matériau plus carboné pour les ultraviolets."Créativité"Reste à résoudre le problème de la nuit, lorsqu'il n'y a plus de rayonnement solaire.Des chercheurs de Stanford ont réussi cette année à produire une cellule solaire qui peut générer de l'énergie durant la nuit grâce à la chaleur générée par la Terre."Il y a beaucoup de créativité dans cette industrie", relève Ron Schoff, qui dirige la recherche sur les renouvelables au sein de l'Institut sur la recherche électrique (EPRI) basé aux Etats-Unis.Selon lui, l'une des réponses au problème de l'occupation croissante des sols par les fermes solaires reposera sur les panneaux bifaces : ils produisent de l'électricité sur leurs deux faces à partir de la lumière du soleil et de la lumière réfléchie par le sol.D'autres solutions parient sur l'agrivoltaïsme, des panneaux semi-transparents abritant des cultures. En Inde, des panneaux sont installés sur des canaux depuis une décennie, produisant de l'électricité et réduisant l'évaporation. Selon M. Nemet, les consommateurs peuvent aussi jouer un rôle en faisant évoluer leurs heures de consommation ou en se regroupant en réseaux privés dans une approche Airbnb.
Il y a 2 ans et 275 jours

Comment inciter les français à entreprendre des travaux de rénovation énergétique ?

Qu’en pensent les Français ? Où en sont-ils de leurs travaux de rénovation énergétique ? À l’heure où depuis le 1er mai 2022, on voit les aides sur le sujet diminuer, TOUT FAIRE a voulu comprendre comment les Français appréhendent ce sujet. L’enseigne a voulu savoir s’ils étaient prêts à engager ces travaux comme un véritable devoir citoyen, une simple obligation, ou s’ils y voyaient l’occasion de réaliser des économies. Une étude réalisée par Opinion Way sur un échantillon représentatif de la population revient sur cette relation que les Français ont avec le sujet et des aides dont ils auraient besoin pour se lancer dans de tels travaux. En effet, même si 52% des personnes interrogées se considèrent à l’aise sur le sujet, 71% des personnes jugent cependant qu’elles ne pourraient pas réaliser les travaux seuls.Un bagage technique qui freine la réalisation de travaux énergétiquesParmi les enseignements majeurs, cette étude révèle que 49% des Français estiment connaître le sujet de la rénovation énergétique. Pourtant, une large majorité des Français déplore un manque de clarté de l’information. Ils sont 59% a trouvé que la communication actuelle sur le sujet dissuade, plus qu’elle n’incite à se lancer dans ce type de projet. Les démarches administratives sont également considérées comme trop importantes pour ce type de travaux, pour 55% des Français, ces démarches sont même qualifiées d’insurmontables. Ainsi 69% de Français, soit deux tiers des personnes, ont affirmé leur besoin d’obtenir des précisions concernant la rénovation énergétique pour sauter le pas.Un passage à l’acte de rénovation, même avec toutes les informations nécessaires n’est pas si simple : 51% jugent que le manque de compétences est un frein majeur. Alors, pour trouver de l’aide, les particuliers se tournent à 41% vers les artisans, qui restent la référence en termes d’accompagnement dans ce type de projet. Ensuite, pour 21% d’entre eux, les proches sont également une bonne ressource à activer.Les enseignes de construction, un expert idéal mais encore trop peu identifiéLes enseignes de construction, tels que les groupements de négoces, restent encore trop peu mobilisés par les particuliers. Seulement 7% des interrogés perçoivent les magasins de construction comme des référents. Pourtant, ces derniers sont en première ligne lorsqu’il s’agit d’entreprendre des travaux de rénovation, pour accompagner et aider à les mener à bien. Experts dans les travaux, mais également dans les matières premières, les enseignes de construction se doivent d’être au fait des dernières réglementations afin de conseiller au mieux professionnels et particuliers qui se lancent dans ces travaux.TOUT FAIRE, premier groupement français de distributeurs de matériaux de construction et de rénovation avec 450 points de vente en France et en Belgique, accompagne les professionnels et les particuliers dans leurs travaux. 4.000 passionnés proposent leur expertise, leurs conseils et leurs services de qualité, et font de la rénovation énergétique un axe prioritaire de développement. Ainsi, pour répondre à leurs interrogations et leur apporter toute l’expertise propre à TOUT FAIRE, le groupement à proposer à ses adhérents de mettre en place un guichet prime.Ce dispositif disponible pour les professionnels et les particuliers permet de trouver toutes les informations auprès des experts TOUT FAIRE sur les aides possibles pour le financement des travaux de rénovation énergétique, les matériaux à utiliser et les travaux à entreprendre.MéthodologieL’étude « La rénovation énergétique pour les nuls » réalisée pour Tout Faire, est destinée à comprendre et analyser la confiance en eux des Français sur le thème de la rénovation énergétique, et les aides dont ils auraient besoin pour se lancer dans de tels travaux.Cette étude a été réalisée auprès d’un échantillon de 1051 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d’agglomération, de région de résidence et de statut d’habitation.Les interviews ont été réalisées par questionnaire autoadministré en ligne sur système CAWI (Computer Assisted Web Interview).Les interviews ont été réalisées les 13 et 14 avril 2022.
Il y a 2 ans et 275 jours

Arkitelia, des conceptions 3D ultra-réalistes pour donner vie à tous les projets des pros du bâtiment

Dans ce contexte, les travaux d'aménagement des logements ont le vent en poupe. Ainsi, le secteur du bâtiment a recruté massivement en 2021 (+4,8%) et prévoit de créer 25.000 nouveaux postes en 2022, selon la Fédération Française du Bâtiment.Une embellie qui ne doit pas faire oublier l'essentiel : dans un contexte de pouvoir d'achat en baisse, les clients sont plus exigeants quant à la qualité des prestations réalisées. Ils s'attendent à un savoir-faire qui se manifeste bien avant que les travaux ne commencent.De ce fait, les artisans doivent notamment relever un double challenge :Permettre à leurs clients de se projeter dans leur futur aménagement, en intérieur comme en extérieur. Ils doivent s'adapter à ce qui se fait en termes de 3D et de prévisualisation ;Créer de la valeur en optimisant l'espace et en accordant les matériaux.Comme les artisans n'ont ni le temps, ni l'équipement, Arkitelia propose un nouveau service de bureau d'études digitalisé. Les artisans reçoivent des conceptions 3D ultra-réalistes en 3 étapes, directement à partir des photos de l'existant et de croquis cotés. Un must pour inspirer les clients, développer les ventes et faciliter les commandes.Une appli très simple et fluide pour obtenir des visuels bluffants en quelques clicsRéaliser un projet sur Arkitelia est un jeu d'enfant, puisqu'il suffit de :Sélectionner la pièce ou les extérieurs à réaliser, ainsi que les rendus souhaitésTout peut être fait directement via son smartphone ou depuis son bureau.Transmettre les documents utilesDirectement via l'app, il est possible de prendre des photos de la pièce et d'ajouter des plans et croquis cotés. À ce stade, il est aussi conseillé d'enregistrer tous les détails importants afin d'obtenir une conception la plus précise possible.Définir le style du clientLe client de l'artisan reçoit un quizz déco interactif pour exprimer ses envies (« bois épuré », « campagne chic »...) et définir son budget.Impressionner le client avec de superbes visuels 3DEn fonction de l’offre retenue, Arkitelia permet de sélectionner la pièce et de visualiser les vues du dessus en 3D, les photos virtuelles et les vues 360° quelques jours plus tard.Les (grands) petits plusUne solide expertiseTous les visuels sont créés par des architectes d'intérieurs et paysagistes, diplômés et expérimentés, qui connaissent les contraintes techniques du bâtiment. Un service inédit conçu sur mesure pour les artisansComprenant les enjeux liés à la réalité « du terrain », Arkitelia est un service adapté au quotidien des artisans (paysagistes, maçons, menuisiers, carreleurs, plombiers...), des distributeurs et des fabricants :Ils bénéficient d'un suivi personnaliséLes visuels hyper réalistes sont conçus en utilisant les produits des catalogues de l'artisanLes rendus sont envoyés en 72hLes tarifs sont très attractifs, puisqu'aucun déplacement n'est nécessaireLes projets peuvent être réalisés en vues 3D, vues 360°, voire plans et planches matériaux.3 offres pour répondre à tous les besoinsToutes les formules sont disponibles sans ou avec abonnement (15€ HT/mois – prix de lancement).De plus, des options peuvent être rajoutées à la demande : plans d'exécution, autre projet d'aménagement, 2 vues supplémentaires par pièce, un changement de texture, ou encore une vue à 360° supplémentaire par pièce.EssentielElle inclut 2 vues 3D de la pièce.Prix : à partir de 350€ HT ou bien 250€ HT avec l'abonnement.L'abonnement à 15€ HT par mois permet de bénéficier de réductions pouvant aller jusqu'à 30%. L'abonnement permet également d'avoir son logo en marque blanche sur tous les supports disponibles. Les architectes de Arkitelia utilisent les produits des catalogues de l'artisan, une présentation des visuels en format PDF leur est offerte.StandardElle inclut : la formule Essentiel, ainsi qu'un plan du dessus et une vue 360°.Prix : à partir de 300 € HT.PremiumElle inclut : la formule Standard, ainsi que des planches matériaux.Prix : à partir de 350 € HT.À propos de Noëlle Corlay, la fondatriceNoëlle Corlay est Architecte d'intérieurs depuis 10 ans.Elle a eu l'idée du concept Arkitelia durant le confinement. À cette époque, elle est contactée par Fabrice, un plombier qui cherchait à débloquer une situation : son client ne voyait pas du tout comment aménager sa future extension.À partir des photos et des croquis à la main réalisés par Fabrice, Noëlle et son équipe ont pu proposer deux implantations différentes. Cela a été un vrai soulagement pour Fabrice et son client !Aujourd'hui, Arkitelia ambitionne de se déployer à l'échelle nationale.
Il y a 2 ans et 275 jours

L'immobilier de bureaux érode le chiffre d'affaires de Nexity

Nexity a dégagé 1,964 milliard d'euros de chiffre d'affaires au premier semestre, soit 5% de moins que sur la même période en 2021. Soulignant la "résilience" de son activité de promotion, le groupe précise ses objectifs 2022, "dans un marché du logement neuf désormais attendu en repli" et non plus "en légère croissance", comme annoncé en avril.Plutôt qu'un résultat opérationnel courant d'au moins 380 millions d'euros pour fin 2022, le groupe vise à présent "un chiffre d'affaires au moins égal à celui de 2021"."L'incertitude géopolitique et macro-économique nous amène à piloter nos opérations avec une prudence renforcée", déclare Véronique Bédague, directrice générale du groupe, citée dans un communiqué. "Nous sommes plus sélectifs dans le lancement des opérations", ajoute-t-elle, "pour faire face aux pressions inflationnistes".La baisse du chiffre d'affaires de Nexity est avant tout imputable à la branche promotion. L'immobilier résidentiel, sa principale activité, n'est en baisse que de 2%, notamment grâce à une reprise des permis de construire, en hausse de 19% par rapport au premier semestre 2021.Le secteur le plus en difficulté est l'immobilier d'entreprise, qui voit toujours son activité dégringoler (-43% de chiffres d'affaires). Pas une surprise pour le groupe selon qui, "compte tenu de l'attentisme des entreprises, les prises de commandes tertiaires devraient atteindre un point bas en 2022".La branche Services de Nexity, après une période difficile due aux mesures sanitaires liées à l'épidémie de Covid-19, confirme sa reprise, avec une hausse de 9% du chiffres d'affaires.Les espaces de coworking voient notamment leur chiffre d'affaires doubler au premier semestre.