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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Batinfo

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Il y a 2 ans et 300 jours

Classement des Promoteurs 2022 : ID&AL groupe, lauréat « Rénovation / Résidentiel »

ID&AL groupe intègre par ailleurs le TOP 10 des meilleures progressions de volume d'affaires global réservé.Grâce à son projet de réhabilitation d'une résidence hôtelière située en première ligne face à l'océan à Lacanau, ID&AL groupe se distingue parmi 19 autres acteurs de la promotion immobilière récompensés par Innovapresse pour des opérations jugées les plus remarquables de l'année écoulée et/ou des initiatives exemplaires.Promu dans la catégorie « Rénovation / Résidentiel » du Classement des Promoteurs d'Innovapresse, le programme L'OYAT d'ID&AL groupe propose la préservation et l'embellissement d'un bâti bénéficiant d'un emplacement extraordinaire. Située en front de mer de Lacanau et repensée dans son intégralité par ID&AL groupe, la résidence hôtelière à l'abandon – de 33 chambres et un restaurant –s'inscrit dans un programme de 22 appartements, allant du studio au 4 pièces, avec terrasse et parking.Son principe de construction vise la création d'une nouvelle volumétrie par la conservation des espaces existants et la suppression des artifices extérieurs. Résultat : des surfaces habitables allant de 26 à 116 m² répondant à tous les besoins (résidence secondaire, semi principal ou investissement locatif saisonnier), des appartements bénéficiant en grande majorité d'aperçus forêt, ville ou vues océan, et un bâtiment R+2, moderne et élégant.Un challenger à la performance remarquableLe Classement des Promoteurs propose chaque année une analyse comparée de l'activité et de la structure des principaux groupes de promotion. Dominé par Nexity, Altarea, Vinci Immobilier et Bouygues Immobilier, le Top 20 des plus importants volumes d'affaires globaux réservés - catégorie "star" du Classement - évolue peu cette année. Toutefois, l'organisation note une réduction des écarts entre les différents acteurs du marché.À l'occasion de ce millésime 2022 de son palmarès, Innovapresse a tenu également à souligner les meilleures progressions en volume d'affaires global réservé. Passant de 91 millions d'euros en 2020 à 143,5 millions d'euros en 2021 (+57,7%), ID&AL groupe se distingue une fois encore en se classant 7e du Top 10 des acteurs ayant enregistré une progression de plus de 50%.En savoir plus sur le Classement des Promoteurs.
Il y a 2 ans et 300 jours

Knauf Ceiling Solutions lève le voile sur Adagio, sa nouvelle gamme minérale de plafonds

Certifiée Cradle to Cradle Silver et Gold pour la qualité de l’air, la gamme se décline sous quatre solutions, à poser seules ou à combiner selon les effets escomptés, afin d’offrir un large éventail de performances acoustiques selon les besoins de l’espace :ADAGIO ACOUSTIC+ADAGIO ALPHA+ADAGIO dB+ADAGIO HD+ (disponibles en 19, 30 et 35 mm).Dans une salle de classe, une cafétéria, une bibliothèque, un open-space ou encore une salle de réunion, les besoins convergent vers un même objectif : le confort des occupants pour leur rendre le quotidien agréable. Dotés des plafonds ADAGIO, ils permettent de vivre une nouvelle expérience.Avec une finition plus lumineuse et plus blanche, ADAGIO maximise la réflexion de la lumière et inonde les espaces de lumière naturelle et de chaleur. Un gage de bien-être et une source d’économie d'énergie. La flexibilité créative au service de l’émotion reste l’une des priorités de KNAUF CEILING SOLUTIONS pour permettre aux architectes, designers d’intérieur et agenceurs de signer des espaces uniques et emblématiques. Hautement résistant, ADAGIO est conçu pour des intérieurs durables.Des solutions blanches et lumineuses : sérénité et économiesSynonyme d’espaces épurés, la gamme ADAGIO permet de créer de beaux espaces grâce à sa surface blanche lisse. Sa finition blanche et brillante réfléchit 90 % de la lumière, illuminant ainsi les espaces d’une lumière naturelle et chaleureuse, porteuse de bonne humeur. Le faible taux de brillance renforce la sensation d’uniformité et procure une atmosphère élégante. L’optimisation de la réflexion de la lumière participe également à la réduction de l’usage de lumière artificielle, offrant jusqu’à 16 % d’économies d’énergie.De hautes performances acoustiques pour une atmosphère paisibleA l’instar de la lumière, le son participe pleinement à la réalisation d’un environnement sain et agréable. La gamme ADAGIO se distingue par une absorption acoustique de classe A (0,90 αw) avec des niveaux d‘atténuation latérale à 42 dB afin d’améliorer la confidentialité entre les espaces adjacents. ADAGIO offre une acoustique optimale pour chaque zone d’application, garantissant la confidentialité d’un échange dans un bureau privé ou améliorant l’intelligibilité et la concentration dans les open-spaces ou les salles de classe.Des choix esthétiques pour nourrir l’imaginationVisuellement saisissante, ADAGIO s’adapte, se configure, se combine, pour aider à imaginer de nouvelles possibilités et donner vie à la vision des architectes. Large choix de formes et de dimensions…, la gamme se caractérise également par une riche palette de détails de bords apparents, semi-cachés ou entièrement cachés, afin de créer des plafonds toujours plus contemporains.Des surfaces qui résistent à l’épreuve du tempsQualité, fiabilité et durabilité, tels sont les maîtres-mots des plafonds ADAGIO qui font face aux exigences du quotidien. Leur surface, plus résistante aux rayures, se nettoie aisément et offre une utilisation prolongée. Les bords renforcés, entièrement peints, facilitent le montage et réduisent le risque d’endommagement. Les poseurs de dalles n’appréhenderont plus la casse de matériel !
Il y a 2 ans et 301 jours

Pour refroidir ses monuments, Paris mise sur la Seine

Avec des vagues de chaleur toujours plus fréquentes, Paris souhaite agrandir son réseau méconnu de "froid urbain" pour maintenir à bonne température ses monuments grâce à l'eau de la Seine.La ville Paris, qui ambitionne de devenir "le plus gros réseau mondial de froid" d'ici 2040, a signé un contrat d'une durée de 20 ans avec le groupe énergétique Engie, qui détient 85% des parts de la société Fraîcheur de Paris, et la RATP, qui possède les parts restantes."Tous les arrondissements seront desservis en 2042", annonce Dan Lert, adjoint à la maire de Paris en charge de l'eau.Développer le réseau de froid permet d'éviter le recours à "l'usage intense" de la climatisation individuelle, gourmande en électricité et émettrice de gaz à effets de serre.Christophe Ladaurade, directeur commercial chez Engie, propose avec la mairie de s'en tenir à "un écart de 5 à 8 degrés entre l'extérieur et l'intérieur", comme le permet de réseau de froid.A l'avenir, ce réseau de froid circulera dans tous les hôpitaux parisiens, certaines écoles et dans des stations de métro.Sur la rive droite du pont des Invalides, un discret escalier en colimaçon mène au "Canada" --comme la place éponyme où il se situe-- une station de refroidissement de l'eau à quarante mètres de profondeur, où se situe un dédale de pompes et tuyaux verts, bleus et gris.Sur l'un des quatre niveaux de cette station, entrée en service en 2008, l'eau de la Seine est filtrée, puis descend dans d'autres tubes où une paroi la sépare du circuit fermé de refroidissement.Cycle vertueuxA l'étage du dessous, une pompe met sous pression un groupe frigorigène afin de refroidir l'eau et l'injecte dans le circuit souterrain. Le système fonctionne en quasi autonomie, piloté par deux techniciens à distance, depuis une centrale située près de la gare de Lyon.Contrairement au chauffage urbain de Paris, le refroidissement par eau s'adresse en majorité à des sites d'activités tertiaires, et non à des logements ou à des particuliers."Nos clients sont des immeubles de bureaux, des centres commerciaux, des musées, des institutions ou encore des hôtels", résume Benoit Reydellet, directeur du projet Fraîcheur de Paris.Le musée du Louvre, l'Assemblée nationale ou encore les studios de Radio France sont ainsi maintenus au frais, en partie, grâce à l'eau de la Seine. Le système fonctionne toute l'année, puisque les grands magasins ou les musées ont besoin de garder des pièces au frais et de veiller au taux d'humidité ambiante.L'hiver, la centrale du Canada peut recourir au système du "free cooling", qui lui permet de produire du froid sans consommer d'électricité en mettant "directement l'eau de la Seine en contact de l'eau du réseau", explique M. Reydellet.Le concessionnaire s'est engagé à développer de 2% à 11% cette production vertueuse, ce qui représente un gain énergétique d'un an sur les vingt prochaines années, la durée du nouveau contrat de concession, souligne-t-il.Le mégawattheure de froid est facturé 137 euros aux clients. Du propre aveu de M. Reydellet, "c'est assez cher, mais bien plus vertueux que le froid produit par les installations autonomes" comme les climatiseurs.Et la tuyauterie de froid permet aux clients de retirer de leurs toits les grilles et autres aérations des climatiseurs, afin de disposer de toute la toiture.Quant à l'eau utilisée, chauffée par la centrale qui en a extrait le froid, elle finit par retrouver le fleuve à travers quatre discrètes voies d'évacuation. Les quelques degrés d'écart avec la température ambiante n'ont pas "d'impact sur la faune et la flore" de la Seine, rassure Benoit Reydellet.
Il y a 2 ans et 301 jours

La hausse du taux du Livret A pourrait mettre en difficulté les HLM

Comment le Livret A finance le logement social ?Une partie importante du Livret A est confiée, avec d'autres produits d'épargne (Livret de développement durable et solidaire, Livret d'épargne populaire), à la Caisse des dépôts et consignations (CDC).Celle-ci est tenue par la loi de dédier ces ressources en priorité à des prêts finançant le logement social et la politique de la ville, via sa filiale la Banque des territoires.Ces prêts sont octroyés pour des durées très longues, qui peuvent aller jusqu'à 80 ans.Au total, près de 80% de la dette des bailleurs sociaux est détenue par la CDC.Fin 2021, 170,7 milliards d'euros étaient affectés par la CDC au financement du logement social et de la politique de la ville, dont 11,8 milliards débloqués dans l'année.Cette somme a permis de construire 85.300 logements sociaux en 2021, et d'en réhabiliter 81.600.Que se passe-t-il si le taux augmente ?"L'impact de la hausse du Livret A est non négligeable", glisse-t-on dans l'entourage du ministre délégué au Logement, Olivier Klein.Le gros des prêts contractés par les bailleurs sociaux est en effet à taux variable, c'est-à-dire que les intérêts qu'ils doivent rembourser augmentent ou baissent en fonction du taux du Livret A."Cependant, nous avons des garde-fous", assure-t-on au ministère. "Le modèle français de financement du logement social par le Livret A va protéger (les bailleurs sociaux, NDLR) d'un impact direct de la hausse des taux, puisque les prêts de la Banque des Territoires vont rester attractifs.""A très court terme, l'impact va être limité; à plus long terme, cela dépend du temps que durera cette augmentation", assure Clément Lecuivre, directeur général de CDC Habitat, bailleur social filiale de la CDC.Manuel Domergue, directeur des études de la Fondation Abbé Pierre, y voit un risque d'autant plus grand que les bailleurs sociaux ont beaucoup emprunté ces dernières années."Quand le taux était bas, ça a permis aux bailleurs sociaux de s'endetter à bas coût, donc c'était quelque chose d'assez intéressant pendant des années, et là, la remontée des taux a des effets assez coûteux pour les bailleurs sociaux, et ce n'est sûrement que le début", ajoute M. Domergue.Comment les bailleurs sociaux s'adaptent ?Ils vont fatalement devoir faire des arbitrages."Si le taux continue d'augmenter, ça va limiter les capacités d'investissements nouveaux des bailleurs", prévient Marianne Louis, directrice générale de l'Union sociale pour l'habitat (USH) qui représente les bailleurs sociaux."Moins de capacité d'investissement, c'est moins de constructions, moins de rénovations... c'est un peu ça, le sujet", dit-elle.Avec les obligations de rénover les passoires thermiques sous peine de ne plus pouvoir les louer, c'est plutôt sur la construction que vont se faire les économies, prévient-elle.Autant d'embûches supplémentaires pour les quelque 2,3 millions de personnes en attente d'un logement social.Avec un passage de 1% à 2%, "on a 1,5 milliard (de charges par an, NDLR) de plus. Et là, c'est, en gros, 70.000 réhabilitations perdues", calcule de son côté Didier Poussou, directeur général de la Fédération des entreprises sociales pour l'habitat, les bailleurs sociaux privés.Que peuvent faire les pouvoirs publics ? Ils sont face à un dilemme. En période d'inflation, augmenter trop peu le taux du livret A, prisé des petits épargnants, risquerait de les en détourner, et donc d'assécher la manne qui finance le logement social.Mais l'augmenter alourdit les coûts de fonctionnement des bailleurs sociaux.Pour éviter de choisir, il faudrait que l'Etat mette la main à la poche."La solution, c'est d'assumer qu'avoir un parc HLM qui répond à tout ce qu'on lui demande, (...) ça coûte de l'argent public", cingle Manuel Domergue, rappelant les économies imposées aux bailleurs sociaux lors du premier mandat d'Emmanuel Macron."C'est comme quand vous achetez un appartement: si les taux d'intérêt sont élevés, il faut augmenter votre apport", détaille Marianne Louis. "Donc la part +argent gratuit+. Est-ce qu'on est capables, demain, d'augmenter les aides à la pierre? C'est ça, la question."
Il y a 2 ans et 301 jours

Le recul d’activité dans les matériaux se modère en mai

La flambée des coûts de l’énergie, rajoutée aux tensions sur l’offre déjà attisées par le rebond d’activité post COVID, a eu pour conséquence de faire bondir les coûts de production dans le bâtiment et les travaux publics. Même si les carnets demeurent bien remplis, plus dans le gros œuvre que dans les TP d’ailleurs, les chantiers peinent à se réaliser, faute de facteurs de production disponibles côté entrepreneurs et/ou faute de financements suffisants côté clients, qu’ils soient publics ou privés. Cette complexité à boucler l’équation coûts-prix-devis pèse sur la demande de matériaux qui pourrait au final afficher un repli en 2022, prolongeant ainsi la tendance observée au cours des trois derniers mois sur le marché du granulat et du BPE. Mai, meilleur qu'avril, mais moins bon qu'en 2021 Selon les résultats encore provisoires pour le mois de mai, la production de matériaux se serait redressée par rapport à avril, un mois marqué par un repli sensible de l’activité. Ainsi, la production de granulats aurait augmenté de +1,6% mais demeure en retrait de -4% par rapport à celle de mai 2021 (données CVS-CJO). Sur les trois derniers mois connus, l’activité des granulats observe un repli de -4,9% comparé aux trois mois précédents et de -4,6% au regard de la même période d’il y a un an. En cumul sur les cinq mois de l’année, la tendance s’inscrit sur une pente négative de -1,5%, soit un rythme un peu moins élevé que celui de la tendance calculée sur les douze derniers mois (-1,8%). Du côté du BPE, les livraisons de mai ont également grimpé par rapport à avril (+3,1%) mais s’affichent en deçà de celles de mai 2021 (-2%). Au cours du trimestre mars-avril-mai, les volumes de BPE livrés ont cédé -3,8% par rapport aux trois mois précédents et -5,4% par rapport au même trimestre de l’année 2021. En cumul sur les douze derniers mois, l’activité du béton se replie désormais de -3,2% sur un an, tandis que sur les cinq premiers mois de l’année, le recul atteint -1,8%. L'indicateur matériaux de l'UNICEM connaît lui aussi un fléchissement en mai plus modéré qu’en avril, avec, respectivement, un recul de -2,7% contre -8,7% sur un an (données CJO). Après un premier trimestre en hausse de +1,4% en glissement annuel, l’activité du panier de matériaux de l'UNICEM se contracte désormais de -1,6% sur un an pour les cinq premiers mois de l’année, seul le segment des tuiles et briques demeurant haussier sur la période, sans doute porté par la dynamique constructive de la maison individuelle. Chiffres clés Perspectives 2020/2021 (production) Granulats : - 4% BPE : - 3% Bâtiment et TP : Tensions sur l'offre et les coûts Interrogés en juin par l’INSEE, les professionnels du bâtiment se sont montrés un peu moins optimistes sur leur activité future mais leur opinion sur l’activité passée s’est à nouveau améliorée, maintenant ainsi l’indicateur du climat des affaires à haut niveau. Les carnets de commandes se situent toujours à un point historiquement élevé dans le gros œuvre (9,8 mois) et le ressenti des professionnels quant à ces carnets demeure très favorable et largement au-dessus de la moyenne de long terme, ce qui écarte l’hypothèse de carnets artificiellement gonflés par des retards et difficultés de réalisation des chantiers. Pour autant, ces dernières restent prégnantes et près de la moitié des entreprises de gros œuvre (48,6%) sont encore dans l’incapacité d’accroître leur production (une part en léger repli par rapport au mois de mai à 57,4%) tandis que 72% d’entre elles sont confrontées à des obstacles qui limitent leur activité (personnel, approvisionnement...). On notera toutefois que la part des entreprises du bâtiment faisant face à des difficultés d’offre se stabilise en juin, voire se modère, à l’inverse de celles faisant face à des difficultés de demande dont la part, après avoir atteint un point bas, tend à se redresser. Il faut peut-être y voir les premiers signes des effets du renchérissement du coût des chantiers et des difficultés à conclure le démarrage de travaux. L’inflexion récente des mises en chantier de logements pourrait confirmer cette assertion. En effet, sur les trois derniers mois allant de mars à mai, les logements commencés ont stagné par rapport aux trois mois précédents, déjà en recul (CVS-CJO), laissant la tendance à -5% sur un an. C’est le segment du collectif qui marque le plus le pas (-16% sur le trimestre) tandis que, du côté de l’individuel, la dynamique reste enclenchée (+12%). Au total, à fin mai et en cumul sur un an, un peu plus de 388.000 logements ont été commencés, soit +0,5% en glissement annuel. En revanche, la vigueur des permis ne se dément pas même si depuis avril le flux se modère nettement : en effet, l’anticipation de la RE2020 a généré une abondance de dépôts fin 2021 qui, compte tenu des délais d’instruction (d’environ trois mois pour l’individuel) a boosté les autorisations au premier trimestre. A fin mai, 502.800 logements étaient autorisés sur un an (dont 46% en collectifs), soit +16,4% par rapport à l’année précédente. Mais sur les trois derniers mois (mars à mai), le rythme fléchit sensiblement sur l’individuel par effet de contrecoup (-11,9% par rapport au trimestre précédent) à la différence du collectif encore soutenu (+16,6%). Ce stock de permis, qui préfigure les futurs chantiers, devrait alimenter la demande de matériaux au moins sur 2022-début 2023 sauf si les pesanteurs actuelles continuent de limiter l’ouverture des travaux et d’en freiner les délais de réalisation. Côté non résidentiel, le rebond des permis et mises en chantier reste quant à lui bien engagé et constitue un facteur de soutien plutôt encourageant. Avec 27 millions de m2 de locaux commencés à fin mai sur un an (+8,3%), le rythme de progression s’est accéléré sur les trois derniers mois (+20,2%), permettant de renouer avec les niveaux d’avant la pandémie. Quant aux surfaces autorisées, elles s’inscrivent sur une tendance de +10% sur les trois derniers mois, les ouvrages commerciaux (+66,7%), industriels (+32,1%) ou encore les bureaux (+22,4%) affichant les plus fortes accélérations. Le tableau apparaît un peu plus sombre côté travaux publics où l’activité a également connu un freinage depuis mars. En dépit d’un mois de mai mieux orienté, les travaux réalisés en cumul depuis janvier se stabilisent sur un an en valeur mais ressortent en repli de -8,6% en volume. De même, les prises de commandes, bien qu’en hausse de +4,6% en valeur sur la même période, basculent en baisse de -4,8% en volume, une fois corrigées de l’inflation des coûts (par l’indice TP01). Alors que les conditions étaient réunies pour un réveil des carnets (cycle électoral, Plan de relance...), l’atonie de la commande publique éloigne encore la perspective de redémarrage des travaux. Perspectives matériaux 2022 Dans le bâtiment comme dans les TP, les contraintes d’offre, l’inflation des coûts, des prix et des devis pèsent donc sur le volume des chantiers en cours ou à réaliser ce d’autant que le stock de commandes peine à s’étoffer, comme pour les travaux publics. Ce faisant, l’ajustement de la demande de matériaux devrait être plus marqué côté granulats que BPE : initialement attendue autour de +1% en 2022, l’activité des granulats pourrait se replier de - 4% tandis que les volumes de BPE, qui devaient se stabiliser à leur haut niveau de 2021, enregistreraient un recul de -3%.
Il y a 2 ans et 301 jours

Alerte canicule : les bons réflexes pour se protéger lors des fortes chaleurs sur les chantiers

Sur son site internet preventionbtp.fr, l’Organisme met à disposition des professionnels une boîte à outils regroupant l’ensemble des ressources utiles pour assurer leur sécurité dans ces conditions de travail extrêmes (vidéos, affiches, questions/réponses, solutions...).Ils y retrouveront notamment toutes les mesures préventives à prendre sur les chantiers :Vérifier quotidiennement la météo afin d’évaluer le risque au jour le jour,Adapter les horaires de travail et son habillement,S’hydrater régulièrement et en quantité suffisante (au moins 3 litres d’eau par jour)Adopter une vigilance accrue et partagée au sein des équipes, et apprendre à reconnaître le coup de chaleur.
Il y a 2 ans et 301 jours

Les énergies renouvelables demeurent rentables dans le contexte de la crise des combustibles fossiles

Les coûts des énergies renouvelables ont poursuivi leur baisse en 2021, les défis de la chaîne d'approvisionnement et la hausse des prix des matières premières n'ayant pas encore produit tous leurs effets sur les coûts des projets. Le coût de l'électricité produite par l'éolien terrestre a baissé de 15%, l'éolien offshore de 13% et le solaire photovoltaïque de 13% par rapport à 2020.Renewable Power Generation Costs in 2021, publié aujourd'hui par l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA), montre que près des deux tiers, soit 163 gigawatts (GW), de l'énergie renouvelable nouvellement installée en 2021 ont un coût inférieur à celui de la solution au charbon la moins chère du monde au sein du G20. Selon l'IRENA, compte tenu des prix élevés des combustibles fossiles, l'énergie renouvelable installée en 2021 permettra d'économiser environ 55 milliards de dollars sur les coûts mondiaux de production d'énergie en 2022.Le nouveau rapport de l'IRENA confirme le rôle essentiel que jouent les énergies renouvelables à des coûts compétitifs pour répondre aux urgences énergétiques et climatiques actuelles en accélérant la transition vers le respect de la limite de réchauffement de 1,5 °C et des objectifs de l'Accord de Paris. L'énergie solaire et l'énergie éolienne, avec leurs délais de réalisation relativement courts, constituent des composantes essentielles dans les efforts des pays pour réduire rapidement, et à terme éliminer progressivement, les combustibles fossiles et limiter les dommages macroéconomiques qu'ils causent dans la poursuite de l'objectif zéro émission nette. « Aujourd'hui, les énergies renouvelables sont sans conteste la forme d'énergie la moins chère », a déclaré Francesco La Camera, directeur général de l'IRENA. « 2022 illustre parfaitement à quel point la production des énergies renouvelables est devenue économiquement viable. Les énergies renouvelables affranchissent les économies de la volatilité des prix et des importations de combustibles fossiles, réduisent les coûts énergétiques et renforcent la résilience du marché, et ce d'autant plus si la crise énergétique actuelle se poursuit. » Il ajoute : « "Si une réponse temporaire à la crise peut s'avérer nécessaire dans la situation actuelle, les excuses pour modérer les objectifs climatiques ne tiendront pas à moyen et long terme. La situation actuelle nous rappelle de manière brutale que les énergies renouvelables et les économies d'énergie représentent l'avenir. À l'approche de la COP27 en Égypte et de la COP28 aux Émirats Arabes Unis, les énergies renouvelables fournissent aux gouvernements un moyen abordable de se rapprocher de l'objectif zéro émission nette et de convertir leurs promesses climatiques en actions concrètes, avec des avantages réels pour les personnes sur le terrain. »Les investissements dans les énergies renouvelables sont toujours aussi rentables en 2022, comme le soulignent les données d'IRENA concernant les coûts. Dans les pays non membres de l'OCDE, les 109 GW supplémentaires d'énergies renouvelables en 2021, avec un coût inférieur à celui de la nouvelle solution à combustible fossile la moins chère, réduiront les coûts d'au moins 5,7 milliards USD par an au cours des 25 à 30 prochaines années.Les prix élevés du charbon et du gaz fossile en 2021 et 2022 vont également détériorer profondément la compétitivité des combustibles fossiles et rendre le solaire et l'éolien encore plus attractifs. Avec une flambée sans précédent des prix du gaz fossile en Europe par exemple, la nouvelle production de gaz fossile deviendra de moins en moins rentable au cours de sa durée de vie, ce qui augmentera le risque d'actifs échoués.L'exemple européen montre que les coûts du combustible et du CO2 pour les centrales à gaz existantes pourraient être en moyenne quatre à six fois plus élevés en 2022 que le coût du cycle de vie des nouvelles installations solaires photovoltaïques et éoliennes terrestres mises en service en 2021. Entre janvier et mai 2022, la production d'énergie solaire et éolienne pourrait avoir épargné à l'Europe des importations de combustibles fossiles de l'ordre de 50 milliards de dollars, principalement du gaz fossile.En ce qui concerne les chaînes d'approvisionnement, les données de l'IRENA suggèrent que la totalité des augmentations du coût des matières premières n'a pas encore été répercutée sur les prix des équipements et les coûts des projets. Si les coûts de ces dernières restent élevés, les pressions sur les prix en 2022 seront plus prononcées. Les augmentations pourraient toutefois être éclipsées par les gains globaux obtenus grâce à la rentabilité offerte par les énergies renouvelables comparée à la hausse des prix des combustibles fossiles.
Il y a 2 ans et 301 jours

La nouvelle laine Isover est de retour et s'étend aux solutions d'isolation des cloisons

LA nouvelle laine : 10 brevets et des qualités inéditesCette laine est fabriquée en France à partir de verre recyclé (a minima 40 %), de matières premières minérales et d’un liant 100 % biosourcé. Eco-conçue, elle est recyclable à 100 % et à l’infini, et contribue ainsi à la qualité de l’air intérieur aussi bien pour les poseurs que pour les occupants. Elle est étiquetée A+, le meilleur classement sanitaire pour un produit de construction destiné à un usage intérieur.Sa fibre, plus longue, plus souple, plus fine et plus résistante du point de vue mécanique, est également plus agréable au toucher et confortable lors de la pose. Elle est également reconnaissable à sa couleur crème.Son bilan écologique est incomparable et permet d’améliorer deux grands indicateurs environnementaux : la pollution de l’air, l’acidification des sols et de l’eau.LA nouvelle laine en PAR PHONIC possède des performances phoniques garanties.Les isolants de la gamme PAR PHONIC : 3 solutions pour les cloisons en distribution (au sein du logement) ou séparation (entre deux logements) de locaux.Loin d’être une fatalité, le bruit nécessite d’être apprivoisé. Une conception du bâtiment et de son acoustique bien pensée permet de maîtriser la qualité sonore, le confort et le bien-être de ceux qui y vivent ou y travaillent.Pour les cloisons simple ossature, le gain d’affaiblissement pouvant être obtenu grâce à la présence des laines de verre de la gamme PAR PHONIC est de 6 à 8 dB. Les cloisons “72/48” et “72/36” conviennent pour toutes applications en particulier les logements en neuf et rénovation.PAR PHONIC PROPAR PHONIC PRO permet une productivité et un confort de pose améliorés sur les chantiers intensifs de cloisons grâce à sa semi-rigidité. Il est conditionné en rouleau.Pour les cloisons à double ossature, grâce au découplage entre les parements et grâce à la double épaisseur décalée de laine de verre PAR PHONIC PRO, le gain d’affaiblissement obtenu peut aller jusqu’à 15 dB.PAR PHONIC : un véritable amortisseur acoustiqueLe PAR PHONIC joue un rôle d’amortisseur en absorbant et en réduisant l’amplitude des ondes dans les cloisons en distribution ou en séparation de locaux.Il permet de lutter contre les nuisances sonores de façon préventive.Une seule solution pour réduire les transmissions directe et indirecte du bruit à travers les parois : l’isolation acoustique. Son efficacité est assurée si les propriétés acoustiques des produits et systèmes reposent sur le principe de “masse-ressort-masse”. Il consiste à utiliser des parois doubles, comme des plaques de plâtre, séparées par un espace rempli avec un isolant souple tel que la laine de verre qui absorbe et dissipe l’énergie.Le PAR PHONIC est adapté pour la construction ou la rénovation des logements individuels et collectifs, mais aussi des bureaux, hôpitaux, écoles, Établissements Recevant du Public (ERP), locaux industriels et commerciaux.La gamme PAR PHONIC se décline dans un choix d’épaisseurs et de largeurs adaptées à tous les types de cloisons:PAR PHONIC : la référence pour tous les projets d’isolation acoustique des cloisons AvantagesLes cloisons dotées de LA nouvelle laine de verre ISOVER en PAR PHONIC peuvent répondre à toutes les exigences en termes d’incombustibilité et d’humidité.Elles sont adaptées aux zones sismiques et permettent également de viser des hauteurs importantes d’aménagement.Les isolants PAR PHONIC peuvent être associés à tous types de plaques et répondre ainsi à de nombreuses applications : celles-ci peuvent être pré-peintes ; hydrofuges, elles conviennent aux pièces humides ; extra-dures, elles sont idéales pour les pièces très sollicitées.RéglementationLA nouvelle laine en PAR PHONIC permet d’atteindre la conformité à toutes les exigences réglementaires quel que soit le type de bâtiment et d’offrir le confort aux usagers, au-delà des réglementations en vigueur.Elle dispose de toutes les certifications et déclarations - ACERMI, marquage CE, déclaration de performances (DoP) et rapports d’essais acoustiques. Les solutions cloisons en PAR PHONIC disposent d’objets BIM disponibles sur le site isover.fr dans l’espace personnalisé My Isover.Des performances économiques appréciables pour les professionnelsLes performances des solutions cloisons ISOVER avec LA nouvelle laine de verre en PAR PHONIC s’apprécient à différents niveaux :Par rapport à des cloisons traditionnelles en maçonnerie, les cloisons sur ossature métallique offrent, sans égal, le meilleur rapport gain d’affaiblissement sonore du marché/prix,La mise en oeuvre est rapide permettant une meilleure productivité sur les chantiers,Les produits PAR PHONIC sont disponibles sans délai, ne pénalisant pas la réalisation des travaux,La forte compression des produits dans leur emballage facilite le stockage, le transport et la logistique. Le principe de mise en œuvre des cloisons acoustiques légères Mise en place de l’ossatureAprès repérage d’alignement, fixation des rails hauts et bas.Coupe des montants verticaux à la hauteur solplafond minorée de 5 mm.Engagement des montants dans les rails (entraxe de 60 ou 40 cm ou 90 cm) en les clipsant par rotation d’un quart de tour. Fixation du parement de la 1ère faceDécoupe des plaques de plâtre à la hauteur solplafond minorée de 1 cm.Positionnement en butée du plafond.Vissage des plaques sur les montants verticaux tous les 30 cm, à 1 cm des bords. Pose de l’isolant gamme PAR PHONICDécoupe de l’isolant à la hauteur sol-plafond majorée de 1 cm.Calage de l’isolant entre les montants.Fixation du parement seconde faceVissage des plaques sur les montants verticaux et en quinconce par rapport à la première face de la cloison. Jointage et finition des plaques de plâtre, fixation tous les 30 cm, à 1 cm des bords.
Il y a 2 ans et 301 jours

Würth France annonce la pose de la première pierre du chantier Evolog, l’agrandissement de ses plates-formes logistiques

Retour sur la cérémonieLors de cette manifestation, la société OTE a mis en place le premier pylône du bâtiment shuttle : un obélisque de 23 mètres de haut et de 21 tonnes. Il a été dressé à la verticale, réglé et scellé immédiatement. Symboliquement, une vis creuse contenant un parchemin a été placée dans une cavité du poteau en béton. Ce parchemin, signé conjointement par Claude Kopff, Président du Directoire et Claude Muller, Directeur de la Logistique de Würth France a pour objectif de remercier l’ensemble des parties prenantes au projet Evolog.Evolog : un investissement de plus de 70 M€ pour moderniser et agrandir la plate-forme logistique d’ErsteinWürth France poursuit son développement pour soutenir sa stratégie multicanale et sa croissance, tout en améliorant sa productivité et sa compétitivité. C’est pourquoi, EVOLOG, vaste projet de modernisation et d’agrandissement de ses plates-formes logistiques, a vu le jour. Il s’agit pour Würth France de l’investissement le plus important depuis sa création en 1967.Pour le premier volet de ce projet d’envergure, ce sont plus de 70 millions d’euros qui sont investis dans la plate-forme logistique d’Erstein (67). Créée en 1990, la plate-forme a déjà fait l’objet de quelques changement notamment deux extensions en 1995 et 1999.Amélioration des délais de livraison, augmentation de la productivité, amélioration de l’ergonomie des postes de travail, réactivité et meilleure maîtrise du traitement des commandes sont les principaux objectifs de ce projet. Ceci, non seulement pour améliorer la satisfaction des clients et rester compétitif sur le marché, mais également pour assurer la pérennité des emplois et la montée en compétences des collaborateurs grâce à la formation aux nouvelles technologies.Après plusieurs années de travail, c’est le système « Goods to Person » qui a été privilégié afin d’augmenter la réactivité, la productivité, ainsi que la sécurité des collaborateurs. Leurs conditions de travail seront améliorées et l’ergonomie de leurs postes repensée. Ce système permet également un meilleur traitement des commandes et des délais de livraison optimisés.Composée de 3 nouveaux bâtiments, cette extension constituera une surface additionnelle de stockage entre 12.000 m² et 15.000 m².Le shuttle, entrepôt entièrement automatisé d’une surface d’environ 1800 m² et de 24 mètres de haut, aura une capacité de stockage de 120.000 bacs qui alimenteront les différentes stations de picking grâce à une multitude de navettes automatisées ainsi qu’un système convoyage performant. Le système contribuera à la consolidation des commandes grâce au stockage tampon des colis, permettant ainsi d’expédier tous les colis d’une même commande de façon consolidée. La particularité de ce nouveau bâtiment est son système de protection incendie par atmosphère appauvrie en oxygène. En effet dans cet environnement hautement sécurisé, et qui n’est pas dangereux pour l’homme, la combustion des produits qui y seront stockés est impossible.Le bâtiment fonctionnel, d’une surface d’environ 5000 m² sur 5 niveaux, sera le point de lancement automatique des colis avec ses formeuses à cartons et contiendra une vingtaine de stations de picking haute performance.Le bâtiment d’expédition, quant à lui, fera le lien avec la plate-forme logistique actuelle. Il s’agit du nouvel emplacement du service Expédition avec d’abord en emballage automatique des colis avec réduction de hauteur par des chapeauteuses, une palettisation automatique et 12 nouveaux quais de chargement. Les quantités d’emballage et de produit de calage seront réduits et par conséquent l’impact environnemental.En plus de ces nouveaux bâtiments, c’est une grande partie de la plate-forme logistique actuelle qui sera modernisée. Le système de convoyage sera totalement rénové et de nombreux équipements viendront améliorer les conditions de travail des collaborateurs et permettront de réduire le nombre de colis expédiés par une consolidation plus poussée. Grâce à une nouvelle dimension des colis, les références convoyables seront augmentées et le nombre de colis et donc l’impact environnemental seront diminués. De plus, les livraisons de nos magasins se feront dans des bacs pliables réutilisables ce qui réduira drastiquement les déchets émis par ces derniers. Enfin, l’installation de panneaux solaires permettra de fournir une partie de l’énergie nécessaire.Les travaux de cet investissement hors norme constitueront une véritable prouesse technique puisque tout au long du chantier la plate-forme restera en activité, sous la responsabilité de Claude Muller, directeur logistique, et de Sébastien Bach, en charge du projet.Pour Claude Kopff, président du directoire : « Après 3 ans de travail conjoint avec la direction du groupe, nous avons eu fin 2020 l’accord pour lancer ce vaste projet de modernisation de notre plate-forme logistique. C’est un symbole de l’attachement de la famille Würth à notre site alsacien mais aussi une preuve de la volonté de pérennité de notre entreprise. Un investissement entièrement autofinancé grâce à une trésorerie saine et des fonds propres corrects, en somme le résultat d’une gestion de bon père de famille. Les travaux qui ont débuté en 2022 permettront une mise en service courant 2024. Tout au long de cette période, les collaborateurs de la plate-forme seront formés aux métiers de demain pour qu’ils soient parties prenantes de ce beau projet d’entreprise. » Les étapes-clés de la logistique chez Würth France : 1990 : inauguration d’une nouvelle plateforme logistique de 10.000 m² en ZI Ouest à Erstein (67) 1995 : première extension logistique de 5.000 m² 1999 : deuxième extension logistique de 13.000 m² (nouvelle gare de triage) 2002 : troisième extension logistique (nouveau palettier entièrement automatisé) 2008 : mise en service de la seconde plateforme logistique à Montélimar (26) (17.000 m²) 2021 : étude du projet EVOLOG pour la plateforme logistique d’Erstein (actuellement 34.000 m²) 2022 : début des travaux EVOLOG
Il y a 2 ans et 301 jours

Après une promesse de vente, on ne peut plus renoncer

La Cour a donc refusé à un vendeur le droit de revenir sur sa promesse, bien que l'acquéreur n'ait pas encore déclaré acquérir, n'ait pas encore "levé l'option" selon le terme juridique.Jusqu'à présent, la Cour de cassation jugeait qu'en cas de promesse de vente, le vendeur pouvait se rétracter quitte à payer des dommages-intérêts parfois conséquents à l'acquéreur pressenti.Tant que l'acquéreur n'a pas déclaré acquérir et vouloir signer l'acte de vente, l'accord n'est pas totalement conclu, plaidait un vendeur qui s'appuyait sur cette jurisprudence et s'estimait donc libre de renoncer. Mais désormais, la Cour de cassation juge autrement.L'engagement est définitif et la vente forcée peut être ordonnée, dit-elle, ce vendeur ayant donné son consentement sans restriction et aucune clause de cet "avant contrat" de vente ne lui donnant en l'espèce la possibilité de se rétracter.A la différence de la promesse de vente, qui laisse une liberté à l'acquéreur, le compromis de vente engage également l'acheteur qui ne peut renoncer que dans les cas prévus par ce contrat.(Cass. Civ 3, 23.6.2021, U 20-17.554).
Il y a 2 ans et 301 jours

Mise en exploitation des premiers 30 km de l’A79+, première autoroute à péage en flux libre en France

Cette autoroute sera achevée à l’automne 2022 et remplacera la RN79. Elle traversera d’Est en Ouest le département de l’Allier permettant ainsi de relier les autoroutes A6 et A71 sur un tronçon payant de 88 km. L’A79, décrété par l’État d’intérêt public, proposera aux usagers le système de péage en flux libre autorisé par la Loi d’orientation des mobilités (LOM) de décembre 2019. Déjà présent en Autriche, Espagne, Portugal et aux États-Unis, la technologie du flux libre s’affranchit des barrières de péage physique contribuant ainsi à moderniser le réseau d’autoroutes français. La suppression des barrières physiques apporte plusieurs avantages, tant au bénéfice des utilisateurs que de la collectivité : une circulation plus fluide avec une diminution des risques de bouchon et un gain de temps de trajet réduction de la consommation de carburant et des émissions de CO2. Lors de chaque arrêt à une barrière de péage, un poids lourd dépense un litre de gasoil ordinaire, soit 3,1 kg de CO2 émis (source : ASFA) suppression du stress à l’abord des péages, donc plus de sécurité et de confortréduction de l’artificialisation des sols. La surface nécessaire à une barrière de péage est estimée à 16 ha. Le Groupe Eiffage, qui finance en propre le projet avec un investissement de 538 millions d’euros, a réuni tous ses savoir-faire pour concevoir, construire et exploiter la première autoroute en flux libre : ALIAE est maître d’ouvrage et concessionnaire de l’A79 pour une durée de 48 ans ; Eiffage Génie Civil est le mandataire du GIE CLEA qui a la charge de la conception et de la construction de l’A79 ;APRR à qui ALIAE a confié l’exploitation et la maintenance de l’A79 sur la durée de la concession. Les chiffres clés 88 km la longueur de l’A79 23,5 mois délais de réalisation 548 ME le montant de l’investissement en propre de Eiffage48 ans durée de la concessionL’A79 en un coup d’œilUn nouveau tronçon autoroutier qui traverse la France d’Est en Ouest et relie l’A6 et l’A71. L’A79 est la section autoroutière entre Sazeret (Allier) et Digoin (Saône-et-Loire) de la Route Centre Europe Atlantique RCEA), un axe transversal stratégique pour relier sur des trajets longue distance la façade atlantique française à l’Allemagne, la Suisse et l’Italie via le centre de la France. Chaque jour, 10.000 à 15.000 véhicules composés à près de 40% de poids lourds empruntent cet itinéraire. Ce trafic de poids lourds très élevé, conjugué à une configuration routière devenue obsolète, en ont fait l’un des axes routiers français parmi les plus accidentogènes : entre 2008 et 2017, 124 personnes ont perdu la vie entre Montmarault et Mâcon. C’est pourquoi l’État a décidé en 2017 de la construction de l’A79 confiée à ALIAE. Une infrastructure du développement local et territorial L’A79 est aussi conçue pour favoriser le développement territorial. Bien que le trafic de transit soit particulièrement important, l’infrastructure doit être un vecteur d’échanges et de lien au niveau local. Ce lien sera favorisé par une mesure particulièrement forte : les automobilistes pourront circuler gratuitement sur la section Cressanges - Toulon (17 km) et sur la section de Dompierre (6 km). Par ailleurs, pour encourager l’utilisation de l’infrastructure payante par les utilisateurs locaux ou pour la desserte locale, ALIAE proposera une politique tarifaire très attractive avec une formule télépéage offrant jusqu’à 60 % de réduction sur les trajets. Cette réduction pourra s’appliquer dès le premier euro réalisé sur les trajets selon un barème dépendant du nombre de passages effectués dans le mois. Les aires de repos et de services joueront également un rôle de proximité important. En plus des aires de Pierrefitte et des haltes de Deux Chaises au niveau de la barrière de péage, deux aires de repos (Dompierre Ouest et Cressanges) et une aire de services (Toulon-sur-Allier) seront accessibles à la fois par l’autoroute et par la voirie locale.4 aires de repos Aires de repos (4 aires sur les 88 km)Parking VL/PLCovoiturageSanitaires et douches pour les chauffeurs poids lourdsBâtiment d’accueil : mange-debout, distributeur de boissons et snack, écran d’information, wi-fi gratuitBornes de paiement flux-libreEspace détente et pique-nique1 aire de service L’aire de services du Bourbonnais (Toulon-sur-Allier)RestaurantParking pour véhicules légers (VL) et poids lourds (PL)Station carburants VL/PLStation de recharge rapide véhicules électriquesPrises spéciales pour camions frigorifiquesSani-stations bus et camping-carArrêt transport en commun pour le prolongement de la ligne de bus H AléoBornes de paiement flux-libreEspace détente et pique-niqueEspace événementielSanitaires et douches gratuits pour les chauffeurs poids lourdsWi-fi gratuit 88 Km intégralement en flux libre, une première en France Dès l’automne 2022, ALIAE mettra en service la première autoroute française en flux libre, sans barrière de péage physique. Voulu par la loi d’Orientation des Mobilité de décembre 2019, le péage en flux libre a déjà été adopté dans plusieurs pays européens (Autriche, Espagne, Portugal) ainsi qu’au Brésil, Chili, aux Etats-Unis et en Inde. Et plusieurs projets sont annoncés en France sur l’A4, A13-A14, A69 et A412. Fini les gares de péages et les files d’attentes. Les portiques et la technologie mis en œuvre ont été conçus et fournis par l’un des leaders mondiaux. Ils sont déjà utilisés dans de nombreux pays : Etats-Unis, Espagne, Autriche, Brésil, Chili, Colombie, Inde. Le dispositif est constitué de caméras infrarouge, d’antennes télépéage et de capteurs auxquels s’ajoute une couche d’intelligence algorithmique qui permet de faire communiquer les équipements entre eux et vers le système de back office permettant la facturation et le recouvrement du péage en flux libre. Protection des données : un dispositif conforme au RGPD Les systèmes logiciels pour le paiement sur site internet et les bornes à pied sont développés en France et Eiffage est en l’éditeur. Les données sont hébergées en France. Le système d’identification du flux libre est conforme RGPD et ne lit les plaques d’immatriculation qu’à des fins de perception et de facturation du péage. Le droit d’accès aux données et de rectification est assurée à tous les clients. Le processus de contrôle de la protection des données personnelles est rigoureux et assuré avec un DPO (Data Protection Office) et un réfèrent RGPD, aussi bien chez Eiffage que chez APRR. Le Flux libre, mode d’emploi Sur les 88 km de l’A79, 6 portiques équipés de caméras infrarouges permettront d’identifier, quelles que soient les conditions météo, le badge télépéage ou la plaque d’immatriculation et le type de véhicule, déclenchant automatiquement la facturation. 4 options de paiement sont disponibles pour effectuer facilement le paiement des trajets Badge télépéage véhicule léger ou poids lourd : Le badge est détecté à chaque passage sous les portiques et la facturation se fait en fin de mois. Il est valable sur toutes les autoroutes de France. Inscription plaque (IBAN ou CB) : Le client enregistre simplement son numéro de plaque d’immatriculation et ses coordonnées bancaires sur le site www.aliae.com La plaque est détectée à chaque trajet et le prélèvement se fait chaque semaine. Paiement en ligne sur ww.aliae.com Après son passage, le client dispose de 72 heures pour payer, en rentrant son numéro de plaque minéralogique Paiement sur borne de paiement ou « borne à pied » 16 bornes de paiement sont mises à disposition sur les aires de repos ou de services de l’autoroute de l’A79+.Les clients peuvent y payer leur trajet lors de leur pause sur le parcours. Première autoroute en France à proposer une modulation tarifaire selon des critères environnementaux Véhicules légers : tarifs dégressifs selon les émissions de CO2 Véhicules légers (classes 1, 2 et 5) Poids lourds : tarifs dégressifs selon la classe de véhicule ET leurs émissions de CO2 Poids lourds (classes 3 et 4)
Il y a 2 ans et 302 jours

La Casbah d'Alger, une cité millénaire en quête de renaissance

D'une superficie de plus de 105 hectares et très densément peuplé (plus de 40.000 habitants), ce lieu de mémoire de la guerre d'indépendance, et d'histoire avec sa citadelle ottomane du 16e siècle qui surplombe la baie d'Alger, est l'un des plus beaux sites maritimes de la Méditerranée.Mais ses édifices se sont dégradés au fil des années, sous l'effet de nombreux séismes, d'inondations et d'incendies déclenchés par des installations vétustes."Les opérations de restauration du site ont commencé dès l'indépendance du pays en 1962. Il y a eu plusieurs plans, plusieurs intervenants", explique à l'AFP Aissa Mesri, responsable de l'agence Archimed, chargé des études et du suivi de la restauration de la médina.Souvent, "des restaurations sont lancées puis interrompues pour des raisons financières, techniques ou juridiques liées à la propriété", détaille-t-il, en déplorant un manque de "vision claire" pour un "projet Casbah".Malgré cela, un plan de sauvegarde a été lancé en 2012 avec l'ambition de restituer au quartier son "visage authentique et de proposer des solutions définitives pour la protection de ce centre historique et culturel et le maintien d'une partie de ses habitants dans leurs demeures".Le projet est doté d'un budget de 170 millions d'euros. Piloté par la direction des équipements publics (DEP) d'Alger, il a déjà permis la restauration de plusieurs bâtisses dont certaines ont retrouvé leur splendeur d'antan ces dernières années.Parmi elles, une partie de La Citadelle appelée aussi Dar Es-Soltane, qui comprend le palais du Dey (le régent de l'époque ottomane), la mosquée du Dey et la poudrière a été partiellement rouverte aux visiteurs depuis novembre 2020.La mosquée a été décorée de faïences, de marbres et de sérigraphie arabe.Des figures historiques"Un îlot de quatre maisons a été également livré récemment dont celle de M'Barek Bouhired", qui a servi de refuge à des figures emblématiques comme Djamila Bouhired, une icône de la guerre d'indépendance.Cet îlot a vu également défiler Hassiba Ben Bouali, morte au combat dans la Casbah, Larbi Ben M'hidi, autre héros, exécuté en 1957 sous les ordres du général français Paul Aussaresses, et Yacef Saâdi, l'un des symboles de la bataille d'Alger.Le plan a également permis la restauration de la mosquée Ketchaoua, fermée en 2008, après des dommages liés à un puissant séisme intervenu cinq ans plus tôt.L'édifice religieux, aux racines ottomanes, a été rouvert en avril 2018 après 37 mois de travaux, financés entièrement par le gouvernement turc, pour un coût de 7 millions d'euros.Avant le plan de sauvegarde, les autorités avaient lancé des interventions d'urgence pour "consolider les bâtisses qui risquaient de s'effondrer", précise à l'AFP Mehdi Ali Pacha, patron d'un cabinet d'architectes du même nom, spécialisé dans le patrimoine."Des travaux d'étaiement de plus de 300 bâtisses ont été réalisés en 2008 et en 2013", ajoute l'architecte dont l'agence a effectué les études de restauration de l'îlot comprenant la demeure historique des Bouhired.Polémiques et nouveaux projetsLa restauration des douirettes (petites maisons anciennes) est parfois freinée par les résidents."Il y a des douirettes qui ont été vidées, murées par la mairie. Là, il n'y a pas de problème, on peut travailler. Quand les maisons sont habitées, l'étude se fait tant bien que mal avec des difficultés d'accès", déplore M. Ali Pacha.Fin 2018, la réhabilitation de la Casbah avait été au cœur d'une polémique, aussi bien en France qu'en Algérie, après la décision des autorités algériennes de confier à l'architecte français Jean Nouvel l'élaboration d'un plan de "revitalisation" de ce quartier historique.Quelque 400 personnes, surtout des architectes, urbanistes et universitaires, algériens et français avaient demandé à Jean Nouvel de se retirer du projet, s'inquiétant notamment qu'un architecte français puisse proposer des transformations d'un haut lieu de la bataille d'Alger contre le colonisateur français.Le projet a fini par être abandonné.Actuellement, sept projets de restauration d'édifices historiques sont en cours de réalisation avec un taux d'avancement des travaux de 65%, selon Fatima Larbi, architecte à la DEP, citée par l'agence officielle APS."L'objectif est de faire revivre la Casbah et de la mettre en valeur", souligne Mehdi Ali Pacha.
Il y a 2 ans et 304 jours

Aux Pays-Bas, à la recherche d'espace pour l'énergie solaire

Aux Pays-Bas, et en Europe en général, c'est le grand sujet pour l'industrie solaire, promise à un déploiement massif au vu des objectifs énergétiques et climatiques des Etats: où trouver l'espace pour s'implanter, et se faire accepter ?"On regarde partout", répond Maarten De Groot, du groupe GroenLeven, filiale de l'allemand BayWa, qui mise sur ces espaces où les installations peuvent faire "double usage".Ainsi Piet Albers accueille-t-il, en guise de serre, des toits en panneaux photovoltaïques, posés à trois mètres du sol au-dessus de ses précieuses framboises."Je voyais les étés s'allonger, et ces fruits de la forêt brûler sous les serres. Il fallait les protéger", raconte-t-il.L'agriculteur, qui produit, en monoculture, plus de 200 tonnes de framboises par an, n'engrange pas de loyer de la part de l'énergéticien, mais tire d'autres avantages depuis trois ans: des températures plus constantes, 25% d'arrosage en moins, une protection contre les grêlons, du plastique de serre économisé...Un large sourire fend son visage buriné, alors que 37°C s'annoncent cette semaine dans sa région : "Sous serre, j'aurais dû jeter 10 à 20% des fruits".BayWa en revanche a des surcoûts à assumer: panneaux non standard et moins productifs (semi-transparents pour filtrer la lumière), maintenance plus compliquée, énumère Maarten De Groot, pour qui "l'essor des projets à +double usage+ dépendra du soutien de l'Etat".Un projet "agrivoltaïque" peut induire une perte de 15-25% de revenu par rapport aux parcs solaires au sol. Ces derniers, moins chers et plus productifs, resteront de ce fait nécessaires, estime le secteur.A chaque projet, ses riverainsCependant toutes les solutions émergentes ne sont pas forcément très coûteuses, souligne BayWa. A 50 km de chez M. Albers, l'entreprise a installé un parc flottant sur un lac de carrière.Cette cavité de 30 m de fond, formée par des années d'extraction du sable et remise en eau, accueille désormais 17 hectares de panneaux solaires à perte de vue, sur la moitié de sa superficie."Les flotteurs sont une technologie éprouvée, pas du tout high tech", assemblés comme des pontons, montre Hugo Parant, chef de projets chez BayWa r.e. France. L'investissement est plus important qu'au sol, mais la construction rapide, la maintenance simple, et l'eau, en évitant toute surchauffe, accroît le rendement.Sur l'eau eux aussi, une douzaine de transformateurs envoient au poste à terre 20.000 volts par un énorme câble, à destination d'environ 10.000 foyers.Ici, l'énergéticien verse un loyer à la carrière, mais souvent il vend à l'industriel une électricité décarbonée et à prix stable.Ce parc d'Uivermeertjes est avec 29,8 mégawatts (MW) selon BayWa, le 2e plus grand parc flottant d'Europe. Le premier est aussi au Pays-Bas.L'idée ne fait pas que des heureux, comme William Peters, qui y pêche carpes et tanches. "Les poissons grossissent, mais est-ce que cela continuera ?", demande-t-il aux représentants de l'industriel, qui tentent de le rassurer : une étude sur un autre plan d'eau a montré un faible écart de températures."Nous sommes un petit pays. Dès que vous avez un projet, vous trouvez un riverain, il faut vraiment réfléchir au partage de l'espace", note Maarten De Groot.Dans le pays le plus densément peuplé d'Europe, le déploiement des énergies renouvelables a commencé avec l'éolien, dans le nord, moins habité. Il s'y trouve aujourd'hui limité par les capacités du réseau électrique, tandis que le sud est très urbanisé, et les toits déjà très équipés.Or le défi est là: les Pays-Bas, qui visent la neutralité carbone en 2050, tirent des renouvelables moins de 12% de leur consommation d'énergie finale.Mondialement, le constat est similaire: 2021 a vu un déploiement inédit des capacités solaires et éoliennes, mais il faudrait en installer chaque année quatre fois plus pour garder le réchauffement planétaire à 1,5°C, souligne l'Agence internationale de l'énergie.
Il y a 2 ans et 304 jours

Près de 1000 collèges et lycées engagés dans le challenge d'économies d'énergie CUBE.S !

Au total, 71 collectivités ou organismes de gestion d’établissements privés ont ainsi rejoint l’aventure et ont vu leurs consommations et leurs factures baisser, sans travaux !Mis en œuvre par l’IFPEB et le Cerema, sous le haut patronage des ministères de la Transition écologique et de l’Éducation nationale, CUBE.S met en lice les collèges et lycées participants sur les économies d’énergie réalisées dans leurs établissements. Au-delà des actions concrètes et des économies d’énergies mesurées, l’approche permet d'éduquer et sensibiliser les élèves et de les intégrer dans une démarche collective avec toutes les parties prenantes : collectivités, personnels techniques et équipes pédagogiques de l’établissement…Jusqu’à 30% d’économies d’énergie obtenues dès la première année sans travaux !Avec le challenge CUBE.S, financé par le dispositif des certificats d’économies d’énergie (CEE), le Cerema et l’IFPEB proposent aux collectivités et établissements scolaires de bénéficier :d’un suivi des consommations énergétiques pendant 5 ans ;d’un accompagnement pendant 1 an avec une animation inter-établissements, des formations et un appui opérationnel (aide à l’organisation d’un évènement de sensibilisation, réalisation d’un diagnostic participatif, appui aux enseignants…) ;de nombreuses ressources : matériel de mesure, outils pédagogiques, plateforme numérique.L'agendaLancement du championnat de France des économies d’énergie, au stade Arena le 13 décembre 2022.Remise des prix de la saison 2021-2022 en avril 2023.Remise des prix de l’année 2022-2023 en décembre 2023 ou janvier 2024.Les nombreuses actions mises en place ont fait l’objet d’un cahier de retour d’expériences, intégré au kit établissement des nouveaux candidats, disponible également en ligne !L’aventure CUBE continue avec le challenge CubeEcoles pour les écoles primaires.Retrouvez les cartes des départements & organismes de gestion d'établissements privés et des régions engagés dans le challenge sur le site internet du Cerema et dans la pièce jointe.
Il y a 2 ans et 304 jours

De plus en plus de franciliens choisissent de faire construire dans des départements limitrophes

En 2021, ce sont plus de 9 400 ménages franciliens qui ont demandé une autorisation de construire une maison neuve, soit une hausse de +34% par rapport à l’année précédente.Le Baromètre Domexpo souligne également une augmentation du nombre de franciliens choisissant de faire construire en dehors de leur région d’origine, notamment dans des départements limitrophes (passant de 23% en 2020 à 31% en 2021).Focus sur les résultats avec Domexpo...Projet de vie envisagé de longue date ou conséquences directes de la Covid-19 : en 2021, 9.409 ménages franciliens ont choisi de faire construire une maison individuelle et ont demandé une autorisation de construction, soit +34% par rapport à 2020 (et de +10% par rapport à 2019).Le dernier Baromètre Domexpo s’intéresse à la région choisie par ces particuliers, parmi lesquels :6.057 sont restés fidèles à l’Île-de-France, soit 64% (v/s 69% en 2020). Comme l’année dernière, les départements de prédilection sont la Seine-et-Marne (77) pour 34% d’entre eux, les Yvelines (78) pour 21% et l’Essonne (91) pour 19%.3.352 ont choisi de faire construire dans une autre région de France, soit 36% (v/s 31% en 2020).Focus sur les ménages qui font construire en dehors de l’Île-de-France...Parmi les 3 352 ménages franciliens qui ont souhaité faire construire une maison neuve en 2021 en dehors de l’Ile-de-France :35% ont choisi un département de la bordure Atlantique (v/s 33% en 2020), principalement en Vendée (85), dans le Morbihan (56) et en Gironde (33) ;31% l’ont fait sur un département limitrophe à la région francilienne (v/s 23% en 2020). Le trio de tête est composé de l’Oise (60), de l’Eure-et-Loir (28) et de l’Eure (27). Cette augmentation s’explique principalement par les envies / besoins des franciliens de s’éloigner des centres urbains, tout en conservant une activité professionnelle en région parisienne. Cette tendance a notamment été favorisée par la généralisation du télétravail ;7% ont opté pour la bordure Méditerranéenne (v/s 12% en 2020), essentiellement sur les départements du Var (83) et de l’Hérault (34).Pour Daniel Lair-Lachapelle, Président de Domexpo : « L’achat de maisons individuelles neuves a commencé à augmenter dès l’automne 2020 et s’est intensifié en 2021, notamment en Île-de-France, avec une hausse de 34% des demandes d’autorisations de construire. Les semaines de confinement liées à la Covid-19 ont en effet renforcé la volonté des Français de vivre dans une maison avec un jardin, et parfois celle de s’éloigner des centres urbains... Pour cela, en raison notamment de la tension sur les prix des terrains en Île-de-France mais aussi de la raréfaction de ceux-ci, les franciliens choisissent, de plus en plus souvent, de faire construire en dehors de l’Île-de-France, tout y en restant à proximité. Ils n’ont aujourd’hui plus peur de s’éloigner de cette région et de passer plus de temps dans les transports pour se rendre sur leur lieu de travail. L’Oise (60), l’Eure-et-Loir (28) ou l’Eure (27) figurent ainsi parmi les départements de prédilection. Rappelons aussi que la généralisation du télétravail a aussi permis d’amplifier cette tendance. »
Il y a 2 ans et 304 jours

Le CSTB inaugure le laboratoire Fresnel, une plateforme d’essais dédiée aux vitrages

Avec cette nouvelle plateforme d’essais dédiée aux vitrages, le CSTB met à disposition des acteurs français et européens un outil technologique inédit, visant à accompagner le développement et l’émergence de solutions innovantes, en lien avec les enjeux de performance énergétique et environnementale notamment.Le laboratoire Fresnel regroupe pour ce faire, sur un seul et même site, l’ensemble des équipements permettant d’évaluer et de tester la durabilité des performances des vitrages, ainsi que leur aptitude à l’emploi. Parmi ces équipements de pointe, trois nouvelles enceintes de vieillissement artificiel des vitrages, cofinancées par la région Auvergne-Rhône-Alpes et le Fonds européen de développement régional (FEDER).Les vitrages : une forte dynamique d’innovationFace au défi du changement climatique et de l’économie de ressources, les fabricants de vitrages, éléments-clés de la sobriété énergétique et environnementale des bâtiments, se mobilisent, adaptant la conception de leurs produits aux nouvelles exigences et tendances émergentes.Depuis une trentaine d’années, une dynamique d’innovation soutenue s’est mise en place, induisant une évolution technologique fulgurante. Une nouvelle génération de vitrages isolants a ainsi vu le jour : vitrages avec gaz, avec couche basse émissivité, warm edge (produits intégrant des intercalaires renforcés thermiquement sur la périphérie des vitrages pour éviter les ponts thermiques), etc.D’autres développements sont en cours, concourant à améliorer encore les performances actuelles, mais aussi à embarquer d’autres performances propres aux fonctions assurées par l’enveloppe du bâtiment : vitrages isolants électrochromes et thermochromes, dont les propriétés de transmissions lumineuse et énergétique peuvent être modifiées via une mise sous tension électrique pour le 1er et par la chaleur pour le 2nd ; vitrages sous-vide, technologie particulièrement prometteuse, car permettant des performances thermiques élevées, avec des vitrages moins épais, etc.Les équipes de la Direction Baies et Vitrages du CSTB, mobilisant plus de 50 ingénieurs et techniciens, répartis dans les laboratoires de Marne-la-Vallée et de Grenoble, accompagnent les fabricants dans cette dynamique d’innovation.Parmi les leviers qui leur sont pour cela proposés, les essais sont fondamentaux. Ils permettent de comprendre et caractériser les nouveaux produits et technologies à venir.En la matière, le CSTB disposait déjà de plusieurs équipements dédiés aux vitrages. Tous ont été regroupés au sein d’un seul et même site, le laboratoire Fresnel, au CSTB Grenoble. Ils ont également été complétés par de nouveaux outils scientifiques et techniques.L’accompagnement de l’innovation, au cœur des missions du CSTB : À travers ses activités de Recherche & Expertise, d’essais, d’évaluation et de certification, le CSTB accompagne les acteurs de la construction, favorisant l'émergence d'innovations fiables et sécurisées.Le laboratoire Fresnel : la nouvelle plateforme d’essais dédiée aux vitragesLe laboratoire Fresnel permet aux fabricants d’évaluer et tester la durabilité des performances et l’aptitude à l’emploi de leurs produits, dans un objectif d’évaluation et de certification notamment :2 grandes familles de produits testés :Vitrages simples : Vitrages monolithiques, en particulier trempésVitrages feuilletésVitrages isolants : Doubles et triples vitragesVitrages à store incorporéVitrages actifs (électrochromes et thermochromes)Vitrages Extérieurs AttachésVitrages à clameauxVitrages sous vide4 grandes typologies de caractéristiques étudiées :La durabilité du vitrageSes performances thermiquesSes performances mécaniquesSes performances optiquesUne très grande variété d’essais réalisés :Essais de cyclages climatiques, d’exposition à l’ensoleillementEssais d’exposition aux hautes températuresEssais d’exposition à l’humiditéEssais de fragmentationMesures d’humidité, mesures de point de roséeMesures du taux de remplissage en gazEtc.Le laboratoire Fresnel dispose de plusieurs équipements de pointe, parmi lesquels 3 nouvelles enceintes de vieillissement artificiel pour les produits :Des enceintes de qualification : 1 enceinte coffre à climat variable ;1 enceinte coffre avec UV, permettant d’exposer les vitrages aux UV et à l’humidité.1 enceinte de suivi grand format (8m3).Ces enceintes permettent d’exposer les vitrages à des températures comprises entre -15°C et 56,5°C, ainsi qu’à l’humidité avec ou sans UV.Le laboratoire Fresnel dispose ainsi de 5 enceintes permettant de tester le vieillissement des vitrages.Le laboratoire Fresnel : une plateforme d’essais au cœur d’un écosystème dédié aux produits de la baieLe laboratoire Fresnel est situé à proximité immédiate des autres infrastructures du CSTB dédiées aux baies et vitrages : le laboratoire PRE3CIE, plateforme d’essais dédiée aux produits innovants de l’enveloppe, et la plateforme de formation par le geste dédiée à la mise en œuvre des produits de la baie.Par ailleurs, les essais réalisés peuvent être croisés et / ou complétés, selon les propriétés ou performances étudiées, par des travaux menés par d’autres directions du CSTB : la Direction Enveloppe du Bâtiment ; la Direction Sécurité, Structures, Feu ; la Direction Santé, Confort, avec le Laboratoire Acoustique du Bâtiment (LABE).Le laboratoire Fresnel, en bref :Laboratoire situé au CSTB Grenoble ;Permettant aux industriels de réaliser, sur un seul et même site, l’ensemble des essais et évaluations nécessaires au développement, à la mise au point et à la vérification de la qualité et de la performance de leurs produits ;Un rayonnement international avec des essais réalisés selon les référentiels européens, accessibles à l’ensemble des fabricants européens ;Un investissement de plus d’1 million d’euros, réalisé par le CSTB, pour l’installation globale ;Dont 340.000 euros pour les 3 nouvelles enceintes, cofinancés à hauteur de 169.789 euros par la région Auvergne-Rhône-Alpes et le Fonds européen de développement régional (FEDER)
Il y a 2 ans et 304 jours

La Clôture Française réinvente la personnalisation des clôtures avec Virtuose

Pour offrir enfin plus de possibilités aux particuliers, La Clôture Française, fabricant de clôtures et portails en PVC, bouscule le marché avec le lancement de « Virtuose » de la gamme Signature : un modèle 100 % personnalisable qui permet à chacun de créer la clôture de ses rêves en choisissant et mixant les impressions dont il a envie : effet bois, bambou, corde, haie, cuir, ou toute autre impression… les possibilités sont multiples et sans fin pour personnaliser la face intérieure de sa clôture, tout en respectant les normes imposées éventuellement par votre commune pour l’extérieur. Ultra-résistante au soleil et au vent, Virtuose est la touche déco finale qui sublimera votre extérieur.La Clôture Française, un virtuose des brise-vues !La clôture d’un jardin permet non seulement de délimiter un territoire, mais également de se protéger des regards indiscrets. Une clôture bien entretenue et embellie selon nos goûts peut alors faire la différence et refléter notre personnalité.La Clôture Française s’intéresse à cette partie du jardin souvent délaissée, en créant un univers de couleurs et de textures où seule l’imagination peut imposer des limites.Parmi les impressions proposées on pourra opter au choix entre : textures du bois, aspect de la pierre, nuances de la rouille, relief d'une haie végétale… le client peut même imprimer ses propres photos ou un dessin de son choix. Avec une finition parfaitement réaliste et une texture aussi vraie que naturelle, les visuels s’adaptent à toute dimension choisie.Qu’en est-il avec les règles d’urbanisme ? Selon la commune, il y a parfois certains paramètres à respecter au niveau des couleurs ou matériaux utilisés pour la façade extérieure. Pas de panique ! La solution de La Clôture Française est très flexible. Il est possible de personnaliser uniquement la partie intérieure de la clôture, laissant la façade extérieure neutre, en respectant l’architecture imposée.Une installation simple et robusteLe choix du client ne se limite pas seulement aux impressions. Les poteaux de La Clôture Française supportant les panneaux sont proposés en PVC ou en aluminium. Quant aux chapeaux en aluminium qui couvrent les poteaux, ils sont disponibles en 5 coloris (blanc, gris souris, gris anthracite, noir, bleu). Le projet est entièrement personnalisé pour vivre une expérience unique de A à Z !Côté installation : Virtuose s'installe sur un muret ou sur des plots béton en pleine terre. Les panneaux imprimés s'emboîtent très facilement dans des poteaux en aluminium gris anthracite ou en PVC blanc, eux-mêmes fixés à l'aide de platine à boulonner ou de tubes à sceller en acier galvanisés. L'installation est simple et rapide. Tous les panneaux sont découpés sur-mesure et sont à agencer selon les envies du propriétaire.En respectant les règles fournies par la marque et en suivant les 6 pas indiqués sur la notice de montage, la clôture est posée en une matinée ! En utilisant les meilleurs matériaux et en réunissant les technologies les plus modernes d'impression numérique haute définition, chaque clôture est une œuvre d’art unique qui représente parfaitement le goût et style de son propriétaire.Les prix sont proposés sous devis, à partir de 123,44 € TTC le mètre.Plus d’informations sur le site : ICI
Il y a 2 ans et 305 jours

Menacée par la montée des eaux, New York se protège derrière un mur

L'ouragan Sandy en 2012 et les tempêtes Ida et Henri cet été ont provoqué la mort de dizaines d'habitants et des milliards de dollars de dégâts dans la plus grande ville des Etats-Unis. Avec sa géographie si particulière, la "grosse pomme" est extrêmement vulnérable aux intempéries et a fini par adopter ces dernières années un plan titanesque baptisé "résilience climatique" chiffré à 20 milliards de dollars.Il faut dire que des experts redoutent une montée des eaux de 20 à 75 cm à l'horizon 2050 qui menacerait New York de submersion, en particulier l'île de Manhattan, encadrée par l'océan Atlantique, l'East River et l'Hudson River.Au total, la mégapole de plus de 8,5 millions d'habitants compte 836 km de littoral.Chantier de 1,45 milliard de dollarsDans le sud-est de Manhattan, des travaux pour un budget de 1,45 milliard de dollars ont ainsi débuté pour ériger un mur et des digues contre les inondations.Sur le chantier, coincé entre l'East River et la voie rapide qui la longe, Tom Foley, directeur du département de la conception et de la construction de la ville de New York, explique à l'AFP avoir également projeté de "surélever le parc dans cette zone" au bord de l'eau, où vivent quelque 110.000 New-Yorkais.Sur quatre kilomètres, l'espace vert va être complètement surélevé de trois mètres et l'érection d'un mur anti-inondations doit permettre d'éviter les dégâts catastrophiques provoqués par les derniers ouragans et tempêtes qui se forment au-dessus de l'Atlantique.Ahmed Ibrahim, superviseur des travaux, montre sur place l'installation de "pylônes qui servent de fondations profondes" et des "parois de métal qui formeront un mur de séparation souterrain pour nous protéger des inondations".L'électrochoc SandyLa prise de conscience des autorités new-yorkaises date d'octobre 2012 après l'électrochoc de l'ouragan Sandy qui avait provoqué la mort d'au moins 44 personnes, des dégâts de 19 milliards de dollars et l'absence d'électricité pendant des semaines, rappelle Sara Nielsen, directrice de la planification des parcs de New York.Dans ce quartier hyper dense du sud-est de Manhattan, l'eau était montée à un niveau record de 2,7 mètres au-dessus du niveau de la mer.Pour Sara Nielsen, après l'ouragan Katrina qui avait frappé la Nouvelle-Orléans en 2005, "Sandy a été la première catastrophe qui a accéléré notre approche du changement climatique". L'experte se félicite qu'aujourd'hui la ville, aux infrastructures parfois délabrées, se dote de "projets très importants pour protéger les New-Yorkais".La ville "investit plus de 20 milliards de dollars (dans un plan pluriannuel de) +résilience climatique+ avec une stratégie à plusieurs niveaux pour la protection de notre littoral", explique à l'AFP Jainey Bavishi, directrice du bureau du maire de New York pour la "résilience climatique".Poumon vertPas vraiment une ville arborée - à l'exception du poumon vert géant de Central Park - Manhattan va également replanter des milliers d'arbres de différentes espèces autour du chantier et améliorer les réseaux souterrains d'égouts, d'évacuation des eaux usées et d'électricité.Les urbanistes cherchent aussi à améliorer l'habitat, l'un des talons d'Achille de New York, notamment en raison du nombre de logements en sous-sol exposés aux inondations et de la piètre qualité des constructions et des isolations thermique et phonique des logements."Il y a un million de bâtiments à New York. Nous les modernisons partout où c'est possible", assure Jainey Bavishi, vantant "l'un des codes de construction les plus résilients au monde".Reste que le projet de mur anti-inondations ne plaît pas à tout le monde. Des associations de riverains le contestent devant la justice et le chantier ne devrait pas être achevé avant 2026.Terry, résident du quartier qui refuse de donner son patronyme, reconnaît que c'est "une bonne idée" mais regrette que "les choses avancent lentement".Pour Jainey Bavishi, New York et son programme de "résilience climatique" peut s'inscrire dans le volet environnemental du plan de 1.200 milliards du président Joe Biden, voté au Congrès, pour investir massivement dans les infrastructures aux Etats-Unis.
Il y a 2 ans et 305 jours

Listone Giordano présente Live Studio, son nouvel outil numérique de visualisation

Live studio permet de se former et d’accéder à toute les informations concernant les gammes de produit et le groupe Margaritelli.De nombreuses documentations sont téléchargeables et peuvent être partagées entre utilisateurs.Dans Live Studio vous pourrez retrouver les valeurs de Listone Giordano, une mappemonde des réalisations (via Google Earth), des guides, les gammes Listone Giordano, la gamme couleurs, 4 showrooms virtuels à visiter, une vidéothèque, des tests, des vidéos sur l'entretien et la maintenance des gammes Listone Giordano, une librairie (accessible en téléchargement) et One Architecture, à retrouver en partage ou en podcast.
Il y a 2 ans et 305 jours

Citygie remporte l'appel d'offres de l'UGAP

Citygie a été retenu pour la troisième fois par l’Union des Groupements d’Achats Publics (UGAP) dans le cadre de l’actualisation de son catalogue de référence destiné aux collectivités. « Nous avons remporté deux lots : un pour les sanitaires et un pour le mobilier urbain, soit plusieurs dizaines de produits. Les collectivités qui souhaitent investir peuvent retrouver nos modèles sur le catalogue de l’UGAP » détaille Eric Piroud, Directeur général de Citygie. Les villes peuvent également louer des équipements sanitaires via l’UGAP.Un partenariat gagnant-gagnant L’UGAP garantit la sécurité juridique grâce au respect de la réglementation relative aux marchés publics. « En recourant à l’UGAP, soumise aux obligations en matière de publicité et de mise en concurrence, les collectivités sont dispensées de telles procédures quel que soit le montant de son achat » précise Eric Haufricht, Directeur commercial de Citygie. Tous les 3 ou 4 ans, l’UGAP lance un appel d’offres auprès des fournisseurs pour alimenter son catalogue. Lille, Grenoble, Saint-Tropez, La Garde, Mulhouse, Le Havre, Paris, Angoulême, Rouen, Chamonix… Toutes ces villes sont passées par l'UGAP pour se fournir en sanitaires Francioli de Citygie.Des équipements sur mesure 100% françaisCitygie, avec ses marques Francioli, Birh et Protecsan, est un partenaire de longue date des collectivités, premiers clients de l’entreprise. Le spécialiste de la préfabrication béton a installé et assure la maintenance de 5 000 sanitaires publics en France. Les sanitaires sont entièrement imaginés et construits sur-mesure dans l’unité de fabrication de Chaleins, dans l’Ain. Ils sont ensuite transportés et installés en une journée, évitant ainsi des travaux pénalisants pour la circulation et les riverains.
Il y a 2 ans et 305 jours

Christophe Possémé, élu président du CCCA-BTP

Christophe Possémé est président de l’entreprise Le Bâtiment Associé à Muizon (51), qui compte 155 collaborateurs : maçonnerie, taille de pierre, charpente, ossature bois, restauration du patrimoine, travaux de déplombage et désamiantage, travaux publics.Après un CQP (certificat de qualification professionnelle) de briqueteur et un baccalauréat professionnel Construction bâtiment gros œuvre, Christophe Possémé a obtenu un diplôme de chef d’équipe gros œuvre puis un DUT (diplôme universitaire de technologie) de Conducteur de travaux. Il a également suivi le cycle de direction d’entreprise de l’Aproba et il est titulaire du certificat supérieur Développement durable et Qualité environnementale de l’IFRB. Après plusieurs années passées dans différentes entreprises du bâtiment, Christophe Possémé a rejoint en 2000 l’entreprise Le Bâtiment Associé en qualité de conducteur de travaux. Directeur de travaux de 2005 à 2009, puis directeur général adjoint de 2009 à 2010, il est depuis 2011 le président de l’entreprise.Son engagement professionnelChristophe Possémé a été président du NF DTU 20.1 Ouvrages en maçonnerie de petits éléments - Parois et murs de 2010 à 2013 et président de Constructys Champagne-Ardenne de 2011 à 2013.Il a également été vice-président de 2013 à 2019 de l’UMGO-FFB**, dont il est aujourd’hui le président. Depuis 2020, Christophe Possémé est membre du comité exécutif de la FFB (Fédération française du bâtiment) et président de la commission marché de la FFB. Un engagement de longue date dans la formation professionnelle aux métiers du BTPChristophe Possémé est de longue date investi dans la formation professionnelle aux métiers de son entreprise, notamment des jeunes par la voie de l’apprentissage. À ce titre, Le Bâtiment Associé, qui forme chaque année une vingtaine d’alternants et dont la formation et la montée en compétence permanente des salariés constitue une valeur forte de l’entreprise, a reçu en 2021 le Trophée de l’alternance.Le conseil d’administration du CCCA-BTP du 5 juillet 2022 a également élu :Éric Routier (FNCB-CFDT), vice-président,Ludovick Lefebvre (FNSCBA-CGT), trésorierLaure Vial (CAPEB), secrétairePour Christophe Possémé, président du CCCA-BTP : « Dans un environnement où les mutations sont désormais permanentes et s’accélèrent, les entreprises de nos secteurs du BTP doivent relever de nombreux et forts enjeux, qu’il s’agisse de performance environnementale, de transitions écologique, technologique et numérique, mais aussi de compétences professionnelles. Il est ainsi plus que jamais essentiel de former des jeunes à nos métiers, mais aussi d’assurer la montée en compétences des salariés de notre secteur. C’est le cœur de la mission du CCCA-BTP que j’ai désormais l’honneur de présider.Avec l’ensemble de notre conseil d’administration à gouvernance paritaire, pleinement mobilisé et déterminé pour relever ces défis d’avenir, je m’attacherai à porter, promouvoir et déployer une politique volontariste et innovante de formation professionnelle, en particulier par la voie de l’apprentissage. C’est le rôle du CCCA-BTP et ce que les partenaires sociaux du BTP attendent de nous, en déclinaison de leurs orientations. C’est d’ailleurs tout le sens de l’offre de services que le CCCA-BTP propose à l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP. En cette année anniversaire pour le CCCA-BTP, qui fête ses 80 ans, notre action doit permettre d’être toujours aux avant-postes des défis d’avenir que nous devons relever. Cela passe par l’anticipation et l’innovation, qui sont des marqueurs singuliers des initiatives que nous prenons et des projets que nous menons. Ma volonté est d’agir de façon transversale avec l’ensemble des acteurs de notre environnement, pour impulser et conduire des projets ambitieux et à fort impact, pour garantir la performance de notre activité et une haute qualité pédagogique dans la formation professionnelle à nos métiers du BTP. »* Le CCCA-BTP, outil des branches du bâtiment et des travaux publics à gouvernance paritaire, est dirigé à la fois par les fédérations professionnelles d’employeurs (CAPEB, FFB, Fédération des SCOP du BTP et FNTP) et les organisations syndicales de salariés (BATI-MAT-TP CFTC, CFE-CGC BTP, FNSCBA-CGT, FGFO Construction et FNCB-CFDT).** UMGO-FFB : Union de la maçonnerie et du gros œuvre - Fédération française du bâtiment.
Il y a 2 ans et 306 jours

Pouvoir d'achat : pour les syndicats, les salaires restent "le sujet prioritaire"

"Une succession de mesures ponctuelles et majoritairement financées par l'Etat ne peut constituer un ensemble suffisant pour répondre à l'urgence", écrivent dans un texte commun assez rare les centrales syndicales (CFDT, CGT, FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, Solidaires et Unsa) et les organisations d'étudiants et de lycéens (Unef, Fidl, Mnl, Vl)."Le salaire doit demeurer la base d'un partage des richesses rééquilibré en faveur des salariés. La prise en charge de mesures de pouvoir d'achat est aussi de la responsabilité des employeurs privés comme publics", jugent-elles.Elles affirment que le Smic "doit demeurer un salaire d'embauche et qu'il ne peut pas être une trappe à bas salaires maintenant les salariés au Smic toute leur carrière professionnelle".A cette fin, elles jugent que "la conditionnalité des aides aux entreprises est aujourd'hui un impératif"."Le futur débat parlementaire doit permettre d'avancer notamment sur cette conditionnalité des aides aux entreprises qui ne jouent pas le jeu en matière salariale", estiment-elles.Implicitement, les syndicats visent les exonérations de cotisations patronales "Fillon" qui s'appliquent jusque 1,6 Smic.Selon le dernier pointage du gouvernement, avec les hausses successives du Smic (octobre, janvier, mai) du fait de l'inflation, 112 des 171 branches de plus de 5.000 salariés ont au moins un coefficient salarial en dessous du Smic.Plus généralement, alors que le projet de loi prévoit le triplement du plafond de la prime exceptionnelle défiscalisée et désocialisée, dite prime Macron, les signataires rappellent que "ces exonérations et allègements de cotisations mettent à mal notre système de protection sociale collective".Réunies au siège de Force Ouvrière lundi soir, les organisations s'étaient mises d'accord sur les grandes lignes de ce texte commun. D'autres réunions sont prévues sur d'autres thèmes à la rentrée, la première à la CFDT le 5 septembre.
Il y a 2 ans et 306 jours

Combien de temps faut-il à une jeune entreprise pour devenir rentable selon son secteur d'activité ?

En moyenne, 56% des TPE deviennent rentables plus rapidement que les autres types d'entreprise, entre la première et la deuxième année, alors qu’un quart des entreprises de plus de 500 employés le deviennent entre 4 et 5 ans en moyenne20% des entrepreneurs français sondés considèrent la gestion du temps comme le challenge le plus important5 jeunes entrepreneurs sur 6 utilisent aujourd’hui des outils digitaux pour gérer leur entrepriseDevenir son propre patron représente l’avantage principal de l’entrepreneuriat pour près de 40% des répondants33% des entrepreneurs du secteur de l'éducation ont investi entre 25.000 et 49.999 € au démarrage, soit 2 fois plus que dans le secteur juridiquePrès de la moitié des entreprises deviennent rentables au cours de la première annéeEn France, près de 45% des entreprises deviennent lucratives entre la première et la deuxième année, et ce sont majoritairement les TPE qui deviennent rentables le plus rapidement (56%), qu’un quart des entreprises de plus de 500 employés le devenant entre 4 et 5 ans en moyenne.Selon une analyse par secteur, une majorité des entreprises les plus performantes s’inscrivent dans les domaines de l’architecture, de l’ingénierie et du bâtiment ; 69% d’entre elles deviennent rentables entre la première et la deuxième année. Par ailleurs, le secteur de la santé se distingue parmi les plus performants du marché dès la première année. Cela s'explique notamment par le fait que de nombreuses sociétés se sont établies durant la pandémie afin de venir en aide aux établissements de santé dans la gestion de la crise sanitaire. A l’inverse, la marge d'amélioration est plus conséquente pour 60% des entreprises du secteur du juridique ou 44% dans le secteur de la finance, voyant leur société générer du profit uniquement à partir de la 3ème année d'activité en moyenne.De la création à la pérennité de l'entreprise, différents challenges et opportunités s’imposent aux entrepreneurs, l’étude s’est attachée à comprendre les défis financiers liés à la création d'une entreprise à succès. En matière d’investissement de départ, alors que près d’un tiers des entrepreneurs du secteur de l’art et de la culture n’investissent pas plus de 9.999 €, 40% des entrepreneurs dans le secteur du juridique injectent entre 10.000 € et 24.000 € au démarrage. C’est toutefois dans le secteur de l’éducation que les investissements sont les plus conséquents puisque 33% des chefs d’entreprise déclarent avoir injecté entre 25.000 € et 49.999 €.La gestion du temps représente le challenge le plus important pour les entrepreneurs françaisMonter une entreprise pérenne est autant une affaire de passion, d'organisation que de gestion avisée de son temps. A ce titre, 20% des entrepreneurs français sondés considèrent le facteur de la gestion du temps comme le challenge le plus important auquel ils ont dû faire face depuis la création de leur entreprise. En effet, la planification du temps de travail et la priorisation des tâches peuvent avoir un impact considérable sur la productivité et par conséquent sur la rentabilité de l’entreprise, que cela soit positif comme négatif.Mais ce n’est pas le seul ; le graphique ci-dessous révèle les 5 plus fréquents :Qu’il s’agisse de réaliser des gains de temps ou de productivité, s’appuyer sur des outils et des services numériques dernière génération permet de se concentrer sur l’essentiel, gérer et développer son activité. Les avantages de l’entrepreneuriatAfin de comprendre les avantages de l’entrepreneuriat, les entrepreneurs ont été interrogés sur les critères qui constituent, selon eux, des leviers clés de différenciation et de satisfaction :Être son propre patron : 40% des répondants considèrent cet aspect comme le plus important.Flexibilité des heures de travail : 52% des sondés de plus de 55 ans jugent la flexibilité des horaires comme l’avantage le plus agréable.Voir son entreprise grandir apparaît comme une priorité pour 38% des entrepreneurs dans le business depuis 11 à 20 ans.Potentielle autonomie financière : 23% des chefs d’entreprise interrogés voient l’autonomie financière comme un élément essentiel de l’entrepreneuriat.Flexibilité du lieu de travail : 35% des entrepreneurs de plus de 55 ans jugent cet aspect important, contre seulement 15% chez les moins de 24 ans.Vous pourrez retrouver la recherche complète sur le site de SumUp à cette adresse.
Il y a 2 ans et 306 jours

La Banque de France confirme sa prévision de croissance à 0,25% au deuxième trimestre

"Dans un environnement difficile marqué par la guerre en Ukraine et les fortes tensions sur les marchés des matières premières, l'activité continue de résister même si les chefs d'entreprise font état de perspectives en demi-teinte", indique la banque centrale française dans son enquête mensuelle de conjoncture.Après le recul de 0,2% du PIB au premier trimestre, l'activité économique est repartie à la hausse en avril, a un peu accéléré en mai, et s'est stabilisée en juin, détaille la Banque de France, qui ajoute que cette stabilisation se confirmerait en juillet, selon les premiers retours des 8.500 entreprises interrogées dans son enquête.Ce sont surtout les services qui soutiennent l'activité, en particulier certains services aux entreprises (information publicité, études de marché), même si d'autres comme les services de transport et d'entreposage sont en repli, toujours pénalisés par les difficultés de recrutement et les hausses de prix.Mais globalement dans les services, "les incertitudes repartent à la hausse", souligne encore la Banque de France, du fait du regain de l'épidémie de Covid-19 en ce début d'été, des difficultés de recrutement et des inquiétudes sur l'évolution de la demande dans le contexte d'inflation.Sur les recrutements, les problèmes que rencontrent les entreprises pour embaucher se sont encore accrus de 3 points en juin et concernent désormais 58% des entreprises "le plus haut niveau atteint" depuis le printemps 2021, date à laquelle la Banque de France a commencé à interroger les entreprises sur ce sujet. Il y a un an 37% des entreprises affirmaient avoir des difficultés de recrutement.Les secteurs les plus concernés sont les activités de programmation, l'intérim, les services techniques, l'aéronautique et le second oeuvre dans le bâtiment.A l'inverse, sur le front des prix, moins de chefs d'entreprises indiquent avoir augmenté leurs prix de vente en juin, et ceci pour le deuxième mois consécutif, signe d'un "ralentissement" de la hausse des prix des matières premières et de moindres difficultés d'approvisionnement.Cette tendance "masque des différences entre secteurs", nuance toutefois la Banque de France, avec une situation qui s'aggrave encore dans la chimie, le caoutchouc-plastique ou encore l'industrie du bois et papier. La Banque de France s'attend à une croissance de 2,3% sur l'ensemble de l'année 2022, comme l'Insee, tandis que le gouvernement table sur 2,5%.
Il y a 2 ans et 306 jours

Les règles actuelles de l'assurance-chômage vont être prolongées, annonce Dussopt

"Ces règles sont en vigueur jusqu'au 31 octobre et nous travaillons pour voir comment les prolonger", a déclaré M. Dussopt sur Sud Radio.Il n'a pas précisé le nouveau terme, mais selon des sources syndicales, cette prolongation pourrait être d'un an ou jusque fin 2023.M. Dussopt a rappelé que l'application de la réforme de 2019 a été retardée de deux ans du fait du Covid et des recours des syndicats devant le Conseil d'Etat."Il faut d'abord faire une évaluation. Faisons d'abord un point sur l'utilité de ces nouvelles règles. Elles facilitent les recrutements, elles facilitent les incitations à l'emploi, mais nous avons quelques mois de recul seulement", a-t-il souligné.L'Unédic n'a pas encore fait d'évaluation de cette réforme et elle n'est pas attendue avant plusieurs mois.Le nouveau mode de calcul du salaire journalier de référence (SJR), base de l'allocation chômage, est entré en vigueur le 1er octobre 2021.Elle a été suivie au 1er décembre de la réforme de l'éligibilité (six mois de travail et non plus quatre pour être indemnisé) et de la dégressivité de 30% (pour les chômeurs de moins de 57 ans ayant perçu une rémunération supérieure à 4.500 euros brut) qui s'applique au bout de six mois et non plus huit.Le bonus-malus pour les entreprises (dans sept grands secteurs consommateurs de contrats courts) n'aura d'effet sur les cotisations chômage qu'en septembre 2022 même si la période d'observation des entreprises pour calculer cette modulation a démarré en juillet 2021.Pendant la campagne électorale, Emmanuel Macron a promis une nouvelle réforme pour que les règles d'indemnisation soient davantage modulées en fonction de la conjoncture.La prolongation des règles laisserait davantage de temps pour négocier cette réforme d'autant que certains syndicats et organisations patronales réclament qu'elle soit couplée à une modification de la gouvernance de l'Unédic, régime paritaire de l'indemnisation chômage où l'Etat s'invite de plus en plus.Ils n'avaient pas apprécié le déroulé de la dernière réforme, où l'Etat leur a d'abord demandé de négocier des niveaux d'économie élevés dans "une lettre de cadrage" très précise, puis avait repris la main à la suite de l'échec des négociations."On ne veut pas d'un système où les marges de manœuvre laissées aux partenaires sociaux pour fixer les règles sont trop réduites", a réaffirmé récemment Laurent Berger (CFDT).
Il y a 2 ans et 306 jours

Construire plus performant avec les systèmes de chauffage et de rafraîchissement Wavin

Convaincus de la nécessité d’améliorer l’efficacité des bâtiments pour réduire la consommation d’énergie, les services Recherche et Développement de Wavin ont développé des systèmes complets de planchers chauffants rafraîchissants basse température et de plafonds climatiques très peu énergivores adaptés à l’habitat résidentiel, collectif et au tertiaire. Pré-études avant-projet, études techniques, conception, assistance chantier... Wavin accompagne ses clients à chaque étape du projet avec une offre sur-mesure. Elle inclut l’ensemble des composants et accessoires nécessaires à la pose des planchers chauffants : dalles isolantes, tubes caloporteurs, système de régulation...Durables, efficaces et invisibles, les solutions de chauffage et de rafraîchissement par rayonnement Wavin diffusent une température homogène et constituent un moyen simple d’optimiser la performance énergétique des bâtiments. Elles sont pilotées, depuis un écran tactile ou une application mobile, par le système de régulation Sentio de Wavin. Ce système comprend des unités de contrôle central et d’extension, des thermostats et des sondes, qui rendent ces solutions de chauffage particulièrement simples d’utilisation et d’installation. Les solutions de chauffage et rafraîchissement Wavin offrent ainsi aux occupants une qualité de confort inégalée, tout en assurant des performances énergétiques éprouvées.Plancher chauffant rafraîchissant basse température WavinPerformant et invisible, le plancher chauffant rafraîchissant basse température Wavin garantit une répartition uniforme de la chaleur dans toutes les pièces et permet de profiter d’une température idéale du sol. Cette solution s’intègre facilement à l’habitat résidentiel, collectif et aux bâtiments tertiaires grâce à sa discrétion et sa conception sur-mesure. Ce dispositif de chauffage et de rafraîchissement par rayonnement est particulièrement adapté pour apporter un confort thermique homogène et agréable à ses occupants et ce même dans les grands espaces. L’association d’une pompe à chaleur, économe en énergie, avec une solution PCRBT* équipé d’un système de régulation, est idéale pour améliorer la performance globale du système de chauffage et rafraîchissement. Cette combinaison offre de très bons rendements et répond aux très hautes exigences en termes de performance énergétique des bâtiments.Le système complet de planchers chauffants/rafraîchissants Wavin bénéficie à ce titre de la reconnaissance CERTHITERM, la première marque de qualité en France à garantir le niveau de performances thermiques globales des systèmes complets de planchers, murs ou plafonds chauffants/rafraichissants hydrauliques basse température.*plancher chauffant rafraîchissant basse températureDalles isolantes à plots Phonixx Grande performance acoustiqueÉléments de base de tout projet de plancher chauffant basse température, les dalles isolantes ont un rôle primordial pour assurer la bonne isolation du sol, limiter les pertes de chaleur et assurer la durabilité du système de chauffage. Avec des résistances thermiques élevées allant de 0,75 à 5,55 m2K/W, les dalles isolantes Wavin certifiées QB ou ACERMI (Association pour la CERtification des Matériaux Isolants) comptent parmi les plus performantes du marché.Parmi elles, les nouvelles dalles isolantes Phonixx Wavin qui réduisent significativement la transmission des bruits de chocs. En effet, pour un excellent confort acoustique, elles offrent une réduction des nuisances sonores et des bruits d’impacts entre étages allant jusqu’à 21 dB, une valeur record ! Elles permettent ainsi d’obtenir une meilleure efficacité sans avoir recours à une sous-couche acoustique complémentaire.Légères et faciles à manipuler, ces dalles s’installent rapidement et sans difficulté pour gagner un temps considérable sur les chantiers. De plus, leur qualité et leur rigidité permettent la circulation des personnes lors de leur installation.Enfin, la composition mono-matière des dalles isolantes à plots Phonixx facilite leur recyclage tant lors de leur mise en oeuvre (chutes de chantier) qu’en fin de vie.Une barrière anti-oxygène protectrice au coeur de la structureFiable et durable, la nouvelle génération de tubes en Polybutylène Wavin Flexius BAO intègre désormais une Barrière Anti-Oxygène. Elle permet d’éviter le développement de boues dans les circuits fermés de plancher chauffant garantissant ainsi un bon fonctionnement sur le long terme. Ordinairement placée en périphérie extérieure des tubes, la BAO est ici intégrée au coeur de la structure du tube, la protégeant de tout endommagement lié aux aléas de chantier et garantissant sa performance. Ainsi, il n’y a aucun risque de dégradation de la BAO lors de la mise en oeuvre, lui garantissant une durée de vie optimale.Disponibles en plusieurs longueurs, les couronnes de nouveaux tubes Wavin Flexius BAO répondent aux besoins de toutes les tailles de chantiers de plancher chauffant et rafraîchissant. Leur grande flexibilité a inspiré le nom de cette nouvelle génération de tubes Wavin Flexius BAO qui facilite la réalisation des boucles au sol, quelles que soient les conditions de pose : froid, espaces restreints, pas de pose serrée etc.Très résistants à l’épreuve du temps, ces tubes caloporteurs sont naturellement inertes à la corrosion, aux impacts et à l’écrasement. Ils bénéficient d’un Avis Technique et de la certification Qualité pour le Bâtiment (QB) du CSTB. Par ailleurs, dans une logique de développement durable, Wavin travaille sur un programme pour réutiliser les chutes de mise en oeuvre des tubes Flexius BAO afin de les réintégrer dans la production d’autres produits de son catalogue.Une installation intelligente, connectée et sur-mesureUne bonne maîtrise des températures est indispensable pour optimiser la performance énergétique du bâtiment. En neuf comme en rénovation, les solutions de plancher chauffant et rafraîchissant Wavin distribuent la chaleur de manière uniforme et réduisent la consommation d’énergie. Elles sont pilotées, depuis un écran tactile intuitif ou une application mobile, par le système de régulation Sentio de Wavin qui comprend des unités de contrôle central et d’extension, des thermostats et des sondes. Véritable « cerveau » de l’installation, cette solution très simple d’installation puis d’utilisation au quotidien permet un pilotage précis du confort climatique pièce par pièce, tout en limitant la consommation énergétique : jusqu’à 15% d’économies d’énergie de chauffage*.Avec sa programmation très précise, les températures sont ajustées en fonction des heures d’utilisation des pièces et du confort souhaité, des apports extérieurs… Sentio bénéficie par ailleurs d’une certification Eu.Bac qui valide sa capacité à maintenir précisément une température cible malgré l’inertie inhérente à un système de plancher chauffant : valeur de CA = 0,5 K.Enfin, Sentio de Wavin peut également optimiser le rendement énergétique de l’installation en adaptant la température du fluide caloporteur en fonction des conditions climatiques extérieures, grâce à une unité de mélange et une sonde extérieure proposées en option. Il offre ainsi aux occupants une qualité de confort inégalée et des économies d’énergie significatives puisque le générateur ne produit que ce qui est nécessaire en maximisant l’utilisation des calories.*Source Ademe 2022
Il y a 2 ans et 306 jours

Suspension d'un projet immobilier contesté dans un ancien couvent parisien

Petit coin de campagne dans une impasse proche du parc de Montsouris (XIVe, sud), le couvent des soeurs franciscaines, avec sa chapelle et son large jardin boisé, devait être partiellement rasé pour faire place à un projet de 135 logements porté par le groupe Action Logement, premier bailleur social de France.Mais le premier adjoint Emmanuel Grégoire, bras droit de la maire PS Anne Hidalgo, a annoncé jeudi en Conseil de Paris un sursis à statuer sur l'examen du permis de construire pour "que ce projet réponde à notre objectif de produire du logement à Paris" tout en assurant "la protection des espaces verts protégés" et en évitant "les densifications en coeur d'îlot".La maire (Générations) du XIVe arrondissement Carine Petit, membre de la majorité de gauche, a rappelé son opposition aux différentes moutures du projet et salué une décision "très importante par rapport au changement climatique". "Il n'est plus possible de faire la ville comme on la faisait il y a dix ans ou encore cinq ans", a-t-elle estimé.Une première demande de permis de construire, établie en 2019, avait été retoquée, et c'est l'instruction de la deuxième version qui fait l'objet d'un sursis à statuer, rendu possible par l'actuelle révision du PLU "bioclimatique" qui doit être adopté début 2023.Ce sursis à statuer est donc à la fois une mise en "attente" et une "invitation à poursuivre le dialogue", a estimé Emmanuel Grégoire, adjoint à l'urbanisme.Cette suspension lui était réclamée par l'élu écologiste Emile Meunier, pour qui le projet "détruit une partie de l'espace vert protégé", comporte "une part de logements privés trop importante et pas assez de logements sociaux", et reste de surcroît "beaucoup trop dense".En janvier, l'association France Nature Environnement (FNE) Paris, qui dénonce régulièrement les projets urbains de la mairie, avait réclamé un sursis à statuer et la "sanctuarisation du site" pour mettre un terme au projet.Une partie des riverains se sont aussi mobilisés contre ce projet immobilier.
Il y a 2 ans et 306 jours

Le processus de succession du président-directeur général d'EDF est engagé

Dans ce contexte et alors que des chantiers d’envergure seront lancés par l’entreprise dans les prochains mois, l’Etat et Jean-Bernard Lévy sont convenus de lancer dès à présent le processus de succession de ce dernier à la tête d’EDF.Le mandat de Jean-Bernard Lévy en tant que président-directeur général prendra fin au plus tard le 18 mars 2023, compte tenu de la limite d’âge fixée par les statuts de la société.En accord avec Jean-Bernard Lévy, le nouveau président-directeur général d’EDF pourra être désigné avant cette échéance afin que le nouveau dirigeant soit rapidement en mesure de mettre en œuvre les chantiers stratégiques et industriels annoncés par le Président de la République à Belfort le 10 février 2022, notamment le lancement du programme de construction de six réacteurs nucléaires EPR 2 et la contribution d’EDF au développement accéléré des énergies renouvelables. Il aura aussi pour priorité à plus court terme d’assurer la remise en service des réacteurs nucléaires arrêtés pour maintenance.En huit ans, Jean-Bernard Lévy a poursuivi la transformation du Groupe EDF pour le préparer aux évolutions de long terme du mix de production énergétique en France et à l’international et lui permettre de prendre une part active dans la transition énergétique. EDF se positionne aujourd’hui comme l’un des leaders de la production électrique bas carbone, au travers d’un portefeuille d’activités diversifié, qui bénéficie de la confiance de dizaines de millions de clients.EDF s’est également affirmée en tant que chef de file de la filière nucléaire française, avec en particulier l'intégration réussie de Framatome et la reprise à venir des activités nucléaires de General Electric.Le Gouvernement salue le travail de Jean Bernard Lévy à la tête du groupe ainsi que la forte mobilisation de l’ensemble de son corps social pour garantir l’approvisionnement du pays en électricité bas-carbone.Jean-Bernard Lévy continuera d’assurer ses fonctions jusqu’à la nomination de son successeur par décret du Président de la République, après avis des commissions parlementaires compétentes et sur proposition du conseil d’administration d’EDF.
Il y a 2 ans et 306 jours

La production de tuiles est à son plus haut niveau depuis 2014

La production de tuiles et accessoires est en hausse de 15,9% en 2021 par rapport à 2020 et de 5,9% sur les 6 premiers mois de 2022 par rapport à la même période en 2021.Depuis 2020, la profession se mobilise pour répondre à une demande hors norme et servir ses clients dans des conditions d’activités difficiles (crise sanitaire et crise de l’énergie).Les lignes de production tournent à plein régime malgré l’augmentation massive et inédite des prix de l’énergie.Les niveaux de stock sont historiquement bas, les fabricants constatent une forte baisse du taux de retour des palettes consignées.Pour Isabelle Dorgeret, Directrice Générale de la Fédération Française des Tuiles et Briques : « Les équipes des fabricants sont conscientes des difficultés rencontrées par les sinistrés et elles sont mobilisées pour tout mettre en œuvre pour produire et servir les clients dans des conditions très tendues pour tous et avec un niveau de demande déjà très élevé. Les lignes tournent à plein régime, souvent organisées en 5x8 pour produire 24h sur 24 et sur 7 jours sur 7. La profession vend au négoce tout ce qu’elle produit, les stocks sont historiquement bas. Les tensions durent depuis plusieurs mois et les récents et tragiques épisodes de grêle n’arrangent rien. Sur le terrain et au travers de leurs organisations professionnelles, les fabricants, les négoces, les couvreurs travaillent pour prioriser les sinistrés. »+15,9% pour la production de tuile et +15 % pour les livraisons en 2021La production de tuiles et accessoires en tonnes est en hausse de 15,9% et les livraisons en hausse de 15 % (+15,1 % en France et 13,9 % à l’export). Ce sont plus de 42 millions de m2 de tuiles qui ont été produits et livrés au total et 5,5 millions de m2 supplémentaires en 2021 par rapport à 2020.Le stock en tonnes au 31 décembre 2021 était de 41,6% inférieur au stock avant COVID au 31 décembre 2019 et de 27,7% par rapport à celui de décembre 2020.Pour Isabelle Dorgeret, Directrice Générale de la Fédération Française des Tuiles et Briques : « Dès mars 2020, la profession s’est mobilisée pour servir ses clients et accompagner la reprise des chantiers. La branche a été parmi les 4 premières à obtenir la validation par le ministère du travail et le ministère de la santé de son protocole de travail pendant le COVID. Fin mai 2020, le taux de production et de livraison des tuiles et briques était à 95% de son niveau par rapport à la même période de 2019*. Fin 2020, la production n’a baissé que de 7% par rapport à 2019, mais, la demande était telle, que les stocks de tuiles et accessoires avaient déjà diminué de 20%. »Une demande toujours forte sur les 6 premiers mois 2022 accentuée par les épisodes de grêleLa production de tuiles et accessoires est en hausse de 5,9% et les livraisons sont en hausse de 1,7% en France pour les 6 premiers mois 2022 par rapport à la même période de 2021.Le stock de tuiles et d’accessoires à fin juin 2022 est diminué de 45% par rapport à celui de fin juin 2019 (avant COVID) et de 16,5% par rapport à fin juin 2021.Pour Isabelle Dorgeret, Directrice Générale de la Fédération Française des Tuiles et Briques : « On nous demande pourquoi ne pas ajouter des lignes de production. Malheureusement, il est compliqué et long de modifier une ligne production. Selon les produits, les sites, les modèles, les argiles ne sont pas les mêmes, les équipements ne sont pas les mêmes, les mises au point et les réglages sont longs. Ce n’est pas possible rapidement surtout dans un contexte de forte demande et créer une ligne requiert plusieurs années. »Energies, recrutement, palettes, transport : des conditions d’activités en tensionAlors que la filière des tuiles et briques n’est pas concernée par des difficultés d’approvisionnement pour sa matière première, l’argile, car les fabricants travaillent avec des argiles extraites dans leurs carrières à proximité des usines, les tensions sont principalement liées aux postes énergie, transport, logistique et main d’œuvre. Dès l’été 2021, la profession comme d’autres industries est ainsi fortement touchée par les hausses massives, brutales et inédites du coût de l’énergie, particulièrement du gaz naturel.Le mégawattheure (MWh) de gaz coûtait au quatrième trimestre 2021 en moyenne 91€ contre 19€ au premier trimestre1. Pour l’électricité, les tarifs sont passés de 50 à 156€/MWh2. Pour fabriquer une tonne de tuiles le poste énergie coûte en moyenne cinq fois plus au quatrième trimestre 2021 qu'au premier trimestre 2021. Pour le premier semestre 2022, la moyenne du cours s’établit à environ 100€.Pour Isabelle Dorgeret, Directrice Générale de la Fédération Française des Tuiles et Briques : « L’augmentation des prix de l’énergie et en particulier du gaz pourrait aussi avoir amené certains acteurs à stocker plus qu’avant à titre préventif. La pénurie de chauffeurs routiers, les tensions en délais et en prix sur les palettes affectent aussi nos capacités à livrer nos clients dans les délais et conditions auxquels ils étaient habitués et comme beaucoup de secteurs nous avons aussi des postes à pourvoir dans les usines pour lesquels nous peinons à recruter. Nous alertons aussi les pouvoirs publics sur les conséquences désastreuses pour la filière et nos concitoyens, si nous devions arrêter des lignes de production du fait de réductions d’approvisionnement en gaz liés aux plans de délestage en cours d’élaboration pour faire face dans les mois à venir à une interruption totale ou partielle des importations de gaz russe. »
Il y a 2 ans et 307 jours

"Sourcer" les jeunes sans emploi ni formation, un vrai travail

Le nombre de jeunes hors des radars institutionnels est par définition difficile à évaluer. Selon une étude de la Dares de 2020, un tiers des Neet (acronyme anglais de "ni en études, ni en emploi, ni en formation") ne seraient pas en contact avec le service public de l'emploi ou un autre organisme d'insertion."En Ile-de-France, chaque année, il y a près de 10.000 décrocheurs scolaires injoignables. Il existe pourtant une cinquantaine de dispositifs d'insertion, mais il y a des jeunes qui ne sont nulle part", explique à l'AFP Matthieu Piton, chef de la mission ville à la préfecture de région.Pour les repérer et les accompagner, la préfecture finance 200 postes de "référent de parcours" dans 200 quartiers de politique de la ville, "chevilles ouvrières" de son plan régional d'insertion jeunesse (PRIJ).Educateurs spécialisés, médiateurs sociaux, conseillers de missions locales... leurs profils sont variés mais ils font du "hors les murs, en allant dans les lieux où sont les jeunes, le soir, le week-end..."En s'appuyant sur les listes de décrocheurs - transmises par des groupes réunissant Education nationale, ville, mission locale, etc. - et leur réseau de proximité, ces référents ont repéré, remobilisé et accompagné 12.300 jeunes, dont 5.000 ont trouvé une sortie positive en formation ou en emploi."Leur atout principal, c'est la capacité à entrer en contact avec les jeunes", résume M. Piton.Référente à Vigneux-sur-Seine (Essonne), Muriel Buffet travaille pour une association de quartier qui s'occupe plutôt des familles, mais "les mamans lui permettent d'entrer en contact avec ces jeunes". "Je me promène beaucoup dans le quartier, j'ai mon réseau et ensuite le bouche-à-oreille fonctionne", témoigne Mme Buffet qui accompagne en permanence une vingtaine de décrocheurs vers l'insertion, notamment via l'apprentissage."Il faut d'abord montrer patte blanche, dire que vous n'êtes ni de l'Education nationale, ni de la police, ni de la justice, ces jeunes vous testent énormément", souligne-t-elle.'le lien', valeur cléCes "sourceurs" doivent avant tout "maîtriser les codes des quartiers", confirme Imane Kajiou, formatrice pour un programme d'inclusion baptisé "La Conquête des possibles", lancé par le groupe de formation IGS début 2021.Ce programme vise à ramener sur trois ans 850 jeunes Franciliens vers l'insertion, principalement par des contrats de professionnalisation avec des entreprises partenaires, après un "sas de remobilisation" intensif de 23 jours sur le campus du groupe pour les aider à reprendre confiance et définir un projet professionnel.Pour trouver 40 à 60 jeunes par mois, elle a recruté six "ambassadeurs" sur l'Ile-de-France dans son réseau d'éducateurs et de travailleurs sociaux."Dans les quartiers, les jeunes ne font confiance qu'à des gens avec qui ils ont un lien. Le bien est dans le lien", martèle-t-elle."Au début du programme, j'ai fait l'expérience d'une campagne de communication sur les réseaux sociaux, ça ne marche pas. J'ai eu 250 inscrits mais un seul est venu. Alors que sur 50 jeunes inscrits par un ambassadeur, 46 viennent", témoigne-t-elle.Educateur sportif à Grigny (Essonne), Aziz Ndiaye, ambassadeur, repère ces jeunes via "les activités de proximité" et notamment le club de foot où il officie."Quand je les connais à 10-15 ans, ça crée du lien. Ils reviennent me voir plus grands quand ils sont un peu perdus, ils me considèrent comme un coach pas seulement sportif", raconte-t-il.Pour éviter que ces décrocheurs rattrapés ne... redécrochent, "on reste en lien avec eux tout le temps, par les réseaux sociaux. S'ils sont absents un jour du programme, les ambassadeurs doivent aller voir ce qui se passe", explique Mme Kajiou.Ensuite, "le jeune communique avec beaucoup de jeunes. S'il est content de son expérience chez nous, il devient lui-même ambassadeur de sa réussite", souligne-t-elle.
Il y a 2 ans et 307 jours

Les syndicats vont présenter des revendications communes pour le pouvoir d'achat avant le débat parlementaire

Réunis au siège de Force Ouvrière, les syndicats se sont mis d'accord sur les grandes lignes d'un texte commun qui sera amendé et finalisé d'ici jeudi, a indiqué à l'AFP Marylise Léon, numéro deux de la CFDT."On a confronté nos propositions et on retenu deux-trois points clé pour une expression commune sur le pouvoir d'achat avant le débat à l'Assemblée", qui commencera le 18 juillet dans l'hémicycle, a-t-elle indiqué. "L'idée, c'est de l'envoyer à tous les parlementaires", a renchéri Pascale Coton (CFTC).Parmi ces revendications communes, les syndicats devraient demander de conditionner les exonérations de cotisations patronales à des négociations régulières au sein des branches pour avoir des grilles de salaires qui ne commencent pas en dessous du Smic.Selon le dernier pointage du gouvernement, avec les hausses successives du Smic (octobre, janvier, mai) du fait de l'inflation, 112 des 171 branches de plus de 5.000 salariés ont au moins un coefficient salarial en dessous du Smic. "On va rappeler la responsabilité des employeurs en terme d'évolution de carrière et de salaires car il n'est pas normal que des salariés restent toute leur vie au Smic", a ajouté Mme Léon."Nous voulons des hausses de salaires, pas des chèques", a souligné Mme Coton.Selon un autre participant, les syndicats devraient aussi exprimer leur opposition à ce que les heures supplémentaires soient exonérées de cotisations sociales."On veut montrer qu'à côté du +bordel+ politique, il y a un pôle de stabilité syndicale", a souligné ce participant au terme de cette deuxième réunion consacrée au pouvoir d'achat.D'autres réunions sont prévues sur d'autres thèmes à la rentrée, la première à la CFDT le 5 septembre.Le texte ne fera pas référence à en revanche à l'appel de la CGT et Solidaires à "une journée de grève interprofessionnelle" le 29 septembre pour réclamer des hausses de salaires.
Il y a 2 ans et 307 jours

Ecologic et le Réseau National des Ressourceries et Recycleries signent un accord-cadre pour le réemploi des équipements électriques et électroniques

Les fonds pour le réemploi prévus par la loi AGEC et renforcés par la loi Climat visent à allonger la durée de vie des produits – et éviter qu’ils ne deviennent des déchets.Dans cette perspective, Ecologic, éco-organisme historique de la filière des équipements électriques et électroniques (EEE) et le Réseau National des Ressourceries et Recycleries (RNRR) viennent de signer un accord-cadre pour développer le réemploi des équipement électriques et électroniques (EEE) et qui s’inscrit dans la continuité d’un partenariat de plusieurs années entre les deux organisations. Le réemploi des EEE : un enjeu écologique et socialDe très nombreux équipements électriques et électroniques se retrouvent dans les filières de recyclage alors qu’ils pourraient être remis en état et reconditionnés. En 2021, 6.000 tonnes d’EEE étaient réemployés. L’objectif d’Ecologic pour 2023 est de doubler le tonnage pour dépasser les 12.000 tonnes.Les ressourceries et recycleries du RNRR - acteur phare du réemploi solidaire en France - se caractérisent par une démarche à la fois écologique, sociale et sociétale. Associations loi 1901, présentes en milieu rural et urbain, elles luttent contre la surproduction, la surconsommation, le gaspillage et la pollution en offrant une nouvelle vie aux objets tout en œuvrant à l'insertion professionnelle de publics éloignés de l’emploi. Elles sont aussi des lieux de réflexion, de sensibilisation aux questions de transitions, de convivialité et de créations d’initiatives citoyennes.Pour développer le réemploi des EEE, elles ont néanmoins besoin de moyens additionnels.Un accord-cadre pour accompagner les ressourceries et recycleries du RNRRL’accord-cadre signé entre Ecologic et le RNRR constitue le premier jalon dans le processus du développement du réemploi. Pour René-Louis PERRIER, Président d’Ecologic : « Pour soutenir le développement de l’activité des adhérents du RNRR, nous allons les accompagner au travers de programmes de formations, d’acquisition de matériel et d’équipements, de mise en place d’ateliers de réparation et de reconditionnement. Notre but est d’accroître l’économie du réemploi solidaire et in fine, d’augmenter le nombre d’appareils réemployés. » Pour David Romieu, Président du RNRR : « La loi AGEC fixe des objectifs de réemploi très ambitieux qui doit atteindre 5% du poids des déchets ménagers pour 2030. Les moyens financiers qui seront déployés pour accompagner le développement de la filière des DEEE au sein des Ressourceries-Recycleries du Réseau sont substantiels et devraient permettre un effet levier important si l’ADEME et les collectivités locales maintiennent bien leur soutien à nos structures. Compte-tenu des enjeux, ces sources de financement complémentaires sont un élément clef pour favoriser l’économie du réemploi solidaire et de ses acteurs. »Le réemploi des EEE : un enjeu démocratiqueSi l’enjeu de cet accord-cadre est d’associer ambition écologique et sociale et d’essaimer et systématiser la démarche, il est aussi de démocratiser la question du tri pour que les EEE qui ont un potentiel de réemploi soient orientés vers les acteurs de l’ESS en capacité de réaliser ce réemploi de qualité. L’information auprès du grand public est donc essentielle à plusieurs titres. D’une part, pour mettre en lumière l’intérêt sociétal du réemploi mais aussi pour l’inciter à se tourner en tant que consommateur vers les EEE de seconde main.
Il y a 2 ans et 307 jours

Lancement du manifeste Unisson(s) : vers une architecture bas carbone et du vivant

Avec son manifeste, le mouvement UNISSON(S), porté par A4MT et l’Institut Français pour la Performance du Bâtiment (IFPEB), souhaite réunir les acteurs de la construction, de l’aménagement, du paysage et de l’industrie afin d’encourager l’émergence d’une nouvelle architecture, socle de l’évolution des nouveaux enjeux.Alors que la France met en place une Réglementation Environnementale de la construction en 2022, relevant le défi environnemental qu’est le réchauffement climatique en contraignant le contenu carbone des ouvrages, le mouvement UNISSON(S) s’engage à fédérer, encourager et promouvoir les acteurs de la filière prenant part à l’élaboration d’une nouvelle écriture architecturale. Pour y parvenir, UNISSON(S) souhaite recenser et donner à voir les expériences concrètes de ces parties-prenantes, en décryptant avec eux leurs réussites et leurs écueils comme le précisent les initiateurs du mouvement.Le but : « susciter le débat entre les spécialistes et créer le dialogue avec la société à travers une itinérance dans les différentes régions de France permettant ainsi le développement d’un regard critique et avisé des concitoyens non experts », explique Laurent Morel, Président de l’IFPEB, associé de A4MT et Carbone 4, et membre du Comité d'organisation d'UNISSON(S).« Créer une nouvelle culture ensemble qui permette de préserver les ressources autant que faire se peut. Que toutes les parties prenantes, les architectes, les ingénieurs, soient autour de la table pour réaliser la ou les transitions en s’amusant parce qu’il y a matière à s’enchanter, en prenant même de l’avance sur les prescriptions », déclare Laëtitia George, Présidente de Contrast-e et membre du Comité d'organisation d'UNISSON(S), à propos du mouvement.Cette dynamique, se voulant représentante d’une « école française » au sein du Nouveau Bauhaus Européen initié en 2020 par la Commission européenne, va permettre aux architectes de montrer un nouvel imaginaire des possibles de la ville et du paysage de demain à travers une architecture bas carbone et du vivant.Pour Anne Rouzée, architecte, associée d'ATELIERS 2/3/4 et membre du Comité scientifique d'UNISSON(S) : « Construire autrement signifie concevoir autrement avec la recherche d’une nouvelle esthétique. Comme pour le textile ou le mobilier qui connaissent le boom de la seconde main, le secteur de la ville et du bâti doit vivre encore plus vite la transition. »Pour Guillaume Mangeot, architecte, directeur de l’Agence PCA et membre du Comité scientifique d'UNISSON(S) : « L’architecture est le reflet d’une culture qui est elle-même le reflet de la société. Nous devons reconstruire un nouveau récit lequel se dans projeter et vivre ensemble. C’est cela qui me motive dans l’initiative d’UNISSON(S). »Le mouvement UNISSON(S) réunit ainsi des acteurs reconnus du secteur. Premiers grands parrains et signataires du Manifeste, BNP Paribas Real Estate, Bouygues Immobilier, Bureau Veritas France, Celsius Energy, Cabinet Malaquin, Espaces Ferroviaires, Nexity, Société de la Tour Eiffel et Sogelym Dixence, partenaires et sponsors s’engagent aux côtés d’architectes, paysagistes, maîtres d’ouvrages, concepteurs, élus, écoles et tous métiers de l’aménagement et de la ville.Accompagné de ses parrains et partenaires, l’Institut Français pour la Performance du Bâtiment (IFPEB), Action for Market Transformation (A4MT), Contrast-e, Construction21 et le Nouveau Bauhaus Européen, le mouvement UNISSON(S) invite tous les acteurs de la filière à signer son Manifeste en faveur d'une architecture bas carbone et du vivant pour dessiner, ensemble, la ville de demain.Pour Dominique Boré, Présidente d’honneur de la Maison de l’Architecture Ile-de-France et Commissaire générale d’UNISSON(S) : « Il faut que l’architecte soit le garant, le primus inter pares de la transition écologique du bâtiment. La nouvelle réglementation environnementale (RE2020) va conduire à se réunir avec toutes les parties prenantes et travailler autrement, dès l’amont des projets. »Pour son lancement officiel, le mouvement UNISSON(S) sera présent au Salon de l’Immobilier Bas Carbone (SIBCA) le 23 septembre prochain au Grand Palais Ephémère.Découvrir le Manifeste.Signer le Manifeste.Site Internet.Comité scientifique et technique d’Unisson(s) Dominique BORE l Cédric BOREL l Maud CAUBET l Claire CHABROL l Pierre DARMET l Laëtitia GEORGE | Annabelle LEDOUX l Guillaume MANGEOT l Laurent MOREL l Véronique PAPPE l Thierry PAQUOT l Christophe RODRIGUEZ l Anne ROUZEE
Il y a 2 ans et 307 jours

338.265 logements rénovés au premier semestre 2022 grâce à MaPrimeRénov’, plus d’un million depuis 2020

L’Anah publie le bilan de MaPrimeRénov’ au deuxième trimestreEn 2022, la dynamique de MaPrimeRénov’ ne faiblit pas. Avec déjà 338.265 logements rénovés au premier semestre 2022, MaPrimeRénov’ confirme son succès populaire.Les chiffres clés du premier semestre 2022MaPrimeRénov’ (hors MPR Copropriétés et MPR Sérénité) :318.429 logements rénovés ;1,2 milliard d'aides distribuées ;4,7 milliards d'euros de travaux générés grâce aux travaux.Avec MaPrime Rénov’, une gamme complète d’aides pour répondre à toutes les situationsMaPrimeRenov' confirme sa vocation sociale puisqu’elle a bénéficié à 68% à des ménages aux revenus modestes et très modestes. Les aides ont été majoritairement mobilisées pour changer le système de chauffage (70%), suivi de l’isolation (21%) et de la ventilation (4%).Selon une enquête de satisfaction, près de 90% des bénéficiaires de MaPrimeRénov’ se déclarent satisfaits, 66% n’auraient pas fait réaliser ces travaux sans cette aide et 97% déclarent une amélioration du confort de leur logement après leurs travaux.Avec MaPrimeRenov' Sérénité, les ménages aux revenus modestes bénéficient d’une aide financière plus avantageuse et d’un accompagnement personnalisé pour réaliser une rénovation globale de leur logement. Plus de 15.500 ménages en ont déjà bénéficié depuis le début de l’année. Les gains énergétiques permis par ces rénovations sont supérieurs à 50% en moyenne.Pour les copropriétaires, MaPrimeRenov' Copropriété permet de simplifier le financement des travaux grâce à une aide unique, versée au syndicat des copropriétaires et répartie selon les quotes-parts. Plus de 80 copropriétés en ont bénéficié, ce qui correspond à près de 4.300 logements.Dans le cadre du plan de résilience, MaPrimeRénov' a été revalorisée pour encourager les énergies renouvelables et réduire la dépendance des ménages au gaz et au fioul. Les forfaits relatifs à l'installation de certains équipements de chauffage (biomasse, pompes à chaleur, chauffages solaire) ont été majorés de 1000 € pour les ménages éligibles. Depuis le 15 avril, 38% des dossiers ont bénéficié de cette bonification, permettant de centrer l'intervention vers le remplacement des systèmes de chauffage les plus polluants.
Il y a 2 ans et 307 jours

Paris-2024 : l'Adidas Arena validée malgré l'opposition des alliés d'Hidalgo

Le débat autour de ce "naming" a illustré la fracture sur cette pratique entre les socialistes, qui y sont favorables, et leurs alliés de gauche avec lesquels ils dirigent la ville.L'adjoint (PS et apparentés) aux Sports et aux JO, Pierre Rabadan, n'a vu son projet adopté que grâce à l'abstention de l'opposition de droite et du centre (33 voix pour, 17 contre et 26 abstentions).La future enceinte de 7.800 places située porte de La Chapelle, dans le 18e arrondissement, accueillera les épreuves de badminton et de gymnastique pendant les JO de 2024 et portera donc le nom "Adidas Arena" pour cinq ans aux termes du contrat conclu avec la firme allemande et renouvelable pour sept années supplémentaires.En échange, la marque aux trois bandes versera à la ville près de 2,8 millions d'euros par an, dont 180.000 iront à des projets sportifs liés à ce quartier populaire du nord de Paris."Nous devons tous les jours faire les moins mauvais choix", a défendu l'élue socialiste de l'arrondissement Maya Akkari, pour qui les "recettes engrangées par ce +naming+ permettront d'améliorer notre action publique au service des Parisiens en général, et des habitants du quartier".Emmanuel Coblence, autre élu PS, a souligné le "montant sans équivalent en France, ni même en Europe" de ce contrat.Un argumentaire qui n'a pas convaincu les communistes, qui réclamaient depuis des années que le futur équipement porte le nom d'Alice Milliat, une pionnière du sport féminin à qui la ville attribuera en compensation le nom du parvis de l'Arena."Aujourd'hui, plus un bout de terrain ne doit échapper au sceau d'une marque", a déploré Nicolas Bonnet-Oulaldj (PCF), pour qui la Ville passe "à côté de l'Histoire" avec ce naming "sorti tout droit des pratiques du libéralisme".Autre poil à gratter de l'exécutif d'Anne Hidalgo, Emile Meunier (EELV) a regretté cette "publicité massive à une grande marque" à qui la ville "déroule le tapis rouge".Le groupe LR et apparentés, qui a hésité à faire capoter le projet, s'est finalement abstenu en raison notamment de "l'état catastrophique des finances de la ville", a expliqué Rudolph Granier, autre élu du 18e arrondissement.
Il y a 2 ans et 307 jours

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Il y a 2 ans et 307 jours

BWT France lance son réducteur de pression d’eau BWT D1

Conçu et fabriqué avec le savoir-faire et l’expertise de BWT France, ce réducteur de pression diminue les consommations d’eau, apporte une protection aux équipements et une barrière contre les impuretés. Une autre façon de préserver durablement nos ressources.Pourquoi réduire la pression d’eau ?Une pression excessive de l’eau de ville a des effets dommageables souvent méconnus.D’abord une surconsommation d’eau inutile, puisqu’on estime que 1 bar de pression en trop génère 20% de consommation d’eau supplémentaire. Pour une famille type de 4 personnes cela représente environ 120 € annuels*.Trop de pression nuit également à tout le circuit résidentiel de distribution d’eau sanitaire -canalisations, chaudière, installations sanitaires, robinetterie et appareils électroménager consommant de l’eau- et peut entrainer une usure prématurée de ces équipements.Enfin, une pression excessive peut générer des « coups de bélier » sonores et très néfastes pour la plomberie (fuites, déformation de conduits, cassures, usure des joints…).La solution pour parer à tous ces problèmes : l’installation d’un réducteur de pression pour diminuer la pression d’eau à la valeur souhaitée et à la juste valeur nécessaire.*Pour une consommation moyenne de 150 m3/an au prix moyen de 4 € le m3Le réducteur de pression BWT D1 : une nouvelle barrière protectriceConcepteur, fabricant et intégrateur de solutions de traitement d’eau, BWT France est leader dans son domaine et maîtrise toute la chaîne du traitement de l’eau de la maison. En ajoutant un réducteur de pression à sa gamme, BWT propose une nouvelle solution simple et efficace pour une eau de qualité et le confort des utilisateurs.Conçu comme une station de protection, ce réducteur en bronze assure comme fonction principale de réguler la pression entrante (jusqu’à 16 bars) à la valeur souhaitée (conseillée et pré-réglée d’usine à 3 bars). L’utilisation d’un effet Venturi breveté optimise le contrôle de pression et limite les pertes de charge sur l’installation. La graduation visible des deux côtés de la molette facilite le réglage et le contrôle de la valeur de pression sortante.Pour améliorer encore la qualité de l’eau, le BWT D1 est également équipé d’un tamis filtrant 160µm en inox qui retient les impuretés les plus grossières de l’eau (sables, particules, résidus de tartre ou de corrosion…) et protège l’installation. Son bol en plastique transparent permet un contrôle facile de l’état du filtre. En cas d’encrassement il se démonte sans outil.Le + produit : en enregistrant son réducteur de pression BWT D1 sur l’appli mobile BEST WATER HOME du fabricant, l’utilisateur reçoit des notifications pour le remplacement et le nettoyage du tamis filtrant en inox et peut suivre ses économies d’eau en temps réel.Pour en savoir plus sur le réducteur de pression BWT D1 : cliquez iciLe bon moment, les bons arguments pour faire le bon choixDans le cas d’une installation existante, le réducteur de pression est recommandé lors d’un remplacement de chaufferie ou de ballon d’eau chaude sanitaire (ECS). Et généralement, il vient compléter le système de filtration à l’arrivée d’eau générale.Pour une nouvelle installation, il est idéal de s’équiper de la station de protection E1 : une station complète et prête-à-installer qui combine 5 fonctions : filtration à 90µm, réducteur de pression, manomètre de contrôle, clapet anti-retour et vanne de coupure d’eau. La station E1 offre une protection maximale du réseau d’eau contre impuretés et excès de pression, pour un encombrement minimal.En maison individuelle, collective ou appartement, ces deux solutions BWT réduisent considérablement les risques de grippage des équipements et prolongent leur durée de vie. Elles réduisent la consommation d’eau. Enfin, elles offrent aux utilisateurs le confort d’une eau sans Impuretés et composants indésirables.Pour en savoir plus sur la station de filtration BWT E1 : cliquez ici
Il y a 2 ans et 307 jours

Le biofioul, alternative au fioul domestique, est distribué progressivement depuis quelques jours

Avec l’entrée en vigueur depuis le 1er juillet du décret n°2022-8 relatif à la performance environnementale des équipements de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire, l’installation de matériels utilisant à titre principal un combustible émettant plus de 300 g CO2eq/kWh PCI tout au long de son cycle de vie n’est plus autorisée.En conséquence, si le fioul traditionnel pourra continuer à être utilisé par plus de 3 millions de résidences principales recourant à cette énergie stockable, les installations neuves fonctionneront désormais avec un biofioul F30, lequel répond à l’exigence du plafond d’émission de 300 g CO2eq/kWh PCI fixé par le décret.Sous réserve de la publication d’un arrêté ministériel autorisant sa mise sur le marché, la distribution du biofioul F30 débutera dès le mois de juillet en Alsace, Auvergne-Rhône-Alpes et Ile-de-France. Les 200 premiers distributeurs qui le proposeront seront identifiés sur le site internet Biofioul.info dès la parution de l’arrêté ministériel. La distribution se poursuivra progressivement pour couvrir l’ensemble du territoire à l’automne 2022.Concrètement, depuis le 1er juillet :L’installation de chaudières neuves utilisant un combustible liquide[iii] reste autorisée à la condition d’utiliser du biofioul F30, dont le niveau des émissions tout au long du cycle de vie est inférieur à 300g CO2eq/kWh PCI. Une quinzaine de références d’équipements sont d’ores et déjà disponibles chez les constructeurs suivants : ATLANTIC – CHAPPÉE – CUENOD – DE DIETRICH – OERTLI – PERGE – WEISHAUPT.Les chaudières actuellement en service et installées suivant des devis signés jusqu’au 30 juin 2022 peuvent continuer à fonctionner avec du fioul domestique traditionnel (limité à 7% d’énergie renouvelable selon les spécifications actuelles).Pour Frédéric Plan, Délégué Général de la FF3C : « L’arrivée du biofioul est une alternative pour accélérer la fin du fioul domestique traditionnel à condition que sa fiscalité le rende attractif. En effet, les chaudières en service peuvent être adaptées à l’usage du biofioul notamment à l’occasion d’un changement de brûleur. C’est au législateur d’en prendre l’initiative. Si le gain de consommation d’une chaudière neuve de haute performance énergétique (de 25 à 30%) permet de gommer son surcoût, ce n’est pas le cas pour les chaudières existantes dont la longévité dépasse les 25 ans. »Le fioul domestique est la 3e énergie de chauffage en France. Il équipe plus de 3,5 millions de logements, dont 3,1 millions de résidences principales, sur un total de 29,8 millions, soit 12% du parc, principalement dans des territoires ruraux et périurbains, que les réseaux de chaleur ou le gaz de ville ne desservent souvent pas (sources Ceren et Ademe, 2017). En France, 25.000 communes ne sont pas raccordées aux réseaux de gaz, ce qui représente, sur l’ensemble du territoire, 13,4 millions de Français, soit 20% de la population (sources GRDF et Insee, 2018).