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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Batinfo

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Il y a 2 ans et 364 jours

Renouvellement du programme FEEBAT pour former les professionnels du bâtiment aux travaux de rénovation énergétique

Il est aujourd’hui renouvelé par l’ensemble de ses partenaires, acteurs-clés du bâtiment et de l’architecture, de l’environnement, de la formation et de l’enseignement : ministères, institutionnels et organisations professionnelles. La nouvelle convention FEEBAT s’étend jusqu’au 31 décembre 2025, en cohérence avec la 5ème période des CEE en vigueur depuis le 1er janvier dernier.Le programme FEEBAT 2022-2025 est articulé autour de 3 axes : formation initiale, formation continue et intégration approfondie du programme dans l’écosystème national. Il s’agira ainsi d’amplifier les actions déjà engagées, tout en en développant de nouvelles. La rénovation énergétique des bâtiments, priorité nationale, au cœur du programme FEEBATPour répondre aux objectifs et engagements de réduction des consommations d’énergie et des émissions de gaz à effet de serre, réaffirmés dans la loi Climat & Résilience du 22 août 2021, la rénovation des bâtiments est cruciale. Il s’agit de rénover efficacement, massivement et à coût maîtrisé, tout en luttant contre la précarité énergétique et en contribuant à renforcer l’indépendance énergétique de la France.Pour ce faire, accompagner la montée en compétences de tous les professionnels du secteur, pour adapter leurs connaissances, savoir-faire et savoir-être sur la rénovation énergétique performante des bâtiments, est essentiel. C’est tout l’enjeu de FEEBAT : programme national concevant des ressources, modules et parcours de formation dédiés à la rénovation énergétique, à destination des professionnels du bâtiment et de l’architecture, mais aussi des enseignants et formateurs, pour la formation des futurs professionnels.Reposant sur des modalités pédagogiques innovantes et éprouvées, permettant de bénéficier d’une prise en charge totale ou partielle de la formation dans le cadre des CEE, et, pour la formation continue, d’accéder à des signes de reconnaissance officiels, le programme FEEBAT apporte des réponses aux enjeux de formation.FEEBAT, un programme renouvelé jusqu’au 31 décembre 2025Le programme FEEBAT a été renouvelé par arrêté paru au Journal Officiel du 4 mars 20221. Un renouvellement formalisé par une nouvelle convention de mise en œuvre, allant du 1er juillet 2022 au 31 décembre 2025, organisée autour de 3 axes :Axe 1 – Formation initiale :Finaliser la conception et déployer les modules et parcours de formation déjà conçus, sur l’ensemble du territoire (métropole et Outre-mer), auprès des enseignants et formateurs de l’Éducation nationale, des organismes de formation par apprentissage et des écoles d’architecture ;Former ces derniers afin qu’ils utilisent et déploient à leur tour ces ressources pédagogiques auprès de leurs élèves, apprentis et étudiants.Axe 2 – Formation continue :Faire vivre les modules de formation déjà conçus et en concevoir des nouveaux, en lien avec les évolutions réglementaires ;Accompagner le déploiement des formations par la prise en charge des coûts pédagogiques et d’éventuels modes de financement alternatifs.Axe 3 – Intégration approfondie du programme en interne et dans l’écosystème national :Assurer cohérence et mutualisation de l’ensemble des productions et actions réalisées dans le cadre du programme ;Développer les synergies avec des acteurs et/ou programmes connexes, en lien avec la formation initiale et/ou continue dans le domaine du bâtiment.La gouvernance de FEEBAT évolue avec cette nouvelle convention : l’ATEE devient porteur pilote du programme, et plus spécifiquement porteur des axes 2 et 3. L’AQC devient porteur associé, et porteur de l’axe 1.Le programme FEEBAT se voit doté d’un financement global de 42M€ apportés par EDF, SIPLEC et Distridyn. La formation continue des entreprises et des artisans du bâtiment bénéficie d’un soutien plus important, avec une prise en charge de 40% pour les formations commencées à partir de juillet 2022 (versus 30% pour le programme 2018-2022), venant compléter la prise en charge habituelle des organismes de financement de la formation partenaires de FEEBAT.
Il y a 2 ans et 364 jours

Les plaques stabilisatrices de gravier pour zone urbaine Urbangravel de Jouplast séduisent à Chambéry

Avec URBANGRAVEL® de JOUPLAST®, des plaques alvéolées favorisant le drainage naturel et optimal des eaux de pluies, les professionnels du BTP disposent d’une solution fiable et performante qui permet d’aménager facilement des surfaces gravillonnées en milieu urbain. En voici une nouvelle illustration avec le chantier d’un parking de covoiturage sur la commune de Chambéry en Savoie. URBANGRAVEL®, la solution drainante pour parkings en milieu urbainLe covoiturage est de plus en plus prisé pour se déplacer. Cette pratique, qui répond à des exigences économiques, sociales et environnementales, fait aujourd’hui partie des habitudes d’un nombre croissant d’usagers. Afin de diminuer les émissions de polluants et les embouteillages, la commune de Chambéry continue de développer ses infrastructures, dont la dernière est un parking de covoiturage d’une vingtaine de places terminé en 2021. Pour les travaux, menés par Colas, la maîtrise d’ouvrage a choisi les plaques stabilisatrices de gravier URBANGRAVEL® de JOUPLAST®, le spécialiste en produits innovants et durables pour aménagements extérieurs.Faciles et rapides à mettre en œuvre, les plaques stabilisatrices de gravier URBANGRAVEL® de JOUPLAST® sont particulièrement efficaces pour stabiliser le gravier, drainer les eaux de pluie de façon naturelle et optimale et empêcher la dégradation des sols ou l’apparition de trous.Pour le parking de Chambéry, les plaques ont été posées après les travaux de terrassement et de mise en place des bordures délimitant la surface. Les opérations sur chantier n’étant pas sans comporter certains risques professionnels, des équipements adéquats ont été fournis aux ouvriers. Les consignes de sécurité ont également été respectées durant toute la durée des travaux.Haute résistance à la compression Préconisées pour résoudre les problèmes d’imperméabilisation des sols, et donc les risques d’inondations ou de saturation des réseaux, les plaques alvéolées URBANGRAVEL® de JOUPLAST® assurent à la fois un parfait maintien des graviers et une résistance remarquable à la compression, autorisant le passage de véhicules lourds.Les parois de forte section des cellules alvéolaires garantissent la résistance à la pression, exercée sur le gravier lors de la circulation sur parkings à forte rotation. Couplées à la souplesse de la matière utilisée (polyethylène recyclé), les parois assurent une résistance remarquable à la friction et à la rotation des roues. À combler avec du gravier 8/16 mm, les plaques URBANGRAVEL® de JOUPLAST® supportent ainsi jusqu’à 600 tonnes au m2, soit l’équivalent de 30 camions remplis. Elles peuvent être utilisées pour le passage de véhicules avec une charge à l’essieu de 20 tonnes, et sont compatibles avec les voies accès pompiers.Système d’assemblage exclusifFabriquées en France, les plaques URBANGRAVEL® structurées en nid d’abeilles sont simples et rapides à mettre en œuvre. Elles sont à même de répondre aux exigences de chantiers de grande envergure. En polyéthylène 100 % recyclé, elles permettent d’installer durablement une surface stable et perméable ne générant ni flaques, ni ruissellement, ni ornières, pour les aménagements gravillonnés. Antidérapantes, légères et faciles à découper avec une disqueuse, elles disposent également d’un système d’assemblage exclusif sur les 4 côtés qui assure le bon maintien des plaques entre elles, et empêche la désolidarisation lors de fortes charges de circulation.Plots de marquageLes plaques stabilisatrices de gravier URBANGRAVEL® peuvent être associées à des plots de marquage blancs ou gris JOUPLAST®, vendus séparément, pour délimiter aisément un espace (des places de parking, par exemple).Plaque stabilisatrice de gravier en milieu urbain URBANGRAVEL® JOUPLAST®Matière : polyéthylène recycléCouleur : grisDimensions utiles : 591 mm x 378 mm x 40 mmSurface utile : 0,223 m² , soit 4,484 plaques pour 1 m²Poids : 0,850 kg soit 3,63 kg /m²Volume/poids gravier par m2 : 33 litres - 48 kgRésistance en compression à vide : 112 T/m² (soit 3 camions remplis)Résistance en compression remplie : 600 T/m² (soit 30 camions remplis)Résistance aux températures : entre - 30 °C et + 60 °CConditionnement : 104 pièces/palette, préassemblées par 4Points de vente : négoces en matériauxPlot de marquage JOUPLAST®Couleurs : blanc/grisConditionnement : 40 pièces/cartonPoints de vente : négoces en matériaux
Il y a 2 ans et 364 jours

Kebony ouvre la voie vers un avenir durable

Inspiré par les rapports des normes GRI (Global Reporting Initiative), le rapport sur la durabilité 2021 de Kebony dévoile une étude transparente de l’impact environnemental de la marque et assoit son approche durable.Kebony s’efforce de :S’approvisionner en bois durable au plus près de ses marchés ;Minimiser son empreinte carbone ;Améliorer ses performances au fil du temps et réduire tout impact négatif sur l’environnement ;Montrer l’exemple en matière de gestion et de sécurité ;S’assurer que les ressources et les déchets sont traités de manière durable.« Aujourd’hui plus que jamais, nous assistons à l’apparition de nouvelles tendances majeures dans le secteur de la construction, lesquelles se manifestent par un besoin de produits plus sûrs et plus écologiques. Cette tendance renforce le positionnement de Kebony en tant que leader mondial de la technologie de modification durable du bois. Nous sommes convaincus qu’une révolution de la construction en bois est en marche », a commenté Norman Willemsen, Directeur général de Kebony, au sujet de la parution du rapport. « Les produits en bois innovants et la reconnaissance croissante de la rentabilité, de la polyvalence et de la réduction de l’empreinte carbone du bois sont à l’origine d’une utilisation élargie de ce matériau dans les bâtiments résidentiels et non-résidentiels. Dans cette optique, nous sommes heureux de publier notre premier rapport sur la durabilité pour l’année 2021, lequel comprend des informations à propos de notre impact non financier ainsi que nos initiatives écologiques. Cette publication marque le début de notre démarche de transparence et de responsabilité, et résonne avec nos efforts continus en matière d’amélioration de nos performances ESG. »Basée en Norvège, la marque Kebony s’appuie sur des technologies de modification du bois qui lui permettent de produire un bois modifié de qualité supérieure, à la fois respectueux de l’environnement et économique. La technologie Kebony® transforme de manière permanente des essences de bois durables, telles que le pin, en bois Kebony présentant des caractéristiques comparables, et dans certains cas supérieures à celles des bois durs tropicaux. Ce procédé unique et respectueux de l’environnement constitue également une alternative préférable au traitement traditionnel du bois, basé sur l’imprégnation de celui-ci avec des biocides (produits de préservation).Grâce à ce procédé, et au travers de ses efforts ESG (critères Environnementaux, Sociétaux et de Gouvernance), Kebony réduit la déforestation. En s’appuyant sur les objectifs de durabilité de l’ONU, le rapport sur la durabilité évalue l’impact de Kebony sur l’environnement, identifie les actions qui seront prises pour minimiser encore cet impact, et garantit une prise de responsabilité sur des critères précis.Le rapport sur la durabilité offre une vision globale des valeurs de Kebony, de ses initiatives en termes d’égalité et de sécurité sur le lieu de travail, et de son rôle fondamental en matière de durabilité. Malgré sa vision durable, l’entreprise reconnaît la marge de progression qu’il reste à couvrir pour atteindre un stade de durabilité totale. La publication du rapport sur la durabilité marque le début d’une nouvelle trajectoire, au cœur de laquelle Kebony assumera ses responsabilités et s’efforcera de créer un réel changement positif.
Il y a 2 ans et 364 jours

VEKA Spectral : une offre exclusive pour des menuiseries PVC architecture contemporaine de haute qualité

Grâce à ces nombreux atouts, VEKA SPECTRAL est donc en mesure de séduire architectes, maîtres d’ouvrage, fabricants de menuiseries, poseurs et amoureux de design à la recherche de produits durables. Ainsi, pour le fabricant, VEKA SPECTRAL s’impose comme une véritable opportunité : différenciation et exclusivité sur son marché, création de valeur ajoutée, le tout sans avoir à investir dans un nouveau processus d’assemblage. Pour l’installateur/artisan, cette finition VEKA SPECTRAL, en plus d’apporter un design unique et abouti, se veut résistante et incomparable. Enfin, le particulier y trouvera un rendu inédit visuellement et étonnant par le toucher, le tout associé à des menuiseries VEKA performantes et recyclables. VEKA SPECTRAL : 10 teintes disponibles pour habiller profilés PVC et produits complémentaires S’appuyant sur une technologie maîtrisée, associant laquage et plaxage, VEKA propose VEKA SPECTRAL. Cette finition couleur exclusive allie design et technologie et s’inscrit parfaitement dans les tendances architecturales actuelles, ainsi que dans la progression des menuiseries couleurs sur le marché.VEKA SPECTRAL séduit immédiatement par ses qualités esthétiques et sensorielles, inédites dans le monde de la menuiserie. Sa technologie brevetée génère un aspect ultramat qui absorbe la lumière, plutôt que de la réfléchir. Son interaction avec la lumière crée une qualité de couleur particulièrement dense et riche, pour un aspect unique. Son apparence interpelle également et incite à tester de ses propres mains, pour expérimenter un toucher velours exceptionnel ; une sensation inhabituelle et très agréable.VEKA SPECTRAL se décline en un large éventail de coloris, idéal pour accompagner des projets modernes et élégants, et d’ores et déjà riche d’une dizaine de possibilités : Blanc Pur, Blanc, Gris, Anthracite, Noir Graphite, Umbra, Vert Sapin, Vert Noir, Bleu Acier ou encore le tout nouveau Bordeaux. Cette palette couleur s’enrichit régulièrement de nouveaux tons pour répondre aux dernières évolutions et tendances du marché.Mentionnons aussi que VEKA SPECTRAL propose la possibilité de réaliser des menuiseries plus personnelles, en bicoloration, pour une plus grande harmonie avec la décoration intérieure et l’architecture extérieure.Par ailleurs, l’étendue de la gamme de profilés PVC proposés en VEKA SPECTRAL ainsi que les accords noués avec de nombreux partenaires* de produits complémentaires à la menuiserie (portes d’entrée, portes de garage, bardages, coffres de volet roulant, panneaux de remplissage, habillages et croisillons…) permettent de proposer une collection complète et harmonisée de produits destinés à l’habitat.Une finition haute qualité répondant aux exigences de durabilité et de stabilité Si cette nouvelle technologie de colorisation s’adapte particulièrement aux architectures contemporaines de haute qualité, le rendu haut de gamme des profilés VEKA SPECTRAL s’allie à des qualités techniques appréciées aujourd’hui tant en neuf qu’en rénovation. Ainsi, le film de plaxage laqué associé à une résine de protection Radcure®, durcie par faisceaux d’électrons, rend la surface des profilés VEKA SPECTRAL particulièrement résistante aux variations de température comme à l’humidité, aux rayures ou à l’abrasion. Cette surface s’avère d’ailleurs plus globalement insensible à toutes les influences climatiques, chimiques et mécaniques de l’environnement extérieur. Ce traitement exclusif, antistatique et très résistant, prodigue aussi stabilité et durabilité des teintes et de leur aspect.Les films exclusifs VEKA SPECTRAL sont certifiés QB33-CSTB et RAL et sont produits dans l’usine CELOTEC du groupe VEKA (20 000 m² spécialement dévolus à la fabrication des films VEKA SPECTRAL ; un marché d’ailleurs ouvert à d’autres acteurs du bâtiment, comme les industriels du bardage PVC).Pour continuer d’accompagner ses clients dans leurs activités, VEKA propose également des kits complets pour rénover les surfaces qui auraient subi des dégradations (que ce soit en atelier durant la phase de production comme lors de la mise en œuvre in-situ). Gommes pour effacer les marques surfaciques, stylos de peinture pour faire disparaître les rayures, Celotape pour restaurer les surfaces plus abîmées : toutes les situations trouvent une solution simple, efficace et durable dans l’exhaustivité de l’offre VEKA SPECTRAL.Une gamme étendue sans changement du process industriel pour les fabricants VEKA propose un large choix de profilés PVC pour fabriquer des menuiseries VEKA SPECTRAL. Cette gamme étendue et les accords noués avec de nombreux partenaires* permettent de répondre à tout type de marché, en neuf comme en rénovation.Solution industrielle par excellence, VEKA SPECTRAL rime avec simplicité et valeur ajoutée pour les fabricants de menuiseries. Rappelons en effet que VEKA SPECTRAL ne nécessite aucune modification des processus de fabrication. Usinage, soudure et ébavurage sont standards. Les performances thermique, acoustique et mécanique de la fenêtre PVC restent par ailleurs inchangées.Une finition couleur 100 % recyclableLes films VEKA SPECTRAL sont conçus et développés par la filiale CELOTEC du groupe VEKA. Intégrant une ligne de production et une ligne de découpe, le site CELOTEC de 20 000 m² est situé à Sendenhorst, près du siège social du leader allemand. Il respecte parfaitement l’engagement environnemental de la marque VEKA avec des films qui sont totalement recyclables.Le groupe VEKA intègre en effet les enjeux de développement durable dans sa stratégie d’entreprise depuis plus de 30 ans. Conscient de l’impact de ses activités sur l’environnement et sur l’homme, il prend en compte le cycle de vie de ses produits et s’attache à utiliser des matières premières de manière responsable. Par ailleurs, le Groupe compte pas moins de 3 unités de recyclage en Europe, dont VEKA Recyclage en France, à Vendeuvre-sur-Barse (10).Une large panoplie de supports d’aide à la vente disponibleParce que VEKA se tient toujours aux côtés de ses clients directs ou indirects pour les accompagner dans leur démarche commerciale, l’entreprise a conçu de nombreux outils d’aide à la vente destinés aux maîtres d’œuvre, fabricants de menuiseries, entreprises de pose ou encore au grand public.Alliant outils numériques (site internet, galerie virtuelle**, vidéos), supports physiques (brochure B2B, documentation grand public, nuanciers, coffrets d’échantillons, signalétique pour showroom) et argumentaires commerciaux adaptés à chaque équipe commerciale, la panoplie des supports d’aide à la vente de VEKA SPECTRAL répond là-encore à chaque besoin.Précisons aussi que cette démarche d’accompagnement se double d’un fort investissement de VEKA dans les médias digitaux et traditionnels, et d’un effort particulier pour la mise en avant de VEKA SPECTRAL dans les points de vente du réseau Fenétrier® VEKA.Pour en savoir plus et découvrir de façon interactive les caractéristiques et possibilités de la finition couleur VEKA SPECTRAL, rendez-vous sur la galerie virtuelle dédiée : www.veka.fr/experience-spectral* EURADIF, ISOSTA, VOLMA, Novatech Europe, Rodenberg, Frager Fralu, Europlacage, Sunclear, Indupanel, Elibois, Profiline, SPPF, Geplast, Coprodex, PBI, SDA, Vnylit… ** Rendez-vous sur la galerie virtuelle pour découvrir de façon interactive les caractéristiques et possibilités de la finition couleur VEKA SPECTRAL : www.veka.fr/experience-spectral Ce qu’en disent les fabricants VEKA Une source de nouveaux chantiers pour BIASON FENÊTRES « Depuis quelques années, la part de marché représenté par le PVC plaxé chez BIASON FENÊTRES était supérieure à celle du marché français. Néanmoins, nous rencontrions un plafond chez le particulier sur le segment CSP+. Le ressenti qualitatif du plaxé « classique » restait une barrière psychologique. La finition VEKA SPECTRAL nous a semblé la réponse à cette problématique. En effet, avec cette finition, les menuiseries PVC à frappe présentent un ressenti qualitatif digne de l’aluminium tout en conservant la performance thermique du PVC. Pour compléter ce tableau, le positionnement tarifaire est plus intéressant que les frappes en aluminium. Nous avons donc mis VEKA SPECTRAL à notre offre.Dans un premier temps, l’offre VEKA SPECTRAL nous a permis de concrétiser des dossiers volumes, initialement voués à l’Aluminium. Ce n’est que dans un second temps, avec la mise à disposition progressive de produits complémentaires (cornières, panneaux de portes, coffres de volets roulants, croisillons...), que la finition SPECTRAL a été adoptée par nos clients artisans et fenêtriers. Ils disposent désormais d’une offre étoffée, permettant de répondre aux attentes d’harmonisation du client final CSP+. Ce marché du particulier est en plein essor actuellement et reste prometteur. L’augmentation du prix de l’énergie et la tension sur le pouvoir d’achat des ménages sont deux facteurs qui devraient ancrer durablement cette finition VEKA SPECTRAL dans notre offre produit et développer nos ventes.Côté fabrication, nous avons fait le choix de rester avec des soudures ébavurées et l’intégration de cette nouvelle finition dans notre process industriel a quasiment été transparente. » - Hugo Van den Eede, Directeur Commercial, GROUPE BIASON FENÊTRESUn positionnement haut de gamme et gagnant pour VMA Fenétrier® VEKA« Il a toujours été dans l’ADN de VMA Fenétrier® VEKA de proposer à ses clients les dernières innovations et nous avons rapidement cru au potentiel de la finition VEKA SPECTRAL. Celle-ci fait partie des solutions haut de gamme de notre offre commerciale et nous permet de véritablement nous démarquer sur notre marché. En cohérence avec notre offre, nous avons décidé de proposer VEKA SPECTRAL uniquement avec notre gamme premium HP Line 82. Nous sommes le seul fabricant à commercialiser ce type de menuiserie, ce qui nous permet de proposer une solution véritablement différenciante.En termes de couleurs, le Noir Graphite Ultramat et le Blanc VEKA Ultramat rencontrent le plus de succès auprès de nos clients particuliers. Cet engouement pour des couleurs plus contemporaines confirme que la fenêtre est devenue un objet de décoration à part entière.VEKA SPECTRAL se révèle donc comme un pari gagnant pour notre entreprise et sa part de marché ne cesse de croître. » - Marc Rechard, Président-Directeur Général, VMA Fenétrier® VEKA
Il y a 3 ans et 0 jours

L’emploi et la formation en pleine évolution dans le Bâtiment en Ile-de-France

D’après une étude de la Cellule Economique Régionale de la Construction Ile-de-France et de l’Observatoire des Métiers du BTP, le secteur compte, en 2020, 137 772 salariés dans les métiers de production du Bâtiment en Ile-de-France. 65,4% ont un statut ouvrier, dont la moitié sont qualifiés ou très qualifiés. 12,4% ont un statut cadre et 22,3% sont ETAM. Les entreprises recherchent avant tout des personnes motivées et passionnées. Le Bâtiment est ouvert à tous les profils, avec des métiers accessibles à tous les niveaux de formation. 84% des salariés sont en Contrat à Durée Indéterminée. Le Bâtiment est ainsi un secteur créateur d’emplois stables et garant de la cohésion sociale, où l’on peut gravir rapidement les échelons et devenir chef d’entreprise. C’est une réelle opportunité pour toutes et tous, qui offre de formidables perspectives de carrière, car ce secteur a de l’avenir.Pour faire face aux différents enjeux et évolutions, de nouvelles compétences sont recherchées par les entreprises du Bâtiment, notamment en matière environnementale (rénovation énergétique, recyclage des déchets, isolation thermique…), et dans le domaine du numérique (BIM, Intelligence Artificielle, maquettes 3D, domotique...). C’est pour cela que les entreprises investissent dans la formation de leurs collaborateurs. En effet, 28 850 salariés des entreprises de Bâtiment de la région ont suivi des formations continues au cours de leur parcours professionnel en 2020.Du côté des plus jeunes, 15 822 franciliens sont en formation initiale dans les métiers du Bâtiment sur l’année 2020-2021, dont 41% en apprentissage. Le recours à l’alternance est fortement plébiscité par les chefs d’entreprise du Bâtiment, qui s’engagent pour la continuité du savoir-faire de leur métier, et par les apprentis, pour qui cette voie représente une vraie passerelle vers l’emploi. C’est pourquoi la FFB Grand Paris Ile-de-France, la FFB Ile-de-France Est et la FFB Région IDF (78-91-95) travaillent en étroit partenariat avec les Centres de Formations d’Apprentis.Le besoin annuel de nouveaux collaborateurs dans le secteur du Bâtiment en Ile-de-France s’élève à 10 750 équivalents temps plein pour les métiers de production sur la période 2020-2026. Pourtant, 51,9% des recrutements sont jugés difficiles par les entrepreneurs sur tous les métiers du Bâtiment. Nos fédérations oeuvrent donc quotidiennement pour faire connaître et valoriser les métiers du secteur.Ces chiffres sont issus du Tableau de Bord Emploi-Formation réalisé par la Cellule Economique Régionale de la Construction Ile-de-France et l’Observatoire des Métiers du BTP.
Il y a 3 ans et 0 jours

La métropole de Lyon substitue un "tramway express" à son projet de télécabine abandonné

Ce tramway partira de la station Jean-Macé (7e arrondissement de Lyon) pour rejoindre la gare d'Alaï (Tassin-la-Demi-Lune) "en moins de 20 minutes" sur un parcours en partie enterré qui passera sous le plateau du 5ème arrondissement, entre la Saône et Ménival (ouest), explique le Syndicat mixte des transports pour le Rhône et l'agglomération lyonnaise (Sytral Mobilités) dans un communiqué.La vitesse moyenne des rames atteindra les "70 km/h en ligne droite" sur cette ligne qui doit assurer entre "45.000 et 60.000 voyages par jour".Son coût devrait s'élever à 750 millions d'euros, soit "2 fois moins cher" que la ligne de métro E un temps envisagée sur un parcours similaire par l'ancienne majorité dirigée par Gérard Colomb, a indiqué Fabien Bagnon, vice-président voirie et mobilités actives à la métropole de Lyon.Cette ligne doit remplacer un projet de télécabine qui avait auparavant les faveurs des autorités écologistes pour desservir d'ici 2026 plusieurs communes de l'ouest lyonnais, avant d'être abandonné face à la "forte opposition" de riverains et élus, a annoncé la semaine dernière Bruno Bernard, président écologiste de la métropole de Lyon et de l'autorité organisatrice des transports."Notre objectif est de permettre à un maximum d'habitants de la Métropole de Lyon de pouvoir bénéficier d'un accès aux transports en commun adaptés à leur territoire", a déclaré M. Bernard sur son compte Twitter.De son côté, le maire LR de Tassin-la-Demi-Lune Pascal Charmot, fortement opposé au télécabine, a regretté le manque d'ambition de ce nouveau projet, évoquant "un demi-métro, pour un demi-budget, et une demi-ligne comparé au projet initial de métro jusque Part-Dieu"."On laisse les habitants de Tassin-la-Demi-Lune et plus largement de l'ouest lyonnais, se débrouiller des embouteillages qui ne seront qu'accentués avec un tramway en surface, à faire passer en plein milieu de la circulation !", a-t-il encore fustigé.Comme pour le télécabine, une large concertation sous l'égide de la Commission nationale de débat public est prévue à partir de fin 2023. La fin des travaux est envisagée à l'automne 2031.
Il y a 3 ans et 0 jours

La transformation de bureaux en logements, une solution qui peine à décoller

Boulevard Morland en plein coeur de la capitale (IVe arrondissement), l'immeuble massif des années 60 qui abritait la préfecture et des services municipaux a fait peau neuve.Pour en tirer -entre autres usages- quelque 200 logements (dont 40% de logements sociaux), il a fallu des travaux conséquents. "On n'a conservé que la structure en béton. On a refait les isolations, les faux plafonds...", détaille Julien Desenepart, directeur opérationnel chez le promoteur du projet, Emerige.Plusieurs autres chantiers emblématiques de transformation de bureaux ou de commerces en logements sont en cours dans la capitale, comme l'ancien siège des Hôpitaux de Paris (AP-HP) ou l'ancien magasin Tati Barbès.Paris en pointeCauses de ce succès : d'une part le développement du télétravail, qui fait baisser la demande pour les locaux de bureaux. Et d'autre part les normes environnementales.L'objectif "zéro artificialisation nette" (ZAN), inscrit dans la loi, tend à favoriser la réhabilitation des bâtiments ou des friches plutôt que d'accentuer l'étalement urbain.Le groupe Action Logement, co-géré par patronat et syndicats, a ainsi créé en 2020 une foncière de transformation immobilière (FTI), qui doit y dédier 1,5 milliard d'euros dans les prochaines années.Elle est par exemple chargée de créer 91 logements dans l'ancien siège de l'Urssaf Lorraine, un immeuble haussmannien en centre-ville de Metz."Dans cette volonté de limiter l'artificialisation des terres et l'empreinte carbone dans la construction, la reconquête de ces espaces vacants ou mal occupés est intéressante, notamment dans les zones denses", témoigne Kevin Maruszak, directeur général de la FTI.Selon une estimation du ministère du Logement, depuis 2013, quelque 5.300 logements autorisés par an étaient auparavant des bureaux. Soit environ 1,2% des permis de construire.Mais à Paris, ville très dense où le foncier est aussi rare que cher, ce chiffre dépasse les 12%."Il y a un gisement extrêmement important en Ile-de-France", se félicite Jean-Philippe Dugoin-Clément, vice-président (UDI) de la région francilienne, chargé de l'urbanisme."On estime qu'on va avoir 300.000 mètres carrés qui vont se libérer par an, avec un gisement antérieur qui était de 4 millions. Donc il y a une marge qui est absolument énorme", dit-il.Les promoteurs d'immeubles de bureaux, de leur côté, mettent en avant la "réversibilité" de leurs constructions, c'est-à-dire la possibilité de changer leur usage à l'avenir, comme pour la future Tour Triangle à Paris.D'importants obstacles surtout économiquesPour les propriétaires de bureaux, souvent de grandes entreprises gestionnaires d'actifs, il est plus intéressant, économiquement, de louer des bureaux que des logements. Et accepter leur transformation signifie souvent acter une perte de valeur."Un immeuble de bureaux qui fonctionne mal, son propriétaire va quand même le garder, jusqu'à ce qu'il arrive au point de rupture; et là, c'est la loi du marché qui s'impose", explique Hideki Kurata, dirigeant pour la France de la foncière résidentielle américaine Greystar.Les travaux peuvent également être onéreux. Les immeubles des années 1970-80, explique Kevin Maruszak, "sont des bâtiments très épais, qui peuvent aussi être pollués, notamment avec de l'amiante."Une tour aura aussi beaucoup d'espaces "aveugles", sans fenêtre, et donc difficiles à transformer en pièce à vivre sans perdre en surface.Les élus locaux peuvent aussi être réticents, car des logements rapporteront moins d'impôts locaux que des bureaux, et entraîneront un besoin en nouveaux services publics coûteux : écoles, crèches..."Il y a un intérêt +macro+ à le faire. Parce que coûts moindres, bilan énergétique moindre, crise du logement... Mais si on se place d'un point de vue local, il n'y a pas forcément d'intérêt économique, pour un maire, à le faire. Il peut même y avoir des inconvénients", confie Jean-Philippe Dugoin-Clément.Les pouvoirs publics ont aussi pris des mesures pour favoriser ces changements. La loi Elan de 2018 permet aux chantiers de transformation de bureaux en logements de déroger à certaines règles, notamment les quotas de logements sociaux.
Il y a 3 ans et 0 jours

Nomination d'Elisabeth Borne : Les dossiers prioritaires pour baisser la consommation d'énergie sur la table de la Première ministre

S'appuyant sur ses 40 propositions à impact pour des économies d'énergie réelles, le groupe rappelle les fortes attentes du secteur de l'efficacité énergétique et de ses bénéficiaires - des particuliers aux entreprises en passant par les collectivités locales - envers le nouveau gouvernement qui devrait compter dans ses rangs un ministre de la “planification énergétique” et un ministre “chargé de la planification écologique territoriale”. Les dossiers pour baisser la consommation d'énergie priorisés par le contexte géopolitique Le nouveau gouvernement devra juguler les conséquences du choc énergétique provoqué par la guerre d'Ukraine : un enjeu socio-économique majeur, tant la hausse des tarifs de l'énergie impacte le pouvoir d'achat des ménages et les budgets des collectivités, industries et entreprises. Pierre Maillard, Président Directeur Général du groupe Hellio, juge de bon augure qu'Elisabeth Borne, connaisseuse des dossiers phares du secteur de l'énergie, en tant que Première ministre, se voit confier la responsabilité de la planification écologique. Cette orientation avait été annoncée par le candidat Emmanuel Macron dans l'entre-deux-tours de l'élection présidentielle. A l'aube des élections, le groupe Hellio a transmis aux anciens et futurs décideurs politiques ses 40 propositions à impact sur la maîtrise de l'énergie pour répondre à l'urgence sociale et climatique. “Si l'on veut atteindre 700 000 rénovations de logement par an, lutter contre la précarité énergétique et baisser de plus de 32,5 % notre consommation d'énergie - et notamment fossile - d'ici 2030 comme le supposent nos objectifs nationaux et européens, le compte aujourd'hui n'y est pas. L'instabilité des aides financières pour réaliser des travaux d'économies d'énergie en est une des illustrations : la crise du marché des Certificats d'Économies d'Énergie, estimés à 5 milliards d'euros de primes versées annuellement, est un des dossiers à résoudre de toute urgence par le nouveau gouvernement d'Elisabeth Borne. Autour de ces orientations, le groupe Hellio entend durant ce quinquennat être aux côtés des pouvoirs publics pour témoigner de la réalité du terrain, des solutions éprouvées et ainsi contribuer à l'accélération de la transition écologique et la rendre accessible à tous les Français ”, déclare Pierre Maillard, Président Directeur Général du groupe Hellio. Quels dossiers prioritaires pour baisser la consommation énergétique ? Au regard des réformes ambitieuses du dernier mandat, le groupe Hellio souligne toutefois l'insuffisance des financements, de l'accompagnement des ménages et de la formation des artisans pour atteindre les objectifs de rénovation énergétique des bâtiments. Quatre priorités pour instaurer un nouveau modèle français de l'efficacité énergétique semblent devoir être étudiées par le nouveau gouvernement.Les financements : Ré-arbitrer le niveau des aides financières dédiées aux travaux d'économies d'énergie au regard des objectifs de plus de 32,5 % de baisse de la consommation d ‘énergie de la France d'ici 2030. Cela suppose inévitablement une réhausse de l'obligation de la 5ème période de la plus importante des aides existantes, les Certificats d'Économies d'Énergie (CEE) afin d'enrayer la crise de la filière, mais également de réfléchir à une loi de programmation quinquennale des aides dès 2023 pour assurer une visibilité au secteur.Rénovation globale : Alors que moins de 70 000 rénovations globales des logements sont réalisées par an, le modèle économique est loin d'être suffisant : Expérimenter un modèle innovant d'accompagnement et de tiers financement de la rénovation globale et performante permettrait potentiellement de changer d'échelle.La réforme MonAccompagnateurRénov qui fait l'objet d'un projet de décret actuellement en cours de publication ne doit pas freiner la dynamique.Formation professionnelle : Accompagner l'offre de formation professionnelle pour préparer aux métiers d'avenir et conforter une véritable filière de l'efficacité énergétique est indispensable pour faire face à la pénurie de main d'œuvre.Économie circulaire : Orienter le choix des artisans en faveur de matériaux et équipements vertueux issus de l'économie circulaire et des circuits courts par un taux réduit de TVA permettrait d'accélérer la décarbonation et la résilience de notre économie.
Il y a 3 ans et 0 jours

Pour les 190 ans du Groupe Blanchon, rencontre avec Guillaume Clément, Président Directeur Général

Batinfo : Pourriez-vous nous présenter le Groupe Blanchon ?Guillaume Clément : Le Groupe Blanchon a été fondée il y a 190 ans afin de fournir des solutions fiables pour la protection, la décoration, l'entretien et la rénovation du bâtiment, de l'habitat et des lieux de vie, avec un focus particulier sur le bois utilisé en intérieur (parquet, boiseries, meubles) et en extérieur (terrasses, bardages). Le groupe développe, fabrique et commercialise une vaste gamme de vernis techniques, de produits de finition et de peintures, en restant toujours à la recherche de nouvelles innovations. Nous sommes partenaires des utilisateurs, des négoces bois et matériaux et des grossistes peinture, des industriels de revêtements sols et des grandes surfaces de bricolage.En raison de notre longue histoire en France nous restons attachés à une production locale de qualité. Nous comptons actuellement 420 collaborateurs dans le groupe dont 250 en France et nos 3 plus grandes usines se situent en région Rhône-Alpes. Nous vendons plus de 10000 références, à plus de 8500 clients dans 55 pays, avec une présence forte en Europe. Notre très puissante implantation en France nous permet de nous développer à l’international avec ambition et détermination. Le développement international reste un enjeu stratégique pour l'entreprise et nous projetons de réaliser à terme 50% de notre chiffre d'affaires à l'export. En 2020 nous avions un chiffre-d'affaires de 75 millions d'euros, en 2021 nous avons dépassé les 100 millions de CA et nous nous sommes donnés un objectif de 150 millions de CA en 2025.Batinfo : Nouveaux produits verts, développement en Europe, nouvelle identité graphique... ce 190e anniversaire est-il le début d'une nouvelle ère pour le groupe ?« Protéger c’est dans notre nature » depuis 190 ans...Le Groupe Blanchon a évidemment rencontré plusieurs défis depuis sa création et notamment avec les changements en lien avec la prise de conscience écologique de la fin du XXème siècle. L'arrêt des solvants dans les années 90 a par exemple été un challenge pour nous qui produisons des vernis et des peintures. Mais cela nous a amené à développer notre technologie biosourcée, à lancer une démarche RSE et aujourd'hui plus d'une centaine de nos produits bénéficient de l'Écolabel Européen.Depuis de nombreuses années maintenant, nous nous sommes engagés dans une démarche éco-responsable pour limiter autant que possible notre empreinte environnementale. Nous misons notamment sur l'éco-conception en privilégiant des formulations en phase aqueuse, des matières premières renouvelables et des produits à faible émissions de Composés Organiques Volatiles (COV). Nous produisons dans des usines efficientes, propres et respectueuses de l'environnement, sans rejets dans l'eau, l'air ou le sol, en veillant à un bilan carbone mesuré et en réduisant ou supprimant de façon drastique les solvants. Les consommateurs ont également un rôle à jouer dans cette démarche écologique et c'est pourquoi nous fournissons des conseils sur la bonne utilisation des produits, des recommandations données aux utilisateurs pour protéger l'environnement et nous incitons à privilégier la rénovation plutôt que le remplacement. Valoriser les emballages recyclables, le tri sélectif et le retraitement des déchets en filière spécialisée sont évidemment des points clés pour limiter notre impact sur l'environnement de la création de nos produits à leur fin de vie.Le développement à l'international relève aussi du défi pour une entreprise française privilégiant la production locale. Nous nous développons en Angleterre, en Pologne, en Belgique, aux Pays-Bas, en Italie et partout en Europe. Pour l'instant 60% de notre chiffre-d'affaires vient de la France et 40% de l'Europe mais nous créons de nouvelles équipes régulièrement pour augmenter notre présence à l'étranger.Mais le futur s'avère aussi jonché d'obstacles. Comme dans beaucoup de métiers liés à l'artisanat ou au BTP, attirer des jeunes talents est difficile. Nous devons trouver une solution pour rendre nos métiers à nouveau attractifs. Face à ce défi que représente le recrutement et la conservation du savoir-faire des artisans qui travaillent avec nos produits, créer une académie pour les professionnels puis pour les particuliers dans un second temps peut être une solution à envisager.Batinfo : Quelles sont vos ambitions pour l'avenir ?Pour assurer la pérennité du Groupe, et relever les enjeux environnementaux de notre planète, une évidence : proposer des produits toujours plus performants, éco-responsables et consolider la présence de nos marques sur le plan international. Notre modèle économique, bâti sur 3 activités complémentaires –le grand public, les professionnels du bâtiment et les fabricants industriels de revêtements de sols- doit continuer à s’exporter partout dans le monde. Nous avons accéléré nos implantations en Belgique et aux Pays-Bas avec les acquisitions de Ciranova et de Rigo Verffabriek au cours des 10 derniers mois. L’Europe est notre maison commune et le Groupe Blanchon a vocation à en devenir l’un des leaders incontournables dans l’offre de solutions durables de produits de protection pour les matériaux bois notamment.
Il y a 3 ans et 0 jours

Aide à la gestion locative sociale : les effets des annonces gouvernementales se font attendre

Cette enquête montre peu d’évolutions sur le large panel de résidences interrogées, avec un taux de versement moyen de 65% au niveau national (63% en 2020). Les disparités de dotations entre les départements et entre les résidences au sein de certains d’entre eux demeurent, malgré quelques points d’amélioration.L’Aide à la Gestion Locative Sociale (AGLS)L’AGLS est une aide destinée aux résidences sociales, pour financer la gestion locative sociale, qui se décline en 4 grandes catégories d’interventions : la régulation de la vie collective au sein de la résidence, la prévention et la gestion des impayés, la lutte contre l’isolement et la médiation vers les services extérieurs.Une enveloppe redéployée chaque annéeDepuis plusieurs années, la loi de finances vote une enveloppe de 26 millions d’euros. Cette enveloppe n’a pas été revalorisée depuis 2013 et ne tient pas compte de l’évolution régulière du nombre de résidences sociales : ainsi cette ligne, en application stricte du barème, devrait atteindre 31 millions d’euros (soit 19% de plus que son montant actuel).Chaque année, environ un tiers de cette enveloppe est redéployée vers d’autres politiques. Si les chiffres officiels ne sont pas encore connus pour l’année 2021, cette enquête montre que le redéploiement de crédits ne devrait pas avoir diminué. La légère amélioration constatée est trop lente pour être perçue comme significative par les acteurs d’autant que la dotation théorique elle-même ne correspond plus aux besoins.De fortes disparités territorialesMalgré quelques améliorations, les constats se répètent année après année :1. Des disparités de situation qui restent très marquées entre les territoiresCette année encore, les écarts restent très variés selon les départements. La moyenne des versements varie de 100% de l’AGLS prévue par la circulaire, à … 0%. Il n’y a pas de corrélation entre le nombre de résidences sur le territoire et l’écart relevé. La proportion de département versant en moyenne plus de 50% de la dotation théorique est stable, à 85%.2. Des approches très différentes au sein des départements n’attribuant qu’une fraction de l’enveloppe maximaleLà encore, le constat réalisé depuis 2019 est toujours d’actualité : à l’inégalité de situation entre les territoires, s’ajoute l’inégalité de traitement au sein de certains territoires. En effet, si certains départements répartissent l’enveloppe AGLS de façon homogène, d’autres attribuent l’intégralité de la subvention à certaines résidences et rien à d’autres (selon l’ancienneté de la résidence, par exemple).3. Les résidences totalement privées d’AGLS restent nombreuses19% des résidences sociales de cette enquête n’ont perçu aucune AGLS en 2021. Ce chiffre est en légère amélioration par rapport à 2020 où cette proportion était de 23% sur le même échantillon.Les propositions de l’Unafo1. Transformer l’AGLS en une aide de droit et mettre en adéquation les ressources avec les besoins des gestionnaires. Pour que l’AGLS réellement attribuée permette aux gestionnaires de mener leurs actions, l’Unafo souhaite que :l’enveloppe globale dédiée à l’AGLS fasse l’objet d’une réévaluation dès la loi de finances pour 2023 pour atteindre a minima 31M€,l’ensemble des crédits votés par le Parlement pour financer l’AGLS soient dépensés uniquement à cette fin, sans être redéployés pour financer d’autres politiques, aussi légitimes soient elle.une clause de revalorisation des montants plafonds soit instituée pour tenir compte de la hausse des coûts.la possibilité ouverte par la circulaire de 2013 de dépasser le plafond de subvention de 20% pour les résidences de plus de 200 logements soit rappelée aux financeurs.la création d’une aide renforcée de 2 euros par jour et par personne pour permettre de financer les associations qui exercent des actions plus fortes visant à renforcer l’accès aux droits sociaux et sanitaires.2. Donner de la visibilité aux gestionnaires par des conventions pluriannuelles3. Engager un dialogue avec les territoires les plus en décalage : l’Unafo souhaite qu’un dialogue soit établi, en visant en priorité les départements sur lesquels les écarts sont les plus marqués (la Gironde, le Rhône, la majorité des départements d’Ile de France, la Haute Garonne, …) afin de réfléchir à une harmonisation des pratiques.Sur ces points, la feuille de route du gouvernement pour le développement de la production des résidences sociales annoncée il y a un an, en mai 2021, n’a encore entrainé aucune amélioration.1 L’enquête s’est tenue en février et mars 2022 sur l’AGLS perçue en 2021. L’Unafo a pu recueillir les données de 23 adhérents, représentant 616 résidences sociales, soit 62588 logements, réparties sur 52 départements métropolitains.
Il y a 3 ans et 0 jours

ENO dévoile ses nouveautés pour les cuisines d'extérieur

Pour les amateurs de cuisine d'extérieur, la gamme Modulo intègre désormais un four et une plaque de cuisson deux feux pour avoir tout le confort d'une cuisine intérieure dans son jardin ! Avec son design moderne et élégant, il s'intègre parfaitement avec les autres modules de la gamme.Grâce à ce nouveau module combiné, les possibilités de créations culinaires sont illimitées. Il est désormais possible de cuisiner l'ensemble du repas, de l'entrée au dessert, sans avoir à faire des allers-retours dans la maison.Contenance : 24 LDimensions du module : H 85 x L 80 x P 62 cmPrix : à partir de 1990,30€Le nouveau module pour plancha de la gamme Modulo a été conçu pour recevoir la plancha encastrable TRIBU.Idéale pour les amoureux du design minimaliste, cette nouvelle plancha sait se faire discrète. Elle s'encastre à fleur du plan de travail pour un rendu ultra moderne.Son capot en inox est extra plat. Une fois fermée, la plancha passe incognito et se fond au module. L'espace de préparation est ainsi dégagé et plus facile à nettoyer.Il est équipé d'un compartiment très pratique pour ranger la bouteille de gaz qui alimente la plancha.Module plancha à encastrer : Dimensions : H 85 x L 80 x P 62 cmExiste en 3 finitions : inox, inox et noir, gris cargoPrix : 701,30€Plancha Tribu : Dimensions : H 1,8 x L 40 x P 67 cmBrûleur : 2500 WSurface de cuisson : 44 x 30 cmPrix : 519,30€ + couvercle à 139,30€
Il y a 3 ans et 0 jours

AER Architectes accompagne la projection vers l'avenir du site de Rochexpo

Résultat d’un partenariat entre la mairie de La Roche-sur-Foron, le Conseil Départemental, la Région Auvergne-Rhône-Alpes et Rochexpo, la conception et la réalisation de la nouvelle halle du site Rochexpo à haute-performance énergétique ont été confiées à l’agence AER Architectes. Les études ont débuté en 2018 et le chantier a démarré en juillet 2020. L’inauguration a eu lieu le 18 février dernier en présence du Président de la région Auvergne-Rhône-Alpes Laurent Wauquiez, du Président du département de la Haute-Savoie Martial Saddier et Président de Rochexpo Philippe Carrier.Il résulte de l’alliance entre modernité, la multifonctionnalité, la qualité d’accueil et de réception ainsi qu’une identification forte au territoire.Restructuration spatiale ambitieuseLe programme audacieux s’articule autour de la création de 3 halls d’exposition, d’espaces de conférences et séminaires, d’espaces traiteur et l’embellissement d’un bâtiment « Forum » existant; les bâtiments existants exigus ne répondant plus aux objectifs fonctionnels et thermiques.La halle forme un continuum spatial dans lequel se sous-divisent trois espaces de réception. Le plus grand permet l’organisation de conférences et événements exceptionnels profitant de tribunes télescopiques d’une capacité de 1000 places et d’un traitement acoustique.Le hall d’exposition est en charpente bois-métal tridimensionnelle de grande dimensions : une portée de 54m qui a permis la création d’un espace de 6000m2 sans un seul poteau. La structure symétrique trellis avec des poteaux en force traction. La force ainsi descendante permet aux poteaux d’être fins et de jouer avec les lignes : une prouesse et signature architecturale du bâtiment.Un chantier éco-responsableLe projet a une dimension éco-responsable forte pour répondre aux nouvelles normes environnementales et sociétales.La réduction de l’empreinte carbone et de la consommation énergétique du bâtiment a été rendue possible par l’optimisation de l’ensemble de ses infrastructures notamment par : la végétalisation des accès et intégration dans le paysage et ses spécificités, l’utilisation des structures bois pour la charpente et les murs, le renforcement de l’isolation thermique, la réduction de -50% des consommations en eau, le travail sur l’éclairement naturel avec des bandeaux vitrés toutes façades et des éclairements en toiture (autonomie 50%) et le travail des matériaux recyclés, solution innovante dans les techniques d’architecture et d’urbanisme.Les bois sont issus de forêts labellisées FSC ou PEFC, de marque CE, dans une démarche préférentielle «Bois des Alpes» : bois massifs en résineux de pays (sapin, épicéa, pin...).Ré-emploi des matériaux existants : 2 000m3 sur les 5 200m3 issus des travaux de terrassement ont été criblés sur place pour être réutilisés et éviter ainsi le maximum de déchets éliminés en décharge. L’ancien enrobé a été raboté sur site pour être réutilisé par l’entreprise. et les anciennes fermes en lamellé collé ont été ponctuellement réutilisées en mobilier.Identité régionale ancréeFaire de l’architecture du bâtiment une ode au patrimoine naturel haut-savoyard et participer à son rayonnement national et international.Le travail de façade écrit la qualité architecturale et fonctionnelle symbolique pour une transformation durable de l’image du site : l’implantation aléatoire de poteaux fait référence à la forêt avoisinante et répond au relief de deux volumes blancs en écho aux montagnes et aux glaciers. L’accès au parvis haut de la halle a été sécurisé et embelli par un terrassement minéral agrémenté de «séracs» et la création de jardins «alpins». Son envergure et son architecture hors-norme en font sa signature et porte haut les couleurs régionales.
Il y a 3 ans et 0 jours

Casino a mis en vente sa filiale énergie GreenYellow sur fond de désendettement

Le groupe de distribution Casino, engagé depuis plusieurs années dans un vaste de plan de cessions pour désendetter ses sociétés de contrôle, a confirmé lundi avoir mis en vente sa filiale dédiée à la production d'énergie renouvelable GreenYellow.Dans un communiqué lundi, le groupe a confirmé "avoir lancé un processus de cession de GreenYellow en vue d'une potentielle opération d'ici la fin de l'année", mais dit n'avoir reçu à date "aucune offre engageante". En outre, "aucune décision définitive n'a été prise sur ce projet".Cette communication fait suite aux publications de plusieurs médias, dont Le Figaro et Les Echos, qui précisaient notamment que TotalEnergies ou Engie pourraient se montrer intéressés, et que Casino espérait 1,5 milliard d'euros de la vente.L'information a été bien accueillie par les marchés puisque l'action de Casino s'appréciait de plus de 5,5% lundi à la mi-journée, à plus de 19 euros. Depuis le début de l'année toutefois, Casino a perdu plus de 18% de sa valeur en Bourse.TotalEnergies et Engie, interrogés par l'AFP, n'ont pas souhaité commenter des "rumeurs de marché", pas plus que le fonds d'investissement Tikehau Capital, qui avait pris en octobre 2018 aux côtés de la banque publique Bpifrance 24% du capital de GreenYellow en échange de 150 millions d'euros.A destination des entreprises et collectivitésCréé en 2007 par Casino, GreenYellow vend à ses clients la possibilité de "réduire leur consommation énergétique et leur impact carbone", via l'installation de panneaux solaires, "des contrats de performance énergétique" et "différents services" comme le conseil ou l'achat d'énergie.Dans la communication financière du groupe Casino, GreenYellow est présenté comme une entreprise "B2B", s'adressant aux entreprises et aux collectivités dans les 16 pays où il est présent, avec une "puissance totale installée ou en cours de construction" de 740 MW à fin 2021.Son nom a fait l'actualité dernièrement dans le cadre de la fourniture de gaz à des particuliers, une activité qui est ciblée par une action de groupe pilotée par l'association de défense des consommateurs Consommation Logement Cadre de vie (CLCV).Cette dernière reproche à l'entreprise des "pratiques trompeuses" pour pousser ses clients à renoncer à une offre tarifaire fixe avantageuse dans un contexte de forte inflation du coût de l'énergie. Le groupe souhaite mettre un terme à cette activité mais a indiqué début avril qu'"à ce jour", "aucune date de cessation de notre activité de fourniture en gaz n'est arrêtée en accord avec les administrations compétentes".Plan de cession d'actifsLe groupe Casino cherche en tout cas à vendre pour encore au moins 1,3 milliard d'euros d'actifs, dans le cadre d'un vaste plan de cessions de 4,5 milliards engagé en juillet 2018 et dont l'échéance, initialement fixée en mars 2021, a été repoussée en raison de l'épidémie de Covid-19. Casino entend désormais la mener à bien "au plus tard fin 2023".Jusqu'à présent, le groupe s'était toujours abstenu d'indiquer lesquels de ses actifs pouvaient être cédés. Outre GreenYellow, il détient le site d'e-commerce CDiscount, ou encore les enseignes Monoprix, Franprix, Géant, Naturalia, ainsi que Asai ou Pao de Acucar en Amérique latine...Le plan de cessions s'inscrit dans le cadre du plan de sauvegarde de la maison-mère de Casino, Rallye, et de sa cascade de holdings (Foncière Euris, Finatis et Euris), lourdement endettées. Décidé en février 2020 par le tribunal de Commerce de Paris, il prévoit un remboursement des créanciers via la remontée de dividendes de Casino vers ses holdings, ainsi que la cession de ces actifs "non stratégiques".Un report de deux ans de l'échéancier des remboursements a été accordé en octobre 2021, en raison du Covid-19, et une importante échéance de remboursement de créances interviendra non plus en février 2023 mais 2025.En attendant, l'activité commerciale de Casino souffre avec des ventes en recul notamment en France, où elles se sont établies en 2021 à 14 milliards d'euros (-7,5%), sur un total de 30,5 milliards d'euros.Hasard du calendrier, la communication de Casino sur GreenYellow lundi intervient alors que le média spécialisé dans la distribution LSA détaille le dernier panel des parts de marchés françaises établi pour la période 21 mars-17 avril par Kantar.Ce dernier vient de modifier sa méthodologie de calcul, ce qui a eu pour conséquence de faire reculer d'un rang Casino (7,1% de parts de marché), en septième position, doublé par l'Allemand Lidl (7,6%) et derrière E.Leclerc (22,1%), Carrefour (20,1%), Les Mousquetaires (15,8%), Système U (11,9) et Auchan (9,2%).
Il y a 3 ans et 0 jours

Rockwool mécène de l’exposition « Ré-Génération » célèbre la photographie africaine à Arles

Fidèle à ses engagements pour la transition sociale, économique et environnementale, le Groupe ROCKWOOL, leader de la fabrication de produits, systèmes et solutions en laine de roche, est fier de participer à l’exposition « Ré-Génération » et de contribuer ainsi à la mise en valeur du talent des artistes africains exposés par la galerie La Grande Vitrine à Arles dédiée à la scène photographique africaine.La Grande Vitrine poursuit sa volonté d’être un révélateur de talents. Repérés sur les réseaux sociaux ou via des expositions, les trois photographes réunis à cette occasion Françoise Benomar, Malik Kébé et O’Kiins Howara, ont tous en commun une énergie vitale générée par la couleur. Ils bousculent les codes, apportent une touche supplémentaire à leur œuvre en associant portraits et peinture. Ils partagent cette soif de rassembler tradition et modernité. Leurs modèles, tous Africains, sont magnifiés par la couleur et l’exposition qui relaie toute l’énergie et la fierté de l’Afrique parle au coeur et à l’âme.Des valeurs partagées par ROCKWOOL qui à travers le développement de son activité en Afrique, a à cœur de mieux connaitre la culture et l’architecture de ses pays, de ses typologies de maisons et de bâtiments par le biais d’une démarche toujours plus responsable.Un vernissage aura lieu le 5 mai en présence des artistes, de personnalités locales, des représentants du Maroc et de Côte d’Ivoire, du monde politique, économique et artistique ainsi qu’un représentant de ROCKWOOL.
Il y a 3 ans et 1 jours

Lafarge en Syrie : décision en appel mercredi sur la "complicité de crimes contre l'humanité"

Dans le cadre de cette information judiciaire ouverte en juin 2017, Lafarge SA est soupçonné d'avoir versé en 2013 et 2014, via sa filiale Lafarge Cement Syria (LCS), près de 13 millions d'euros à des groupes terroristes, dont l'organisation Etat islamique (EI), ainsi qu'à des intermédiaires, afin de maintenir l'activité d'une cimenterie en Syrie alors que le pays s'enfonçait dans la guerre.Le groupe avait investi 680 millions d'euros dans la construction de ce site, achevé en 2010.Il a toujours contesté toute responsabilité dans la destination de ces versements à des organisations terroristes.Le groupe avait obtenu de la cour d'appel de Paris en novembre 2019 l'annulation de sa mise en examen en 2018 pour "complicité de crimes contre l'humanité".Mais en septembre 2021, la Cour de cassation, plus haute juridiction judiciaire française, avait cassé cette décision de la cour d'appel, ainsi que le maintien de la mise en examen du groupe pour "mise en danger de la vie d'autrui".Elle avait renvoyé ces deux questions devant la chambre de l'instruction, dans une composition différente.La Cour de cassation avait par ailleurs confirmé la mise en examen du cimentier pour "financement du terrorisme".L'audience s'est tenue le 24 mars, en présence de très nombreux avocats dans ce dossier qui compte plus d'une centaine de parties civiles, parmi lesquelles de nombreux anciens salariés locaux.A l'issue de cette audience, les avocats de Lafarge n'avaient pas souhaité s'exprimer."En connaissance de cause" ?Dans ses réquisitions écrites dont l'AFP a eu connaissance, le parquet général a demandé le maintien de la mise en examen pour "complicité de crimes contre l'humanité" de Lafarge : il estime que l'entreprise "a financé, via des filiales, les activités de l'EI à hauteur de plusieurs millions de dollars, en connaissance précise des agissements".Le parquet a également requis l'annulation de la mise en examen de Lafarge pour "mise en danger de la vie d'autrui".Si la cour suit les réquisitions du parquet général et la volonté des parties civiles, "plus rien ne s'opposera à ce que soit démontré de manière incontestable que le groupe Lafarge a en connaissance de cause financé l'Etat islamique et le Front Al Nosra alors qu'(ils) commettaient les pires exactions", avait estimé Emmanuel Daoud, avocat de la Fédération internationale des droits de l'homme (FIDH).Me Christophe Ingrain, avocat du cimentier avec Rémi Lorrain et Paul Mallet, n'a pas souhaité faire de commentaire avant le délibéré de mercredi.En septembre, Lafarge avait estimé que la décision en cassation "ne présumait en aucun cas de (son) éventuelle culpabilité", soulignant qu'il n'exerçait "plus aucune activité en Syrie depuis plus de six ans".En 2015, Lafarge avait fusionné avec le groupe suisse Holcim.Pour Me Joseph Breham, avocat d'une centaine de ces ex-salariés syriens, "il est maintenant certain qu'Holcim, malgré ses grandes déclarations d'attention, ne voudra pas indemniser ses ex-salariés et respecter sa propre politique interne". "Est-ce que la justice française forcera le groupe à respecter ses propres engagements et à les indemniser ?", interroge l'avocat.
Il y a 3 ans et 1 jours

L'Ile-de-France lance sa biennale d'architecture avec la terre en vedette

Du 14 mai au 13 juillet, en plusieurs lieux de l'ancienne capitale royale, neuf expositions - gratuites - veulent sensibiliser le public à l'impact environnemental de l'activité humaine, et présenter des pistes de solutions architecturales."C'est une biennale de l'urgence climatique, c'est une biennale +il n'y a pas de planète B+", a déclaré jeudi lors d'une visite la présidente (LR) de la région, Valérie Pécresse."L'enjeu de cette biennale, ça va aussi être d'attirer tous les visiteurs, français, franciliens, mais aussi internationaux", a souhaité l'élue. La première édition, en 2019, avait attiré 200.000 personnes.A la Petite Écurie de Versailles, d'impressionnantes expérimentations sont exposées, comme une œuvre de l'architecte thaïlandais Boonserm Premthada, construite en briques elles-mêmes assemblées avec des... déjections d'éléphant.Les visiteurs peuvent également entrer dans un filet suspendu, conçu par la Mexicaine Rozana Montiel pour dénoncer la pollution plastique des océans, notamment par les résidus de filets de pêche. Le sol au-dessous du filet est lui fait de déchets océaniques récupérés sur les plages et recyclés."C'est transformer l'élément en une nouvelle ressource, lui redonner vie. Si, au lieu de laisser les filets où ils sont et coincer les poissons, on les transforme en un matériel utile pour la construction pour faire un parterre, on fait de l'économie circulaire", a expliqué l'architecte à l'AFP.Tout près, différents déchets bien intacts sont exposés: bouteilles en plastique, filets de pêche, tongs usagées...Sur l'une des artères menant au château de Versailles a été installée une construction "biodiversitaire", où des interstices au milieu des murs sont remplis de terre et colonisés par des plantes.Dans un autre pavillon, aménagé dans une ancienne Poste, trône une grande maquette des sols de la région francilienne, réalisée à partir de matériaux naturels."On aimerait d'abord transmettre l'idée que l'Ile-de-France a un socle géographique et paysager plus fort qu'on ne pourrait le croire, c'est-à-dire ses vallées, les plateaux, les buttes...", commente Cécile Diguet, directrice Urbanisme à l'Institut Paris Région et commissaire de cette exposition.Des ateliers, plutôt destinés aux jeunes architectes et étudiants en architecture et consacrés aux matériaux écologiques, seront également organisés au cours des deux mois.L'événement a coûté 2,5 millions d'euros à la région.
Il y a 3 ans et 1 jours

Dans l'ouest de l'Ukraine, les musées sur la défensive

A Lviv, même si la vie est quasi revenue à la normale depuis que les forces russes ont quitté la région de Kiev et concentrent leur offensive sur le sud et l'est du pays, les musées entrebaillent à peine leurs portes, persuadés que l'ennemi est prêt à piller le patrimoine culturel ukrainien."On aimerait bien rouvrir un peu, mais c'est compliqué en termes de sécurité", explique Vassyl Mytsko, directeur adjoint de la Galerie nationale de Lviv, plus grand musée des Beaux-Arts d'Ukraine avec sa collection de 65.000 oeuvres et ses 21 sites."Comment être sûr que les Russes ne sont pas juste en train de reprendre leurs forces avant de balancer toutes leurs roquettes?"Le 24 février, la guerre a pris par surprise le personnel de la Galerie qui "ne s'attendait pas à ce que les frappes portent aussi loin" et menacent leur ville, raconte M. Mytsko.D'abord "choqués", les conservateurs se sont vite mis au travail et ont emballé avec soin tableaux et sculptures. Ces oeuvres, dont certaines valent des millions, ont été mises à l'abri dans des lieux tenus secrets, où elles se trouvent encore aujourd'hui.Au palais Potocki, ouvert exceptionnellement à l'AFP, des ouvriers profitent de l'absence des oeuvres pour repeindre les murs. Là où est d'ordinaire accroché "Paiement (chez le prêteur)" du maître Georges de la Tour, un rouge vif capte l'oeil.Depuis début mai, deux autres sites de la Galerie, situés à plus d'une heure de Lviv, accueillent parfois du public. Pas question, toutefois, de rouvrir en ville "tant qu'il n'y aura pas un changement majeur politique ou sur le terrain", explique M. Mytsko.Pour lui, la Russie, qui a déjà bombardé deux musées, près de Kiev (consacré à l'artiste Maria Primachenko) et de Kharkiv (sur le philosophe Grigori Skovoroda), reste une menace pour ceux de Lviv, car elle cherche à "détruire l'identité ukrainienne et ses racines européennes". "Rusé"Directeur du Musée historique de Lviv, Roman Chmelik est tout aussi méfiant. Sur les dix immeubles centenaires qui abritent ses collections, seuls deux ont très partiellement rouvert le 1er mai: l'un pour donner accès à son café, l'autre à une exposition pour enfants. Et tous restent vidés de leurs trésors.Echaudé par l'Histoire, M. Chmelik rappelle que, lorsque les soviétiques ont pris le contrôle de Lviv, à la fin de la Seconde guerre mondiale, et par la même occasion du musée, ils l'avaient transformé en "instrument de propagande"."Ils avaient remplacé l'exposition permanente par une autre à la gloire de l'Armée rouge", s'étrangle-t-il encore.Dans tout le pays, les Soviétiques "se sont conduits comme des bulldozers", assure aussi Mykola Bevz, professeur en architecture à l'Université de Lviv, qui fut l'un des acteurs de l'inscription de la ville au patrimoine mondial de l'Unesco.Lviv et ses 3.000 monuments, "berceau du patriotisme ukrainien", a toutefois mieux résisté que d'autres à "la planification urbaine" de l'URSS, juge-t-il.D'abord parce qu'elle est entrée plus tard dans le giron soviétique (l'est du pays avait été rattaché dès 1918), ensuite parce qu'il "y avait un mouvement intellectuel qui a su résister avec finesse", dit-il.Les Lviviens ont ainsi réussi à sauver un quartier historique, qui devait être rasé pour construire une large place destinée à des parades militaires, selon le professeur.L'ancien directeur de la Galerie nationale de Lviv, Boris Voznitsky s'était aussi montré "rusé" pour enrichir ses collections notamment d'oeuvres à caractère religieux malgré l'athéisme officiel soviétique, confie Vasyl Mytsko.S'inscrivant dans le sillage de ces défenseurs du patrimoine ukrainien, Roman Chmelik souligne l'importance de protéger les musées de la ville "pour participer à la formation de l'identité nationale."Et au président russe Vladimir Poutine, qui nie l'identité de l'Ukraine en assurant que le peuple russe et ukrainien ne font qu'un, il répond laconique: "nous sommes Ukrainiens et n'avons rien à prouver."
Il y a 3 ans et 1 jours

Entre la maison et l'Ehpad, des habitats partagés pour seniors

Dans ce type de logement, les seniors "qui ne veulent plus ou ne peuvent plus rester chez eux", sans pour autant souhaiter rejoindre une maison de retraite, signent un bail de location classique.Ils disposent d'une chambre individuelle, mais également de pièces de vie partagées avec leurs colocataires, où une professionnelle s'occupe notamment des courses ou de la préparation des repas."Je ne me sentais pas mûre pour aller en maison de retraite", témoigne Marie-Thérèse Castillon, 89 ans, qui vit avec six colocataires dans un logement de ce type en banlieue bordelaise, à Pessac. Ici, "on connaît tout le monde", observe sa voisine Jeanne Choy, 94 ans, qui a quitté un Ehpad pour s'installer dans cette petite structure gérée par la société privée Domani.Les locataires, qui ont chacun leur chambre et leur salle de bains, se retrouvent pour le repas ou les loisirs dans une grande cuisine/salle à manger commune. "Qu'est-ce qui vous ferait plaisir pour le menu la semaine prochaine? Des melons, ça vous dit?" demande Laura Pouchat, une étudiante qui gère le quotidien aux côté de la coordinatrice de la maisonnée.Le soir et le week-end, un prestataire d'aide à domicile prend le relais. Et des étudiants, logés à l'étage du dessus, perçoivent 250 euros par mois pour être disponibles la nuit au cas où les résidents activeraient leur bouton d'appel à l'aide.Réduire le "sentiment d'arrachement"L'objectif est que les seniors "qui ne peuvent plus vivre chez eux" aient un "sentiment d'arrachement le plus faible possible", le tout pour un loyer environ inférieur de 20% au coût d'un Ehpad, soit "1.500 à 1.600 euros, aides déduites", détaille Jean de Miramon, l'un des cofondateurs de Domani.Et la demande est là: avant même l'ouverture de cette résidence de sept places, plus de 200 familles avaient manifesté leur intérêt.Dans toute la France, 100.000 seniors au total devraient pouvoir bénéficier d'un tel logement d'ici à 2030, préconisaient les auteurs d'un rapport remis en 2020 au gouvernement.Pour l'heure cependant, moins de 5.000 personnes résident dans des habitats de ce type, affirme un collectif récemment créé par une quinzaine d'opérateurs privés.Selon ces entreprises, l'"inertie" de l'administration complique l'avancement des projets. Parfois, le promoteur se voit ainsi refuser l'agrément qui lui permettrait de salarier lui-même les aides à domicile intervenant à titre individuel chez les seniors - par exemple pour l'aide à la toilette."dans une zone grise""Le problème, c'est qu'on est un peu dans une zone grise: on ne sait pas où nous mettre!", soupire Laurence Boluda, directrice générale de la "Maison de Blandine", qui crée des habitats partagés de 5 à 25 appartements."Il y a une volonté politique affichée mais il faut que ça suive du point de vue réglementaire", renchérit Maxence Petit dont la société Cosima a ouvert un "domicile partagé" à Lourdes (Hautes-Pyrénées) et en projette trois autres près de Marseille et en banlieue parisienne.La législation, pourtant, a justement évolué: depuis l'an dernier, les résidents peuvent théoriquement percevoir, sans condition de ressource, une "aide à la vie partagée" (AVP) destinée à financer les prestations communes aux habitants de la colocation, comme le salaire de la "maîtresse de maison"."Sur le principe, c'est formidable, mais dans la réalité rien n'est clair: d'un département à l'autre, nous n'obtenons pas la même réponse", souligne Simon Vouillot, co-fondateur de "Age et vie" à Besançon.Pour l'heure, en effet, seule une trentaine de conseils départementaux ont signé un accord avec l'Etat pour mettre en place cette aide - financée par les départements à hauteur de 20% -, explique à l'AFP Stéphane Corbin, directeur adjoint de la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA). Mais, selon lui, une soixantaine d'autres départements devraient les rejoindre cette année.
Il y a 3 ans et 1 jours

Consultation des entreprises artisanales : des freins à la poursuite d’activité s’installent et l’inquiétude prédomine

C’est ce que révèle la deuxième enquête de CMA France menée auprès de dirigeants d’entreprise artisanale pour mesurer les conséquences de la guerre en Ukraine et de l’inflation sur leur activité. Cette situation doit nous mettre en garde sur la santé de notre secteur, raisons pour laquelle nous invitions tous les chefs d’entreprises qui s’interrogent à pousser la porte de leur CMA. 60% des répondants indiquent être inquiets voire très inquiets face à l’évolution de l’inflation et de son impact sur la situation économique de leur entreprise. Si 40% déclarent rester optimistes, pour 33% d’entre eux cette confiance dans l’avenir est cependant teintée d’incertitudes liées au moment présent. 96% des répondants sont des TPE, employant moins de 11 salariés, issues majoritairement du secteur des services et du bâtiment. Les trois grandes difficultés rencontrées par les artisans au mois de mars se confirment : le prix du carburant, la hausse du coût de l’énergie, les difficultés d’approvisionnement. « Les entreprises artisanales, tous secteurs confondus, sont confrontées à un manque de visibilité couplé à des augmentations de prix ininterrompues. Si certaines mesures du Plan de résilience vont dans le bon sens, elles ne sont pas de nature à rassurer la majeure partie de nos chefs d’entreprise. » précise Joël Fourny, président de CMA France. L’ampleur des répercussions de la hausse des prix sur les petites entreprises artisanales, quant à elle, est également préoccupante : 14% des répondants indiquent connaître une baisse de CA de plus de 25% par rapport à l’an dernier à la même époque (période qui n’était pas dynamique en raison du deuxième confinement). Même si pour 60% d’entre eux la baisse de chiffre d’affaires est inférieure à 15%. 56% précisent qu’au regard du contexte actuel la question de la survie de leur activité n’est pas engagée. Ce qui vient confirmer ce sentiment mêlant à la fois inquiétude et souhait de rester optimiste. Pour autant, et à l’inverse, 44% admettent que le contexte actuel pourrait compromettre leur activité. « Cet état d’esprit conforte notre analyse. Ces signaux à bas bruits sont des indicateurs importants. J’y vois le signe d’une réduction des marges des entreprises qui intervient dans un contexte de tension sur les trésoreries et de fragilité, conséquence directe de la crise sanitaire. Ce contexte nous alerte car il peut laisser présager une rentrée de septembre compliquée avec un risque de défaillance accru pour les entreprises artisanales. », ajoute Joël Fourny. Le réseau des CMA, grâce à des diagnostics financés par l’Etat, accompagne les entreprises sur la voie de la transition énergétique, ce qui permet de générer des économies. Mais il est évident qu’agir sur ce seul sujet n’est pas suffisant. « Compte tenu de ce contexte comme du ressenti partagé par une majorité de chefs d’entreprise, je les engage, dans un souci de bonne gestion comme de prévention des risques, à pousser la porte de leur chambre de métiers et de l’artisanat. Les CMA sont là, à leurs côtés, pour faire le point sur leur situation financière et les accompagner avec des solutions et un plan d’action ciblé. », conclut Joël Fourny.* Enquête en ligne réalisée par la CMA France auprès de 13 110 chefs d’entreprise artisanale du 26 avril au 9 mai 2022.
Il y a 3 ans et 1 jours

Investissement résidentiel : le premier trimestre 2022 poursuit la lancée d’une année 2021 record

Des volumes d’investissements recordsAu 1er trimestre 2022, le marché de l’investissement résidentiel a atteint 3,1 Mds d’€, et s’inscrit pleinement dans la dynamique observée ces deux dernières années. Le trimestre a ainsi été boosté par l’acquisition d’un portefeuille français de la CDC par CNP Assurances pour 2,4 Mds d’€. Hormis ce portefeuille qui occupe une grande partie du volume, le reste des montants investis montrent que le neuf prend une place prédominante.« Compte tenu du manque d’offre dans l’existant et des exigences de plus en plus pressantes en matière de normes environnementales, le neuf devient la cible des investisseurs qui cherchent à accroitre leur exposition au résidentiel », commente Sébastien Lorrain, Directeur Résidentiel de CBRE France. « Si les investisseurs institutionnels classiques cherchent à pénétrer plus massivement le marché, pour autant, les opérateurs de logements intermédiaires et sociaux continuent d’être très présents sur le marché résidentiel français. » ajoute-t-il. Avec 20% du volume investis sur le résidentiel géré, la tendance pour ces produits alternatifs se consolide et démontre à nouveau tout l’intérêt pour cette typologie de logement serviciel, en particulier le coliving.
Il y a 3 ans et 1 jours

Invisible, fine, et solide : découvrez siMple la fenêtre

Imaginée et conçue sur le principe « moins, c’est plus », le résultat après 3 ans de recherche et développement s’est imposé tout naturellement avec siMple, la fenêtre.Cette menuiserie brevetée est la première fenêtre à frappe du marché en aluminium extérieur et en acier intérieur qui repose sur la technologie du MULTIMATÉRIAUX*.Les performances*Uw jusqu’à 1,2 W/(m².K)Tlw jusqu’à 69 %Sw jusqu'à 0,60A*4 E*9A V*A3* Perfomances maximales atteignables sur la gammesiMple, la fenêtre bénéficie de plusieurs innovations technologiques de rupture à savoir :siMple, la fenêtre INVISIBLE : un dormant caché, des paumelles invisibles et des poignées laquées à la couleur dela menuiserie pour plus de pureté.siMple, la fenêtre FINE : des profilés de 45mm et un meneau central de 60 mm, 30 % à 40 % plus fin qu’une fenêtre standard (90 à 100 mm le plus couramment) pour un gain de lumière allant jusqu’à 35 %.siMple, la fenêtre SOLIDE : un ouvrant en acier soudé pour atteindre des dimensions hors-normes jusqu’à 2.650 mm de hauteur sans imposte ou allège.Niveau performance, siMple la fenêtre défie tous les autres matériaux du marché avec un cœfficient thermique Uw de 1.2 W/(m².K) avantagé par un rupteur par chambre thermique qui permet d’isoler l’air chaud et froid pour un plus grand confort.Côté décoration, siMple la fenêtre profite du savoir-faire du Groupe MILLET en s’appuyant sur sa technologie unique de la MULTICOLORATION* sur plus de 27 coloris pour satisfaire toutes les envies de couleurs et épouser tous les styles d’architectures régionales.FRÉDÉRIC GUERET - manager produit aluminium, Groupe MILLETEn quoi siMple la fenêtre est une innovation concernant l’invisibilité ?" Pour rendre cette fenêtre jolie, il fallait qu’elle soit pure ! Nous avons donc, rendu invisible les traits de coupe grâce à un ouvrant soudé, laqué la poignée de la couleur de l’ouvrant. Enfin, les charnières et le dormant sont cachés et contribuent à avoir une fenêtre plus minimaliste. "...et la finesse ?" Aujourd’hui, le constat fait sur le marché est simple : la majorité des fenêtres 2 vantaux disposent d’un profil central de 94 mm. Notre souhait est d’apporter beaucoup plus de lumière et nous avons réussi à offrir 35 % de lumière en plus grâce au profil central de 60 mm et à l’ouvrant de 45 mm. "...et la solidité ?" Étant l’inventeur du concept multimatériaux, nous le maîtrisons parfaitement et pour répondre aux nouvelles demandes de nos clients - plus de robustesse, plus de sécurité, de plus grandes dimensions - nous avons donc tout naturellement fait le choix d’allier l’alu à l’acier. En couplant ces 2 matériaux à un ouvrant en acier soudé, nous pouvons désormais proposer des fenêtres de grandes dimensions allant jusqu’à 2,65 m de haut sans imposte ! "*LE MULTIMATÉRIAUX : Technologie brevetée inventée par le Groupe MILLET qui permet de combiner une façade extérieure en aluminium avec 3 matériaux intérieurs alu, bois et pvc.*LA MULTICOLORATION : Technologie qui permet de combiner les couleurs intérieures et extérieures sur 27 coloris au choix et plus de 500 combinaisons possibles.
Il y a 3 ans et 1 jours

Les eurodéputés veulent accélérer la réforme du marché carbone sans peser sur les ménages

La commission Environnement du Parlement européen se prépare à adopter lundi et mardi ses positions sur sept des quatorze textes de la feuille de route proposée en juillet 2021 par la Commission européenne ("Fit for 55") pour réduire de 55% d'ici 2030 par rapport à 1990 les émissions de gaz à effet de serre de l'UE.Axes majeurs: l'élargissement controversé du marché du carbone européen (ETS) au transport routier et au chauffage résidentiel, et la disparition des quotas gratuits accordés aux industriels européens, à mesure que seront taxées les importations de secteurs polluants (acier, aluminium, ciment, engrais, électricité) sur base du prix du CO2.Les eurodéputés devraient endosser cette semaine le compromis déjà conclu entre groupes politiques. Après approbation en séance plénière début juin, cela constituera la position du Parlement lors des négociations avec les États pour finaliser les textes."Cette réforme du marché carbone est le navire amiral de la réglementation climatique", observe Pascal Canfin (Renew, libéraux), président de la commission Environnement.Actuellement, le marché carbone européen, où s'échangent depuis 2005 les "permis à polluer" que doivent acheter certains secteurs (industrie, énergie) représente seulement 40% des émissions des Vingt-Sept.Les eurodéputés approuvent l'élargissement aux transports et au bâtiment mais veulent le cantonner d'abord aux professionnels (chauffeurs routiers, immeubles de bureaux), à partir de 2025, avant d'évaluer en 2026 s'il est nécessaire de l'imposer aussi aux particuliers (voitures, logements). Le cas échéant, ce ne serait qu'à partir de 2029."C'est un sujet politiquement sensible dans un contexte de prix d'énergie élevés" sur fond de guerre en Ukraine, et alors que "l'immense majorité de la consommation de carburant est contrainte" pour les ménages, fait valoir Pascal Canfin."Message très clair"Le projet de Bruxelles obligerait les fournisseurs de carburants et fioul domestique à acheter des quotas d'émissions sur un second marché du carbone, au risque de répercuter ce surcoût sur les ménages: une partie des États s'y oppose déjà, redoutant des contestations populaires en dépit du fonds social proposé par la Commission.Peter Liese (PPE, droite), négociateur du Parlement et favorable à l'inclusion rapide des particuliers au marché carbone, regrette un "compromis douloureux" mais se félicite que son idée d'un "bonus-malus" ait été retenue."Les entreprises qui émettent beaucoup moins recevront des quotas (gratuits) supplémentaires, mais les mauvais élèves ne faisant aucun effort pour se décarboner paieront une facture plus élevée", explique-t-il, saluant aussi l'accord pour gonfler le "fonds pour l'innovation climatique" soutenant les investissements."Les entreprises qui prennent les devants seront récompensées, le message est très clair", abonde Michael Bloss (Verts), évoquant "un succès pour le climat, l'industrie et les citoyens".Les eurodéputés s'entendent aussi pour accélérer l'inclusion du transport maritime dès 2024 (la Commission proposait 2027), faire payer aux compagnies aériennes dès 2025 la totalité du carbone émis sur les vols intérieurs comme les vols internationaux au départ de l'UE, et imposer des quotas d'émissions pour l'incinération des déchets.DécarbonationPar ailleurs, ils devraient voter pour mettre en place dès 2025 l"ajustement carbone aux frontières" sur les importations, avec une application complète en 2030, plus rapidement que la montée graduelle proposée par la Commission (2026-2035).Pour rester dans les clous de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), les eurodéputés proposent d'éliminer complètement dès 2030 (contre 2036 dans le plan initial) les quotas gratuits offerts dans l'UE aux secteurs concernés par la taxe aux frontières... tandis que les quotas aux autres secteurs seraient conditionnés à des plans de décarbonation.Ce calendrier accéléré devrait être âprement négocié avec les États, soucieux de ne pas déstabiliser la compétitivité de l'industrie européenne.Ces votes parlementaires, scrutés par les ONG environnementales, interviennent alors que Bruxelles dévoilera mercredi le deuxième volet de son plan pour éliminer d'ici 2030 la dépendance de l'UE aux hydrocarbures russes, notamment en relevant l'objectif pour la part des renouvelables dans le mix énergétique européen.Avec cette conjonction "on a la possibilité d'accélérer le Pacte vert (de l'UE) de manière significative", commente M. Canfin.
Il y a 3 ans et 1 jours

Saint-Gobain cède son activité de distribution spécialisée et deux usines au Royaume-Uni

"Saint-Gobain a signé des accords définitifs en vue de la cession de International Decorative Surfaces (IDS), son activité de distribution spécialisée en revêtements de sol, plans de travail et stratifiés au Royaume-Uni, à Chiltern Capital", une société britannique de capital investissement, a indiqué le groupe dans un communiqué.La société de matériaux de construction n'a pas précisé le montant de la cession d'IDS, qui affichait en 2021 environ 130 millions de chiffre d'affaires, ni si les emplois de ses 500 employés étaient menacés."Saint-Gobain a également signé des accords définitifs en vue de la cession de deux sites de transformation de verre spécialisés dans la production de double vitrage au Royaume-Uni", a ajouté l'entreprise, précisant à l'AFP les céder à Clayton Glass, un fabricant britannique de verre.Ces deux centres situés à Motherwell (Écosse, proche de Glasgow) et à Canterbury (sud-est de l'Angleterre) ont généré en 2021 un chiffre d'affaires combiné d'environ 20 millions d'euros et emploient environ 80 personnes. Les deux transactions devraient être finalisées "d'ici la fin du deuxième trimestre 2022", précise le communiqué, et marquent "la sortie de Saint-Gobain de toutes ses enseignes de distribution spécialisée au Royaume-Uni".Une opération qui s'inscrit "dans la poursuite de la stratégie d'optimisation du profil du Groupe", a précisé celui-ci.Fin février, Saint-Gobain a annoncé pour 2021 des "records de croissance, de résultat et de marge" - avec un chiffre d'affaires de 44,16 milliards d'euros et un résultat net qui a quintuplé à 2,5 milliards d'euros-, porté par la reprise économique observée après la crise sanitaire et la vague de rénovation de logements lancée dans le monde entier pour répondre à l'urgence climatique.
Il y a 3 ans et 1 jours

Les Remparts de la Cité de Carcassonne se refont une beauté avec EdiliziAcrobatica

Les travaux ont été réalisés conformément aux règles de l'art et suivant les prescriptions particulières applicables aux travaux sur les édifices classés au titre des monuments historiques.Le premier défi fut de réaliser les travaux en un laps de temps très court : moins de UN MOIS.Coté technicité, une fois le désherbage réalisé, l’équipe EdiliziAcrobatica a dû reboucher les trous créés par les racines et les plus grosses cavités avec du mortier de chaux teinté dans la masse, mortier réalisé in situ pour adapter le dosage à chaque changement de teintes (rouge, jaune et terre de sienne).Enfin l’autre défi fut de réaliser des points d'ancrage pour les cordes sans dégrader les remparts, majoritairement fixées autour des crénelages, l’équipe EdiliziAcrobatica a cependant dû installer des tyroliennes.Implantée depuis 2019 en France, EdiliziAcrobatica a donné le coup d’envoi à une stratégie d’expansion avec l’ouverture de son activité commerciale dans 6 villes qui couvrent actuellement une grande partie du Sud de la France : Nice, Marseille, Toulouse, Montpellier, Narbonne et Lyon.Parmi les 3000 chantiers honorés par les maçons cordistes EdiliziAcrobatica, d’autres projets ont marqué les esprits : nettoyage de la Forteresse de Salses, intervention sur la façade du Cube Orange (Lyon) (œuvre du cabinet d’architecture Jakob+ Macfarlane) et de la Gare de Perpignan, intervention au somment du monument historique de l’Alhambra à Nice, rénovation complète de la façade quartier historique Port Viguerie (Toulouse) pour les Bâtiment de France, ou encore le nettoyage du Pavillon 52 (Lyon) et du Monolithe (Lyon).Parmi les travaux demandés, on retrouve souvent la dévégétalisation, l’élagage, la réalisation de raccords d'enduits, la pose de pics et filets anti-pigeons, le nettoyage de chéneaux et descentes d'eaux pluviales ainsi que la réparation de toitures à l'accès difficile.Avec plus de 90 postes à pourvoir et une augmentation de son volume d'affaires de plus de 38%, EdiliziAcrobatica France connait un début d'année 2022 très positif à l'instar du Groupe et s'impose comme les spécialistes de la rénovation sur corde.
Il y a 3 ans et 1 jours

La CAPEB et EDF renouvellent leur partenariat pour accélérer la rénovation énergétique dans l’habitat

Cet accord de partenariat signé par Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB et Fabrice Gourdellier, Directeur Clients Particuliers d’EDF, vise à accompagner les entreprises adhérentes de la CAPEB dans la promotion d’actions permettant de réaliser des économies d’énergie et de réduire les émissions de gaz à effet de serre dans l’habitat. EDF a ainsi mis en place le portail Prime Energie (www.prime-energie-edf.fr) pour contribuer à financer les travaux éligibles aux Certificats d’Economies d’Energie. Dans le cadre de cet accord qui prolonge celui signé en 2018, la CAPEB, au travers des CAPEB départementales, continuera à sensibiliser les professionnels, impliqués dans la rénovation énergétique, à l'intérêt du dispositif mis en place par EDF. Elle poursuivra notamment l’organisation d’actions d’information, de promotion et de communication mettant en avant le mécanisme d’accompagnement proposé par EDF aux ménages via le portail Prime Energie dans le cadre du dispositif des CEE. De son côté, EDF continuera, via son réseau commercial réparti sur le territoire national, à accompagner les CAPEB départementales au mécanisme mis en place pour les ménages dans le cadre du dispositif des CEE afin qu’elles portent l’information auprès des entreprises artisanales adhérentes à la CAPEB. Pour certaines opérations, EDF reconduit la possibilité pour les ménages de bénéficier d’un prêt à taux réduit et bonifié pour leurs travaux, sous conditions. Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Fort de notre précédent partenariat, qui a permis de toucher 4.000 entreprises et d’accompagner plus de 60.000 dossiers de particuliers, cette nouvelle opportunité qui s’offre à nous aujourd’hui à travers ce renouvellement de partenariat est la bienvenue pour mobiliser encore plus d’entreprises adhérentes sur le sujet de la transition énergétique dans nos métiers. Par son expertise, EDF qui a développé un dispositif fiable et intuitif qui permet aux ménages d’être mieux accompagnés pour leurs travaux de rénovation énergétique, accompagne pleinement nos entreprises. »Pour Fabrice Gourdellier, Directeur Clients Particuliers d’EDF : « EDF a souhaité renouveler son partenariat avec la CAPEB qui a rencontré un vif succès depuis sa signature en 2018. Notre dispositif de prime directe, mis en place depuis 2017, a fait ses preuves. En versant une aide financière sous forme de chèque aux ménages qui réalisent des travaux de rénovation énergétique, EDF les encourage dans leur transition énergétique. Ce renouvellement de partenariat signé avec la CAPEB va permettre d’intensifier l’accompagnement d’EDF auprès des adhérents de la CAPEB dans un contexte d’évolution réglementaires visant la meilleure qualité de travaux pour les ménages. »
Il y a 3 ans et 1 jours

FINALCAD lève 10M$ pour accélérer son développement et la numérisation du secteur de la construction

Finalcad : plus de 10 ans d’innovation au service de la digitalisation du BTPLancé fin 2011 par Jimmy Louchart, Joffroy Louchart et David Vauthrin, Finalcad a vu le jour avec l’ambition d’aider les entreprises du secteur de la construction à optimiser leur efficacité opérationnelle grâce aux outils digitaux. Pour relever ce défi, la société a conçu une plateforme SaaS de gestion des chantiers qui permet de digitaliser les données et les processus liés aux projets de construction. La solution permet de faciliter la collaboration et la coordination entre les différentes parties prenantes sur site et hors site, et ainsi d’optimiser la qualité des projets livrés. Nombreux sont les acteurs à faire confiance à Finalcad parmi lesquels le groupe Eiffage qui vient de prolonger de plusieurs années son partenariat engagé en 2017 avec l’éditeur pour l’accompagner dans la transformation digitale de ses chantiers.Une levée de fonds pour renforcer les investissements et accélérer la transformation de l’entrepriseCette levée a été menée par l'équipe de direction de Finalcad qui s’est vu renforcée récemment par l’arrivée de Pascal Laik en qualité de Chief Executive Officer pour soutenir l’ambitieux programme de développement de la société.Pascal Laik a été nommé CEO de Finalcad fin 2021. Il apporte à l’éditeur son expérience de plus de 30 années acquise dans les nombreux postes à responsabilité qu’il a occupés chez des éditeurs leaders dans leur spécialité comme Oracle, Siebel Systems, Informatica et C3.AI dont il a accompagné la croissance et le développement à l’international. Sa profonde expérience dans l’univers du SaaS, ainsi que dans la gestion, la commercialisation et la mise en œuvre de plateformes de transformation numérique acquise dans l'univers IoT, Big Data et IA sont autant d’atouts au service des objectifs d’excellence opérationnelle et de croissance des ventes que visent Finalcad.Fort de ce nouveau financement, Finalcad va renforcer les investissements et la transformation entamée il y a quelques années, dans un esprit de continuité avec les investisseurs historiques. Cette levée de fonds va notamment permettre de soutenir les investissements R&D sur des sujets tels que la sécurité et l'environnement sur les chantiers ainsi que l’exploitation des données dont l’utilisation de l’Intelligence Artificielle au service des équipes terrain et de management. Enfin, après avoir développé son activité en Asie du Sud-Est ces dernières années, Finalcad va poursuivre son déploiement à l’international, en Europe mais aussi en Afrique du Nord.« Nous nous réjouissons de cette levée de fonds dont l’objectif est de rendre accessible à tous les professionnels de la construction une plateforme collaborative unique et personnalisable permettant de digitaliser en toute autonomie chaque étape de la vie des ouvrages, depuis le début des travaux jusqu’à leur exploitation.Grâce à elle, nous allons renforcer notre positionnement en tant que Field Experience Platform - solution de productivité orientée terrain – afin d’apporter une meilleure réponse aux besoins quotidiens des équipes opérationnelles, et, pour leur management, en facilitant le pilotage et la gestion de la performance via l’analyse des données remontées des chantiers. Ce financement va nous permettre d’aller encore plus loin dans cette direction, en exploitant pleinement le potentiel des données BIM et les capacités offertes par l’Intelligence Artificielle. », indique Pascal Laik, CEO de Finalcad. Jean-François Cochy, Partner chez Cathay Innovation déclare à propos de cette levée :« Grâce à sa suite technologique moderne et à ses outils numériques évolutifs et user-friendly, Finalcad est aujourd’hui un leader incontesté de la digitalisation du secteur de la construction. Finalcad fournit des solutions qui aident les professionnels du BTP à optimiser leurs opérations et leur expérience sur le terrain.Depuis notre investissement initial en 2018, nous avons accompagné le renforcement de l’équipe - ce qui s’est traduit au cours de l’année dernière par l’acquisition d’une large base d’utilisateurs de Finalcad One, tout en conservant les clients historiques avec des contrats renouvelés. Nous nous réjouissons de soutenir l’équipe dans cette prochaine phase de développement et d’expansion grâce aux atouts de notre plateforme mondiale. »Jonathan Sibilia, Partner chez Molten Ventures insiste quant à lui sur les perspectives pour les professionnels du BTP :« Finalcad fournit une solution dont la valeur est aujourd’hui largement prouvée et reconnue. Des gains de temps significatifs ont été remontés suite aux retours d’expérience de nombreux conducteurs de travaux qui utilisent la solution depuis plusieurs mois : plus de 28 heures/mois pour chaque utilisateur ! Ces gains de temps sont déjà considérables, mais des gisements de valeur gigantesques restent à exploiter en poussant plus loin l’analyse des données chantiers. Nous sommes convaincus que cette analyse sera demain le moteur principal de la transformation digitale des entreprises de construction. »
Il y a 3 ans et 2 jours

Au Brésil, la détresse des sinistrés après les inondations

Le bilan humain s'est encore alourdi, s'élevant à 21 morts depuis fin novembre, après le décès mardi d'un homme de 19 ans qui s'est noyé dans la ville d'Ilheus. Selon les autorités locales, il s'agit du plus grand volume de précipitations tombé en 32 ans à Bahia pour un mois de décembre. Dans certaines villes, l'équivalent d'un mois de pluie s'est abattu en quelques heures. Les inondations ont touché 136 communes, soit un tiers des municipalités de Bahia, affectant près d'un demi-million de personnes et faisant plus de 77.000 déplacés. Les météorologues craignent désormais que de violents orages chargés de pluie atteignent ces prochains jours les États très peuplés du sud-est du Brésil, notamment ceux de Minas Gerais, Rio de Janeiro et Sao Paulo. À Itapetinga, une des villes les plus touchées du sud de Bahia, Carlos Batista da Silva désigne sur le mur une trace au-dessus de sa tête qui montre à quel point le niveau de l'eau a monté. "On a essayé d'enlever les meubles, mais on n'a pas eu le temps. On a seulement pu sauver la télé", confie-t-il à l'AFP. Joao Vitor Gomes dos Santos, autre habitant d'Itapetinga, n'a pu que constater les dégâts. "L'eau est entrée dans la maison et a submergé les armoires, le lit... On a tout perdu", déplore-t-il. Dans les villes où le niveau de l'eau a commencé à baisser, des montagnes de décombres apparaissent, dans un paysage de désolation où l'accès aux quartiers les plus sinistrés se fait seulement par bateau pneumatique ou par hélicoptère. Mais d'autres localités, comme Itambé, Canavieiras, Mascote ou Candido Sales, restent sous la menace de nouvelles inondations et des habitants ont dû être évacués par mesure de prévention. Les pompiers de Bahia surveillent de près une dizaine de digues proches de la rupture et des cours d'eau qui menacent de déborder. Au total, plus de 40 routes ont été endommagées. Bolsonaro en jet-ski Le président d'extrême droite Jair Bolsonaro a signé mardi un décret autorisant un crédit extraordinaire de 200 millions de réais (environ 21 millions d'euros) pour la réparation des infrastructures de cinq États touchés par la pluie, dont 80 millions affectés à Bahia. Mais le gouverneur de Bahia, Rui Costa, a estimé mardi que ces fonds étaient "insuffisants". "L'étendue de la destruction est impressionnante. On dirait qu'il y a eu la guerre. Nous sommes encore en train d'évaluer les dégâts, il est trop tôt pour donner un chiffre concret", a insisté cet élu du Parti des Travailleurs (PT, gauche) de l'ex-président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, favori contre Jair Bolsonaro pour la présidentielle d'octobre 2022. Lundi, Rui Costa décrivait déjà les inondations dans son État comme la "pire catastrophe de l'histoire de Bahia". Le président Bolsonaro a été très critiqué pour son absence sur le terrain. Plusieurs ministres ont survolé les zones sinistrées mardi, pendant qu'il s'affichait en jet-ski sur une plage de l'État de Santa Catarina (sud). "J'espère ne pas devoir écourter mes vacances", a déclaré le chef de l'État à des partisans, selon le site d'informations locales de Santa Catarina ND Mais. "Ce n'est pas juste de l'irresponsabilité, c'est un manque de compassion. Près de 500.000 personnes ont été affectées par les inondations à Bahia et où est le président de la République?", a lancé mercredi sur Twitter le député de gauche Marcelo Freixo. De nombreuses célébrités se sont mobilisées pour appeler aux dons afin de venir en aide aux sinistrés, notamment les chanteurs Gilberto Gil et Caetano Veloso, originaires de Bahia.
Il y a 3 ans et 3 jours

Ensoleillée mais isolée, Chypre peine à augmenter la part d'énergie verte

Devant sa facture d'électricité qui flambe, la trentenaire dit vouloir "louer une parcelle" pour y installer des panneaux solaires.Sur l'île méditerranéenne, en un an, le nombre de panneaux installés par des particuliers a augmenté de 16%, selon l'Autorité chypriote de l'électricité (EAC).Pourtant, Chypre peine à augmenter sa part d'énergie solaire et éolienne. En 2019, elle stagnait à 13,8%, en dessous de la moyenne européenne (19,7%), selon les derniers chiffres de l'office européen des statistiques Eurostat.Chypre espère voir sa part d'énergies renouvelables atteindre les 23% d'ici 2030, selon son plan d'action national.Le problème, selon Markos Asprou, spécialiste de l'électricité au centre de recherche chypriote Kios, c'est que la production d'énergie renouvelable est "difficile à prévoir"."Le jour, nous avons de l'énergie d'origine photovoltaïque. La nuit, nous tombons à zéro", explique Giorgos Moniatis, le codirecteur de la principale centrale de production d'électricité de l'île, Vassilikos.Pour pallier l'absence d'énergie renouvelable, "le réseau doit être flexible, ce qui n'est pas le cas à Chypre" en raison de son isolement, indique M. Asprou.IsolementEn cas de carence, l'île ne peut compter sur le réseau d'aucun pays voisin. Située à plus de 800 km des premières côtes européennes - celles de la Grèce -, elle n'est reliée à aucun autre système électrique.D'où, selon M. Asprou, la lenteur du développement de l'énergie renouvelable par rapport à d'autres pays de l'Union européenne (UE).Pour l'accélérer, il faudrait une solution pour garantir la fourniture d'énergie pendant les creux de production comme "le stockage ou l'interconnexion avec d'autres pays, etc", explique-t-il.Mais si les technologies pour stocker de l'électricité d'origine renouvelable existent, il est pour l'instant difficile et coûteux de les mettre en place à grande échelle, selon des experts du secteur.Dans la salle de contrôle de Vassilikos, M. Moniatis montre une colonne vide sur un écran: sur l'ensemble de l'île, pas un souffle de vent. Les pales des éoliennes restent immobiles.Vassilikos, qui couvre 61,5% des besoins électricité de l'île, brûle du fioul lourd et du gasoil, des énergies fossiles qui placent Chypre parmi les pays les plus pollueurs de l'UE."Que fait-on s'il n'y a pas de vent?", demande M. Moniatis. "C'est très difficile. Nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes."Pour briser son isolement, Chypre multiplie les accords et projets, comme le très coûteux EuroAsia interconnector, cofinancé par l'UE, qui vise à relier les réseaux électriques de Chypre à ceux d'Israël et de Grèce.Le 19 octobre, Chypre, la Grèce et l'Egypte ont aussi signé un accord de transfert d'énergie électrique en vue de l'interconnexion des trois pays.Pics de consommationLa République de Chypre fait aussi face à un facteur démographique particulier qui entraîne des pics de consommation: ses 800.000 habitants accueillent environ quatre millions de touristes par an, notamment l'été, hors pandémie de Covid-19.Les besoins de l'île sont ainsi passés cette année de 300 mégawatts (mw) au printemps à 1.200 mw cet été, souligne M. Moniatis.Pendant les nuits estivales étouffantes, "tout le monde veut dormir avec l'air conditionné, mais la nuit il n'y a pas d'énergie solaire donc on doit compter sur les turbines" de la centrale, rappelle le codirecteur.Pour les consommateurs, "le coût de l'électricité ne cesse d'augmenter, ça plombe notre budget", déplore Georgia Mouskou.Le prix du kilowattheure (kwh) est passé de 16,97 centimes d'euros fin 2020, à 21,78 centimes d'euros en août 2021, soit plus de 28% d'augmentation, selon des chiffres de l'EAC.Mais selon Mme Mouskou, la transformation de son logement pour recourir à l'énergie verte coûterait une fortune."Même avec des aides de l'Etat, c'est irréalisable pour nous", regrette-t-elle.Une autre solution pourrait être de repenser son mode de vie. A Chirokitia, à six kilomètres seulement de Vassilikos, deux panneaux solaire suffisent aux besoins de Melissa Ahearn et son compagnon."Quatre ampoules, un chargeur de téléphone et la batterie de l'ordinateur, c'est tout ce qu'il nous faut!", assure celle qui a longtemps travaillé sur les marchés boursiers.
Il y a 3 ans et 4 jours

Privé de subvention régionale, le musée Tony Garnier à Lyon craint une fermeture

"C'est le coup de grâce", estime la directrice du musée, Catherine Chambon, après avoir reçu un courrier de la région il y a "48 heures" l'informant qu'une subvention de 35.000 euros, attendue "pour l'exercice en cours", ne lui serait pas versée.Malgré la crise sanitaire, dont le musée s'est sorti "correctement" grâce aux diverses aides, le "chiffre d'affaires d'activité est remonté depuis janvier plus haut qu'avant le Covid", se félicite-t-elle.La région a confirmé à l'AFP la "non-reconduction" de sa subvention au musée Tony Garnier, situé dans le 8e arrondissement de Lyon, faisant valoir un "rééquilibrage en direction de territoires où l'offre culturelle est moins importante que dans les grandes métropoles d'Auvergne-Rhône-Alpes"."La Région entend consacrer une partie plus importante de son budget culture pour favoriser les initiatives et les projets auprès des habitants éloignés des grandes institutions culturelles", ajoute-t-on, en évoquant des "festivals portés par de petites associations".Le musée se situe au coeur de la Cité jardin, dite Cité des États-Unis ou Cité Tony Garnier, construite entre 1921 et 1933. Premier ensemble d'Habitations à Bon Marché, elle compte quelque 1.500 logements répartis en douze îlots.Labellisé "Patrimoine remarquable", le musée qui s'apprête à fêter ses 30 ans assure recevoir chaque année 35.000 à 50.000 visiteurs.La Région, en supprimant sa subvention, "le condamne, de fait, à la fermeture le mois prochain et à licencier ses salariés", a réagi dans un communiqué Sarah Peillon (LREM), candidate aux élections législatives dans la 3e circonscription où se situe le musée.Mme Peillon accuse le président LR de la région, Laurent Wauquiez, de "sacrifier, pour une somme dérisoire au regard du budget régional, un musée ancré dans son territoire et son histoire, mais qui rayonne bien au-delà".D'autres acteurs culturels lyonnais comme l'Opéra ou la Villa Gillet sont concernés par ce coup de rabot de la région, annoncé fin avril.Le maire EELV de Lyon, Grégory Doucet, avait alors dénoncé sur Twitter des "coupes budgétaires brutales" de la région Auvergne-Rhône-Alpes, "sans concertation avec les partenaires" et qui "mettent sérieusement en péril plusieurs institutions lyonnaises déjà fortement impactées par la crise sanitaire".
Il y a 3 ans et 4 jours

Le téléphérique urbain, une bien lente progression

Le dernier élu à jeter l'éponge est le président de la Métropole de Lyon, Bruno Bernard (EELV), qui rêvait de télécabines pour rejoindre la banlieue ouest, au relief tourmenté."Il y a une forte opposition des citoyens qui se sont exprimés sur ce nouveau mode de transport. Les conditions ne sont donc pas réunies pour réaliser ce projet", a-t-il annoncé mardi, au terme d'une concertation publique particulièrement agitée."De nombreux participants ont souligné leur attachement au paysage et craignent que les stations, les pylônes, les câbles et les cabines ne viennent abîmer, défigurer, changer l'identité visuelle (du) paysage", ont rapporté les garants de la concertation. D'autres se sont inquiétés du bruit, du survol des habitations et ne voulaient pas être vus d'en haut.Un certain nombre de projets plus ou moins avancés de téléphériques urbains ont été abandonnés ces dernières années: à Orléans, à Marseille, à Paris, à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), à Grasse (Alpes-Maritimes)...Pour le centre public d'études des mobilités Cerema, pourtant, le téléphérique urbain est "une solution de transport efficace et pertinente pour des territoires présentant de forts dénivelés ou des coupures urbaines liées à des obstacles hydrologiques (fleuves) ou urbanistiques (infrastructures linéaires de transport de personnes ou d'énergie telles qu'un faisceau ferroviaire ou des voies autoroutières)".Offrant des fréquences élevées, qui compensent la petite taille des cabines, il doit être intégré au réseau de transports urbains. "Pour la collectivité porteuse du projet, le transport par câble donne une image attractive et innovante tout en offrant une expérience voyageur originale", estime aussi le Cerema."Convaincre"L'histoire a failli mal tourner à Brest, où le premier téléphérique urbain de France relie depuis fin 2016 le centre-ville à un nouveau quartier situé de l'autre côté du port militaire. Le modèle choisi était nouveau et des pannes à répétition ont terni son image."Maintenant, ça marche vraiment très bien", assure un porte-parole de Brest Métropole. "C'est un énorme succès !"A Saint-Denis-de-la-Réunion, le deuxième grimpe depuis mars vers un quartier résidentiel en passant par un lycée et le campus universitaire, sur 2,7 km.Téléo, le téléphérique mis en service dimanche à Toulouse, est un modèle du genre : long de 3 km, il relie une station de métro à un hôpital situé sur une colline, puis franchit la Garonne. Ses concepteurs y voient le maillon central d'une rocade de transports publics au sud de la ville rose.De même, le futur "Câble 1" (ou C1) dont la construction commence au sud-est de Paris doit relier le terminus du métro à Créteil à Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne), en 4,5 km et cinq stations. En franchissant des voies rapides et des faisceaux ferroviaires avant d'aborder une jolie côte.D'autres téléphériques doivent suivre à Ajaccio, Grenoble et à nouveau Saint-Denis-de-la-Réunion, puis peut-être à Bordeaux, à Lyon et en Ile-de-France.Dans la région-capitale, Ile-de-France Mobilités (IDFM) a étudié pas moins de treize projets."Il y a de l'opposition locale. Ça inquiète les riverains et c'est légitime", explique le directeur général d'IDFM Laurent Probst."Avoir des cabines qui passent au-dessus de sa tête, c'est quelque chose qui n'est pas très confortable", dit-il, rappelant qu'"il a fallu convaincre" et modifier le C1, en particulier pour éloigner les pylônes des habitations.En outre, "un bus en site propre est moins cher et plus efficace" sur certaines liaisons envisagées, note le responsable. Seule "une poignée" de projets devraient finalement être concrétisés, selon lui."Je suis plutôt confiant pour ce mode de transport qui amène une solution là où les autres ont calé" pour franchir des obstacles, estime Jean Souchal, président du directoire du constructeur grenoblois de remontées mécaniques Poma qui a fourni les systèmes de Toulouse, Saint-Denis-de-la-Réunion, Ajaccio et Grenoble."Dans la problématique, on a beaucoup d'avantages!", souligne-t-il, convaincu que le modèle fera école, peu à peu. Comme il s'est imposé en Amérique latine, de La Paz à Rio de Janeiro, Bogota et Medellin, ou en Algérie.
Il y a 3 ans et 4 jours

DevisGratos : l'assistant virtuel des artisans, un chatbot au service de l'artisanat

Faciliter la recherche d'artisansSuite au déploiement de son site web et de son application, DevisGratos lance en 2020 le 1er chatbot de mise en relation entre professionnels du bâtiment et particuliers. Accessible sur Facebook Messenger, cette interface ne nécessite donc pour l'utilisateur aucun téléchargement d'application supplémentaire et fonctionne aussi bien sur ordinateur que sur mobile (tant sur Android que sur iOs). DevisGratos offre en effet la possibilité pour le particulier d'effectuer une recherche d'artisan à partir de sa messagerie, au fil d'une conversation avec un robot programmé pour le guider dans sa recherche.Le principe est simple : en saisissant son projet de travaux dans le chat, ou en se laissant guider par le biais de redirections, l'utilisateur se voit proposer des catégories de chantiers puis un formulaire de contact à remplir. Dès lors, la demande est envoyée à l'équipe technique qui transmet les informations à différents professionnels situés près du domicile du particulier. Sous 72 heures, l'utilisateur reçoit jusqu'à 5 devis qu'il pourra comparer avant de sélectionner l'artisan qu'il souhaite rencontrer.Comment le chatbot fonctionne ?En se rendant sur la page Facebook de DevisGratos, il suffit de cliquer sur "Envoyer un message" pour accéder à l'outil. Une fois cela fait, le particulier n'aura qu'à engager la conversation en cliquant sur le bouton "Démarrer".Une fois la conversation démarrée, le bot saluera l'utilisateur en utilisant son nom Facebook puis lui demandera de décrire son projet. Deux choix seront possibles : la recherche guidée (par le biais de boutons à cliquer) ou la recherche intelligente (possibilité pour l'utilisateur d'écrire son projet dans le chat).Dès lors, le particulier n'aura plus qu'à compléter sa demande en remplissant un formulaire d'informations (adresse, e-mail, téléphone...).Si le type de requête n'est pas reconnu par le bot, l'utilisateur se verra offrir la possibilité de décrire son besoin en détail afin que celui-ci soit traité par l'équipe technique.
Il y a 3 ans et 4 jours

Le Groupe Apave lance son nouvel écosystème de solutions digitales dédiées à la maîtrise des risques

A travers ces solutions digitales, alliant expertises techniques et puissance du digital, Apave permet à ses clients de simplifier la gestion de leurs risques et de leurs actions de prévention Santé & Sécurité et de répondre ainsi aux nouveaux enjeux des entreprises.Des solutions digitales conçues avec et pour les clientsConçues et testées avec des clients, les solutions digitales Apave répondent aux enjeux de protection des personnes, des biens et de l’environnement. Elles se structurent autour de 4 gammes distinctes et complémentaires : ALERT, CHECK, PILOT et PREDICT.ALERT : des solutions dédiées à la remontée d'informations en temps réel permettant d’identifier et de partager des alertes dans une perspective de résolution ou de prévention active. Cette gamme vient notamment conforter les actions que mettent en œuvre les entreprises certifiées MASE, ISO 45001 et/ou ISO 14001.CHECK : des solutions permettant de réaliser des diagnostics de conformité et de mesurer la trajectoire d’amélioration qu’il est ou serait nécessaire de mettre en œuvre.PILOT : des solutions permettant de piloter tout ou partie d’un processus de maîtrise des risques et d’en améliorer la performance dans la durée. Automatisation de la maintenance corrective, pilotage de la performance, plateforme BIM unique et intuitive, gestion dynamique des risques professionnels…etc…sont autant de fonctionnalités couvertes et offertes par cette gamme de solutions.PREDICT : des solutions offrant une approche prédictive de l’analyse des risques analysant des probabilités de survenance.Chacune de ces 4 gammes de solutions se décline par domaine d’expertise avec une approche « besoins utilisateurs ». Ainsi, les solutions répondent directement et précisément aux besoins spécifiques des utilisateurs en fonction de leur champ d’action : Santé & Sécurité au Travail Environnement Exploitation …Focus : une ligne « Santé Sécurité » pour répondre aux nouveaux enjeux des entreprisesPromulguée le 2 août 2021, la loi dite de « Santé au Travail » vise à renforcer la prévention en entreprise et la culture sécurité dans les organisations et a vu ses premiers décrets d’application entrer en application le 1er avril 2022.La gamme de solutions digitales Apave dédiée à la « Santé & Sécurité au Travail » répond parfaitement aux nouveaux enjeux des entreprises. En effet, l’évaluation des risques qui constitue une étape cruciale d’une démarche de prévention est souvent réalisée et formalisée dans le « Document Unique » dans une approche statique et administrative, alors que le contenu peut et doit devenir le cœur de l’action.Ce que disent les clients …AlertAssocié à une politique volontariste, l’outil remplit parfaitement sa mission. Ce sont aujourd’hui environ 115 personnes qui l’utilisent au quotidien, essentiellement le personnel de maintenance intervenant chez nos clients et le personnel d’usine. Nous avons constaté une augmentation très significative des remontées d’informations sur nos sites clients » : Thierry Renaud, Responsable Santé Sécurité au Travail de la division Industrie du groupe industriel REEL.Check« Une application instinctive et simple. C'est très appréciable, de même que les propositions d'actions pré-remplies et les zones de commentaires libres pour compléter et affiner les actions ! La solution est aussi très visuelle, avec des graphiques par domaine” : Noémie Amalir, Chargée de Missions en Santé et Sécurité au Travail et Formations Règlementaires, Le Puy du FouPilot« La mise en place de Pilot Exploitation a fait diminuer indéniablement le délai moyen de levée de réserve. Le sujet du délai reste un moyen de pression pour confirmer ou infirmer si nos installations sont exemptes de risque, et du coup atteindre le risque « zéro accident » : M. Dufour, Responsable des services techniques et gestion du patrimoine immobilier du Crédit Agricole Industriel
Il y a 3 ans et 4 jours

Comment stopper l'effondrement des travaux de rénovation énergétique ?

Malgré la stabilité apparente de MaPrimeRénov, qui finance un catalogue d’une trentaine de travaux dans le secteur résidentiel, le recours aux CEE, 1er dispositif de financement de l’efficacité énergétique et financeur d’un panel de plus de 200 travaux d’efficacité énergétique tous secteurs confondus, s’effondre :Chute du nombre de travaux financés par le dispositif CEE : -83% d’engagements entre le S1 et le S2 2021 (Coup de pouce chauffage et isolation confondus) ;Effondrement du niveau des primes CEE touchées par le bénéficiaire (voir image).Ce ralentissement met en péril la filière et sa capacité future à répondre à l’ambition affichée par l’Etat en matière d’indépendance énergétique, de lutte contre le réchauffement climatique et d’amélioration du pouvoir d’achat.Redonner au CEE sa capacité à encourager des travaux de rénovation énergétique suppose de corriger à la hausse le volume à produire entre 2022 et 2025 (dite « 5ème période »).Une augmentation d’un tiers de plus par rapport au volume actuellement prévu impliquerait d’économiser environ 800 TWhc supplémentaires, un montant atteignable et nécessaire si l’on tient compte du « stock » de dossiers issus de la quatrième période et déjà déclaré auprès du PNCEE (350 TWhc au 31 décembre 2021), ainsi que du stock en germe et qui devrait apparaître plus nettement ces prochaines semaines.Pour Gaëtan Thoraval, directeur général du groupe : « Plus l’attente sera longue, plus les dégâts à court et moyen terme sur la filière seront forts, et plus il sera coûteux voire impossible de relancer une dynamique qui a mis plus de 4 ans à se mettre en place. A contrario, une augmentation de l’obligation en deçà du niveau de surstock P4 (estimée à environ 800 TWhc) n’aura que peu d’effet, et enverrai un signal contre-productif à tous les financeurs, opérateurs et consommateurs d’énergie. Il viendrait confirmer un recul de la rénovation énergétique en 2022 et certainement en 2023, alors même qu‘il nous faudra multiplier nos efforts dans les prochaines années. »Cette relance serait bénéfique à la filière et au pouvoir d’achat des ménages : pour 1€ d’aide issu des CEE, l’économie d’énergie moyenne est de 3€ sur la durée de vie de l’opération. Alors que le bouclier tarifaire sera levé en fin d’année, la baisse durable des consommations d’énergie doit être la priorité n°1 des 100 premiers jours de ce nouveau quinquennat.
Il y a 3 ans et 4 jours

Ordonnances Travail : la Cour de cassation valide le barème des indemnités de licenciement

Dans ces décisions, elle confirme la conformité de ces dispositions à l’article 10 de la convention n°158 de l’Organisation internationale du travail qui précise le cadre de la cessation de la relation de travail à l'initiative de l'employeur.Ces décisions interviennent après l’approbation par le conseil d’administration de l’OIT du rapport de son comité concluant lui aussi à la conformité de la législation nationale à la convention n° 158 relative au licenciement, le 25 mars dernier. Permettant un resserrement et une uniformisation des indemnisations pour des salariés se trouvant dans les mêmes situations, le barème des indemnités prudhommales introduit par les ordonnances Travail en 2017 donne une plus grande prévisibilité dans la relation de travail et a permis de développer des alternatives au contentieux, ce qui in fine contribue à une augmentation continue des embauches en CDI. Entre début 2017 et fin 2021, la part des CDI dans les embauches de plus d'1 mois est passée de 45% à près de 51%.
Il y a 3 ans et 4 jours

2 fast 2 furious ! Semblables mais différentes, deux nouveautés pour votre chantier

Deux cribles à étoiles qui facilitent le travail sur tous les chantiers où il est nécessaire d'aérer la terre tassée - par exemple, lorsqu'il faut aménager un espace vert, un jardin ou un parterre de fleurs ; ou lorsqu'il faut récupérer et nettoyer le sol de divers débris de démolition, de pierres ou de racines ; ou lorsqu'il faut sélectionner le matériau pour recouvrir les tuyaux ou les tranchées et faire le lit de pose.Les cribleurs broyeurs à rotors pour mini et midi-pellesDeux nouveaux modèles conçus pour les mini et midi-pelles : le MB-HDS207 et le MB-HDS21298 kg à installer sur des mini-pelles de 1,3 à 2.8 tonnes pour le premier.480 kg à installer sur les midi-pelles de 5 à 10 tonnes, sur les chargeuses-pelleteuses de 8 à 9 tonnes et sur les chargeuses de 4 à 5 tonnes pour le deuxième.Pensés et conçus pour les secteurs du jardinage, de l'aménagement paysager et de la construction urbaine, les nouveaux cribles à étoiles MB-HDS sont la solution pour tous les sites qui doivent combiner efficacité et polyvalence dans un équipement compact. Ils ont été conçus pour avoir une géométrie optimale qui facilite le travail, grâce également à la position de l'accessoire sur la partie centrale de la machine, qui est plus basse que le reste de la structure. Cela facilite le travail car vous avez plus de contrôle lors du chargement et du tri. De plus, la structure du godet permet une productivité élevée. L'entretien est facile - le graissage est centralisé et effectué sur place, comme pour tous les produits MB Crusher. Ils ont une structure solide conçue pour résister à une utilisation à long terme, mais aussi pour laisser entrer des matériaux tels que le sable ou la terre. Cela vous permet de travailler sur place sans vous soucier des temps d'arrêt. Une garantie de continuité.Comme les autres modèles HDS, les nouvelles machines ont des rotors qui peuvent être remplacés facilement et directement sur place.Le MB-HDS207 peut également être équipé d'un kit permettant d'augmenter la capacité de charge de 50 à 60 litres. Le MB-HDS212 peut également être monté sur des chargeuses compactes.Deux équipements qui deviennent indispensables lorsqu'on recherche la praticité, la fiabilité et la productivité sur un chantier. Compactes, polyvalentes et extrêmement faciles à manipuler, elles ont été conçues pour faciliter le travail, réduire les temps de travail et économiser sur les coûts de fonctionnement.Une vidéo de présentation des modèles est disponible ici.
Il y a 3 ans et 4 jours

Renouvellement du partenariat entre le Conseil supérieur du notariat et la Direction de l’immobilier de l’État

Ce renouvellement signé le 11 mai par David AMBROSIANO, président du CSN et Alain RESPLANDY-BERNARD, Directeur de l'immobilier de l’État, a été conclu pour une durée de 4 années. Il s’inscrit dans le cadre de la 1ère Convention d’Objectifs du notariat pour la période 2021-2024, signée le 8 octobre 2020 entre le CSN et l’Etat représenté par le garde des Sceaux, ministre de la Justice, le ministre de l’Économie, des finances et de la relance et le ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des finances et de la relance, chargé des Comptes publics.Ce partenariat entre le CSN et la Direction de l’immobilier de l’État confirme leur engagement commun dans une démarche de confiance et de qualité au bénéfice des actes réalisés par l’État propriétaire. La Direction de l’immobilier de l’État et le Conseil supérieur du notariat souhaitent ainsi renforcer la collaboration entre les notaires et les services du Domaine pour répondre aux enjeux suivants :Identifier et sélectionner des études notariales partenaires sur le plan national et en lien avec les instances locales de la profession (Conseils régionaux & Chambres interdépartementales du notariat),Faciliter l’accès des services locaux du Domaine aux notaires identifiés au niveau local,Clarifier les obligations réciproques des parties en présence,Contribuer à une meilleure circulation des informations entre les services de l’État et les notaires en charge des dossiers,Réduire la durée de traitement des dossiers et garantir une forte exigence de qualité quant à la rédaction des actes. Le choix des notaires qui interviendront se fera de manière transparente, en coordination entre les Instances notariales et les services de la Direction de l’immobilier de l’État au niveau local, dans le strict respect des procédures de l’État.
Il y a 3 ans et 4 jours

KS groupe annonce la création d'un nouvel espace multiactivités à Goxwiller (67) - Le César

Bâti sur un terrain vague, le César (qui doit son nom à sa situation géographique sur l’ancienne voie romaine du Piémont…ainsi que la route des vins d’Alsace !) devrait accueillir d’ici 2023 des activités d’artisanat et de services.Avec une emprise au sol de 2.540 m2 , ce bâtiment offrira 12 lots allant de 120 à 300 m2. Idéalement situé en bordure d’autoroute, à 5 min d’Obernai et 25 min de Strasbourg, il offre une localisation stratégique dans un parc d’activité déjà existant et en plein développement.Sa hauteur utile de 6,20m, permettra diverses activités (hall de stockage, bureaux, showroom, commerces…) ; Chaque lot bénéficie d’une mezzanine, d’espace bureaux, d’un point d’eau, d’une porte sectionnelle et d’une entrée classique ainsi que de 2 à 6 places de stationnement. Bordé par de la végétation, Le César bénéficie en outre d’une toiture 100% photovoltaïque.Indépendants, les 12 lots du bâtiment bénéficieront d’un espace de convivialité sur le terrain et entouré de verdure. En effet KS groupe a fait appel à M KUBE, un acteur local engagé et aux valeurs similaires à celles du constructeur pour l’installation de cet espace original tout en bois.En bref :8.700 m2 au total2.540 m2 d’emprise au sol (bureaux, showroom, hall de stockage et commerces/services)Des espaces verts paysagés et de voiries12 lots disponibles : de 120 à 300m2Investissement total : 3 millions d’€Commercialisation des lots : en coursDémarrage des travaux : septembre 2022Livraison des lots : septembre 2023
Il y a 3 ans et 4 jours

PlanRadar lève 69 millions de dollars pour numériser l'industrie mondiale de la construction et de l'immobilier

C’est la troisième plus importante levée de fonds de série B jamais réalisée en Autriche et la plus importante pour une société B2B. Elle a également bénéficié d’une participation importante de l’investisseur Cavalry Ventures. Parmi les autres participants figurent également les investisseurs actuels tels que Headline, Berliner Volksbank Ventures et aws Gründerfonds, ainsi que des nouveaux investisseurs Proptech1, Russmedia et GR Capital. Ce nouveau financement permettra à PlanRadar de fortement accroître son expansion internationale et son développement technologique. De nouveaux bureaux ouvriront aux États-Unis, en Australie, au Conseil de coopération du Golfe (CCG), en Asie du Sud-Est et en Amérique latine. L’entreprise augmentera également ses investissements de R&D avec la création d’un nouveau hub technologique et d’une équipe dédiée à l’innovation produit pour apporter à sa plateforme SaaS révolutionnaire de nouvelles technologies à la pointe de l’industrie. Au total, PlanRadar créera plus de 200 nouveaux emplois, doublant presque ses effectifs mondiaux au cours des 12 prochains mois. Depuis son lancement à Vienne (Autriche) en 2013, PlanRadar s’est rapidement imposée comme la solution Proptech leader en Europe grâce à sa plateforme intégrale de gestion de construction et d’immobilier, réputée pour créer une valeur ajoutée à chaque étape du cycle de vie d’un bâtiment. Au cours des 18 mois qui ont suivi son tour de série A de 34 millions de dollars, PlanRadar a vu ses revenus augmenter de plus de 250 % et sa clientèle a plus que doublé. Sa solution innovante lui vaut la confiance de 14 500 clients, et 100 000 professionnels du secteur dans plus de 60 pays l’utilisent au quotidien pour booster l’efficacité des projets et garantir une réalisation de haute qualité. La croissance rapide de PlanRadar a été portée par son engagement en faveur d’un déploiement au niveau mondial, y compris son lancement sur 10 nouveaux marchés en Europe et en Russie depuis 2020. Son équipe composée de plus de 200 employés, accompagne ses clients dans plus de 20 langues depuis ses bureaux de Vienne, Londres, Amsterdam, Moscou, Paris, Madrid, Milan, Zagreb, Varsovie et Bucarest. L’importante croissance de l’entreprise reflète également son engagement à innover au niveau de sa plateforme principale, avec notamment l’ajout récent du reporting, d’intégrations et de technologies BIM.Pour Ibrahim Imam, co-fondateur et co-PDG de PlanRadar : « Nous avons pour mission de faciliter la gestion des opérations dans la construction et le bâtiment, et nous avons prouvé qu’il existait un appétit mondial considérable pour notre technologie. Nous sommes très fiers de tout ce que notre équipe a accompli, et nous sommes reconnaissants du soutien de nos investisseurs en vue de la création de valeur ajoutée pour nos clients sur de nouveaux marchés et secteurs. »Pour Sander van de Rijdt, co-fondateur et co-PDG de PlanRadar : « En faisant de PlanRadar la première plateforme de Proptech au monde, nous transformons une industrie qui, jusqu’ ici, hésitait à passer au numérique. Nous sommes la preuve que si vous proposez aux clients une plateforme intuitive qui facilite leur travail et l’associez à des services d’assistance exceptionnels, ils seront impatients d’adopter des solutions de pointe. C’est aussi simple que cela. »Pour Thomas Krane, directeur général d’Insight Partners : « La croissance durable de PlanRadar témoigne du travail acharné et du dévouement de l’équipe. Nous avons immédiatement perçu le potentiel de PlanRadar, et l’équipe a continué de nous impressionner par son engagement à développer ses clients, ses revenus et ses talents. Le secteur de la Proptech est sur le point de connaître une énorme croissance, et PlanRadar fait entrer l'industrie mondiale de la construction et de l'immobilier dans l'avenir du numérique. »Pour Brice Delome, associé chez Quadrille Capital : « L’équipe de PlanRadar a identifié un besoin non satisfait lors de son lancement en 2013, et elle a exploité sa compréhension et ses connaissances inégalées des clients pour devenir un véritable leader du secteur. Nous sommes ravis de continuer à financer la croissance rapide de PlanRadar et de rejoindre un syndicat d’investisseurs solide. Nous avons été extrêmement impressionnés par la technologie, l'équipe et la manière dont l'approche de PlanRadar contribue à digitaliser le secteur de la construction et de l'immobilier. Nous sommes impatients de soutenir l’expansion mondiale actuelle de l’entreprise. »
Il y a 3 ans et 4 jours

Bouygues annonce un chiffre d'affaires en hausse de 6% au 1er trimeste mais avec une perte nette après la revente des parts d'Alstom

Le groupe subit une perte nette de 131 millions d'euros, contre un bénéfice l'an dernier à la même époque de 21 millions d'euros. Les parts que possédait encore le groupe dans Alstom y avaient contribué à hauteur de 120 millions d'euros.Autre facteur qui pèse sur les résultats du premier trimestre, "tous les travaux que nous faisons à la fois pour le rapprochement entre TF1 et M6 et les travaux que nous faisons pour préparer l'acquisition d'Equans", lesquels se traduisent par des frais d'avocats importants, a indiqué Pascal Grangé, directeur général délégué et directeur financier, lors d'une conférence téléphonique.Le premier trimestre n'est toutefois pas représentatif de l'année et se traduit souvent par une perte en raison de la forte saisonnalité de ses activités et notamment celles de sa filiale Colas, soumise en hiver aux aléas climatiques, qui freinent l'avancée des chantiers de construction et d'infrastructures routières."Fin mars 2022, le carnet de commandes des activités de construction et services est en hausse de 4% à 34,6 milliards d'euros, un niveau élevé qui offre une bonne visibilité sur l'activité future", a par ailleurs indiqué le groupe.L'activité construction (incluant la filiale de travaux publics Colas) progresse de 7% à 5,8 milliards d'euros. Bouygues Télécom réalise près de 1,8 milliard d'euros de chiffre d'affaires, soit 3% de plus. La filiale TF1 connaît elle une croissance de 10% de son chiffre d'affaires à 561 millions d'euros sur le premier trimestre."Vigilance" sur la situation en UkraineInterrogé sur le projet de fusion de TF1 avec M6, Pascal Grangé a indiqué que "le projet avance conformément à ce qu'on pensait", précisant qu' au cas il ne se ferait pas, le groupe disposait d'une alternative."Naturellement on a un plan B", a affirmé le directeur général délégué, ajoutant que "si ce scénario ne devait pas arriver, de toutes les manières l'évolution du marché telle que nous la constatons nécessitera une évolution chez TF1 et évidemment les équipes de TF1 travaillent dessus".Pour 2022, le groupe rappelle "attendre une nouvelle augmentation de son chiffre d'affaires et de son résultat opérationnel courant par rapport à 2021". Ces perspectives "s'entendent sur la base des éléments connus à date, hors nouvelle évolution défavorable de la situation liée à la Covid-19, hors acquisition d'Equans (une filiale d'Engie, NDLR), et hors rapprochement de TF1 et M6", indique le groupe.Le groupe indique par ailleurs être "très vigilant quant aux conséquences indirectes liées au conflit entre la Russie et l'Ukraine" et souligne que "ces perspectives sont soumises à l'absence de nouvelle détérioration majeure du contexte macro-économique et géopolitique actuel".A stade, le groupe déplore essentiellement des conséquences "indirectes", les activités du groupe en Russie, qui ont été arrêtées, étant "extrêmement faibles".Le groupe surveille essentiellement la hausse des prix des matières premières et les difficultés logistiques, qui "sont maîtrisées" à ce stade.Après l'annonce de ces résultats, l'action Bouygues perdait 1,70% à 30,70 euros vers 08H00 GMT, dans un marché en baisse d'environ 2%.