Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Batinfo

(31969 résultats)
Il y a 2 ans et 297 jours

Les 264 lauréats de la 3ème édition des fonds friches dévoilés

Dans le cadre du plan France Relance, le Gouvernement a déployé un fonds exceptionnel pour le financement des opérations de recyclage des friches. En effet, la reconquête des friches constitue un enjeu majeur d'aménagement durable des territoires pour répondre aux objectifs croisés de maîtrise de l'étalement urbain, de revitalisation urbaine et, par conséquent, de limitation de la consommation des espaces naturels, agricoles et forestiers.L’enveloppe dédiée à ce fonds s’élevait initialement à 300 M€ et a été abondée une première fois de 350M€ en mai 2021, puis de 100M€ supplémentaires en janvier 2022 compte tenu du très grand succès des deux premières éditions et des besoins exprimés par les territoires. Les deux premières éditions du fonds friches ont en effet permis de financer 1.118 projets pour 650M€, qui permettront de recycler environ 2.700 ha de friches et générer près de 5.700.000 m² de surfaces de logements (dont un tiers de logements sociaux), plus de 4.100.000 m² de surfaces économiques (bureaux, commerces, industrie…) et plus de 3.900.000 m² d'équipements publics.La 3e édition du fonds friches a été lancée le 15 février 2022 par l’ADEME (pour les friches industrielles et minières polluées) et les Préfets de région (pour les autres friches de toute nature).Cette 3e édition a suscité 1.210 candidatures pour 431 M€ de subventions demandées. Les Préfets de région et l’ADEME ont sélectionné 264 lauréats dont 4 dossiers communs pour 121 M€ de subventions attribuées après redéploiement des crédits des premières éditions.Ces lauréats contribuent à recycler près de 675 ha de friches, et à générer de l’ordre d’1 M de m² de logements - dont près de 50% seront des logements sociaux –, 179.000 m² d’équipements publics et 750.000 m² de surfaces économiques dont près de 200.000 m² de surfaces industrielles.Près de 40% des projets lauréats sont inscrits dans les dispositifs « Petites villes de demain » ou « Action cœur de ville ». Ces réalisations feront également preuve d’une grande ambition de qualité environnementale au travers de labels ou certifications en ce sens.Les modalités de la pérennisation du fonds friches, annoncée par le Président de la République, seront débattues dans le cadre du projet de loi de Finances pour 2023. La Première Ministre a annoncé le 14 juin dernier la création d’un fonds complémentaires dédié à la renaturation des villes et doté de 500M€.Pour consulter les projets lauréats, cliquez ici.
Il y a 2 ans et 297 jours

DesignLab - Visir, le témoin virtuel

Il y a 2 ans et 297 jours

ICF Habitat La Sablière et l'association Aurore signent un partenariat visant à apporter des solutions concrètes au mal-logement

Cette coopération entre une association et un bailleur social s’inscrit dans le cadre de la politique promue par l’AFFIL (Association francilienne pour favoriser l’insertion par le logement).Elle va permettre de poursuivre les actions déjà réalisées, notamment les opérations d’habitat intercalaire, mais aussi de produire des résidences thématiques pouvant accueillir différents publics, de développer l’habitat modulaire, d’imaginer des solutions innovantes… ICF Habitat La Sablière et l’Association Aurore ont développé depuis 2009 plus de 15 opérations d’occupation temporaire d’immeubles voués à restructuration ou démolition, pendant les années de montage des projets. Les logements sont mis à la disposition de l’association qui en assure la gestion et y loge des personnes en situation de précarité.5 opérations sont en cours à Chelles, Ivry-sur-Seine, Suresnes et Paris (au total 411 logements ou chambres). Certaines peuvent déboucher sur des solutions pérennes, telle l’intégration d’un CSAPA dans un programme de construction neuve, après un temps de mise à disposition de pavillons devant être démolis. Ces opérations rencontrent le soutien de l’État et l’intérêt des collectivités locales par le caractère concret des solutions qu’elles apportent et la qualité de la gestion.Le contrat de partenariat signé ce jour, permet de renforcer les relations entre les 2 signataires en fixant les objectifs partagés : Développer les résidences thématiques (pensions de famille, résidences sociales, …) en proposant des projets de qualité et une réponse globale construite entre bailleur et gestionnaire. Poursuivre les opérations d’habitat intercalaire Partager les bonnes pratiques entre les équipes d’ICF Habitat La Sablière et d’Aurore de façon à travailler ensemble sur des solutions innovantes, telles que l’habitat modulaire. Il s’agit d’inciter les équipes à étudier et développer de nouveaux projets pouvant faire sens pour les deux parties dans le cadre de leurs missions respectives. La convention de partenariat est signée pour une durée indéterminée, un retour d’expérience sera réalisé tous les 3 ans. Pour Florian GUYOT, directeur général de l’association Aurore, « c’est par la mobilisation de tous que nous parviendrons à trouver des solutions pour venir en aide aux plus démunis. A travers ce partenariat, Aurore et ICF Habitat La Sablière montrent combien le lien entre les associations et les bailleurs sociaux a du sens pour construire un monde plus fraternel. »Pour Jean-Luc Vidon, directeur général d’ICF Habitat La Sablière « cette convention conforte notre relation de longue date avec l’association Aurore et traduit la volonté commune du bailleur social que nous sommes de contribuer à mieux répondre au mal-logement avec un partenaire associatif reconnu et de confiance »
Il y a 2 ans et 297 jours

Dans la construction, la garantie de dix ans ne se prolonge jamais

Quelle que soit l'attitude de cette entreprise, qu'elle reconnaisse ou non sa responsabilité sur un mauvais travail et qu'elle y remédie, ce délai de garantie de dix ans ne sera pas relancé.La Cour avait été saisie par un assureur qui avait été condamné à payer des reprises de travaux défectueux plus de dix ans après la construction d'une terrasse réalisée par son assuré maçon.La terrasse avait présenté des fissures cinq ans après sa construction et les propriétaires de la maison, invoquant cette garantie décennale, lui avaient demandé de réparer. Le maçon avait accepté, reconnaissant les défauts, et les avait réparés gratuitement. Mais quelques années plus tard encore, les propriétaires avaient formulé encore la même demande, les défauts étant réapparus.Cette fois, le délai de dix ans est écoulé, disait l'assureur pour refuser de garantir. Mais le maçon a reconnu sa responsabilité en reprenant les travaux il y a moins de dix ans, répliquaient les propriétaires, et il a ainsi relancé le délai, comme le veut la règle de toute prescription.La Cour de cassation a écarté cet argument et a donné raison à l'assureur au terme d'une explication très juridique. La garantie décennale n'est pas un délai de "prescription" mais un délai de "forclusion", dit-elle. La différence c'est que si le premier peut être interrompu, relancé ou prolongé, le second ne le peut pas. La garantie décennale est un délai qui commence le jour de la réunion de réception des travaux et qui se termine dix ans plus tard, quoi qu'il arrive.La raison, expliquent les juges, est qu'il s'agit d'un "délai d'épreuve", ou de mise à l'épreuve du travail réalisé, qui ne doit pas durer plus que la loi ne prévoit. Le travail de reprise des travaux initiaux n'est donc pas couvert par une nouvelle garantie de dix ans mais seulement par la durée restante de la garantie initiale. Les discussions et les arrangements entre le client et l'entrepreneur ne modifient pas ce délai de garantie.(Cass. Civ 3, 10.6.2021, Q 20-16.837).
Il y a 2 ans et 297 jours

Argan relève ses objectifs pour 2022

"Compte tenu des résultats semestriels exceptionnels et de l'acquisition en cours d'un entrepôt de 153.000 m2, Argan rehausse ses objectifs 2022", a indiqué le groupe dans un communiqué.Il vise désormais un dividende de 3 euros par action au titre de 2022, contre 2,75 euros auparavant. Les revenus locatifs et le résultat net récurrent attendus à la fin de l'année ont également été revus à la hausse, de 5% chacun.Argan, qui possède 3,3 millions de mètres carrés d'entrepôts en France notamment pour Carrefour, a dégagé un résultat net de 321,7 millions d'euros au premier semestre, une baisse de 4,9% par rapport à 2021 due selon le groupe à une variation dans la valeur de son patrimoine.Mais son bénéfice net récurrent, indicateur de référence dans l'immobilier, est en hausse de 5,1% à 323,1 millions d'euros, tout comme ses revenus locatifs, qui ont grimpé de 7,2% à 81,7 millions d'euros.Argan anticipe une augmentation de 4% de ses loyers pour 2023, celle-ci étant réglementée par un indice national (ILAN) indexé sur l'inflation et la croissance du PIB.La forte demande pour les entrepôts logistiques, dopée par l'e-commerce, devrait en outre entraîner une augmentation des loyers sur le marché, soutient le groupe, dont le taux d'occupation est de 99%.
Il y a 2 ans et 297 jours

Le Groupe Nadia rachète les Fermetures Voltech et 2B2F

Les Fermetures VOLTECH, basée aux Sablesd’Olonne (85), est spécialisée dans la fabrication de volets roulants (réno, tradi, coffre tunnel) et portes de garage enroulables. Ses produits sont distribués via un réseau d’artisans. Elle emploie une cinquantaine de personnes pour un CA de 17,3M €.2B2F est basée à Saint-Christophe-du-Bois (49) et compte 5 personnes pour un CA de 1,8 M €. Elle fabrique des volets roulants et blocs baies demi-linteaux à destination d’industriels de la fenêtre.Grâce à ces deux acquisitions, le Groupe NADIA conforte et complète son pôle menuiserie aluminium (SIB, ALUCLOS, ABS), qui offre déjà plusieurs gammes de portails, de clôtures, de volets battants et coulissants, de portes de garage ou autres gardes corps et pergolas.Ce rapprochement va ainsi permettre de proposer une offre large de fermetures, innovante et différenciée sur l’ensemble du territoire. Comme le précise Eric de PONTBRIAND, Président du Groupe NADIA. « Les Fermetures VOLTECH et 2B2F vont bénéficier de la présence nationale du Groupe NADIA pour étendre leur champ d’action sur l’ensemble du territoire, alors qu’elles étaient jusqu’à présent surtout implantées dans le grand Ouest »David POUZET, qui a fondé Les Fermetures VOLTECH en 2006, désormais Directeur Général des deux sociétés, va accompagner cette transition. Il a à ses côtés Guillaume SAVIDAN en tant que Directeur Général Délégué ; ce dernier a rejoint l’entreprise en 2015.Pour rappel, le Groupe NADIA a acquis NGV électronique, spécialisée dans l’étude et la fabrication de cartes et modules électroniques, ainsi que la start-up WIRESTONE spécialisée dans les objets connectés, en juin 2022.
Il y a 2 ans et 298 jours

Procès requis contre l'ancien préfet Alain Gardère soupçonné de corruption

Dans ses réquisitions signées le 18 juillet, le parquet demande que M. Gardère, 65 ans, soit jugé entre autres pour abus d'autorité, corruption passive par agent public, prise illégale d'intérêts, détournements de fonds publics et blanchiment de fraude fiscale, a-t-on appris mercredi de source proche du dossier, confirmant une information du Monde.Le vice-procureur a requis également un procès pour quinze autres personnes, notamment des patrons de sociétés de sécurité ou du BTP, le maire d'Ozoir-la-Ferrière (Seine-et-Marne) et les anciens édiles de Vigneux-sur-Seine et Montgeron (Essonne).Il revient désormais à la juge d'instruction financière Aude Buresi, qui dirige cette information judiciaire ouverte en 2015, de se prononcer sur le renvoi ou non en correctionnelle des seize suspects."C'est une affaire qui est maintenant ancienne, mon client est retraité et vit en province", a réagi auprès de l'AFP Me Jean Veil, qui défend M. Gardère. Ancien commissaire proche de Nicolas Sarkozy quand il était à Beauvau puis à l'Elysée, Alain Gardère a été préfet en charge de la sécurité à Marseille en 2011, puis aux aéroports de Roissy et du Bourget (2012-2014). En 2015-2016, il a dirigé le Conseil national des activités privées de sécurité (Cnaps), sous la tutelle du ministère de l'Intérieur.Il est accusé d'avoir usé de son influence pour rendre de nombreux services en échange de cadeaux pour lui et son entourage (restaurants étoilés, travaux, places de concert, vacances...), notamment lorsqu'il était au Cnaps.L'ancien haut-fonctionnaire aurait entre autres, octroyé un emploi fictif, favorisé l'obtention illégitime d'agréments à des agents de sécurité et facilité l'obtention de marchés en matière de sécurité.Au cours de la procédure, M. Gardère, qui faisait partie du cabinet de Claude Guéant lorsqu'il était ministre de l'Intérieur (2011-2012), a été mis en examen pour plusieurs infractions en 2016, ce qui l'a contraint à quitter son poste à la tête du Cnaps en 2017.Patrimoine immobilierIl est également poursuivi pour avoir détenu deux armes sans autorisation, découvertes à son domicile lors d'une perquisition.Outre ces avantages et services, l'enquête s'est intéressée au patrimoine immobilier acquis au fil des années par Alain Gardère et son épouse, essentiellement en région parisienne, après un signalement de la cellule de renseignement financier Tracfin en juillet 2015.Entre 1989 et 2012, le couple est ainsi devenu propriétaire de dix appartements, dont cinq ayant été achetés entre 2005 et 2012 auprès de la société France Pierre dirigée par Antonio de Sousa, selon des documents d'enquête.Le promoteur immobilier, pour lequel le parquet demande aussi un procès en correctionnelle, est accusé d'avoir accordé "des réductions substantielles sur le prix d'appartements à Alain Gardère" et d'avoir fait réaliser des travaux gratuitement aux domiciles de l'ancien préfet et de sa maîtresse.Il lui est également reproché d'avoir accordé des faveurs à des élus franciliens ou leurs collaborateurs pour obtenir des décisions favorables en matière d'urbanisme.Contacté, son avocat n'a pu être joint mercredi soir.Cette information judiciaire a déjà débouché sur deux condamnations en 2020. Un patron de BTP et l'ancien bras-droit de M. Gardère au Cnaps, Pierre Cournil, ont accepté de reconnaître les faits lors d'une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), une sorte de "plaider-coupable" à la française.M. Cournil a été condamné à trois mois de prison avec sursis et 20.000 euros d'amende pour complicité d'abus d'autorité et complicité de détournement de fonds public".
Il y a 2 ans et 298 jours

Etat et régions s'engagent dans un "nouveau partenariat"

"Réunis ce jour à l'hôtel Matignon, la Première ministre et les présidentes et présidents de région de l'Hexagone et des outre-mer ont décidé d'engager un travail visant à jeter les bases d'un nouveau partenariat avec l'ambition de donner à leurs travaux une dimension opérationnelle plus marquée", écrivent dans une déclaration commune Mme Borne et l'association des Régions de France. Etat et régions s'engagent sur quatre chantiers prioritaires : le plein emploi, pour notamment "améliorer ensemble le pilotage de l'offre de formation professionnelle et du service public de l'emploi", la transition écologique, afin que la "planification écologique" soit "territorialisée". Ils conviennent ainsi de travailler avec les maires, les intercommunalités, les départements sur "la sobriété foncière, la préservation de la biodiversité, l'accompagnement des nouveaux modes de vie, la décarbonation et l'adaptation aux conséquences du changement climatique". Les mobilités feront elles "l'objet d'un programme d'investissement conjoint" pluriannuel, notamment dans le "ferroviaire, colonne vertébrale d'une mobilité propre", tandis que pour la reconstruction économique et industrielle et la "réindustrialisation" du pays, il s'agira d'une mise en œuvre "territorialisée" du plan d'investissements "France 2030". Pour les Outre-mer, l'Etat "engagera prochainement le dialogue", tandis que des discussions doivent débuter jeudi sur la Corse.Il s'agit d'apporter "des réponses concrètes aux besoins des Français" en s'inspirant de "ce qui est fait de bien sur le terrain" et des "expérimentations" qui pourront conduire à des "formes de différenciation" selon les territoires, suivant "un principe de pragmatisme et de souplesse" visant "l'efficacité".Mais pour "co-construire (ces) solutions", "le dialogue doit être permanent", soulignent les deux parties, qui avaient connu des relations tendues quand Edouard Philippe était à Matignon, de 2017 à 2020.L'avancée des travaux "sera examinée lors d'une nouvelle réunion plénière d'ici la fin de l'année", selon la déclaration."Aujourd'hui, nous avons posé les fondements d'un travail en commun. C'est un premier acte pour donner une nouvelle place aux collectivités et aux élus", a souligné dans un communiqué séparé la Première ministre, qui participera au congrès des régions le 16 septembre à Vichy (Allier)."Nous voulons être les régions des solutions" et "nous avons senti une vraie écoute", a déclaré la présidente de Régions de France, Carole Delga (Occitanie, PS) à l'AFP à l'issue de la réunion, qui a duré plus de deux heures."Les présidentes et présidents de région (...) veulent la réussite du pays face" notamment "à un message démocratique qui nous a été envoyé de façon très forte" aux législatives, où le gouvernement a perdu sa majorité absolue, a-t-elle ajouté.Renaud Muselier (Provence-Alpes-Côte d'Azur, ex-LR) a lui salué une "très grosse écoute, très grosse attention, des propositions claires et précises".
Il y a 2 ans et 298 jours

La nécessité du renforcement des services publics forestiers pour des forêts en péril

Au vu des dramatiques feux de forêt en cours, les deux associations d’élus cosignataires rappellent l’importance du rôle des forêts qui figurent parmi les aménités rurales les plus importantes. Elles sont à la fois des espaces de biodiversité, de loisirs, qui participent à la souveraineté économique du pays et aux solutions pour lutter contre le changement climatique. Les arbres sont des pompes à carbone qui permettent de réduire les émissions de CO2 en stockant le carbone dans les sols, dans les racines et dans les produits finis en bois et de protéger la ressource en eau.Les forêts ne pourront jouer pleinement ce rôle que si on les protège. L’action publique doit prendre davantage en compte les enjeux liés à ces espaces. Pour les protéger, il est essentiel d’assurer une gestion durable et multifonctionnelle des forêts. La FNCOFOR et l’AMRF ont ainsi toujours demandé que la question du service public soit débattue avec l’Etat en déployant les moyens nécessaires, avec un nombre suffisant de professionnels sur le terrain.Les évènements aujourd’hui montrent la nécessité d’avoir des services publics forestiers forts. Or, ceux-ci sont de plus en plus en tension et il est inenvisageable dans ces circonstances de réduire encore les effectifs de l’Office National des Forêts (ONF) comme le prévoit le contrat d’objectifs et de performance Etat-ONF. Près de 500 postes à l’ONF devraient être supprimés dans les années à venir.Les maires sont directement impliqués. Ils ont un rôle primordial dans ces écosystèmes, à la fois garants de l’intérêt général, protecteurs de la biodiversité et à l’interface de toutes les politiques publiques. Ils doivent pouvoir être accompagnés par des agents de terrain compétents afin d’aménager leur territoire, pouvoir assurer leur mission de sécurité et de prévention des risques tout en étant acteurs du développement économique de la filière forêt-bois et de la transition énergétique.En France, la forêt est placée sous la protection de la Nation. La Fédération National des communes forestières et l'associations des maires ruraux de France demandent donc à l’État de prendre ses responsabilités et d’assumer son rôle de garant de la préservation de nos forêts avec un investissement sur le long terme et d’accorder les moyens humains nécessaires aux élus pour faire face à tous ces enjeux.
Il y a 2 ans et 298 jours

Les députés valident le plafonnement de la hausse des loyers et la revalorisation des APL

Les députés ont ainsi adopté par 198 voix contre 71 l'article 6 du projet gouvernemental, après des échanges musclés entre la majorité et la gauche, qui réclamait un blocage pur et simple des loyers.Il est prévu un "bouclier loyer" avec un plafonnement de la variation de l'indice de référence des loyers (IRL) à 3,5% de juillet 2022 à juin 2023, afin de limiter l'impact de la forte inflation sur les hausses de loyer et de rendre prévisible les dépenses que les ménages consacrent à leur logement.En outre, les APL versées à compter du 1er juillet 2022 seront révisées par anticipation, plutôt que le 1er octobre, comme le prévoit le droit en vigueur. L'alliance de gauche Nupes a défendu en vain une série d'amendements pour un gel des loyers jusqu'à fin 2023 ou a minima une hausse limitée à 1%."Le projet de loi n'est pas seulement insuffisant mais dangereux" car il ouvre la voie à des augmentations de loyers de 3,5%, a jugé Adrien Quatennens (LFI).Nicolas Meizonnet (RN) a aussi critiqué "une revalorisation bien insuffisante" des APL "au regard des coupes répétées" sur cette allocation. La hausse de 3,5% représente pour le budget de l'État une dépense supplémentaire de 168 millions d'euros.Via un amendement de Charles de Courson (groupe LIOT) soutenu par la majorité, l'Assemblée nationale a voté un "bouclier loyer" renforcé pour les Outre-mers, afin d'y limiter les hausses de loyers à 2,5% maximum. En Corse, l'augmentation pourra être restreinte à 1,5%.En outre, les députés d'opposition sont parvenus en se coalisant à faire passer un autre amendement de Charles de Courson, offrant au représentant de l'Etat la possibilité de limiter la possible hausse des loyers en zone de revitalisation rurale à 1,5%.Le vote a été serré et les élus ont été recomptés par la procédure "assis-debout" pour davantage d'exactitude. En vain, quelques élus de la majorité se sont précipités dans l'hémicycle pour tenter de renverser la vapeur.Dans un rappel au règlement, la présidente des députés RN Marine Le Pen a critiqué cette arrivée soudaine.Autre pic de tension : Matthias Tavel (LFI) a demandé que les députés "directement intéressés" par la hausse des loyers "ne participent pas aux travaux". Richard Ramos (MoDem) lui a rétorqué : "Faites le tri dans LFI" de "ceux qui ont un logement social et défendent les locataires".Les députés se sont retrouvés pour adopter un amendement LFI - une première sur ce projet de loi - prévoyant d'interdire les surloyers lorsqu'un logement a des sanitaires sur le palier ou des problèmes d'isolation thermique.
Il y a 2 ans et 298 jours

Interview de Christophe Richard, dirigeant d'A.Doc

Batinfo : Pouvez-vous revenir sur l'histoire d'A.Doc ?Christophe Richard : Créée en 1991, A.Doc est une entreprise de 8 personnes qui assure la distribution exclusive de la gamme des logiciels Cadsoft, des outils de dessin et de CAO orientés vers les métiers du bâtiment et de l'architecture. Elle est présente dans toute la francophonie avec un cœur de marché majoritairement européen. À l'origine d'A.Doc, trois architectes qui utilisaient AutoCAD depuis plusieurs années ont remarqué un cruel manque en 3D sur le logiciel et cherchaient une solution qui s'adapterait sur le même noyau. Ils ont trouvé une application canadienne, éditée par Cadsoft, permettant d'avoir des murs, des fenêtres, des portes, etc... Au départ, A.Doc faisait plutôt de la prestation de services comme de la réalisation de plans et d'images mais à force d'utiliser cette solution canadienne, ils ont gagné en compétences dessus et l'éditeur leur a proposé de devenir le support technique de cette application. C'est à cette époque, en 1995, que je suis arrivé dans l'entreprise. Nous avons repris à cette époque, la commercialisation exclusive d'APDesign, sur tout le territoire français et francophone, accompagné de services et de formation autour du logiciel.Nous avons ensuite travaillé sur un outil pour faire de l'architecture dans AutoCad avec une forte connotation bois. Mais l'éditeur qui travaillait avec nous a voulu s'affranchir du noyau AutoCad et a crée son propre noyau graphique dans un objectif de simplification. A.Doc réalise, depuis la sortie de ce logiciel, nommé Envisioneer, il y a 15 ans, toutes les traductions, la mise aux normes françaises, les développements nécessaires pour coller au marché français de la construction traditionnelle et de la construction bois, de l'avant-projet au plan d'exécution. Depuis A.Doc vit de la commercialisation d'Envisioneer, de sa mise en langue française et de plusieurs développements autour de ce produit comme la création de devis, du calcul de structure, l'ajout de modèle 3D BIM, etc...Pendant le confinement, nous avons décidé de nous relancer dans le développement, afin d'élargir notre offre logicielle. On savait que nous étions connotés sur le bâtiment, l'architecture et le bois mais il nous manquait une corde à notre arc avec la menuiserie, l'agencement et l'agencement intérieur. On a donc développé pendant 2 ans des fonctions spécifiques sur le noyau SketchUp, pour créer ce nouveau logiciel, nommé, SketchArtisan, celui-ci ayant reçu un excellent accueil lors de sa présentation sur le salon Eurobois. Batinfo : Où en est A.Doc aujourd'hui ?Christophe Richard : La société a été réinventée plusieurs fois en suivant l'évolution de la technologie. Depuis une quinzaine d'années nous sommes tous en télétravail et nous vendons en faisant des démonstrations à distance. À l'époque nous étions des extraterrestres mais grâce à cette façon de faire, on peut faire une démonstration le matin à Lille et le midi à Marseille. Avec un simple changement de méthode, le chiffre d'affaire en a été décuplé.Au milieu des années 2000, nous avons été précurseurs sur la location de logiciels et depuis nous avons gardé une double offre : le client peut choisir la location avec une option de sortie ou l'achat du logiciel. Ce modèle offre une grande souplesse dont les clients se réjouissent car ils peuvent prendre en main le logiciel pendant la location avant de se décider à l'acheter une fois maîtrisé. De même, nos clients sont libres de décider s'ils souhaitent payer pour une nouvelle mise à jour, en fonction de s'il désirent les nouvelles fonctionnalités ou non.Batinfo : Quels sont les futurs projets d'A.Doc ?Christophe Richard : Nos projets pour les années à venir tournent évidemment autour de SketchArtisan, que l'on vient de présenter pour la première fois au salon Eurobois. Actuellement on travaille sur les vues éclatées et l'optimisation de découpes. Pour le moment on est sur des agencements et les avants projets, un côté commercial en sorte, mais l'orientation que l'on prend pour les années à venir va être vers la technique et la fabrication.
Il y a 2 ans et 298 jours

Polémique après une décision de la Cour de Cassation qui va coûter au moins 10 milliards d’euros aux copropriétaires

Ce marché qui concerne les 10 millions de lots de copropriétés en France, tenues par la loi Elan du 23 novembre 2018 de procéder à la mise à jour de leurs actes peut s’évaluer à environ 10 milliards d’euros et était totalement ouvert à la concurrence. Ainsi tout professionnel de la mesure était libre de les réaliser, qu’il s’agisse des architectes, des topographes, des diagnostiqueurs, ou des bureaux d’étude.Désormais, seuls les 1.800 géomètres experts inscrits à l’Ordre, auraient le monopole de l’établissement de ces plans. Comme pour tout monopole les prix vont exploser. A ce jour, un topographe facture en moyenne 600 à 1.000 € HT pour ce type de prestation et les géomètres-experts près du double, voire plus.Ce prix doublé va ainsi devenir la norme, ce qui va entraîner une perte de pouvoir d’achat pour les copropriétaires de 10 milliards d’euros à minima.Attribuer ce nouveau monopole, que seule la loi doit être en mesure de définir, aux géomètres-experts n’est de surcroît en aucun cas justifié juridiquement. L’Autorité de la Concurrence, par un avis du 28 février 2018, invitait d’ailleurs le Gouvernement à légiférer sur cette question.Depuis 4 ans le gouvernement n’a toujours pas engagé la réforme de la profession des géomètres qui était pourtant censée mettre un terme à l’insécurité juridique et économique liée à la réglementation actuelle.Cette inertie va donc coûter 10 milliards d’euros aux copropriétaires.Dans une période où le coût de la vie s’accroît à un rythme inquiétant, cette décision vient aggraver encore les choses.Il apparaît donc indispensable que le gouvernement et le Parlement se saisissent enfin de cette question, et de manière générale du monopole des géomètres-experts, instauré il y a près de 80 ans qui ne se justifie plus, ni techniquement, ni juridiquement.Le contexte de l’affaireDans une affaire qui opposait deux copropriétaires au sujet d’une voie d’accès commune, la question du prétendu monopole des géomètres-experts sur l’établissement des plans annexés aux actes de copropriété particulièrement secondaire, voire anecdotique, s’est, de manière fortuite, retrouvée au cœur de la décision de la Cour de Cassation.C’est ainsi qu’un copropriétaire voulant interdire une partie de la voie d’accès commune à son voisin copropriétaire, a utilisé l’argument selon lequel le plan annexé aux actes de copropriété n’avait pas été établi par un Géomètre Expert, pour prétexter que ce plan ne lui était pas opposable. De ce fait, il serait fondé à contester le passage de son voisin.Les juges de la 1ère chambre et alors même que le Conseiller rapporteur avait conclu au rejet du pourvoi de manière non spécialement motivée, ont décidé de casser l’arrêt d’appel et de procéder à sa publication sur cette seule question, élargissant d’un trait de plume un monopole, qui depuis 80 ans, ne portait aucunement sur les actes de copropriété.Une décision de la Cour de Cassation ayant valeur de jurisprudence, il est à craindre qu’elle oblige à faire refaire tous les plans annexés aux actes de copropriété.Comment parvient-on à 10 milliards d’euros ?Un géomètre-topographe facture entre 600 et 1.000 € H.T ce type de plan annexé aux actes de copropriété. Il s’agit d’une moyenne, les opérations pouvant être plus ou moins complexes. Un géomètre-expert facture presque le double ce type de prestation.Ainsi avec 10.000.000 de lots de copropriétés, le CA potentiel compris entre 6 et 20 milliards d’euros, suivant que le coût de l’opération est de 600, 1.000 ou 2.000 € HT.Les géomètres-experts se voyant attribuer de facto le monopole de la réalisation des plans annexés aux actes de copropriétés par la Cour de Cassation, ne baisseront à l’évidence par leurs tarifs et, au mieux, continueront à tarifer ces actes à 2.000 € HT pièce.De surcroît, avec cette décision il est à craindre que l’ensemble des plans annexés aux actes de copropriété deviennent inopposables ou tout simplement nuls, ce qui nécessitera leur réfection à des tarifs monopolistiques.De même toute nouvelle copropriété sera contrainte de payer les plans annexés à ces actes à un tarif monopolistique, au demeurant non réglementé.DéfinitionDans une copropriété, il y a deux types d’actes.Le règlement de copropriété (RCP) régit le fonctionnement de la copropriété et définit notamment la part de chaque copropriétaire dans les charges ainsi que les règles de vote au sein de l’Assemblée Générale des copropriétaires. En général, le RCP comprend l'Etat Descriptif de Division (EDD), qui lui, définit les parties communes et privatives de la copropriété et décrit les lots et leurs quotes-parts.Les modificatifs à l’état descriptif de division (EDD) et au règlement de copropriété (RCP) viennent amender le RCP et l'EDD lorsque des modifications sont apportées à la copropriété (création d'un lot sur parties communes, division d'un lot, surélévation/extension d'un lot etc.). Soumis aux votes des copropriétaires en AG, les modificatifs doivent ensuite être publiés par un notaire pour que leurs objets deviennent effectifs.
Il y a 2 ans et 298 jours

TwistFlush, plus de puissance, plus d’économie d’eau

TwistFlush est le nouveau système de chasse d'eau révolutionnaire qui assure un rinçage optimal et silencieux, tout en économisant beaucoup d’eau. Avec un rinçage de pratiquement 100% de la surface, aucune goutte d’eau ne se perd et ne s’échappe de la cuvette. Et avec seulement 6 litres d’eau pour un grand rinçage et 3 litres pour un petit, un foyer de 4 personnes économise jusqu’à 17 500 litres* tous les ans. C’est bon pour le porte-monnaie, pour notre environnement mais aussi, pour une hygiène irréprochable. Ce système innovant de rinçage est disponible sur toutes les cuvettes de la nouvelle collection Subway 3.0. La forme conique de la cuvette, les parois très lisses et la puissance de la chasse d’eau assurent une hygiène plus que parfaite. Vous direz adieu pour toujours à votre brosse de toilettes ! Et comme si cela ne suffisait pas, les cuvettes de WC Subway 3.0 avec le système TwistFlush sont désormais proposées en deux versions : un modèle suspendu ou un modèle sur pied, à vous de choisir !Bénéficiez également des finitions de surface en option CeramicPlus et AntiBac pour éviter la saleté et les bactéries sans faire d’effort. D’autant plus que le montage de la cuvette Subway 3.0 se fait en un tour de main et par une seule personne grâce au système de fixations cachées SupraFix 3.0. Retrouvez aussi le CombiPack TwistFlush, la solution Tout-en-Un contenant tous les éléments nécessaires à l'installation de la cuvette Subway 3.0 et de l’innovation TwistFlush, dans un seul carton. Cliquez ici pour en savoir plus sur la technologie TwistFlush et téléchargez la brochure. *Foyer de 4 personnes, par rapport à une chasse d'eau classique de 6 litres par rinçage. Utilisation moyenne : 5 fois par jour et par personne.
Il y a 2 ans et 298 jours

L’inquiétude grandit chez les entreprises du bâtiment d'Auvergne-Rhône-Alpes

Des résultats révélateurs d’une réelle inquiétude des adhérents de la CAPEB, d’autant que la pénurie de main d’œuvre qualifiée ne facilite pas la gestion de leurs chantiers déjà fortement impactés par les difficultés d’approvisionnement des matériaux et la flambée des prix. Dans ce contexte défavorable à l’activité de ses entreprises, la CAPEB attend avec impatience les Assises du BTP, annoncées pour le mois de septembre, pour porter ses propositions. Un Marché de plus en plus tendu 43% des chefs d’entreprise déclarent rencontrer des difficultés au niveau de l’activité de leur entreprise, soit 4 points de plus qu’au trimestre précédent et 21 points sur une année. C’est notamment le cas des entreprises tous corps d’état, des charpentiers et des entreprises d’isolation. Dans les territoires, c’est dans les départements du Cantal, de la Haute-Savoie et de l’Isère que les entreprises sont le plus touchées. Dans un contexte de difficultés d’approvisionnement qui retardent les chantiers, la visibilité sur les carnets de commande s’allonge. 51% des artisans déclarent une visibilité supérieure à 3 mois, soit une augmentation de 3 points par rapport au 1er trimestre 2021. Une rentabilité des entreprises qui reste incertaine Avec un résultat de 31%, le nombre d’entreprises qui déplorent un niveau de trésorerie faible ou insuffisant augmente encore ce trimestre de 2 points. Quant à leurs marges, si elles restent stables ce trimestre pour 54% des entreprises, elles sont toujours en baisse pour 43% d’entre elles. La hausse des prix des matériaux et de l’énergie n’est en effet pas systématiquement répercutée par les entreprises. Des intentions d’embauche toujours importantes La tension du Marché ne freine pas les intentions d’embauche des entreprises. 47% des chefs d’entreprise souhaitent en effet recruter ou sont en réflexion. Les contrats à durée indéterminée (CDI) sont privilégiés par 58% des chefs d’entreprise. Pour faire face à leurs difficultés de recrutement de main d’œuvre qualifiée, 47% des artisans envisagent ce trimestre de former un apprenti (soit 18 points de plus que le trimestre précédent). Pour Dominique Guiseppin, Chef d’entreprise artisanale de peinture (Savoie), Président de la CAPEB Auvergne-Rhône-Alpes : « Malgré le contexte défavorable, nos entreprises tentent de résister, mais l’inquiétude est réelle pour les mois à venir. C’est pour cette raison que nous attendons avec impatience les Assises du BTP annoncées par le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, afin que les problématiques terrain soient posées et que la CAPEB puisse porter ses propositions, des solutions pragmatiques adaptées aux contraintes de nos artisans et de nos entreprises artisanales. » Les propositions de la CAPEB sont disponibles en cliquant ici.
Il y a 2 ans et 298 jours

Le Sénat plaide pour la construction effective d’au moins 14 EPR et souligne l’urgence d’agir

Lancée le 9 février, cette mission avait déjà publié un rapport d’étape, dès le 24 février, sur le risque de black-out, alertant très en amont sur les répercussions de la guerre russe en Ukraine et du phénomène de corrosion sous contrainte. À l’issue de six mois de travaux, qui leur ont permis d’entendre 60 personnalités, à l’occasion de 30 auditions, et de se rendre sur le site de l’EPR de Flamanville, le 11 juillet, les rapporteurs ont formulé 10 propositions pour relancer l’énergie nucléaire sérieusement et promouvoir l’hydrogène bas-carbone, parmi lesquelles la construction effective d’au moins 14 EPR. Pour Daniel Gremillet : « L’énergie nucléaire est cruciale pour atteindre les objectifs de décarbonation prévus par l’Accord de Paris de 2015. Elle l’est d’autant plus que le Paquet Ajustement 55 et le Plan RePowerEU nous obligent à accélérer, pour réduire de 55% nos émissions et sortir des hydrocarbures russes. Le discours de Belfort du Président de la République n’est ni suffisamment ambitieux, ni suffisamment suivi d’effet. Nous préconisons donc d’acter rapidement le scenario “N03” de RTE, qui permet de maintenir au moins 50% d’énergie nucléaire à l’horizon 2050. Pour nous, c’est un minimum ! Dans un monde changeant, ce scenario doit s’appuyer sur un parc nucléaire robuste, moderne, agile face aux évolutions climatiques, technologiques et géopolitiques. » Convaincue de l’intérêt de maintenir un mix majoritairement nucléaire à l’horizon 2050, tout en renforçant les énergies renouvelables et la sobriété énergétique, la commission, s’appuyant sur le scenario « N03 » de Réseau de transport d’électricité (RTE), estime impérative la construction de 14 EPR et de 4 GW de SMR, les petits réacteurs modulaires. Elle demande que cet objectif soit acté législativement dans la loi quinquennale sur l’énergie de 2023 et assortie d’un plan de financement et de compétences. De plus, elle alerte sur le fait que, même réalisé, ce scenario pourrait ne pas suffire, si les réacteurs existants ne pouvaient pas être prolongés au-delà de 60 ans et si les besoins en électricité atteignaient des niveaux plus élevés notamment en raison de la réindustrialisation. La commission souligne que, dans ces cas, pour RTE, il faudrait l’équivalent de 3 et 9 EPR supplémentaires. La construction éventuelle de ces autres réacteurs mérite d’être étudiée d’ici la loi quinquennale. Pour Jean-Pierre Moga : « C’est toute une filière qu’il faut relancer ! La relance de l’énergie nucléaire ne saurait être possible sans un financement robuste, notamment pour EDF, et une formation adaptée, sur lesquels le Gouvernement doit faire des propositions. Elle doit s’accompagner d’une attention à la sûreté et à la sécurité, pour répondre aux nouveaux défis : la résilience au changement climatique et la cyber-résilience. Elle doit aussi s’accompagner d’un effort de recherche et d’innovation, pour réussir la fermeture du cycle du combustible. Le recyclage des combustibles, les réacteurs et les combustibles du futur et le stockage des déchets doivent être promus. » Pour Jean-Jacques Michau : « Parce qu’elle n’émet que 6 grammes de CO2 par kilowattheure, l’énergie nucléaire constitue un levier de décarbonation indispensable, complémentaire des énergies renouvelables. Le GIEC la fait figurer parmi ses options d’atténuation, tandis que l’AIE envisage son doublement. C’est pourquoi nous devons prendre des décisions aujourd’hui pour faire face aux besoins de demain. En 2040, la quasi-totalité de nos centrales actuelles seront en fin de vie ! C’est aujourd’hui qu’il faut agir. » Pour Sophie Primas : « On a affaibli la filière, depuis 10 ans, à un moment essentiel, en inscrivant depuis la loi de “Transition énergétique” une baisse de la part du nucléaire. La majorité actuelle a perdu du temps. On doit la vérité aux Français Une politique énergétique fondée sur trois piliers, le nucléaire, le renouvelable et la sobriété suppose, dans tous les cas, une relance rapide et massive des constructions de centrales nucléaires. Elle permettra de faire face à un doublement des besoins en électricité, qui sera la conséquence mécanique de la décarbonation ! ».
Il y a 2 ans et 298 jours

Nouveau DATI VigieLink pour une détection de chute inégalée

Renforcez la sûreté de vos employés avec un DATI 2.0Gestion des alertes simplifiée depuis le portail VigieControl® inclusCouverture GSM optimale avec la carte SIM multi-opérateurs incluseBouton SOS et alertes automatiques très faciles d'utilisationAlarme de chute et alarme d'absence de mouvement ultra performantesUne qualité professionnelle réservée aux professionnels !Le terminal VigieLink est un équipement professionnel de dernière génération. Sa conception robuste et son autonomie de plus d'une journée de travail (batterie Lithium-ion) vous garantit un fonctionnement fiable même dans les conditions d'utilisation les plus rudes.Résistance aux chocs même après une chuteÉtanchéité IP67 à l'eau (jusqu’à 1 mètre durant 30 min) et à la poussièreEncombrement réduit avec une dimension de 6x9x2cm et 125g seulementFacilité de port avec clip ceinture, dragonne ou brassard inclusUn système d'alertes multi-incidentsPour assurer la mise en sécurité de vos salariés, VigieLink prend en compte de nombreux risques liés à leur activité grâce à ses 8 types d'alarmes PTI. Le DATI de Neovigie utilise des algorithmes performants et éprouvés en conditions réelles garantissant un haut niveau de fiabilité et évitant le déclenchement d'alertes intempestives.Sensibilité et pré-alarme paramétrables : chute, immobilité, perte de liaison...Décroché automatique en cas d'alarme (mode mains-libres)Alarme anti-arrachement en cas d'agression (dragonne fournie)Localisation automatique en extérieur (GPS) et en intérieur (Bluetooth) avec alerte de geofencingUne transmission des alarmes sur plusieurs canauxPour réduire le délai d'assistance, les serveurs Neovigie peuvent transmettre les alarmes du DATI sur plusieurs canaux de communication : appel vocal, SMS, e-mail, notifications push ou au système de surveillance. Cette redondance optimale permet d'impliquer vos collaborateurs dans la politique sécuritaire de l'entreprise.Portail de supervision SaaS VigieControl accessible d'un simple explorateur WebLevée de doute grâce à la fonction phonie automatique du DATITraitement en un seul outil des alertes du DATI ou de l'application PTIGestion des alarmes sur option par les centres de télésurveillance Apsad P3 de SecuritasAlerte PTI DATI 2.0 simple et sûre pour la sécurité de vos travailleursNeovigie vous accompagne avec une solution complète de dispositifs d'alerte du travailleur isolé en s'appuyant sur l'expertise du Groupe LPI, spécialiste des systèmes high-tech de communication depuis 1976.Vous apprécierez la facilité d'utilisation du DATI et de l'application PTI et les capacités du portail de supervision Web : visualisation en temps réel des alarmes, paramétrage simplifié de l'ensemble de vos dispositifs, rapports enrichis pour analyser et améliorer la sûreté de vos travailleurs...
Il y a 2 ans et 298 jours

Tri’n’Collect poursuit son développement avec l’ouverture de six nouvelles agences

Tri’n’Collect, la start’up spécialiste dans la gestion des déchets de chantierTri’n’Collect est né en 2019 de deux constats : 90 % des déchets sont recyclables à condition qu’ils soient triés à la source et les artisans ont peu de solutions de tri sur chantier.En 2 ans et demi, les agences de Tri’n’Collect ont sauvé de l’enfouissement plus de 4.300 tonnes de chutes de matériaux et autres déchets de chantier qui ont pu être valorisés localement dans le respect de la hiérarchie des modes de traitement des déchets.Une tonne de déchets recyclés générant 10 fois plus d’emploi qu’une tonne de déchets enfouis, Tri’n’Collect a accueilli 20 nouveaux collaborateurs en 2022 et franchi ainsi le cap de 50 collaborateurs !Des ouvertures d’agences portées par un alignement des facteurs écologiques, réglementaires et économiquesDe plus en plus d’acteurs du bâtiment s’engagent pour une construction durable tout en étant soumis aux nouvelles obligations règlementaires (tri 7 flux sur chantier, traçabilité de déchets, etc.) ainsi qu’à la pression inflationniste des coûts de traitement de déchets.Une stratégie de maillage du territoire avec une ambition nationale à horizon 2025La stratégie de développement territorial de Tri’n’Collect s’inscrit dans une logique de proximité afin de limiter le transport de déchets entre les chantiers, les lieux de massification et enfin celui de traitement et valorisation (conformément à l’article Article L541-1 du code de l’environnement relatif à la Prévention et gestion des déchets). L’optimisation des tournées de collectes permet un périmètre départemental d’interventions.Déjà présent dans 6 villes de l’ouest de la France, Nantes, Lorient, Angers, Rennes, La Roche sur Yon et Bordeaux, Tri’n’Collect a ouvert deux nouvelles agences à Brest et La Rochelle sur ce 1er semestre pour accompagner, au plus près, les acteurs du bâtiment du Finistère et de Charente Maritime dans la gestion maîtrisée de leurs déchets de chantier.L’agence de Brest, située sur la commune de Guipavas, opère déjà sur près de 80 chantiers, essentiellement des constructions de maisons individuelles.Celle de La Rochelle, basée à Lagord, débute son activité par le plus grand projet d’aménagement confié à Tri’n’Collect. Avec un peu plus de 100 terrains à bâtir, l’opération « ZAC de la Gare » du Crédit Mutuel Aménagement Foncier, représentera, à terme, plus de 80 tonnes de CO2 économisées grâce aux solutions de tri à la source. A noter que cette agence bénéficie d’un écosystème d’acteurs engagés dans la transition écologique, grâce à la démarche La Rochelle Territoire Zéro Carbone.Pour Romain Bouchet, notre Directeur Régional Sud-Ouest : « Ces ouvertures d’agences sont envisagées dès que plusieurs facteurs clés sont réunis : la validation de l’attractivité du territoire avec le potentiel du marché de la construction, la contractualisation avec des clients pour amorcer l’activité, et l’identification d’un écosystème de filières de valorisation. »D’ici septembre, 3 autres agences seront ouvertes : le Morbihan est renforcé avec une agence annexe à Vannes, les agences de Tours et Bayonne adresseront chacune les départements de l’Indre-et-Loire et les Landes. Il ne reste qu’à trouver le dépôt pour l’agence de Caen !A terme chaque agence collectera entre 600 tonnes et 2.000 tonnes de déchets par an.D’ici 2025, l’ambition de Tri’n’Collect est de déployer une quarantaine d’agences et ainsi couvrir le territoire national.
Il y a 2 ans et 298 jours

Une base nautique cachée sous la dune

D’une surface totale de 700 m2, le bâtiment a été durablement conçu et construit pour se voir le moins possible et se fondre parfaitement dans le paysage. L’architecte Stéphane Coulaud a ainsi imaginé un bâtiment aussi bas que possible pour ne pas cacher la vue sur la ligne d'horizon, et pouvant également surmonter la montée des eaux. Il a également souhaité que la dune littorale colonisée par la végétation indigène intègre tout l’arrière du bâtiment pour une parfaite intégration environnementale.Pour réussir cette prouesse esthétique, il fallait garantir une parfaite étanchéité du bâtiment et notamment des deux toitures : l’une enterrée et non accessible ; l’autre accessible et apparente aux UV.L’entreprise ODL ETANCHEITE a sélectionné deux références de membrane synthétique FPO, proposées par Sika :L’étanchéité de la partie de la toiture immergée sous le sable a été réalisée par la membrane FPO Sarnafil TG 66-15 F. Conçue pour les toitures sous lestage, cette membrane se caractérise par sa haute résistance au développement de micro-organismes et de racines, assurant sa grande durabilité. À noter que la paroi enterrée a été étanchéifiée avec une membrane d’étanchéité FPO.En partie non protégée, la membrane Sarnafil TS 77-15 E a été choisie pour sa couleur proche de celle de l'eau et du béton. Fixée mécaniquement, cette membrane multicouche contient des stabilisants contre le rayonnement ultraviolet.Réputée pour former les futurs champions de voile, la base nautique de Carnon est aujourd’hui un ouvrage labellisé Bâtiment Durable Méditerranée. Une autre forme de distinction prestigieuse.
Il y a 2 ans et 299 jours

Vers un accord des députés pour un "bouclier loyer" renforcé en Outre-mer

La majorité présidentielle s'apprête, en effet, à soutenir un amendement du député Charles de Courson, du groupe Libertés, indépendants, Outre-mer et territoires (Liot), selon une source LREM. "Je confirme un accord pour un plafond de 2,5%" en Outre-mer, a réagi M. de Courson auprès de l'AFP. "Des négociations ont eu lieu avec qui de droit", a-t-il ajouté sans en dire plus.Dans son amendement, le député centriste revendique une différence de traitement entre les territoires: "Il ne s'agit en aucun cas d'un passe-droit mais d'une demande fondée sur des éléments objectifs, notamment un coût de la vie" et un "taux de pauvreté plus élevés" et des "loyers qui représentent un poids nettement plus conséquent dans les dépenses totales des ménages en Outre-mer". La période concernée court pendant un an à compter de juillet 2022. En France métropolitaine, le projet de loi sur le pouvoir d'achat prévoit que l'indice de référence des loyers augmente de 3,5% en juillet puis reste bloqué à ce niveau pendant un an, une mesure présentée par le gouvernement comme un compromis entre les intérêts des locataires et des propriétaires, face à l'inflation. L'indice de référence sert de base pour réviser les loyers des logements vides ou meublés. Il fixe les plafonds des augmentations annuelles des loyers que peuvent exiger les propriétaires. LFI et communistes dénoncent une mesure "très loin du compte" en réclamant un "gel immédiat" des loyers.
Il y a 2 ans et 299 jours

Les aéroports parisiens revoient leurs prévisions à la hausse pour 2022

Au premier semestre, Paris-Charles-de-Gaulle et Paris-Orly ont accueilli 37,5 millions de passagers pour Paris Aéroport, soit 71,6% du niveau de trafic pour la même période en 2019, a annoncé le groupe ADP.Le trafic des grands aéroports de la région parisienne a une nouvelle fois nettement progressé en juin, continuant son rapprochement du niveau de l'avant-crise sanitaire, avec 8,1 millions de passagers accueillis, soit 82,1 % du trafic de Paris Aéroport du mois de juin 2019.Le trafic international est à 77% du niveau de juin 2019, malgré un trafic toujours très faible vers l'Asie-Pacifique. Le trafic vers l'Europe est à 87,1%, vers la France à 80,3%, et vers les DROM-COM à 89%.Au niveau du groupe ADP, intégrant les aéroports de New Delhi, Antalya, ou Santiago du Chili, le trafic a atteint au mois de juin 81,8% des niveaux de juin 2019.Au premier semestre, le groupe a accueilli 118,2 millions de passagers, soit 71,9% du trafic du premier semestre 2019.ADP prévoit désormais un niveau de trafic sur l'année 2022 qui devrait atteindre entre 74 et 84% du niveau de 2019, contre 70 à 80% prévus précédemment.
Il y a 2 ans et 299 jours

L'Hôtel de Ville de Paris perquisitionné dans le dossier de la Tour Triangle

La perquisition, révélée par le Parisien, était terminée mercredi en début d'après-midi, a précisé l'entourage de la maire Anne Hidalgo.Le parquet national financier (PNF) a confirmé "qu'une perquisition (avait) eu lieu (mercredi) matin dans les locaux de l'Hôtel de Ville de Paris".Menée par deux magistrats instructeurs, selon l'entourage de la maire, la perquisition fait suite à l'information judiciaire ouverte en mars par le PNF pour des soupçons de favoritisme dans le contrat d'exploitation du Parc des expositions dans le sud de Paris, où la construction de la tour a débuté en février.Les juges étaient accompagnés des gendarmes de la section de recherches de Paris, selon une source proche."C'est la suite logique et cohérente de l'information judiciaire", a commenté l'entourage d'Anne Hidalgo qui se dit "à disposition de la justice" et pour qui la perquisition s'est déroulée "de manière très calme, sans panique". Des techniciens ont fouillé des ordinateurs pour y saisir des documents à la direction de l'urbanisme, celle des affaires judiciaires, des affaires financières, aux services généraux et au cabinet de la maire, a précisé l'entourage de Mme Hidalgo. Les enquêteurs sont entrés dans le bureau d'Anne Hidalgo, où ils "sont restés un quart d'heure", a-t-on précisé. La maire, en déplacement à Avignon pour le festival, était absente mais rentrera mercredi soir pour la passation de pouvoirs à la préfecture de police entre Didier Lallement et Laurent Nuñez. Personne à la mairie n'est "mis en cause, encore moins mis en examen", souligne le cabinet de la maire, dans ce dossier qui remonte au début des années 2010, quand Bertrand Delanoë était maire, Anne Hidalgo première adjointe à l'urbanisme et la Première ministre Elisabeth Borne directrice à l'urbanisme. Accusations contestées Le PNF avait ouvert une enquête préliminaire pour "favoritisme" et "recel de favoritisme" en juin 2021, puis une information judiciaire en mars. La Ville de Paris avait résilié le contrat de concession attribué à la société Viparis, puis lui avait à nouveau confié l'exploitation du complexe événementiel via un bail emphytéotique (d'une durée de 50 ans) à l'issue d'un appel d'offres jugé contestable. Les délais de dépôt d'offres ont été notamment considérés comme trop courts, compte tenu de la complexité du projet. De plus, la Ville avait accepté que Viparis ne s'acquitte pas du droit d'entrée de 263 millions d'euros demandé aux candidats. En échange, cette filiale d'Unibail-Rodamco-Westfield devait renoncer à l'indemnité de résiliation anticipée du contrat initial. "Nous sommes très satisfaits que l'instruction permette une avancée dans ce dossier", a réagi Elise Van Beneden, présidente de l'association Anticor qui avait déposé une plainte avec constitution de partie civile en février 2021. La maire LR du VIIe arrondissement de Paris, Rachida Dati, avait également signalé à la justice en juillet 2020 le projet de construction de la tour, qui doit s'étirer sur 42 étages et 180 m de haut, dans le périmètre du Parc des expositions. Mme Dati et Anticor s'appuyaient sur un rapport de la chambre régionale des comptes d'Ile-de-France de juillet 2020, qui estimait notamment que le projet de la Tour Triangle avait été "inséré de façon critiquable dans l'enceinte du Parc des expositions". La Ville de Paris, Unibail-Rodamco Westfield et Viparis rejettent les accusations, assurant avoir respecté les règles de l'appel d'offres.
Il y a 2 ans et 299 jours

7 Français sur 10 souffrent de la chaleur dans leur logement

La souffrance thermique, un enjeu majeur en France69% des Français déclarent souffrir des températures trop élevées dans leur logement lors de périodes de forte chaleur. Ils sont notamment 30% à en souffrir de plus en plus souvent. Un problème qui, selon les prévisions de Météo France, va s’accentuer. Force est de constater que les épisodes caniculaires se sont multipliés dans le pays ces dernières années. Sur les 43 vagues de chaleur observées depuis 1947, seules 9 ont eu lieu avant 1989. En seulement onze ans, entre 2010 et 2021, 19 ont touché l’Hexagone (source : Météo France).9 français sur 10 (88%) considèrent qu’il est important de trouver une solution pour réduire la température dans les logements, dont près de la moitié (46%) à très court terme. Un constat partagé par Hervé Lamy, Délégué Général du Groupement Actibaie, syndicat membre de la FFB (Fédération Française du Bâtiment) : « Les problématiques de chaleur ne sont pas l’apanage des passoires thermiques, qui totalisent déjà 5 millions de logements. Même les logements très performants sur la thermique d’hiver peuvent être très inconfortables lors de période de fortes chaleurs. Il est temps que les pouvoirs publics prennent à bras le corps ce sujet pour les logements existants, comme ils l’ont fait dans le neuf avec la RE 2020. »Une solution durable : les stores et voletsFermer les stores et/ou volets est de loin la première action mise en place pour rafraîchir le logement pour 82% des Français, suivi par aérer les pièces la nuit (77%), fermer les fenêtres en période d’ensoleillement (62%) utiliser un ventilateur (41%) et enfin un climatiseur (21%).Pour Hervé Lamy, des solutions durables pour réduire la température existent. « Les stores et volets sont en effet très efficaces pour réduire la température intérieure. En maison individuelle, l’indicateur d’inconfort (DH) peut être réduit de 40% en installant des volets et des stores manuels. S’ils sont automatisés, cet indicateur peut encore être abaissé de 20% supplémentaires. Des mesures dans une école récemment rénovée ont montré que l’écart peut être de 10°C entre l’extérieur et l’intérieur uniquement grâce aux protections solaires. »Ces solutions sont d’autant plus prisées que près de la moitié des propriétaires se disent prêts à équiper ou rénover leur logement pour l’installation ou l’automatisation de stores et volets si une aide financière de l’Etat était proposée. « Aujourd’hui les dispositifs d’aides à la rénovation énergétique n’intègrent pas la problématique du confort d’été. Les stores et volets sont totalement exclus. Sur ce sujet, la France est à la traîne comparée à nos voisins allemands ou italiens qui ont sauté le pas. C’est un non-sens social et écologique, incompatible avec les objectifs environnementaux fixés par l’État. »Limiter le recours à la climatisationSi aujourd’hui 21% des Français ont recours à la climatisation, près d’un cinquième (19%) des non-utilisateurs déclare avoir l’intention d’acheter un climatiseur, ce qui porterait le taux d’équipement des foyers français à 40%.Selon un rapport de l'Ademe publié en juin 2021, la climatisation est aujourd'hui responsable de près de 5% des émissions d'équivalent CO2 du secteur du bâtiment en France. « Il est urgent de rénover les logements pour limiter le recours à la climatisation, trop énergivore. Il faut penser impact environnemental et sobriété énergétique... C’est devenu une nécessité dans le contexte géopolitique actuel, mais aussi et surtout, pour faire face à l’aggravation du réchauffement climatique. »
Il y a 2 ans et 299 jours

Neuf PME sur dix qui cherchent à recruter ne trouvent pas le "bon profil"

La première cause évoquée par les dirigeants interrogés est l'absence de candidat pour 74% d'entre eux, devant le manque de compétences (47%).Les résultats de cette enquête corroborent d'autres études de la Banque de France sur l'ensemble des entreprises, qui montrent que les difficultés de recrutement ont atteint en juin un niveau inédit depuis un peu plus d'un an que l'institution mesure ce phénomène.Ces difficultés s'expliquent par des raisons conjoncturelles - la forte reprise économique après la récession de 2020 et le changement de secteur d'activité de nombre de salariés avec la crise du Covid-19 - mais aussi par des lacunes structurelles du marché du travail français, comme le manque de qualification particulièrement recherchée (informatique, etc.)."Cette problématique est d'autant plus aiguë qu'un dirigeant sur quatre est confronté à un turn-over important" de ses effectifs, souligne la CPME.Relation au travailSelon le sondage de l'organisation professionnelle, les raisons de ce "turn-over" sont le souhait des salariés de se consacrer à autre chose qu'à leur vie professionnelle (53%), de changer de secteur (51%).Près d'un tiers (33%) évoquent aussi le souhait des salariés d'aller travailler chez un concurrent plus offrant, note la CPME."Quand bien même vous pouvez proposer un CDI, que vous êtes prêt à discuter des conditions de travail, certains Français ont un autre projet qu'un projet professionnel, comme si la relation au travail était différente de ce qu'elle était auparavant", a commenté mardi sur France Inter le président de la CPME François Asselin, qui y voit un phénomène "complètement nouveau".Dans ce contexte, couplé à une inflation inédite depuis 40 ans, 65% des dirigeants ont décidé d'augmenter les salaires cette année et 40% l'ont fait pour tous leurs salariés.Celles qui ne l'ont pas fait invoquent dans 78% des cas le manque de capacité financière de l'entreprise.Par ailleurs, 68% des dirigeants de TPE et PME affirment avoir versé "récemment" des primes à leurs salariés (individuelles ou collectives comme la prime exceptionnelle de pouvoir d'achat).Face aux difficultés de recrutement, François Asselin juge le système français d'assurance-chômage "perfectible". Il "n'est pas assez efficace", a-t-il déploré mardi, cinq jours après l'annonce par le président Emmanuel Macron du lancement "dès cet été" d'une nouvelle réforme de l'assurance-chômage."Le meilleur système assurantiel en terme de chômage, c'est celui qui indemnise correctement celui qui a un accident de parcours professionnel mais qui en même temps le raccroche au marché de l'emploi", estime M. Asselin.Le sondage de la CPME a été réalisé sur la base de 2.362 réponses de dirigeants de TPE et PME à un questionnaire en ligne réalisé entre le 16 juin et le 12 juillet.
Il y a 2 ans et 299 jours

La Cour des comptes épingle les données publiques sur le logement, qu'elle juge incomplètes et trop complexes

"La capacité de l'État paraît insuffisante au regard des ambitions affichées", relève la Cour, qui a étudié six bases de données parmi les douze qu'elle considère essentielles afin de mener "une politique publique qui représente un coût annuel proche de 40 milliards d'euros".Elle pointe du doigt la complexité des bases, leur défaut d'actualisation et, dans certains cas, l'insuffisante fiabilité ou exhaustivité des données qu'elles contiennent".D'après la Cour des comptes, ces données de qualité médiocre rendent "particulièrement fragiles les objectifs affichés par le gouvernement en matière de logement".Elle cite notamment l'exemple de l'objectif de construction de 500.000 nouveaux logements par an, "régulièrement mis en avant publiquement", qui ignore des travaux "qui évaluent depuis 2014 ces besoins annuels à 370.000 nouveaux logements".Dans son référé, la Cour s'inquiète également d'un "risque d'accroissement de la dépendance à la donnée privée". De nombreux sites d'immobilier produisent aujourd'hui des données géolocalisées sur les loyers, parfois si précises qu'elles viennent nourrir des bases de données publiques. La Cour note que les réformes successives de la taxe d'habitation ont privé l'État "de données essentielles, puisqu'elle permettait d'associer des informations géolocalisées sur les logements avec la situation sociale de leurs occupants".Parmi ses recommandations au gouvernement, la Cour préconise au gouvernement de "fiabiliser et actualiser les principales bases de données" relatives à la politique du logement.Elle souligne enfin la nécessité de décloisonner les bases de données "non seulement entre administrations et opérateurs centraux ou déconcentrés de l'État, mais avec les collectivités territoriales concernées".
Il y a 2 ans et 299 jours

Rockfeu Therm RsD, une nouvelle gamme pour améliorer l’excellence thermique de l’isolation des planchers en rapporté sous dalle

En plus d’être très énergivores ces logements sont des glacières en hiver et des fours en été. La cause trop souvent ignorée : l’existence de ponts thermiques accentués en ville par les parkings en sous-sols qui créent des déperditions de chaleur non négligeable à travers les planchers.Pour répondre aux impératifs de rénovation du parc de logement, ROCKWOOL, leader mondial des solutions d’isolation en laine de roche, fait évoluer la gamme d’isolant Rockfeu avec Rockfeu Therm RsD, spécialement conçu pour l’isolation des planchers en rapporté sous dalle.Accélérer la rénovation énergétique des logementsPlus efficient, Rockfeu Therm RsD garantit d’excellentes performances thermiques grâce à une conductivité thermique de 0,033 W/m.K. Cette nouvelle gamme d’isolant permet ainsi de conserver la chaleur en hiver et de réduire les pics de chaleur en été dans les logements situés au-dessus de parkings en sous-sols. Avec une durée de vie supérieure à 55 ans, les performances de Rockfeu Therm RsD ne subissent aucune modification dans le temps. Sa robustesse et sa stabilité dimensionnelle permettant au panneau de ne pas se déformer pour garantir un confort d’été à court et long terme.Avec des épaisseurs allant de 60 à 200 mm, la nouvelle gamme Rockfeu Therm RsD permet une isolation thermique mais aussi acoustique plus performante. Les parkings ont tendance à être des espaces particulièrement bruyants. Il est donc essentiel de les protéger du bruit des niveaux de circulation intenses tout au long de la journée. Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), le bruit d’une circulation excessive peut avoir un effet nocif sur la santé des personnes.Lutter contre la propagation des incendiesOutre le bruit, le risque de propagation du feu via le parking et dans les logements situés au-dessus peut être considérablement réduit par l’utilisation d’une isolation résistante au feu selon les normes les plus élevées. L’isolation par plancher en rapporté constitue la technique de sécurité incendie la plus performante à destination des commerces et des logements ou pour les établissements recevant du public. Bénéficiant des qualités intrinsèques de la laine de roche ROCKWOOL (7 forces de la roche), Rockfeu Therm RsD offre une solution incombustible (classé Euroclasse A1).
Il y a 2 ans et 299 jours

Ivy Office, lieu de travail flexible, choisit Floorify pour son revêtement de sol

Floorify est le sol de rénovation idéal, il est fin et solide et peut être posé sur à peu près n’importe quelle surface, sans préparation. Les dalles et planches de vinyle Floorify s’encliquettent facilement. Procédez à une pose flottante : pas besoin de les coller. Vous pouvez facilement découper votre sol à la taille souhaitée avec un cutter. Coupez, encliquetez et le tour est joué !Le choix idéal donc pour l’extraordinaire lieu de travail flexible Ivy Office à Hilversum. Les deux jeunes propriétaires, Marcelle et Jella, étaient à la recherche d’un beau sol naturel à l’aspect calme pour leur concept de co-working, où les personnes peuvent travailler et faire des réunions en toute tranquillité. Elles ont opté pour le sol Floorify au look béton Pebble Beach – F030 ; en combinaison avec l’intérieur minimaliste, le sol rayonne.« Le design a été fondamental, il s’intègre parfaitement dans notre concept. De plus, le sol de l’Ivy Office est foulé par énormément de monde. Il doit donc aussi être robuste et résistant. Par ailleurs, notre sol Floorify au look béton résiste aux taches et à l’eau et est également facile à laver. »Les personnes qui se rendent dans un espace de co-working veulent travailler ou faire des réunions dans un environnement calme sans perturbations. La combinaison intelligente du revêtement de sol Floorify aux propriétés d’isolation acoustique avec la sous-couche Comfort crée une surface de marche tendre ainsi qu’une couche d’isolation acoustique. Le résultat ? Chez Ivy Office, vous pouvez travailler dans le calme sans être dérangé. Insonorisant et donc parfaitement adapté pour une utilisation commerciale.« Nous sommes très satisfaits de notre sol Floorify, qui a vraiment cet aspect béton que nous recherchions. Le choix parfait pour notre concept et idéal comme sol de projet. »Vous avez trouvé l’inspiration pour donner un nouveau look à votre intérieur existant ou à votre projet ?Découvrez les sols Floorify en grand format chez un revendeur près de chez vous ou commandez rapidement et facilement des échantillons gratuits via le site.
Il y a 2 ans et 299 jours

Algar (ex Permettez-moi de Construire) lance deux nouvelles offres BtoB destinées aux professionnels du BTP

Algar est un service complet de facilitation des procédures légales permettant aux propriétaires d'obtenir des autorisations d'urbanisme, 100% en ligne.La start-up prend en charge l'intégralité du processus : analyse des règlements d'urbanisme, constitution du dossier, impression et envoi à la mairie. Le propriétaire a accès à un tableau de bord dédié, afin de suivre l'avancement de son dossier. Une fois l'accord de la mairie obtenu, le propriétaire reçoit son panneau réglementaire pour que les travaux puissent commencer.Deux nouvelles offres voient le jour pour répondre aux attentes des acteurs du BTP :Algar PRO (BtoBtoC) s'adresse aux professionnels du bâtiment (artisans, courtiers en travaux, maîtres d'œuvre, marchands de biens, architectes d'intérieur...) qui souhaitent obtenir plus facilement les autorisations d'urbanismes nécessaires pour les chantiers de leurs clients. La simplification de ces procédures permet aux professionnels de gagner du temps et ainsi de se concentrer sur leur cœur de métier tout en planifiant au mieux leurs interventions.Algar CMI (BtoB) s'adresse aux constructeurs de maisons individuelles (de 10 à 8000 maisons par an) qui souhaitent externaliser tout ou une partie de la gestion des procédures de permis de construire. La collaboration avec Algar CMI permet à ces professionnels de gagner en flexibilité et en productivité tout en bénéficiant d'une expertise pointue du sujet.Cette étape importante pour l'entreprise s'accompagne également d'une évolution de la marque : Permettez-moi de construire est en effet devenue « Algar », un nom moins descriptif et plus inspirationnel.« Algar c'est un peu le capitaine de navire qui vous emmène à bon port, le génie qui exauce les vœux et permet à chacun d'accéder à ses projets d'habitat en conformité et avec sérénité. Je suis très fier de cette nouvelle marque, très fidèle à ce qu'est aujourd'hui Algar et à ses ambitions » Aurélien De Nunzio, co-fondateur de AlgarEn seulement quelques années, la start-up a su convaincre des milliers de clients, professionnels et particuliers, autour d'un concept qui pallie des démarches souvent lourdes et compliquées grâce à un service 100% digital et transparent.
Il y a 2 ans et 299 jours

Le réseau Maisons de Lumière by Technal inaugure un nouveau magasin de menuiseries aluminium à Frejus

L’occasion pour le Président de l’établissement Philippe RAISON, et son Directeur Général David BEAULANDE, de réunir près d’une cinquantaine de clients architectes et professionnels du bâtiment lors d’une soirée conviviale. Ce showroom-point de vente MAISONS DE LUMIERE BY TECHNAL est implanté à proximité du centre historique de Fréjus, dans la ZA Lou Gabian, facilitant l’accès des visiteurs. Il constitue le 3ème** établissement du Réseau en PACA, confirmant le maillage progressif dans cette région. L’équipe intervient dans un rayon de 100 km autour de Fréjus, dans le Var et également dans les Alpes-Maritimes. Pour David BEAULANDE, Fondateur du Maison de Lumière de Fréjus : « Nous rencontrons un excellent démarrage depuis l’ouverture en début d’année. Notre expertise dans le secteur de la menuiserie extérieure depuis plus de 15 ans est une réelle force. Elle nous a permis d’acquérir au fil des années un beau carnet d’adresses côté architectes qui réalisent de grandes villas. L’objectif aujourd’hui est de développer également notre clientèle de particuliers, aussi bien dans le neuf que sur le marché de la rénovation haut de gamme. » D’une surface totale de 200 m2, le magasin est inspiré d’un atelier d’architecte. Il est pensé tel un espace cocooning, design et chaleureux, en symbiose avec l’ADN de la marque « Vivre en TECHNAL, Vivre en harmonie ». Il présente un large choix de fenêtres, baies coulissantes, portes, vérandas, pergolas, portails, garde-corps, volets... Chaque visiteur, particulier ou architecte, peut les manipuler et se projeter à travers des mises en situation dans différents univers. Au-delà des menuiseries exposées, le showroom met en lumière la multitude de matières, de couleurs et de poignées proposées par TECHNAL, pour démultiplier l’imaginaire des clients. Besoin de rénover ses ouvertures pour renforcer le confort intérieur et réduire ses factures énergétiques ? Envie de créer une extension mais en réalisant peu de travaux ? Quel type de portail pour s’accorder harmonieusement au style de ma maison ? Puis-je bénéficier d’aides de l’état ? Est-ce possible de construire avec une empreinte carbone réduite ? L’équipe de professionnels est à l’écoute des visiteurs. Elle prodigue des conseils avisés et les accompagne à chaque étape de leur projet. Entreprise et date de création : NALTECH SAS – JANVIER 2021Dirigeants : PHILIPPE RAISON, PRESIDENTDAVID BEAULANDE, DIRECTEUR GENERAL Responsable du point de vente : DAVID BEAULANDEEffectifs :57 en fin d’année 2022 Surface du point de vente : 200 m2Adresse du point de vente : 298 avenue Lou Gabian – 83600 Fréjus Téléphone du point de vente : 04 84 81 60 87Horaires d’ouverture :Du lundi au vendredi : 9h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h00Samedi : sur rendez-vous * Liste des établissements MAISONS DE LUMIERE BY TECHNAL : Toulouse (31), Bourg-lès-Valence (26), Paris (15ème), Noisy-le-Grand (93), Saint-Maur-des-Fossés (94), Brive-la-Gaillarde (19), Lille (59), Saint-Maximin-la-Sainte-Baume (83), Montrouge (92), Dijon (21), Chantilly (60), Vannes (56), Vaires-sur-Marne (77), Sainte-Geneviève-des-Bois (91), Rennes-Est (35), Nantes-Sud (44), Roanne (42), Orsay (91), Montpellier (34), Appoigny-Auxerre (89), La Teste-de-Buch (33), Montgeron (91) Bordeaux (33) et Canohès (66). ** Deux autres magasins à Cannes (06) et Sainte-Maxime (83).
Il y a 2 ans et 300 jours

Avec 22.000 visiteurs, l’édition 2022 de Rexel Expo est un succès

Les visiteurs ont pu découvrir toutes les dernières innovations Rexel, et celles de ses 200 partenaires fabricants, en matière d’efficacité énergétique, de mobilité électrique, de bâtiments intelligents et de solutions connectées, destinées aux marchés résidentiel, tertiaire et industriel.De l’amélioration du parcours sur le webshop client, au showroom digital, de l’assistance à distance aux conférences autour de thèmes essentiels pour les acteurs de l’énergie tels que : l’autoconsommation solaire ou la décarbonation des bâtiments, en passant par le lancement de « So Watt » le premier réseau d’artisans experts de l’électricité et du génie climatique, la semaine a été riche en évènements !Les clients professionnels ont pu être acteurs du salon en testant et en donnant leur avis sur les innovations présentées en avant-première. Leurs retours sont précieux car ils vont permettre aux équipes Rexel France de travailler sur le développement et d’éventuels axes d’amélioration dans les semaines et mois à venir. Cette notion de « co-construction » AVEC et POUR les clients étant un élément constitutif de l’ADN de Rexel.Thomas Moreau, Président de Rexel France, fait part de sa satisfaction : « Rexel Expo c’est un peu notre « défilé de mode », l’occasion pour nos équipes de présenter nos dernières innovations. Nous avons eu d’excellents retours clients et une fréquentation exceptionnelle, avec 22 000 visites ! Nous avons présenté, entre autres, en avant-première notre nouvel outil le « Carbon Tracker » qui permet à nos clients de mesurer l’impact carbone d’un chantier sur toutes les étapes du cycle de vies de produit et avons eu la belle surprise de remporter le 28 juin dernier avec cet outil « Le Prix énergie climat décarbonation » dans le cadre des « Trophées Industrie durable 2022 » organisés par l’Usine Nouvelle. Une belle récompense pour les équipes qui travaillent sur des solutions innovantes et durables pour répondre aux enjeux écologiques de demain. »Fidèle aux engagements de responsabilité sociale et environnementale de Rexel France, le salon a été organisé dans une démarche de minimisation de son empreinte écologique (mise en place du tri sélectif, utilisation d’une moquette 100% recyclable, 100% des gobelets utilisés sur le salon étaient recyclés etc.). Rexel France a également décidé de financer une association via la Fondation Rexel pour le progrès énergétique afin de compenser l’empreinte écologique tout de même générée par le salon.Les partenaires exposant sur le salon étaient eux aussi engagés dans cette démarche sociétale. En attestent les 75 % des stands partenaires qui affichaient un macaron EcoVadis (une certification mondiale qui évalue la performance RSE des entreprises) Bronze, Silver, Gold, ou Platinium.
Il y a 2 ans et 300 jours

Le "quoi qu'il en coûte" a stabilisé le taux de pauvreté en 2020

La France comptait en 2019 (derniers chiffres officiels connus) 9,2 millions de personnes en situation de pauvreté monétaire (vivant avec moins de 1.102 euros par mois pour une personne seule), soit 14,6% de la population, un taux resté stable en 2020, selon le comité chargé d'évaluer la stratégie anti-pauvreté du gouvernement lancée en septembre 2018."Le taux de pauvreté n'a pas augmenté, selon des chiffres encore provisoires, entre 2019 et 2020, et c'est un résultat remarquable", a relevé lors d'une conférence de presse son président Louis Schweitzer, alors que les associations craignaient une hausse de la précarité pendant la crise.Cette situation est due à "l'ensemble des mesures à la suite de la crise sanitaire", qui n'étaient d'ailleurs pas réservées aux personnes précaires, "c'est un effet remarquablement positif"."En l'absence de ces mesures, le taux de pauvreté aurait augmenté au moins d'un demi-point au cours de cette période", a souligné l'ancien patron de Renault, qui relève que "le taux de pauvreté en France est très inférieur à la moyenne européenne".La grande pauvreté (revenus inférieurs à 50% du revenu médian) touchait deux millions de personnes en 2019."Les indicateurs relatifs au marché du travail ont connu une amélioration notable sur la période de déploiement de la stratégie pauvreté, en particulier pour les jeunes", relève le comité qui juge toutefois "impossible de lier ces tendances positives aux seules mesures de la stratégie".En revanche, le comité piloté par France Stratégie "constate qu'il n'y a pas d'amélioration des indicateurs d'inégalités en matière de petite enfance et de réussite éducative".Quelque 13,1 milliards ont été dépensés sur les années 2019 à 21 (contre 8 milliards prévus initialement sur 2018-22) pour cette stratégie, dont 11,7 milliards "liés à la seule prime d'activité".La mise en place des 35 mesures du plan pauvreté est très inégale : quatre ont été totalement mises oeuvre (revalorisation de la prime d'activité, mise en place de la complémentaire santé solidaire...), deux ont été abandonnées, 29 sont en cours de mise en œuvre.Concernant les recommandations, le comité appelle à lutter contre le non-recours aux aides sociales, à mettre en place le revenu universel d'activité (RUA), à favoriser l'accès à l'enseignement supérieur des jeunes précaires (créations de places supplémentaires, soutien financier...)Face à la hausse des prix, qui affecte particulièrement les personnes en situation de pauvreté, le comité demande de "garantir le pouvoir d'achat des plus modestes en indexant sur l'inflation les prestations ciblées"."Je ne suis pas tout à fait rassuré [sur le fait] que la loi pouvoir d'achat la compense totalement", a relevé M. Schweitzer.
Il y a 2 ans et 300 jours

Les défaillances d'entreprises s’accélèrent avec une hausse de 49% sur un an

Avec 9.826 procédures collectives ouvertes entre le 1er avril et le 30 juin, le niveau des défaillances augmente de 49% par rapport au 2ème trimestre 2021, après avoir atteint +35% au 1er trimestre. La hausse s’accélère. Sur 12 mois glissés, on enregistre une augmentation générale de 15% pour 34.200 jugements. Les niveaux sont au plus haut depuis octobre 2020. S’ils restent inférieurs à ceux de 2019, année de référence pré Covid, l’écart se resserre. Avec 800 entreprises qui tombent en défaut chaque semaine, les courbes laissent présager un total de 37.000 défauts sur l’année 2022.Les secteurs d’activité B2C (service à la personne, restauration, commerce) sont les plus fragilisés et les jeunes structures créées juste avant ou pendant la crise sont en souffrance (+136%). Les PME, avec 731 procédures ouvertes en 3 mois, dépassent les seuils de 2019. Dans les territoires, la hausse concerne toutes les régions. La tendance est particulièrement marquée dans les Hauts de France, où le nombre de procédures double, et en Centre Val-de-Loire, qui dépasse ses niveaux d’avant crise.Pour Thierry Millon, directeur des études Altares : « Les chiffres de fin 2021 et du premier trimestre 2022 démontraient un retour à la réalité sur le front des défaillances. Depuis février, la tendance à la hausse s’accélère nettement avec une augmentation mensuelle moyenne de 45%. Nous approchons désormais des niveaux observés en 2019, période de référence d’avant crise. Les plus petites entreprises de moins de 3 salariés sont les plus touchées, en particulier les plus jeunes, qui présentent des taux de liquidation identiques à 2019. Autre signal d’inquiétude, les PME sont aussi de plus en plus nombreuses à faire défaut et retrouvent des seuils identiques à l’avant crise. »En hausse de 49,2% au 2ème trimestre 2022, le nombre de défaillances d’entreprises se rapproche des niveaux d’avant crise Covid9.826 entreprises sont tombées en défaillance entre le 1er avril et le 30 juin 2022, soit une hausse de 49,2% par rapport à la même période de 2021. L’augmentation est nette et de plus en plus rapide mais les niveaux restent encore très inférieurs à ceux du printemps 2019 et ses 12.300 procédures.Sur 12 mois glissés, 34.200 entreprises ont fait défaut. La hausse générale est «seulement» de 15% en raison des niveaux de juillet à octobre 2021 qui étaient encore à la baisse (-16%). En tendance annuelle, les volumes de défaillances sont donc plutôt similaires à la situation de fin 2020. (35.500 en octobre 2020 et 34.000 en novembre 2020 sur 12 mois glissés). Avec 289 dossiers enregistrés ce trimestre, le nombre de procédures de sauvegarde est au plus haut depuis 2018 et augmente de 75%. Ce dispositif représente cependant seulement 3% de l’ensemble des procédures. Les procédures de redressement judiciaire (RJ) sont en hausse rapide de 55,5% pour 2325 jugements prononcés. Elles représentent moins d’un jugement sur quatre (24%), un taux très en-dessous des 30% relevés au 2e trimestre 2019. 73% des jugements se concluent sur des liquidations judiciaires directes (LJ), un taux très supérieur aux niveaux observés traditionnellement (68%). Elles ont visé 7212 entreprises, soit une augmentation de 46,4%.La détresse des jeunes entreprises « Covid »La création d’entreprises n’a jamais été aussi dynamique. Alors que l’Insee annonçait un record de près d’1 million de nouvelles immatriculations pour la seule année 2021, 2,6 millions d’entreprises ont vu le jour en 3 ans, dont 700.000 sociétés commerciales. Mais ces structures commerciales sont aussi les plus fragiles. Elles représentent 85% des défaillances et même 93% des défaillances d’entreprises de moins de 3 ans. Certes, on crée plus d’entreprises mais on en perd plus.Un des indicateurs les plus marquants de ce trimestre concerne justement les jeunes structures dont les niveaux de défaillances explosent de 136%, avec 1750 procédures ouvertes. 1411 d’entre-elles ont été directement liquidées, un nombre très proche de celui du 2e trimestre 2019 (1431). Les jeunes restaurateurs (272), particulièrement fragilisés, sont quasi cinq fois plus nombreux qu’un an plus tôt à faire défaut.Les PME défaillantes quasi aussi nombreuses qu’avant la crise93% des entreprises en cessation de paiement sont des TPE, une part relativement constante. Avec 9095 procédures enregistrées, leur nombre augmente de 47% sur un an.Du côté des PME, la hausse s’accélère bien plus nettement. Avec 731 cessations contre 420 un an plus tôt, le niveau des défaillances augmente de 74%. In fine, les PME affichent des volumes similaires à la période d’avant crise.Une tendance d’autant plus marquée dans les PME des services informatiques (+100%) et du transport routier de marchandises (+200%).Les défaillances en hausse dans quasi tous les secteursPour Thierry Millon, directeur des études Altares : « Ce premier semestre se termine sur une tendance sans équivoque : la remontée des défaillances amorcée en fin d’année dernière est très nette. Pourtant le climat des affaires ne s’effondre pas, en dépit d’un alignement de facteurs géopolitiques et macroéconomiques qui inciteraient à l’attentisme. L’inflation, la flambée des prix de l’énergie, les ruptures de chaînes d’approvisionnement, la fermeture de certains marchés ralentissent la croissance mais l’économie tient et les entreprises résistent. Sur ces 12 derniers mois, plus de 34.000 sociétés sont tombées mais nous sommes encore loin des pics de la crise financière de 2008 qui dépassaient les 64.000, ni même les 52.000 procédures enregistrées en 2019. Notre tissu d’entreprises résiste donc mais les courbes que nous observons doivent nous préparer à enregistrer entre 35.000 et 40.000 défauts à la fin de l’année. Car le spectre de la récession plane et les entreprises ne pourront continuer à piocher éternellement dans leur trésorerie en attendant la reprise de la consommation des ménages. L’épargne des Français continue toujours d’augmenter. La Banque de France estime l’épargne totale à 319 milliards d’euros au 1er trimestre 2022, dont 151 milliards sont dus au « surplus Covid ». Pour aider les entreprises à faire face, l’exécutif déploie de nouveaux dispositifs de soutien comme l’ouverture d’un guichet d’aide « gaz & électricité » ou le maintien du plan d’accompagnement de sortie de crise (cf. encadré ci-dessous). Pour l’heure, Altares observe que les retards de paiement sont encore globalement maitrisés. Un signal d’autant plus important alors que la relation fournisseur et la résilience des chaines d’approvisionnement ont été particulièrement malmenées au gré des confinements successifs et de la guerre en Ukraine. Le Gouverneur de la Banque de France écarte pour le moment l’hypothèse d’une récession pour ces prochaines années. L’incertitude commande donc à la prudence. La vigilance et le pilotage au plus près de ses portefeuilles d’entreprises clientes et fournisseurs est de mise. Mais in fine, la résilience pourrait bien se confirmer cette année encore comme le maître mot de nos entreprises. »
Il y a 2 ans et 300 jours

Comment les Français perçoivent-ils les politiques climatiques ?

S’appuyant sur un échantillon représentatif de 2.000 Français, cette enquête permet de dresser un panorama des perceptions et du soutien aux principales mesures climatiques. Préoccupés par le changement climatique, les Français offrent un soutien varié à ces mesures selon la perception qu’ils ont de leur efficacité, de leur impact redistributif et de leurs conséquences financières sur leur propre ménage. Plusieurs recommandations suivent ces constats, dont la mise en place d’enquêtes régulières, l’information auprès des citoyens, l’aide à l’adoption d’alternatives aux énergies fossiles, l’accélération des investissements dans des infrastructures bas carbone, et le fléchage de toutes nouvelles recettes liées à la taxation du carbone.Attitudes face au climat Les Français sont en grande majorité préoccupés par le changement climatique, mais leur soutien aux différentes politiques envisageables pour lutter contre est variable. Il est d’autant plus grand qu’elles sont perçues comme efficaces environnementalement, justes socialement et peu coûteuses pour leur propre ménage. Informer les citoyens sur leurs propriétés augmente significativement le soutien. Constat 1. Les Français interrogés sont conscients des conséquences potentiellement désastreuses du changement climatique et reconnaissent la nécessité de lutter contre sa progression, au niveau individuel et collectif.Constat 2. Une part significative de Français pense que les politiques climatiques sont régressives et anticipent des conséquences négatives sur leur ménage.Constat 3. Le soutien s'explique par les perceptions sur l’efficacité environnementale des politiques, sur leurs effets redistributifs et leur impact financier sur le ménage. Informer sur les propriétés des mesures peut contribuer à augmenter leur soutien.Soutien aux différentes mesures À côté des trois perceptions soulignées plus haut, le soutien aux mesures climatiques dépend fortement des sources de financements (dans le cas d’investissements), du type de politique (réglementation ou taxe), de l’usage des recettes (dans le cas d’une taxe), ainsi que de la disponibilité de substituts bas carbone (équipements et transports).Constat 4. Les subventions à l’adoption et au déploiement de technologies bas carbone, les investissements publics dans des infrastructures décarbonées, l’obligation de rénovation thermique assortie de subventions et l’interdiction des véhicules polluants des centres-villes sont soutenus par une majorité de Français.Constat 5. Le soutien aux mesures de tarification du carbone est nettement plus élevé lorsque les recettes financent des transferts pour compenser les ménages vulnérables ou des investissements verts.Constat 6. La France est le pays où la différence de soutien entre ceux qui utilisent et qui n'utilisent pas de voiture est la plus importante. La qualité des services et des équipements disponibles importe plus que la taille de l'agglomération du lieu d’habitation.Constat 7. En complément de mesures climatiques nationales, la plupart des Français interrogés soutiennent un accord mondial pour réduire les émissions selon une clé de répartition équitable des efforts.Élaborer des politiques climatiques efficaces et justes Pour comprendre les considérations et inquiétudes des citoyens envers les politiques climatiques, il est nécessaire de conduire régulièrement des enquêtes sur les perceptions, préoccupations et attentes des ménages. Une meilleure information sur le fonctionnement et les effets des politiques climatiques est nécessaire. Recommandation 1. Conduire régulièrement des enquêtes sur les contraintes pesant sur les ménages, sur la compréhension et l’acceptation des mesures climatiques, et mieux intégrer les attentes et préoccupations des citoyens dans la définition des politiques. Recommandation 2. Mieux informer les citoyens sur le fonctionnement et les effets des politiques climatiques. Envisager de confier cette mission d’information au Haut Conseil pour le climat en lui allouant des moyens à la hauteur de cette nouvelle compétence.Investissements et infrastructures pour permettre la substitution vers des alternatives bas carbone sont essentiels et d’autant plus urgents que la hausse des prix de l’énergie actuelle pèse lourdement sur les ménages. Une tarification carbone ne peut pas être envisagée dans le contexte actuel de forte hausse des prix de l’énergie. Est également cruciale la prise en compte des demandes de progressivité des mesures, trop souvent perçues comme régressives et coûteuses pour les ménages les plus vulnérables.Recommandation 3. Séquencer la mise en place des politiques climatiques : favoriser d’abord la diffusion d’alternatives bas carbone pour protéger les ménages des hausses des prix, avant des hausses éventuelles du prix du carbone (prévues au niveau européen).Recommandation 4. Renforcer les dispositifs d’aide à l’achat d’équipements à faibles émissions, notamment pour les ménages vulnérables et à revenus modestes.Recommandation 5. Faire une priorité des investissements publics dans les infrastructures de mobilité à faibles émissions : transports en commun, réseau ferroviaire, pistes cyclables, bornes de recharge pour véhicules électriques.Recommandation 6. Redistribuer tout ou partie des recettes provenant de la tarification carbone et des taxes sur les énergies fossiles pour compenser les ménages vulnérables, sous forme de transferts forfaitaires.Recommandation 7. S’engager à affecter intégralement les recettes de toute nouvelle taxe environnementale, ou les hausses de recettes des taxes environnementales existantes, au financement d’une transition énergétique juste.
Il y a 2 ans et 300 jours

Les énergies renouvelables plus compétitives face au pétrole et au gaz, selon un rapport

"Aujourd'hui, les énergies renouvelables sont sans conteste la forme d'énergie la moins chère", assure Francesco La Camera, directeur général de l'IRENA, dans un communiqué."Les énergies renouvelables permettent aux économies de s'affranchir de la volatilité des prix et des importations de combustibles fossiles, réduisent les coûts énergétiques et renforcent la résilience du marché, et ce d'autant plus si la crise énergétique actuelle se poursuit", déclare-t-il encore.Selon l'IRENA, le coût de production des énergies renouvelables a encore baissé: en 2021, le coût de l'électricité produite par éoliennes a perdu 15%, 13% pour les éoliennes en mer et celui du photovoltaïque a baissé de 13%, par rapport à 2020.En revanche, le prix des énergies fossiles augmente, en particulier depuis le début de la guerre en Ukraine, la Russie étant un important producteur d'hydrocarbures. Les cours du pétrole ont pris environ 32% depuis le début de l'année et celui du gaz naturel européen a été multiplié par 2,5."L'exemple européen montre que les coûts du combustible et du CO2 pour les centrales à gaz existantes pourraient être en moyenne quatre à six fois plus élevés en 2022 que le coût du cycle de vie des nouvelles installations solaires photovoltaïques et éoliennes terrestres mises en service en 2021", indique l'organisation.Dans ce contexte de flambée du prix des énergies fossiles, "l'énergie renouvelable installée en 2021 permettra d'économiser environ 55 milliards de dollars sur les coûts mondiaux de production d'énergie en 2022", estime l'IRENA.À quelques mois de la COP27 en Égypte, le directeur général de l'IRENA rappelle également que les énergies renouvelables sont pour les Etats "un moyen abordable de se rapprocher de l'objectif zéro émission nette et de convertir leurs promesses climatiques en actions concrètes".L'Agence internationale de l'énergie (AIE) estimait dans un rapport publié en mai 2021 qu'il fallait abandonner dès maintenant les projets d'exploration pétrolière ou gazière pour espérer limiter le réchauffement climatique à 1,5°C.
Il y a 2 ans et 300 jours

Durieu et Thermacote : se protéger de la chaleur et du froid autrement

Éviter d’utiliser trop de climatisation ou trop de chauffage, ne pas gaspiller l’énergie, été comme hiver, ce n’est plus un vœu pieux, cela fait partie du quotidien. Il convient donc de se tourner vers des solutions qui vont permettre d’accompagner constructeurs, communes, particuliers… dans leur démarche d’économies d’énergie et donc d’isolation des habitats, du sol au toit en passant par les façades. Il est indispensable d’identifier les zones sensibles de chaque structure à isoler et d’offrir une solution optimum.Afin de déterminer quelle est la partie de l’habitat qui subit le plus les attaques de la chaleur ou du froid, il faut procéder au ratio toiture/façade qui permettra d’évaluer quelle partie est à privilégier en matière d’isolation.En général en présence :D’habitations individuelles, de sites industriels ou logistiques, de bâtiments commerciaux (magasins, centres commerciaux, bâtiments publics, écoles…) ou le dernier étage d’un immeuble : c’est la partie toit qui subit les « attaques » de température.D’immeubles d’habitation : ces sont les façades qui prennent toutes les variations de température. Dépendant de l’analyse de chaque cas, il faudra protéger le toit ou les façades. D’une bonne isolation découlera la bonne maîtrise des coûts énergétiques.Depuis une trentaine d’années aux États-Unis et un peu moins de 10 ans en Europe, les agréments cool roof et cool wall sont devenus de vrais labels garantissant une solide qualité d’isolation des murs et des toitures. Durieu avec THERMACOTE® offre une solution ultra technique aux propriétés étonnantes, agrémentée cool roof et cool wall.ThermaCote® en détails :Un concentré d’atouts :Haute concentration en extraits secs garantissant une efficacité optimale et une protection sur le long terme de tous les supports protégés.Une composition majoritaire en céramique (80 % de la peinture) qui apporte au revêtement protégé toutes les capacités isolantes couplées à la résistance aux fortes chaleurs de la céramique.ThermaCote® en action :3 spectres d’action combinés : Isolation thermique / Anti-humidité / Étanchéité à l’air : L’isolation thermique :Grâce à sa formulation spécifique THERMACOTE® agit comme une couverture de survie sur les supports. Il les enveloppe d’une couche protectrice qui en période froide, limite le passage de la chaleur vers l’extérieur en « renvoyant » la chaleur à l’intérieur du bâtiment et en période chaude permet la réflexion d’une partie la chaleur en dehors du support permettant ainsi de réduire sensiblement la température ressentie sur le support. Un support protégé avec du THERMACOTE® peut perdre plus de 20°C (de 60°C à 38°C).Anti-humidité :L’humidité est le premier ennemi de l’isolation car elle génère de l’infiltration dans les parois et entraîne la formation de condensation et de rouille. Une protection au THERMACOTE® permet de laisser respirer le support, en extrayant l’humidité tout en l’empêchant de rentrer.Étanchéité à l’air :L’infiltration ou la fuite d’air dans les supports est un gage de détérioration de l’isolation et l’application de THERMACOTE® évite ce phénomène. L’isolation est pérenne.Des atouts pour aller encore plus loinThermaCote® c’est aussi agir pour demain grâce à son action aujourd’hui :En Europe et dans le monde :À Los Angeles, THERMACOTE® fait partie avec l’État de Californie et d’autres industriels, d’un groupe d’expérimentation et de recherche visant à protéger toutes les surfaces bitumes ou béton au sol (routes, parking, …) afin de limiter l’effet d’ilots de chaleur urbains qui empêchent les températures urbaines de diminuer.En France et au-delà de la métropole (Réunion, Martinique & Guadeloupe), THERMACOTE® est en test pour l’étude du revêtement de plusieurs bâtiments publics : toitures, chaussées afin de limiter les effets d’ilots de chaleur.ThermaCote® : protéger les habitations et maîtriser les coûts d’énergie aujourd’hui, pour vivre mieux demain.
Il y a 2 ans et 300 jours

Retour à la normale pour l'immobilier d'entreprise au 2ème trimestre 2022

Marché des bureaux en Ile-de-France : un 2ème trimestre animé par le besoin de centralitéMalgré un environnement économique et géopolitique plus dégradé, le marché des bureaux en Ile-de-France poursuit son retour à la normale avec 1 008 400 m² placés depuis le début de l’année (+ 24 % sur un an et - 2 % comparé à la moyenne décennale). L’activité au 2ème trimestre demeure solide avec 496 800 m² placés (+ 9 % sur un an et - 3 % par rapport à la moyenne décennale). Les petites surfaces, qui ont été le premier créneau de surfaces à redémarrer après la crise, continuent d’afficher un très bon dynamisme.« Après deux années chahutées, les indicateurs d’activité sont au vert sur ce 1er semestre 2022. Le bureau reste aujourd’hui un outil d’attractivité et de rétention des talents dans un marché de l’emploi en tension. Pour y répondre, de nombreuses entreprises, ayant pris à bail au cours de ce 1er semestre, ont misé sur la centralité et la modernisation des espaces de travail » déclare Alexandre Fontaine, Executive Director Bureaux Ile-de-France. Il ajoute cependant : « Le corollaire de cette tendance : certains secteurs loin des transports en commun et / ou en manque d’attractivité sont délaissés par les utilisateurs ». L’offre immédiate se maintient toujours au-dessus de la barre des 4 millions de m². « La dichotomie du marché des bureaux transparaît également dans les évolutions de la vacance. L’offre immédiate se réduit dans les quartiers les plus centraux et à La Défense. En revanche, elle continue de progresser dans certaines zones de 1ère Couronne. » ajoute Alexandre Fontaine.Nous restons cependant confiants pour ce 2nd semestre 2022. L’activité devrait continuer de se maintenir, avec une confirmation de la reprise des transactions > 5 000 m².Investissement : performance au rendez-vous malgré le contexte incertain. Malgré un contexte économique et géopolitique chahuté, le 1er semestre affiche une bonne performance avec 11,5 Mds€ investis en immobilier d’entreprise en France, soit + 30 % par rapport à un S1 2021 qui avait été particulièrement limité. Les signatures se sont faites sur des taux de rendement toujours relativement bas, avec toutefois une hausse perceptible dès la fin de ce 2ème trimestre.En effet, les nouvelles négociations en cours témoignent d'un changement de donne : les remontées des taux obligataires et du coût de l’argent commencent à faire sentir leurs impacts sur l’immobilier et il n'est pas rare de voir se modifier les conditions de financement et d’acquisition, entre la due diligence et la signature.« Face à ces perturbations, les acheteurs, qui évoluent dans un climat de fortes incertitudes financières, sont en train d'opérer des corrections de prix et de stratégies d’acquisition, dont il est encore difficile d'appréhender toutes les dimensions ». Nicolas Verdillon, Managing Director Investment Properties.Pour le semestre à venir, nous pensons que le marché devrait ralentir pour permettre aux investisseurs de mieux appréhender les zones d’atterrissage du repricing. Cependant, l'appétit pour l'immobilier demeure présent, les liquidités sont là : « Aussi, on peut espérer une réaction rapide et pragmatique du marché qui devra essayer d'ici la fin de l'année de trouver son équilibre entre le nouvel environnement financier (les taux), sociétal (nouveaux modes de travail et changements politiques) et environnemental (ESG). Dans ce marché étroit, l’ajustement des ambitions des vendeurs à ces enjeux sera également un élément clé de retour à la fluidité du marché » Nicolas Verdillon, Managing Director Investment Properties.
Il y a 2 ans et 300 jours

« Le Square » : nouveau lieu de référence pour les solutions « menuiserie métal » signé Reynaers Aluminium et Forster

Un showroom unique en plein centre de ParisSitué en plein centre de Paris, au 46 rue Chanzy dans le 11ème, ce lieu de découvertes et d’échanges est une vitrine ouverte sur les gammes de Reynaers Aluminium, de Forster et de celles de marques partenaires qui ont fait le choix de s’associer à la démarche.Plus de 300m2 ouverts aux Architectes et aux Professionnels Situé à proximité des plus grands cabinets d’architecture, « LE SQUARE » est un lieu d’exposition, de conception et d’échange de plus de 300m2 dédié aux architectes, bureaux d’études, et autres professionnels de la construction. Dès son arrivée, le visiteur est plongé dans un espace lumineux, structuré, chaleureux et rassurant qui invite à la découverte. L’espace organisé autour de circuits de visite clairs où la mise en scène des produits garantit une excellente compréhension de l’offre. Spacieux et convivial ce showroom permet d’orienter les visiteurs vers deux zones dédiées, l’une pour les menuiseries en aluminium et l’autre vers les menuiseries acier. Maîtres d’ouvrage, architectes, bureaux d’études, économistes et professionnels découvriront tout un univers de solutions constructives et d’aide à la décision pour le bâtiment tertiaire, le commerce, l’habitat individuel et collectif, en neuf comme en rénovation. « LE SQUARE » met en valeur le savoir-faire des deux sociétés à travers de menuiseries exposées en configuration réelle valorisant les tendances actuelles en termes de clair de vitrage, de finesse des structures, de fonctionnalité et de sécurité. Au croisement des tendances architecturales et des solutions techniques Conscient que l’exigence est multiple, le SQUARE a été conçu dans l’objectif de proposer un large panel de solutions qui répondent en tous points aux exigences architecturales actuelles et à venir. Les visiteurs pourront profiter des conseils et des solutions présentées pour obtenir les réponses adéquates en termes de clair de vitrage, de grande dimension, de performances thermique et acoustique, de réglementation énergétique 2020, de protection des biens et des personnes, de retardement au feu et de protection contre les incendies.Lieu d’échanges et de travail Pensé pour faciliter la découverte des produits et en réponse aux besoins des architectes, « LE SQUARE » comprend différentes zones telles que des espaces de présentation, un atelier de conception et des salles de réunion permettant d’échanger et de travailler sur les projets architecturaux les plus variés. Le bâtiment combine expression du savoir-faire et exposition des produits, en toute subtilité et élégance. Ces différents espaces permettent d’offrir une totale polyvalence de configuration pour l’organisation de différents événements.Lieu dédié à un univers de solutions techniques et de services multi dimensionnel Afin d’apporter une réponse complète aux différents intervenants dans l’acte de construire, Reynaers Aluminium et Forster ont pensé et ouvert les portes de cet espace à des industriels complémentaires. Sur simple demande de rendez-vous, les prescripteurs et les professionnels pourront venir à la rencontre des spécialistes de Reynaers Aluminium, de Forster et des partenaires associés, tous spécialistes de leur domaine d’activité. Que ce soit pour le vitrage, les finitions, la protection solaire et la sécurité, les architectes, les bureaux d’études, les économistes de la construction et les maitres d’ouvrage peuvent bénéficier d’un espace de démonstration et d’échanges permettant d’étudier les projets les plus audacieux.Liste des partenaires avec leurs spécialités :AGC – vitrages résistants au feu Assa Abloy – solutions d’ouvertures de portesAxalta – technologie de peintures hautes performancesBandalux – solutions de contrôle solairedormakaba – solutions pour sécuriser l’accès aux bâtimentseffeff Assa Abloy – solutions de verrouillage et de gestion de portesRiou Glass – vitrages design et de sécuritéSonolaque – solutions de traitement de surface des métauxVitrumGlass – vitrages chauffants et intelligentsVetrotech – vitrages de sécuritéLieu de vie et de partage Outre sa fonction primaire, « le Square » ambitionne également de créer une certaine dynamique au travers de manifestations et d’événements sur des thématiques telles que l’art, le sport, la gastronomie, l’environnement ou encore la musique.L’idée sous-jacente à cette approche est d’associer le monde de la construction à différents univers culturels afin de positionner Reynaers Aluminium et Forster en tant qu’acteurs engagés et éclectiques.
Il y a 2 ans et 300 jours

Bluetek équipe les Caves Richemer

Une cave mondialement connueHistoriquement basées à Marseillan (34) entre la Méditerranée, le Canal du Midi et la Lagune de Thau, les Caves Richemer sont une coopérative agricole depuis les années 1930. La coopérative réunit 200 vignerons dont les cépages représentent une surface totale de 1 000 hectares. Réputée sur le territoire et au-delà de nos frontières, la cave coopérative est connue pour la qualité de ses vins blancs (65 % de sa production) rosés et rouges régulièrement primés.L’œil avisé d’un architecte spécialiséFort de cette réussite commune qui ne cesse de croître depuis plus de 90 ans, la coopérative a décidé d’optimiser son flux de production par la construction d’un nouveau bâtiment au sein de la même commune. La coopérative s’est appuyée sur les compétences de David Sabourdy, fondateur du cabinet SBY Architecture situé à Jacou (34), spécialisé dans les projets d’immobiliers d’entreprise, de santé et d’éducation, mais également dans l’activité vinicole depuis plus de 15 ans. Le regard avisé de l’architecte, l’a conduit à imaginer une construction respectant l’ordre de la production des vins Richemer par la forme circulaire de l’édifice.Un bardage partiel en parements compositeTout en rondeur, la forme extérieure du bâtiment a été pensée à l’image de vins de la cave coopérative. Le bâtiment a bénéficié d’une ITE sur ses 4 000 m2 de façades. Ces dernières ont été revêtues de bardage dont la moitié de la surface totale (soit 2 000 m2) avec les Parements Composite Aluminium de BLUETEK fixés sur ossature métallique.Les parements de bardage BLUETEK se composent de deux plaques en aluminium unis (ou avec effets de matières) solidarisées par une âme en résine thermoplastique (disponibles en différentes dimensions avec une épaisseur unique de 4 mm). Le chantier a nécessité des parements d’une largeur unique de 1 500 mm et de trois longueurs de 4 000, 4 100 et 4 300 mm. Parti pris de l’architecte, le choix du gris (référence coloris BLUETEK : DECOR9006) qui enveloppe plus de 90% du bâtiment et du rouge (référence coloris BLUETEK : DECOR3004).Des lanterneaux avec une isolation renforcée en toitureLe toit terrasse de la nouvelle construction est également équipé de 29 lanterneaux de désenfumage Bluesteel Therm Pneu et Bluesteel Therm DV Pneu de BLUETEK. Répartis sur les 7 000 m2 du toit, les lanterneaux apportent la luminosité naturelle intérieure nécessaire à l’exploitation du site tout en complétant efficacement son isolation, indispensable au maintien de la température de la cave tout au long de l’année. Les lanterneaux offrent un URC moyen de 1,5 W/m2K selon les modèles. Actionnés par un système de vérins, ils disposent également d’une commande manuelle déportée et de capteurs qui déclenchent automatiquement leur ouverture dès que la température intérieure atteint 93°C en cas d’incendie.Une cave à bonne température+ L’isolation de la nouvelle cave Richemer combinée aux groupes froids qui équipent chacune des cuves permet de maintenir la température idéale dans l’édifice, toute l’année, sans faire appel à un système de climatisation rapportée.Une sécurité incendie complétée par des écrans de cantonnementQuant à l’équipement intérieur relatif à la sécurité incendie, la nouvelle cave a été dotée de deux écrans de cantonnement Smoke Fix de Bluetek, L30 et L40, (dimensions en ml : 30 X 2 et 20 X 2) en toile souple et résistante (densité : 0,4450 KG/m2), à base de fibre de verre, affichant une réaction au feu classée A2 s1 d0. C’est au total 80 m2 de surface qui ont été installés pour contenir les fumées.
Il y a 2 ans et 300 jours

Classement des Promoteurs 2022 : ID&AL groupe, lauréat « Rénovation / Résidentiel »

ID&AL groupe intègre par ailleurs le TOP 10 des meilleures progressions de volume d'affaires global réservé.Grâce à son projet de réhabilitation d'une résidence hôtelière située en première ligne face à l'océan à Lacanau, ID&AL groupe se distingue parmi 19 autres acteurs de la promotion immobilière récompensés par Innovapresse pour des opérations jugées les plus remarquables de l'année écoulée et/ou des initiatives exemplaires.Promu dans la catégorie « Rénovation / Résidentiel » du Classement des Promoteurs d'Innovapresse, le programme L'OYAT d'ID&AL groupe propose la préservation et l'embellissement d'un bâti bénéficiant d'un emplacement extraordinaire. Située en front de mer de Lacanau et repensée dans son intégralité par ID&AL groupe, la résidence hôtelière à l'abandon – de 33 chambres et un restaurant –s'inscrit dans un programme de 22 appartements, allant du studio au 4 pièces, avec terrasse et parking.Son principe de construction vise la création d'une nouvelle volumétrie par la conservation des espaces existants et la suppression des artifices extérieurs. Résultat : des surfaces habitables allant de 26 à 116 m² répondant à tous les besoins (résidence secondaire, semi principal ou investissement locatif saisonnier), des appartements bénéficiant en grande majorité d'aperçus forêt, ville ou vues océan, et un bâtiment R+2, moderne et élégant.Un challenger à la performance remarquableLe Classement des Promoteurs propose chaque année une analyse comparée de l'activité et de la structure des principaux groupes de promotion. Dominé par Nexity, Altarea, Vinci Immobilier et Bouygues Immobilier, le Top 20 des plus importants volumes d'affaires globaux réservés - catégorie "star" du Classement - évolue peu cette année. Toutefois, l'organisation note une réduction des écarts entre les différents acteurs du marché.À l'occasion de ce millésime 2022 de son palmarès, Innovapresse a tenu également à souligner les meilleures progressions en volume d'affaires global réservé. Passant de 91 millions d'euros en 2020 à 143,5 millions d'euros en 2021 (+57,7%), ID&AL groupe se distingue une fois encore en se classant 7e du Top 10 des acteurs ayant enregistré une progression de plus de 50%.En savoir plus sur le Classement des Promoteurs.