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Il y a 2 ans et 313 jours

Covid-19 : L’OPPBTP rappelle les bons réflexes pour se protéger du virus et limiter les contaminations

Sans constater cependant d’augmentation de cas graves, l’OPPBTP rappelle les réflexes et les gestes efficaces pour se protéger du virus et limiter les contaminations dans nos entreprises du BTP et sur les chantiers. Le lavage des mains fréquent et l’utilisation régulière du gel hydroalcoolique ;Le port du masque : dans les transports en commun, dans les salles de réunion qui ne peuvent pas être largement aérées ;L’aération systématique des salles, réfectoires et véhicules ;Le nettoyage régulier des surfaces (tables, poignées, équipements) ;La distanciation pendant les repas en privilégiant les prises de repas à l’extérieur ;La vigilance de chacun, le port du masque dès l’apparition des premiers symptômes (rhume, fièvre..) et la vérification par un test. Pour rappel, les tests dans un laboratoire ou une pharmacie sont toujours gratuits à condition d’avoir un schéma vaccinal complet (3 injections).Dans sa boîte à outils Covid-19, l’OPPBTP propose de nombreuses ressources ainsi qu’une base de Questions / Réponses spécifiques sur la Covid-19 à destination des professionnels. Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l’OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu’à distance grâce au service PréventionBTP En Direct.
Il y a 2 ans et 313 jours

État des lieux du parc de logements français à l'occasion du premier anniversaire du DPE nouvelle formule

État des lieux du parc de logements en France : un enjeu environnemental et économique pour les propriétairesA ce jour en France, 16,8 % des logements sont des passoires énergétiques (F et G), autrement dit des logements à rénover en priorité pour minimiser le gaspillage et la précarité énergétique.En France :75,4 % de tous les logements ont une étiquette énergie D ou pire, un constat d’ailleurs partagé à l’échelle européenne avec 82 % du parc au Royaume-Uni et jusqu’à 95 % en Espagne.Seulement 74 000 logements font l’objet de rénovations globales chaque année, sur les 360 000 nécessaires à la réhabilitation du bâti.Selon Pierre Leroy, co-fondateur de Heero, « l’impact de l’état du parc de logements est double… Le premier est bien entendu environnemental avec la question de savoir comment réduire les émissions de gaz à effet de serre et atteindre la neutralité carbone en 2050. Rappelons que 16,8 % des logements anciens consomment plus de 331 kWhEP/m² par an. L’autre conséquence est bien sûr économique : d’ici 2034, 15 millions de logements seront inaptes à la mise en location en France, du fait des dernières mesures relatives à la Loi Climat dont les premières entrent en application dès cet été ». En effet, à partir du mois d’aout 2022, les loyers des logements F et G ne pourront plus être augmentés et dès 2023 certains logements G ne pourront plus être mis en location. Mais avec la mise en place de l’audit énergétique en septembre 2022 c’est la plupart des logements énergivores qui pourraient subir une décote de prix en raison de la hausse des dépenses énergétiques qu’ils engendrent pour les acheteurs.En France, selon le Ministère de la transition écologique, 16,8 % des logements neufs et anciens confondus sont des passoires énergétiques, (18,4 % des maisons et 14,7 % des appartements), soit 4,8 millions de logements. A contrario 6,6 % seulement des biens sont économes (A et B), c’est-à-dire respectueux de l’environnement et peu coûteux à l’usage, mais ceux-ci sont généralement des biens neufs, avec bien sûr de fortes disparités régionales.De fortes disparités régionales liées au climat, à l’état du parc, à la typologie des logements et au dynamisme du marché immobilier7 régions sur 13, affichent une part de passoires supérieure à 10 % du parc de logement. La Bourgogne-Franche-Comté, le Centre-Val de Loire et la Normandie disposent actuellement du parc le plus consommateur avec respectivement 16,6 %, 15,7 %, et 14,8 % de passoires (logements évalués F et G dans l’ensemble de parc).De façon globale, les régions du nord et de l’est de la France affichent des besoins énergétiques supérieurs du fait de leur climat hivernal plus difficile mais aussi en raison d’un fort contraste en températures entre des étés chauds et secs et des hivers froids et humides… Résultat, les logements économes (évalués A ou B dans l’ensemble du parc, neuf inclus), sont en plus faible proportion : entre 13 et 17 % seulement.L’Ile-de-France fait figure d’exception avec près de 24 % de logements économes, le meilleur score avec l’Occitanie, en lien notamment avec la plus grande part de logements neufs dans les DPE réalisés - respectivement 21 % et 25 % - mais également avec une plus grande part d’appartements dont la consommation énergétique est souvent moins élevée que les maisons.C’est dans le sud de la France, dans les régions PACA, Occitanie et Nouvelle-Aquitaine que l’on compte actuellement le moins de passoires énergétiques : respectivement 6,8 %, 7,3 % et 7,6 %. Ce sont également celles qui affichent le plus de logements économes (entre 18 et 24 %). Ces résultats sont logiques compte tenu de l’attractivité du littoral Atlantique et de la Méditerranée qui affichent les plus forts soldes migratoires de France, avec un dynamisme du marché immobilier et de la construction (20 % des DPE sont réalisés dans le neuf en Nouvelle Aquitaine par exemple). En outre ces régions jouissent d’un climat plus favorable et comptent également beaucoup de résidences secondaires acquises par des ménages aux revenus élevés qui ont davantage de moyen d’entretenir et rénover leur logement.« Même si les régions du sud affichent de bons scores, ceux-ci reposent sur l’analyse des Diagnostics de Performance Energétique enregistrés entre 2014 et 2021, soit avant la réforme du DPE. Désormais, de nouveaux indicateurs sur le confort d’été et sur la ventilation sont pris en compte dans l’efficacité énergétique d’un logement. Même si on manque encore de recul, les territoires du sud risquent d’être plus impactés » analyse Romain Villain, directeur marketing et études chez Heero.La typologie des habitations a également son importance : la part des logements énergivores (évalués E, F ou G, neuf inclus) dans le parc de maisons, va de 26 à 47 % selon les régions, contre 23 à 38 % pour les appartements. Ce sont dans les régions Bourgogne-Franche-Comté, Centre-Val de Loire et Grand Est que les maisons sont les plus énergivores avec des taux entre 46 et 47 %, en rapport avec le climat mais aussi avec l’âge du parc (seuls 13 % de Dpe dans le neuf en Bourgogne-Franche-Comté).A noter que la part de maisons est très importantes dans cette région : 65 % du parc en Bourgogne et même 72 % en Centre-Val de Loire avec beaucoup de terrains agricoles et des habitats en lien avec l’activité (corps de ferme, maisons, chalets).Pour autant, si la Bretagne, les Pays de la Loire et la Nouvelle Aquitaine affichent plus de 70 % de maisons, seul un tiers d’entre elles sont énergivores, notamment en raison de la part importante de résidences secondaires dans ces régions mais aussi d’un dynamisme immobilier et de la construction plus important. « On le constate : la part globale de passoires énergétiques par région est généralement contrebalancée par la dynamique des programmes neufs. Si on retire cette variable de l’équation, le constat diffère : toutes les régions de France sont réellement concernées (surtout autour des ensembles montagneux), hormis le long des façades maritimes. La rénovation énergétique doit être sur tout le territoire, une priorité » analyse Pierre Leroy. « C’est pour cela que nous avons créé Heero : pour permettre aux Français de valoriser leur patrimoine mobilier, de réaliser une économie réelle sur leur facture d’énergie et de gagner en confort en leur apportant les solutions facilitant leurs démarches : une estimation des aides et primes en 3 minutes, un seul point d’entrée pour l’obtention des certificats d’économie d’énergie et MaPrimeRénov’, et un accompagnement pour le financement du reste-à-charge » Mais des atouts pour rénover et un effort des régions pour accompagner la rénovation, notamment dans les plus énergivoresDepuis le 1er janvier 2022, un nouveau service public de la rénovation énergétique en France a été lancé : France Rénov. Un objectif : regrouper les acteurs de la rénovation énergétique sous une seule et même bannière, les rendre visible. Il existe plus de 300 espaces France Rénov à date en France métropolitaine, répartis de façon plutôt homogène entre les régions.Ce sont dans les régions Nouvelle Aquitaine et Grand-est que l’on trouve le plus d’espaces France Rénov avec respectivement 45 et 42 espaces, suivi de la région Hauts-de-France, cette dernière avec le Grand-Est faisant partie des 3 régions dans lesquelles les besoins de rénovation sont les plus élevés. Viennent ensuite la Bretagne, Pays de la Loire et l’Ile-de-France, avec près d’une trentaine d’espaces France Rénov au total. Si la Corse est lanterne rouge du classement, avec seulement 5 espaces sur l’ile, rapportés au nombre de logements, c’est la région qui en compte finalement le plus, suivi de la Bretagne et du Grand-Est.« Même si depuis le début de l’année 2022, le gouvernement affiche une profonde volonté d’uniformisation, la multiplicité des dispositifs d’aide peut représenter un frein à ces rénovations énergétiques. D’autant que certaines régions ont également mis en place des plateformes d’aides à la rénovation énergétique, dans les régions du nord de la France, complétées par l’attribution d’aides financières locales à l’instar d’Effilogis en Bourgogne-Franche-Comté, de l’AREL dans les Hauts-de-France ou encore de la plateforme Eco Energie Normandie, dans la région du même nom. De belles initiatives mais que les particuliers ne connaissent pas forcément. C’est l’une des missions de Heero : les aider à mieux connaitre ces aides et de faciliter les démarches pour y accéder ! » analyse Romain Villain.L’objectif de Heero est de mettre à disposition des Français cette connaissance sur les dispositifs locaux et régionaux pour les aider, les éclairer et ainsi les inciter à passer à l’action. Toutes les données des territoires seront disponibles sur le site d’Heero https://heero.fr/ en accès libre ainsi que détaillées sur des pages dédiées à chaque région dans les prochaines semaines, grâce au travail d’une équipe renforcée de spécialistes de la data.
Il y a 2 ans et 313 jours

EPR de Flamanville : EDF estime pouvoir éviter les problèmes de Taishan

Les solutions "ont été présentées à l'autorité de sûreté (ASN) et sont en cours d'instruction (...). L'instruction se poursuivra sur toute l'année 2022", a déclaré lors d'une réunion publique Alain Morvan, directeur du réacteur en construction à Flamanville."Un dossier a été déposé. Des compléments ont été demandés par l'ASN", a indiqué à l'AFP Gaëtan Lafforgue, chef adjoint de la division normande de l'ASN, confirmant que l'avis du gendarme du nucléaire était une question "de mois".EDF a proposé des "solutions" à chacun des "trois" problèmes techniques qui se sont faits jour à Taishan, et ont abouti à l'arrêt d'un réacteur EPR depuis onze mois, a précisé M. Morvan. Il était le premier EPR au monde à avoir démarré, en décembre 2018.EDF va notamment remplacer 64 des 241 assemblages de combustibles nécessaires pour faire démarrer le réacteur de Flamanville par des assemblages modifiés en fonction d'un des problèmes de Taishan. L'entreprise a déjà commencé à fabriquer ces nouveaux combustibles.Les 64 combustibles retirés seront utilisés ultérieurement à des endroits du coeur de réacteur où ils ne posent pas de problème, a précisé M. Morvan.M. Morvan s'exprimait devant la commission locale d'information de la centrale nucléaire de Flamanville qui se tenait jeudi aux Pieux, commune jouxtant celle de la centrale. L'ASN, des syndicalistes, des élus locaux et des écologistes y participaient.Le réacteur 1 de Taishan "devrait redémarrer théoriquement bientôt. Ils ont fait la demande", a par ailleurs assuré Yannick Rousselet de Greenpeace France pendant la CLI. Le 2e réacteur EPR de Taishan, le seul en marche dans le monde, fonctionne lui "à 30% tout de suite", selon le militant antinucléaire.A Olkiluoto en Finlande, la mise en service de l'EPR est repoussée à décembre, a annoncé son exploitant mi juin.Le Président Emmanuel Macron a annoncé le 10 février un programme de construction de six autres EPR en France.Le chantier de Flamanville cumule dix ans de retard. Son coût est monté à 12,4 milliards selon EDF, 19 millards selon la Cour des comptes.
Il y a 2 ans et 313 jours

Wolf France, spécialiste de systèmes de chauffage, climatisation et ventilation, dresse un bilan positif de 2021

Une marque de confiance, pionnière dans le confort intérieurSpécialiste de systèmes de chauffage, de climatisation et de ventilation, WOLF se donne chaque année pour mission de répondre aux besoins les plus essentiels de chacun en termes d’eau, d’air et de chaleur pour un confort de vie au quotidien. Cet objectif s’est affirmé grâce à une large gamme de produits conçus avec des technologies ultra-modernes et dont la qualité et les hautes performances sont hors pair. De plus, tous les appareils de la marque se coordonnent parfaitement et peuvent être combinés ensemble, pour une gestion totale et globale du confort intérieur en résidentiel comme en tertiaire.Les distributeurs eux-mêmes sont conquis« La maintenance sur vos produits est vraiment facile, et rapide. La conception de vos produits est ingénieuse; vous vous mettez bien à la place des installateurs On voit bien que vous avez travaillé sur plein de détails qui nous facilitent la vie… La Wolf App est d’une simplicité exemplaire; on y trouve facilement toutes les pièces, avec les vues éclatées; et votre «inspecteur erreur» donnent bien les réponses attendues. Bravo pour votre service technique ; surtout n’en changez pas ! Vos techniciens à la hotline décrochent vite, et sont compétents. Félicitations pour votre logistique; la livraison à J+1, pour toute commande avant 12h30, marche parfaitement bien et est plus qu’appréciable. Les collaborateurs Wolf sont vraiment réactifs; on sent bien le sens du service, c’est très appréciable. WOLF en France, c’est un peu une grande famille; on connaît les gens par le prénom. Et on voit bien qu’ils se décarcassent pour nous. Quand je vois vos produits, je dis chapeau la qualité! Je peux proposer ça en toute tranquillité à mes clients. » La qualité PREMIUM comme ligne directriceLa qualité des produits WOLF n’est plus à prouver. WOLF veille à améliorer en continu ses technologies afin de proposer de nouvelles solutions toujours plus adaptées aux besoins futurs de la population et avec une qualité irréprochable « Made in Germany ».L’ensemble des produits WOLF chauffage sont PREMIUM et sont imaginés, créés et fabriqués dans leur usine à Mainburg en Bavière. 5 ans de garantie sont valables pour toutes les chaudières à condensation de 2e génération, pompes à chaleur et ventilations résidentielles. Outre la qualité que WOLF se fixe dans la fabrication de ses produits, l’entreprise a maintenu des délais de production courts en pleine crise de Covid-19 pour suivre l’exigence qu’elle s’est donnée. En pleine pandémie, WOLF est fière d’avoir continué à livrer ses clients dans les plus brefs délais, réel défi alors que les matières premières venaient à manquer.Le « Made in Germany » aspire aux quatre coins du monde à une image de qualité, de haut de gamme et de fiabilité reconnus depuis des décennies. Le label allemand est l’une des indications de provenance les plus réputées au monde, voire la plus prestigieuse.Les chiffres clés de l’année 2021Le C.A a connu une progression exceptionnelle de 50%Le C.A de WOLF Europe est de 500M€Toutes les familles de produits ont progressé : + 36% sur le gaz, + 183% sur les pompes-à-chaleurDes ambitions fortes pour l’année 2022Une entreprise pérenne qui recruteAvec plus de 3.000 employés à son actif, WOLF développe ses équipes d’année en année. En 2021, la structure a accru sa force commerciale (itinérante et sédentaire) pour accompagner son développement. 4 commerciaux ont rejoint l’équipe chauffage, basée à Lyon, et un chef de produit a également intégré les équipes pour superviser le lancement de la nouvelle gamme de pompes à chaleur FHA.Focus sur les produits phares de 2022WOLF développe son offre et va proposer une nouvelle gamme complète de pompes-à-chaleur monoblocs attendue pour l’automne 2022. Le segment des pompes-à-chaleur Air-Eau monoblocs est celui qui connaît la plus forte croissance (+ 82% en France en 2021). Ces produits, plus faciles à installer que les bi-blocs, répondaient à une demande constante de la part des clients. Les installateurs en rêvaient, WOLF l’a fait.La satisfaction client comme priorité continuePour cette nouvelle année, WOLF souhaite consolider ses liens personnels avec ses clients. Pour ce faire, les équipes ont pour projet de réaliser des présentations produits par le biais de quatre camions de démonstration qui parcourent la France. WOLF souhaite ainsi renforcer sa présence dans des départements français.Les équipes sont également mobilisées afin de réaliser des formations dans leur 4 centres de formation et comptent créer des événements destinés à leurs clients. En 2022, le positionnement de WOLF sur le marché de la pompe à chaleur sera confirmé grâce à la commercialisation d’une toute nouvelle gamme inédite, qui vient asseoir le statut d’expert de la marque sur son marché.
Il y a 2 ans et 313 jours

La solution de rénovation Réno VMC-Gaz de Cheminées Poujoulat récompensée par un Award de l'Innovation

Le Grand Jury a également accordé une mention spéciale à Cheminées Poujoulat dans la catégorie transversale « Bien Vivre dans la Ville en 2050 » pour cette solution d'adaptation aux installations VMC gaz. La remise des prix se déroulera lors de la prochaine édition du salon Interclima du 3 au 6 octobre 2022, qui fera son retour à la Porte de Versailles à ParisSeule solution sur le marché pour le remplacement d'un appareil VMC-Gaz par une chaudière performante (THPE) à condensationPlusieurs centaines de milliers de logements collectifs sont équipés de chaudières gaz sur VMC-Gaz en France, un équipement en vogue dans les années 1980.Depuis septembre 2015, la Directive européenne Éco-conception exige un rendement de plus en plus élevé pour les équipements gaz, imposant le recours à l'installation de chaudières à condensation.Mais avec un problème de taille à résoudre pour les professionnels : adapter les anciens conduits de VMC-Gaz qui ne supportent pas les effets induits des générateurs THPE.Déjà fort de plusieurs solutions permettant la rénovation et l'adaptation des conduits collectifs et individuels, qu'il s'agisse de l'évacuation des produits de combustion ou de la ventilation (Airflue Rénovation, Rénoshunt, 3CE P Multi+), Cheminées Poujoulat dévoile une nouvelle innovation : Réno VMC-Gaz.Ce système, unique en son genre à ce jour, permet de remplacer un appareil VMC-Gaz peu performant par une chaudière THPE à condensation dans les logements collectifs, en vue de réaliser des économies d'énergie.Il est constitué de conduits de fumées individuels en acier inoxydable et d'un terminal monté en toiture sur chaque colonne d'évacuation pour évacuer les produits de combustion et fournir l'extraction d'air nécessaire à la ventilation des logements.Réno VMC-Gaz est une solution brevetée en attente d'une validation d'ATEx.Facilité et rapidité de mise en œuvreRéno VMC-Gaz se distingue également par le fait que le système s'appuie sur le cadre technique existant.À la clé : des travaux limités, une vitesse de mise en œuvre réduite et moins de gêne pour les habitants. Et bien entendu, la VMC est conservée dans les logements.Dernier atout : l'installation peut être individualisée, logement par logement, un facteur primordial dans le cadre d'une copropriété !Réno VMC-Gaz sera disponible à partir de fin 2022.Une innovation à découvrir sur le stand de Cheminées Poujoulat - Pavillon 3 / Stand F112 - lors du salon Interclima du 3 au 6 octobre 2022, ainsi que sur l'espace Innovation Batimat situé au coeur de Pavillon 1.
Il y a 2 ans et 313 jours

La Cipav renforce sa démarche d’amélioration de la qualité de ses services

De nouveaux dispositifs pour mesurer la progression de la qualité de serviceAfin de garantir l’adéquation entre les attentes des affiliés et les services qu’elle leur apporte, la Cipav a déployé un ensemble d’outils de mesure de la satisfaction ; ceux-ci permettent aujourd’hui d’évaluer au plus près la satisfaction des assurés et de prendre en compte leurs retours pour améliorer continuellement la qualité de leur traitement.Un baromètre de satisfaction réalisé par un organisme indépendant, Qualitest, interroge chaque année un panel représentatif des professionnels libéraux adhérents sur l’ensemble des canaux déployés par la Cipav pour répondre à leurs besoins (canaux de contact, site web, brochures etc.). Ce baromètre permet dorénavant à la Caisse de piloter au plus près la satisfaction de ses assurés et d’ajuster si nécessaire ses actions en tenant compte des commentaires recueillis.Parallèlement à cette initiative annuelle et pour assurer toujours plus de réactivité, la Cipav a systématisé la mesure de la satisfaction des assurés après chaque contact (visite en point d’accueil, échange téléphonique ou en visioconférence), et particulièrement après le traitement du dossier de retraite. Des enquêtes ponctuelles sont également réalisées sur des sujets spécifiques.L’organisation de « focus groups » vient compléter ce dispositif. Animés par Qualitest, ils ont pour objectif d’ouvrir un espace de dialogue constructif entre la Caisse et des représentants de ses adhérents. Ces derniers sont invités à évaluer les outils mis à la disposition des adhérents (ex : compte en ligne, guide, application mobile …) et à formuler des propositions d’amélioration. Les premiers groupes conduits fin 2021 ont confirmé les progrès réalisés ces dernières années, notamment en matière de lisibilité des offres et de relations avec la caisse. Cette démarche est d’autant plus utile dans la perspective du transfert du recouvrement à l’Urssaf au 1er janvier 2023. La Cipav concentre ainsi ses efforts sur son offre de services et la qualité de ses prestations.Une Charte Qualité formalisera cette démarche en regroupant les engagements pris par la caisse et en affichant les indicateurs et objectifs de progrès.Axe 1 : Une caisse à l’écoute et au service de ses adhérents > la Cipav s’engage à :Apporter des réponses claires dans des délais annoncésÉvaluer le traitement des réclamationsMesurer régulièrement la satisfaction de ses adhérentsIdentifier et aider ses adhérents en difficultéAxe 2 : Une caisse performante et innovante > la Cipav s’engage à :Moderniser ses SI dans un objectif de performancePiloter ses processus dans une logique d’amélioration continueAxe 3/ Une caisse responsable et ouverte sur son environnement > la CipavGarantir par la formation l’expertise de ses salariésS’engage à être un acteur de la protection sociale et à inscrire son action dans une dynamique inter-régimes.Un nouveau service de médiation mis à la disposition des adhérentsDans la continuité de cette démarche qualité de service, la Cipav fait évoluer son service de traitement des réclamations et complète le système existant par la création d’une fonction médiation.Ainsi, depuis le début de l’année, les adhérents bénéficient, en cas de désaccord avec une décision de la caisse, d’une démarche alternative à l’engagement d’une action contentieuse.Le médiateur de la Cipav a ainsi instruit 157 demandes depuis le 1er janvier qui, dans la majorité des cas, ont conduit la caisse à faire droit à la demande de l’adhérent.Au-delà du traitement des recours individuels, le médiateur est investi d’une mission de conseil auprès de la direction et du conseil d’administration de la Cipav, en faisant remonter les points de friction récurrents et en permettant ainsi de lancer des réflexions concrètes visant à résoudre l’insatisfaction des adhérents.Pour François Clouet, Directeur général de la Cipav : « Le renforcement de notre démarche Qualité et la mise en place d’outils dédiés à cet effet, répond à la volonté nette de la Cipav de faire toujours mieux, afin d’apporter le meilleur service aux professionnels libéraux qui lui sont affiliés. Notre ambition est d’améliorer en permanence notre organisation et nos process pour contribuer à dessiner l’avenir de notre système de protection sociale, au service des assurés. »
Il y a 2 ans et 313 jours

L'architecte Rudy Ricciotti lauréat du futur "musée du Grand Siècle" à Saint-Cloud

Outre le Mucem, M. Ricciotti est connu pour avoir réalisé le stade Jean Bouin à Paris et le département des arts de l'Islam du Louvre à Paris.Ce projet de musée, financé par ce département, dans l'ancienne caserne royale du parc de Saint-Cloud, a été initié suite à la donation de l'ancien patron du Louvre Pierre Rosenberg, grand collectionneur d'oeuvres d'arts, en grande partie du XVIIe siècle.Le projet prévoit la restauration à l'identique des deux bâtiments principaux de la caserne royale et la construction d'un nouvel édifice, avec un espace d'expositions.Le musée "abordera la société du 17e siècle par le biais de tous les arts et tous les médias dans tous ses aspects y compris ceux qui fâchent", a précisé l'universitaire Alexandre Gady, directeur de la mission de préfiguration du musée, citant notamment le Code noir qui autorisa la France à utiliser des esclaves dans ses colonies.Le musée présentera des dessins, peintures, sculptures, mobiliers, gravures, médailles et objets d'art un panorama complet de la civilisation française du XVIIe siècle, entendu comme une période longue, allant d'Henri IV à la Régence (1589-1723).Le chantier doit débuter au printemps 2023, avec une ouverture du musée au public prévue en 2026.
Il y a 2 ans et 314 jours

LGV Bordeaux-Toulouse : première réunion du conseil de surveillance

Ce Grand projet du Sud-Ouest (GPSO) vise à relier Toulouse à Paris en trois heures et à Bordeaux en une heure, soit un gain d'une heure sur chaque trajet, ainsi que de vingt minutes vers Dax.Le conseil de surveillance de la société du GPSO réunit les 25 collectivités territoriales d'Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine qui participent au financement, ainsi que la SNCF.Le GPSO représente "327 km de lignes nouvelles, en incluant les aménagements au sud de Bordeaux et au nord de Toulouse", a précisé Etienne Guyot, préfet d'Occitanie et coordinateur du projet, lors d'une conférence de presse à Toulouse.La SNCF "maître d'ouvrage a présenté le planning de réalisation avec (...) un objectif de mise en service en 2032", a-t-il ajouté, annonçant un début des travaux d'aménagement en 2023.La présidente PS du conseil régional d'Occitanie, Carole Delga, a été élue à la tête du conseil de surveillance, à la suite duquel s'est tenue la première réunion du comité de pilotage du projet.Elle a souligné que le GPSO vise à "permettre une connexion à l'international, mais aussi le développement des trains du quotidien" en Occitanie, impossible selon elle en l'état des structures existantes, saturées ou en passe de l'être.Elle s'est par ailleurs engagée à faire en sorte de "gagner du temps par rapport au premier calendrier présenté" pour une mise en service plutôt en "2030-2031".Alain Rousset, président PS de la région Nouvelle-Aquitaine, a argué que la LGV est un "succès populaire" qui ne dessert pas seulement Paris, mais a "un report massif et écologique" sur les transports quotidiens et a invoqué la nécessité d'une 2e voie ferroviaire pour le fret.Le GPSO est financé à 40% par l'Etat, 40% par des collectivités locales d'Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine, et à 20% par l'Union européenne.Fin juin, la Commission européenne a refusé le financement d'études techniques d'aménagements au sud de Bordeaux, soit 17,3 millions d'euros sur les 2,8 milliards de fonds européens attendus."Cette annonce de l'Union européenne du 29 juin 2022 ne préjuge en rien des appels à projet ultérieurs", a déclaré lundi M. Guyot, soulignant que l'UE préfère soutenir "des projets déjà en phase travaux" et "a déjà financé 39,2 millions du GPSO sur les aménagements ferroviaires au nord de Toulouse, au sud de Bordeaux".Pour les opposants à la LGV toutefois, tel Pierre Hurmic, maire EELV de Bordeaux, "il est encore temps (...) de préparer une candidature alternative" avec la modernisation des lignes existantes, avant le prochain appel à subventions prévu en septembre.
Il y a 2 ans et 314 jours

Budget de l'État : toujours plus de dépenses sans lien avec la crise en 2021

L'an dernier, l'ensemble des dépenses du budget général de l'État a progressé de 37,1 milliards d'euros par rapport à 2020, à 426,7 milliards d'euros.Si les dépenses d'urgence du fait de la poursuite de la crise sanitaire ont reculé de 5 milliards d'euros, celles liées au déploiement du plan de relance se sont accrues de 17,5 milliards d'euros par rapport à 2020.En revanche, les dépenses du budget de l'État "hors mesures de soutien et de relance ont connu en 2021 une progression rapide" de 17,6 milliards d'euros, soit +5,1%, souligne la Cour des comptes dans ce rapport dont la publication, prévue avant le 1er mai, avait été reportée en raison des élections législatives."Cette augmentation est nettement plus forte qu'en 2020, puisque les dépenses hors crise avaient alors progressé de 2,6 milliards d'euros", insiste-t-elle, après s'être déjà inquiété dans un précédent rapport de l'évolution des dépenses publiques une fois la crise sanitaire passée.Cette progression s'explique en grande partie par le versement de l'indemnité inflation (3,3 milliards d'euros), la montée en puissance de la loi de programmation militaire (+2,7 mds) et la hausse de la charge d'intérêts de la dette (+2 mds), une première depuis 2011, liée à l'augmentation des taux d'intérêt et de l'inflation.Bercy, dont les ministres ont présenté lundi en Conseil des ministres le projet de loi de règlement du budget 2021, a souligné l'impact sur les comptes publics d'une subvention de 2,75 milliards d'euros attribuée à l'agence France Compétences, spécialisée dans l'apprentissage et la formation professionnelle.Par ailleurs, "3 milliards de hausse (des dépenses) sont liés aux achats de prévention dans le cadre de la crise sanitaire", comme les masques, souligne-t-on de même source.Entorses"Parmi les risques significatifs pour les années à venir", la Cour des comptes évoque notamment la hausse à venir de la charge d'intérêt de la dette du fait de l'inflation, et "des restes à payer (dépenses engagées devant être payées au cours des prochaines années) en forte progression", avec le plan de relance, le quatrième programme d'investissement d'avenir et la loi de programmation militaire."La soutenabilité de la dette publique suppose une nette réduction du déficit structurel dans les années à venir et notamment une action sur la dépense publique, dont le niveau rapporté au PIB est resté, en 2021, nettement supérieur à son niveau d'avant-crise", a embrayé le Haut Conseil des Finances publiques dans un avis sur le projet de loi de règlement publié lundi soir.Sur le plan de la technique budgétaire, la Cour des comptes regrette aussi des "entorses aux principes budgétaires" l'an dernier, avec des reports de crédit en fin d'année qui ont été "très supérieurs à ceux constatés habituellement".Le ministère a pour sa part jugé lundi soir qu'il n'y avait pas eu "d'irrégularité majeure" et a défendu la "prudence" et "l'agilité" budgétaires dont il a dû faire preuve face aux incertitudes de la situation sanitaire.Par ailleurs, la Cour des comptes a jugé "régulier et sincère" le compte général de l'État pour l'exercice 2021, malgré un certain nombre d'anomalies "significatives": un manque de provision pour le financement des dépenses militaires pour "au moins 3 milliards d'euros", une participation de l'État surévaluée dans EDF et sous-évaluée dans la Caisse des dépôts.
Il y a 2 ans et 314 jours

Embouts de vissage Impact NOVIPro : performants et pas chers

Les embouts Impact de NOVIPro présentent un revêtement en oxyde noir qui leur offre une grande résistance à la corrosion. Leur usinage numérique garantit une accroche optimale sur la tête de vis, et leur zone de torsion évite les casses fortuites en absorbant les impacts. Avec la gamme de produits NOVIPro : Vous vous équipez en matériel, outillage et consommables fiables et efficaces. Vous assurez votre confort et votre sécurité avec une large sélection de vêtements, chaussures et protection individuelle.
Il y a 2 ans et 314 jours

La Cour des comptes présente son rapport sur l'organisation des marchés de l’électricité

Permettre l'exercice de la concurrence entre fournisseurs, garantir aux consommateurs des prix stables et reflétant la compétitivité du parc nucléaire existant, assurer le financement de ce parc et disposer de capacités suffisantes pour garantir l'équilibre entre offre et demande d'électricité... Le rapport publié ce jour par la Cour des comptes répond à trois questions évaluatives sur les principaux dispositifs de la politique publique d'organisation des marchés de l'électricité. Il souligne que la mise en œuvre combinée de ces dispositifs au cours des dix dernières années ne permet plus de garantir que les objectifs initiaux soient atteints. Ce constat, illustré à l'extrême dans le contexte récent de flambée des prix du gaz et de l'électricité, appelle à mettre à profit les prochaines échéances de révision ou de caducité des dispositifs existants, pour clarifier les objectifs et revisiter les outils de l'intervention sur les marchés de l'électricité...Une intervention publique qui répond à des enjeux propres à la FranceLe système de production français se distingue au sein de l'Europe par le poids et la compétitivité du parc nucléaire historique. Dès lors, en l'absence d'intervention publique, l'ouverture à la concurrence du marché de l'électricité à l'échelle européenne se traduirait par un approvisionnement de la clientèle française à des conditions de prix susceptibles d'excéder nettement les coûts de production du parc français.Des outils d'intervention dont la mise en œuvre ne garantit plus l'atteinte des objectifsPour permettre le développement de la concurrence sur le marché de détail, les tarifs règlementés de vente (TRV), auxquels les deux tiers des ménages sont encore abonnés, sont désormais établis en fonction de coûts d'approvisionnement représentatifs de ceux des fournisseurs alternatifs (par opposition aux fournisseurs historiques, dont EDF). La stabilité et la compétitivité de ces tarifs dépendent de plus en plus du bon fonctionnement des régulations mises en place sur les marchés de gros (entre producteurs et fournisseurs), et notamment de l'accès régulé au nucléaire historique (ARENH). Depuis 2019, ces tarifs sont de plus en plus affectés par l'évolution des prix des marchés de gros, au risque de s'éloigner significativement des coûts de production du parc français. Ainsi, sans les mesures exceptionnelles du bouclier tarifaire mises en place début 2022 par le gouvernement, les tarifs règlementés de vente auraient bondi de 35 % TTC au 1er février 2022.L'accès régulé au nucléaire historique (ARENH), qui devait permettre aux fournisseurs alternatifs de s'approvisionner à des conditions équivalentes aux coûts de production d'EDF, est pris en défaut, car son prix n'a jamais pu être fixé au niveau de ces coûts de production. Son plafonnement en volume, lié au caractère provisoire du dispositif, n'a pas été ajusté à la progression des parts de marchés des fournisseurs alternatifs, entrainant ainsi un « écrêtement » des demandes de ces fournisseurs depuis 2019. Il a malgré tout permis à EDF de couvrir ses coûts comptables de production sur la période 2011-2021, même si cette couverture est de moins en moins assurée au fil des années.Le mécanisme de capacité mis en place en 2016 pour garantir une disponibilité suffisante des moyens de production lors des pointes de consommation hivernales est à l'origine d'importants transferts financiers entre producteurs et consommateurs. Il rémunère certaines filières, et notamment le parc nucléaire, de façon non proportionnée au regard des strictes nécessités de la sécurité d'approvisionnement.La Cour fait globalement le constat que la mise en œuvre combinée de ces différents outils aboutit à une organisation qui n'est plus ni lisible ni pilotable, et qui ne garantit plus l'atteinte des objectifs initiaux.Une politique publique dont les objectifs doivent être clarifiés et les instruments revisités à brève échéanceÀ court terme, la Cour appelle surtout à se pencher sur la méthode de calcul des tarifs réglementés de vente en cas d'écrêtement des demandes d'ARENH, afin de limiter l'exposition de ces tarifs à de brusques variations de prix de marché. À moyen terme, compte tenu du rôle toujours prépondérant du parc nucléaire dans la production d'électricité en France, la régulation publique de l'accès à cette production va rester un enjeu majeur au-delà du terme assigné à l'ARENH (soit fin 2025). La Cour appelle ainsi les pouvoirs publics à clarifier, dès 2022, les objectifs qui seraient poursuivis dans le cadre d'une nouvelle régulation du nucléaire, pour en déterminer les nouvelles modalités et garantir son articulation avec les autres dispositifs de politique publique.
Il y a 2 ans et 314 jours

Les lauréats des Awards de l’Innovation 2022 du Mondial du Bâtiment dévoilés

27 lauréats ont été retenus au cours de nouvelles délibérations. L’intégralité de ces innovations seront à retrouver dès le 3 octobre sur le Mondial du Bâtiment à La Porte de Versailles.Un palmarès reflet de la vitalité de la filière167 dossiers présentés, 82 nominés, 43 jurés mobilisés, 24 lauréats et 3 coups de cœur !Pour cette nouvelle édition, les Awards de l’Innovation ont montré un grand dynamisme. Cette édition d’exception met aussi en lumière les préoccupations du monde du bâtiment avec, en tête, le sujet de la décarbonation.Les jurés, représentants d’institutions, d’organismes de certification, de maîtres d’ouvrage, de maîtres d’œuvre, d’entreprises, de distributeurs, de médias spécialisés ont unanimement salué la quantité et la qualité des solutions présentées aux Awards de l’Innovation Nouveauté en 2022, les solutions concourent aussi dans cinq nouvelles thématiques d’usages correspondant aux grands enjeux transverses de transformation du secteur, en plus des catégories métiers :Construction 4.0L’environnementLe climatLes métiersUsager et habitantUn jury prestigieux3 est réuni pour élire les gagnants de ces thématiques. Il est composé de Hervé De Maistre, Président de VALOBAT ; Paul Duphil, Secrétaire Général de l’OPPBTP ; Philippe Estingoy, Directeur Général de l’AQC, Catherine Guerniou, Cheffe de file RSE à la FFB ; Marjolaine Meynier-Millefert, Présidente de l’ALLIANCE HQE ; Dominique Naert, Directeur du Mastère Spécialisé® Executive Immobilier et Bâtiment Durables à l’ECOLE DES PONTS ; Philippe Pelletier, Président du PLAN BÂTIMENT DURABLE ; Pierre Pichère, Président de l’AJCAM et Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB.Les Awards de l’Innovation 2022 au Mondial du BâtimentDu 3 au 6 octobre, les visiteurs auront la possibilité de découvrir la totalité des innovations candidates sur les Espaces Innovation de chacun des salons grâce à des sessions de pitchs thématiques quotidiennes et des écrans interactifs. Ils pourront également voter en direct pour leur innovation préférée.Les prix seront remis aux Lauréats sur les salonsPar ailleurs, le catalogue digital des innovations sera mis à disposition avant, pendant et après les salons sur un site internet dédié.« Nous sommes ravis de l’engouement qu’ont suscité les Awards de l’Innovation. Il est à l’image de celui qu’a provoqué le retour du Mondial après cette suspension imposée. Nous avons surtout pu constater que les industriels ont su mettre à profit cette période pour encore plus innover et s’emparer des problématiques de la filière pour y apporter des solutions concrètes. », indique Guillaume Loizeaud, Directeur du Mondial du Bâtiment.
Il y a 2 ans et 314 jours

Futur musée du logement populaire cherche... logement HLM

"Nous recherchons un territoire emblématique des grandes transformations socio-économiques des banlieues populaires au cours du XXème siècle", a détaillé Diane Chamboduc, enseignante d'histoire-géographie et vice-présidente de l'Association pour un musée du logement populaire (Amulop).Cette association, qui regroupe une quinzaine d'enseignants, chercheurs ou archivistes majoritairement issus de Seine-Saint-Denis, promeut le projet de musée pour raconter l'Histoire à travers les vécus des habitants des banlieues.Les quelque 5.700 personnes venues au cours des neuf derniers mois visiter l'exposition dans la cité Emile-Dubois d'Aubervilliers - entre logements témoins, richesses documentaires et récits familiaux - l'encourage à poursuivre.Prochaine étape: dégoter un lieu adéquat pour héberger un musée pérenne, à l'horizon 2024-2028.L'association en appelle aux bailleurs, offices publics d'habitats et pouvoirs publics pour dénicher la perle rare."Un immeuble relativement ancien, au tournant du XIXème-XXème siècle" idéalement, pour "la profondeur historique", et desservi par les transports en commun pour faciliter son rayonnement touristique, a précisé Mme Chamboduc.Son passé industriel et ouvrier, son peuplement "constitué des différentes vagues migratoires", ses grandes mutations urbaines mais aussi la "grande fragilité socio-économique d'une partie de sa population" font de la Seine-Saint-Denis "le territoire idoine pour raconter l'histoire sociale de la banlieue parisienne", assure l'Amulop.Le futur musée veut incarner les parcours de vie des habitants "dans une démarche participative", divergeant en cela des exemples de la Cité radieuse à Marseille ou du Familistère de Guise (Aisne), pour se rapprocher du modèle du Tenement Museum dans le Lower East Side de New York."Je veux que ce premier musée français soit en Seine-Saint-Denis", a déclaré Stéphane Troussel, président (PS) du conseil départemental, qui a lui-même grandi dans des tours."C'est la spécificité française que d'avoir le logement social comme un élément du patrimoine commun, en particulier pour ceux qui justement n'ont pas de patrimoine", a-t-il insisté, réaffirmant le soutien financier à l'association.Le musée racontera "une histoire de France certainement, mais aussi une histoire universelle" et surtout "une fierté d'être ici", loin des clichés, a pointé Emmanuel Bellanger, directeur du Centre d'histoire sociale des mondes contemporains, associé au projet.
Il y a 2 ans et 314 jours

2022, une année sous le signe de l’innovation technique pour la société Orsol

Avancée technique majeure avec l’obtention de deux ATExNouvelle étape qui s’inscrit pleinement dans la démarche qualité en place, les parements ORSOL bénéficient depuis juillet 2021 d’une ATEx (Appréciation Technique d’Expérimentation) de cas A n°2926-V1 délivrée par le CSTB.Cette appréciation technique vise à évaluer des produits ou procédés innovants par le biais de l’examen d’un dossier. Cette procédure d’évaluation a été menée par un comité d’experts coordonné par le CSTB, et s’est conclue par la délivrance d’une ATEx qui atteste de la fiabilité des parements ORSOL et de leur procédé de pose IDEAPOSE pour les supports de type béton banché et RT3 revêtus d’un enduit CS4. Ce procédé permet à ORSOL de garantir ses produits 10 ans (hors pose) et assure un rendu esthétique optimal dans le temps.De nouvelles possibilités au-delà du DTU pour les professionnels de la constructionCette ATEx offre notamment la possibilité de poser des parements ORSOL à joints non remplis dont le poids est supérieur à 40 kg/m22 jusqu’à une hauteur de 6m, en extérieur.Les parements ORSOL pourront donc être posés dans des situations non visées par le DTU 52.2 (Document Technique Unifié), et être ainsi plus facilement recommandés dans le cadre d’appels d’offre pour des chantiers publics ou ceux soumis à l’approbation d’un bureau de contrôle. Cette ATEx est ainsi une véritable reconnaissance technique qui facilite la démarche des architectes et promoteurs, car elle confirme que les parements ORSOL répondent pleinement aux normes de sécurité et de performance attendues dans le domaine de la construction.Une nouvelle ATEx en partenariat avec ZOLPANPour répondre aux préoccupations environnementales et exigences réglementaires en matière de performance énergétique (RT2012 et désormais RE2020), d’autres avis techniques ou ATEX sont en cours de développement de manière conjointe avec d’autres entreprises du bâtiment, notamment dans le domaine de l’ITE (Isolation Thermique par l’Extérieur). ORSOL a ainsi obtenu en décembre 2021 une ATEx en partenariat avec ZOLPAN pour la pose des parements ORSOL sur support PSE (isolation au polystyrène expansé). Cela ouvre de nouvelles perspectives techniques pour les projets d’architectes ou promoteurs immobiliers.Une démarche qualité renforcée avec la validation de nouveaux essais sismiquesAu cœur de son développement depuis de nombreuses années, la démarche qualité ORSOL permet à l’entreprise de proposer des produits fiables et durables pour les habitations et les lieux publics.Leurs résistances technique et chromatique en font des produits idéaux pour une utilisation en intérieur comme en extérieur. Dans le cadre de sa démarche qualité, ORSOL apporte donc le plus grand soin à ses processus de fabrication en relation avec les préconisations du CERIB (Centre d’Etudes et de Recherches de l’Industrie du Béton).En s’appuyant sur son Laboratoire interne, ORSOL procède régulièrement à des essais techniques, ce qui lui permet de vérifier que ses produits répondent aux normes du bâtiment recommandées par le CSTB (Comité Scientifique et Technique du Bâtiment). Ces essais se font sur les principaux critères de conformité propres au domaine des revêtements muraux, qui ont permis d’obtenir les résultats suivants sur les parements ORSOL et leurs accessoires:Coefficient d’absorption d’eau par immersion de 6,0 % conforme à la norme NF EN 13198-2003Résistance au gel / dégel : aucun défaut d’aspect, d’épaufrure, d’écaillage après 25 cycles NF EN 13198Résistance à la flexion : conforme à la norme NF EN 13 748-1 : Résistance > 4 MPa.Adhérence couple mortier colle / parement avec conditions initiales + après cycle gel/dégel : Conforme à la norme NF EN 12004 : Force de traction > 1.72MPa.Résistance à la compression : f(c28)= 50 MPa selon NF EN 12 1390-3.Résistance au feu : résistant selon la classification européenne A1 (anciennement M0)Coefficient d’absorption solaire : < 0,7 % (sauf Black, Anthracite, Ton Rocaille, Gris clair et Gris nuancé)C’est dans cette même optique d’amélioration continue que fin 2021, le CSTB a procédé à des essais sismiques jamais réalisés jusque là.Le test Eurocode 8 selon la norme NF EN 1998-1Un test dont l’objectif est de s’assurer qu’en cas de séisme, les vies humaines sont protégées, les dommages limités et les structures importantes pour la protection civiles sont opérationnelles. Pour cela, des parements jointés (collection Manoir) et à joints non remplis (collection Rocky Mountain) ont été posés dans les règles de l’art sur un support auquel on applique des vibrations. Les essais consistent en 8 séquences de test où on augmente progressivement ces vibrations. Le résultat de ces tests s’est avéré plus que satisfaisant puisque les parements ORSOL sont arrivés sans aucune chute ou fissuration jusqu’à la dernière phase de vibrations sismiques, censée représenter le tremblement de terre le plus important possible en France et dans les DOMTOM).Cette nouvelle série de tests a donc apporté la confirmation que les parements ORSOL peuvent être posés sur l’ensemble du territoire français, y compris dans des zones où la sismicité peut être importante.
Il y a 2 ans et 314 jours

Studios Architecture signe le nouveau siège Les Résidences Yvelines-Essonne

Sobriété vivante Le dernier projet de STUDIOS en architecture intérieure, développé pour Les Résidences Yvelines-Essonne, prône le retour aux fondamentaux qui créent la personnalité et l’équilibre des lieux. Dans l’esprit de la culture d’entreprise de l’ESH, les architectes ont développé une écriture sobre et efficace. Les espaces s’activent au travers de détails simples mais très soignés, dans les aménagements, les matériaux et le choix des couleurs. En témoigne le remarquable desk d’accueil aux allures courbées, qui se pare de fines lames de bois à la partition rythmée. D’emblée, le ton est donné pour partir à la découverte de ces touches subtiles ici et là déposées dans les différents espaces. L’ensemble, qui s’érige sur 5 étages, déploie un style feutré, au caractère intemporel. L’atmosphère est chaleureuse et apaisante, propice au bien-être et aux échanges. Aux étages, les plateaux ouverts offrent une grande fluidité dans l’expérience des utilisateurs. Les architectes ont souhaité casser la froideur de bureaux traditionnellement juxtaposés pour créer du relief en composant, à partir d’une diagonale, le mouvement de zones de travail assemblées en îlots dynamiques. De multiples espaces de collaboration viennent enrichir les zones de productivité. Ils sont tantôt ludiques comme le « cirque » aux gradins de bois recomposé et aux cubes colorés. Ou inspirée des halls d’hôtels avec fauteuils vintage et chaises de bar face aux grandes baies vitrées. La cafétéria invite au calme dans un esprit « salon ». Au dernier étage, la terrasse accessible à tous offre une vue 360 dégagée, avec des assises confortables pour s’y attarder. L’aménagement intérieur joue la carte de la simplicité. Le mobilier, qui privilégie les matériaux bruts comme le bois, est rehaussé de couleurs chaudes et apaisantes qui s’activent sur les murs et les tissus des fauteuils.Pour Hidékazu Moritani, Architecte Associé chez STUDIOS Architecture : « Le rôle de l’architecte est dans le détail. L’efficacité de matériaux travaillés avec finesse, et la cohérence des aménagements signent l’intemporalité d’un lieu. A travers ce projet, nous proposons un retour à la sobriété vivante et lumineuse, où les choix simples créent l’équilibre et l’harmonie. »
Il y a 2 ans et 314 jours

Le CCCA-BTP, accélérateur d'innovation dans la formation aux métiers du BTP, fête ses 80 ans

La soirée a été ponctuée de plusieurs séquences, en présence de personnalités et de représentants de l’État et des professionnels des secteurs du bâtiment et des travaux publics, acteurs de premier plan qui agissent au quotidien pour assurer une haute qualité pédagogique dans la formation professionnelle aux métiers du BTP, en particulier par la voie de l’apprentissage, et répondre aux besoins en compétences des entreprises et aux attentes des jeunes.Un événement riche d’échanges avec…Carine Seiler, Haut-commissaire aux compétences Sur le thème : « Transformation et digitalisation de la formation - De nouvelles modalités d’acquisition des compétences »Stéphane Rémy, Sous-directeur des politiques de formation et du contrôle à la délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle (DGEFP) Sur le thème : « Les branches du bâtiment et des travaux publics - Un rôle essentiel dans la mise en œuvre des politiques publiques » Édouard Geffray, Directeur général de l’enseignement scolaire au ministère de l’Éducation nationale Sur le thème : « Formation des enseignants et des formateurs - Qualité de l’acte pédagogique » Jean-Pierre Willems, Consultant, professeur à l’Université Paris 1 Panthéon-SorbonneSur le thème : « L’apprentissage BTP - Les grands enjeux à venir »Bruno Villalba, Professeur de sciences politiques à AgroParisTech Sur le thème : « Les secteurs du bâtiment et des travaux publics - Acteurs de la performance environnementale »Catherine Vandor, Mère d’un ancien apprenti formé à BTP CFA Brétigny-sur-Orge Sur le thème : « L’apprentissage aux métiers du BTP - Une voie de formation qui fait grandir »Ces séquences ont été ponctuées par les interventions d’Éric Routier, président du CCCA-BTP, et de Jean-Christophe Repon, vice-président du CCCA-BTP, ainsi que par des vidéos témoignages.Depuis 80 ans, toujours un temps d’avance...À travers 80 ans d’innovation au service des entreprises et des apprentis du BTP, le CCCA-BTP est resté fidèle à sa mission originelle : promouvoir et concourir au développement de la formation professionnelle aux métiers du BTP.C’est en prenant en permanence des initiatives et en gardant toujours un temps d’avance sur les évolutions socio-économiques, législatives, techniques, technologiques ou pédagogiques que le CCCA-BTP est devenu au fil des années un acteur majeur de la formation professionnelle aux métiers du BTP, en particulier par la voie de l’apprentissage. 94 500 apprentis sont aujourd’hui en formation dans les métiers du BTP dans près de 400 établissements de formation partout en France.Grâce à son ancrage paritaire, qui le connecte directement aux réalités des métiers et des territoires, le CCCA-BTP mène de nombreuses actions sur tous ses champs d’expertise (pédagogie, innovation, études, montée en compétences, communication…) au profit du développement et de l’excellence de l’apprentissage BTP. Ces actions visent à garantir une haute qualité pédagogique dans la formation aux métiers du BTP et à répondre aux besoins en compétences des entreprises du secteur et aux attentes des jeunes, y compris en termes d’accompagnement socio-éducatif.Anticiper, innover, performer…Avec la loi du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel, la formation professionnelle, en particulier l’apprentissage, a connu une mutation sans précédent, à laquelle les organismes de formation ont dû s’adapter, tant en termes de fonctionnement et d’organisation, qu’en matière d’offre et d’actions de formation, mais aussi d’innovation. C’est également pour répondre à ce profond changement, que le CCCA-BTP s’est lui aussi transformé et adapté pour relever tous les défis du nouvel environnement de la formation professionnelle. En sa qualité d’outil des branches du bâtiment et des travaux publics, le CCCA-BTP agit au profit de l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP. Avec son offre de services, il les accompagne pour leur permettre d’anticiper les évolutions, gagner en attractivité, assurer le développement de leur activité, optimiser leur performance et garantir une haute qualité pédagogique sur l’ensemble des territoires. Le CCCA-BTP, qui fait de l’innovation un marqueur fort de son action, soutient les expérimentations et les projets innovants avec des appels à projets et appels à candidatures, conçoit des ressources et outils pédagogiques adaptés à la montée en compétences des apprentis, aux nouvelles formes d’apprentissage (réalité virtuelle et augmentée, formation à distance, hybridation des compétences) et aux besoins en qualification professionnelle des entreprises. Le CCCA-BTP est un éclaireur de tendances, un accélérateur d’innovation dans la formation aux métiers du secteur de la construction et un impulseur de performance, au profit des organismes de formation aux métiers du BTP et, plus largement, au service des branches du bâtiment et des travaux publics.Le mot d’Éric Routier, président du CCCA-BTP« Nous avons souhaité faire de ce 80e anniversaire un moment à la fois convivial et éclairant de notre action au profit du développement, de l’excellence et de la performance de l’apprentissage BTP. Nous sommes les héritiers d’une longue histoire, sur laquelle nous pouvons capitaliser et qui nous permet d’éclairer notre présent et d’inscrire résolument notre action dans l’avenir. Les professionnels du BTP ont toujours eu la profonde conviction qu’investir dans la formation des talents de demain est une condition essentielle, pour assurer le développement et la pérennité de notre secteur du BTP. Les apprentis que nous formons sont les futures forces vives de nos entreprises. C’est au profit de l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP que notre association à gouvernance paritaire agit aujourd’hui, avec une offre de services qui leur est spécifiquement dédiée, pour assurer la performance de leur activité et une haute qualité pédagogique. » Le mot de Jean-Christophe Repon, vice-président du CCCA-BTP « L’identité paritaire de notre association nationale, qui connecte directement le CCCA-BTP aux réalités des métiers et des territoires, nous a toujours permis d’avoir un temps d’avance, pour adapter la formation à nos métiers du bâtiment et des travaux publics et répondre ainsi aux besoins en compétences et qualifications professionnelles dont nos entreprises ont besoin. Le CCCA-BTP a toujours eu une vision d’avenir et a toujours fait de l’innovation l’un des marqueurs essentiels de son action. C’est cette capacité à anticiper qui permet à notre secteur du BTP d’être aux rendez-vous des grandes transformations, qu’il s’agisse des transitions énergétique, technologiques ou numérique. La formation est essentielle aux entreprises et aux jeunes qui choisissent nos métiers. Elle est à la fois un vecteur économique, une source de développement et de compétences. La pérennité de nos entreprises passe par la promotion de l’apprentissage. »
Il y a 2 ans et 314 jours

Testoon s'associe à Matterport et propose des solutions de capture 3D et 2D pour le diagnostic et le contrôle du bâtiment

Une solution logiciel innovante : MatterportEn intégrant Matterport dans ses plans, on fait le choix d'obtenir une documentation numérique détaillée, en un gain de temps considérable. Effectuez une étude de site 3D de chaque espace et revisitez le jumeau numérique aussi souvent que nécessaire, sans déplacements longs ou coûteux. Bénéficiez d'un outil de visualisation de mesure de premier ordre pour une vue d'ensemble durable du portefeuille - une documentation numérique détaillée qu'il est presque impossible d'obtenir à partir de visites physiques seules. Exportez vos fichiers E57 (nuage de points haute densité) à partir du jumeau numérique ainsi que vos plans 2D : pdf,svg, png; fichiers techniques Matterpak : xyz, jpg, pdg, obj et enfin vos fichiers BIM : rvt, dwg et rcs.Découvrez la numérisation 3D, éliminez les erreurs de mesure et évitez les documents multiples et conflictuelsA l'aide de la caméra Matterport Pro 2 , il est très simple de capturer un espace. On obtient par la suite, dans l'espace Matterport, un plan en 2D ou bien 3D, qu'il est possible d'étudier pour ajouter ses mesures , définir un point de départ pour la visite virtuelle, d'ajouter du contenu ou de créer des liens afin de les partager.Jean-Michel Catherin, dirigeant de Testoon, déclare : "Cela fait des années que des diagnostiqueurs nous demandent la possibilitéde générer des plans directement depuis un appareil de mesure. Enfin, Matterport apporte une solution, qui nous l'avons constaté, génère un effet *waouh* lorsque l'on transforme une prise d'image en plan."La solution Matterport est compatible avec différents appareils de mesures et de prise d'images Effectuez des visites virtuelles et des mesures sur plan avec la caméra 3D haute définition Matterport Pro 2 mais également avec Axis pour iPhone et Androïd, les caméras Ricoh Theta et le scanner Leica BLK 360.
Il y a 2 ans et 315 jours

Londres annonce des mesures de soutien pour la reconstruction de l'Ukraine

Lors de la conférence sur la reconstruction de l'Ukraine à Lugano, en Suisse, Mme Truss exposera les projets du Royaume-Uni pour soutenir le pays à court terme, à travers l'aide humanitaire, mais aussi à plus long terme pour relancer l'économie ukrainienne en apportant l'expertise financière et économique britannique, a indiqué son ministère dans un communiqué dimanche.Londres soutiendra notamment la reconstruction de la ville et de la région de Kiev, à la demande du président Zelensky, indique le Foreign office.Le Royaume-Uni compte également travailler avec Kiev et ses alliés pour accueillir la conférence sur la relance de l'Ukraine en 2023 et établira un bureau à Londres pour aider à coordonner ces efforts."Le redressement de l'Ukraine après la guerre d'agression de la Russie sera le symbole du pouvoir de la démocratie sur l'autocratie. Cela montrera à Poutine que ses tentatives de détruire l'Ukraine n'ont abouti qu'à une nation plus forte, plus prospère et plus unie", a déclaré la cheffe de la diplomatie britannique, en amont de la conférence."Nous avons été en tête en termes de soutien à l'Ukraine pendant la guerre et continuerons à être en tête du soutien au plan de reconstruction et de développement du gouvernement ukrainien", a-t-elle affirmé.Mercredi, le gouvernement britannique avait annoncé débloquer un milliard de livres (1,16 milliard d'euros) d'aide militaire supplémentaire à l'Ukraine pour répondre à l'invasion russe, comprenant des systèmes de défense anti-aérienne et des drones.Ces nouveaux fonds vont porter l'aide militaire britannique à Kiev à 2,3 milliards de livres.
Il y a 2 ans et 315 jours

Salaires dans les branches professionnelles : le gouvernement va réunir les partenaires sociaux

L'objectif du gouvernement est d'éviter une trop grande "smicardisation" des grilles salariales dans un nombre de secteurs d'activités jugé trop important."Nous avons un peu plus de 110 branches sur les 170 qui ont au moins un niveau de rémunération théorique inférieur au Smic. Il y a beaucoup de travail pour se mettre à jour", a déclaré M. Dussopt sur Europe 1.Selon les derniers chiffres du ministère, au 17 juin, sur les 171 branches suivies du régime général couvrant plus de 5.000 salariés, 120 affichaient une grille comportant au moins un coefficient inférieur au Smic en vigueur.M. Dussopt réunira "la semaine prochaine" le comité de suivi des négociations salariales de branche, composé des partenaires sociaux, ce qui "sera aussi l'occasion de dire que le gouvernement est attaché à ce que la loi soit respectée".A défaut, le ministre brandit la menace d'une fusion de branches, "dans une logique de réduction" de leur nombre "que l'on poursuit depuis plusieurs années", a-t-il rappelé.Les revalorisations "automatiques" du Smic, qui se sont succédé en octobre, janvier et mai du fait de l'inflation, ont aggravé la situation de certaines grilles salariales laissées en jachère faute de négociations régulières. Et une nouvelle hausse du Smic se profile en septembre."A chaque fois que le Smic est augmenté, il y a un risque avéré que les premiers paliers des minima de branche soient en dessous du Smic", a expliqué le ministre."Cela ne veut pas dire que les salariés sont payés en dessous du Smic, c'est illégal", mais qu'il y a un "risque de devoir attendre plusieurs années d'ancienneté pour décoller du niveau du Smic (ce qui est communément appelé la "smicardisation" des rémunérations, NDLR), et donc les branches sont tenues d'ouvrir des négociations sur leurs minima".A cause de cette faiblesse des salaires, "il y a des secteurs qui perdent en attractivité", a-t-il souligné en prenant l'exemple de la sécurité et du gardiennage."Nous y travaillons beaucoup parce que, dans la perspective des Jeux olympiques à Paris, il y a une nécessité de former et de recruter beaucoup d'agents de sécurité. Dans ce secteur, vous avez 300.000 personnes titulaires de la carte professionnelle et sur ces 300.000 personnes, plus d'un tiers n'y travaille plus, ça illustre le problème d'attractivité", a-t-il expliqué.
Il y a 2 ans et 315 jours

Remaniement : découvrez le nouveau gouvernement et les personnalités pour le BTP et l'artisanat

Comme prévu et comme le veut la tradition, les ministres-candidats éliminés aux élections législatives ont donnés leurs démission et l’Élysée vient de nommer un nouveau Gouvernement, profitant de l'occasion pour créer de nouveaux postes de ministres délégués dans des domaines comme l'Artisanat, le Logement ou les Transports.Olivier Klein, un connaisseur des quartiers déshérités chargé de la Ville et du logementIl est à la tête d'une des villes les plus pauvres de France: Olivier Klein, 55 ans, maire de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), a été nommé lundi ministre délégué à la Ville et au logement.L'élu fait entrer les quartiers populaires au gouvernement.Maire de Clichy-sous-Bois depuis 2011, Olivier Klein est un enfant du cru. Il a grandi dans le quartier du Chêne Pointu à Clichy-sous-Bois, décor des "Misérables" de Ladj Ly et souvent présenté comme l'une des copropriétés les plus dégradées de France.D'abord membre du Parti communiste, ce professeur d'histoire-géo a rejoint le PS en 2006. Après une quinzaine d'années dans le camp socialiste, M. Klein s'est rapproché puis a soutenu Emmanuel Macron.Enfant, il vendait avec son père l'Humanité et Pif Gadget les week-ends et les 1er Mai, dans la galerie commerçante du Chêne Pointu, "c'était une tradition", a confié à l'AFP M. Klein qui a vu les classes moyennes déserter Clichy-sous-Bois dans les années 1980.C'est à partir de cette ville déshéritée de Seine-Saint-Denis que les banlieues françaises se sont embrasées en 2005 après la mort de deux adolescents, Zyed Benna et Bouna Traoré, électrocutés dans un transformateur électrique en tentant d'échapper à la police."Y a du boulot !""Il est très engagé dans sa ville", estime le président PS de la Seine-Saint-Denis Stéphane Troussel. "Il a contribué à la transformer, personne ne peut dire que cette ville n'a pas changé en 15 ans", souligne l'élu.M. Klein "est accessible, à l'écoute et impliqué localement. Il a contribué au désenclavement de Clichy" avec notamment l'arrivée du tramway, la construction d'un conservatoire, d'une piscine et de logements neufs, énumère Mohamed Mechmache, fondateur de l'association ACLEFEU basée à Clichy-sous-Bois. "Il défend l'idée de soutenir les petites associations de proximité car elles ont un vrai ancrage", assure M. Mechmache également président de la coordination "Pas sans nous" qui a fait un tour de France des quartiers pendant la dernière campagne électorale présidentielle.A la tête de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) depuis 2018 et vice-président de la Métropole du Grand Paris, délégué à l'habitat et la mixité, "il a une connaissance de l'aménagement et de la politique de la ville", selon M. Mechmache.Selon lui, cette nomination au gouvernement est "un message important" pour une ville aussi "médiatique que Clichy-sous-Bois"."J'espère que dans les semaines, les mois, les années à venir, il saura ne pas oublier la Seine-Saint-Denis et défendre l'égalité territoriale parce qu'il y du boulot!", lance Stéphane Troussel.Caroline Cayeux, maire de droite expérimentée, aux Collectivités localesLa maire de Beauvais Caroline Cayeux, nommée lundi ministre déléguée aux collectivités locales, est une septuagénaire énergique, représentante selon ses dires de la "droite sociale", qui avait récemment appelé à un rassemblement trans-partisan autour d'Emmanuel Macron.Elle possède une expérience de son portefeuille, étant à la tête depuis 3 ans de l'Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT), un établissement public destiné à assurer la coordination entre l'État et les collectivités territoriales.Maire de Beauvais depuis 2001, elle préside depuis 2014 "Villes de France", une association qui regroupe les localités de 20.000 à 100.000 habitants et est aussi membre du bureau de l'Association des maires de France (AMF).A l'UMP puis chez Les Républicains, Mme Cayeux s'est affichée aux présidentielles de 2012 et 2017 comme un soutien sans faille de François Fillon, qu'elle considère comme l'héritier du "gaullisme social" de Philippe Séguin.Lors de la campagne de 2017, elle avait comparé "les Macronistes" aux membres de la secte Moon et aux Raéliens, Emmanuel Macron étant pour sa part ramené à un rôle d'"illusionniste mystique qui présente bien".En 2018, celle qui était encartée à droite depuis 1981 avait cependant claqué la porte des Républicains, en désaccord avec le président d'alors, Laurent Wauquiez.Cette rupture partisane ne l'avait pas empêchée d'être réélue dès le premier tour des municipales 2020 à Beauvais, soutenue par la République en Marche.Elle se pose désormais en rassembleuse: après les législatives, elle avait appelé dans le JDD à la constitution d'"une plateforme programmatique trans-partisane" avec "les forces politiques volontaires (...) aux côtés du président de la République".Née à Paris en 1948, cette licenciée d'anglais, titulaire d'un diplôme supérieur de droit international privé, a été enseignante, puis responsable d'un organisme de formation professionnelle.Elle s'est fait connaître en 2001 en devenant maire RPR de Beauvais à la surprise générale, contre le sortant socialiste, en place depuis 24 ans. Elle s'est aussi longtemps investie dans son ex-parti dans le sillage de Philippe Séguin.Elle a subi plusieurs échecs électoraux: cantonales 2001, législatives 2002, sénatoriales 2004, régionales 2004 et 2010. Entre 2011 et 2017, elle est sénatrice de l'Oise.Très active sur les réseaux sociaux, Caroline Cayeux communique sur Twitter, Facebook, Instagram et Snapchat.Mais cette hyper-activité en ligne peut avoir son revers: le 1er avril 2018, elle annonce sur Facebook l'arrivée d'un Ikea dans sa ville, avec un millier d'emploi à la clé. Un poisson d'avril... qui provoque un tollé localement.Mariée à un agriculteur, elle est la fille du Dr Pierre Fournier, médecin et pharmacien, qui fut PDG des Laboratoires Fournier Frères durant plusieurs années et également président de l'ordre national des pharmaciens.Carole Grandjean, une spécialiste du social à l'Enseignement et la Formation professionnelsMacroniste de la première heure, la députée de Meurthe-et-Moselle Carole Grandjean, nommée lundi ministre déléguée à l'Enseignement et à la Formation professionnels, s'est investie dans les questions sociales à l'Assemblée nationale.Cette conseillère municipale de Nancy de 39 ans et ancienne responsable ressources humaines pour le groupe de restauration collective Elior, a fait partie, en 2017, de la vague de députés LREM novices en politique à l'Assemblée. Elle est alors également déléguée départementale d'En Marche!.Lors des dernières élections législatives, elle a été confortablement réélue dans la 1ère circonscription de Meurthe-et-Moselle avec 53,4% des voix, contre un candidat insoumis.Membre de la commission des Affaires sociales où elle siège depuis son premier mandat, elle s'est attelée aux sujets touchant la protection sociale des travailleurs, la santé au travail et la lutte contre les fraudes aux prestations sociales.En 2020, elle a été co-rapporteure du controversé projet de loi de réforme des retraites, abandonné depuis.Elle est membre en outre du conseil d'orientation pour l'emploi et du conseil national de la stratégie autisme.A Nancy, Carole Grandjean - fille de Denis Grandjean, adjoint de l'ancien maire de la ville André Rossinot -, est appréciée de ses collègues de la majorité comme de l'opposition au conseil municipal, "même si on ne la voit pas beaucoup dans la circonscription", ajoute-t-on.A son poste, en tant que ministre déléguée auprès du ministre du Travail et du ministre de l'Education nationale, Carole Grandjean devra s'occuper notamment de poursuivre la transformation du lycée professionnel, un "immense chantier" annoncé par Emmanuel Macron pendant sa campagne, avec la volonté de rapprocher davantage l'école et les entreprises.Le président avait dit vouloir s'inspirer de la réforme de l'apprentissage pour cette "grande réforme", en accroissant notamment les périodes de stages en entreprise des lycéens professionnels."On est extrêmement inquiet du périmètre du poste de Carole Grandjean, car c'est la première fois que les lycées professionnels ne relèvent plus uniquement de l'Education nationale", a regretté auprès de l'AFP Sigrid Girardin, du syndicat enseignant Snuep-FSU. "On craint que l'objectif soit de privilégier l'employabilité immédiate au détriment des formations équilibrées".Pour Vincent Magne, professeur d'histoire et de lettres en lycée professionnel et membre de l'association des professeurs d'histoire-géographie (APHG), il y a une "crainte que la formation professionnelle soit vue uniquement comme une voie pour former des ouvriers, alors qu'elle ne se résume pas à cela".La liste complète du nouveau gouvernementLa Première ministre est chargée de la planification écologique et énergétique.La composition du Gouvernement est la suivante :Les ministres Bruno Le Maire, ministre de l'économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique ; Gérald Darmanin, ministre de l’intérieur et des Outre-mer ; Catherine Colonna, ministre de l’Europe et des affaires étrangères ; Éric Dupond-Moretti, garde des sceaux, ministre de la justice ; Sébastien Lecornu, ministre des armées ; Olivier Dussopt, ministre du travail, du plein emploi et de l'insertion ; Pap Ndiaye, ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse ; Sylvie Retailleau, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche ; Marc Fesneau, ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire ; Christophe Béchu, ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires ; Agnès Pannier-Runacher, ministre de la transition énergétique ; Rima Abdul-Malak, ministre de la culture ; François Braun, ministre de la santé et de la prévention ; Jean-Christophe Combe, ministre des solidarités, de l'autonomie et des personnes handicapées ; Stanilas Guerini, ministre de la transformation et de la fonction publiques ; Amélie Oudéa-Castéra , ministre des sports et des jeux olympiques et paralympiques. Les ministres déléguésAuprès de la Première ministre : Olivier Véran, chargé du renouveau démocratique, porte-parole du Gouvernement ; Franck Riester, chargé des relations avec le Parlement ; Isabelle Rome, chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes, de la diversité et de l'égalité des chances. Auprès du ministre de l'économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique : Gabriel Attal, chargé des comptes publics ; Roland Lescure, chargé de l'industrie ; Jean-Noël Barrot, chargé de la transition numérique et des télécommunications ; Olivia Grégoire, chargée des petites et moyennes entreprises, du commerce, de l'artisanat et du tourisme. Auprès du ministre de l'intérieur et des Outre-mer et du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires : Caroline Cayeux, chargé des collectivités territoriales. Auprès du ministre de l'intérieur et de l'outre-mer : Jean-François Carenco, chargé des outre-mer. Auprès de la ministre de l’Europe et des affaires étrangères : Olivier Becht, chargé du commerce extérieur, de l'attractivité et des Français de l'étranger. Auprès du ministre du travail, du plein emploi et de l'insertion et du ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse : Carole Grandjean, chargée de l'enseignement et de la formation professionnels. Auprès du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires : Clément Beaune, chargé des transports ; Olivier Klein, chargé de la ville et du logement. Auprès du ministre de la santé et de la prévention : Agnès Firmin Le Bodo, chargée de l'organisation territoriale et des professions de santé. Auprès du ministre des solidarités, de l'autonomie et des personnes handicapées : Geneviève Darrieussecq, chargée des personnes handicapées. Les secrétaires d'ÉtatAuprès de la Première ministre : Charlotte Caubel, chargée de l'enfance ; Hervé Berville, chargé de la mer ; Marlène Schiappa, chargée de l'économie sociale et solidaire et de la vie associative. Auprès du ministre de l'intérieur et des Outre-mer : Sonia Backès, chargée de la citoyenneté. Auprès de la ministre de l’Europe et des affaires étrangères : Laurence Boone, chargée de l'Europe ; Chrysoula Zacharopoulou, chargée du développement, de la francophonie et des partenariats internationaux. Auprès du ministre des armées et du ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse : Sarah El Haïry, chargée de la jeunesse et du service national universel. Auprès du ministre des armées : Patricia Mirallès, chargée des anciens combattants et de la mémoire. Auprès du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires : Bérangère Couillard, chargée de l’écologie ; Dominique Faure, chargée de la ruralité.
Il y a 2 ans et 315 jours

L'immobilier continue de grimper mais les experts du secteur prédisent un ralentissement dans les mois à venir

Selon la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim), qui prend en compte les données de ses agences franchisées mais aussi celles recueillies sur des portails en ligne, les prix au 1er juin ont augmenté de 7,1% sur un an.Orpi relève une hausse de 7% et Laforêt de 5,8%.Les prix des maisons continuent d'augmenter plus vite que ceux des appartements, confirmant l'attrait du vert et de l'espace observé depuis le confinement du printemps 2020.Century 21 note ainsi une hausse de 10,7% sur un an pour les maisons, contre 7,4% pour les appartements.Tous les réseaux d'agences s'accordent à prévoir un ralentissement des prix dans les mois à venir sous les effets conjugués de l'inflation, qui rogne le pouvoir d'achat des ménages, et de la hausse rapide des taux d'intérêt."Les contraintes financières, entre l'inflation, la montée des taux et le durcissement des conditions d'accès aux crédits, ont un réel impact sur la demande et sur le dynamisme du marché", constate Orpi."La question du pouvoir d'achat va devenir cruciale pour la très grande majorité des ménages, et le reste-à-vivre le point d'achoppement quand il s'agira de souscrire un emprunt auprès des établissements bancaires", estime le président de Century 21, Charles Marinakis."Je pense que cette dynamique de prix est quand même en train de s'inverser, de fléchir, tout naturellement parce que les acquéreurs sont beaucoup plus attentifs qu'ils ne l'étaient il y a un an", a également observé Jean-Marc Torrollion, président de la Fnaim.Ainsi, le nombre de compromis de vente signés dans les agences Fnaim a reculé de 6% en mai, ce qui devrait peser sur les ventes à venir.Laforêt observe de son côté que davantage d'acquéreurs négocient les prix, signe d'un marché moins dynamique."Sur un marché haussier, les acquéreurs négocient le moindre défaut. Ils ont également davantage d'exigences en ce qui concerne l'implantation géographique, l'orientation, la luminosité, l'isolation ou les équipements présents dans le logement", note Laforêt.Les prix à l'achat, toujours élevés, sont favorables aux ménages qui ont un apport conséquent pour les financer : les plus âgés, dont la part parmi les acquéreurs augmente selon Century 21, et les "secundo-accédants" qui financent leur achat en vendant leur bien précédent.
Il y a 2 ans et 315 jours

Ceinture verte ou opportunité foncière? A Paris, l'avenir du périphérique en débat

Bientôt 50 ans - en 2023 - et toujours aussi important: l'anneau de 35 km qui encercle la capitale reste un axe de déplacement essentiel pour les Franciliens, avec plus d'un million de déplacements par jour.Et aussi un vecteur de pollution de l'air, avec des seuils jusqu'à six fois supérieurs à ceux recommandés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), et de bruit, rappelle la maire socialiste de la capitale, qui veut en faire à l'horizon 2030 un "boulevard urbain".Cette transformation passe par l'uniformisation de l'axe à deux fois trois voies, dont une réservée aux bus, taxis et covoiturage, la plantation de 50.000 arbres et le réaménagement des portes pour gommer son aspect de frontière entre Paris et sa banlieue.La suppression d'une voie suscite l'opposition de la présidente de droite de la région, Valérie Pécresse, et la froide réserve du préfet de police, Didier Lallement, qui a rappelé en mai que la maire ne pouvait se passer de l'accord de l'Etat sur ce dossier.Par la voix de Nicolas Jeanneté, l'opposition de droite demande à la municipalité de mettre en place un "schéma global de mobilité pour Paris et l'Ile-de-France au lieu d'empiler des plans qui ne se coordonnent pas"."Cohérence" à gaucheL'opposante Maud Gatel (MoDem) propose elle la fermeture de certaines bretelles d'accès pour réduire l'effet de congestion. Quant aux alliés communistes, ils réclament des solutions alternatives de transport, comme une ligne de métro circulaire ou la relance de la petite ceinture ferroviaire pour le fret.Sur sa gauche, Anne Hidalgo doit surtout faire aux critiques non voilées de ses alliés écologistes.Ils réclament l'abaissement de la vitesse maximale de 70 à 50 km/h - une promesse de campagne de la gauche en 2020, rappellent-ils - et un moratoire sur les constructions situées à moins de 150 m du périphérique.Ces dernières années, "le travail des associations a démontré la disparition alarmante des espaces verts qui jouxtent le périphérique au profit de constructions, le plus souvent de bureaux", décochent-ils dans un texte.Outre le besoin de vert, "il ne faut pas recréer une nouvelle frontière avec des nouveaux bureaux, comme on est en train de les créer porte de Montreuil et de Vincennes", dit à l'AFP l'élu EELV Emile Meunier, qui veut "arrêter d'exposer les salariés à la pollution".Porte Maillot, Bruneseau, Bercy-Charenton: les écologistes se sont "régulièrement opposés aux projets de construction aux abords du périphérique", rappelle sa collègue Aminata Niakaté, pour qui "il faut de la cohérence entre ce qu'on dit et ce qu'on fait".Ces fissures au sein de la majorité sont une aubaine pour l'opposition. "Les abords du périph' sont vus comme une manne financière" par l'exécutif de gauche, fustige Valérie Montandon (LR). Un constat partagé par Danielle Simonnet (LFI), qui cible "l'hypocrisie mensongère" d'Anne Hidalgo.Des projets révisésPour Nicolas Jeanneté (Les Centristes), l'abattage de plus de 70 arbres porte de Montreuil, où plusieurs immeubles de bureaux doivent sortir de terre, met ainsi à mal la "volonté illusoire de faire du périph' une ceinture verte".L'héritage des années Missika, l'ancien adjoint à l'urbanisme à l'origine de projets aujourd'hui contestés, est lourd à porter pour son successeur Emmanuel Grégoire.Vendredi, il a défendu sur Twitter le bilan "vert" des socialistes: parcs créés sur le périphérique recouvert porte des Lilas et de Vanves, friche ferroviaire convertie en éco-quartier avec un grand parc à Clichy-Batignolles.Mettant en avant la remise à plat de Bercy-Charenton, le premier adjoint promet "50% de végétalisation dans les futures opérations d'aménagement" et "plus de 50% de logements sociaux" dans la réhabilitation des quartiers populaires en bordure de l'axe.Gêné par l'annulation du permis de construire pour l'immeuble-pont dit "Mille arbres", que le tribunal administratif a jugé "susceptible de porter atteinte à la santé publique", M. Grégoire promet que "l'intégralité des projets urbains a été révisée" pour coller au futur plan local d'urbanisme.Ce PLU doit aboutir en 2023 avec, promet-il, un "très haut niveau d'exigence sur le plan environnemental".
Il y a 2 ans et 315 jours

Eau, essais et certification NF390

Il y a 2 ans et 315 jours

Poujoulat installe une centrale photovoltaïque en autoconsommation sur son site de Niort (79)

Après s'être équipé d'une chaufferie biomasse en 2012 permettant de couvrir plus de 80 % de ses besoins de chauffage, Poujoulat poursuit sa quête d'indépendance énergétique avec l'installation d'une centrale photovoltaïque en autoconsommation sur son site de Niort.Près de 10% des besoins en électricité couverts Le Groupe Poujoulat, déjà alimenté par une électricité bas-carbone, a revu son contrat d'approvisionnement pour que la fourniture d'électricité soit majoritairement renouvelable. Par ailleurs, depuis le 9 mars 2022 avec la mise en service de la nouvelle centrale solaire photovoltaïque en autoconsommation, Poujoulat ajoute un approvisionnement renouvelable complémentaire pour couvrir ses besoins. Devant l'Atrium de Poujoulat, se dressent désormais 744 panneaux d'une surface totale de 1.240 m2. Avec une puissance de 245 kWc, le taux d'autoconsommation est de 91 %. Injectée dans le réseau commun à l'ensemble du site, l'électricité ainsi produite permettra de couvrir près de 10 % des besoins des bureaux et de l'usine.Pour Frédéric Coirier, PDG du Groupe Poujoulat : « Être leader européen des conduits de cheminée nous donne une grande responsabilité et un devoir d'exemplarité vis-à-vis de nos collaborateurs, nos partenaires, nos clients, mais aussi la société et la planète. C'est pourquoi l'entreprise se mobilise autour d'un engagement sur le long terme, intitulé Relations Positives, pour une meilleure performance énergétique et environnementale, dont la réduction de notre empreinte carbone fait partie intégrante. » La mise en œuvre de la centrale a été réalisée par l'entreprise rennaise Armorgreen, acteur des énergies renouvelables, filiale du groupe Legendre, entre novembre 2021 et mars 2022.D'un montant de 236.120 €, le retour sur investissement de l'installation attendu est de 10 ans.Un investissement financé avec l'aide de la région Nouvelle AquitaineCette centrale photovoltaïque, accompagnée d'autres projets de maîtrise des consommations énergétiques du site à venir (détection de présence et pilotage intelligent de l'éclairage, mise en place de compteurs divisionnaires et vérification des fuites d'air comprimé, récupération de chaleur sur les rejets d'étuve et les variateurs de vitesse sur les ventilateurs extracteurs et régulation sur pression des filtres sur la ligne de peinture 1.), a fait l'objet d'un soutien significatif de la région Nouvelle-Aquitaine. L'entreprise a ainsi bénéficié d'une subvention de 150.000 € pour l'ensemble de ces investissements d'un montant total de 805.940 €.Pour Alain Rousset, président du conseil régional de Nouvelle-Aquitaine : « La Région Nouvelle-Aquitaine a soutenu financièrement le groupe Poujoulat dans sa transition énergétique pour une double raison : tout d'abord, parce que son projet est singulier en couplant la maîtrise de ses consommations énergétiques et l'autoconsommation d'énergie solaire. Ensuite, parce que ce projet s'inscrit pleinement dans les objectifs de Néo Terra, la feuille de route de la Région votée en 2019 et destinée à accélérer la transition énergétique et écologique. Enfin, rappelons que le contexte de tension forte sur les principaux marchés énergétiques rend toujours plus pertinentes ces démarches qui réduisent les émissions de carbone et améliorent la résilience de nos acteurs économiques territoriaux. »Chiffres clés de la centrale photovoltaïquePuissance : 245 kWcInvestissement estimé : ~ 236.120 € // 0,963 €/WcSurface panneaux : ~ 1.240 m² // 744 panneauxTaux autoconsommation : (TAC %) ~ 91%Energie valorisée : 292 MWh/anIndice Performance : 82,43 %Retour sur investissement (ROI) : 10 ansCO2 : 18 tonnes/an
Il y a 2 ans et 315 jours

Tryba lance une toute nouvelle collection de fenêtres PVC et Aluminium

Disponibles dès mai 2022 chez tous les concessionnaires Tryba de France, ces gammes répondent aux attentes des clients, s’inscrivent dans leur environnement et tiennent compte des dernières tendances en matière de décoration et de luminosité.Plus de confort thermique et plus de lumièreAujourd’hui, 86% des Français souhaitent changer de fenêtres pour mieux se protéger contre le froid et 83% pour améliorer l’isolation phonique[1]. Allier la performance technique et la finesse des profilés : c’est la promesse des nouvelles gammes de fenêtres Tryba, lancées après un an et demi de recherche & développement. « Avec ces nouvelles fenêtres, nous avons cherché une performance thermique supérieure, être dans l’air du temps au niveau esthétique, de travailler sur la finesse des profils avec un bâti harmonisé dans la mise en œuvre. C’est l’occasion aussi pour nous de simplifier l’offre produit pour faciliter le choix de nos clients », note Sébastien Gérard, Directeur de l’Offre et du Développement Produits chez Tryba.Par ailleurs, le grand atout de Tryba est sa nouvelle vitrerie installée depuis 2022 sur le site de fabrication de Gundershoffen, à la pointe de la technologie avec une innovation exclusive « Thermo Plastic Spacer » (TPS), capable d’optimiser au maximum l’isolation thermique et phonique.« Ce nouveau matériau, utilisé à la place des traditionnels écarteurs entre les vitrages, est formé sur-mesure par un robot. Le vitrage devient isolant via une ou deux chambres hermétiques remplies de gaz argon. Le TPS offre alors un produit final de qualité impeccable. », indique Philippe Spindler.2 collections au design personnalisableSelon la configuration des logements, Tryba propose des solutions spécifiques, pour les fenêtres PVC et aluminium.La fenêtre PVC par Tryba :Collection Tryba PVCFenêtre T81 Pourquoi choisir le PVC* ? :Isolation thermique améliorée grâce aux 6 chambres dans le dormant et 6 dans le battant.Étanchéité du vitrage parfaite grâce à l’innovation technologique exclusive Thermo Plastic Spacer (TPS). Maintien des performances dans le temps grâce aux armatures systémique en acier. Esthétique élégante grâce aux paumelles symétriques et aux poignées centrées. Finesse de la fenêtre, avec une croisée ultra-fine et un profilé design, qui laisse passer un maximum de lumière.Comme 65% des Français*. *Étude Harris Interactive pour l’UFME réalisée sur 1053 personnes du 17 au 20 mai 2021.Collection Tryba AluFenêtres TA76OV / TA760CPourquoi choisir l’ALU* ? :Dans cette version avec l’ouvrant visible, alliance de l’esthétisme de l’aluminium et d’un maximum de performances d’isolation.Étanchéité du vitrage parfaite grâce à l’innovation technologique exclusive TPS (Thermo Plastic Spacer).Isolation optimale grâce au bouclier thermique avec la technologie BTC 36 (Barrière Thermique Continue).Maintien des performances dans le temps grâce aux paumelles fixées dans les parois aluminium du dormant et du battant.Les vis de fixation des paumelles dans le dormant sont invisibles. Paumelles symétriques y compris avec l’option oscillo-battant.Grand choix de coloris dont 14 teintes en standard.Comme 12% des Français*.*Étude Harris Interactive pour l’UFME réalisée sur 1053 personnes du 17 au 20 mai 2021.Le modèle phare de la saison ?L’ouvrant caché Aluminium.Lors de la fermeture, la partie mobile de la fenêtre (l'ouvrant) vient se cacher derrière le dormant (cadre de la fenêtre).Ouverte ou fermée, la fenêtre a la même finesse pour un maximum de lumière à l’intérieur.Produits sur mesure et prix de vente sur demande.Menuiseries garanties fabrication françaiseLabel CE (par CEKAL)Norme NF (par Qualibat)Document Technique d’ApplicationTryba offre à ses techniciens un accompagnement continu dans la mise en œuvre.Un meilleur rendu esthétiqueChez Tryba, en neuf comme en rénovation, les possibilités de choix en matière d’esthétisme sont nombreuses. En effet, une large palette de couleurs et d’accessoires (poignées, gravures, crémones à l’ancienne, cache-paumelles…) créés sur-mesure permettent de fondre les fenêtres dans l’univers décoratif souhaité.“Le cahier des charges pour ces nouvelles gammes de fenêtres était d’offrir deux types d’esthétiques. Une version contemporaine et une version moulures, qui s’intègrent naturellement dans la rénovation de l’habitat.”, atteste Sébastien Gérard.[1] Etude Harris Interactive pour l’UFME réalisée sur 1053 personnes du 17 au 20 mars 2021
Il y a 2 ans et 315 jours

Inauguration d'HLM sur un ancien terrain de la famille al-Assad à Paris

Dans un communiqué, la Ville de Paris s'est félicitée d'avoir pu acquérir ce bien "mal-acquis" par Rifaat Al-Assad, suite à une décision de justice, en 2015."C'est un immeuble qui a une histoire particulière. Nous sommes devenus propriétaire de cette friche par expropriation", a déclaré sur place Ian Brossat, adjoint à la maire de Paris en charge du logement.Sur une parcelle de 780m³, dans le très chic XVIe arrondissement, 34 logements sociaux et une crèche ont été édifiés sur l'ancienne friche. La mairie de Paris avait versé 9,5 millions d'euros d'indemnités d'expropriation à la Caisse des Dépôts. Le montant global des travaux s'élève à 6 millions d'euros, a indiqué Ian Brossat.Ces logements sociaux ont été livrés aux bénéficiaires fin mars 2022. La plupart d'entre eux attendaient depuis des années l'accès à un logement social."J'attendais depuis 26 ans. Je suis contente mais on doit se faire à l'endroit", a témoigné anonymement une locataire interrogée par l'AFP, ajoutant : "on a l'impression que nous sommes des intrus. Les gens nous regardent bizarrement"."L'objectif de ce projet était d'intégrer et de mixer plusieurs milieux et catégories sociales", a souligné M. Brossat, selon lequel le pourcentage du logement social dans le XVIe arrondissement "est passé de 1% en 2001 à 6% en 2022".En septembre 2021, l'ancien vice-président de Syrie Rifaat al-Assad, âgé de 84 ans, avait été reconnu coupable par la cour d'appel de Paris de blanchiment en bande organisée et de détournement de fonds publics syriens entre 1996 et 2016.La cour avait ordonné la confiscation de l'ensemble de ses biens immobiliers frauduleusement acquis, évalués à 90 millions d'euros, et l'avait en outre condamné pour blanchiment de fraude fiscale aggravée et pour le travail dissimulé d'employés de maison. La Cour de cassation examinera le 7 septembre le pourvoi formé par Rifaat al-Assad.Dans cette affaire, deux hôtels particuliers, des dizaines d'appartements, un domaine avec château et haras ainsi que des bureaux avaient notamment été saisis.
Il y a 2 ans et 316 jours

Au Caire, les maisons flottantes menacées de disparition

"J'ai réalisé un rêve en achetant cette péniche, je l'ai aménagée pour accueillir mes petits-enfants et y passer mes derniers jours", raconte à l'AFP l'écrivaine Ahdaf Soueif.Mais bientôt le Nil pourrait ne plus bercer ces maisons perchées sur des caissons en métal le long du quartier populaire d'Imbaba face à la très chic île de Zamalek.Déjà, certaines ont été emportées car les habitants ont reçu le 20 juin un ordre d'expulsion sous deux semaines --sans proposition de relogement ou de dédommagement.Elles pourraient être remplacées par cafés, hôtels et restaurants bien plus rentables pour l'armée, toujours aux commandes en Egypte depuis la fin de la monarchie et en position dominante dans les domaines de l'aménagement et des infrastructures."J'ai vendu mon appartement, mon père sa voiture et nous avons utilisé les indemnités de départ de mes deux parents retraités", raconte à l'AFP Manar, ingénieure de 35 ans, qui a ainsi pu acheter sa péniche il y a quatre ans.Aujourd'hui, elle a l'impression d'avoir tout perdu : "les gens des bidonvilles ont été relogés, l'Etat a déplacé des tombes quand il a construit une route à travers un cimetière et pour nous, rien".Son sort et celui de ses voisins a ému et, fait surprenant en Egypte, les talk-shows habituellement fervents partisans du président Abdel Fattah al-Sissi, ont pris leur parti.Ces bateaux sont surtout depuis les années 1950 le décor de la sérénade du crooner égyptien Abdel Halim Hafez dans le film "Ayam wa Layali" ou des discussions enfumées des "Dérives sur le Nil" du Nobel de littérature Naguib Mahfouz.Politique du bulldozerL'alarme est donnée en 2020 quand le gouverneur du Caire annonce "suspendre les autorisations de stationner des péniches".Depuis, les habitants sont restés sans nouvelles. Jusqu'à l'ordre d'éviction qui ne leur laisse, dit l'un d'eux, "pas le temps de déposer un recours en justice".Et surtout, l'Etat leur réclame des arriérés pour le stationnement, la concession du dock et l'immatriculation entre 40.000 et 50.000 euros, soit 20 fois plus que ce qu'ils payaient.Aymane Anouar, patron de l'Autorité du Nil au Caire, assure qu'ils ont été prévenus : "en 2020, l'Etat a interdit l'utilisation de péniches comme habitations car elles ne donnent pas une image civilisée et polluent le Nil", affirme le haut fonctionnaire dans un talk-show."Nous n'avons pas été assez informés, c'est en écoutant M. Anouar à la télévision" que Mme Soueif déclare avoir compris son unique alternative : transformer la péniche en local commercial."A mon âge, me reconvertir en gérante de café ? C'est une expulsion qui ne dit pas son nom", répond-elle.Les militants dénoncent un manque de concertation avec les habitants comme lors de démolitions précédentes, à Boulaq et Maspero, près du centre-ville.Si la politique du bulldozer a commencé dans ces quartiers informels pauvres, avec les péniches ce sont des familles plus aisées qui font les frais des grands travaux d'aménagement."Perdu d'avance"Auparavant parsemée de cafés où toutes les classes sociales venaient siroter un thé pour quelques livres, la corniche du Nil est un des rares espaces publics où échapper au vacarme de la mégalopole de 20 millions d'habitants.Sur l'autre rive, la "promenade du peuple égyptien" compte, aux côtés de la "nouvelle capitale" qui sort des sables à 50km du Caire, parmi les "méga-projets" voulus par l'ancien maréchal Sissi et pilotés par l'armée."C'est une catastrophe : chaque centimètre carré doit être rentable, il n'y a plus d'espace public, les gens ne peuvent plus être dehors sans payer", déplore Mme Soueif.Le gouvernement assure pourtant que cette promenade --avec "marina, théâtre à ciel ouvert, cafés et restaurants"-- va "garantir l'accès du public au Nil".Pour Awad, sur sa péniche avec femme et enfants depuis 25 ans, "un mètre carré de berge en location commerciale, c'est 1.000 livres, donc ils préfèrent louer à des cafés qu'à nous, pour gagner plus d'argent"."C'est dramatique car c'est un morceau du patrimoine du Caire qui a vu passer le roi Farouq, Oum Kalsoum et Mounira Mahdia", la plus grande chanteuse d'Egypte de l'entre-deux guerres, déplore le sexagénaire."C'est perdu d'avance : même devant le Conseil d'Etat, c'est l'Etat donc on ne peut rien faire, on nous dit que c'est une décision venue de tout en haut", dit-il en pointant le ciel.
Il y a 2 ans et 317 jours

Les vieux palais de la région de Chettinad en Inde, derniers témoins de sa splendeur passée

Les magnats de Chettinad, dans l'Etat du Tamil Nadu, avaient fait fortune dans le commerce de pierres précieuses et d'épices à l'époque de la colonie britannique et leurs empires commerciaux s'étendaient jusqu'à la Malaisie et Singapour. Ils consacraient une part de leur richesse à la construction de demeures resplendissantes, ornées de figurines en stuc, de fenêtres de verre coloré et de corniches. Selon les historiens, ils faisaient venir des luminaires de Venise, d'immenses miroirs aux cadres d'acajou de Belgique et des carreaux en émail de Birmingham, en Angleterre. "A cette époque, les Chettiars rivalisaient avec un frère, un cousin, un voisin, qu'importe pourvu de donner jour au plus bel édifice", explique à l'AFP Bernard Dragon, un architecte français travaillant dans la région.Mais parmi les quelque 11.000 palais bâtis dans la région, nombre d'entre eux sont aujourd'hui délabrés, dévorés par la végétation. Les propriétaires actuels n'ont pas les moyens de financer leur entretien ou sont enlisés dans des conflits de propriété.Palais à l'abandon"Nous nous inquiétons de l'état de conservation", déclare M. Dragon, qui a conduit la restauration d'une de ces propriétés pour en faire un hôtel de charme, "dans certains villages, les propriétaires sont plus présents et plus engagés. Dans d'autres, on arrive (...) pour découvrir que personne ne s'occupe de ces demeures".Les habitants de Chettinad appartenaient à une caste de marchands tamouls.La région se prêtait à merveille à l'établissement d'un commerce fructueux grâce à l'accès à la mer facilitant les échanges avec les Britanniques pour acheminer le thé, le café, les épices ou encore le caoutchouc en Europe.Puis, leurs avoirs ont été mis à mal avec les mouvements d'indépendance qui, après la Seconde Guerre mondiale, se sont développés. Aussi, les politiques économiques d'inspiration socialiste ont limité les prêts d'argent et le commerce extérieur. Nombre de fortunes ont périclité, des familles ont dû déménager et confier leurs palais aux gardiens et, à défaut, n'ont eu d'autre choix que de les abandonner.Aujourd'hui, Chennai (l'ancienne Madras) est le coeur commercial du sud de l'Inde, devenue son centre financier et plateforme de l'industrie automobile.La région de Chettinad est désormais bien à l'écart de ces ères de fortune, avec l'aéroport le plus proche situé à plus de deux heures de route.L'entretien, la rénovation ou la restauration de ses palais, qui pour certains comptent jusqu'à cent pièces, exigent des sommes astronomiques et le marché de l'immobilier local ne suscite guère d'engouement.Espoir d'un renouveauL'attachement sentimental des descendants des bâtisseurs et la passion des architectes qui louent leur savoir-faire et leur vision contribuent à nourrir certains efforts pour préserver ces anciennes merveilles. "La nouvelle génération gagne beaucoup d'argent et s'intéresse à ces propriétés", assure A. Chandramouli, le vieux propriétaire du Chettinadu Mansion, domaine qui s'étend sur 3.700 mètres carrés. Il a été rénové en centre de villégiature patrimonial et sert parfois de décor aux films de Bollywood."Je compte sur un renouveau prochain", ajoute-t-il, assis sur une chaise antique dans une cour carrelée, inondée de soleil, certain qu'il existe une volonté "de préserver ce patrimoine unique pour les générations futures". D'autres propriétés ont réussi à conserver des sols en marbre, des lustres en cristal et des miroirs sculptés, auxquels ont été ajoutés des équipements modernes pour accueillir des touristes argentés séduits par l'idée de cette grandeur passée."Ces maisons doivent être restaurées pour que les générations futures sachent comment les gens vivaient ici", estime auprès de l'AFP, Malini Bharathy, une touriste installée dans la propriété de M. Chandramouli, "je veux que mon fils (et) le fils de mon fils viennent ici, profitent et savourent tout cela".
Il y a 2 ans et 318 jours

Fin des chaudières au fioul : l'Alsace rurale en quête d'une nouvelle énergie

Impossible désormais de la remplacer telle quelle.Ce jeune propriétaire de 24 ans (qui ne souhaite pas donner son nom de famille) a déjà une idée de ce qu'il souhaite pour chauffer cette maison de 1955 : "le prix du fioul m'a décidé, je voudrais une chaudière biomasse, à granulés de bois"."J'ai acheté en sortie d'études, sans quasiment aucun revenu fiscal, et donc avec le maximum d'aides", précise le récent diplômé en pharmacie. Son emploi assuré, les banques n'ont pas hésité à lui accorder un prêt pour l'acquisition de ce bien de 82 m2 surplombant les deux églises du village pour 500 habitants, "l'une protestante, l'autre catholique".Son ordinateur par terre, en l'absence de chaises, dans la maison en pleine rénovation, Yannick Kennel rentre dans son ordinateur les mesures prises au sous-sol pour être certain que l'imposante cuve capable de contenir 3,7 tonnes de granulés pourra tenir."On devrait être entre 15 et 17.000 euros", annonce finalement l'artisan au néo-propriétaire. Ce dernier espère qu'au moins les deux tiers de l'investissement seront supportés par les aides telle que MaPrimeRénov, versée en fonction du "gain écologique des travaux"."On surfe sur les aides"Rien d'étonnant pour le professionnel, qui pour achever de convaincre Jérémy rappelle avoir installé quatre chaudières biomasse dans la rue principale du village."On a vendu une seule chaudière au fioul l'an dernier, aucune cette année... On surfe sur les aides", lâche à quelques kilomètres de là M. Kennel dans son magasin d'Ingwiller où brillent des poêles à bois et à granulés tout neufs.La tendance risque de s'accentuer. Les nouvelles normes environnementales entrées en vigueur vendredi empêchent désormais d'équiper les bâtiments avec des installations neuves fonctionnant au charbon ou au fioul, en raison d'un niveau d'émissions de gaz à effet de serre dépassant le seuil des 300 grammes de CO2 par kilowattheure.Dans la région de Strasbourg, la mesure a un impact particulier avec 24% des résidences principales chauffées au fioul dans le Bas-Rhin, l'un des plus forts taux du Grand-Est, et le double de la moyenne nationale.Quant au gaz de ville, il n'arrive pas à Rosteig, ni dans 25.000 autres communes françaises, situées principalement à la campagne et dans le périurbain.Autre option : les pompes à chaleur. Mais la rigueur des hivers dans ce village adossé aux Vosges du Nord rend Yannick Kennel réticent : "Tout le monde en voudrait, mais leur fonctionnement est très aléatoire. C'est paradoxal, mais parfois je demande aux gens dans un premier temps de mieux isoler les murs et les combles avant de changer leur chauffage"."Une solution existe"Pas de panique, rassure cependant Yannick Kayser, dirigeant du réseau de distribution de fioul Alliance Energies."La filière est en place pour installer des chaudières fonctionnant au biofioul (F30)", dit-il. Il contient 30% de biocarburant issu du colza, permettant de passer sous le seuil d'émission de gaz à effet de serre défini par la nouvelle réglementation, et coûte aussi 15% à 30% plus cher que le fioul classique avec un rendement comparable."Face aux incertitudes des prix de l'énergie, les ménages ne bénéficiant pas d'aides sont dans l'attente et réfléchissent à conserver leur chaudière", explique encore ce membre de la Fédération française des combustibles, carburants et chauffage (FF3C).Une nouvelle gamme de chaudières "Biofioul ready" sera déployée cet été. Les chaudières au fioul les plus récentes sont rétrocompatibles, tandis qu'il faudra changer le brûleur des plus anciennes."La demande de biofioul se fera vraiment ressentir au démarrage de la saison de chauffe, pour des clients qui auront des chaudières fioul obsolètes", prédit M. Kayser.Victime de son succès, la tonne de granulés est, elle, passée de 300 euros l'an dernier à environ 400 euros aujourd'hui.
Il y a 2 ans et 318 jours

Résultat des Eurobois Awards 2022 : 8 innovations récompensées

Parmi les 28 innovations en lice, 7 ont été désignées lauréates par le jury professionnel et un prix « Coup de cœur » a été décerné par le jury étudiants :Innovations récompensées par le jury professionnelCatégorie ergonomie poste de travailLa société VP DOLEX pour le produit ELEVATEUR POUR ETAU D'ETABLI ELV ET ELVPRemplace la base tournante grâce à sa rotation possible sur 360 ° - Permet un ajustement de la hauteur de l’étau pour adapter la hauteur de celui-ci à la taille de l’utilisateur - Lutte contre les Troubles Musculo-Squelettiques et évite tout problème de dos dans le cadre d’une utilisation prolongée.Catégorie aménagementLa société SALICE pour le produit EXEDRA 2Très innovant et performant, Exedra2 est une évolution du système pour portes escamotables Exedra qui, grâce à une solution de mouvement novatrice, permet l’ouverture simultanée de deux portes jointes. Le système permet ainsi de fermer des espaces de largeur jusqu'à 3m sans rail bas.Catégorie makersLa société FELDER GROUP pour le produit HNC 47.82 Une créativité sans fin et une précision CNC professionnelle pour les amateurs, les bricoleurs, les petites entreprises, les modélistes et les écoles.Catégorie productivité chantierLa société LEITZ pour le produit ACCUCUT AccuCut désigne des lames de scie spéciales à largeur de coupe réduite et disposant des développements les plus récents en termes de matériaux de coupe. Ces innovations offrent une durée de vie accrue des batteries des machines électroportatives sans fil.Catégorie recherche et développementLa société WAYS INDUSTRIE pour le produit SECHAGE SOUS ATMOSPHERE CO2Cette technologie disruptive de séchage permet de sécher avec du CO2 tout type d’essence de bois en quelques jours, en respectant la structure du matériau tout en augmentant significativement sa durabilité. Le bois sera de meilleure qualité, stable et séquestrera naturellement des quantités de CO2.Catégorie confort chantierLa société FESTOOL France pour le produit STATION D'ENERGIE MOBILE SYS-POWERSTATIONLa station d'énergie mobile SYS-PowerStation fournit du courant en permanence et en tout lieu. Elle permet d'alimenter tous les outils filaires, toutes marques confondues.Catégorie optimisation industrielleLa société SCM GROUP France pour le produit STEFANI XPlaqueuse de chants industrielle conçue pour offrir la meilleure qualité de placage de chants sur tout type de panneau et de matériau et pour répondre pleinement aux besoins d'une usine numérique, connectée et intégrée. Innovations récompensées par le jury étudiantsLes étudiants, qui participaient pour la première fois cette année au jury, ont attribué le prix « Coup de cœur des étudiants » à la société LE CRENEAU INDUSTRIEL pour l’innovation suivante : CRENO CLT-ONELa CRENO CLT-ONE est dédiée à l'usinage des panneaux CLT, avec une productivité inégalée : en moyenne 30min pour un plancher et 45min pour un mur. Elle permet d'usiner les 6 faces grâce à une architecture innovante combinant tête 5axes, agrégats additionnels et posages flexibles automatisés.Qu’est-ce que les EUROBOIS AWARDS ?Plateforme de lancement de produits, les EUROBOIS AWARDS ont récompensé le caractère innovant d’un produit ou d’un service, mais aussi son design, sa performance, la démarche RSE de l’entreprise, la qualité environnementale du produit/service, sa certification, son usage pour les professionnels, et enfin sa maîtrise des coûts.Cette année, le processus d’inscription, ouvert à tous les exposants, a été simplifié pour faciliter la participation des entreprises. Participer au concours a offert aux candidats une visibilité accrue auprès des professionnels de la filière en amont et pendant le salon, avec la présentation de l’ensemble des innovations sur le site web, les réseaux sociaux du salon ainsi que sur l’application Eurobois Connect.Des pitch et visites des stands pour promouvoir les innovations et défendre les projetsPour valoriser leur candidature, les entreprises avaient l’opportunité de présenter leur innovation à travers un pitch de 5 minutes, sur le plateau TV du salon, le mardi 14 juin matin. Cette présentation permettait à la fois aux entreprises de rencontrer leur public, mais également de séduire le jury en démontrant leur capacité à défendre leur innovation.Le lendemain, au 2ème jour du salon, le jury s’est rendu sur les stands des innovations présélectionnées. Ses membres ont pu ainsi échanger avec les candidats et découvrir en détail les nouveautés.Les lauréats élus par un jury de professionnels et d’étudiantsComme chaque année, le jury était composé de professionnels de la filière bois (ébénistes, agenceurs, menuisiers, charpentiers…). Dans le but de représenter au mieux tous les publics, la grande nouveauté cette année réside dans la création d’un jury étudiant composé de jeunes en école d’architecture, menuiserie, agencement ou ingénieur.La création de ce jury étudiant permet une appréciation différente et nouvelle des innovations en compétition. C’est également l’occasion pour EUROBOIS d’intégrer les générations futures dans la filière, qui seront les professionnels de demain. Cette immersion dans le monde professionnel est tout aussi bénéfique aux étudiants, dont la présence sur le salon constitue une première mise en réseau avec les acteurs de la filière. Ce jury a remis un prix spécifique à X qui a été élue « Coup de cœur des étudiants ».Membres du jury professionnel :Président du jury professionnel : ARNAUD GODEVIN, Directeur de l’ESB – Ecole Supérieure du BoisMembres du jury professionnel : Jérôme CARRAZ Responsable de l'Institut de la Charpente et Construction bois - COMPAGNONS DU DEVOIR ET DU TOUR DE FranceVincent CHARROIN Président - SAS CHARROIN TOITURES, Président de la Chambre Professionnelle « Charpente-Toiture » de BTP RHONE - FFBJean-Denis FORTERRE Responsable du service Technique à la CAPEB Auvergne-Rhône-AlpesRaphael HOUSSET Gérant - ATELIER RAPHAELMathieu HUGON Responsable de l'institut européen de la menuiserie, l'agencement et l'ébénisterie - COMPAGNONS DU DEVOIR ET DU TOUR DE FranceLaurent JACQUET Créateur de contenu vidéo, web /Domaine bâtiment, bricolage, maison - BICHON PRODUCTIONJean-François JAILLET Gérant, Jaillet Menuiserie – Membre de la Chambre Française de l‘AgencementXavier LUGINBUHL Directeur Général - Groupe HASAP • Herve MARECHAL Dirigeant agenceur - APPORT ANSELes membres du jury étudiant :Diana ALMERI, en formation « Décorateur » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurAnge CHARPENTIER, en 2ème année de cycle ingénieur de l’ENSTIB - École nationale supérieure des technologies et industries du boisMathilde DE COURCY, en formation « Architecte d’intérieur designer global » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurAmandine FONTAINE, en formation « Décorateur » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurFantine KOCH, en 2ème année à l’ENSTIB - École nationale supérieure des technologies et industries du boisCécile SOULIER, en formation « Architecte d’intérieur designer global » - CREAD - École d'Architecte d'Intérieur
Il y a 2 ans et 318 jours

Comment faire des économies sur son prêt immobilier malgré la hausse des taux ?

Un contexte économique compliquéLa crise du Covid-19 et la guerre qui sévit en Ukraine depuis le 24 février ont fortement affecté le marché immobilier français. Selon l'Observatoire Crédit Logement/CSA, les taux moyens des nouveaux crédits immobiliers (hors assurance et sûretés) ont fait un bond de 1,1% en février à 1,38% au mois de mai. L'inflation, qui se situe a plus de 5%, influence évidemment les taux des prêts immobiliers et peut expliquer une partie de cette hausse.Mais l'inflation n'est pas le seul facteur expliquant cette hausse des taux : les taux auxquels la Banque Centrale Européenne prête aux autres banques ont eux aussi augmenté. Fin 2021, la BCE affichait des taux pour les prêts négatifs, c'est-à-dire que les banques lui empruntant devaient lui rembourser moins d'argent. Or, aujourd'hui, les taux de la BCE dépassent les 1% et vont encore probablement augmenter.En effet la BCE a annoncé souhaiter augmenter ses taux à partir de juillet prochain en réaction à l'inflation.Cette hausse des taux d'intérêt peut donc nuire aux ménages les plus modestes qui voient une partie de leur budget alloué au prêt partir dans des intérêts supplémentaires. Qui dit hausse des taux d'intérêt, dit plus de place prise par ceux-ci dans la mensualité et donc dans l'endettement.Mais il existe des solutions afin de préparer sa demande de prêt immobilier de manière simple et sans risque.Une solution pour faire des économies existeIl est cependant possible de faire des économies en amont de sa demande de prêt. Faire une simulation de crédit immobilier peut vous aider à estimer votre capacité d'emprunt et vous orienter vers un type de prêt correspondant le mieux aux besoins de votre projet sans avoir à vous engager. Ce type de simulateur permet d'estimer votre taux d'intérêt en fonction de plusieurs critères : taux d'intérêt en fonction de la durée du prêt, montant emprunté, pourcentage d'apport personnel, etc... Avec un simulateur de prêt il est aussi possible d'avoir une idée des futures mensualités, afin de pouvoir prévoir au mieux ce dont vous aurez besoin.Simples d'utilisation, ces outils sont multiples en ligne et il peut être difficile de s'y retrouver. Certains, comme LesFurets.com, sont particulièrement fiables et efficaces. Avec seulement quelques informations vous pourrez obtenir des exemples pour à titre indicatif, comme les types de bien, le montant de l'apport nécessaire ou la durée et le taux d'intérêt par exemple.Bien calculer le taux de son crédit immobilier sur 20 ans peut permettre des économies et financer d'autres projets comme des travaux de rénovation de votre nouveau bien immobilier.En bref, faire une simulation permet de gagner du temps, d'économiser de l'argent et d'éviter des mauvaises surprises une fois le prêt contracté officiellement alors pourquoi ne pas essayer ?
Il y a 2 ans et 318 jours

Les commerçants fermés pendant les confinements doivent payer leurs loyers

Dans trois arrêts, la plus haute juridiction de l'ordre judiciaire a obligé ces commerçants à s'acquitter de leurs loyers non payés pendant la période où les commerces non essentiels étaient fermés.Elle juge que l'interdiction sauf exceptions de sortir de chez soi décrétée pour endiguer la propagation du Covid, "mesure générale et temporaire", n'est pas imputable aux bailleurs et n'a pas privé définitivement les commerçants d'utiliser leurs locaux.Elle a également estimé que le confinement ne constituait pas un cas de force majeure, comme le défendaient les commerçants."Il y a tout un panel d'outils juridiques qui avaient été mis en avant, et systématiquement, la réponse est +le paiement des loyers est dû+", souligne Me Ophélie Boulos, avocate au cabinet Kramer Levin, qui a défendu des bailleurs dans d'autres affaires.Fixation de jurisprudence"On peut penser que c'est la première marche, assez solide, de fixation de la jurisprudence, (...) une jurisprudence qui est globalement favorable aux bailleurs", analyse son collègue Me Renaud Dubois.Derrière, la décision va susciter d'importantes conséquences économiques.Dans les tribunaux français, de nombreux litiges entre des commerçants et leurs bailleurs avaient en effet été mis en pause dans l'attente de la décision de la Cour.La haute juridiction elle-même avait sélectionné trois dossiers sur les 30 comparables qui lui étaient remontés: ceux d'une chaîne de magasins à bas coût, d'une agence immobilière bordelaise et d'une résidence de tourisme.C'est surtout une décision inverse qui aurait constitué un coup de tonnerre. Elle aurait en effet permis à l'ensemble des commerçants obligés de fermer pendant la crise sanitaire de saisir la justice pour obtenir des ristournes. Avec en jeu des montants énormes: dans une note, le ministère de l'Economie avait chiffré à plus de trois milliards d'euros l'ensemble des loyers et charges immobilisés du fait des restrictions."C'est déprimant, on n'a rien appris", a réagi auprès de l'AFP Emmanuel Le Roch, délégué général de la fédération du commerce spécialisé Procos. "On a le sentiment que peu importe qu'il y ait ou pas des clients, l'une des parties doit continuer à poursuivre son engagement, c'est-à-dire payer, et l'autre est protégée et que, quoi qu'il se passe, son contrat est considéré comme exécuté.""C'est une décision décevante pour les preneurs (les locataires, NDLR), qui vont maintenant envisager la manière d'engager la responsabilité de l'Etat", déclare également Me Guillaume Hannotin, avocat de la chaîne de magasins discount Action."Les textes qui sont visés" dans la décision rendue par la Cour de cassation "ne sont pas ceux en vertu desquels les magasins ont fermé, mais des textes de mars et avril 2020 qui affectaient la liberté de circulation des personnes physiques", estime-t-il.Il ajoute que "les considérations économiques ont pesé d'un grand poids dans cette décision qui invite les preneurs à croire que c'est en raison d'un accident rédactionnel qu'ils n'ont pas le droit à l'indemnisation"."On peut penser que la Cour sait que les preneurs ont bénéficié eux d'un certain nombre d'aides (...) tandis que du côté des bailleurs, ce n'était pas le cas", estime également Me Boulos.Le gouvernement avait débloqué de nombreuses aides à destination des commerçants pour les aider à faire face aux fermetures."Demain, devant la même situation, les finances publiques sont incapables de compenser les pertes des acteurs", regrette Emmanuel Le Roch.
Il y a 2 ans et 318 jours

La vision de TESC Innovation sur l’Industrie du Futur en avant-première à Colmar

Les visiteurs ont pu y découvrir en avant-première le système de Transfert d’Energie Sans Contact et échanger avec notre équipe. L’occasion d’apporter une réponse à leurs problématiques quotidiennes, comme par exemple l’optimisation des flux logistiques ou l’accroissement de la productivité.Répondre aux problématiques logistiques et industrielles Si les secteurs de l’industrie et de la logistique sont fortement bousculés par le e-commerce depuis quelques années, cela est d’autant plus vrai depuis la crise sanitaire.Face à l’explosion de cette concurrence en ligne, les entreprises cherchent des solutions afin d‘améliorer leur compétitivité. Elles doivent par ailleurs répondre aux attentes de clients toujours plus exigeants, tant en qualité qu’en rapidité de service. Parmi ces solutions, des renforts au sein des équipes d’opérateurs ou encore l’automatisation des process.Les chariots électriques et robots mobiles autonomes AGV / AMR commencent donc à faire leur apparition dans les entrepôts. Leur recours permet d’une part de pallier l’augmentation des cadences, mais aussi de soulager les opérateurs et les assister dans leur travail au quotidien.Gérer toute une flotte de robots et de chariots électriques nécessite une bonne organisation. Il en va de même lorsqu’il s’agit de leur autonomie. En fin de journée, il faut encore penser à bien les brancher afin qu’ils soient opérationnels le lendemain matin…Faciliter la recharge des équipements électriques Notre solution repose sur le principe de la résonance magnétique. Son rôle : créer un champ magnétique et le convertir en courant électrique pour recharger une batterie selon ses besoins.Grâce à notre technologie, plus besoin de brancher et débrancher son véhicule électrique. Il suffit de le placer à proximité du dispositif pour qu’il se recharge de manière autonome.Les avantages du système de Transfert d’Energie Sans Contact ?Large distance d’émissionIndice de protection IP élevéCapteur de présence d’objets métalliques
Il y a 2 ans et 318 jours

« 1m² », un escalier gain de place sûr et facile à installer

Cet escalier innovant n’occupe qu’un mètre carré d’espace. Conçu par EeStairs, fabricant néerlandais leader du marché mondial d’escaliers haut de gamme, « 1m² » répond à une demande croissante des citadins qui vivent de plus en plus à l’étroit et veulent utiliser leur espace de vie de manière plus efficace. Le plus : grâce au configurateur en ligne, le particulier peut concevoir et commander son escalier en cinq étapes.Une solution gain de place stylée« 1m² » peut être posé dans un coin de la pièce sans perdre de l’espace, notamment sous les marches. Grâce à son esthétique recherchée – sa forme en colimaçon tourne avec élan autour de sa main courante hélicoïdale, une ligne minimaliste qui épouse l’axe incliné –, « 1m² » peut également s’installer au milieu de la pièce, d’autant plus que les finitions sont soignées et que l’utilisateur dispose d’un large choix parmi toutes les couleurs du code RAL. Flashy, discret, mat ou brillant, cet escalier s’adapte aux contraintes de tous les intérieurs, et optimise l’accès aux mezzanines, combles, caves ou encore toits-terrasses.Le confort et la sécurité font la différence« 1m² » s’installe en un tournemain, à l’aide de deux fois trois vis. Il constitue l’alternative parfaite à l’échelle amovible, tout en offrant confort et sécurité grâce à une structure solide en acier et à des bouchons antidérapants en caoutchouc noir posés sur chaque marche. EeStairs a développé cette solution en se basant sur sa large expérience de créateur d’escaliers. Il s’agit d’un objet atypique de la marque néerlandaise, qui crée uniquement des escaliers sur mesure pour les architectes dans le monde entier. EeStairs, qui a l’habitude d’étonner par ses pièces uniques à couper le souffle, relève volontiers le défi de maîtriser son métier même à toute petite échelle.
Il y a 2 ans et 318 jours

La Foncière ATLAND devient ATLAND

Partenaire immobilier des entreprises, ATLAND est un acteur global de l’immobilier de 260 collaborateurs, qui intervient sur les marchés de l’immobilier d’entreprise et du logement au travers de ses activités de gestionnaire d’actifs, de développeur d’immobilier et de plateforme digitale d’investissement.ATLAND Voisin est une Société de Gestion de Portefeuille, agréée par l’AMF, qui gère 4 SCPI pour le compte de plus de 37 000 associés et des fonds institutionnels représentant, au 31 mai 2022, un patrimoine immobilier sous gestion de plus de 3 Mds €.ATLAND Résidentiel développe actuellement près de 50 opérations de logements en Île-de-France et a réalisé plus de 1 000 réservations en 2021.Marianne Développement réalise et anime des résidences intergénérationnelles. Elle compte à ce jour 31 résidences en exploitation représentant 2 800 logements.Fundimmo est une des principales plateformes de financement participatif immobilier. Elle a financé, depuis sa création, plus de 300 projets pour un montant total de plus de 200 M€.ATLAND est cotée sur Eurolist B (FR0013455482).
Il y a 2 ans et 318 jours

Les travaux s'accélèrent à Paris avant les JO de 2024

"On va avoir une accélération avant, en 2023, et après on finira en 2024 et 2025", a indiqué lors d'un point presse l'adjoint communiste à la construction publique, Jacques Baudrier, évoquant un "petit creux pendant les JO".En juin, les chantiers de la ville ne représentent que 9% de la totalité des plus de 5.000 chantiers de la capitale, mais presque la moitié (46%) de la surface concernée. Les travaux sur les bâtiments privés sont majoritaires (62%).Cet été, la municipalité mènera près de 1.800 chantiers dans ses écoles, collèges, crèches, lieux culturels ou piscines pour un montant global de 170 millions d'euros.Elle réalisera notamment 27 cours d'écoles végétalisées et 21 "rues aux écoles" rendues piétonnes ou semi-piétonnes, tandis que les travaux sur les pistes cyclables démarreront ou se poursuivront sur des axes stratégiques comme les Grands boulevards, l'avenue de la République ou la rue La Fayette.La direction de la voirie lancera également 34 chantiers "embellir votre quartier", en les regroupant avec ceux des opérateurs (Enedis, RTE, GRDF, Eau de Paris...), afin que le quartier ne subisse qu'une seule période resserrée de travaux.La maire PS, Anne Hidalgo, est régulièrement critiquée pour l'état des chaussées, notamment depuis que les opérateurs doivent eux-mêmes les remettre en état après leurs interventions.Les concessionnaires ont "beaucoup travaillé sur la coordination, sur la propreté", affirme M. Baudrier pour qui il y a "beaucoup moins de signalements" qu'auparavant.En matière de gros chantiers, l'extension du tramway se poursuit dans le nord-ouest, où les travaux de la Porte Maillot démarrent avec l'objectif "de les livrer pour les Jeux" malgré les retards et surcoûts du prolongement du RER E, a indiqué M. Baudrier.Les travaux d'une autre porte, celle de La Chapelle, démarreront à l'automne pour se terminer eux aussi avant les JO, comme l'Arena située dans ce quartier, une première rénovation des Champs-Elysées ou la forêt urbaine de la place de la Catalogne, près de Montparnasse.Concernant le réaménagement de la perspective allant du Trocadéro à la Tour Eiffel, un projet auquel le préfet de police Didier Lallement s'oppose, Anne Hidalgo a écrit à la Première ministre Elisabeth Borne pour tenter de débloquer la situation, a indiqué l'entourage de M. Baudrier.
Il y a 2 ans et 319 jours

L'Association des maires de France (AMF) s'engage pour la reconstruction d'Irpin en Ukraine

"Nous annonçons aujourd'hui (mardi) une volonté forte de participer à l'échelle des collectivités locales à la reconstruction de l'Ukraine", a dit le président de l'AMF David Lisnard au côté du maire d'Irpin, ville de la banlieue de Kiev dévastée dans les premières semaines de l'invasion russe qu'il a présentée comme une "ville martyre et héroïque" pour avoir "stoppé l'attaque" sur la capitale ukrainienne."L'idée est que les collectivités françaises, les communes de France et les intercommunalités participent (à la reconstruction) par de l'ingénierie juridique, administrative, technique, ainsi que par la mobilisation de moyens financiers et celle des entreprises de nos territoires", a ajouté le maire LR de Cannes, qui s'est rendu en Ukraine dès le début de la guerre. "La ville d'Irpin a gagné, mais le prix a été très lourd", a reconnu M. Markouchine qui a insisté sur le besoin de reconstruire "avant l'hiver" certaines infrastructures de la ville où s'est rendu il y a deux semaines le président Emmanuel Macron, accompagné du Premier ministre italien Mario Draghi, le chancelier allemand Olaf Scholz et le président roumain Klaus Iohannis."L'un de nos plus grands problèmes, c'est l'infrastructure sociale, les écoles, les jardins d'enfants. Si on ne les reconstruit pas les enfants ne peuvent pas être scolarisés et les habitants ne peuvent revenir", a affirmé le maire qui a estimé à 50 millions de dollars les besoins les plus urgents.Selon l'AMF, 75% de la ville ont été endommagés, "avec plus de 12.000 bâtiments touchés et 885 bâtiments complètement détruits".
Il y a 2 ans et 319 jours

Une initiative lancée pour faciliter la mobilité européenne des apprentis

En 2021, l'Agence Erasmus+ France a financé 18.510 mobilités pour des apprenants de la voie professionnelle. "L'objectif est de permettre à 15.000 jeunes supplémentaires de partir", selon le communiqué de l'association, qui lance jeudi l'initiative à Paris en présence des ministres Clément Beaune (Europe) et Olivier Dussopt (Travail).D'un budget total de 25 millions d'euros sur 4 an, dont 17 millions financés par le programme France 2030, le projet "Mona" (Mon apprentissage en Europe) "a pour ambition d'instaurer durablement une politique européenne dans les parcours de formation des filières de l'apprentissage".Bien que le programme d'échanges européen Erasmus+ soit ouvert aux alternants, "les apprentis se heurtent à des freins académiques, juridiques et financiers qui les tiennent à l'écart des bienfaits de la mobilité européenne de plusieurs mois dont profitent les apprenants des universités et des grandes écoles", souligne l'association Euro App Mobility présidée par l'ancien eurodéputé Jean Arthuis.A la différence de ceux pour étudiants, les échanges d'apprentis, qui ont un contrat de travail avec un employeur, se heurtent aux droits du travail très différents d'un Etat membre à l'autre concernant les alternants.En France, le Code du travail par exemple empêche un employeur de laisser partir son apprenti plus de quatre semaines, sauf à suspendre son contrat de travail, une durée insuffisante pour bénéficier pleinement d'une expérience à l'étranger.Pour lever ces freins, le projet prévoit notamment de financer un poste de "référent mobilité" à temps plein dans chacun des 43 centres de formation des apprentis (CFA) partenaires du projet.
Il y a 2 ans et 319 jours

Hausse des impayés et risque élevé d'expulsions en Europe, selon un rapport

"Dans l'Union européenne, depuis la pandémie de Covid-19, 8,3% des ménages pauvres se trouvent en situation d'impayé de loyer ou de remboursement d'emprunt immobilier", un phénomène qui a augmenté de 20% entre 2019 et 2020, affirment la Fondation Abbé-Pierre et la Fédération européenne des associations nationales travaillant avec les sans-abri (FEANTSA).De ce fait, on peut "craindre, à terme, une augmentation des expulsions avec des conséquences sociales importantes", ajoutent les deux associations dans la 7e édition de leur rapport annuel sur le mal-logement en Europe. Ce risque est d'autant plus élevé que les moratoires sur les expulsions décidées de manière temporaire du fait de la crise du Covid-19 "ont progressivement pris fin", et que la présence de millions de réfugiés ukrainiens "risque également d'augmenter une pression déjà forte sur les services d'aide aux personnes en difficulté", font valoir les auteurs du rapport.Beaucoup de familles, déjà fragilisées par les conséquences économiques de la pandémie, doivent désormais faire face à la hausse des coûts de l'énergie et à l'inflation. Elles sont "prises entre le marteau et l'enclume, entre la pandémie et la crise du pouvoir d'achat", résume Sarah Coupechoux, chargée des questions européennes à la Fondation Abbé Pierre."Cela doit nous alerter: pour éviter une bombe sociale, les Etats de l'UE doivent prendre des mesures structurelles", a-t-elle ajouté, citant une revalorisation des allocations logement et des minima sociaux, ainsi qu'une politique d'encadrement des loyers et de "lutte contre la spéculation immobilière".Pour les auteurs du rapport, "il est indispensable de ne pas réduire le soutien aux ménages vulnérables, comme cela a été fait" avec les politiques européennes d'austérité, "mais au contraire de les aider à faire face à la crise des coûts de la vie", par exemple en puisant dans les plans de relance.La lutte contre le mal-logement et le sans-abrisme doit également être "alignée" avec celle contre la précarité énergétique, soulignent a Fondation Abbé-Pierre et la FEANTSA : les rénovations des logements mal isolés ou trop énergivores doivent profiter en priorité aux plus plus mal logés, mais avec des garanties pour que cela n'augmente pas déraisonnablement leur loyer.
Il y a 2 ans et 319 jours

MaPrimeRénov', primes CEE, retraites, prix des carburants... ce qui change au 1er juillet 2022

MaPrimeRénov' évolueIl va être possible de cumuler un éco-prêt pour financer des travaux de rénovation énergétique avec MaPrimeRénov'. L'éco-prêt ne devra pas dépasser les 30.000 euros et les travaux concernés (isolation du logement, changement de mode de chauffage) peuvent être déjà commencés, mais au maximum 6 mois avant la demande de ce prêt sans intérêt. L'accord de l'Agence nationale de l'habitat (Anah) pour l'attribution de MaPrimRénov' sera suffisant pour constituer le dossier auprès de la banque, sans qu'il soit nécessaire de fournir la liste des travaux concernés. Toutefois, le prêt devra être émis dans les 6 mois suivant cette notification de l'Anah. Seules les banques ayant signé une convention avec l’État pourront émettre ce prêt subventionné.Fin de trois coups de pouce CEETrois coups de pouce pour l'isolation des toitures, des combles et des planchers bas, vont être supprimés. Le Syndicat National de l'Isolation demande de son côté un plan d'urgence et une hausse immédiate de l'obligation de la cinquième période des CEE, à hauteur de 1.000 TWhc. Le gouvernement réfléchit actuellement à ces demandes. RetraitesAvant qu'il ne soit réélu, Emmanuel Macron avait fait la promesse de revaloriser les pensions de retraite de base dès le 1er juillet 2022 afin d'améliorer le pouvoir d'achat des retraités face à l'inflation. Le Président de la République a confirmé le 11 avril qu'il comptait tenir sa promesse.Prix des carburantsPour faire face à la flambée des prix des carburants à la pompe, une remise de 15 centimes d'euros hors taxe par litre va être appliquée du 1er avril 2022 au 31 juillet 2022. Avec la TVA, cette réduction atteint 18 centimes en France continentale, soit 9 euros pour un plein de 50 litres. Cette réduction s'applique à tous les carburants : gazoles B0, B7, B10, B30, B100 et XTL, y compris pour les utilisations non routières (GNR), essences SP95/98-E5, SP-95-E10, GPL-c, GNV sous forme comprimée (GNC) ou liquéfiée (GNL), superéthanol E85, éthanol diesel ED95.Bouclier tarifaire sur le prix du gazPrévu pour s'arrêter le 30 juin, le bouclier tarifaire contre la hausse des prix du gaz est finalement prolongé jusqu'à la fin 2022.Location entre particuliersDes informations supplémentaires vont devoir être ajoutées dans les annonces. Un arrêté publié au Journal Officiel du 22 avril 2022 fourni la liste des informations qui vont devoir obligatoirement apparaître sur les annonces de location (pages 110 et 111 sur 256). Les informations suivantes devront notamment apparaître dans les annonces :le montant du loyer mensuel et le cas échéant du complément de loyer (mention « par mois » ou « /mois » ;le montant des charges locatives ou charges récupérables (mention «charges comprises» ou « CC ») et les modalités de règlement de ces charges ;si le logement est situé dans une zone régie par un dispositif d'encadrement des loyers mention « zone soumise à encadrement des loyers » : le montant du loyer de référence majoré précédé de la mention « loyer de référence majoré (loyer de base à ne pas dépasser) » ;le montant du loyer de base précédé de la mention « loyer de base » ;le cas échéant, le montant du complément de loyer exigé précédé de la mention « complément de loyer » ;le montant du dépôt de garantie éventuellement exigé ;le caractère meublé de la location ;le montant des taxes comprises des honoraires à la charge du locataire lors de la réalisation de l'état des lieux ;la commune et, le cas échéant, l'arrondissement dans lequel le bien locatif est situé ;la surface du bien loué en mètres carrés de surface habitable.Fin des chaudières au fioul ou au charbonPour continuer la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre, l'installation d'équipements de chauffage ou de production d'eau chaude fonctionnant au fioul sera interdite à partir du 1er juillet 2022 sauf en cas d'impossibilité d'usage d'autres sources d'énergie. Dans le cas où vous possédez déjà ce type d'appareils, ils pourront continuer à être utilisés, entretenus et réparés. Des aides allant jusqu'à 11.000 euros sont également prévues pour encourager à remplacer ces appareils polluants. Tous les nouveaux équipements utilisant les réseaux de chaleur, l'électricité, la biomasse, l'énergie solaire ou géothermique, le gaz, ou encore un biocombustible liquide (tel que le biofioul), pourront être installés ou pourront remplacer les équipements au fioul et au charbon, dès lors qu'ils respectent le plafond d'émission de 300 gCO2eq/KWh PCI.